10.000 B.C.|Roland Emmerich|Aventure||2|américain|2008|104|Anglais||DX50|||DX50|801 Kbps|608x256|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Michael Wimer Mark Gordon Roland Emmerich|Roland Emmerich Harald Kloser|Ueli Steiger||Warner Bros.||10 000 ans avant notre ère, au coeur des montagnes... Le jeune chasseur D'Leh aime d'amour tendre la belle Evolet, une orpheline que sa tribu recueillit quelques années plus tôt. Lorsque celle-ci est enlevée par une bande de pillards, D'Leh se lance à sa rescousse à la tête d'une poignée de chasseurs de mammouths. Le groupe, franchissant pour la première fois les limites de son territoire, entame un long périple à travers des terres infestées de monstres, et découvre des civilisations dont il ne soupçonnait pas l'existence. Au fil de ces rencontres, d'autres tribus, spoliées et asservies, se joignent à D'Leh et ses hommes, finissant par constituer une petite armée.Au terme de leur voyage, D'Leh et les siens découvrent un empire inconnu, hérissé d'immenses pyramides dédiées à un dieu vivant, tyrannique et sanguinaire. Le jeune chasseur comprend alors que sa mission n'est pas seulement de sauver Evolet, mais la civilisation tout entière... |Steven Strait (D'Leh)@Camilla Belle (Evolet)@Cliff Curtis (Tic'Tic)@Nathanael Baring (Baku)@Tim Barlow (le Dieu Pyramide)@Joel Fry (Lu'kibu)@Mona Hammond (la vieille mère)@Marco Khan (Un Oeil)@Reece Ritchie (Moha)@Omar Sharif (le narrateur)@Joel Virgel (Nakudu)@Mo Zinal (Ka'Ren)@Affif Ben Badra (Warlord)@Kristian Beazley (le père de D'Leh)@Junior Oliphant (Tudu)@Louise Tu'u (la mère de Baku)@Jacob Renton (D'Leh, jeune)@Grayson Hunt Urwin (Evolet, jeune)@Farouk Valley-Omar (le prêtre)@Boubacar Badaine (Quina)@Joe Vaz (le chef)@Charles Baloyi (Gatto)@Gabriel Malema (Kawu)@Mark Simmons (Sono)@Hannah Westbury (Cala)@Matthew Navin (Ka'Ren, jeune)@Nimiah Rodgers (Moha, jeune)@Kolby Pistak (Lu'kibu, jeune)@Sadrag Nakale (le vieux chasseur)@||Secrets de tournage :
Une histoire simple et héroïque
Roland Emmerich, le réalisateur de 10 000, avoue avoir toujours été "fasciné par ces grands récits épiques qu'on se raconte depuis la nuit des temps, autour d'un feu de bois." Et de poursuivre : "Évoquer l'homme primitif vous permet de narrer des histoires très fortes, très riches où un héros doit relever seul les plus incroyables défis. J'ai voulu ouvrir dans ce film les portes d'un monde qui ne ressemble à aucun autre."
Repousser les limites du possible
Harald Kloser, scénariste et producteur de 10 000, explique ne jamais avoir voulu, avec Roland Emmerich, "avoir la prétention de livrer un documentaire ! Nous avons souhaité raconter une aventure humaine, une rencontre entre des hommes et des forces qui les dépassent. Et, chemin faisant, nous avons cherché à repousser un peu plus les limites du possible."
De l'aventure... humaine
Pour l'acteur Steven Strait, qui incarne le personnage de D'Leh, 10 000 est plus qu'une simple aventure : "Il y a en l'Homme quelque chose de profondément beau, qui n'a jamais changé. L'amour, la compassion, la conscience, la sympathie nous constituent en tant qu'êtres humains. Ils étaient déjà présents aux temps préhistoriques, et nous les retrouvons dans ce film." Et Cliff Curtis, qui joue le personnage de Tic'Tic, d'enchaîner : "10 000 brasse mythes, légendes, prophéties et péripéties mouvementées. On y rencontre de terrifiants oiseaux prédateurs, des tigres aux dents acérées, des mammouths, etc., mais l'intrigue garde de bout en bout une dimension spirituelle qui en assure l'unité."
Recréer le mammouth
Le défi majeur pour l'équipe de 10 000 fut de récréer numériquement le mammouth, célèbre animal préhistorique, mais aussi d'autres créatures comme des tigres aux dents de sabre ou des oiseaux préhistoriques. Le réalisateur Roland Emmerich souhaitait que les bêtes ressemblent le plus aux véritables créatures de l'époque. Il explique : "Nous nous sommes référés à l'éléphant, au tigre et à l'autruche. Les mammouths, en revanche, posaient un vrai problème car personne ne sait comment se déplaçait cet animal si particulier." Et de poursuivre : "Il nous a fallu tout inventer pour conférer un réalisme photographique à ces animaux. Vu l'ampleur du chantier, nous avons embauché deux studios en Angleterre, chargés de donner à notre ménagerie le maximum de crédibilité et de relief. Résultat : on a parfois l'impression qu'on pourrait toucher ces bêtes, tant elles semblent vraies."
Un travail de recherche ambitieux
Karen E. Goulekas, qui a supervisé les effets visuels de 10 000 et qui avait déjà travaillé avec Roland Emmerich sur Godzilla et Le Jour d'après, a du relever le défi majeur de récréer une époque peu connue des historiens. Durant deux ans, avant même les prises de vues, elle enchaîna les étapes traditionnelles du concept visuel, de la fabrication de maquettes, de la numérisation et de la modélisation. Elle se constitua une base de données regroupant illustrations, photos et images de synthèse extraites d'émissions télévisées. Elle visita aussi les fosses à goudron de La Brea, à Los Angeles, qui possèdent une importante documentation sur les mammouths, ainsi qu'une réserve d'animaux sauvages de Durban, où elle filma quantité de lions, tigres, léopards, éléphants et autruches afin de donner aux animateurs les moyens d'observer leurs mouvements sous divers angles.
Roland Emmerich : toujours plus grand !
Avec 10 000, le réalisateur allemand Roland Emmerich poursuit une carrière placée sous le signe du spectacle de (très) grande ampleur. Après la science-fiction Universal Soldier, Stargate, la porte des étoiles), l'invasion extra-terrestre (Independence Day), le film de monstre (Godzilla), le film de guerre (The Patriot, le chemin de la liberté) et le film post-apocalyptique (Le Jour d'après), il s'attaque aujourd'hui, avec 10 000, à un autre sujet propice à la démesure : l'aventure préhistorique, que le cinéaste comme "le film le plus difficile de toute sa carrière."
Un tournage aux quatre coins du monde
Roland Emmerich et son équipe ont parcouru le monde pour tourner 10 000. Ils ont ainsi posé leurs caméras en Nouvelle-Zélande, en Afrique du Sud et en Namibie.
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10 Things I Hate About you|Gil Junger|Comédie||3|américain|2000|97|Anglais||DIV3|||DIV3|889 Kbps|720x576|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|692||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Andrew Lazar|Karen McCullah Lutz Kirsten Smith|||||Au lycée de Padua, Bianca fait craquer tous les garcons, tandis que sa soeur ainée Kat aurait tendance à les faire fuir. Non qu'elle soit d'une laideur repoussante, ce serait plutôt le contraire, mais son caractère irascible et son comportement de rebelle ne la rendent pas très liante. Le père des jeunes filles est très strict quant à leur éducation et leurs sorties. Il accepte que Bianca flirte a condition que Kat en fasse autant. Autant dire que l'affaire n'est pas gagnée... Mais Cameron, qui est tombe amoureux de Bianca, imagine un plan tout simplement diabolique. |Heath Ledger (Patrick Verona)@Julia Stiles (Katarina Stratford)@Joseph Gordon-Levitt (Cameron James)@Larisa Oleynik (Bianca Stratford)@David Krumholtz (Michael Eckman)@Andrew Keegan (Joey Donner)@Gabrielle Union@Larry Miller@Daryl Mitchell@Allison Janney@Alice Evans (Perky girl)@Bianca Kajlich (Coffee girl)@Kyle Cease (Bogie Lowenstein)@||Secrets de tournage :
La méthode de Gil Junger
« Je travaille de la façon suivante : je fais répéter les acteurs jusqu'à ce qu'ils soient prêts à jouer leur scène, je tourne deux bonnes prises et je passe à autre chose. C'est un style télévisuel, mais je crois que cela contribue à diminuer le nombre de fois où on doit recommencer, prise après prise. Il faut du renouveau pour conserver l'enthousiasme. »
Gil Junger signe avec 10 bonnes raisons de te larguer son premier long métrage. Ce réalisateur est une référence dans le monde de la télévision.
Andrew Lazar, producteur
Le film policier est le genre de prédilection d'Andrew Lazar. Il a notamment produit Assassins (Richard Donner, 1995) et Bound (Larry et Andy Wachowski, 1996).
On lui doit également Intrusion (Rand Ravich, 1999).
En 2000, il produit Space Cowboys de Clint Eastwood.
Un choix difficile pour le producteur, Andrew Lazar
« Nombreux étaient les réalisateurs intéressés, mais Gil Junger nous a séduits par son énergie son enthousiasme. C'est un passionné. Son expérience était très utile au rythme et à l'ambiance que nous souhaitions. (?) Il a tout de suite été évident qu'il sentait parfaitement l'histoire. »
Un décor à la hauteur
Le tournage a eu lieu principalement dans l'enceinte de la Stadium High School, un lycée situé non loin de Seattle, dans l'Etat de Washington.
A l'origine ce bâtiment, construit en 1891 dans le style «château français», devait servir d'hôtel de luxe. Mais des difficultés financières obligèrent les propriétaires d'alors à le transformer en entrepôt. Voué à la destruction après un incendie qui le ravagea presque entièrement en 1899, l'édifice fut racheté par l'architecte Frederick Heath qui le transforma en lycée, qui fut inauguré le 10 septembre 1906.
Ce décor majestueux a incité le scénariste a transposé l'action du film à Seattle.
L'ombre de Shakespeare
10 bonnes raisons de te larguer est une adaptation de La mégère apprivoisée de Shakespeare. Le rôle-titre avait été immortalisé par Liz Taylor devant la caméra de Franco Zeffirelli en 1967.
Gil Junger, le réalisateur, fait passer le message
« J'ai souhaité fonder le film sur les émotions qu'éprouvent les adolescents. Je ne voulais pas en faire une farce ou une caricature. La plupart des jeunes se laissent influencer par leur entourage, ils subissent la pression des modes, des idées reçues et se croient obligés de se comporter d'une certaine façon pour mieux se faire accepter (?). Je voulais faire passer le message, leur dire qu'ils ne doivent pas craindre d'avoir leurs propres idées, que c'est bien d'être unique, d'être soi. »
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100 Girls|Michael Davis (II)|Comédie||2|américain|2001|90|Anglais||DIVX|||DIVX|886 Kbps|720x400|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|660||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Ehud Bleiberg Terence Michael Yitzhak Ginsberg Richard Finney|Michael Davis (II)|James Lawrence Spencer||Sagittaire Films||Matthew, un étudiant, rencontre la fille de ses rêves dans un ascenseur. Seul problème, une coupure d'électricité les plonge dans le noir avant qu'il ait pu découvrir son visage.De discussions passionnées en confidences intimes, ils passent une nuit torride ensemble... Au petit matin, l'ascenseur s'est remis en marche et la mystérieuse inconnue a disparu, laissant derrière elle pour seul indice... sa petite culotte !Sur les conseils experts de Rod, son colocataire obsédé par les jeux vidéo et les films pornographiques, Matthew décide alors de partir à la recherche de sa Cendrillon. Petit hic : l'accès à la résidence des filles est formellement interdit aux garçons... |Jonathan Tucker (Matthew, l'amoureux transi)@Larisa Oleynik (Wendy, la bonne copine)@Jaime Pressly (Cynthia, la bombe)@Emmanuelle Chriqui (Patty, l'artiste dévergondée)@Marissa Ribisi (Dora, l'intello)@Katherine Heigl (Arlene, le garçon manqué)@James DeBello (Rod, l'obsédé sexuel)@Johnny Green (II) (Crick, le crétin balèze)@Ivana Bozilovic (Renée, écrit ses anti-sèches sur ses seins)@Kristin Herold (Barbara, bronzée toute l'année)@Ange Billman (Dana, accro aux algues)@Kristina Anapau (Sasha, n'aime que le violet)@Aimee Graham (mademoiselle Stern, la prof féministe)@Anya Marina (Rhonda, s'épile le sourcil à longueur de journée)@Josephine Angelini (Michelle, fredonne tout le temps)@Julieanne Steger (Penny, la pleureuse)@Lydia Castro (la fille cachée, ne sort jamais de sa chambre)@Ehud Bleiberg (le père de Renée)@Lorie Katherine Anderson (la jeune tricheuse)@Sarah Carmichael (l'élève féministe)@Biljana Filipovic (la fille à la fenêtre)@Renée Graham (la fille au langage des signes)@Reilly McLaren (janeite #1, fan de Jane Austen)@Monica Huarte (janeite #2, fan de Jane Austen)@Rainbeau Mars (Maureen)@Terence Michael (le petit ami de Sasha)@Agnieszka Musiala (la grande fille)@Bradley K. Ross (le garçon à la pizza)@Eric Szmanda (Sam)@Howard Walker (Flick, le partenaire de Crick)@Danielle Hoover (une élève)@Gina Hiraizumi (une élève)@Crystal Kwon (une élève)@Alley Mercedes (une élève)@Tamara Lee Krinsky@Anita Thomas@||||||||||||@@
A Bug's Life|John Lasseter Andrew Stanton|Animation|Film pour enfants|3|américain|1999|88|Anglais||DIV3|||DIV3|903 Kbps|640x480|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|637||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Darla K Anderson Kevin Reher|John Lasseter Andrew Stanton Joe Ranft|Sharon Calahan||||Tilt, fourmi quelque peu tête en l'air, détruit par inadvertance la récolte de la saison. La fourmilière est dans tous ses états. En effet cette bévue va rendre fou de rage le Borgne, méchant insecte qui chaque été fait main basse sur une partie de la récolte avec sa bande de sauterelles racketteuses. Fou de rage, ce dernier annonce qu'il reviendra à l'automne prélever le double de sa ration habituelle. Tilt décide alors, pour se faire pardonner, de quitter l'île pour recruter des mercenaires capables de chasser le Borgne. |Thierry Wermuth (Tilt (voix française))@Dominique Collignon Maurin (le Borgne (voix française))@Marie Vincent (Princesse Atta (voix française))@Marie Sambourg (Princesse Couette (voix française))@Henri Guybet (Plouc (voix française))@Bernard Alane (Fil (voix française))@Jean-loup Horwitz (Heimlich (voix française))@Patrick Poivey (Marcel (voix française))@Frédérique Tirmont (Gypsy (voix française))@Perrette Pradier (la reine (voix française))@||||||||||||@@
Thir13en Ghosts|Steve Beck|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|2002|87|Anglais||DX50|||DX50|988 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|10/08/2009 00:00:00|Gilbert Adler Joel Silver Robert Zemeckis|Neal Stevens Richard D'Ovidio Robb White|Gale Tattersall||Warner Bros.||Arthur Kriticos, un enseignant veuf, hérite du majestueux manoir de son oncle Cyrus. Il y emménage très vite avec ses deux enfants Kathy et Bob, leur nourrice et un médium. Ce n'est pas tous les jours qu'on a la chance d'habiter dans l'opulence d'une telle résidence. Mais la vie de pacha ne dure qu'un temps : d'étranges présences se font bientôt sentir dans les différentes pièces de la vaste demeure. Les nouveaux résidents croient rapidement à l'existence de fantômes. |Shannon Elizabeth (Kathy Kriticos)@Tony Shalhoub (Arthur Kriticos)@F. Murray Abraham (Cyrus Kriticos)@Matthew Lillard (Rafkin)@Embeth Davidtz (Kalina)@Rha Digga (Maggie)@J.R. Bourne (Ben Moss)@Alec Roberts (Bobby Kriticos)@||Secrets de tournage :
Un sol... démoniaque !
Le parterre de l'impressionnante demeure de 13 fantômes est bien particulier. Celui-ci représente en effet le Zodiaque noir, l'inversion démoniaque du zodiaque traditionnel, et dont les 12 symboles correspondent... aux fantômes du film.
Le décor du film : un vrai challenge
Le décor de 13 fantômes a demandé énormément de travail aux équipes techniques. Trois mois ont été nécessaires pour créer cette installation de verre qui devait à la fois être éclairée à travers le plafond et le sol. 5 tonnes d'acier, 5 kilomètres de murs de verre gravés, 800 mètres carré de verre et un puissant générateur électrique capable d'alimenter l'éléctricité d'une petite ville : tel était l'imposant dispositif mis en place pour le film.
Des fantômes plus vrais que nature
Le réalisateur Steve Beck a souhaité donner une personnalité propre à chacun des fantômes du film. Sa volonté était, selon Howard Berger, le créateur des maquillages spéciaux, que ceux-ci "aient une présence physique solide qui augmenterait encore l'anxiété des spectateurs. Pour chacun d'eux, Steve a mis au point une histoire détaillée, un passé. Il nous a donné des dessins, des concepts à partir desquels travailler. Nous avons réalisé des sculptures et des bustes en 3D pour définir leur style final."
Une maison hantée impressionante
Le design particulier de la maison hantée, entièrement en verre, est une idée du producteur Joel Silver. Avec Gilbert Adler, un autre des producteurs, ils se sont inspirés de l'architecture du New York Science Museum. "On n'a jamais vu une maison hantée aussi claire, aux lignes aussi nettes et dépouillées", précise Adler et ajoute qu'"ici, pas de chauves-souris, rien de gothique ou d'élizabéthain. C'est une vision complètement différente et plutôt glaçante. Peu d'ombre, aucun repli possible."
Des producteurs de renom
Deux des producteurs de 13 fantômes ne sont pas des inconnus. Il s'agit en effet de Joel Silver et Robert Zemeckis. En 1999, ceux-ci avaient déjà fait équipe en produisant La Maison de l'horreur, un remake de La Nuit de tous les mysteres.
Un remake
13 fantômes est le remake déclaré du 13 fantômes réalisé par William Castle en 1960. A l'époque, ce cinéaste maître de l'horreur avait créé une petite révolution puisque les spectateurs de son film, en se dotant de lunettes spéciales, pouvaient voir à l'écran des fantômes invisibles à l'oeil nu.
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16 Blocks|Richard Donner|Policier||2|américain, allemand|2006|97|Anglais||DX50|||DX50|864 Kbps|608x240|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Randall Emmett Avi Lerner Jim Van Wyck Bruce Willis John Thompson Trevor Short Arnold Rifkin|Richard Wenk|Glen MacPherson||Warner Bros.||Tout ce qu'il voulait, c'était rentrer chez lui et prendre un verre tranquille, mais juste à la fin de son service, l'inspecteur Jack Mosley se voit confier une petite mission. Il doit escorter Eddie Bunker jusqu'au palais de justice, où deux heures plus tard, celui-ci témoignera à charge dans une affaire de meurtre.Le trajet devait prendre à peine dix minutes, le temps de remonter les seize pâtés de maisons, mais tout va déraper... |Bruce Willis (Jack Mosley)@Mos Def (Eddie Bunker)@David Morse (Frank Nugent)@Jenna Stern (Diane Mosley)@Casey Sander (Le capitaine Gruber)@Cylk Cozart (Jimmy Mulvey)@David Zayas (Robert Torres)@Robert Racki (Jerry Shue)@Patrick Garrow (Touhey)@Sasha Roiz (Kaller)@Conrad Pla (Ortiz)@Hechter Ubarry (Maldonado)@Richard Fitzpatrick (Le commissaire adjoint Wagner)@Peter McRobbie (Mike Sheehan)@Michael F. Keenan (Fitzpatrick)@Robert Clohessy (Cannova)@Tig Fong (Briggs)@||Secrets de tournage :
Rencontre au sommet
16 blocs marque la rencontre de deux pointures du cinéma d'action : le réalisateur Richard Donner, qui a dynamité le registre du buddy movie avec la saga L'Arme fatale, et le comédien Bruce Willis, incarnation de l'action hero par excellence qui s'est notamment illustrée dans la référence Piège de cristal.
La motivation de Richard Donner
Richard Donner s'est rapidement enthousiasmé pour ce projet. Comme il l'explique, "le sujet promettait de l'action mais aussi beaucoup d'enjeux humains. L'action seule ne suffit pas, elle est démultipliée lorsqu'elle sert une bonne histoire, et celle-ci en est une. L'idée que cela se passe quasiment en temps réel me plaisait aussi. Le spectateur est soudain impliqué comme jamais dans le compte à rebours que vivent les protagonistes. Je suis toujours à la recherche de sujets forts, d'angles de narration différents."
Loin de la caricature et des idées reçues
Bruce Willis explique les raisons qui l'ont amené à incarner une fois de plus un flic casse-cou au cinéma : "Ce film m'intéressait parce qu'il met en scène de vrais personnages dans une histoire très bien menée. Il n'y a pas seulement beaucoup à voir, il y a également énormément à ressentir et à penser (...) Il n'y a ni héros ni monstre, chaque personnage possède sa part de grandeur et ses zones d'ombre. Les personnages échappent à la caricature et prennent même souvent un malin plaisir à aller contre les idées reçues. Les limites sont floues et seuls les actes révèlent
la véritable nature de chacun."
Un Bruce Willis très investi
Afin de maîtriser l'environnement professionnel de son personnage, Bruce Willis a patrouillé plusieurs nuits avec des policiers de Brooklyn aux côté de l'inspecteur Mike Keenan, membre de
la police de New York depuis 22 ans, qui a aussi servi de conseiller pour toutes les questions de procédure.
Sur le plan physique, l'acteur s'est également beaucoup investi. Au début du film, son teint pâle est le fruit d'un maquillage qui souligne les symptômes de l'alcoolémie. Pour avoir le regard humide et les yeux rouges, les maquilleurs ont utilisé des vapeurs de menthol. Le comédien marchait par ailleurs avec une pierre dans sa chaussure droite, ce qui le faisait
réellement boiter.
Lieux de tournage
Le tournage de 16 blocs a débuté en avril 2005 à Toronto. Après neuf semaines sur place, l'équipe est partie à Manhattan pour deux semaines supplémentaires. Richard Donner explique : "L'histoire, au-delà des moyens et de l'action, impliquait quelques problèmes logistiques. Nous avons
tourné dans deux villes différentes, sur 55 jours, à des centaines de kilomètres de distance, par tous les temps..."
Tourné dans l'ordre chronologique
Dans la mesure du possible, Richard Donner a réalisé le film dans l'ordre chronologique. Pour le cinéaste, il fallait que le spectateur puisse croire que tout se déroule sur deux heures de temps sans aucun faux raccord. Afin de garantir une cohérence optimale et pour permettre aux comédiens de maîtriser plus facilement l'évolution de leurs personnages, le metteur en scène a décidé de tourner dans la continuité. "Il était ainsi plus simple de savoir où ils en étaient, aussi bien sur le plan psychologique que dans l'action", conclut-il.
Pour la poursuite en bus
L'un des temps forts du film est une impressionnante poursuite en bus. Elle a été tournée à Toronto sur douze jours. Pour la mener à bien, la production a acheté et fait venir cinq bus de New York, dont deux ont servi pour le tournage proprement dit - un pour l'extérieur et l'autre pour les intérieurs, les trois autres étant utilisés pour les prises spéciales et les cascades.
L'un des bus a été coupé en deux pour pouvoir être monté sur un camion et négocier ainsi le virage le plus spectaculaire. La poursuite implique plus de 25 autres véhicules et près de 50 cascadeurs.
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18 ans après|Coline Serreau|Comédie||2|français|2003|86|Français||XVID|||XVID|1 025 Kbps|720x384|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Alain Sarde|Coline Serreau|Jean-François Robin||Bac Films|Saga : Trois hommes et un couffin |Dix-huit ans après avoir été recueillie par ses trois pères adoptifs, Marie obtient son bac et passe l'été dans le midi avec Sylvia, sa mère revenue d'Amérique. Celle-ci est accompagnée de son époux californien qui a deux fils. Les premières amours se nouent et se dénouent sous les yeux effarés des trois pères qui voient l'enfance de Marie s'enfuir au galop et leurs relations avec les femmes se compliquer gravement. |Madeleine Besson (Marie)@Roland Giraud (Pierre)@Michel Boujenah (Michel)@Philippine Leroy-Beaulieu (Sylvia)@Line Renaud (Julie)@André Dussollier (Jacques)@Annick Alane (la pharmacienne)@Evelyne Buyle (Natacha)@Marie-Sophie L. (Barbara)@Lolita Chammah (Ludovica)@James Thiérrée (Arthur)@||Secrets de tournage :
Giraud et Dussollier à la télé
Entre Trois hommes et un couffin et 18 ans après, les acteurs Roland Giraud et André Dussollier se sont croisés uniquement au cours de tournages télévisuels. Tout d'abord en 1988 dans la mini-série comique Palace, mais dans laquelle ils ne se donnaient pas la réplique, et la série policière Chien et chat (1993-1994) qui ne comptaient que quelques épisodes.
Un remake américain
Devant l'énorme succès du film en France et dans les pays étrangers (le long métrage de Coline Serreau a connu une sortie américaine), Trois hommes et un couffin s'est vu l'honneur d'un remake américain. Trois hommes et un bébé, porté par Tom Selleck, Steve Guttenberg et Ted Danson en 1987 a remporté un joli succès aux Etats-Unis, sans pour autant se révéler aussi phénoménal que son homologue français. La suite de ce remake ne se fera pourtant pas attendre puisqu'en 1990 sortira sur les écrans américains Tels pères, telle fille.
Boujenah et Giraud : deux fois en 1985
Les acteurs Michel Boujenah et Roland Giraud se sont retrouvés deux fois sur les plateaux de tournage en 1985, la première fois pour Tranches de vie de François Leterrier, puis pour Trois hommes et un couffin. Ils ne se sont plus depuis croisés devant une caméra avant 18 ans après.
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2001 Maniacs|Tim Sullivan|Epouvante-horreur||3|américain|2005|84|Anglais||XviD|||XVID|1 023 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Eli Roth Scott Spiegel Boaz Yakin|Tim Sullivan Chris Kobin|Steve Adcock|Lions Gate|||Un petit groupe de jeunes adolescents en route vers Daytona Beach s'égare pour échouer dans la ville de Pleasant Valley. Ils sont accueillis à bras ouverts par cette petite bourgade sudiste et par des personnages en hauts couleurs. Trop heureux de s'amuser, les voyageurs ne se doutent pas un instant qu'ils vont bientôt servir de repas final pour le Grand Banquet... |Robert Englund (le Maire Buckman)@Lin Shaye (Granny Boone)@Giuseppe Andrews (Harper Alexander)@Bill McKinney (le cuisinier)@Jay Gillespie (Anderson Lee)@Marla Malcom (Joey)@Dylan Edrington (Nelson Elliot)@Matthew Carey (Cory Jones)@Peter Stormare (le Professeur Ackerman)@Gina Marie Heekin (Kat)@Brian Gross (Ricky)@Mushond Lee (Malcolm)@Bianca Smith (Leah)@Eli Roth (Justin)@||||||||||||@@
28 Days Later|Danny Boyle|Science fiction|Interdit aux moins de 16 ans|3|britannique|2003|108|Anglais||DIV3|||DIV3|757 Kbps|576x320|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|696||||25.000|09/08/2009 00:00:00|Andrew MacDonald|Alex Garland|Anthony Dod Mantle||UFD|Saga : 28 jours plus tard |Un commando de la Protection Animale fait irruption dans un laboratoire top secret pour délivrer des dizaines de chimpanzés soumis à de terribles expériences. Mais aussitôt libérés, les primates, contaminés par un mystérieux virus et animés d'une rage incontrôlable, bondissent sur leurs "sauveurs" et les massacrent.
28 jours plus tard, le mal s'est répandu à une vitesse fulgurante à travers le pays, la population a été évacuée en masse et Londres n'est plus qu'une ville fantôme. Les rares rescapés se terrent pour échapper aux "Contaminés" assoiffés de violence. C'est dans ce contexte que Jim, un coursier, sort d'un profond coma... |Cillian Murphy (Jim)@Naomie Harris (Selena)@Christopher Eccleston (Henry)@Megan Burns (Hannah)@Brendan Gleeson (Franck)@Noah Huntley (Mark)@||Secrets de tournage :
Un tournage en vidéo numérique
L'idée de tourner 28 jours plus tard en vidéo numérique émergea dès les premières étapes du développement du script. "La vidéo numérique introduit une ambiance et une esthétique décalées. Elle apporte un look interessant à cette science-fiction réaliste et nous a fourni un instrument très fléxible, particulièrement adapté aux scènes de rues qui necessitaient une grande vitesse d'exécution". (Andrew MacDonald producteur du film)
Parole d'auteur
C'est Alex Garland, auteur de La Plage, précédent film de Danny Boyle, qui est le scénariste de 28 jours plus tard. Celui-ci définit ainsi son histoire :"28 jours plus tard se situe au croisement du film de guerre, du film de zombies des soixantes-dix et de la S.F. anglaise, notamment de J.G Ballard et John Wyndham."
Le tournage
Le tournage de 28 jours plus tard, d'une durée de 9 semaines, débuta le 1er septembre 2001. Deux mois plus tôt, l'équipe avait filmé les déambulations de Jim dans un Londres d'apocalypse. Opérant aux premières lueurs de l'aube, elle avait bénéficié d'une circulation réduite et avait pu bloquer sans peine certains axes de la capitale. La scène du panneau de photos et messages personnels fut tournée à Piccadilly Circus, quelques jours avant les attentats du 11 septembre.
Une amitié de longue date
28 jours plus tard est né, comme Petits Meurtres entre amis (1994), Trainspotting (1996), Une vie moins ordinaire (1997), et La Plage (1999), de la collaboration du réalisateur Danny Boyle et du producteur Andrew MacDonald.
Un film sans stars
Les producteurs choisirent délibérément des acteurs encore peu connus pour les rôles principaux. Pour le rôle de Jim, Danny Boyle choisit Cillian Murphy, dont l'apparence candide convenait au personnage. Pour interpréter le rôle de Selena, c'est l'actrice Naomie Harris qui est choisit, son élégance et son énergie faisant la différence selon le réalisateur.
Les contaminés
Le réalisateur britannique Danny Boyle accorda d'emblée une attention particulière à l'apparence physique des victimes de l'infection. Le virus du film s'apparente en partie à celui du virus Ebola, caractérisé par une fièvre hémorragique hautement contagieuse. Les contaminés ont en plus les yeux injectés de sang, effet obtenu par le port de lentilles de contact spéciales. De plus, Danny boyle a fait appel à des athlètes pour donner un caractère physique et bestial aux contaminés.
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3 Amis|Michel Boujenah|Comédie||2|français|2007|86|Français||XVID|||XVID|973 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|131 Kbps|False|48.0 KHz|2|694||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Ariel Zeitoun|Michel Boujenah Pascal Elbé|Philippe Pavans de Ceccatty||Gaumont Distribution||Qu'est-ce qu'un ami ? Est-ce que j'en ai un ? Est-ce que j'en suis un (ou une) ?C'est quoi cette relation étrange qu'on appelle l'amitié ?Cette histoire d'amour où l'on ne couche jamais ensemble.Comment je peux faire du bien à mes amis ?Est-ce que j'ai le droit d'intervenir dans leur vie sous couvert de l'amitié ?Et jusqu'à quel point et pourquoi ?Et au fond, quel est ce sentiment étrange qui m'habite quand un ami a besoin de moi ? Un bonheur ou un besoin ? |Pascal Elbé (César)@Mathilde Seigner (Claire)@Kad Merad (Baptiste)@Annelise Hesme (Stefania)@Yves Rénier (Antoine)@Marie Bunel (Florence)@Daniel Duval (Francis)@Constance Dolle (Barbara)@Sebastien Soudais (le serveur)@Yan Dron (le manutentionnaire)@Joby Valente (Juliette)@Philippe Noiret (Le directeur du garage)@Carole Richert (la boulangère)@Richard Laune (Xavier)@Jérémy Bardeau (Martin)@||Secrets de tournage :
L'amitié vue par Michel Boujenah
Pour Michel Boujenah, "un ami, ce n'est pas un être humain avec qui on construit une relation juste comme ça. On dit qu'un ami est un ami quand on le sait vraiment. Alors qui sont ces gens ? Je crois qu'on ne choisit pas ses amis consciemment. C'est un mélange de choix et de choses qu'on ne maîtrise pas. Dans le mot amitié, il y a le mot amour. Et une histoire d'amitié, c'est une histoire d'amour sauf qu'on ne le fait pas. Mais cela reste une histoire d'amour avec la jalousie, la possessivité... Et puis, j'ai vu autour de moi des couples divorcés, des gens angoissés par le travail et la maladie, d'autres qui n'avaient plus de combats collectifs ou qui étaient déplacés géographiquement à cause du marché du travail et tous n'avaient qu'une seule chose qui les ramenait à la réalité : leurs amis. L'amitié, c'est un peu comme un radeau de la Méduse."
Genèse du projet
Après avoir abordé le thème de la famille dans Père et fils, Michel Boujenah et Pascal Elbé avaient envie de parler des amis. "Comme pour les histoires d'amour, on croit qu'on a déjà tout dit sur le sujet alors que pas du tout, explique ce dernier. Cette famille qu'on se choisit nous entraîne parfois dans les mêmes complexités et les mêmes angoisses que l'on peut avoir avec un membre de sa famille. Ce rapport à l'autre nous semblait intéressant."
Pascal Elbé en territoire familier
Avec 3 amis, Pascal Elbé retrouve non seulement Michel Boujenah, qui l'avait dirigé quatre ans auparavant dans Père et fils, mais également Kad Merad, son partenaire dans La Tête de Maman, et Mathilde Seigner, à qui il avait donné la réplique dans la comédie Tout pour plaire. "Pascal est étonnant et réussit toujours à me surprendre, raconte Michel Boujenah. Il a de la classe, une élégance physique dans sa manière de bouger et il est complètement barré. Il est impossible à diriger ! Comme il a beaucoup d'humour et qu'il me fait beaucoup rire, c'est un enfer ! Le nombre de fois où je lui disais d'arrêter... Mais il est d'une exigence et d'une volonté de faire mieux tout le temps...Il veut sans cesse inventer et a cette gravité qui me touche profondément. Pascal est imprévisible et peut changer le texte pendant la prise. Et il sait qu'avec moi, il peut y aller."
Hommage à "César et Rosalie"
Le rôle de César fait référence à tous ces personnages que jouaient Yves Montand, Vittorio Gassman ou Philippe Noiret. "J'aime beaucoup César et Rosalie, confie Pascal Elbé, et ce n'est peut-être pas un hasard si le personnage s'appelle César. J'aime ces gens capables de brasser beaucoup d'air et qui, dans le fond, sont tristes comme la pierre. Ils font semblant d'aller bien en donnant le change avec beaucoup de dignité. Ils peuvent être possessifs, maladroits et très égoïstes mais paradoxalement très généreux."
Le choix de Kad Merad
C'est Pascal Elbé, qui après avoir passé une soirée avec Kad Merad au Festival de l'Alpe d'Huez, a proposé à Michel Boujenah de lui confier le rôle de Baptiste. Le comédien-réalisateur lui a alors demandé de faire des essais. "Je l'ai dirigé à la façon de Claude Lelouch, en improvisant, explique Michel Boujenah. D'abord, je me suis rendu compte que Pascal et lui fonctionnaient bien ensemble et, ensuite, j'ai vu la tessiture de Kad. La façon qu'il avait de faire les choses graves, c'était magnifique. Il s'est identifié à Baptiste et a vu ce qu'il pouvait faire de ce personnage. Pendant les répétitions, je suis allé voir le film de Philippe Lioret et j'ai eu la confirmation encore plus forte de ce que j'avais perçu lors des essais. En plus, c'est un musicien de formation donc il connaît le rythme et sait jouer une partition. Il écoute comme un musicien et c'est un vrai bonheur."
La dernière apparition de Philippe Noiret à l'écran
3 amis marque la dernière apparition à l'écran de Philippe Noiret qui est décédé le 23 novembre 2006 des suites d'un cancer. "Avec Philippe, c'était un cadeau qu'on se faisait mutuellement, confie Michel Boujenah. Pascal Elbé et moi lui avions promis de lui écrire un rôle. On le tenait au courant régulièrement et, quand on est tombé sur ce directeur de garage, on était très contents. J'étais très heureux qu'il puisse le faire même si quand il apparaît à l'écran la première fois, je sais qu'on est choqué. Mais très vite, on l'oublie et il fait rire. Il était tellement content de jouer la comédie, même fatigué... Et c'est tellement bon d'imaginer que dans son dernier film, il fasse rire avec cette élégance et cette finesse..."
Michel Boujenah vu par Mathilde Seigner
"C'est simple, je l'adore, confie Mathilde Seigner. Vous ne pouvez pas imaginer à quel point nous avons ri... C'est au-delà du réel ! C'est un type merveilleux, tendre, gentil, ouvert, drôle à pleurer... On peut tout lui dire, il comprend tout, est tout le temps de bonne humeur... Il n'y a jamais eu de tension pendant deux mois. C'est un des metteurs en scène avec qui j'ai pris le plus de plaisir à travailler. Sans doute parce qu'il n'est pas que metteur en scène. Comme il est acteur, il comprend mieux les acteurs que les autres. Pour moi, cela a vraiment été une rencontre magnifique. Je garde un souvenir fantastique de ce tournage. En plus, c'est un film qui a un peu changé ma vie, donc je dis merci à Michel."
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13 Going on 30|Gary Winick|Comédie||3|américain|2004|97|Anglais||XVID|||XVID|860 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|13/08/2009 00:00:00|Susan Arnold Donna Roth Gina Matthews|Josh Goldsmith Cathy Yuspa|Don Burgess||Columbia Pictures||Jenna, adolescente de treize ans qui rêve de devenir célèbre, s'enferme dans un placard après avoir subi une expérience humiliante. Lorsqu'elle se décide enfin de sortir de sa cachette, elle s'aperçoit que, par un phénomène extraordinaire et inexplicable, elle est sur le point de célébrer son trentième anniversaire et qu'elle est devenue extrêmement belle et populaire.Alors que Jenna commence à profiter de sa toute nouvelle vie, elle découvre que celui auquel elle tenait tant n'est plus là. Non seulement elle n'a plus aucune nouvelle de Matt, mais elle apprend qu'il s'apprête à épouser une autre demoiselle... |Jennifer Garner (Jenna Rink)@Mark Ruffalo (Matt Flamhaff)@Judy Greer (Lucy)@Kathy Baker (Beverly Rink)@Andy Serkis (Richard)@Phil Reeves (Wayne Rink)@Samuel Ball (Alex Carlson )@Marcia Debonis (Arlene )@Christa B. Allen (Jenna jeune)@Sean Marquette (Matt jeune)@Kiersten Warren (Trish Sackett)@Joe Grifasi (Mr. Flamhaff)@Mary Pat Gleason (Mrs. Flamhaff)@Susan Egan (Tracy Hansen)@Lynn Collins (Wendy)@Alexandra Kyle (Tom-Tom jeune)@Alex Black (Chris Grandy jeune)@Jeffrey Shane Cohn (un ami de Chris Grandy)@George Hine (un ami de Chris Grandy)@Philip Pavel (Phil)@Sarah Loew (Clara)@Maz Jobrani (Glenn)@Ian Barford (Pete Hansen)@||Secrets de tournage :
Renée Zellweger pressentie
Renée Zellweger a initialement été pressentie pour le rôle de Jenna.
Jennifer Garner et son personnage
Jennifer Garner s'est immédiatement sentie des affinités avec son personnage : "Jenna est simple, humaine, beaucoup plus proche de moi que peut l'être Sydney Bristow, l'héroïne de "Alias". J'aimais l'idée de retrouver mes sentiments d'adolescente, de revivre certaines émotions, les premières, celles qui comptent le plus."
Le choix de Mark Ruffalo
Gary Winick explique son choix quant à l'attribution du rôle de Matt Flamhaff à Mark Ruffalo : "Pour ce rôle, nous cherchions quelqu'un qui soit au-delà des comédiens habituellement dévolus à ce genre de personnage. Nous ne voulions pas une caricature. Le personnage de Matt demandait de la profondeur, de la sincérité et de l'authenticité. Mark lui a apporté tout cela. Son parcours dans le cinéma indépendant lui a appris à jouer autrement que superficiellement".
Lieux de tournage
Originaire de New York, Gary Winick souhaitait y situer l'intrigue du film. Les extérieurs ont été tournés dans cette ville, tandis que les intérieurs ont été filmés en studio à Los Angeles.
Flashback sur Thriller de Michael Jackson
La scène où Jenna se met à danser sur Thriller de Michael Jackson a permis à toute l'équipe d'expérimenter concrètement ce retour aux sentiments de l'adolescence.
Jennifer Garner confie : "Nous avons tous des souvenirs très forts sur ce morceau, il a marqué notre génération. Qui n'a pas essayé de le danser chez lui en chantant ? Nous avions pour le film l'occasion de le revivre, de nous faire reprendre par cette ambiance. Nous avons tous travaillé très sérieusement pour reconstituer ce que nous avions rêvé de faire quand nous étions ados."
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300|Zack Snyder|Péplum|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|2007|108|Anglais||XVID|||XVID|1 351 Kbps|656x272|AC3|448 Kbps|True|48.0 KHz|5|1394||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Mark Canton Bernie Goldmann Jeffrey Silver Gianni Nunnari|Zack Snyder Kurt Johnstad Michael Gordon|Larry Fong||Warner Bros.||Adapté du roman graphique de Frank Miller, 300 est un récit épique de la Bataille des Thermopyles, qui opposa en l'an - 480 le roi Léonidas et 300 soldats spartiates à Xerxès et l'immense armée perse. Face à un invincible ennemi, les 300 déployèrent jusqu'à leur dernier souffle un courage surhumain ; leur vaillance et leur héroïque sacrifice inspirèrent toute la Grèce à se dresser contre la Perse, posant ainsi les premières pierres de la démocratie. |Gerard Butler (le Roi Leonidas)@Lena Headey (la Reine Gorgo)@Rodrigo Santoro (Xerxès)@David Wenham (Dilios)@Dominic West (Theron)@Vincent Regan (le capitaine)@Michael Fassbender (Stelios)@Tom Wisdom (Astinos)@Andrew Tiernan (Ephialtes)@Andrew Pleavin (Daxos)@Greg Kramer (Ephor)@Stephen McHattie (un sénateur)@Tyler Max Neitzel (Leonidas, adolescent)@Eli Snyder (Leonidas, enfant)@Tyrone Benskin (l'émissaire perse)@Peter Mensah (le messager perse)@Patrick Sabongui (un général perse)@Robert Maillet (L'Immortel géant)@Giovani Antonio Cimmino (Pleistarchos, le fils de Leonidas)@Kelly Craig (l'oracle)@Tim Connolly (le père de Leonidas)@Marie-Julie Rivest (la mère de Leonidas)@Dennis St John (le 'sélectionneur' de bébés)@||Secrets de tournage :
Adaptation
300 est l'adaptation du roman graphique homonyme de Frank Miller évoquant la bataille des Thermopyles en 480 avant Jesus Christ. D'abord dévoilé sous forme de série par Dark horse Comics, le roman a été publié en entier pour la première fois en 1999.
Deuxième film de Zack Snyder
300 n'est que le deuxième long métrage de l'Américain Zack Snyder. Après avoir fait ses preuves dans la publicité, il s'était fait remarquer avec son premier film, L'Armée des morts, remake de Zombie de George A. Romero. Sorti sur les écrans français en 2004, après avoir été présenté à Cannes en séance de minuit, le film avait alors largement séduit la presse et les spectateurs .
Entre rêve et réalité
Comme pour le comics de Frank Miller, les faits relatés dans 300 sont inspirés d'une véritable bataille mais ils n'hésitent toutefois pas à prendre certaines libertés volontaires avec l'histoire, comme l'explique Zack Snyder : " Je ne voulais pas d'un film figé, je voulais faire pénétrer dans l'univers imaginé par Frank. 300 n'est pas un drame historique, ni un récit linéaire. Ce n'est pas davantage une reconstitution, c'est une expérience inédite." Et Gerard Butler d'ajouter : "C'est un peu comme si quelqu'un avait assisté à cette bataille, puis l'avait revêcue en rêve de A à Z. Le film se veut une représentation concrète, mais il se réclame aussi de l'imaginaire et de l'hyperréalisme, comme il convient à une histoire pleine de passion, de brutalité, d'intrigues politiques et d'émotions."
La bataille des Thermopyles
Entre 481 et 480 avant Jésus Christ, les cités grecques, menacées par l'armée perse de Xerxès, doivent surmonter leur querelle et s'unifier pour éviter l'invasion. Un contingent regroupant entre 7 000 et 10 000 hommes est ainsi chargé de ralentir l'avancée de Xerxès au défilé des Thermopyles (les "portes chaudes", nommées ainsi à cause des sources chaudes qui y sont situées). Après avoir perdu de nombreux hommes en mer à cause d'une violente tempête, Xerxès affronte finalement les troupes grecques menées par Léonidas 1er. Celui-ci, profitant du terrain, inflige de lourdes pertes au roi perse (près de 20 000 hommes dont beaucoup d'Immortels, les troupes d'Elites de Xerxès). Un traître grec du nom d'Ephialtès indique alors à Xerxès un passage qui lui permettrait de contourner le défilé et de prendre l'armée de Léonidas à revers. Quand le roi de Sparte se rend compte de la manoeuvre, il renvoie une partie de son armée, et reste sur place avec 1000 guerriers dont 300 hoplites spartiates avec lesquels il se battra jusqu'à la mort. Depuis, un monument a été bâti sur place pour rendre hommage au sacrifice de Léonidas qui est depuis devenu un véritable symbole de la résistance grecque.
Fonds bleus
A l'instar de Capitaine Sky et le monde de demain et de Sin City (déjà inspiré d'un roman graphique de Frank Miller), 300 a entièrement été tourné sur fonds bleus et verts.
Un plan = un effet
La réalisation de l'atmosphère visuelle était essentielle pour Zack Snyder : "Les gens vont au cinéma pour vivre une expérience originale, explique-t-il. C'est ce que nous avons tenté de leur apporter. Qu'il s'agisse des paysages, des batailles, de l'action, de l'architecture, chaque image du film constitue un effet visuel." " Pour cela il s'est appuyé sur une technique baptisée "crush" consistant à "écraser" les couleurs sombres pour valoriser et renforcer leur éclat. Au final, près de 1300 effets visuels ont été réalisés.
Le Roi Léo
Gerard Butler (Léonidas) raconte comment il s'est retrouvé impliqué dans 300: "Lorsque la Warner m'a demandé de venir discuter de ce projet, il m'a suffi d'entendre "300" pour savoir que ce serait un film à part. Zack m'est immédiatement apparu comme quelqu'un qui avait capté les aspects les plus obscurs de cette histoire, et savait comment les mettre en évidence. Je pourrais consacrer un livre entier à sa personnalité, à son talent, à son intelligence, à sa passion et à sa générosité." Le comédien écossais s'est ensuite largement documenté sur Léonidas et la société spartiate : "ces hommes enduraient toute leur vie des souffrances destinées à développer un courage sans faille, une absence totale de compassion à l'égard de l'adversaire. Tout dans cette culture était destiné à forger le sens du sacrifice et un "mental d'acier" dans tous les domaines, de l'entraînement physique à l'obligation faite aux mères de livrer leurs enfants à l'État pour en faire des soldats."
Butler brandit une nouvelle épée
Ce n'est pas la première fois que Gerard Butler incarne un guerrier expert en combat. Il avait en effet prêté ses traits au célèbre roi des Huns, Attila, dans un téléfilm en 2001 puis avait également manié une épée dans Prisonniers du temps de Richard Donner en 2004.
Remise en forme
Pour se préparer physiquement au film et obtenir de véritables corps d'athlétes, les acteurs ont dû suivre un entrainement intensif de plus de huit semaines. Pour les encadrer, Zack Snyder a fait appel à l'ancien alpiniste Mark Twight. Celui-ci a tenu à entretenir un esprit de compétitions parmi les comédiens pour les motiver. Les résultats individuels et collectifs étaient ainsi affichés quotidiennement. Cette remise en forme incluait principalement de la boxe et de la course. Le but était de leur conférer une véritable puissance physique.
Combats rapprochés
Zack Snyder avait eu idée très précise des combats qu'il souhaitait montrer dans 300. Pour cela il a fait appel au cascadeur Damon Caro pour qu'il apprenne les rudiments des combats aux comédiens ainsi que certains éléments propres aux arts martiaux.
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Chants de guerre
La musique de 300 a été composée par Tyler Bates, qui avait déjà travaillé avec Zack Snyder pour L'Armée des morts.
Le retour des 300 au cinéma
Avant 300, le film La Bataille des Thermopyles réalisé par Rudolph Maté avait déjà évoqué l'affrontement entre l'armée perse et celle de Léonidas (interprété alors par Richard Egan) au défilé des Thermopyles. C'est d'ailleurs après avoir vu ce film que Frank Miller s'est passionné pour cette histoire.
Tournage
300 a été tourné entièrement en studio, à Montréal, au Canada, d'octobre 2004 à janvier 2005. Seule la scène de la chevauchée des messagers perses a été tournée en extérieur. La post-production a, quant à elle, duré plus d'un an.
Retour en Grèce
Sorti en premier en Grèce, le film a battu tous les records de fréquentation en attirant près de 325 000 spectateurs en 4 jours (alors que le pays ne compte que 11 millions d'habitants).
L'Iran se rebiffe
300 n'a pas manqué d'attirer les foudres de certains Iraniens, mécontents de la représentation des Perses dans le film. Alors que le journal réformateur Ayandeh-No affirmait qu'Hollywood déclarait la guerre aux Iraniens, trois députés ont officiellement dénoncé le film comme étant anti-iranien. Une pétition a également été lancée par des internautes indignés de ce que, selon eux, le roi Xerxès soit dépeint comme un "homosexuel" et l'armée perse comme des "monstres déshumanisés".
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36 Quai des Orfèvres|Olivier Marchal|Policier||3|français|2004|102|Français||XVID|||XVID|836 Kbps|592x256|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Cyril Colbeau-Justin Jean-Baptiste Dupont Franck Chorot|Olivier Marchal Julien Rappeneau Franck Mancuso|Denis Rouden||Gaumont Columbia Tristar Films||Paris. Depuis plusieurs mois, un gang de braqueurs opère en toute impunité avec une rare violence.Le directeur de la PJ, Robert Mancini a été parfaitement clair avec ses deux lieutenants les plus directs, Léo Vrinks, patron de la BRI (Brigade de recherche et d'intervention), et Denis Klein, patron de la BRB (Brigade de répression du banditisme) : celui qui fera tomber ce gang le remplacera à son poste de grand " patron " du 36, quai des Orfèvres.La lutte est ouverte entre ces deux grands flics, autrefois amis, qu'aujourd'hui tout sépare : leurs vies, leurs méthodes, leurs équipes et une femme, Camille Vrinks... |Daniel Auteuil (Léo Vrinks)@Gérard Depardieu (Denis Klein)@André Dussollier (Robert Mancini)@Roschdy Zem (Hugo Silien)@Valeria Golino (Camille Vrinks)@Daniel Duval (Eddy Valence)@Catherine Marchal (Eve Verhagen)@Francis Renaud (Titi Brasseur)@Guy Lecluyse (Groluc)@Alain Figlarz (Francis Horn)@Vincent Moscato (Jenner)@Anne Consigny (Hélène Klein)@Solène Biasch (Lola, 11 ans)@Aurore Auteuil (Lola Vrinks, 17 ans)@Mylène Demongeot (Manou Berliner)@Stéphane Metzger (Smao)@Olivier Marchal (Christo)@Denis Sylvain (Le préfet de police)@Eric Defosse (Rolf Winterstein)@Ivan Franek (Bruno Winterstein)@Laurent Olmedo (Tony Vargas)@Christophe Rouzaud (Staneck)@Frédéric Maranber (Le juge Rousseau)@Thierry Guerrib (Saïd Attia)@Stéphane Orsolani (Saïd Chenaf )@Anna D'Annunzio (Florence Belkrim)@Ludovic Berthillot (Nounours)@Jo Prestia (Victor Dragan)@Mylène Jampanoï (Jade)@Jean-Louis Bihoreau (Le père de Camille)@||Secrets de tournage :
Duel au sommet
Comme Heat, modèle revendiqué par Olivier Marchal, 36 est un face-à-face entre deux grands acteurs : si Michael Mann avait convoqué Robert De Niro et Al Pacino, le cinéaste français a fait appel à Daniel Auteuil et Gérard Depardieu. Avant d'incarner les deux flics rivaux du Quai des Orfèvres, ces deux monstres sacrés avaient partagé l'affiche de deux grands succès du cinéma français, chacun dans son genre : Jean de Florette, le drame de Claude Berri (1986) et Le Placard (2001), la comédie de Francis Veber.
Entre Alexandre Dumas et Michael Mann
Olivier Marchal évoque ses intentions et ses influences : "Je voulais faire un film sur la descente aux enfers d'un grand patron du 36 Quai des Orfèvres. Une sorte de Comte de Monte-Christo moderne avec l'univers de la police en toile de fond et les grands thèmes de la tragédie : amitié, amour, trahison et vengeance. L'ambition était également de faire un Heat à la française. Michael Mann est avec Sergio Leone, Mike Figgis et Michael Cimino un des réalisateurs que j'admire le plus au monde. A ce titre, Heat est pour moi un modèle, tant par le travail de direction d'acteurs que par l'esthétisme des images et la virtuosité de la mise en scène." Ajoutons, à propos de la référence à l'oeuvre de Dumas, que le personnage de truand joué par Olivier Marchal s'appelle Christo...
Inspiré de faits réels (1) : la bavure de la rue du Dr Blanche
Ancien flic, le réalisateur s'est inspiré pour son film de deux affaires qui ont secoué le monde de la police au milieu des années 80. La première est une opération visant à démanteler le Gang des postiches et qui s'est soldée par un fiasco : prévenues d'une prise d'otages dans une banque rue du Dr Blanche, la BRI (Brigade de Recherche et Intervention) et la BRB (Brigade de Répression du Banditisme) attendaient la sortie des truands pour les prendre en filature. Mais un chef de service de la BRB a choisi de tirer sans sommation ("pour se faire mousser", commente Olivier Marchal). Au terme d'une terrible fusillade, un policier, Jean Vrindts, et un voyou ont été tués, ce qui provoqua un mouvement de fronde au sein de la PJ. Dans 36, on assiste également à une arrestation qui tourne à la bavure, et le personnage joué par Depardieu est directement inspiré du commissaire de la BRB responsable du dérapage de la rue du Dr Blanche.
Inspiré de faits réels (2) : "le gang des ripoux"
Après la fusillade de la rue du Dr Blanche, le climat était d'autant plus tendu au 36 Quai des Orfèvres que venait de se produire l'affaire du "gang des ripoux" : une équipe de policiers, appartenant pour la plupart à la brigade d'élite, s'était livrée à diverses malversations. Une liste de "flics ripoux" a fini par circuler, et le nom de Jean Vrindts, tué lors de la bavure, avait été cité, ce qui a ravivé la révolte des policiers, accusant l'administration de vouloir "couvrir" cette bavure en mettant en cause leur collègue. Sur cette "liste noire" figurait aussi le nom de Dominique Loiseau qui ne cessa de clamer son innocence, mais fut néanmoins condamné à douze ans de réclusion criminelle en 1990, avant d'être gracié en 1993 -il n'y eut pas d'autre condamnation dans cette affaire...
La genèse du projet
C'est en 1994 qu'Olivier Marchal a eu l'idée de 36 : "A l'époque, j'avais été engagé comme comédien dans un téléfilm où je jouais un flic de l'antigang au côté de vrais flics de la BRI qui faisaient de la figuration, se souvient-il."J'avais fait la connaissance de l'un d'entre eux, Didier Maury, qui connaissait Dominique Loiseau, qui avait participé comme lui à l'opération de la rue du docteur Blanche et avait été pris en otage par les Postiches (...) Didier a ensuite vécu les événements consécutifs à la bavure (...) et il a quitté la police. Il ne s'est jamais vraiment remis de cette histoire. Aujourd'hui il est chef d'entreprise. Et il a fait de la figuration dans mon film (...) Il était d'ailleurs très ému le jour où nous avons tourné la séquence de la bavure à Saint-Ouen."
Dédicaces
Reconverti dans le nautisme, Dominique Loiseau a été chauffeur régie sur le tournage de 36, et a collaboré au scénario. "Mon film lui est dédié, ainsi qu'à Christian Caron, alias "Kiki" Caron, un flic abattu en opération le 31 août 1989 lors d'une intervention du Raid. Ancien flic del'antigang et ami de Dominique Loiseau, Christian Caron était l'une des figures du 36. Affecté au Raid où il était chef de groupe, c'est lui qui a été mon formateur pendant mon stage de présélection à cette unité d'élité."
Auteuil, d'un rôle à l'autre
Le cinéaste revient sur le choix des deux comédiens principaux : "Au départ, j'avais envoyé le scénario à Daniel Auteuil pour le rôle de Klein. Je trouvais que ça pouvait faire un contre-emploi très intéressant. Daniel avait rappelé en disant qu'il était d'accord pour le faire. Puis les deux acteurs envisagés successivement pour le rôle de Vrinks m'ayant dit non, j'ai demandé à Daniel s'il était d'accord pour changer de personnage. Ce qu'il a accepté immédiatement. Ensuite, nous avons cherche le "Klein" à lui mettre en face. Après plusieurs hésitations, le nom de Depardieu est apparu comme une évidence. Il m'a dit "ce personnage est entre le "Mangin" de Police de Maurice Pialat et le Léopold d'Uranus de Berri." C'était exactement ça."
A propos du scénario
Pour l'écriture du scénario, Olivier Marchal s'est adjoint les services de Franck Mancuso et Julien Rappeneau. Fils du cinéaste Jean-Paul Rappeneau, celui-ci a déjà co-écrit le script de Bon voyage, mais aussi, dans un genre différent, de la comédie Mais qui a tué Pamela Rose ?. Il aura fallu deux années, et une dizaine de scénarios, pour achever l'écriture de 36.
De vieilles connaissances
Tous les figurants de la scène du repas de brigade sont en fait de vrais policiers. Parmi eux figurent Simon Michaël, Michel Alexandre et Philippe Isard, trois anciens de la PJ qui, comme Olivier Marchal, se sont reconvertis dans le cinéma. Le cinéaste revient sur la préparation de cette scène : "Pour que l'ambiance de cette séquence soit réaliste, j'avais demandé à l'accessoiriste Olivier Crespin de verser du vrai whisky et du vin dans les verres. Au bout de deux heures, les esprits étaient bien "chauds" et tous mes flics se sont mis à improviser et à chanter (...) Ce jour-là, nous avons reçu la visite de Michel Vaujour [ancien taulard dont la tentative d'évasion par hélicoptère avec la complicité de sa femme, en 1986, est entrée dans la légende] venu saluer son ami Dominique Loiseau. Tous deux ont gardé une relation très forte qui date de la prison où ils se sont rencontrés."
Des flics modèles
Le personnage interprété par Daniel Auteuil est un amalgame de plusieurs personnes qu'a bien connues l'ancien flic Olivier Marchal. Son histoire est par certains aspects comparable à celle de Dominique Loiseau, par exemple en ce qui concerne sa confrontation avec le juge ("Dominique a été victime d'un juge semblable à celui que je dépeins dans 36 (...) un anti-flic primaire qui l'a coupé de sa famille et de ses proches pendant plusieurs mois (...)", explique le cinéaste). D'autre part, le nom du personnage (Leo Vrinks) rappelle celui du policier tué lors de la fusillade de la rue du Dr Blanche (Jean Vrindts). Mais le réalisateur révèle qu'il s'est en fait inspiré d'un troisième individu : "un de mes patrons que j'avais connu à la 5ème division de police judiciaire et qui a fini numéro 2 à la BRI avant de se retrouver lui aussi en prison pour avoir couvert un de ses indics sur une affaire de livraison de drogue. Là aussi une sombre affaire de rivalités entre services dont ce patron a fait les frais. On le surnommait "Fifi l'élégant". C'était un flic qui avait de la classe, un beau gosse qui avait grandi à Belleville avec les voyous."
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La même mélodie
C'est en voyant Mélodie pour un meurtre avec Al Pacino et Ellen Barkin qu'Olivier Marchal a eu l'idée d'écrire le personnage que joue dans 36 Valeria Golino, celui d'une femme qui a partagé la vie d'un flic puis est tombée amoureuse d'un de ses coéquipiers.
L'éveil d'Aurore
La fille de Leo Vrinks adolescente est interprétée par Aurore Auteuil qui est dans la vie la fille de Daniel Auteuil. On l'avait déjà aperçue dans quelques séries télévisées (notamment... PJ) ainsi que dans Nathalie... d'Anne Fontaine.
Le cinéma de Renoir
La musique de 36 a été composée par Erwann Kermorvant et Axelle Renoir. Espoir de la chanson française apparue au milieu des années 90 (avec notamment le titre La Cour des grandes), elle avait signé la bande originale des Jolies Choses de Gilles Paquet-Brenner.
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The 40 Year Old Virgin|Judd Apatow|Comédie||2|américain|2005|132|Anglais||XviD|||XVID|613 Kbps|592x312|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Judd Apatow Shauna Robertson Clayton Townsend|Judd Apatow Steve Carell|Jack Green||Universal Pictures||Le lundi matin, lorsque ses collègues décrivent avec force détails leurs exploits libidineux du week-end, Andy Stitzer, 40 ans, se sent bien penaud, car il est encore puceau. Partagés entre hilarité, incrédulité et consternation, ses amis David, Jay et Cal décident de prendre en main sa tardive initiation : de gré ou de force, Andy va devoir franchi le Rubicon... |Steve Carell (Andy Stitzer)@Catherine Keener (Trish )@Paul Rudd (David)@Romany Malco (Jay)@Seth Rogen (Cal)@Shelley Malil (Haziz)@Leslie Mann (Nicky)@Kat Dennings (Marla)@Jordan Masterson (Mark)@Elizabeth Banks (Beth)@Gerry Bednob (Mooj)@Marika Dominczyk (Bernadette)@Mandy Freund (Speed Dater)@Suzy Nakamura (Speed Dater #2)@Siena Goines (Alex)@Jazzmun (jolie travestie)@Nicole Randall Johnson (Cheryl)@Nick Lashaway (adolescent #1)@Jane Lynch (Paula)@Barret Swatek (La petite-amie de Cal)@Christopher T. Wood (Policier)@Jonah Hill (un client d'eBay)@||Secrets de tournage :
Premier scénario pour Steve Carell
L'idée principale du film est inspiré d'un sketch que Steve Carell avait créé avec sa troupe d'improvisation Second City. Il en a étoffé l'histoire faisant ainsi de 40 ans, toujours puceau son premier scénario.
Judd Apatow se jette à l'eau
Judd Apatow, l'un des créateurs de la série américaine "Freaks and Geeks", signe avec The 40 Year-Old Virgin son premier film en tant que réalisateur. Il a co-écrit le script avec l'interprète principal, Steve Carell, rencontré alors qu'il produisait Présentateur vedette : la légende de Ron Burgundy.
Références
Le réalisateur et scénariste Judd Apatow évoque les références dont il s'est inspiré : "J'adore les films pour adultes de la fin des années 70 et du début des années 80, comme Un vrai schnock !, avec Steve Martin , ou American College de John Landis. Ils n'étaient pas aussi égrillards qu'on l'a dit, mais ils allaient assez loin dans l'humour. J'ai cherché à retrouver cette liberté, tant dans les dialogues que dans les comportements. Cela donne au film une authenticité proche de la vie. En plus, c'était drôle à écrire."
La fièvre des comics
Dans 40 ans toujours puceau, Steve Carell est passionné de Comics et de tout l'univers qui tourne autour. La décoration de l'appartement de Steve Carell fut alors un travail de longue haleine pour Jackson De Govia, le chef décorateur. Il a fallu en effet réunir une vaste collection de comics, figurines et objets promotionnels. Pour cela, l'équipe de décorateurs arpenta les conventions, les boutiques de jouets et bien sûr les sites de ventes aux enchères à la recherche du moindre objet susceptible de renforcer la personnalité maniaque du personnage de Steve Carell.
Anecdotes croustillantes
Les premières répétitions ont permis aux comédiens d'échanger des confidences sur leurs propres expériences sexuelles. Certaines anecdotes ont depuis été reprises dans le scénario : " Ces témoignages ont donné encore plus de relief aux situations, explique la productrice Shauna Robertson. Ils ont permis d'étoffer le script en y incorporant des bouts d'histoires personnelles, parfois très embarrassantes. "
Steve Carell perd...ses poils
Dans une scène du film, le personnage d'Andy se fait épiler le torse. Par souci de crédibilité, Steve Carell a proposé au réalisateur de ne pas avoir recours à des subterfuges techniques : "Ca doit paraître réel. Ce ne sera pas aussi drôle avec un effet spécial. On doit voir que c'est vraiment entrain d'arriver". Pour s'assurer une prise juste, cinq caméras ont filmé la séquence qui fut pour l'acteur "une journée de torture (...) ma peau est devenu incroyablement rouge et on peut voir avec le zoom le sang apparaître à la surface".
Scènes coupées
Lors de la scène du speed-dating, les comédiens se sont laissés aller à d'audacieuses improvisations. Les scènes ont toutefois été coupées au montage destiné au cinéma...
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Gone in 60 Seconds|Dominic Sena|Thriller||3|américain|2000|117|Anglais||DIV3|||DIV3|639 Kbps|640x480|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|657||||29.970|28/07/2009 00:00:00|Jerry Bruckheimer|Scott Rosenberg|Paul Cameron||||Pour sauver son frère Kip qui est entre les mains du redoutable Raymond Calitri, Memphis, un ancien braqueur de voitures, doit voler cinquante bolides d'exception en une nuit. Ses ennemis, ses amis, celle qu'il a toujours aimée et la police, qui n'a jamais réussi à le coincer, l'attendent au tournant. |Nicolas Cage (Randall "Memphis")@Delroy Lindo (Inspecteur Roland Castlebeck)@Will Patton (Atley Jackson)@Angelina Jolie (Sara)@Giovanni Ribisi (Kip)@Timothy Olyphant (Détective)@Robert Duvall (Otto)@Vinnie Jones (Le Sphinx)@Christopher Eccleston (Raymond Vincent Calitri)@T.J. Cross (L'homme du miroir)@Jaime Bergman (La blonde dans Drag race)@Jesse Corti (Officier Axton)@Stephen Shellen (Roger le vendeur de voiture)@Kevin Weisman (Interne 2)@Kevin West (interne 1)@Lombardo Boyar (assistant médical)@William Lee Scott (Toby)@Scott Caan (Tumbler)@James Duval (Freb)@Chi McBride (Donny Astricky)@Grace Zabriskie (Helen Raines)@Harry Van Gorkum ( Forge )@Frances Fisher (Junie Halliwell)@Bodhi Pine Elfman (Fuzzy Frizzel)@Arye Gross (James S. Lakewood)@Eddie Mui (Billy Moony)@Carmen Argenziano (Detective Mayhew)@Michael Peña (Ignacio)@||Secrets de tournage :
Des voitures au nom de femme
Dans 60 secondes chrono, Angelina Jolie et Nicolas Cage braquent de nombreux véhicules. Ceux-ci possèdent un nom de code - en l'occurrence un prénom de jeune femme - qui permet aux braqueurs de réaliser leurs méfaits en toute discrétion. Les quatre Mercedes présentes dans le film se prénomment ainsi Dorothy (32 1957 Mercedes Benz 300 SL/Gullwing), Donna (33 1999 Mercedes Benz CL 500), Samantha (34 1999 Mercedes Benz S 600) et Ellen (35 1998 Mercedes Benz SL 600).
Dominic Sena, réalisateur
Réalisateur de films publicitaires et de clips (Sting David Bowie, Tina Turner, Bryan Adams, Steve Winwood, Fleetwood Mac et Janet Jackson), Dominic Sena a réalisé son premier film pour le cinéma en 1993 :Kalifornia, avec Brad Pitt, Juliette Lewis et David Duchovny.
60 secondes chono est son second long métrage.
Une équipe de Shelby?
11 répliques de Shelby furent nécessaires pour le tournage du film. Si toutes présentaient le même aspect extérieur, chacune a été conçue avec un but spécifique : certaines devaient aller très vite sur une ligne droite, d'autres avaient des systèmes de freinage spéciaux et une direction à crémaillère et pignons et des suspensions renforcées pour pouvoir effectuer des tête-à-queue, des freinages en catastrophe et des dérapages plus spectaculaires.
Une des Shelby a été fabriquée avec une direction dérivée dissimulée à droite à l'arrière : un cascadeur pouvait ainsi s'asseoir avec Nicolas Cage et contrôler le véhicule pendant les séquences complexes et dangereuses afin que l'acteur puisse les interpréter lui-même.
Eleanor, la voiture vedette
Eleanor, la voiture héroïne du film, est une Shelby Mustang GT 500 1967. Jeff Mann, le chef décorateur proposa plusieurs modèles à Jerry Bruckheimer : le dernier modèle de chez Carroll Shelby, un roadster à deux places Series 1 et une GT 40, type Le Mans, construite par Ford.
Jerry Bruckheimer décida de prendre la Mustang Shelby GT 500 et de la « remodeler ». « Sa décision était à double tranchant » souligne J.Mann. « Nous voulions une voiture aussi agressive et sexy que possible à l'image, sans qu'elle s'éloigne du modèle et offense ainsi les puristes de la Shelby. »
Jeff Mann, chef décorateur, passionné d'automobiles
« Je répare et restaure des voitures depuis que je suis au lycée. Aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours eu des carburateurs sur la table de la salle à manger, même quand j'étais enfant. J'ai grandi nourri par l'admiration des voitures étrangères, puis j'ai découvert les américaines, les moteurs gonflés et les bolides customisés.
Ce film parle de l'amour et de la fascination pour les voitures, et ce c?ur émotionnel du scénario sonnait vrai pour moi. Dominic (Sena) m'a souvent demandé de lui donner mon point de vue en tant que passionné? »
Collaboration Cage/Bruckheimer
Avec 60 secondes chono, elles sont au nombre de trois, car il faut ajouter Rock et Les ailes de l'enfer.
Nicolas Cage à propos du film original
« J'ai été très surpris de découvrir le nombre impressionnant de gens qui connaissent le film original. Il fait partie de ces classiques que l'on ne cite que rarement, mais que chacun a vu et aimé. Il y avait dans ce film une poursuite de 40 minutes qui en était le point culminant, mais
60 secondes chrono se concentre d'abord sur les relations entre les personnages et sur leurs motivations. »
Jerry Bruckheimer, le producteur, à propos du film
« ? c'est davantage qu'un simple remake. Il s'agit d'une refonte complète du film original. Il était essentiel pour nous de conserver intact l'esprit du premier film, mais nous avons donné une nouvelle ampleur et un rythme plus rapide à l'histoire. Les personnages principaux ont aussi été approfondis. L'esprit de passion demeure, il est simplement replacé dans notre époque où tout s'accélère?
Ce film ne s'adresse pas uniquement aux amateurs de voitures, loin de là. C'est avant tout l'histoire passionnante d'un homme qui veut désespérément mener une vie honnête et honorable (?) qui doit faire des choix (?). »
Un hommage
60 secondes chono est un hommage au classique de H.B.Halicki, La grande casse (Gone in 60 Seconds), réalisé en 1974.
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The Omen|John Moore|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|2006|101|Anglais||XviD|||XVID|829 Kbps|528x304|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|44.1 KHz|2|691||||25.000|02/08/2009 00:00:00|John Moore Glenn Williamson|David Seltzer Daniel McDermott|Jonathan Sela||20th Century Fox|Saga : La Malédiction |Le Vatican est en pleine effervescence : tout indique que la Prédiction du Livre des Révélations qui veut que l'Apocalypse débute avec l'Incarnation de Satan sur la Terre, doit se réaliser dans les tous prochains jours.Robert Thorn, diplomate américain en poste à Rome, est soulagé de pouvoir annoncer à sa femme qui se réveille dans la salle de travail, qu'après de nombreuses tentatives infructueuses, elle a enfin pu donner naissance à un fils.Mais, au fur et à mesure que Damien grandit, il devient évident qu'il s'agit d'un enfant hors du commun. Autour de lui, les morts mystérieuses et les avertissements les plus sinistres se multiplient.Thorn réalise bientôt que la naissance de son fils, à la 6ème heure du 6ème jour du 6ème mois, n'est sans doute pas due au hasard et qu'elle cache le plus terrifiant des secrets... |Liev Schreiber (Robert Thorn)@Julia Stiles (Katherine Thorn)@Mia Farrow (Mrs. Baylock )@Seamus Davey-Fitzpatrick (Damien Thorn)@David Thewlis (Jennings)@Pete Postlethwaite (le Père Brennan)@Reggie Austin (Tom Portman)@Tom Portman (Steven Haines)@Vee Vimolmal (L'infirmière)@Marshall Cupp (Steven Haines)@Joe Towne (Hospital guard)@Matt Ritchie (TV Anchor number 2)@Michael Gambon (Carl Bugenhagen)@Nikki Amuka-Bird (Dr. Becker)@Harvey Stephens (I) (un journaliste)@||Secrets de tournage :
Le remake d'un film fantastique célèbre
666, la malédiction est le remake du film culte La Malédiction qui a tant effrayé le public à sa sortie en 1976. Ce classique du film fantastique, réalisé par Richard Donner était porté par Gregory Peck et Lee Remick.
Mia Farrow, de nouveau confrontée au diable...
L'actrice Mia Farrow, qui interprète dans ce film Mrs. Baylock, est décidément habituée aux enfants du mal ! Alors que l'actrice avait incarné en 1968 une femme enceinte du fils de Satan dans Rosemary's Baby, Mia Farrow se trouve aussi à la merci d'une petite fille dans Le Cercle infernal.
Julia Stiles et Mia Farrow : amies et ennemies
Avant de tourner 666 : La Malédiction, Mia Farrow interprétait sur les planches la mère dévouée de Julia Stiles dans la pièce Fran's bed. Une semaine plus tard, dans ce nouveau long-métrage, la situation s'inverse : Mia Farrow incarne ici l'inquiétante Mrs Baylock, la nurse satanique du fils de Julia Stiles.
Un enfant au regard glacial
Le réalisateur John Moore évoque sa rencontre avec Seamus Davey-Fitzpatrick, le petit garçon qui interprète le rôle difficile de Damien : "Je recherchais un certain physique et Seamus m'a fait forte impression lors de son audition. Il était assis sur une balançoire, un Rottweiler noir à ses côtés. Le regard qu'il a eu m'a glacé. C'était si efficace que le studio a décidé d'utiliser la cassette de son audition comme premier teaser".
Une date de sortie... diabolique !
Le film sort dans le monde entier le 6 juin 2006, soit le 6/6/06 ! Un petit clin d'oeil de la part des distributeurs, qui profitent de la supersitution des spectateurs pour assurer la promotion du film. 666 est en effet le chiffre du diable puisqu'il correspond à la date de naissance de Satan.
Un cameo pour le fils de Satan
Le Damien du film original fait une petite apparition dans 666 : La Malédiction. En effet, l'acteur Harvey Stephens qui avait interprété le fils du diable dans le film de Richard Donner apparaît en tant que figurant dans le rôle d'un photographe.
Une histoire intemporelle
L'acteur Liev Schreiber a été très inspiré par l'histoire de La Malédiction puisqu'à toute époque, elle brosse un thème qui dérange la conscience des spectateurs : "Certains histoire gagnent à être revisitées. Celle de La Malédiction contient un élément que l'on retrouve dans toutes les pièces de Shakespeare : elle trouve le moyen de se réinventer tous les vingt ou trente ans, parce qu'elle aborde des thèmes qui touchent beaucoup de gens.".
Une "Kathryn" moderne
Le personnage de Kathryn, la mère de Damien interprété ici par Julia Stiles a dû être réactualisé par rapport au personnage du film original incarné par Lee Remick. En effet, il a fallut prendre en compte et retravailler l'époque dans laquelle la "nouvelle Kathryn" vit aujourd'hui. Le producteur Glenn Williamson justifie cette modification : "Nous ne pouvions pas converver la Kathryn de "La Malédiction" originale parce que le personnage n'était pas suffisamment approfondi.". Le réalisateur John Moore commente : "Les perspectives sociales, personnelles et politique sur la maternité ont beaucoup changé en trente ans. Dans notre histoire, Kathryn doit affronter sa situation de jeune femme, mère au foyer, vivant dans un pays étranger où elle n'a pas beaucoup d'amis. Son conflit personnel est renforcé par la révélation de la vraie nature de Damien".
Un couple plus jeune
Le couple de ce remake interprété par Liev Schreiber et Julia Stiles apparaît comme beaucoup plus jeune que celui incarné par Gregory Peck et Lee Remick dans le film original. En rajeunissant ainsi le couple, les scénaristes ancrent davantage la terreur dans une dimension sociale. Le producteur Glenn Williamson s'explique : " En choisissant de rajeunir Robert et Kathryn, nous projetons l'image d'un couple au début de son histoire avec une vie personnelle et professionnelle à construire. Instruits, ils travaillent dur pour que leur carrière et leur mariage soient une réussite. Ils sont d'autant plus confus et stupéfais au moment des premiers soupçons, puis lorsqu'ils prennent conscience de la vérité sur Damien."
La chute de Kathryn
L'une des scènes clés du film est celle où Kathryn se retrouve projetée au-dessus d'une rembarde d'escalier. Le tournage de cette séquence culte a été assez éprouvante d'autant plus que l'actrice Julia Stiles devait assurer elle-même la cascade. Pendant trois jours, la comédienne était suspendue dans les airs, soutenue par deux cascadeurs protégés par des harnais. Le producteur Glenn Williamson explique le procédé : " L'installation a été calculée de façon au-dessus de Julia. La caméra "tombe" avec elle, on a l'impression qu'un démon la poursuit dans sa chute."
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Seven seconds (V)|Simon Fellows|Thriller||1|américain|2004|95|Anglais||DivX|||DIVX|880 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|129 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|02/08/2009 00:00:00|Donald Kushner Vlad Paunescu Andrew Stevens Pierre Spengler|Martin Wheeler|Simon Fellows||||Un expert du cambriolage dérobe sans le savoir une toile de Van Gogh et tente de sauver son partenaire pris en otage par des gangsters à la recherche de la fameuse toile. |Wesley Snipes (John Tuliver)@Tamzin Outhwaite (Kelly Anders)@Martin Wheeler (Sergei)@Georgina Rylance (Suza)@Serge Soric (Mihael & Mircea)@Tamer Hassan@||||||||||||@@
8 Mile|Curtis Hanson|Drame||3|américain|2003|107|||XviD|||XVID|761 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|132 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Brian Grazer Curtis Hanson Jimmy Lovine|Scott Silver Jesse Wigutow|Rodrigo Prieto||Universal Pictures||A Detroit, en 1995, Jimmy Smith Jr. a des rêves plein la tête, mais il lui manque encore les mots pour les exprimer. Sa vie d'adolescent se déroule entre banlieue blanche et quartiers noirs, le long de cette ligne de démarcation que l'on nomme 8 Mile Road. En dépit de tous ses efforts, Jimmy n'a jamais franchi cette barrière symbolique et continue d'accumuler les déboires familiaux, professionnels et sentimentaux.
Un jour, il participe à un clash - une joute oratoire de rappeurs - où il doit faire face à Papa Doc, le chef de la bande des " Leaders du Monde Libre ". Paralysé par le trac, il reste muet et doit quitter la scène sous les huées de la foule. Cette nouvelle humiliation l'oblige à un salutaire examen de conscience. Quelques jours plus tard, Jimmy se retrouve forcé de tenter un come-back... |Eminem (Jimmy Smith Jr.)@Kim Basinger (Stephanie)@Mekhi Phifer (David Porter)@Brittany Murphy (Alex)@Eugene Byrd (Wink)@Omar Benson Miller (Sol)@Taryn Manning (Jeanane)@de'Angelo Wilson (DJ Iz)@Evan Jones (Cheddar Bob)@Larry Hudson (Bouncer)@Proof (Lil'Tic)@Michael Bell (Shorty Mike)@DJ Head (Battle DJ)@Michael Shannon (Greg Buehl)@Chloe Greenfield (Lily)@Anthony Mackie (Papa Doc)@||Secrets de tournage :
8 mile : une frontière entre blancs et noirs
Le titre de 8 mile est une référence directe à 8 Mile Road, une frontière imaginaire et rigide entre la ville de Détroit et la banlieue, entre le territoire des blancs et celui des noirs. Une démarcation qui représente un obstacle psychologique pour le personnage de Jimmy, incarné par Eminem, dont l'objectif est de percer dans le hip-hop, de l'autre côté de 8 Mile Road.
La genèse du projet
8 mile est un projet qui date de vingt ans. A cette époque, le producteur Brian Grazer sent dans le hip-hop les germes d'un courant d'une puissance insoupçonnée. Et très vite, il décide de s'intéresser à ce genre musical nouveau, "d'en explorer les racines, de comprendre son fonctionnement et la portée de ses textes. Et cela bien avant qu'il ne représente un marché de plusieurs milliards de dollars."
Une fois le projet mis en chantier vient le temps de trouver l'acteur idéal, capable de porter en lui toute la rage contenue dans le hip-hop. Le choix de Brian Grazer se porte alors rapidement sur la star planètaire du genre Eminem, même si leur première rencontre s'avére pour le moins tendue. "J'ai commencé à m'intéresser à Eminem il y a quelques années", confie Grazer. "Il n'était pas encore une star, mais je lui trouvais déjà un immense charisme et je pensais qu'il pourrait exploser à l'écran. Lorsque je l'ai fait venir dans mon bureau, il est resté muet comme une carpe, sans même me regarder. Au bout de quinze minutes, il a fini par rompre le silence , et s'est révélé un personnage étonnament disert et éloquent."
Eminem : la star controversée du hip hop
8 Mile met en vedette le jeune rappeur américain Eminem, qui effectue pour l'occasion ses premiers pas sur grand écran dans une oeuvre autobiographique à peine voilée. Très vite, l'Américain originaire de Détroit se distingue avec des paroles provocantes qui déclenchent une véritable controverse autour de son nom. Une odeur de soufre qui n'empêche pas le public, bien au contraire, d'acclamer cette nouvelle vedette du hip-hop. Son premier album, The Slim Shady LP, sort en 2000 et se vend à plus de 7 millions d'unités. Le suivant, The Marshall Mathers LP, sort un an plus tard et remporte à nouveau un franc succès, se voyant comme son prédécesseur auréolé du Grammy du meilleur album rap de l'année. En 2002, Eminem publie The Eminem Show, qui décroche trois prix aux MTV Awards et porte le nombre de ses albums vendus à plus de 30 millions de copies. A noter que l'artiste rap est également producteur, à la tête d'une compagnie baptisée Shady Records.
Des "batailles" verbales !
8 mile n'a pas vocation autobiographique, mais il met en lumière un monde qu'a très bien connu Eminem lorsqu'il tentait de percer dans le rap à Détroit. Dans les boîtes de la ville, le jeune homme se livrait à de féroces joutes musicales improvisées contre les meilleurs rappeurs des environs. Des "batailles" qui font rage dans le long métrage et dans lesquelles les rimes se succèdent à un rythme effréné devant un parterre enthousiaste qui, à l'applaudimètre, désigne le vainqueur de chacun de ces duels d'une durée de 45 secondes.
Exemple d'un extrait issu d'une "bataille" de 8 mile. Parole à Eminem :
... Je suis Rabbit - Et toi, la tortue, vite !
Je lapide rapide, tes rimes insipides
Tu t'inclines "Lyckety-Splyt
Je prends le gouvernail
Et mon cul blanc part traverser 8 Mile...
Eminem / Curtis Hanson : une histoire de respect
Curtis Hanson et Eminem se sont beaucoup apportés l'un à l'autre. Le réalisateur a eu avec le rappeur "tout ce qu'on espère d'un acteur : un immense talent, un engagement total, de l'humilité, du respect, une formidable discipline, une détermination constante à donner le meilleur de soi, à être vrai à chaque seconde."
Quant à Eminem, son expérience du tournage a certes été très éprouvante mais également on ne peut plus bénéfique. "Curtis Hanson vous fait travailler jusqu'à l'épuisement", raconte-t-il. "On a joué le texte pendant plus d'un mois en essayant toutes les variantes imaginables. Cela nous a permis de bien nous connaître. Curtis a été formidable. Chaque fois qu'on croyait avoir trouvé la bonne interprétation d'une scène, il nous en proposait une nouvelle, différente... et meilleure."
Perdue au milieu d'une bande de rappeurs
La comédienne Brittany Murphy est la seule jeune fille au générique d'8 mile. Fréquenter de nombreuses journées toute une bande de rappeurs n'a visiblement pas effrayé la jeune américaine qui avoue avoir trouvé "amusant et un peu fou d'être la seule fille au milieu de ces barges - si amusant qu'après mes répétitions, je restais souvent sur place pour regarder travailler les gars."
Kim Basinger retrouve Curtis Hanson
8 mile marque la seconde collaboration de la comédienne Kim Basinger avec le réalisateur Curtis Hanson, cinq ans avec L.A. Confidential. Kim Basinger, qui incarne la mère d'Eminem dans le film, ne tarit pas d'éloges sur celui qu'elle considère comme un partenaire privilégié. "J'ai tout de suite répondu à cette invitation, considérant comme un cadeau de pouvoir travailler à nouveau avec Curtis. Je n'ai jamais vécu collaboration plus sincère, ni connu réalisateur plus talentueux, plus digne de confiance que lui. (...) Curtis nous apporte tout son soutien avec son humilité, son enthousiasme juvénile, son amitié et sa part de mystère. Merveilleuse combinaison ! Je suis heureuse de le connaître."
"8 mile" : objectif authenticité
Pour le réalisateur Curtis Hanson, le mot "authenticité" est le plus représentatif du long métrage. Je voulais que le film dégage une impression de réalité, de naturel quasi-documentaire", résume-t-il. J'ai pris un énorme plaisir à explorer cet univers et j'ai voulu que le spectateur fasse partie de ce voyage."
Survivre, lutter, être fort...
8 mile ne représente pas seulement une peinture de l'univers du hip-hop vécue par le prisme d'un jeune et talentueux rappeur. Pour le réalisateur Curtis Hanson, le long métrage permet également d'examiner un aspect particulier de la société américaine, de voir comment il faut se battre quotidienement pour réussir. 8 mile dévoile, selon Hanson, "un monde que le cinéma et les médias grand public montrent rarement : une Amérique appauvrie qui s'efforce de survivre au sein des quartiers défavorisés. Pour les habitants, 8 Mile Road est une ligne de démarcation. Pour Jimmy, c'est aussi une barrière psychologique qui freine ses ambitions et l'empêche d'être ce qu'il voudrait. Mais n'avons-nous pas tous notre propre 8 Mile Road ?"
Détroit l'hiver
Tourner à Détroit ne fut pas de tout repos pour l'équipe du film, surtout en plein hiver. Les conditions météorologiques difficiles ne gâchèrent cependant en rien le plaisir de fréquenter cette ville américaine pleine de paradoxes, comme l'explique le réalisateur Curtis Hanson : "Detroit fut pour beaucoup d'entre nous une révélation. Partout, on découvre des traces du passé de cette ville, jadis si riche de promesses, et qui semble aujourd'hui ne plus avoir rien à offrir. C'était un décor idéal, tant sur le plan visuel que thématique."
« Préc.
Une bande originale décapante
La bande-originale d'8 mile est logiquement constituée de nombreux morceaux de rap. Eminem est d'ailleurs le compositeur et l'interprète des titres 8 mile et Lose yourself, au côté de grands noms du hip-hop comme The Notorious B.I.G., Cypress Hill, Naughty by nature, 2Pac, le Wu Tang Clan ou encore Method Man.
Une photographie urbaine
Rodrigo Prieto, le directeur de la photographie d'8 mile, a particulièrement goûté le fait de tourner un film urbain, particulièrement réaliste. Cette expérience le changeait en effet des deux précédents longs métrages sur lesquels il avait collaboré, Frida et Péché originel. Pour 8 mile, le réalisateur Curtis Hanson avait une image très précise de la photo idéale et lui avait demandé de donner au film "le look d'une mauvaise herbe poussée entre les pavés".
« Préc.
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99 francs|Jan Kounen|Comédie||3|français|2007|99|Français||XviD|||XVID|840 Kbps|640x278|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Ilan Goldman|Bruno Lavaine Nicolas Charlet|David Ungaro||Pathé Distribution||Octave est le maître du monde : il exerce la profession de rédacteur publicitaire. Il décide aujourd'hui ce que vous allez vouloir demain. Pour lui, "l'homme est un produit comme les autres". Octave travaille pour la plus grosse agence de pub du monde : Ross & Witchcraft, surnommée "La Ross". Il est couvert d'argent, de filles et de cocaïne. Pourtant, il doute.Deux événements vont bouleverser le cours de la vie d'Octave. Son histoire d'amour avec Sophie, la plus belle employée de l'agence, et une réunion chez Madone pour vendreun film de pub à ce géant du produit laitier. Le doué Octave déjante alors et décide de se rebeller contre le système qui l'a créé, en sabotant sa plus grande campagne.De Paris, où négocient les patrons d'agences, à Miami, où l'on tourne un spot sous antidépresseurs, de Saint-Germain-des-Prés à une île perdue d'Amérique Centrale, Octave parviendra-t-il à échapper à sa prison dorée ? |Jean Dujardin (Octave)@Jocelyn Quivrin (Charlie)@Patrick Mille (Jeff)@Vahina Giocante (Sophie)@Elisa Tovati (Tamara)@Nicolas Marié (Duler)@Dominique Bettenfeld (Jean-Christian Gagnant)@Antoine Basler (Marc Maronnier)@Fosco Perinti (Giovanni)@Dan Herzberg (Steve)@Jan Kounen (Pyjaman / le spectateur de la salle de cinéma)@Frédéric Beigbeder (Octave en bad trip)@Arsène Mosca (le dealer)@||Secrets de tournage :
L'adaptation d'un best-seller
99 F est l'adaptation du best-seller homonyme de Frédéric Beigbeder sorti en 2000 aux Editions Grasset et vendu à plus de 500 000 exemplaires. Si ce portrait sous acide du monde de la pub, inspiré de la propre expérience de l'auteur, est ensuite ressorti sous les titres de 14,99 euros puis de 6,20 euros, les producteurs du film ont préféré garder le titre original pour son adaptation cinématographique.
La seconde adaptation du roman
99 F est la seconde adaptation du roman de Frédéric Beigbeder. Le comédien Gilbert Ponté en avait déjà fait une version théatrale, en 2002 au théâtre parisien Trevise, dans laquelle il jouait seul sur scène.
Dujardin est Octave
Pour 99 F, c'est le très populaire acteur Jean Dujardin qui se glisse dans la peau du publicitaire Octave Parango. Lorsque le projet d'adaptation du roman 99 francs était entre les mains d'Antoine de Caunes, en 2003, c'est Edouard Baer qui était en lice pour incarner ce personnage pas comme les autres.
Dujardin : vous aller adorer le détester !
Pour Jan Kounen, Jean Dujardin représente le Octave Parango idéal dans le sens où il est capable de jouer un personnage que l'on adore détester. Le cinéaste précise : "Quand j'ai commencé à travailler sur le film, Alain Goldman m'a dit que j'étais libre par rapport au casting. Et dès que j'ai lu le scénario, j'ai pensé à Jean Dujardin. Pourquoi ? Je l'avais vu dans Brice de Nice et je trouvais qu'il avait une capacité extraordinaire à faire aimer un imbécile arrogant. Or il se trouve que dans 99 F, j'avais besoin de faire aimer un intelligent sensible arrogant, et ce après l'avoir d'abord rendu détestable ! Comme le dit Octave : "J'espère que vous me détesterez pour mieux détester l'époque qui m'a créé.""
Une satire... avec des bouts de comédie dedans
Jean Dujardin estime qu'"il fallait de vrais moments de comédies dans 99 F pour pouvoir dire des choses. Plus on est léger, plus on est second degré et plus on tape fort. Ça marche par contraste. C'était cette entente-là qu'il nous fallait trouver. Tout ça chapeauté par "Beig" (Frédéric Beigbeder)."
Jan Kounen, de "Blueberry" à "99 F"
C'est lors du tournage de Blueberry que le cinéaste Jan Kounen a entendu parler pour la première fois du projet 99 F. Il explique : "Je voyais abstraitement l'objet : un film enlevé et corrosif sur le monde de la pub. (...) C'est la lecture du bouquin qui m'a donné le désir de faire le film. Un film sur notre monde, sur la société de consommation. La partie artistique du film m'intéressait, car elle m'offrait l'opportunité d'expérimenter, d'être pleinement créatif par rapport à la matière. On me proposait en tant que cinéaste de faire quelque chose que je n'aurais pas fait de moi-même : aller dans un univers mental ? alors que j'étais dans un univers contemplatif ? et de changer de mode de fonctionnement."
Quand Beigbeder adoube Dujardin...
Frédéric Beigbeder, l'auteur du roman 99 francs est admiratif du travail effectué par Jean Dujardin sur le film. Il met notamment en avant la prise de risque de l'acteur en s'impliquant dans ce projet : Il faut remercier Jean d'avoir pris ce risque. Quand le film aura eu un grand succès, tout le monde trouvera ça logique, mais il a été très courageux de faire ici de l'humour méchant. Jusqu'ici, il pratiquait un humour reposant sur l'absurde, la naïveté, la parodie... Là, il inaugure un ton nouveau : il est cynique, arrogant, puissant, dangereux... C'est très intéressant. C'est un tournant pour lui. Il a eu raison de foncer, de ne pas avoir peur. C'est exceptionnel ce qu'il propose dans le film. Je trouve qu'il a des points communs avec Jean Yanne..."
Les références selon Dujardin
Jean Dujardin évoque les références de 99 F : "C'est un projet rare. Très rare. Comme références, toutes proportions gardées, il y a Fight Club, Trainspotting... Ça vaut le coup de se défoncer pendant 54 jours pour ça."
... et Jan Kounen
Pour Frédéric Beigbeder, 99 F est tout simplement "le meilleur film de Jan Kounen." Et de rajouter : "C'est très très spectaculaire, très visuel, très créatif. Et Jan va apparaître enfin comme le réalisateur de génie qu'il est. Il a réussi à s'approprier mon roman et à en faire une oeuvre intime, personnelle, en parfaite cohérence avec tous ses travaux précédents. Notamment ses documentaires, Darshan - l'étreinte et D'autres mondes. C'est vraiment ça puisque Octave cherche un autre monde."
Kounen / Giocante : deuxième
99 F marque la seconde collaboration du cinéaste Jan Kounen avec l'actrice Vahina Giocante, quatre ans après Blueberry.
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GI Jane|Ridley Scott|Aventure||2|américain, britannique|1998|125|||DX50|||DX50|640 Kbps|576x224|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|696||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Roger Birnbaum Demi Moore Ridley Scott Suzanne Todd|David Twohy|Hugh Johnson||Gaumont Buena Vista International (GBVI)||Jordan O'Neil, lieutenant dans la section renseignement de la marine, aspire a gravir les echelons de la hierarchie militaire et reve d'etre affectee dans une unite combattante. Seulement c'est une femme et le sexisme est de regle dans l'armee americaine. Grace a l'appui interesse du senateur Lillian DeHaven, elle rejoint le corps d'elite des Seals pour y passer les tests d'incorporation. Plus que les marches forcees et les insultes, le combat qu'elle va devoir livrer contre la jalousie, les trahisons et les interets politiques est un veritable defi. |Demi Moore (Le lieutenant Jordan O'Neil)@Viggo Mortensen (Le premier maître John James Urgayle)@Anne Bancroft (Sénateur Lilian DeHaven)@Jason Beghe (Royce)@Daniel von Bargen (Theodore Hayes)@John Michael Higgins (Chef du personnel)@Jim Caviezel (Slov Slovnik)@Morris Chestnut@Josh Hopkins@Scott Wilson@Lucinda Jenney@||||||||||||@@
A Dirty Shame|John Waters|Comédie||1|américain|2005|85|Anglais||XviD|||XVID|1 007 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|132 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Ted Hope Christine Vachon|John Waters|Steve Gainer||Metropolitan FilmExport||Le quartier des classes moyennes à Baltimore subit de plus en plus la très néfaste influence d'un obsédé de première catégorie, le sombre gourou Ray-Ray qui, probablement à cause de ses quelques neurones en biais, est bien résolu à libérer les pulsions les plus inavouables de ses congénères.
Lorsque Sylvia Stickles, une femme bien sous tous rapports, se cogne la tête lors d'un accident de voiture, c'est la métamorphose. Elle se transforme aussitôt en créature lubrique, au grand dam de son mari Vaughn. En revanche, sa fille, qui dans le plus grand secret se trouve être une danseuse exotique déjà convertie au pouvoir de Ray-Ray, est plutôt contente. Mais la vérité est ailleurs et seul Ray-Ray la connaît : Sylvia est une envoyée du ciel dont la mission consiste à renforcer le pouvoir du sexe sur le monde. |Tracey Ullman (Sylvia Stickles)@Johnny Knoxville (Ray-Ray)@Chris Isaak (Vaughn Stickles)@Selma Blair (Caprice Stickles)@Suzanne Sheperd (Big Ethel)@Mink Stole (Marge)@Susan Allenback (Betty Doggett)@Paul DeBoy (Wendell Doggett)@Wes Johnson (Fat Fuck Frank)@Alan J. Wendl (Officier Alvin)@Mary Vivian Pearce (Ex-accro au sexe)@Richard DeAngelis@||Secrets de tournage :
Johnny Knoxville en gourou du sexe
En écrivant le scénario, John Waters ne voyait que le créateur de Jackass pour jouer le rôle de Ray-Ray, le sorcier sexuel doté de pouvoirs et bien pourvu par la nature : "J'avais vu Jackass - le film quand il est sorti et j'avais retrouvé le même esprit que dans Pink Flamingos. J'avais aussi aimé l'anarchie de l'émission télévisée et les problèmes qu'elle posait. Qui mieux que Johnny Knoxville aurait pu être à la tête des Accros du Sexe ?"
L'acteur témoigne :"John avait amené tous ces magazines sur les goûts sexuels particuliers et il m'a dit : "Voilà, le film parle de tout ça." J'ai répondu : "Ecris-le et je le fais." J'aurais fait n'importe quoi pour travailler avec lui, il a toujours été l'un de mes réalisateurs préférés. Il a une perspective complètement différente des autres, et j'aime tout simplement tous ses films."
Des riverains compréhensifs lors du tournage
John Waters tourne tous ces films à Baltimore, dont il est originaire. Pour les besoins du film, les espaces verts ont été quelque peu modifiés par la production : "Harford Road fait partie des endroits de Baltimore auxquels je n'avais pas encore rendu hommage. C'est un quartier préservé, et je me suis dit que ce serait peut-être utile de faire le film là-bas (...) Les habitants ont été compréhensifs et nous ont vraiment apporté leurs soutient. Ils avaient des arbres-pénis sur leurs pelouses et nous mettions des anus à leurs buissons et ils étaient malgré tout adorables... Ils sortaient et posaient avec leur famille pour des photos, ils nous faisaient des cookies et ils demandaient gentiment qu'ils pouvaient déplacer leurs voitures pour aller travailler..." Un sens de l'hospitalité et une tolérance qui ont agréablement surpris le réalisateur et son équipe.
Un film féministe
John Waters a une vision bien particulière de son dernier opus : "En fait, je pense vraiment que A dirty shame est un film féministe, un peu curieux certes, mais qui l'est vraiment : Sylvia sort de sa nouvelle liberté sexuelle grandie, plus puissante, pluis accomplie."
De plus concernant une séquence du film où Sylvia (Tracey Ullman) nouvelle accro au sexe s'explique avec sa fille (Selma Blair), ayant d'énormes prothèses mammaires et un sérieux penchant pour l'exhibitionnisme, John Waters révèle que : "C'est un moment plein d'émotion, finalement, elles ont réussi à se rapprocher. Grâce au sexe, les liens se resserrent entre elles."
Un hommage à Jim Morrison
Dans A dirty shame , un hommage au chanteur des Doors s'est glissé. En 1969, ce dernier aurait dévoilé son sexe lors d'un concert à Miami, soulevant chez les bien-pensants un véritable tollé. Des marches au nom de la décence furent organisées. Dans le film, c'est également le cas, les plus puritains s'organisent et manifestent pour le retour à l'ordre et à la pureté. John Waters ajoute : "Je ne crois pas qu'il l'ait vraiment fait, parce qu'on aurait forcément vu à un moment ou à un autre une photo de son pénis... Mais pendant une brève période, en réponse à la supposée exhibition de Morrison, des mouvements de bienséance se sont déclenchés à travers tout le pays. L'un d'eux a eu lieu à Baltimore, mais il a tourné à l'émeute raciale. C'était une époque vraiment explosive."
Une comédie d'un nouveau genre
S'inspirant des plus sérieux "drames pour adultes", qui formaient le courant "sexploitation", John Waters avec A dirty shame ouvre la voie à un nouveau genre, la comédie sexuelle. Le réalisateur nous explique ses intentions : "Je fais dans la satire de genre. J'ai déjà réalisé un film policier, Serial Mother, une comédie musicale, Hairspray, un film sur la délinquance juvénile, Cry-Baby, une biographie d'artiste, Pecker, et un thriller terroriste, Cecil B. DeMented. Il ne me manquait plus qu'un film d'éducation sexuelle."
Il ajoute : "J'ai exagéré la peur du sexe chez les personnages de ce film, beaucoup de gens n'aiment pas le sexe, ne veulent pas y penser, pas en parler (...). Leur paranoïa envers le sexe va très loin. Particulièrement pour le personnage de Mink, Marge que le poils pubiens rendent nerveuse et qui se plaint que des gens "rasent leur entrejambe au moment où elle parle".
Un article à l'origine du film
John Waters a eu l'idée du film en lisant un article, il nous raconte : "C'était une phrase au fil d'un article (...). On y mentionnait un fait apparemment peu connu : une petite minorié de gens ayant subi une commotion cérébrale ont des pulsion sexuelles incontrolâbles. Je crois me souvenir que le terme exact employé était "comportement sexuel inapproprié". Cette idée a germé en moi et fini par donner ce film sur les Accros du Sexe qui prennent le pouvoir dans tout un quartier."
John Waters s'est approprié cette théorie et l'a mise en scène dans une famille typique américaine, il s'explique : "Ce film est une comédie qui pose la question : que feriez-vous si votre mère ou votre tante se transformait soudain en nymphomane à deux pas de chez vous ? (...) Si vous étiez gamin et que vous ayez une mère ordinaire qui gère l'épicerie locale et qu'elle se transforme soudain en bête de sexe.... Que feriez-vous ?"
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A History of Violence|David Cronenberg|Thriller|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|2005|91|Anglais||DX50|||DX50|934 Kbps|608x320|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|703||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Chris Bender J.C. Spink|Josh Olson|Peter Suschitzky||New Line Cinema||Tom Stall, un père de famille à la vie paisiblement tranquille, abat dans un réflexe de légitime défense son agresseur dans un restaurant. Il devient alors un personnage médiatique, dont l'existence est dorénavant connue du grand public... |Viggo Mortensen (Tom Stall)@Maria Bello (Edie Stall)@Ed Harris (Carl Fogarty)@William Hurt (Richie Cusack)@Ashton Holmes (Jack Stall)@Greg Bryk (Billy)@Stephen McHattie (Leland)@Peter MacNeill (le shérif Sam Carney)@Bill MacDonald (Frank Mulligan)@Aidan Devine (Charlie Roarke)@Heidi Hayes (Sarah Stall)@Gerry Quigley (Mick)@Deborah Drakeford (Charlotte)@Ian Matthews (Ruben)@Kyle Schmid (Bobby)@Morgan Kelly (le copain de Bobby)@R.D. Reid (Pat)@Don Allison (le présentateur TV)@George King (le visiteur à l'hôpital)@||Secrets de tournage :
Présenté à Cannes
A history of violence a été présenté en Sélection officielle, en compétition, au Festival de Cannes, en 2005. David Cronenberg se retrouvait ainsi pour la troisième fois en lice pour la Palme d'or, après le sulfureux Crash, Prix Spécial du Jury en 1997, et l'oppressant Spider en 2002. Ajoutons que le réalisateur canadien fit scandale sur la Croisette en 1999, cette fois en tant que Président du jury : il avait alors mijoté un palmarès sans concessions (la Palme à Rosetta des Dardenne, deux prix à L'Humanite de Bruno Dumont). Donné comme favori pour la récompense suprême par de nombreux festivaliers, A history of violence est finalement reparti bredouille.
Genèse de l'"History"
A l'origine, A history of violence est un roman graphique, autrement dit une bande dessinée destinée plus spécifiquement aux adultes (par opposition aux distrayants comics). Publiée en 1997, cette oeuvre est signée John Wagner pour les textes, et Vince Locke pour les illustrations. Wagner est notamment l'auteur de Judge Dredd, une BD futuriste qui donna lieu à un film de Danny Cannon avec Sylvester Stallone (1995). Mais c'est en fait seulement en lisant le scénario écrit par Josh Olson que Cronenberg, qui ignorait l'existence du roman graphique, a pris part au projet. Parmi les autres films inspirés d'ouvrages de ce type, citons From Hell des frères Hughes, Les Sentiers de la perdition de Sam Mendes ou Sin City de Robert Rodriguez.
Faux-semblants
Le cinéaste explique ce qui l'a séduit dans ce projet : "Cette histoire touche à des thèmes émotionnels puissants. Un couple marié avec deux enfants essaie de mener une vie droite, honnête, épanouie, et cela se révèle de plus en plus difficile. J'ai aimé ce contexte (...) Derrière ce thème principal se profilent pourtant des choses beaucoup plus troublantes, dérangeantes. C'est un thriller intéressant parce qu'atypique. On peut le prendre à plusieurs niveaux, les enjeux ne sont pas aussi basiques que l'intrigue principale peut le laisser supposer. Les développements partent dans des axes aussi surprenants que variés. On peut d'abord voir ce thriller comme ceux de Hitchcock où un homme innocent est pris pour un autre par des gens effrayants (...) Et ce n'est que le début..." : Après lecture du scénario, le chef-opérateur Peter Suschitzky avait suggéré au cinéaste une autre référence : "J'ai encouragé David à y penser comme aux films de Fritz Lang : un des thèmes principaux des films de Lang est le personnage qui ne peut échapper à son destin. Cela ouvrait un point de vue intéressant."
Fidélité
David Cronenberg a retrouvé sur ce film la plupart de ses collaborateurs habituels, de Peter Suschitzky, son chef-op' attitré depuis Le Festin nu en 1991, à Howard Shore qui avait déjà signé la musique de dix de ses longs métrages. Le Canadien travaille d'autre part pour la douzième fois avec le monteur Ronald Sanders et la décoratrice Carol Spier. Enfin, comme sur 8 de ses précédents films, il a confié la conception des costumes à sa soeur, Denise Cronenberg.
Sur la violence
A propos du traitement de la violence, l'auteur de Crash précise : "Dans ce film, je voulais que la violence soit réaliste, brutale. J'ai recherché la brutalité et le genre de violence que l'on verrait vraiment dans, disons, un combat de rue : maladroite, tout sauf chorégraphiée, en recherche permanente d'efficacité -l'opposé des séquences esthétisantes que l'on voit souvent au cinéma. L'acte de violence que commet le personnage principal est justifiable. Tom Stall est contraint d'employer la violence, il n'a pas d'autre alternative. En même temps, on ne cache pas que la violence qu'il commet a des conséquences lourdes. Je veux faire passer l'idée que la violence est une chose mauvaise mais une part très réelle et inévitable de l'existence humaine. Je ne m'en détourne pas. On peut dire cependant que ce n'est jamais une chose séduisante."
Cronenberg, maître du jeu
"Quand j'invite quelqu'un, acteur ou technicien, à travailler avec moi, je lui demande de jouer dans mon bac à sable (...) Il ne faut jamais perdre ce goût du jeu enfantin, c'est la source de la créativité", confie David Cronenberg, qui semble avoir trouvé en Viggo Mortensen un camarade de jeu rêvé. "Pour moi, Viggo était l'acteur idéal. J'aime travailler avec des comédiens qui sont de vrais acteurs de répertoire, pas des jeunes premiers soucieux de leur image. Un authentique acteur n'a pas peur de ternir une image de héros." La vedette du Seigneur des anneaux note de son côté "Je ne me souviens pas m'être autant senti sur la même longueur d'ondes avec un réalisateur."
Le goût du détail
David Cronenberg avoue avoir été étonné par le degré d'implication de Viggo Mortensen dans le projet. L'acteur, qu'il a rencontré au Festival de Cannes en 2001 lors d'une fête donnée pour Le Seigneur des anneaux, a par exemple apporté sur le plateau différents objets qu'il avait achetés lors de ses voyages, comme la tirelire en forme de tête de poisson qu'on voit sur la caisse du restaurant ou les sculptures d'animaux qui décorent la chambre de sa fille. "C'est un maniaque du détail, ce que j'apprécie beaucoup", confirme le réalisateur, qui ajoute : "Viggo a vraiment tenu un rôle actif dans la création de son personnage, jusqu'à son environnement. Je n'avais jamais vu ça !"
Edie vue par Maria
Maria Bello, dont David Cronenberg avait particulièrement apprécié la prestation dans Lady chance, parle de son personnage, Edie Stall, une "ancienne reine de promo devenue une avocate respectée et influente" (selon les termes du réalisateur) : "Elle est en fait presque plus l'homme de la famille que Tom. Elle a une énergie presque masculine, elle prend les choses en main. C'est elle qui gère. Puis les choses changent, elle est forcée de revenir à une place féminine plus réceptive, plus vulnérable. Dès que j'ai trouvé ce glissement, j'ai commencé à voir les choses différemment, j'ai trouvé une perspective nouvelle."
Dirty Harris
L'inquiétant Carl Fogarty, avec son oeil mort et sa cicatrice sur le visage, est incarné par Ed Harris, dont la composition saisissante n'a pas laissé le reste de l'équipe indifférent. "Ed était effrayant, menaçant, au point qu'il a impressionné Ashton Holmes qui joue mon fils", révèle Viggo Mortensen, tandis que le producteur Chris Bender se souvient : "Ed s'est amusé parce qu'il n'avait encore jamais joué de gangster (...) C'est un acteur immense. Il a une présence impressionnante, devant la caméra comme dans la vie, qui convenait parfaitement à ce personnage qui transpire le pouvoir, et suscite la peur. Il a improvisé dans une scène, en faisant comme s'il allait attaquer Edie, et il a flanqué une vraie frousse à tous ceux qui regardaient le moniteur."
Quelle histoire...
Contrairement à ce que pourraient penser des spectateurs non-anglophones en lisant le titre, le film ne retrace pas l'Histoire de la violence à travers les siècles. En anglais, "to have a history of violence" est une expression qui signifie "avoir un passé violent".
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His Dark Materials: The Golden Compass|Chris Weitz|Fantastique||2|américain|2007|115|Anglais||XviD|||XVID|720 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Bill Carraro Deborah Forte|Chris Weitz|Henry Braham||New Line Cinema||Lyra, 12 ans, est une orpheline rebelle qui vit à Jordan College, un établissement de l'Université d'Oxford, dans un monde parallèle qui ressemble au nôtre mais qui a évolué de façon un peu différente. Elle a pour compagnon Pantalaimon, son dæmon, un être capable de prendre de nombreuses formes animales.Le monde de Lyra est en train de changer. L'organisme gouvernemental global, le Magisterium, resserre son emprise sur le peuple. Ses sombres activités l'ont poussé à faire enlever des enfants par les mystérieux Enfourneurs. Parmi les gitans, qui ont perdu beaucoup des leurs, court une rumeur : les enfants sont emmenés dans une station expérimentale quelque part dans le Nord, et on pratique sur eux d'abominables expériences...Lorsque Roger, le meilleur ami de Lyra, disparaît à son tour, la petite fille jure d'aller le chercher, jusqu'au bout du monde s'il le faut... |Dakota Blue Richards (Lyra Belacqua)@Nicole Kidman (Marisa Coulter)@Daniel Craig (Lord Asriel)@Sam Elliott (Lee Scoresby)@Eva Green (Serafina Pekkala)@Ian McKellen (Iorek Byrnison (voix))@Ian McShane (Ragnar Sturlusson (voix))@Kristin Scott Thomas (Stelmaria (voix))@Kathy Bates (Hester (voix))@Ben Walker (Roger)@Jim Carter (Lord John Faa)@Tom Courtenay (Farder Cordam)@Clare Higgins (Ma Costa)@Charlie Rowe (Billy Costa)@Steven Loton (Tony Costa)@Michael Antoniou (Kerim Costa)@Mark Mottram (Jaxer Costa)@Christopher Lee (Le Haut Conseiller)@Derek Jacobi (L'émissaire du Magisterium)@Simon McBurney (Fra Pavel)@John Bett (Thorold)@Magda Szubanski (Mme Lonsdale)@Jack Shepherd (Le Maître de Jordan College)@Edward De Souza (Deuxième Conseiller)@Paul Antony-Barber (Le médecin de Bolvangar)@Jason Watkins (Le fonctionnaire de Bolvangar)@Jody Halse (L'aide-infirmier de Bolvangar)@Hattie Morahan (Nurse Clara)@John Franklyn-Robbins (Le bibliothécaire)@Jonathan Laury (Le jeune Érudit)@Tommy Luther (Jacob Huismans)@James Rawlings (L'étudiant)@Joao De Sousa (Hunt)@Habib Nasib Nader (Ragnar)@Theo Fraser Steele (L'officier du Magisterium)@Bill Hurst (Le capitaine de police)@Alex Terentyev (L'officier tartare)@David Forman (Le kidnappeur samoyède)@||Secrets de tournage :
Adapté de l'oeuvre de Philip Pullman
A la croisée des mondes : la boussole d'or est le premier volet de l'adaptation de la série de romans du Britannique Philip Pullman, Les Royaumes du Nord (His Dark Materials en version originale), vendue à 14 millions d'exemplaires à travers le monde. Elle est composée de Les Royaumes du Nord (1995 - lauréat de la Canergie Medal), La Tour des Anges (1997) et Le Miroir d'Ambre (2000 - récompensé par le prestigieux Whitbread Book of the Year Award, prix qui n'avait encore jamais été décerné
à un livre jeunesse). En 2005, Philip Pullman, auteur par ailleurs des aventures de Sally Lockhart, s'est également vu décerner par le gouvernement suédois l'Astrid Lindgren Memorial Award, second prix littéraire au monde après le Prix Nobel. Adaptée ici pour la première fois au cinéma, son oeuvre avait déjà été transposée à la radio en 2003 puis sur scène en 2004.
Un fan à la barre
Aussi surprenant que cela puisse paraître pour un projet de cette envergure, la réalisation de A la croisée des mondes : la boussole d'or a été confiée à Chris Weitz, réalisateur... du délirant American Pie en 1999. Son frère Paul Weitz, co-réalisateur du teen-movie, assurant la production exécutive de cette adaptation. Car Chris Weitz n'est pas qu'un trublion doué pour mettre en scène les galipettes d'un ado avec une tarte aux pommes : il a étudié à l'université la poésie anglo-saxonne et notamment l'oeuvre de John Milton (dont Le Paradis Perdu), influence majeure de la trilogie de Philip Pullman. La passion de Weitz pour les romans de Pullman, née au début des années 2000, a su convaincre les pontes de la New Line de lui confier le scénario (qui ont écarté du coup une première version signée Tom Stoppard, auteur entres autres de Shakespeare in Love), puis la réalisation. D'abord intimidé et pensant ne pas avoir les épaules pour ce travail (le poste sera un temps offert à Anand Tucker, réalisateur de Shop girl), Chris Weitz reviendra finalement sur sa décision, avec en tête deux principes : rester fidèle à l'univers des romans, et ne pas trahir leur esprit. Il sera, dans ce sens, soutenu tout au long de la production par Philip Pullman, premier conseiller de l'équipe. Pour l'anecdote, Chris Weitz a écrit la plus grande partie du scénario à Svalbard en Norvège, à 1 500 km au nord d'Oslo, lieu clé de La Boussole d'or.
La note d'intention du réalisateur Chris Weitz
"Des amis m'ont parlé d'une série de livres d'un auteur britannique qu'ils trouvaient absolument fantastiques. J'ai été à mon tour stupéfait par l'imagination, l'audace et l'intelligence de ces romans. En termes d'ambition et de profondeur philosophique, ils laissaient loin derrière tout ce que j'avais pu lire jusque-là. (...) Ce livre comportait tout ce qui ferait un grand film : une histoire passionnante et bouleversante, des personnages fascinants et riches, une réelle profondeur psychologique, une portée philosophique, un remarquable sens du merveilleux. C'est une histoire fantastique sur ce qui compte vraiment, sur l'esprit
humain, la loyauté, la bonté et le libre arbitre. Pour moi, quand on décide de faire un film, on doit s'investir à fond dans chacun de ses aspects, et tout me passionnait dans ce projet, sans exception. (...) La magie de cette histoire repose au moins autant sur les relations des personnages que sur son caractère spectaculaire. C'est un monde parallèle remarquablement bien conçu, mais qui témoigne avec authenticité de notre monde à nous, de notre vie d'enfants, de parents et d'individus dans la société. Et même si l'héroïne est une enfant, il n'y a rien d'enfantin ni de simpliste dans cette histoire. Elle devait être traitée avec le ressenti de ce qui fait l'humain, les émotions et les sentiments des personnages. Le cosmique et le personnel devaient être liés, exactement comme l'a fait Pullman."
Par les producteurs de l'Anneau
A la croisée des mondes : la boussole d'or est produit sous l'égide des studios New Line Cinema, à qui l'on doit la trilogie du Seigneur des anneaux. On retrouve ainsi à la production exécutive Mark Ordesky, Michael Lynne et Robert Shaye (tous deux co-dirigeants de New Line), déjà présents au générique de la trilogie de Peter Jackson. Seul différence majeure : s'ils avaient pris le risque de se lancer dans l'aventure de l'Anneau en finançant une trilogie tournée simultanément, ils n'ont produit que le premier volet de A la croisée des mondes, les deux autres opus n'étant mis en chantier qu'en cas de succès. La faute, sans doute, à un très lourd budget, deux fois plus élévé que celui de La Communauté de l'anneau (180 M$ contre 93 M$).
Gandalf et Saroumane ne sont pas loin...
Respectivement magicien gris (puis blanc) et magicien blanc dans Le Seigneur des anneaux, Ian McKellen et Christopher Lee sont tous deux de l'aventure A la croisée des mondes : le premier dans le rôle (vocal) de l'ours en armure Iorek Byrnison (en remplacement de Nonso Anozie, initialement choisi par le réalisateur Chris Weitz), le second dans celui d'un membre du Magisterium.
Christopher Lee, l'homme des sagas
En participant à la saga A la croisée des mondes, Christopher Lee inscrit son nom à une nouvelle franchise majeure après sa participation à James Bond, Le Seigneur des anneaux et Star Wars.
Trouver Lyra...
Central à la trilogie, le personnage de Lyra Belacqua, devait être confié à la bonne personne, capable de restituer à l'écran l'esprit et le caractère bien trempé de l'héroïne de Philip Pullman. Mais également à une comédienne inconnue du grand public. Chris Weitz ont donc lancé une grande vague de castings en avril 2006 à Cambridge, Oxford, Exeter et Kendal, auxquels ont participé plus de 10 000 jeunes comédiennes. Au final, c'est la jeune Dakota Blue Richards, née en 1994 et sans expérience d'actrice hormis quelques pièces pour son école, qui retiendra l'attention du réalisateur. Ce dernier se souvient : "Dakota Blue avait quelque chose de spécial, un truc qui vous captive immédiatement. J'ai regardé les cassettes des auditions, et j'ai tout de suite remarqué cette espèce de petite sauvageonne mal peignée, qui dégageait quelque chose de très fort et de très intéressant". Pour Deborah Forte, responsable du casting, "c'est une jeune personne extraordinaire. Elle a juste 12 ans, et n'avait jamais joué professionnellement, mais quand elle est arrivée devant la caméra, elle possédait cette intelligence, cette qualité brute, quelque chose de naturel et de sauvage qui était parfait pour Lyra. Même Philip Pullman, quand nous lui avons envoyé
les cassettes, l'a identifiée tout de suite comme étant sa Lyra." Attachée aux deux potentiels autres volets de la trilogie, Dakota Blue Richards tourne parallèlement The Secret of Moonacre, un autre film de fantasy. Du tournage de A la croisée des mondes : la boussole d'or, elle a gardé deux accessoires : son précieux aléthiomètre, et un faux crâne baptisé "P".
... et convaincre Nicole.
La belle (et terrifiante) Marisa Coulter est campée par Nicole Kidman, seule et unique actrice imaginée par Philip Pullman pour le rôle (selon la productrice Deborah Forte, l'actrice est courtisée par le romancier depuis 1996). Très intéressée par le projet d'adaptation, enthousiasmée par les romans, la comédienne déclina toutefois la proposition de l'auteur et de Chris Weitz, préférant se consacrer à des rôles plus chaleureux après plusieurs films aux personnages complexes. Il faudra toute la persuasion de Pullman pour la convaincre de se glisser dans la robe dorée de cet inquiétant personnage, aussi charmeur que glacial. "J'ai déjà joué des personnages qui font des choses détestables, mais on juge rarement le personnage que l'on joue. Il faut travailler depuis l'intérieur et essayer de trouver les motivations qui font qu'il agit comme il le fait, qu'il pense ce qu'il pense. Il faut découvrir sa vérité à lui, et espérer que son humanité filtre malgré tout." A noter que Nicole Kidman avait un temps été envisagée en sorcière blanche dans Le Monde de Narnia : chapitre 1, incarnée au final par Tilda Swinton.
De James Bond à Lord Asriel
Les personnages de Lord Asriel et de l'aéronaute Lee Scoresby ont respetivement été confiés à Daniel Craig et Sam Elliott. Philip Pullman avait déclaré pour sa part imaginer Jason Isaacs et Samuel L. Jackson dans les rôles. Avant Daniel Craig, grand fan des romans, Lord Asriel avait auparavant été incarné par Terence Stamp (dans une adaptation-radio en 2003) puis par un autre James Bond, Timothy Dalton (sur scène en 2004). Prenant part avec A la croisée des mondes à une franchise d'envergure pour la deuxième fois de sa carrière, l'interprète de 007 retrouve pour l'occasion Eva Green, sa partenaire de Casino Royale, mais également Nicole Kidman avec qui il partage l'affiche de Invasion. Le comédien donne son avis sur le film : "Le film achevé est exactement comme je l'avais imaginé. C'est un témoignage de la passion de Chris, du travail de toute son équipe, et du talent d'écrivain de Philip Pullman, un talent si universel que l'univers qu'il a créé peut à présent prendre vie en images dans toute sa richesse et sa complexité."
Les daemons
Dans l'univers de A la croisée des mondes, chaque être humain est accompagné d'un "animal fétiche", incarnation de son âme : les daemons (prononcez démons). Si ceux des adultes adoptent une forme définitive, ceux des enfants ne cessent d'évoluer et de se métamorphoser en fonction de l'état d'esprit de leur propriétaire, à l'image de Pantalaimon, le daemon de Lyra. Conséquence : au-delà du défi de créer d'innombrables créatures numériques, les équipes des effets visuels ont également dû s'attacher à insuffler aux daemons l'âme de chaque personnage et parfois plus encore, certains daemons, comme le singe doré de Marisa Coulter / Nicole Kidman, illustrant le côté obscur et l'inconscient de leur propriétaire. Quant aux comédiens, ils ont chacun passé une bonne partie du tournage à interragir avec... rien, les daemons étant ajoutés au film en post-production. Nicole Kidman se souvient : "Beaucoup d'acteurs pensent que l'apprentissage du mime n'est pas essentiel, qu'ils ne s'en serviront jamais. Mais aujourd'hui, avec tous ces effets visuels et ces tournages devant des écrans verts, le mime devient presque la discipline la plus importante à acquérir. Faire semblant d'échanger avec un singe doré qui n'est, au moment du tournage, qu'un jouet rembourré, c'est un vrai challenge." Le réalisateur Chris Weitz ajoute : "Le plus difficile a été les scènes de foule, avec d'innombrables humains et dæmons. Ces scènes auraient été impossibles à faire avec de vrais animaux parce que les dæmons ne se conduisent pas comme des animaux, ils sont une partie vivante de l'humain qu'ils accompagnent."
Pantalaimon et les Minimoys
Habitué des univers magiques et fantastiques (Neverland, Cinq enfants et moi, Charlie et la chocolaterie, Arthur et les Minimoys, Les Chroniques de Spiderwick), le jeune Freddie Highmore prête sa voix à Pantalaimon dans la version originale de A la croisée des mondes : la boussole d'or. Il remplace Adam Godley -qu'il côtoyait dans Charlie et la chocolaterie- initialement pressenti pour camper vocalement le daemon de Lyra.
Une fillette et un ours
Parvenir à retranscrire à l'écran la relation entre Lyra et l'ours en armure Iorek Byrnison était l'un des défis majeurs de cette adaptation. Le producteur Toby Emmerich explique : "Lorsque j'ai lu le livre, j'ai été séduit par les liens qui se développent entre Lyra et Iorek. Chris Weitz a magnifiquement transcrit cela dans son film, il a réussi à saisir l'interprétation remarquable de Dakota Blue Richards et l'éblouissante prestation voix de Ian McKellen, et à les unir à la perfection avec d'extraordinaires images de synthèse qui paraissent vivantes. Cette relation hors du commun entre une petite fille et un ours ne pouvait exister que dans le monde de Lyra, mais elle nous apparaît comme profondément humaine et chargée d'émotion." DDakota Blue Richards ajoute : "Iorek est la seule personne que Lyra pense meilleure qu'elle. Il est le seul qu'elle accepte réellement de reconnaître comme plus grand, plus fort et plus courageux qu'elle. Elle admire d'autres personnes, elle comprend qu'elles sont importantes, mais Iorek est la seule exception à sa conviction qu'elle est la meilleure."
Pour le superviseur des effets visuels Michael L. Fink, "Iorek n'est pas un ours polaire, c'est un panserbjorne, un ours qui parle et porte une armure. Quand nous animons chaque partie de cet ours, qu'il coure à travers un fjord avec Lyra sur le dos, qu'il soit en train de combattre ou simplement de discuter, ses muscles, ses expressions, même le mouvement de sa fourrure, tout doit être d'une précision sans faille, unique, appartenant à ce seul personnage à ce moment précis. (...) Les personnages en images de synthèse devaient jouer aussi bien que les acteurs humains. Il fallait qu'on puisse oublier le côté technique, la fourrure, l'armure, les éraflures, la saleté sous les griffes, pour ne plus faire attention qu'à l'émotion de leur interprétation. On devait oublier la technique pour ne plus voir que l'être vivant."
Le cercle, figure centrale
Le chef-décorateur Dennis Gassner a développé tous les designs du film, et notamment le Oxford du monde de Lyra, autour du cercle, forme géométrique rappelant la boussole d'or du titre ou aléthiomètre. Il a également veillé à "détourner" la réalité pour créer un monde parallèle crédible : "Tout ce projet reposait sur la translation, sur le glissement de quelque chose que l'on connaît vers quelque chose qui a une apparence différente, tout en semblant parfaitement authentique. Il fallait créer un monde autre, qui paraisse familier dans sa globalité mais possède sa propre identité. J'ai utilisé une démarche simple : prendre un élément et le combiner avec un autre afin d'obtenir quelque chose de nouveau, une sorte d'hybride, d'amalgame. C'est ce qui caractérise ce film du point de vue de la conception visuelle. Amalgamer des idées et des concepts, des environnements physiques et théoriques."
Les costumes
La chef-costumière Ruth Myers revient sur ses inspirations : "Nous avons voulu apporter aux gitans une certaine ethnicité, ils devaient donner l'impression de venir de toutes sortes d'endroits différents. Pour Mme Coulter, nous avons choisi l'époque la plus glamour possible, et avons pris pour référence des stars de cinéma des années 30 et 40, puis nous avons fait évoluer ses costumes. Les robes de Serafina Pekkala sont assez destructurées, et la tenue de l'émissaire du Magisterium devait projeter une image d'autorité. Même la transformation de Lyra, qui est d'abord une jeune fille peu soignée puis devient une jeune beauté maquillée et apprêtée grâce à Mme Coulter, avant d'évoluer à nouveau tandis qu'elle voyage vers le Nord, reflète précisément sa conscience grandissante d'elle-même."
L'aléthiomètre
Pour les besoins du film, l'équipe de décorateurs et d'accessoiristes a créé plusieurs versions de l'énigmatique aléthiomètre. Pour parvenir à capter le bon design, le romancier Philip Pullman a emmené le chef-décorateur Dennis Gassner au Musée des Pièces Mécaniques pour lui dévoiler les objets qui lui ont inspiré la fameuse boussole d'or du titre. "En un sens, l'aléthiomètre est la fusion de tous ces objets. Beaucoup de gens de mon équipe ont travaillé sur la science des symboles, ce qu'ils évoquent, et sur la manière dont Lyra les lit et les combine. C'est devenu une petite pièce du puzzle. Notre démarche sur ce film a été de trouver la pièce juste dans chaque cas. (...) Il s'agit d'un appareil magnétique lié au temps, un objet qui véhicule beaucoup d'émotions. L'histoire du temps a été unique en termes d'évolution, nous voulions donc créer un objet magique qui appartienne à la famille des appareils mesurant le temps."
Une légende au montage
La chef-monteuse du film n'est autre que Anne V. Coates, 87 ans, récompensée par un Oscar en 1963 pour son travail Lawrence d'Arabie. Le réalisateur Chris Weitz revient sur cette collaboration d'exception : "Lawrence d'Arabie est à mon sens le plus grand film jamais fait, et j'ai toujours eu envie de travailler avec Anne Coates. Il se trouve qu'elle aimait les livres. C'est fantastique pour moi : j'ai pu travailler avec l'une des plus grandes monteuses de tous les temps. Anne a apporté une grande richesse à la narration. Elle est très rapide, très consciente des effets visuels."
Un Français à la baguette
La musique de A la croisée des mondes : la boussole d'or est signée Alexandre Desplat. Lauréat du César de la Meilleure musique de film et de l'Ours d'Argent en 2006 pour De battre, mon coeur s'est arrêté, le compositeur français était déjà à l'oeuvre, hors de nos frontières, sur les scores de La Jeune fille à la perle, Birth, Otage, Casanova, The Alibi, Firewall, The Queen, Le Voile des illusions (Golden Globe en 2007), Lust, Caution, Le Merveilleux magasin de Mr Magorium et surtout Syriana, qui lui offre une nomination à l'Oscar en 2007.
Une chanson signée Kate Bush
Comme ils l'avaient fait sur la trilogie du Seigneur des anneaux (avec Enya sur le premier opus, Emiliana Torrini sur le deuxième et Annie Lennox sur le troisième), les producteurs de la New Line ont décidé de confier la chanson-phare de A la croisée des mondes : la boussole d'or à une autre voix majeure, Kate Bush. La chanteuse, qui a elle-même écrit et produit le morceau Lyra, sera accompagnée des choeurs du Magdalen College d'Oxford.
Preview à Cannes
Comme elle le fit en 2001 avec Le Seigneur des anneaux : la communauté de l'anneau, la New Line a dévoilé une dizaine de minutes de A la croisée des mondes : la boussole d'or en mai 2007, dans le cadre du Festival de Cannes.
Le début du deuxième film déjà en boîte ?
S'il s'est engagé à rester fidèle à l'univers et à l'esprit de l'oeuvre de Philip Pullman, le réalisateur Chris Weitz a pourtant fait une petite entorse aux romans : à l'instar des modifications effectuées par Peter Jackson sur Le Seigneur des anneaux : les deux tours et Le Seigneur des anneaux : le retour du roi (en déplaçant certaines scènes-clés d'un épisode à l'autre), le réalisateur de A la croisée des mondes : la boussole d'or a décidé d'intégrer les trois derniers chapitres du premier roman au début du second film, A la croisée des mondes : la tour des anges. Des séquences déjà tournées, qui laisseraient donc entendre qu'un deuxième long métrage est d'ores et déjà dans les tuyaux...
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Les Lumières du Nord (Aurora Borealis) : Les orages de particules chargées et les rayons solaires d'une très grande intensité provoquent une radiation lumineuse lorsqu'ils entrent en contact avec l'atmosphère. Ce phénomène se produit dans les territoires du Nord. Lord Asriel pense que ces Lumières masquent une magnifique cité dans le ciel.
Le Nord : Les régions du Nord sont d'une grande beauté et d'une grande diversité, mais présentent de multiples dangers. C'est là que vivent les ours en armure, les Tartares, les sorcières, et d'innombrables créatures. Lord Asriel a photographié la Poussière et une sorte d'autre monde dans l'Aurore, lorsqu'il se trouvait dans un avant-poste au Nord.
Panserbjornes : Les panserbjornes sont des ours en armure qui vivent dans la région de Svalbard, au Nord. N'étant pas humains, ils ne possèdent pas de dæmons, mais comparent les armures qu'ils se forgent eux-mêmes à leur âme.
Photogramme : C'est une sorte d'image photographique, de diapositive.
Samoyèdes : Peuple de chasseurs du Nord qui kidnappent Lyra et l'emmènent à Bolvangar.
Mouches-espions : Petits insectes mécaniques. Certains prétendent qu'une âme est prisonnière à l'intérieur du mécanisme...
Svalbard : Une région du Nord inhospitalière et glacée habitée par les ours en armure.
Tartares : Peuple guerrier vivant dans le Nord.
Sorcières : Ce sont des êtres féminins qui voyagent à travers les airs et vivent plusieurs siècles.
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The Pursuit of Happyness|Gabriele Muccino|Comédie dramatique||3|américain|2007|117|Anglais||XviD|||XVID|703 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|705||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Todd Black Jason Blumenthal James Lassiter Will Smith Steve Tisch Teddy Zee|Steve Conrad|Phedon Papamichael||Columbia Pictures||Représentant de commerce, Chris Gardner a du mal à gagner sa vie. Il jongle pour s'en sortir, mais sa compagne supporte de moins en moins leur précarité. Elle finit par quitter Chris et leur petit garçon de cinq ans, Christopher.Désormais seul responsable de son fils, Chris se démène pour décrocher un job, sans succès. Lorsqu'il obtient finalement un stage dans une prestigieuse firme de courtage, il se donne à fond, même si pour le moment il n'est pas payé. Incapable de régler son loyer, il se retrouve à la rue avec Christopher. Le père et le fils dorment dans des foyers ou des gares, cherchant des refuges de fortune au jour le jour.Perdu dans la pire épreuve de sa vie, Chris continue à veiller sur Christopher, puisant dans l'affection et la confiance de son fils la force de surmonter les obstacles... |Will Smith (Chris Gardner)@Thandie Newton (Linda)@Jaden Smith (Christopher)@Dan Castellaneta (Alan Frakesh)@Brian Howe (Jay Twistle)@Adam Del Rio (Stephen Bonner)@James Karen (Martin Frohm)@David Fine (Rodney)@Kurt Fuller (Walter Ribbon)@Chandler Bolt (Punk)@Cecil Williams (le révérend Williams)@Geoff Callan (le type à la Ferrari)@Doug Campbell (un employé)@Takayo Fischer (Mme Chu)@Zuhair Haddad (le chauffeur de taxi)@Scott Klace (Tim Brophy)@Branden Weslee Kong (un interne)@Amir Talai (Clerk)@Kevin West (le meilleur papa du monde)@Chris Gardner (II) (lui-même)@George Cheung (ouvrier chinois)@Domenic Bove (Tim Ribbons)@Peter Fitzsimmons (un médecin)@Victor Raider-Wexler (le propriétaire)@George Maguire (un policier)@Rueben Grundy (un homme d'affaire)@Darryl Fong (un policier)@David Fine (Rodney)@Erin Cahill@Alissa Anderegg@||Secrets de tournage :
Une histoire vraie
A la poursuite du bonheur s'inspire d'une histoire vraie, celle de Chris Gardner (Pursuit of happyness est aussi le titre de l'autobiographie que celui-ci a publiée en 2006). Né en 1954 dans le Wisconsin, issu d'un milieu modeste, Geidner s'oriente vers une carrière de médecin avant de se lancer dans le monde de la finance. Mais il se retrouve bientôt à la rue, seul avec son fils de 5 ans. A force de volonté, il parviendra à remonter la pente, jusqu'à faire fortune en montant une maison de courtage. Le producteur Mark Clayman dit avoir été ému aux larmes en entendant à la télévision Chris Gardner faire le récit de sa descente aux enfers. "Il faut absolument que j'obtienne les droits !" a-t-il lancé à sa femme à la fin du programme. Il précise aujourd'hui : "Pour moi, ce n'était pas l'histoire d'un pauvre qui devient riche mais l'émouvante histoire d'une relation père-fils", déclare-t-il. Une fois l'accord de Geidner obtenu, le producteur James Lassiter, associé de Will Smith au sein de la société Overbrook Entertainment, a rapidement envoyé la cassette au comédien, alors en plein tournage d'I, Robot à Vancouver. La réponse positive est arrivée moins de 24 heures plus tard. Selon l'acteur, "cette histoire est l'incarnation du rêve américain".
Smith & son
Le fils de Will Smith est interprété par le propre rejeton de la star, Jaden Smith, la mère étant la comédienne Jada Pinkett. L'enfant fait ses débuts au cinéma, mais il avait déjà donné la réplique à son père dans la série All of us.
Muccino, bons baisers d'Hollywood
Auteur de Juste un baiser et Souviens-toi de moi, l'Italien Gabriele Muccino est décidément très courtisé par Hollywood. Avant de réaliser A la recherche du bonheur, son premier film américain, il avait été contacté dès 2002 par Miramax pour réaliser un remake de Nous nous sommes tant aimés d'Ettore Scola (un projet qui ne s'est pas encore concrétisé). Un remake qui a en revanche bel et bien vu le jour, c'est celui de Juste un baiser, devenu Last kiss, réalisé par Tony Goldwyn, interprété par Zach Braff et sorti en 2006. Cette année-là, Alain Chabat avait choisi Muccino pour mettre en scène le remake américain d'Un petit jeu sans conséquence de Bernard Rapp, mais, à la suite de désaccords artistiques entre le producteur et le cinéaste, l'Italien s'est retiré du projet.
Le bonheur, sans faute ?
La faute d'orthographe intentionnelle du titre ("happyness" et non "happiness") trouve son explication dans une scène du film.
Un tournage, une ville
A la recherche du bonheur a été tourné en soixante jours, majoritairement à San Francisco. Le producteur exécutif Louis D'Esposito commente : " San Francisco est une petite ville, très belle, mais où il est difficile de se déplacer. Nous avions environ 242 scènes à tourner et nous avons essayé de les grouper pour qu'il y ait le moins de déplacements possible pour l'équipe. "
Le San Francisco des années 80
Pour les décors, il a fallu recréer la ville de San Francisco au début des années 80. Le chef décorateur J. Michael Riva, commente : "Dans les années 80, tout le monde fumait, la publicité et les affiches étaient naïves, innocentes, les cols de chemise étaient boutonnés, il y avait des voitures en mauvais état, et on jouait Raging Bull au cinéma du coin... Notre travail consistait à injecter dans les images toute ces petites choses qu'on ne remarque pas forcément, plutôt que de choisir une optique très marquée."
Motivations
L'acteur Will Smith explique pourquoi il a eu envie de participer à ce projet : "Ce pays est fondé sur l'espoir que toute personne ayant suffisamment de volonté et de détermination peut réussir sa vie. Nous avons tous envie de croire qu'il est possible, en partant du bas, d'atteindre le sommet. Chaque fois que vous voyez quelqu'un faire preuve de cette grandeur et de cette détermination, vous vous posez naturellement la question : "Est-ce que j'en serais capable ?". On se dit : "Est-ce que j'aurais été suffisamment homme, père et mari pour faire face comme il l'a fait ?". Je me suis posé toutes ces questions, et cela m'a donné envie de faire découvrir son histoire."
Liberté nécessaire
Lorsque Chris Gardner a donné son accord à Escape Artists, il a appréhendé les changements et les libertés prises sur les événements réels pour les adapter au film. Il a travaillé régulièrement avec le scénariste Steve Conrad pour répondre à toutes ses questions et donner son opinion sur le script. Chris Gardner : "Steve était lui aussi de Chicago, ce qui me rassurait. Je lui ai raconté mon histoire, et ensuite il a décidé quels éléments il allait utiliser pour le film. Steve a tout de suite été très clair sur le fait qu'il était un scénariste et non un biographe. Je me suis dit dès le début que j'avais accepté que ce film soit fait, et qu'il fallait que j'accorde à Steve la liberté artistique dont il avait besoin."
Changements majeurs
La véritable histoire de Chris Gardner a subi deux changements majeurs dans le film. Dans la réalité, le fils de Chris était encore un bébé, alors que dans le film, il a cinq ans. De plus, l'indemnité qu'il a reçu lors de son stage a été supprimée dans le film.
Du reportage au grand écran
La première version du scénario a été très appréciée, et a laissé une très forte impression au producteur James Lassiter : "Lorsque j'avais regardé le reportage, je m'étais dit que c'était une fantastique leçon de vie, mais je ne voyais pas comment en faire un film. Quand j'ai lu le scénario, j'ai été impressionné et bouleversé. Steve Conrad avait saisi l'essence même de ce que devait être le film... Dès lors, Will et moi étions partants. "
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Une collaboration réussie
Gabriele Muccino a été ravi de sa collaboration avec Will Smith. Il témoigne : "L'approche de Will est complètement honnête. Il y a chez lui une pulsion, un besoin de faire quelque chose de différent, de dramatique et d'authentique. L'emmener dans ce voyage a été un immense plaisir. Nous avons eu une relation fantastique, j'ai beaucoup appris de lui, et je crois ? j'espère ? que cela a été réciproque."
Un casting enfantin
Avant de choisir le fils de Will Smith pour le rôle de Christopher, les producteurs ont auditionné plus d'une centaine d'enfants. Jason Blumenthal raconte : "Après cela, nous avons rencontré Jaden Smith, et c'était le jour et la nuit. Jaden était l'enfant qu'il nous fallait. Il avait la sincérité, la franchise, le naturel. Nous avions trouvé l'enfant idéal pour le rôle !"
L'avis d'un père
Will Smith explique comment le tournage s'est passé avec son fils : "Au début, je redoutais, étant son père, d'avoir des difficultés à me concentrer sur mon interprétation. Mais la réalité s'est révélée tout autre. Quand je regardais Jaden et que je voyais dans ses yeux la douleur et la colère du petit Christopher, cela ajoutait à la réalité de la scène et j'avais vraiment le sentiment d'échouer en tant que père. Cela provoquait chez moi une émotion très puissante, qui me submergeait littéralement."
Une complicité père-fils
La complicité réelle qui unit Will Smith à son fils a été transposée à l'écran. Le réalisateur explique comment il a réussi à la capter: "Le meilleur exemple est celui des blagues "toc toc" dans le film. Elles n'étaient pas dans le scénario original, mais un jour, j'ai entendu Jaden dire à son père une de ces devinettes pendant les répétitions. J'ai pensé que ce serait une bonne idée d'introduire cette légèreté dans le film et que cela fonctionnerait aussi comme un reflet de l'état moral de l'enfant. Bien que son père et lui connaissent l'enfer, le gamin sourit toujours et il continue à dire ces blagues "toc toc", ce qui montre finalement que son père parvient à lui épargner le pire."
Une approche particulière
L'actrice Thandie Newton, qui interpète le rôle de Linda, la mère de Christopher, explique l'approche qu'elle a utilisé pour ce personnage : "Je suis très consciente, de par mon travail passé et aussi de par ce que j'ai connu dans ma vie, que la santé mentale et la dépression peuvent conduire une personne à se sentir incapable de continuer. Je ne crois pas que beaucoup de gens auraient pu endurer cette situation familiale. Moi-même, je n'en aurais pas été capable. C'est très important que l'on comprenne la douleur qu'éprouve Linda, la souffrance qui est la sienne quand elle quitte sa famille."
Acteur et révérend
L'acteur qui incarne le révérend Cecil Williams n'est autre que... lui-même ! Dans la première version du scénario, le révérend Williams n'y figurait pas, mais Chris Gardner a réussi à l'imposer en appelant directement le producteur Todd Black. Par la suite, les producteurs ont fait appel au révérend pour qu'il passe une audition pour son rôle. Ce dernier confie : "J'ai dû auditionner pour le rôle, puis j'ai été engagé par les producteurs pour jouer mon propre rôle dans le film. J'ai toujours eu envie de faire du cinéma ! Il y a un certain temps, j'ai eu un tout petit rôle dans un film, mais travailler sur celui-ci a été une expérience très différente. C'est mon premier rôle majeur dans un film, et je me joue moi !"
Première rencontre
Le révérend Williams se remémore sa première rencontre avec Chris Gardner : "Je l'ai repéré alors qu'il faisait la queue, dans les années 80. Il tranchait sur les autres parce qu'il était le seul homme à avoir toujours un bébé dans les bras, même quand il faisait la queue. Je savais qu'il avait quelque chose à offrir. Il était toujours élégant, toujours volontaire. Je savais qu'il allait dans des endroits, qu'il essayait de trouver du travail, mais j'ignorais qu'il avait autant d'assurance et de bonnes intentions. Lorsque Chris est finalement parti pour Chicago et a commencé à remonter la pente, surtout côté finances, il m'a appelé. Il m'a dit : "Je veux faire un don. Vous êtes mon église, mon foyer. Vous m'avez aidé, et maintenant je veux vous aider à mon tour." Chris est l'une de ces personnes qui reçoivent puis qui donnent en retour. "
Message d'espoir
Pour Thandie Newton, le message du film est le suivant : "J'espère que les gens qui verront ce film s'en inspireront, qu'il les poussera à avoir foi en eux. Quand on regarde cet homme, son histoire, et que l'on se dit que c'est vraiment arrivé, on n'en apprécie que plus les richesses que la vie nous offre et cela nous aide à trouver la force et le courage de surmonter les difficultés.". Will Smith ajoute : "Il y a vingt-cinq ans, Chris était un sans-abri. Ce genre d'ascension sociale est un rêve pour beaucoup de gens. Savoir que cela est réellement arrivé trouve un écho en chacun de nous."
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The 6th Day|Roger Spottiswoode|Science fiction||2|américain|2000|112|Anglais||DIV3|||DIV3|713 Kbps|720x576|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|44.1 KHz|2|670||||25.022|28/07/2009 00:00:00|Jon Davison Mike Medavoy Arnold Schwarzenegger|Cormac Wibberley Marianne Wibberley|Pierre Mignot||Columbia TriStar Films||A l'heure où la génétique a fait d'énormes progrès, éradiquant les maladies et mettant fin aux famines, le pilote d'hélicoptère Adam Gibson est quelque peu perplexe quant à l'évolution du monde. Il l'est encore plus quand il découvre chez lui son clone en train de fêter son anniversaire avec sa famille. Adam est aussitôt pris en chasse par des tueurs a la solde de Michael Drucker, l'un des industriels de la biologie les plus riches de la planète. Pour protéger son empire, celui-ci doit éliminer Adam avant qu'il ne puisse révéler sa machination. |Arnold Schwarzenegger (Adam Gibson)@Wendy Crewson (Natalie)@Taylor-Anne Reid (Clara)@Michael Rapaport (Hank)@Tony Goldwyn (Michael Drucker)@Robert Duvall (Graham Weir)@Michael Rooker (Marshall)@Sarah Wynter (Talia)@Andrew McIlroy (Scott Moore)@Alexandra Castillo (Reporter)@||Secrets de tournage :
Tony Goldwyn (Michael Drucker)
Tony Goldwyn a notamment joué sous la direction d'Alan J. Pakula (L'affaire Pélican en 1993) et d'Oliver Stone (Nixon en 1995). Les spectateurs ont également pu le voir dans Le collectionneur (Gary Fleder, 1997).
Il a fait ses débuts de réalisateur avec Le choix d'une vie (2000).
La femme-hologramme
Pour créer la créature virtuelle qui apparaît dans A l'aube du 6ème jour, l'équipe du film a eu recours au «motion control». L'opération s'effectue en trois temps. Le décor est tout d'abord filmé seul par une caméra aux mouvements programmés. Les mêmes mouvements d'appareil sont ensuite répétés en présence de la comédienne Jennifer Gareis. Les plans obtenus sont retravaillés numériquement (composités) pour obtenir cette impression de transparence.
Michael Rapaport (Hank Morgan)
Les spectateurs français ont pu apercevoir sa silhouette longiligne dans True romance (Tony Scott, 1993), Nom de code : Nina (John Badham, id.), Poetic Justice (John Singleton, id.), Basketball diaries (Scott Kalvert, 1995), Cop Land (James Mangold, 1997) et Naked man (J. Todd Anderson, 1998).
Michael Rapaport a également joué sous la direction de Barbet Scroeder (Kiss of death, 1995) et de Renny Harlin (Peur bleue, 1999).
Il apparaît au générique de deux films de Woody Allen, Maudite Aphrodite (1995) et Escrocs mais pas trop (2000).
Michael Rooker (Robert Marshall)
Son impressionnante composition dans Henry : Portrait of a Serial Killer de John McNaughton (1990) a mis en évidence ses qualités de comédien.
Il apparaît au générique Missippi Burning d'Alan Parker (1988), Mélodie Pour Un Meurtre d'Harold Becker (1989), Music Box de Costa-Gavras (1990), JFK d'Oliver Stone (1991), ou de Bone Collector (Phillip Noyce, 1999).
Schwarzy présente pour la première fois
Avec A l'aube du 6ème jour, Arnold Schwarzenegger assume à la fois le rôle principal et la charge de producteur, ce qui constitue une nouvelle expérience pour lui. L'acteur avait auparavant été producteur exécutif pour Last action hero (John McTiernan, 1993).
Schwarzenegger et les enjeux de la technologie
« Le souci majeur avec cette technologie est d'abord une question d'éthique. Le problème porte davantage sur la manipulation génétique que sur le clonage lui-même. C'est comparable avec ce qui se passe avec Internet : la plupart des expériences de clonage sont conduites pour créer quelque chose de meilleur pour l'humanité, mais il existe toujours une possibilité de détournement, de mauvaise utilisation, de corruption. »
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Bringing out the Dead|Martin Scorsese|Drame|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|2000|116|||DX50|||DX50|684 Kbps|496x216|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|44.1 KHz|2|668||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Barbara De Fina Scott Rudin|Paul Schrader|Robert Richardson||Gaumont Buena Vista International (GBVI)||Frank sillonne tous les soirs au volant de son ambulance l'un des quartiers les plus chauds de New York. Il opere dans l'urgence, hanté par toutes les vies qu'il n'a pas pu sauver. |Nicolas Cage (Frank Pierce)@Patricia Arquette (Mary Burke)@John Goodman (Larry)@Ving Rhames (Marcus)@Tom Sizemore (Tom Walls)@Marc Anthony (Noel)@Mary Beth Hurt (Constance (infirmière))@Arthur J. Nascarella (Le Capitaine Barney)@Sonja Sohn (Kanita )@Cynthia Roman (Rose)@Martin Scorsese (dispatcher (voix))@Queen Latifah (dispatcher (voix))@Cliff Curtis (Cy Coates)@Aida Turturro@Larry Fessenden@||Secrets de tournage :
Tom Sizemore (Tom Walls) :
Les spectateurs français ont pu apprécier Tom Sizemore chez Kateryn Bigelow (Blue Steel en 1990, Point Break en 1991 et Strange Days en 1995), ou chez Tony Scott (True Romance en 1993 et Ennemi d'Etat en 1998).
Il a également participé à Wyatt Earp (Lawrence Kasdan, 1994), Tueurs Nés (Oliver Stone, 1994), Heat (Michael Mann, 1995), Relic (Peter Hyams, 1997) et Il Faut Sauver le Soldat Ryan (Steven Spielberg, 1998).
Ving Rhames (Marcus) :
Outre ses prestations dans Pulp Fiction (1994) et Mission Impossible (Brian de Palma, 1996), Ving Rhames a assuré quelques compositions dans Président d'un Jour (Ivan Reitman, 1993), Kiss of Death (Barbet Schroeder, 1995) et Striptease (Andrew Bergman, 1996).
Ving Rhames est également apparu au générique de Les Ailes de l'Enfer (Simon West, 1997), Hors d'Atteinte (Steven Soderbergh, 1998) et Haute-Voltige (Jon Amiel, 1999).
John Goodman (Larry) :
Acteur fétiche de Joel et Ethan Coen (Arizona Junior en 1987, Barton Fink en 1991, Le Grand Saut en 1994, et The Big Lebowski en 1998), John Goodman est apparu dans The Big Easy (Jim McBride, 1987), Sea of Love (Harold Becker, 1989) et Always (Steven Spielberg, 1989).
Il a notamment participé à Arachnophobia (Frank Marshall, 1990), Flinstones - La Famille Pierrafeu Brian Levant, 1994), Le Témoin du Mal (Gregory Hoblit, 1998) et Blues Brothers 2000 (John Landis, id.).
Barbara De Fina, productrice :
Productrice de Scorsese depuis 1986 (La Couleur de l'Argent), Barbara De Fina a également produit Mad Dod & Glory (John McNaughton, 1993) et The Hi-Lo Country (Stephen Frears, 1998).
Barbara De Fina a été producteur exécutif sur Les Arnaqueurs (coproduit par Scorsese).
Thelma Schoonmaker, monteuse :
A quelques exceptions près (Mean Streets en 1973 et Alice ne vit plus ici en 1975, New York, New York en 1977 et The Last Waltz en 1978), Thelma Schoonmaker a assuré le montage de tous les longs métrages de Martin Scorsese.
Un tournage à contre-temps
Le tournage s'est étalé sur deux mois (du 18 septembre 1998 au 8 janvier 1999), durant lesquels acteurs et techniciens ont dû travailler la nuit et dormir le jour, calquant ainsi leur rythme de vie sur celui des protagonistes du film.
Martin Scorsese compare Taxi Driver et A Tombeau Ouvert :
« Il y a incontestablement une corrélation avec Taxi Driver, mais notre héros ne cherche plus à tuer les gens. Il fait au contraire tout son possible pour les sauver. Le monde a changé, nous aussi. Nous avions tous la trentaine (Schrader, De Niro et moi) quand nous avons fait Taxi Driver. »
Schrader et Scorcese :
La première collaboration entre Paul Schrader et Martin Scorsese remonte àTaxi Driver (1976). Ils ont depuis travaillé ensemble sur Raging Bull (1980) et La Dernière Tentation du Christ (1988).
Schrader écrit, avec Nicholas Pileggi, le scénario de Dino, le film que Scorsese réalisera en 2001.
Paul Schrader est également metteur en scène. Il a notamment réalisé Blue Collar (1978), Hardcore (1979), American Gigolo (1980), Mishima (1985), Light Sleeper (1991) et Affliction (1997).
Les intentions de Joe Connelly, auteur du roman «Ressusciter les Morts» :
« Je n'ai pas voulu faire le portrait type d'un ambulancier, mais montrer un homme désarmé face à la souffrance des autres ? un homme qui ressent intensément la détresse d'autrui. Les partenaires de Frank (Nicolas Cage) se révèlent aussi vulnérables que lui, tous suintent de douleur, que ce soit Marcus le fataliste (Ving Rhames) ou Tom Walls (Tom Sizemore), avec ses rêves tordus et son sens exacerbé de la justice. »
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Ever After|Andy Tennant|Comédie dramatique||3|américain, français|1999|112|Anglais||XviD|||XVID|748 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|708||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Mireille Soria Tracey Trench|Andy Tennant Susannah Grant Rick Parks|Andrew Dunn||||Adaptation moderne de la célèbre légende qui connaît dans le monde prés de cinq cents versions dont la premiere serait d'origine chinoise et liée à la passion bien connue de ce peuple pour les petits pieds. Dans cette version, Danielle, l'héroïne, n'a rien d'une victime et décide de son propre chef de rester dans la maison paternelle après la disparition de son père, entre sa maratre Rodmilla et ses deux soeurs Marguerite et Jacqueline. Cette Cendrillon est belle, libre et surtout eminemment spirituelle et cultivée. Elle saura séduire le futur héritier du trône de France. |Drew Barrymore (Danielle De Barbarac)@Anjelica Huston (Baronne Rodmilla De Ghent)@Jeanne Moreau (Grande Dame)@Jeroen Krabbe (August De Barbarac)@Dougray Scott (le Prince Henry)@Patrick Godfrey (Leonardo de Vinci)@Melanie Lynskey (Jacqueline De Ghent)@Megan Dodds (Marguerite De Ghent)@Judy Parfitt (la Reine Marie)@Toby Jones (le Page royal)@Timothy West (le Roi Francis)@Jeroen Krabbe (Auguste De Barbarac)@Walter Sparrow (Maurice)@Lee Ingleby (Gustave)@Matyelok Gibbs (Louise)@Joerg Stadler (Wilhelm Grimm)@Andy Henderson (Jacob Grimm)@||Secrets de tournage :
Les débuts d'un réalisateur
Après quelques rôles dans des films, et notamment dans Grease (1978, Randal Kleiser) ou encore 1941 (1980, Steven Spielberg), Andy Tennant passe à la réalisation. En 1995, il met en scène Papa, j'ai une maman pour toi. Deux ans plus tard, il tourne Coup de foudre et consequences. A tout jamais, une histoire de Cendrillon (1998) est son troisième film.
Les contes de Perrault
Plusieurs contes de Charles Perrault sont adaptés au cinéma . Presque 50 ans avant A tout jamais, une histoire de Cendrillon d'Andy Tennant, Walt Disney sort sa version animée de Cendrillon (1950). En 1959, Disney adapte La Belle au bois dormant. En 1970, Jacques Demy réalise Peau d'âne.
Des rôles similaires
Entre deux rôles dramatiques, Anjelica Huston joue Les Sorcières dans le film éponyme de Nicolas Roeg, les marâtres dans A tout jamais, une histoire de Cendrillon d'Andy Tennant, ou encore Morticia dans La Famille Addams et Les Valeurs de la famille Addams de Barry Sonnenfeld.
Jeanne Moreau
Dans A tout jamais, une histoire de Cendrillon, Jeanne Moreau interprète le rôle de la conteuse. Comme le veut la coutume, elle commence son histoire par cette formule : "Il était une fois ..."
Jeroen Krabbe
L'acteur hollandais Jeroen Krabbe, qu'on a pu voir dans Le Fugitif (1993) ou encore Farinelli (1994), incarne le père de Danielle, la jeune Cendrillon d'A tout jamais, une histoire de Cendrillon.
Leonard De Vinci
Dans A tout jamais, une histoire de Cendrillon, la jeune héroïne fait une rencontre providentielle, celle de Léonard De Vinci.
Films de costumes
Un an après A tout jamais, une histoire de Cendrillon, Andy Tennant réalise Anna et le roi, un autre film de costumes.
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The Brave One|Neil Jordan|Thriller|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain, australien|2007|122|Anglais||XviD|||XVID|661 Kbps|656x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Joel Silver Susan Downey|Cynthia Mort Bruce A. Taylor Roderick Taylor|Philippe Rousselot||Warner Bros.||Erica Bain a trouvé dans les rues de New York son domaine d'élection. C'est là qu'au fil de ses longues marches, elle recueille les sons et les histoires vécues qui alimentent son émission radiophonique "Street Walk". Le soir, elle rejoint l'homme de sa vie, son fiancé David Kirmani. Mais, une nuit, le couple est sauvagement agressé aux abords de Central Park ; Erica, grièvement blessée, a en outre la douleur de perdre son compagnon.Erica se remet lentement de ses blessures, mais non de la perte de David. Pire, la ville qu'elle aimait tant lui inspire désormais une profonde angoisse. Ses lieux les plus familiers, les plus accueillants, lui sont devenus aussi étranges qu'inquiétants.Erica décide d'agir contre cette peur qui menace sa raison. Elle s'achète une arme. Elle tue une première fois, en état de légitime défense, puis une deuxième fois alors qu'elle aurait pu se mettre à couvert. La peur qui la paralysait depuis des semaines, s'envole du même coup, cédant la place à une obscure et indéfinissable pulsion. A chaque fois qu'elle tue un nouvel agresseur potentiel, Erica a le sentiment d'occulter un peu plus son drame, de remonter le fil du temps, de ramener David à la vie. La population suit avec une fascination horrifiée les exploits de ce mystérieux "justicier", et le lieutenant du NYPD Sean Mercer finit par soupçonner Erica, avec laquelle il a noué une étroite relation... |Jodie Foster (Erica)@Terrence Howard (Mercer)@Naveen Andrews (David)@Mary Steenburgen (Carol)@Jane Adams (Nicole)@Nicky Katt (Inspecteur Vitale)@Larry Fessenden (Sandy)@Brian Delate (Inspecteur O'Connor)@James Biberi (Inspecteur Pitney)@Rafael Sardina (Reed Bryant)@Blaze Foster (Cash)@Zoe Kravitz (Chloe)@John Magaro (Ethan)@An Nguyen (Ida Combs)@Kenny Shapiro (Pawn Broker)@||Secrets de tournage :
Développer la dimension féminine
Comme l'explique la productrice Susan Downey, le scénario original était l'oeuvre d'un tandem père-fils : Roderick et Bruce Taylor. "Il renfermait tous les ingrédients d'un film de genre, mais la singularité de sa protagoniste le démarquait des schémas traditionnels, explique-t-elle. Au fil de la réécriture, il nous a paru nécessaire de développer cette dimension féminine avec le concours de Cynthia Mort. Il était important de bien expliquer le point de vue d'Erica, le pourquoi, le comment et les conséquences de ses actes."
De reporter à animatrice radio
Le casting de Jodie Foster entraîna quelques changements dans le script original, où elle interprétait une reporter. Susan Downey raconte : "Jodie a suggéré de faire d'Erica une femme de radio. Cela justifiait l'usage de la voix intérieure, qui nous aide à comprendre l'état d'esprit et les sentiments de cette femme. On hésite toujours un peu à utiliser le commentaire au cinéma, mais l'activité professionnelle d'Erica s'y prêtait."
Et l'actrice de confirmer : "Cela me paraissait sensé, et je pense que cela ajoute une dimension au film. Erica est une cérébrale. Sa voix est son unique mode d'expression, elle n'a pas une notion précise de son propre corps, en tout cas plus depuis la mort de son fiancé. Elle devient une voix dans la nuit, presque un fantôme, et c'est à travers cette voix qu'un peu de son âme se livre à nous."
La vision de Neil Jordan
C'est Jodie Foster qui suggéra la première de confier la réalisation de A vif à Neil Jordan. La proposition séduisit immédiatement les producteurs. Quant au principal intéressé, il nous explique sa vision : "J'aime les personnages partagés entre ombre et lumière et qui sont amenés à transcender les normes. Le script de A vif m'a fasciné dès la première lecture et j'y ai trouvé du nouveau à chaque relecture. L'une des idées les plus fascinantes consistait à attribuer à une femme des comportements qui sont l'apanage du mâle. Le personnage devenait doublement passionnant lorsqu'on l'imaginait sous les traits de Jodie. Mais bien d'autres éléments me captivaient : l'idée de cette voix désincarnée qui plane sur New York ; l'idée d'un danger surgissant dans une ville qu'Erica connaît et aime ; l'opposition entre deux réponses possibles à l'injustice : la voie légale et la vengeance personnelle. Laquelle est la bonne, laquelle est la mauvaise ? L'une et l'autre sont-elles suffisantes ? Je me suis dit que si je n'arrivais pas à tirer quelque chose de tout cela, c'est que je commençais me faire vieux ou à être très fatigué ! J'ai donc dit que j'étais partant si l'on m'accordait la liberté de raconter cette histoire à ma façon et de donner vie à des personnages de chair et de sang."
Une expérience enrichissante pour Terrence Howard
De cette expérience, l'acteur Terrence Howard en a tiré de nombreux bénéfices. "De tous mes partenaires, raconte-t-il, Jodie Foster est la première à m'avoir rendu nerveux ! Il émane de sa personne, de son regard une sincérité et une honnêteté sans faille. Nos styles ne pourraient être plus différents. Je mise sur la spontanéité, sur l'inspiration du moment, alors qu'elle, très précise, très analytique, sait tout de son personnage. J'ai énormément appris à son contact. Elle et Neil Jordan m'ont appris à me focaliser davantage sur les détails. Patient et méthodique, Neil a obtenu de moi des choses que je ne me sentais plus capable de donner après x prises, parce que je me croyais à sec. C'est à cela qu'on reconnaît un grand cinéaste."
Jodie Foster dans la peau de son personnage
Avant le tournage, Jodie Foster se rendit dans une station locale de la NPR pour observer le travail des animateurs radio et "écouter ces belles voix mélodieuses, qui instaurent avec l'auditeur un rapport intime mais désincarné". "J'ai lu aussi plusieurs études sur le syndrome de stress post-traumatique tout en étant convaincue qu'Erica relevait d'une autre forme de traitement, confie l'actrice. "J'ai cherché enfin à me mettre dans sa peau en marchant comme elle des heures durant dans Manhattan. Au départ de ces randonnées urbaines, vous avez plaisir à croiser des gens, à discuter avec eux, mais cela évolue au fil de la journée, cela devient une expérience méditative, vous vous repliez sur vous-même et vers la septième heure vous êtes complètement coupé du monde. C'était un point important dans l'approche du personnage."
New York sous un angle inédit
Tandis que ses acteurs s'imprégnaient de leurs rôles, Neil Jordan plongea au coeur de New York : "Je suis étranger dans cette ville, admet le réalisateur irlandais. Une bonne partie de mon travail consista donc à l'explorer, à chercher un peu partout des lieux qui n'avaient pas été filmés et qui convenaient à cette histoire. J'avais envie de capter le côté étonnamment graphique de New York."
La chef décoratrice Kristi Zea se souvient : "Joel Silver nous avait demandé de montrer New York comme on ne l'a jamais vue, de sélectionner des décors inédits. Un rude challenge pour moi qui ai grandi ici et y ai travaillé sur tant de films. Cela m'a forcée de regarder la ville d'un oeil neuf." Avec le réalisateur, elle a donc sillonné toute l'agglomération à la recherche de sites appropriés. C'est ainsi qu'il ont trouvé le décor idéal pour Erica : un immeuble isolé au milieu d'un espace vert planté récemment à la demande des citadins. La scène clé de l'agression a, elle, été filmée à la Stranger's Gate, une structure de pierre jouxtant Central Park.
Traitement visuel
Pour exprimer le vertige d'Erica, le directeur de la photographie Philippe Rousselot a monté sur Steadicam une armature qui fait "tanguer" la caméra et bouger la ligne d'horizon. Dans certaines scènes, les éclairages contribuent à faire basculer le spectateur dans une ambiance quasi onirique. La métamorphose d'Erica se lit également dans son look et son habillement, que Jodie Foster sélectionna avec le chef costumière Catherine Thomas : "Au début, explique l'actrice, Erica arbore des superpositions de couleurs claires, mais au fil de l'histoire, ses vêtements prennent des teintes de plus en plus sombres et une allure toujours plus spartiate qui soulignent la dureté émergente du personnage."
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Ace Ventura: Pet Detective|Tom Shadyac|Comédie||3|américain|1995|82|||DivX|||DIVX|884 Kbps|640x352|AC3|192 Kbps|False|48.0 KHz|2|640||||25.000|08/08/2009 00:00:00|James G. Robinson|Jim Carrey Jack Bernstein Tom Shadyac|Julio Macat||Warner Bros.||Ace Ventura, un jeune homme décontracté à la banane arrogante et à la démarche élastique, est le Sherlock Holmes de la gent canine. Le voici à nouveau sur les dents quand le dauphin Flocon de neige, la mascotte de l'équipe de football americain de Miami, manque à l'appel. |Jim Carrey (Ace Ventura)@Courteney Cox (Melissa Robinson)@Sean Young (le lieutenant )@Tone Loc (Emilio 'E' )@Dan Marino (lui-même)@Noble Willingham (Riddle)@Udo Kier (Ron Camp)@Troy Evans (Roger Podacter)@Raynor Scheine (Woodstock)@Frank Adonis (Vinnie)@Tiny Ron (Roc)@David Margulies (un médecin)@John Capodice (Aguado)@Judy Clayton (Martha Mertz)@Bill Zuckert (Mr. Finkle)@Alice Drummond (Mrs. Finkle)@||||||||||||@@
Ace Ventura: When Nature Calls|Steve Oedekerk|Aventure||3|américain|1996|90|||DIV3|||DIV3|832 Kbps|576x320|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|625||||25.000|28/07/2009 00:00:00|James G. Robinson|Jack Bernstein Steve Oedekerk|Donald E. Thorin||Warner Bros.||Quand il apprend qu'une chauve-souris blanche et sacrée, Shikaka, a disparu au coeur de l'Afrique, Ace Ventura abandonne sa retraite himalayenne pour retrouver le petit animal. Deux tribus, les Wachati et les Wachootoo, vénérant l'animal, se rejettent la responsabilité de sa disparition. |Jim Carrey (Ace Ventura)@Ian McNeice (Fulton Greenwall)@Simon Callow (Vincent Cadby)@Maynard Eziashi (Ouda)@Bob Gunton (Burton Quinn)@Sophie Okonedo (La Princesse Wachati)@Adewale Akinnuoye-Agbaje (Hitu)@Tommy Davidson (le tout petit guerrier)@Damon Standifer (le chef Wachati)@Andrew Steele (Mick Katie)@Bruce Spence (Gahjii)@Tom Grunke (Derrick McCane)@Arsenio Trinidad (le moine Ashram)@||||||||||||@@
ADN|Judith Cahen|Documentaire||4|français|2005|97|Français||DX50|||DX50|883 Kbps|720x528|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|690||||25.000|28/07/2009 00:00:00||Judith Cahen|||Pointligneplan||Un film qui prend la mesure d'une rencontre, la rencontre avec les autoportraits de David Nebreda. ADN met en scène l'impact de cette rencontre sur le cinéma de Judith Cahen et sa propre démarche d'auto-représentation. |Judith Cahen (elle-même)@Valérie Brau-Anthony (elle-même)@Chiara Gallerani (elle-même)@Jeanne Labrune (elle-même)@Mathieu Lindon (lui-même)@Joel Luecht (lui-même)@Sabine Macher (elle-même)@Laurent Maillefer (lui-même)@Mallaury Nataf (elle-même)@Gianfranco Poddighe (lui-même)@François Roustang (lui-même)@Gabrièle Roux (elle-même)@Philippe Sollers (lui-même)@Alberto Sorbelli (lui-même)@Thierry Spicher (lui-même)@Eva Truffaut (elle-même)@Cecile Zervudacki (elle-même)@||Secrets de tournage :
Qui est David Nebreda ?
David Nebreda est un photographe espagnol né à Madrid en 1952. Cet artiste contemporain, qui a vécu pendant plusieurs années coupé du monde extérieur, est connu pour avoir réalisé de nombreux autoportraits dans lesquels son corps apparaît mutilé, lacéré, ou couvert d'excréments. Le livre qui rassemble ces clichés, publié en 2000 aux éditions Leo Scheer, est à l'origine du projet ADN.
Le choc des photos
La cinéaste a reçu le livre de photographies en mai 2000, après avoir été avertie de la violence des photos. Elle se souvient : "Ma question était : vais-je être capable de soutenir le regard, de supporter ? À ma grande surprise, alors que je m'étais imaginé des images particulièrement "gore", la violence n'était pas là où je pensais. Et les photos étaient d'une grande beauté, quasi-maniériste. Mais en voyant le voyage physique, spectaculaire que cet homme avait fait subir à son corps, la question qui s'imposait à moi était : qui est-t-il ? Qui a fait "ça" ? Qui est l'homme qui a fait un tel "travail" ? Quelques mois plus tard, j'ai eu la sensation que ces photos exerçaient sur moi une violence diffuse, que je subissais comme un contre-coup tardif à leur découverte... Elles me hantaient... J'observais rétrospectivement la force de leur impact, comme un coup de couteau dans mon cerveau... Je pris alors conscience que pour exorciser ce choc je devais en faire un film. ADN a donc commencé par une volonté d'exorcisme et de clarification."
Regards et dialogues
Judith Cahen présente le dispostif sur lequel repose son film : "Je me suis dit :"Je vais répondre en cinéma à ces photographies, et à la violence ressentie". Alors que David Nebreda avait réalisé ses autoportraits en solitaire et en silence, j'ai postulé, au contraire, que l'autoportrait d'une cinéaste devait se faire dans le dialogue avec le regard de l'autre, des autres, aux croisements du fourmillement des différents points de vue qui me constituaient. J'avais envie de placer mes interlocuteurs dans une situation similaire à celle que j'avais vécue pour qu'ils soient tour à tour guide et miroir de cette quête. J'ai donc créé un dispositif de cinéma qui a consisté dans un premier temps à apporter le livre à des personnes proches avec qui j'étais en dialogue à ce moment-là, et à filmer les premiers regards, à vif. Ensuite, je leur ai confié le livre pendant un certain temps, une ou deux semaines, et je suis revenue les filmer pour voir comment les images les avaient travaillés, quelle place ils avaient donnée à ce livre en mon absence. Et puis, parallèlement à ces rencontres, je construisais un dialogue silencieux avec les photographies, en essayant de les approcher de l'intérieur, par la fabrication."
Réflexions et réflexion
La cinéaste a recueilli les réactions de personnes de son entourage, venues d'horizons différents, telles que les écrivains Philippe Sollers et Mathieu Lindon, le psychanalyste François Roustang, la comédienne Mallaury Nataf ou encore la réalisatrice Jeanne Labrune. Elle a également inséré dans ADN, film réflexif, des images de ses précédents longs métrages, ainsi que des séquences où apparaissent Guy Debord, Jacques Lacan, Guy Debord, Gilles Deleuze et le danseur de Buto Katsura Kan.
Judith, David, Anne et les autres
Judith Cahen revient sur sa démarche, et notamment sur la comparaison de son oeuvre avec celle du photographe : "David Nebreda est comme le grand autre, le tout autre et à la fois c'est un double et un modèle d'identification (...) puisque le but était d'arriver au noyau dur de mon propre cinéma, j'ai eu l'idée de mettre en pièce mes films pour voir ce qui résistait à cette pulvérisation et qui pouvait répondre à son autoportrait. À son " double photographique ", j'ai confronté mon double de cinéma, composé de ce personnage d'Anne Buridan (apparu dans mes films il y a plus de dix ans) et de Judith l'enquêteuse que j'ai traquée dans le dispositif ADN et qui s'est avéré parfois plus proche de la fiction qu'Anne Buridan !" Anne Buridan, personnage créé et interprété par la cinéaste, était au centre de ses deux précédents longs métrages : La Croisade d'Anne Buridan (1995) et La Révolution sexuelle n'a pas eu lieu (1999).
Le titre
Le titre ADN renvoie à la fois à la molécule contenant l'information génétique héréditaire (Acide Désoxyribo-Nucléique), car, explique Judith Cahen, "ce film participe d'une quête d'identité, mais il s'agit aussi d'un "nom de code pour About David Nebrada" (du nom du photographe).
Pointligneplan, un trait d'union
Distributeur d'ADN, Pointligneplan est une structure créée en 1998 et qui a pour objectif d'initier et de soutenir des films singuliers, aussi bien du documentaire que de la fiction, et en s'attachant à promouvoir la transdisciplinarité, notamment entre le cinéma et les arts plastiques. Parmi les cinéastes qui ont été associés, le temps d'un ou plusieurs films, à Pointligneplan, citons Arnaud des Pallieres, Valérie Mréjen, Joseph Morder, Danielle Arbid, Christophe Atabekian, Christian Boltanski, Thierry Jousse ou encore le Thaïlandais Apichatpong Weerasethakul.
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Aeon Flux|Karyn Kusama|Science fiction||2|américain|2006|91|Anglais||XVID|||XVID|865 Kbps|656x272|MPEG-1 Audio layer 3|191 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|28/07/2009 00:00:00|David Gale Gregory Goodman Gale Anne Hurd Gary Lucchesi|Phil Hay Matt Manfredi|Stuart Dryburgh||Paramount Pictures||Dans un XXVème siècle apocalyptique, une maladie a rayé la quasi-totalité de la population mondiale, à l'exception d'une ville fortifiée, Bregna, dirigée par une assemblée de scientifiques. Un groupe de rebelle vivant sous terre, les Monican, emmené par The Handler envoie leur meilleur élément, Aeon Flux pour assassiner l'un des plus hauts dirigeants du pouvoir en place. |Charlize Theron (Aeon Flux)@Frances McDormand (The Handler)@Marton Csokas (Trevor Goodchild)@Jonny Lee Miller (Oren Goodchild)@Sophie Okonedo (Sithandra)@Amelia Warner (Una Flux)@Caroline Chikezie (Freya)@Terry Bartlett (L'espion )@Alexander Benjamin (Passager du monorail)@Natacza Boon (Passager du monorail 4)@Yangzom Brauen (Inari)@Bruno Bruni Jr. (Commandant Kono)@Nikolai Kinski@Betty Okino (Monican)@Narges Rashidi (Une jeune femme)@Stuart Townsend (Monican)@||Secrets de tournage :
Adapté d'une série animée
Aeon Flux est en fait adapté d'une série animée homonyme créée en 1995 par le Sud-Coréen Peter Chung et l'Américain Howard E. Baker et diffusée sur la chaîne musicale MTV.
Accident de tournage pour Charlize Theron
Charlize Theron s'est blessée au cou durant le tournage à Berlin. L'incident s'est produit alors qu'elle jouait une scène physiquement éprouvante. La belle s'étant accordée une pause pour se remettre de ses blessures, le tournage reprit un mois plus tard. Cette malheureuse expérience a poussé l'actrice à faire figurer dans son contrat une clause spécifiant qu'elle était dorénavant exemptée de toute cascade.
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Agathe Cléry|Etienne Chatiliez|Comédie||2|français|2008|107|Français||XVID|||XVID|771 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|131 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Charles Gassot|Etienne Chatiliez Laurent Chouchan|Philippe Welt||Pathé Distribution||Agathe Cléry est une vraie working girl du XXIe siècle. Brillante directrice du marketing d'une ligne de cosmétiques spéciale "peaux claires", elle n'est néanmoins guère appréciée de ses collègues qui la trouvent dure, hautaine et la savent raciste.Le jour où on lui annonce qu'elle est atteinte de la maladie d'Addison, maladie rarissime qui va la faire noircir, Agathe refuse de croire à une telle malédiction. Pourtant, un beau matin, elle se retrouve aussi noire que tous ceux qu'elle détestait jusqu'à maintenant.Commence alors pour Agathe un long parcours initiatique durant lequel elle va subir moult trahisons, perdre tout ce qui lui était le plus cher, mais toutes ces humiliations vont petit à petit métamorphoser la " dure, hautaine et raciste " qu'elle était, et lui ouvrir les portes d'une nouvelle vie... |Valérie Lemercier (Agathe Cléry)@Anthony Kavanagh (Quentin Lambert)@Dominique Lavanant (Mimie)@Jacques Boudet (Roland)@Isabelle Nanty (Joëlle)@Artus de Penguern (Hervé)@Jean Rochefort (Louis Guinard)@Valentine Varela (Valérie)@Nadège Beausson-Diagne (Nathalie)@Bernard Alane (Philippe Guignard)@François Duval (Loïc Guignard)@Elise Otzenberger (Lucie)@Claire Pataut (Alice)@Virginie Racosta (Delphine)@Andy Cocq (Cédric)@||Secrets de tournage :
Note d'intention d'Etienne Chatiliez
A la question "que voulez-vous que le spectateur retienne de votre film ?", Etienne Chatiliez répond : "Mon but est toujours le même : raconter le pays dans lequel je vis en me servant de l'humour comme d'une arme. Dire des choses graves de façon légère est une façon de les véhiculer."
Etienne Chatiliez par Valérie Lemercier
"C'est très agréable de travailler avec lui parce qu'il tourne lentement, il prend son temps. Il y avait des jours qui étaient quasiment des vacances : j'avais juste une rue à traverser. Mais on a bien rigolé aussi tous les deux, tout le temps. On a vécu ensemble pendant presque deux ans, je n'avais jamais travaillé aussi longtemps avec quelqu'un."
Le nombre 21
Le tournage d'Agathe Cléry a duré 21 semaines, et le film a coûté... 21 millions d'euros.
Comme on se retrouve !
Si Valérie Lemercier est nouvelle dans l'univers d'Etienne Chatiliez, ce n'est pas le cas d'Isabelle Nanty, qui signe ici sa troisième collaboration avec le réalisateur, après Tatie Danielle et Le Bonheur est dans le pré.
Quand Agathe Cléry s'appelait Micheline Jackson...
Célèbre, entre autres, pour ses opérations destinées à changer sa couleur de peau, Michael Jackson est présent dans Agathe Cléry via l'imitation qu'en fait Valérie Lemercier. Une présence qui a même été plus importante, lorsque le long métrage avait pour nom de code...Micheline Jackson.
Bienvenue dans le maquillage ingrat
C'est grâce à l'Airbrush (de l'aérosol combiné avec des produits utilisés pour maquiller les prothèses dans le cinéma) que les maquilleurs ont pu brunir la peau de Valérie Lemercier. Des produits à priori inoffensifs, qui nécessitaient toutefois que le comédienne ne boive pas pendant le tournage, pour éviter tout risque d'allergie.
Révélation étonnante
Au début, Etienne Chatiliez avait écrit le scénario d'Agathe Cléry sans penser à quiconque pour interpréter le rôle titre. Puis le nom de Valérie Lemercier lui est venu à l'esprit pendant un concert de... Alain Chamfort.
Ils connaissent la chanson
Il aura fallu beaucoup de répétitions mais, au final, ce sont bien les acteurs du film qui interprètent leurs numéros chantés.
Une (très) grand troupe
Il y a en tout 393 danseurs qui apparaissent dans Agathe Cléry.
En avant la musique !
Lors des scènes musicales d'Agathe Cléry, Etienne Chatiliez mélange des vrais danseurs et des gens "normaux", comme il l'explique : "La comédie musicale est très souvent filmée en studio, dans un monde irréel. Moi, je voulais faire une comédie musicale ancrée dans la réalité, avec des décors naturels, faire surgir la fantaisie, la poésie, le rêve dans le réel. C'est pour cette raison que j'ai choisi des gens de tous âges, de toutes confessions, de tous sexes... De tout pour faire un vrai monde."
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Thumbsucker|Mike Mills|Comédie dramatique||3|américain|2006|92|Anglais||XVID|||XVID|925 Kbps|608x256|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Anthony Bregman Bob Stephenson|Mike Mills|Joaquin Baca-Asay||Sony Pictures Classics||A 17 ans, Justin suce toujours son pouce. Son père, Mike, se cache derrière ses airs de gros dur. Audrey, sa mère, ne sait plus trop où elle en est. Seul le petit dernier, Joel, semble s'en sortir... Age difficile obscur porte un regard lucide et drôle sur ces gens qui, quels que soient leur âge ou leur condition, ont peur d'être eux-mêmes. Au-delà d'une norme qui n'existe pas, tous vont découvrir que ce sont leurs fragilités et leurs failles qui les rendent si attachants... |Lou Taylor Pucci (Justin Cobb)@Tilda Swinton (Audrey Cobb)@Vincent D'Onofrio (Mike Cobb)@Keanu Reeves (Docteur Perry Lyman)@Kelli Garner (Rebecca )@Vince Vaughn (Monsieur Geary)@Benjamin Bratt (Matt Schraam)@Chase Offerle (Joel Cobb)@Sarah Lucht (La prof d'anglais)@Walter Kirn (le juge des débats)@Nancy O'Dell (Elle-même)@Kit Koenig (principal)@Arvin V. Entena (l'assistant de Perry Lyman)@Ted Beckman (le fumeur de joints)@Tyler Gannon (la fumeuse de joints)@Allen Go (le professeur de biologie)@Dakota Goldhor (la fille dans l'avion)@Eric Normington (l'employé de l'hôtel)@Lanette Prazeau (l'infirmière)@Bob Stephenson (l'officiel débat)@Colton Tanner (Justin à 10 ans)@||Secrets de tournage :
Récompenses
Age difficile obscur présenté, entre autre, au Festival du Film de Berlin et de Sundance en 2005, n'est pas reparti les mains vides. Tandis que le film de Mike Mills a été nominé pour l'Ours d'Or et le Grand Prix du Jury, l'acteur Lou Taylor Pucci est quant à lui rentré auréolé de l'Ours d'Argent et du Prix Spécial du Jury.
Premier film
Fondateur de l'agence-collectif artistique The Director's Bureau, rassemblant des artistes comme Sofia Coppola ou Roman Coppola, Mike Mills a réalisé de nombreux films publicitaires, clips vidéos et courts métrages avant de réaliser son premier long en 2005, Age difficile obscur.
Genèse d'une adaptation
C'est le producteur Bob Stephenson qui a fait découvrir le roman de Walter Kirn, Thumbsucker, à Mike Mills. Il se souvient : "J'en étais à la page 65 lorsque j'ai décidé d'acheter les droits. Ensuite, j'ai dit à Mike qu'il devait le lire." Celui qui va alors prendre en charge l'adaption de ce roman confie : "J'ai eu de la chance que Bob pense à moi pour ce film. Nous avons commencé à chercher un scénariste, à entamer la préproduction, et j'ai dit un jour "Bobby, laisse-moi essayer de l'écrire, ce scénario...". Non seulement il m'a soutenu, mais il a convaincu tout le monde de me laisser faire. Il s'est comporté comme mon éditeur pendant tout le processus d'écriture, il a beaucoup contribué au scénario. Grâce à lui, tout cela avait un sens."
Inspiration
Pour Age difficile obscur, le réalisateur et scénariste Mike Mills évoque les peintures d'Andrew Wyeth, la musique d'Elliot Smith ou de Neil Young et les films de Hal Ashby comme source d'inspiration : "En voyant les films de Hal Ashby, j'ai toujours eu l'impression qu'il me tapait sur l'épaule et me disait que c'était normal de ne pas être parfait, d'être un peu bizarre, de ne pas être ce qu'on est supposé être. En un sens, Age difficile obscur est une tentative de traduire cela pour un nouveau public, une nouvelle époque culturelle."
S'accepter soi-même
Le thème central d'Age difficile obscur tourne autour de l'acceptation de soi. Walter Kirn, l'auteur du roman, explique : "Si le livre a un thème, c'est le fait de s'accepter. Il parle de la confusion que nous ressentons tous quand nous entrons dans un monde plus vaste, disons celui des années d'adolescence, et que nous réalisons que nous ne sommes pas pareils que les autres." Cathy Schulman, l'une des productrices exécutives, rajoute : "Ce thème parlait à tous ceux qui ont lu le scénario. Ce qui est impressionnant, c'est l'universalité du propos, le fait de dire que c'est normal d'être différent, et qu'il faut s'accepter tel qu'on est, parce que cela fonctionne..."
Un thème universel
Walter Kirn explique au sujet de son roman, que celui-ci lui était "extrêmement personnel. Il l'était tant que les gens se sont sentis touchés eux aussi à un niveau personnel. Je reçois toujours aujourd'hui des lettres et des e-mails, dont beaucoup de la part de personnes qui ont les mêmes problèmes que mes personnages." Ce que vit Justin et les autres protagonistes d'Age difficile obscur : la quête d'identité, la découverte des limites de notre entourage et celles qui nous sont propres, est universel. C'est dans cette idée d'expérience partagée par tous qu'Age difficile obscur est un film avant tout humain.
Casting impressionnant
Pour son premier film, Mike Mills a réussi à réunir un casting des plus impressionnants en s'entourant d'acteurs tels que Tilda Swinton, Vince Vaughn, Vincent D'Onofrio ou encore Keanu Reeves.
Justin
Le personnage de Justin a été le choix le plus délicat du casting d'Age difficile obscur, Mike Mills a cependant tenu à faire appel à un acteur encore inconnu et débutant dans le milieu. Lou Taylor Pucci, avant d'obtenir le premier rôle d'Age difficile obscur a partagé l'affiche de films présentés au Festival de Sundance : Personal velocity (2002) ou encore The Chumscrubber (2005). Le réalisateur Mike Mills explique son choix : "Lou est notre plus beau coup de chance. J'ai vu plus d'une centaine de jeunes acteurs avant qu'il n'arrive. Il a pris l'avion pour la première fois de sa vie pour venir à l'audition. Il joue au théâtre depuis longtemps, mais il n'a rien de commun avec ces jeunes acteurs de Los Angeles. Il ne se sent pas comme eux. Lui, il était nerveux, anxieux ? toutes choses qui le faisaient ressembler encore davantage au personnage."
"Je vis exactement la vie du personnage que j'incarne, explique Lou Taylor Pucci. Beaucoup des choses qu'il traverse me sont familières, je m'identifie énormément à lui. Je sais d'expérience ce que c'est de quitter son foyer, quand c'est le seul endroit sur Terre que vous connaissez, et d'aller chercher des réponses dans tous ces ailleurs..."
Liberté dans le jeu
Sur le plateau d'Age difficile obscur, Mike Mills a laissé libre cours à la créativité et à l'imagination des acteurs dans la construction de leurs personnages, les poussant ainsi à travailler de manière plus pointue sur la profondeur et le passé de chacun. Il a encouragé l'improvisation, afin que la véritable émotion émane du jeu des acteurs et rendent les personnages encore plus réels.
Elliott Smith et Polyphonic Spree sur la B.O.
Le réalisateur connaît la musique : avant de signer ce premier long métrage, il a réalisé plusieurs clips, notamment pour Air, Pulp ou Moby, et conçu des pochettes de disques, par exemple celle de Washing machine pour Sonic Youth ou de Root down pour les Beastie Boys. Il a donc particulièrement soigné la musique de son film, faisant tout d'abord appel à Elliott Smith, songwriter américain réputé (pour qui il avait imaginé le désign de la pochette du single Happiness), mais celui-ci a mis fin à ses jours alors qu'il travaillait à cette B.O. Seuls trois morceaux du chanteur américain ont donc pu être inclus dans Thumbsucker : une reprise de Trouble de Cat Stevens, une autre de Thirteen de Big Star, et le titre original Let's get lost qu'on retrouve sur son album posthume) Le cinéaste a ensuite demandé au groupe Polyphonic Spree, une chorale pop menée par Tim DeLaughter, d'écrire d'autres morceaux pour la bande originale.
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Aladdin|John Musker Ron Clements|Animation|Film pour enfants|4|américain|1993|86|Anglais||DX50|||DX50|992 Kbps|544x320|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Ron Clements Judd Lynn John Musker|Roger Allers Ted Elliott Terry Rossio John Musker|||Gaumont Buena Vista International (GBVI)||Comment Aladdin, grâce à la felonie du grand vizir, va se procurer la lampe magique qui héberge le fameux génie et nous entraïner dans la plus étonnante des aventures. |Paolo Domingo (Aladdin / le Prince Ali Ababwa (voix française))@Richard Darbois (le Génie (voix française))@Féodor Atkine (le Grand Vizir Jafar (voix française))@Magalie Barney (la Princesse Jasmine (voix française))@Eric Métayer (Iago (voix française))@Teddy Bilis (le sultan (voix française))@Bernard Alane (Abu / le récitant (voix française))@||||||||||||@@
The Return of Jafar (V)|Toby Shelton|Animation||3|Etats-unis|1994|66|||DivX|||DIVX|1 322 Kbps|640x480|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|689||||25.000|28/07/2009 00:00:00|||||||Quelques temps après avoir enfermé Jafar
et Lago dans la lampe magique, ce dernier
parvient à sortir de la lampe. Il retourne au
château et fait amende honorable afin de
devenir l'ami de Jasmine et d'Aladdin.
Jafar, toujours prisonnier, attend qu'on le
libère pour pouvoir se venger...|||||||||||||@@
Aladdin and the King of Thieves (v)|Tad Stones|Animation|||Etats-unis|1996|78|||DivX|||DIVX|990 Kbps|704x528|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|612||||25.000|28/07/2009 00:00:00|||||||Aladdin et Jasmine vont enfin se marier et
tout le Royaume d'Agrebah est réuni pour
célébrer l'événement. Mais Cassim et ses
40 voleurs font alors irruption. Ils dévalisent
l'assemblée et fouillent le palais à la
recherche de quelque chose. Aladdin et
ses amis ne tarderont pas à savoir quoi...|Robin Williams@Scott Weinger@Linda Larkin@John Rhys-Davies@Gilbert Gottfried@Jerry Orbach@Val Bettin@Frank Welker@Jeff Bennett@Jim Cummings@Corey Burton@Jess Harnell@Clyde Kusatsu@Rob Paulsen@CCH Pounder@||||||||||||@@
Loaded Weapon 1|Gene Quintano|Comédie||3|américain|1993|79|Anglais||DX50|||DX50|1 098 Kbps|704x384|MPEG-1 Audio layer 3|118 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Suzanne Todd David Willis (I)|Don Holley Tori Tellem Gene Quintano|Peter Deming||Metropolitan FilmExport||Billie York détient le secret de la transformation de la coke en cookie et en perd la vie. Wes Luger, vieux flic à deux jours de la retraite est mis sur l'affaire. On lui adjoint le dépressif Jack Colt, déjà sur l'affaire... |Emilio Estevez (Jack Colt)@Samuel L. Jackson (Wes Lugar)@Jon Lovitz (Tim Beckard)@Tim Curry (Jigsaw)@Kathy Ireland (Destiny Demeanor)@Frank McRae (Le Capitaine Doyle)@William Shatner (Le Général Morters)@F. Murray Abraham (Harold Leacher)@Denis Leary (Mike McCracken)@Whoopi Goldberg (Le Sergent York)@Charlie Sheen (Valet)@Erik Estrada (L'Officier Francis 'Ponch' Poncherello)@Bruce Willis (Le propriétaire du Mobil Home)@Charles Napier (Un inspecteur)@J.T. Walsh (Le vendeur d'armes)@Paul Gleason (L'inspecteur du FBI)@Lance Kinsey (L'inspecteur aux pellicules)@Christophe Lambert (L'homme avec le téléphone de voiture (non crédité))@Corey Feldman (Le jeune flic)@Phil Hartman (Officier Davis)@Denise Richards (Cindy (non créditée))@Danielle Nicolet (Debbie Luger)@||||||||||||@@
Alexandre le Bienheureux|Yves Robert|Comédie||4|français|1967|91|Français||XviD|||XVID|946 Kbps|560x304|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Yves Robert|Pierre Lévy-Corti Yves Robert|René Mathelin||||Lorsque sa femme meurt, Alexandre décide de se consacrer à sa grande passion: la paresse. Il se couche pour plusieurs semaines. Son chien lui rapporte les provisions que lui sert la jolie Agathe, qui finit par le séduire. Mais, au moment de l'épouser, il se ravise, sa liberté et sa paresse risquant d'être compromises. |Philippe Noiret (Alexandre)@Jean Carmet (La Fringale )@Marlène Jobert (Agathe )@Françoise Brion (La Grande )@Paul Le Person (Sanguin)@Tsilla Chelton (Madame Bouillot )@Leonce Corne (Lamendin)@Pierre Richard (Colibert)@Pierre Maguelon (Verglandier )@Antoinette Moya (Angele Sanguin )@Madeleine Damien@||||||||||||@@
Ali G Indahouse|Mark Mylod|Comédie||3|britannique, américain, français|2002|82|||DIV3|||DIV3|1 039 Kbps|640x352|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|698||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Dan Mazer Eric Fellner Tim Bevan Sacha Baron Cohen Natascha Wharton Peter Finchalm|Sacha Baron Cohen Dan Mazer|Ashley Rowe||Mars Distribution||Ali G pourrait se contenter de sa paisible vie à Staines, une petite ville située au sud de l'Angleterre. Auprès de lui, il a sa grand-mère, sa copine Julie, son chien 2Pac et son herbe. Avec ses amis, il parvient même à supporter les provocations du gang rival au cours d'interminables courses de R5.Cependant, Ali G voit ses habitudes bousculées le jour où il apprend que le centre de loisirs de Staines, où il enseigne aux enfants "l'attitude Ali G", est en passe de fermer. Celui-ci proteste et accepte finalement de représenter les jeunes de Staines dans l'arène politique. En mettant à jour un scandale qui décrédibilise son adversaire, Ali G est bientôt élu député... |Sacha Baron Cohen (Ali G)@Michael Gambon (Le Premier ministre)@Charles Dance (David Carlton)@Kellie Bright (Julie)@Martin Freeman (Ricky C)@Rhona Mitra (Kate Hedges)@Barbara New (Nan)@Ray Panthaki (Hassan B)@Tony Way (Dave)@Nabil Elouahabi (Jezzi F)@Isabelle Pasco (Suzy)@Stefan Kalipha (Un délégué iranien)@David Henry (Le maire)@Michael Cowan (L'homme dans la maison)@Carlos Sanchez (Un gangster)@Emilio Rivera (Rico)@Emiliano Torres (Un gangster)@James Allen (Un garde)@Eileen Essell (Miss Hugh)@Stewart Wright (Le caméraman)@Manny Perez (Un gangster)@Robert Jimenez (Un gangster)@Jonathan Aris (Un journaliste)@Daphne Cheung (Président Wattana)@George Lopez (Un gangster)@Colin Stinton (Le délégué américain)@Rudolph Walker (Président Mwepu)@Olegar Fedoro (Le délégué russe)@John Warnaby (David Griffiths)@Robert Zepeda (Un gangster)@Richard Madeley (Lui-même)@Maggie McCarthy (Karen)@Anna Keaveney (La secrétaire)@Carlos Ayala (Un gangster)@Geoffrey Kirkness (Le présentateur)@Daniela Lavender (Maid)@Astley Scutcher (Jonathan)@Bruce Jamieson (Un journaliste)@Carl McCrystal (Un garde)@Adrian Hylton (Foreman)@Dominic Delesilva (Un jeune garçon)@Danny Romo (Un gangster)@Diana Van Proosdy (La directrice)@David Follosco (Un gangster)@Elaine Mazer (Miss Alvarez)@Gerald Gonzales (Un gangster)@Gary Baxley (Un gangster)@John Estrada (Un gangster)@John Scott Martin (Mr. Johnson)@Jacob Salas (Un gangster)@John Adewole (Président Oompeba)@Jesse Acosta (Un gangster)@Jeanette Vane (La Reine)@John Humphries (Lui-même)@Jon Snow (Lui-même)@Janet Mitchell (Tracey)@Ivor Mazer (Thomas Alvarez)@Ione Brown (Butler)@Jamie Glassman (Dr. J)@Judy Finnigan (Elle-même)@Marianne Levy (Une journaliste)@Maggie Ellis (La femme du maire)@Mário Aguilar (Un gangster)@Julian Sua (Le délégué chinois)@Lloyd McGuire (John)@Manny Jimenez (Un gangster)@Mark Theodore (Un journaliste)@Mario Aguilar Jr (Un gangster (non crédité))@Paul Clayton (Alan Swan)@||Secrets de tournage :
Qui est Ali G ?
Personnage populaire et haut en couleurs, Ali G est issu de l'imagination du comédien et comique Sacha Baron Cohen (son interprète) et de son ami d'enfance Dan Mazer. Créé par les deux hommes en 1998 au sein de l'émission télévisée britannique The 11 O'clock show sur Channel 4, ce personnage à la garde-robe des plus voyantes, obsédé sexuel et grand consommateur de substances illicites séduit immédiatement le public, et obtient même son propre show : Da Ali G Show, dans lequel il interviewe de nombreuses personnalités. Véritable star sur ses terres (son dialecte est même entré dans le langage courant), Ali G se lance dans la musique avec une apparition dans le clip Music de Madonna, puis enregistre un duo avec Shaggy avant de débarquer au cinéma en 2002 dans le film éponyme.
Petite leçon d'"Ali G"
Ali G possède son propre vocabulaire, qu'il utilise avec son gang de Staines. Un sabir qui a depuis fait des émules et est rentré dans le langage courant britannique. Petit lexique :
Da : article défini masculin (équivalent de "The?)
Da erb : marijuana
Me : adjectif possessif (équivalent de ?Ma?)
Me Nan : ma Mamie
Booyakasha ! : exclamation exprimant le salut
Maximum Respeck ! : expression d'intense respect
Bigupyaself : Respect à vous
Aiii : exprime l'approbation ou l'accord
Wickid ! : Super bien !
Bitch / Me Bitch : personne de sexe féminin attirante
Fit : une personne attirante
Minga : une personne peu attirante, un thon
Beast : organes génitaux masculins
Punani / Puni / Pumpum : organes génitaux féminins
Swingaz / Babylons : poitrine féminine
Bonin' : Relation sexuelle
Posse : groupe d'amis
West Staines Massive : le gang des quartiers ouest de Staines, dirigé par Ali G
East Staines Massive : bande rivale de la West Staines Massive
Wesside : Salut de la bande du West Side
Ho : péripatéticienne (affectueux)
Batty Boy : un homosexuel
To Fink : penser
Ali G soutenu par un studio prestigieux
Ali G est soutenu par Working Title Films, producteur notamment de Pour un garçon, Le Journal de Bridget Jones, Coup de foudre à Notting Hill, Quatre mariages et un enterrement, et par WT² (département petits budgets du studio), producteur de Billy Elliot.
Transposer l'humour d'Ali G au cinéma
Adapter un show télévisé comique sur grand écran comporte de nombreuses difficultés, notamment dans le rythme à adopter et la structure de l'histoire. Le réalisateur Mark Mylod explique : "La façon de faire fonctionner un gag est universelle, elle ne dépend pas du médium : ce qui fait rire fera rire au cinéma comme à la télévision. La différence réside dans la structure. Au cinéma, chaque gag est une pierre sur laquelle on peut s'appuyer pour entraîner les spectateurs, construire l'ensemble de l'édifice comique. A la télévision, le rythme a moins d'importance. Mais sur 90 minutes de cinéma, il faut entraîner le public : le faire rire, puis ménager une pause, puis le surprendre avec un angle nouveau. Le spectateur ne peut pas rire sans interruption pendant 90 minutes".
Deux renforts prestigieux
Pour ce film, l'équipe a fait appel à deux comédiens britanniques reconnus, Michael Gambon et Charles Dance : grands fans d'Ali G, ils n'ont pas hésité une seconde pour se lancer dans cette aventure plutôt éloignée de leur registre habituel.
Me Julie : trouver la petite amie d'Ali G
Me Julie, la petite amie d'Ali G, est souvent citée dans le show, sans pour autant y apparaître : chaque spectateur avait sa propre idée de ce personnage. Définir son aspect était donc des plus difficile pour les producteurs... "Ce devait être une fille solide", explique le réalisateur Mark Mylod, "mais dont on puisse tomber amoureux : une fille ordinaire, à la fois décidée et ayant gardé une part d'innocence". La jeune comédienne britannique Kellie Bright fut finalement choisie, après un vaste casting auprès de centaines d'actrices.
Le look d'Ali G
Caractéristique majeure du personnage, la garde-robe d'Ali G est un savant mélange entre le look du DJ Armand Van Helden et la mode vestimentaires des banlieues londoniennes. Toutefois, dans le film, cette garde-robe évolue quelque peu au fur et à mesure de l'ascension politique d'Ali G, et devrait surprendre les fans du personnage : "on commence avec des vêtements bon marché, des sportswear américains d'occasion qu'il a dû acheter sur le marché de Staines" explique le styliste Jason Alper. "Mais plus le film progresse, plus ses idées sur la mode se développent..."
La voiture d'Ali G
La voiture d'Ali G est une Renault 5 achetée d'occasion et customisée par l'équipe de décorateurs. Peinte en jaune et bleu (les couleurs du gang d'Ali G), arborant une plaque minéralogique Respect, ses roues ont été changées pour des pneus plus épais, les sièges arrières ont été retirés et une chaîne hi-fi surpuissante a été installée. "La voiture nous a coûté 1 000 livres", explique un membre de l'équipe. "Elle doit valoir à peu près quinze fois plus aujourd'hui !".
Entre Londres et L.A.
Ali G a principalement été tourné en extérieurs à Londres, Staines et Manchester, mais également à Los Angeles pour la séquence d'ouverture du film.
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Alien|Ridley Scott|Science fiction|Interdit aux moins de 12 ans|4|britannique, américain|1979|111|Anglais||XviD|||XVID|741 Kbps|592x256|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Gordon Carroll David Giler Walter Hill|Dan O'Bannon Walter Hill|Derek Vanlint||UFD|Saga : Alien |Le vaisseau commercial Nostromo et son équipage, sept hommes et femmes, rentrent sur Terre avec une importante cargaison de minerai. Mais lors d'un arrêt forcé sur une planète déserte, l'officier Kane se fait agresser par une forme de vie inconnue, une arachnide qui étouffe son visage.Après que le docteur de bord lui retire le spécimen, l'équipage retrouve le sourire et dîne ensemble. Jusqu'à ce que Kane, pris de convulsions, voit son abdomen perforé par un corps étranger vivant, qui s'échappe dans les couloirs du vaisseau... |Sigourney Weaver (Lieutenant Ellen L. Ripley)@Tom Skerritt (Capitaine A.J. Dallas)@Veronica Cartwright (J.M. Lambert)@Harry Dean Stanton (S.E. Brett)@John Hurt (G.W. Kane)@Ian Holm (Officier Ash)@Yaphet Kotto (J.T. Parker)@Helen Horton (La voix de Maman)@Bolaji Badejo ('Alien')@Eddie Powell ('Alien')@||Secrets de tournage :
Succès au box-office français
Chaque volet de la tétralogie a totalisé plus de 1,5 millions de spectateurs en France (Alien 3 : 1 652 838 entrées ; Aliens le retour : 1 720 593 entrées). Alien, le huitième passager et Alien, la résurrection ont même dépassé la barre des 2,5 millions d'entrées : 2 809 875 pour le premier et 2 634 373 pour le second.
Giger, le père d'Alien
L'artiste d'origine suisse H.R. Giger a réalisé seul le design de la créature d'Alien, le huitième passager, considérée aujourd'hui comme une oeuvre d'art à part entière. Né en 1940 en Suisse, il se passionne très jeune pour la création fantastique et surréaliste. Il entame des études d'architecture et de dessin industriel, mais continue parallèlement de coucher sur papier et toile ses étranges visions. Après un court emploi de décorateur d'intérieur, il devient artiste à plein temps et se lance parallèlement dans le cinéma en réalisant divers courts métrages documentaires. Signant des dessins et sculptures cauchemardesques et fantasmagoriques, il mêle organique et mécanique, et signe des "oeuvres mutantes" à la frontière de deux mondes.
Pour la créature, Giger s'est inspiré d'un mélange de fragments organiques avec des pièces mécaniques. La maquette a été ainsi conçue avec de vrais ossements assemblés avec de la plasticine sur des tuyaux et des pièces de moteur. Cette nouvelle forme d'art contemporain sera nommée par ses soins la "biomécanique".
Une saga à trois suites
Alien, le huitième passager fut en 1979 le premier volet d'une saga devenue mythique dans l'histoire du cinéma. En 1986, James Cameron signe Aliens le retour, une suite résolument plus musclée et axée sur les armes que son prédecesseur. David Fincher reniera dans un premier temps être à la tête de la mise en scène d'Alien 3 (1992), en raison d'un nombre conséquent de problème entre lui et le studio (il n'a pas réussi à obtenir le final cut). Enfin, Jean-Pierre Jeunet réalisait en 1997 l'actuel dernier volet de la saga, avec Alien, la résurrection, qui fut un grand succès international bien que les recettes furent tièdes aux Etats-Unis. Doté d'un budget de 70 millions de dollars, celui-ci n'en rapporta en effet qu'à peine 48 sur le sol américain.
Une révélation : Sigourney Weaver
Jusque-là alors encore totalement inconnue du grand public (ce n'était que son troisième film, et son premier rôle, dans Manhattan ne dépassait pas les six secondes), Sigourney Weaver fut la grande révélation d'Alien, le huitième passager. Elle essaiera néanmoins de s'éloigner régulièrement du rôle d'Ellen Ripley tout au long de sa carrière, bien qu'elle admette tout devoir à ce personnage mythique du cinéma fantastique.
Un Oscar !
Bien que sa renommée ne se soit pas faite sur cette récompense, Alien, le huitième passager s'est vu remettre en 1980 un Oscar pour ses effets spéciaux, tandis que lui échappait la récompense de la Meilleure direction artistique. Le film remportera trois Saturn Award, récompensant traditionnellement les films fantastiques, dans les catégories Meilleur réalisateur (Ridley Scott), Meilleure actrice dans un second rôle (Veronica Cartwright) et Meilleur film de science-fiction. Le Golden Globe de la Meilleure musique originale échappera à Jerry Goldsmith, le jury lui ayant préféré celle d'Apocalypse Now.
Un succès monstrueux
Le premier volet de la saga Alien, qui ne couta à l'époque que 11 millions de dollars, remporta un énorme succès international : plus de 80 millions de dollars de recettes aux Etats-Unis et trois millions d'entrées en France. Le succès de ce volet, outre ses trois célèbres suites, entraînera l'édition d'une multitude de jeux vidéos.
Sigourney Weaver et Ridley Scott
Sigourney Weaver retrouvera le réalisateur Ridley Scott 13 ans après Alien, le huitième passager, en devenant devant sa caméra la Reine Isabelle pour 1492 : Christophe Colomb (1992).
Le Nostromo : un décor unique
Les décors intérieurs du vaisseau spatial "Nostromo", théâtre du huis clos Alien, furent réalisés aux studios Shepperton, sous la direction de plusieurs directeurs artistiques. Quant à la maquette pour filmer le vaisseau lorsque celui-ci se déplace dans l'espace, il mesure plus de deux mètres quarante de long.
Un casque sur un crâne
La partie frontale du corps de l'Alien a été réalisé à partir d'un moulage effectué sur un vrai crâne humain.
Improvisation
La plupart des dialogues du film n'ont pas été écrits. Les acteurs ont en effet énormément eu recours à leur talent d'improvisation, en connaissant par avance les grandes lignes d'une scène, et en la jouant ensuite en communauté.
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Une autopsie peu ragoutante
La carcasse sur laquelle le docteur Ash pratique une autopsie est composée de fruits de mer, afin de recréer visuelement les organes internes de l'arachnée.
Souvent imité
L'immense succès du premier volet de la saga Alien a entraîné, outre ses trois suites célèbres, des films fantastiques copiant allègrement sur son modèle. Parmi eux, on peut citer Leviathan (1989), qui recadrait l'horreur dans les profondeurs sous-marines, ainsi que Un cri dans l'océan (1998), dont l'action se déroulait sur un bateau.
Un design retravaillé
Le design de l'Alien, originalement composé par H.R. Giger, a du néanmoins être retravaillé à plusieurs reprises. Les dessins originaux de l'artiste suisse étaient en effet explicitement sexuels, et n'étaient pas tout à fait en accord avec les volontés du studio.
Deuxième film pour Ridley Scott
Alien est en 1979 le deuxième film du réalisateur d'origine britannique Ridley Scott, deux ans après que celui-ci ne signe Les Duellistes. Alien lui permettra d'assoir sa réputation en tant que metteur en scène, et de faire connaître au monde entier son sens aigu de l'esthétisme, qu'il a hérité de ses débuts dans le cinéma publicitaire (La Voleuse de pâtes de la marque Barilla en est un parfait exemple).
La participation de The Woo
Le mince rideau de fumée qui présente les étranges oeufs a été rendu possible grâce à une machine spéciale qui projette des brumes et des lasers. Cette machine a été empruntée au groupe The Woo, qui s'en servait lors de leurs concerts.
Un titre révélateur
Le titre d'introduction d'Alien se présente sous la forme de sept traits, avant de composer finalement l'appellation définitive du long métrage. Un graphisme épuré et surtout volontaire, le titre révélant ainsi le nombre de victimes de la créature dans le film.
Des acteurs pas avertis ?
Une rumeur selon laquelle les acteurs ne savaient pas ce qui allait se produire au momet où le bébé Alien sort en explosant le torse de Kane (John Hurt) est née après l'exploitation en salles du premier volet de la saga Alien. Elle n'est qu'en partie vraie. John Hurt avait été évidemment mis au courant du déroulement de la scène, tandis que les grandes lignes avaient été expliquées au reste des acteurs composant l'équipage, mais ils n'avaient pas été mis au courant des détails de la scène. Par exemple, Veronica Cartwright ne s'attendait pas à être aspergée de sang, ce qui rend son dégoût et son effroi à l'écran bien plus réalistes.
Une fin plus sombre
Ridley Scott rapporte souvent qu'il aurait souhaité mettre en scène une fin beaucoup plus sombre au film Alien. Il voulait que la créature tue sauvagement le lieutenant Ripley lors du face-à-face final dans la nacelle spatiale, puis que l'Alien s'assoit et prenne la voix de Ripley en envoyant un message rassurant d'arrivée sur la planète Terre. Mais la société de production 20th Century Fox n'était pas très enjoué à l'idée d'une fin aussi désespérée.
Cartwright en Ripley ?
Le rôle du lieutenant Ellen Ripley devait être à l'origine jouée par Veronica Cartwright, qui finalement interprètera le personnage de Lambert. La décision d'accorder le rôle à Sigourney Weaver, alors jeune débutante (ce n'était que son troisième film), est revenue aux producteurs du film, qui lui ont préféré son physique plus androgyne.
Ripley, un homme ?
A l'origine, dans la première ébauche du scénario d'Alien, le lieutenant Ripley était un personnage masculin. Ce n'est que plus tard qu'il soit décidé qu'il serait incarné par une femme.
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Aliens|James Cameron|Fantastique|Interdit aux moins de 12 ans|3|britannique, américain|1986|146|Anglais||DX50|||DX50|560 Kbps|544x288|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Gale Anne Hurd|James Cameron Walter Hill David Giler|Adrian Biddle|||Saga : Alien |L'officier Ellen Ripley après cinquante ans de dérive dans la stratosphere part de nouveau en mission sur la planete Acheron. Ce n'est plus un Alien qui l'attend mais ses nombreux enfants terribles gouvernés par une reine-mère possessive. |Sigourney Weaver (Lieutenant Ellen Ripley)@Michael Biehn (Caporal Dwayne Hicks)@Lance Henriksen (Bishop)@Paul Reiser (Carter J. Burke)@Carrie Henn (Rebecca "Newt" Jorden)@Bill Paxton (W. Hudson)@William Hope (Gorman)@Jenette Goldstein (Vasquez)@Al Matthews (Apone)@Mark Rolston (Drake)@Ricco Ross (Frost)@Daniel Kash (Spunkmeyer)@Colette Hiller (Ferro)@Cynthia Dale (Dietrich)@Tip Tipping (Crowe)@||Secrets de tournage :
Une tétralogie
La saga de science-fiction Alien est composée de quatre volets tous interprétés par Sigourney Weaver mais réalisés par des cinéastes différents : Ridley Scott pour Alien, le huitième passager (1979), James Cameron pour Aliens le retour (1986), David Fincher pour Alien 3 (1992) et Jean-Pierre Jeunet pour Alien, la résurrection (1997).
Cameron et ses complices : Biehn et Paxton
James Cameron a dirigé à de nombreuses reprises les acteurs Michael Biehn (Terminator, Aliens, le retour et Abyss) ainsi que Bill Paxton (Terminator, Aliens, le retour, True lies, Titanic et Les Fantômes du Titanic).
Michael Biehn remplace James Remar
L'acteur James Remar était initialement pressenti dans le rôle du capitaine Dwayne Hicks. Finalement, le comédien, vu dans Blink et Apparences, se désista pour cause de divergences artistiques avec James Cameron. C'est Michael Biehn qui le remplaça au pied levé.
Deux semaines d'entraînement
Hormis Michael Biehn, dépêché sur le tournage à la dernière minute, les acteurs jouant les Marines ont dû se soumettre à une préparation intensive de deux semaines chez les S.A.S. (Special Air Service), la force d'élite anti-terroriste de Grande-Bretagne, et lire le roman de Robert A. Heinlein, Starship troopers.
Les Marines personnalisent leur tenue
Les acteurs incarnant les Marines ont personnalisé leur propre tenue. Bill Paxton a ainsi écrit "Louise" sur son armure en hommage à sa véritable femme, Louise Newbury.
La Reine des Aliens
La Reine des Aliens fut dessinée par James Cameron lui-même. C'est à partir de ses croquis que Stan Winston en élabora une sculpture tout en restant fidèle à la créature initiale conçue par H.R. Giger.
Batman fait dans la récup'
L'un des décors ayant été gardé intact après le tournage, il fut réutilisé trois ans plus tard pour figurer l'intérieur de l'usine Axis Chemical dans Batman de Tim Burton.
Succès au box-office français
Chaque volet de la tétralogie a totalisé plus de 1,5 millions de spectateurs en France (Alien 3 : 1 652 838 entrées ; Aliens le retour : 1 720 593 entrées). Alien, le huitième passager et Alien, la résurrection ont même dépassé la barre des 2,5 millions d'entrées : 2 809 875 pour le premier et 2 634 373 pour le second.
Nominé aux Oscars
Le film a eu 7 nominations aux Oscars, dont une pour la meilleure actrice pour Sigourney Weaver.
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Les contributeursCe film a reçu 1 contribution, pour les secrets de tournage, de: Miamsolo
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Alien 3|David Fincher|Fantastique|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|1992|138|||XVID|||XVID|585 Kbps|592x256|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|44.1 KHz|2|700||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Gordon Carroll David Giler Walter Hill|David Giler Walter Hill Larry Ferguson Vincent Ward Dan O'Bannon Ronald Shusett|Alex Thomson|||Saga : Alien |Seule survivante d'un carnage sur une planète lointaine, Ripley s'échoue sur Fiorina 161, planète oubliée de l'univers, balayée par des vents puissants. Une communauté d'une vingtaine d'hommes y vit. Violeurs, assassins, infanticides, ce sont les plus dangereux détenus de droits communs de l'univers. L'arrivée de Ripley va les confronter à un danger qui sera plus fort qu'eux. |Sigourney Weaver (Ellen Ripley)@Lance Henriksen (Bishop II)@Charles Dance (Clemens)@Charles S. Dutton (Dillon)@Pete Postlethwaite (David)@Brian Glover (Andrews)@Tom Woodruff Jr. (Alien)@Paul McGann@Ralph Brown (Aaron "85")@Niall Buggy (Eric)@Paul McGann (Golic)@Paul McGann (Golic)@Holt McCallany (Junior)@Carl Chase (Franck)@Christopher John Fields (Rains)@Peter Guinness (Gregor)@Danny Webb (Morse)@Vincenzo Nicoli (Jude)@Christopher Fairbank (Murphy)@Deobia Oparei (Arthur)@Philip Davis (Kevin)@Paul Brennen (Troy)@Clive Mantle ( William)@Hi Ching (Company Man)@Carl Chase (Frank)@||Secrets de tournage :
Une tétralogie
La saga de science-fiction Alien est composée de quatre volets tous interprétés par Sigourney Weaver mais réalisés par des cinéastes différents : Ridley Scott pour Alien, le huitième passager (1979), James Cameron pour Aliens le retour (1986), David Fincher pour Alien 3 (1992) et Jean-Pierre Jeunet pour Alien, la résurrection (1997).
La légende continue...
Alien 3 est le troisième volet de la saga fantastique consacré à la créature Alien, après Alien, le huitième passager (1979) et Aliens le retour (1986), et avant un quatrième épisode intitulé Alien, la resurrection.
Chaque volet de la saga Alien voit se succéder un réalisateur différent. Après Ridley Scott et James Cameron (et avant Jean-Pierre Jeunet), c'est l'Américain David Fincher qui est aux commandes. En revanche, pas de changement pour Sigourney Weaver, qui reprend une troisième fois son personnage d'Ellen Ripley.
Boyle hors d'Alien
Après le grand succès de Trainspotting, Danny Boyle a été contacté pour réaliser Alien, la résurrection, mais le cinéaste a décliné cette proposition. Il a préféré réaliser Une vie moins ordinaire. Le quatrième volet de la saga Alien a finalement été tourné par Jean-Pierre Jeunet.
La révélation David Fincher
Alien 3 marque les premiers pas du réalisateur David Fincher dans le long métrage, après des débuts très remarqués dans le clip et une collaboration sur les effets spéciaux d'Indiana Jones et le Temple maudit.
Après Alien 3, David Fincher connaît la consécration avec un film plus personnel qui remporte un large succès au box-office international : le thriller Seven, où l'Américain impose déjà son style. Au-delà d'une mise en scène virtuose, le cinéaste creuse une vision désanchantée du monde contemporain. Il poursuit dans ce sillon avec The Game, Fight club puis Panic room, affirmant un sens visuel de plus en plus personnel, où prises de vue extrêmes et photographie très sombre se mettent au service de sujets désespérés sur la société moderne.
Le désaccord de David Fincher
Le réalisateur David Fincher, qui signait avec Alien 3 son premier long-métrage, n'a jamais caché son désaccord avec la Fox concernant de nombreux passages du film. L'Américain a presque été jusqu'à renier le film, effectuant la totalité des prises de vue mais quittant la production avant le début du montage.
Histoire de casting
Avant que David Fincher ne soit finalement choisi pour prendre les commandes d'Alien 3, la 20th Century Fox avait porté son dévolu sur Renny Harlin, qui ne put répondre favorablement en raison de son angagement sur 58 minutes pour vivre.
L'Alien, finalement...
La première mouture du script d'Alien 3 ne prévoyait pas la présence de l'alien à l'écran, qui ne devait réapparaître que dans Alien, la resurrection. Afin de ne pas perturber les fans de la saga, la Fox demanda au scénariste Walter Hill de retravailler le script afin que la créature soit à nouveau au centre du film.
Succès au box-office français
Chaque volet de la tétralogie a totalisé plus de 1,5 millions de spectateurs en France (Alien 3 : 1 652 838 entrées ; Aliens le retour : 1 720 593 entrées). Alien, le huitième passager et Alien, la résurrection ont même dépassé la barre des 2,5 millions d'entrées : 2 809 875 pour le premier et 2 634 373 pour le second.
Une nomination à l'Oscar
En 1993, Alien 3 est nommé à l'Oscar des Meilleurs effets spéciaux.
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Alien : Resurrection|Jean-Pierre Jeunet|Fantastique|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|1997|111|Anglais||XviD|||XVID|762 Kbps|704x288|MPEG-1 Audio layer 3|32.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|714||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Bill Badalato Gordon Carroll David Giler Walter Hill Edouard Valton Lisa Knaggs|Joss Whedon Dan O'Bannon Ronald Shusett Guillaume Laurant|Darius Khondji||UFD|Saga : Alien |Deux cents ans après la mort de l'officier Ripley, une équipe de généticiens ressuscite la jeune femme en croisant son ADN avec celui d'un Alien. Le cauchemar reprend. A bord de la station Auriga, Ripley donne naissance à un fils qui lui est aussitot enlevé. Prisonnière, elle s'efforce de renouer avec son lointain passé humain. Bientôt un autre vaisseau rejoint l'Auriga. Parmi l'équipage composé de brutes et de mercenaires, Ripley decouvre une belle jeune femme, Call, avec laquelle elle ne tarde pas a se lier d'amitié. |Sigourney Weaver (Le clone d'Ellen Ripley)@Winona Ryder (Call)@Dan Hedaya (Le Général Perez)@Ron Perlman (Johner)@Dominique Pinon (Vriess)@Brad Dourif (Dr Gediman)@J.E. Freeman (Dr. Wren)@Michael Wincott (Elgyn)@Gary Dourdan (Christian)@Kim Flowers (Hillard)@Raymond Cruz (Distephano)@David Britten Prior (Alien)@Leland Orser (Purvis)@||Secrets de tournage :
Une tétralogie
La saga de science-fiction Alien est composée de quatre volets tous interprétés par Sigourney Weaver mais réalisés par des cinéastes différents : Ridley Scott pour Alien, le huitième passager (1979), James Cameron pour Aliens le retour (1986), David Fincher pour Alien 3 (1992) et Jean-Pierre Jeunet pour Alien, la résurrection (1997).
Danny Boyle pressenti à la réalisation
Danny Boyle fut initialement pressenti à la réalisation d'Alien, la résurrection. C'est finalement Jean-Pierre Jeunet qui fut choisi après le désistement de ce dernier.
Angelina Jolie dans le rôle de Call
Avant qu'il ne soit confié à Winona Ryder, le rôle de Call fut d'abord proposé à Angelina Jolie qui le refusa. Les deux actrices se retrouveront trois ans plus tard à l'affiche d'Une vie volée de James Mangold.
Chow Yun-Fat dans le rôle de Christie
Le scénariste Joss Whedon écrivit le personnage de Christie en pensant à Chow Yun-Fat. Mais l'agent de ce dernier déclina le rôle qui fut finalement confié à Gary Dourdan.
Bill Murray en docteur Wren ?
Le rôle du Dr. Wren devait d'abord être attribué à Bill Murray qui déclina l'offre. Ce dernier aurait pu retrouver Sigourney Weaver, sa partenaire de S.O.S. Fantômes et S.O.S Fantomes II. C'est finalement J.E. Freeman qui hérita du rôle.
Retrouvailles Jeunet / Pinon / Perlman
Alien, la résurrection donne à Jean-Pierre Jeunet l'occasion de retrouver Ron Perlman, qu'il avait dirigé dans La Cité des enfants perdus (1995), et Dominique Pinon, un acteur qui lui est fidèle depuis son court métrage Foutaises (1989) et qui s'est illustré dans Delicatessen (1991) et La Cité des enfants perdus (1995).
Des effets spéciaux signés Pitof
Pitof, futur réalisateur de Vidocq et Catwoman, travailla pendant huit mois à la Silicon Graphics, aux Etats-Unis, sur les effets spéciaux du film. Les Français de la société Duboi, restés à Paris, collaborèrent par ailleurs avec leurs homologues américains de Amalgamated Dynamics Incorporated via Internet.
Panier gagnant !
Pour la scène du panier avec le ballon de basket, Sigourney Weaver a réussi son coup au premier essai. C'est cette séquence qui a été retenue au montage final.
Ryder et Perlman proches de la noyade
Dans les scènes sous-marines, Winona Ryder et Ron Perlman manquèrent de se noyer. En remontant à la surface, ce dernier se cogna brutalement la tête. Des membres de l'équipe de tournage durent se porter à son secours.
Un ordinateur appelé "Papa"
L'ordinateur central de la station "Auriga" s'appelle "Papa", en référence à celui du vaisseau Nostromo qui portait le nom de "Maman" dans Alien, le huitième passager.
« Préc.
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Alien vs. Predator|Paul W.S. Anderson|Science fiction||2|américain|2004|100|Anglais||XviD|||XVID|831 Kbps|528x224|MPEG-1 Audio layer 3|32.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||23.976|06/08/2009 00:00:00|Joel Silver Walter Hill Lawrence Gordon David Giler John Davis Geoff Freeman|Paul W.S. Anderson Shane Salerno|David Johnson||UFD|Saga : Alien |Une mystérieuse onde de chaleur, émanant du coeur de la banquise, se propage à travers l'Antarctique. Pour étudier ce phénomène, Charles Bishop Weyland finance une expédition scientifique pilotée par Alexa Woods.
L'équipe découvre une pyramide renfermant des vestiges de civilisations aztèque, égyptienne et cambodgienne. Constituées d'un labyrinthe de "chambres", les issues se referment brutalement sur plusieurs membres de l'expédition.
Des Predators retiennent captive une reine Alien dont ils livrent les descendants aux jeunes Predators lors de rituels. |Lance Henriksen (Charles Bishop Weyland)@Sanaa Lathan (Alexa Woods)@Raoul Bova (Sebastian de Rosa)@Ewen Bremner (Graeme Miller)@Colin Salmon (Maxwell Statford)@Agathe de La Boulaye (Adèle Rousseau)@Tommy Flanagan (Mark Werheiden)@Sam Troughton (Thomas Parks)@Adrian Bouchet (Sven)@Carsten Norgaard (Rusten Quinn)@Andy Lucas (Juan Ramirez)@Liz May Brice (Supervisor)@Joseph Rye (Joe Connors)@||Secrets de tournage :
Alien VS Predator ... une saga commerciale
La saga Alien VS Predator a d'abord été diffusée sur toutes sortes de supports avant d'être adaptée à l'écran. Il y avait une série de comics à succès, une ligne de jouets, des jeux vidéos, une bande originale et des séries de cartes.
Clin d'oeil à Alien
Dans Alien vs. Predator, le rôle de Charles Bishop Weyland interprété par Lance Henriksen est un clin d'oeil à son précédent personnage dans Alien et Alien 3 où il interprétait l'androïde "Bishop".
Lex VS Ripley ?
Alexa "Lex" Woods, l'exploratrice aventurière se retrouve projetée au milieu d'une guerre entre deux races extraterrestres. Le rôle est tenu par Sanaa Lathan n'est pas sans rappeler celui de Ripley joué par Sigourney Weaver dans les différents épisodes d'Alien. Les deux héroïnes possèdent un caractère bien trempé mais selon Sanaa Lathan la comparaison s'arrête là. Elle explique :"Lex est une écolo, une solitaire, qui se retrouve dans une situation incroyable et se découvre une force insoupçonnée."
Les deux sagas en chiffres
- 4 films Alien, 2 films Predator
- Les films Alien ont remporté 3 Oscars et ont été 7 fois nominés
- 15.7 millions de DVD/VHS d'Alien et de Predator ont été vendus dans le monde
- Plus de 2.7 millions de jeux vidéo Alien VS Predator vendus dans le monde et un nouveau jeu Predator va paraitre prochainement.
- Les deux franchises ont récolté 1.2 milliard de dollars au box-office mondial.
Le réalisme avant tout...
Les créateurs/designers Alec Gillis et Tom Woodruff Jr. ainsi que le superviseur des effets visuels John Bruno étaient tous partisans d'un recours limité à l'infographie. Environ 70% des effets spéciaux de Alien vs. Predator sont physiques. Le réalisateur confie : "Le public est averrti et sensible à l'irréalité des meilleurs effets infographiques. Nous avons voulu lui donner à voir le choc de deux puissantes créatures, et la meilleure façon de procéder était d'avoir un vrai combat". S'appuyant sur leurs contributions antérieures à la série Alien, ainsi que sur les dessins originaux de H.R Giger et les concepts de leur ancien maître Stan Winston sur Predator, les créateurs ont apporté un minimum de changements aux deux créatures par respect pour leurs fans.
Paul W.S Anderson, un réalisateur convoité
Le réalisateur Paul Anderson a refusé consécutivement deux projets pour tourner Alien VS Predator. Il était en effet en première ligne pour mettre en scène Mortal Kombat: Domination et Resident evil : apocalypse, il demeure cependant producteur de ces deux films.
Du comics au cinéma
Le personnage de Verheiden tire son nom de l'auteur de comics Mark Verheiden , créateur de la première série de comics Aliens vs Predator et de la première histoire mettant en scène les deux espèces.
French touch
Petite touche française dans le casting international, Agathe de La Boulaye interprète "Adèle Rousseau", une aventurière qui prend part à la dangereuse expédition. On a récemment vu la comédienne dans Michel Vaillant et dans la comédie Irène aux côtés de Cécile de France.
Un script qui vaut de l'or
Le scénariste Peter Briggs a connu un succès immédiat en vendant son script original d'Alien vs. Predator des millions de dollars en 1991. Il a été par la suite la vedette d'articles sur les personnes ayant connu une réussite fulgurante et il a fait la couverture de nombreux magazines.
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Aliens vs. Predator - Requiem|Colin Strause Greg Strause|Science fiction|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|2008|89|Anglais||DX50|||DX50|952 Kbps|624x256|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Robbie Brenner John Davis David Giler Walter Hill|Shane Salerno|Daniel Pearl||20th Century Fox|Saga : Alien |Les deux plus mythiques franchises de la science fiction, Aliens et Predator, reprennent leur combat sans merci. Cette fois, il sera impossible de leur échapper, leur terrain de chasse étant... la Terre. |Steven Pasquale (Dallas)@Reiko Aylesworth (Kelly O'Brien)@John Ortiz (Morales)@Johnny Lewis (Ricky)@Shareeka Epps (Kendra)@Ariel Gade (Molly)@Kristen Hager (Jesse)@Sam Trammell (Tim)@Robert Joy (le colonel Stevens)@David Paetkau (Dale)@Chelah Horsdal (Darcy)@Meshach Peters (Curtis)@Matt Ward (Mark)@Michal Suchanek (Nick)@David Hornsby (Drew)@Chris William Martin (l'adjoint Ray)@James Chutter (l'adjoint Joe)@Phil Buhler (un adjoint)@Kevin Haaland (un adjoint)@Gina Holden (Carrie)@Kurt Max Runte (Buddy)@Liam James (Sam)@Tim Henry (Dr. Lennon)@Tom McBeath (Karl)@Ty Olsson (Nathan)@Anthony Harrison (Ritchie)@Lloyd Berry (Harry le sans-abri)@Rekha Sharma (Helen l'infirmière)@Catherine Lough Haggquist (Tina)@Victoria Bidewell (Sue, la femme enceinte)@Dalias Blake (le lieutenant Wood)@Tim Perez (M. Thomas)@Rainbow Sun Francks (Earl)@Juan Riedinger (Scotty)@Val Cole (le présentateur)@Andrew Hedge (le pilote du tank)@Ryan Robbins (le chauffeur de camion)@Curtis Caravaggio (le commandant des Forces spéciales)@Tom Woodruff Jr. (Alien)@Ian Whyte (Predator)@||Secrets de tournage :
Premier long-métrage
Alien vs. Predator - Requiem a été réalisé par Colin et Greg Strause, dont le studio d'effets visuels, Hydraulx, est connu pour son travail sur des films comme 300, X-Men l'affrontement final et Les 4 Fantastiques. Par ailleurs, les deux frères ont également travaillé sur Titanic de James Cameron, réalisateur de Aliens le retour...
Des aliens dans la ville
Greg Strause explique le choix de situer l'action d'Aliens vs. Predator - Requiem dans une petite ville : "Qu'est-ce qui est le plus effrayant, des Aliens et des Predators à des milliers de kilomètres de toute civilisation comme dans le premier film, ou se dire qu'ils sont là, tapis dans une ruelle sombre, à attendre de vous sauter dessus ? Dans cet environnement urbain, leur combat va prendre une toute autre dimension. La peur qu'on éprouve devient absolument et totalement primitive, et d'autant plus forte."
Une fausse vraie ville
L'action du film se déroule dans la ville de Gunnison située dans les montagnes du Colorado. Si la ville existe réellement, le tournage s'est quand même déroulé à Vancouver pour des raisons pratiques.
Face à la panique
Pour connaître les réactions des gens face à des évènements hors du commun, le scénariste Shane Salerno a étudié les comportements de personnes ordinaires face aux ouragans et incendies.
Un nouvel invité
Une nouvelle créature, encore jamais vue au cinéma, fait son apparition dans le film : le Prédalien. Son apparence a été le sujet de nombreuses interrogations chez les fans, et la sécurité a été renforcée autour de sa conception afin de ne laisser filtrer aucune information. Contrairement à ce que pourrait laisser croire son nom, le Predalien n'est pas réellement un hybride entre les deux espèces, mais un Alien incubé dans un Predator et qui a intégré certaines caractéristiques physiques du corps au sein duquel il s'est développé. Le Predalien est à 80% Alien et à 20% Predator. Il possède l'exosquelette de l'Alien, son sang acide, sa queue de scorpion et sa mâchoire extensible. De son hôte Predator, la créature a hérité les mandibules griffues qui entourent sa bouche et une version "Alien" de ses dreadlocks.
Entre deux sagas
L'histoire d'Aliens vs. Predator - Requiem se situe après celle de Predator et Predator 2 et avant celle d'Alien, le huitième passager : "Pour les fans les plus assidus, nous avons inséré plusieurs clins d'oeil qui expliquent comment les choses évoluent jusqu'au premier film de la série Alien", explique Colin Strause.
Vintage
La passion des frères Strause pour les films Alien les a poussés à demander à la Twentieth Century Fox de remasteriser numériquement les enregistrements originaux des sons et cris des créatures du film de James Cameron afin de les utiliser dans leur film.
Tournage
Le tournage du film a duré près de six semaines.
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Look Who's Talking|Amy Heckerling|Comédie||3|américain|1990|91|Anglais||DX50|||DX50|807 Kbps|720x384|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|623||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Jonathan D. Krane||Thomas Del Ruth||Columbia TriStar Films|Saga : Allo Maman |Comment Mikey, un bébé ne raconte ses débuts dans la vie entre sa gentille mère, son père par trop egocentrique, sa grand-mère branchée et son sympathique baby-sitter, James. |John Travolta (James Ubriacco)@Kirstie Alley (Mollie)@George Segal (Albert)@Olympia Dukakis (Rosie)@Jason Schaller (Mickey)@Abe Vigoda (Le grand-père)@Bruce Willis (La voix de Mickey (VO))@William B. Davis@||||||||||||@@
Look who's talking too|Amy Heckerling|Comédie||2|américain|1991|76|Anglais||XviD|||XVID|1 135 Kbps|720x384|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|702||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Jonathan D. Krane|Amy Heckerling Neal Israel|Thomas Del Ruth||Columbia TriStar Films|Saga : Allo Maman |A peine neuf mois se sont écoules depuis "Allo maman ici bébé" que le très populaire Mikey voit arriver une petite soeur. Les voila maintenant deux a juger le vaste monde des adultes et à commenter les efforts désespérés de Mollie et de James pour être de bons parents. |John Travolta (James Ubriacco)@Kirstie Alley (Mollie Ubriacco)@Olympia Dukakis (Rosie)@Elias Koteas (Stuart)@Bruce Willis (La voix de Mickey (VO))@Roseanne (La voix de Julie (VO))@Mel Brooks (La voix de Mr. homme-toilette)@Lorne Sussman (Mickey Ubriaco)@||||||||||||@@
Look Who's Talking Now|Tom Ropelewski|Comédie|Film pour enfants|2|américain|1993|91|Anglais||XviD|||XVID|930 Kbps|720x400|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Jonathan D. Krane|Tom Ropelewski Leslie Dixon|Oliver Stapleton||Columbia TriStar Films|Saga : Allo Maman |Rocks, le corniaud et Daphne, l'aristocrate caniche vont nous livrer leurs commentaires sur les nouvelles aventures d'une famille pas comme les autres, la famille Ubriacco. |John Travolta (James Ubriaco)@Kirstie Alley (Mollie Ubriaco)@David Gallagher (Mikey Ubriacco)@Tabitha Lupien (Julie Ubriacco)@Lysette Anthony (Samantha)@Olympia Dukakis (Rosie)@George Segal (Albert)@Charles Barkley (lui-même)@John Stocker (Sol)@Elizabeth Leslie (Ruthie)@Danny DeVito (Rocks (voix))@Diane Keaton (Daphne (voix))@||||||||||||@@
Alone in the dark|Uwe Boll|Thriller||1|canadien|2003|94|Anglais||DX50|||DX50|934 Kbps|640x264|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Shawn Williamson|Elan Mastai Michael Roesch Peter Scheerer|Mathias Neumann||Lions Gate Films Inc.||Les aventures du détective Edward Carnby parti sur l'île de Shadow Island pour enquêter sur le meurtre d'un ami. Sur place, il fera équipe avec une anthropologiste se nommant Aline Cedrac et sera poursuivi par des créatures de l'ombre. |Christian Slater (Edward Carnby)@Tara Reid (Aline Cedrac)@Stephen Dorff (Commander Burke)@Will Sanderson (Agent Miles)@Ed Anders (James Pinkerton)@Robert Bruce (Crewman Barnes)@Daniel Cudmore (Agent Barr)@Mike Dopud (Agent Turner)@John Fallon (Agent Yoneck)@Karin Konoval (Sister Clara)@Catherine Logh Haggquist (Agent Krashinsky)@Ho Sung Pak (Agent Marko)@Darren Shahlavi (John Houghton)@Frank C. Turner@Francoise Yip (Agent Cheung)@||Secrets de tournage :
L'adaptation d'un jeu vidéo culte
Alone in the dark est l'adaptation pour le grand écran du jeu vidéo homonyme. Concu par la société Infogrames et sorti en 1992 pour les ordinateurs PC, Alone in the dark a révolutionné le jeu vidéo, y apportant une dimension 3D jusque-là absente. Ces aventures situées dans les années 20 dans un manoir de Louisiane mettent en vedette un héros qui doit s'échapper d'une maison ténébreuses pleine de créatures avec l'aide de trois allumettes. Le jeu a été adapté pour les consoles Dreamcast, Playstation, Playstation 2 et Gameboy. Des suites ont été commercialisées, intitulées Alone in the dark 2, Alone in the dark 3 et Alone in the dark : the new nightmare.
L'ombre de Lovecraft
Le jeu vidéo Alone in the dark, dont s'inspire le long-métrage d'Uwe Boll, est lui-même inspiré de L'appel de Cthulhu, une nouvelle du célèbre romancier Howard Phillips Lovecraft, publiée en 1926 dans la revue Weird Tales.
Uwe Boll : le jeu vidéo pour crédo !
Alone in the dark est l'une des nombreuses adaptatations de jeux vidéo mises en chantier par le réalisateur allemand Uwe Boll. A son actif, The House of the dead (2003) et BloodRayne (2005), projets concrétisés, ainsi qu'Hunter : The Reckoning et Far Cry, en phase de développement.
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American Dreamz|Paul Weitz|Comédie||2|américain|2006|102|Anglais||XviD|||XVID|849 Kbps|544x288|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Paul Weitz Chris Weitz Andrew Miano Rodney M. Liber|Paul Weitz|Robert Elswit||Universal Pictures||L'émission American Dreamz rassemble des centaines de millions de téléspectateurs avides de voir s'affronter de jeunes chanteurs pop en quête de gloire. Mais le présentateur Martin Tweed veut faire encore mieux - plus démago, plus trashy, plus vachard, en un mot, plus "réel".
Une campagne de recrutement livre son lot de candidats hors normes. La formule séduit plus que jamais et les sondages atteignent de nouveaux sommets.
C'est alors que l'ambitieux "Tweedy" a l'idée de génie d'inviter... l'hôte de la Maison Blanche à arbitrer la finale. Réfugié dans ses appartements privés, le Président Staton a désespérément besoin de regagner la confiance du peuple. Et quel meilleur tremplin qu'American Dreamz, la seule émission de télé-réalité capable de faire d'un nul une star ?
Tweed anticipe déjà une finale explosive. Elle le sera à plus d'un titre... |Dennis Quaid (le Président)@Hugh Grant (Martin Tweed)@Willem Dafoe (le vice-président Sutter)@Marcia Gay Harden (la femme du Président)@Mandy Moore (Sally Kendoo)@Beau Holden (Oncle Fitz)@Candice Joyner (Une fille dans le public)@Jordan Havard (Le skater)@Chris Klein (William Williams)@Adam Busch (Sholem Glickstein)@Noureen DeWulf (Shazzy)@Sam Golzari (Omer)@Karen Gordon (Debbie Margis)@Jay Harik (Ali Aziz)@Bernard White (Agha Babur)@Haaz Sleiman (Un des chefs talibans)@Perrey Reeves (Marnie)@||Secrets de tournage :
Retrouvailles (1)
C'est la seconde fois que Hugh Grant joue sous la direction de Paul Weitz. Il interprétait le célibataire endurci de Pour un garçon, tourné à Londres d'après un roman de Nick Hornby.
Retrouvailles (2)
Après avoir joué le cadre et père de famille mis à la porte dans En bonne compagnie, c'est la seconde fois que Dennis Quaid interprète le rôle principal pour le metteur en scène Paul Weitz.
En route vers la gloire
Comme son personnage y aspire dans le film, Mandy Moore a d'abord fait carrière comme chanteuse pop. Mais, contrairement à ses collègues Britney Spears ou Christina Aguilera, la jeune fiancée de Zach Braff (l'acteur-réalisateur de Garden state), elle est la seule à mener avec succès une carrière d'actrie. On a pu la voir au générique de Saved ! ou Esprit libre, et elle sera à l'affiche du nouveau film de John Turturro, Romance and Cigarettes.
Paul tout seul
Paul Weitz et son frère Chris Weitz sont les deux hommes à la tête d' American Pie, dont ils ont réalisé le premier volet. Ils ont réédité l'expérience du travail à quatre mains avec Pour un garçon. Pour American Dreamz, Paul Weitz est seul aux commandes, comme pour son précédent film En bonne compagnie, qu'il avait aussi écrit et réalisé sans son frère Chris.
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Bring It On|Peyton Reed|Comédie||3|américain|2001|94|Anglais||XviD|||XVID|983 Kbps|720x388|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|757||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Marc Abraham Thomas A. Bliss John Ketcham|Jessica Bendinger|Shawn Maurer||Metropolitan FilmExport||Craquantes, débordantes d'énergie, les pom-pom girls sont les stars de leur université. Elles rendent les garçons fous et les autres filles jalouses. A force de prouesses et de charme, elles mettent les stades en transe.La jolie Torrance Shipman (Kirsten Dunst) le sait bien, derrière ces spectaculaires chorégraphies se cachent des heures de travail et un entraînement harrassant. Depuis six ans, l'équipe dont elle vient de prendre la tête, les Toros, est championne du pays. Mais lorsque la jeune fille découvre que le numéro qui a fait leur succès a en fait été volé aux Clovers, l'équipe adverse, son univers s'écroule.Les Clovers, menées par la ravissante Isis (Gabrielle Union), ne sont pas non plus sans soucis. Elles n'ont pas les moyens de se rendre au championnat qui approche à grands pas.Pour Torrance, il s'agit de sauver l'honneur de son équipe. Pour Isis, il faut réparer l'injustice et montrer de quoi les Clovers sont capables. Il n'y a pas que dans les stades où il va y avoir du sport. |Kirsten Dunst (Torrance Shipman)@Eliza Dushku (Missy Pantone)@Jesse Bradford (Cliff Pantone)@Gabrielle Union (Isis)@Clare Kramer (Courtney Egbert)@Nicole Bilderback (Whitney Dow)@Joelson Tsianima (Darcy)@Rini Bell (Kasey)@Nathan West (Jan)@Huntley Ritter (Les)@Ian Roberts (Sparky Polastri)@Shamari Fears (Lava)@Natina Reed (Jenelope)@Brandi Williams (LaFred)@Lindsay Sloane (Big Red)@Richard Hillman (Aaron)@Bianca Kajlich (Carver)@Holmes Osborne (Bruce Shipman)@Sherry Hursey (Christine Shipman)@Cody McMains (Justin Shipman)@David Edwards (Toros tight end)@Ashley Howard (Toros Quaterback)@Nikole Lee Amateau@Clementine Ford@Grant Thompson@Leonard Clifton@Marie Cole@Tracy Pacheco@Alicia Michelle Sassano@Natasha Soll@Ryan Drummond@Paullin Wolfe@David E. Willis@Beth LaMure@Anne Fletcher@Doug Waldo@Annie Hinton@Louise Gallagher@Edmond Clay (Commentateur de football)@Daniella Kuhn (La reporter TV)@Aloma Wright (Pauletta)@Paul Bloom (Le commentateur TV)@Melanie Atmadja (Jamie Dow)@Peyton Reed (Le mime)@Jodi Harris@Nectar Rose@Hilary Salvatore@Elyzabeth Johnson@Riley Smith@Carla Mackauf (La petite amie de Aaron)@Anna Lisa Mendiola@Stockard Channing (Le professeur de Torrance)@Brandon Henschel@Michael McCafferty@Dana Sparks@Blake Washer (Spectateur)@||Secrets de tournage :
Des acteurs au milieu des athlètes
Chaque équipe qui concourt dans American girls compte huit acteurs professionnels pour douze véritables cheerleaders. Aidés par des conseillers techniques et des préparateurs physiques, les comédiens ont acquis un niveau tel qu'il était difficile de distinguer les acteurs des sportifs.
Jessica Bendinger enthousiaste
« En rencontrant des jeunes filles de ce milieu, j'ai découvert qu'elles étaient à la pointe de leur génération. Elles associent le charme et le sport. Elles vivent leur féminité de manière totalement décomplexée. Elles ne sont pas les faire-valoir des joueurs mais leur pendant féminin. On est très loin de l'image de petites filles sages et timides vivant dans l'ombre des garçons. La preuve, les joueurs font aujourd'hui partie de leurs spectacles? »
Un film né d'une passion
Au mitan des années 1980, Jessica Bendinger, journaliste sur MTV, s'est découverte une passion pour les championnats de cheerleaders. Après leur avoir consacré un documentaire, elle décida d'écrire un scénario de fiction sur le sujet.
Qu'est-ce que les cheerleaders ?
A ne pas confondre avec les majorettes, les cheerleaders se rapprochent des pom-pom girls dans la mesure où elles forment un groupe qui soutient une équipe de sport collectif américain (football ou basket). Mais à la différence des pom-pom girls, les cheerleaders peuvent être aussi bien des garçons que des filles. Ce sont de vrai(e)s sportifs(ves), qui se soumettent à un entraînement de haut niveau.
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Bring It On Again|Damon Santostefano|Comédie||2|américain|2004|90|||XviD|||XVID|938 Kbps|640x332|MPEG-1 Audio layer 3|132 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Marc Abraham Thomas A. Bliss Kelli Konop|Claudia Grazioso|||||Whittier Smith intègre l'équipe de majorettes du campus. Très talentueuse, elle s'impose rapidement au sein de l'équipe. Mais est-elle vraiment prête à tout sacrifier pour accomplir son rêve ? |Anne Judson Yagher (Whittier Smith)@Bree Turner (Tina Hammersmith)@Kevin Cooney (Dean Sebastian)@Faune Chambers (Monica Jones)@Bryce Johnson (Greg)@Richard Lee Jackson (Derek)@Bethany Joy Galeotti (Marni Potts)@Holly Towne (Janice)@Joshua Gomez (Sammy Stinger)@Kelly Stables (Tiny Blonde)@||||||||||||@@
American History X|Tony Kaye|Drame|Interdit aux moins de 12 ans|4|américain|1999|113|Anglais||DIV3|||DIV3|653 Kbps|720x320|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|640||||25.000|28/07/2009 00:00:00|John Morrissey|David McKenna|Tony Kaye||Metropolitan FilmExport||A travers l'histoire d'une famille américaine, ce film tente d'expliquer l'origine du racisme et de l'extrémisme aux Etats-Unis. Il raconte l'histoire de Derek qui, voulant venger la mort de son père, abattu par un dealer noir, a épousé les thèses racistes d'un groupuscule de militants d'extrême droite et s'est mis au service de son leader, brutal théoricien prônant la suprématie de la race blanche. Ces théories le mèneront à commettre un double meurtre entrainant son jeune frère, Danny, dans la spirale de la haine. |Edward Norton (Derek Vinyard)@Edward Furlong (Danny Vinyard)@Elliott Gould (Murray)@Stacy Keach (Cameron Alexander)@Fairuza Balk (Stacey)@Avery Brooks (Docteur Bob Sweeney)@Beverly D'Angelo (Doris Vinyard)@Jennifer Lien (Davina Vinyard)@Ethan Suplee (Seth Ryan)@William Russ@Christopher Masterson@Paul Le Mat@||Secrets de tournage :
La musique
Elle est signée Anne Duddley. Diplômée de musique classique du Royal College of Music et du King's College de Londres, elle a travaillé avec plusieurs chanteurs et groupes, parmi lesquels : Phil Collins, Elton John, Seal, Jeff Beck, "Frankie Goes To Hollywood", "The Art Of Noise".
Au cinéma, on lui doit notamment la musique de : The Crying Game (Neil Jordan), mais surtout celle de The Full Monty (Peter Cattaneo) pour laquelle elle a été récompensée d'un Oscar.
Le montage déjà "oscarisé"
Le point commun des deux monteurs du film est d'avoir obtenu un Oscar pour leur travail. Alan Heim l'a obtenu pour All That Jazz (Bob Fosse - 1979), tandis que Jerry Greenberg l'a reçu pour French Connection (William Friedkin - 1971)
Edward Furlong n'a peur de personne...
A 12 ans, en 1991, il résiste au méchant robot de Terminator II. Après avoir été ange démoniaque (ou démon angélique) dans de nombreux films d'horreur (Simetière II, Brainscam), Edward Furlong a eu, par la suite, la particularité de tenir tête à des partenaires de renom : Jeff Bridges (American Heart - 1992), Kathy Bates (Le Combat De Ma Mère - 1993), Walter Matthau (The Grass Harp - 1996). On a pu le voir également, dans Little Odessa (James Gray - 1993) et Before And After (Barbet Schroeder - 1998)
Edward Norton et les études...
A l'écran, il peut être dépeceur d'archevêque (Peur Primale), avocat de Larry Flynt (Larry Flynt), joueur de poker invétéré (Les Joueurs), mais avant de faire du cinéma, Edward Norton a été un brillant étudiant de l'université de Yale. Il a commencé par étudier l'astronomie, avant de s'orienter vers l'Histoire, d'apprendre le japonais et de rejoindre la troupe théâtrale du campus avec laquelle il a joué Tchekhov et Shakespeare.
Tony Kaye, le réalisateur
Réalisateur de spots publicitaires et de clips vidéo, Tony Kaye réalise avec American History X son premier long métrage, sur lequel il est également directeur de la photographie.
Tony Kaye a signé la campagne des jeux Olympiques de 1996 et travaillé pour de nombreuses marques. Mais il a aussi mis son expérience au service d'autres causes; pour "Greenpace", notamment, et une association en faveur des orphelins roumains. Il a également réalisé un documentaire sur la question de l'avortement aux Etats-Unis.
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|Paul Weitz Chris Weitz|Comédie||3|américain|1999|95|Anglais||DIV3|||DIV3|812 Kbps|720x416|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|628||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Chris Weitz Warren Zide Craig Perry Chris Moore|Adam Herz|Richard Crudo||United International Pictures (UIP)|Saga : American Pie |Mortifié pour avoir été surpris par ses parents devant un film X, Jim, élève de terminale, fait un pacte avec sa bande de copains: devenir des hommes avant l'entrée à la fac. Il leur reste trois semaines pour utiliser toutes les techniques possibles de séduction. Tous les moyens sont bons, meme les plus inattendus, car chaque jour compte. Une chose est sûre, Jim ne regardera plus jamais une tarte aux pommes de la même façon! |Jason Biggs (Jim Levenstein)@Seann William Scott (Steve Stifler)@Chris Klein (Chris 'Oz' Ostreicher)@Thomas Ian Nicholas (Kevin)@Eddie Kaye Thomas (Paul Finch)@Alyson Hannigan (Michelle)@Mena Suvari (Heather)@Shannon Elizabeth (Nadia)@Tara Reid (Victoria Lathum)@Natasha Lyonne (Jessica)@Eugene Levy (Le père de Jim)@Jennifer Coolidge (la mère de Stifler)@Chris Owen (Chuck Sherman)@Molly Cheek (La mère de Jim)@Lawrence Pressman (Le coach)@Christina Millian (Une chanteuse du groupe)@Eric Lively (Albert)@Clyde Kusatsu (Le prof d'anglais)@Casey Affleck (Tom Myers)@Tara Subkoff (Une étudiante)@||||||||||||@@
American Pie 2|James B. Rogers|Comédie||3|américain|2001|103|Anglais||DIV3|||DIV3|801 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|693||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Chris Moore Craig Perry Warren Zide|Adam Herz David H. Steinberg|Mark Irwin||Universal International Pictures|Saga : American Pie |Un an après leur sortie du collège, le naïf Jim et ses copains Oz, Kevin et Finch se retrouvent pour des vacances d'été qu'ils espèrent torrides. Leur nid d'amour - un bungalow au bord du lac Michigan - n'attend plus que l'arrivée et le bon vouloir des filles : la rousse Heather, la tendre Nadia, Michelle la flûtiste, la sage Jessica et l'élégante Vicky.
Mais les choses ont évolué ces derniers mois, remettant en question les rêves et les espoirs de cette ardente jeunesse. A la suite d'un énième fiasco, Jim constate avec dépit qu'il ne suffit pas d'avoir perdu sa virginité pour être un séducteur ; Oz le nonchalant doit stoïquement s'accommoder de l'éloignement de sa chère Heather ; Kevin se demande s'il se contentera longtemps de n'être que le bon ami de Vicky, tandis que Finch potasse avec ardeur le Kama Sutra dans l'espoir fallacieux d'asservir à jamais la mère de l'ignoble Stifler. |Jason Biggs (Jim Levenstein)@Seann William Scott (Steve Stifler)@Chris Klein (Chris "Oz" Ostreicher)@Thomas Ian Nicholas (Kevin)@Eddie Kaye Thomas (Paul Finch)@Alyson Hannigan (Michelle Flaherty)@Shannon Elizabeth (Nadia)@Eugene Levy (le père de Jim)@Mena Suvari (Heather)@Tara Reid (Victoria Lathum)@Chris Owen (Chuck Sherman)@Natasha Lyonne (Jessica)@Jennifer Coolidge (la mère de Stifler)@Molly Cheek (la mère de Jim)@Denise Faye (Danielle)@Lisa Arturo (Amber)@John Cho (John)@Eli Marienthal (Le frère de Stifler)@Casey Affleck (Tom Myers)@George Wyner (Le directeur du camp)@||||||||||||@@
American Pie : The Wedding|Jesse Dylan|Comédie||3|américain|2003|91|Anglais||XviD|||XVID|923 Kbps|512x288|MPEG-1 Audio layer 3|123 Kbps|False|44.1 KHz|2|693||||29.970|28/07/2009 00:00:00|Chris Weitz Paul Weitz Chris Moore Warren Zide Craig Perry Adam Herz Chris Bender|Adam Herz|Lloyd Ahern||Universal Pictures|Saga : American Pie |Jim Levinstein et Michelle Flaherty vont enfin se marier ! Michelle, qui rêve d'un mariage parfait, rameute sa famille et ses amis, et embauche une demoiselle d'honneur canon : sa jeune soeur, Cadence. Jim demande le concours de ses trois inséparables copains, témoins de tant de frasques mémorables... |Jason Biggs (Jim Levinstein)@Alyson Hannigan (Michelle Flaherty)@Seann William Scott (Steve Stifler)@Eddie Kaye Thomas (Paul Finch)@Thomas Ian Nicholas (Kevin Myers)@Eugene Levy (le père de Jim)@January Jones (Cadence Flaherty)@Molly Cheek (la mère de Jim)@Deborah Rush (Mary Flaherty)@Fred Willard (Harold Flaherty)@Angela Paton@Eric Allan Kramer@Amanda Swisten (Fraulein Brandi)@Nikki Schieler Ziering (Krystal)@Lawrence Pressman (Le coach)@Alexis Thorpe (Jennifer)@Rob Nagle@||Secrets de tournage :
Une troisième part de tarte
American pie : marions-les ! est le troisième volet de la saga American pie, après American pie en 1999, qui traitait des premiers émois sexuels, et American pie 2 en 2000, qui abordait le thème du passage à l'âge adulte. Ce troisième épisode évoque, comme son titre l'indique, l'étape du mariage.
Jesse Dylan : le nouveau de la bande
Fils du légendaire chanteur Bob Dylan, le réalisateur Jesse Dylan, qui découvrait l'univers de la saga en dirigeant ce troisième volet, a tenté d'apporter une petite touche personnelle au long-métrage : "Je ne pouvais négliger l'héritage des premiers films, nécessaire à la continuité des personnages, mais j'ai abordé American pie : marions-les ! comme une entité distincte plutôt que comme le troisième chapitre d'une série. Le film se tient par lui-même, en tant que comédie romantique sur le mariage et offre un éclairage nouveau sur des personnages familiers."
De plus en plus drôle
Pour Eugene Levy, hilarant père de famille de la saga, ce troisième volet est sans conteste le plus drôle de tous : "Les scènes comiques s'enchaînent sans répit et l'on retrouve la générosité d'American pie. Ce film n'a pas honte de passer parfois pour légèrement sentimental, ce qui me paraît une bonne chose."
Le retour d'une vraie famille
Le producteur Adam Herz résume ce nouveau volet de la saga : "Nous avons voulu bâtir cette comédie autour de situations familières. Une cérémonie de mariage est un puissant révélateur. Elle crée une attente et soumet ses participants à de fortes pressions. Il suffit d'un grain de sable pour que tout s'enraye, provoquant une irrésistible catastrophe."
Présenté à Deauville
American pie : marions-les ! a été présenté en avant-première lors du 29e Festival du cinéma américain de Deauville.
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American Pie: Band Camp|Steve Rash|Comédie||2|américain|2005|87|Anglais||XviD|||XVID|980 Kbps|720x400|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Mike Elliott|Adam Herz Brad Riddell|Victor J. Kemper|||Saga : American Pie |Après avoir ruiné la cérémonie de remise des diplômes de son lycée, Matt Stifler, petit frère de Steve, est envoyé à Toal Oaks durant tout l'été en guise de punition. Mais le jeune Matt a bien des idées en tête... |Tad Hilgenbrink (Matt Stifler)@Jason Earles (Ernie Kaplowitz)@Arielle Kebbel (Elyse Houston)@Eugene Levy (Mr. Levenstein)@Chris Owen (Sherman)@Matt Barr (Brandon Vandecamp)@Lauren C. Mayhew (Arianna)@Tara Killian (Patti)@Matt Baker (Derek)@Lily Mariye (Susan Choi)@||||||||||||@@
American Pie: The Naked Mile|Joe Nussbaum|Comédie||2|américain|2006|97|Anglais||XviD|||XVID|865 Kbps|640x336|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00||Erik Lindsay|Eric Haase|||Saga : American Pie |Afin de na pas déshonorer la lignée des Stifler, Adam, le cousin de la famille refuse d'arriver à la fac en étant toujours puceau. Afin de vaincre encore mieux sa timidité, il accepte avec des amis de participer au "naked mile" (le marathon nu). Le principe consiste à courir nu sur 1 mile (1,6 km) pour se prouver de quoi on est capable... |Steve Talley (Adam Stifler)@Candace Kroslak (Brandy)@John White (Erik Stifler)@Jessy Schram (Tracy)@Angel Lewis (Alexis)@Devon Bostick (un étudiant)@Jon Cor (Trent)@Patricia Krasowski (une serveuse)@Eugene Levy (M. Levenstein)@Jordan Madley (Brooke)@Christopher McDonald (indéfini)@Melanie Merkosky (Natalie)@Mika Winckler (Vicki)@Pete Zedlacher (l'officier Johnson)@Bobby Corr (un coureur nu)@Michael Angelone (un coureur nu)@Dwayne Edwards (un coureur nu)@||||||||||||@@
American Pie Presents Beta House|Steve Rash|Comédie||2|américain|2005|84|Anglais||XviD|||XVID|1 019 Kbps|560x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Mike Elliott|Brad Riddell|||||La fête bat son plein sur le campus pendant l'été quand Matt Stifler, le jeune frère de Steve, vient tout ruiner. Ses singeries d'obsédé sexuel vont transformer l'été en une orgie de blagues et de caméras cachées. |Eugene Levy (M. Levenstein)@Tad Hilgenbrink (Matt Stifler)@Arielle Kebbel (Elyse)@Jason Earles (Ernie)@Crystle Lightning (Chloe )@Jun Hee Lee (Jimmy)@Matt Barr (Brandon Vandecamp)@Chris Owen (Sherman)@Lauren C. Mayhew (Arianna)@Angela Little (Sheree)@Rachel Veltri (Dani)@Timothy Stack (M. Nelson)@Ginger Lynn Allen (l'infirmière Sanders)@Russell Howard (Riggler)@Carla Alapont (Leslie)@Lily Mariye (Docteur Susan Choi)@Matt Baker (Derek)@Dossett March (Andy)@Jim Jackman (le proviseur Vegas)@Tara Killian (Patti)@Jennifer Walcott (Laurie)@Kathleen LaGue (le réceptionniste Robards)@Colleen McDermott (la mère d'Elyse)@Judy Busey (la mère d'Ernie)@||||||||||||@@
The Amityville Horror|Stuart Rosenberg|Epouvante-horreur||3|américain|1980|113|Anglais||DX50|||DX50|755 Kbps|512x288|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|700||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Elliot Geisinger Ronald Saland|Sandor Stern|Fred J. Koenekamp||UGC Ph|Saga : Amityville |Amityville, 13 novembre 1974. Dans une maison bourgeoise, un jeune homme, dans un accès de deémence, massacre ses parents, ses frères et ses soeurs. Quelque temps plus tard, cette maison est mise en vente à un prix défiant toute concurrence. La famille Lutz l'achète sans connaître la tragédie qui s'y est déroulée. |James Brolin (George Lutz )@Margot Kidder (Kathy Lutz )@Rod Steiger (le père Delaney )@Don Stroud (le père Bolen)@Murray Hamilton (le père Ryan)@John Larch (le père Nuncio)@Natasha Ryan (Amy )@K.C. Martel (Greg )@Meeno Peluce (Matt )@Michael Sacks (Jeff )@Helen Shaver (Carolyn )@Amy Wright (Jackie )@Val Avery (le sergent Gionfriddo)@James Tolkan@||||||||||||@@
Amityville II : The possession|Damiano Damiani|Epouvante-horreur||3|américain, italien|1983|100|Anglais||XVID|||XVID|856 Kbps|640x352|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|712||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Dino De Laurentiis Stephen R. Greenwald Ira N. Smith|Tommy Lee Wallace|Franco Di Giacomo||UGC Ph|Saga : Amityville |Les Montelli, une gentille famille de la middle-class américaine succèdent aux Lutz dans la maison du diable d'Amityville. |Burt Young (Anthony Montelli)@Rutanya Alda (Dolores Montelli)@James Olson (Père Adamsky)@Jack Magner (Sonny Montelli)@Diane Franklin (Patricia Montelli)@Andrew Prine (Père Tom)@Leo Cimino (le chancellier)@Brent Katz (Mark Montelli)@Erika Katz (Jan Montelli)@Moses Gunn (le détective Turner)@Ted Ross (M. Booth)@||||||||||||@@
Amityville 3-D|Richard Fleischer|Epouvante-horreur||1|américain|1983|86|Anglais||DX50|||DX50|972 Kbps|640x368|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|688||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Stephen F. Kesten|David Ambrose William Wales|Jack Cardiff|||Saga : Amityville |Quelque chose de très étrange se passe dans cette maison et pourtant John Baxter, un journaliste, décide de l'acheter. |Tony Roberts (John Baxter)@Tess Harper (Nancy Baxter)@Robert Joy (Elliot West)@Candy Clark (Mélanie)@John Beal (Harold Caswell)@Leora Dana (Emma Caswell)@John Harkins (Clifford Sanders)@Lori Loughlin (Susan Baxter)@Meg Ryan (Lisa)@Neill Barry (Jeff)@Peter Kowanko (Roger)@Rikke Borge (l'assistant d'Elliot)@||||||||||||@@
Amityville, Dollhouse|Steve White|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|1|américain|1997|92|Anglais||DIV3|||DIV3|805 Kbps|640x512|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|44.1 KHz|2|610||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Zane W. Levitt Steve White Mark Yellen|Joshua Michael Stern|Thomas L. Callaway||Sidonis Productions|Saga : Amityville |Vingt ans après le massacre de la famille Defeo, les démons rodent toujours a Amityville. Désormais ils habitent une maison de poupée que Bill et Claire Martin offrent à leur petite fille, Jessica, pour son anniversaire. |Robin Thomas (Bill Martin)@Starr Andreeff (Claire)@Allen Cutler (Todd Martin)@Rachel Duncan (Jessica Martin)@Clayton Murray (le père de Jimmy)@Lenore Kasdorf (Tante Marla)@Lisa Robin Kelly (Dana)@Franc Ross (Tobias)@Jarrett Lennon (Jimmy)@||||||||||||@@
The Amityville Horror|Andrew Douglas|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|2005|88|Anglais||XviD|||XVID|966 Kbps|608x256|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||23.976|06/08/2009 00:00:00|Michael Bay Brad Fuller Andrew Form|Sandor Stern Scott Kosar|Peter Lyons Collister||Metro Goldwyn Mayer (MGM)|Saga : Amityville |La nuit du 13 novembre 1974, le commissariat du Comté de Suffolk reçut un appel affolé,en provenance de la communauté d'Amityville. Un spectacle d'horreur attendait les policiers dans la résidence du 112 Ocean avenue : six membres d'une même famille avaient été massacrés dans leur lit, à coups de fusil. L'auteur du crime, Ronald DeFeo Jr., passa rapidement aux aveux. Il déclara avoir tué son père, sa mère et ses quatre frères et soeurs après avoir entendu des "voix" émanant des profondeurs de la maison, qui l'auraient envoûté et obligé à commettre un carnage.Un an plus tard, George et Kathy Lutz emménagent avec leurs trois enfants dans la maison d'Amityville, convaincus d'avoir trouvé la résidence de leurs rêves. Mais des événements bizarres et inexplicables - des voix, des visions cauchemardesques, une obscureet maléfique présence - ne tardent pas à troubler leur quotidien... |Ryan Reynolds (George Lutz)@Melissa George (Kathy Lutz)@Jesse James (Billy Lutz)@Jimmy Bennett (Michael Lutz)@Chloe Moretz (Chelsea Lutz)@Rachel Nichols (Lisa, la baby-sitter)@Philip Baker Hall (le Père Callaway)@Isabel Conner (Jodie Defeo)@Brendan Donaldson (Ronald Defeo)@Annabel Armour (Realtor)@Rich Komenich (le Chef de la police)@David Gee (le médecin des urgences)@Danny McCarthy (Officer Greguski)@Nancy Lollar (la libraire)@José Taitano (Stitch)@||Secrets de tournage :
Amityville : la maison de la peur
Amityville, la maison du diable et son remake Amityville s'inspirent d'événements tragiques qui se sont réellement déroulés. Le 13 novembre 1974, la police d'Amityville découvre, dans l'enceinte d'une vaste demeure située au 112 Ocean Avenue, six membres d'une même famille massacrés à coups de fusil par l'un des enfants, Ronald DeFeo Jr.
Celui-ci déclarera avoir tué tous les siens après avoir entendu des voix émanant des profondeurs de la maison.
En décembre 1975, soit treize mois après la tragédie, la famille Lutz s'installe dans la demeure, persuadée d'y voir la maison de ses rêves. Mais durant 28 jours, George, Kathy et leurs trois enfants vont se retrouver -selon eux, aucune preuve concrète n'ayant été, au final, apportée- aux prises avec une obscure et maléfique présence : des événements surnaturels inexplicables hantent leurs nuits et la demeure du 112 Ocean Avenue, dont les larges fenêtres lui donnent l'apparence d'un inquiétant visage, va devenir l'objet de toutes les rumeurs, de toutes les peurs. L'expérience traumatisante vécue par la famille Lutz inspirera le romancier Jay Anson, dont le livre inspirera à son tour le septième art. La maison d'Amityville, qui existe toujours, a, depuis ces étranges événements, accueilli d'autres propriétaires. Sans encombres.
Remake d'un classique de l'horreur
Amityville est le remake du film d'épouvante Amityville, la maison du diable, réalisé par Stuart Rosenberg en 1979. Ryan Reynolds et Melissa George y jouent les rôles respectivement tenus, dans le long-métrage d'origine, par James Brolin et Margot Kidder.
Un remake centré sur le livre d'origine
Pour Amityville, il fut décidé de s'en tenir, non pas au film d'origine, mais au livre de Jay Anson ainsi qu'aux faits réels qui se déroulèrent avant et après l'emménagement de la famille Lutz dans la demeure. Le producteur Brad Fuller explique : "Les auteurs du film original avaient éliminé une bonne partie du riche matériau du livre. Il nous a semblé opportun de réunir une documentation exhaustive sur l'histoire et de nous entretenir avec le maximum de témoins. Le problème, lorsqu'on refait un film d'horreur à succès, comme Amityville ou Massacre à la tronçonneuse, c'est que les gens font généralmeent la comparaison avec le premier, et, parfois, s'y réfèrent comme à une source incontestable. C'est ce qui nous a conduit à mixer certaines données-clés du film original à d'autres éléments, jusqu'alors inexploités, du livre."
Un novice aux manettes
Comme il l'avait fait avec Marcus Nispel pour Massacre à la tronçonneuse, le producteur Michael Bay a fait appel à un réalisateur spécialiste du spot publicitaire, mais novice dans le septième art, pour prendre les commandes d'Amityville. L'heureux élu se nomme Andrew Douglas, réalisateur de nombreux spots vantant les marques Coca-Cola, Chrysler Volvo, United Airlines, Ford ou encore Microsoft.
L'horreur psychologique comme crédo
En sollicitant les services du scénariste Scott Kosar, déjà à l'oeuvre sur Massacre à la tronçonneuse, un autre remake, les producteurs d'Amityville ont voulu développer l'angle psychologique et créer des personnages auxquels le public pourrait s'attacher. Scott Kosar expose sa vision de ce nouveau Amityville : "Le challenge consistait à raconter une histoire classique de manière à faire vibrer et trembler le public contemporain. L'ennui, avec le genre "maison hantée", c'est que ses conventions ont été recyclées X fois, notamment dans les années 90, avec un recours systématique à l'imagerie numérique. Cette version d'Amityville s'appuie moins sur les effets spéciaux et visuels que sur l'horreur psychologique."
Scott Kosar argumente sa vision : "A l'époque où j'ai découvert le premier film, Amityville, la maison du diable, j'éprouvais une fascination plus ou moins malsaine pour les histoires de possession démoniaque. Aujourd'hui, je trouve que l'aspect le plus terrifiant de cette histoire fut la tragédie des DeFeo. L'idée qu'un étranger puisse pénétrer de force chez vous a quelque chose d'effrayant. Mais la violence qui surgit de l'intérieur d'une famille est bien plus horrible. Je me suis donc concentré sur la relation entre Ronnie DeFeo et George Lutz et sur l'emprise maléfique que la maison exercera sur l'un puis sur l'autre."
Michael Bay, le "remakeur" !
L'Américain Michael Bay, le réalisateur de Bad Boys, Armageddon ou encore Pearl Harbor, officie comme producteur sur Amityville. C'est le second remake d'un classique de l'horreur qu'il produit avec sa compagnie Platinum Dunes, un an après Massacre à la tronçonneuse.
A la recherche de LA maison !
L'un des défis majeurs d'Amityville fut de trouver LA maison qui puisse ressembler à l'identique à la demeure du 112 Ocean Avenue. La production pensa dénicher l'habitation idéale aux abords de Chicago, mais celle-ci, proche d'un plan d'eau, fut ravagée par une innondation. Sous le choc, l'équipe du film eut le bonheur de trouver, à peine douze heures plus tard, une maison encore plus fidèle à l'originale. Située près de la frontière du Wisconsin, cette bâtisse presque centenaire n'avait plus qu'à être restaurée et dotée des fameuses fenêtres circulaires semblables à une paire d'yeux pour ressembler parfaitement à la maison d'Amityville.
Des accidents de tournage troublants...
D'étranges événements émaillèrent le tournage d'Amityville, donnant à celui-ci des allures particulièrement inquiétantes ci l'on se réfère au sujet du film. L'acteur principal du film, Ryan Reynolds, raconte : "Des maisons aussi anciennes que celle-ci sont toujours censées héberger des fantômes. Cela fait partie de leur folklore, et c'est avec un léger sourire qu'on écoute ces légendes. Mais il s'est réellement passé quelque chose de bizarre durant ce tournage : des lumières se sont éteintes et rallumées à plusieurs reprises au milieu de la nuit, sans raison apparente. les vigiles n'ont jamais décelé la moindre présence humaine à ces heures-là et n'ont pu expliquer ce qui s'était passé." Et l'actrice Melissa George de signaler que des objets disparaissaient ou tombaient sans que personne ne sache pourquoi. Ou encore de souligner l'étrange coïncidence qui fit que la véritable Kathy Lutz décéda, à seulement 59 ans, lors de la deuxième semaine de tournage du film...
Un enfant de plus
Alors qu'Amityville, la maison du diable avait respecté les faits historiques en mettant en vedette une famille avec trois enfants, le remake se distingue. La famille de l'Amityville version 2005 est en effet composée de quatre enfants.
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50 First Dates|Peter Segal|Comédie||3|américain|2004|95|Anglais||DX50|||DX50|892 Kbps|640x256|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Steve Golin Nancy Juvonen Jack Giarraputo|George Wing Lowell Ganz Babaloo Mandel|Jack Green||Columbia Pictures||La vie de Henry Roth est simple. Lorsque ce vétérinaire spécialiste des animaux marins polaires ne travaille pas au parc Sea Life de Hawaï, il se consacre à son autre passion : les aventures sans lendemain avec de jolies touristes en mal de romantisme. Henry refuse toute liaison sérieuse par peur de compromettre son rêve de partir en Alaska étudier les morses...Pourtant, lorsqu'il rencontre Lucy, il est tout de suite fasciné. Enfreignant sa propre règle qui lui interdit de charmer des jeunes femmes du coin, Henry aborde Lucy, discute agréablement avec elle et obtient même un rendez-vous pour le lendemain.Lorsqu'il s'y présente, Lucy ne le reconnaît pas et hurle à l'agression. Henry va découvrir que la jeune femme souffre d'une étrange maladie qui, chaque nuit, lui fait tout oublier. S'il veut vivre quelque chose avec elle, chaque jour devra être comme le premier... |Adam Sandler (Henry Roth)@Drew Barrymore (Lucy Whitmore)@Rob Schneider (Ula)@Sean Astin (Doug Whitmore)@Lusia Strus (Alexa)@Dan Aykroyd (le Dr. Keats)@Amy Hill (Sue)@Allen Covert (Tom)@Blake Clark (Marlin Whitmore)@Maya Rudolph (Stacy)@Pomaika'i Brown (Nick )@Joe Nakashima (vieil hawaïen)@Peter Dante (homme de la sécurité)@Dom Magwili (homme de la sécurité)@Jonathan Loughran (Jennifer)@J.D. Donaruma (Pablo)@Wayne Federman (le patient)@Kent Avenido (l'aide cuisinier)@Sharon Omi (habitué du Café)@Glen Chin (habitué du Café)@Aukuso Gus Puluti Sr. (habitué du Café)@Christian Guiterrez (enfant d'Ula)@James Lee (II) (enfant d'Ula)@Kylie Moore (enfant d'Ula)@Keali'i Olmos (enfant d'Ula)@Tache Uesugi (enfant d'Ula)@Lynn Collins (Linda)@Kevin James (ouvrier d'usine)@Missi Pyle (Noreen)@||Secrets de tournage :
Retrouvailles Sandler / Barrymore
Amour et amnésie marque les retrouvailles d'Adam Sandler et Drew Barrymore, les deux acteurs ayant déjà été partenaires dans la comédie romantique Demain on se marie en 1998. Tous deux participent également à la production de ce film, Drew Barrymore via sa société Flower Films et Adam Sandler avec sa compagnie Happy Madison.
2e collaboration Peter Segal / Adam Sandler
C'est la seconde fois que Peter Segal dirige Adam Sandler à l'écran, les deux hommes ayant déjà collaboré sur la comédie Self control en 2003.
Lieux de tournage
Amour et amnésie a été tourné en douze semaines, six à Los Angeles et six à Hawaï, plus une journée en Alaska, au large de Whittier, dans la baie du Prince Guillaume Sound. Les plus importants décors construits à Los Angeles ont été ceux des intérieurs du Hukilau Café, de la maison des Whitmore, ainsi que le bureau de Henry. A Hawaï, une grande partie des prises de vues se sont déroulées au parc aquatique Sea Life.
Une météo changeante
A Hawaï, l'équipe du film dut composer avec une météo extrêmement changeante. Peter Segal confie : " A Hawaï, nous étions en permanence en extérieur et tout nous échappait. La nature y est magnifique, mais le temps change si vite que la moindre scène avec un panorama devient un cauchemar. "
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Anastasia|Don Bluth Gary Goldman|Animation|Film pour enfants|3|américain|1998|94|Anglais||DivX|||DIVX|735 Kbps|720x416|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|681||||29.970|28/07/2009 00:00:00|Don Bluth Gary Goldman|Guy Bolton Arthur Laurents Susan Gauthier Bruce Graham Bob Tzudiker Noni White Eric Tuchman J. David Stem David N. Weiss|||20th Century Fox||Saint-Pétersbourg, 1917. Comment l'impératrice Marie et sa petite fille Anastasia vont être sauvées du funeste sort, provoqué par la revolution, qui s'abat sur la famille impériale, par un jeune employé de cuisine : Dimitri. Mais le destin les sépare une nouvelle fois. Dix ans après la chute des Romanov, une rumeur persistante se propage : la fille cadette de l'empereur serait encore en vie... |Céline Montsarrat (Anastasia (voix française))@Emmanuel Curtil (Dimitri (voix française))@Richard Darbois (Raspoutine (voix française))@Jean-Michel Farcy (Vladimir (voix française))@Lucienne Chiaroni (l'impératrice Marie (voix française))@Barbara Tissier (Sophie (voix française))@Patrick Guillemin (Bartok (voix française))@||||||||||||@@
Angels & Demons|Ron Howard|Thriller||3|américain|2009|128|Anglais||XviD|||XVID|626 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Brian Grazer John Calley|Akiva Goldsman David Koepp|Salvatore Totino||Sony/Columbia|Saga : Robert Langdon |Une antique confrérie secrète parmi les plus puissantes de l'Histoire, les "Illuminati", qui s'était juré autrefois d'anéantir l'Eglise catholique, est de retour. Cette fois, elle est sur le point de parvenir à son but : Robert Langdon, expert en religions d'Harvard, en a la certitude.Langdon a peu de temps pour comprendre ce qui se trame contre le Vatican et déjouer ces nouveaux crimes. Une course contre la montre et contre les tueurs qui démarre tel un jeu de piste : des églises romaines aux cryptes enfouies, des catacombes les plus profondes aux majestueuses cathédrales...Pour l'aider à comprendre toutes ces énigmes, Langdon va rencontrer Vittoria Vetra, une scientifique aussi belle que mystérieuse.Cette fois, il sait à qui il se confronte. Cette enquête diabolique est un piège, chaque secret est une clé, chaque révélation un danger... |Tom Hanks (Robert Langdon)@Ewan McGregor (Camerlengo/Patrick McKenna)@Stellan Skarsgard (Richter)@Ayelet Zurer (Vittoria Vetra)@Armin Mueller-Stahl (Straus)@Carmen Argenziano (Silvano Ventivoglio)@David Pasquesi (Vincenzi)@Cosimo Fusco (Le père Simeon)@Allen Dula (Un policier du Vatican)@Ursula Brooks (Une journaliste de BBC)@Pierfrancesco Favino (Le commandeur Olivetti)@Nikolaj Lie Kaas (Mr. Gray)@Thure Lindhardt (Chartrand)@Elya Baskin (Le cardinal)@Victor Alfieri (Lieutenant Valenti)@Kimberley Joseph (La journaliste australienne)@Norbert Weisser (Un scientifique)@Endre Hules (Un scientifique du CERN)@Gino Conforti (Un cardinal)@Masasa Moyo (Une journaliste sud-africaine)@Shelby Zemanek (La jeune fille dans le square)@Rashmi (La journaliste britannique)@Bryan Friday (Un pompier)@Yan Cui (La journaliste chinoise)@Ed Francis Martin (Le journaliste sud-américain)@Luis Fernandez-Gil (Cardinal Strauss)@Curt Lowens (Cardinal Ebner)@Jason Ciok (Matthew)@Kristof Konrad (Le journaliste polonais)@Les Feltmate (Un prêtre)@||Secrets de tournage :
Suite ou prequel ?
Considéré par beaucoup comme la suite du Da Vinci Code, Anges et démons est en réalité une sorte de prequel, contant une enquête antérieure de Robert Langdon, survenue avant les événements relatés dans Da Vinci Code. Les romans à l'origine des films sont tous deux signés Dan Brown.
On se connaît ?
Ron Howard et Tom Hanks se connaissent bien, puisqu'Anges et Démons marque leur quatrième collaboration, mais un troisième personnage ne peut manquer d'être cité si l'on évoque ce duo : le producteur Brian Grazer, associé de Ron Howard au sein d'Imagine Entertainment, une société de production qui nous a donné, entre autres, American Gangster, Menteur, menteur ou L'Echange. Les deux hommes se sont rencontrés au début des années 80, à l'époque où Grazer était producteur exécutif de pilotes TV. Et l'une de leurs premières collaborations, avant de fonder Imagine Entertainment en 1986, n'était autre que Splash... avec Tom Hanks.
Saint-Pierre... de Los Angeles
Le Vatican n'ayant pas permis à l'équipe de Ron Howard de filmer sur son territoire, la production a donc dû reproduire à l'identique une réplique de la Place Saint-Pierre de Rome en Californie !
Victime de la grève
Anges et démons a été l'une des plus importantes "victimes" de la grève des scénaristes, survenue en 2007 à Hollywood. En effet, gréviste aux côtés de ses collègues de la Writers Guild of America, le scénariste Akiva Goldsman n'avait pu retravailler le scénario dans les temps, repoussant la mise en chantier du film.
Avec la bénédiction de Tom Hanks...
Pendant le tournage à Rome, impossible pour l'équipe d'ignorer les vastes foules de touristes qui se pressaient autour d'elle. Une simple prise avec Tom Hanks et Ayelet Zurer devant le Panthéon attirait des centaines de badauds. Un jour, le cortège d'un mariage qui devait avoir lieu à quelques mètres du tournage se présenta sur la piazza della Rotonda, devant ce même Panthéon, alors que l'équipe se préparait pour une nouvelle scène. Tom Hanks, chevaleresque, s'offrit alors pour aider la mariée et son père à se frayer un chemin jusqu'au Panthéon, en traversant le plateau, au milieu des câbles et des éclairages.
Une héroïne moderne
De Vittoria Vetra, son personnage dans le film, Ayelet Zurer dit qu'elle " l'intéressait parce qu'elle représente cette génération de femmes très instruites qui exercent leur profession dans un univers encore dominé par des hommes. Elle a une vie et n'a pas abandonné sa sensibilité en embrassant sa carrière ". Toutefois, sensibilité ne rime pas avec ultra-émotivité : " Ron Howard ne voulait absolument pas en faire une hystérique ". On le comprend.
Se cultiver en travaillant...
Pour préparer son rôle, Ayelet Zurer s'est renseignée sur les expériences scientifiques liées aux accélérateurs de particules, notamment en regardant des vidéos sur le LHC (le collisionneur de hadrons géant -27 km de circonférence...- du CERN de Genève, où se déroule une partie de l'intrigue). A ces " devoirs ", Tom Hanks en a ajouté un autre, en lui suggérant la lecture du livre de Bill Bryson, A Short History of Nearly Everything (un essai de vulgarisation scientifique), que plusieurs autres membres de l'équipe ont également lu, échangeant ensuite leurs impressions sur Einstein ou l'atome...
Tom Hanks, l'homme au cachet de 50 millions de dollars
Tom Hanks a fait exploser les enchères. Selon le site CinemaBlend.com, l'acteur va percevoir le plus gros cachet jamais attribué à un acteur dans l'histoire d'Hollywood, pour reprendre le rôle de Robert Langdon dans le prélude du Da Vinci Code, Anges et Démons, adapté du célèbre livre de Dan Brown.
L'acteur avait déjà gagné 25 millions de dollars pour le Da Vinci Code, et demande donc une augmentation de 100 %, après l'immense succès mondial du film, qui a rapporté environ 760 millions de dollars de recettes.
Le Vatican infiltré
Après le refus du Vatican de tourner dans ses églises, la production a décidé d'infiltrer la cité en introduisant des cameramen qui se sont fait passer pour des touristes et ont pris près de 250 000 photos et des heures d'enregistrements vidéos dans le but de pouvoir recréer des décors fidèles.
Yeux doux
Ayelet Zurer ne tarit pas d'éloges sur son collègue Tom Hanks qui mit visiblement tout le monde à l'aise sur le tournage d'une telle superproduction. Selon elle, l'acteur oublie complètement sur le plateau à quel point il est une superstar mondiale.
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Les contributeursCe film a reçu 11 contributions, pour les secrets de tournage, de: seb2006 - Viggo90 - amlban
Les contributions faites sur cette fiche sont mises à disposition sous un contrat Creative Commons.
« Préc.
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Les contributeursCe film a reçu 11 contributions, pour les secrets de tournage, de: seb2006 - Viggo90 - amlban
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Animal Factory|Steve Buscemi|Drame||3|américain|2001|90|Anglais||DivX|||DIVX|821 Kbps|496x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|620||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Julie Yorn Elie Samaha Andrew Steven Steve Buscemi|John Steppling|Phil Parmet||Bac Films||Issu d'une famille bourgeoise de Beverly Hills, Ron Decker, tombé pour un petit trafic de drogue, n'a rien d'un criminel endurci. Mais la justice choisit, en dépit de son âge, d'en faire un exemple et le condamne à une lourde peine : la réclusion à San Quentin, une des prisons les plus dures et les plus vétustes des Etats-Unis.Ron découvre alors un monde cruel et organisé avec ses clans, ses clivages ethniques, ses luttes de pouvoir et d'influence, ses échanges clandestins. Un environnement instable, violent, où le moindre relâchement peut être fatal... Un univers dont il a tout à apprendre, sous la protection d'Earl Copen, ancien chef de gang qui connaît les us et coutumes du monde carcéral sur le bout des doigts. |Willem Dafoe (Earl Copen)@Edward Furlong (Ron Decker)@Mark Boone Jr. (Paul Adams)@Seymour Cassel (Lieutenant Seeman)@Mickey Rourke (Jan)@Tom Arnold (Buck Rowan)@Steve Buscemi (A.R. Hosspack)@John Heard (James Decker)@Chris Bauer (Bad Eye)@Rockets Redglare (Big Rand)@Jake LaBotz (Jesse)@Mark Englehardt (T.J.)@Victor Pagan (Psycho Mike)@Ernest Harden, Jr. (Richland)@Afemo Omilami (Le Capitaine Knight)@Michael Buscemi (Mr. Harrell)@J.C. Quinn (Ivan McGhee)@Steven Randazzo (Jacob Horvath)@Mark Webber (Tank)@Jonny Spanish (Billy)@Vincent Laresca (Ernie)@Larry Fesendon (Benny)@Mark Amitin (L'homme aux lunettes à double foyer)@Sal Mazzotta (Florizzi)@John Lumia (Wayne)@Antony (Toni Johnson)@John Knox (Stoneface)@Rick Walls (Iron Man)@Jeffrey Dwayne Cousar (Prisonnier)@James Johnson (Le policier au tribunal)@Paul P. Panepinto (Le juge)@Wendee Pratt (Le Premier procureur)@Jim Goodall (Le batteur)@Will Holshouser (L'accordéoniste)@Hahn Rowe (Le Violoniste)@Francisco Sandoval (Un prisonnier hispanique)@Brian Anthony Wilson (Ponchie)@Sixto Ramos (Le Sergent Perez)@James Martin Kelly (Le Sergent Armstrong)@Christopher Long (un gardien)@Sean P. Anderson (Un gardien de la section B)@Patrick F. McDade (Le district attorney McDonald)@Damali Mason (L'escorte)@Oilet Harris (L'huissier)@Anika Hawkins (Le Deuxième procureur)@Paul L. Nolan (un policier)@Vince Mancini (Le gardien chef Coburn)@Vincent Yates (Robert Knowles)@Ed Hodson (le condusteur de la benne à ordures)@Paula Gordon (La voix radio)@Danny Trejo (Vito)@Edward Bunker (Buzzard)@||Secrets de tournage :
Inspiré d'une histoire vraie
Animal Factory s'inspire du roman éponyme d'Edward Bunker, écrivain réputé et ancien détenu de San Quentin, qui a également signé l'adaptation du film. Edward Bunker, qui a fait son premier séjour en prison en 1950, a passé quelques dix-huit années sous les verrous.
Danny Trejo, ancien détenu devenu acteur
Né dans le quartier hispanique d'East Los Angeles, Danny Trejo a connu une vie tumultueuse avant de se reconvertif comme acteur. Sa jeunesse en effet été traversée par la drogue, l'alcool, la violence ; il multiplia les séjours en prison pour vols et trafic de stupéfiants. Durant cette période, il se lia d'amitié avec un codétenu de San Quentin : Edward Bunker. D'où la collaboration des deux hommes sur Animal Factory, Danny Trejo ayant entre-temps entamé une carrière d'acteur après avoir suivi un programme de désintoxication (on a pu le voir dans A bout de course, Les Princes de la ville, Desperado, Une nuit en enfer ou encore Heat.
Des conditions de tournage favorables
"Hormis quelques incidents, le tournage s'est déroulé dans des conditions optimales", explique le producteur délégué Tim Moore. "La ville de Philadelphie et l'Etat de Pennsylvanie se sont montrés extrêmement coopératifs, nous fournissant les costumes et accessoires appropriés, et même une partie des figurants, recrutés parmi les condamnés à des peines légères."
De vraies prisons comme décors
Animal Factory a été tourné dans l'ancienne prison d'Etat d'Holmsburg, près de Philadelphie. Construite par les Quakers à la fin du XIXème siècle, cette austère bâtisse ne fut évacuée et laissée à l'abandon qu'en 1996. Sa décrépitude témoigne des conditions de vie imposées à des milliers de détenus, victimes d'un système inadapté, dont la sévérité s'est largement accrue ces dernières années.
L'équipe d'Animal factory a aussi eu l'occasion de tourner dans une prison voisine, où elle a été témoin de violences bien réelles qui interrompirent plus d'une fois les prises de vues.
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The Animatrix|Mahiro Maeda Yoshiaki Kawajiri Shinichirô Watanabe|Animation||3|américain, japonais|2003|97|Anglais||DivX|||DIVX|871 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Joel Silver Michael Arias|Larry Wachowski Andy Wachowski Yoshiaki Kawajiri Koji Morimoto Peter Chung Shinichirô Watanabe|||||Ce programme de neuf courts métrages faisant appel à diverses techniques d'animation (animation classique, manga, images de synthèse...), raconte plusieurs histoires au sein du monde de la Matrice autour de la guerre hommes/machines, et se situe chronologiquement entre Matrix et The Matrix reloaded / The Matrix revolutions. Il comprend :
The Second renaissance - Première et deuxième parties - Réalisé par Mahiro Maeda, écrit par Larry et Andy Wachowski - La guerre entre hommes et machines, la genèse de la Matrice, et la chute de l'Humanité.
Program - Ecrit et réalisé par Yoshiaki Kawajiri - Au coeur d'un programme de simulation, un soldat de Zion doit choisir entre l'amour et ses camarades du monde réel.
Kid's story - Réalisé par Shinichiro Watanabe, écrit par Larry et Andy Wachowski - Un jeune lycéen est invité par Neo à tenter d'échapper à la Matrice. Il doit trouver une sortie...
World record - Réalisé par Takeshi Koike, écrit par Yoshiaki Kawajiri - Utilisant sa puissance et son endurance, un sprinter parvient à sortir de la Matrice, et à entrevoir le monde réel qu'elle dissimule.
Beyond - Ecrit et réalisé par Koji Morimoto - Dans une petite ville tranquille, Yoko découvre un bug de la Matrice, représenté par un manoir abandonné où tout semble possible. Mais les exterminateurs débarquent, pour débuger le système.
Matriculated - Ecrit et réalisé par Peter Chung - Un petit groupe de rebelles parvient à capturer une "sentinelle" et à reprogrammer le robot afin qu'il oeuvre pour la cause humaine...
Detective story - Ecrit et réalisé par Shinichiro Watanabe - Un détective privé est engagé pour traquer la cyber-criminelle Trinity.
The Final flight of the Osiris - Réalisé par Andy Jones (Square USA), écrit par Larry et Andy Wachowski - L'équipage de l'Osiris doit ramener un message vital vers la cité rebelle de Zion. Les sentinelles sont sur leur trace...
|Keanu Reeves (Neo (voix - Episode 'Kid's story'))@Carrie-Anne Moss (Trinity (voix - Episode 'Detective story'))@Kevin Michael Richardson (Thadeus)@Dwight Schultz@Allison Smith@Kath Soucie@Tara Strong@Jill Talley@James Arnold Taylor@John Wesley@Victor Williams@Matt McKenzie@Clayton Watson@Pamela Adlon@Hedy Burress@Melinda Clarke (Alexa)@Olivia d'Abo@Dane A. Davis@John DeMita@Debi Derryberry@John Di Maggio@Alex Fernandez@Jack Fletcher@Bette Ford@Rick Gomez@Tom Kenny@Phil LaMarr@Tress MacNeille@||Secrets de tournage :
La saga "Matrix"
Matrix est le premier épisode de la saga cyber-futuriste des frères Larry et Andy Wachowski. Il est suivi par la compilation de courts métrages animés The Animatrix (neuf au total, disponibles en DVD à partir du mois de juin 2003), et Matrix reloaded / Matrix revolutions, respectivement sortis en mai et novembre 2003. L'univers est également décliné en jeu vidéo, dans Enter the Matrix qui propose une heure de scène sinédites, et un jeu multijoueur dans la Matrice attendu dans les bacs en 2004.
Qu'est-ce que la Matrice ?
"Nous avons commencé à écrire Matrix en partant de l'idée que toutes les choses que nous croyons réelles, que tous les objets qui nous entourent, sont en fait élaborés par un univers électronique : la Matrice", expliquent les frères Larry et Andy Wachowski. "Tout au long de leur histoire, les hommes ont cherché à approfondir le sens de la vie, à aller au-delà des apparences, ce qui les conduits à d'étonnantes révélations. Dans ce film, nous avons voulu raconter l'aventure d'un petit groupe de rebelles qui passe de l'autre côté du miroir et prend conscience du pouvoir de la Matrice. Cette découverte amorce le récit au lieu d'en constituer le terme, comme il est de règle dans les contes initiatiques".
Des chiffres et des noms
Les noms des principaux personnages de Matrix n'ont pas été choisis au hasard, et ont chacun une réelle signification : Neo est ainsi l'anagramme de One (L'Elu) et vit dans l'appartement 101, Morpheus renvoie au Dieu des songes Morphée, Trinity représente la Trinité Mère/Femme/Guerrière et vit au N° 303, alors que Cypher rappelle indubitablement Lucifer. Quant à l'agent Smith, qui est à la fois partout et nulle part, il est tout simplement affublé du patronyme le plus usité aux Etats-Unis...
Les références de "Matrix"
Oeuvre dense, Matrix fait bien évidemment appel à de nombreuses références et cultures diverses. On y retrouve ainsi des éléments littéraires (le conte initiatique, Alice au Pays des merveilles), philosophiques (La Caverne de Platon, l'oeuvre de Baudrillard) et mythologiques (la thématique de l'Elu, l'Oracle...), mais également tirés des comic-books, de l'animation japonaise (Akira, Ghost in the Shell) et du jeu vidéo (le film est construit sur une série de choix : se faire arrêter ou fuir, prendre la pilule bleue ou la rouge, partir sauver Morpheus ou le laisser)... Autant d'éléments qui font de Matrix une oeuvre hybride, à la frontière du cinéma, de la bande dessinée, du conte et du jeu vidéo.
Qu'est-ce que Animatrix ?
Afin d'explorer plus loin encore l'univers de la Matrice, un programme regroupant neuf courts métrages animés faisant appel à tous les styles d'animation (traditionnelle, manga, images de synthèses...) a été élaboré par les studios Warner. Réalisé par les plus grands noms de l'animation japonaise et écrit notamment par Larry et Andy Wachowski, The Animatrix est édité en DVD à partir de juin 2003, entre les sorties en salles de Matrix reloaded / Matrix revolutions.
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Another Day in Paradise|Larry Clark|Policier|Interdit aux moins de 16 ans|3|américain|1999|100|||DX50|||DX50|861 Kbps|720x416|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Stephen Chin Larry Clark James Woods|Christopher B. Landon Stephen Chin|Eric Edwards||Opening Distribution||Le Midwest, aux Etats-Unis, au début des années 70. Bobbie, un adolescent à la dérive, vit de petits larcins. C'est alors qu'il rencontre Mel, truand et dealer charismatique qui le persuade de voir plus grand. Avec Sid, son amie, Rosie, la copine de Bobbie, Mel met au point un gros coup. Ils touchent le gros lot. Mais revendre le butin s'avère plus dangereux que de l'acquérir... |Melanie Griffith (Sid)@James Woods (Mel)@Vincent Kartheiser (Bobbie)@Natasha Gregson Wagner (Rosie)@James Otis (le révérend)@Branden Williams (Danny)@Peter Sarsgaard@Paul Hipp@Leo Fitzpatrick@||Secrets de tournage :
Une scène pour Clarence Carter
Le producteur Stephen Chin a retrouvé Clarence Carter, un des derniers grands chanteurs de blues de l'Alabama, et l'a convaincu de se produire dans une scène du film spécialement écrite pour lui.
L'utilisation de la musique
L'utilisation de la musique dans Another day in paradise est nouvelle en ce qui concerne le genre policier. Alors que les films représentatifs du genre utilisent une partition lourdement dramatique pour accroître la tension, Larry Clark a préféré s'en tenir à un choix rigoureux des amateurs de blues et de gospels issus du Sud profond, particulièrement de l'Alabama et du Tennessee dans les années soixante.
Ambiguïté sur l'époque et le lieu
Situé "quelque part" dans le Midwest américain, Another day in paradise entretient une ambiguïté volontaire sur les extérieurs. De la même manière, l'époque où se déroule le film est ambiguë. Larry Clark a en fait voulu un film moins précis sur les extérieurs et l'époque que sur les personnages, les circonstances qu'ils traversent et les conséquences sur leurs vies.
Filmer la violence à l'état brut
"La façon dont la violence est habituellement montrée dans les films n'a rien à voir avec la réalité" dit Larry Clark. "Dans la vie réelle, la violence est très brusque, très intense." Le producteur Stephen Chin confirme : "Beaucoup de réalisateurs choisissent délibérément de styliser les choses que les spectateurs pourraient trouver choquantes, comme la violence et la drogue. Larry vous les livre avec une pureté et une franchise qui les rendent dévastatrices".
La motivation de James Woods
La passion de James Woods pour le sujet et son talent ont convaincu Larry Clark qu'il représentait le choix idéal pour Mel. L'acteur fut intéressé à ce point par le projet qu'il s'impliqua dans la production du film. "J'ai réellement admiré le premier film de Larry", déclare James Woods. "Il a un regard juste et anticonventionnel qui sait capter la vérité. Le script d'Another day in paradise rend compte de la réalité de la vie marginale, autant de sa brutalité que de son humour, et je savais qu'il ne deviendrait pas l'un de ces films mensongers qui la glorifie. Quand j'ai lu le script, j'ai su qu'avec Larry comme réalisateur, cela deviendrait un film passionnant".
Larry Clark ne se laisse pas faire
Durant le tournage, Melanie Griffith et James Woods, familiers d'une certaine discipline hollywoodienne, avaient tendance à expliquer à Larry Clark comment opéraient les autres cinéastes. "Je leur répondais systématiquement que je m'en fichais complètement", dit ce dernier. "Les réalisateurs pensent en termes techniques de réalisateur. Pour ma part, je raisonne en libre artiste. (...) J'agis seulement en fonction de mon instinct, en fonction de l'histoire que je raconte. De tous les interprètes d'Another day in paradise, James Woods s'est montré le plus à l'aise avec cette liberté imposée. Il excelle à cet exercice, il adore. Pour les autres, ce fut d'abord un handicap. Dans l'improvisation, il faut savoir prendre des risques, se faire à soi-même confiance. S'abandonner à ses pulsions."
Censure
L'action du film se situe dans les années 70. Une courte scène d'introduction évoquait l'époque et la guerre du Viêt-nam... Elle a dû être coupée à la demande de la commission de censure américaine afin que le film puisse être
classé "R" (r : "restricted", qui interdit le film aux mineurs de moins de 17 ans non accompagnés) et non NC-17 (interdiction aux mineurs et refus des chaînes de télévision et de la presse écrite d'en faire la promotion).
Natasha Gregson Wagner ("Rosie")
Fille de Natalie Wood et du scénariste Richard Gregson, belle-fille de Robert Wagner, Natasha Gregson Wagner triompha en 1998, au Festival de Sundance, dans First love, last rites de Jesse Peretz.
Vincent Kartheiser ("Bobbie")
Natif du Minnesota, Vincent Kartheiser a fait ses premières armes au théâtre, où il a notamment fait partie de la distribution de Henry IV et Henry V de
Shakespeare, au prestigieux Tyron Guthrie Theater. Au cinéma, il s'est fait remarquer dans Alaska de Fraser C. Heston, L' Indien du placard de Frank Oz et Coeur sauvage de Tony Bill.
Les origines du film
Another day in paradise est le pendant cinématographique du poème Tulsa, un essai photographique sur les délinquants aux Etats-Unis entre 1961 et 1972. Mais l'origine du film est un manuscrit, non publié, écrit en prison par un inconnu : Eddie Little.
"C'était un terrain que je connaissais, qui m'était familier", indique Larry Clark. "J'ai senti immédiatement que je connaissais Eddie sur le bout des
doigts. Il aurait dû être mort depuis des lustres mais ne l'était pas (...). A la lecture du bouquin d'Eddie Little, j'ai vu défiler mes années de jeunesse. Instantanément, je me suis senti en phase avec cet univers, avec le style d'existence des hors-la-loi, des marginaux qui arpentent l'Amérique d'Est en Ouest, du Nord au Sud. Bien sûr, il existe énormément de films sur le sujet, amis je ressentais le besoin de donner mon point de vue, de brosser
mon propre tableau de ce thème, d'y apposer ma signature. En fait, je voulais me distinguer de mes prédécesseurs dans ce domaine en collant au plus près à la réalité."
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profonde nécessité de le porter à l'écran. Pourquoi cet empressement ? Parce que ce récit me donnait la possibilité de retourner vers mon passé, de feuilleter quelques pages de ma propre existence à travers l'histoire de
personnages fictifs."
Grand Prix au Festival de Cognac 1999
Another day in paradise a remporté le Grand Prix du Festival du Film Policier de Cognac 1999.
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Eight Below|Frank Marshall|Aventure||3|américain|2006|110|Anglais||XviD|||XVID|783 Kbps|568x216|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|702||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Patrick Crowley Doug Davison David Hoberman|David DiGilio Mike Rich|Don Burgess||Walt Disney Pictures||Alors qu'ils mènent une expédition scientifique en plein Antarctique, le guide Jerry Shepard et le géologue Davis McClaren sont victimes d'un accident qui aurait pu être fatal si leurs chiens de traîneau ne les avaient pas tirés d'affaire.Evacués d'urgence dans des conditions extrêmes, Jerry est contraint d'abandonner ses chiens au coeur d'un des hivers les plus redoutables que la zone polaire ait connus.Livrés à eux-mêmes, les huit animaux vont tenter de survivre dans une nature aussi majestueuse qu'hostile. Incapable d'oublier ses compagnons à quatre pattes, Jerry tente par tous les moyens de retourner sur place, mais les conditions météo l'en empêchent. Face aux pires conditions qui soient, humains et chiens vont tout affronter pour se retrouver... |Paul Walker (Jerry Smith)@Jason Biggs (Charlie Cooper)@Bruce Greenwood (Davis McClaren)@Moon Bloodgood (Katie)@Wendy Crewson (Eve McClaren)@Dan Ziskie (Le commandant de l'armée)@Malcolm Stewart (Charles Buffet)@August Schellenberg (Mindo)@Gerard Plunkett (Dr. Andy Harrison)@Belinda Metz (Rosemary)@Duncan Fraser (Le capitaine Lovett)@Megan McKinnon (La fille en kayak)@Damon Johnson (Jamison)@Brenda Campbell (Serveuse)@Panou (Howard)@||Secrets de tournage :
Un cinéaste aventurier
Le réalisateur Frank Marshall est un habitué des tournages en milieu extrême : on lui doit notamment Arachnophobie, qui débutait en Amazonie, Les Survivants , qui racontait le crash d'un avion en pleine Cordillière des Andes, ou encore Congo, qui se déroulait dans le fin fond de l'Afrique Noire.
Inspiré d'une histoire vraie
Le film est inspiré de faits réels qui se sont déroulés en 1957, au cours d'une expédition menée par des Japonais. A partir de là, David DiGilio s'est documenté précisément sur l'histoire mouvementée des expéditions polaires pour ancrer son histoire dans un contexte plus proche. L'action de Antartica est aujourd'hui située en 1993, ultime année durant laquelle les chiens de traîneau furent encore autorisés à participer à des expéditions en Antarctique. En effet, pour éviter que les chiens ne diffusent les maladies dont ils peuvent être porteurs, notamment auprès des phoques, ils sont désormais interdits sur ce continent préservé.
Un "Antarctica" made in Japan
Les faits relatés dans Antartica ont également inspiré un film, Antarctica, réalisé par Koreyoshi Kurahara en 1983. A la découverte de ce classique japonais, le producteur David Hoberman a été saisi par la puissance visuelle et émotionnelle de l'oeuvre. Une des raisons qui expliquent son implication dans le développement du long métrage de Frank Marshall.
Frank Marshall incollable sur les huskies
Pour les besoins du film, Frank Marshall demanda à l'une de ses amies, Susan Butcher, quatre fois vainqueur de l'une des plus grandes courses de chiens de traîneau du monde, l'Iditarod, de lui apprendre tout ce qu'elle pouvait sur les huskies, leur esprit et leurs remarquables capacités.
Des héros qui ont du chien
Pour le casting des chiens, Frank Marshall s'est tourné vers Birds & Animals, l'une des sociétés d'entraînement animal les plus réputées de Hollywood. Après un processus de sélection, cette compagnie a réuni un groupe aussi éclectique que riche avec notamment Koda Bear, âgée de sept ans, qui joue Maya, la chienne de tête, D.J., âgé de six ans qui joue Max, Noble, trois ans, qui joue Shadow, Dino, deux ans, qui joue Buck, Floyd, quatre ans et Sitka, trois ans, qui jouent les jumeaux Dewey et Truman, Jasper, qui joue Shorty le rebelle et Apache, quatre ans, qui joue l'ancien de la meute, Old Jack.
Tous ces chiens ont commencé leur entraînement en Californie puis, trois mois avant le début du tournage, la meute et les 20 dresseurs sont partis sur un domaine enneigé près de Smithers, au Canada, pour s'acclimater au froid et à la glace. Toute la spécificité de leur entraînement consistait à leur apprendre à exécuter des actions mais aussi à véhiculer des émotions.
Entraînement pour Paul Walker
Une fois engagé sur le projet, Paul Walker s'est entraîné avec un musher professionnel pour apprendre tous les trucs et maîtriser l'aspect technique de son rôle. Ayant passé beaucoup de temps avec les chiens de traîneau, il confie : "J'ai grandi avec des chiens à la maison. Travailler avec ceux du film a été une grande expérience. Ils avaient chacun leur caractère. J'ai eu la chance de vraiment vivre avec eux, nous avons fait du traîneau ensemble et c'était génial."
Bruce Greenwood en phase avec son rôle
Bruce Greenwood, qui a grandi au pied des pistes près de Vancouver, est passionné de ski au point d'aller pratiquer sur l'Himalaya ou dans l'extrême Nord canadien. Son père était géologue. Autant dire que la connexion avec son personnage s'est faite sans difficulté.
Tournage au Canada, au Groenland et en Norvège
Pour trouver des lieux crédibles et plus faciles d'accès que l'Antarctique, le réalisateur a fait appel au spécialiste des repérages en montagne, Robin Mounsey. Après des recherches intensives, celui-ci a fini par trouver les lieux capables de figurer de manière authentique ce continent à l'écran.
Avec Frank Marshall, il a choisi une petite station de ski d'altitude, Smithers, située à 1200 kilomètres au nord de Vancouver, au Canada, comme base principale. Smithers est bâtie sur un immense plateau qui offrait une parfaite reproduction des magnifiques paysages antarctiques. Certains plans ont également été tournés à Stewart, non loin de l'Alaska, mais situé comme Smithers dans la province de Colombie Britannique. Une partie du tournage s'est également déroulée au Groenland et sur les glaciers du Spitzberg, en Norvège.
Souci logistique
L'un des obstacles logistiques concernait le transport des personnes et du matériel sur les lieux de tournage. Frank Marshall raconte : "Nous avons découvert la solution au Groenland. Les militaires suédois ont un véhicule incroyable, le Hagglund, un monstre monté sur chenilles qui peut emmener jusqu'à 120 personnes en un voyage. Avec cet engin de science-fiction, les trajets devenaient un jeu d'enfant. C'est tellement impressionnant que j'ai tout de suite décidé de l'inclure au scénario."
L'Antarctique en question
L'Antarctique fait deux fois la taille de l'Australie. Il contient 10% des terres émergées de la planète. Les touristes ne visitent pas ce continent l'hiver, car les températures peuvent descendre jusqu'à -90° celsius et il y fait nuit presque 24 heures sur 24. Cette température peut monter jusqu'à -35° durant les mois les plus chauds, entre décembre et juillet. Si la seule population permanente qui y vit sont les pingouins, beaucoup de scientifiques se rendent en Antarctique pour étudier son climat et les organismes qui y vivent.
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Anticorps / Virus|Christian McIntire|Fantastique|||Etats-unis|2002|86|||XviD|||XVID|989 Kbps|640x336|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|||||||Entre la vie et la mort, le terroriste Anthony Moran est plus dangereux que jamais. S'il meurt, un micro détonateur greffé dans son cerveau provoquera l'explosion d'une bombe nucléaire et la mort de millions d'innocents. Comment le désamorcer ? Une seule solution : pénétrer à l'intérieur même de son corps, un miracle technologique que rend possible la miniaturisation d'un submersible et de son équipage... |Lance Henriksen@Robin Givens@William Zabka@Gastón Pauls@Teodora Ivanova@Stella Ivanova@Kathleen Lambert@Velizar Binev@Julian Vergov@Christian McIntire@Ken McGraw@Max Allan@Angelo George@Tyrone Pinkham@Nick Brennen@||||||||||||@@
Antitrust|Peter Howitt|Thriller||3|américain|2001|104|Anglais||XVID|||XVID|774 Kbps|720x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|683||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Keith Addis David Nicksay Nick Wechsler (II)|Howard Franklin|John Bailey||EuropaCorp Distribution||Jeune idéaliste et véritable génie informatique, Milo Hoffmann (Ryan Philippe) partage sa vie avec Alice Poulson (Claire Forlani), sa petite amie. Un bel avenir s'ouvre devant lui : il veut devenir l'artisan de la convergence numérique. Bientôt, grâce à ses recherches, tous les instruments numériques pourront se comprendre et être associés.
Il a créé dans son garage sa propre start-up avec son grand copain Teddy Chin (Yee Jee Tso), lorsqu'il reçoit une offre alléchante de N.U.R.V. Corp., une très grande compagnie de Silicon Valley spécialisée dans l'informatique. A sa direction se trouve Gary Winston (Tim Robbins), un grand magnat qui lui a servi de modèle.
Milo ne veut pas décevoir son ami, mais Gary a besoin de lui et de son savoir-faire pour rester leader sur son marché. Le jeune premier concrétise donc son rêve en travaillant chez N.U.R.V.. Excité par son nouvel emploi et sa nouvelle vie, Milo se voit assister par Lisa (Rachael Leigh Cook), une jeune fille séduisante et ambiguë.
Mais lorsqu'un de ses proches est victime d'un crime étrange, il comprend très vite que la compagnie est prête à tout pour parvenir à ses fins, quitte à employer les méthodes les plus inavouables.
Ce thriller informatique dans la lignée de La Firme est signé Peter Howitt. |Ryan Phillippe (Milo)@Douglas McFerran (Bob Shrot )@Richard Roundtree (Lyle Barton )@Claire Forlani (Alice Poulson / Rebecca Paul )@Rachael Leigh Cook (Lisa Calighan )@Tim Robbins (Gary Winston )@Tygh Runyan (Larry Banks)@Yee Jee Tso (Teddy Chin)@Nate Dushku (Brian Bissel)@Ned Bellamy (Phil Grimes)@Tyler Labine (Redmond)@Scott Bellis (Randy)@David Lovgren (Danny)@Zahf Hajee (Desi)@Jonathon Young (Stinky)@Rick Worthy (l'assistant de Bob Shrot)@Nathaniel DeVeaux (un avocat)@Linda Ko (la secrétaire de Gary)@Ian Robison (un avocat)@Ed Beechner (Ken Cosgrove)@Bobby Stewart (un gardien du bâtiment 20)@Eric Breker (un gardien du bâtiment 20)@Colin Cunningham (un gardien du bâtiment 20)@J.R. Bourne (le gardien du bâtiment 21)@Dayna Devon (la présentatrice télé)@Eric Keenleyside@Ron Halder@Sarah Deakins@Daniel McKellar@Howard Storey@Elizabeth Carol Savenkoff (Clarissa Winston)@Ingelise Nherlan (la femme du yoga)@Peter New (un skinhead)@Blaine Perrin (un skinhead)@Colin Foo (l'épicier)@Helena Yea (la femme de l'épicier)@Claire Riley (une journaliste)@Patti Vietta (une journaliste)@Rob Court (un journaliste)@Scott Fee (un journaliste)@Norma Jean Wick (une journaliste)@Tamara Taggart (une journaliste)@Linden Banks (un journaliste)@Benita Ha (la journaliste à la soirée)@Justin Sain (un policier)@Ricardo Scarabelli (un policier)@Ian Bliss (un policier)@Peter Goudie (un sénateur)@Anees Peterman (un sénateur)@Gregor Trpin@Peter Howitt (le sans-abris)@Miguel de Icaza (lui-même)@Julie McDowell@Scott McNealy (lui-même)@Brian Walley (le photographe de presse)@Robert J. Halas (le cameraman)@Daniel Cruz@Dino Pallome@Tyson Holmes@Paresh Ramji@Rachel McGinnis@Jason Singer@Francisco Ortiz@Simon Wong@Greg Armstrong-Morris@||Secrets de tournage :
Les craintes de Peter Howitt, réalisateur :
« J'ai retrouvé dans le scénario l'expression de certaines de mes craintes. Il faut se méfier des dérives. L'information, c'est le pouvoir, et aujourd'hui ce pouvoir est aux seules mains de quelques personnes incroyablement riches et puissantes. Quels intérêts servent-elles, les nôtres ou les leurs ? La situation est plutôt risquée, et cette histoire le met en évidence de façon palpitante. »
Howard Franklin va plus loin?
« Au cours de mes recherches, j'ai beaucoup appris sur la « convergence digitale », la capacité de tous les appareils numériques à communiquer les uns avec les autres. Les plus grands experts de l'industrie s'accordent à dire que ce sera le prochain grand pas en avant, que cela modifiera complètement notre existence et l'économie. Les compagnies qui les premières, rendront possible cette convergence, seront les premières bénéficiaires d'un énorme enjeu. Il est question de milliards de dollars? La question du contrôle de cette convergence se pose alors : doit-il être privé et payant ou libre pour tous ? »
Derrière et devant la caméra :
Peter Howitt est d'abord comédien au théâtre, à la télévision et au cinéma. Sur le grand écran, on a pu le voir dans : Au nom du père de Jim Sheridan, et Some mother's son de Terry George.
C'est avec Pile & face qu'il passe à la réalisation de son premier long métrage, film dont il écrit également le scénario.
Howard Franklin, scénariste :
On lui doit le scénario de Traquée de Ridley Scott, et de L'homme qui en savait trop peu de Jon Amiel. Howard Franklin a également écrit l'adaptation du NOM DE LA ROSE, de Jean-Jacques Annaud, d'après le livre d'Umberto Eco.
En tant que scénariste et réalisateur, il réalise Hold up à New York avec Bill Muray, Geena Davis et Jason Robards, et L'?il public , avec Joe Pesci, Barbara Hershey et Stanley Tucci.
La contribution des experts
Outre Gentry Lee (ingénieur en chef du vaisseau spatial Galileo et directeur du planning de la mission et de l'analyse scientifique du projet Viking de la Nasa), Linus Torvalds (créateur de Linux, le célèbre logiciel libre), John « mad Dog » Hall de Linux International, ou Scott McNealy (président de Sun Microsystems), ont participé à des degré divers au tournage du film.
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Apollo 13|Ron Howard|Drame||3|américain|1995|134|Anglais||DIV3|||DIV3|590 Kbps|720x320|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|693||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Brian Grazer|William Broyles Jr. Al Reinert|Dean Cundey||United International Pictures (UIP)||"Houston, nous avons un probleme", c'est la phrase qui, le 13 avril 1970 a 21h7, fit sursauter les hommes qui surveillaient un vol de routine du vaisseau "Apollo 13" depuis la salle de controle de la NASA. Un des reservoirs d'oxygene venait d'exploser a la 55e heure du vol et a 205 000 miles de la Terre. |Tom Hanks (Jim Lovell)@Bill Paxton (Fred Haise)@Gary Sinise (Ken Mattingly)@Ed Harris (Gene Kranz)@Kevin Bacon (Jack Swigert)@Kathleen Quinlan (Marilyn Lovell)@Mary Kate Schellhardt (Barbara Lovell)@Emily Ann Lloyd (Susan Lovell )@Miko Hughes (Jeffrey Lovell )@Max Elliott Slade (Jay Lovell )@Tracy Reiner (Mary Haise )@David Andrews (Pete Conrad )@Joe Spano (Le directeur de la NASA)@Xander Berkeley (Henry Hurt)@Clint Howard (EECOM White)@Loren Dean (EECOM Arthur)@Todd Louiso (FAO White)@Austin O'Brien (L'enfant doué)@Rance Howard (Le Révérend)@Roger Corman (L'homme du Congrès)@Endre Hules ( Gunther Wendt)@Brian Markinson ( Pad Rat)@Chris Ellis (Deke Slayton)@Frank Cavestani (Un journaliste)@Marc McClure (Glynn Lunney)@Geoffrey Blake (GUIDO Gold)@Brett Cullen (CAPCOM 1)@Ben Bode (INCO Gold)@Googy Gress (RETRO White)@Christopher John Fields (Booster White)@Michele Little (Jane Conrad)@Christian Clemenson (Dr. Chuck)@Ray McKinnon (Jerry Bostick)@Bruce Wright (Anchor)@Jean Speegle Howard (Blanch Lovell)@Carl Gabriel Yorke (Un technicien de SIM)@Ivan Allen (Anchor)@Arthur Senzy (Un technicien de SIM)@Andy Milder (GUIDO White)@Ben Marley (John Young)@Gabriel Jarret (GNC White)@Herb Jefferson Jr (Un journaliste)@Joseph Culp (TELMU Gold)@Todd Hallowell (Le civil bruyant)@Jack Conley (Correspondant de Science)@Jane Jenkins (Une voisine)@Max Grodenchik (FIDO Gold)@John Dullaghan (Un journaliste)@Steve Rankin (Pad Rat)@John Wheeler (Un journaliste)@John Wheeler (Un journaliste)@Thom Barry ( Orderly)@John Short (INCO White)@Kenneth White (Grumman Representative)@Larry Williams (Buzz Aldrin)@Jim Meskimen (TELMU White)@Thomas Crawford (Un journaliste)@Wayne Duvall (LEM Controller White)@Jon Bruno (Anchor)@Ned Vaughn (CAPCOM 2)@James Ritz (Ted)@Steve Ruge (Edward White )@Meadow Williams (Kim)@Paul Mantee (Un journaliste)@Ryan Holihan (Un technicien de SIM)@Julie Donatt (Une journaliste)@Tom Wood (II) (EECOM Gold)@Mark Wheeler (Neil Armstrong)@Reed Rudy (Roger Chaffee)@||||||||||||@@
Meet Dave|Brian Robbins|Comédie|Film pour enfants à partir de 10 ans|2|américain|2008|89|Anglais||XviD|||XVID|947 Kbps|624x336|MPEG-1 Audio layer 3|32.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|28/07/2009 00:00:00|David Friendly Marc Turtletaub Jon Berg Tom Komarnicki|Rob Greenberg Bill Corbett|J. Clark Mathis||20th Century Fox||Afin de sauver leur Monde, un équipage d'extra-terrestres minuscules arrive sur Terre dans un vaisseau très spécial, qui leur permet de passer (presque) inaperçu. Il s'agit de la réplique parfaite d'un homme (qui ressemble au Capitaine du Vaisseau) dont chaque membre de l'équipage est responsable d'une partie du corps.Mais ressembler à un être-humain est une chose - se comporter comme un être-humain s'avère être beaucoup plus compliqué ! |Eddie Murphy (Dave / Capitaine)@Elizabeth Banks (Gina Morrison)@Gabrielle Union (No. 3)@Scott Caan (Dooley)@Ed Helms (No. 2)@Kevin Hart (No. 17)@Mike O'Malley (Knox)@Austyn Myers (Josh)@Judah Friedlander (ingénieur)@Pat Kilbane (No. 4)@Marc Blucas (Mark)@Jim Turner (le médecin)@Brandon Molale (l'agent de sécurité)@Austyn Myers (Josh Morrison)@Adam Tomei (No. 35)@Brian Huskey (Lieutenant Bras Droit)@Shawn Christian (Lieutenant Bras Gauche)@Rob Moran (le médecin des urgences)@Jane Bradbury (No. 81)@Brad Wilson (II) (Lieutenant Jambe Droite)@Miguel A. Núñez Jr. (équipier costaud)@John Gatins (le contrôleur aérien )@Nick Berman (jeune costaud)@Smith Cho (Lieutenant Jambe Gauche)@Yung-I Chang (le génie)@David Goldsmith (Lieutenant Fesses)@Paul Scheer (Lieutenant Rotule)@James Michael Connor (le principal)@||Secrets de tournage :
Une équipe qui gagne
Appelez-moi Dave marque la seconde collaboration entre le réalisateur Brian Robbins et Eddie Murphy. Ils avaient auparavant travaillé ensemble sur Norbit qui avait rapporté aux Etats-Unis plus de 90 millions de dollars.
Economies sur le casting
A l'instar de ses dernières comédies (Norbit, La Famille Foldingue), Eddie Murphy incarne plusieurs personnages puisqu'il prête ses traits au vaisseau spatial à forme humaine, Dave, ainsi qu'à son capitaine.
Dans la lignée de Buster Keaton
"Dans Appelez-moi Dave, Eddie fait de la comédie physique classique, avoue le producteur Todd Komarnicki, du burlesque dans la veine de Buster Keaton et Chaplin. Quand il joue le vaisseau-Dave naviguant dans les rues de New York en essayant de cacher le fait qu'il n'est pas humain, il y a une innocence, une pureté dans son interprétation qui vient tout droit de son regard.
Design d'intérieur
L'intérieur du vaisseau spatial est inspiré du terminal TWA de l'aéroport international John F. Kennedy à New York, un bâtiment au design futuriste dessiné par Eero Saarinen. "Cette construction ressemble beaucoup à un squelette et il n'y a dedans aucun angle droit, explique le chef décorateur Clay A. Griffith. C'est une enceinte faite de courbes qui s'imbriquent les unes dans les autres. J'ai pensé que c'était une bonne base de départ parce qu'il n'y a pas beaucoup d'angles droits dans le corps humain..." Clay A. Griffith a également été influence par le Milwaukee Art Museum
Du petit au grand écran
Le scénariste Rob Greenberg est un spécialiste de la comédie puisqu'il est un des auteurs des séries Frasier et How I Met Your Mother. Appelez-moi Dave est le premier film qu'il écrit pour le cinéma
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Après vous...|Pierre Salvadori|Comédie||3|français|2003|105|Français||XviD|||XVID|786 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Philippe Martin|Pierre Salvadori Benoît Graffin David Léotard Danièle Dubroux|Gilles Henry||Paramount Classics||Antoine est maître d'hôtel dans une brasserie parisienne.Un soir, en rentrant du travail, il sauve un inconnu du suicide. Se sentant étrangement coupable d'avoir sauvé la vie de cet homme, Antoine n'a de cesse de vouloir l'aider, le réparer.Mais il a beau faire, Louis n'a qu'une seule obsession, Blanche, la femme de sa vie, celle à cause de qui il a voulu mourir... Sans en parler à son nouvel ami, Antoine décide de la retrouver. Mais les choses ne se passent pas tout à fait comme prévues.Blanche n'est pas seule, et surtout elle est belle... |Daniel Auteuil (Antoine)@Sandrine Kiberlain (Blanche)@José Garcia (Louis)@Marilyne Canto (Christine)@Michèle Moretti (Martine)@Garance Clavel (Karine)@Fabio Zenoni (André)@Ange Ruzé (le jeune serveur)@Catherine Klein@Andrée Tainsy (la grand-mère de Louis)@Jean-Luc Abel (l'inspecteur)@Caroline Brunner (la petite amie d'André)@Jocelyne Desverchere (Sandrine la fleuriste)@Didier Menin (un homme dans le restaurant thaï)@Jean-Charles Dumay (Serge le sommelier)@Jean-Claude Lecas (le cuisinier)@Elise Otzenberger (le coiffeur)@Blandine Pelissier (l'infirmière)@||Secrets de tournage :
Alain Chabat dans le rôle de José Garcia
Pour Après vous, Alain Chabat était initialement pressenti dans le rôle de Louis, personnage qui fut finalement incarné par José Garcia.
Inversion Bacri / Auteuil
Echange de rôle entre acteurs : c'est Jean-Pierre Bacri qui était pressenti pour interpréter Antoine dans Après vous, tandis que Daniel Auteuil devait pour sa part incarner le personnage de François dans Les Sentiments.
Trois ans après "Les Marchands de sable"
Après vous marque le grand retour de Pierre Salvadori derrière la caméra, trois ans après la sortie en salles de son précédent long métrage Les marchands de sable.
Trois réalisateurs au scénario
Le scénario a été co-écrit par trois réalisateurs : Pierre Salvadori, Danièle Dubroux, metteur en scène de La Petite allumeuse, et Benoît Graffin, cinéaste du Café de la plage.
Le déclic de l'histoire
Pierre Salvadori avait envie de faire un film rapide, avec des personnages dépassés par les événements, par leurs émotions, "des personnages plein de contradictions et pourtant finalement assez cohérents".
L'idée du film
Pierre Salvadori est parti de l'idée d'un personnage toujours en train de courir, qui se sent un peu coupable et s'imagine en même temps assez indispensable. Ne progressant pas dans l'écriture du scénario, c'est Danièle Dubroux qui lui apporta cet élément déclencheur : Antoine sauve Louis et paradoxalement culpabilise de l'avoir fait.
Le réalisateur se souvient : "Je tenais mon film, il y avait l'histoire d'une amitié naissante, une histoire d'amour et aussi cette tension permanente amenée par le sentiment de trahison d'Antoine vis-à-vis de Louis." A partir de là, avec le coscénariste Benoît Graffin, il a pu développer toute l'histoire.
Auteuil et Garcia vus par Salvadori
Pour Pierre Salvadori, Daniel Auteuil et José Garcia ont les qualités essentielles des grands acteurs : "le doute, une capacité à s'abandonner, une certaine féminité, une grande technique et un sens du rythme". Il ajoute : "Daniel est tellement expressif. On a l'impression qu'il maîtrise chaque muscle de son visage (...) José apporte une concentration et une énergie permanentes. Il donne des ailes à un metteur en scène".
L'envie de Daniel Auteuil de faire ce film
Daniel Auteuil explique ce qui lui a donné envie de faire ce film : "C'est la personnalité de Pierre Salvadori et l'univers de ses films. Il a de l'amour pour ses acteurs (...) Et moi, j'ai besoin d'être aimé (...) C'est difficile de trouver une bonne comédie qui ne soit pas racoleuse. Et j'ai la carcasse un peu fragilisée par le cinéma de divertissement. Là, il y avait un scénario bien écrit, des personnages attachants, de vraies situations de comédie et des émotions tendres et graves".
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Aquamarine|Elizabeth Allen|Comédie||2|américain|2006|102|Anglais||XviD|||XVID|783 Kbps|544x288|MPEG-1 Audio layer 3|157 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|02/08/2009 00:00:00|Susan Cartsonis|John Quaintance Jessica Bendinger|Brian J. Breheny||Fox 2000 Pictures||Claire et Hailey sont les meilleures amies du monde. Lorsqu'elles découvrent une sirène, Aquamarine, échouée dans la ville de Floride où Claire vit avec ses grands-parents, c'est le début d'une incroyable aventure.
Aqua s'est enfuie de chez elle pour échapper à un mariage forcé. Elle rêve du grand amour, et si elle parvient à prouver à son père qu'il existe, alors il la libèrera de son engagement. Mais elle n'a que trois jours pour y parvenir. Claire et Hailey vont tout faire pour l'aider... En échange, Aqua leur promet de réaliser leur voeu le plus cher : faire en sorte que ce week-end ne soit pas leur dernier ensemble, puisque Hailey doit déménager en Australie...
Pour les trois amies, il y a urgence. Aqua a repéré Raymond Calder, le maître-nageur du Capri Club, mais elle va découvrir que trouver le grand amour n'a pas grand-chose à voir avec ce qui est écrit dans les magazines. |Emma Roberts (Claire)@Julia Blake (Maggie)@Roy Billing (Bob)@Sara Paxton (Aquamarine)@Jojo (Hailey)@Jake McDorman (Raymond)@Arielle Kebbel (Cecilia)@Tammin Sursok (Marjorie)@Claudia Karvan (Ginny)@Bruce Spence (Leonard)@Robbie Parkin (Le garçon de la piscine)@Joey Massey (Le petit garçon)@Dillon Stephensen (Le serveur)@Donna Fox@Alice Hunter (La fille de la plage)@Adam King (Le boutiquier)@Shaun Micallef (Storm Banks)@Natasha Cunningham (Patty)@Dichen Lachman (Beth-Ann)@Lincoln Lewis (Theo)@Matthew Okine (Nick)@Regis Broadway (Vince)@Nathan Lockwood (Halfday Lead Singer)@Jess Smith (Halfday Band Member)@Chris Brady (Halfday Band Member)@Dave Gilbert (Halfday Band Member)@||Secrets de tournage :
Une sacrée queue de poisson
La plus grande difficulté du film a été de créer une queue de sirène réaliste. C'est le studio d'effets spéciaux JMB FX Studio, qui a travaillé sur les tournages des deux suites de Matrix et sur Star wars : épisode II - L'Attaque des clones, qui a dû relever ce défi. Pour cela 5000 écailles individuelles ont été peintes à la main et collées sur les quatre queues conçues pour quatre types de plans différents : une portée par Sara Paxton, une utilisée lors des séquences de cascades, une portion destinée aux plans serrés du haut du corps et une queue animatronique capable de remuer de façon encore plus fluide et gracieuse que celle portée par l'actrice.
Tournage en Australie
La petite ville côtière de Tallebudgera en Australie a été choisi comme lieu de tournage alors que l'histoire se passe sur la côte de Floride. Il a donc fallu transformer le décor naturel en créant dans un premier temps une piscine, indispensable au film, et en faisant attention aux moindres détails comme les panneaux de signalisation ou encore le côté de la route où l'on conduit, qui n'est pas le même en Australie et aux Etats-Unis. Il a aussi fallu construire quelques bâtiments comme un château d'eau, tout en prenant en compte le style rétro de la côte Est américaine mais aussi le problème des grandes marées, des vents violents ainsi que des éventuels cyclones, qui ne sont pas rares dans cette région.
Un casting rapide
La priorité pour la scénariste Elizabeth Allen était de trouver les interprètes des deux héroînes Claire et Hailey. Elle n'aura pas eu à attendre longtemps car les deux premières jeunes filles qui se sont présentées à l'audition, Emma Roberts et Joanna " Jojo " Levesque, ont impressionné tout le monde et ont obtenu le rôle.
Tiré d'un livre
Aquamarine est inspiré d'un roman du célèbre auteur Alice Hoffman, dont deux autres livres, "Les ensorceleuses" et "Un instant de plus ici-bas" ont déjà été adaptés à l'écran.
Changement de titre
Il fut d'abord prévu qu'Aquamarine s'appelle H20.
Le retour des sirènes
Hasard du calendrier, la sortie d'Aquamarine aux Etats-Unis précède de quelques mois celle de Lady in the water réalisé par M. Night Shyamalan, une autre histoire de sirène perdue dans une piscine.
Jessica Simpson pressentie
L'actrice Jessica Simpson s'était initialement vue offrir le rôle d'Aquamarine. C'est finalement la jeune Sara Paxton, aperçue dans plusieurs séries aux Etats-Unis dont Summerland, qui tient le rôle de la sirène.
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Arahan|Seung-wan Ryoo|Fantastique||3|sud-coréen|2004|113|Coréen||XviD|||XVID|738 Kbps|720x400|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|686||||25.000|28/07/2009 00:00:00|||||||Sang-hwan, un policier coréen, ne supporte pas de s'abaisser face à la mafia locale. Lors d'une course poursuite, il rencontre une jeune femme ayant des pouvoirs exceptionnels. Cette dernière le recueille chez elle et lui présente sept maîtres aux talents divers. Le jeune homme décide ainsi d'apprendre les techniques de combats ancestrales des sept Grands Maîtres. |Ryoo Seung-bum (Sang-hwan)@||||||||||||@@
Raising Arizona|Joel Coen|Comédie||3|américain|1987|90|Anglais||DX50|||DX50|834 Kbps|640x368|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|44.1 KHz|2|695||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Ethan Coen|Joel Coen|Barry Sonnenfeld||20th Century Fox||Hi, impénitent cambrioleur de supermarchés, passe beaucoup de temps dans la prison de Tempe en Arizona. Il y rencontre un jour Ed, charmante femme policier, dont il tombe éperdument amoureux. Términé les braquages, il se marie et part pour l'usine qui ressemble somme toute à la prison. Hi et Ed voudraient un enfant mais Ed est stérile. Or un jour des quintuplés font la une de la presse locale. Hi et Ed décident d'en voler un. Sur cinq, cela ne se verra pas trop. |Nicolas Cage (H.I. 'Hi' McDonnough)@Holly Hunter (Edwina 'Ed' McDonnough)@Trey Wilson (Nathan Arizona, Sr.)@William Forsythe (Evelle Snopes)@Sam McMurray (Glen)@Frances McDormand (Dot)@John Goodman (Gale Snopes)@Randall Cobb@M. Emmet Walsh@||Secrets de tournage :
Une invasion de bébés
Le tournage a nécessité la présence de 13 bébés pour jouer les quintuplés Arizona. Un fut particulièrement mis en avant, T.J. Kahn, déjà vedette de spots publicitaires.
Des acteurs fidèles
On retrouve dans Arizona Junior les acteurs fétiches de la planète Coen, tels que Frances McDormand, qui va devenir l'épouse de Joel Coen et que l'on a vue dès Sang pour sang, et John Goodman, que l'on retrouve dans de nombreux films, comme The Big Lebowski (1998).
Les frères Cohen, rois de l'absurde
Arzona Junior est le deuxième film des frères Coen, après Sang pour sang (Blood simple, 1984), un thriller parodique. Auparavant, ils avaient travaillé avec Sam Raimi, notamment sur Evil Dead (1982). Ils cultivent ainsi leur goût pour l'absurde et de la parodie, qui est devenu leur marque de fabrique, au fil des années.
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Armageddon|Michael Bay|Science fiction||3|russe, américain|1998|144|Anglais||XVID|||XVID|546 Kbps|720x304|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|677||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Michael Bay Jerry Bruckheimer Gale Anne Hurd|J.J. Abrams Jonathan Hensleigh Tony Gilroy Robert Roy Pool Robert Towne|John Schwartzman||Gaumont Buena Vista International (GBVI)||Un astéroide se dirige vers la Terre à la vitesse de 35.000 kilomètres a l'heure. Harry S. Stamper, grand spécialiste du forage pétrolier, est recruté par le directeur de la NASA pour tenter de le détruire. Lui et son équipe de têtes brulées devront se poser sur l'astéroide et placer en son coeur une charge nucléaire. Débute alors l'entraînement indispensable des astronautes et l'apprentissage des outils spatiaux... |Bruce Willis (Harry S. Stamper)@Billy Bob Thornton (Dan Truman, l'administrateur de la NASA)@Ben Affleck (A.J. Frost)@Liv Tyler (Grace Stamper)@Will Patton (Charles 'Chick' Chapple)@Steve Buscemi (Rockhound)@William Fichtner (Colonel William Sharp)@Owen Wilson (Oscar Choi, le géologiste)@Michael Clarke Duncan (Jayotis Kurleenbear)@Peter Stormare (Lev Andropov, l'astronaute russe)@Grace Zabriskie (Dottie)@Jason Isaacs (Dr. Ronald Quincy)@Keith David (Lieutenant General Kimsey)@Grayson McCouch (Gruber)@Eddie Griffin (le petit homme)@Ellen Cleghorne (Helga)@Udo Kier (le psychologue)@Bodhi Pine Elfman (le matheux)@Frederick Weller (un ingénieur de la NASA)@Lawrence Tierney (Hollis Vernon Grap)@Ken Hudson Campbell (Max Lennert)@Jessica Steen (Jennifer Watts)@Chris Ellis (Walter Clark)@Clark Heathcliffe Brolly (Freddy Noonan)@Marshall R. Teague (Colonel Davis)@Anthony Guidera (Tucker)@Greg Collins (Lieutenant Halsey)@J. Patrick McCormack (Général Boffer)@Ian Quinn (l'astronaute Pete Shelby)@John Mahon (Karl)@K.C. Leomiti (Samoan)@Stanley Anderson (le président)@James Harper (Amiral Kelso)@Ellen Cleghorne (Helga, l'infirmière)@John Aylward (Dr Banks)@Mark Curry (Stu)@Seiko Matsuda (touriste asiatique)@Harry Humphries (Chuck, Jr.)@Dyllan Christopher (Tommy)@Judith Hoag (Denise)@Sage Allen (Mme Lennert, la mère de Max)@Steven Ford (technicien nucléaire)@Christian Clemenson (homme bourdonnant)@Andy Ryan (l'homme de Greenpeace)@Shawnee Smith (la rousse)@Dwight Hicks (Agent du FBI #1)@Vic Manni (Loanshark)@Charlton Heston (narrateur (voix))@Michael Bay (scientifique de la NASA)@Judi Beecher (membre du cabinet présidentiel)@Mark Boone (homme de New York)@Judith Drake (une infirmière)@Ronald Fox (membre des SWAT)@John Frazier (prêtre)@Andy Gill (commandant de la navette (séquence d'ouverture))@Will Green (garde national)@Jeff Linnartz (Colonel de l'Air Force)@Kevin McGuire (technicien de la NASA)@Aaron J. Patton (membre de la NASA)@Jean-Paul II (lui-même (images d'archive))@Angelina Riposta@Gary A. Rogers (journaliste a CBS)@Frank Silva (un homme)@William T. Smith (pilote de F-16)@Erik Per Sullivan (l'enfant)@Gedde Watanabe (touriste asiatique)@||Secrets de tournage :
Neve Campbell a refusé Armageddon
Neve Campbell a refusé le rôle de Grace Stamper (tenu par Liv Tyler) dans Armageddon parce que les dates de tournage coïncidaient avec celles de la série La vie à cinq, dans laquelle elle tenait la vedette.
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Lock, Stock and Two Smoking Barrels|Guy Ritchie|Policier||3|américain, britannique|1998|102|Anglais||DIV3|||DIV3|725 Kbps|720x320|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|631||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Matthew Vaughn|Guy Ritchie|Tim Maurice-Jones||PolyGram Film Distribution||Eddy, un joueur invétéré, s'apprête à participer à la plus grosse partie de cartes de sa vie avec un enjeu de cent mille livres, somme qu'il a durement amassée avec ses trois acolytes, Tom, Baco et Soap. Eddy est considéré comme l'un des meilleurs joueurs du circuit, mais la partie s'avère être un coup monté à l'issue duquel il doit cinq cent mille livres à son adversaire Hatchet Harry. Ce dernier lui donne une semaine pour réunir cette somme, sinon il aura les doigts coupés. Seul JD, le père d'Eddy, pourrait annuler la dette en cédant son bar à son vieux rival, Harry. |Dexter Fletcher (Soap)@Jason Flemyng (Tom )@Steven Mackintosh (Winston)@Nick Moran (Eddie)@Jason Statham (Bacon)@Vinnie Jones (Big Chris )@Matthew Vaughn (Le yuppie dans la voiture)@Nicholas Rowe (J)@P.H. Moriarty ('Hatchet' Harry Lonsdale)@Frank Harper (Dog)@Steve Sweeney (Plank)@Richard Vanstone (Frazer)@Vas Blackwood (Rory Breaker)@Ronnie Fox (Mickey)@Huggy Leaver (Paul)@Nick Marcq (Charles)@Charles Forbes (Willie)@Lenny McLean (Barry le Baptiste)@Tony McMahon (John)@||Secrets de tournage :
La gueule de Statham
Personnage haut en couleur avec son accent british au couteau, Jericho Butler est incarné par le britannique Jason Statham, découvert dans Arnaques, crimes et botanique de Guy Ritchie. C'est en se promenant à Londres que le futur mari de Madonna découvre l'acteur, alors... vendeur de bijoux. Egalement apparu dans le deuxième film de Guy Ritchie, Snatch, Jason Statham fut aussi champion de plongée en Angleterre. Des aptitudes qui ont eu leur intérêt lors de la préparation physique de Ghosts of Mars.
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Arsène Lupin|Jean-Paul Salomé|Policier||2|français|2004|125|Français||XviD|||XVID|673 Kbps|608x256|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|32.0 KHz|2|697||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Stéphane Marsil|Jean-Paul Salomé Laurent Vachaud|Pascal Ridao||SND||Arsène Lupin est un voleurinsouciant, détroussant l'aristocratie parisienne grâce à son charmeredoutable. Sa rencontre avec une ensorcelante aventurière, la comtessede Cagliostro, va transformer le pickpocket débutant en voleur de hautvol. Lancé sur la piste du trésor perdu des rois de France, queconvoite une obscure confrérie royaliste, le jeune virtuose multiplieles coups d'éclat : attaque d'un train lancé à pleine allure,course-poursuite dans les catacombes parisiennes, vol spectaculaire à lacathédrale de Rouen...Mais sa quête va être perturbée par sa passion aveugle pour la vénéneusecomtesse... |Romain Duris (Arsène Lupin)@Kristin Scott Thomas (Joséphine)@Marie Bunel (Henriette Lupin)@Francoise Lépine (la duchesse)@Guillaume Huet (Arsène enfant)@Gerard Chaillou (M. Kasselbach)@Pascal Greggory (Beaumagnan)@Eva Green (Clarisse de Dreux-Soubise)@Robin Renucci (le duc de Dreux-Soubise)@Patrick Toomey (Léonard)@Mathieu Carrière (le duc d'Orléans)@Philippe Magnan (Bonnetot)@Philippe Lemaire (le cardinal d'Etigues)@Aurélien Wiik (Jean Lupin)@Jessica Boyde (La femme aux diamants)@Adèle Csech (Clarisse enfant)@Xavier Beauvois (Le médecin)@Philippe Laudenbach (Le préfet)@||Secrets de tournage :
Le gentleman cambrioleur idéal
Pour incarner le gentlemen cambrioleur, le choix de Jean-Paul Salomé et Laurent Vachaud s'est très vite porté sur Romain Duris. Le réalisateur explique : "Lorsque nous avons recherché le comédien susceptible d'incarner notre Lupin, avec Stéphane Marsil, le producteur, nous avons décidé d'organiser de vrais essais, filmés en 35mmn, en costumes, dans un décor , sur une scène que Laurent Vachaud avait spécialement écrite. (...) Dès qu'il (Romain Duris) s'est retrouvé devant la caméra, il y a eu comme une évidence: je tenais mon héros. Romain était l'incarnation parfaite d'un Arsène Lupin jeune et moderne. Il possède cette grâce, cette originalité, ce culot, cette soif de jouer qui lui permettent d'aller plus loin que ce qui est écrit..."
La révélation Green
Encore novice au cinéma, Eva Green, révélée dans Innocents - the dreamers de Bernardo Bertolucci n'est autre que la fille de la comédienne Marlène Jobert. Pour son deuxième film au cinéma elle se voit confier un rôle important dans Arsène Lupin où elle incarne Clarisse le deuxième rôle féminin. Le réalisateur Jean-Paul Salomé confie à son sujet : Elle était le contre-point idéal au personnage sombre de la Comtesse. Sa beauté hors du commun, mais aussi le mystère qu'elle peut dégager, évitaient au personnage de Clarisse de n'être qu'une jeune fille pure et trop lisse. (...) Et je peux vous assurer qu'Eva est l'une des comédiennes les plus douées de sa génération, en plus de sa stupéfiante beauté. C'est simple elle transperce la pellicule !"
Héros populaire
Avant d'être un personnage récurrent au cinéma ou à la télévision, le gentleman cambrioleur Arsène Lupin est un héros de littérature. Le film de Jean-Paul Salomé est adapté de l'un des romans de la série de Maurice Leblanc, Arsène Lupin s'inspire en effet du premier épisode : "La Comtesse Cagliostro". Parmi les autres aventures du gentleman cambrioleur on trouve "813", ou encore "le Bouchon de Cristal, L'aiguille creuse ou encore La femme aux yeux verts . En tout la série comprend plus de 20 volumes des aventures d'Arsène Lupin.
Préparation physique
Trois mois d'entrainement ont été nécessaires à Romain Duris pour pouvoir incarner le rôle du gentleman cambrioleur. Il commente : (...) j'ai pris des cours d'équitation, de valse et de boxe. J'ai même vu un professeur de danse classique pour le maintien. Savoir se tenir droit sans avoir l'air rigide ! . Ne s'improvise pas Arsène Lupin qui veut...
Blockbuster à la française
Les productions d'Italie, d'Espagne et d'Angleterre ont investi dans ce grand film d'aventures français au budget important. Attirées par le sujet universel que véhicule le mythe "Lupin", l'époque qu'il traverse, ainsi que par la notoriété de Kristin Scott Thomas au niveau international, les productions européennes n'ont pas hésité à prendre part au financement.
Une seconde peau...
Pour le film, Pierre-Jean Larroque, le créateur de costumes a réalisé près de 500 costumes : 20 rien que pour Romain Duris, 18 pour Kristin Scott Thomas. De somptueuses tenues qui s'assimilent à celles de la haute couture ont ainsi été réalisé pour le film. Jean-Paul Salomé explique "Les costumes créé une seconde peau qui permet au comédien de se livrer à nu. (...) Ils épousent le caractère de chaque personnage en traduisant pour chaque scène sa psychologie." Pour créér les costumes, les équipes se sont inspirées de grandes figures de historiques : La Comtesse de Greffulhe inspiratrice de Marcel Proust, la Cassati et la Comtesse de Castiglione.
Casting prestigieux
Aux côtés de Romain Duris qui interprète Arsène Lupin on retrouve une distribution prestigieuse. De Kristin Scott Thomas à Pascal Greggory en passant par Robin Renucci le réalisateur a réuni un casting de choix pour un film qui se présente comme l'un des plus attendus de l'année.
La magie du numérique
Le film comporte près de 400 plans truqués. Sur plus des deux tiers, l'intervention des effets spéciaux doit rester invisible. Pour l'une des scènes clef du film se déroule à L'Opéra, filmée un jour férié, tous les éléments modernes qui parasitaient l'image ont été effacé en post-production pour que le résultat soit réaliste à l'écran.
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Art School Confidential|Terry Zwigoff|Policier||3|américain|2005|102|Anglais||XviD|||XVID|809 Kbps|592x320|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|695||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Lianne Halfon John Malkovich Russell Smith|Terry Zwigoff Daniel Clowes|Jamie Anderson||United Artists||Afin d'attraper un criminel, grand amateur d'art, un flic se fait passer pour un étudiant en arts plastiques. Son enquête va prendre une tournure inattendue, lorsque ses oeuvres vont être acclamées par la critique. |Max Minghella (Jerome)@John Malkovich (Le Professeur Sandiford)@Anjelica Huston (Sophie)@Sophia Myles (Audrey)@Matt Keeslar (Jonah)@Jim Broadbent (Jimmy)@Joel Moore (Bardo)@Scoot McNairy@Ezra Buzzington (Leslie)@Roxanne Day (Marie)@Jesse Flanagan (Hurst)@Bob Golub (Hecter)@Jeremy Guskin (Eno)@Jeff LeBeau (David Timlin)@Chris McKenna (Mikey)@Adam Scott (Marvin)@Ethan Suplee (Vince)@Nick Swardson (Matthew)@Charlie Talbert (Jason)@Brian Turk (Cliffy)@Marc Vann (Kevin)@Erik Walker (Bully)@Jeanette Brox (Shilo)@Finneus Egan@Ethan Cohn@Lauren Bowles@Richard Bakalyan@Chris Fogleman@Brian Geraghty@Isaac Laskin@Nathaniel Lee Jr.@Katherine Moennig@Jack Ong@Kimi Reichenberg@Laura Roth@Charles Schneider (II)@Lauren Lee Smith@Osman Soykut@Jean St. James@Arthur Thomas@Stacey Travis@Michael Shamus Wiles@Steve Buscemi@||Secrets de tournage :
La vie dessinée
Terry Zwigoff aime porter à l'écran le monde des dessinateurs. En 1994, il réalise le documentaire Crumb, consacré au dessinateur Robert Crumb et récompensé dans de nombreux festivals, dont celui de Sundance.
Art School Confidential marque quant à lui la deuxième collaboration entre le réalisateur et Daniel Clowes : le film est l'adaptation du comic book du dessinateur. Les deux hommes s'étaient précedemment rencontrés sur Ghost World, pour lequel réalisateur transposait déjà la bande-dessinée homonyme de Clowes.
Apparition clin d'oeil
Après avoir interprété dans Ghost World un looser mélancolique, l'acteur-réalisateur Steve Buscemi fait pour Terry Zwigoff une apparition clin d'oeil dans Art School Confidential, non créditée au générique.
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Arthur et les Minimoys|Luc Besson|Animation|Film pour enfants à partir de 6 ans|3|français|2006|93|Anglais||XviD|||XVID|901 Kbps|656x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||23.976|08/08/2009 00:00:00|Luc Besson|Luc Besson Céline Garcia Patrice Garcia|Thierry Arbogast||Metro Goldwyn Mayer (MGM)|Saga : Arthur |Comme tous les enfants de son âge, Arthur est fasciné par les histoires que lui raconte sa grand-mère pour l'endormir : ses rêves sont peuplés de tribus africaines et d'inventions incroyables, tirées d'un vieux grimoire, souvenir de son grand-père mystérieusement disparu depuis quatre ans.Et si toutes ces histoires étaient vraies ? Et si un trésor était véritablement caché dans le jardin de la maison ? Et si les minimoys, ces adorables petites créatures dessinées par son grand-père, existaient en chair et en os ? Voilà qui aiderait à sauver la maison familiale, menacée par un promoteur sans scrupule !Du haut de ses dix ans, Arthur est bien décidé à suivre les indices laissés par son grand-père pour passer dans l'autre monde, celui des Minimoys, et découvrir les sept terres qui constituent leur royaume... |Freddie Highmore (Arthur)@Mia Farrow (la grand-mère d'Arthur)@||Secrets de tournage :
Genèse du projet
Un petit garçon capable de pénétrer dans un monde de lutins, voici la première idée qui a finalement abouti à la réalisation du film. Cette idée, née de la longue collaboration entre Patrice et Céline Garcia, Luc Besson décide très vite d'en faire un film. Avant même de s'attaquer au scénario, il écrit et publie "Arthur et les Minimoys", d'après l'idée originale de Céline Garcia, et le fait illustrer par Patrice. Trois autres volumes suivront : "Arthur et la Cité interdite", "La vengeance de Maltazard" et "Arthur et la guerre des deux mondes". Le scénario du film, écrit en collaboration avec Céline Garcia, est tiré des deux premiers tomes de cette saga, traduite en 34 langues et déjà vendue à plus d'1 million d'exemplaires en France.
Arthur et les minimoys, en chiffres
Arthur et les Minimoys c'est :
225 personnes réunies sur le site de Pantin pour le travail d'animation : tous travaillaient pour la première fois dans le cinéma d'animation et 200 d'entre eux y ont trouvé leur premier emploi.
27 mois de travail pour la réalisation des séquences 3D.
20 millions d'images calculées.
60 000 jours de travail (soit 273 années)
En tout, le film a coûté près de 65 millions d'euros et a réuni près de 700 personnes au total.
Mélange de 3D et de décors réels
Luc Besson a dès le départ voulu mélanger 3D et élèments réels : "Je trouvais plus intéressant de proposer quelque chose de nouveau, qui n'ait jamais été fait. C'est le cas avec ce film qui mêle des personnages en 3D évoluant dans des décors 3D mais tirés de vraies maquettes : nous avons vraiment construit les champignons géants que vous voyez dans le film ! Cela donne une image et un rendu uniques : c'est notre façon de rentrer dans la compétition, de combattre avec eux, même si nous ne sommes qu'une toute petite société en comparaison."
La nature comme influence
Pour réaliser Arthur et les minimoys, Luc Besson s'est entouré de collaborateurs fidèles, comme le co-directeur artistique Patrice Garcia, avec qu'il avait déjà travaillé sur Le Cinquième élément. Avec sa femme Céline Garcia, il a créé la première bande dessinée qui a donné naissance au monde d'Arthur. Il s'est principalement inspiré de la nature pour cela : "J'ai puisé beaucoup d'inspiration dans le sud de la France, explique-t-il. Je me rappelle par exemple avoir utilisé une roche de l'île du Gaou pour constituer la base de l'univers de Maltazard. Je dois aussi beaucoup au travail d'artistes tels que Patrick Woodroffe, un peintre anglais, Brian Froud et Alan Lee (le directeur artistique du Seigneur des anneaux)".
Une technique révolutionnaire
La qualité de l'animation des Minimoys est due au travail de Pierre Buffin qui a inventé un système permettant d'enregistrer les mouvements des comédiens sans avoir recours aux capteurs habituels. Ce qui permettait de laisser aux comédiens une plus grande liberté de mouvements.
Luc Besson et le personnage d'Arthur
Le réalisateur avoue se sentir proche du personnage d'Arthur : "Il me ressemble à 50 %. La plupart des enfants ont vécu une séparation ou une disparition au sein de leur famille, et c'est toujours un vrai drame. J'an ai connu moi aussi qui m'ont beaucoup affecté, et c'est ce qu'on retrouve dans la partie "émotionnelle" du film. (...) Ecrire l'histoire d'Arthur et lui donner, à lui, les réponses à ces questions, était une façon de m'adresser à mes enfants. Moi, ils ne m'écouteront pas, mais si c'est Arthur qui s'exprime, cela prendra une toute autre valeur à leurs yeux !"
Sélénia donne du fil à retordre aux designers...
Alors que le design de la plupart des personnages comme le Roi ou Bétamèche étaient fixés dès la deuxième année de travail, celui de Sélénia n'a jamais cessé d'être modifié pendant près de quatre ans. Son allure définitive n'a été établie qu'en janvier 2006, alors que le film avait déjà été presque entièrement calculé.
Le casting d'Arthur
Luc Besson a effectué un long casting sur plusieurs continents avant de choisir celui qui allait prêter ses traits à Arthur : "J'avais eu beaucoup de mal et j'hésitais entre trois Anglais et deux Américains quand une directrice de casting, extérieure au projet, m'a suggéré de jeter un oeil aux photos de Freddie Highmore. Charlie et la chocolaterie venait tout juste d'être tourné, je suis allé le voir et j'ai immédiatement flashé".
Des stars de la musique au casting
Le casting vocal de Arthur et les minimoys a été particulièrement soigné puisque des stars de la chanson ont accepté de prêter leur voix pour les besoins du film. On trouve notamment Mylène Farmer dans le rôle de Sélénia, le rappeur Rohff dans le rôle de Max et enfin Alain Bashung dans le rôle du terrible Maltazard. En version anglaise, ce sont Madonna, Snoop Doggy Dogg et David Bowie qui interprètent ces personnages !
Besson et ses chanteuses
La chanteuse Mylène Farmer, qui prête sa voix à la princesse Sélénia avait déjà travaillé avec Luc Besson. Le réalisateur avait en effet réalisé le clip de sa chanson "Que mon coeur lâche" en 1992. Madonna, quant à elle,avait également fait appel à Besson pour son clip "Love profusion" en 2004.
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Leeloo ??
Barbara Kelsch, doubleuse du personnage d'Arthur, est une fidèle de Luc Besson. C'est elle qui prêtait sa voix à Milla Jovovich (Leeloo) dans la version française du Cinquième élément.
Musique signée Eric Serra
Créée par Eric Serra, le fidèle musicien de Luc Besson, la bande-son de Arthur et les minimoys a demandé un an et demi de travail. Le compositeur évoque son travail avec Luc Besson: "Il voulait une belle musique symphonique, à l'image des grands films d'aventure : Le Seigneur des anneaux, Indiana Jones , La Guerre des étoiles... Il fallait que ce soit à la fois beau, grandiose et magique ! Pour cela, il a réussi à totalement me déstabiliser en me forçant à ne pas écrire à l'image, moi qui travaille toujours en totale synchro".
Le savoir-faire de Pierre Buffin
Pierre Buffin, le réalisateur de l'adaptation 3D, est l'un des spécialistes mondiaux de l'image de synthèse. Il a travaillé en effet sur Les Visiteurs, La Cité des Enfants Perdus, Fight Club ou encore Matrix.
Made in France
Tout le travail d'animation a été réalisé en France, à Pantin, dans un ancien silo à grains que le directeur de l'animation, Pierre Buffin, et son équipe ont transformé en studio high-tech ! Les scènes live ont, quant à elles, été tournées en Normandie.
L'élaboration des maquettes
La conception des maquettes a demandé près de six mois de travail et leur fabrication s'est étalée sur plus d'un an. Le village Minimoy compte, par exemple, plus de 500 petits lampadaires réalisés à partir de vraies fleurs séchées !
Le journal du tournage
2001 : Tournage du pilote et fabrication des premiers décors à St Ouen.
2002 : Le site de Pantin se prépare à accueillir toute l'équipe du film.
2003 : Le story-board est achevé et les équipes 3D commencent le set up des personnages.
2004 / 2005 : Luc Besson filme les séquences de motion capture qui vont permettre de réaliser l'animation des personnages. Une grande partie des décors 3D sont également réalisés.
Printemps 2005 : Luc Besson tourne la partie live du film. A la fin de l'année, les équipes 3D livrent une première version du film.
2006 : C'est la post-production. Les voix et les musiques sont enregistrées et le film est définitivement calculé.
Une suite ???
Selon Luc Besson, les aventures d'Arthur ont été depuis le début imaginées comme... une trilogie ! En cas de succès, le cinéaste, jeune retraité de la réalisation, n'exclut d'ailleurs pas de revenir derrière la caméra pour une nouvelle aventure de ses Minimoys.
Privé d'Oscars ?
Arthur et les minimoys n'a pu être retenu dans la liste des films susceptibles de remporter l'Oscar du Meilleur Film d'Animation car les passages animés représentent moins de 75% du film.
Produits dérivés
La marque de cosmétique Koto Paris a signé un accord avec Europa Corp, afin de développer une gamme de parfums destinés aux enfants autour des thèmes de l'environnement et de la nature, au centre de l'oeuvre de Luc Besson.
Premières images
Lors du 59ème Festival de Cannes, Europa Corp, la société de production de Luc Besson a présenté à la presse les premières images d'Arthur et les Minimoys.
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Assault on Precinct 13|Jean-Francois Richet|Action|Interdit aux moins de 12 ans|3|français, américain|2005|108|Anglais||XviD|||XVID|743 Kbps|624x256|MPEG-1 Audio layer 3|139 Kbps|False|48.0 KHz|2|696||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Pascal Caucheteux Elizabeth Dreyer Stéphane Sperry|James DeMonaco John Carpenter|Robert Gantz||Metropolitan FilmExport||Une nuit de réveillon, l'un des membres les plus dangereux de la mafia, Marion Bishop, est temporairement incarcéré dans un bâtiment gardé par une équipe de police placée sous le commandement du sergent Jake Roenick.Alors que le monde entier fait la fête, flics et malfrats vont devoir s'unir pour avoir une chance de survivre à l'assaut mortel venu du dehors. Face aux moyens démesurés des attaquants, un seul objectif : tenir jusqu'à l'aube... |Ethan Hawke (Jake Roenick)@Laurence Fishburne (Marion Bishop)@John Leguizamo (Beck)@Maria Bello (Alex Sabian)@Ja Rule (Smiley)@Drea de Matteo (Iris Ferry)@Matt Craven (Capra)@Gabriel Byrne (Marcus DuVall)@Brian Dennehy (Jasper O'Shea)@Aisha Hinds (Anna)@||Secrets de tournage :
Le remake du classique de John Carpenter
Assaut sur le central 13 est le remake du film d'action homonyme de John Carpenter qui le fit davantage connaître en 1976. C'est en 1997 que le producteur Pascal Caucheteux, directeur de la société Why Not Productions, eut l'idée d'actualiser ce classique, lui-même inspiré du Rio Bravo de Howard Hawks. Il produisait alors le second film de Jean-Francois Richet, Ma 6-T va crack-er.
Rencontre avec John Carpenter
Désireux de développer une nouvelle version d'Assaut, le producteur français Pascal Caucheteux rencontra John Carpenter à son domicile de Los Angeles. Lors de cette première entrevue, le cinéaste fit des commentaires et suggestions qui contribuèrent à orienter la direction générale d'Assaut sur le central 13. C'est lors d'une deuxième rencontre au Festival du film de Turin qu'il accepta de vendre à la société Why Not Productions les droits d'Assaut à la condition que Jean-Francois Richet réalise le film.
Un Français à la réalisation
A l'instar de Florent Emilio Siri avec Hostage, le réalisateur français Jean-François Richet tente ici sa chance à Hollywood en jouant la carte de l'action. Soutenu par John Carpenter qui avait vraiment apprécié Ma 6-T va crack-er, le cinéaste débuta le projet en partant à Brooklyn apprendre l'Anglais pendant six mois.
James DeMonaco au scénario
Jean-Francois Richet et le producteur Pascal Caucheteux se tournèrent vers James DeMonaco, le scénariste de Négociateur, pour revisiter le script d'Assaut. Le réalisateur se souvient : "James et moi avons été très proches dans le travail. En un an, nous avons obtenu un scénario formidable, capable d'attirer des acteurs de talent parce que différent des films d'action ordinaires. Ici, tout est basé sur les personnages. Nous avons voulu retrouver l'esprit des années 70, de Bullitt et La Grande évasion."
Mark Wahlberg pressenti dans le rôle de Jake
Mark Wahlberg était initialement pressenti dans le rôle de Jake, mais il se désista pour finalement laisser la place à Ethan Hawke. Ce dernier fut donc le premier acteur à rejoindre le projet. Il confie : "Training day a été une expérience tellement agréable que je cherchais un autre bon film policier. Quand j'ai lu le scénario d'Assaut sur le central 13, j'ai su que je devais le faire. C'était un script intelligent, brillant, le meilleur scénario d'action que j'aie lu."
Capter l'atmosphère des polars des années 70
Entre les décors de Paul D. Austerberry et la photographie de Robert Gantz, Jean-Francois Richet a capté l'atmosphère authentique, brute, réelle des films des années 70. Paul a créé pour l'intérieur un commissariat des années 30 décrépit. Il a également travaillé avec le réalisateur depuis la phase d'écriture pour concevoir un lieu qui permette de mettre en scène au mieux toutes les attaques en ayant chaque plan à l'esprit.
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Astérix, le Gaulois|Ray Goossens|Animation||2|belge, français|1967|64|Français||DX50|||DX50|1 374 Kbps|640x480|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Raymond Leblanc||Georges Lapeyronnie|||Saga : Astérix et Obélix |Nous sommes en l'an 50 avant Jésus-Christ. Un petit mais vaillant village gaulois résiste aux Romains. Dans ce petit bourg unique, le druide Panoramix est le créateur d'une potion magique dont il fait bénéficier le petit Astérix et l'imposant Obélix. |Roger Carel (Astérix (voix))@Jacques Morel (Obélix (voix))@Pierre Tornade (Abraracourcix (voix))@Jacques Jouanneau (Assurancetourix (voix))@Lucien Raimbourg (Panoramix (voix))@Bernard Lavalette (voix)@||||||||||||@@
Les Douze Travaux d'Asterix|René Goscinny Albert Uderzo Pierre Watrin|Animation|Film pour enfants|4|belge, français|1976|78|Français||DIV3|||DIV3|1 007 Kbps|528x320|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|640||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Georges Dargaud René Goscinny Albert Uderzo|René Goscinny Albert Uderzo Pierre Tchernia|||Gaumont|Saga : Astérix et Obélix |L'Empereur César ne supporte plus que le petit village gaulois résiste encore et toujours. Il propose alors un défi à Astérix, Obélix et tous leurs amis : s'ils remportent les douze épreuves qu'il leur soumet, il ne les attaquera plus. |Roger Carel (Astérix (voix))@Jacques Morel (Obélix (voix))@Pierre Tornade (Abraracourcix (voix))@Henri Virlojeux (Panoramix (voix))@Micheline Dax (la prétresse (voix))@Jean Martinelli (César (voix))@Bernard Lavalette (le préfet (voix))@Odette Laure (l'employée (voix))@Gérard Hernandez (le vénérable du sommet (voix))@Roger Lumont (Cylindrix (voix))@Stéphane Steeman (Mannekenpix (voix))@Jacques Hilling (le centurion (voix))@Pierre Tchernia (le narrateur (voix))@||||||||||||@@
Astérix chez les Bretons|Pino van Lamsweerde|Animation|Film pour enfants|3|belge, français|1986|71|Français||DIV3|||DIV3|155 Kbps|384x288|PCM|88.2 Kbps|False|11.025 KHz|1|127||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Yannick Piel||Philippe Lainé|Gaumont||Saga : Astérix et Obélix |Les Romains ont volé un peu de la célèbre potion magique de Panoramix. Astérix et Obélix vont tout faire pour récupérer ce bien précieux. |Roger Carel (Astérix (voix))@Pierre Tornade (Obélix (voix))@Serge Sauvion (César (voix))@Pierre Mondy (Cetinlapsus (voix))@Nicolas Silberg (Motus (voix))@Henri Labussière (Panoramix (voix))@||||||||||||@@
Astérix et Cléopâtre|René Goscinny Albert Uderzo Lee Payant|Animation|Film pour enfants|3|français, belge|1968|69|Français||DX50|||DX50|1 277 Kbps|640x464|MPEG-1 Audio layer 3|115 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Raymond Leblanc|Eddie Lateste Joe Marissen Pierre Tchernia|François Léonard|||Saga : Astérix et Obélix |Astérix et son fidèle compagnon Obélix partent à l'aventure dans le pays des pyramides. |Roger Carel (Astérix (voix))@Pierre Tornade (Obélix (voix))@Jacques Balutin (Tournevis (voix))@Micheline Dax (Cléopâtre (voix))@René Goscinny (le commentateur (voix))@Henri Labussière (Panoramix (voix))@Bernard Lavalette (Amonbonfis (voix))@Serge Sauvion (César (voix))@Pierre Trabaud (le capitaine des pirates (voix))@||||||||||||@@
Astérix et la surprise de César|Paul Brizzi Gaetan Brizzi|Animation|Film pour enfants|3|belge, français|1985|70|Français||DX50|||DX50|1 265 Kbps|624x384|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Yannick Piel|Pierre Tchernia René Goscinny Albert Uderzo|Philippe Lainé|||Saga : Astérix et Obélix |Lorsque Falbala et Tragicomix sont kidnappés, celui qui leur a porté atteinte n'imagine pas qu'il vient de réveiller la colère du petit village gaulois. D'autant qu'Obélix est amoureux de Falbala... |Roger Carel (Astérix (voix))@Pierre Tornade (Obélix (voix))@Pierre Mondy (Caïus (voix))@Serge Sauvion (César (voix))@Henri Labussière (Panoramix (voix))@Roger Lumont (Briseradius (voix))@Michel Barbey (Vinpetimus (voix))@Séverine Morisot (Falbala (voix))@Patrick Prejean (Superbus (voix))@Jean-Pierre Darras (Abraracourcix (voix))@Pierre Tchernia (Terminus (voix))@Henri Poirier (le chef de camp (voix))@Pierre Mirat (le cuisinier (voix))@Thierry Ragueneau (Tragicomix (voix))@Philippe Dumat (le marchand d'esclaves (voix))@Danièle Licari (Falbala (chansons))@Michel Gatineau (voix)@Martin Lamotte (voix)@Alain Doutey (voix)@||||||||||||@@
Astérix et le coup du menhir|Philippe Grimond|Animation|Film pour enfants|3|français|1989|74|Français||DX50|||DX50|1 181 Kbps|624x352|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|06/08/2009 00:00:00||Yannick Voight|||Gaumont International|Saga : Astérix et Obélix |Lorsqu'Obélix percute le pauvre Panoramix avec un menhir, le druide s'évanouit et, au réveil, devient incapable de retrouver la formule de sa potion magique. Astérix et son fidèle compagnon vont alors devoir s'employer pour déjouer les tours des Romains et d'un étrange devin... |Roger Carel (Astérix (voix))@Pierre Tornade (Obélix (voix))@Henri Labussière (Panoramix (voix))@Marie-Anne Chazel (Bonnemine (voix))@Julien Guiomar (le devin Prolix (voix))@Henri Poirier (le chef du village (voix))@Roger Lumont (le centurion (voix))@Patrick Prejean (Optione (voix))@Yves Barsacq (voix)@||||||||||||@@
Asterix et les Indiens|Gerhard Hahn|Animation|Film pour enfants|2|français|1995|70|Français||MPEG-1V|||MPEG-1V|1 115 Kbps|352x288|MPEG-1 Audio layer 2|224 Kbps|False|44.1 KHz|2|698||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Gerhard Hahn |Thomas Platt Rhett Rooster|Thorsten Falke|||Saga : Astérix et Obélix |Panoramix vient d'être enlevé par des hommes de l'empereur César, qui l'emmènent près de l'Amérique en bateau. Astérix et Oéblix partent eux aussi vers ces contrées inconnues pour sauver leur ami... |Roger Carel (Astérix (voix))@Pierre Tornade (Obélix (voix))@Henri Labussière (Panoramix (voix))@||||||||||||@@
Astérix et les Vikings|Stefan Fjeldmark Jesper Møller|Animation||2|français|2006|65|Français||DivX|||DIVX|1 362 Kbps|352x220|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Thomas Valentin|Jean-Luc Goossens Stefan Fjeldmark|||SND|Saga : Astérix et Obélix |C'est l'événement ! Le petit village gaulois accueille Goudurix, le neveu du chef, et Astérix et Obélix sont chargés d'en faire un homme, un vrai. Sous ses airs arrogants, cet ado qui arrive de Lutèce n'est qu'un gros froussard et l'entraînement de choc qu'il va subir risque de ne pas y changer grand-chose...Au même moment, les Vikings débarquent en Gaule, décidés à trouver un "champion de la peur" qui pourra, comme l'a promis leur mage, leur apprendre à voler, puisque, selon lui, "la peur donne des ailes"...Lorsque Goudurix est enlevé par les Vikings, c'est la catastrophe ! Astérix et Obélix doivent tout faire pour le retrouver. Pendant qu'ils se lancent à sa recherche jusque dans le Grand Nord, leur jeune protégé, embarqué malgré lui dans un infâme complot, va découvrir la belleet intrépide Abba et s'apercevoir que l'amour fait parfois l'effet d'un coup de poing...D'après l'oeuvre de René Goscinny et Albert Uderzo. Droits d'adaptation : les Editions Albert René. |Roger Carel (Astérix / Idéfix (voix))@Jacques Frantz (Obélix (voix))@Lorànt Deutsch (Goudurix (voix))@Sara Forestier (Abba (voix))@Pierre Palmade (Cryptograf (voix))@Pierre Tchernia (le narrateur (voix))@Bernard Alane (Assurancetourix (voix))@Marc Alfos (Grossebaf (voix))@Patrick Borg (Caraf (voix))@Philippe Catoire (Nescaf (voix))@Bruno Dubernat (Télégraf (voix))@Michel Vigne (Olaf (voix))@Brigitte Virtudes (Vikéa (voix))@Luc Florian (Océanonix (voix))@Stéphane Fourreau (Olibrius (voix))@Vania Vilers (Panoramix (voix))@Vincent Grass (Abraracourcix (voix))@Marion Game (Bonemine (voix))@Bernard Metraux (Ordralfabétix (voix))@Pascal Renwick (Cétautomatix (voix))@Gérard Surugue (Agecanonix (voix))@Roland Timsit (Abribus (voix))@Barbara Tissier (SMS (voix))@Med Hondo (la vigie (voix))@Jules Azem (garçon viking 1 (voix))@Victor Naudet (le garçon viking 2 (voix))@Estelle Simon (la Gauloise (voix))@Stevens Thuilier (un Gaulois (voix))@||Secrets de tournage :
Une libre adaptation d'une des BD
Astérix et les Vikings est une libre adaptation de la bande-dessinée Astérix et les Normands. La productrice exécutive Natalie Altmann explique : "Le projet a débuté par quelque chose de très agréable : nous avons relu tous les albums ! Nous cherchions une histoire forte, universelle. Nous nous sommes arrêtés sur "Astérix et les Normands". Les Vikings ont envahi toute l'Europe et possédaient donc une dimension européenne et internationale. De même, le concept du film, la peur, est totalement universel."
Il était une fois deux Gaulois...
Les aventures d'Astérix et Obélix sont nées de l'imagination du dessinateur Albert Uderzo et du dialoguiste René Goscinny. C'est en 1959, à l'occasion de la sortie du magazine Pilote, qu'ils créent les deux héros gaulois. Au fil des ans, Astérix et Obélix deviennent des personnages légendaires dans le monde de la bande-dessinée. Trois ans après la création des studios Idéfix, Goscinny s'éteint et Uderzo reprend seul le flambeau du mythe. Au total, Astérix et Obélix représentent plus de 30 ouvrages vendus à 250 millions d'exemplaires dans le monde, mais aussi des séries télévisées, près de dix longs métrages d'animation et trois longs métrages en prises de vues réelles.
Quand Astérix s'anime...
Astérix et les Vikings est le huitième film d'animation mettant en vedette les deux célèbres Gaulois. Auparavant, il s'étaient illustré dans Asterix le Gaulois (1967), Astérix et Cléopâtre (1968), Les Douze Travaux d'Asterix (1976), Asterix et la surprise de César (1985), Astérix chez les Bretons (1986), Asterix et le coup du menhir (1989) et Asterix et les Indiens (1994). Les aventures d'Astérix et Obélix ont également été trois fois adaptées en long-métrage en prises de vues réelles avec Astérix et Obélix contre César (1998), Astérix et Obélix : mission Cléopâtre (2001) et Astérix aux Jeux Olympiques (2006).
Deux réalisateurs... Danois !
Amusant clin d'oeil : les deux réalisateurs d'Astérix et les Vikings sont... Danois ! La productrice exécutive Natalie Altmann explique : "On a cherché les meilleurs talents. On a dû faire appel à plusieurs studios car aucun ne proposait à lui seul tout ce dont nous avions besoin. Nous avons eu la chance de rencontrer deux réalisateurs, Stefan Fjeldmark et Jesper Møller, qui ont parfaitement senti le projet et ont su convaincre Albert Uderzo. Comme un clin d'oeil à l'album et au film, nous, "Gaulois", nous sommes retrouvés à faire équipe avec des "Vikings" danois, mais contrairement à ce qui se passe dans l'histoire, tout a été beaucoup plus cordial !"
Un ancien et des nouveaux
Si la voix d'Astérix est à nouveau assurée par Roger Carel, doubleur attitré du petit Gaulois depuis près de quatre décennies, et que Roger Carel officie une nouvelle fois comme narrateur de l'histoire, Astérix et les Vikings voit l'arrivée d'artistes issus de la nouvelle génération. Ainsi, l'actrice Sara Forestier (L'Esquive, Hell) prête sa voix au personnage d'Abba, le comédien Lorant Deutsch (Ripoux 3, Le Temps des porte-plumes) "incarne" Goudurix et le comique-acteur Pierre Palmade (L'Anniversaire) double Cryptograf.
Astérix par Roger Carel
Roger Carel, la voix d'Astérix depuis le tout début de l'aventure, parle de ce personnage qui l'a accompagné durant quatre décennies : "Pour moi, Astérix est un vieux compagnon. La première fois que je l'ai interprété, c'était il y a plus de trente-cinq ans, pour la radio. Goscinny et Uderzo souhaitaient faire des feuilletons et cherchaient des voix. Le personnage, bien que sympathique, était toujours un peu en train de râler ! Le type même du petit Français vu par les étrangers ! Mais il est aussi honnête et juste et il se définit également par son amitié avec Obélix. Chacun est le faire-valoir de l'autre. (...) Je suis heureux que la voix que j'ai créée pour Astérix soit une partie de son incarnation. Des gens de tous âges m'en parlent. Sa voix n'est d'ailleurs pas très éloignée de la mienne à la ville. A chaque fois que je le retrouve, sa voix me revient aussitôt."
Pour le plaisir...
Le plaisir du spectateur a été l'unique leitmotiv de l'équipe d'Astérix et les Vikings. La productrice exécutive Natalie Altmann résume : "Quels que soient les moyens que nous ayons mis sur ce film, nous n'avons jamais perdu de vue que l'objectif premier était le plaisir du spectateur. Astérix et les Vikings est d'abord l'occasion de partager l'aventure d'un héros qui nous tient à coeur quel que soit notre âge. Nous n'avons pas privilégié la prouesse technique au détriment de l'histoire. Chaque effet, chaque décor est au service de la narration. Jamais l'énorme logistique du projet n'a pris le pas sur son esprit."
Des personnages plus humains
Pour Albert Uderzo, le dessinateur d'origine d'Astérix et Obélix, ce nouveau film d'animation est particulièrement enthousiasmant : "L'idée de faire un nouveau dessin animé basé sur les aventures d'Astérix n'était pas une révolution pour moi. Il y a déjà eu sept adaptations, certaines avec des fortunes diverses. Mais quand j'ai rencontré l'équipe du studio qui projetait de faire Astérix et les Vikings, j'ai été convaincu par leur enthousiasme et j'ai accepté. Ils avaient compris exactement ce que je souhaitais. Dans les films précédents, je trouvais que les personnages ne jouaient pas assez, ils étaient toujours dans le mouvement, dans l'action, mais ne jouaient pas. Cette fois, ils sont parvenus à rendre les personnages vraiment humains." Pour la productrice exécutive Natalie Altmann, "beaucoup de choses n'avaient pas étéexploitées dans l'univers d'Astérix et les énormes progrès accomplis dans l'animation ces dernières années permettaient d'envisager un traitement digne des personnages."
Tradition et modernisme
Astérix et les Vikings a été réalisé à base d'animation traditionelle, comme tous les précédents opus de la saga. Mais il a également bénéficiés de techniques plus modernes. Le réalisateur Jesper Møller explique : "Ce fut notre challenge pour ce film. On devait respecter la physionomie des personnages mais aussi l'état d'esprit de la BD. Il faut que le film apporte un plus par rapport à la BD, mais il ne faut surtout pas dénaturer l'énergie et les caractéristiques qui font le succès d'Astérix et Obélix. Même si nous utilisons la technique
traditionnelle, nous nous sommes aussi servis de l'imagerie informatique pour obtenir des images plus denses, plus riches. Ce n'est pas l'ancien contre le moderne, mais l'alliance des deux pour un résultat optimal."
"Astérix et les Vikings" en chiffres
Astérix et les Vikings a nécessité quatre années de travail, 22 millions d'euros de budget, 1300 plans, plus de 100 000 dessins, des centaines de décors et entre 300 et 500 personnes au travail dans toute l'Europe.
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Astérix aux Jeux Olympiques|Thomas Langmann Frédéric Forestier|Aventure||1|français|2008|112|Français||XviD|||XVID|729 Kbps|624x256|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Thomas Langmann|Olivier Dazat Thomas Langmann Alexandre Charlot Franck Magnier|Thierry Arbogast||Pathé Distribution|Saga : Astérix et Obélix |Pour remporter les Jeux Olympiques et permettre au jeune Alafolix d'épouser la Princesse Irina, Astérix et Obélix devront affronter le machiavélique Brutus, fils de César, au cours d'une Olympiade. |Clovis Cornillac (Astérix)@Gérard Depardieu (Obélix)@Alain Delon (Jules César)@Benoît Poelvoorde (Brutus)@Stéphane Rousseau (Alafolix)@Vanessa Hessler (Princesse Irina)@Jérôme Le Banner (Cornedurus)@José Garcia (Couverdepus)@Franck Dubosc (Assurancetourix)@Bouli Lanners (Samagas)@Jean-Pierre Cassel (Panoramix)@Alexandre Astier (Malosinus)@Michael Herbig (Pasunmotdeplus)@Santiago Segura (Docteurmabus)@Nathan Jones (Humungus)@Zinedine Zidane (Numérodix)@Michael Schumacher (Schumix)@Tony Parker (Tonus Parker)@Jamel Debbouze@Sim (Agecanonix)@Adriana Karembeu (Madame Agecanonix)@Jean Todt@Amélie Mauresmo (Amélix)@Elie Semoun (le juge Omega)@Luca Bizzarri (le juge Alpha)@Paolo Kessisoglu (le juge Beta)@Francis Lalanne (Lalannix)@Jean-Pierre Castaldi (un centurion)@Pierre Tchernia (le narrateur)@||Secrets de tournage :
Clovis Cornillac, l'irréductible gaulois
Après Astérix et Obélix contre César en 1999 et Astérix et Obélix : mission Cléopâtre en 2002, Christian Clavier n'a pas souhaité enfiler à nouveau le costume de l'irréductible petit gaulois. C'est donc Clovis Cornillac qui prête ses traits à Astérix.
Le boulet de Frédéric Forestier
L'un des scénaristes et co-réalisateur du film, Frédéric Forestier, a signé en 2005 la comédie Le Boulet; énorme succès en salle avec plus de 3 millions d'entrées. Portée par le duo Benoît Poelvoorde et Gérard Lanvin, le film était scénarisé et produit par Thomas Langmann, réalisateur d'Astérix aux Jeux Olympiques.
De l'Espagne à Athènes
A l'origine, le troisième volet des aventures d'Astérix devait s'intituler Astérix en Hispanie, réalisé par Gérard Jugnot. Mais le projet a finalement capoté. C'est finalement Thomas Langmann qui met sur pied Astérix aux jeux Olympiques, via sa société "La petite Reine".
La préparation du tournage
Après la visite de plusieurs sites en Europe et en Afrique du Nord, ce sont les tout nouveaux studios d'Alicante, " La Ciudad de la luz ", en Espagne qui sont choisis. 95% du tournage s'est déroulé ici. En dehors d'une situation climatique idéale, d'une infrastructure flambant neuve, ces studios disposent aussi de vastes terrains vierges dominant la mer sur lesquels a été installé le plus vaste décor jamais construit pour un film français : le stade olympique.
Un budget pharaonique
Avec un budget avoisinant les 78 millions d'euros, Astérix aux Jeux Olympiques est le second plus gros projet de l'histoire du cinéma français, derrière les 90 millions de dollars du Le Cinquième élément de Luc Besson. A titre de comparaison, Astérix et Obélix contre César et Astérix et Obélix : mission Cléopâtre étaient respectivement dotés d'un budget de 41 et 49 millions d'euros. Vendu dans une soixantaine de pays, Astérix aux jeux Olympiques a en outre bénéficié d'un budget marketing record de 20 millions d'euros.
In memoriam
Astérix aux Jeux Olympiques est l'un des derniers rôles de Jean-Pierre Cassel, père de Vincent Cassel, sous les traits du druide Panoramix. L'acteur est en effet décédé en avril 2007.
Idées fixes
Dès le départ, Thomas Langmann souhaitait bâtir le scénario du film autour de deux idées clés. La première devait montrer un duo-duel entre César et Brutus, lequel n'a qu'une idée en tête : prendre la place de son père. La seconde était une histoire d'amour entre un jeune gaulois et la princesse grecque que convoite aussi Brutus, mais dont la main sera promise au vainqueur des Jeux Olympiques.
Les costumes en chiffres
Le film compte plus de 1000 costumes différents, dont 10 robes rien que pour la princesse grecque Irina, presque autant pour les cuirasses et toges de Jules César et Brutus, des tenus d'athlètes, les toges des spectateurs, plus de 300 perruques, des centaines de postiches de nattes, de moustaches, de barbes et autres accessoires.
Sportifs de haut niveau
Quoi de mieux que de montrer, même le temps d'une courte scène, des sportifs de haut niveau lorsque l'on est aux Jeux Olympiques ? Telle est en tout cas l'une des idées de Thomas Langmann, qui n'a pas hésité à convaincre des stars du sport comme Amélie Mauresmo; Zinedine Zidane; Michael Schumacher en conducteur de char qui ressemble étrangement à une célèbre écurie ou encore Tony Parker, à prêter leur concours dans le film !
La course de char
Si le légendaire Ben-Hur avait sa course de char, Astérix a aussi la sienne ! C'est bien sûr un des moments forts du film. Cascades et chevaux ont été confiés à un grand spécialiste, l'Espagnol Ricardo Cruz, qui a notamment travaillé sur Le Dernier samouraï avec Tom Cruise et sur Alexandre d'Oliver Stone. Près de 60 chevaux ont été mobilisés pour l'occasion et entraînés à la course de char pendant huit semaines.
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Les effets numériques
Astérix aux Jeux Olympiques fait appel à plus de 1000 trucages numériques en post-production ! Ils ont d'ailleurs mobilisé une équipe de près de 200 personnes à temps plein, qui s'est également chargée de faire de nombreuses extensions numériques de décors comme les gradins du stade, ou les palais de Samagas et de César.
Rien n'est trop beau pour le sport
La piste du stade, entièrement construite, mesure à elle seule 265 m de long. La construction du site a mobilisé à temps plein près de 150 personnes. Un décor qui devait en outre résister aux dures conditions climatiques de la région d'Alicante : un vent venant de la mer, un air chargé d'humidité, une chaleur écrasante en août...
Comiques nouvelle génération
Pour les rôles secondaires, la production a souhaité engager des acteurs Européens, la plupart du temps des comiques très populaires dans leurs pays. On trouve donc Michael Herbig, l'équivalent de Mike Myers en Allemagne ; l'Espagnol Santiago Segura, mais aussi Dany Boon, Franck Dubosc, le Québécois Stéphane Rousseau, Jamel Debbouze, Elie Semoun...
Par Mercure, arrêtes ton char !
Clin d'oeil amusant et anachronique, les chars qui participent à la course dans l'arène sont loin de ce que l'on a l'habitude de voir...Il y en a même un, rouge étincelant que conduit Michael Schumacher, qui ressemble plus à une Formule 1 sortie d'une célèbre écurie italienne qu'à un char antique ! Rien d'étonnant au fond, lorsque l'on sait que ce dernier a été six fois champion du monde !
Un gaulois qui s'exporte !
Depuis la parution d' Astérix le Gaulois en 1961, créé par les géniaux René Goscinny et Albert Uderzo, les 33 albums que constituent les aventures de l'irréductible village de gaulois se sont vendus à plus de...300 millions d'exemplaires dans le monde ! Ils sont même traduits dans plus de 70 langues, y compris...en latin !
Les lieux de tournage
Le film a été tourné quelques jours dans la forêt de Fontainebleau pour l'environnement du petit village des gaulois, ainsi qu'à Alicante en Espagne, pendant plusieurs mois.
Un grand nom de la photo
C'est Thierry Arbogast qui signe la photographie du film. Très réputé dans sa discipline, il a en outre signé la photographie de nombreux films de Luc Besson, dont Nikita, Le Cinquième élément et Jeanne d'Arc. On lui doit aussi celle des Les Rivières Pourpres de Mathieu Kassovitz, et du survolté Le Baiser mortel du dragon.
Une décoratrice de renom
La conception du gigantesque stade olympique a été confiée à Aline Bonetto, la fidèle décoratrice de Jean-Pierre Jeunet, qui travaille avec lui depuis Delicatessen, et pour qui elle a créé les décors des tranchées d'Un Long dimanche de fiançailles (qui lui a valu son deuxième César et sa première citation à l'Oscar).
Costumes sur mesure
La créatrice des décors n'est pas la seule complice de Jean-Pierre Jeunet sur le plateau, puisque c'est Madeline Fontaine, nominée aux Césars pour Le Fabuleux destin d'Amélie Poulain et César pour Un Long dimanche de fiançailles, qui a été choisie pour les costumes.
Poelvoorde fils de Delon !
C'est en 2005 que Benoît Poelvoorde a révélé qu'il jouerait Brutus, le fils adoptif et perfide de Jules César. Un Empereur des Gaules incarné par une légende du cinéma : Alain Delon. "Je vais être le fils de Delon ! T'imagines Delon en César déclamer : " Avé moi ! Mais comment ai-je pu engendrer un fils aussi vilain ? " Et moi je lui réponds : " Papa ! Papa ! On se ressemble quand même un peu...Si si regarde ! On a les mêmes yeux !" a-t-il déclaré.
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Astérix et Obélix contre César|Claude Zidi|Comédie||2|allemand, français, italien|1999|101|Français||DivX|||DIVX|863 Kbps|640x352|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Claude Berri|Claude Zidi|Tony Pierce-Roberts||Agence Méditerranéenne de Location de Films (A.M.L.F.)|Saga : Astérix et Obélix |Les aventures des héros d'un célèbre village gaulois qui luttent contre les Romains et leur empereur Jules César. |Terry Jones (Obélix (voix anglaise))@||Secrets de tournage :
Les dessins animés
1967 : Asterix le Gaulois (Ray Goossens)
1968 : Asterix et Cleopatre (René Goscinny)
1976 : Les douze travaux d'Asterix (René Goscinny)
1985 : Asterix et la surprise de César (Paul Et Gaëtan Brizzi)
1986 : Asterix chez les bretons (Pino Van Lamsweerde)
1989 : Le coup du menhir (Philippe Grimond)
1994 : Asterix et les indiens (Gerhard Hahn)
Albert Uderzo, l'un des créateurs d'Astérix et Obélix :
"J'ai été épaté par le scénario de Claude Zidi pour le film. Je l'ai lu pour m'assurer que l'aventure où on les lançait respectait mes personnages, mais je ne me suis mêlé de rien. Le cinéma est un métier spécifique qui a ses propres règles. C'est d'ailleurs tout le problème, à la fois le risque et l'excitation de l'entreprise. Elle mélange deux univers, la fantaisie de la BD, le réalisme qu'impose la présence de comédiens reconnaissables, de chair et de sang. Comment le spectateur va-t-il entrer dans cet étrange cocktail ? Le talent de tout le monde, plus les effets spéciaux devraient aboutir à une nouvelle dimension d'Astérix. Pour moi, quand je vois Astérix et Obélix interprétés par des "grosses pointures" comme Clavier et Depardieu, je reconnais nos créatures mais je sais que je ne suis plus maître du jeu.
Les "Stars" du grand écran "croquées" dans les BD d'Astérix :
Charles Laughton (Gracchus Pleindastus)
Raimu (César Labeldecadix)
Pierre Tchernia (légionnaire romain)
Lino Ventura (Caius Aerobus)
Laurel et Hardy (légionnaires romains)
Bernard Blier (chef de la police de César)
Sean Connery (Zérozérosix)
Jean Gabin (procurateur de Judée)
Kirk Douglas (Spartakis)
Le projet de Louis de Funès
Après celui de Claude Lelouch, le second projet est venu de Louis de Funès qui a souhaité jouer le rôle d'Astérix. Mais le comédien ne souhaitait pas porter de moustaches ! L'entreprise échoua donc une nouvelle fois.
Le projet de Claude Lelouch
Claude Lelouch souhaitait faire un film interprété par des gens pris dans la rue... Pour Albert Uderzo :"Rencontrer des monstruosités pareilles, ce n'est pas donné à tout le monde ! Il n'y a pas eu de suite."
Claude Zidi, le réalisateur, à propos du film :
"Pour moi, l'aventure Astérix ça commence par un coup de téléphone reçu un matin, il y a plus de quatre ans. C'était Claude Berri qui abordait ce projet et me demande :"Si je produis Astérix, est-ce que je peux te mettre sur la liste des réalisateurs intéressés ? " A ma connaissance, d'ailleurs, cette fameuse liste n'a jamais comporté que deux noms : Jean-Marie Poiré et moi. J'ai réfléchi très vite et donné mon accord ! "Astérix" fait partie de ma culture d'enfant. J'avais 10 ans quand "Pilote" a commencé de paraître et je le dévorais...
Mon premier travail a consisté à relire tous les albums pour bien me pénétrer de cet univers si particulier. J'ai travaillé avec un type épatant, François Meunier, qui avait établi un répertoire complet des personnages des situations, des lieux, des épisodes et même des objets figurant dans "Astérix". Le fichier constituait un outil formidable et m'a permis d'entrer plus rapidement dans le petit monde de cette bande dessinée. Ainsi ai-je pu me mettre à construire un scénario original qui devait sauvegarder personnages et caractères principaux, les lieux et l'époque, mais innover sur le plan du récit dramatique et des épisodes. Ainsi est né Astérix et Obélix contre César auquel j'ai essayé de faire participer à peu près tous les personnages contenus dans la BD..."
De Claude Berri, le producteur :
"Il est certain qu'ont régné sur le tournage d'Astérix une excitation et une passion exceptionnelles. Il y a toutes sortes de cinéma et mes goûts sont très éclectiques. Mais ce qu'on appelle LE cinéma, le cinéma populaire, à grand spectacle, motive les gens et leur donne l'impression de faire du cinéma en lettres majuscules. C'est du CINEMA. Il y a de la figuration, on a du temps, on s'embarque pour des mois et des mois, comme à la grande époque. J'ai connu quelques grandes aventures de cinéma, chaque fois, il y a un enthousiasme fou."
Des chiffres...
Budget : 250 milions de Francs... environ.
Premier tour de manivelle : le 26 juin 1998.
21 semaines de tournage.135.000 mètres de pellicule.
700 techniciens et ouvriers.
60 comédiens et 1.495 figurants.
22.000 repas.
1.135 m2 de toiture en chaume.
6.260 m2 de gazon en rouleaux.
800 pièces de costumes créées (dont 420 costumes et accessoires (casques, armures, boucliers...) pour les figurants romains)
860 m de serge rouge pour les tuniques romaines
61 animaux dans le village (poules, canards, chevaux...)
398 animaux au cirque romain (mygales, crocodiles, serpents...)
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Astérix et Obélix : mission Cléopâtre|Alain Chabat|Comédie||3|français|2002|103|Français||DIV3|||DIV3|807 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|700||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Claude Berri|Alain Chabat|Laurent Dailland||Pathé Distribution|Saga : Astérix et Obélix |Cléopâtre, la reine d'Egypte, décide, pour défier l'Empereur romain Jules César, de construire en trois mois un palais somptueux en plein désert. Si elle y parvient, celui-ci devra concéder publiquement que le peuple égyptien est le plus grand de tous les peuples. Pour ce faire, Cléopâtre fait appel à Numérobis, un architecte d'avant-garde plein d'énergie. S'il réussit, elle le couvrira d'or. S'il échoue, elle le jettera aux crocodiles.Celui-ci, conscient du défi à relever, cherche de l'aide auprès de son vieil ami Panoramix. Le druide fait le voyage en Egypte avec Astérix et Obélix. De son côté, Amonbofis, l'architecte officiel de Cléopâtre, jaloux que la reine ait choisi Numérobis pour construire le palais, va tout mettre en oeuvre pour faire échouer son concurrent. |Gérard Depardieu (Obélix)@Christian Clavier (Astérix)@Jamel Debbouze (Numérobis)@Monica Bellucci (Cléopâtre)@Alain Chabat (César)@Claude Rich (Panoramix)@Gérard Darmon (Amonbofils)@Edouard Baer (Otis)@Dieudonné (Caius Céplus)@Isabelle Nanty (Itinéris)@Jean Benguigui (Malococsis)@Marina Foïs (Sucettalanis)@Edouard Montoute (Nexusis)@Bernard Farcy (Barbe-Rouge)@Michel Cremades (Triple patte)@Noémie Lenoir (Guimieukis)@Mouss Diouf (Baba)@Pierre Tchernia (la voix off et Caius Gaspachoandalus)@Dominique Besnehard (le goûteur)@Zinedine Soualem (le carreleur)@Joel Cantona (centurion de la forêt)@Emma de Caunes (la secrétaire de César)@Claude Berri (le portraitiste de Cléopâtre)@Chantal Lauby (Cartapus)@Jean-Paul Rouve (Caius antivirus )@Jean-Pierre Bacri (commentateur langouste)@Mathieu Kassovitz (physionomiste du banquet)@Pierre-François Martin-Laval (le lanceur de catapulte)@Pascal Vincent (le légionnaire à la catapulte )@Maurice Barthélémy (Le légionnaire Couloirdebus)@Cyril Raffaelli (un légionnaire dans la forêt)@Omar Sy (un peintre (scène coupée))@||Secrets de tournage :
La bande-orginale du film
La bande-originale du film a été l'objet d'un procès opposant les producteurs de Féroce à ceux d'Astérix et Obélix : mission Cléopâtre. Gilles de Maistre assure que Joey Starr avait réservé l'exclusivité du titre Gazelle pour la sortie de Féroce alors qu'elle figure au générique d'Astérix (voir l'article "Astérix" en justice).
Quelques chiffres
Le film a mobilisé 500 ouvriers pour les décors marocains, 2 000 figurants, plus de 11 kilomètres de tissus pour les costumes, 5 000 sandales, une douzaine de perruques pour Monica Bellucci et 1 500 pour les autres rôles.
Lieux de tournage
Le tournage a eu lieu à Malte pour les scènes "aquatiques", au Maroc et à Epinay pour les scènes en studio.
Deux tempêtes de sable
Le tournage a été perturbé par deux tempêtes de sable. L'une d'entre elles, qui a duré huit heures est survenue pendant la préparation d'une scène en extérieur avec 2 000 figurants. Elle a paralysé le tournage pendant deux jours.
Luc Besson, réalisateur d'un jour
Luc Besson "m'a demandé s'il pouvait passer un jour parce que ça le faisait marrer de prendre une caméra pendant que je tournais. Je lui ai demandé quand il voulait venir et il m'a répondu le jour où c'est le plus compliqué. Il a fait des plans mortels le jour des 2 000 figurants", confie Alain Chabat à Première.
Une aide de Jean-Pierre Bacri
Jean-Pierre Bacri, qui a joué avec Alain Chabat dans Didier et Le Goût des autres, a aidé le réalisateur à trouver quelques blagues. "J'ai montré un premier montage du film à Jean-Pierre, et il m'a rajouté deux, trois blagues gratos", explique Alain Chabat à Première.
Jean-Pierre Bacri assure également la voix-off d'une scène du film.
Sortie prévue aux Etats-Unis
A Cannes, Alain Chabat a défendu son long métrage au Marché du Film. Les douze minutes de promotion projetés sur place ont plu. Après des applaudissements debout ? fait très rare dans les salles de marché - le film a été pris d'assaut par les distributeurs.
En plus de l'Allemagne et des Pays de l'Est, détenus par le coproducteur du film (KC Medien), Astérix et Cléopâtre a été acquis par le Canada, la Grèce, le Portugal et l'Espagne ainsi que par les Etats-Unis (Miramax) qui, en même temps, ont acheté Astérix et Obélix contre César qui n'est pas sorti en salles là-bas.
Jamel et Snoop Doggy Dogg
Jamel Debbouze interprète un titre en duo avec le rappeur Snoop Doggy Dogg qui constitue la chanson finale du film.
Joey Starr et Niclapolis
Joey Starr devait incarner un Egyptien surnommé Niclapolis mais son personnage a disparu à la quatrième version du scénario. Le rappeur n'est cependant pas totalement absent du film : il interprète une chanson du film, Gazelle.
Claude Berri peintre
Claude Berri, producteur du film, fait une appartition dans le film. Il incarne le portraitiste de la reine Cléopâtre.
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« Préc.
Les producteurs pensaient en tirer 4 ou 5 copies. Finalement, il bénéficiera du même nombre de copies que le film d'Alain Chabat : soit 900.
Le plus gros budget pour un film français
Le budget du film s'élève à 50,3 millions d'euros (330 milllions de francs), le record pour un film français.
Des amis et... la famille
Alain Chabat a fait appel à des amis dont Chantal Lauby, sa collègue des Nuls, Jamel Debbouze, Edouard Baer et les Robins des Bois. "Dominique Farrugia n'est pas dans le film pour des problèmes de dates. Mais il a quand même fait les premières bandes-annonces où il est déguisé en Cléopâtre", explique Alain Chabat.
Au générique apparaissent également des noms familiers : Carole Chabat qui incarne une ouvrière et qui était stagiaire à la réalisation, et Max Chabat, le fils du réalisateur, qui joue un enfant égyptien. Quant à Momo Debbouze, le frère de Jamel Debbouze, il campe un vendeur de sphinx.
Adapté d'un album d'Astérix
Le film est adapté de l'album Astérix et Cléopâtre. "Claude (Berri) trouvait que c'était un des albums les plus cinématographiques. Moi, j'adore tous les albums. Celui-là permettait en plus d'offrir à Jamel (Debbouze) un rôle sur mesure", explique Alain Chabat.
« Préc.
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Atlantis, the Lost Empire|Kirk Wise Gary Trousdale|Animation||3|américain|2001|95|Anglais||DIV3|||DIV3|879 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|696||||23.976|09/08/2009 00:00:00|Don Hahn|Tab Murphy Gary Trousdale Joss Whedon Kirk Wise Bryce Zabel Jackie Zabel|||||Milo James Thatch, un cartographe et linguiste spécialiste en dialectes anciens, travaille sans relâche au sous-sol d'un musée. Comme jadis son grand-père explorateur, il souhaite découvrir l'Atlantide, la légendaire cité perdue.Il reçoit alors la visite de Preston B. Whitmore, un millionnaire excentrique. Ce dernier a en sa possession un mystérieux manuscrit révélant l'emplacement de l'Atlantide et que seul Milo peut déchiffrer. Grâce au financement de Whitmore, celui-ci embarque dans un immense sous-marin et se joint à une équipe d'audacieux explorateurs avec à son commandement le Capitaine Rourke. L'expédition sous-marine s'annonce fructueuse grâce aux indications fournies par le manuscrit. Ce qu'ils découvriront changera leur existence pour toujours. |Jean Reno (Vincenzo (voix française))@Patrick Timsit (Gaetan Molière dit La Taupe (voix française))@Mouss Diouf (Jebidiah Allardyce (voix française))@||Secrets de tournage :
Une langue à inventer
L'existence même de l'Atlantide restant à prouver, il a fallu imaginer une nouvelle langue de A à Z pour les besoins du film. Une tâche confiée au linguiste Marc Okrand, créateur de la langue vulcain dans Star Trek 2: la colère de Khan et de celle des Klingons dans Star Trek 3: A la recherche de Spok. Fidèle à la théorie de l'Atlantide comme source de toute civilisation et aux prémisses du film situés en Islande, Marc Okrand s'est basé sur les langues indo-européennes pour fabriquer un alphabet de 29 lettres et de 10 allant de 0 à 9.
Tournage à Paris
Du Bossu de Notre-Dame à Kuzco, l'empereur mégalo en passant par Hercule et Tarzan, de nombreux plans des dessins animés Disney sont désormais tournés dans les locaux parisiens du studio. Ce fut aussi le cas pour Atlantide, l'empire perdu. De mai 1999 à novembre 2000, les membres du Walt Disney feature animation France ont peint 213 des 1392 décors du film. De plus, le personnage d'Helga Sinclair a été totalement créé et supervisé à Paris par Yoshimichi Tamura.
Neuf ans de préparation
L'idée d'un film sur l'Atlantide remonte à 1992. A l'automne 1996, le projet est confié au duo de réalisateur Gary Trousdale-Kirk Wise, qui vient de signer Le Bossu de Notre-Dame. L'animation proprement dite débute en 1997. 350 artistes, animateurs et techniciens collaborent au projet, en Californie et à Paris. Avec plus d'une dizaine de rôles principaux, Atlantide, l'empire perdu est l'un des films Disney où apparaissent le plus de personnages. Les effets spéciaux du film ont, pour leurs parts, nécessité l'élaboration de 362 plans à effets numériques, mobilisant une équipe de 22 spécialistes de l'animation par ordinateur.
Aventures en Cinémascope
Voulu depuis le départ comme un véritable film d'aventure épique, Atlantide, l'empire perdu est présenté au format Cinémascope. Plus large de 30% par rapport à un écran traditionnel, il permet une vision panoramique plus importante et met les décors en valeur. Atlantide, l'empire perdu est l'un des rares films d'animation présenté en Cinémascope. Avant lui, La Belle et le Clochard, La Belle au bois dormant et 1001 Pattes avait également eu cet honneur chez Disney.
L'Atlantide : mythe ou réalité
Continent virginal et mythique ou cité maudite enfouie sous les eaux à la suite d'un cataclysme naturel, le destin tragique de l'Atlantide fascine l'homme depuis l'Antiquité. C'est le philosophe grec Platon qui rapporte pour la première fois l'histoire de l'Atlantide dans deux de ses dialogues : le Timée et le Cristias. Au fil des siècles, diverses théories ont situé l'Atlantide au milieu de l'Atlantique, en Islande, dans le Caucase, au Bénin ou encore en Crète. En 1882, Ignatius Donnelly publie Le Monde antédiluvien qui devient une bible pour tous ceux qui veulent croire à l'existence de l'Atlantide. Selon l'écrivain, la citée engloutie est le berceau de notre civilisation. Elle a en tous les cas inspiré de nombreux auteurs tels que Jules Verne, Arthur Conan Doyle, H.G. Wells ou encore H.P. Lovecraft.
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Class of nuke 'em high|Richard W. Haynes Lloyd Kaufman||||américain||78|Anglais||DX50|||DX50|956 Kbps|448x336|MPEG-1 Audio layer 3|134 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00||Lloyd Kaufman|Michael Mayers||||Ne paniquez pas ! L'incident survenu à la centrale nucléaire près du lycée de Tromaville n'est absolument pas dangereux pour les habitants ! Et si les étudiants les plus sages commençaient à perdre toute morale et discipline ? Et si certains se transformaient en une horde de cannibales assoiffés de sang ?... |||||||||||||@@
Attack Force|Michael Keusch|Action||1|américain|2006|94|||XVID|||XVID|901 Kbps|720x384|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|703||||23.976|06/08/2009 00:00:00|Phillip B. Goldfine Vlad Paunescu|Steven Seagal Joe Halpin|Sonja Rom||||Après avoir vu son équipe décimée, le Marshall Lawson se retrouve aux prises avec une bande de mercenaires trafiquants de drogue. |Steven Seagal (Marshall Lawson)@David Kennedy (Dwayne)@Gabi Burlacu (l'agent de Tia)@Matthew Chambers (Seth)@Vlad Coada (l'agent de Tia n°3)@Adam Croasdell (Aroon)@Mark Dymond (Phil)@Florian Ghimpu (le touriste)@Vlad Iacob (un agent de Tia)@Ileana Lazariuc (la reine extraterrestre)@Sayed Najem (le garde tueur à gages)@Daniel Pisica (un soldat)@Lisa Lovbrand (Tia)@||||||||||||@@
Street Kings|David Ayer|Policier|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|2008|103|Anglais||XVID|||XVID|803 Kbps|912x382|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Alexandra Milchan Lucas Foster Erwin Stoff|James Ellroy Kurt Wimmer Jamie Moss|Gabriel Beristain||Fox Searchlight Pictures||Tom Ludlow est le meilleur détective de l'Ad Vice, unité spécialisée de la Police de Los Angeles. Son supérieur, le capitaine Wander, ferme les yeux sur ses procédés souvent "hors normes" et le protège lors de l'enquête interne menée par le capitaine Biggs.Accusé à tort du meurtre d'un collègue, Ludlow doit lutter seul contre le système corrompu pour prouver son innocence. |Keanu Reeves (Tom Ludlow)@Forest Whitaker (Capitaine Jack Wander)@Hugh Laurie (Capitaine James Biggs)@Chris Evans (II) (Diskant)@Cedric The Entertainer (Scribbles, l'indic)@Common (Coates)@Amaury Nolasco (Santos)@Naomie Harris (Linda Washington)@Terry Crews (Terrence Washington)@Jay Mohr (Mike Clady)@Martha Higareda (Grace Garcia)@Kenneth Choi (Kim)@Kevin Benton (Lieutenant Van Burden)@Kate Clarke (La petite amie de Demille)@Patrick Gallagher (Le Capitaine du LAPD)@Kirstin Pierce (La femme de Clady)@Dennis Nusbaum (Détective Gibons)@Cle Shaheed Sloan (Fremont)@Angela Sun (Julie Fukashima)@The Game (Grill)@||Secrets de tournage :
Sur un scénario de James Ellroy
Au bout de la nuit s'inspire d'un scénario écrit par le maître du polar James Ellroy. A l'origine, le film était censé se passer dans le Los Angeles post-émeutes de 1992, mais les producteurs ont décidé de situer l'histoire dans le L.A. d'aujourd'hui tout en gardant les thématiques générales abordées par James Ellroy dans le scénario original. Le producteur Lucas Foster explique : "Erwin Stoff et moi nous sommes attachés à faire un film pour adultes afin d'avoir la liberté de dire la vérité, ou en tout cas notre perception de la vérité, sur la vie d'un flic aujourd'hui à Los Angeles."
Corruption policière
Comme dans son précédent travail sur des films tels que Training Day, Bad Times et S.W.A.T. unité d'élite, David Ayer exploite de nouveau les thèmes de la complexité du maintien de l'ordre, du pouvoir et de la corruption. "Donner à quelqu'un la possibilité de prendre une vie humaine est un pouvoir incroyable, qui n'est pas sans conséquences psychologiques", explique David Ayer. "David Ayer et James Ellroy partagent le même amour de la ville dans toute sa beauté et sa laideur. David a la même fascination pour Los Angeles et la culture tribale de sa police qu'Ellroy", commente le producteur Erwin Stoff.
La police n'a plus de secret pour Forest Whitaker
Tout au long de sa carrière, Forest Whitaker a joué de nombreux rôles de flics et arriva sur le projet avec sa connaissance approfondie du sujet. "J'ai joué le rôle d'un flic dans la série "The Shield" pendant un an et ai suivi toute une batterie de formation et d'entraînement au maniement des armes, confie l'acteur. Ayant grandi dans les rues de L.A., j'ai connu des policiers, mais de l'autre côté. Je sais comment ils jettent les gens par terre en les aveuglant avec leurs lampes torches, parce que j'y ai eu affaire. Je sais ce qu'ils vous disent lorsque vous vous faites arrêter, donc je pense avoir plus de ressources dans lesquelles puiser que d'autres."
Pour un maximum d'authenticité
Pour créer l'univers d'Au bout de la nuit, l'importance a été donnée à l'authenticité. Afin de garantir une parfaite exactitude, les producteurs se sont reposés sur l'expérience de plusieurs vétérans expérimentés du LAPD, engagés comme consultants techniques sur le film. Parmi eux, Jaime Fitzsimmons, qui a passé 15 ans dans les rangs du LAPD et a travaillé étroitement avec David Ayer sur les fonctionnements internes du LAPD, et Brian Davis, qui a passé les vingt dernières années dans une unité ultra-spécialisée chargée de l'infiltration auprès de grands criminels, kidnappeurs et meurtriers.
Entraînement intensif
Avant que ne débute le tournage, Keanu Reeves et les autres acteurs ont reçu un entraînement intensif. Ils ont manié des armes à feu, ont été emmenés en patrouille dans différents quartiers de Los Angeles et ont appris les opérations quotidiennes du LAPD. "Keanu a pris tout cela très au sérieux et s'est donné à 120 % pour se mettre dans la peau d'un flic du LAPD, explique Jaime Fitzsimmons. Je crois que n'importe quel policier de L.A. pourra regarder son interprétation et se dire qu'il est l'un d'eux."
Tournage à haut risque
D'une durée de 41 jours, le tournage s'est déroulé dans des quartiers particulièrement mal famés de Downtown Los Angeles. "On a tourné ce film dans les endroits les plus défavorisés et désespérément pauvres de Los Angeles, mais la manière dont nous avons été reçus était tout simplement bluffante, remarque le producteur Erwin Stoff. Les habitants n'auraient pas pu être plus accueillants. Où que nous allions, ça se transformait en fête de quartier. C'était une des grosses surprises du tournage." Le plateau de tournage était entièrement bilingue. Ayant grandi entouré d'hispanophones, David Ayer parle couramment la langue. Sur le plateau, il a créé un environnement reflétant le paysage culturel de Los Angeles.
La valse des réalisateurs
Avant d'être porté à l'écran par David Ayer, le scénario de Au bout de la nuit est successivement passé entre les mains de David Fincher, Oliver Stone et Spike Lee.
Sean Penn pressenti dans le rôle principal
Sean Penn a initialement été pressenti pour incarner le détective Tom Ludlow.
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Au secours, j'ai 30 ans !|Marie-Anne Chazel|Comédie||2|français|2004|90|Français||XVID|||XVID|901 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|673||||25.000|27/08/2009 00:00:00||Marie-Anne Chazel|Pascal Caubère||Rezo Films||Ils sont amis depuis l'enfance et se sont juré de toujours s'entraider. Ensemble, Kathy, Tara et Yann ont quitté leur île bretonne pour s'installer à Paris. Alors que Yann est heureux avec Alfredo, son compagnon, les deux filles connaissent des vies sentimentales plutôt désastreuses.
Tara, aussi rieuse que peu sûre d'elle, se fait esclavagiser par Thomas, petit prof égocentrique et mesquin. Elle compense ses frustrations amoureuses et professionnelles pour une boulimie dévastatrice.
Secrète, Kathy vit seule et s'arrange pour qu'aucun homme ne l'approche, pas même Romain, l'un de ses collègues fasciné par son humour et sa beauté. La découverte de la maladie de Yann va tout remettre en cause.
Convaincu qu'il ne lui reste que peu de temps à vivre, Yann oblige ses deux amies à reprendre leur vie en main. Opérant un véritable chantage à l'amitié, il leur fixe un ultimatum... |Pierre Palmade (Yann)@Giovanna Mezzogiorno (Kathy)@Nathalie Corré (Tara)@Franck Dubosc (Léo Melvil)@François Morel (Thomas)@Marthe Villalonga (Jeanne-Marie)@Arnaud Giovaninetti (Romain)@Bernard Yerlès (Gwen)@Marie-Anne Chazel (la voix de la mère de Cathy au téléphone)@Thierry Lhermitte (lui-même)@Michel Scotto di Carlo@Christian Pereira (le professeur Meyrand)@Annie Grégorio (l'infirmière)@||Secrets de tournage :
Une envie de passer à la réalisation
Marie-Anne Chazel confie ce qui lui a donné envie de passer derrière la caméra : "J'avais envie de raconter une histoire à ma façon et je me sentais enfin prête. Je ne suis pas venue à la réalisation par principe ou parce que beaucoup de mes camarades l'avaient fait, mais vraiment pour exprimer une sensibilité autrement que par le seul jeu."
L'adaptation d'un roman de Marian Keyes
Première réalisation de Marie-Anne Chazel, Au secours, j'ai 30 ans ! est l'adaptation du roman Le Club de la dernière chance de Marian Keyes. La comédienne - réalisatrice confie : "J'étais sensible à l'humanité du propos, à son optimisme réaliste, à son potentiel de comédie. Je trouve que l'expression "comédie très légèrement dramatique" définit bien l'ensemble".
Ecrit en collaboration avec Benjamin Legrand
Marie-Anne Chazel a travaillé à l'écriture du scénario avec Benjamin Legrand, qui n'est autre que l'auteur du script de Lovely Rita Sainte Patronne des cas désespérés, comédie dans laquelle a joué son mari Christian Clavier.
La comédienne - réalisatrice se souvient de cette collaboration : "Au début du projet, je jouais encore au théâtre et Benjamin a commencé l'adaptation. Il m'a proposé une épure que nous avons fait évoluer ensemble. Il y a eu ainsi de nombreux allers-retours. Nous avons aussi écrit des dialogues ensemble."
Le choix de Nathalie Corré
Pour le rôle de Tara, plus potelée que la majorité des actrices actuelles, le choix de Marie-Anne Chazel s'est porté sur Nathalie Corré, qu'elle avait rencontrée comme intervieweuse pendant la promotion de la pièce Même heure l'année prochaine. Ayant toutes deux sympathisé, l'actrice - réalisatrice s'était intéressée aux talents de comédienne de la journaliste en allant la voir jouer Les Monologues du vagin. Bluffée par son jeu, Marie-Anne Chazel lui fit faire quelques essais pour le film qui s'avèrèrent concluants.
Marie-Anne Chazel au téléphone
A l'instar de Michel Blanc dans Le Père Noël est une ordure, Marie-Anne Chazel n'est présente dans le film qu'à travers une voix téléphonique. Elle a ainsi prêté sa voix au personnage de la mère de Kathy lorsqu'elle lui apprend qu'elle veut créer un élevage de lamas en Bretagne.
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Au suivant !|Jeanne Biras|Comédie||2|français|2005|80|Français||XviD|||XVID|1 053 Kbps|640x352|MPEG-1 Audio layer 3|145 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Virginie Silla|Jeanne Biras|Jean-Marc Bouzou||EuropaCorp Distribution||Jo, la trentaine, Parisienne, est directrice de casting. Des hommes, elle en voit passer tous les jours. Elle en voit tellement passer qu'elle ne les voit plus. Avec son planning surbooké, où elle conjugue stress, comédiens ratés, publicitaires nébuleux, squatteurs et autres metteurs en scènes egocentriques, sa vie sentimentale est un désastre.Elle va croiser le chemin de Bernard, doux-rêveur obstiné et radicalement opposé à l'homme idéal qu'elle imagine. En plus, il n'est même pas comédien... |Alexandra Lamy (Jo)@Clovis Cornillac (Bernard)@Juliette Roudet (Lucille)@Jerry Rudes (Riley)@Rastko Jankovic (Emil)@Marie-Christine Adam (la mère de Jo)@Pierre Douglas (Michel)@Louis-Do de Lencquesaing (le réalisateur)@Cyril Mourali (Greg)@Charlotte Nguyen (Anaïs)@||Secrets de tournage :
Du court au long
A l'origine de ce projet, un court métrage que réalise Jeanne Biras en 2001, après le tournage du film de Jean-Pierre Améris, C'est la vie. En aidant, pendant plusieurs
semaines, des personnes gravement malades à interpréter leur propre rôle, elle a ressenti l'urgence d'entreprendre quelque chose de personnel, donc de réaliser.
Le résultat est un court, Au suivant !, interprété par Isabelle Nanty, plus sombre que le long, sur lequel tombe Luc Besson. Séduit par le sujet, ce dernier décide de l'inclure dans la sélection 01 de courts métrages diffusés sur les écrans de cinéma et de donner à Jeanne Biras la chance de passer pleinement à la réalisation en lui proposant d'écrire puis de tourner son premier long métrage.
Une trame plus romantique
Lorsqu'elle s'est attaquée à l'écriture du scénario, Jeanne Biras pensait s'orienter vers une satire sociale, essentiellement axée sur les rapports de forces au travail. Luc Besson l'a alors conseillée et encouragée à développer l'intrigue sentimentale de son histoire.
Jeanne Biras sait de quoi elle parle
Le scénario est étroitement lié au parcours professionnel de Jeanne Biras, qui a auparavant officié comme directrice de casting. Celle-ci explique : "Je me suis reposée sur mon expérience, sur certains de mes souvenirs, sur toutes ces images que j'avais emmagasinées depuis des années, consignant des gestes, des réactions, des rituels de travail."
Trouver la comédienne idéale
Isabelle Nanty n'étant plus disponible pour reprendre le rôle d'origine, Jeanne Biras et la productrice Virginie Silla se sont lancées ensemble dans la recherche de l'actrice idéale. "S'il me paraît normal qu'un producteur suive de très près les projets, explique Virginie, le choix des comédiens résulte néanmoins d'un désir entre le réalisateur et le comédien. On peut, en revanche, essayer de les influencer. Il y a très peu de comédiennes capables d'assumer aujourd'hui une comédie, on a donc pas mal cherché. Lorsque j'ai vu
les essais d'Alexandra, j'ai été immédiatement convaincue et j'ai poussé Jeanne à la revoir, délicatement, sans insister, car je n'aime pas imposer. Heureusement, elle a eu la même
impression que moi."
Retrouvailles Alexandra Lamy / Clovis Cornillac
Au suivant ! marque les retrouvailles d'Alexandra Lamy et Clovis Cornillac, qui ont déjà eu l'occasion de se donner la réplique dans Brice de Nice. Au sujet de Clovis, Alexandra déclare : "Bon, Clovis ce n'est pas Brad Pitt c'est sûr, mais en jouant avec lui je l'ai trouvé terriblement séduisant. On cherche le prince charmant et bien maintenant on a Clovis, qui n'est peut-être
pas le prince charmant tel qu'on avait imaginé mais qui est dix fois mieux que ça. Il est touchant, entier, généreux, il a beaucoup d'humour."
Un tournage chaleureux
Le tournage fut marqué par une réelle entente entre Jeanne Biras et Virginie Silla, réservée et mesurée, qui, lorsqu'elle débarque sur un plateau, l'illumine, dixit Clovis Cornillac.
Pour Jeanne, ce fut un échange vraiment très positif : "Virginie n'introduit aucun rapport de force, ce n'est pas pour elle une dimension indispensable à la création. Elle s'est montrée à la fois proche et discrète, n'intervenant que lorsqu'elle le jugeait pertinent. Grâce à sa présence, j'ai pu accoucher en douceur, ce qui est formidable."
Quant à Virginie, elle a apprécié la quiétude de ce tournage : "Même si Jeanne devait certainement être, intérieurement, angoissée, en ébullition, elle a toujours affiché une sérénité qui me rassurait et devait certainement apaiser l'ensemble de l'équipe. Elle a vraiment fait confiance à tous ceux qui l'entouraient, elle a toujours écouté les
suggestions, les miennes, celles des comédiens, des techniciens."
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Audition|Takashi Miike|Fantastique|Interdit aux moins de 16 ans|2|japonais|2002|110|Japonais||XviD|||XVID|787 Kbps|720x384|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|705||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Akemi Suyama Satoshi Hukushima|Daisuke Tengan|Hideo Yamamoto||Sagittaire Films||Aoyama, 42 ans, est producteur de films. Sa femme est décédée il y a sept ans, mais il vit toujours sa disparition avec difficulté. Un jour, suivant les conseils d'un vieil ami, Yasuhisa Yoshikawa, il décide de se remarier et organise une audition pour une série télévisée fictive afin de trouver sa nouvelle compagne parmi les candidates. L'une des dernières à se présenter, Yamazaki Asami, est une jeune femme d'une troublante beauté. Aoyama en tombe instantanément amoureux. Il la rappelle et dîne en tête à tête avec elle. Quelques jours plus tard, Aoyama lui téléphone à nouveau. Yamazaki est chez elle, prostrée dans l'obscurité. Elle est seule ou presque. Commence alors pour Aoyama une plongée vertigineuse dans un enfer sanglant, dont les retombées seront excessivement douloureuses. |Ryo Ishibashi (Shigeharu Aoyama)@Eihi Shiina (Asami Yamasaki)@Jun Kunimura (Yasuhisa Yoshikawa)@Tetsu Sawaki (Shigehiko Aoyama)@Miyuki Matsuda (Yoshiko Aoyama)@||Secrets de tournage :
Clin d'oeil à "Ring"
Catalogué film fantastique japonais à l'instar de Kaïro de Kiyoshi Kurosawa ou de Ring d'Hideo Nakata, Audition rend hommage à ce dernier lors d'un rapide clin d'oeil. Dans une scène du film, Asami, l'héroïne, est assise par terre, totalement immobile, ses longs cheveux noirs devant son visage. Soit la position récurrente de Sadako, l'esprit meurtrier de Ring.
Une actrice taille mannequin
Héroïne d'Audition, son deuxième film devant la caméra, Eihi Shiina a débuté sa carrière en tant que mannequin. Elle a notamment posé en 1995 pour une campagne mondiale de la marque de vêtements Benetton.
Basé sur un roman
Premier film de Takashi Miike à sortir en France, Audition est basé sur un roman de Ryu Murakami, lui-même metteur en scène à ses heures, publié à l'origine dans l'édition japonaise du magazine érotique Penthouse. Une collaboration positive, puisque Ryu Murakami a demandé à Takashi Miike d'adapter son roman le plus connu : Les Bébés de la consigne automatique.
Récompensé à Rotterdam et Porto
Présenté dans de nombreux festivals fantastiques, dont celui de Gérardmer en 2001, Audition est récompensé de deux prix lors du Festival International du film de Rotterdam en 2000, dont l'un souligne "la liberté narrative et la maîtrise technique" de l'oeuvre. Audition a également reçu un Prix spécial lors de l'édition 2001 du Festival Fantasporto.
Présenté à Gérardmer
Audition de Takashi Miike a été présenté hors compétition au Festival du Film Fantastique de Gérardmer 2001.
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Austin Powers : International Man of Mystery|Jay Roach|Comédie||2|allemand, américain|1997|91|Anglais||DIV3|||DIV3|897 Kbps|720x480|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|671||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Demi Moore Mike Myers Jennifer Todd Suzanne Todd|Mike Myers|Peter Deming|||Saga : Austin Powers |En 1967, Austin Powers est photographe de mode le jour et agent secret la nuit. Il voyage dans le temps afin de poursuivre son ennemi, le docteur Denfer, et se retrouve en 1997. |Mike Myers (Austin Powers / Dr. Denfer)@Liz Hurley (Vanessa Kensingston)@Michael York (Basil Exposition)@Mimi Rogers (Mme Kensington)@Robert Wagner (Numéro deux)@Seth Green (Scott Denfer)@Paul Dillon (Patty O'Brien)@Mindy Sterling (Frau Farbissina)@Carrie Fisher (La therapeute)@Rob Lowe (L'ami du décapité)@Will Ferrell (Mustafa)@Charles Napier (Gilmour)@Elya Baskin (Borschevsky)@Monet Mazur (la fille mod)@Burt Bacharach (Lui-même)@Clint Howard (l'opérateur radar)@Douglas Aarniokoski (la voix du téléphone du Dr. Denfer)@Christian Slater (L'agent de sécurité)@Tom Arnold (L'homme dans la baignoire)@Mike Judge (Beavis/Butt-Head (voix))@Fabiana Udenio (Detta Defagin)@||||||||||||@@
Austin Powers 2 : The Spy Who Shagged Me|Jay Roach|Comédie||3|américain|1999|91|||DivX|||DIVX|958 Kbps|640x384|WMA2|64.1 Kbps|False|44.1 KHz|2|672||||25.000|06/08/2009 00:00:00|John S. Lyons Eric McLeod Demi Moore Mike Myers Jennifer Todd Suzanne Todd|Michael McCullers Mike Myers|Ueli Steiger||Metropolitan FilmExport|Saga : Austin Powers |Austin Powers s'est très bien adapté aux années 90. Il a repris son activité de photographe de mode et vit avec sa femme Vanessa. Mais le sinistre docteur Denfer rêve toujours de l'éliminer. Il construit pour cela une machine à explorer le temps et remonte en 1969 pour extraire la libido du corps congelé d'Austin Powers, le "mojo". Le super espion ne pouvant rester dépourvu de son pouvoir d'attraction, il fait lui aussi le voyage et retrouve son ennemi mortel sur la Lune. Escorté par l'agent Felicity Bonnebez, Austin Powers va une fois de plus faire échouer ses plans diaboliques. |Mike Myers (Austin Powers / Dr Denfer / Gras Double)@Heather Graham (Felicity Bonnebez)@Rob Lowe (Numéro Deux jeune)@Gia Carides (Robin Swallows)@Clint Howard (Peters)@Jane Carr (une femme)@Jeff Garlin (Cyclope)@Jennifer Coolidge (la femme au match de football)@Burt Bacharach (Lui-même)@Woody Harrelson (Lui-même)@Kristen Johnston (Ivana Humpalot)@Charles Napier (Général Hawk)@Willie Nelson (Lui-même)@Jerry Springer (Lui-même)@Fred Willard (le commandant de la mission)@Michael York (Basil Exposition)@Robert Wagner (Numéro Deux)@Seth Green (Scott Denfer)@Tim Robbins (le président)@Liz Hurley (Vanessa Kensington)@Rebecca Romijn (elle-même)@Mindy Sterling (Frau Farbissina)@Verne Troyer (Mini-moi)@Muse Watson (Le membre du Ku-Klux-Klan)@Will Ferrell (Mustafa)@||||||||||||@@
Austin Powers in Goldmember|Jay Roach|Comédie||3|américain|2002|90|Anglais||DX50|||DX50|942 Kbps|720x304|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|48.0 KHz|2|691||||25.000|06/08/2009 00:00:00|John S. Lyons Eric McLeod Demi Moore Mike Myers Jennifer Todd Suzanne Todd|Mike Myers Michael McCullers|Peter Deming||New Line Cinema|Saga : Austin Powers |Cela fait maintenant trois ans que le célèbre espion Austin Powers a mis le docteur Denfer hors d'état de nuire. Mais ce dernier et son assistant Mini-Moi parviennent à s'échapper d'une prison haute sécurité.
Le docteur Denfer s'adjoint les services du mystérieux Goldmember. Il décide alors de remonter dans le temps, destination 1975, pour kidnapper Nigel Powers, le père d'Austin et également un des plus grands agents des services secrets britanniques. L'excentrique et énigmatique Goldmember projette par ailleurs de dévier une gigantesque météorite d'or pur afin qu'elle entre en collision avec la Terre.
L'espion shaggadélique se téléporte lui aussi en 1975 et fait équipe avec son ancienne et élégante petite amie, Foxxy Cleopatra, devenue détective, pour secourir son cher paternel et sauver le monde. |Mike Myers (Austin Powers/ le Dr. Denfer / Fat Bastard / Goldmember)@Beyoncé Knowles (Foxxy Cleopatra)@Michael Caine (Nigel Powers)@Michael York (Basil Exposition )@Seth Green (Scott Evil )@Robert Wagner (Number Two )@Verne Troyer (Mini-Moi)@Mindy Sterling (Frau Farbissina)@Kevin Cooney (le général Clark)@India Dupre (Belinda)@Aaron Himelstein (Austin Powers jeune)@Josh Zuckerman (le Dr. Evil jeune)@Eddie Adams (Basil Exposition jeune)@Evan Farmer (Number Two jeune)@Fred Savage (Number Three)@Nina Kaczorowksi (la femme de main de Goldmember)@Britney Spears (elle-même)@Quincy Jones (lui-même)@Danny DeVito (lui-même)@Gwyneth Paltrow (elle-même)@Kevin Spacey (lui-même)@Ozzy Osbourne (lui-même)@Tom Cruise (lui-même)@Steven Spielberg (lui-même)@Nobu Matsuhisa (Monsieur Noboto)@Kelly Osbourne (elle-même)@||Secrets de tournage :
Un projet de longue date
C'est en 2001, durant les derniers mois de tournage d'Austin Powers dans Goldmember, que débuta la production de Love Gourou, avec le soutien personnel de George Harrison peu avant sa mort. Mike Myers, producteur, acteur et scénariste du film, déclare que ce projet est né de ses réflexions spirituelles qui ont fait suite à la mort de son père, en 1991.
Un troisième film pour remercier le public
Pour Mike Myers, ce troisième volet est en quelque sorte un cadeau pour remercier les spectateurs de leur fidélite. "Lorsque j'ai imaginé le premier Austin powers, j'ai eu beaucoup de mal à convaincre les studios", explique-t-il. "Ils étaient persuadés que cet espion ringue avec des dents pourries n'intéresserait personne... Le succès du premier film a donné envie à tout le monde d'en faire un deuxième. Le public a encore mieux fonctionné au second film. On a reçu tellement de témoignages fantastiques qu'on s'est dit : "Pourquoi ne pas y retourner ?" Ce troisième film est notre cadeau au public pour le remercier de nous avoir soutenus et suivis."
S'exprimant plus particulièrement sur Austin Powers dans Goldmember, Mike Myers déclare que "ce troisième opus va beaucoup plus loin que les deux précédents sur tous les points..."
L'imagination de Mike Myers
Le réalisateur Jay Roach ne tarit pas d'éloges au sujet de Mike Myers. "Le monde d'Austin Powers découle en grande partie de l'imagination et de l'humour de Mike Myers", explique-t-il. "C'est un univers fait de couleurs, de musique, d'humour, mais aussi de nostalgie et d'hommages affectueux. Mike est un peu à l'image de son héros : c'est un grand sentimental qui se cache sous une énergie débordante, avec un goût qui n'appartient qu'à lui."
Jouer plusieurs rôles : un défi
Dans Austin Powers dans Goldmember, encore plus que dans les précédents volets, Mike Myers incarne plusieurs personnages à la fois, en l'occurrence quatre, dont trois principaux. L'acteur explique que "jouer deux personnages, c'est deux fois plus difficile. En jouer trois, c'est dix fois plus complexe, et quatre, c'est cinquante fois pire ! Chacun a ses tics, sa gestuelle, sa voix. Il faut non seulement que je change de costume, pour Gras Double par exemple, mais je dois en plus me concentrer exclusivement sur chaque détail de son histoire et de sa scène.Ce n'est pas Docteur Jekyll et Mister Hide, c'est AustinDenferGrasDoubleGoldMembers !"
L'origine de Goldmember
C'est Mike Myers qui est à l'origine du personnage de Goldmember, individu obsédé par l'or. Le comédien se souvient : "Je regardais un documentaire sur HBO, Real Sex. Il y était question d'un club à la périphérie d'Amsterdam. J'ai toujours un oeil sur ce qui se fait en Europe. Je trouve que c'est un réservoir fantastique de personnalités toutes plus dingues les unes que les autres. (...) Le type dont il était question dans ce reportage n'était pas vraiment beau, il était même un peu ridicule. Malgré son allure pour le moins étonnante, il parlait de lui comme d'un véritable dieu du sexe. Ce gars y croyait à fond, il était complètement dans son truc. J'ai adoré. C'est à ce moment-là que l'idée de Goldmember a germé."
Un géant au générique
C'este le grand acteur britannique Michael Caine qui incarne, dans Austin Powers dans Goldmember, le père d'Austin Powers. Mike Myers était réellement impressionné devant cette légende du septième art. "Vous vous rendez compte", s'exclame-t-il, "Michael a 141 films à son actif, c'est un monstre ! J'ai du en faire huit ou dix. Quand on regarde tout ce qu'il a joué, tout ce qu'il est, il y a de quoi être réellement impressionné." Michael Caine, fan de l'esprit, du décalage et de la folie de la saga, déclarait quant à lui avec humour que "c'est incroyable, il aura fallu attendre tout ce temps pour que l'on me confie enfin le rôle d'un séducteur absolu avec une scène de lit au milieu de quatre demoiselles !"
Beyoncé Knowles : du micro au grand écran
Après Elizabeth Hurley et Heather Graham, c'est Beyoncé Knowles qui a obtenu le droit d'être la partenaire féminine d'Austin Powers pour ce troisième volet. Le long métrage est la première expérience cinématographique de la jeune femme, membre du groupe des Destiny's Child. La nouvelle Austin Powers girl confie : "Lorsqu'on m'a proposé le rôle, j'étais folle de joie. J'avais souvent rêvé de faire du cinéma, mais je ne pensais pas commencer aussi haut." Jay Roach, quant à lui, déclare, enthousiaste, qu'"à elle seule, elle ressuscite une époque, elle est fantastique."
Beyoncé Knowles a profité de l'occasion pour écrire et interpréter l'un des titres d'Austin Powers dans Goldmember, intitulé Work it out.
Un chef japonais à l'affiche
Le rôle de l'industriel Roboto a été confié à Nobu Matsuhisa, célèbre chef japonais, co-propriétaire de la chaîne de restaurants Nobu en compagnie de Robert De Niro. "J'ai fait des essais et Mike m'a confié le rôle. Je suis conscient de ma chance.J'ai fait tout ce que j'ai pu pour être bon, c'est-à-dire sournois et vil", déclare-t-il avant de conclure avec humour : "Jay et Mike décideront si c'est suffisant ou si, pour le prochain film, je m'occuperai de la cantine !" Nobu Matsuhisa a fait ses premiers pas devant la caméra dans le Casino de Martin Scorsese.
Des nombreux invités surprise
De nombreuses vedettes du septième art ont accepté de faire une courte apparition dans Austin Powers dans Goldmember, notamment pour les besoins d'une scène d'anthologie. Mike Myers se souvient avec fierté: "Nous avons eu envie d'inviter de nombreuses personnalités à faire une apparition dans le film. Beaucoup sont débordées, nous savions que nous ne pourrions disposer que de quelques heures de leur temps. Aucun de ceux à qui nous avons proposé n'a refusé."
Plus de moyen que les originaux
Mike Myers se félicite d'avoir eu autant de moyens à sa disposition pour mettre en oeuvre Austin Powers dans Goldmember et séduire ainsi les spectateurs. "Sans les deux premiers volets, nous n'aurions jamais pu atteindre ce degré de connivence avec les personnages et cette démesure dans les moyens", déclare-t-il. "Toute l'équipe s'est donnée à fond pour faire une comédie qui se paye le luxe d'avoir plus de moyens que les films qu'elle parodie ! Si le public s'amuse autant que nous, alors Austin Powers aura rempli sa mission !"
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Autobahnraser|Michael Keusch|Action||2|allemand|2004|84|Allemand||XviD|||XVID|1 016 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Oliver Berben Robert Kulzer|Robert Kulzer Herman Weigel|Hannes Hubach||Metropolitan FilmExport||Leur passion : des bolides suréquipés avec lesquels ils organisent des courses sur l'autoroute. Leur problème : la police est à leurs trousses et les soupçonne d'être responsables de spectaculaires vols de voitures de luxe...
Pour Karl, un jeune officier de police, l'objectif était de les pister et d'accumuler les preuves à charge... du moins jusqu'à ce qu'il découvre Nicki, une bombe au volant d'une bombe ! Séduit par la jeune femme et le groupe de pilotes extrêmes, Karl découvre un univers qu'il ne soupçonnait pas, fait d'adrénaline et d'exploits. Ecartelé entre sa hiérarchie et sa fascination, il va tout faire pour aider ses nouveaux amis à démasquer les véritables responsables des vols... |Alexandra Neldel (Claudi)@Luke Wilkins (Karl-Heinz)@Henriette Richter-Röhl (Nicki)@Niels-Bruno Schmidt (Knut)@Manuel Cortez (Bülent)@Kristian Kiehling (Ecki)@Ivonne Schönherr (Moni)@Collien Fernandes (Nina)@Franz Dinda (Alex)@Thomas Heinze (Schmitt-Jahnke)@||Secrets de tournage :
Du jeu vidéo au grand écran
Autoroute racer est l'adaptation pour le grand écran du jeu vidéo Autobahnraser, créé par la société Davilex et sorti sur la console Playstation. Ce jeu vidéo propose de participer à des courses automobiles à couper le souffle.
Prolonger le plaisir
Avec Autoroute racer, l'objectif est en quelque sorte de prolonger sur grand écran le plaisir ressenti lorsque l'on joue au jeu vidéo qui en est inspiré. Le scénariste et producteur Robert Kulzer explique : "Je connais bien le jeu, parce que j'y joue moi-même. Quand on termine le jeu sur Playstation, on a toujours passé un excellent moment, on finit avec un grand sourire. Dans le jeu comme dans le film, on commence par prendre part à la course, il y a la montée d'adrénaline, et bien sûr de la tôle froissée. Il y a quelque chose de libérateur dans le fait de jouer ou de regarder ce film."
Action et comédie au menu !
Autoroute racer se veut un mélange d'action et de comédie, "sans autre prétention que d'entraîner les spectateurs dans une bonne histoire où l'adrénaline coule à flots !" Le réalisateur Michael Keusch a particulièrement été attentif à ce que les jeunes héros du film soient authentiques et loin des clichés du genre. "Les jeunes du film ressemblent à ceux qui existent dans le vrai monde", explique-t-il. "Ils ne sont pas top-models, ils n'ont pas l'air de sortir d'un magazine de mode. Ils sont authentiques, mordent la vie à pleines dents et ne se la jouent pas ! L'apport d'un humour souvent en second degré et de nombreux clins d'oeil rend l'histoire plus accessible au spectateur. Il est invité à la fête !"
La liberté allemande
Outre le fait d'adapter un jeu vidéo particulièrement excitant sur grand écran, c'est le fait de mettre en chantier un long-métrage basé sur la vitesse automobile qui a motivé Robert Kulzer, scénariste et producteur d'Autoroute racer, qui met en exergue la souplesse allemande sur les routes : "L'Allemagne est le seul pays du monde où la vitesse maximale n'est pas limitée sur autoroute. Là-bas, à condition d'être responsable, accélérer jusqu'aux limites de son véhicule n'est pas un délit. La conduite rapide reste l'un de ces derniers espaces de liberté qui existent. Cela procure des sensations uniques."
Robert Kulzer tient toutefois à préciser que le film n'est pas destiné à "faire l'apologie de la vitesse ou de la prise de risques. Toutes les cascades et les courses ont été faites par des professionnels ou dans un cadre légal et réglementé. Notre but est de placer le spectateur au volant de bolides parfois étonnants, européens sauf exception, et de vivre une aventure pied au plancher."
Un casting à 200 à l'heure !
La production d'Autoroute racer a réuni une collection assez hétéroclite de voitures en tous genres. Sur le tournage se côtoyaient ainsi des automobiles de prestige de marques Mercedes, Ferrari ou Mustang et des véhicules plus modestes, telle une petit Smart ! Au final, près de 60 engins ont été réquisitionnés, certains modèles ayant été dénichés sur le site internet marchand E-Bay !
Un tournage éprouvant
La production d'Autoroute racer a éprouvé de nombreuses difficultés durant le tournage. Il fallut d'abord trouver une portion d'autoroute suffisamment longue pour les scènes de cascades, chose faite au Luxembourg avec un tronçon de 15 kilomètres. Par la suite, il fallut faire face aux nombreux aléas météorologiques (pluie, vent,...) qui perturbèrent le tournage. Pas moins de trois équipes et des moyens de production conséquents furent ainsi réquisitionnées pour pallier à toute défection matérielle.
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The Aviator|Martin Scorsese|Biopic||3|américain, allemand|2005|163|Anglais||XviD|||XVID|490 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Chris Brigham Graham King Michael Mann Leonardo DiCaprio Charles Evans Jr.|John Logan|Robert Richardson||Miramax Films||Aviator couvre près de vingt ans de la vie tumultueuse d'Howard Hughes, industriel, milliardaire, casse-cou, pionnier de l'aviation civile, inventeur, producteur, réalisateur, directeur de studio et séducteur insatiable. Cet excentrique et flamboyant aventurier devint un leader de l'industrie aéronautique en même temps qu'une figure mythique, auréolée de glamour et de mystère. |Leonardo DiCaprio (Howard Hughes)@Cate Blanchett (Katharine Hepburn)@John C. Reilly (Noah Dietrich)@Kate Beckinsale (Ava Gardner)@Alec Baldwin (Juan Tripp)@Danny Huston (Jack Frye)@Alan Alda (le Sénateur Owen Brewster)@Ian Holm (Professeur Fitz)@Adam Scott (Johnny Meyer)@Kelli Garner (Faith Domergue)@Brent Spiner (Robert Gross)@Josie Maran (Thelma)@Jude Law (Errol Flynn)@Jacob Davich (Jeune Howard Hughes)@Edward Herrmann (Joseph Breen)@Frances Conroy (Kit Hepburn)@Gwen Stefani (Jean Harlow)@Stanley DeSantis (Louis B. Mayer)@Matt Ross (Glenn Odekirk)@Jane Lynch (Amélia Earhart)@Willem Dafoe (Un journaliste)@Rufus Wainwright (un chanteur du Cocoanut Grove)@Martha Wainwright (une chanteuse du Cocoanut Grove)@Loudon Wainwright III (un chanteur du Cocoanut Grove)@Martin Scorsese (le projectionniste (voix))@||Secrets de tournage :
Di Caprio / Scorsese : deuxième !
The Aviator marque la seconde collaboration de Leonardo DiCaprio avec Martin Scorsese, après avoir tenu le rôle-titre de Gangs of New York. Par ailleurs, l'acteur Willem Dafoe, qui tient le rôle d'un journaliste dans le film, a également incarné le Christ dans le controversé La Dernière tentation du Christ, également réalisé par Scorsese.
La piste aux étoiles
Dans ce film qui évoque l'âge d'or du cinéma hollywoodien, plusieurs étoiles montantes du cinéma américain incarnent des figures mythiques du Septième art : Cate Blanchett joue le rôle de Katharine Hepburn, Kate Beckinsale celui d'Ava Gardner et Jude Law prête ses traits à Errol Flynn. Dans le passé, on se souvient que Robert Downey Jr. incarna Charlot dans le Chaplin de Richard Attenborough (1993), et
que Faye Dunaway fut Joan Crawford dans Maman très chère de Frank Perry (1981). Citons également le film de Blake Edwards Meurtres à Hollywood, dans lequel Bruce Willis joue le rôle de l'acteur de western Tom Mix, Ed Wood de Tim Burton, avec Vincent D'Onofrio dans la peau d'Orson Welles
Michael Mann aux commandes
A l'origine, c'est Michael Mann qui devait mettre en scène la vie d'Howard Hugues. Mais ayant réalisé coup sur coup deux biopics, Révélations avec Russell Crowe et la vie du légendaire boxeur Ali avec Will Smith, il préféra produire le film, et en confier la réalisation à Martin Scorsese.
Le nabab vu par Scorsese et DiCaprio
Martin Scorsese et Leonardo DiCaprio précisent ce qui les a séduits dans le personnage de Howard Hughes : "Une des choses qui fascine le plus dans cette histoire
est de voir ce jeune homme incroyablement séduisant, intelligent et plein de vie, se métamorphoser en un adulte hanté par ses failles et ses tares", confie le réalisateur. "Hughes est l'une des figures les plus énigmatiques du XXe siècle", note pour sa part le comédien. "Aucun des nombreux livres qui lui furent consacrés n'a pleinement élucidé ses mystères. Plus on explore sa vie, plus on découvre de nouvelles facettes de sa personnalité. Ce fut un rêveur et un visionnaire, mais le paradoxe est qu'en dépit de tous ses succès, cet immense industriel, ce grand aviateur, ce puissant producteur fut aussi un homme profondément solitaire (...) Les moments les plus forts que j'ai vécus sont les scènes de solitude de Howard Hughes. Là, Scorsese et moi nous retrouvions en face-à-face pour inventer, improviser, creuser ensemble de plus en plus profond. Ce sont mes plus beaux souvenirs de ce tournage."
Hughes au-delà des clichés
En travaillant sur le script d'Aviator, John Logan, scénariste de Gladiator et du Dernier samouraï a découvert en Howard Hughes un homme à la personnalité riche et complexe : "L'image que j'avais jusqu'alors de lui était celle d'un vieillard décrépit, claquemuré dans une chambre d'hôtel, qui se laisse pousser les ongles et les cheveux et porte en guise de chaussures des boites de Kleenex vides", confie-t-il. "C'est encore comme cela que la plupart des gens le voient. Mais j'allais découvrir, derrière cette façade, un tout autre personnage : un jeune héros, plein de fougue, multipliant les exploits et les coups d'éclat, tant dans le domaine de l'aviation que dans l'univers hyper glamour d'Hollywood." Aviator se concentre sur une partie de la vie du milliardaire, des années 20 aux années 40. "Couvrir près de trois décennies en 2h45 m'obligea à résumer certains personnages et à chambouler un peu la chronologie", explique Logan. "Le but n'était pas de capter toute la vie de Hughes, mais de donner à voir l'homme dans sa vérité."
Kidman, Paltrow et Pepper pressentis
Nicole Kidman a été un temps pressentie pour tenir le rôle de Katharine Hepburn, mais elle a dû décliner l'offre en raison de son engagement sur les plateaux d' Et l'homme créa la femme. Par ailleurs, Gwyneth Paltrow devait prêter ses traits à l'actrice légendaire Ava Gardner, avant de se retirer du projet ; le rôle a finalement été attribué à Kate Beckinsale. Quant à Barry Pepper, il devait incarner l'ingénieur Glenn Odekirk, mais il a dû y renoncer, en raison du tournage simultané de Mr Ripley's return de Roger Spottiswoode. C'est Matt Ross, vu notamment dans American psycho, qui l'a remplacé.
Septième ciel
Plutôt que d'évoquer en détails la vie sentimentale agitée du producteur, John Logan a choisit de se concentrer sur deux de ses conquêtes les plus célèbres : Ava Gardner et Katharine Hepburn. 'Il n'était pas question d'évoquer toutes ses amours. Nous avons décidé de nous concentrer sur Katharine Hepburn, qui passe pour avoir été la relation la plus importante de sa vie, puis sur Ava Gardner. Nous n'avons pas seulement privilégié ces deux immenses stars parce qu'elles incarnent deux modèles de féminité contrastées, mais aussi en raison du rôle stabilisateur qu'elles jouèrent dans l'existence de John Hughes. Toutes deux ont contribué à dissiper temporairement ses doutes et ses angoisses."
Devine qui vient dîner avec Howard...
C'est Cate Blanchett qui a été choisie pour jouer le rôle de Katharine Hepburn. La comédienne revient sur son travail de composition et évoque notamment la voix si caractéristique de la comédienne : "Marty et moi en avons longuement discuté. Il rejetait évidemment toute idée d'imitation ou de pastiche, il voulait quelque chose de plus profond qu'un numéro d'actrice. Il m'a demandé d'observer les maniérismes et les gestes de Kate, la personnalité qu'elle affichait à l'écran, pour essayer de capter sa vérité intime et une part de son extraordinaire énergie (...) Les stars de ce temps, comme Bette Davis, Humphrey Bogart ou Hepburn, restent gravées dans notre mémoire non seulement par leur look, mais aussi par leur voix. La sienne était très particulière, mais je sais d'expérience qu'on n'utilise pas dans la vie privée le timbre dont on se sert pour jouer. J'ai donc étudié les interviews de Katharine. Elle n'en donna pas beaucoup dans sa jeunesse, mais celle qu'elle accorda en 1973 à Dick Cavett révèle une voix pleine d'allant, et m'a été très utile."
Nolan et Friedkin interessés
Au moment où Michael Mann, Martin Scorsese et Leonardo DiCaprio s'attelaient au projet Aviator, d'autres cinéastes manifestèrent l'intention de réaliser un biopic sur Howard Hughes : Christopher Nolan, qui pensait confier le rôle principal à Jim Carrey, mais aussi William Friedkin.
Les décors
Le chef-décorateur et son équipe ont reconstitué plusieurs lieux-clés de la vie de Howard Hughes : la première séquence d'Aviator a pour cadre le Cocoanut Grove, mythique night-club holywoodien créé en 1921. 500 figurants, dont une centaine de couples de danseurs, y sont réunis. D'autre part, la construction de la résidence du producteur à Hancock Park a exigé un travail très minutieux dans le choix des objets, des meubles : il a fallu se procurer des pièces d'époque pour rendre compte du quotidien de ce héros milliardaire.
« Préc.
Les ailes de la renommée (1)
Une grande partie du film est consacrée à la passion de l'excentrique Howard Hughes pour l'aviation. Aussi était-il indispensable de créer les appareils mythiques que sont l'avion-espion XF-11, l'hydravion en bois "Hercules" ou le H-1. Le superviseur des effets spéciaux, Robert Legato, qui travailla notamment sur Titanic de James Cameron, a fait construire des modèles réduits de ces engins, en particulier des reproductions au 1/4 radioguidées et motorisées. "On était dans un rapport quasi-charnel avec ces avions, on a pu utiliser les mêmes éclairages, les mêmes cadrages, les mêmes diaphragmes que sur des appareils grandeur nature, raconte Legato. "Grâce aux caméras moton-control, on a même pu filmer des "décollages" en extérieurs naturels, de sorte que le ciel et le soleil se reflètent sur le fuselage."
Les ailes de la renommée (2)
Pour l'impressionnante séquence du tournage de Hell's angels, le coordinateur aérien Craig Hosking et son assistant Matt Sparrow ont réuni 14 biplans, venus de différents Etats d'Amérique : l'Illinois, le Texas, New York, la Californie et l'Ontario. La moitié de ces appareils sont des Fokker D-VII repeints aux couleurs des avions de chasse allemands ; l'autre est composée de SE-V anglais. De même, un véritabke Sikorsky a été utilisé dans la scène où Howard Hughes pilote en compagnie de Katharine Hepburn. Par ailleurs, le combustible utilisé pour la spectaculaire scène du crash du XF-11 est de l'essence pure, ce qui constitue une première pour un film hollywoodien - c'est traditionnellement un mélange de kérosène et de propane qui est employé. Enfin, les séquences de guerre de Hell's angels, qui firent sensation lors de la sortie du film en 1930, ont été recréées en numérique : l'image de Leonardo DiCaprio a ensuite été incrustée sur ces plans.
Incendie
Le plateau de tournage d'Aviator avait été partiellement détruit par les flammes lors des incendies qui ravagèrent plusieurs dizaines de milliers d'hectares de la Californie en octobre 2003. Les studios Warner Bros et Miramax Pictures avaient dû à l'époque suspendre plusieurs tournages prévus dans ce secteur.
DiCaprio acteur et producteur
Aviator est coproduit par Appian Way, société de Leonardo DiCaprio, créée en 2001.
Entrée des artistes
Pour la séquence de l'avant-première de Hell's angels, l'entrée du Grauman's chinese theatre, mythique salle de cinéma de Los Angeles, a été reconstituée en studio, mais les intérieurs ont été tournés dans l'enceinte même de l'authentique salle. Ajoutons que l'avant-première d'Aviator, le 1er décembre 2004, s'est tenue dans le Grauman's chinese Theatre, en présence de l'équipe du film.
Kings of pop, kings of comedy
Les chanteurs qui se produisent sur la scène du Cocoanut Grove sont issus d'une fameuse famille canadienne, les Wainwright : le père, Loudon Wainwright III, qui interprète After you've gone, est un chanteur pop-folk réputé, tout comme sa fille Martha, qui chante I'll be seeing you. Dans un style différent, le frère de celle-ci, Rufus Wainwright est un songwriter apparu au milieu des années 90. Féru d'opéra, il est l'auteur d'albums à la fois mélancoliques et grandiloquents, salués par la critique. Il chante dans le film I'll build a stairway to paradise. Une autre pop-star est à l'affiche d'Aviator : Gwen Stefani, la chanteuse du groupe à succès No doubt, qui incarne Jean Harlow, vedette de Hell's angels.
La voix de son maître
La voix du projectionniste qu'on entend lors de la séance de Hell's angels est celle de Martin Scorsese lui-même.
Retrouvailles
Aviator marque les retrouvailles de Martin Scorsese avec le chef-opérateur Robert Richardson, qui travailla sur Casino et A tombeau ouvert. Parmi les autres fidèles collaborateurs du cinéaste qu'on retrouve au générique d'Aviator, citons Thelma Schoonmaker, chef-monteuse de tous ses films depuis Raging Bull (1980) ou le chef-décorateur Dante Ferretti, avec qui il a travaillé sur tous ses projets depuis Le Temps de l'innocence.
« Préc.
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Awake|Joby Harold|Thriller||3|américain|2008|84|Anglais||XviD|||XVID|1 001 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|144 Kbps|False|48.0 KHz|2|696||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Joana Vicente Jason Kilot John Penotti Tory Tunnell|Joby Harold|Russell Carpenter||||Alors qu'il est sur la table d'opération, Clay, un riche héritier new-yorkais, revient à lui et prend conscience de sa situation. Mais paralysé et privé de ses sens, il ne peut faire appel au chirurgien. Malgré son état, il va découvrir qu'il est victime d'un complot remettant toute sa vie en question... |Hayden Christensen (Clay)@Jessica Alba (Sam)@Lena Olin (la mère de Clay)@Terrence Howard@Sam Robards@Charlie Hewson (Brian)@Steven Hinkle (Clay jeune)@Alexa Karter (Tara LeCasa)@Christopher McDonald (Larry Lupin)@Thomas A. McMahon (McMahon)@Jennifer Pedersen (Jennifer)@Lee Wong (Waturi)@Court Young@Arliss Howard (Dr Jonathan Neyer)@David Harbour (Dracula)@Denis O'Hare (un analyste financier)@Poorna Jagannathan (l'infirmière du Dr Neyer)@||Secrets de tournage :
Dates et lieux de tournage
Le tournage a débuté le 31 octobre 2005 et s'est essentiellement déroulé à New York (Bellevue Hospital et Fordham University).
Acteurs pressentis
Jared Leto a un temps été pressenti pour jouer le rôle de Clay, personnage finalement interprété par Hayden Christensen. Autres comédiens à avoir été approchés pour ce film : Helen Mirren et Sigourney Weaver, toutes deux ayant été en négociations pour incarner la mère de Clay.
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Ba'al|Paul Ziller|Science fiction||1|américain, canadien|2008|87|Anglais||XviD|||XVID|978 Kbps|640x352|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|695||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Breanne Hartley Lindsay MacAdam|Andrew Black Paul Ziller|Mahlon Todd Williams||||Un archéologue, parti à la recherche d'anciennes amulettes du Dieu Ba'al, s'aperçoit que la découverte de chacune d'entre elles déclenche une série de violentes tempêtes qui ravage à chaque fois une partie différente de la Terre... |Lexa Doig (Dr. Marta Pena)@Johnny Cantiveros (Kaleel)@Stefanie Von Pfetten (Carol)@Nigel Vonas (Shariff)@Elias Toufexis (Scott McCulloch)@Derek Anderson@Peter Benson (Foreman)@Scott Hylands (Dr. Owen Stanford)@Scott J. Ateah@Cedric De Souza (Sergeant)@Michael Kopsa (Kittrick)@David Lewis (Risko)@Zen Shane Lim (Tech)@Jeremy London (Dr. Lee Helm)@Malik McCall@Mark McConchie@Troy Skog (Miller)@||||||||||||@@
Babylon A. D.|Mathieu Kassovitz|Science fiction||2|américain, français|2008|101|Anglais||XviD|||XVID|830 Kbps|656x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Ilan Goldman|Eric Besnard Mathieu Kassovitz|Thierry Arbogast||StudioCanal||Toorop a mené bien des combats et survécu aux guerres qui ont ravagé le monde depuis le début du XXIème siècle. La mafia qui règne sur l'Europe de l'Est confie une mission délicate à ce mercenaire : convoyer de Russie jusqu'à New York une mystérieuse jeune fille prénommée Aurora pour la remettre aux mains d'un ordre religieux tout puissant... |Vin Diesel (Hugo Cornelius Toorop)@Mélanie Thierry (Aurora)@Michelle Yeoh (Soeur Rebecca)@Lambert Wilson (Dr. Arthur Darquandier)@Mark Strong (Finn)@Jérôme Le Banner (Killa)@Charlotte Rampling (Grande Prêtresse)@Gérard Depardieu (Gorsky)@Joel Kirby (Dr. Newton)@Souleymane Dicko (Jamal)@David Belle (Hacker Kid)@Radek Bruna (Karl)@Jan Unger (Organisateur de Combats)@Abraham Belaga (Assistante Grande Prêtresse)@Gary Cowan (Directeur Noelite)@David Gasman (Chercheur Noelite)@Lemmy Constantine (Directeur Marketing Noelite)@Pete Thias (Homme de Main Noelite)@Curtis Matthew (Capitaine du Sous-marin)@Magda Vavrusova (Femme dans le couloir de Toorop)@Filip Matejka (Garçon dans les escaliers de Toorop)@Alain Figlarz@||Secrets de tournage :
De "Babylon Babies" à "Babylon A.D."
Le film est une adaptation du livre d'anticipation Babylon Babies, de Maurice G. Dantec. Mathieu Kassovitz a changé le titre pour son film car le mot "bébés" dans le titre le gênait. Il ne voulait pas donner trop d'informations sur le film : BABYLON A.D. signifie l'ère de Babylone, la ville de tous les pêchés. Et puis cela me permettait de faire un beau logo B.A.D. !
La genèse de Babylon A.D.
Mathieu Kassovitz a découvert le roman de Maurice G. Dantec en 2002. Je l'ai lu en une ou deux nuits. Et je me suis dit que cela ferait un bon film... de 6h00 ! Pour un budget de 500 millions d'euros !
Pour pouvoir le produire, j'avais compris qu'il me fallait une star américaine et qu'il fallait donc que je fasse un film qui génère du box office sur le territoire américain. Joel Silver, le producteur de Matrix, m'a proposé de réaliser Gothika avec Halle Berry, l'actrice qui venait de recevoir l'oscar, plus Penélope Cruz et Robert Downey Jr.. Cela a marché et cela m'a donc permis d'imposer Babylon A.D. au niveau de la structure de production, sans aller avec mon scénario à Hollywood pour le vendre à un Studio.
Un film sur la foi
Selon Mathieu Kassovitz, l'une de ses références cinématographique pour ce film était Blade Runner. Pas tant sur la forme que sur le fond. Quand on regarde Blade Runner, on voit d'abord un film de science fiction et d'action. Mais au fond il parle de Dieu, de notre existence sur cette planète, de la création...
Ilan Goldman, le producteur, se dit lui passionné par le thème de la foi traité dans le film : Beaucoup de gens ont besoin de croire. Et, de fait, certaines personnes utilisent la religion pour essayer d'apaiser les âmes et d'autres veulent en faire du business. Cela m'intéressait de participer à un film qui dénonce ce phénomène ainsi que la volonté sécuritaire de certains pays.
Deux fins pour Babylon A.D.
Deux montages différents existent pour la fin du film : aux Etats-Unis, c'est la Fox, le distributeur, qui bénéficie du final cut, alors qu'en Europe Mathieu Kassovitz a gardé son director's cut.
Les internautes 'dans' le film
Les internautes ont pu participer à un concours pour le moins original : le Bad Mathieu Kassovitz Babylone Ad. La société de production MNP (la société de Mathieu Kassovitz) proposait de créer de fausses publicités ayant pour objectif de révéler la consommation à outrance. Les gagnants, Sophiane et Kamel, deux dignois, ont vu leur publicité affichée dans une scène du film et leur nom crédité au générique au côté des stars internationales que sont Vin Diesel ou Michelle Yeoh.
Un tournage en retard
En tournage à Prague, l'équipe devait tourner pendant 8 à 10 jours des scènes sous la neige. Mais Prague a connu début 2007 son hiver le plus chaud depuis deux siècles. Certains acteurs comme Charlotte Rampling sont rentrés chez eux en attendant d'être appelés dès lors que l'équipe aurait trouvé un lieu enneigé. Le tournage a finalement repris un mois plus tard. Mais au mois d'avril, toute l'équipe du film s'est fait renvoyer des studios praguois par...le prince Caspian ! Le tournage de Narnia 2 - Prince Caspian devait commencer, et l'équipe avait réservé les studios à la suite de Babylon A.D....
Un matraquage internétique
Babylon A.D. a bénéficié d'une large couverture sur internet : pas moins de quatre sites officiels (français, américain, espagnol et allemand), un myspace et un blog officiels.
Maurice G. Dantec : 2è !
C'est la deuxième adaptation au cinéma d'une oeuvre de Maurice G. Dantec après La Sirène rouge, d'Olivier Megaton (Le Transporteur III) avec Jean-Marc Barr et Asia Argento en 2002.
Les retrouvailles Masta/Kassovitz
C'est la troisième collaboration du chanteur de hip hop Doudou Masta et de Mathieu Kassovitz. Doudou Masta a en effet participé aux bandes originales de La Haine et de Metisse avant de doubler Vin Diesel dans Babylon A.D.
Les cascades de Figlarz et Belle
C'est Alain Figlarz, géant français de la cascade mondiale, et inventeur de la Figlarz Action, société de cascadeurs, qui est le régleur et le chorégraphe des cascades sur le film. Il avait notamment entraîné et doublé Matt Damon pour son rôle physique de la mémoire dans la peau, ou réglé les cascades de Nid de guêpes.
Un autre français, David Belle, a coordonné les cascades " parkour ", qui est l'art de se déplacer en évitant tous els obstacles sur son chemin.
Les deux hommes s'étaient déjà croisé sur le tournage de Femme Fatale, de Brian De Palma, où ils officiaient tous les deux en tant qu'acteurs.
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The Pacifier|Adam Shankman|Comédie||2|américain, canadien|2005|95|Anglais||XviD|||XVID|882 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|126 Kbps|False|48.0 KHz|2|696||||23.976|02/08/2009 00:00:00|Gary Barber Roger Birnbaum|Thomas Lennon Ben Garent|Peter James||Buena Vista International||Shane Wolfe, un soldat d'élite, se voit confier la protection des enfants d'un scientifique assassiné. Coincé entre les plus redoutables des tueurs et une ado rebelle, un jeune qui déprime, une fan de kung-fu de 8 ans, son petit frère de 3 ans et un bébé, Shane va devoir se battre d'une main et faire chauffer le biberon de l'autre ! |Vin Diesel (Shane Wolfe)@Brittany Snow (Zoe Plummer)@Brad Garrett (l'entraîneur)@Morgan York (LuLu Plummer)@Max Thieriot (Seth Plummer)@Cade Courtley (Wyatt)@Adam Shankman (le moniteur d'auto-école)@Jordan Allison (Kurt)@Anne Fletcher (Liesel)@Catherine Burdon (l'enseignante)@Mung-Ling Tsui (Mme Chun)@Akiyama Denis (M. Chun)@Lauren Graham (Principal Claire)@Faith Ford (Julie)@Carol Kane (Helga)@Chris Potter (Capitaine Bill Fawcett)@||Secrets de tournage :
Vin Diesel ne se prend pas au sérieux
L'acteur Vin Diesel est surtout connu pour ses rôles de personnages musclés, à l'image de l'agent Xander Cage dans le survitaminé xXx, ou, plus sobre, dans Un homme à part. Sans oublier le personnage de l'anti-héros nyctalope, alias Riddick, dans le dyptique Pitch Black / Les Chroniques de Riddick. Baby-sittor marque ainsi sa première incursion dans le registre de la comédie familiale. Il raconte : "Le scénario du film m'a plu parce qu'il m'offrait l'occasion de montrer autre chose au public. (...) Et ce film a été l'une des expériences les plus agréables que j'aie connues!".
Qui pour incarner Shane Wolfe?
Pour la production, Vin Diesel était l'acteur idéal pour incarner ce soldat délite à la mission très spéciale. En effet les producteurs ne tarissent pas d'éloges à l'encontre du comédien : "Nous espérions que Vin serait intéressé par quelque chose de différent : un film d'aventures en famille, centré sur les enfants !", explique Gary Barber, "(...) Nous pensions qu'il était la seule star de films d'actions ayant assez de registre pour assumer le rôle. Il est extrêmement sympathique, et nous avions le sentiment que la transition entre la partie militaire du personnage et son aspect plus humain fonctionnerait parfaitement. Une fois sur le plateau, il a révélé un authentique talent pour l'humour, un vrai sens du rythme et de la comédie." Au producteur Roger Birnbaum d'ajouter : "Avec Baby-sittor, les gens vont découvrir Vin Diesel comme ils ne l'ont jamais vu."
Jackie Chan
A l'origine, c'était l'acteur Jackie Chan qui devait interpréter le rôle finalement obtenu par Vin Diesel.
Vin vs Arnold
Le personnage de Vin Diesel n'est pas sans rappeler le rôle d'Arnold Schwarzenegger dans la comédie Un flic à la maternelle (1991), dans lequel l'acteur d'origine autrichienne aux bras musclés, interprète un policier traquant un dangereux malfaiteur qui est amené à s'occuper d'une classe de bambins déchaînés.
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Backdraft|Ron Howard|Drame||3|américain|1991|126|Anglais||DIVX|||DIVX|591 Kbps|640x288|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|660||||25.000|09/08/2009 00:00:00|Pen Densham Richard Barton Lewis|Gregory Widen|Mikael Salomon||United International Pictures (UIP)||Deux frères, Stephen et Brian McCaffrey, se destinent au métier de pompiers après avoir assisté à la mort tragique de leur père, officier d'élite de la 17e caserne des sapeurs-pompiers de Chicago. Vingt ans plus tard, si Stephen est devenu un pompier émérite, Brian vit de petits boulots. De retour à Chicago, il décide néanmoins de reprendre son entrainement sous l'oeil sceptique de son frère.
Mais celui-ci doit également se concentrer sur une nouvelle vague d'incidents criminels qui frappent la ville : des flammes éclairs, des backdraft, ces incendies qui s'éteignent d'eux-mêmes dans le propre souffle de leur explosion, terrassent un à un d'anciens collaborateurs du maire... |Kurt Russell (Lieutenant Stephen McCaffrey / Dad McCaffrey)@William Baldwin (Brian McCaffrey)@Robert De Niro (Lieutenant Donald Rimgale)@Scott Glenn (Le pompier John "Axe" Adcox)@Donald Sutherland (Ronald Bartel)@Jennifer Jason Leigh (Jennifer Vaitkus)@Rebecca De Mornay (Helen McCaffrey)@Clint Howard (Ricco)@Irma P. Hall (la première infirmière)@Jason Gedrick (Tim Krizminski)@J.T. Walsh (Marty Swayzak)@Anthony Mockus Sr. (John Fitzgerald)@Cedric Young (Grindle)@||Secrets de tournage :
Kurt Russell chez les pompiers de Chicago
Pour sa préparation à Backdraft, il a passé plusieurs jours avec une escouade de pompiers de Chicago.
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Bad Boys|Michael Bay|Policier||3|américain|1995|114|||DX50|||DX50|727 Kbps|608x336|MPEG-1 Audio layer 3|118 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Jerry Bruckheimer Don Simpson|Michael Barrie George Gallo Jim Mulholland Doug Richardson|Howard Atherton|||Saga : Bad Boys |Si Mike Lowrey est un séducteur invéteré, héritier d'une fortune et policier par passion, son collègue et ami Marcus Burnett est un homme rangé, marié et père de famille. Leur amitié ne les empêche pas d'avoir des méthodes parfaitement différentes. Mais la disparition de cent kilos d'héroine, dérobés dans les locaux mêmes de la brigade des stups, va leur faire oublier leur concept sur la façon d'exercer leur métier, pour se lancer a la poursuite des voleurs. |Martin Lawrence (Inspecteur Marcus Burnett)@Will Smith (Inspecteur Mike Lowrey)@Tchéky Karyo (Fouchet)@Téa Leoni (Julie Mott)@Joe Pantoliano (Capitaine C. Howard)@Theresa Randle (Theresa Burnett)@Marg Helgenberger (Capitaine Alison Sinclair)@Anna Thomson (Francine)@Nestor Serrano (Inspecteur Sanchez)@Julio Oscar Mechoso (Inspecteur Ruiz)@Michael Imperioli (Jojo)@Kevin Corrigan (Elliot)@Saverio Guerra (Chet, le portier)@Anna Thomson (Francine)@Vic Manni (Ferguson)@Frank John Hughes (Casper)@Mike Kirton (Andy)@Emmanuel Xuereb (Eddie Dominguez)@Ralph Gonzalez (Kuni)@Lisa Boyle (la fille qui sert de leurre)@Marc Macaulay (Noah Trafficante)@Joey Romano (Inspecteur)@Sam Ayers (Inspecteur)@Michael Taliferro (le voleur de voitures)@Karen Alexander (Maxie Logan)@Heather Davis (Lois Fields)@Fawn Reed (la femme au club de boxe)@Buddy Bolton (Wally)@Will Knickerbocker (Officier Bill O'Fee)@Tiffany Samuels (Megan Burnett)@Cory Hodges (James Burnett)@Scott Cumberbatch (Quincy Burnett)@Maureen Gallagher (Yvette)@Juan F. Cejas (Frank, conducteur du camion d'éther)@Ed Amatrudo (chef dans le camion d'éther)@Jimmy Franzo (gérant du club)@Tony Bolano (homme saoul dans l'urinoire)@Shaun Toub (commis de magasin)@Kim Coates (voleur de voitures)@Cherie Wimberly (danseuse du club)@||Secrets de tournage :
Des débuts fracassants
Avec Bad boys, le septième art assiste à l'éclosion de deux futurs grands noms du cinéma américain : l'acteur Will Smith et le réalisateur Michael Bay. Après ce film, le premier devient une vedette internationale de premier plan, s'illustrant dans Men in Black - MIB, Wild Wild West ou Ali. Le second se spécialise dans des productions à gros budget, telles Rock, Armageddon, Pearl Harbor et Bad boys II.
Une première version très différente
Selon le comédien Jon Lovitz, Bad boys aurait été, à l'origine, écrit pour lui et Dana Carvey (le Garth de Wayne's World).
Place à l'improvisation
Le réalisateur Michael Bay s'est trouvé à plusieurs reprises en désaccord avec le script de Bad boys. Pour remédier à ce problème, il a donné l'occasion à Will Smith et Martin Lawrence, durant les scènes qu'il affectionnait le moins, de laisser libre cours à leurs talents d'improvisation.
Le box-office des Bad boys
Doté d'un budget de 23 millions de dollars, Bad boys en a rapporté plus de 65 rien qu'aux Etats-Unis, et plus de 140 à travers le monde. En France, le long-métrage a enregistré près d'1,5 millions d'entrées.
Le début d'une saga
Huit ans après Bad Boys, une nouvelle aventure mettant en vedette les deux super-flics sort en salles. Bad boys II voit le retour du réalisateur Michael Bay et deux acteurs principaux Will Smith et Martin Lawrence, alors que Tchéky Karyo et Téa Leoni ne sont cette fois pas de la partie.
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Bad Boys II|Michael Bay|Action||2|américain|2003|145|Anglais||DX50|||DX50|541 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|119 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Jerry Bruckheimer|Ron Shelton George Gallo John Lee Hancock Todd Robinson Jerry Stahl Cormac Wibberley Marianne Wibberley|Amir M. Mokri||Columbia Pictures|Saga : Bad Boys |Les policiers Marcus Burnett et Mike Lowrey enquêtent sur Tapia, un ambitieux baron de la drogue décidé à tout pour inonder Miami d'un nouveau poison et accroître son empire. Au cours de leurs investigations, ils se voient épaulés par Syd, la soeur de Marcus, également agent de la D.E.A. (Drug Enforcement Agency). Mike s'éprendra de la demoiselle, provoquant ainsi quelques tensions entre lui et son partenaire... |Will Smith (Inspecteur Mike Lowrey)@Martin Lawrence (Inspecteur Marcus Burnett)@Jordi Molla (Hector Juan Carlos 'Johnny' Tapia)@Gabrielle Union (Syd Burnett)@Peter Stormare (Alexei)@Theresa Randle (Theresa Burnett)@Joe Pantoliano (le capitaine Howard)@Michael Shannon (Floyd Poteet)@Jon Seda (Roberto)@Yul Vazquez (Inspecteur Mateo Reyes)@Jason Manuel Olazabal (Inspecteur Marco Vargas)@Otto Sanchez (Carlos)@Henry Rollins (le leader TNT)@Antoni Corone (Tony Dodd)@Gary Nickens (Fanuti, TNT)@Rey Hernandez (Zank, TNT)@Charlie Johnson Jr. (Lockman, TNT)@Paul Villaverde (Dexter, TNT)@John Salley (Fletcher)@Reynaldo Gallegos (Tito Vargas)@Veryl Jones (Taylor, DEA)@Tim Powell (Snell, DEA)@Phil Owens (AC Dea)@Timothy Adams (Agent DEA)@Keith Hudson (Agent DEA)@Rich Kelley (Agent DEA)@Dave Corey (Eames, FBI)@Bill Erfurth (Alpha 12)@Jennifer Diaz (Lupe)@R. E. Rodgers (Delongpre)@Chris Charles Herbert (opérateur radio des Gardes côte)@Nelson J. Perez (capitaine des Gardes côte)@Bobby Talbert (technicien AWAC)@Nancy Duerr (psychologue de Marcus)@Ivelin Giro (psychologue de Mike)@Damaris Justamante (thérapeute de groupe)@Bill Cordell (docteur)@Alex Warren (examinatrice mécidale)@Dennis Greene (Reggie)@Bianca Bethune (Megan Burnett)@Scott Cumberbatch (Quincy Burnett)@Mason Rock Bay (Mason)@Gloria Irizarry (Donna Maria Tapia)@Alissa Mullins-Diaz (la fille de Tapia)@Mike Francis (le conducteur du camion de glace)@Pedro Telémaco (le cubain avec la casquette de baseball)@Christopher Campbell (figure ombragée)@Jay A. Boutwell (gardien de la morgue)@Anthony Correa (gardien de la morgue)@Gino Salvano (homme de main de Tapia)@Ralph Navarro (homme de main de Tapia)@Fernando Gaviria (homme de main de Tapia)@Renee Reilly (femme sexy sur la plage)@Cash Casia (femme sexy sur la plage)@James Zelley (leader du clan)@Bubba Baker (homme du clan)@Steve Gibb (homme du clan)@Oleg Taktarov (Josef)@Michael Bay (chauffeur de taxi misérable)@Omar Avila (rebelle)@Denise Quinones (une passante à Cuba)@Jon Beshara (Alpha 66)@Chris Cheatham (gardien de sécurité à Spanish Palms)@Smith Cho (cliente du magasin d'électronique)@Bobby Dodge (Officier de police infiltré)@Dexter Fletcher (leader du SWAT)@Tony Gomez (préposé à la morgue)@||Secrets de tournage :
Une suite à "Bad boys"
Bad boys II est la suite du mégasuccès Bad boys sorti huit ans plus tôt. Le producteur Jerry Bruckheimer raconte l'enthousiasme de toute l'équipe à se reformer une nouvelle fois : "Toute l'équipe rêvait de se retrouver, de replonger dans l'univers que Martin et Will avaient fait naître. Mais les emplois du temps étaient surchargés. A chaque fois que l'on se croisait, on parlait du projet mais toujours pour le repousser."
Il aura fallu la persévérence et la rigueur d'Amy Pascal, la présidente de Columbia Pictures, pour que les plannings puissent coincider.
Deux nouvelles recrues : Gabrielle Union et Jordi Molla
Face à Will Smith, Martin Lawrence et Joe Pantoliano, déjà présents au générique de Bad boys, on retrouve deux nouvelles recrues : Gabrielle Union, qui remplace Téa Leoni pour ce qui est du personnage féminin principal, et Jordi Molla, qui succède à Tchéky Karyo dans le rôle du "méchant".
Gabrielle Union enthousiaste
Gabrielle Union était encore au lycée lorsqu'elle a découvert Bad boys. Celle-ci se souvient : "J'adorais. J'étais folle de Will Smith, je revois encore la scène où il court dans la rue la chemise entrouverte sur son torse. Alors quand on m'a proposé de devenir la jeune soeur de Marcus, j'ai tout de suite accepté !"
Des conseillers expérimentés
Pour donner un maximum d'authenticité à leurs personnages, les comédiens se sont entraînés au maniement des armes et aux procédures des services de lutte contre les trafiquants de drogue. Michael Bay s'est d'ailleurs entouré de conseillers expérimentés parmi lesquels Harry Humphries, qui avait déjà été consultant sur Rock, et William Erfurth, ancien responsable de l'unité de lutte contre les drogues à Miami.
Lieux de tournage
Pendant plus de quatre mois, l'équipe a tourné à Miami et en Floride, mais également à Porto Rico. C'est là, près de San Juan, qu'a été filmée l'une des spectaculaires poursuites dans un village entièrement construit pour les besoins du film.
L'achat d'une luxueuse villa à détruire
Parmi les morceaux de bravoure du film figure l'impressionnante destruction de la résidence de Tapia, une luxueuse maison située sur le front de mer à Del Ray Beach. Le bâtiment a été racheté par la production pour être rasé de fond en comble.
John Frazier, le superviseur des effets spéciaux, raconte : "La première fois que j'ai vu les photos de la maison, j'ai d'abord pensé que Michael allait l'acheter pour lui. Son assistante m'a alors simplement dit qu'il ne l'avait pas achetée pour y vivre mais pour la pulvériser !"
Une poursuite automobile inédite
Pour la fameuse scène de poursuite automobile, l'équipe de production a utilisé des Ferrari qui ont été testées par le pilote cascadeur Henry Kingi sur la piste d'un aéroport afin de définir tout ce qui était possible de faire en matière de manoeuvrabilité et de contrôle de trajectoire.
Elle a également obtenu l'autorisation exceptionnelle de fermer l'immense et spectaculaire voie Mc Arthur de Miami, l'une des artères les plus fréquentées de la mégalopole. Jerry Bruckheimer raconte : "La poursuite qui s'y déroule tient sur une seule page du script, mais elle nous a demandé des mois de préparation, des dizaines d'autorisations et quatre jours de tournage." Avec le concours des autorités et des différents services techniques de la ville et de l'Etat de Floride, la circulation a été détournée.
Pour filmer les voitures de très près, afin de placer le spectateur au centre de la course, l'équipe a eu recours à un véhicule de faible encombrement, très bas de caisse et capable de rouler à plus de 100 km/h en portant deux caméras 35 mm.
Une BO rap
La bande originale contient un tracklisting très "rap US". On y retrouve des artistes tels que Jay-Z, P. Diddy, Nelly, Mary J. Blige, Justin Timberlake, Notorious Big, 50 Cent, Beyonce, Fat Joe, Loon, Foxy Brown et Freeway.
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Bad Company|Joel Schumacher|Action||2|américain, tchèque|2002|111|Anglais||DX50|||DX50|728 Kbps|640x368|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|694||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Jerry Bruckheimer Michael Browning|Michael Browning Mick Garris|Dariusz Wolski||Buena Vista Pictures||L'agent de la CIA Kevin Pope est parvenu à gagner la confiance des barons de la mafia russe. En se faisant passer pour un acheteur potentiel, il s'apprêtait à récupérer une arme nucléaire des plus dangereuses.Mais son assassinat compromet toute l'opération. Le rendez-vous est prévu dans neuf jours, et la seule chance d'éviter le pire repose sur Jake Hayes, le frère jumeau de Kevin, dont il a été séparé à la naissance. Cependant, Jake ignore tout du monde de l'espionnage. Alors que Kevin était astucieux, prévoyant et agile, Jake se montre égoïste, présomptueux et a l'art de s'attirer constamment des ennuis.Gaylord Oakes, l'ancien partenaire de Kevin, doit transformer cet énergumène tout droit sorti des bas-fonds de New York en espion compétent et raffiné. Le former ne sera pas de tout repos. |Anthony Hopkins (Gaylord Oakes )@Chris Rock (Jake Hayes / Kevin Pope)@Gabriel Macht (l'agent Seale)@Peter Stormare (Adrik Vas)@John Slattery (Roland Yates)@Kerry Washington (Julie)@Adoni Maropis (Jarma)@Garcelle Beauvais-Nilon (Nicole)@Matthew Marsh (Dragan Adjanic)@Dragan Micanovic (Michelle Petrov)@John Slattery (Roland Yates)@||Secrets de tournage :
L'aide de la CIA
La CIA a accepté, à titre exceptionnel, que soient filmés certains de ses bâtiments aux Etats-Unis. De plus, des agents de la CIA ont collaboré au film, apportant la caution nécessaire aux procédures qui y sont décrites. "Leur coopération nous a été précieuse", explique Jerry Bruckheimer. "Même si nous ne faisons que raconter une histoire, nous montrons des moyens et des situations que ces gens affrontent tous les jours. Leur expérience nous a énormément servi."
Un tournage à Prague
Le tournage de Bad company s'est déroulé à New York et à Prague, en République Tchèque. "Nous voulions tirer parti du patrimoine architectural exceptionnel de la capitale de la République Tchèque", explique le producteur Jerry Bruckheimer. "C'est une exceptionnelle ville d'histoire, qui par chance a échappé au bombardement de la Seconde Guerre mondiale. On y trouve beaucoup de styles, du Baroque à la Renaissance. C'est une cité aux ambiances surprenantes, faites d'un assemblage de nombreuses influences, un peu comme l'univers du film."
Anthony Hopkins se lance dans l'action
Anthony Hopkins n'avait auparavant jamais tenu la vedette d'un film d'action. Bad company est donc une première pour lui. "Je suis fan des films d'action", s'entousiasme-t-il. "J'aime le cinéma qui distraie et qui bouge. Les rôles immobiles et cérébraux m'ennuient. Faire un film de cette envergure était inédit pour moi." Quant on lui demande d'évoquer Chris Rock, il décrit un acteur posséder un "talent de la comédie, du burlesque", ayant "toujours une idée qui posse les choses encore plus loin."
Chris Rock impressionné
Chris Rock ne cache pas son appréhension à l'idée de travailler avec un acteur du calibre d'Anthony Hopkins. "Forcément, la première fois que vous vous retrouvez devant Sir Anthony Hopkins, ça fait quelque chose", s'exclame-t-il. "Il a ce calme, cette puissance qui impressionnent, et puis si vous commencez a réfléchir à tout ce qu'il a joué, aux dizaines de récompenses qu'il a reçues, c'est fini, vous vous sauvez en hurlant, vous n'y arriverez jamais. C'est un seigneur, il est humain, chaleureux, juste. Il vous apporte un confort. (...) Il m'a énormément appris."
La rencontre de deux caractères
Bad company marque la rencontre de deux vedettes aux styles bien différents : Anthony Hopkins et Chris Rock. Pour Joel Schumacher, "le mélange de leurs talents, la confrontation de leurs images occasionnent de nombreux moments réjouissants. (...) C'est la rencontre de deux personnalités, le choc de deux univers. Un vrai régal !"
Un réalisateur et un producteur qui s'apprécient
Le producteur Jerry Bruckheimer ne tarit pas d'éloges au sujet de Joel Schumacher, le réalisateur du film. "Joel est toujours au courant de ce qui est dans l'air du temps. Il a cette capacité de réinventer les films de genre. Ce n'est pas seulement un réalisateur, mais aussi un écrivain, un spécialiste de l'image." En retour, Joel Schumacher voit en son producteur quelqu'un "qui aime les films, un pur fan de cinéma. Il laisse une entière liberté aux créateurs tout en les soutenant constamment."
A la croisée des genres
Le producteur Jerry Bruckheimer estime que Bad company "est un film à la croisée des genres. Etant donné la qualité de son casting, on pourrait parler d'un film d'acteurs ; son rythme et ses nombreux morceaux de bravoure en font aussi un thriller d'action ; mais le choc des personnalités et l'énergie en font d'abord une comédie." Et de rajouter que Bad company "n'est pas exactement un buddy-movie, les deux personnages principaux ne se sont pas choisis et ils ne sont pas seuls contre tous. Ils son surtout l'un contre l'autre !"
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Sugar & spice|Francine McDougall|Comédie||3|américain|2001|80|Anglais||XviD|||XVID|1 072 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|698||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Wendy Finerman|Mandy Nelson|Robert Brinkmann||New Line Cinema||Pour les cinq pom-pom girls, Diane Weston, Kansas, Lisa, Fern et Hannah, la vie n'a jamais été aussi rose. Aucune autre fille ne leur arrive à la cheville : elles sont belles et dansent comme des reines.
Diane a craqué pour le beau Jack Bartlett, le meilleur quarterback de son équipe de football. Ils s'aiment passionnément, s'apprêtent à se marier et à avoir un bébé. Tout ce passe très vite.
Malheureusement, ils ont beau avoir une dentition impeccable, des cheveux lustrés, un teint parfait et les yeux bleus, ça ne suffit pas à payer le loyer. Diane et Jack ne sont pas encore sur le marché du travail et l'argent se fait plutôt rare. Alors comment fonder une famille dans de telles conditions ?
Jack tente de dénicher un boulot mais en vain. Sa compagne a alors une idée quelque peu saugrenue : dévaliser une banque avec ses amies. |Marla Sokoloff (Lisa Janusch)@Marley Shelton (Diane Weston)@Mena Suvari (Kansas Hill)@Rachel Blanchard (Hannah Wald)@James Marsden (Jack Bartlett)@Sean Young (Mrs. Hill)@W. Earl Brown (Hank Rogers)@||||||||||||@@
A Fate Totally Worse Than Death|John T. Kretchmer|Comédie|||américain|2005|80|Anglais||XviD|||XVID|1 071 Kbps|640x352|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|696||||25.000|28/07/2009 00:00:00|William Vince Sid Sheinberg Bill Sheinberg|Robert LoCash|Suki Medencevic||||Danielle, Tiffany et Brooke, sont trois amies qui règnent sur le Lycée de Valley High. Le trio incarne la perfection dans le petit monde de Valley High jusqu'au jour où une étudiante étrangère fait son arrivée... |Julie Benz (Danielle)@Monica Keena (Brooke)@Nicole Bilderback (Tiffany)@Chris D'Elia (Gavin)@Aaron Paul (Jonathan Warton)@Suzanna Urszuly (Katarina Wolf)@Jonathan Brandis (Drew)@Janet Leigh (Mme Witt)@Christopher Lloyd (Mr Chauncey)@Terrance Morris@||||||||||||@@
Bad Santa|Terry Zwigoff|Comédie||3|américain|2004|95|Anglais||XVID|||XVID|862 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|150 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||23.976|27/08/2009 00:00:00|Sarah Aubrey Bob Weinstein John Cameron (II)|Joel Coen Ethan Coen Arnie Marx Terry Zwigoff Glenn Ficarra John Requa|Jamie Anderson||Dimension Films||Chaque année, en décembre, Willie T. Stokes incarne le Père-Noël dans un grand magasin différent. Sarcastique et désabusé, il a de plus en plus de mal à tenir ce rôle. Marcus, son fidèle acolyte, un nain déguisé en elfe, l'incite comme il peut à ne pas craquer. Car, sous son habit rouge mal ajusté, Willie cache une panoplie de perceur de coffres. Et la nuit de Noël, avant de disparaître, ce drôle de couple cambriole le grand magasin où il a travaillé.Mais, à Phoenix, le casse annuel semble se compliquer. D'abord, à cause de Bob, le directeur coincé du centre commercial. Puis, de Gin le détective retors. Ensuite, parce qu'il y a Sue, une serveuse de bar sexy fantasmant sur le Père-Noël. Enfin, parce que Thurman, un souffre-douleur naïf de huit ans, est farouchement décidé à croire que Willie est bien le vrai Père Noël, celui qu'il a toujours rêvé de rencontrer... |Billy Bob Thornton (Willie T. Soke)@Bernie Mac (Gin Slagel)@Tony Cox (Marcus)@Lauren Graham (Sue)@John Ritter (le responsable du centre commercial)@Brett Kelly (le môme)@||Secrets de tournage :
Bill Murray pressenti dans le rôle du Père Noël
Bill Murray était pressenti pour jouer le rôle de Willie dans Bad Santa, mais il abandonna finalement le projet, préférant tourner à la même période Lost in translation.
Wallace Berry et Walter Matthau en références
Dans le rôle principal, les producteurs Ethan Coen et Joel Coen voulaient retrouver le type de personnage joué par Wallace Berry dans les années trente : le faux dur, drôle et délicieusement bourru, qui cache un coeur d'or. Autre source d'inspiration : The Bad news bear (1976), une comédie signée Michael Ritchie avec un Walter Matthau en entraîneur de baseball porté sur le Martini.
Le choix de Brett Kelly
Terry Zwigoff se souvient de sa rencontre avec le jeune Brett Kelly : "Dès que j'ai vu sa photo, j'ai craqué, j'étais plié en deux. J'ai dit que s'il savait marcher et parler, il avait le job !" C'était sans compter sur la varicelle, contractée entre son audition et le début du tournage. Sa mère dut obtenir une attestation médicale certifiant qu'il n'était plus contagieux pour qu'il puisse rejoindre l'équipe et faire ses premiers pas devant une caméra.
Bernie Mac se prend pour un détective
Pour se documenter sur son rôle de détective privé d'un grand magasin, Bernie Mac n'eut pas à chercher bien loin : "Mon frère et mon cousin sont détectives, j'ai un frère au FBI, sans compter deux cousins et un de mes meilleurs amis qui sont dans la police. J'étais un adolescent qui adorait suivre des enquêtes criminelles et je crois que ces souvenirs ont nourri mon personnage."
Le dernier film de John Ritter
Bad Santa marque la dernière apparition de John Ritter au cinéma, l'acteur décédant le 11 septembre 2003, à l'âge de 54 ans, des suites d'un malaise cardiaque.
Présenté à Cannes
Bad Santa a été présenté en sélection officielle, hors compétition, au Festival de Cannes 2004.
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Bambi|Walt Disney David Hand|Animation|Film pour enfants|3|américain|1942|67|Anglais||XVID|||XVID|1 315 Kbps|576x448|MPEG-1 Audio layer 3|116 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Walt Disney|Félix Salten Larry Morey Perce Pearce|||Buena Vista Pictures||Le jeune faon Bambi, après la mort de sa mère tuée par un chasseur, doit apprendre à survivre seul dans la forêt. Il trouve bientôt un jeune compagnon, le lapin Panpan, aussi malicieux et débrouillard que Bambi est maladroit et pataud. |Frank Baujin (Bambi enfant (voix française) )@Bernard Alane (Bambi adulte (voix française) )@Aurélia Bruno (Pan Pan enfant (voix française))@Jean-François Duhamel (Pan Pan adulte (voix française))@Gérard Hernandez (le hibou (voix française))@||Secrets de tournage :
Au commencent était le livre...
Lorsqu'il découvre, en 1937, le roman de l'auteur hongrois Felix Salter, Walt Disney tombe en arrêt devant les qualités évidentes du récit, et entrevoit d'emblée le potentiel d'une telle histoire intelligemment adaptée pour le grand écran. Il décide alors d'en faire le sujet de son deuxième long métrage d'animation. Le créateur vient d'achever Blanche-Neige et les sept nains et mène déjà de front la production de deux projets d'envergure, Pinocchio et Fantasia. Ce qui n'empêche nullement Disney le stakhanoviste de recruter une équipe et de réserver un bâtiment flambant neuf des studios californiens de Burbank au seul Bambi.
Succès tardif
Trop novateur, le film déroute le public, qui se détourne de Bambi... avant de lui réserver un triomphe à l'occasion de sa ressortie en 1947. Les aventures du faon orphelin flanqué du malicieux Panpan se sont depuis imposées comme un sommet de l'animation.
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Bandits|Barry Levinson|Comédie||3|américain|2002|121|Anglais||DIV3|||DIV3|669 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|697||||23.976|13/08/2009 00:00:00|Ashok Amritraj Michele Berk Michael Birnbaum Barry Levinson Arnold Rifkin Paula Weinstein|Harley Peyton|Dante Spinotti||Metro Goldwyn Mayer (MGM)||Bandits de profession, Joe Blake et Terry Collins s'évadent de prison avec comme unique ambition de cambrioler quelques banques pour ensuite s'installer au Mexique et s'assurer une retraite paisible. Ces Robin des bois des temps modernes sont devenus en quelque temps les coqueluches des Etats-Unis.
Ils ont pour habitude de prendre en otage le directeur de la banque et sa famille la veille d'un hold-up, de dîner et de passer la nuit chez eux, pour ensuite se rendre à la banque avec le directeur le lendemain matin, avant l'heure d'ouverture. Ainsi, pas d'effraction, ni de mauvaise surprise !
Jusqu'au jour où leur route croise celle d'une charmante otage, Kate Wheeler. À leur grand étonnement, celle-ci se montre enthousiaste à l'idée de les suivre dans leurs aventures. Sa fougue et son engouement pour leur cause conquièrent bientôt le coeur des deux hors-la-loi. |Bruce Willis (Joe Blake)@Billy Bob Thornton (Terry Lee Collins)@Cate Blanchett (Kate Wheeler )@Brian F. O'Byrne (Darill Miller )@Stacey Travis (Cloe Miller)@Bobby Slayton (Darren Head )@January Jones (la demoiselle aux bottes roses)@Azura Skye (Cheri)@Peggy Miley (Mildred Kronenberg )@William Converse-Roberts (Charles Wheeler )@Richard Riehle (Lawrence Fife)@Troy Garity (Harvey Polard )@||Secrets de tournage :
Une phobie récurrente
Lors d'une discussion, Terry, le personnage de Billy Bob Thornton, avoue à Kate (Cate Blanchett) une phobie inhabituelle : celle du mobilier antique. Clin d'oeil voulu ou non, cette peur est exactement la même que celle dont souffre Doyle, l'un des personnages principaux de Sling Blade, film qui a révélé Billy Bob Thornton au grand public en 1996.
Un prix pour Billy Bob Thornton
Sorti le 12 octobre 2001 aux Etats-Unis, Bandits a rapidement valu un prix à l'un de ses interprètes principaux. En décembre de la même année, Billy Bob Thornton se voyait nommé Meilleur acteur de l'année par le National Board of Review, pour ses performances dans Bandits, The Barber : l'homme qui n'était pas là et Monster's ball.
Un titre provisoire
Quoi de plus logique pour un long métrage suivant la cavale de deux hors la loi que de s'intituler Bandits. Le film de Barry Levinson n'a cependant pas toujours été titré de la même façon, puisque le projet fut longtemps connu sous le nom de Outlaws. Une dénomination somme toute logique également, outlaws signifiant ... bandits en anglais.
Près de 60 lieux de tournage
Véritable road movie qui promène ses protagonistes tout au long de la côte ouest des Etats-Unis (de l'Oregon jusqu'à la Californie), Bandits a cumulé les lieux de tournage : près de soixante au total. Les prises de vue ont débuté dans le Pénitencier d'Etat de l'Oregon, à Salem, pour se poursuivre sur des sites des plus insolites : un panorama vertigineux sur la Columbia River à Crown Point Overlook, une maison de verre à West Linn ou encore dans le centre de Los Angeles.
Scène improvisée
Metteur en scène méticuleux, Barry Levinson n'en laisse pas moins une certaine place à l'improvisation. Ainsi l'une des scènes clé de Bandits, durant laquelle Bruce Willis et Cate Blanchett s'embrassent après avoir tous deux tenté de raccrocher une couverture séparant leurs deux lits, a été rejouée après que les deux acteurs aient, par hasard, essayé de rattacher en même temps la dite couverture sur le plateau de tournage.
Un humour familier
Mélange de genres entre la comédie et le drame, Bandits ne marque pas un coup d'essai dans le domaine de l'humour pour son réalisateur Barry Levinson. S'il a souvent manié la dérision dans sa carrière (notamment dans Des hommes d'influence), deux des films du metteur en scène sont classés dans le Top 100 des comédies établi par le prestigieux American Film Institute : Diner, le premier film de Barry Levinson réalisé en 1980 et Good morning Vietnam (1987).
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Banlieue 13|Pierre Morel|Action|Interdit aux moins de 12 ans|2|français|2004|81|Français||DX50|||DX50|966 Kbps|720x544|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|44.1 KHz|2|630||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Luc Besson|Luc Besson|Manuel Teran||EuropaCorp Distribution|Saga : Banlieue 13 |Paris, 2013. Damien est l'élite de la police. Officier d'une unité spéciale d'intervention, expert en arts martiaux, il est passé maître dans l'art de l'infiltration et sait mener à terme ses opérations par des actions rapides, précises et néanmoins musclées.Et c'est bien la mission la plus extrême de sa carrière qui vient de lui être confiée : une arme de destruction massive a été dérobée par le plus puissant gang de la banlieue. Damien est chargé d'infiltrer dans le secteur pour désamorcer la bombe ou la récupérer. |Cyril Raffaelli (Damien)@David Belle (Leïto)@Tony D'Amario (K2)@Bibi Naceri (Taha)@Dany Verissimo (Lola)@François Chattot (Krüger)@Nicolas Woirion (Corsini)@Patrick Olivier (Le Colonel)@Samir Guesmi (Jamel)@Gadner Jerome (K2 BOY 1)@Tarik Boucekhine (Yoyo)@Dominique Dorol (Cerbère Taha)@Ludovic Berthillot (Le gros mercenaire)@Nicolas Wan Park (Le Chinois)@Alain Rimoux (Le Commissaire)@Marc Andreoni (Carlos)@Bernard Grenet (M. Keijman)@Christophe Maratier (Le chef des SWAT)@Lyes Salem (Samy)@Philippe Soutan (Le conducteur du fourgon)@Michel Estrade (Maton 1)@Jean-Marc Bellu (Maton 2)@MC Jean Gab'1 (Nico le black)@||Secrets de tournage :
Un rythme infernal
Banlieue 13 a été un véritable défi pour Pierre Morel et son équipe. En 10 mois, le film était terminé ! La préparation du film a commencé seulement en janvier 2004. Trois mois plus tard, les prises de vue commençait déjà. En juin, à mi-tournage, la date de sortie était arrêtée, alors qu'en août, la bande-annonce était déjà diffusée en salle, alors que le tournage n'était même pas terminé ! Selon Pierre Morel, Banlieue 13 a été "un marathon", "un tournage assez long mais avec une telle énergie que c'est passé à une vitesse folle."
Direction l'Europe de l'Est
Une bonne partie des extérieurs de Banlieue 13 ont été filmés en Roumanie, dans les cités dortoirs les plus glauques du pays. Là-bas, au dire du réalisateur, il est beaucoup plus facile d'obtenir les autorisation nécessaires pour exécuter les cascades le long des tours de béton.
Un premier film
Pour Pierre Morel, Banlieue 13 est synonyme de baptême du feu. Après avoir été directeur de la photographie sur Le Transporteur et L'Américain, et cadreur pour La Vérité sur Charlie et L'Art (délicat) de la séduction, il se frotte pour la première fois à la mise en scène. En plus, c'est presque par accident qu'il s'est retrouvé aux commandes de Banlieue 13. " Un jour ", explique le réalisateur, " je me suis retrouvé dans le bureau de Luc Besson qui me dit "tiens, lis ça et dis moi si ça te branche de réaliser ce film". J'ai passé la nuit à lire le scénario et je l'ai rappelé le matin. Je lui ai dit que ça me branchait, mais que je me demandais si j'allais être à la hauteur. Il m'a répondu "ne commence pas à être désagréable !" (rires) On a débuté la préparation en janvier 2004."
Des acteurs/cascadeurs
Le casting de Leïto et de Damien, les deux héros du film, était primordial. "Le public a besoin de vrai héros, plus seulemement d'acteurs qui font semblant, estime Pierre Morel,les sportifs, les cascadeurs sont en train de devenir de vrais stars. Le coté réaliste de l'action plait de plus en plus au spectateur à la recherche de sensations extrèmes. C'est dans cet esprit que David Belle et Cyril Raffaelli furent choisis.
David Belle est l'homme à l'origine des Yamakasi. Il a inventé le concept du Parcours, une philosophie de l'action basée sur la mobilité totale en milieu urbain. Il interprète le rôle de Leïto, avec lequel il se trouve de nombreux points communs.
Quant à Damien, le flic incorruptible, c'est Cyril Raffaelli qui lui donne vie. On a pu voir ce cascadeur au cinéma dans Taxi 2, Mortel transfert, Astérix et Obélix : mission Cléopâtre et Le Baiser mortel du dragon.
Sécurité, Sécurité !
Malgré les compétences de cascadeurs des deux interprètes principaux, un film d'action de cette ampleur ne se conçoit pas sans sécurité. Cyril Raffaelli raconte : " Lorsqu?on nous a parlé sécurité sur le plateau, David et moi ont leur a montré la K7 de démo avec ce qu'on avait fait en live. Dans ma démo, je fais un salto d'un immeuble à l'autre, au quinzième étage. Pas de matelas, rien. On a une confiance absolue en nous." Mais sur le tournage, équipe et production exigent des filets, des matelas, des câbles. Et les négociations des deux acteurs n'y font rien : " La production nous a rappelé qu'on était les acteurs principaux et que si l'un de nous se faisait mal, le tournage était terminé. Mais à force de discuter, Cyril et David ont réussi à mettre tout le monde en confiance. À l'arrivée, 90 % des cascades réalisées l'ont été sans aucun trucage.
Les débuts de MC Jean Gab'1
Dans Banlieue 13, le rappeur MC Jean Gab'1 fait sa première apparition à l'écran dans le rôle de Nico. Cet artiste a débuté dans le Rap sur la compilation de Doc Gynéco, Liaisons dangereuses. Depuis, il a sorti le single " J't'emmerde ", où il passe en revue avec humour toutes les stars du rap français. Son premier album, Ma vie, raconte son passé d'ex taulard au vécu chargé.
Le réalisateur Pierre Morel semble garder un excellent souvenir de cette collaboration : " C'est un mec d'une gentillesse sublime. C'est marrant parce que comme beaucoup de rappeurs, il a l'image de marque d'un mec un peu agressif et qui ne mâche pas ses mots. Mais sur le plateau, il a été adorable. Même lui n'a pas été doublé et les coups qu'il reçoit, c'est vraiment lui qui les prend."
Un film prohétique ?
Pierre Morel refuse que Banlieue 13 soit catalogué comme film de banlieue : "Je ne sais pas ce que ça veut dire. Banlieue 13 est d'abord un film d'action qui se passe dans une banlieue dans quelques années. Ce n'est pas pour autant un film qui décrit la banlieue.. Selon lui, Banlieue 13 est une politique-fiction. Une histoire "sur ce que pourrait être la banlieue dans quelques années si on ne change pas les choses et si on prend les mauvaises décisions."
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Banlieue 13 ultimatum|Patrick Alessandrin|Action||2|français|2009|96|Français||XviD|||XVID|883 Kbps|666x306|MPEG-1 Audio layer 3|109 Kbps|False|48.0 KHz|2|692||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Luc Besson|Luc Besson|Jean-François Hensgens||EuropaCorp Distribution|Saga : Banlieue 13 |Banlieue 13, deux ans plus tard. Le gouvernement a changé, pas le reste... Le mur d'isolement - toujours plus haut, toujours plus grand, toujours plus loin - s'est étendu autour des cités ghettos et les gangs qui y prolifèrent ont encore accru leur influence. Le trafic se répartit désormais entre cinq quartiers ethniques, chacun dirigé par un redoutable chef de gang. Plus que jamais déterminés à "régler le problème", les services secrets mettent volontairement le feu aux poudres. Damien, flic expert en arts martiaux, et Leïto, capable de se faufiler dans les moindres recoins de la banlieue, font à nouveau équipe. Leur objectif : sauver la cité du chaos. Leur programme : combats musclés et course-poursuites défiant les lois de la gravité... |Cyril Raffaelli (Damien)@David Belle (Leïto)@Philippe Torreton (Le Président de la République)@Daniel Duval (Walter Gassman)@Elodie Yung (Tao)@MC Jean Gab'1 (Molko)@La Fouine (Ali-K)@James Deano (Karl le skin)@Pierre-Marie Mosconi (Roland)@Moussa Maaskri (L'homme de main de Roland)@Sophie Ducasse (Sonya)@Patrick Steltzer (le général)@Jean-Gilles Barbier (le commandant de police)@Laurent Gérard (Maurice Bertome)@Jean-Louis Meyniac (garde Molko)@Mahamadou Coulibaly (Doudou)@Gérald Nguyen Ngoc (Woo)@Frédéric Chau (Tran)@Sidney Wernicke (Seb)@Lannick Gautry (le pote branché)@Bing Yin (Yun)@Grigori Manoukov (Igor)@Christian Sinniger (le commandant)@Adrien Ruiz (l'officier sous-marin)@Guy Amram (le chef commando GIGN)@Sabria Hadir (Safia)@Soraya Djafri (la copine de Safia)@Salim Boughidene (Samir)@Mourad Belaiboud (Hassan)@Andy Dede (le copain d'Hassan)@Nicky Marbot (le capitaine des SWAT)@Arnaud Simon (Denis)@Steeve Ly (Manuel)@Frans Boyer (le flic du contrôle sanitaire)@Johnny Amaro@Pascal D'Amato@Pascal Aubert@Jean-Gilles Barbier@Thierry Redler@||Secrets de tournage :
Des figurants réalistes
"Dans le film, j'ai un tiers d'acteurs et deux tiers de vrais gens de la banlieue. De pures tronches. Ca m'a énormément motivé pour le film de voir tous ces types de banlieue se donnant complètement, et chacun avec son univers", raconte Patrick Alessandrin, à propos des figurants du film.
Surprise de taille
Interprète de Karl, le chef des skinheads, le rappeur belge James Deano n'était pas vraiment au courant du rôle qu'il allait avoir, avant que Patrick Alessandrin ne le lui présente plus en détails.
100% authentique !
Interprète d'Ali-K (le chef de l'un des gangs de la banlieue), le rappeur La Fouine a joué ses scènes de combat... à fond : "(...) lors de ma scène de combat, comme je ne suis pas acteur, je donnais des vrais coups aux militaires et aux policiers. (...) Après chaque prise j'allais les voir : "Excusez-moi les gars, je n'arrive pas trop à mesurer" Ils rigolaient. Ils avaient mal partout mais ils se marraient."
Les décors au service de l'action
Chaque décor étant conçu en fonction des cascades prévues, le chef décorateur Hugues Tissandier a collaboré de près avec Cyril Raffaelli, qui lui donnait toutes les indications nécessaires à la réussite des scènes (hauteurs, distance entre les objets...).
Du vrai au milieu du faux
La séquence au cours de laquelle Leïto (David Belle) est poursuivi par des membres des SUV au milieu d'un camp de gitan a été tournée dans un vrai camp, les habitants ayant même été jusqu'à jouer les figurants.
Madame est Serbie !
Vu le degré de pyrotechnie de certaines scènes, le tournage en Serbie a nécessité quelques précautions de la part de l'équipe du film : "Belgrade a une ambiance incroyable alors qu'on faisait un film assez dur sur la violence de la banlieue", explique le réalisateur, Patrick Alessandrin. "On a du faire des annonces télé, radio et presse pour prévenir la population que des bombes allaient exploser, qu'il y aurait des tirs de mitraillettes, que des hélicoptères voleraient au-dessus de leur building, sinon les gens auraient flippé. Il y a dix ans, ce pays était encore en guerre." Se baladant avec un AK-47 à la main, pour les besoins de son rôle, le rappeur La Fouine s'est même fait interpeller par un passant qui lui a dit : "Faut pas trop se balader avec ça, on sort de la guerre, c'est un peu dangereux, même pour toi."
Et de quatre !
Quatrième film réalisé par Patrick Alessandrin (à qui l'on doit notamment 15 août), Banlieue 13 Ultimatum marque en revanche sa première incursion dans le milieu de l'action.
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The Cookout|Lance Rivera|Comédie||1|américain|2002|85|Anglais||DX50|||DX50|1 014 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Queen Latifah Shakim Compere|Queen Latifah Shakim Compere Darryl French|||Lions Gate Films Inc.||Choisi comme numéro un de la Draft, le basketteur Todd Anderson signe un contrat de 30 millions de dollars pour rejoindre l'équipe de sa ville natale, les New Jersey Nets. Réunissant famille et amis pour un barbecue, Todd se rend compte que le comportement de son entourage à son égard n'est plus le même depuis qu'il est une vedette locale. |Storm P (Todd Anderson)@Jonathan Silverman (Wes Riley)@Ja Rule (Bling Bling)@Tim Meadows (Oncle Leroy)@Frankie Faison (Jojo Anderson)@Danny Glover (Le juge)@Farrah Fawcett (Mlle Crowley)@Eve (Becky)@Jenifer Lewis (Em)@Meagan Good (Brittany)@Queen Latifah (l'officier de sécurité)@||Secrets de tournage :
Fait divers et cinéma
The cookout est le premier long-métrage réalisé par Lance Rivera, patron du label de rap Untertainment Records. Son nom est par ailleurs associé à un célèbre fait divers. En 1999, au Kit Kat Club, Rivera est poignardé par Jay-Z qui plaidera coupable deux ans plus tard.
Queen en majesté
La rappeuse américaine Queen Latifah est à la fois coscénariste et productrice de The cookout (via sa société Flavour entertainment), dans lequel elle fait également une apparition en officier de sécurité.
Crew
Le héros de The cookout est incarné par Storm P - également connu sous le nom de Quran Pender - un rappeur qui fait partie du groupe Unit, avec lequel Queen Latifah collabore régulièrement. On retrouve au générique du film une uatre figure du hip-hop américain, Ja Rule.
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Barbershop|Tim Story|Comédie||3|américain|2003|98|Anglais||DX50|||DX50|861 Kbps|720x384|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|48.0 KHz|2|692||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Ice Cube Robert Teitel George Tillman Jr.|Mark Brown Don D. Scott Marshall Todd|Tom Priestley Jr.||UFD||Une journée dans un salon de coiffure pour hommes du sud de Chicago. Calvin vient d'hériter du salon de son père. Après avoir vendu son bien à un malfrat local, il réalise son erreur et commence à comprendre l'héritage et la vision de son paternel. |Ice Cube (Calvin Palmer )@Eve (Terri Jones )@Cedric The Entertainer (Eddie )@Anthony Anderson (J. D.)@Sean Patrick Thomas (Jimmy James)@Troy Garity (Isaac Rosenberg)@Michael Ealy (Ricky Nash)@Leonard Earl Howze (Dinka)@Keith David (Lester Wallace)@Jazsmin Lewis (Jennifer Palmer)@Lahmard Tate (Billy)@Tom Wright (Inspecteur Williams)@Jason Winston George (Kevin)@DeRay Davis@Sonya Eddy (Janelle)@Marcia Wright (la femme en colère)@Lorenzo Clemons (le manager de la banque)@Parvesh Cheena (Samir)@||Secrets de tournage :
On s'entraîne !
Tous les acteurs qui composent le casting de Barbershop ont passé une semaine à s'entraîner dans une école de coiffure à Los Angeles, afin de préparer leurs rôles respectifs.
Eve et Terri
Barbershop marque les débuts cinématographiques de la rappeuse Eve. Le réalisateur Tim Story voulait absolument d'elle pour ce rôle car il savait que la jeune femme était passée par les mêmes galères que Terri. La comédienne dit d'ailleurs de son personnage : "Terri sait ce qu'elle veut et elle à la langue bien pendue. Elle me ressemble, moi qui suis la seule fille d'un groupe de rap/R&B et qui doit souvent m'affirmer face aux hommes".
Calvin
Quand on lui demande ce qu'il retient de son personnage dans Barbershop, le rappeur comédien Ice Cube répond : "Calvin est ambitieux, mais il ne réalise pas qu'il dispose d'atouts précieux. Comme beaucoup d'entre nous, il n'est jamais satisfait et espère toujours mieux".
De Los Angeles à Chicago
Le scénario original de Barbershop situait l'action à Los Angeles. Mais les producteurs Robert Teitel et George Tillman Jr. souhaitaient que que le film prenne place dans leur ville favorite, Chicago. C'est d'ailleurs là que le film fut finalement tourné.
Succès = suite
Devant le succès au box-office du premier volet de leurs aventures, Ice Cube, Eve, Cedric the Entertainer et Sean Patrick Thomas ont tous accepté de rempiler pour un Barbershop 2, dont le tournage débute en juillet 2003.
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Barbershop 2 : back in business|Kevin Sullivan|Comédie||3|américain|2004|101|Anglais||DX50|||DX50|827 Kbps|720x384|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|44.1 KHz|2|692||||25.000|14/08/2009 00:00:00|George Tillman Jr.|Mark Brown Don D. Scott|Tom Priestley Jr.||Metro Goldwyn Mayer (MGM)||Un prequel à Barbershop, sur l'histoire de la boutique du barbier de Chicago. |Ice Cube (Calvin)@Cedric The Entertainer (Eddie)@Sean Patrick Thomas (Jimmy)@Queen Latifah (Gina)@Troy Garity (Isaac)@Michael Ealy (Ricky)@Leonard Earl Howze (Dinka)@Harry J. Lennix (Quentin Leroux)@Robert Wisdom (Alderman Brown)@||||||||||||@@
Basic|John McTiernan|Action||3|américain, britannique|2003|98|Anglais||XVID|||XVID|6 841 Kbps|576x240|MPEG-1/2 L3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|696||||23.976|06/08/2009 00:00:00|Arnie Messer Mike Medavoy Michael Tadross|James Vanderbilt Cathy Rabin|Steve Mason||Columbia Pictures||Une nuit, lors d'un exercice d'entraînement, un ouragan frappe Panama. Six militaires dont l'autoritaire sergent West disparaissent et il ne reste que deux témoins pour raconter ce qu'il s'est passé.
L'agent Tom Hardy, qui travaille pour la Drug Enforcement Administration, est rapidement appelé sur les lieux pour mener l'enquête aux côtés du lieutenant Julia Osborne, qui n'a obtenu aucune information des deux survivants. L'un d'eux a en effet insisté pour ne parler qu'à Tom Hardy. Julia Osborne, surprise par cette demande, s'interroge sur le lien pouvant exister entre ce dernier et toute cette histoire. La vérité sera difficile à obtenir. En tout cas, une chose est sûre, ce n'est pas l'ouragan qui est la cause de la disparition du sergent West et de ses hommes... |John Travolta (l'agent Tom Hardy)@Samuel L. Jackson (le sergent West)@Connie Nielsen (le lieutenant Julia Osborne)@Giovanni Ribisi (Kendall)@Brian Van Holt (Raymond Dunbar)@Harry Connick Jr (le colonel Styles)@Roselyn Sanchez (Nunez)@Taye Diggs (Pike)@Timothy Daly (le chef officier Pete Wilmer)@Dash Mihok (Mueller)@||Secrets de tournage :
Double retrouvailles
Le tournage de Basic a été l'occasion de deux retrouvailles particulièrement attendues : celle entre John McTiernan et Samuel L. Jackson, huit ans après Une journée en enfer, et celle entre le comédien et John Travolta, neuf ans après leur fameux duo de tueurs dans Pulp Fiction de Quentin Tarantino.
Nouvelle enquête pour Travolta
Enquêteur de la Drug Enforcement Administration (DEA) dans Basic, John Travolta mène une nouvelle fois l'enquête au sein de l'armée américaine, comme il l'avait fait quatre ans plus tôt dans Le Deshonneur d'Elisabeth Campbell de Simon West.
Entraînement spécifique
Si tous les comédiens de Basic ont dû subir une formation de rigueur, John Travolta s'est, pour sa part, particulièrement bien préparé : entraînement six jours sur sept pendant les trois mois précédant le tournage, ce qui lui permis de perdre une douzaine de kilos, stage intensif au 1er bataillon du 75e Rangers et régime spécial pendant toute la durée des prises de vue.
Tournage entre Panama et la Floride
Le tournage de Basic s'est principalement déroulé sur les lieux mêmes de l'action du film, à Panama. Les scènes cruciales de l'exercice en forêt ont, elles, été tournées sur un ancien terrain d'aviation de Jacksonville, en Floride, transformé pour l'occasion en jungle tropicale avec l'ajout d'une centaine de palmiers et de 400 à 500 autres plantes aux chênes déjà présents sur le terrain.
Recréer la tempête
Pour reconstituer la tempête censée frapper la jungle pendant l'exercice militaire, l'équipe des effets spéciaux de Basic a eu recours à six ventilateurs géants dispersés sur le plateau. La pluie torrentielle était, elle, amenée par neuf réservoirs fixés aux arbres et connectés à une citerne pouvant fournir jusqu'à 2800 litres d'eau par minute.
Un conseiller aguerri
Afin de garantir l'authenticité de son intrigue, John McTiernan a fait appel au sergent-chef Charles Fails, engagé comme conseiller technique. Celui-ci avait déjà travaillé sur d'autres thriller militaires comme Tigerland de Joel Schumacher et A armes egales de Ridley Scott.
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Basic Instinct|Paul Verhoeven|Policier|Interdit aux moins de 16 ans|3|français, américain|1992|125|||XviD|||XVID|638 Kbps|720x320|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|693||||23.976|06/08/2009 00:00:00|Alan Marshall|Joe Eszterhas|Jan de Bont||Carolco Pictures||Nick Curran, inspecteur de police à San Francisco, enquête sur le meurtre d'une star du rock, Johnny Boz, tué de trente et un coups de pic à glace par une inconnue alors qu'il faisait l'amour. Nick apprend que le chanteur fréquentait Catherine Tramell, riche et brillante romanciere. Au cours de son enquête, il s'apercoit que les parents de Catherine sont morts dans un accident suspect, que son professeur de psychologie a été assassiné dix ans plus tôt à coups de pic à glace et qu'enfin, une de ses meilleures amies a, en 1956, tué ses trois enfants et son mari. |Michael Douglas (Détective Nick Curran)@Sharon Stone (Catherine Tramell)@Jeanne Tripplehorn (Elisabeth)@George Dzundza (Gus)@Denis Arndt (Lieutenant Walker)@Leilani Sarelle (Roxy)@Wayne Knight (John Correli )@Chelcie Ross (Captain Talcott )@Dorothy Malone (Hazel Dobkins )@Daniel von Bargen (Lieutenant Marty Nilsen )@Stephen Tobolowsky (Dr. Lamott )@Mitch Pileggi@||Secrets de tournage :
Sharon Stone, la révélation de Cannes
La révélation du Festival de Cannes 1992 reste sans conteste Sharon Stone, venue présenter sur la Croisette Basic instinct avec Paul Verhoeven et Michael Douglas. Ce film au parfum de scandale a catapulté cette superbe blonde, aperçue dans Allan Quatermain et les mines du roi Salomon et Total recall, au rang de star hollywoodienne et de sex symbol international.
Basinger, Pfeiffer, Hemingway, Barkin...
Avant d'être attribué à la peu connue Sharon Stone, le rôle de Catherine Tramell fut d'abord proposé à Kim Basinger, Michelle Pfeiffer, Mariel Hemingway, Geena Davis et Ellen Barkin qui déclinèrent toutes l'offre des producteurs en raison du caractère sulfureux du personnage et des scènes dénudées.
Retrouvailles Stone / Verhoeven
Basic instinct marque les retrouvailles de Paul Verhoeven avec Sharon Stone qu'il avait auparavant dirigée dans Total recall.
Sharon Stone n'a pas de culotte
Le film fit scandale notamment pour la scène de l'interrogatoire dans laquelle Sharon Stone croise et décroise langoureusement les jambes. Dans un plan, on peut constater que l'actrice ne porte pas de culotte. Celle-ci a par la suite expliqué son geste en disant qu'elle ne pensait pas que Paul Verhoeven filmerait cette partie intime du corps.
Ellen Barkin avant Sharon Stone
Deux ans avant Sharon Stone dans Basic instinct, Ellen Barkin interprétait déjà, face à Al Pacino, une femme vénéneuse soupçonnée de multiples meurtres dans Mélodie pour un meurtre.
Les féministes à dos
Pour contenter les ligues féministes et homosexuelles, le scénariste Joe Eszterhas voulut modifier certains éléments du script d'origine en remplaçant le détective Nick Curran par une lesbienne et en montrant la meurtrière tuer aussi bien des hommes que des femmes. Mais le réalisateur s'y opposa et Joe Eszterhas se retira finalement du projet. Les ligues, quant à elles, poursuivirent leurs manifestations, perturbant ainsi le tournage et le lancement du film.
Censuré pour les Etats-Unis
La Motion Pictures Association of America obtint la suppression de 42 secondes du film pour sa sortie aux Etats-Unis. Manquent quelques coups de pic à glace, certains ébats amoureux et le fameux plan où Sharon Stone laisse entrevoir qu'elle ne porte pas de culotte.
Une citation aux Golden Globes
Pour sa prestation, Sharon Stone obtint en 1993 une citation au Golden Globe de la meilleure actrice.
De nombreuses références à Hitchcock
Paul Verhoeven s'est librement inspiré d'Alfred Hitchcock pour la réalisation de certaines scènes : les longues randonnées en voiture sur les routes côtières, les dialogues avec regards appuyés dans le rétroviseur, les explications psychologiques... D'ailleurs, la robe que porte Sharon Stone dans la séquence de l'interrogatoire n'est pas sans rappeler celle de Kim Novak dans Sueurs froides.
Michael Douglas en voiture
Michael Douglas, passionné de sport automobile, a assuré lui-même la poursuite en voiture.
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Basic Instinct 2 : Risk Addiction|Michael Caton-Jones|Thriller|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|2006|60|Anglais||DIV3|||DIV3|1 358 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|643||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Mario Kassar Andrew G. Vajna Joel B. Michaels Moritz Borman Dan Maag Philip Schulz-Deyle|Leora Barish Henry Bean|Gyula Pados||Metro Goldwyn Mayer (MGM)||Psychiatre londonien réputé, le Dr. Michael Glass est le meilleur dans son domaine. Lorsque le commissaire Roy Washburn lui demande d'évaluer psychologiquement une femme mêlée à la mort mystérieuse d'un célèbre sportif, son univers bascule...
Catherine Tramell est une romancière américaine, et les meurtres qu'elle dépeint dans ses romans se réalisent de plus en plus souvent dans la vie réelle. Entre elle et le Dr Glass, l'attirance est immédiate. Glass est intrigué par cette superbe femme qui réveille ses instincts les plus sombres. Piégé dans un jeu qu'il croit maîtriser, fasciné par sa beauté, il transgresse peu à peu toutes les limites qu'il s'était fixées.
Alors que les meurtres frappent de plus en plus près, un face-à-face sans pitié s'engage entre le psychiatre et cette femme aussi séduisante que redoutable... |Sharon Stone (Catherine Tramell)@David Morrissey (Andrew Glass)@Charlotte Rampling (Milena Gardosh)@David Thewlis (Roy Washburn)@Stan Collymore (Kevin Franks)@Neil Maskell (Le détective Ferguson)@Jan Chappell (L'avocat)@Terence Harvey (Henry Rose)@Hugh Dancy (Adam Tower)@Ellen Thomas (Le procureur)@Mark Sangster (1er reporter tribunal)@Tim Berrington (2e reporter tribunal)@Indira Varma (Denise Glass)@Heathcote Williams (Jakob Gerst)@Anne Caillon (Laney Ward )@||Secrets de tournage :
Une suite qui s'est fait attendre
L'idée de donner une suite au sulfureux Basic instinct est née il y a environ huit ans. Le producteur Mario Kassar est allé à la rencontre d'un couple de scénaristes qui écrivent ensemble à New York : Henry Bean (Danny Balint et Affaires privées) et Leora Barish (Recherche Susan désespérement). Tous deux ont eu l'idée de confronter Catherine Tramell à un psychiatre. "Nous avions pensé à l'origine situer le film à
New York, explique le producteur, puis nous nous sommes dit qu'il serait intéressant de
placer l'intrigue dans une ville européenne, et l'histoire se déroule finalement à Londres."
Avec ou sans Sharon Stone
Basic instinct 2 a failli se faire sans la présence de Sharon Stone à son générique. En 1999, la sculpturale actrice avait en effet décidé de ranger son pic à glace, à la suite d'un désaccord avec les producteurs concernant son cachet sur ce film. Plusieurs comédiennes ont alors été pressenties pour la remplacer dans le rôle de Catherine Tramell. Parmi elles, la star montante Ashley Judd et Demi Moore alors en perdition.
Ne se contentant pas d'un simple désistement, Sharon Stone a poursuivi en justice ces mêmes producteurs en 2001, réclamant les 14 millions de dollars de son contrat pay or play qui supposait le versement de son salaire, et ce même si le film ne voyait pas le jour. Finalement, les poursuites furent abandonnées, Mario Kassar, Andrew G. Vajna et l'actrice s'étant mis d'accord pour relancer le projet en 2004.
La valse des réalisateurs et des acteurs
En juin 2001, les studios MGM décidaient d'abandonner la mise en chantier de Basic instinct 2, agacés entre autres par les désistements successifs des cinéastes un temps interessés par le projet (David Cronenberg, John McTiernan) et par l'incapacité des producteurs Andrew G. Vajna et Mario Kassar de mettre la main sur l'acteur principal du film. Kurt Russell, Bruce Greenwood et Benjamin Bratt avaient en effet tour à tour décliné l'offre qui leur avait été faite de s'illustrer dans un échange sulfureux avec Sharon Stone ou une hypothétique remplaçante. Ce sont finalement les engagements inattendus de l'actrice et du réalisateur Michael Caton-Jones qui ont permis à ce projet de voir le jour en 2004.
David Morrissey, la nouvelle proie de Catherine Tramell
Pour le rôle du Dr. Glass, le médecin de renom qui tombe dans les filets de Catherine Tramell, le choix de Michael Caton-Jones et de la production s'est porté sur David Morrissey, un acteur diplômé de la Royal Academy of Dramatic Arts mais peu connu du grand public.
Mario Kassar explique : "David avait ce côté propre, médical, irréprochable. Michael était intéressé par l'idée de le confronter à Sharon Stone. En apparence, il semble à l'opposé de toutes les choses bizarres qui se trament dans l'esprit de cette femme, mais il est de plus en plus fasciné et elle finit par l'entraîner dans ces zones sombres où le conduit la plus irrésistible des curiosités."
Les goûts déco de Sharon Stone
Sharon Stone a participé à l'élaboration du style visuel et de l'environnement immédiat de son personnage. Le chef décorateur Norman Garwood a réalisé pour elle une maquette de son appartement, qu'elle a beaucoup aimée, et elle s'est impliquée dans le choix des oeuvres d'art qui le décorent.
Le chef décorateur précise : "Sharon a un goût très sûr, et il était important qu'elle se sente à l'aise, qu'elle aime vraiment cet endroit. Nous avons opté pour ses artistes préférés, Egon Schiel et Fritz Balthaus."
Tournage à Londres
Pour le tournage, Michael Caton-Jones souhaitait un Londres contemporain encore jamais vu sur le grand écran, des lieux qui reflètent les changements subis par la capitale britannique depuis ces dix dernières années. Le Gherkin, un impressionnant immeuble en forme de fuseau construit au
coeur de la City, a ainsi été choisi pour situer le bureau high-tech du Dr. Glass.
L'appartement de Catherine Tramell se trouvait quant à lui dans la zone sud-ouest de Tower Bridge.
Certaines scènes ont été filmées dans des endroits hype de Soho, à Hakkasan, à l'Atlantic Bar et au Titanic Bar. Quelques séquences ont également été tournées au Natural History Museum
à South Kensington, un musée qui n'accorde que rarement des autorisations de tournage. Old Billingsgate Market a été utilisé pour figurer la prison Holloway.
Anne Caillon coupée au montage
Anne Caillon, l'actrice française de la série Les Montana, s'est vu accorder l'honneur d'incarner la "maîtresse" de la vénéneuse Catherine Tramell dans Basic instinct 2. Malheureusement, les scènes où elle apparaît en plein ébats saphiques avec Sharon Stone ont été retirées du montage final.
La Spyker, une voiture d'exception
Le petit bolide que conduisent Stan Collymore et Sharon Stone dans la spectaculaire scène d'ouverture n'est autre que la Spyker C8 Laviolette, un véhicule fabriqué sur mesure, à la main, aux Pays-Bas. Cette voiture
de sport à deux places, dont la ligne unique n'avait encore jamais été vue au cinéma, combine les toutes dernières technologies de pointe, un design sans équivalent et l'excellence en matière d'ingénierie. D'un noir luisant, avec un toit de verre et un intérieur
rouge vif, la C8 peut atteindre les 300 km/h en vitesse de pointe.
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Rebound|Steve Carr|Comédie||2|américain|2006|83|Anglais||DX50|||DX50|1 041 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Robert Simonds|William Wolff Jon Lucas Scott Moore Ed Decter John J. Strauss|Glen MacPherson||20th Century Fox||Roy était le top des entraîneurs de basket universitaire, jusqu'à ce que son comportement explosif lui vaille une mise à pied. Il ne pourra retrouver son poste que lorsqu'il aura fait preuve de respect.
Pour travailler, Roy est obligé d'accepter la seule offre qui lui soit faite, et le voilà entraîneur dans un collège de seconde zone. Ses nouveaux élèves savent à peine faire rebondir une balle...
Ayant touché le fond, Roy décide de tout recommencer. Pas à pas, il va enseigner aux enfants les rudiments de son sport. Pour la première fois depuis longtemps, il fait un véritable travail d'entraîneur. Alors que les efforts de tous commencent à payer, Roy redécouvre ce qu'il avait perdu : le plaisir du jeu... |Martin Lawrence (Roy McCormick / Don le pasteur)@Wendy Raquel Robinson (Jeanie Ellis)@Breckin Meyer (Tim Fink)@Horatio Sanz (Monsieur Newirth)@Oren Williams (Keith Ellis)@Patrick Warburton (Larry Burgess Sr.)@Megan Mullally (le proviseur Walsh)@Eddy Martin (One Love)@Steven Christopher Parker (Wes)@Steven Anthony Lawrence (Ralph)@Logan McElroy (Fuzzy)@Gus Hoffman (Goggles)@Tara Correa (Big Mac)@Amy Bruckner (Amy)@Alia Shawkat (Amy)@Fred Stoller (Late Carl)@||Secrets de tournage :
Martin Lawrence, profession comique
Martin Lawrence, la vedette de Basket academy, se situe dans la grande tradition des comiques noirs américains tels qu'Eddie Murphy, Chris Rock ou encore Chris Tucker, formés à l'école du stand-up (comique d'improvisation). Vedette de Martin, série comique à son nom, il s'est ensuite illustré aux génériques de Bad Boys, où il fait équipe avec Will Smith, Rien a perdre, Flic de haut vol, Big Mamma et Le Chevalier black.
Steve Carr, un cinéaste spécialisé
Steve Carr, le réalisateur de Basket academy, est spécialisé dans la comédie. Il a toujours dirigé des acteurs afro-américains, d'Ice Cube dans Next friday (2000) à Eddie Murphy (Dr. Dolittle 2, 2001; Ecole paternelle, 2002) en passant par Martin Lawrence pour Basket academy (2004).
Titre alternatif
Le titre original de Basket academy est Rebound. Avant d'opter pour son appellation finale, le long-métrage de Steve Carr avait comme titre de travail Rage control.
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Batman|Tim Burton|Fantastique||3|britannique, américain|1989|121|Anglais||XVID|||XVID|672 Kbps|640x352|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|704||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Peter Guber Jon Peters|Warren Skaaren Sam Hamm|Roger Pratt||Warner Bros. France|Saga : Batman |Le célèbre et impitoyable justicier, Batman, est de retour. Plus beau, plus fort et plus depoussiéré que jamais, il s'apprête à nettoyer Gotham City et à affronter le terrible Joker... |Michael Keaton (Batman / Bruce Wayne)@Kim Basinger (Vicky Vale )@Jack Nicholson (Le joker / Jack Napier)@Michael Gough (Alfred)@Billy Dee Williams (Harvey Dent)@Robert Wuhl (Alexander Knox)@Pat Hingle (Commissaire Gordon)@Jack Palance (Carl Grissom )@Jerry Hall (Alicia)@Tracey Walter (Bob the Goon )@William Hootkins (Lt. Eckhardt )@Richard Strange@Carl Chase@Philip Tan@Christopher Fairbank (Nic)@||Secrets de tournage :
Changement d'actrice pour Vicky Vale
L'actrice Sean Young était initialement castée par Tim Burton en 1989 pour interpréter Vicky Vale. Elle fut remplacée par Bassinger suite à une chute à cheval et un bras cassé lors des répétitions.
Elle convoitera plus tard le rôle de Catwoman, en vain.
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Les contributeursCe film a reçu 1 contribution, pour les secrets de tournage, de: jangofett71 (site web)
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Batman Returns|Tim Burton|Aventure||3|britannique, américain|1992|121|Anglais||DX50|||DX50|695 Kbps|640x384|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|696||||25.000|09/08/2009 00:00:00|Tim Burton Denise Di Novi|Daniel Waters (I)|Stefan Czapsky||Warner Bros. France|Saga : Batman |Non seulement Batman doit affronter le Pingouin, monstre génétique doté d'une intelligence à toute épreuve, qui sème la terreur mais, plus difficile encore, il doit faire face à la séduction de deux super-femmes, la douce Selina Kyle et la féline Catwoman qui va lui donner bien du fil a retordre. Si Bruce Wayne apprécie Selina, Batman n'est pas insensible au charme de Catwoman. |Michael Keaton (Batman / Bruce Wayne)@Michelle Pfeiffer (Catwoman/Selina)@Danny DeVito (Pingouin)@Christopher Walken (Max Shreck)@Michael Gough (Alfred)@Pat Hingle (Gordon)@Michael Murphy (Le Maire)@Steven Brill (Gothamite 1)@Cristi Conaway (Ice Princess)@Andrew Bryniarski (Chip)@Vincent Schiavelli (le broyeur d'organe)@Paul Reubens (le Père du Pinguoin)@Jan Hooks (Jen)@||||||||||||@@
Batman Forever|Joel Schumacher|Fantastique||2|britannique, américain|1995|116|Anglais||DX50|||DX50|723 Kbps|720x400|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|694||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Tim Burton Peter MacGregor-Scott|Janet Scott Batchler Lee Batchler Akiva Goldsman|Stephen Goldblatt||Warner Bros. France|Saga : Batman |Nul ne sait que Bruce Wayne, le patron d'un vaste et puissant consortium, l'homme le plus riche des Etats-Unis, revêt chaque nuit la combinaison et le masque de cuir de Batman pour voler au secours de ses concitoyens injustement opprimés. Personne, hormis son fidèle maître d'hôtel Alfred et son vieil ami, le commissaire Gordon. |Val Kilmer (Bruce Wayne/ Batman)@Tommy Lee Jones (Double-face/Harvey Dent)@Jim Carrey (Edward Nygma/l'Homme-Mystère)@Nicole Kidman (Docteur Chase Meridian)@Chris O'Donnell (Dick Grayson/Robin)@Michael Gough (Alfred Pennyworth)@Pat Hingle (Commissaire Gordon)@Drew Barrymore (Sugar)@Debi Mazar (Spice )@Jed Curtis (Un businessman)@Jon Favreau (Un assistant)@Ed Begley Jr. (Fred Stickley )@Rene Auberjonois (le docteur Burton)@Joe Grifasi (le garde à la banque)@||Secrets de tournage :
L'épouventail
A l'origine du projet, l'un des vilains exploité pour ce film devait être L'Epouvantail, interprété par Jeff Goldblum.
Le costume de robin
Le costume de scène porté par les Grayson est un clin d'oeil au costume original de Robin aux couleurs criardes (vert, jaune et rouge).
Changement d'acteur sous le costume de Batman
Val Kilmer remplace Michael Keaton (qui avait déjà interpreté Batman dans Batman (1989) et Batman le Défi (1992) sous la dirrection de Tim Burton) dans le rôle de Batman.
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Les contributeursCe film a reçu 3 contributions, pour les secrets de tournage, de: cine34
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Batman & Robin|Joel Schumacher|Aventure||1|britannique, américain|1997|119|Anglais||DX50|||DX50|707 Kbps|640x384|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|697||||25.000|10/08/2009 00:00:00|Peter MacGregor-Scott|Akiva Goldsman|Stephen Goldblatt||Warner Bros. France|Saga : Batman |Dans cette nouvelle aventure, Batman aura bien besoin de son audacieux partenaire Robin, juché sur sa fringante moto turbo. En effet, le glacial M. Frezze fait régner une vague de froid polaire sur Gotham City avec la complicité de la belle et vénéneuse Poison, au baiser mortel et aux formes sinueuses, qui rêve de soumettre le monde au pouvoir des femmes-fleurs. |George Clooney (Batman / Bruce Wayne)@Arnold Schwarzenegger (Mr. Freeze / Docteur Victor Fries)@Chris O'Donnell (Robin / Dick Grayson)@Uma Thurman (Poison Ivy / Docteur Pamela Isley)@Alicia Silverstone (Batgirl / Barbara Wilson)@Jeep Swenson (Bane)@Michael Gough (Alfred Pennyworth)@Pat Hingle (Gordon)@John Glover (Dr Jason Woodrue)@Elle MacPherson (Julie Madison)@Vivica A. Fox (Ms B Haven)@Doug Hutchison (Golum)@Nicky Katt (Spike)@Vendela Kirsebom Thomessen (Nora Fries)@Michael Reid MacKay (Antonio Diego)@||||||||||||@@
Batman Begins|Christopher Nolan|Fantastique||3|américain|2005|134|Anglais||XviD|||XVID|589 Kbps|608x256|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|696||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Emma Thomas Charles Roven|David Goyer Christopher Nolan|Wally Pfister||Warner Bros.|Saga : Batman Bale / Nolan |Comment un homme seul peut-il changer le monde ? Telle est la question qui hante Bruce Wayne depuis cette nuit tragique où ses parents furent abattus sous ses yeux, dans une ruelle de Gotham City. Torturé par un profond sentiment de colère et de culpabilité, le jeune héritier de cette richissime famille fuit Gotham pour un long et discret voyage à travers le monde. Le but de ses pérégrinations : sublimer sa soif de vengeance en trouvant de nouveaux moyens de lutter contre l'injustice. |Christian Bale (Batman / Bruce Wayne)@Katie Holmes (Rachel)@Michael Caine (Alfred)@Cillian Murphy (Dr. Jonathan Crane)@Liam Neeson (Henri Ducard)@Morgan Freeman (Lucius Fox)@Ken Watanabe (Ra's Al Ghul)@Gary Oldman (le Lieutenant James Gordon)@Rutger Hauer (Mr. Earle)@Tom Wilkinson (Falcone)@Larry Holden (Finch)@Gerard Murphy (le juge Faden)@Colin McFarlane (Loeb)@Sara Stewart (Martha Wayne)@Gus Lewis (Bruce Wayne (à l'âge de 8 ans))@Richard Brake (Joe Chill)@Rade Serbedzija (le clochard)@Emma Lockhart (Rachel Dawes (à l'âge de 8 ans))@Christine Adams (Jessica)@Catherine Porter (la reporter)@John Nolan (Fredericks)@Khan Bonfils (un des guerriers de l'ombre)@Jeremy Theobald (Le jeune technicien de la Tour Wayne)@Charles Edwards (Exécutif d'Entreprises de Wayne)@John Judd (Un policier du pont)@Darragh Kelly (Un gangster sur les docks)@David Murray (Le gangster nerveux)@Cedric Young (Le vendeur du magasin)@Joe Hanley (Un gangster d'Arkham)@David Bedella (Maître D)@Conn Horgan (Le conducteur du monorail)@Alexandra Bastedo (Une dame de Gotham)@Andrew Pleavin (Un policier)@John Burke (Un prisonnier fou d'Arkham)@Jo Martin (Fonctionnaire de Prison de La police)@Chike Chan (Un policier chinois)@Dave Legeno (Un guerrier des ombres)@Jeff Tanner (Un policier)@Charlie Kranz (Le directeur du club)@Jamie Cho (Homme chinois râblé)@Jack Gleeson (Le petit garçon)@Linus Roache (Thomas Wayne)@Lucy Russell (Une invitée au restaurant)@Tom Wu (Un garde de la prison)@Roger Yuan (Un technicien d'Hazmat)@Risteard Cooper (Capitaine Simonson)@Stephen Walters (Le fou à Arkham)@Matt Miller (Un policier d'Arkham)@Shane Rimmer (Le vieux technicien de la Tour Wayne)@Sai-Kit Yung (Un policier chinois)@Martin McDougall (Un employé des docks)@Joseph Rye (Un policier sur les docks)@Tamer Hassan (Le chauffeur du juge Faden)@Terry McMahon (Un policier du SWAT)@Richard Laing (Un policier d'Arkham)@Tom Nolan (Un valet)@Vincent Wong (Un vieux prisonnier asiatique)@Mark Smith (Un guerrier des ombres)@Mark Boone Junior (Détective Flass)@Spencer Wilding (Un guerrier des ombres)@Nadia Cameron-Blakey (Une femme au restaurant)@Karen Shenaz David (Une journaliste au procès)@Roger Griffiths (Un policier d'Arkham)@John Kazek (Un gangster sur les docks)@Karl Sheils (Un gangster d'Arkham)@Timothy Deenihan (un invité au restaurant)@Patrick Nolan (Un policier sur les docks)@T.J. Ramini (Un gangster)@||Secrets de tournage :
De nombreux acteurs pressentis
Le film s'intéressant aux origines du héros, les producteurs ont d'abord pensé à des acteurs jeunes pour endosser le costume de Batman, deux jeunes acteurs de série : Joshua Jackson, Ashton Kutcher, mais aussi Jake Gyllenhaal, David Boreanaz, John Cusack, Guy Pearce. Deux inconnus (ou presque) ont pu aussi tenter leur chance : Eion Bailey (vu dans Fight club), Hugh Dancy (Le Roi Arthur). Plus étonnant encore : David Duchovny et Cillian Murphy auditionnèrent aussi. Ce dernier fut finalement retenu par Christopher Nolan pour jouer le Dr Jonathan Crane alias l'Epouvantail. Contacté en même temps que les autres, Christian Bale fut finalement retenu pour le rôle.
Duel Irlande / Grande Bretagne pour l'Epouvantail
L'acteur britannique Christopher Eccleston fut contacté pour le rôle de l'Epouvantail. Il a été coiffé au poteau par son confrère, Cillian Murphy, avec lequel il avait joué dans 28 jours plus tard de Danny Boyle. Ce film très remarqué par les producteurs hollywoodiens, avait lancé la carrière américaine de l'acteur irlandais. Il obtient là un rôle de méchant charismatique dans Batman begins, où il assumera les deux identités de son personnage : le Dr Jonathan Crane alias l'Epouvantail.
Bruce Wayne dans la Matrice
Dans le jeu de chaises musicales qui vit défiler les plus grands réalisateurs d'hollywood, le nom des frères Wachowski fut annoncé. Mais Andy Wachowski et Larry Wachowski refusèrent pour se lancer dans l'écriture et la réalisation de Matrix reloaded et Matrix revolutions.
Un hommage à Blade Runner
Avant de commencer le tournage, le réalisateur organisa une projection privée pour toute l'équipe du film, où il projeta Blade runner (1982). Après avoir visionné le film de Ridley Scott, il déclara aux personnes présentes : "C'est comme ça que nous allons faire notre Batman". C'est donc ce film culte qui inspira Christopher Nolan pour créer l'atmosphère sombre et futuriste de Batman begins.
Clint Eastwood dans le costume de Batman ?
Pendant l'élaboration du projet, les producteurs songèrent à donner une autre dimension au personnage de Batman, un Bruce Wayne plus âgé a donc été envisagé (avant de choisir l'option inverse). Ils proposèrent donc à Clint Eastwood de réaliser le film et d'endosser le costume de l'homme chauve-souris. L'acteur-réalisateur déclina cette offre.
Les réalisateurs nominés sont...
Presque dix ans séparent ce film du dernier opus de la série : Batman & Robin, qui fut un échec. Le scénario de Batman begins fut donc remanié plusieurs fois. Plus encore qu'un successeur à George Clooney, c'est surtout le réalisateur qui fut difficile à trouver. Plusieurs grands noms se virent proposé le projet, dont celui de Joel Schumacher qui finit par refuser. Les producteurs optèrent alors pour une vision plus sombre du film et contactèrent David Fincher, qui déclina l'offre également. Darren Aronofsky fut un temps envisagé et proposait de revenir au graphisme du comic book.
Mais en 2002, la production eut une nouvelle idée : Superman vs Batman, avec Wolfgang Petersen, mais ce dernier se lança dans l'adaptation dans le tournage de Troie pour la Warner. Finalement Christopher Nolan reprit le projet et le mena à son terme.
Une lutte acharnée entre filles
Le casting pour le rôle de Rachel Dawes fut presque aussi tendu que pour le rôle titre. Natalie Portman et Sarah Michelle Gellar furent sérieusement envisagées, et battu d'une courte tête par Katie Holmes, qui succède ainsi à Elle MacPherson dans le rôle de la petite amie de Bruce Wayne.
Un costume amélioré
Christopher Nolan a souhaité modifier considérablement le costume de son héros : "J'ai étudié les grands comics et romans graphiques qui ont jalonné l'histoire de Batman pour tenter d'en distiller l'essence. Chaque artiste a interprété ce "Batsuit" à sa façon, mais il existe aussi certaines constantes qui donnent la clé du personnage."
Il ajoute : "La cape de Batman me semblait avoir été quelque peu desservie dans les films antérieurs. Il existe de merveilleuses illustrations de Batman, dans des poses très typées, sa longue cape flottant au vent. C'est ce feeling que nous avons voulu retrouver à l'écran, en concevant une cape noire, aussi souple et aérienne que celles des grands romans graphiques."
Selon Lindy Hemming , la chef costumière, le réalisateur refusa l'aspect "armure" des précédentes versions, il voulait retrouver l'esprit romantique et sombre des comics. Elle précise : "Chris a insisté pour ce costume ne soit pas seulement un bel objet, mais qu'il soit fonctionnel. Ainsi les jambes devaient-elles être assez souples pour permettre des flexions aisées, et le cou permettre des rotations de la tête indépendamment du torse et des épaules ? geste impossible dans les précédentes versions."
Grâce à ces changements, les combats d'arts martiaux que livre Batman sont devenus crédibles à l'écran.
Gotham City à une heure de Londres
Gotham City, théâtre des aventures de Batman, est une ville imaginaire qui pourrait se situer n'importe où aux Etats-Unis selon ses créateurs. C'est pourtant à 10000 km de là que la ville fut reconstituée. La majeure partie des extérieurs de Gotham City furent en effet construits à Cardington, un ancien hangar situé à une heure de route de Londres, dont les dimensions gigantesques excédaient largement celles d'un studio classique (270 m de long et 60 de haut, contre 15 pour un plateau de tournage standard). L'équipe y disposait d'une surface au sol équivalente à 16 piscines olympiques.
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The Dark Knight|Christopher Nolan|Fantastique||3|américain|2008|150|Anglais||XviD|||XVID|511 Kbps|656x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Emma Thomas Charles Roven Christopher Nolan|Jonathan Nolan Christopher Nolan|Wally Pfister||Warner Bros.|Saga : Batman Bale / Nolan |Batman aborde une phase décisive de sa guerre au crime. Avec l'aide du lieutenant de police Jim Gordon et du procureur Harvey Dent, Batman entreprend de démanteler les dernières organisations criminelles qui infestent les rues de sa ville. L'association s'avère efficace, mais le trio se heurte bientôt à un nouveau génie du crime qui répand la terreur et le chaos dans Gotham : le Joker... |Christian Bale (Batman / Bruce Wayne)@Heath Ledger (Le Joker)@Aaron Eckhart (Harvey Dent / Double-Face)@Maggie Gyllenhaal (Rachel Dawes)@Michael Caine (Alfred)@Gary Oldman (Lt. James Gordon)@Morgan Freeman (Lucius Fox)@Monique Gabriela Curnen (Ramirez)@Ron Dean (Wuertz)@Cillian Murphy (L'Epouvantail)@Chin Han (Lau)@Eric Roberts (Salvatore Maroni)@Nestor Carbonell (le Maire de Gotham)@Ritchie Coster (Chechen)@Anthony Michael Hall (Engel)@Keith Szarabajka (Stephen)@Colin McFarlane (Loeb)@Joshua Harto (Reese)@Melinda McGraw (Barbara Gordon)@Nathan Gamble (James Gordon)@Michael Vieau (Al Rossi)@Michael Stoyanov (Dopey)@William Smiley (Happy)@Danny Goldring (Grumpy)@Michael Jai White (Gambol)@Matthew O'Neill (Chuckles)@William Fichtner (le directeur de la banque)@Olumiji Olawumi (le dealer)@Gregory Beam (le client)@Erik Hellman (le drogué)@Beatrice Rosen (Natascha)@Vincenzo Nicoli (Un parrain)@Edison Chen (le Vice-président Wde LSI)@Nydia Rodriguez Terracina (La juge Surillo)@Andy Luther (Brian)@Will Zahrn (l'assistant du procureur)@James Fierro (le gros bras à la réception)@Patrick Leahy (l'homme du monde)@Sam Derence (un invité)@Jennifer Knox (une invitée)@Patrick Clear (le juge Freel)@Sarah Jayne Dunn (la maîtresse de Maroni)@Chucky Venice (un garde du corps de Gambol)@Winston Ellis (un garde du corps de Gambol)@David Dastmalchian (l'homme de main du Joker)@Sophia Hinshelwood (la reporter)@Keith Kupferer (le trublion)@Joseph Luis Caballero (le flic)@Richard Dillane (le préfet)@Daryl Satcher (le policier à l'intersection)@Chris Petschler (le chef du convoi)@Aidan Feore (Gros lard)@Philip Bulcock (Murphy)@Paul Birchard (le flic avec Gros Lard)@Walter Lewis (l'ambulancier)@Vincent Riotta (le flic au 250 de la 52e rue)@Nancy Crane (l'infirmière)@K. Todd Freeman (Polk)@Matt Shallenberger (Berg)@Michael Andrew Gorman (un flic à l'hôpital)@Lanny Lutz (le barman)@Peter Defaria (un civil)@Matt Rippy (le second)@Andrew Bicknell (le pilote de la prison flottante)@Ariyon Bakare (le commandant de la garde)@Doug Ballard (un businessman)@Helene Wilson (la mère)@Tommy Campbell (Un passager)@Craig Heaney (Un passager)@Lorna Gayle (Un passager)@Lisa McAllister (Une passagère)@Peter Brooke (Un passager)@Joshua Rollins (Le tireur d'élite de l'Antigang)@Dale Rivera (Le chef de l'Antigang)@Matthew Leitch (Un prisonnier)@Tommy Tony Lister (Le prisonnier tatoué)@Thomas Gaitsch (Le 3ème reporter)@William Armstrong (Evans)@Adam Kalesperis (Un membre de la garde d'honneur)@Tristan Tait (Le flic en tenue)@Bronson Webb (Un chasseur de primes)@David Ajala (Un chasseur de primes)@Gertrude Kyles (la secrétaire de Fox)@Jonathan Ryland (Le pilote du bac)@James Scales (Un garde)@Nigel Carrington (Le directeur de la prison)@Ian Pirie (Un gardien)@Lateef Lovejoy (Un prisonnier)@Grahame Edwardes (Un prisonnier)@Roger Monk (Un prisonnier)@Ronan Summers (Un prisonnier)@Wai Wong (Un lieutenant de la police de Hongkong)@Michael Corey Foster (le chef de la garde d'honneur)@Hannah Gunn (La fille de Gordon)@Brandon Lambdin (La sentinelle du fourgon blindé)@Peter Rnic (Un prisonnier (non crédité))@Dean Mitchell (Un pompier (non crédité))@Jazz Dhiman (Un prisonnier (non crédité))@Tom Townsend (Un policier de Gotham City (non crédité))@Stephen Modell (Un prisonnier (non crédité))@John Warman (Un détective de Gotham City (non crédité))@Mike Whyte (Un policier de Gotham City (non crédité))@Ramses Jimenez (Un garde national (non crédité))@Emily Margaret Heitzer (Une étudiante (non crédité))@John Snowden (Un détective (non crédité))@James Farruggio (Un homme)@Erron J. Shaw (Un prisonnier (non crédité))@Henry Sandifer (Un otage à la banque (non crédité))@John Turk (Le garde du corps de Chechen (non crédité))@Matthew W. Allen (Un civil (non crédité))@Debbi Burns (Patron de la banque (non crédité))@David Lesley (Un détective (non crédité))@Bruce Allen Dawson (Un prisonnier du ferry (non crédité))@Jon Lee Brody (Un serveur (non crédité))@Darren Elliot Fulsher (Un policier (non crédité))@Jordon Hodges (Un policier de Gotham City (non crédité))@Bob Kaliebe (Un officier de police (non crédité))@Jan Seybold (Le secrétaire de Harvey Dent (non crédité))@Sofiya Smirnova (Une évacuée (non crédité))@Tim Glanfield (Un otage (non crédité))@Thomas Kosik (Un officier de police à la parade (non crédité))@Richard Strobel (Un détective (non crédité))@Tom McElroy (Un homme)@Rory Plante (Un patient évacué de l'hospital (non crédité))@Stephen Armourae (Un prisonnier du ferry (non crédité))@Vivek Shah (Un otage à la banque (non crédité))@||Secrets de tournage :
Interdiction de sortie
The Dark Knight s'est vu interdire de projection en Chine, pour causes - officiellement - de divergences culturelles, selon la Warner. Mais certaines rumeurs murmurent que les autorités ont été choquées par certaines scènes se déroulant à Hong Kong. La censure chinoise a donc fait opposition à la sortie nationale du nouveau film de Christopher Nolan.
Les records du chevalier noir
Précédé d'une campagne marketing particulièrement intense, The Dark Knight, Le Chevalier Noir a connu une sortie spectaculaire aux Etats-Unis puisque le film pouvait être vu dans près de 4 360 cinéma, un record ! Plusieurs séances à 6h du matin ont même été ajoutées aux programmes afin de satisfaire les demandes des spectateurs dont certains avaient réservé leur billet plusieurs jours à l'avance.
Fort de cet impressionnant dispositif, le film a récolté plus de 155 millions de dollars lors de son premier week-end d'exploitation aux Etats-Unis, battant au passage le record de Spider-Man 3. Sur sa lancée, il a même été le premier film à atteindre les 200 millions de dollars de recettes en cinq jours sur le territoire américain (rentabilisant au passage son budget) ! Le précédent record était de... 8 jours
Une nouvelle franchise s'installe
The Dark Knight est la suite de Batman Begins, déjà réalisé par Christopher Nolan. Si Christian Bale, Michael Caine et Gary Oldman sont toujours de la partie, Katie Holmes a dû toutefois laisser sa place à Maggie Gyllenhaal dans le rôle de Rachel Dawes. Officiellement, la jeune actrice n'était pas disponible pour le tournage.
Couleur de circonstances
Le tournage du film a, une première fois, été endeuillé en septembre 2007 par le décès d'un cascadeur (Conway Wickliffe) lors d'une répétition à bord d'un véhicule 4x4. Mais c'est en janvier 2008 que le choc fut le plus rude lorsque le monde appris la nouvelle du décès de Heath Ledger qui interprète le Joker. Le comédien ayant déjà tourné l'intégralité de ces scènes, le tournage ne fut toutefois pas remis en cause. Le film leur est dédié.
Un Oscar posthume ?
Dès les premières projections de The Dark Knight, une rumeur comme quoi l'interprétation du Joker d'Heath Ledger pourrait être récompensée par un Oscar, envahit la presse. Avant lui, seuls les acteurs James Dean, Spencer Tracy et Peter Finch furent nommés aux Oscars après leur décès (Peter Finch fut toutefois le seul à obtenir la récompense)
Le retour du Joker et de Double-Face
L'inquiétant personnage du Joker avait déjà été interprété une première fois par Jack Nicholson dans Batman, réalisé en 1989 par Tim Burton. Quant à Harvey "Double-Face" Dent, c'est Tommy Lee Jones qui lui prêta une première fois ses traits dans Batman Forever dirigé par Joel Schumacher.
La valse des prétendants.
Matt Damon, Hugh Jackman, Ryan Phillippe furent un temps pressentis pour incarner Harvey Dent avant qu'Aaron Eckhart n'obtienne le rôle. Pour le rôle du Joker, des acteurs aussi prestigieux qu'Adrien Brody, Sean Penn et Robin Williams avaient également émis le souhait d'incarner le célèbre psychopathe.
L'incarnation du chaos et de l'anarchie
Christopher Nolan nous dévoile son approche du Joker : "Le Joker est LE méchant suprême. Il est une icône au même titre que le Chevalier Noir (...) Fidèle au ton que nous avions établi dans Batman Begins, nous avons décidé que ce Joker serait, en dépit de son surnom, un homme plutôt sérieux. Nous sommes partis de l'idée qu'il incarnait l'anarchie et le chaos à l'état pur, qu'il n'avait d'autre but que de détruire pour le seul plaisir de détruire, et qu'il était par là même totalement insaisissable... et passablement terrifiant." Pour se préparer à ce rôle difficile, Heath Ledger a passé plusieurs semaines, seul dans une chambre d'hôtel, à tenir un journal où il ressassait toutes les idées sombres que pouvait avoir le Joker tout en travaillant la posture et l'attitude du personnage.
Cocorico
L'étrange moto que conduit Batman, le Bat-Pod, est conduite par un cascadeur français : Jean-Pierre Guy. Le véhicule est, quant à lui, équipé des mêmes pneus que ceux de la Batmobile et embarque, sur chaque flanc, un canon de 40 mm, des mitraillettes de 50 et des lanceurs de grappins.
Une voiture bien plus civilisée...
La Lamborghini que conduit Bruce Wayne dans les rues de Gotham est une Lamborghini Murciélago. Le choix de ce modèle n'est pas innocent puisque murciélago signifie "Chauve souris" en espagnol.
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Les contributeursCe film a reçu 5 contributions, pour les secrets de tournage, de: amlban
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Un nouveau Batsuit
Dans Batman Begins, le costume de Batman n'était composé que de trois pièces. Dans The Dark Knight, le nouveau Batsuit est un assemblage de 110 pièces en polyuréthane flexible sur un maillage de polyester respirant. Il a également été conçu de telle manière à ce que Christian Bale puisse tourner la tête sans problème, ce qui lui était impossible dans le premier film.
Le Joker sous toutes les coutures
La costumière Lindy Hemming révèle quelques secrets de fabrication du costume du Joker : "Lorsque j'ai su qu'il serait joué par Heath Ledger, j'ai opté pour un style plus jeune, plus mode que dans ses précédentes incarnations. J'ai cherché aussi bien du côté de Vivienne Westwood que de Johnny Rotten, d'Iggy Pop, de Pete Doherty et d'Alexander McQueen. L'ensemble, très éclectique, dénote un côté dandy avec une touche de grunge. Les couleurs vont du pourpre au vert. Les souliers, de fabrication milanaise, ont le bout légèrement relevé, comme les chaussures de clown. La cravate est d'une étoffe tissée par mes indications par "Turnbull & Asser", fournisseurs de la famille royale."
Keysi Fighting Method ?
L'art martial que Batman pratique est le Keysi Fighting Method. "C'est une technique fascinante qui se fonde sur l'instinct animal, explique Christian Bale. Alors que certains arts martiaux exigent une attitude quasi zen, la KFM tire profit de la montée d'adrénaline que nous ressentons dans une situation violente. Elle part littéralement des tripes."
Les Poids lourds de la cascade
L'une des cascades les plus marquantes du film est celle où un camion effectue un tonneau vertical dans un des avenues de Gotham. Aussi incroyable que cela puisse paraître, la scène a été tournée dans Chicago même avec un véritable camion. Il a toutefois fallu six semaines de calculs, une répétition dans un terrain vague, et l'assurance que la cascade n'allait pas endommager les infrastructures de la ville avant de pouvoir tourner en toute sécurité.
Bat-tourisme
Dans The Dark Knight, Batman se rend à Hong Kong. C'est la première fois de son histoire que l'homme chauve souris quitte Gotham City. Une des scènes a d'ailleurs été tourné dans l'immeuble IFC2 Building qui est le plus haut de la ville.
Tour du monde
Le tournage s'est déroulé à Chicago (dont la ville de Gotham est inspirée), à Hong Kong et dans les impressionnants studios de Cardington situés au Nord de Londres.
L'expérience IMAX
Six scènes du film ont été tournées avec des Caméra IMAX. C'est la première fois que des scènes d'un long-métrage de fiction sont tournées directement sous ce format.
Référence à "Heat"
Le réalisateur n'a jamais caché que le film Heat était une de ses influences majeures pour le tournage de The Dark Knight, notamment pour l'attaque de la banque. On retrouve par ailleurs dans cette scène l'acteur William Fichtner qui était déjà au casting du film de Michael Mann.
Le procès du Joker ?
Dès Batman Begins, Christopher Nolan avait imaginé les nouvelles aventures du super-héros comme une nouvelle trilogie. Le troisième volet devait alors mettre en scène le procès du Joker. Mais la disparition d'Heath Ledger pourrait vraisemblablement remettre en cause cette idée originelle et diriger un éventuel troisième film dans une autre direction.
Une preuve de créativité
Le maquillage très particulier du Joker est dû a une idée de Heath Ledger en personne qui a designé lui même le visage de son personnage, design qu'il a ensuite fait approuver par les maquilleurs du film.
« Préc.
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Battle Royale|Kinji Fukasaku|Action|Interdit aux moins de 16 ans|3|japonais|2001|108|Japonais||DX50|||DX50|828 Kbps|720x416|WMA2|64.1 Kbps|False|44.1 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Akio Kamatani Tetsu Kayama Masumi Okada Masao Sato|Kenta Fukasaku|Katsumi Yanagishima|||Saga : Battle Royale |Dans un avenir proche, les élèves de la classe B de 3ème du collège Shiroiwa ont été amenés sur une île déserte par une armée mystérieuse. Un adulte surgit tout à coup devant eux : leur ancien professeur Kitano. Il leur annonce qu'ils vont participer à un jeu de massacre dont la règle consiste à s'entretuer. Seul le dernier des survivants pourra regagner son foyer. Kitano leur présente deux nouveaux élèves très inquiétants. Des coups de feu retentissent pour convaincre les incrédules. Selon la loi de réforme de l'éducation pour le nouveau siècle, ce sacrifice permettra de former des adultes sains. Abandonnés chacun à son sort avec de la nourriture et une arme, les adolescents disposent d'un délai de trois jours pour s'entretuer. |Takeshi Kitano (Le professeur Kitano)@Tatsuya Fujiwara (Shuya)@Aki Maeda (Noriko)@Taro Yamamoto (Kawada)@Masanobu Ando (Kiriyama)@Kô Shibasaki (Mitsuko)@Chiaki Kuriyama (Chigusa)@Sousuke Takaoka (Hiroki Sugimura)@Ai Iwamura (La gagnante du précédent Battle Royal)@Michiko Yamamura (Le reporter)@Takashi Taniguchi (Le père de Nanahara)@Kanako Fukaura (La conductrice du bus)@Yûko Miyamura (La présentatrice de la vidéo d'entraînement )@Takashi Tsukamoto (Shinji Mimura)@Yukihiro Kotani (Yoshitoki Kuninobu)@Eri Ishikawa (Yukie Utsumi)@Sayaka Kamiya (Satomi Noda)@Hiroaki Inoue (Fumiyo Fujiyoshi)@Takayo Mimura (Kayoko Kotohiki)@Yutaka Shimada (Yutaka Seto)@Ren Matsuzawa (Keita Iijima)@Hirohito Honda (Kazushi Niida)@Ryou Nitta (Kyouichi Motobuchi)@Sayaka Ikeda (Megumi Etou)@Anna Nagata (Hirono Shimizu)@Yukari Kanasawa (Yukiko Kitano)@Misao Kato (Yumiko Kusaka)@Hitomi Hyuga (Yuko Sakaki)@Satomi Ishii (Haruka Tanizawa)@Asami Kanai (Chisato Matsui)@Satomi Hanamura (Yuka Nakagawa)@Yousuke Shibata (Mitsuru Numai)@Shirou Gou (Ryuhei Sasagawa)@Yuuki Masuda (Hiroshi Kuronaga)@Shigeki Hirokawa (Shou Tsukioka)@Tamaki Mihara (Izumi Kanai)@Tomomi Shimaki (Sakura Ogawa)@Yasuomi Sano (Kazuhiko Yamamoto)@Shin Kusaka (Yoshio Akamatsu)@Gouki Nishimura (Tatsumichi Ohki)@Shigehiro Yamaguchi (Toshimori Oda )@Osamu Ohnishi (Youji Kuramoto)@Satoshi Yokomichi (Tadakatsu Hatagami)@Junichi Naitou (Yuichiro Takiguchi)@Tsuyako Kinoshita (Mizuho Inada)@Mai Sekiguchi (Kaori Minami)@Takako Baba (Yoshimi Yahagi)@Haruka Nomiyama (Mayumi Tendou)@Ai Maeda (Shiori)@Minami (Keiko)@Gou Ryugawa (Lieutenant Anjo)@Ken Nakaide (Mr. Hayashida)@||Secrets de tournage :
Tournage isolé
Les prises de vue de Battle royale se sont déroulées sur la petite île déserte de Hachijo-ko-jima. Les techniciens arrivaient chaque jour en bateau d'une île voisine alors que les acteurs débarquaient avec le matériel en hélicoptère, sur un héliport spécialement construit pour l'occasion. Hachijo-ko-jima n'étant pourvu ni d'eau ni d'électricité, la régie devait quotidiennement acheminer des réservoirs d'eau et des générateurs électriques afin d'assurer le tournage.
Kitano peintre
Elément important et mystérieux de la fin du film, le tableau naïf dévoilé par le professeur Kitano est peint par Takeshi Kitano lui-même. Le style enfantin du dessin est voulu par l'acteur réalisateur qui a cherché à peindre avec l'état d'esprit d'un enfant de 10 ans. Les spectateurs de Hana-Bi avait déjà pu apprécier le travail de peintre de Kitano puisque le cinéaste avait signé les toiles que l'un des policiers exécute dans le film.
Une semaine pour une musique
Partition sombre et martiale, la bande originale de Battle royale composée par Masamichi Amano a été écrite en un temps record. Moins d'une semaine a en effet séparé la fin du montage final (nécessaire pour écrire des mélodies accompagnant le film) et l'enregistrement de la musique à Varsovie. Une semaine de nuits blanches pour 90 minutes d'accompagnement orchestral de 120 instruments, qui obligea Masamichi Amano à continuer d'écrire ses partitions pendant les pauses des enregistrements définitifs.
Fukasaku et Violent Cop
Pour incarner l'ambigu professeur Kitano, Kinji Fukasaku ne pouvait imaginer personne d'autre que Takeshi Kitano. Cette réunion de deux monstres sacrés du cinéma japonais prend des airs de retrouvailles puisque les deux hommes s'étaient déjà croisés en 1989 lors de la post-production de Violent Cop, le premier film de Kitano derrière la caméra, dont le réalisateur initialement retenu n'était autre que Kinji Fukasaku.
8000 candidats au massacre
Quarante élèves composent la classe B de 3e année du collège Shiroiwa, désignée au hasard pour participer à Battle Royale. Quarante participants auxquels s'ajoutent les deux mystérieux étrangers que les adolescents découvrent à leur arrivée sur l'île du jeu. Soit quarante-deux comédiens, dont le casting a donné lieu à plus de 8000 candidatures. Débuté en octobre 1999, celui-ci ne fut bouclé que six mois plus tard.
Version allégée
A sa sortie au Japon en décembre 2000, Battle royale a été interdit au moins de 15 ans en raison de la violence graphique de certaines scènes. Désireux de montrer son film à une majorité d'adolescents, Kinji Fukasaku a lui-même assuré les coupes des moments les plus durs de son film et décidé de baisser le son des scènes de tueries. Cette "édition spéciale" de Battle Royale comporte au final huit minutes de moins que son original, pour atteindre 113 minutes. C'est cette version allégée qui a été distribuée en France à partir du 21 novembre 2001
Un conflit de génération
Le film, qui traite indirectement du rapport entre la jeunesse et la génération précédente, a été l'occasion de querelles entre le réalisateur Kinji Fukasaku et son propre fils, Kenta Fukasaku. Celui-ci, qui fut scénariste et proche collaborateur de son père sur ce projet, décrit ce conflit de génération : "Nous ne nous étions jamais disputés auparavant [...]. Mais sur ce film, nous nous sommes vraiment affrontés comme chien et chat."
Un réalisateur provoquant
Le réalisateur explique que son intention n'était pas seulement, comme une première approche pourrait le laisser penser, de divertir ou choquer (selon le public) par une violence gratuite, mais bien de réveiller une jeunesse japonaise jugée apathique : ?Au Japon, la véritable crise réside dans la perte d'énergie. Ce film constitue une tentative pour faire ressurgir l'énergie japonaise?, explique-t-il.
A la question ?Pourquoi n'y a-t-il aucune scène de sexe ou de nudité dans votre film ??, il répond pourtant malicieusement : ?J'aime beaucoup le sexe et la nudité, mais j'aime encore plus la violence !?
Adapté d'un roman
Le film est librement adapté du roman homonyme de Koshun Takami, best-seller au Japon.
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Batoru rowaiaru II : Rekuiemu|Kinji Fukasaku Kenta Fukasaku|Action||1|japonais|2002|131|Japonais||DX50|||DX50|640 Kbps|640x352|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|703||||25.000|08/08/2009 00:00:00||Kenta Fukasaku||||Saga : Battle Royale |L'histoire se déroule un an après le premier film. On y suit les deux survivants rentrer chez eux et tenter d'alerter l'opinion publique sur ce qui s'est passé sur l'île. Leurs déclarations provoquent un chaos sur tout le pays, violemment réprimé par le pouvoir militaire. Ce dernier décide alors de faire participer les deux opposants à la deuxième session de Battle Royale en compagnie d'une classe beaucoup moins tendre que la précédente. |Tatsuya Fujiwara (Shuya)@Aki Maeda (Noriko)@Shugo Oshinari (Takuma)@Ayana Sakai (Nao)@Takeshi Kitano (professeur Kitano)@Ai Iwamura (Mai)@Hiroaki Ito (Un soldat)@Kenji Ohba (Le camarade de Mimura)@Mikiya Sanada (Un soldat ATAT)@Haruka Suenaga (Haruka Kuze)@Yuma Ishigaki (Mitsugu Sakai)@Miyuki Kanbe (Kyoko Kakei)@Masaya Kikawada (Shintaro Makimura)@Yoko Maki (Maki Souda)@Masayuki Ito (Ryo Kurosawa)@Natsuki Kato (Saki Sakurai)@Riki Takeuchi (Riki Takeuchi)@Aja (Kazumi Fukuda)@Munetaka Aoki (Jun Nanami)@Riasu Arama (Rena Niimi)@Sonny Chiba (Makio Mimura)@Seiichi Ebina (Tatsuro Morishima)@Ryoji Fujihira (Masami Shibaki)@Maki Hamada (Chizuru )@Ayumi Hanada (Ryoko Hata)@Kenji Harada (Naoki Jo)@Hitomi Hasebe (Asuka Motomura)@Takaaki Ikeyama (Yasuaki Hosaka)@Asuka Ishii (Maho Nosaka)@Kotaru Kamijou (Kenji Maezono)@Minami Kanazawa (Yuko Natsukawa)@Ryo Katsuji (Haruya Sakurai)@Asami Katsura (Risa Shindo)@Mika Kikuchi (Ayane Yagi)@Musashi Kubota (Wataru Mukai)@Miku Kuga (Kengo Yonai)@Maika Matsumoto (Shiho Matsuki)@Michiho Matsumoto (Sanae Shioda)@Chisato Miyao (Hibiki Yano)@Akane Mizuno (Sayaka)@Yuuko Morimoto (Kana Yûki)@Aiko Moriuchi (Miki Ikeda)@Mitsuru Murata (Soji Kazama)@Ami Nakagawa (Honami Totsuka)@Kayo Nayuki (Eri Yoshiyama)@Yûya Nishikawa (Nishi)@Nanami Oota (Hitoe Takeuchi)@Yuka Ozawa (Shinobu)@Gou Ryugawa (Lieutenant Anjo)@Rika Sakagushi (Yuka Mifune)@Makoto Sakamoto (Osamu Kasai)@Shoko Sato (Nozomi Sagisawa)@Takeru Shibaki (Shugo Urabe)@Sae Shimizu (Ai Yazawa)@||||||||||||@@
Beethoven|Brian Levant Gloria Gresham|Comédie|Film pour enfants|3|américain|1992|83|Anglais||DX50|||DX50|1 018 Kbps|720x384|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|690||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Joe Medjuck Michael Gross|John Hughes Amy Holden Jones|Victor J. Kemper||United International Pictures (UIP)|Saga : Beethoven |La famille Newton a tout pour être heureuse ... Pourtant, elle sent qu'il lui manque quelque chose. Ce manque va être comblé par un chiot, tout juste échappé des griffes de ravisseurs de chiens. Les Newton baptisent le chiot Beethoven et celui-ci grossit, grossit ... au point d'atteindre 85 kilos ! Pendant ce temps, le docteur Varnick, un terrible vétérinaire, met au point en secret des produits qui nécessitent des expériences sur les chiens. Et l'adorable Saint Bernard figure sur la liste du vétérinaire ... |Charles Grodin (George Newton )@Bonnie Hunt (Alice Newton )@Oliver Platt (Harvey)@Dean Jones (Herman Varnick)@Stanley Tucci (Vernon )@Nicholle Tom (Ryce Newton )@Christopher Castile (Ted Newton )@Sarah Rose Karr (Emily Newton )@David Duchovny (Brad )@Patricia Heaton (Brie)@Robi Davidson (Mark)@Laurel Cronin (Devonia Pest)@O-Lan Jones (La femme à vélo)@Nancy Fish (Mlle Grundel)@Patrick LaBrecque@Jacob Kenner@Matthew Brooks@Melora Walters@Joseph Gordon-Levitt@||||||||||||@@
Beethoven 2|Rod Daniel|Comédie||2|américain|1993|84|Anglais||DX50|||DX50|870 Kbps|720x384|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|695||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Joe Medjuck Michael Gross|John Hughes Amy Holden Jones Len Blum|Bill Butler||United International Pictures (UIP)|Saga : Beethoven |Beethoveen, saint-bernard heureux chez les Newton, tombe amoureux de Missy. Ils sont rapidement séparés par la méchante maîtresse de la chienne. Celle-ci veut en effet utiliser Missy comme outil de négociation dans son divroce. Son avidité est attisée lorsque la chienne met au monde quatre adorables chiots. Mais les enfants Newton ne l'entendent pas de cette oreille et vont tout faire pour sauver les chiens ... |Charles Grodin (George Newton)@Bonnie Hunt (Alice Newton)@Nicholle Tom (Ryce Newton)@Christopher Castile (Ted "Shorty" Newton)@Sarah Rose Karr (Emily Newton)@Debi Mazar (Regina)@Chris Penn (Floyd)@Ashley Hamilton (Taylor Devereaux)@Danny Masterson (Seth)@Catherine Reitman (Janie)@Maury Chaykin (Cliff Klamath)@Heather McComb (Michelle)@Jeff Corey (Janitor)@Scott Waara (Le banquier)@Virginia Capers (Linda Anderson)@Devon Gummersall@Randall Slavin@||||||||||||@@
Beetoven's 3rd|David M. Evans|Comédie||1|américain|2000|94|Anglais||DIVX|||DIVX|991 Kbps|640x368|MPEG-2 Audio layer 3|64.0 Kbps|False|22.05 KHz|2|713||||25.000|08/08/2009 00:00:00|David Bixler Kelli Konop|Jeff Schechter|John B. Aronson|||Saga : Beethoven |L'imposant mais si sympathique chien Beethoven accompagne la famille Newton en vacances. Comme à son habitude, le compagnon à quatre pattes provoque une succession de catastrophes aussi rocambolesques que drôles... |Judge Reinhold (Richard Newton)@Julia Sweeney (Beth Newton)@Joe Pichler (Brennan Newton)@Michaela Gallo (Sara Newton)@Mike Ciccolini (Tommy)@||||||||||||@@
Beethoven's 4th|David M. Evans|Comédie||1|américain|2001|93|Anglais||DIVX|||DIVX|871 Kbps|640x360|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|674||||23.976|08/08/2009 00:00:00|Kelli Konop|John Loy||||Saga : Beethoven |La famille Newton est de plus en plus agacée par le manque de discipline de Beethoven. Les enfants décident alors de l'inscrire secrètement dans un centre de dressage. Lors d'une promenade au parc, Beethoven s'échappe et se retrouve confondu avec Michelangelo, un chien parfaitement dressé qui lui ressemble énormément... |Judge Reinhold (Richard Newton)@Julia Sweeney (Beth Newton)@Joe Pichler (Brennan Newton)@Michaela Gallo (Sara Newton)@||||||||||||@@
Beethoven's 5th|Mark Griffiths|Comédie||1|américain|2003|90|||DX50|||DX50|932 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|133 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|08/08/2009 00:00:00|Mike Elliott|John Hughes Amy Holden Jones Cliff Ruby Elana Lesser||||Saga : Beethoven |Beethoven part en vacances, avec Sara et son oncle Freddie, dans un ancien village de mineurs. Toujours aussi malicieux, Beethoven va déterrer un ancien billet de 10 dollars... Aussi, quand les villageois découvrent que ce billet est l'ultime indice pour retrouver une véritable fortune cachée, ils veulent tous devenir le meilleur ami de Beethoven... |Dave Thomas (Freddy Kablinski)@Faith Ford (Julie Dempsey)@Daveigh Chase (Sara Newton)@Tom Poston (John Giles / Selig)@Katherine Helmond (Cora Wilkens)@Sammy Kahn (Garrett)@Richard Riehle (Vaughn Carter)@Clint Howard (Owen Tuttle)@Kathy Griffin (Evie Kling)@John Larroquette (Le maire Harold Herman)@Rodman Flender (Moe Seilg)@Tina Illman (Rita Seilg)@Tom Musgrave (Jim)@Rick Dean (Stu)@||||||||||||@@
Beetlejuice|Tim Burton|Fantastique||3|américain|1988|88|Anglais||XviD|||XVID|950 Kbps|608x336|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|688||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Michael Bender Richard Hashimoto Larry Wilson|Michael McDowell Warren Skaaren Larry Wilson Tim Burton|Thomas E. Ackerman||Mission||Pour avoir voulu sauver un chien, Adam et Barbara Maitland passent tout de go dans l'autre monde. Peu après, occupants invisibles de leur antique demeure ils la voient envahie par une riche et bruyante famille new-yorkaise. Rien à redire jusqu'au jour où cette honorable famille entreprend de donner un cachet plus urbain à la vieille demeure. Adam et Barbara, scandalisés, décident de déloger les intrus. Mais leurs classiques fantômes et autres sortilèges ne font aucun effet. C'est alors qu'ils font appel à un "bio-exorciste" freelance connu sous le sobriquet de Beetlejuice. |Alec Baldwin (Adam Maitland)@Geena Davis (Barbara Maitland)@Winona Ryder (Lydia Deitz)@Michael Keaton (Beetlejuice)@Sylvia Sidney (Juno)@Jeffrey Jones (Charles Deitz)@Catherine O'Hara (Delia Deitz)@Annie McEnroe (Jane Butterfield)@Glenn Shadix (Otho)@Maurice Page (Ernie)@Robert Goulet@Dick Cavett@Dick Cavett (Bernard)@Maree Cheatham (Sarah Dean )@Susan Kellermann (Grace)@Patrice Martinez (La récéptionniste)@Robert Goulet (Maxie Dean)@Tony Cox (Le prêtre)@Hugo Stanger (Le vieux Bill)@Adelle Lutz (Beryl)@||||||||||||@@
National Treasure|Jon Turteltaub|Aventure||3|américain|2004|131|Anglais||XviD|||XVID|642 Kbps|624x256|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|700||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Jon Turteltaub Jerry Bruckheimer Christina Steinberg|Ted Elliott E. Max Frye Lowell Ganz Jim Kouf Babaloo Mandel Terry Rossio Jon Turteltaub Cormac Wibberley Marianne Wibberley|Caleb Deschanel||Buena Vista International|Saga : Benjamin Gates |Perdu depuis plus de 200 ans, le trésor des Chevaliers du Templier fait partie de ces mythiques légendes. Ben Gates, archéologue et aventurier, se lance à la recherche de ce trésor qui a hanté les pensées de sa famille et de ses descendants depuis des générations. Mais il n'est pas le seul intéressé.Gates et son meilleur ami Riley Poole, expert en informatique, partent en exploration sur le continent Arctique et découvrent que le premier indice menant au trésor est caché dans le document le mieux gardé au monde, la Déclaration d'Indépendance.Dans une course contre le temps, ils doivent voler le document si précieux, décoder la carte cachée, semer le FBI, et éviter d'être tués par Ian Howe, un riche aventurier anglais. Et ce n'est que la première étape de cette chasse au trésor. |Nicolas Cage (Benjamin Gates)@Justin Bartha (Riley Poole)@Diane Kruger (Dr. Abigail Chase)@Sean Bean (Ian Howe)@Harvey Keitel (l'agent Sadusky)@Jon Voight (Patrick Henry Gates)@Christopher Plummer (John Adams Gates)@David Dayan Fisher (Shaw)@Stewart Finlay-McLennan (Powell)@Oleg Taktarov (Shippen)@Stephen Pope (Phil)@Annie Parisse (Agent Dawes)@Mark Pellegrino (Agent Johnson)@Armando Riesco (Agent Hendricks)@Erik King (Agent Colfax)@Don McManus (Dr. Stan Herbert)@Ron Canada (Le garde)@Hunter Gomez (Benjamin Gates jeune)@Deborah Yates (Rebecca)@Arabella Field (Secrétaire d'Abigail )@Sharon Wilkins (La charcutière)@Alexandra Balahoutis (La vendeuse de vêtements)@Dior Raye (Le vendeur de bijoux)@||Secrets de tournage :
Cage / Bruckheimer: quatrième !
Nicolas Cage retrouve pour la quatrième fois le producteur Jerry Bruckheimer. L'acteur avait interprété l'agent Stanley Goodspeed dans Rock; le détenu rebelle Cameron Poe embarqué dans Les Ailes de l'enfer, et un braqueur de voitures de luxe dans 60 secondes chrono, tous trois produit par Bruckheimer.
Troisième production hollywoodienne pour Diane Kruger
En jouant dans Benjamin Gates et le trésor des Templiers, l'actrice allemande Diane Kruger continue sa percée hollywoodienne, entamée avec Troie et Wicker Park.
Genèse d'un projet
L'idée originale du film est due à Oren Aviv, par ailleurs président de Buena Vista Pictures Marketing, ainsi qu'à son associé, Charles Segars. Ils ont imaginé le concept d'un homme forcé de voler la Déclaration d'Indépendance parce qu'elle serait en danger, et qu'elle recèlerait une carte menant à un trésor secret. Oren Aviv explique: "Nous nous sommes dit que ce serait le hold-up le plus osé jamais tenté, et qu'il pourrait être le fondement d'un film d'action et d'aventure original".
Entre fiction et vérité historique
Trésor des Templiers, symboles maçonniques du billet de un dollar américain, codes secrets utilisés par les Pères Fondateurs de l'Amérique...le film conjugue vérités historiques et faits imaginaires. Le producteur du film, Jerry Bruckheimer, explique son choix: "Pour moi, une aventure de fiction est encore plus savoureuse si elle comporte certains ingrédients véridiques. Pour notre chasse au trésor, nous nous sommes appuyés sur des éléments historiques. Nous avons pris des choses simples, comme le billet de un dollar, que l'on voit chaque jour mais qu'on ne regarde jamais vraiment". Jon Turtletaub, le réalisateur du film, ajoute: "même si notre histoire est imaginaire, elle incorpore constamment des éléments emprunts à la réalité. Les indices sont piochés dans de vraies lettres historiques (...); les inventions sont basées sur des idées réelles et des choses qui ont vraiment existé."
Chasseurs de trésors
Soucieuse d'un certain réalisme, la production a fait appel à des chasseurs de trésor afin de "mieux comprendre leur état d'esprit". Parmi eux, des cryptographes et des casseurs de codes, qui ont élaboré les énigmes que doit résoudre Benjamin Gates. Par ailleurs, des experts en stratégie criminelle ont contribué à élaborer un plan réaliste pour voler la Déclaration d'Indépendance des Etats-Unis.
Un tournage sévèrement encadré
Les mesures de sécurité sont devenues draconiennes aux Etats-Unis depuis les attentats du 11 septembre 2001. L'équipe du film, qui souhaitait tourner au coeur même des hauts lieux de l'histoire américaine -tels le Capitol et le Lincoln Memorial à Washington, la Bibliothèque du Congrès, l'Independance Hall à Philadelphie- a été obligée de négocier des autorisations de tournages dans ces lieux surprotégés.
Une réplique des Archives Nationales
Devant l'impossibilité de tourner au sein de la Bibliothèque des Archives Nationales, notamment en raison de travaux de réfection, la production a décidé de faire construire des décors d'envergure "directement calqués sur les lieux réels". Le réalisateur Jon Turtletaub explique ce choix: "je voulais tourner dans le plus de lieux authentiques possible, mais certains étaient tout simplement inadaptés pour accueillir une grosse production. La dernière chose que nous voulions était de risquer d'abîmer les endroits que nous essayons de préserver dans le film".
Société secrète
L'intrigue s'appuie aussi sur les société secrètes, comme la Franc-Maçonnerie. Les scénaristes du film, Cormac Wibberley et Marianne Wibberley précisent: "A l'époque, la majorité de l'élite du pays appartenait à des sociétés secrètes. C'était le dernier chic ! Certains leaders américains étaient francs-maçons issus du rite écossais. On écrivait les courriers en code, on utilisait des encres invisibles...Des symboles maçonniques étaient gravés sur les bâtiments et on cachait souvent des "trésors" dans des endroits camouflés pour en assurer la sécurité".
Un adversaire retors
C'est Sean Bean qui campe Ian Howe, l'énigmatique adversaire de Benjamin Gates. "J'ai pensé que ce serait amusant de jouer un personnage aussi roublard et malhonnête" déclare l'acteur. il poursuit: "Ian est aussi intelligent et intrépide que Ben, mais impitoyable et âpre au gain. L'un s'intéresse au trésor pour le bien de l'humanité, l'autre ne le recherche que pour sa propre fortune. Il est totalement dépourvu de scrupules. Ce contraste entre eux, et leur intelligence à tous deux, en font des rivaux très intéressants".
Un peu d'histoire... (1)
Né à l'époque des croisades en Terre Sainte, l'Ordre des Templiers fut fondé en 1118, mais il faudra attendre dix ans pour que l'Ordre, soutenu par Saint Bernard, soit reconnu par l'Eglise de Rome. Vêtus d'une robe ornée d'une grande croix pattée rouge, ses membres sont de plus en plus nombreux: moins de vingt ans après sa création, l'Ordre compte environ 4000 membres. Bâtisseur de génie, militaire, commerçant, puissance maritime, L'Ordre des Templiers devient incontournable, à tel point qu'il fait de l'ombre au Roi de France lui-même. Le 13 octobre 1307, ce dernier décide de faire arrêter tous les membres de l'Ordre, sous l'inculpation d'hérésie, de profanation et d'idolâtrie. Le Grand Maître de l'Ordre, Jacques de Molay, est lui-même arrêté. Il périt sur le bûcher, le 19 mars 1314, scellant les destin des Templiers; non sans avoir maudit le souverain et sa descendance. Tous mourront d'ailleurs dans d'étranges circonstances. Ainsi naquit la légende...
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National Treasure 2: the Book of Secrets|Jon Turteltaub|Aventure|Film pour enfants à partir de 10 ans|3|américain|2008|123|Anglais||XviD|||XVID|650 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Jon Turteltaub Jerry Bruckheimer|Cormac Wibberley Marianne Wibberley Ted Elliott Terry Rossio Gregory Poirier|Amir M. Mokri||Walt Disney Pictures|Saga : Benjamin Gates |Lorsque réapparaît une page manquante du journal de John Wilkes Booth, l'assassin d'Abraham Lincoln, tout indique que l'arrière-arrière-grand-père de Ben a joué un rôle clé dans la conspiration qui a conduit au meurtre de l'ancien Président américain. Déterminé à prouver l'innocence de son ancêtre, Ben remonte la piste tracée par une série d'indices, qui va le mener à Paris et à Londres avant de le ramener aux Etats-Unis. Ce périple, marqué par de surprenantes révélations, le conduira vers les secrets les mieux gardés de notre monde... |Nicolas Cage (Benjamin Gates)@Diane Kruger (le Docteur Abigail Chase)@Jon Voight (Patrick Henry Gates)@Bruce Greenwood (le Président des Etats-Unis)@Helen Mirren (Emily Appleton)@Harvey Keitel (l'agent Sadusky)@Ed Harris (Jeb Wilkinson)@Justin Bartha (Riley Poole)@Alicia Coppola (l'agent Spellman)@Christian Camargo (John Wilkes Booth)@Joel Gretsch (Thomas Gates)@Ty Burrell (Connor Hamilton)@Timothy V. Murphy (Seth)@Michael Maize (Daniel Wilkinson)@Albert Hall (Docteur Nichols)@Christian Camargo (John Wilkes Booth)@Brent Briscoe (Michael O'Laughlen)@Billy Unger (Charles Gates)@Brad Rowe (agent Hopper)@Michael Manuel (agent Craig)@Troy Winbush (agent Hammer)@Frank Herzog (Frank)@Jon Abel (le Sénateur)@Glenn Beck (Abraham Lincoln)@Judy Renihan (Mary Todd Lincoln)@Demetri Goritsas (Asa Trenchard)@David Ury (la patron de bar)@Guillaume Gallienne (le policier français)@||Secrets de tournage :
Nouvelle aventure pour Benjamin Gates
Le film d'aventures Benjamin Gates et le Livre des Secrets est la suite de Benjamin Gates et le trésor des Templiers, réalisé en 2004. L'équipe d'origine est de retour : le réalisateur Jon Turteltaub (Rasta rockett), l'acteur Nicolas Cage dans le rôle de l'archéologue et aventurier Benjamin Gates, mais aussi Diane Kruger, Harvey Keitel et Jon Voight.
Un carton au box-office
En 2004, Benjamin Gates et le trésor des Templiers atteignait les sommets du BO mondial en amassant pas moins de 347 millions de dollars de recettes. Ce qui fait dire au producteur Jerry Bruckheimer : "Quand le film est sorti, certains ont dit que c'était un très bon film américain, mais qu'il n'intéresserait personne en dehors du pays. Au final, il y a eu autant d'entrées à l'étranger qu'aux Etats-Unis, et nous avons constaté que les spectateurs du monde entier apprécaient Benjamin Gates autant que nous". La décision de donner une suite au premier volet de cet aventurier des temps modernes a rapidement été prise. Toujours avec Jon Turteltaub aux commandes, dont Jerry Bruckheimer aime dire que son style, "rappelle celui des grands films d'aventures au début des années 60 comme Charade ou Topkapi". Et d'ajouter : "avec la série des Benjamin Gates, nous souhaitons montrer qu'il est possible de faire des films amusants et éducatifs en même temps".
A la Maison Blanche
Pour le tournage à Washington, près de Lafayette Park, qui est la rue juste en face de la Maison Blanche, l'équipe du film a dû se plier à certaines règles. Jon Turteltaub raconte : "noux voulions tourner devant la Maison Blanche. La rue est gérée par la municipalité et le trottoir par le Service des Parcs, mais ce sont les Services Secrets qui s'occupent de la Maison Blanche. En plein milieu du tournage, ils sont venus nous voir pour nous dire que nous allions devoir quitter l'endroit pendant une heure parce que le Président allait sortir faire une déclaration à la presse. Nous sommes donc allés un peu plus loin dans Lafayette Park, nous avons attendu que le Président termine, et nous sommes revenus finir la scène...En fait, tout s'est bien passé à Washington. Même la nature nous a aidés en faisant fleurir les cerisiers pendant le tournage. La ville se transforme complètement quand elle se recouvre de fleurs roses et blanches, c'était magnifique".
Une première suite pour Nicolas Cage
C'est la première fois que Nicolas Cage et Jon Voight acceptent de jouer dans la suite d'un film à succès. héros explique : "je me suis tellement amusé sur le premier film que j'ai accepté de retrouver Benjamin Gates avec beaucoup de plaisir. Jusqu'ici, j'avais toujours évité les suites parce que je n'aime pas rejouer deux fois la même chose. Mais ce film proposait une aventure différente et de nouvelles possibilités de jeu pour mon personnage, qui est une sorte de détective de l'Histoire. Un jour, Martin Sheen m'a dit que la seule chose importante était de travailler avec des gens et sur des projets qu'on apprécie. Après avoir tourné les deux Benjamin Gates, je suis parfaitement d'accord avec lui".
Un rat de bibliothèque
La plus grande partie du tournage à Washington s'est déroulée dans la prestigieuse Bibliothèque du Congrès du Jefferson Building; un bâtiment de style victorien qui a ouvert ses portes au public le 1er novembre 1897. La plupart des scènes ont été tournées dans la salle principale, surplombée d'une coupole à près de 50 m du sol. Dans cette immense pièce, l'équipe du film a utilisé un énorme ballon éclairant gonflé à l'hélium capable de monter jusqu'au plafond pour éclairer le plateau pendant le tournage la nuit. Avec l'accord du responsable de la bibliothèque, le chef décorateur Dominic Watkins a construit dans le bâtiment un nouveau décor : la Bibliothèque du Président, dans laquelle Benjamin, Abigail et Riley s'introduisent pour chercher le Livre des secrets. Enfin, l'équipe a aussi reçu l'autorisation de tourner dans les coulisses de la bibliothèque (un pribilège rare), et-ce jusque dans l'intérieur de la machine à la Rube Goldberg qui fait monter les ouvrages de la réserve du sous-sol à la grande salle de lecture.
Des lieux et objets chargés d'histoire(s)
L'écriture du scénario a été précédée par une phase intense de discussions entre les scénaristes Cormac Wibberley, Ted Elliott et Terry Rossio; et-ce pendant plus de trois semaines, sur l'Histoire des Etats-Unis du XIXe siècle, sur la Guerre de Sécession et l'assassinat du président Lincoln. Des faits historiques qui viennent se greffer à une intrigue riche en objets et lieux historiques plus ou moins connus : les "Resolute Desks" (deux bureaux réalisés en 1879 sur l'ordre de la reine Victoria avec le bois du navire HMS Resolute; l'un étant utilisé aux Etats-Unis dans le bureau ovale de la Maison Blanche, l'autre à Buckingham Palace), la recherche des 7 Cités d'Or, la création de la Statue de la liberté, les caves de Mount Vernon (ancienne résidence de George Washington), les cavernes du Mont Rushmore...
Helen "The Queen" Mirren offense la Reine
L'actrice Helen Mirren, oscarisée pour son rôle d'Elizabeth II dans The Queen, fut invitée par la vraie Reine d'Angleterre. Mais elle déclina l'invitation, car elle se trouvait alors dans le Dakota du Sud, en plein tournage de Benjamin Gates et le Livre des Secrets. On raconte que la reine a été vexée de ce refus.
Cage / Bruckheimer : cinquième !
Avec Benjamin Gate et le Livre des Secrets, l'acteur Nicolas Cage retrouve pour la cinquième fois le producteur Jerry Bruckheimer. L'acteur avait interprété l'agent Stanley Goodspeed dans Rock (1996), le détenu rebelle Cameron Poe embarqué dans Les Ailes de l'enfer (1997), un braqueur de voitures de luxe dans 60 secondes chrono (2000), et, déjà, l'archéologue et aventurier Benjamin Gates dans Benjamin Gates et le trésor des Templiers (2004).
Une équipe bénie par un rituel
Les scènes tournées au Mémorial National du Mont Rushmore, dans le Dakota du Sud, ont été encadrées par un Ranger Amérindien; membre de la tribu des Mandan-Hidatsa. Le lieu est en effet situé en plein territoire des Blacks Hills, un lieu sacré pour toutes les tribus indiennes et haut lieu de l'Histoire de la Conquête de l'Ouest : c'est en effet ici que fut massacré le Général Custer et ses soldats, à Little Big Horn, pour avoir violé ce sanctuaire, alors que la rumeur de l'époque avait fait courir la découverte d'or dans la région. A la demande de la production, le Ranger, ainsi qu'un collègue membre de la tribu "Gros Ventre" du Montana, ont accompli une cérémonie traditionnelle pour bénir l'équipe et les acteurs avant que la caméra ne filme son premier plan. Il faut aussi savoir que depuis La Mort aux trousses d'Alfred Hitchcock, aucune production majeure n'était venue tourner au Mont Rushmore.
La reconstitution de Washington
Il a fallu reconstituer le Washington du XIXe siècle pour la fameuse scène de l'assassinat d'Abraham Lincoln, la nuit du 14 avril 1865. On doit cette réalisation au chef décorateur Dominic Watkins. Le superviseur artistique Drew Boughton et l'ensemblière Fainche MacCarthy se sont vu confier la tâche de transformer la reconstitution des rues de New York du backlot des studios Universal en une réplique des rues de la capitale américaine il y a 140 ans. Drew Boughton raconte : "A l'époque, Washington était une ville assez jeune et elle avait encore quelque part un parfum d'Ouest et de western. Nous avons recouvert les rues de poussière, ajouté des lampes à gaz, des chevaux, des attelages, des panneaux de l'époque et avons redécoré les immeubles. Avec les costumes créés par Judianna Makovsky pour les acteurs et les 300 figurants, l'ambiance sur le plateau est vite devenue plus vraie que nature".
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Beowulf|Graham Baker|Fantastique||1|américain, français|1999|114|||XviD|||XVID|718 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Gregory Cascante Lawrence Kasanoff Donald Kushner|David Chappe|Christopher Faloona||CTV International||La Terre a traverse de nombreuses crises et cataclysmes. Les hommes vivent dans la peur et dans l'obscurite car les tenebres voilent desormais la lumiere du soleil. Dans cet univers hostile, erre un homme maudit et solitaire, Beowulf, fruit des amours interdites d'une mortelle avec le diable. Pour vaincre le monstre qui est en lui, Beowulf doit combattre le mal. Son plus redoutable adversaire est une creature tapie dans les combles d'une forteresse. Invincible, d'une sauvagerie sans nom, elle tue quotidiennement puis disparait des l'aube. |Christophe Lambert (Beowulf)@Rhona Mitra (Kyra)@Roger Sloman (Karl)@Götz Otto (Roland)@Oliver Cotton (Hrothgar)@Patricia Velasquez (Pendra)@Charles Robinson (le maître d'armes)@Robert Willox (l'officier en chef)@Layla Roberts (la mère de Grendel)@Vincent Hammond (Grendel)@Brent Jefferson Lowe (Will)@||||||||||||@@
Fuera del cielo|Javier 'Fox' Patrón|Thriller|||mexicain|2006|87|Espagnol||XviD|||XVID|965 Kbps|576x320|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|689||||23.976|28/07/2009 00:00:00||Vicente Lenero|||||Dans la ville dévastée de Mexico, la vie d'une poignée de personnages, dont les destins vont s'entrecroiser. |Demian Bichir (Malboro)@Armando Hernández (Cucú)@Damian Alcazar (Rojas)@Dolores Heredia (Sara)@Rafael Inclan (Tio Jesús)@Martha Higareda (Elisa)@Isela Vega (Madre)@Ricardo Blume (Mr García Luna)@Rosa Maria Bianchi (Mme García Luna)@Elizabeth Cervantes (Rebeca)@||||||||||||@@
Bibi Blocksberg|Hermine Huntgeburth|Comédie|||Allemagne|2002|102|||XviD|||XVID|809 Kbps|576x320|MPEG-1 Audio layer 3|133 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|||||||Dans la petite ville de Neustadt, il se passe parfois des choses étranges... Cela vient peut-être du fait que, parmi ses habitants, les sorcières Barbara et Bibi Blocksberg (mère et fille) ont l'habitude de provoquer des turbulences ! Le père de Bibi ne voit pas d'un très bon oeil les incursions de sa fille dans le monde du surnaturel et encore moins son moyen de transport préféré : le balai. Mais, pour avoir accompli un acte héroïque du haut de ses 12 ans, Bibi va être récompensée et recevoir les trophée des sorcières ! Le grand jour arrive et s'annonce merveilleux, mais l'ennemie héréditaire de Barbara, la sorcière Rabia, folle de jalousie, est prête à tout pour saboter la cérémonie... |||||||||||||@@
Bienvenue au gîte|Claude Duty|Comédie||3|français|2003|102|Français||DIV3|||DIV3|811 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Bruno Levy|Jean-Philippe Barrau Claude Duty|David Johnson||Mars Distribution||Couple en proie au stress de la vie urbaine, Caroline et Bertrand décident de tout quitter et de partir reprendre le gîte de leur amie Sophie en Provence. Une nouvelle vie commence : le soleil, les cigales, les oliviers, les clients et les villageois. Ils découvrent la joie d'avoir tourné une page, mais ne l'auraient-ils pas tournée trop vite ? |Marina Foïs (Caroline)@Philippe Harel (Bertrand)@Julie Depardieu (Nina Strong)@Annie Grégorio (Angélique)@Bulle Ogier (Odile De Castellane)@Sebastian Barrio (Julien)@Lionel Abelanski (Philippe)@Michael Maloney (Peter)@Léa Drucker (Agnès)@Nathalie Levy-Lang (Marie)@Julie Durand (Isabelle)@Christian Waldner@||Secrets de tournage :
2e collaboration Claude Duty / Marina Foïs
Bienvenue au gîte marque la seconde collaboration entre Claude Duty et Marina Foïs. Le réalisateur a auparavant dirigé la comédienne dans Filles perdues, cheveux gras en 2002.
Claude Duty intimidé par Philippe Harel
L'idée de donner le rôle de Bertrand à Philippe Harel est venue de la costumière Anne Schotte. Claude Duty confie : "Travailler avec un réalisateur de son envergure, ça m'intimidait un peu. Alors je l'ai rencontré et ça a tout de suite tilté. Il était en train de monter son film Tristan et avait envie de se sortir de ça un moment."
Une coproduction franco-britannique
Comme il s'agit d'une coproduction franco-britannique, Claude Duty s'est rendu à Londres avant de tourner pour auditionner des professionnels, des techniciens en les sélectionnant notamment selon leur maîtrise de la langue française. C'est de cette façon que le choix du chef opérateur s'est porté sur David Johnson qui a débuté sa carrière aux côtés de Kenneth Branagh.
Le réalisateur a également auditionné des acteurs anglais en cherchant une sorte de dandy ayant la quarantaine avec un accent pour le rôle du propriétaire du gîte gay. Michael Maloney, un comédien de théâtre, a ainsi été retenu pour le personnage.
Après le tournage, le film a été mixé en Angleterre, à Pinewood, l'endroit où Stanley Kubrick a tourné la plupart de ses longs métrages.
Une chanson d'Olivia Bonamy
La chanson "Il pleut sur les amandes", qui figure dans le film, est interprétée par Olivia Bonamy, comédienne qui figurait notamment au casting de Filles perdues, cheveux gras, le précédent film de Claude Duty.
Un acteur porno au casting
L'acteur porno Sébastian Barrio fait ici ses débuts dans le cinéma traditionnel.
Claude Duty retrouve Jean-Philippe Barrau
Claude Duty retrouve ici Jean-Philippe Barrau, le scénariste de Filles perdues, cheveux gras.
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Bienvenue chez les Ch'tis|Dany Boon|Comédie|Film pour enfants à partir de 6 ans|3|français|2008|107|Français||XviD|||XVID|778 Kbps|608x256|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Claude Berri Jérôme Seydoux|Dany Boon Franck Magnier Alexandre Charlot|Pierre Aïm||Pathé Distribution||Philippe Abrams est directeur de la poste de Salon-de-Provence. Il est marié à Julie, dont le caractère dépressif lui rend la vie impossible. Pour lui faire plaisir, Philippe fraude afin d'obtenir une mutation sur la Côte d'Azur. Mais il est démasqué: il sera muté à Bergues, petite ville du Nord.Pour les Abrams, sudistes pleins de préjugés, le Nord c'est l'horreur, une région glacée, peuplée d'êtres rustres, éructant un langage incompréhensible, le "cheutimi". Philippe ira seul. A sa grande surprise, il découvre un endroit charmant, une équipe chaleureuse, des gens accueillants, et se fait un ami : Antoine, le facteur et le carillonneur du village, à la mère possessive et aux amours contrariées. Quand Philippe revient à Salon, Julie refuse de croire qu'il se plait dans le Nord. Elle pense même qu'il lui ment pour la ménager. Pour la satisfaire et se simplifier la vie, Philippe lui fait croire qu'en effet, il vit un enfer à Bergues. Dès lors, sa vie s'enfonce dans un mensonge confortable... |Kad Merad (Philippe Abrams)@Dany Boon (Antoine Bailleul)@Zoé Félix (Julie Abrams)@Philippe Duquesne (Fabrice Canoli)@Line Renaud (Madame Bailleul)@Michel Galabru (le grand oncle de Julie)@Stéphane Freiss (Jean)@Guy Lecluyse (Yann Vandernoout)@Anne Marivin (Annabelle Deconninck)@Patrick Bosso (le gendarme)@Zinedine Soualem (Momo)@Jérôme Commandeur (inspecteur Lebic)@Christophe Rossignon (le garçon du restaurant)@Yaël Boon (la femme énervée au guichet)@Alexandre Carriere (Tony, l'amoureux d'Annabelle)@Fred Personne (Monsieur Vasseur)@Franck Andrieux (Monsieur Leborgne )@Jean Christophe Herbeth (Le voisin d'Antoine ' Tizaute ')@Jenny Clève (La Mamie ' Quinquin ')@Sylviane Goudal (La cliente à la Poste)@Nadège Beausson-Diagne (L'employée du bureau Salon n°1)@Bruno Tuchszer (un policier de Bergues)@Eric Bleuze (L'Homme à la mobylette)@Jean-François Elberg (L'employé de la station service)@Maryline Delbarre (La femme de Momo)@Louisette Douchin (La Femme aux moules)@Mickaël Angele (L'homme au bar)@Cedric Magyari (La ' Gueule Noire ' n°1)@Jean-Marc Vauthier (La ' Gueule Noire ' n°2)@Dominique Parent (II) (Monsieur Mahieux )@Jean-François Picotin (Monsieur Tizaute)@Guillaume Morand (L'ancien collègue de Philippe)@Patrick Cohen (Le client viré)@Lorenzo Ausilia-Foret (Raphaël Abrams)@Laëtitia Maisonhaute (La secrétaire de Jean)@Suzie Pilloux (La femme chez l'oncle de Julie)@Yann Königsberg (Le collègue de Jean)@||Secrets de tournage :
En lutte contre les préjugés
Avec Bienvenue chez les Ch'tis, Dany Boon a cherché à s'affranchir des clichés que l'on porte traditionnellement sur la région du Nord. Il explique : "L'idée de Bienvenue chez les Ch'tis, je l'ai eue avant de faire mon premier film, La Maison du bonheur. Mais je voulais d'abord voir si j'étais capable de réaliser un film, car je ne voulais pas me planter avec un sujet qui me tienne fort à coeur. Tous les sujets sont importants, mais celui-là l'est vraiment : c'est mon enfance, c'est ma région, c'est les gens... C'est mes frères quoi ! Ils comptent sur moi. Et justement l'idée du film est parti de la vision qu'ont ceux qui ne connaissent pas le Nord-Pas de Calais. Ces Français qui ont une vision très négative et terrible de la région, que ce soit sur la pauvreté, le desespoir, le chômage ou les mines. D'où l'envie de faire une comédie très humaine, dont le personnage principal, n'étant pas originaire du Nord, va découvrir la culture ch'timi, le sens de l'accueil, du partage...Tout ce que résume ce proverbe : un étranger qui vient dans le Nord pleure deux fois : quand il arrive, et quand il repart".
Réalisateur : deuxième !
Si Dany Boon fait souvent l'acteur, Bienvenue chez les Ch'tis est "seulement" sa deuxième réalisation, deux ans après le succès La Maison du bonheur. Un jolie succès d'ailleurs, puisque le film a séduit plus d'un million de spectateurs.
Sortie Ch'timi
Coup de coeur pour le Nord oblige, le film bénéficie d'une sortie dans trois départements dès le 20 février; soit une semaine avant sa sortie nationale.
Au fait, c'est quoi le Ch'ti ?
Le Ch'ti est le patois appelé par les linguistes le picard. C'est une évolution du latin mélangée à d'autres langages (Flamands...). Le Nord étant une région se trouvant proche de l'Ile de France, le Ch'ti ressemble au Français qui n'est que le patois de la région parisienne, pays où habitaient les rois. Quelques mots propres au Nord le différencient vraiment de la langue nationale, des mots désignant des outils agricoles ou miniers, des animaux et des plantes. Le Ch'ti devient célèbre au début du XXe siècle (à cette époque les patois étaient très répandus dans toute la France) par la guerre 14/18. Il est rendu populaire par le personnage de Broucke de Roland Dorgelès dans les Croix de Bois (d'ailleurs adapté en film en 1932). En fait, "Ch'ti" était le surnom donné aux soldats de la région Nord-Pas-de-Calais; par extension c'est associé de nos jours à tous les habitants de cette région. Pour leur langue, les nordistes préférent parler de patois et non de Ch'ti.
Promo décalée
Pour la promotion du film, une chaîne d'infos spécial "Ch'ti" a été créée : ChtiNN, savoureusement baptisée "la chaîne qui ne perd pas le Nord". Elle est consultable ici.
Petit bréviaire du bon parler Ch'ti
Parler et comprendre le Ch'ti est difficile. Il faut en effet savoir que suivant les villages et régions du Nord-Pas-de-Calais, certains mots ne se prononcent pas de la même façon où se traduisent différemment, ce qui rend la tâche encore plus ardue. De plus, il est à noter que les "e" en fin de mot sont muets et sont parfois remplacés par une apostrophe. Certains verbes possède aussi plusieurs participe passé suivant les régions ou les phrases dans lesquelles ils sont employés, comme "Querre", qui signifie "tomber, choir" : Queu, Qué ou Quéillu...Pas simple donc...Bon courage !
Un familier du doublage des films d'animation
On retrouvera prochainement Dany Boon dans Mia et le Migou, le nouveau film d'animation du réalisateur de La Prophétie des grenouilles. Le comédien est d'ailleur très familier dans l'exercice du doublage puisqu'il était apparu vocalement dans Gang de requins, Le Manège enchanté et Cendrillon & le prince (pas trop) charmant.
Un long mûrissement
Dany Boon a mis un an pour écrire le script de Bienvenue chez les Ch'tis. Un processus difficile : "Au théâtre, quand je fais des sketches sur des personnages qui sont caricaturaux, exagérés, c'est une convention et on en rigole. Au cinéma, c'est plus délicat parce qu'on montre, on est dans la réalité, il faut que ca soit crédible". C'est alors qu'il s'est tourné vers Franck Magnier, originaire du Nord, qui lui a présenté Alexandre Charlot (un duo à qui l'on doit également le scénario des prochaines aventures live de Lucky Luke par James Huth). A eux trois, ils ont mis la touche finale au scénario en trois mois.
Le (non) choix de Kad Merad
Kad Merad n'était pas du tout le choix de départ de Dany Boon pour le rôle titre. C'est l'un des coproducteurs du film, Richard Pezet du groupe Pathé, qui a suggéré au cinéaste le nom de Kad Merad.
Dany Boon ou Dany Veber ?
Au fur et à mesure que le tournage du film avançait, Kad Merad a surnommé Dany Boon "Dany Veber". Clin d'oeil affectueux à l'acteur comique pour sa prestation dans La Doublure de Francis Veber, aux côtés de Daniel Auteuil, Gad Elmaleh et Alice Taglioni. Dany Boon reste d'ailleurs fidèle à Francis Veber puisqu'il joue sur les planches aux côtés de l'animateur Arthur dans "Le dîner de cons", qui a déjà fait l'objet d'une adaptation au cinéma en 1998, avec Thierry Lhermitte, Francis Huster et le regretté Jacques Villeret.
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Les contributeursCe film a reçu 1 contribution, pour les secrets de tournage, de: Miamsolo
Les contributions faites sur cette fiche sont mises à disposition sous un contrat Creative Commons.
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The Big Boss|Lo Wei|Arts Martiaux||3|hong-kongais|1971|95|Mandarin||DX50|||DX50|903 Kbps|720x416|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|692||||25.000|09/08/2009 00:00:00|Raymond Chow|Bruce Lee Lo Wei|Chen Chin Chu||René Chateau||Un ouvrier venant de la campagne se révolte contre la milice engagée par son patron pour briser une grève. |Bruce Lee (Cheng Chao-an)@James Tien (Hsiu Chen)@Yin-Chieh Han (Hsiao Mi (Le Maitre))@Tony Liu (le fils de Mi)@Nora Miao (Miao)@Nora Miao (La fille du drinkstand)@San Chin (Hua Sze)@Quin Lee (Ah Kun)@Ching-Ying Lam (Ah Yen)@Jackie Chan (un étudiant)@San Chin (Hua Sze)@Lo Wei (Inspecteur)@||Secrets de tournage :
Bruce Lee à Hong Kong
Après avoir longuement refusé de tourner pour des producteurs de Hong-Kong, Bruce Lee accepte de jouer la vedette de deux films réalisés par Lo Wei qui vont le faire connaître : Big Boss et La Fureur de vaincre en 1972. Les deux films connaissent un succès immédiat et Bruce Lee devient une star à Hong-Kong.
Bruce Lee à Hong Kong
Après avoir longuement refusé de tourner pour des producteurs de Hong-Kong, Bruce Lee accepte de jouer la vedette de deux films réalisés par Lo Wei qui vont le faire connaître : Big Boss et La Fureur de vaincre en 1972. Les deux films connaissent un succès immédiat et Bruce Lee devient une star à Hong-Kong.
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Big Fish|Tim Burton|Comédie dramatique||3|américain|2004|120|||XviD|||XVID|721 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|81.3 Kbps|False|32.0 KHz|2|700||||23.976|09/08/2009 00:00:00|Dan Jinks Bruce Cohen Richard D. Zanuck|John August|Philippe Rousselot||Columbia Pictures||L'histoire à la fois drôle et poignante d'Edward Bloom, un père débordant d'imagination, et de son fils William. Ce dernier retourne au domicile familial après l'avoir quitté longtemps auparavant, pour être au chevet de son père, atteint d'un cancer. Il souhaite mieux le connaître et découvrir ses secrets avant qu'il ne soit trop tard. L'aventure débutera lorsque William tentera de discerner le vrai du faux dans les propos de son père mourant. |Ewan McGregor (Edward Bloom jeune)@Albert Finney (Edward Bloom)@Billy Crudup (William Bloom)@Jessica Lange (Sandra)@Alison Lohman (Sandra jeune)@Helena Bonham Carter (Jenny et la sorcière)@Danny DeVito (Amos Calloway)@Steve Buscemi (Norther Winslow)@Marion Cotillard (Joséphine)@Robert Guillaume (le Dr. Bennett)@Matthew McGrory (Karl)@George McArthur (Colossus)@David Denman (Don Price)@Missi Pyle (Mildred)@Loudon Wainwright III@Ada Tai (Ping)@Arlene Tai (Jing)@Deep Roy (M. Soggybottom)@Perry Walston (Edward Bloom enfant)@Hailey Anne Nelson (Jenny enfant)@Cathy Berry (La femme homard)@Daniel Wallace@Miley Cyrus (Ruthie)@||Secrets de tournage :
Histoire d'une adaptation
Big Fish est l'adaptation cinématographique du roman Big Fish, a story of mythic proportions, écrit par Daniel Wallace, qui s'est inspiré de son propre père et de sa propre paternité. Il explique : "A travers ce livre, je voulais écrire l'histoire de la vie d'un homme ordinaire comme s'il s'agissait d'un mythe. Au fur et à mesure que j'assemblais les fragments, une existence complète se dessinait, une vie passionnante et riche, magnifique et porteuse de tous les symboles."
Big Fish selon Tim Burton
"Ce qui m'a frappé dans le scénario de Big fish, c'est l'équilibre entre l'ampleur épique des contes et l'histoire plus simple et intimiste de cette famille. J'ai aimé ce mélange, ces moments purement imaginaires qui s'unissent à une situation tristement banale, la perte d'un être cher. La difficulté pour moi était de maintenir cet équilibre lors de la visualisation de l'histoire."
Un rôle quasi-autobiographique
A l'instar de la plupart des personnes qui ont travaillé sur le projet, l'acteur Ewan McGregor a ressenti une forte résonnance du scénario de Big fish sur sa propre expérience. Il explique : "J'ai tout de suite senti un lien personnel avec le scénario.Quand je l'ai lu pour la première fois, j'ai été ému par cette relation entre un père et son fils... Cela m'a rappelé quand j'ai quitté l'Ecosse - c'est toujours quelque chose pour un Ecossais ! Je suis allé à Londres apprendre le métier de comédien, mais ce que je voulais en réalité, c'était voir le monde. Cela ressemble à ce qu'à fait Edward. Souvent, il faut quitter l'univers familier pour avoir une chance de découvrir qui l'on est vraiment."
Un producteur touché
Richard D. Zanuck, producteur de Big fish, a été particulièrement ému par le scénario du long-métrage, y voyant des similitudes avec la relation vécue avec son propre père, le pionnier hollywoodien Darryl F. Zanuck. "Le scénario m'a ému aux larmes chaque fois que je l'ai lu. C'est non seulement une histoire entre un père et son fils, ce qui m'a bien évidemment touché, mais il y a aussi dedans des trésors d'imagination et de drôlerie, des personnages fantastiques, géants, sorcières, artistes de cirque... C'est très divertissant tout en étant une métaphore qui pousse à vivre sa vie à fond."
Burton remplace Spielberg
Big fish a longtemps été un projet de Steven Spielberg, qui souhaitait donner le rôle principal à Jack Nicholson. Lorsque le réalisateur a préféré se lancer dans le tournage d' Arrête-moi si tu peux, l'adaptation du livre de Daniel Wallace a été confiée à Tim Burton.
Marion Cotillard : première hollywoodienne !
Big fish marque la première expérience hollywoodienne de l'actrice française Marion Cotillard, qui incarne dans le long-métrage la compagne de Billy Crudup. Dans un entretien accordé au magazine Studio, la jeune femme déclare : "Avec Big fish, j'ai plongé dans un univers de cinéma extraordinaire. Il y a tant d'humanité et de passion chez Tim Burton que, malgré toute cette machine impressionnante que représente un tournage de ce type, je ne me suis jamais sentie persue ou écrasée. Les gens se rencontraient et travaillaient simplement, avec ce sentiment merveilleux de prendre un plaisir immense à raconter, tous ensemble, la même histoire."
Danny de Vito, troisième
Après Batman, le défi et Mars Attacks!, Big fish marque la troisième collaboration de Danny DeVito avec le cinéaste Tim Burton. Big Fish marque également la seconde collaboration de Burton avec sa compagne Helena Bonham Carter, deux ans après La Planète des singes.
De Charlie à Big Fish
C'est à John August, le scénariste de Charlie et ses drôles de dames et Charlie's angels - les anges se déchaînent, mais aussi du film d'animation Titan A.E., qu'a été confiée l'écriture du scénario de Big fish.
Un acteur dans le Livre des records !
Matthew McGrory, qui incarne le géant Karl dans Big fish, possède véritablement les singularités physiques visibles à l'écran. Mesurant 2,29m, il est listé dans le Livre Guiness des records comme étant l'homme ayant les plus grands pieds du monde (il chausse du 62 !).
Une nomination à l'Oscar
Le long-métrage Big fish est nommé aux Oscars 2004 dans la catégorie Meilleure musique (composée par l'occasion par l'illustre Danny Elfman). A noter que la chanson du générique de fin du film, intitulée Man of the hour, est une composition du groupe de rock américain Pearl Jam et a été nommée aux Golden Globes 2004.
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Big Momma's House|Raja Gosnell|Comédie||2|américain|2000|90|Anglais||DIV3|||DIV3|950 Kbps|512x368|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|680||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Michael Green David T. Friendly|Darryl Quarles Don Rhymer|Michael D. O'Shea||UFD|Saga : Big Mamma |Au sein du FBI, l'agent Malcolm Turner est repute pour sa bravoure et son habilete. Passe maitre dans l'art du deguisement, il sait en quelques minutes se fabriquer un nouveau visage, une voix et un look inedits pour infiltrer n'importe quel milieu. Apres l'evasion d'un dangereux braqueur, Malcolm et son coequipier planquent devant le domicile de son ex-petite amie et presumee complice, Sherry. Lorsqu'elle se refugie chez sa grand-mere, Big Mama, Malcolm n'hesite pas un instant a prendre l'apparence de la vieille dame pour recueillir son temoignage. |Martin Lawrence (Malcolm Turner)@Nia Long (Sherry)@Paul Giamatti (John)@Jascha Washington (Trent)@Terrence Howard (Lester)@Anthony Anderson (Nolan)@Ella Mitchell (Big Mamma)@Carl Wright (Ben Rawley)@Phyllis Applegate (Sadie)@Starletta DuPois (Miss Patterson)@Cedric The Entertainer (le révérend )@Philip Tan (Kang)@Sarah Zinsser (Réceptionniste)@John Eddins (Un officier de police)@Brian Palermo (Cazwell)@Nicole Prescott (Lena)@Octavia L. Spencer (Twila)@Tichina Arnold (Ritha)@Brian Paul Stuart (Le docteur de prison)@Ramsey Luke (Un agent du FBI)@||Secrets de tournage :
Raja Gosnell, réalisateur
Cet ancien monteur a débuté sa carrière de réalisateur en 1997 avec Maman, je m'occupe des méchants. Il a ensuite signé Collège attitude (1999). Big Mamma est son troisième long métrage.
En 2000, il met en scène Les Quatre Fantastiques.
David T. Friendly, le producteur, pense à son public
« Si vous engagez Martin Lawrence sur un film, vous tenez à ce que son public le retrouve sur l'écran. Cela impliquait non seulement un maquillage crédible, susceptible de faire illusion auprès des autres personnages, mais un grimage qui permette au spectateur de reconnaître notre star et de savourer pleinement ses dons comiques. »
La bonne combinaison...
Afin de rendre supportable la tenue («fat suit») qu'il a revêtu tout au long du tournage, Martin Lawrence enfilait une combinaison climatisée du même type que celle qu'utilisent les astronautes.
Greg Cannom, responsable des maquillages spéciaux
Greg Cannom a notamment conçu les maquillages de Hook (Steven Speilberg, 1991), Dracula (Francis Ford Coppola, 1992), Hoffa (Danny de Vito, id.), Madame Doubtfire (Chris Columbus, 1993) et Titanic (James Cameron, 1998).
Les spectateurs français ont également pu admirer son savoir-faire dans Cocoon (Ron Howard, 1985), L'homme sans visage (Mel Gibson, 1993), The Mask (Charles Russell, 1995) et Révélations (Michael Mann, 2000).
Six heures de maquillage
L'équipe de maquillage, dirigée par Greg Cannom, mettait pas moins de six heures pour transformer Martin Lawrence en Big Mamma, le temps d'appliquer le fond de teint, le rouge à lèvres, et les différentes couches de silicone nécessaires. Gagnant en rapidité, les maquilleurs ramenèrent finalement cette durée à deux heures.
Paul Giamatti (John)
Dirigé par Woody Allen (Maudite Aphrodite en 1995, Harry dans tous ses états en 1997), Sydney Pollack (Sabrina en 1995), Mike Newell (Donnie Brasco en 1997), Steven Spielberg (Il faut sauver le soldat Ryan en 1998) et Tim Robbins (Broadway 39ème rue en 1999), Paul Giamatti a joué dans Le mariage de mon meilleur ami (Paul J. Hogan, 1997) et Man on the moon (Milos Forman, 2000).
Paul Giamatti tombe dans le piège
« C'était vraiment très étrange de retrouver Martin maquillé et habillé en Big Mamma car j'avais à chaque fois l'impression de donner la réplique à un autre que lui, et devais périodiquement me rappeler : «Mais non, c'est Martin !» »
Un éclair de génie
Darryl Quarles, le scénariste, avait tout d'abord proposé un premier projet au producteur David T. Friendly, mais ce dernier n'était pas convaincu et demanda à Quarles s'il n'avait pas une autre idée à lui soumettre. Le scénariste exposa alors le synopsis de Big Mamma... qui ne tenait alors qu'en une seule phrase. Friendly accepta.
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Big Momma's House 2|John Whitesell|Comédie||2|américain|2006|93|Anglais||DX50|||DX50|912 Kbps|608x352|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|David T. Friendly Michael Green|Don Rhymer|Mark Irwin||Twentieth Century Fox France|Saga : Big Mamma |Tom Fuller est suspecté d'avoir mis au point un virus informatique qui menace les systèmes plus sensibles du gouvernement. Pour éviter une catastrophe, l'agent du FBI Malcolm Turner doit absolument redevenir Big Mamma et se faire embaucher chez les Fuller comme gouvernante... |Martin Lawrence (Malcolm Turner)@Elton LeBlanc (Bingo Caller)@Nia Long (Sherry Pierce)@Mark Moses (Tom Fuller )@Michelle Parylak (JoAnne)@Emil Beheshti (Monsieur Nybo)@Mehera Blum (Lucy)@Marcus Lyle Brown (Erskine)@Kat Dennings (Molly Fuller)@Deena Dill (Crystal)@Matthew Dufour (agent Banks)@Josh Flitter (Stewart Nybo)@Bourke Floyd (Mike)@Rhoda Griffis (Madame Gallagher)@Brian Gross (Luke)@Zachary Levi (Kevin)@Chloe Moretz (Carrie Fuller)@William Ragsdale (agent Bob)@Adrian Staton (Sandy)@Deneen Tyler (Tassie)@Kirk B.R. Woller (Doug Hudson)@Marisol Nichols (Liliana Morales)@Anne Palermo (agent du FBI)@Yvonne Landry (Isabella)@Emily Procter (Leah Fuller)@Mark Joy (Brian)@Jascha Washington (Trent)@Yuji Okumoto (Parsons)@Andy Stahl (Le principal)@Kevin Durand (Oshima)@Cameron Daddo (Casal)@Lisa Arrindell Anderson (Danielle)@Dan Lauria (Crawford)@Wendy Braun (Coach Bonnie)@Roxanne Reese (Nolinda)@Max Van Ville (Chad)@Ann Mahoney (Coach Lisa)@Ann Mahoney (Coach Lisa)@Donna DuPlantier (Joueuse de bingo)@Samantha Beaulieu (Joueuse de bingo)@Ramsey Luke (Un agent du FBI)@Roland Harris (Vieux gars)@Christopher Tavarez (Ryan)@Lonnie Lamont (Un agent du FBI)@Cliff Johnson (Le type qui crie Bingo)@Preston Shores (Andrew)@Sarah Joy Brown (Constance)@Christopher Michael Jones (Bishop)@Bryan James Kitto (L'ami de Trent)@Sean Lampkin (Cabbie)@Vince Berry (Nybo à 16 ans)@Trevor Shores (Andrew)@Shanna Landry (Petra)@||Secrets de tournage :
Le retour de la Mamma !
Big Mamma 2 n'est autre que la suite de Big Mamma, une comédie policière emmenée par Martin Lawrence et qui connut un succès planétaire en 2000, générant plus de 200 millions de dollars de recettes dans le monde. Pour ce nouvel épisode des aventures de Malcolm Turner, l'agent du FBI contraint de revêtir l'apparence d'une dame imposante, le cinéaste Raja Gosnell a laissé sa place à John Whitesell, réalisateur de Spot en 2001.
L'acteur comique s'explique sur ce retour : "La clé du succès de Big Mamma est simple : tout le monde connaît quelqu'un comme elle ! C'est le genre de personne qui respire la bonté et sait vous réchauffer le coeur en vous faisant rire. Il ne s'agissait pas seulement de faire une comédie avec des situations incroyables, mais aussi de rencontrer les différentes facettes d'un personnage qui a du coeur. Envisager son retour était naturel et très agréable."
Dans la peau de Big Mamma
Pour les besoins du rôle, Martin Lawrence dut reprendre les interminables séances de maquillage nécessaires pour transformer un homme de 40 ans plutôt mince en une femme âgée au tour de taille impressionnant.
Wesley Wofford, le maquilleur-prothésiste principal, explique : "Le procédé complet de maquillage nécessitait plusieurs étapes menées par des artistes aux domaines de compétence très différents. Nous avons commencé par faire un moulage du visage et du corps de Martin, à partir duquel nous avons réalisé une réplique grandeur nature en ciment qui a servi de base pour fabriquer le personnage proprement dit."
Le moulage du corps a ensuite été envoyé au département chargé des costumes spéciaux, qui a créé les "surépaisseurs", les costumes muscles, à partir de différents types de mousses, de caoutchouc creux, de toile et de fibre synthétique élastique. Ces costumes ont été fabriqués pour s'adapter parfaitement au corps de l'acteur et lui permettre de bouger naturellement.
Chaque jour, Martin Lawrence devait entreprendre une séance de maquillage de 1h45 durant laquelle deux maquilleurs lui collaient consciencieusement les morceaux du visage de Big Mamma, les unissaient entre eux sans que l'on puisse déceler les limites, puis peignaient les différentes tonalités de peau. La phase finale consistait à appliquer à Big Mamma un maquillage de beauté traditionnel. Martin Lawrence conservait ce maquillage toute la journée puis, après une séance de démaquillage de 30 minutes, les différentes pièces du visage devenaient inutilisables. Une nouvelle série était alors préparée pour le lendemain.
La famille comme source d'inspiration
Martin Lawrence a souvent incarné des personnages féminins dans ses spectacles ou ses sketches. Le réalisateur John Whitesell souligne : "En le voyant faire, on est frappé par sa capacité à intégrer cet esprit féminin, à le représenter à travers des personnages très différents, mais qui sont toujours remarquablement justes. Il a un don inné pour savoir comment pensent les femmes...."
Du propre aveu de l'acteur, celui-ci a pu s'appuyer sur une expérience personnelle particulièrement riche. "Les femmes de ma famille ont toutes des caractères forts, que ce soit ma mère, ma grand-mère ou mes soeurs, explique-t-il. Elles ont nourri les personnages que j'ai créés, en particulier Big Mamma."
Deux contre-emplois pour Emily Procter et Mark Moses
Le casting de Big Mamma accueille en son sein deux acteurs de séries télévisées : Emily Procter, qui s'est distinguée dans le feuilleton policier Les Experts : Miami, et Mark Moses, qui a tenu un rôle régulier dans Desperate housewives. Tous deux s'illustrent ici dans des contre-emplois en rupture avec leurs expériences précédentes.
La première a ainsi pris un virage à 180° en incarnant Leah Fuller, l'épouse et la mère soucieuse de la famille Fuller. A son sujet, John Whitesell observe : "Emily avait très envie de faire de la comédie et elle a raison : elle est excellente ! Elle a adoré jouer cette fille bien sous tous rapports face à Big Mamma. La façon dont elle prend très au sérieux cette nouvelle nounou vraiment excentrique est à mourir de rire, elle a vraiment joué ce décalage à la perfection."
Quant à Mark Moses, il interprète l'adversaire de Big Mamma, le concepteur de logiciels Tom Fuller. Le cinéaste commente : "Tom est un personnage mystérieux, assez opaque. Mark savait comment le jouer avec la juste dose de menace, tout en faisant de lui un père de famille crédible. Il a trouvé le bon équilibre."
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Black and White|James Toback|Drame||2|américain|2000|95|Anglais||DX50|||DX50|887 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|129 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Daniel Bigel Mike Mailer Ron Rotholz|James Toback|David M. Ferrara||Columbia TriStar Films||Rich Bower est un petit caid black comme il en existe des centaines a New York. Il est aujourd'hui decide a laisser tomber ses activites illicites pour se reconvertir dans la musique en defendant les interets d'un de ses amis, chanteur de rap. Autour d'eux gravite un groupe de jeunes Blancs qui copient leur comportement et sur lesquels Sam et son mari Terry realisent un documentaire. L'un des amis de Rich, Dean, accepte de l'argent pour perdre un match de basket-ball. Il a en fait ete piege par un inspecteur, qui veut l'obliger a l'aider a coincer Rich. |Scott Caan (Scotty)@Robert Downey Jr. (Terry Donager)@Stacy Edwards (Sheila King)@Allan Houston (Dean Carter)@Gaby Hoffmann (Raven)@Kidada Jones (Jesse)@Jared Leto (Casey)@Marla Maples (Muffy)@Joe Pantoliano (Bill King)@Bijou Phillips (Charlie)@Claudia Schiffer (Greta)@William Lee Scott (Will King)@Brooke Shields (Sam Donager)@Ben Stiller (Mark Clear)@||Secrets de tournage :
Jared Leto (Casey)
Ce comédien américain est notamment apparu dans La piste du tueur (Jeb Stuart, 1997) et Urban Legend (Jamie Blanks, 1998), avant de jouer sous la direction de Terrence Malick (La ligne rouge) et David Fincher (Fight club).
Les spectateurs ont également pu apprécier Jared Leto dans Une vie volée (James Mangold, 1999), American Psycho (Mary Harron, 2000).
Scott Caan (Scotty)
Fils de James Caan, Scott Caan a notamment joué dans Nowhere (Gregg Araki, 1997), Ennemi d'Etat (Tony Scott, 1998), 60 secondes chrono (Dominic Sena, 2000) et Les initiés (Ben Younger, id.).
James Toback, réalisateur
Remarqué dès son premier long métrage, Mélodie pour un tueur (1979), James Toback a notamment réalisé Surexposé (1983) et le documentaire The big bang (1989).
Scénariste de talent, James Toback a signé les scripts du Flambeur (Karel Reisz, 1974) et de Bugsy (Bary Levinson, 1991), pour lequel il a reçu l'Oscar du meilleur scénariste.
Des guest stars de prestige
Outre un casting riche (Scott Caan, Robert Downey Jr., Brooke Shields), Black and white propose aux spectateurs une pléiade de vedettes de la mode, du sport, de la musique. Les spectateurs peuvent ainsi se délecter devant les prestations de Mike Tyson, Claudia Schiffer, Method Man et Raekwon (du Wu Tang Clan).
Le réalisateur James Toback
« Le rap, le hip hop, la mixité raciale, l'adolescence qui dure longtemps, ce n'est plus une mode, c'est devenu un phénomène. Ces courants, ces tendances qui pouvaient paraître anecdotiques se sont installés durablement et forment un nouveau style de vie qui est tout sauf marginal chez les jeunes. C'est passionnant et je voulais raconter une aventure contemporaine dans ce milieu. »
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Hak Hap|Daniel Lee|Action||3|hong-kongais|1996|95|Chinois||DIV3|||DIV3|950 Kbps|720x416|WMA2|64.1 Kbps|False|44.1 KHz|2|696||||25.000|10/08/2009 00:00:00|Charles Heung|Teddy Chan Ann Hui Koan Hui Joe Ma Tsui Hark|Tony Cheung||||Michael est l'un des cobayes d'un projet visant à créer des super-soldats. Lorsque ledit projet est annulé, il tente de retrouver une vie normale en devenant libraire. Mais certains des cobayes sont devenus de dangereux meurtriers et, devant l'impuissance des forces de l'ordre, Michael s'engage à les combattre. Pour cacher sa véritable identité, il utilise alors un masque et devient le super-héros Black Mask. |Jet Li (Tsui Chik)@Lau Ching-Wan (L'inspecteur Shek)@Karen Mok (Tracy Lee)@Francoise Yip (Yuek-Lan)@Patrick Lung (Le commandant Hung)@Anthony Wong Chau-Sang (King Kau)@Matt McKenzie (la voix de l'Inspecteur Shek)@Xin Xin Xiong (L'homme de main de King Kau)@||||||||||||@@
Black Mask 2 : City of Masks|Tsui Hark|Action||1|américain, hong-kongais|2002|97|Anglais||XviD|||XVID|866 Kbps|720x288|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|677||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Tsui Hark Charles Heung|Julien Carbon Laurent Courtiaud Jeff Black Charles Cain Tsui Hark|Wing-Hung Wong||||Black Mask doit contrecarrer les plans d'une organisation criminelle qui projette de faire exploser une bombe bactériologique qui pourrait provoquer des mutations génétiques chez les humains. |Tobin Bell (Moloch)@Jon Polito (M. King)@Teresa Herrera (Dr. Marco Leung)@Tyler Mane (Thorn)@Scott Adkins ( Lang)@Sean Marquette (Raymond)@Oris Erhuero (Wolf)@Michael Bailey Smith (Ross)@Andy On (Black Mask)@||||||||||||@@
Guess Who|Kevin Rodney Sullivan|Romance||2|américain|2005|104|Anglais||XviD|||XVID|791 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|130 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Jason Goldberg Ashton Kutcher Bernie Mac Erwin Stoff Jenno Topping|William Rose David Ronn Jay Scherick Peter Tolan|Karl Walter Lindenlaub||Columbia Pictures||Percy Jones est un chef de famille à l'ancienne, pétri de mâles certitudes, qui se targue d'avoir toujours raison. Lorsque sa fille, Theresa lui annonce la visite de son nouveau petit ami, Simon, Percy ne soupçonne guère que celui-ci s'apprête à annoncer leurs fiançailles : aux yeux du redoutable pater familias, aucun homme ne sera jamais digne de son "bébé"... |Bernie Mac (Percy Jones)@Ashton Kutcher (Simon Green)@Zoe Saldana (Theresa Jones)@Judith Scott (Marilyn Jones)@Hal Williams (Howard Jones)@Kellee Stewart (Keisha Jones)@Robert Curtis Brown (Dante)@RonReaco Lee (Reggie)@Paula Newsome (Darlene)@Phil Reeves (Fred)@Sherri Shepherd (Sydney)@Nicole Sullivan (Liz Klein)@Jessica Cauffiel (Paula)@JoNell Kennedy (Winnie)@Niecy Nash (Naomi)@Kimberly Scott (Kimbra)@Denise Dowse (Lisa)@J. Kenneth Campbell (Nathan Rogers)@Chad Gabriel (le serveur)@Alex Morris (le prédicateur)@James Eckhouse (l'ouvrier 1)@||Secrets de tournage :
On remet le couvert
Black/white est le remake "inversé" de la comédie à succès Devine qui vient dîner ? (1968) de Stanley Kramer avec, dans le rôle des parents blancs dépités, le couple mythique Spencer Tracy-Katharine Hepburn (réunis à l'écran pour la dernière fois : le comédien décèdera quelques jours seulement après la fin du tournage), et, dans celui du fiancé noir, Sidney Poitier. Cette étude de moeurs sur les mariages mixtes obtiendra dix nominations aux Oscars en 1967, et recevra finalement deux récompenses, l'une pour le scénario de William Rose (qui signa également le script de Tueurs de dames), l'autre pour Hepburn, sacrée Meilleure actrice.
Sucess story
Ashton Kutcher révélé dans That 70's show est rapidement devenu la coqueluche d'Hollywood. Star montante du cinéma, il est également à la tête de sa maison de production Katalyst Films qui a coproduit le film, mais également le show à succès Punk'd sur MTV dont Kutcher est le créateur et le présentateur.
Hommage aux comédies hollywoodiennes
L'acteur Bernie Mac confie que Black & white rend d'une certaine façon hommage aux comédies américaines. Il explique : "J'ai grandi au contact de classiques dont les acteurs m'ont inspiré et motivé. J'aimais la puissance dramatique d'un film comme Devine qui vient dîner ?. Spencer Tracy et Sidney Poitier y affirmaient leurs personnalités et leurs positions avec une incroyable éloquence". Le film incorpore aussi plusieurs thèmes classiques comme l'angoisse d'un père qui réalise que sa petite fille a grandi et va bientôt appartenir à un autre, un thème déjà traité avec succès dans Le Père de la mariée.
Vous dansez ?
Parmi les scènes les plus drôles du film, la séquence du Tango figure en bonne place. Réglée par la chorégraphe Marguerite Derricks, la danse fait un petit clin d'oeil à celle de Jack Lemmon et Tony Curtis dans Certains l'aiment chaud. Marguerite Derricks commente : "C'est une danse ultra-sexy, et j'ai pensé que ce serait amusant de voir Simon l'apprendre à Percy. La chorégraphie est très stricute ce qui rend l'interprétation encore plus drôle.
Un bracelet à prix d'or...
Pour éviter les problèmes avec les diverses communautés religieuses, et plus largement tout prosélitisme, environ 100 000 dollars du budget du film ont été utilisés pour faire disparaître numériquement le bracelet rouge de la Kabbale qu'arbore Ashton Kutcher dans chacune des scènes.
Changement de titre
A l'orignine, le projet devait s'intituler The Dinner party.
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Blade|Stephen Norrington|Fantastique|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|1998|115|Anglais||DX50|||DX50|700 Kbps|720x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|693||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Robert Engelman Wesley Snipes|David Goyer|Theo van de Sande|||Saga : Blade |Mi-homme mi-vampire, possédant toutes les qualités des goules et aucune de leur faiblesse, capable de vivre en plein jour, Blade traque sans pitié les suceurs de sang. Aidé de Whistler, son mentor et armurier, il est le cauchemar de la Nation Secrète des Vampires, dont les membres infiltrent toutes les couches de la société. L'un d'eux, Deacon Frost, avide de pouvoir, souhaite asservir le monde et la race humaine en invoquant le Dieu du sang. Un seul homme peut se mettre en travers de son chemin : Blade... |Wesley Snipes (Blade / Eric)@Stephen Dorff (Deacon Frost)@Kris Kristofferson (Abraham Whistler)@Udo Kier (Dragonetti)@N'Bushe Wright (Docteur Karen Jenson)@Donal Logue (Quinn)@Stephen Norrington (un vampire)@Donna Wong (Infirmière)@Kevin Patrick Walls (Officier Krieger)@Gerald Okamura (Un chef vampire)@Jeff Imada (Henchman (non crédité))@Clint Curtis (Un homme à la morgue)@Frankie Ray (Un chef vampire (non crédité))@Ted King (Un vampire à la discothèque (non crédité))@Ted King (Un vampire à la discothèque (non crédité))@Ted King (Un vampire à la discothèque (non crédité))@Sidney Liufau (Le portier japonais)@John Enos III (Le videur de la boîte de nuit)@Nikki DiSanto (Une victime d'un vampire (non créditée))@Traci Lords@Sanaa Lathan@Tim Guinee (Dr Curtis Webb)@Sanaa Lathan (Vanessa Brooks)@Traci Lords (Racquel)@Matt Schulze (Crease)@Eric Edwards (Pearl)@Arly Jover (Mercury)@Kenny Johnson (Heatseeking Dennis)@Judson Scott (Pallantine)@||Secrets de tournage :
D'où viens-tu Whistler ?
Au départ, le personnage de Whistler ne faisait pas partie de l'univers de Blade, il fût intégré en caméo avec le personnage de Blade lors de sa rencontre avec Spider-Man. Il plu tellement aux dirigeants de Marvel qu'il fût ensuite définitivement intégré à l'univers de Blade et, plus largement, à celui de Marvel.
Changement de méchant.
Au départ, les producteurs avaient songés à Jet Li pour jouer le rôle de Deacon mais ce dernier donna sa préférence à un autre projet chaud d'Hollywood : L'arme fatale 4.
3 acteurs pour un rôle.
Quand David Goyer proposa le projet aux dirigeants de New Line, ceux-ci avaient 3 noms en tête pour le rôle principal : Denzel Washington, Wesley Snipes et Laurence Fishburne. Ce fût finalement la star du cinéma d'action qui joua le rôle de Blade, celui que Goyer imaginait le plus dans la peau du personnage.
Un méchant apprécié.
Le personnage de Deacon Frost fût récompensé du prix du meilleur méchant aux MTV Movie Awards en 1998, à égalité avec le personnage de Matt Dillon dans "Mary à tout prix".
Changement de fin.
Dans la première version du film, le combat entre Blade et Deacon ne devait pas se passer exactement de la même façon. Il était prévu que Deacon prenne la forme de la Magra, c'est à dire une forme assez vague de couleur rouge sang, à l'apparence de gélatine. Mais, à cause d'un rendu assez médiocre et après des screen-tests faisant ressortir l'attachement du public pour le personnage de Deacon, on choisit de montrer un combat entre les 2 personnages, sans la transformation. Cette scène est disponible en bonus des éditions DVD.
Une vieille blessure.
Dans la scène où il se bat avec le personnage de Karen, Donal Logue s'est rebrisé la machoîre. Il se l'était cassé plusieurs années auparavant, lors d'un accident de moto.
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Les contributeursCe film a reçu 6 contributions, pour les secrets de tournage, de: scottfree
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Blade II|Guillermo Del Toro|Fantastique|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|2002|110|Anglais||DX50|||DX50|756 Kbps|496x272|MPEG-1 Audio layer 3|120 Kbps|False|48.0 KHz|2|703||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Wesley Snipes Patrick J. Palmer Peter Frankfurt|Marv Wolfman Gene Colan David Goyer|Gabriel Beristain||New Line Cinema|Saga : Blade |Blade, un être mi-homme mi-vampire, s'est juré d'exterminer jusqu'au dernier ces créatures assoiffées de sang qui ont tué sa mère et l'ont contaminé. Epaulé par Whistler, son mentor, il est bientôt rejoint par Scud, un informaticien fidèle à sa cause depuis que Blade l'a sauvé des crocs des vampires. Face à eux, un groupe de vampires d'élite connu sous le nom de Bloodpack. Dirigée par la jeune Nyssa, une experte en arts martiaux, cette équipe s'entraîne dans un seul but : tuer Blade.Mais les priorités changent. Une nouvelle menace vient de faire son apparition sous les traits de Jared Nomak. Ce dernier est l'hôte d'un virus hautement contagieux et mortel pour l'homme et les vampires. Les deux races vont devoir unir leurs forces pour éliminer Jarek et les Reapers, une nouvelle espèce de créatures qu'il a engendrée. |Wesley Snipes (Blade)@Kris Kristofferson (Whistler)@Ron Perlman (Rienhardt )@Léonor Varela (Nyssa )@Luke Goss (Jared Nomak)@Norman Reedus (Scud )@Donnie Yen (Snowman )@Thomas Kretschmann (Damaskinos )@Marla Welsh (Venus)@Tony Curran (Priest)@Danny John Jules (Asad)@Daz Crawford (Lighthammer)@Matt Schulze (Chupa)@Marit Velle Kile (Verlaine)@Santiago Segura (Rush)@Tarek Vasut (Golem)@Xuyen Valdivia (Jigsaw)@Karel Roden (Kounen)@Ladislav Beran (Un dealer)@Pete Lee Wilson (Un docteur)@Andrea Miltner (Une infirmière)@Paul Kasey (Un garde)@Karel Vavrovec (St. Cloud)@Milos Kulhavy (Little G)@Ivan Mares (Tea Bag)@André Hyde-Braithwaite (Blade jeune)@Jiri Sieber (Un garde)@Jaroslav Peterka (Choad)@||Secrets de tournage :
Des monstres inspirés des sangsues
Pour le design de ses monstres, nouvelle race de vampires encore plus féroces, Guillermo Del Toro s'est inspiré du monde animal, plus particulièrement des sangsues. "J'aimais l'idée d'une créature avec une gueule qui occupe la moitiés de son visage", explique le metteur en scène, "Nous avons débouché sur une créature dont le système nutritif est caché, protégé jusqu'à ce qu'elle en ait besoin pour manger".
La "L-cam"
L'action frénétique de Blade 2 a nécessité la création d'une nouvelle caméra, capable de bouger librement pour suivre les acrobaties de Blade ou de ses adversaires. Créée par l'équipe des effets visuels, la "L-cam" pouvait, selon Guillermo Del Toro, suivre "un plan de Wesley Snipes qui court le long d'un corridor quatre étages au-dessus du sol, puis il fait un saut de 60 mètres et la caméra suit la balle qu'il tire à 20 mètres de lui".
Une centaine de costumes noirs
Eternellement vêtu d'une longue cape noire, Blade a nécessité la création de pas moins d'une centaine de costumes semblables, aux nuances de noirs différentes pour paraître similaires quels que soit l'éclairage et l'action montrée à l'écran.
Tournage à Prague
Après les Etats-Unis de Blade, l'action de Blade 2 se déroule dans une ville d'Europe de l'Est. C'est finalement Prague qui a été choisie, pour des raisons économiques en premier lieu, mais aussi parce que la capitale tchèque pouvait donner au film l'allure "techno-gothique" désirée par son réalisateur. D'autres prises de vue ont également été effectuées à new York et à Toronto.
Les combats de Donnie Yen
Combattant athlétique, Blade se devait de mener des batailles à la hauteur de sa réputation. La chorégraphie des combats a ainsi été confiée à l'acteur chinois Donnie Yen, déjà acteur et technicien sur Highlander : Endgame et par ailleurs comédien dans Iron monkey et Il était une fois en Chine 2 : la secte du lotus blanc. Donnie Yen apparaît en outre devant la caméra de Guillermo Del Toro, dans le rôle de Snowman, membre de l'équipe de chasseur de vampire qui entoure Blade.
Les origines de Blade
Né en 1973 dans les pages de Tomb of Dracula de la légendaire maison d'édition de comics Marvel, Blade est tout d'abord un personnage secondaire des aventures du Prince des ténèbres. Très vite, il devient héros de sa propre série, et se voit adapté sur grand écran en 1998 par Stephen Norrington.
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Blade: Trinity|David Goyer|Fantastique|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|2004|108|Anglais||DX50|||DX50|768 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|David Goyer Wesley Snipes|David Goyer|Gabriel Beristain||New Line Cinema|Saga : Blade |A l'aide d'une manipulation d'image aussi géniale que machiavélique, les vampires ont réussi à piéger Blade : sur un document vidéo, on le découvre en train de massacrer... un humain. Pour le FBI, Blade devient l'ennemi à capturer.Pourchassé par les hommes et condamné par les vampires, Blade va devoir se battre sur tous les fronts. Les vampires, qui multiplient les alliances secrètes avec des humains renégats, sont sur le point d'utiliser son propre ADN pour ressusciter celui qui, il y a bien longtemps, fut le premier et le plus puissant d'entre eux.Entre course contre la montre et les pièges qui se multiplient, l'affrontement est total. Cette fois, Blade aussi va devoir montrer les crocs... |Wesley Snipes (Blade)@Kris Kristofferson (Abraham Whistler)@Ryan Reynolds (Hannibal King)@Jessica Biel (Abigail Whistler)@Mark Berry (le chef Martin Vreede)@Dominic Purcell (Drake)@Parker Posey (Danica Talos)@Callum Keith Rennie (Asher Talos)@James Remar (Ray Cumberland)@John Michael Higgins (Edgar Vance)@Francoise Yip (Virago)@Eric Bogosian (Bentley Tittle)@Christopher Heyerdahl (Caulder)@Haili Page (Zoe)@Clay Cullen (Acteur)@Natasha Lyonne (Sommerfield)@Scott Heindl (Gedge)@Steve Braun (Acteur)@Patton Oswalt (Hedges)@Michael Anthony Rawlins (Wilson Hale)@Paul Anthony (Wolfe)@Kimani Ray Smith (Doh)@Ron Selmour (Dex)@Paul Wu (Ellington)@Darryl Scheelar (Le docteur)@Justin Sain (Un garde de sécurité)@Chris Gorak (Un docteur (non crédité))@Kwesi Ameyaw (Un agent)@Kett Turton (Dingo)@Stephen Spender (Un agent)@Brian Steele (Une créature (non crédité))@Cascy Beddow (Flick)@Michael St. John Smith (Un agent du FBI)@Darren McGuire (Emond)@Jill Krop (Une journaliste)@Camille Martinez (La mère hystérique)@Michelle Stoll (L'assistante de Vance)@Johanna Olson (Une danseuse à Shanghaï (non crédité))@Jordan Hoffart (Squid)@John Ulmer (Un garde de sécurité)@Michelle Cook (Un membre du SWAT (non crédité))@John Ashker (Campbell)@Steven McMichael (Denlinger)@Raymond Sammel (Un garde de sécurité)@Simon Pidgeon (Proof)@||Secrets de tournage :
David Goyer de scénariste à réalisateur
David Goyer, qui était scénariste du premier film, puis scénariste et producteur du second, endosse ici en plus la fonction de réalisateur.
Peter Frankfurt, producteur, confie : " Que David ait pris la direction totale du projet est un véritable atout. Après tout, c'est lui qui a inventé cette franchise, avec Wesley Snipes, lui qui a écrit les trois scénarios. Il a une connaissance complète du personnage et a largement contribué à le développer. Sur le tournage de Blade trinity, nous avions tous le sentiment que Blade n'avait vécu ses deux premières aventures que pour mieux affronter celle-là... "
Plus ancré dans la réalité et les arts martiaux
Le producteur Peter Frankfurt explique ce qui différencie le troisième film des deux premiers : " Blade trinity est l'occasion de pousser le personnage dans des situations inédites. Cette fois, il ne livre plus seulement un combat de l'ombre, il est aussi confronté au FBI. La réalité étant plus présente, la guerre secrète que livre Blade n'en prend que plus de force. Blade 2 était plus orienté vers les effets des créatures. Dans ce nouveau volet, bien qu'il y ait évidemment des effets créatures, nous nous orientons davantage vers le monde de l'action et des arts martiaux."
Du sang neuf pour la saga
Dernières recrues, Jessica Biel, Ryan Reynolds, le catcheur Triple H et Parker Posey viennent apporter du sang neuf à la saga Blade. La première incarne Abigail, fille de Whistler et l'un des membres principaux des Nightstalkers, le second Hannibal King, un héros de bande dessinée motivé par le désir de vengeance, le troisième Grimwood, le "Terminator" des vampires, tandis que la quatrième interprète Danica Talos, la chef des vampires.
Cascades et préparation physique au programme
Jessica Biel et Ryan Reynolds ont suivi une préparation rigoureuse : exercices physiques, entraînement au combat et régime alimentaire adapté. L'actrice a impressionné l'équipe par son talent naturel pour exécuter des cascades et des chorégraphies de combat complexes. Chuck Jeffreys, chorégraphe des combats et expert en arts martiaux et cascades, explique : " Jessica a cette aisance naturelle qu'on ne croise que rarement. J'ai travaillé avec des cascadeurs professionnels qui sont incapables d'apprendre les mouvements aussi rapidement qu'elle ! "
David Goyer souligne : " C'est aussi une des caractéristiques de ce film : nous avons fait très peu appel à des doublures pour les cascades." Ryan, Jessica et Dominic Purcell se sont entraînés pendant plus de trois mois avant le début du tournage, tous les jours, quatre heures par jour. Des poids, de la course, des combats, du tir à l'arc et de l'escrime... Sauf pour les cascades vraiment extrêmes comme les chutes de grande hauteur ou les scènes faisant appel à la pyrotechnie, les acteurs se sont complètement impliqués dans les séquences d'action.
Le style visuel du film
Blade trinity se situant dans le monde contemporain réel, son style visuel et ses ambiances se démarquent de ceux de ses deux prédécesseurs.
David Goyer souligne : " La palette de couleurs dans le premier Blade comportait beaucoup de bleus. Dans Blade 2, il y avait des ocres et des jaunes. Ici, parce que nous avons tourné à Vancouver, il y a beaucoup de verts et de lumières fluorescentes. Il y a en effet à Vancouver des lois qui obligent les immeubles de bureaux à avoir des vitres vertes, on appelle aussi cette ville la cité d'Emeraude, et nous avons décidé d'inclure cela dans le film. "
Gabriel Beristain, le directeur de la photo, poursuit : " La lumière de ce troisième film correspond à l'évolution émotionnelle de Blade. Ses émotions définissent le style visuel du film, son ambiance. Pour la première fois, on voit des décors en lumière vive, qui tranchent avec les décors souterrains à ambiance sombre du deuxième film. "
La construction des décors
La construction des principaux décors du film a nécessité une équipe de plus d'une centaine de personnes rien que pour la fabrication proprement dite et le département peinture.
Le décor de Phoenix Towers a été construit exactement comme un véritable bâtiment en dur. Deux architectes ont conçu les fondations du décor, l'un a supervisé la structure générale et l'autre tout le reste. Le bâtiment remplit toutes les spécifications sur le plan de l'ingénierie, ce qui a ajouté encore à la complexité du processus de construction. Aucun clou n'a été utilisé : tout est boulonné, soudé ou en béton coulé. Il a fallu trois mois et demi pour construire ce gigantesque décor.
Le quartier général des Nightstalkers est situé sur une barge géante amarrée. Destinée à l'origine à être un restaurant McDonald's pour l'Expo de Vancouver en 1986, la " McBarge " a deux étages de haut et mesure 60 m de long sur 15 de large. Le chef décorateur Chris Gorak raconte : " Elle était en mauvais état, il ne restait pratiquement plus que la coque. Nous avons tout nettoyé et avons ensuite " infiltré " le décor avec tout ce qui a trait aux Nightstalkers et à leur technologie, leurs ordinateurs, leurs armes, l'armurerie, le laboratoire médical et l'infirmerie... "
RZA à la musique
David Goyer voulait que le film dispose d'un son unique, il a donc contacté le compositeur hip hop et membre du Wu-Tang Clan RZA pour développer la musique de Blade trinity. Ce dernier a travaillé avec le compositeur Ramin Djawadi pour composer la bande originale.
Le cinéaste confie : " Son travail sur les films Kill Bill et sur Ghost Dog : la voie du samouraï était époustouflant, et je savais qu'il apporterait à notre film une qualité unique. Il y a quelque chose d'authentique dans sa musique. Il a une oreille pour ce qui est inhabituel et je voulais son empreinte dans toute la BO. J'ai aimé l'idée que RZA vienne enrichir de ses sons et ses rythmes une musique orchestrale plus traditionnelle. "
Hellboy plutôt que Harry Potter et Blade !
Après le succès de Blade 2, Guillermo Del Toro se vit offrir de nombreux projets par les Majors, dont Blade : trinity et Harry Potter et le prisonnier d'Azkaban. Le cinéaste mexicain préféra toutefois donner vie à un projet qui lui tenait à coeur : Hellboy.
Un choix du coeur.
Grand amateur et connaisseur de comics, David S. Goyer fût appellé à la rescousse par Christopher Nolan pour l'aider à l'écriture du scénario de "Batman begins". Un rêve de gosse pour Goyer qui laissa le projet de "Blade Trinity" entre les mains des producteurs en pleine pré-production, ces derniers ne se gêneront pas pour modifier le scénario.
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Blade Runner|Ridley Scott|Science fiction|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|1982|112|Anglais||DX50|||DX50|763 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Michael Deeley|David Webb Peoples Hampton Fancher|Jordan Cronenweth||Warner Bros. France||Dans les dernières années du 20ème siècle, des milliers d'hommes et de femmes partent à la conquête de l'espace, fuyant les mégalopoles devenues insalubres. Sur les colonies, une nouvelle race d'esclaves voit le jour : les répliquants, des androïdes que rien ne peut distinguer de l'être humain. Los Angeles, 2019. Après avoir massacré un équipage et pris le contrôle d'un vaisseau, les répliquants de type Nexus 6, le modèle le plus perfectionné, sont désormais déclarés "hors la loi". Quatre d'entre eux parviennent cependant à s'échapper et à s'introduire dans Los Angeles. Un agent d'une unité spéciale, un blade-runner, est chargé de les éliminer. Selon la terminologie officielle, on ne parle pas d'exécution, mais de retrait... |Harrison Ford (Rick Deckard)@Rutger Hauer (Roy Batty)@Sean Young (Rachel)@Daryl Hannah (Pris)@M. Emmet Walsh (Bryant)@William Sanderson (J.F. Sebastian)@Brion James (Leon)@Joe Turkel (Eldon Tyrell)@Edward James Olmos (Gaff)@Joanna Cassidy (Zhora)@James Hong (Hannibal Chew)@John Edward Allen (Kaiser)@Morgan Paull (Holden)@Hy Pyke (Taffey Lewis)@Bob Okazaki (Howie Lee)@||Secrets de tournage :
Un film, cinq versions !
Il existe pas moins de cinq versions du films. La première qui est la version qui servit pour la projection-test aux spectateurs, est devenue rarissime. Puis vient la copie sortie en 1982. C'est la version la plus controversée et incriminée, puisqu'elle correspond au montage voulu par la Warner, au détriment de la vision de Ridley Scott. La version européenne du premier montage est (très) sensiblement différente. Elle rajoute notamment plusieurs plans violents. En 1989, un cadre de Warner Bros., Michael Arick, découvre par hasard une copie 70 mm du film, alors qu'il faisait des recherches sur le film Gypsy. Projetée dans divers festivals, le film obtient un franc succès, et on murmure que ce serait la version originale de Blade Runner. Après visionnage, Ridley Scott affirmera qu'il ne s'agit pas de son director's cut. Devant le succès des projections, Warner décide de financer une ressortie du film en 1992, assortie d'un nouveau montage. Bien que labelisé director's cut, le cinéaste n'a toutefois pas eu le champ totalement libre, même si cette version se rapproche de celle qu'il a toujours voulu. Alors que les fans ont, en vain, guettés une ultime version pour le 20ème anniversaire du film en 2002; ce n'est finalement qu'en décembre 2007 que Ridley Scott livre la version définitive de ce chef d'oeuvre absolu de la Science-Fiction.
Genèse d'un projet
A l'origine, c'est l'acteur Hampton Fancher qui acquiert les droits de l'oeuvre de Philip K. Dick, pour une somme modeste. Projettant un temps de mettre lui-même en chantier le film, il présente le script au producteur Michael Deeley, encore auréolé des 5 d'Oscars de Voyage au bout de l'enfer. La SF a alors le vent en poupe, comme en témoigne les immenses succès au box-office de Star Wars en 1977 et Alien. Michael Deeley pense alors à Ridley Scott, et réussi à le convaincre d'abandonner son projet Dune sur lequel il travaille; le laissant finalement à David Lynch. Scott accepte sa proposition, à la condition qu'il réécrive totalement le script. Hampton Fancher écrira une douzaine de versions, avant de baisser les bras. David Webb Peoples reprend alors le script, et arrive à convaincre Scott de se détacher davantage de l'oeuvre.
L'influence du Film Noir
"Deckard, c'est Philip Marlowe" déclara Ridley Scott. Une référence plus qu'explicite au personnage créé par Raymond Chandler, et immortalisé à l'écran par Humphrey Bogart dans Le Grand sommeil (Howard Hawks, 1946). Scott intègre dans son film de nombreux codes du Film Noir, dont l'incontournable imperméable porté col relevé, la pluie, la saleté, la nuit, le cynisme des personnages...Même la voix off, qui au départ ne devait pas envahir tout le film comme c'est le cas pour le montage de 1982, devait rappeler les classiques monologues des films du genre.
Des exigences précises
Pour des raisons de budget, le décor prévu, qui était une ville glaciale prise dans une tempête de neige, est rapidement devenu une mégalopole tentaculaire et surtout sombre, sale, nocturne, et fouettée en permanence par la pluie. Ridley Scott a été particulièrement exigeant sur le degré de crédibilité : état de vétusté des bâtiments qui côtoient d'immenses grattes-ciels; trottoirs grouillant de monde, toute puissance du monde de la publicité avec des pannaux géants à perte de vue, costumes réalistes qui rappellent la mode des années 30. En d'autres termes, un look rétro-futur. L'influence de l'univers du dessinateur Jean Giraud, alias Moebius, a aussi été importante
. Ce dernier a d'ailleurs été graphiste sur Alien.
A propos du titre
Le titre du film ne correspond évidemment pas à celui de l'oeuvre de Philip K. Dick ("Do Androids Dream of Electric Sheep ? "). Littéralement, Blade Runner siginifie "Celui qui court sur le fil du rasoir". Il fut acheté à l'auteur William S. Burroughs (à qui l'on doit "Le festin nu", adapté à l'écran en 1991 par David Cronenberg), qui dans les années 1950 écrivit un livre curieusement intitulé "Blade Runner : le film". La deuxième source pour le titre provient d'un autre roman de science-fiction écrit dans les années 1970 par Alain Nourse, et portant le titre de...Bladerunner !
La caution des scientifiques
Lors d'un sondage publié en 2004 par le quotidien Britannique The Guardian, qui demandait à soixante scientifiques de renoms de nommer leurs dix meilleurs films de SF, Blade Runner a été classé comme meilleur film de science fiction de tous les temps; juste devant 2001 : l'odyssée de l'espace.
Un air hypnotique
La musique de Blade Runner est l'un des thèmes musicaux les plus célèbres du cinéma. On la doit au compositeur Vangelis (de son vrai nom Vangelis Papathanassiou), qui travaille presque exclusivement avec des instruments électroniques. En 1981, il remporte l'Oscar de la Meilleure musique pour les Les Chariots de feu, autre morceau mythique du monde des BO de films. Il a été nominé deux fois aux Golden Globe; la première en 1982 pour la BO de Blade Runner; la seconde en 1993 pour celle de 1492 : Christophe Colomb, autre film de Ridley Scott mais qui n'a pas remporté le succès escompté.
De Barman à généticien
Peu connu du grand public, l'acteur Joe Turkel interprétait le très inquiétant barman dans Shining, qui peuplait l'imaginaire halluciné de Jack Nicholson dans le film de Stanley Kubrick. Dans Blade Runner, il prête ses traits au tout puissant généticien Eldon Tyrell.
Un designer de renom
Très peu connu du grand public, Syd Mead, dessinateur industriel de renom, concepteur de véhicules pour le groupe Ford et Chrysler, a travaillé sur des films tels que Star Trek et Tron. Crédité au générique au titre de "futuriste visuel", c'est à lui que l'on doit tous les designs des moyens de transport dans le film, dont les fameux Spinners, une trentaine de véhicules, les rues, les bâtiments...Et même le célèbre appareil permettant aux Blade Runner de faire le test de Voight-Kampf. Il fit ses créations en un temps record : à peine cinq mois seulement !
Un director's cut précurseur
La version de Blade Runner sortie en 1992 est l'une des toutes premières à porter la mention "Director's Cut", dans laquelle le réalisateur pouvait faire un remontage et ajouter des éléments qui correspondaient davantage à sa vision. Si dans les années 2000 cette pratique du "Director's cut" est devenue à la fois très courante mais aussi un argument marketing de poids, il n'en allait pas de même au début des années 1990.
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Joanna Cassidy, 25 ans après
A l'occasion de la ressortie mondiale de Blade Runner dans sa version Final Cut, Ridley Scott a de nouveau fait tourner Joanna Cassidy (Zhora) pour certaines scènes qu'il estimait inachevées.
Ultime visionnage et question d'ego
Peu avant de mourir d'une crise cardiaque en 1982, Philip K. Dick a pu visionner un montage de 20 minutes de Blade Runner; principalement des scènes dans lesquelles les effets spéciaux étaient quasi-tous finalisés, avec les bruitages, mais sans musique. L'écrivain fut véritablement très impressionné du travail accompli par l'équipe entourant Ridley Scott. L'écrivain déclara que les images qu'il venait de voir correspondaient exactement à la vision qu'il avait lorsqu'il écrivit le livre. De son côté, Ridley Scott, déclara que l'aspect visuel du film correspondait exactement à ce qu'il voulait, mais qu'en revanche il n'avait jamais lu la nouvelle de Philip K. Dick...
Nom de code : Répliquants
Un regard bleu d'acier, une musculature taillée pour le combat, et un charisme certain : Rutger Hauer compose un impressionnant Roy Batty, le Nexus 6 qui prend la tête de la rébellion des Répliquants. C'est en le voyant dans Soldier of Orange (1977) de Paul Verhoeven que Ridley Scott, impressionné par son jeu, décida de le contacter pour le rôle de Roy.
La thématique des animaux
Dans l'oeuvre de Philip K. Dick, la disparition des animaux est la conséquence directe de la pollution de la planète et de la guerre nucléaire. Dans le film, cette absence est soulignée par de nombreuses allusions. Ainsi, le tout-puissant Docteur Tyrell Joe Turkel) est associé à un Hibou; animal traditionnellement lié à une certaine sagesse. Zora quant à elle possède son serpent...synthétique. Il existe bien d'autres références dans le film. A vous de les trouver !
Les intentions d'un cinéaste (1)
La parole à Ridley Scott, qui s'exprime en 1993, peu après la ressortie de son film : "Une partie de l'action de Blade runner se déroule dans les bas-quartiers d'une mégalopole qui pourrait être un mélange de Chicago et New-York, si ces deux villes venaient à fusionner. Le film est un thriller futuriste. Nous espérions avoir créé un décor totalement crédible et réaliste, bien qu'il soit également riche, exotique et bariolé. Nous avons commencé par dessiner des voitures aérodynamiques et étincelantes, mais elles nous ont semblé trop futuristes et nous sommes repartis dans une autre voie pour ne pas détruire cette sensation de familiarité."
Les intentions d'un cinéaste (2)
"Le film illustre ce qui se produirait si la fabrication de réplicants se faisait à l'échelle industrielle. Nous avons imaginé qu'une firme était devenue suffisamment puissante pour développer des recherches spatiales et génétiques susceptibles d'aboutir à la création du premier clone humain. Blade runner n'est pas un avertissement sur le futur, mais un divertissement : l'action est rythmée, violente, les personnages pittoresques. Le cinéma présente habituellement le futur sous des dehors austères, incolores, stériles et glacés. J'ai le sentiment que nous allons dans une direction toute différente. Pensez à ce que sont Chicago et New-York aujourd'hui et au surpeuplement qu'elles connaissent. Certains bâtiments devront être rasés, mais on ne rase pas l'Empire State Building : cela coûterait aussi cher que de le reconstruire. Plutôt que d'abattre les façades des immeubles pour modifier les circuits électriques et la climatisation, on trouvera sans doute plus commode d'ajouter de nouveaux éléments, de plaquer du neuf sur de l'ancien. L'architecture sera composite et la ville très richement texturée. La mode n'évoluera pas de façon radicale en l'espace de cinquante ans, et je crois que ç'aurait été une erreur de sacrifier, dans ce film, au style "vêtements argentés et fermeture éclair obliques".
Un python pas factice !
Si Joanna Cassidy, alias Zhora, n 'a pas eu peur de l'énorme serpent qu'elle manipule dans la scène du Lap Dance, c'est surtout parce qu'il s'agissait du sien ! Un python de Birmanie en l'occurence, baptisé...Darling !
Un maître du genre
Les effets spéciaux sont dûs à un véritable maître du genre : Douglas Trumbull. On lui doit notamment les effets spéciaux de 2001 : l'odyssée de l'espace, Silent running (qu'il réalise également), ou encore ceux d'un autre classique du genre : Rencontres du 3ème type. Il a été cité à trois reprises à l'Oscar des Meilleurs effets spéciaux, pour Blade Runner, Rencontres du 3ème type et le premier film de la saga Star Trek. En 1983, il remporte un Special Achievement Award décerné par le London Critics Circle Award pour Blade Runner.
Florilège de critiques
Sorti en France le 15 septembre 1982, le film a déçu la critique et le public, qui n'a pas suivi. Tandis que le magazine Metal Hurlant titre son numéro de septembre 1982 avec "C'est Dick qu'on assassine !", d'autres sont toutes aussi assassines. Celles parue dans La revue du cinéma, image et son (n°375), qui écrit que "c'est à nouveau la race blanche qui triomphera, exactement comme dans Alien"; ou encore la critique du journal Le point, qui s'agace contre l'androïde aryen, échappé d'un cauchemar wagnérien". Quant au magasine Jeune Cinéma (n° 147), il souligne l'atipisme du film : "Blade Runner, c'est un Canada Dry à l'envers. Ca ressemble à un film de science-fiction, une de ces grosses machines hollywoodiennes et pleines d'effets spéciaux, mais pour l'ivresse et la saveur, Blade Runner est beaucoup plus proche de films européens comme Diva ou L'Ami américain."
L'homme est une femme comme les autres
La scène où Pris (Daryl Hannah), le modèle "plaisir" Nexus 6, attaque Harrison Ford, devait être doublée par une gymnaste professionnelle. Mais Ridley Scott lui a tant de fois fait répéter la scène qu'au moment de tourner, la doublure était totalement épuisée. La scène a finalement été tournée avec un gymnaste homme, que l'équipe technique a trouvé lors...de la pause déjeuner !
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Snow White and the Seven Dwarfs|David Hand|Animation||3|américain|1938|80|Anglais||DX50|||DX50|994 Kbps|704x512|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|647||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Walt Disney|Dorothy Ann Blank Richard Creedon Merrill de Maris Otto Englander Earl Hurd Dick Rickard Ted Sears Webb Smith|Maxwell Morgan||Buena Vista Pictures||Blanche Neige est une princesse d'une très grande beauté, ce qui rend jalouse sa belle-mère. Celle-ci demande quotidiennement à son miroir magique de lui dire qu'elle est la plus belle ; mais un jour, le miroir affirme que la plus belle femme du royaume est Blanche Neige. La reine décide alors de la tuer mais le garde chargé de cette tâche ne trouve pas le courage et abandonne Blanche Neige dans la forêt. Perdue, à bout de force, elle échoue dans une maison où habitent sept nains. |Adriana Caselotti (Blanche Neige (voix))@Harry Stockwell (le prince (voix))@Lucile La Verne (la reine (voix))@Moroni Olsen (le miroir magique (voix))@Billy Gilbert (Atchoum (voix originale))@Eddie Collins (Simplet/effetss sonores (voix originale))@Pinto Colvig (Grincheux/Dormeur (voix originale))@Roy Atwell (Prof (voix originale))@Scotty Mattraw (Timide (voix originale))@Otis Harlan (Joyeux (voix originale))@Stuart Buchanan (Le prince (voix originale))@||Secrets de tournage :
Un financier
C'est avec Blanche Neige et les sept nains que la firme Disney a lancé la pratique des droits dérivés, consistant à percevoir un pourcentage sur l'usage de personnages, et qui représente une des entrées majeures de la société aujourd'hui.
Un succès historique
La première eu lieu à Los Angeles en 1937, et le film fut acclamé par le public, procurant au concepteur et initiateur du film un sentiment de revanche. Dans ses trois premiers mois d'exploitation, Blanche Neige et les sept nains attira plus de 20 millions de spectateurs, et le film en comptabilise aujourd'hui plus de 200 millions à travers le monde.
En 1939, Walt Disney reçut un oscar spécial pour le film, reconnaissant son innovation majeure et la naissance d'un genre nouveau au cinéma. Durant cette cérémonie, le producteur reçut en fait une statue de taille normale et sept petites.
Un travail de Titan
La production de Blanche Neige et les sept nains a employé 750 personnes, qui ont travaillé d'arrache-pied durant près de quatre ans, de la conception à la fabrication, cette dernière étape ayant nécessité 18 mois à elle seule. Le budget, initialement de 150000 dollars, atteignit finalement 1,4 millions de dollars.
Les équipes utilisèrent pour la réalisation une caméra multiplane, qui permet de produire un effet de relief.
Un projet à hauts risques
Quand Disney décide de se lancer dans la réalisation d'un long métrage animé, tout le monde crie au suicide. En effet, il s'agit là d'un projet ambitieux, où Disney se montre totalement innovateur. D'ailleurs, l'élaboration du film prendra quatre ans et amènera la firme au bord de la faillite.
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This Boy's Life|Michael Caton-Jones|Drame||3|américain|1994|109|Anglais||DX50|||DX50|701 Kbps|704x288|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|634||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Art Linson|Robert Getchell|David Watkin||Warner Bros. France||Le difficile itineraire d'un adolescent et de sa mere pour sortir d'une situaltion destructive et la retourner a leur profit. |Robert De Niro (Dwight Hansen)@Ellen Barkin (Caroline Wolff)@Leonardo DiCaprio (Toby)@Jonah Blechman (Arthur Gayle)@Eliza Dushku (Pearl Hansen)@Chris Cooper (Roy Hansen)@Carla Gugino (Norma Hansen )@Tobey Maguire (Chuck Bolger)@Kathy Kinney (Marian)@Gerrit Graham (Mr. Howard)@Robert Zameroski (le cuisinier)@Zachary Ansley (Skipper)@Tracey Ellis (Kathy)@Tristan Tait (Jerry Huff)@Travis MacDonald (Psycho)@||||||||||||@@
Into the Blue|John Stockwell|Aventure||2|américain|2006|109|Anglais||XviD|||XVID|739 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|137 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||23.976|28/07/2009 00:00:00|David Zelon|Matt Johnson|Shane Hurlbut||Metro Goldwyn Mayer (MGM)||New Providence, Bahamas. Jared Cole chasse le trésor dans les eaux turquoises des Caraïbes avec un bateau qui prend l'eau et le rêve de faire fortune. Sa petite amie, Samantha Nicholson, s'occupe quant à elle de requins dans les aquariums du plus grand hôtel des Bahamas.Leur vie bascule le jour où Bryce Dunn, avocat très aisé et ami d'enfance de Jared, débarque avec sa copine de la veille, Amanda Collins. Ils entraînent le jeune couple dans une luxueuse villa en bord de mer avec un joli yacht à leur disposition et passent leurs journées sur l'océan et leurs nuits dans les boites du coin. Au cours d'une plongée, ils découvrent l'épave d'un galion espagnol et récupèrent des reliques afin de l'identifier et de s'attribuer la trouvaille. Mais à quelques mètres, une autre épave les attend : un DC3 bourré de drogue... |Paul Walker (Jared Cole)@Jessica Alba (Sam Nicholson)@Scott Caan (Bryce Dunn)@Ashley Scott (Amanda Collins)@Josh Brolin (Bates)@James Frain (Reyes)@Dwayne Adway (Roy)@Chris Taloa (Quinn)@Tyson Beckford (Primo)@Javon Frazer (Danny)@Peter R.V. Bowleg Jr. (Jake)@Clifford McIntosh (Kash)@Adam Collins (Raolo)@Gill Montie (Big Dave)@Dan Ballard (Scuba Bob)@||Secrets de tournage :
John Stockwell se jette à nouveau à l'eau
Après les aventures des quatre surfeuses de Blue Crush, le réalisateur John Stockwell retrouve les joies et les pièges d'un tournage
sur et dans l'eau avec Bleu d'enfer. "J'aime être sur l'eau, avoue le cinéaste, et 70 % de ce film se déroule sur ou sous l'eau. C'était un vrai défi à relever."
Un scénariste à 200 à l'heure !
Matt Johnson, le scénariste de Bleu d'enfer, est un spécialiste du film d'action. C'est lui qui a signé le script de Torque, la route s'enflamme en 2004.
Retrouvailles Paul Walker / Scott Caan
Afin de garder Paul Walker sur le qui-vive pendant tout le tournage, John Stockwell a engagé Scott Caan pour jouer son meilleur ami Bryce Dunn, car les deux acteurs sont également très amis à la ville. Le réalisateur sentait que ces deux-là maintiendraient
une compétition bon enfant sur le plateau. "Ils sont comme des frères, rappelle le réalisateur, mais il existe aussi une certaine rivalité entre eux que j'ai cherché à nourrir pendant le tournage." Les deux comédiens ont déjà travaillé ensemble sur American boys et voulaient depuis réitérer l'expérience.
Jessica Alba, une pro de la plongée
Jessica Alba a révisé ses connaissances en plongée dans les Iles Caïman. L'actrice a en fait appris la plongée en apnée et la plongée avec bouteille pour les besoins de la série télévisée australienne Les Nouvelles aventures de Flipper qu'elle a tournée de 1995 à 1997. "C'est l'élément
liquide qui m'a le premier attirée dans Bleu d'enfer, admet la comédienne. Quand j'étais gamine, je me prenais pour une sirène. Aujourd'hui, j'adore nager
et plonger. Ce monde sous-marin est si calme, si intime, si beau. On l'oublie trop souvent dans notre vie de tous les jours."
Tournage aux Bahamas
Après des repérages en Floride et dans les Iles Caïman, la production a opté pour l'île de New
Providence, aux Bahamas. "La qualité des eaux aussi claires que le cristal nous a attirés ici, mais aussi les requins qui apparaissent dans presque toutes les scènes, précise le producteur David Zelon. Tout comme la beauté sans pareil de l'île et la richesse de la capitale, Nassau, en main d'oeuvre qualifiée et en acteurs talentueux. Nous recherchions un look authentique et John Stockwell voulait engager
un maximum de Bahamiens afin de donner un sentiment de vérité à son film."
L'un de ces premiers Bahamiens à monter à bord de l'aventure était l'expert en plongée et requins, Stuart Cove, qui avait déjà apporté son expertise à des films tels que Opération Tonnerre et Flipper.
Des requins en chair et en os
Les scènes les plus dangereuses ont été tournées avec un requin tigre. Les squales utilisés dans le film sont sauvages et ne pouvaient pas être dressés. Ils ont été capturés sur place, mis dans un enclos, filmés puis relâchés. Pour le réalisateur John Stockwell, utiliser de vrais requins accentuait ce sentiment d'authenticité qu'il désirait pour son film. "On a filmé des plans incroyables avec les acteurs et les requins, explique-t-il. Je veux que les spectateurs réalisent que ces requins sont vrais. Le film ne peut que tirer profit du fait que nous n'utilisons pas d'image de synthèse."
Faire face à la température de l'eau
L'un des problèmes auxquels John Stockwell a dû faire face est la température de l'eau. Bien que situé
dans les eaux tempérées des Caraïbes, le tournage s'est déroulé pendant l'hiver. "De janvier à mars, la température extérieure est plutôt chaude mais l'eau n'est qu'à 21°, remarque le réalisateur. Quand les acteurs plongeaient en apnée vêtus d'un simple short
ou d'un bikini, ils souffraient d'hypothermie après à peine vingt minutes dans l'eau. On peut dire qu'ils se sont mouillés pour ce film."
Pour un maximum de sécurité
Le coordinateur des cascades Mickey Giacomazzi et le responsable de la sécurité pour la plongée Dan Malone se sont assurés que les acteurs ne se blessent pas durant le tournage. Requins, explosifs,
bateaux et armes à feu ont été employés à un moment ou un autre dans ce film et l'instabilité de l'environnement marin a, chaque jour, été un facteur inconnu. Les acteurs principaux ont exécuté la majorité des cascades mais ont laissé les plus dangereuses à trois équipes de cascadeurs. Des plongeurs professionnels étaient également présents en permanence pour la sécurité des comédiens, même quand le tournage n'impliquait pas de requins.
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Blood and Chocolate|Katja von Garnier|Epouvante-horreur||2|roumain, allemand, britannique|2007|98|Anglais||XviD|||XVID|851 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|125 Kbps|False|48.0 KHz|2|695||||23.976|06/08/2009 00:00:00|Daniel Bobker Wolfgang Esenwein Hawk Koch Gary Lucchesi Tom Rosenberg Richard S. Wright|Ehren Kruger Christopher Landon|Brendan Galvin||Metro Goldwyn Mayer (MGM)||Une jeune et jolie jeune femme, Vivian, tente de protéger son secret tout en vivant une vie normale... Mais tout se complique lorsque la jeune femme, à moitié loup-garou, tombe amoureuse d'un humain. Vivian doit alors choisir entre l'amour qu'elle porte à sa famille et à son petit ami et sa condition de loup-garou. Choisira-t-elle le sang ou le chocolat ? |Agnes Bruckner (Vivian)@Hugh Dancy (Aiden)@Olivier Martinez (Gabriel)@Katja Riemann (Astrid)@Bryan Dick (Rafe)@Chris Geere (Ulf)@Tom Harper (Gregor)@John Kerr (Finn)@Jack Wilson (Willem)@Vitalie Ursu (Constani)@Bogdan Voda (Albu)@Kata Dobo (Beatrice)@Rodica Mandache (Madame Bellagra)@Lia Bugnar (la mère de Vivian)@Mihai Calin (le père de Vivian)@Sofia Vladu (la soeur de Vivian)@David Finti (le frère de Vivian)@Pete Lee-Wilson (Krall)@||Secrets de tournage :
Un premier film fantastique
Blood and Chocolate est le quatrième long métrage de Katja von Garnier. Les films réalisés par la cinéaste étaient jusqu'à présent dédiés aux femmes. Making Up ! présente les nouvelles femmes des années 90, Bandits suit un groupe de rock féminin et Iron jawed angels parle du combat pour le droit de vote des femmes. C'est donc la première fois que Katja von Garnier réalise un film fantastique.
D'après une oeuvre littéraire
Le film de Katja von Garnier est l'adaptation du livre Blood and Chocolate d'Annette Curtis Klause.
24 heures pour Agnes Bruckner
L'actrice principale, Agnes Bruckner tient le rôle de Linda dans cinq épisodes de la saison 3 de la série 24 heures chrono.
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Blood Diamond|Edward Zwick|Aventure|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain, allemand|2007|137|Anglais||DX50|||DX50|1 250 Kbps|704x288|MPEG-1 Audio layer 3|160 Kbps|False|48.0 KHz|2|1395||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Gillian Gorfil Marshall Herskovitz Graham King Paula Weinstein Edward Zwick|Charles Leavitt|Eduardo Serra||Warner Bros.||Alors qu'il purge une peine de prison pour ses trafics, Archer rencontre Solomon Vandy, un pêcheur d'origine Mende. Arraché à sa famille et forcé de travailler dans les mines diamantifères, ce dernier a trouvé - et caché - un diamant rose extrêmement rare. Accompagnés de Maddy Bowen, une journaliste idéaliste, les deux hommes s'embarquent pour un dangereux voyage en territoire rebelle pour récupérer le fameux caillou. Un voyage qui pourrait bien sauver la famille de Salomon et donner à Archer la seconde chance qu'il n'espérait plus. |Leonardo DiCaprio (Danny Archer)@Djimon Hounsou (Solomon Vandy)@Jennifer Connelly (Maddy Bowen)@Caruso Kuypers (Dia Vandy)@Arnold Vosloo (le Colonel Coetzee)@Anthony Coleman (Cordell Brown)@Benu Mabhena (Jassie Vandy)@Anointing Lukola (N'Yanda Vandy)@David Harewood (le Capitaine Poison)@Basil Wallace (Benjamin Kapanay)@Jimi Mistry (Nabil)@Michael Sheen (Simmons)@Marius Weyers (Van De Kaap)@Stephen Collins (l'Ambassadeur Walken)@Ntare Mwine (M'Ed)@Bouba Badiane (Tupac T-Shirt)@Ato Essandoh (le Commandant Rambo)@Percy Matsemela (le Commandant Zero)@Ronnie Nyakale (le premier fossoyeur)@Tony Kgoroge (le chef du détachement)@Nick Reding (Le délégué anglais du Département pour le Développement International)@Klemens Becker (le délégué allemand)@Akin Omotoso (le pacificateur)@Chimène Costa (La représentante de la Croix-Rouge)@Tau Maserumule (le premier soldat du RUF)@Adetokumboh McCormack (l'entraîneur du RUF)@Martin Abdul Jabbar (le guarde guinéen)@Dini Nondumo (Un collaborateur Mendé des Nations-Unies)@Grant Swanby (L'officiel de la Commission pour les Droits Humains)@Gaurav Chopra (le journaliste français)@Karl McMillan (le journaliste australien)@David S. Lee (le journaliste Cockney)@Jonathan Pienaar (l'opérateur)@Sonni Chidiebere (Le bras droit de Kamajoor)@Nnamdi Onyeiwu (Kamajoor)@Tyrone Keogh (le stagiaire sud-africain)@Winston Ntshona (le vieillard Mendé)@Carol Behane (la mère près du pont)@Nigel Harman (un reporter)@Clare Holman (un reporter)@Kedibone Tholo (une prostituée)@Koketso Mojela (une prostituée)@Mduduzi Mabaso (un rebelle)@Nathaniel Ramabulana (un rebelle)@Zenzo Ngqobe (un rebelle)@Mlungisi Hlophe (un rebelle)@Nhlanhla Mavimbela (un enfant soldat)@Mfundo Pisani (un enfant soldat)@Phado Bahola (un enfant soldat)@Thabang Mothle (un enfant soldat)@Buhle Seya (un enfant soldat)@Sizwe Makapela (un enfant soldat)@||Secrets de tournage :
Les diamants de la guerre
Le monde entier voit dans les diamants un symbole de richesse, d'amour, de beauté et de glamour, mais en Sierra Leone, ces joyaux étincelants ont une tout autre connotation. Le réalisateur Edward Zwick évoque les "diamants de la guerre" qui sont au coeur du long métrage Blood Diamond : "Les "diamants de la guerre" sont des pierres précieuses, exportées en secret de pays en conflit. Ils servent à acheter des armes, qui provoqueront encore plus de morts et de destructions. Bien qu'ils ne représentent qu'une infime partie des ventes mondiales de joyaux, ils permettent d'acquérir quantité d'armes légères. À la fin des années 1990, des ONG comme Amnesty International, Global Witness et Partnership Africa-Canada leur ont donné un nom : "blood diamonds". Je n'avais encore qu'une vague idée de leur rôle lorsque Paula Weinstein m'adressa ce scénario. Plus j'en ai appris à leur sujet, plus j'ai été horrifié, et plus j'ai été décidé à raconter cette histoire."
Quand le divertissement cohabite avec le discours
Le réalisateur Edward Zwick pense que "la conscience politique peut être éveillée par une oeuvre de divertissement autant que par des discours. Rien ne nous interdit de traiter un thème provocant par le biais d'une histoire palpitante. En tant que réalisateur, je désire avant tout divertir, mais il est permis d'espérer faire bouger les choses en aidant les gens à prendre conscience des problèmes de notre temps. Un film, un livre, une oeuvre d'art ne changent pas à eux seuls la face du monde, mais ils vous permettent au moins de faire entendre votre voix." Leonardo DiCaprio, l'acteur principal de Blood Diamond, va dans le sens du cinéaste : "Ce qui m'a le plus impressionné chez Edward, c'est son désir de faire un film d'aventures porteur d'un message fort."
Les choses qui comptent...
Le réalisateur Edward Zwick résume Blood Diamond : "S'il me fallait résumer d'une phrase le film, je le ferais sous forme de question : "Qu'est-ce qui compte le plus dans une vie ?" Pour l'ancien mercenaire Danny Archer, c'est une pierre précieuse ; pour le pêcheur Solomon Vandy, c'est rejoindre son fils ; pour la journaliste Maddy Bowen, c'est faire aboutir son enquête. Mais le coeur du film, son principal ressort dramatique, est la rencontre d'un homme à la recherche d'un diamant et d'un autre, qui est prêt à tout pour retrouver son enfant."
Polémique autour d'un diamant
La mise en chantier du projet Blood Diamond a provoqué une vive polémique dans l'industrie du diamant, celle-ci redoutant que l'image des diamants dans le monde ne soit ternie par le propos du long métrage. Le porte-parole de la compagnie diamantaire De Beers Group a ainsi déclaré vouloir "s'assurer que les spectateurs sont bien conscients que l'action du film se déroule dans le passé et qu'ils doivent comprendre que l'industrie du diamant a aujourd'hui dépassé cette période de conflits." Un communiqué des studios Warner Bros a tenu, en réponse, à calmer le jeu, déclarant que "le film n'a aucunement l'intention de jeter un voile d'ombre sur toute l'industrie diamantaire."
Le drame des enfants soldats
Au fil de l'écriture de Blood Diamond, une crise d'une tout autre ampleur vint nourrir le propos du réalisateur Edward Zwick. Celui-ci explique : "Le drame des enfants soldats prit à l'époque une résonance particulière. L'exploitation de ces jeunes m'apparut indissolublement liée à celles des ressources du tiers-monde. C'est pour m'en souvenir au début de chaque jour de tournage que j'ai écrit sur la couverture de mon script : "Le joyau, c'est l'enfant.""
L'expérience de DiCaprio
Pour Leonardo DiCaprio, l'expérience Blood Diamond a été particulièrement inédite : "J'ai su dès la lecture du script qu'il y aurait d'importantes recherches personnelles à faire. C'est un des aspects qui m'ont tout de suite attiré vers ce film. Nous devions tous nous immerger dans ce monde et recueillir des témoignages de première main. Devant interpréter un homme originaire de Rhodésie (l'actuel Zimbabwe), il était important que j'entende parler les gens du cru. Tout cela a constitué pour moi une expérience inédite."
Un temps d'avance pour Djimon Hounsou
Originaire du Bénin, l'acteur Djimon Hounsou avait un temps d'avance sur ses partenaires. "L'un des mérites essentiels du film", dit-il, "est de montrer ce qu'affrontent quotidiennement des hommes et femmes de ce continent." S'exprimant sur son personnage, il explique : "Solomon est un simple pêcheur, pris dans la tourmente de la guerre civile. Séparé brutalement des siens, il voit son fils tomber aux mains des rebelles. Dans ce pays, comme dans beaucoup d'États africains, un fils porte tous les espoirs de son père, tous les rêves que celui-ci n'a pu réaliser. Rien n'est plus important aux yeux de Solomon que de sauver cet enfant."
DiCaprio, ce héros...
Le tournage de Blood Diamond a été particulièrement mouvementé. Ainsi, Leonardo DiCaprio aurait littéralement sauvé la vie de son partenaire Djimon Hounsou lorsque celui-ci a été la cible d'un tueur au Mozambique. D'après Hounsou, Leo se serait interposé entre lui et le tireur isolé, provoquant la fuite de l'intrus qui était alors à deux doigts de lui tirer dessus.
Un témoin oculaire
Edward Zwick, qui se qualifie volontiers d'"éternel étudiant", s'appliqua à recueillir un maximum d'informations sur les "pierres de sang", les répercussions de leur trafic, les enfants soldats et la révolution de la Sierra Leone. Au cours de ses recherches, il découvrit sur Internet un autre réalisateur : le documentariste Sorious Samura, dont l'apport se révéla décisif. Il explique : "Son Cry Freetown est la source la plus précise et la plus complète sur la guerre civile de la Sierra Leone. Alors que de nombreux journalistes avaient pris la fuite et qu'une bonne partie du monde avait choisi de fermer les yeux sur ce drame, Samura resta sur place et filma les événements."
Leonard DiCaprio généreux
Durant le tournage sud-africain de Blood Diamond, l'acteur Leonardo DiCaprio a eu un véritable coup de foudre pour une petite orpheline. Après cette rencontre, l'acteur a promis une assistance financière à l'organisme local qui la prenait en charge.
« Préc.
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Blood Trails|Robert Krause|Thriller||1|allemand|2006|86|Anglais||XviD|||XVID|988 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|126 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Oliver Simon|Robert Krause Florian Puchert|Ralf Noack||||Anne, coursière à vélo, grille un feu rouge sous les yeux de Chris, un policier. Ce dernier parvient à la rattraper et séduit la jeune femme. Rongée par le remords, elle propose à son petit ami un week-end romantique en pleine montagne. Mais dès leur première ballade à vélo, Chris fait son apparition et poursuit le couple. Une course mortelle commence alors... |Rebecca R. Palmer (Anne)@Ben Price (Chris)@Tom Frederic (Michael)@J.J. Straub (le garde forestier)@Christian Heiner Wolf (un policier)@Maximilian Boxrucker (un policier)@Johann Daiminger@||||||||||||@@
BloodRayne|Uwe Boll|Fantastique||1|allemand, américain|2005|90|Anglais||DX50|||DX50|944 Kbps|544x288|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Uwe Boll Shawn Williamson Dan Clarke|Guinevere Turner|Mathias Neumann||||Roumanie, 18e siècle. Mi-humaine mi-vampire après le viol et le meurtre de sa mère par le roi des vampires Kagan, Rayne est élevée dans un cirque. Elle y découvre sa vraie nature, mais refuse de tuer des innocents pour étancher sa soif de sang : elle décide alors de se nourrir de vampires et devient BloodRayne. Approchée par Sebastian et Vladimir, deux chasseurs de vampires, elle se joint à la société secrète Brimstone pour tenter d'éliminer son père. Ce dernier convoite trois reliques légendaires qui permettraient aux vampires de prendre le contrôle de la Terre... |Kristanna Loken (BloodRayne)@Ben Kingsley (Kagan)@Michael Madsen (Vladimir)@Michelle Rodriguez (Katarin)@Matt Davis (Sebastian)@William Sanderson (Domastir)@Géraldine Chaplin (la diseuse de bonne aventure)@Billy Zane (Elrich)@Matthew Davis@Michael Pare@Udo Kier (Regal Monk)@Kofi Yiadom (Vampire Gardien)@Meat Loaf (Léonid)@Mike Dopud (Gregor)@||||||||||||@@
Blow Out|Brian De Palma|Thriller||3|américain|1982|103|Anglais||DX50|||DX50|844 Kbps|704x288|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|32.0 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00|George Litto|Brian De Palma Bill Mesce Jr.|Vilmos Zsigmond||||Alors qu'il enregistre les bruits nocturnes de la nature dans une campagne isolée, un ingénieur du son est témoin d'un accident d'automobile. Mais il va peu à peu s'apercevoir que cet évènement cache en fait une autre réalité... |John Travolta (Jack)@Nancy Allen (Sally)@John Lithgow (Burke)@Dennis Franz (Manny Karp)@Peter Boyden (Sam)@Curt May (Frank Donahue)@John Aquino (le détective Mackey)@J. Patrick McNamara (un détective)@Gérard Depardieu (Jack (voix française))@Deborah Everton (une prostituée)@Archie Lang (le mixeur)@James Jeter (un homme au labo)@Tony Devon (un ami de Sailor)@John McMartin (Lawrence Henry)@Lori-Nan Engler (Sue)@Robin Sherwood@Tim Choate (Sailor)@||Secrets de tournage :
Un remake d'Antonioni
Ce remake de Blow-up (Michelangelo Antonioni, 1967) fut prétexte pour Brian De Palma de rendre hommage à Alfred Hitchcock. Un an après Pulsions, il y dirige à nouveau Nancy Allen, qui, à cette occasion, retrouve John Travolta cinq ans après Carrie au bal du diable.
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The Bodyguard|Mick Jackson|Comédie dramatique||3|américain|1992|124|Anglais||DIVX|||DIVX|661 Kbps|512x296|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|708||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Kevin Costner Lawrence Kasdan Jim Wilson|Lawrence Kasdan|Andrew Dunn||Warner Bros. France||Frank Farmer, ancien agent des services secrets, est un garde du corps emerite qui a mis ses talents a la disposition de deux presidents et de nombreux financiers et politiciens de reputation internationale. Un jour l'impresario Bill Devaney lui propose un contrat avantageux pour assurer la protection de sa cliente Rachel, comedienne et chanteuse en pleine ascension, menacee par un fan inconnu. |Kevin Costner (Frank Farmer)@Whitney Houston (Rachel Marron)@Gary Kemp (Sy Spector)@Bill Cobbs (Bill Devaney)@Ralph Waite (Herb Farmer)@Tomas Arana (Greg Portman)@Debbie Reynolds@Michele Lamar Richards (Nicki Marron)@Mike Starr (Tony Scipelli)@Christopher Birt (Henry)@DeVaughn Nixon (Fletcher Marron)@Gerry Bamman (Ray Court)@Joe Urla (Minella)@Tony Pierce (Dan)@Charles Keating (Klingman)@Robert Wuhl (Oscar Host)@Ethel Ayler (Emma)@Nathaniel Parker (Clive Healy)@||||||||||||@@
Bonnie and Clyde|Arthur Penn|Policier||3|américain|1967|106|Anglais||XviD|||XVID|779 Kbps|640x368|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Warren Beatty|Robert Benton Robert Towne David Newman (II)|Burnett Guffey||Warner Bros. France||La dramatique aventure de deux amants révoltés pendant la grande dépression des années trente aux Etats-Unis, inspirée par un fait reel. Film culte réalisé un an avant les évènements de 1968. |Warren Beatty (Clyde Barrow)@Gene Hackman (Buck Barrow)@Faye Dunaway (Bonnie Parker)@Michael J. Pollard (C.W. Moss)@Estelle Parsons (Blanche)@Denver Pyle (Frank Hamer)@Dub Taylor (Ivan Moss)@Evans Evans (Velma Davis)@Gene Wilder (Eugene Grizzard)@Mabel Cavitt (la mère de Bonnie)@||Secrets de tournage :
Une histoire tirée de faits réels
Le long métrage Bonnie and Clyde est tiré de faits réels. Bonnie Parker et Clyde Barrow, deux jeunes Américains originaires du Texas se rencontrent par hasard en janvier 1930. Elle, serveuse, et lui, poète fumeur de cigares et coiffé d'un béret, s'associent rapidement pour devenir le plus célèbre couple de criminels américains. Durant la période de la Grande Dépression des années 30, ils multiplient braquages et cambriolages, tuant au passage douze personnes, le tout au nez et à la barbe des autorités. En mai 1934, le couple est pris dans une embuscade. L'une des plus folles épopées qu'ait connu l'Amérique prend fin : Bonnie Parker et Clyde Burrow trouvent la mort dans le piège tendu par l'ancien gendarme Frank Hamer. Ils sont inhumés à Dallas.
Un accueil controversé
Avant même sa sortie en salles, Bonnie and Clyde fut critiqué pour la "glamorisation" qu'il faisait des deux tueurs. Sa violence et son humour noir furent également dénoncés. Mais au final, le long métrage reçut un accueil critique (dix nominations aux Oscars) et public impressionnant. L'engouement du jeune public pour le film peut s'expliquer par le fait qu'il met en vedette des héros aux comportements juvéniles, ludiques et en quête d'un épanouissement sexuel. Soit un véritable échappatoire pour une jeunesse alors à la recherche de nouveaux repères.
Les couples hors-la-loi sur grand écran
Si Bonnie and Clyde reste le film du couple hors-la-loi le plus célèbre du septième art, il en existe d'autres. Parmi les films mettant en vedette ce type de héros pas ordinaires, retenons J'ai le droit de vivre de Fritz Lang (1937) et Les Amants de la nuit de Nicholas Ray (1947).
Bonnie Parker sur grand écran
Neuf ans avant la sortie de Bonnie and Clyde, le réalisateur William Witney (Le Retour de Zorro, Le Maître du monde) s'était penché sur le destin de la jeune Bonnie Parker. Dans The Story of Bonnie Parker, l'Américain s'intéresse particulièrement aux méfaits de celle qui deviendra plus tard, en compagnie de Clyde Barrow, l'une des plus grandes figures de la criminalité. Dans le long métrage de William Witney, c'est l'actrice Dorothy Provine qui incarne Bonnie Parker.
Arthur Penn et Warren Beatty
Bonnie and Clyde marque la seconde collaboration du réalisateur Arthur Penn avec le comédien Warren Beatty. Les deux hommes avaient travaillé ensemble deux ans plus tôt sur Mickey One, Beatty n'étant alors qu'acteur, à la différence de Bonnie and Clyde où il cumule les fonctions de comédien et de producteur.
Arthur Penn et Faye Dunaway
A l'instar de Warren Beatty, la comédienne Faye Dunaway compte à son actif une seconde collaboration avec Arthur Penn. Trois ans après Bonnie and Clyde, l'Américaine s'est à nouveau illustrée devant la caméra du cinéaste dans Little Big Man.
Deux Gene à l'écran
Bonnie and Clyde bénéficie des présences de Gene Hackman et de Gene Wilder au générique. Le premier trouve avec le film son premier grand rôle, retrouvant pour l'occasion Warren Beatty avec lequel il avait travaillé trois ans plus tôt sur Lilith. Plus tard, en 1971, il connaît la consécration avec French Connection. Quant à Gene Wilder, c'est ses premiers pas sur grand écran qu'il effectue avec Bonnie and Clyde. Par la suite, il devient notamment un fidèle associé de Mel Brooks pour lequel il tourne Le Sherif est en prison et Frankenstein Junior, mais joue également pour Woody Allen dans Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le sexe... sans jamais oser le demander.
Des scénaristes de renom
Deux scénaristes de renom se sont attelés à l'écriture de Bonnie and Clyde : Robert Benton et Robert Towne. Le premier voit avec Bonnie and Clyde l'occasion de percer dans le septième art. Son scénario est accepté par Arthur Penn (qui en avait rejeté une bonne douzaine auparavant) et sa carrière est lancée : en 1979, Benton réalise le mélodrame Kramer contre Kramer, récompensé de deux Oscars. Quant à Robert Towne, c'est un fidèle de Warren Beatty qui tient régulièrement à s'octroyer ses services, quitte à ne pas le créditer aux génériques de ses films. Benton a ainsi participé à l'écriture de Shampoo, Le Ciel peut attendre ou A cause d'un assassinat.
Un tournage hanté par le couple criminel
Le tournage de Bonnie and Clyde se déroula sur les lieux mêmes où le couple de hors-la-loi commis ses crimes. Un respect de la réalité qui donna à l'équipe du film la sensation de marcher surs les traces de leur légende...
Une doublure célèbre
Bonnie and Clyde marque les débuts professionnels de Morgan Fairchild, alors dans le milieu théâtral de Dallas, et qui allait ensuite devenir une vedette du petit écran aux Etats-Unis. Dans le long métrage d'Arthur Penn, la jeune femme officie en tant que... doublure de Faye Dunaway.
« Préc.
France : la Bonnie and Clyde-mania
Bonnie and Clyde remporta un joli succès en France (près de 1,9 millions d'entrées). Sorti au début de l'année 1968, le film influença considérablement la jeunesse de l'époque qui, pris d'affection pour le style rebelle des héros, emprunta le code vestimentaire de ces derniers. Il n'était ainsi pas rare de croiser de jeunes gens au "look" très Bonnie and Clyde dans les rues de Paris : béret, jupe longue, cheveux blonds lisses...
Diffamations abusives
Devant l'inattendu succès public rencontré par Bonnie and Clyde, de nombreuses personnes estimèrent avoir été diffamés et réclamèrent des dommages et intérêts en conséquence. Parmi celles-ci, retenons la soeur de Bonnie Parker, le neveu de Clyde Burrow ou encore le fils du Capitaine Hamer.
D'un refus...
A l'origine, le producteur Warren Beatty souhaitait embaucher François Truffaut pour incarner le personnage de Clyde Barrow. Devant le refus du Français, pris par la réalisation de Fahrenheit 451, et après avoir songé à Jean-Luc Godard, Warren Beatty se donna finalement lui-même le rôle.
... à l'autre
A l'origine, le rôle de Bonnie Parker a été proposé à la comédienne Jane Fonda. Mais celle-ci, vivant en France à l'époque et ne désirant pas s'installer aux Etats-Unis le temps du tournage, a refusé l'offre. C'est finalement Faye Dunaway qui a incarné le personnage à l'écran.
1968 : une forte présence aux Oscars
Bonnie and Clyde a été l'un des films les plus en vue lors de la cérémonie des Oscars en 1968. Nommé dans pas moins de dix catégories (dont les principales), le long métrage d'Arthur Penn n'est reparti qu'avec deux statuettes : Meilleur actrice dans un second rôle pour Estelle Parsons et Meilleur photographie pour Burnett Guffey. Une déception au regard du nombre de nominations et du succès public remporté par le film.
« Préc.
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Bouquet final|Michel Delgado|Comédie||3|français|2008|96|Français||XviD|||XVID|871 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|126 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Sylvie Pialat Christophe Riandée|Michel Delgado|Pascal Gennesseaux||Gaumont Distribution||Recruté comme directeur commercial Paris d'une entreprise américaine de pompes funèbres, Gabriel part trois mois en stage sur le terrain aux côtés de Gervais Bron, quinze ans de métier. Il parvient à dissimuler son nouveau job à ses parents et à son amoureuse, Claire, qui voient en lui un grand musicien, jusqu'au jour où il vend des obsèques à prix d'or à un vieux monsieur qui n'est autre que le grand-père de Claire... |Didier Bourdon (Gervais Bron)@Bérénice Bejo (Claire)@Marc-André Grondin (Gabriel)@Chantal Neuwirth (Evelyne)@Gérard Depardieu (Hugo)@Marthe Keller (Nickye)@Anne Girouard (Natacha)@Valérie Bonneton (Marie Thanato)@Marilu Marini (Carmen)@Michel Galabru (M. Froissard)@Philippe Laudenbach (Le général)@Matthew Géczy (Loxman)@Armando Gamberini (M. Pedretti)@Daniel Isoppo (Le représentant piano)@Jean-Pierre Tagliaferi (Le chef gitan)@Valérie Zarrouk (La fille du grand-père)@Husky Kihal (Le producteur)@Cyrille Eldin (Cyril)@Fabrice Blind (Régis)@Stefan Elbaum (L'instructeur para)@Patricia Couvillers (Jeannou)@Alexandre Caumartin (Damien)@Camille Ghanassia (L'adolescente)@||Secrets de tournage :
Genèse du projet
C'est juste après la fin du tournage de L'Enquête corse que Michel Delgado, qui avait officié comme scénariste sur le film, fut mis en contact avec la productrice Sylvie Pialat grâce à Gaumont. Malgré leurs univers totalement différents, ils se sont rencontrés et le réalisateur a pu se rendre compte que la veuve de Maurice Pialat avait un grand sens de la comédie. "Elle m'a proposé les pompes funèbres comme sujet, se souvient le cinéaste. Cet univers a tout de suite trouvé un écho en moi, à la fois pour le potentiel de comédie et pour des raisons plus personnelles. J'arrivais au terme de douze années de psychanalyse et en apprenant que l'on me proposait ce sujet, mon thérapeute a beaucoup ri ! La mort n'est pas un sujet facile. J'éprouvais à la fois une appréhension et une attirance. C'était le destin !"
Journaliste de formation, Michel Delgado a d'abord commencé par se documenter en profondeur avant de faire son travail de scénariste. Son enquête ne lui a rien épargné : les pompes funèbres, les chambres froides, les fabriques de cercueils, les cimetières, les fours crématoires... "Un vrai parcours initiatique, ironise le metteur en scène. Quel que soit le sujet sur lequel j'écris, poursuit-il, j'emploie toujours la même méthode de documentation parce qu'une comédie doit s'ancrer dans la réalité pour être plus juste. Je suis donc allé à la pêche aux anecdotes, à la recherche d'ambiances, j'ai observé les costumes, les comportements et bien sûr, les rapports avec le client."
Le premier long métrage de Michel Delgado
Connu comme scénariste de L'Enquête corse et de L'Auberge rouge, Michel Delgado fait ici ses premiers pas de réalisateur. Ce dernier explique comment il a abordé ce passage derrière la caméra : "Bien que le passage à l'étape de la réalisation puisse paraître naturel, il n'était pas du tout prévu au départ. J'étais d'abord là pour l'écriture du scénario. Sylvie Pialat et Gaumont cherchaient quelqu'un pour réaliser. C'est Didier Bourdon qui, au cours d'une réunion, a demandé pourquoi je ne le mettrais pas en scène moi-même. Je suis devenu tout rouge et j'ai bégayé de surprise mais je dois avouer qu'au fond, sans l'avoir jamais formulé, cela me tentait. Sylvie Pialat a aussitôt rebondi et l'idée a fait son chemin. Didier, Sylvie, puis Gaumont, ont convaincu les partenaires financiers de me laisser réaliser bien que le projet ne soit pas du tout dans une économie de premier film. Nous avions vingt-sept décors ! Mais quand les choses doivent se faire, elles se font ! C'est grâce à Didier et Sylvie que je me suis retrouvé jeune réalisateur !"
Note d'intention
Pour ce film, Michel Delgado avoue qu'il n'était pas dans une approche anglo-saxonne, plus trash, où chaque situation est poussée à son extrême, mais sur un axe français, plus cartésien, avec la volonté de décrire une réalité sans chercher de situation excessive. "Le film devait être accessible, humainement impliquant, sans se réduire à une suite de gags morbides, explique le cinéaste. Les pompes funèbres sont le contexte du film, mais son coeur est ailleurs, dans des personnages qui eux sont bien vivants. C'est leur parcours dans cet incroyable milieu, leurs rencontres, leur évolution et leurs aventures qui sont le moteur du film."
Le choix des comédiens
Didier Bourdon avait accepté le rôle de Gervais Bron avant même que la réalisation ne soit confiée à Michel Delgado. "Je crois de toute façon que je serais allé vers lui, pour son jeu et son professionnalisme, confie le cinéaste. Il est un atout considérable pour le film. Le casting a d'ailleurs été construit autour de lui. C'est un partenaire de travail fantastique, il propose, il partage. Il est à la fois une mine d'idées et un référent. Dans son jeu, il a la capacité rare de faire passer une humanité, y compris dans les situations les plus drôles. Même dans un fou rire, il n'oublie jamais l'émotion."
Quant à Marc-André Grondin, il a été choisi conjointement avec Sylvie Pialat. "Il apporte une fraîcheur, un côté inédit, explique le réalisateur. J'avais beaucoup aimé C.R.A.Z.Y. Marc-André est quelqu'un de simple, direct, franc, spontané. Il était heureux de faire ce film dont le script l'avait amusé."
Et pour ce qui est de Bérénice Bejo, elle s'est imposée par sa grâce et la justesse de son jeu. "Elle devait cette fois jouer une mère, ce que je ne l'avais jamais vue faire auparavant, ajoute le metteur en scène. Je souhaitais un personnage qui soit l'antithèse de la mère, complètement ancrée dans la réalité, peut-être même un peu trop. Sa rencontre avec Gabriel va lui apporter une bouffée d'oxygène dans sa vie, et une vraie remise en cause..."
Faire rire de bon matin
Le tournage a duré dix semaines et s'est déroulé principalement à Paris. Le fait que de nombreuses scènes soient jouées de bon matin n'a pas été sans poser quelques problèmes à Michel Delgado. "Il est très difficile d'être sur un plateau à huit heures et demi avec des comédiens et de leur dire "Faites-nous rire !, explique le cinéaste. Raconter une histoire drôle à neuf heures du matin n'est pas la même chose que de la raconter le soir à l'apéritif. Je me suis rendu compte que, d'un point de vue biologique, la comédie s'accommode mieux d'un "midi-vingt heures" ! Un très bon horaire. Les comédiens y sont meilleurs dans le registre de la comédie. Les muscles sont plus détendus, ils ont plus de mobilité."
Titre initial et dates de tournage
Avant de s'intituler Bouquet final, cette comédie avait pour titre initial : Des fleurs pour tout le monde. Son tournage s'est déroulé sur Paris du 15 octobre au 21 décembre 2007.
Philippe Laudenbach remplace Jacques Sereys
Philippe Laudenbach a remplacé Jacques Sereys, initialement pressenti dans le rôle du général.
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Muay Thaï Chayia|Kongkiat Khomsiri|Arts Martiaux||2|thaïlandais|2007|112|Thaï||XviD|||XVID|769 Kbps|528x320|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Thanit Jitnukul|Kongkiat Khomsiri Yassapong Phonslip|Sayombhu Mukdeeprom||||Dans les années 70, trois gamins d'un même village thaïlandais se lient d'amitié en pratiquant un art martial ancestral: le MUAY THAI. Alors qu'ils deviennent des hommes et des boxeurs aguerris, ils se rendent à Bangkok pour réaliser leur rêve: devenir des combattants professionnels...Pendant que l'un accède aux plus grands rings de la capitale, les autres s'enfoncent dans l'enfer des combats clandestins jusqu'à devenir hommes de main d'un gang mafieux... |Akara Amarttayakul (Piak)@Sonthaya Chitmanee (Sa-maw)@J. Don Ferguson (Diamond Sullivan)@Saengthong Gate-Uthong (Whan)@Prawit Kittichantheera (Kraengseuk)@Phreeta Kongpetch (Sriprai)@David La Haye (Carlos)@Samart Payakarun (Thiew Chaiya)@Thawatchai Phanpakdee (Phao)@||||||||||||@@
Boys and Girls|Robert Iscove|Comédie||2|américain|2001|90|Anglais||DIV3|||DIV3|967 Kbps|640x384|MPEG-1/2 L3|102 Kbps|False|48.0 KHz|2|692||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Jay Cohen Lee Gottsegen Murray Schisgal|Andrew Lowery Andrew Miller|Ralf Bode||Bac Films||Ryan (Freddie Prinze Jr.), un jeune homme coincé et exigeant, et Jennifer (Claire Forlani), une jeune fille romantique et pleine d'énergie, sont deux étudiants à Berkeley qui ne s'apprécient définitivement pas. Du moins, c'est l'impression qu'ils ont toujours eue.
A douze ans, leur rencontre fut un véritable désastre. A l'adolescence, ils se détestaient plus que jamais. Mais une fois à l'université, ils s'aperçoivent que leurs différences les ont rapprochés. Une amitié voit le jour entre eux.
Mais dans la vie, le mélange des genres ne fait pas toujours bon ménage. Pendant ces quatre années de fac, ils vont découvrir ce qui différencie les hommes et les femmes dans leurs exigences amoureuses et aussi ce qui arrive lorsqu'une belle amitié donne naissance à une histoire d'amour. |Freddie Prinze Jr. (Ryan)@Claire Forlani (Jennifer)@Jason Biggs (Hunter)@Amanda Detmer (Amy)@Heather Donahue (Megan)@Alyson Hannigan (Betty)@Monica Arnold (Katie)@Lisa Eichhorn (la passagère de la navette)@Raquel Beaudene (Jennifer jeune)@Brandon Ryan Barrett (Ryan jeune)@Gay Thomas-Wilson@David Smigelski (Le roi du bal)@Blake Shields (La reine du bal)@Sean Maysonet (Michael)@Tsianina Joelson (La fille du bar)@Richard Hillman@||||||||||||@@
Braindead|Peter Jackson|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 16 ans|3|néo-zélandais|1993|95|Anglais||DIV3|||DIV3|917 Kbps|384x288|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|699||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Jim Booth|Stephen Sinclair Frances Walsh Peter Jackson|Murray Milne||Diaphana Films||Lionel Cosgrove, un jeune homme timide flanqué d'une mère envahissante fait la connaissance de la belle Paquita, dont il tombe amoureux. Ce qui n'est pas du goût de sa chère maman, bien décidée à gâcher cette relation. Alors qu'elle espionne l'un de leurs rendez-vous galants au zoo, cette dernière est mordue par un singe-rat de Sumatra. Succombant à ses blessures, elle se transforme alors en zombie cannibale et contamine peu à peu la ville. Seul Lionel peut stopper l'invasion... |Thimothy Balme (Lionel Cosgrove)@Diana Penalver (Paquita Maria Sanchez)@Elizabeth Moody (La mère de Lionel, Vera Cosgrove)@Ian Watkin (Oncle Les)@Brenda Kendall (L'infirmière McTavish)@Stuart Devenie (Père McGruder)@Jed Brophy (Void)@Lewis Rowe (M. Matheson)@Glenis Levesiam (Mme Matheson)@Peter Jackson (L'assistant du croque-mort)@Brian Sergent (le vétérinaire)@Frances Walsh@||Secrets de tournage :
Palmarès
Grand prix au Festival international du film fantastique d'Avoriaz 1993
Maître de promotion
Pour la promotion française du film, le réalisateur Peter Jackson répondait aux questions des journalistes accoudé à un cochon mort. Il définissait son oeuvre par trois mots : " Gore, gore, gore ".
Du sang et encore du sang
Braindead est considéré comme le film le plus sanglant de l'histoire du cinéma. 300 litres de sang ont été utilisés lors de la scène finale. La mère du héros, Lionel, devenue un énorme monstre, ouvre son ventre sur le toit de la demeure familiale.
Derrière et devant la caméra
Tout comme dans Bad Taste, de 1987, Peter Jackson interprète un second rôle. Il est l'assistant de l'entrepreneur de pompes funèbres, qui prépare le corps de Véra, la mère de Lionel, avant son enterrement.
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Les contributeursCe film a reçu 4 contributions, pour les secrets de tournage, de: Viggo90
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The Italian Job|F. Gary Gray|Action||3|britannique, français, américain|2003|106|Anglais||DX50|||DX50|806 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|48.0 KHz|2|703||||25.000|10/08/2009 00:00:00|Donald De Line|Donna Powers Wayne Powers|Wally Pfister||Paramount Pictures|Saga : Braquage à... |Le plan audacieux et sans défaut, le braquage exécuté de main de maître, la fuite à travers les canaux de Venise nette et sans bavure... Charlie Croker, son mentor John Bridger et leurs hommes n'auraient pas assez d'une vie pour savourer les fruits amplement mérités de ce casse historique. Mais la bande hébergeait à son insu un traître, qui ruina d'un coup tout ses espoirs : tombant le masque, Steve Frezelli abattit froidement Bridger et s'enfuit avec les lingots tout juste extraits d'un coffre vénitien. Le hold-up du siècle s'achevait dans le sang.Quelques mois plus tard, Charlie retrouve la piste de Frezelli en Californie et persuade Stella, la fille de Bridger experte en coffres-forts, de venger avec lui la mort de son père. La bande se recompose alors pour se réapproprier l'or de Venise et faire de Los Angeles le théâtre du plus gigantesque embouteillage de son histoire... |Mark Wahlberg (Charlie Croker)@Charlize Theron (Stella Bridger)@Edward Norton (Steve Frezelli)@Aaron Speiser (Danielson)@Jason Statham (le cambrioleur élégant)@Franky G. (Wrench)@Mos Def (l'oreille gauche)@Donald Sutherland (John Bridger)@Seth Green (Lyle)@Fausto Callegarini (le garde italien)@||Secrets de tournage :
Clin d'oeil à Caine
Un rapide hommage à Michael Caine, vedette de L'Or se barre est visible sur l'écran, lorsque le personnage de Steve Frezelli regarde un extrait de Alfie, le dragueur à la télévision. Un film dont la tête d'affiche n'est autre que Michael Caine.
Une "mini" vedette
L'une des vedettes de Braquage à l'Italienne prend la forme d'une... Mini. Elue "Voiture nord-américaine de l'année " en 2003 après sa ré-introduction outre-Atlantique en 2002, la Mini se taille la part belle dans les nombreuses scènes de poursuite du film. Pas moins de 32 exemplaires du véhicule ont été nécessaires à la production.
Cours de conduite
La plupart des cascades de Braquage à l'Italienne ont été exécutées par les acteurs eux-mêmes. Charlize Theron, Mark Wahlberg, Jason Statham et Mos Def ont ainsi suivi une formation intensive de conduite avec notamment des exercices de contrôle du véhicule à très grande vitesse. L'occasion pour Mos Def de passer... son permis de conduire.
Dérogation vénitienne
Le tournage de Braquage à l'Italienne s'est déroulé à Los Angeles, Winnipeg au Canada, dans les Dolomites italiennes à Gênes et à Venise. Cette dernière étape devait notamment permettre le tournage d'une poursuite dans les canaux de la ville. La vitesse de circulation y étant strictement limitée à 8 km/h, l'équipe du film a dû obtenir une dérogation signée personnellement par le maire de la ville.
Embouteillages à L.A.
Une autre scène de Braquage à l'Italienne a posé de nombreux problème : celle de l'embouteillage de Los Angeles. Pas moins de 300 véhicules ont été mobilisés pendant une semaine entière créant de problèmes de circulation dans toute la région de Los Angeles.
Retrouvailles Theron-Whalberg
Braquage à l'Italienne marque les retrouvailles entre Charlize Theron et Mark Wahlberg, tous deux à l'affiche de The Yards de James Gray en 2000.
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Fun With Dick and Jane|Dean Parisot|Comédie||3|américain|2006|90|Anglais||XviD|||XVID|921 Kbps|656x272|MPEG-1 Audio layer 3|148 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Brian Grazer Jim Carrey|Judd Apatow Nicholas Stoller Peter Tolan|Jerzy Zielinski||Columbia Pictures||Dick est promu vice-président de la toute-puissante Globodyne Corp. Pour lui et sa famille, c'est la promesse d'un avenir radieux, à tel point que sa femme Jane démissionne aussitôt de son travail.Leur joie sera pourtant de courte durée. Quelques heures plus tard, Globodyne s'effondre dans un scandale financier... Seul McCallister, le grand patron, s'en sort, avec des indemnités colossales.Pour Dick et Jane, c'est la fin du rêve américain. En quelques jours, ils perdent tout ce qui faisait leur vie, leur belle maison, leurs voitures de rêve et même leurs soi-disant amis...Aussi désemparé que révolté, Dick décide alors de se montrer aussi peu scrupuleux que son patron. Une fois débarrassés de leur honnêteté, lui et Jane vont découvrir qu'ils ont toutes les chances de regagner ce qu'ils ont perdu, et tant pis s'ils doivent pour cela dépasser les limites... |Jim Carrey (Dick Harper)@Téa Leoni (Jane Harper)@Angie Harmon (Veronica)@Alec Baldwin (Le patron)@Michelle Arthur (la secrétaire de Dick)@Richard Burgi (Joe)@P.J. Byrne (le dirigeant)@Lawrence Calvin (le gars effrayant)@Michael A. Cassidy (le caméraman)@Jullian Dulce Vida (Eduardo)@Chris Ellis (RJ Wade)@Daniel Espeseth (le gardien de sécurité de la banque)@Gloria Garayua (Blanca)@John Michael Higgins (Garth)@Richard Jenkins (Frank Bascom)@Pavel Lychnikoff (Andrei)@Alejandro Furth (Cesar)@Maggie Rowe (Karen Williams)@||Secrets de tournage :
Remake de "Touche pas à mon gazon"
Braqueurs amateurs n'est autre que le remake de Touche pas à mon gazon, une comédie réalisée par Ted Kotcheff en 1977. Jim Carrey et Téa Leoni reprennent les rôles tenus à l'origine par George Segal et Jane Fonda.
Un duo qui fonctionne
Brian Grazer et Jim Carrey ont tous les deux produit Braqueurs amateurs. Leur collaboration avait déjà donné naissance à deux grands succès au box-office, Menteur, menteur et Le Grinch.
Barry Sonnenfeld et Cameron Diaz pressentis
Barry Sonnenfeld devait au départ réaliser ce remake, mais des raisons d'ordre personnel l'en empêchèrent. C'est finalement Dean Parisot réalisateur de la comédie d'aventure et de science-fiction, Galaxy Quest qui est passé derrière la caméra. Une autre manque à l'appel : il s'agit de Cameron Diaz qui devait à l'origine jouer le rôle de l'épouse de Jim Carrey à l'écran. Pour des problèmes d'emploi du temps, le tandem de The Mask ne put se reformer.
Un couple complice
Téa Leoni et Jim Carrey ne se sont rencontrés qu'une semaine avant le début du tournage. Les deux acteurs avaient donc très peu de temps pour répéter et ont du prouver leur capacité d'improvisation. L'actrice s'exprime sur sa rencontre avec Jim Carrey : " J'ai eu de la chance parce que Jim et moi avons trouvé tout de suite notre rythme de fonctionnement. L'humour était là dès la première seconde. Nous pouvions partir d'un rien et tenir dessus pendant cinq ou dix minutes, et c'était vraiment tordant. C'était comme de retrouver quelqu'un qu'on connaît depuis toujours sans le savoir. "
Scènes cultes
Dans Braqueurs amateurs, le couple Dick et Jane se déguise pour faire leur cambriolage. Des scènes que Téa Leoni a particulièrement aimé tourner notamment celle où elle se déguise en Sonny et Cher avec Jim Carrey : " La scène a dérapé très vite. A l'origine, je devais être Cher, mais Jim mesure 1,88 m, et il trouvait plus logique de la jouer lui. Ce qui est surprenant, c'est que quand nous avons eu les costumes de Bob Mackie, qui avait créé beaucoup des tenues des deux chanteurs, celui de Sonny m'allait à la perfection... Il n'y a pas eu besoin de modifier quoi que ce soit. "
Tournage en Californie du Sud
Braqueurs amateurs a été tourné dans differents endroits de la Californie du Sud. L'équipe du film a tourné six semaines dans une des 12 maisons qui forment le quartier où vivent Dick et Jane à Rancho Palos Verdes, l'emplacement de l'ancien parc Marineland, fermé à la fin des années 80. Parmi les autres lieux de tournage figurait une maison à Hancock Park, Los Angeles, un endroit qui avait déjà été utilisé dans l'un des tout premiers films de Jim Carrey, Séduction à pleines dents, Le club où Jane " enseigne " le Tae Bo est le 24 Hour-Fitness à Woodland Hills, dans la vallée de San Fernando, et la luxueuse résidence de Jack McCallister a été construite dans les collines surplombant Malibu.
Un dédommagement de Paramount
Paramount Pictures dédommagea la société Sony d'une somme de 100 000 dollars pour avoir causé une interruption d'une semaine dans le tournage de Braqueurs amateurs. En effet, les célèbres studios leur empruntèrent Jim Carrey pour la promotion des Désastreuses aventures des orphelins Baudelaire en 2004.
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Braveheart|Mel Gibson|Historique||4|américain|1995|168|Anglais||DX50|||DX50|471 Kbps|512x208|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Bruce Davey Mel Gibson Alan Ladd Jr.|Randall Wallace|John Toll||UFD||Evocation de la vie tumultueuse de William Wallace, héros et symbole de l'indépendance écossaise, qui à la fin du XIIIe siècle affronta les troupes du roi d'Angleterre Edward I qui venaient d'envahir son pays. |Mel Gibson (William Wallace)@Sophie Marceau (Princesse Isabelle)@Catherine McCormack (Murron)@Patrick McGoohan (Roi Edward)@James Cosmo (Campbell)@Brian Cox (Argyle Wallace)@Sean McGinley (MacClannough)@Brendan Gleeson (Hamish)@Peter Mullan (Un vétéran)@Angus Macfadyen (Robert the Bruce)@Michael Byrne (Smythe)@Ian Bannen (Le lépreux)@David O'Hara (Stephen)@||Secrets de tournage :
Mel Gibson remplace Terry Gilliam
Mel Gibson a fait appel à Terry Gilliam pour diriger Braveheart, mais ce dernier a décliné la proposition et il a donc décidé de le réaliser lui-même.
Une pluie de récompenses
Braveheart est le second film de Mel Gibson après The Man without a face. Il remporte cinq Oscars : ceux des meilleurs film, réalisateur, photographie, maquillage et montage d'effets sonores.
Les lieux de tournage
Le tournage se partage entre l'Écosse (pour les scène de village), l'Irlande (pour les sites de châteaux, et des deux principales batailles), et les studios Ardmore (pour les séquences d'intérieur).
Des démêlées hippiques
Mel Gibson a eu des démêlées avec des organismes de protection des animaux qui ont cru que les chevaux utilisés dans les violentes scènes de combat étaient réels, alors qu'ils étaient en réalité faux.
Le château qui vit Fuller et Gibson
Le château de King John's où de nombreuses scènes ont été trounées, a déjà été utilisé pour des scènes de Au-dela de la gloire de Samuel Fuller.
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Dai si gein|Johnnie To|Action||2|hong-kongais|2005|86|Chinois||XviD|||XVID|946 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|131 Kbps|False|48.0 KHz|2|673||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Johnnie To|Chan Hing Kai|Siu-keung Cheng||Pathé Distribution||Une équipe du journal télévisé retransmet en direct la fusillade qui oppose un bataillon de forces de police à cinq malfrats qui viennent de dévaliser une banque. La diffusion de la défaite humiliante des policiers porte un coup terrible à leur crédibilité. Alors qu'il mène une autre enquête dans un bâtiment vétuste, le détective Heng découvre par hasard le repère des cambrioleurs. Le chef du gang, Yuan, voit alors des milliers de policiers se rassembler autour de l'immeuble et se préparer à lancer l'assaut. Pour damer le pion aux médias sur leur propre terrain, l'inspecteur Rebecca décide de transformer cet assaut en véritable spectacle télévisé. |Richie Jen (Yuan)@Kelly Chen (l'inspecteur Rebecca)@Nick Cheung (Heng)@Cheung Siu Fai (Eric)@||Secrets de tournage :
Manipulation des médias
Le réalisateur explique, "Breaking News est un film policier pur et dur , qui fait la part belle à l'action. Il évoque la grande tradition du cinéma de Hong-Kong, qui a énormément influencé mon style cinématographique. Ce projet était aussi un défi, car nous voulions intégrer des idées nouvelles dans un genre populaire qui est souvent traité de manière classique. Il fallait non seulement que ces thèmes concernent notre époque et notre société, mais aussi que nous les utilisions pour divertir le public. Comme les polices des autres pays, la police de Hong-Kong a appris les règles du jeu de la manipulation des médias. Elle les utilise pour communiquer plus efficacement par le biais de l'information télévisé en continu. Les dirigeants des services de police savent que la lutte contre le crime ne peut s'appuyer uniquement sur les lois et des mesures répressives, mais qu'elle doit être relayé par des messages médiatiques bien conçus, qui permettent d'obtenir le soutient de la population. Dans bien des cas, les images ont un impact plus fort que les actions. Comme le dit l'un des personnages du film, "je vous promets que ce sera un beau spectacle !"
Un réalisateur hétéroclite
Johnnie To a abordé au cours de sa carrière un grand nombre de genres cinématographiques (comédie, film d'action et d'arts martiaux, histoires d'amour, drames). Il raconte : " Chaque film que je réalise est une nouvelle occasion d'apprendre, qu'il s'agisse d'un film commercial ou d'une oeuvre plus personnelle. Je vois toute sorte de films, comme le grand public, et j'aime faire preuve de la même ouverture d'esprit lorsque je gère ma carrière de réalisateur. Choisir des histoires différentes dans des registres variés . Cela me donne l'occasion d'explorer d'autres techniques, et d'employer d'autres styles de réalisation. Comme par le passé, j'aime toujours me confronter à de nouveaux défis cinématographiques."
Comment renouveler le cinéma de Hong-Kong ?
Breaking News comporte peu d'effets spéciaux, pourtant Johnnie To explique : "Aujourd'hui, le language audiovisuel du cinéma d'action de Hong-Kong a été adopté par les réalisateurs du monde entier. Pour revitaliser ce genre, nos cinéastes actuels doivent inventer une nouvelle esthétique en s'aidant des technologies les plus récentes. Auparavent, nous devions renoncer à des idées formidables parce que les moyens techniques dont nous disponsions étaient limités. Tout cela peut changer à présent, si les cinéastes osent se dépasser et tenter de faire des choses inédites, plutôt que de copier des modèles familiers. J'espère que mon travail pourra modestement contribuer à cette évolution.".
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Brice de Nice|James Huth|Comédie||1|français|2005|95|Français||XVID|||XVID|885 Kbps|576x320|MPEG-1 Audio layer 3|131 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Eric Altmeyer Nicolas Altmeyer|Jean Dujardin Karine Angeli James Huth|Philippe Piffeteau||TFM Distribution||Eternel ado de presque trente ans, délaissé par son père affairiste et une mère absente, Brice s'est réfugié dans une posture, un "style" avec lesquels il exprime son être essentiel, son véritable vécu intrinsèque. Il est devenu un surfeur, winner, ascendant snowboarder.Comme Bodhi, le personnage de Patrick Swayze dans Point break, Brice attend la vague, SA vague... à Nice !Personne pourtant ne se risque à se moquer de Brice : redoutable bretteur du langage, Brice s'est fait une spécialité de "casser" tout et tout le monde par le truchement de ses réparties verbales. Car Brice de Nice le surfeur est également un grand casseur.Il fallait bien qu'un jour Brice soit rattrapé par la réalité... |Jean Dujardin (Brice de Nice)@Bruno Salomone (Igor d'Hossegor)@Clovis Cornillac (Marius)@Elodie Bouchez (Jeanne)@Alexandra Lamy (la sirène)@François Chattot (le père de Brice)@Mathias Mlekuz (Eudes l'avocat)@Antoine Duléry (Micky la légende)@Delphine Chaneac (Marjorie)@Xavier Boiffier (Mario)@Julia Molkou@||Secrets de tournage :
Aux origines de Brice
Tout est parti d'un dénommé Brice, qui fréquentait la même classe de terminale que Jean Dujardin et qui passait son temps à casser les gens en se prenant pour quelqu'un d'intelligent et
de très spirituel. Afin d'obtenir un personnage intéressant, le comédien a décidé de "mixer" ce drôle d'individu, archivé dans un coin de sa tête, avec un surfeur. En effet, habitant à l'époque la région du Médoc, Jean Dujardin avait l'occasion de croiser des surfeurs et de les observer, "du moins ceux qui préféraient jongler ou frimer au lieu d'aller à la baille".
Pour les détails vestimentaires et stylistiques, ce dernier raconte : "Au niveau de son "staïle", la perruque blonde s'est imposée tout de suite. Pareil pour l'espèce de fausse dent au cou et le tee-shirt bien jaune et bien moulant que j'ai acheté dans un magasin de fringues de filles. Un copain des beaux-arts a eu l'idée d'y inscrire le prénom avec la typo de Nike, ce qui faisait extrêmement prétentieux."
Ainsi est né en 1995 Brice de Nice, qui est très vite devenu le personnage phare des premiers
spectacles de Jean Dujardin.
Genèse du projet
Alors que la mode au cinéma est au trentenaire lambda rongé par les problèmes existentiels, Jean Dujardin avait envie de créer un rôle de composition, un type original et souriant. Il a alors réuni ses divers sketchs et s'est adjoint les services de son amie scénariste Karine Angeli, qui écrivait pour Un gars, une fille, la série à succès qui a popularisé Jean Dujardin. "Avoir un point de vue féminin sur le sujet m'intéressait", ajoute ce dernier.
Clin d'oeil à "The Party"
Pour la séquence de la Yellow party, James Huth s'est librement inspiré de The Party de Blake Edwards. Au sujet du réalisateur, Jean Dujardin déclare : "Il aime décaler ce qui est déjà décalé. Il va parfois très loin, mais il se goure rarement. Avec James, on a aussi voulu semer plein de petits gags très furtifs. Comme la scène où un petit vieux se plaint d'avoir mal au dos et Brice arrive pour s'asseoir et lui prend sa chaise : le petit vieux se casse alors la figure. On ne fera qu'entendre sa chute, mais on ne la verra pas. Je raffole de ce genre de gags."
Jean Dujardin se prépare physiquement
Avant le tournage, Jean Dujardin a suivi une préparation physique avec un coach durant cinq mois, à raison de six heures par semaine. Il a d'abord fait de l'assèchement et a ensuite travaillé les poids, en surveillant son alimentation et en prenant un peu de protéines.
Rencontre entre Dujardin et Cornillac
La première rencontre entre Jean Dujardin et Clovis Cornillac eut lieu en mars 2004, lors de la manifestation "Printemps du cinéma?, dont les deux comédiens étaient les parrains. Clovis Cornillac se souvient : "On ne se connaissait pas, mais le courant est tout de suite passé entre nous. On a bu quelques verres ensemble et je lui ai demandé quels étaient ses projets. Il m'a alors parlé de ce pseudo surfeur de Brice. L'idée m'a fait hurler rire et je lui ai dit : ?Il te manque un personnage ? Ne cherche plus, tu l'as devant toi?. Jean s'est bien sûr montré extrêmement surpris. Pourtant, de mon côté, je savais, grâce à la manière dont s'est déroulée notre rencontre, que je faisais le bon choix." Le lendemain, la lecture du scénario n'a fait que confirmer la première impression de Clovis Cornillac.
Une bande-son signée Bruno Coulais
La bande-son de Bruno Coulais mélange divers styles musicaux comme le rock, la bossa ou le funk, notamment pour la chanson phare du film, Le Casse de Brice, interprétée par Jean Dujardin. A propos de ce compositeur qui a également signé la musique des Choristes, James Huth déclare : "Bruno Coulais est un magicien de l'impalpable. Il exprime, en le magnifiant, un univers que vous ne pouvez décrire. Quelle chance de pouvoir profiter de son talent !"
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Bridget Jones's Diary|Sharon Maguire|Romance||3|britannique, américain|2001|98|Anglais||DIV3|||DIV3|852 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|693||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Tim Bevan Jonathan Cavendish Eric Fellner|Richard Curtis Andrew Davies Helen Fielding|Stuart Dryburgh||Miramax Films|Saga : Bridget Jones |A l'aube de sa trente-deuxième année, Bridget Jones, employée dans une agence publicitaire à Londres, décide de reprendre sa vie en main. Pour ce faire, elle dresse une liste de bonnes résolutions :
La première : tenir un journal intime.
La deuxième : trouver un petit ami, voire même l'homme idéal. Pourquoi ne pas s'habiller sexy pour se faire remarquer par Daniel Cleaver, son patron ? Et pas question de sortir avec l'insupportable Mark Darcy, un ami d'enfance ! Celui-ci est l'incarnation de tout ce que Bridget déteste chez un homme. En plus, il fréquente une peste mondaine répondant au doux nom de Natasha.
La troisième : perdre du poids.
Et la quatrième : arrêter de fumer. |Renée Zellweger (Bridget Jones)@Hugh Grant (Daniel Clever)@Colin Firth (Mark Darcy)@Jim Broadbent (le père de Bridget)@Embeth Davidtz (Natasha)@Sally Phillips (Shazza)@Felicity Montagu (Perpetua)@Gemma Jones (la mère de Bridget)@Shirley Henderson (Jude)@James Callis (Tom)@||||||||||||@@
Bridget Jones : The Edge of Reason|Beeban Kidron|Comédie||2|allemand, français, américain, irlandais, britannique|2004|103|Anglais||XviD|||XVID|745 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|160 Kbps|False|48.0 KHz|2|677||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Tim Bevan Jonathan Cavendish Eric Fellner|Andrew Davies Helen Fielding Richard Curtis Adam Brooks|Adrian Biddle||Universal Pictures|Saga : Bridget Jones |Bridget Jones a enfin trouvé l'amour. Elle vit une passion idéale avec le séduisant Mark Darcy. Pourtant, l'apparente dévotion de celui-ci ne suffit pas à calmer les angoisses chroniques de la jeune femme.
D'abord, il y a Rebecca, cette bombe abominablement jeune et horriblement séduisante, qui rôde. Et puis, il y a également l'ancien patron de Bridget, Daniel, toujours aussi honteusement irrésistible.
Ajoutez à cela sa carrière de journaliste à mener aux quatre coins du globe sans oublier les conseils douteux de ses proches et vous avez une idée de l'ampleur de la catastrophe qui s'annonce. Pour sauver le bonheur qu'elle n'a même pas encore réussi à se construire, Bridget va devoir affronter le monde entier... en commençant par elle-même ! |Renée Zellweger (Bridget Jones)@Colin Firth (Mark Darcy)@Hugh Grant (Daniel Cleaver)@Jacinda Barrett (Rebecca)@Jim Broadbent (Colin Jones)@James Callis (Tom)@Shirley Henderson (Jude)@Andrew Houghton (l'invité au mariage)@Gemma Jones (Pam Jones)@Lucy Joyce (Constance)@Sally Phillips (Shazza)@||Secrets de tournage :
Bridget Jones deuxième !
Deuxième épisode des aventures de la célèbre trentenaire en quête d'amour Bridget Jones : l'âge de raison est une nouvelle fois adapté du best-seller éponyme d'Helen Fielding. Dans cette suite pleine de rebondissements, Renée Zellweger reprend son costume de célibattante (qui lui a valu un nomination au Oscar en 2001), à ses côtés on retrouve également Hugh Grant et .
Une actrice de poids ...
Renée Zellweger a très longuement hésité avant d'accepter de participer à une suite au premier volet des aventures sentimentales de Bridget Jones. La perspective de devoir reprendre du poids une seconde fois une dizaine de kilos, sans parler du régime à subir pour tout reperdre, ne l'enthousiasmait pas vraiment.
Les cascades de Renée Zellweger
Renée Zellweger s'est entraînée pour réaliser ses propres cascades : saut en parachute avec atterrissage
dans une porcherie, ski au Tyrol... sans oublier une imitation de Madonna dans une prison de Bangkok, ou même le fait de se déplacer dans une robe si moulante qu'il en devient difficile de marcher.
"Ce film était pour moi une belle occasion d'ajouter quelques mémorables expériences de jeu, explique Renée Zellweger. Un élément clé de la personnalité de Bridget passe par sa dimension physique, sa gestuelle. Elle arrive toujours à tomber, mais elle se relève et continue, quel que soit son degré d'embarras. Son portrait n'aurait pas été complet sans ça !"
Lieux de tournage
Les scènes à Londres ont été tournées à Tower Bridge, Oxford Street et Regent Street, à Piccadilly, dans le quartier du Temple, et à Chiswick, où un immeuble de bureaux moderne sert de quartier général à "Sit Up Britain". On peut reconnaître également les fontaines italiennes de Hyde Park où se déroule la bagarre entre Mark Darcy et Daniel Cleaver. La séquence de saut en parachute a été filmée dans le Buckinghamshire.
En Thaïlande, plusieurs scènes ont été tournées à Phuket, dans le village ancien sur pilotis de Ko Panyee, dans le sanctuaire bouddhiste de Nakornpathom, et dans un marché à ciel ouvert de Bangkok.
Humour "so british"
La maison de production Working Title (composée de Curtis Hanson, Andrew Davies, Adam Brooks) a imposé progressivement sa marque de fabrique dans la catégorie des comédies romantiques à l'humour so british. On compte parmi les longs métrages produits : Love actually, Coup de foudre à Notting Hill, Pour un garçon, Le Journal de Bridget Jones ou encore La Plus belle victoire.
Changement de réalisateur
Pour ce deuxième opus des péripéties de Bridget Jones, ce n'est plus Sharon Maguire qui réalise mais Beeban Kidron, jeune metteur en scène auteur de nombreux téléfilms dont le très remarqué Oranges are not the only fruit, adapté de la nouvelle de Jeanette Winterson.
Nouvelles recrues
Jacinda Barrett, vue dans La Couleur du mensonge, et la jeune actrice Lucy Joyce rejoignent le casting de Bridget Jones : l'âge de raison. Elles interprètent respectivement Rebecca et Constance, les bonnes copines de Bridget, qui soutiennent la plus célèbre célibattante du cinéma à travers ses déboires sentimentaux.
Colin Firth à propos de son personnage
Pour Colin Firth, Bridget Jones : l'âge de raison représentait une chance de saper le comportement idéal de Mark Darcy, inspiré du beau et hautain personnage du roman de Jane Austen Orgueil et préjugé - rôle que Colin Firth avait d'ailleurs joué dans la minisérie homonyme de 1995. Il s'est fait un plaisir de prendre l'imperturbable Darcy et de le "tordre" peu à peu tandis qu'il affronte ses sentiments pour Bridget Jones.
Ce dernier explique : "Pour moi, ce film est l'occasion de faire un pied de nez aux grandes histoires romantiques qui finissent toujours bien. En fait, je suis persuadé que les films d'amour s'achèvent toujours au premier baiser parce qu'après, ça se complique sérieusement ! Nous savons tous que la réalité est tout autre. Les choses qui vous attirent chez une personne au départ sont souvent celles qui vous rendent dingue par la suite."
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Broken Arrow|John Woo|Aventure||2|américain|1996|108|Anglais||XviD|||XVID|797 Kbps|620x264|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|32.0 KHz|2|699||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Bill Badalato Terence Chang Mark Gordon|Graham Yost|Peter Levy||UFD||Le capitaine Riley Hale, pilote d'essai dans l'armée américaine, est en fervente admiration devant le major Vic Deakins, avec lequel il fait équipe. Sa ferveur est stoppée net le jour ou, en mission ultrasecrète a bord d'un bombardier furtif B-3 qui transporte deux missiles à ogives nucléaires opérationnels, Deakins le menace d'un pistolet et l'ejecte de l'appareil a la limite de l'Utah et de l'Arizona. |John Travolta (Vic Deakins)@Christian Slater (Riley Hale)@Delroy Lindo (Colonel Max Wilkins)@Frank Whaley (Gile Prentice)@Samantha Mathis (Terry Carmichael)@Bob Gunton (Pritchett)@Howie Long (Kelly)@Vondie Curtis-Hall (Le Lieutenant Colonel Sam Rhodes)@Jack Thompson (Chairman)@Jack Lee Thompson@Kurtwood Smith@French Stewart@Chris Mulkey@||||||||||||@@
Broken Flowers|Jim Jarmusch|Comédie||2|américain|2005|105|Anglais||XviD|||XVID|782 Kbps|576x320|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|694||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Jim Jarmusch Jon Kilik Stacey E. Smith|Jim Jarmusch|Frederick Elmes||Bac Films||Célibataire endurci, Don Johnston vient d'être quitté par Sherry, sa dernière conquête. Alors qu'il se résigne une nouvelle fois à vivre seul, il reçoit une lettre anonyme dans laquelle une des anciennes petites amies lui apprend qu'il est le père d'un enfant de 19 ans, et que celui-ci est peut-être parti à sa recherche. Sous les conseils de son meilleur ami Winston, détective amateur, il décide de mener l'enquête afin d'éclaircir ce mystère. Malgré son tempérament casanier, le sédentaire Don se lance alors dans un long périple, au cours duquel il retrouve quatre de ses anciennes amours. A travers ces visites-surprises, Don se retrouve confronté à son passé, et, du même coup, à son présent. |Bill Murray (Don Johnston)@Jeffrey Wright (Winston)@Sharon Stone (Laura)@Frances Conroy (Dora)@Jessica Lange (Carmen)@Tilda Swinton (Penny)@Julie Delpy (Sherry)@Chloë Sevigny (l'assistante de Carmen)@Chris Bauer (Dan)@Alexis Dziena (Lolita)@Ryan Donowho (le jeune homme dans le car)@Christopher McDonald (Ron)@Larry Fessenden (Will)@Pell James (Sun Green)@Meredith Patterson (l'hôtesse de l'air)@Mark Webber (le gamin)@Heather Alicia Simms (Mona)@Nicole Abisinio (une adolescente dans le car)@Jennifer Rapp (une adolescente dans le car)@Brea Frazier (Rita)@Dared Wright (l'homme au lapin)@Suzanne Hevner (Mme Dorston)@Homer Murray (le gosse dans la voiture)@||Secrets de tournage :
Grand Prix du Festival de Cannes 2005
Présenté au Festival de Cannes en 2005, Broken flowers y a obtenu la récompense la plus convoitée après la Palme d'or (attribuée à L'Enfant des frères Dardenne) : le Grand Prix. Le jury était alors présidé par Emir Kusturica -qui était, dit-on un fervent supporter du film. En recevant son Grand Prix des mains de Fanny Ardant, Jarmusch a fait une déclaration remarquée : "J'aimerais dire rapidement que je ne crois pas en la concurrence au niveau de l'expression artistique. C'est un honneur d'être sélectionné dans cette compétition aux côtés d'autres grands cinéastes tels que Atom Egoyan, David Cronenberg, Amos Gitaï, Lars von Trier, Gus Van Sant, Johnnie To et Monsieur Hou Hsiao Hsien dont je suis l'étudiant, Wim Wenders qui a été très généreux avec moi quand j'ai commencé à tourner mes films il y a vingt ans, et Robert Rodriguez. J'aimerais accepter cette récompense au nom de tous les cinéastes qui suivent leur coeur et réalisent des films en étant fidèles à leur vision. Nous faisons tous partie de la même famille, j'ai l'honneur de faire partie de cette famille." Jim Jarmusch est en quelque sorte un enfant de la Croisette, puisque Stranger than Paradise, présenté à la Quinzaine des Réalisateurs, décroche la Caméra d'or en 1984. Le cinéaste a les honneurs de la Sélection officielle dès son film suivant, Down by Law. Tous ses autres longs métrages de fiction seront présentés en compétition, à l'exception des films à sketchs Night on Earth et Coffee and cigarettes (mais le segment Coffee and cigarettes III avec Tom Waits et Iggy Pop obtient la Palme d'or du court métrage en 1993). En 1989, Mystery train se voit distingué par un prix de la Meilleure contribution artistique.
Mûr Murray ?
Jim Jarmusch reconnaît avoir conçu Broken flowers en pensant à Bill Murray, dont il apprécie "le mélange de malice et de mélancolie". Il avait d'ailleurs écrit au départ un autre film pour le comédien, mais alors que ce projet était presque prêt, il a décidé de l'abandonner, et a écrit en deux semaines le scénario de Broken flowers. A propos du héros de Lost in translation, il ajoute : "Bill Murray est quelqu'un qui garde une belle part d'enfance en lui. Quelqu'un me demandait, pendant le tournage : "Comment est-ce que tu fais pour capter l'attention de Bill ?" J'ai répondu : "Eh bien, si tu t'installes avec des crayons et un cahier de coloriage et que tu lui dis : "Regarde, Bill, je fais du coloriage. C'est chouette, non ?", alors ça ne l'intéressera pas. Mais si tu t'installes, que tu l'ignores et que tu te plonges dans ton cahier, alors il s'approchera pour te demander : "Qu'est-ce que tu fais ?..." Et si tu lui réponds : "Euh, je fais du coloriage", il dira "Et moi, je peux ?" - "Bien sûr, allons-y !"
Hasards ou coincidences
Jarmusch précise ses intentions : "Ce sont le hasard, la chance, les coincidences qui guident notre vie. On peut toujours vouloir organiser les choses autant que l'on veut, ce qu'il y a de plus beau et de plus profond dans la vie n'est pas rationnel mais émotionnel, ce sont les rencontres que l'on fait. Et ces choses-là sont très mystérieuses. Elles ajoutent selon moi à la trame de la vie. J'ai toujours essayé de faire des films qui ne se cantonnent pas à la structure ou à l'organisation d'un genre. Dead Man utilisait le western comme toile de fond, Ghost Dog évoque plusieurs genres cinématographiques mais j'espère qu'il ne dépend d'aucun. Tout comme ce nouveau film qui n'est, pour moi, ni une une histoire tragique ou déprimante. Ce n'est ni l'un, ni l'autre. J'espère qu'il n'appartient à aucune catégorie."
Retrouvailles
Bill Murray, qui interprète le rôle principal de Broken flowers, joue son propre rôle dans Delirium, l'un des courts métrages de Coffee and cigarettes, sorti en 2004. Il y donnait la réplique aux rappeurs du Wu-Tang Clan. Chloë Sevigny est quant à elle l'héroïne de Trailer night, un autre court de Jarmusch qui fait partie du film collectif Ten minutes older - The trumpet (2002), rassemblant des oeuvres autour du thème du Temps.
Stone instinct
Jim Jarmusch revient sur "les très belles choses" apportées par Sharon Stone durant le tournage : "C'est Sharon qui a eu l'idée qu'on la retrouve dans le lit toute blottie contre Don quand ils se réveillent. C'est Sharon qui a eu l'idée, quand il repart, de lui baiser la main. Elle m'a dit : "Et si on inversait le geste traditionnel de l'homme qui baise la main de la femme ? Et si je lui prenais la main pour l'embrasser furtivement, juste un petit geste avant de le laisser partir, pour lui montrer que je ne suis ni abandonnée ni triste, mais que je sais bien la tendresse qui nous a unis autrefois, et que quoi que ce geste puisse signifier, ça me va." Et c'était une résolution parfaite."
Courrier du choeur
A propos de la mystérieuse lettre que reçoit Don au début du film, et qui agit comme un déclencheur, Jim Jarmusch révèle : "Les quatre actrices principales (Frances, Jessica, Sharon et Tilda) ont reçu le scénario complet. A chacune j'ai demandé d'écrire une lettre, LA lettre, ce qui me permettait de leur faire envisager la possibilité d'être effectivement la mère de cet enfant. Je voulais qu'elles entrent dans leur personnage par l'écriture. J'ai gardé les lettres, qui étaient très belles et toutes très différentes. C'était, entre elles et moi, le premier pas vers leur personnage. Et puis, pour le tournage, j'ai réécrit la missive, en reprenant des bribes de leurs mots à elles, en empruntant à leurs lettres."
Mulatu attaque
Aussi cinéphile que mélomane, Jim Jarmusch a toujours accordé un soin particulier à la bande-son de ses films -qu'on se souvienne des accords de guitare de Neil Young dans Dead Man ou du climat hip-hop dans lequel baignait Ghost Dog, grâce à RZA. Cette fois, le réalisateur a choisi comme fil conducteur les morceaux d'un artiste éthiopien renommé, Mulatu Astatke. Les extraits qu'on entend dans Broken flowers, et qui oscillent entre jazz, funk et rythmes latino, ont été composés par Astatke dans les années 60 et 70.
Eustache, l'ange-gardien
Broken flowers est dédié au réalisateur français Jean Eustache, auteur entre autres de La Maman et la Putain (1973) , film-fleuve (3h30) devenu film-culte, avec un Jean-Pierre Léaud partagé entre Francoise Lebrun et Bernadette Lafont. Jim Jarmusch donne les raisons de cet hommage : "A un certain point, Eustache a été une influence, même si elle n'a pas été directe. D'abord, La Maman et la putain est un des plus beaux films sur l'incompréhension entre les hommes et les femmes, et il est question de cela dans notre film (...) j'écris dans la région des monts Catskill, en pleine forêt, et dans la petite pièce où je travaille, j'ai une photo juste à côté de ma table. C'est une photo de Jean Eustache sur le tournage de La Maman et la putain (...) Il veillait donc toujours un peu sur moi. J'ai écrit ce scénario très vite, et il était toujours là quand j'étais bloqué ou quand je perdais courage (...) Il y a quelque chose chez lui que j'aimerais garder : faire un film comme on l'a choisi, en accord avec soi-même, sans se préoccuper du marché ou des attentes de qui que ce soit, dans la volonté toute simple d'exprimer quelque chose avec ses moyens propres."
The Wright accent
Jim Jarmusch a demandé au comédien Jeffrey Wright, qui incarne l'apprenti détective Winston, d'adopter un accent très particulier. Celui-ci a donc travaillé selon une méthode très personnelle : "Sur le plateau, Jeffrey était parfois pendu à son portable juste avant qu'on tourne une scène", se souvient le réalisateur. "Au bout d'un moment ça m'a inquiété, et je lui ai dit : "Jeffrey, est-ce que tout va bien ? Tu étais juste au téléphone..." Et lui : "Oui, oui, t'inquiète, j'appelle l'ambassade d'Ethiopie toutes les cinq minutes, je trouve une question à leur poser, n'importe quoi, c'est pour écouter l'accent du type qui me répond. Nous avions effectivement beaucoup parlé d'un accent éthiopien (...) on y trouve des sonorités un peu indiennes. Jeffrey est très méticuleux alors il passait son temps au téléphone à demander au type : "Et à la frontière ouest, il y a des problèmes ?.
Ghost Don Juan
Au début de Broken flowers, Bill Murray, qui incarne un célibataire endurci, ex-homme à femmes, regarde à la télévision... Les Quarante ans de Don Juan, variation autour du séducteur vieillissant signée Alexander Korda en 1934, avec Douglas Fairbanks dans son ultime rôle.
« Préc.
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Brothers in Arms|Jean Claude La Marre|Western|||Etats-unis|2005|83|||DX50|||DX50|1 040 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|129 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00|||||||Driscoll, magnat et dictateur local, est craint et haï de tous. Lorsqu'une bande de hors la loi bien décidés à mettre fin à ses agissements débarque en ville, Driscoll engage des mercenaires pour protéger ses intérêts et ramener l'ordre.... |David Carradine (Driscoll)@Gabriel Casseus (Linc)@Antwon Tanner (Zane)@Kenya Moore (Mara)@Ed Lauter (le Maire Crawley)@Clifton Powell (Doc Willoby)@Idalis DeLeon (Sheriff Sanchez)@David Gianopoulos (Wolverton)@Peter Greene (Burt)@Raymond Cruz (le révérend)@||Secrets de tournage :
Le ou la shérif ?
Dans le film Brothers in Arms, pour changer un peu des histoires de cow-boys classiques, le shériff est une femme, ancienne amie du chef des hors-la-loi. Un profil atypique pour un film de ce genre, d'habitude truffés de mâles bourrus et machos...
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Bruce Almighty|Tom Shadyac|Comédie||2|américain|2003|99|Anglais||XviD|||XVID|850 Kbps|576x336|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|699||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Tom Shadyac Jim Carrey James D. Brubaker Michael Bostick Steve Koren Mark O'Keefe|Steve Koren Mark O'Keefe Steve Oedekerk|Dean Semler||Universal Pictures|Saga : Les Tout-puissants |Bruce Nolan, reporter pour une célèbre chaîne de télévision de Buffalo, est constamment de mauvaise humeur. Pourtant, il n'a aucune raison d'avoir cette attitude de grincheux : il est très célèbre, et il est aimé par une très jolie jeune femme, Grace.
Un jour où tout se passe mal pour lui (il s'offre un superbe accident de voiture et se fait virer de la chaîne), Bruce s'emporte et se met en colère contre Dieu. Mais il est entendu par l'oreille divine, qui décide de prendre forme humaine et de descendre sur Terre. Dieu met au défi le reporter : il lui lègue les pouvoirs divins pendant une semaine et charge Bruce de faire mieux que lui. S'il échoue, il peut entraîner l'apocalypse... |Jim Carrey (Bruce Nolan)@Jennifer Aniston (Grace)@Morgan Freeman (Dieu)@Lisa Ann Walter (Debbie)@Philip Baker Hall (Jack Keller)@Catherine Bell (Susan Ortega)@Steve Carell (Evan Baxter)@Nora Dunn (Ally Loman)@Eddie Jemison (Bobby)@Paul Satterfield (Dallas Coleman)@Mark Kiely (Fred Donohue)@Sally Kirkland (Anita Mann)@Tony Bennett (lui-même)@||Secrets de tournage :
Une comédie sur le pouvoir
Le réalisateur Tom Shadyac s'exprime sur Bruce tout-puissant : "C'est d'abord une comédie sur la valeur du pouvoir et sur ce que l'on en fait. Dieu donne ses pouvoirs à Bruce pour le mettre à l'épreuve. Notre homme va d'abord s'en servir uniquement à des fins personnelles et aussi hilarantes que futiles. De tels pouvoirs associés à un tel égoïsme ne peuvent engendrer que des catastrophes. A travers tout ce qu'il fait d'extraordinaire, Bruce prend conscience de la responsabilité qui accompagne le pouvoir."
Carrey-Shadyac : au nom de l'humour
Bruce tout-puissant marque la troisième collaboration de l'acteur Jim Carrey et du réalisateur Tom Shadyac. Les deux hommes ont déjà travaillé ensemble sur Ace Ventura, détective chiens et chats, en 1994, et Menteur, menteur, en 1997. Au final, trois collaborations pour trois comédies.
Tom Shadyac, fan numéro un de Jim Carrey
Pour Tom Shadyac, personne d'autre que son fidèle complice Jim Carrey pouvait se glisser sous les traits de Bruce Nolan, le héros de Bruce tout-puissant. "Qui concentre autant d'humanité et de folie dans un même personnage ?" s'interroge le réalisateur. "Cherchez, vous ne trouverez personne. Jim peut jouer le type le plus normal du monde et deux secondes plus tard, exploser dans la démesure totale. Il a de multiples facettes et peut passer de l'une à l'autre instantanément. Il est fascinant."
Tom Shadyac conclut en faisant la liaison avec le long-métrage : "L'idée du film offre le double avantage de proposer une histoire qui parle à chacun et un rôle capable de valoriser tous les talents d'un des acteurs les plus populaires de la planète !"
Morgan Freeman dans le rôle... de Dieu !
C'est l'acteur Morgan Freeman qui incarne le rôle de Dieu dans Bruce tout-puissant. Un choix qui s'est vite imposé comme naturel dans l'esprit de Tom Shadyac : "Nous ne voulions aller ni vers la caricature, ni vers le ridicule. Le personnage devait être digne, avoir de la prestance, une certaine distance par rapport aux choses matérielles, et faire preuve d'une authentique bienveillance. Morgan Freeman s'est imposé. Il émane de lui cette sagesse, et dans son regard pétille toujours cette étincelle de malice. Il campe un Dieu chaleureux, modeste et finalement très humain."
Des effets spéciaux stupéfiants
De nombreux effets spéciaux ont été utilisés pour traduire à l'écran les souhaits les plus incroyables de Jim Carrey, mais le réalisateur Tom Shadyac tient à préserver une zone de mystère : "Pour chacun de ses petits miracles, il fallait tout le talent des acteurs et actrices impliqués, mais aussi des trésors d'ingéniosité alliant les plus vieux trucages du cinéma aux toutes dernières technologies. Mais je n'en dirai pas plus sur ce point. Les voies de Bruce sont impénétrables !"
Jim Carrey à la production
Avec Bruce tout-puissant, Jim Carrey officie pour la première fois de sa carrière en tant que producteur.
Histoire de casting
C'est la comédienne Eva Mendes, vue notamment dans 2 fast 2 furious, qui devait incarner le personnage de Susan Ortega, la compagne de Jim Carrey, dans Bruce tout-puissant. Pour des raisons d'emploi du temps, elle ne put accepter le rôle et ce fut finalement Jennifer Aniston qui fut choisie.
Un invité de prestige
L'équipe de Bruce tout-puissant a eu le bonheur d'accueillir le célèbre crooner Tony Bennett sur le plateau. Dans le film, il apparaît dans la scène du restaurant où il chante le tube If I ruled the world.
Un numéro encombrant
Dans l'une des scènes de Bruce tout-puissant, Jim Carrey est invité à composer un numéro de téléphone pour rentrer en contact avec Dieu. Petit problème, la production n'avait pas réalisé à l'époque que le numéro en question était un numéro existant dans plusieurs zones des Etats-Unis. Résultat : les personnes détentrices de ces numéros furent bombardées d'appels !
Le souci de la perfection
Perfectionniste dans l'âme, Jim Carrey insistait régulièrement pour retourner de nombreuses scènes du film. L'acteur est ainsi allé jusqu'à répéter près de trente fois la même prise !
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Buffet froid|Bertrand Blier|Comédie dramatique||3|français|1979|89|||DIV3|||DIV3|968 Kbps|512x272|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|48.0 KHz|2|693||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Alain Sarde|Bertrand Blier|Jean Penzer||UGC Ph||Tout commence quand Alphonse Tram, chômeur, rencontre un inconnu dans les couloirs déserts du R.E.R. Il le retrouve quelques temps plus tard assassiné avec son propre couteau. Dans la tour immense qu'il habite, il fait alors successivement connaissance d'un commissaire de police et de l'assassin de sa femme et se retrouve entrainé dans une série de meurtres plus surréalistes les uns que les autres. |Gérard Depardieu (Alphonse Tram)@Bernard Blier (L'inspecteur Morvandieu)@Jean Carmet (L'assassin)@Michel Serrault (Le quidam du R.E.R)@Geneviève Page (La veuve)@Jean Benguigui (Le tueur)@Marco Perrin (Le maçon en sous vêtements)@Carole Bouquet (La jeune femme vengeresse)@||Secrets de tournage :
Un scénario en or
Pour ce film qu'il considère comme le plus réussi techniquement, Bertrand Blier précise par ailleurs qu'il est celui qu'il a mis le moins de temps à tourner. Affirmant alors se méfier "de plus en plus des sujets qu'(il) comprend trop bien", Blier a écrit d'un seul jet cette histoire surréaliste inspirée par la personnalité même de Gérard Depardieu. L'idée d'un personnage qui aurait toujours un couteau dans la poche de son manteau, d'un manteau qu'il ne quitterait d'ailleurs jamais. Une histoire récompensée par le César du meilleur scénario.
Tel père, tel fils
Comédien de légende, à l'aise chez Marcel Carné comme chez Georges Lautner et dont la carrière survole cinquante ans de cinéma, Bernard Blier n'a pas hésité à donner du verbe chez son fils, Bertrand Blier comme il l'avait fait en servant avec une rare truculence les dialogues ciselés par Michel Audiard. A trois reprises il sera ainsi l'un des interprètes inspirés de Calmos, Buffet froid et Notre histoire aux côtés d'Alain Delon et Nathalie Baye.
Trio infernal
Figure récurrente du cinéma de Bertrand Blier, la forme du trio est une constante de presque tous ses films. Dans les Les Valseuses, il crée ainsi l'évènement et le scandale en réunissant et révélant au public Gérard Depardieu, Patrick Dewaere et Miou-Miou . Dans Préparez vos mouchoirs, il retrouve à nouveau Depardieu et Dewaere, qui sont alors rejoints par Carole Laure . Depardieu, Bernard Blier et Jean Carmet composent par la suite le trio infernal qui anime Buffet froid. Dans Tenue de soirée, il bouscule les conventions du vaudeville en proposant le triptyque mari, femme et amant du mari, incarné pour l'occasion par Michel Blanc. Dans Trop belle pour toi, enfin, le coeur de Depardieu balance sur fond de Schubert entre Josiane Balasko et Carole Bouquet.
Une complicité fructueuse
Comme Robert De Niro et Martin Scorsese de l'autre côté de l'Atlantique, Bertrand Blier et Gérard Depardieu ont su depuis Les Valseuses nouer des relations particulièrement fructueuses sur le plan artistique et tourner sans hésitation à sept reprises, jusqu'à la tonitruante apparition du comédien en motard fou dans Les Acteurs.
Un quidam nommé Serrault
Déjà présent en voisin complice du trio composé par Gérard Depardieu, Patrick Dewaere et Carole Laure dans Préparez vos mouchoirs, Michel Serrault campe, et pour une apparition plutôt brève, le personnage du quidam assassiné dans le RER, au début du film. On le retrouvera une troisième fois sous la direction de Blier, pour une toute aussi courte participation, aux côtés de Jean-Paul Belmondo, dans Les Acteurs.
Trop belle pour lui
Révélée par Luis Buñuel dans Cet obscur objet du desir, Carole Bouquet fait avec Buffet froid son entrée dans l'univers glacé et sophistiqué de Bertrand Blier. Le cinéaste donnera d'ailleurs à la comédienne l'un des trois rôles principaux d'une histoire tournée dix ans plus tard et couronnée de succès et dont elle est le coeur, Trop belle pour toi.
Un four pour son buffet
Avec seulement un peu plus de 777 000 entrées en France à l'hiver 1979, dont à peine 250 000 pour Paris, Buffet froid est un grave échec pour Bertrand Blier, d'autant plus lourd que les rares spectateurs de l'époque à aller voir le film demandent le plus souvent à se faire rembourser comme après une mauvaise pièce. Incompris, l'oeuvre de Blier a heureusement son lot de supporters qui auront tôt fait d'établir sa réputation de film "culte".
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Buzz l'éclair : Le Film|Tad Stones|Animation|||Etats-unis|2000|66|||DIV3|||DIV3|1 323 Kbps|704x416|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|681||||25.000|28/07/2009 00:00:00|||||||
Zurg continue sa croisade diabolique à la conquète de l'univers. Ses troupes viennent d'envahir la planète des Petits Hommes Verts. Buzz et son équipe de téméraires rangers de l'espace sont les seuls à pouvoir sauver la galaxie... |Tim Allen@Wayne Knight@Nicole Sullivan@Stephen Furst@Larry Miller@||||||||||||@@
It (TV)|Tommy Lee Wallace|Fantastique||3|américain|1990|187|Anglais||DX50|||DX50|933 Kbps|640x368|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|1392||||23.976|27/08/2009 00:00:00||Tommy Lee Wallace|Richard Leiterman||||Une créature sans nom, Ca, répand la terreur et la mort dans la petite ville de Derry. Jusqu'à ce qu'une bande d'enfants mette fin aux agissements du monstre. Trente plus tard, les sept amis se réunissent à Derry : Ca est revenu... |Harry Anderson (Richie)@Dennis Christopher (Eddie)@Richard Masur (Stan)@Annette O'Toole (Bev)@Tim Reid (Mike)@John Ritter (Ben)@Richard Thomas (Bill)@Tim Curry (le clown / Robert 'Bob' Gray / Pennywise )@Jonathan Brandis (Bill jeune)@Seth Green (Richie jeune)@||Secrets de tournage :
Clins d'oeil à Stephen King...
Dans Ça , on peut distinguer deux références au maître de l'horreur. La première est le titre du roman de Bill, "The Glowing", qui renvoie directement à "The Shining". La seconde est le nom du gardien dans l'asile ; Koonz est en effet le nom du grand rival de Stephen King, Dean R. Koontz.
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Cabaret Paradis|Gilles Benizio Corinne Benizio|Comédie||2|français|2006|95|Français||XviD|||XVID|883 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Philippe Martin Christine Rochard|Gilles Benizio Corinne Benizio|Jeanne Lapoirie||Pyramide Distribution||Shirley et Dino débarquent à Paris pour reprendre le cabaret que leur oncle leur a légué. Au bord de la faillite, l'établissement est convoité par des truands du quartier, prêts à tout pour se débarrasser des nouveaux propriétaires. Mais c'est sans compter sur l'inventivité, l'innocence et la ténacité de Shirley et Dino... qui ont une semaine pour sauver leur Cabaret Paradis. |Corinne Benizio (Shirley)@Gilles Benizio (Dino)@Michel Vuillermoz (Jeff)@Christian Hecq (Paco)@Riton Liebman (Manu)@Maaike Jansen (Pakita)@Serge Riaboukine (Wladimir)@Nathalie Serrault (la danseuse)@Valérie Crouzet (La danseuse)@Maryse Poulhe (La danseuse)@Toni Cecchinato (Le magicien)@Vittoria Sconamiglio (La magicienne)@Gérad Fasolli (Le trapéziste)@Agathe Natanson (Employée du cabaret)@Pascal Durozier (Employé du cabaret)@Jean-Claude Tran@||Secrets de tournage :
Genèse du projet
Corinne et Gilles Benizio avaient déjà pensé au cinéma au début de leur carrière où il avait écrit une première ébauche de scénario. Pour Cabaret Paradis, ils ont préparé le film pendant plusieurs années en pensant dans un premier temps à confier la réalisation à une tierce personne. Mais finalement, ils ont décidé d'assurer eux-mêmes cette fonction d'autant plus qu'ils avaient déjà dirigé des acteurs au théâtre. Afin de se familiariser avec les techniques liées au cinéma, ils ont réalisé un court métrage dans un premier temps.
De la scène au grand écran
Cabaret Paradis est le premier long métrage de Corinne et Gilles Benizio, alias Shirley et Dino. Gilles Benizio explique son envie de passer des planches au grand écran : "Le cinéma nous est apparu comme le prolongement naturel du travail que nous faisions sur scène depuis plus de 20 ans. Nous voulions parler autrement de Shirley et Dino et le cinéma était l'occasion de faire évoluer les personnages et leur univers."
Deux comédiens qui se racontent
En interprétant les personnages de Shirley et Dino dans un autre cadre que celui du théâtre, Corinne et Gilles Benizio ont pu exprimer leur passion pour le spectacle : "En racontant au cinéma une aventure de Shirley et Dino, nous nous sommes racontés nous-mêmes. Notre vie, notre amour pour la scène, cette passion qui nous aide sans cesse à surmonter les difficultés. Notre naïveté aussi qui nous masque les dangers et qui est une sorte de regard amusé sutr le monde."
Thriller burlesque
Corinne et Gilles Benizio se sont inspirés des personnages du cinéma muet tels que Laurel et Hardy, de la grande époque du cinéma italien notamment du premier film de Federico Fellini, Les Feux du music-hall et des comédies de Woody Allen pour Cabaret Paradis qui est un thriller burlesque : "Nous ne voulions pas faire dans l'extraordinaire, mais parler de ce que nous connaissons en gardant toujours une dimension humaine et humoristique à nos personnages tout en les rendant crédibles."
Acteurs de choix
Corinne et Gilles Benizio ont choisi le casting au fur et à mesure de l'écriture du scénario. Ils ont pensé à des comédiens avec qui ils avaient déjà travaillé ou qu'ils appréciaient. Ils ont par exemple tout de suite pensé à Michel Vuillermoz, un acteur pour qui ils ont beaucoup d'admiration.
Une équipe de choc
C'est grâce à Philippe Martin, un des producteurs de Cabaret Paradis que Corinne et Gilles Benizio ont pu constituer l'équipe technique du film. Il leur a présenté des professionnels du métier comme Jeanne Lapoirie , la chef opératrice de François Ozon ou François Emmanuelli, le chef décorateur qui a notamment travaillé sur les films d'Agnès Jaoui ou Cédric Klapisch qui ont participé au long métrage.
Sketch catastrophe
Durant leur carrière, Corinne et Gilles Benizio ont rencontré plusieurs artistes de cabaret qui leur ont raconté des numéros qui ont quelquefois mal tournés. Les deux réalisateurs se sont inspirés de ces anecdotes pour insérer dans Cabaret Paradis un sketch où une boîte censée être magique s'écroule au fur et à mesure du spectacle.
Musique des seventies
C'est Gilles Douieb le compositeur des musiques des spectacles de Shirley et Dino, qui a créé la bande originale de Cabaret Paradis. Corinne et Gilles Benizio lui avait demandé qu'elle soit majoritairement composée de la musique des années 70, époque de l'ouverture du Cabaret Paradis.
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.45|Gary Lennon|Drame||1|américain|2004|93|Anglais||XVID|||XVID|906 Kbps|656x368|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Brad Wyman Donald Kushner David Bergstein|Gary Lennon|Teodoro Maniaci||||Un couple de criminels à la Bonnie & Clyde évolue dans le quartier mal-famé de Hell's Kitchen à Manhattan. |Milla Jovovich (Kat)@Angus Macfadyen (Big Al)@Stephen Dorff (Reilly)@Aisha Tyler (Liz)@Sarah Strange (Vic)@Vincent Laresca (Jose)@Tony Munch (Clancy)@Hardee T. Lineham (le Père Duffel)@Dawn Greenhalgh (Fran)@Nola Augustson (Gertie)@Suresh John (le voleur)@||||||||||||@@
California Man|Les Mayfield|Comédie||3|américain|1993|84|Anglais||DX50|||DX50|1 033 Kbps|720x416|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|692||||25.000|28/07/2009 00:00:00|George Zaloom|Shawn Schepps|Robert Brinkmann||||Deux copains, Stoney et Dave, découvrent un homme des cavernes prisonnier d'une épaisse couche de glace, qui a maintenu intactes ses fonctions vitales. Baptisé Link, l'homme de Néandertal leur apprend la cool attitude, clef du succès avec les filles. |Sean Astin (Dave Morgan)@Brendan Fraser (Link)@Pauly Shore (Stoney Brown)@Megan Ward (Robyn Sweeney)@Robin Tunney (Ella)@Michael DeLuise (Matt Wilson)@Jack Noseworthy (Taylor)@Esther Scott (Mme. Mackey)@Erick Avari (Raji)@Jonathan Ke Quan (Kim)@Christian Hoff (Boog)@Ellen Blain (Teena Morgan )@Furley Lumpkin (Le prof de science)@Gerry Bednob (Kashmir)@Dalton James (Will)@Herbert Siguenza (Chuly)@Mariette Hartley (Mme. Morgan)@Richard Masur (M. Morgan)@Rose McGowan (Nora)@Patrick Van Horn (Phil)@Mark Adair-Rios (Peyton)@Rick Ducommun (M. Brush)@Michole White (Kathleen)@Peter Allas (Officier Sims)@Wanda Acuna (Maria)@Richard Montoya (Enrique)@||||||||||||@@
Camping|Fabien Onteniente|Comédie||2|français|2006|95|Français||XviD|||XVID|880 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Patrick Godeau|Franck Dubosc Fabien Onteniente Phillippe Guillard Emmanuel Booz|Jérôme Robert||Pathé Distribution||Au camping des Flots Bleus, ça débarque de toute la France.Comme tous les ans, c'est le moment des retrouvailles autour de l'apéro d'usage pour les familles d'habitués.Sauf que cette année, les Pic n'ont plus leur emplacement 17, les Gatineau font tente à part, et Patrick Chirac, le playboy de Dijon, se fait plaquer par sa femme.C'est dans ce camping que Michel Saint Josse, chirurgien esthétique à Paris, se retrouve bien malgré lui pour y subir les problèmes existentiels d'une espèce jusqu'alors inconnue de lui : le campeur... |Gérard Lanvin (Michel Saint-Josse)@Mathilde Seigner (Sophie Gatineau)@Franck Dubosc (Patrick Chirac)@Claude Brasseur (Jacky Pic)@Mylène Demongeot (Laurette Pic)@Antoine Duléry (Paul Gatineau)@Christine Citti (Madame Chatel)@Frédérique Bel (Christy)@Laurent Olmedo (37)@Abbes Zahmani (Mendez)@François Levantal (Boyer)@Armonie Sanders (Vanessa Saint-Josse)@Edea Darcque (Sidi Mendez)@Noémie Elbaz-Kapler (Jessica)@Michael Hofland (Cornélius)@Ida Techer (Cornélia)@Charlie Barde (Aurélie Gatineau)@Elliot Parillaud (Sébastien Gatineau)@Béatrice Costantini (Madame De Brantes)@Dominique Orsolle (Madame Ballot)@Dominique Régnier (la secrétaire de la Clinique Michel)@Olivier Doran (l'animateur du Shogun)@Emmanuelle Galabru (Séverine)@Ari Vatanen (lui-même)@Bernard Montiel (Lui-même)@Emanuel Booz (Le maître d'hôtel)@Perrine Blondel (Une fetarde)@Sophie Nollet (Une nudiste)@||Secrets de tournage :
Les vacances selon Onteniente
Pour le réalisateur Fabien Onteniente, Camping était l'occasion de rendre hommage à cette période particulière de l'année que sont les vacances : "J'aime observer les groupes, les communautés, et surtout étudier les individus lorsqu'ils doivent vivre ensemble. Pour Camping, mon envie première était de faire un film sur les vacances, sujet qui touche tout le monde. J'avais le souvenir ensoleillé des Bronzés, de L'Hôtel de la plage, bref, de tous ces films mêlant loisirs et intrigues durant cette parenthèse bien spéciale où la France est au repos."
Une solidarité populaire
Pour Fabien Onteniente, le monde des campeurs est le parfait écrin pour mettre en valeur la solidarité entre les personnes : "J'aime la solidarité populaire. Ces amitiés qui se créent le temps d'une saison et qui finissent, lorsqu'à la fin des vacances, chacun replie sa tente le coeur gros en se disant 'à l'année prochaine...", un peu comme la tristesse ouvrière. J'avais déjà exploré cette solidarité populaire dans Grève Party, mon troisième film. Pour beaucoup, les manifestations étaient tout d'abord une occasion de manger des merguez en blaguant, de se battre ensemble, de ne pas être seul..." Et d'ajouter, de manière générale, qu'"à une époque où l'on souffre d'une véritable addiction à l'information, j'ai eu envie de montrer que pour moi, la véritable singularité c'est la simplicité, la gentillesse, et les vertus du coeur."
Dubosc, campeur professionnel
L'idée de Camping est en partie à l'initiative de Franck Dubosc. Le comique, dont c'est le premier rôle d'importance sur grand écran, a derrière lui une grande expérience de cette pratique, lui qui a campé jusqu'à l'âge de... 36 ans ! Au sujet de Dubosc, le réalisateur Fabien Onteniente déclare : "Ma collaboration avec Franck est née d'une réelle complicité. Il est vrai qu'il a de nombreuses années de camping derrière lui et que son apport en "matériel vérité" fut conséquent. Mais surtout, nous venons l'un et l'autre d'un milieu populaire, ce qui nous a permis de nous reconnaître. Nous avons, je crois, le même respect pour les gens simples."
Le camping selon Dubosc
Qui d'autre que Franck Dubosc, campeur confirmé, pouvait être à l'origine du projet et incarner l'hilarant Patrick Chirac ? Le comique, et néo-acteur, revient sur sa passion du camping : "J'en ai fait jusqu'à l'âge de 36 ans ! J'ai d'abord connu la tente, puis la caravane pliante tirée par une Opel Kadett, puis la première caravane... Avec mes parents, nous allions toujours au même endroit, à Cenac, dans le Périgord. (...) Pour moi, le camping, c'est partir souvent au même endroit sans être obligé d'aller à cet endroit-là. (...) Le camping, c'est vraiment trois semaines dans la vie de gens qui ne se voient pas du tout le reste de l'année, trois semaines très
intenses, avec des joies, des déchirures... Et puis, tout s'arrête. La porte des vacances se referme et on sait qu'on la rouvrira un an plus tard. Le plus du camping, c'est qu'au-delà de retrouver le même lieu, on retrouve les mêmes gens."
Le film dédié à Jacques Villeret
Le réalisateur Fabien Onteniente dédie Camping à l'acteur Jacques Villeret, disparu en janvier 2005 et pour qui il avait écrit le personnage de Jacky Pic, joué par Claude Brasseur. Il raconte : "On s'était rencontré chez Bofinger autour d'une table gourmande. Il nous avait parlé de la "couillette" (accessoire indispensable du campeur). Et puis un jour, on apprend sa mort. J'ai continué l'écriture en pensant à lui. Il a été difficile d'imaginer un autre visage. Par l'intermédiaire de mon agent, je rencontre un matin pluvieux Claude Brasseur. Je lui dis qu'il m'est difficile de remplacer Jacques. Il comprend, et me dit de sa grosse voix : "Je jouerai le film pour lui, là-haut. On lui
dédicacera". Top là !"
Lanvin le camping-cariste
Gérard Lanvin était un peu en terrain familier avec Camping et voit le film comme un hommage aux campeurs : "Je pense qu'ils ne seront pas déçus. Il n'y a aucun mépris. Certains figurants étaient de vrais campeurs et voyaient bien que nous n'étions pas là pour critiquer leur façon d'être. Ils étaient très heureux avec nous...Vous savez, je ne suis pas très loin de cette vie-là ! Je ne suis pas campeur mais camping-cariste. J'ai un camion et je circule beaucoup avec. Et j'ai rencontré des "collègues", des gens extrêmement heureux, charmants et accueillants. Pendant le tournage, j'ai dormi plusieurs fois dans mon camping-car et je vous assure que j'étais super heureux ! Finalement, je suis un campeur mais d'une autre manière..."
Retrouvailles
Camping marque la seconde collaboration entre le réalisateur Fabien Onteniente et l'acteur Gérard Lanvin, quatre ans après 3 zéros.
Le petit cahier de Lanvin
L'acteur Gérard Lanvin emmène régulièrement des cahiers lors de ses tournages. Dans ceux-ci, de nombreuses répliques glanées lorsqu'il fréquentait Coluche et qu'il arpentait les bars à ses côtés. Fabien Onteniente, grand fan de Michel Audiard, ne pouvait qu'être ravi par ces bons mots : "Mes films préférés sont des films qui parlent... Ceux d'Audiard, par exemple, avec leur parler "vert". Déjà dans "3 Zéros, Gérard Lanvin avait gardé de son époque avec Coluche des "répliques monstrueuses", glanées dans des cafés et qu'il a collectionné dans des cahiers. Pour Camping, il a ressorti les cahiers pour notre plus grand plaisir et nous en a offert quelques unes : "Chassez le naturiste, il revient au bungalow" me plaît beaucoup."
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R.V. : Runaway Vacation|Barry Sonnenfeld|Comédie||2|allemand, américain|2006|98|Anglais||XviD|||XVID|825 Kbps|624x256|MPEG-1 Audio layer 3|147 Kbps|False|48.0 KHz|2|695||||23.976|02/08/2009 00:00:00|Douglas Wick Lucy Fisher|Geoff Rodkey|Fred Murphy||Columbia Pictures||Pour Bob Munro, sa femme Jamie et leurs deux enfants, il devient urgent de resserrer les liens, sous peine de voir leur famille exploser. Bob avait promis d'emmener tout le monde à Hawaii, mais il a brusquement décidé qu'un long périple en camping-car serait bien plus excitant...Jamie et les enfants ne passent pas vraiment les vacances qu'ils espéraient. Le pire, ce sont les Gornicke, une famille de camping-caristes purs et durs qu'ils ont rencontrée, et dont l'enthousiasme permanent, l'insouciance et la familiarité leur portent vite sur les nerfs. Plus ils essaient de les éviter, plus ils les retrouvent sur leur chemin.Sur les routes, face à leurs limites et à leurs incroyables rencontres, les Munro vont découvrir qu'il n'y a rien de tel que des catastrophes pour se rapprocher... |Robin Williams (Bob McNeive)@Cheryl Hines (Jamie Munro)@Jojo (Cassie McNeive)@Josh Hutcherson (Carl McNeive)@Jeff Daniels (Travis Gornicke)@Kristin Chenoweth (Mary Jo)@Chloe Sonnenfeld (Moon)@Alex Ferris (Billy Gornicke)@Will Arnett (Todd)@Brendan Fletcher (Howie)@Erika-Shaye Gair (Cassie, jeune)@Tony Hale (Frank)@Brian Howe (Marty)@Rob LaBelle (Larry Murphy)@Brian Markinson (Gary Bernstein)@Hunter Parrish (Earl)@Kirsten Williamson (Tammy)@Richard Cox (Laird)@Veronika Sztopa (Gretchen)@Matthew Gray Gubler (Joe Joe)@Malcolm Scott (Kenny)@Barry Sonnenfeld (Irv)@Paul Anthony (Maynard)@Alvin Chea (voix VO de Dieu)@||Secrets de tournage :
Clown... plus triste!
Camping Car marque un retour à la comédie pour l'acteur Robin Williams, après les films dramatiques dans lesquels il est apparu récemment, comme Photo obsession, Final cut ou Insomnia.
Genèse du film
L'idée de Camping Car vient d'un voyage en famille réalisé, il y a plusieurs années, par les producteurs Lucy Fisher et Douglas Wick. Mariés et parents de trois enfants, le camping car s'est imposé à eux comme unique moyen de passer des vacances tous ensemble. Lucy Fisher précise : "Nous ne connaissions pas grand-chose aux camping-cars, mais Doug aime conduire et moi j'aime vaquer à mes occupations à l'arrière, et ça nous semblait une bonne idée. Nous avons passé beaucoup de temps à préparer ce voyage, à choisir le type de véhicule, notre itinéraire..." Son époux ajoute : "Ce qui a commencé par une envie de rouler à l'aventure s'est révélé une fabuleuse source d'inspiration pour une comédie sur la famille. La vie en camping-car est assez drôle parce que soudain, toute la famille est entassée pour la durée du voyage. Vous vous découvrez rapidement les uns les autres sous un jour complètement différent !".
La famille
Camping Car est avant tout un film sur la famille, comme le précise son réalisateur Barry Sonnenfeld : "Le véritable sujet de ce film, c'est la famille. Ce qui m'a intéressé en premier lieu, c'est la possibilité d'explorer la nature du cercle familial et l'évolution des rapports avec les enfants qui grandissent. Pour moi, pire est l'expérience, meilleure elle est à raconter ! Se retrouver avec un pneu à plat sur Long Island Expressway un soir de Thanksgiving est un pur cauchemar mais c'est absolument tordant à raconter ! Tout cela est très drôle... a posteriori. Camping Car parle d'une famille dont les membres se sont peu à peu éloignés les uns des autres, même s'ils vivent toujours sous le même toit. Tous ont leur propre MP3, leur ordinateur... Même quand ils se trouvent dans la même pièce, ils sont séparés mentalement. (...) C'est à travers l'aventure et l'adversité qu'ils sont forcés de faire des choses ensemble, comme une famille, et de renouer les liens.
Retrouvailles
Camping Car marque les retrouvailles de la productrice Lucy Fisher et du réalisateur Barry Sonnenfeld huit ans après Men in Black. Le choix du réalisateur pour ce projet a donc paru évident au couple de producteurs : "Barry est quelqu'un de très drôle, et il a un formidable sens visuel. (...) Je savais qu'il apporterait au projet un sens de la mise en scène, une théâtralité qu'on a rarement dans ce genre de films familiaux.". Ce dernier s'est d'ailleurs beaucoup identifié au personnage principal : "En fait, Robin me joue... Je ne suis pas sûr qu'il en ait été conscient, mais chaque fois que Bob a peur, ou qu'il sort en hurlant du camping-car à cause d'un raton laveur, ou qu'il veut être le premier dans la file, on dirait moi !"
Bob Munro
Pour incarner Bob Munro, le rôle principal de Camping Car, la production a immédiatement pensé à Robin Williams : "Robin Williams a été le premier acteur auquel nous avons pensé, parce que nous voulions quelqu'un que l'on puisse croire capable d'emmener sa famille dans un voyage en camping car et qui pourrait en même temps être complètement démuni face aux tâches mécaniques, et dénué d'aptitudes de bricoleur. Nous avons été ravis quand Robin nous a dit oui. Il a du coeur, et c'est aussi l'un des acteurs comiques les plus brillants qui soient !"
Du petit au grand écran
Afin de trouver l'actrice qui pourrait donner la réplique à Robin Williams, les producteurs et le réalisateur se sont montrés exigeants. Ils ont finalement décidé de donner sa chance à une actrice issue du milieu de l'improvisation et des séries télévisées. Cheryl Hines est essentiellement connue pour son rôle de Cheryl David dans la série comique Larry et son nombril. Barry Sonnenfeld explique son choix : "Semaine après semaine, Cheryl Hines subit les attaques comiques de Larry David dans Larry et son nombril. Elle est toujours remarquable, prête à tout, et elle renvoie la balle avec brio. Elle nous est apparue comme l'actrice idéale. (...) Nous pouvions compter sur elle pour avoir la réaction idéale, toujours pince-sans-rire et sobre, ce qui répondait à la perfection aux grands moments comiques de Robin. Ils formaient un duo comique d'exception(...)"
Jeff Daniels, chanteur
La bande originale de Camping Car comprend un titre extrait de l'album de Jeff Daniels, Jeff Daniels Live and Unplugged. La chanson, intitulée "Recreationnal Vehicle", relate les mésaventures personnelles de l'acteur lors d'un voyage en camping car. Le réalisateur Barry Sonnenfeld précise : "Jeff a bien écrit une chanson hilarante sur un voyage qu'il a fait avec sa famille du Michigan à Cooperstown, dans l'Etat de New York, durant lequel il a oublié sa femme à un relais routier..."
Bande Originale
La musique occupe une place très importante dans Camping Car. Le film s'achève d'ailleurs par la chanson, "(Get Your Kicks on) Route 66", interprété par les deux familles. D'autres personnages ont aussi leurs talents vocaux mis à contribution, mais pour Jeff Daniels, qui a déjà un disque à son actif, Jojo, chanteuse de pop et Kristin Chenoweth, chanteuse d'opéra, cela n'a pas posé trop de difficultés. Cette dernière a même eu l'occasion de mettre l'un de ses talents particuliers en pratique : "Lorsque nous avons parlé du rôle, Barry m'a demandé si je savais yodler. J'ignorais pourquoi il me posait cette question, mais oui, je savais le faire, même si je pensais que ça ne me servirait jamais à rien. Je veux dire, j'ai pris des cours d'opéra pour yodler ? J'ai fait salle comble à Carnegie Hall pour yodler ? Mais en fin de compte, j'ai pu montrer toute l'ampleur de mon talent dans ce domaine !"
Chanteuse Pop
Avant de rejoindre le casting de Camping Car, Jojo était surtout connue pour sa carrière de chanteuse pop. A l'âge de 14 ans, elle a reçu un double disque de platine pour son premier album et a achevé le deuxième juste après le tournage. Pour l'adolescente, la chanson et le métier actrice sont deux passions que l'on peut combiner sans difficultés : "Pour moi, le film représentait le croisement idéal de mon côté "chanteuse" et de mon côté "actrice". Je me souviens d'une scène mémorable, où les Munro ont chacun leur MP3 et se plongent dans leurs mondes musicaux respectifs. Avec les écouteurs, je ne m'entends pas, et quand on ne s'entend pas, on chante trop fort... Ceux qui me connaissent comme chanteuse vont sans doute grimacer en se disant que je chante très mal, mais je les rassure : c'est un rôle de composition..." Le réalisateur Barry Sonnenfeld précise au sujet de la performance vocale de la jeune fille : "Elle a atteint des octaves qu'un être humain peut rarement atteindre ! Elle a une voix de basse profonde". Et Robin Williams d'ajouter : "Quand elle chante dans le film, elle a une voix très, très basse ! Et puis elle passe à une voix normale et elle chante de manière fantastique !"
"Road-movie"
Camping Car a nécessité d'un point de vue logistique l'utilisation de 5 camping cars et 2 authentiques bus vintage. Pour les besoins du film, les acteurs et l'équipe technique ont passé la plupart de leur temps sur la route. Tandis que l'histoire se déroule sur les autoroutes reliant Los Angeles et le Colorado, le tournage s'est passé à Vancouver, en Colombie Britannique.
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Cannibal Holocaust|Ruggero Deodato|Epouvante-horreur||2|colombien, italien|1981|91|Anglais||DX50|||DX50|911 Kbps|720x384|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|692||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Franco Palaggi Franco Di Nunzio|Gianfranco Clerici Giorgio Stegani|Sergio d'Offizi||||Une équipe de journalistes composée de trois hommes et une femme se rend dans la jungle amazonienne afin à la recherche de vrais cannibales. Bientôt, la troupe ne donne plus aucun signe de vie. Le gouvernement américain décide alors d'envoyer une équipe de secours sur place. Celle-ci retrouve, grâce à une tribu amazonienne, les cassettes vidéos de la première équipe, qui renferme le terrible secret de leur disparition... |Robert Kerman (Professeur Harold Monroe)@Francesca Ciardi (Faye Daniels)@Perry Pirkanen (Jack Anders)@Luca Barbareschi (Mark Tomaso)@Salvatore Basile (Felipe)@Ricardo Fuentes (Chaco)@Gabriel Yorke (Alan Yates)@Paolo Paoloni@Luigina Rocchi (Yacumo Chief/Yanomamo Chief)@||Secrets de tournage :
Un film-scandale
Cannibal Holocaust, dont le thème est le cannibalisme, provoqua de nombreux remous à sa sortie en raison des images extrêmement violentes qu'il comporte, prétendument réalisées sans trucage. Ainsi, si les scènes de massacre des animaux sont effectivement réelles et provoquèrent l'interdiction du film en Italie, beaucoup pensèrent que le film était un snuff-movie, et donc que les humains tués dans le film l'étaient aussi réellement.
Des effets spéciaux plus que réalistes !
Le réalisateur Ruggero Deodato fut convoqué par la justice italienne pour prouver que les effets spéciaux de Cannibal Holocaust étaient véritablement des effets spéciaux et que les acteurs étaient... de vrais acteurs ! Ce réalisme des effets spéciaux contribua à propager la rumeur selon laquelle les acteurs décédaient réellement sur le tournage.
Un procès pas comme les autres
La justice italienne était particulièrement incrédule en entendant le réalisateur Ruggero Deodato clamer que Cannibal Holocaust n'était pas un snuff-movie. Pour s'en convaincre, elle alla ainsi jusqu'à demander au cinéaste de recréer sous ses yeux, dans la salle de procès, le trucage utilisé pour la scène de la femme empalée par un bout de bois !
L'ancêtre du "Projet Blair Witch"
Cannibal Holocaust peut être vu comme l'ancêtre du Projet Blair witch en cela qu'il se présente sous la forme d'un documentaire et qu'un appareil vidéo livre la vérité d'éléments tragiques. Seule différence, Cannibal Holocaust est nettement plus suggestif, Le Projet Blair witch jouant plutôt la carte de la peur par l'allusion.
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Captivity|Roland Joffé|Thriller|Interdit aux moins de 16 ans|1|américain, russe|2007|84|Anglais||XviD|||XVID|985 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|158 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Mark Damon Gary Mehlman Leonid Minkovski Sergei Konov|Larry Cohen|||TFM Distribution||Jennifer Tree est la nouvelle top que s'arrachent les photographes et couturiers new-yorkais.La fille qui fait rêver le grand public... pour le meilleur et pour le pire.Un soir, Jennifer est suivie dans la rue par un homme, qui parvient à la droguer. Elle se réveille dans une cellule préparée à son attention et remplie d'objets personnels volés dans son appartement. Son ravisseur l'oblige à regarder des vidéos de femmes torturées dans cette cellule, avant de la soumettre elle-même jour après jour à d'horribles sévices.Durant son calvaire, Jennifer découvre qu'elle n'est pas seule. Un jeune homme, Gary, est également retenu en captivité dans la pièce voisine. Elle entre en contact avec lui, dans l'espoir de trouver une issue à son cauchemar. |Elisha Cuthbert (Jennifer Tree)@Daniel Gillies (Gary)@Pruitt Taylor Vince (Ben Dexter)@Laz Alonso (Disantos)@Michael Harney (Bettiger)@Chrysta Olson (Mary D'Abro)@Carl Paoli (victime)@Trent Broin (victime #2)@||Secrets de tournage :
Affiches censurées, film sanctionné
Aux Etats-Unis, en mars 2007, une série de quatre affiches du film dut être retirée des murs de Los Angeles et New York après que AfterDark Films, l'une des maisons de distribution du long métrage aux Etats-Unis, eut reçu des dizaines de plaintes de particuliers et d'associations familiales et que des éditorialistes eurent signé des papiers véhéments pour dénoncer la violence de ces affiches, présentes sur les murs des deux villes depuis le 13 mars, respectivement titrées "Enlèvement", "Confinement", "Torture" et "Fin". La première montrait Elisha Cuthbert avec la main d'un agresseur gantée de noir sur la bouche ("Enlèvement"), la deuxième ("Confinement") la laissait deviner derrière une grille, la troisième ("Torture") la montrait effrayée, du sang coulant de l'une de ses narines, tandis que la dernière ("Fin") présentait son corps sans vie.
Lancé en dépit de l'interdiction de la MPAA (association des grands studios américains), cet affichage valut au film de se voir sanctionner le 29 mars par la puissante association, qui suspendit le processus d'attribution du visa d'exploitation pendant un mois.
Action confinée
L'intrigue de Captivity se déroule essentiellement dans deux décors : une cellule exiguë et la maison sous laquelle elle se situe. Roland Joffé en a fait une trame fondamentale de la narration du film, une toile dans laquelle les personnages se laissent attraper. "Ce confinement sert d'autant mieux le film que les personnages évoluent de façon surprenante", raconte le réalisateur. "Captifs avec eux, nous partageons plus intensément leurs épreuves, leurs peurs et leur douleur." S'ajoute au huis clos une utilisation de la lumière qui joue entre la clarté et l'obscurité, ce qui renforce la tension.
Changement de genre pour Joffé
Mieux connu pour ses films dramatiques et ses fresques historiques, le choix de Roland Joffé pour Captivity est surprenant. "L'implication de Roland Joffé comme réalisateur m'a donné à voir le scénario différemment, à cent lieues d'un film d'horreur classique", explique Leonid Minkovski, l'un des deux producteurs russes. "Je me suis rendu compte qu'il ne s'agirait pas simplement d'un film effrayant comme tous les autres, mais d'un passionnant thriller psychologique." N'ayant jamais tâté du film de genre, Joffé s'est enfermé avec son producteur Mark Damon pour visionner de nombreux longs-métrages horrifiques afin d'étudier les techniques nécessaires.
De New York à Moscou
Captivity est la première coproduction russo-américaine de la société Ramco, fondée en 2002 par Leonid Minkovski et Sergei Konov. Le film fut entièrement tourné dans les studios de Mosfilm, en Russie, avec une équipe constituée à 80% de russophones, ce qui causa durant les premières semaine quelques problèmes de compréhension avec les techniciens anglo-saxons : même les interprètes mis à disposition sur le plateau n'étaient pas toujours capables de traduire les termes techniques utilisés des deux côtés. Mais au bout de trois semaines, la communication ne constitua plus un obstacle majeur.
Relation à distance
Le chef décorateur Addis Gadzhiev vivant en Russie, Roland Joffé et lui ont mis au point le décor de CAPTIVITY en communiquant par mails. Mark Damon l'a largement complimenté pour son travail, argumentant que, pour quelqu'un qui n'a jamais mis les pieds aux Etats-Unis, Gadzhiev a parfaitement réussi à capturer l'atmosphère d'une maison new-yorkaise standard. Le décor a finalement été approuvé par Joffé lors d'un mois de pré-production passé à Moscou, juste avant de démarrer les prises de vue.
Une enfant de la télévision
La jeune héroïne du film, Elisha Cuthbert, s'est fait connaître en incarnant la fille de Jack Bauer dans la série culte 24 heures chrono. Souffre-douleur de la série, elle y est souvent prise à parti ou kidnappée pour servir d'enjeu dramatique. Dans la saison 2, elle se retrouve même entre les mains d'un maniaque qui lui fait croire qu'une bombe atomique a explosé et l'enferme avec lui dans son abri anti-atomique... La cellule de Captivity n'est donc pas la première à laquelle la jeune actrice est confrontée.
De l'ombre à la lumière
L'un des éléments les plus intéressants du film provient de la manière dont sont utilisées la lumière et l'obscurité, jouant sur les peurs de Jennifer. Roland Joffé explique : "L'un des thèmes de Captivity est le jeu sur la lumière et l'obscurité. Jennifer Tree a une phobie envers l'obscurité. Son kidnappeur s'en sert, la lumière pour la récompenser, l'obscurité pour la punir. Mais la lumière révèle aussi la terreur, tandis que l'obscurité représente paradoxalement un refuge. Un refuge qui, malgré tout, provoque des peurs plus grandes encore."
Une plume expérimentée
Larry Cohen, auteur du scénario de Captivity, est un habitué du thriller tendu et dynamique : c'est lui qui a signé, ces dernièrs années, les scripts de Cellular et Phone game, ce dernier se déroulant quasi entièrement dans une cabine téléphonique.
Un geôlier cultivé
Le bourreau de Jennifer dans Captivity est aussi un geôlier raffiné : il sème aux quatre coins de la cellule des extraits d'un poème de T.S. Eliot, The Wasteland, comme autant d'indices matériels et de reflets de sa vision tragique de l'univers.
Au coeur du rôle
Pour aider Elisha Cuthbert à trouver le ton juste pour incarner Jennifer, Roland Joffé lui a fourni un "Journal intime de Jennifer" rédigé par ses soins, en dotant son personnage d'un riche background. Choisie pour sa célébrité et le fait qu'elle offre une identification facile à ses nombreux fans, identification indispensable dans le cadre de l'lintrigue, Elisha Cuthbert a beaucoup puisé dans l'histoire de son personnage, dont le film révèle morceau par morceau les faiblesses et les angoisses.
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Carrie|Brian De Palma|Fantastique|Interdit aux moins de 16 ans|3|américain|1976|93|Anglais||DIV3|||DIV3|914 Kbps|640x352|WMA2|64.1 Kbps|False|44.1 KHz|2|661||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Brian De Palma Paul Monash|Lawrence D. Cohen|Mario Tosi|||Saga : Carrie |Tourmentée par une mère névrosée et tyrannique, la vie n'est pas rose pour Carrie. D'autant plus qu'elle est la tête de turc des filles du collège. Elle ne fait que subir et ne peut rendre les coups, jusqu'à ce qu'elle ne se découvre un étrange pouvoir surnaturel. |Sissy Spacek (Carrie White)@Piper Laurie (Margaret White)@Amy Irving (Sue Snell)@William Katt (Tommy Ross)@John Travolta (Billy Nolan)@Nancy Allen (Chris Hargenson)@Betty Buckley (Miss Collins)@P.J. Soles (Norma Watson)@Priscilla Pointer (Madame Snell)@Sidney Lassick (M. Fromm)@Stefan Gierasch (Le principal Morton)@Cameron De Palma (Le garçon sur le vélo)@Edie McClurg (Helen)@Michael Talbott (Freddy)@Doug Cox (The Beak)@Noelle North (Freida)@Anson Downes (Ernest )@||Secrets de tournage :
En savoir plus...
Carrie est la première adaptation d'un roman de Stephen King, écrivain qui ne cessera d'être adapté plus tard.
2 nominations aux Oscar 1977 : Meilleure actrice pour Sissy Spacek, Meilleur actrice dans un second rôle pour Piper Laurie.
Grand prix au festival fantastique d'Avoriaz 1977.
Toutes les séquences de Carrie furent tournées aux alentours de Los Angeles. La séquence du collège en flammes a pris place dans les légendaires studios de Culver City. D'autres dans les studios de Selznick qui virent l'incendie d'Atlanta dans Autant en emporte le vent.
John Travolta faisait ici ses premiers pas au cinéma avant d'obtenir le succès que l'on sait. Piper Laurie effectuait sa rentrée à Hollywood après une longue absence.
Sissy Spacek ne devait au départ pas jouer le rôle de Carrie mais celui de Chris Hargenson (tenu finalement par Nancy Allen), jusqu'à ce que son mari, Jack Fisk, réussisse à convaincre Brian de Palma de lui faire passer une audition. Elle plu tant à De Palma qu'elle obtint le premier rôle.
Le nom du collège, "Bates High", est une référence directe à Norman Bates, héros du film Psychose d'Alfred Hitchcock.
Après que Carrie ait reçu le seau rempli de sang sur elle, Sissy Spacek dut dormir durant 2 nuits de suite afin d'apparaître identique dans chaque scène. Le sang était fait de sirop et de colorants alimentaires, bien que l'actrice ait souhaité que le sang soit réel.
Dans la séquence finale du rêve de Sue, l'actrice Amy Irving fut filmée en reculant, puis on inversa la pellicule afin de donner une apparence étrange à la scène.
Sue (Amy Irving) et sa mère (Priscilla Pointer) sont aussi fille et mère dans la vie.
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The Rage Carrie 2|Katt Shea|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|1999|95|Anglais||DX50|||DX50|913 Kbps|768x416|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|696||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Paul Monash|Rafael Moreu|Donald M. Morgan||United International Pictures (UIP)|Saga : Carrie |Parce qu'elle est differente, secrere et renfermee, Rachel Lang subit les moqueries de ses camarades de lycee. Privee de l'affection de sa mere, internee depuis de longues annees pour schizophrenie, Rachel n'a pas trouve de reconfort aupres de sa famille adoptive. En outre, la jeune fille est troublee par d'etranges facultes de telekinesie dont elle ignore l'origine. Quand Lisa, sa meilleure amie, se suicide, abusee par un joueur de l'equipe de football, l'univers fragile de Rachel bascule. Piegee et humiliee, Rachel laisse alors exploser le pouvoir devastateur de sa colere |Emily Bergl (Rachael Lang)@Amy Irving (Sue Snell)@Jason London (Jesse Ryan)@J. Smith-Cameron (Barbara Lang)@Dylan Bruno (Mark Bing)@Zachery Ty Bryan (Eric Stark)@Mena Suvari (Lisa Parker)@Gordon Clapp@Rachel Blanchard@Eddie Kaye Thomas@||||||||||||@@
Cars|John Lasseter|Animation||3|américain|2006|113|Anglais||XviD|||XVID|715 Kbps|704x320|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|693||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Darla K. Anderson|John Lasseter Dan Fogelman Dan Gerson Joe Ranft|||Buena Vista International||Flash McQueen, une splendide voiture de course toute neuve promise au succès, découvre que dans la vie, ce n'est pas de franchir la ligne d'arrivée qui compte, mais le parcours que l'on a suivi. Parti pour participer à la prestigieuse Piston Cup, il atterrit suite à une déviation dans la petite ville tranquille de Radiator Springs, sur la Route 66.McQueen va apprendre à connaître Sally (une élégante Porsche 2002), Doc Hudson (une Hudson Hornet 1951 au passé mystérieux), et Mater (une dépanneuse rouillée mais à qui on peut faire confiance). Ils vont l'aider à découvrir qu'il y a des choses plus importantes que les trophées, la gloire et les sponsors... |Guillaume Canet (Flash McQueen (voix française))@Cécile de France (Sally (voix française))@Bernard-Pierre Donnadieu (Doc Hudson (voix française))@Samuel Le Bihan (Chick Hicks (voix française))@Darrell Waltrip (Darrell Cartrip (voix française))@Pascal Selem (Filmore (voix française))@Michel Fortin (Martin (voix française))@Pat Angeli (le commentateur de la course de Nascar (voix française))@Philippe Cherreau (le commentateur de la course de Nascar (voix française))@||Secrets de tournage :
"Route 66"
A l'origine le projet s'intitulait Route 66, cependant pour éviter tout amalgames avec l'émission de télévision américaine du même nom, qui battait des records d'audience durant les années 60, Pixar a préféré en changer le titre.
C'est en 1998 que John Lasseter et Joe Ranft (scénariste de Toy Story) ont alors commencé à se lancer dans l'aventure Cars : "(...)nous savions déjà que nous voulions créer une aventure dont les héros seraient des voitures. A peu près à la même époque, nous avons vu un documentaire, ?Divided Highways?, qui avait pour sujet une autoroute inter-états et la manière dont sa construction avait affecté les petites villes. Emus par ce documentaire, nous avons commencé à songer à ce que cela devait être de vivre dans ces lieux que le passage de l'autoroute avait plongés dans l'oubli."
Fou de voitures...
Depuis son plus jeune âge John Lasseter est attiré par le monde de la mécanique et des voitures. Il aimait rendre visite à son père qui travaillait dans une concession Chevrolet, où il dirigeait le service des pièces détachés. Dès l'âge de 16 ans, il y est embauché au service des stocks : "J'ai toujours adoré les voitures. Je dois avoir dans les veines un mélange de dessins animés Disney et d'huile de moteur...Aujourd'hui, j'ai enfin réussi à réunir mes deux passions : les voitures et l'animation."
Genèse de l'histoire
Un périple familiale en camping-car, durant l'été 2000, a permis à John Lasseter de trouver de nouvelles idées pour son scénario et l'évolution de ses personnages : "J'ai soudain réalisé que je savais de quoi allait parler notre film... J'ai découvert que le parcours que l'on fait dans la vie contient sa propre récompense. (...) Notre héros, Flash Mc Queen, ne s'intéresse qu'à une seule chose : être le plus rapide. Rien d'autre ne compte pour lui que sa victoire au championnat. C'était le personnage idéal pour qu'on le force à ralentir, comme moi j'ai dû le faire pour mon périple en camping-car. Pour la première fois de ma carrière, j'ai levé le pied, et c'était extraordinaire."
Voyage initiatique
En 2001, l'équipe technique du film s'est embarquée dans un périple de neuf jours le long de la Route 66. Au cours de ce voyage, ils ont découverts les lieux et les personnes qui ont rendu cette route si spéciale. L'équipe s'est attachée à noter les moindres détails composants ces petites villes à l'écart des grandes routes, afin d'en retranscrire au mieux l'univers à l'écran.
L'animation des voitures : le ray tracing
L'équipe en charge des effets visuels et de l'animation chez Pixar a dû relever de nouveaux défis pour que les personnages ressemblent au maximum à de vraies voitures. Cars est de ce fait le premier film de ce studio à utiliser le ray tracing : une technique permettant aux voitures de refléter leur environnement de manière réaliste. De plus, l'ajout des reflets a considérablement ralenti et rallongé la durée de calcul des images. Plusieurs jours étaient alors nécessaires pour calculer une seule seconde du film final. Les animateurs ont aussi effectué de nombreux tests de route, afin de définir le comportement et la façon de bouger des personnages pour que tout soit le plus crédible et divertissant possible, allant jusqu'à utiliser les pneus comme des mains.
La bande originale
Pour la musique de Cars, John Lasseter fait à nouveau appel à son partenaire de Toy Story et 1001 Pattes : "Chaque musique de film que compose Randy Newman est différente des précédentes. Il est capable d'écrire des chansons bouleversantes comme des chansons très drôles. C'est quelqu'un de très intelligent qui a beaucoup d'humour. La musique qu'il a écrite pour Cars reflète les deux mondes : le monde moderne où tout ce qui compte, c'est d'aller vite, et celui de Radiator Springs, où la seule chose qu'ils ont, c'est du temps. Tout est plus lent là-bas, et Randy Newman traduit cela par un mélange de bluegrass, de jazz et de pure Americana. Le monde de la course, lui, est surtout illustré par le rock. C'est l'une des meilleures musiques que Randy Newman ait jamais écrites.?
Hommage
Joe Ranft, l'un des piliers des studios Pixar, scénariste et acteur dans Cars, a trouvé la mort dans un accident de voiture au cours de l'été 2005. Son partenaire, John Lasseter avec lequel il a collaboré sur Toy Story ou 1001 Pattes, lui rend hommage en lui dédiant ce film.
Quelques références...
Le choix de certains noms ou des numéros que l'on peut lire sur les voitures et leurs plaques d'immatriculation n'est pas toujours anodin.
Le nom du personnage principal Flash (Lighting en version originale) McQueen est un hommage rendu à Glenn McQueen, un animateur de Pixar décédé en 2002.
La plaque d'immatriculation du Minibus Filmore porte les numéros "51237", qui représentent en réalité la date d'anniversaire de l'acteur George Carlin (12 mai 1937) qui lui prête sa voix pour la version originale.
Le numéro que portait Flash McQueen à l'origine était le 57, représentant l'année de naissance de John Lasseter. Il a cependant été remplacé par le numéro 95 en référence à l'année de sortie du premier succès Pixar du réalisateur, Toy Story.
Les pneus de Flash portent la marque Lightyear. Ce choix est un double clin d'oeil, d'une part à la célèbre marque Goodyear et d'autre part au personnage Buzz L'Eclair (Lightyear en version originale) de Toy Story.
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Catwoman|Pitof|Fantastique||1|américain|2004|93|Anglais||DX50|||DX50|899 Kbps|480x360|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|696||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Denise Di Novi Edward McDonnell|John Rogers Mike Ferris John Brancato Theresa Rebeck|Thierry Arbogast||Warner Bros.||Patience Philips est une artiste douée, mais maladivement timide, qui se contente d'un modeste emploi de dessinatrice publicitaire au sein du conglomérat Hedare Beauty que dirigent le tyrannique George Hedare et sa femme, le légendaire top model Laurel. Cette société se prépare à lancer "LE" cosmétique miracle censé procurer aux femmes un visage et un corps à jamais immaculés.
Patience découvre que le produit ne possède aucune de ces vertus, mais est froidement tuée par ses patrons avant d'avoir pu dénoncer l'imposture. Tout n'est pas perdu, cependant, car celle-ci ressuscite sous l'emprise d'une force mystérieuse. Elle se réincarne, magnifiée, en une femme féline, sensuelle, d'une agilité et d'une force surhumaines : Catwoman... Libérée de ses complexes, celle-ci commence par régler quelques comptes et s'offrir certains plaisirs trop longtemps négligés... |Halle Berry (Catwoman / Patience Philips)@Benjamin Bratt (Tom Lone)@Sharon Stone (Laurel Hedare)@Lambert Wilson (George Hedare)@Alex Borstein (Sally)@Michael Massee (Armando)@Frances Conroy (Ophelia Powers)@Byron Mann (Wesley)@Kim Smith (Drina)@Christopher Heyerdahl (Rocker)@Peter Wingfield (Dr Ivan Slavicky)@Berend McKenzie (Lance)@||Secrets de tournage :
Chatteries
La félinité de Catwoman ne s'exprime pas seulement à travers ses techniques de combat, mais dans la totalité de son comportement. C'est la chorégraphe Anne Fletcher qui fut chargée d'élaborer ce style très particulier et d'apprendre à Halle Berry à "penser chat". Halle Berry, quant à elle, déclare que de son côté : " j'ai passé des heures à visionner des vidéos de chats, lions, tigres, etc."
Catwoman : le fantasme suprême
Catwoman offre son premier rôle vedette et une occasion unique à Halle Berry d'excercer pleinement ses dons. Elle explique que : "Catwoman est le fantasme suprême, la femme que nous voudrions toutes être, et celle que chaque homme rêve de séduire. Cette Catwoman est une femme du 21ème siècle, qui reflète notre culture."
Pitof entre en scène
La productrice Denise Di Novi voulait un style totalement original. Selon elle "Pitof possède une imagination et un sens visuel très développés, il nous a donné un film incroyablement dynamique et divertissant".
Première réalisation américaine
Catwoman est le premier long-métrage américain de Pitof. Il explique : "j'avais déjà eu une expérience aux Etats-Unis avec Jean-Pierre Jeunet [pour Alien, la résurrection en 1997]." Cependant Vidocq , son premier film, avait été perçu en France comme un film fait "à l'américaine".
Combat au sommet
La scène clef du film est le combat féroce entre Catwoman (Halle Berry) et Laurel Hedare (Sharon Stone), une scène qui a nécessité neuf jours de tournage.
Catwoman sort son Crow ...
Le monologue délivré par Halle Berry dans le film est repris du film The Crow d'Alex Proyas. Cependant un changement mineur a été apporté pour correspondre au sujet du film, le mot "corbeau" a été remplacé par "chat".
Un chaton heureux
Le tournage de Catwoman a nécessité plus de 43 chats. Halle Berry décida d'en adopter un à l'issue du film, un chaton orange et blanc prénommé Play Dough.
Ancienne école VS nouvelle école
Dans Catwoman lorsqu'on voit Halle Berry manier le fouet avec dextérité, c'est la plupart du temps des images retouchées par ordinateur. En 1992, Michelle Pfeiffer avait quant à elle suivi plusieurs cours pour apprendre à manipuler le fouet avant de tourner Batman, le défi.
Une question de confort
Michelle Pfeiffer qui avait souffert du manque de confort de son costume en vinyl sur le tournage de Batman, le défi de Tim Burton, a refusé de reprendre le rôle dans Catwoman.
Le choix de Catwoman
L'actrice américaine Ashley Judd fut un temps envisagée pour tenir le rôle de Catwoman.
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What Women Want|Nancy Meyers|Comédie||3|américain|2001|120|||DivX|||DIVX|670 Kbps|640x352|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||25.000|09/08/2009 00:00:00|Susan Cartsonis Bruce Davey Gina Matthews Nancy Meyers Matt Williams|Josh Goldsmith Cathy Yuspa|Dean Cundey||Bac Films||Nick Marshall, cadre dans une agence publicitaire, ne parvient pas à satisfaire les attentes et les désirs des femmes, faute de les comprendre. Il aspire au poste de directeur de la création, mais ses supérieurs hiérarchiques engagent à sa place Darcy McGuire, sa grande rivale. Nick n'est pas très heureux à l'idée de collaborer avec elle. En réalité, ses campagnes publicitaires ne correspondent plus à ce que les femmes recherchent. Il doit donc trouver de nouveaux concepts qui collent davantage à leurs aspirations.
Un soir, Nick s'électrocute accidentellement chez lui. Le lendemain, il est surpris d'entendre des remarques déplacées de la part de ses collègues féminines. Cependant, il est encore plus surpris, lorsqu'il se rend compte qu'il n'entend pas leurs paroles, mais qu'il lit dans leurs pensées. Nick réalise bientôt qu'il peut tourner ce don à son avantage. |Mel Gibson (Nick Marshall)@Helen Hunt (Darcy McGuire)@Marisa Tomei (Lola)@Alan Alda (Dan Wanamaker)@Ashley Johnson (Alex)@Mark Feuerstein (Morgan)@Lauren Holly (Gigi)@Eric Balfour (Cameron)@Delta Burke (Eve)@Valerie Perrine (Margo)@Judy Greer (Erin)@Sarah Paulson (Annie)@Ana Gasteyer (Sue Cranston)@Lisa Edelstein (Dina)@Loretta Devine (Flo)@Diana-Maria Riva (Stella)@||Secrets de tournage :
Une bande originale dense
La musique joue un rôle important dans le film. La bande originale se devait donc d'être à la hauteur. En réunissant entre autres Sammy Davis Jr., Nancy Wilson, Bobby Darin, Meredith Brooks, Frank Sinatra, Christina Aguilera, les Temptations et Peggy Lee, Bonnie Greenberg Goodman, qui a supervisé la musique, a opéré des choix à la fois judicieux et fédérateurs.
La musique originale du film a été composée par Alan Silvestri, le compositeur des scores de Predator et de Forrest Gump.
Tourné à Chicago
La capitale de l'Illinois a accueilli le tournage de Ce que veulent les femmes. Ce choix est stratégique, il permet d'une part de rendre hommage à Frank Sinatra, le chanteur préféré de Nick Marshall (Mel Gibson), et un grand amoureux de la ville ; et d'autre part de montrer la splendide architecture de la ville.
Mel Gibson et la comédie
Même s'il a participé à des productions possédant indéniablement une dimension comique comme les série de L'Arme fatale et Maverick, Mel Gibson n'avait jusque-là participé qu'à une seule comédie présentée comme telle, Comme un oiseau sur la branche de John Badham (1990). Avec Ce que veulent les femmes, il retrouve enfin le rire, teinté cette fois ci de romantisme.
Mel Gibson recherche la vérité du personnage
" Avant de jouer sur la dimension purement comique de la situation, il faut cerner l'aspect humain du personnage. Pour qu'une interprétation sonne juste, il est vital de saisir l'expérience humaine, de la comprendre, que ce soit dans le cadre d'une comédie, d'un drame ou d'un film d'action. Le genre du film ne compte pas pourvu que l'interprétation soit vraie. Cela dit, je pense qu'il est très difficile de jouer une comédie romantique. Vous ne pouvez pas jouer faux ou trop outré parce que c'est immédiatement perceptible. Il est infiniment plus facile de mourir que de faire rire... ".
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Ce soir, je dors chez toi|Olivier Baroux|Comédie||2|français|2007|80|Français||XviD|||XVID|1 071 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|130 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Dean Devlin Lauren Lloyd|Larry Cohen Chris Morgan|Gary Capo||New Line Cinema||Alex aime Laëtitia. Laëtitia a 30 ans. Elle est belle, drôle, effervescente, solaire. Laëtitia aime Alex. Elle adore même Jacques, le meilleur ami et l'éditeur d'Alex ; bref c'est la femme de sa vie, la mère de ses futurs enfants, sa lumière, sa raison de vivre mais... Alex préfère quand même qu'elle reste bien chez elle... "La vie à deux : oui ! mais pas dans le même appartement..."Librement adapté des Bandes dessinées de DUPUY & BERBERIAN "Monsieur Jean" publiées chez Les Humanoïdes Associés. |Kim Basinger (Jessica Martin)@Chris Evans (II) (Ryan)@Eric Christian Olsen (Chad)@Jessica Biel (Chloe)@William H. Macy (Mooney)@Jason Statham (Greer)@Caroline Aaron (Marilyn Mooney)@Noah Emmerich (Jack Tanner)@Eric Etebari (Dimitri)@Rick Hoffman (l'avocat à la Porsche)@Robert Shaye (un inspecteur)@Mircea Monroe (l'amie de Chloe)@Richard Burgi (Craig)@||Secrets de tournage :
La moitié de Kad & O passe à la réalisation
Ce soir, je dors chez toi marque la première réalisation pour le cinéma d'Olivier Baroux, le O du populaire duo comique Kad & O, qu'il forme depuis plusieurs années avec Kad Merad. Il revient sur cette envie de toujours de passer derrière la caméra : "J'ai grandi en regardant la télévision, puis à l'adolescence j'ai découvert le cinéma, qui a pris le relais. C'est un art qui m'a toujours passionné. Tout jeune, j'étais plutôt fan de cinéma américain, mais le goût du cinéma français est venu avec la maturité. La réalisation m'a intéressé très tôt, dès que l'on a commencé à faire des sketches avec Kad. Il fallait alors décider des axes caméra et c'était toujours moi qui mettais en scène et qui montais. Cela s'est fait naturellement, je m'en occupais et je me suis rendu compte que cela ne répondait pas seulement à une nécessité, mais aussi à un goût. J'aime ça !"
L'adaptation d'une BD
Ce soir, je dors chez toi est une libre adaptation des bandes dessinées Monsieur Jean du duo Dupuy-Berberian, publiées chez Les Humanoïdes Associés. À l'occasion de la sortie du film, Les Humanoïdes Associés proposent d'ailleurs une nouvelle édition en Intégrales, avec la sortie de deux volumes comprenant chacun deux histoires.
La genèse du projet
Olivier Baroux revient sur la genèse de Ce soir, je dors chez toi, sa première réalisation pour le cinéma : "J'ai d'abord travaillé sur un projet très personnel, Une vie de rêve, sur lequel j'ai passé trois ans à écrire, mais le film a eu du mal à se monter et rien n'avançait vraiment. C'est alors que Cyril Colbeau-Justin, Jean-Baptiste Dupont et Alain Terzian sont venus me proposer Ce soir, je dors chez toi. Il s'agissait d'une adaptation de la bande dessinée de Dupuy-Berberian, "Monsieur Jean", sur laquelle Michel Delgado et Jean-Paul Bathany avaient déjà travaillé. J'ai d'abord été hésitant parce que je me demandais si j'étais capable de m'en occuper, et c'est là qu'Alain Terzian m'a proposé de me le réapproprier complètement en me laissant carte blanche. Je n'ai pas lu la BD et avec Jean-Paul Bathany, nous avons donc tout repris pour rapprocher vraiment le projet de mon univers. On a gardé les personnages et la trame et on a travaillé. Là où je suis heureux, c'est que lorsque Charles Berberian a découvert le film, il a retrouvé ses personnages et il a aimé."
Entre rire et émotion
Le néo-cinéaste Olivier Baroux explqiue quelle direction il a voulu prendre avec Ce soir, je dors chez toi et quels sentiments il a voulu procurer aux spectateurs : "La première version était beaucoup plus romantique. Il ne s'agissait pas pour moi d'effacer cet aspect-là, mais de le mélanger à de la comédie. J'avais envie que le spectateur puisse vraiment rire entre deux moments d'émotion, voire pendant ! Je n'avais pas trop d'inquiétude sur l'humour parce que j'ai un peu d'expérience, mais j'étais plus timide sur la romance ! (...) Le ton du film s'est défini naturellement. Je n'ai pas cherché le décalage systématique par rapport à une comédie romantique classique. Je suis rentré dans l'histoire, et c'est l'approche que nous en avons eue et ce que je suis qui lui ont donné son propre ton. Il ne s'agissait pas d'être parodique ou cynique, mais de raconter une romance atypique avec un esprit qui n'est pas celui habituellement employé pour ces films."
Le choix des acteurs
Olivier Baroux ne tarit pas d'éloge sur ses deux comédiens principaux. "Paradoxalement, je connaissais plus Jean-Paul Rouve par l'aspect collègue de comédie que personnellement, et j'ai eu l'occasion de le découvrir humainement sur ce film", explique le cinéaste. "C'est quelqu'un de profond, d'humain, qui réfléchit beaucoup. J'aimais aussi l'idée que l'on puisse le découvrir dans un registre inédit, où il apparaît plus tendre, plus serein, sans rien perdre de son humour. (...) Je trouve que lui et Mélanie sont cohérents, les personnages qu'ils ont composés fonctionnent mal à la perfection !" Concernant Mélanie Doutey, Olivier Baroux estime que son rôle "était exigeant parce qu'elle devait avoir le charme, mais aussi l'énergie, le côté pétillant. Elle devait pouvoir mener le jeu tout en étant fragile. Dès le premier jour de tournage, j'ai été impressionné. Elle dégage quelque chose de spontané, de vif et de tendre tout en étant crédible en manipulatrice qui va prendre Alex à son propre jeu."
Kad, évidemment...
Pour sa première réalisation, Olivier Baroux ne pouvait pas ne pas donner un rôle à son complice de toujours, Kad Merad. Il explique que tout ne s'est pourtant pas passé de la plus simple des manières : "Lorsque je lui ai annoncé qu'on m'avait proposé ce projet, il a tout de suite réagi. Il en avait entendu parler, il m'a aussitôt demandé si j'avais quelqu'un pour le rôle de Jacques. Je lui ai répondu qu'on cherchait, il s'est alors enthousiasmé en disant qu'il allait le jouer ! Et il a appelé son agent, il a dit à tout le monde qu'il avait le rôle ! Je n'ai même pas eu le temps de lui demander ! Même si j'en rigole en disant qu'il s'est imposé, c'est un cadeau de plus sur ce film parce que j'adore ce qu'il a fait du personnage. Au-delà du plaisir personnel d'avoir mon complice sur ce premier film, il a été fantastique. C'est lui qui a défini le look de son personnage en se souvenant d'un éditeur qu'il avait croisé un jour."
Mélanie Doutey en famille
Alain Doutey et Arielle Séménoff, qui jouent les parents de Mélanie Doutey dans Ce soir, je dors chez toi, sont les véritables parents de la comédienne.
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Cellular|David R. Ellis|Thriller||2|américain|2004|93|Anglais||XviD|||XVID|903 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|127 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Dean Devlin Lauren Lloyd|Larry Cohen Chris Morgan|Gary Capo||New Line Cinema||Jessica, une femme kidnappée et séquestrée, passe un appel téléphonique au hasard et tombe sur Ryan, un jeune homme à qui elle demande de l'aide. Ce dernier, qui n'a rien d'un super-héros, va se lancer dans une incroyable course contre la montre pour sauver celle qui n'est qu'une voix. |Kim Basinger (Jessica Martin)@Chris Evans (II) (Ryan)@Eric Christian Olsen (Chad)@Jessica Biel (Chloe)@William H. Macy (Mooney)@Jason Statham (Greer)@Caroline Aaron (Marilyn Mooney)@Noah Emmerich (Jack Tanner)@Eric Etebari (Dimitri)@Rick Hoffman (l'avocat à la Porsche)@Robert Shaye (un inspecteur)@Mircea Monroe (l'amie de Chloe)@Richard Burgi (Craig)@||Secrets de tournage :
La genèse du projet
Le projet est né il y a plusieurs années, lorsqu'un scénario écrit par Larry Cohen est arrivé sur le bureau de Lauren Lloyd , alors vice-présidente exécutive chez Sony Pictures.
Lauren Lloyd raconte : "J'aimais le scénario, mais le film ne se fit pas à l'époque. Dans ce script, il était question d'un jeune homme qui n'avait rien d'un héros - il était chauffeur dans un braquage de banque - et la femme n'avait pas vraiment été enlevée. Mais l'idée aussi simple qu'efficace d'une vie suspendue à un coup de fil était si forte que je l'ai tout de suite adorée."
Peu après, Lauren Lloyd quittait Sony pour devenir productrice indépendante. Elle acquit alors les droits du scénario pour elle-même. Elle le proposa à son ami Dean Devlin, producteur renommé de Independence day et The Patriot, le chemin de la liberté. Ce dernier accepta de faire équipe avec elle pour développer le projet.
Kim Basinger solitaire
Kim Basinger a créé avec David R. Ellis un environnement de travail similaire à celui dans lequel évolue son personnage. Elle a ainsi demandé au réalisateur de ne garder sur le plateau qu'un très petit nombre de personnes.
L'actrice raconte : "Je voulais me sentir complètement seule avec cette épreuve émotionnelle, mentale et physique. Je voulais ainsi pouvoir entraîner le public avec moi."
Passage dans une école de pilotage
Chris Evans a passé une semaine dans une école spéciale de pilotage pour cascadeurs afin de pouvoir effectuer lui-même certaines des séquences de conduite. Le réalisateur raconte : "Avec ce stage intensif, Chris est devenu très bon, nous avons pu tourner des plans où il fait déraper la voiture en respectant des marques précises. Nous n'avions pas à couper pour un autre angle afin d'éviter le cascadeur et à revenir sur lui ensuite, ce qui rend l'action bien plus prenante."
Se parler au téléphone sans se connaître
Kim Basinger et Chris Evans ont dû faire face à une difficulté particulière : jouer la plus grande partie du temps en parlant au téléphone. Les deux acteurs ont volontairement évité de se rencontrer avant la fin du tournage afin de conserver un certain degré d'anonymat entre eux.
David R. Ellis explique : "Kim et Chris ont joué pratiquement tout le temps sans que l'autre soit là. Chris a tourné ses séquences en premier, et il a dû respecter précisément le dialogue écrit, ce qui était parfois très difficile, parce qu'il était en pleine action et qu'il conduisait d'une seule main, l'autre tenant le téléphone... Ensuite, Kim a joué sa partie pendant les dernières semaines de tournage, en réagissant à ce que Chris avait dit."
Tourné à Los Angeles
Cellular a été entièrement tourné à Los Angeles. La productrice Lauren Lloyd confie : "Nous avons voulu montrer la ville sous un jour différent. Nous désirions ouvrir le film à travers tout l'arc de couleurs que l'on peut voir au quotidien dans cette ville. Souvent, au cinéma, on ne voit de Los Angeles que les panneaux, les affiches ou le Sunset Trip... Nous voulions faire ressortir la beauté de la ville. Les séquences sur la jetée de Santa Monica sont particulièrement belles, du bleu de l'horizon au vert des arbres, en passant par les couleurs des lumières qui scintillent..."
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C'est arrivé près de chez vous|Remy Belvaux André Bonzel Benoît Poelvoorde|Comédie|Interdit aux moins de 12 ans|3|belge|1992|92|Français||DIV3|||DIV3|915 Kbps|640x480|WMA2|64.1 Kbps|False|44.1 KHz|2|647||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Remy Belvaux André Bonzel Benoît Poelvoorde|Benoît Poelvoorde Remy Belvaux André Bonzel Vincent Tavier|André Bonzel||AAA||Faux documentaire où une équipe de journalistes suit Ben, un tueur, qui s'attaque plus particulièrement aux personnes âgées et aux personnes de classes moyennes. Peu à peu les journalistes vont prendre part aux crimes de Ben. |Benoît Poelvoorde (Ben)@Jacqueline Poelvoorde Pappaert (la mère de Ben)@Nelly Pappaert (la grand-mère de Ben)@Hector Pappaert (le grand-père de Ben)@Jenny Drye (Jenny)@Malou Madou (Malou)@Edith Le Merdy (l'infirmière)@Sylviane Godé (la femme violée)@Zoltan Tobolik (le mari de la femme violée)@Willy Vandenbroeck (Boby)@Rachel Deman (Mamie Tromblon)@Valérie Parent (Valérie)@Alexandra Fandango (Kalifa)@Olivier Cotica (Bénichou)@Remy Belvaux (Rémy)@||||||||||||@@
1408|Mikaël Hafstrom|Epouvante-horreur||2|américain|2008|104|Espagnol||XviD|||XVID|791 Kbps|672x272|MPEG-1 Audio layer 3|130 Kbps|False|48.0 KHz|2|696||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Lorenzo di Bonaventura|Scott Alexander Matt Greenberg Larry Karaszewski|Benoît Delhomme||TFM Distribution||Bien qu'il soit un auteur réputé de romans d'épouvante, Mike Enslin n'a jamais cru aux fantômes et aux esprits. Pour lui, la vie après la mort n'est que pure invention, et il a passé suffisamment de temps dans des maisons hantées et des cimetières pour le vérifier...En travaillant sur son dernier ouvrage, il découvre l'existence d'une chambre, la 1408 du Dolphin Hotel, où se sont produites de nombreuses morts inexpliquées et souvent violentes. Malgré les mises en garde du directeur de l'hôtel, Enslin décide d'y passer une nuit.Face à ce qu'il va vivre, son scepticisme va voler en éclats. Pour lui, la question n'est plus de savoir si le paranormal existe, mais d'espérer survivre à la nuit de tous les cauchemars... |John Cusack (Mike Enslin)@Samuel L. Jackson (Mr. Olin)@Mary McCormack (Lilly)@Andrew Lee Potts (Jackson)@Kim Thomson (Mme Palmer)@Len Cariou (le Père)@Drew Powell (le directeur adjoint de l'hôtel)@Jasmine Jessica Anthony (Gracie)@Walter Lewis (Patrick)@Tony Shalhoub (Sam Farrell)@Paul Birchard (Mr Innkeeper)@Margot Leicester (Mme Innkeeper)@Paul Kasey (Kevin O'Malley)@William Armstrong (Clay l'avocat)@Emily Harvey (la secrétaire)@Gil Cohen-Alloro (le Maître d'Hôtel)@||Secrets de tournage :
Adapté de Stephen King
1408 est l'adaptation cinématographique de la nouvelle du même nom écrite par l'Américain Stephen King, le maître de la littérature fantastique. Cette nouvelle fait partie du recueil Everything's eventual (Tout est fatal en version française) publié en 2003.
Citation à l'Oscar
En 2004, Mikaël Hafstrom a été cité à l'Oscar du Meilleur film étranger pour Evil, encore inédit en France. Le cinéaste a également dirigé en 2005 le trio Clive Owen, Jennifer Aniston et Vincent Cassel dans le thriller Dérapage, son premier film américain, qui a cependant connu un succès mitigé.
Images de synthèse
Dès le départ, le réalisateur Mikaël Hafstrom souhaitait limiter le plus possible l'emploi d'images de synthèses, car cela risquait de distraire le public. John Cusack ajoute : "beaucoup de choses étranges se passent dans la seconde et troisième partie du film. La plupart du temps, tout a été tourné seulement avec moi et quelques acteurs pour faire les fantômes et les esprits. Je crois qu'à l'image, cela donne une ambiance très différente de celle que nous aurions eue si j'avais été obligé de jouer sur un fond vert, en faisant semblant de voir les choses".
Fins alternatives
Estimant la fin du livre peu appropriée au film, Mikaël Hafstrom a décidé avec son équipe de travailler sur plusieurs fins possibles, qui seront selon ses dires présentes en section "bonus" du futur DVD.
A propos des scénaristes
Scénariste de Chambre 1408, Matt Greenberg a également écrit celui du slasher Halloween, 20 ans après en 1998 et du film fantastique Le Règne du feu en 2002. Quant à Larry Karaszewski, l'autre scénariste, il a écrit celui d'Ed Wood de Tim Burton, et a collaboré à deux reprises avec Milos Forman. Une première fois en 1996 pour Larry Flynt; et la seconde en 1999 sur Man on the Moon.
Clin d'oeil à Stanley Kubrick
Une des premières victimes de la chambre hantée porte le nom de "Grady". Un clin d'oeil au nom du gardien de l'hôtel Overlook du Shining de Stanley Kubrick, qui occupa la place tenue par Jack Nicholson, alias Jack Torrance...et lui aussi devenu fou.
Stephen King au cinéma
Auteur prolifique et maître de l'épouvante-horreur, presque toute la production de Stephen King a été adaptée au cinéma et en séries télé. Parmi les plus connues, on peut relever la toute première adaptation culte en 1976 avec Carrie au bal du diable de Brian De Palma, avec un morceau final d'anthologie. Il y a également celle tout aussi culte de Shining de Stanley Kubrick en 1980, que d'ailleurs le romancier renia en raison de la trop grande liberté qu'avait pris le cinéaste avec son oeuvre. En 1984, John Carpenter adapte à son tour le maître dans le classique Christine. Il faut également citer le terrifiant Misery (1990) pour lequel Kathy Bates remporta l'Oscar de la Meilleure actrice; Dolores Claiborne en 1995 et également avec Kathy Bates; Les Evadés et Un Élève doué qui sont tous deux tirés de la même nouvelle "Différentes saisons". Parmi les séries télé, mention spéciale au clown cauchemardesque de Ca, qui a hantés les cauchemars de nombreux téléspectateurs.
Retrouvailles
Pour son tournage à Londres, Mikaël Hafstrom a retrouvé une partie de l'équipe technique qui l'avait entouré sur son précédent film, Dérapage : le monteur Peter Boyle (cité à l'Oscar pour son travail sur The Hours); la chef costumière Natalie Ward et le chef décorateur Andrew Laws.
Hôtels hantés
A l'origine, l'histoire provient de plusieurs récits d'un parapsychologiste de renom, Christopher Chacon, qui a longuement enquêté sur une chambre supposée hantée de l'hôtel Del Coronado, en Californie, ainsi qu'un autre hôtel situé sur la Côte Est.
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Chaos|Tony Giglio|Policier||2|américain|2006|102|Anglais||XviD|||XVID|819 Kbps|608x256|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Huw Penalt Jones|Tony Giglio|Richard Greatrex||TFM Distribution||Un matin à Seattle, cinq hommes cagoulés font irruption dans une banque et prennent employés et clients en otage. Lorsque la police arrive sur place et boucle le quartier, Lorenz, chef du gang, exige de ne s'entretenir qu'avec une seule personne : l'inspecteur Quentin Conners, suspendu de ses fonctions suite à une sérieuse bavure... C'est à contre-coeur que Conners accepte de reprendre du service, d'autant qu'il doit désormais faire équipe avec un tout jeune débutant dans la police, l'inspecteur Dekker... |Jason Statham (Quentin Conners)@Wesley Snipes (Lorenz / Jason York)@Ryan Phillippe (Shane Dekker)@Justine Waddell (l'inspecteur Teddy Galloway)@Henry Czerny (le capitaine Martin Jenkins)@Nicholas Lea (l'inspecteur Vincent Durano)@Jessica Steen (Karen Cross)@Rob LaBelle (le patron de la banque)@John Cassini (Bernie Callo)@Marc Damon Johnson (Brandon Dax)@Paul Perri (Harry Hume)@Keegan Connor Tracy (Marnie Rollins)@Natassia Malthe (Gina Lopez)@Ty Olsson (Damon Richards)@Terry Chen (Chris Lei)@Mike Dopud (Lamar Galt)@||Secrets de tournage :
Les intentions du réalisateur
Dans Chaos, on retrouve les ingrédients du film de braquage et de trahison,
mais Tony Giglio ne s'attache ni aux préparatifs du "coup du siècle", ni au déroulement des opérations. Le hold-up n'est qu'un prétexte permettant aux auteurs du film de tisser d'innombrables ramifications - pour s'achever finalement sur le butin tant convoité. Car ce qui intéresse le réalisateur, c'est d'évoquer l'infiltration du crime au sein de la police et de mettre face à face une jeune recrue au visage d'ange et un flic désabusé à la voix rauque. Trahison de ses pairs, corruption policière, apprentissage de la violence et passage de relais sont des thèmes qui traversent Chaos.
Deux stars du film d'action
Chaos oppose deux spécialistes du film d'action : le Transporteur Jason Statham et Wesley Snipes, passé maître dans la chasse aux vampires pour la trilogie sanguinaire Blade. Signalons que c'est la troisième fois que ce dernier incarne un hors-la-loi à l'écran : psychopathe aux prises avec le Demolition man Sylvester Stallone, il se retrouvait traqué malgré lui par Tommy Lee Jones dans US marshals.
Un cinéaste de séries B
Tony Giglio a fait du film d'action son genre de prédilection. En tant que réalisateur et scénariste, il compte à son actif quelques séries B le plus souvent destinées au circuit DVD-vidéo comme le film de guerre In enemy hands (2004), le western The Shooter (1997) et Freedom strike (1998), tous deux interprétés par Michael Dudikoff.
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Charlie and the Chocolate Factory|Tim Burton|Comédie||3|américain|2005|63|Anglais||XviD|||XVID|1 401 Kbps|504x380|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|693||||29.970|28/07/2009 00:00:00|Jeff Werner Richard D. Zanuck Brad Grey|John August|Philippe Rousselot||Warner Bros.||Charlie est un enfant issu d'une famille pauvre. Travaillant pour subvenir aux besoins des siens, il doit économiser chaque penny, et ne peut s'offrir les friandises dont raffolent les enfants de son âge. Pour obtenir son comptant de sucreries, il participe à un concours organisé par l'inquiétant Willy Wonka, le propriétaire de la fabrique de chocolat de la ville. Celui qui découvrira l'un des cinq tickets d'or que Wonka a caché dans les barres de chocolat de sa fabrication gagnera une vie de sucreries. |Johnny Depp (Willy Wonka)@Freddie Highmore (Charlie Bucket)@Annasophia Robb (Violet Beauregarde)@Julia Winter (Veruca Salt)@David Kelly (Grand papa Joe)@Jordan Fry (Mike Teavee)@Philip Wiegratz (Augustus Gloop)@Helena Bonham Carter (Madame Bucket)@Noah Taylor (Monsieur Bucket)@James Fox (Mr Salt)@Missi Pyle (Mrs. Beauregarde)@Christopher Lee (Docteur Wilbur Wonka)@Deep Roy (les Oompas-Loompas)@Franziska Troegner (Madame Gloop)@Liz Smith (Grand maman Georgina)@Eileen Essell (Grand maman Joséphine)@David Morris (Grand papa George)@Nitin Chandra Ganatra (Le prince de Pondicherry)@Harry Taylor (M. Gloop)@Todd Boyce (Le journaliste TV)@Geoffrey Holder (Le narrateur)@Danny Elfman@Adam Godley (Monsieur Teavee)@Blair Dunlop (Willy Wonka jeune)@||Secrets de tournage :
Adapté d'un classique littérature
Charlie et la chocolaterie est l'adaptation cinématographique du classique de la littérature enfantine Charlie and the Chocolate Factory, écrit en 1964 par Roald Dahl. Vendu à plus de 13 millions d'exemplaires à travers le monde, le livre a été traduit dans pas moins de 32 langues.
Charlie au cinéma : deuxième !
Le Charlie et la chocolaterie de Tim Burton est la seconde adaptation cinématographique du roman de Roald Dahl. En 1971, Mel Stuart signait son Charlie et la chocolaterie, avec Gene Wilder dans le rôle de Willy Wonka et Peter Ostrum dans celui de Charlie Bucket.
Burton et Depp puissance 4 !
Charlie et la chocolaterie marque la quatrième collaboration du réalisateur Tim Burton et de l'acteur Johnny Depp, après Edward aux mains d'argent (1990), Ed Wood (1994) et Sleepy Hollow, la légende du cavalier sans tête (1999). Une fructueuse coopération qui se chiffre même à cinq unités, si l'on prend en compte le fait que Johnny Depp a prêté sa voix au personnage principal des Noces funèbres, film d'animation co-réalisé et produit par Burton.
Charlie et Johnny...
C'est le jeune Freddie Highmore, le petit garçon du Deux frères de Jean-Jacques Annaud, qui incarne Charlie Bucket dans Charlie et la chocolaterie. Johnny Depp insista lui-même pour qu'il obtienne le rôle, impressionné qu'il était de leur toute récente collaboration pour Neverland (2004).
Double ration de chocolat pour Johnny Depp !
La filmographie de Johnny Depp donne lieu à un détail particulièrement... savoureux ! Par deux fois, l'acteur aura en effet tenu la vedette de longs métrages où le chocolat tient une place prépondérante : Le Chocolat, réalisé en 2001 par Lasse Hallström, et Charlie et la chocolaterie, réalisé en 2005 par Tim Burton. Dans le premier film, Depp aide Juliette Binoche à gérer sa chocolaterie et à tenir tête à ses détracteurs; dans le second, il est lui-même l'inquiétant propriétaire d'une chocolaterie.
Tim Burton, grand fan de Roald Dahl
Le réalisateur Tim Burton se montre particulièrement enthousiaste lorsqu'il évoque le roman Charlie et la chocolaterie de Roald Dahl. "L'un des aspects intéressants du livre, c'est qu'il est si particulier, si libre, qu'il laisse encore de la place pour l'interprétation de chacun", explique-t-il. "Ca laisse une porte ouverte pour votre propre imagination. Et l'imagination était, je pense, l'une des forces de Roald Dahl en tant que raconteur d'histoires."
"Certains adultes oublient ce que c'était que d'être un enfant. Roald, non. Dans son livre, vous avez donc des personnages qui vous rappelent des gens de votre propre existence et des enfants avec lesquels vous alliez à l'école, mais en même temps il plonge cette réalité dans les anciens archétypes de la mythologie et des contes de fées. C'est un mélange d'émotion, d'humour et d'aventure qui est absolument hors du temps et je pense que c'est la raison pour laquelle ce roman s'imprègne tellement en vous. Il vous fait vous rapeller vivement ce que c'était que d'être un enfant, mais il offre également une perspective adulte. C'est pourquoi vous pouvez revisiter ce livre à n'importe quelle période, en tirer différentes choses, quel que soit votre âge."
Johnny Depp enthousiaste
Pour l'acteur américain Johnny Depp, l'un des meilleurs aspects du roman Charlie et la chocolaterie réside dans "les rebondissements inattendus propres à l'écriture de Roald Dahl. Vous pensez que l'histoire part dans une direction et tout d'un coup elle s'en va dans une autre, proposant une autre alternative, une autre route, qui vous fait réflechir. Plus généralement, Charlie et la chocolaterie est un excellent conte moral. Mais qui est également très magique et amusant."
Pour les enfants, mais pas seulement...
Pour le producteur Richard Zanuck, le roman Charlie et la chocolaterie est plus qu'un livre pour enfants. Il explique : "Bien sûr, c'est un voyage de folie, plein de surprises, avec un monde fantaisiste incroyable, mais il y a des implications émotionelles plus profondes. Le personnage de Wonka, qui il est et qui il devient à la fin de l'histoire par le biais de sa relation avec le jeune Charlie, est très touchant. C'est une fable qui peut toucher tout le monde."
Burton et Bonham Carter : amour et 7e art
En 2001, Tim Burton engage l'actrice Helena Bonham Carter pour jouer dans La Planète des singes. La même année, ils se marient. Depuis, le réalisateur a toujours donné un rôle d'importance à sa compagne dans ses films : dans Big fish, elle incarne une sorcière; dans Charlie et la chocolaterie, elle joue la mère de Charlie; enfin, dans Les Noces funèbres, c'est elle qui campe le personnage principal de la mariée.
Une riche collaboration musicale
Avec Charlie et la chocolaterie, le célèbre compositeur Danny Elfman poursuit une collaboration très fidèle avec le réalisateur Tim Burton. Il a en effet signé les partitions originales de onze des douze longs métrages du cinéaste, exception faite d'Ed Wood, dont la musique est signée Howard Shore.
« Préc.
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Charlie's Angels|McG|Aventure||2|allemand, américain|2000|94|Anglais||XVID|||XVID|820 Kbps|720x448|MPEG-1 Audio layer 3|192 Kbps|False|48.0 KHz|2|692||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Drew Barrymore Leonard Goldberg Nancy Juvonen|Ryan Rowe Ed Solomon John August|Russell Carpenter|||Saga : Charlie's Angels |Eric Knox a concu un logiciel révolutionnaire qui, s'il tombait en de mauvaises mains, mettrait en danger la vie privée de tous ceux qui approchent un ordinateur. Lorsqu'il est enlevé, la présidente de Knox Technologies fait appel à Charlie et à ses trois jeunes détectives aussi sexy qu'intelligentes. Natalie, Dylan et Alex s'intéressent d'abord à Roger Corwin, rival de Knox et propriétaire du plus grand réseau de télécommunications par satellite du monde. Pour infiltrer le cercle de ses proches, les trois jeunes femmes ne reculent devant rien. |Cameron Diaz (Natalie Cook)@Lucy Liu (Alex Munday)@Drew Barrymore (Dylan Sanders)@Bill Murray (John Bosley )@Sam Rockwell (Eric Knox)@Kelly Lynch (Vivian Wood)@Tim Curry (Roger Corwin)@Tom Green (Chad )@Crispin Glover (L'homme osseux)@Luke Wilson (Pete)@John Forsythe (Charles Townsend (la voix))@Matt LeBlanc (Jason Gibbons)@LL Cool J (Mr. Jones)@Sean Whalen (Pasqual)@||Secrets de tournage :
John Ausgust, co-scénariste
Auteur du script de Go (Doug Liman, 1999), John August a notamment signé le scénario de Titan A.E (Don Bluth, 2000).
Lucy Liu n'a pas pu résister
« Ce qui m'a attirée, c'est qu'il ne s'agissait pas d'un remake et que je pouvais faire entièrement mien le rôle d'Alex. Être une Dame était l'occasion de faire partie d'une histoire moderne, parrainée par un monument historique ! Il fallait se déguiser, accomplir des prouesses habituellement réservées à James Bond, travailler avec Cameron et Drew? Qui aurait pu résister ? »
McG, réalisateur
Réalisateur de clips et de spots publicitaires réputé, McG a notamment signé quelques vidéos pour Mase, The Offspring, Wyclef Jean, Cypress Hill et Sugar Ray.
Il réalise avec Charlie et ses drôles de dames son premier long métrage.
Lucy Liu (Alex Monday)
Star de la télévision, Lucy Liu s'est imposée au cinéma dans Payback (Brian Helgeland, 1999) et Les adversaires (Ron Shelton, 2000).
En 2000, elle est à l'affiche de Molly (John Duigan) et incarne l'une des héroïnes de Shanghai kid de Tom Dey.
Une production Drew Barrymore
A travers sa société Flower Films, Drew Barrymore a coproduit Charlie et ses drôles de dames avec son associée Nancy Juvonen.
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Charlie's Angels : Full Throttle|McG|Action||2|américain|2003|106|Anglais||DIVX|||DIVX|772 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|135 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||23.976|13/08/2009 00:00:00|Drew Barrymore Leonard Goldberg Nancy Juvonen|John August Cormac Wibberley Marianne Wibberley|Russell Carpenter||Columbia Pictures|Saga : Charlie's Angels |Lorsque les témoins protégés par le programme gouvernemental commencent à tomber comme des mouches, c'est que quelqu'un a mis la main sur deux anneaux qui, une fois rassemblés, révèlent la liste cryptée de ceux qui ont contribué à faire arrêter les plus grands criminels. Pour les récupérer, Charlie envoie ses trois armes secrètes.Tous les talents et le charme des trois demoiselles ne suffiront pas à percer le mystère. Elles vont devoir affronter une personne qui fut jadis dans leur camp. Et de son côté, Dylan va devoir faire face à un terrible secret qui met en péril la vie de ses deux amies... |Cameron Diaz (Nathalie Cook)@Drew Barrymore (Dylan Sanders)@Lucy Liu (Alex Munday )@Josh Janowicz@John Forsythe (Charles Townsend (la voix))@Bernie Mac (Jimmy Bosley)@Crispin Glover (Le Sac d'Os)@Justin Theroux (Seamus O'Grady)@Robert Patrick (Ray Carter)@Matt LeBlanc (Jason Gibbons)@Demi Moore (Madison Lee)@Luke Wilson (Pete Komisky)@John Cleese (Mr. Munday)@Jaclyn Smith (Kelly Garrett)@Rodrigo Santoro (Randy Emmers)@Shia LaBeouf (Max)@Pink@Bruce Willis (William Rose Bailey)@Mary-Kate Olsen (Future Angel)@Ashley Olsen (Future Angel)@Carrie Fisher (La mère supérieure)@Robert Forster (Roger Wixon)@Eric Bogosian (Alan Caulfield)@Tommy Flanagan (Un homme de main irlandais)@Sven-Ole Thorsen (Le mongol à la mitrailleuse (non crédité))@Chris Pontius (Un homme de main irlandais)@Jonas Barnes (Un homme de main irlandais)@Luke Massy (Un homme de main irlandais)@||Secrets de tournage :
Le retour de trois drôles de dames
Charlie's angels : les anges se déchaînent marque le retour, pour de nouvelles aventures, de Cameron Diaz, Drew Barrymore et Lucy Liu, trois ans après Charlie et ses drôles de dames. Le réalisateur américain McG, déjà aux commandes du premier film, est de retour à la réalisation.
McG de nouveau aux commandes
Le réalisateur McG, aux commandes du premier volet, rempile sur Charlie's angels : les anges se déchaînent. Il explique : "Pour moi, retrouver le trio était d'abord un plaisir personnel : elles sont fabuleuses à mettre en scène. Elles sont divinement belles, bougent magnifiquement et sont capables d'être aussi puissantes dans le registre de la comédie que dans les moments plus dramatiques. Cette fois, nous n'avions pas la pression du premier. nous savions que le public avait aimé, les personnages étaient connus, l'univers installé, nous pouvions aller au coeur des choses dès le départ."
Drew Barrymore à la production
Comme pour Charlie et ses drôles de dames, c'est l'une trois vedettes du film, en l'occurence Drew Barrymore, qui se charge de produire Charlie's angels : les anges se déchaînent via sa maison de production Flower Films. Elle est notamment accompagnée à ce poste stratégique de son associée Nancy Juvonen et de la réalisatrice Betty Thomas (Dr. Dolittle, Espion et demi).
Entraide et camaraderie au programme
La comédienne Lucy Liu est particulièrement enthousiaste lorsqu'elle s'exprime sur Charlie's angels : les anges se déchaînent. Pour elle, l'excellent état d'esprit qui règne entre les trois héroïnes a été la clé du bon déroulement du tournage. "Ce film est à la fois glamour, spectaculaire, trépidant, drôle et surprenant", explique-t-elle. "Chaque jour de tournage était une aventure. Nous avons du faire tellement de choses insensées que si nous n'avions pas été trois à le faire ensemble, nous n'aurions probablement pas réussi. Nous nous entraidions et nous riions beaucoup malgré les exigences du tournage."
Le grand retour de Demi Moore
Charlie's angels : les anges se déchaînent marque le grand retour de Demi Moore sur grand écran après quatre ans d'absence et sa prestation dans D'un rêve à l'autre d'Alain Berliner. Elle revient sur le devant de la scène en incarnant l'ennemi principal de Cameron Diaz, Drew Barrymore et Lucy Liu. A noter que Bruce Willis, l'ancien compagnon de Demi Moore, fait également une apparition dans Charlie's angels : les anges se déchaînent.
Invités de prestige
De nombreuses vedettes font de plus ou moins courtes apparitions dans Charlie's angels : les anges se déchaînent. Parmi celles-ci, retenons Bruce Willis, John Cleese, Crispin Glover, Matt LeBlanc (qui retrouve pour l'occasion Lucy Liu, sa camarade de Friends) et la chanteuse Pink, qui interprète l'une des chansons du film, intitulée Feel good time.
Jaclyn Smith, 27 ans après...
Clin d'oeil plein de nostalgie dans Charlie's angels : les anges ses déchaînent : Jaclyn Smith, l'une des drôles de dames de la série télévisée d'origine diffusée en 1976, fait une apparition dans son propre rôle. Le personnage de Kelly Garrett renaît ainsi aux yeux des spectateurs le temps d'un court mais ô combien symbolique instant.
Un tournage très physique
Le réalisateur McG est très fier d'avoir donné à ses trois comédiennes l'occasion de jouer dans un film aussi riche en action. "Il est assez rare que d'aussi jolies demoiselles soient au centre d'un tel film. Après l'entraînement subi par Drew, Cameron et Lucy pour le premier film, nous savions de quoi elles étaient capables et nous avons pu aller plus loin. Elles ont assumé une part bien plus grande de leurs cascades et de leurs combats. Elles peuvent rivaliser avec les hommes les plus entraînés. Cela rajoute à leur charme et au côté original du film."
Des champions du monde à la rescousse
Pour les besoins de l'impressionnante poursuite en motocross de Charlie's angels : les anges se déchaînent, la production a fait appel à Mic Rodgers, ancien champion de la discipline, pour superviser ces scènes particulières. De plus, Jeremy McGrath, sept fois champion du monde, et Ricky Carmichael, actuel détenteur du titre, font partie des motards participant à la fameuse course.
Histoire de casting
L'acteur Bill Murray, qui incarnait le personnage de Bosley dans Charlie et ses drôles de dames, a laissé sa place à Bernie Mac. Selon certaines rumeurs, Murray n'aurait pas souhaité rempiler en raison d'une forte incompatibilité d'humeur avec Lucy Liu.
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Hard Target|John Woo|Action|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|1993|95|Anglais||DX50|||DX50|893 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|703||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Sam Raimi Sean Daniel James Jacks|Chuck Pfarrer|Russell Carpenter||United International Pictures (UIP)||Chance, un sans abri de la Nouvelle Orléans, accepte d'aider Natasha Binder à retrouver son père. Il ne tarde pas à découvrir le corps de ce dernier, un ancien officier des Forces Spéciales, éliminé par le gang des chasseurs d'hommes du cruel Emil Fouchon. Ce dernier lance son gang après Chance... |Jean-Claude Van Damme (Chance Boudreaux)@Lance Henriksen (Fouchon)@Yancy Butler (Natasha Binder)@Chuck Pfarrer (Binder)@Arnold Vosloo (Van Cleaf)@Wilford Brimley (Douvee)@||||||||||||@@
All about the Benjamins|Kevin Bray|Thriller||2|américain|2001|93|Anglais||XVID|||XVID|909 Kbps|608x272|MPEG-1 Audio layer 3|119 Kbps|False|48.0 KHz|2|696||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Matt Alvarez Ice Cube|Ronald Lang Ice Cube|||New Line Cinema||Bucum, un chasseur de primes, se rend à Miami pour traquer Reggie, un détenu en cavale. Leur course-poursuite les amène dans un entrepôt qui se trouve être, à leur insu, la cible d'une bande de cambrioleurs à la recherche de diamants. Les deux hommes vont alors unir leurs forces pour faire échouer le plan des gangsters. |Ice Cube (Bucum)@Mike Epps (Reggie)@Tommy Flanagan (Williamson )@Carmen Chaplin (Ursula )@Eva Mendes (Gina )@Valarie Rae Miller (Pam )@Anthony Giaimo (Martinez)@Jeff Chase (Mango )@Roger Guenveur Smith (Ramose )@Gino Salvano (Mickey)@Tony Ward (TJ)@Dominic Chianese Jr. (Roscoe)@Anthony Michael Hall (Lil' J)@Antoni Cornacchione (le capitaine Briggs)@||||||||||||@@
Chicken Little|Mark Dindal|Animation|Film pour enfants|2|américain|2005|79|Anglais||XviD|||XVID|1 096 Kbps|480x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|700||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Randy Fullmer|Steve Bencich Ron J. Friedman Ron Anderson Mark Dindal Mark Kennedy|||Buena Vista International||A Oakey Oaks, un village peuplé d'animaux, Chicken Little est un petit poulet dont la ténacité dépasse de loin sa taille minuscule. Il essaie désespérément de faire oublier à la population du village sa grande humiliation : il y a deux ans, un gland lui est tombé dessus et, persuadé qu'il s'agissait d'un morceau de ciel, Chicken Little a couru donner l'alerte dans toute la ville en hurlant "Le ciel s'écroule ! Le ciel s'écroule !" La panique s'est emparée des habitants et leur affolement a failli détruire le village, attirant l'attention des médias...
Quand tout le monde a réalisé qu'il ne s'agissait que d'un gland, Chicken Little est devenu la risée de toute la ville.
Pourtant, un jour, le jeune poulet reçoit effectivement un vrai morceau de ciel sur la tête. Mais cette fois, qui le croira ? Avec sa petite taille, pourra t-il sauver sa ville toute entière ? |Lorànt Deutsch (Chicken Little (voix française))@Claire Keim (Aby (voix française))@Bernard-Pierre Donnadieu (Buck Cluck, le pèrede Chicken Little (voix française))@Emmanuel Garijo (Boulard (voix française))@Marcel Guido (Monsieur le maire (voix française))@Marie Martine (Tina, la maman Alien (voix française))@Marjorie Frantz (Foxy (voix française))@Guy Chapelier (le commentateur (voix française))@||Secrets de tournage :
Deux idées pour un poulet
Le réalisateur Mark Dindal désirait depuis longtemps faire une parodie d'un conte de fées ou d'une fable. Il explique : "Je m'intéresse depuis toujours aux contes folkloriques et aux contes de fées en tant que point de départ d'un film, parce que ce sont des histoires simples qui nous sont familières. Je trouve amusant de se demander pourquoi tel personnage agit comme il le fait et non autrement... Prenez "Le Petit Chaperon Rouge", par exemple. Pourquoi le loup ne mange-t-il pas la petite fille dès leur première rencontre, au lieu de faire ce long détour et de se déguiser en grand-mère ? Quand on commence à réfléchir aux raisons pour lesquelles les personnages font tel ou tel choix, on s'amuse beaucoup... Ils paraissent tout à coup plus intéressants. Parallèlement à ce concept, j'ai eu l'idée d'animaux de la ferme laissés-pour-compte, restés seuls tandis que tous les autres habitants de la ferme se seraient rendus à la foire. Des extraterrestres atterrissent alors chez eux pour conquérir la planète. D'un seul coup, ceux que tout le monde méprise se retrouvent en première ligne pour empêcher l'attaque et c'est à eux que revient de sauver le monde. Un soir où je me trouvais au volant de ma voiture pour rentrer chez moi, les deux idées se sont télescopées, ont fusionné, et sont devenues Chicken Little."
Un réalisateur très groovy !
Mark Dindal, le réalisateur de Chicken Little, était aux commandes de Kuzco, l'empereur mégalo, une autre production Disney dont le groove absurde et impertinent avait séduit de nombreux spectateurs.
L'adaptation d'un court des années 40
En plus d'être basé sur l'imagination de Mark Dindal, Chicken little est également la libre adaptation du court-métrage d'animation Chicken little mis en scène en 1943 par Clyde Geronimi, le réalisateur de certains classiques de la maison Disney comme Cendrillon (1950), Peter Pan (1953) (1953), La Belle et le Clochard (1955) ou encore Les 101 Dalmatiens (1961).
Une révolution pour Disney ?
Si jusque-là les studios Disney avaient des accords de développement/distribution avec Pixar (Les Indestructibles, Le Monde de Nemo entre autres), Chicken Little marque leur première production Disney d'un film d'animation 3-D de A à Z. Disney a refusé pendant longtemps de prendre le virage du numérique pour continuer dans la veine traditionnelle. Mais l'échec de La Planète au trésor, un nouvel univers et l'accueil tiède fait à Frère des ours face aux succès des productions en 3-D, ainsi qu'une renégociation houleuse avec Pixar pour la poursuite de leur collaboration, ont décidé le studio aux grandes oreilles à franchir le pas.
David Stainton, président de Walt Disney Feature Animation, observe : Chicken Little marque un vrai bond en avant pour la compagnie. En combinant le style d'animation et la sensibilité propres à Disney avec des outils numériques dernière génération, notre équipe animation a créé un film original. Nous avons mis au point des logiciels exclusifs qui ont permis à nos animateurs d'intégrer une immense gamme de mouvements, et de transposer le véritable esprit de l'animation "squash and stretch" Disney. Nous sommes très heureux de ce que Mark Dindal, le réalisateur, Randy Fullmer, le producteur, et leur équipe ont accompli."
Dédié à un géant de la maison Disney
Chicken Little est dédié à la mémoire de Joe Grant, le dernier des grands scénaristes et artistes pionniers de la maison Disney, décédé le 6 mai 2005, une semaine avant son 97e anniversaire. Entré dans la célèbre compagnie en 1933, il écrit Dumbo et supervise les histoires de Fantasia. Depuis 1989, il était revenu au studio et inspirait les nouvelles générations, continuant à dessiner et créer de nouvelles histoires jusqu'au jour de sa mort.
Lorant Deutsch dans la basse-cour
L'acteur Lorant Deutsch, qui prête sa voix à Chicken Little dans la version française du film, raconte avec humour : "Je suis le petit qui plaît ! C'est un petit poulet qui est touchant, mignon. Les filles aiment bien la sécurité, et là, malheureusement, je crois que Chicken Little ne peut pas leur apporter satisfaction. Il est pas trop intéressé par les nanas, Chicken !" (rires)
Ronaldinho au générique ?
L'actrice Claire Keim avoue adorer son personnage d'Aby : "Je la trouve belle. Certains la trouveront moche, mais moi, je ne vois même pas ses grandes dents, son grand bec, ses yeux qui tombent un peu... Elle a des grands cils, de grands yeux, elle est quand même pas mal gaulée pour une petite canne ! Et puis, elle a une vraie dignité !" Lorant Deutsch rebondit avec humour : "Au début, je pensais que c'était le joueur de foot Ronaldinho, moi ! (rires) Mais sérieusement, quand vous verrez Chicken Little, vous tomberez tous amoureux d'Aby ! Et je serai encore plus jalousé, parce que c'est moi qu'elle aime !"
Le petit poulet Zack Braff
L'acteur Zach Braff, qui "incarne" Chicken Little dans la version originale du film, observe : "Mon personnage est l'outsider ultime. Il est tout petit, et incroyablement déterminé, mais rien ne se passe jamais bien pour lui. Tout le monde sait ce que c'est d'être dans la position du plus faible. On connaît tous ce sentiment que le monde entier est contre vous. Chicken Little essaie seulement de faire ses preuves. Je crois que beaucoup de gamins, en particulier, connaissent ce sentiment d'exclusion. Il est tout petit, et il doit sauver le monde. C'est l'une des choses amusantes du film. Personne ne le pense capable de faire quoi que ce soit, tout le monde le croit fou. Il y a aussi un message sur la capacité à dialoguer, à parler librement avec ses parents."
Une BOF qui décape !
Le compositeur John Debney, nommé à l'Oscar pour la musique de La Passion du Christ, a signé la musique de Chicken Little. Il a travaillé en étroite collaboration avec les cinéastes pour composer une bande originale dynamique combinant des influences de la musique Americana, des films de science-fiction des années 50 et des hits des années 70. On retrouve ainsi des titres comme We Are the Champions, I Will Survive, Stayin' Alive, Don't Go Breaking My Heart, Stir it Up ou encore Lollipop.
Squash and stretch
S'il est en images de synthèse, Chicken Little bénéficie de la technique d'animation dite du squash and stretch, un principe d'animation classique cher à Disney. Cette technique permet de créer des mouvements extrêmes très fluides ne pouvant exister que dans un univers de dessin animé. Le réalisateur Mark Dindal explique : "Le squash and stretch permet d'insuffler de la vie et de l'énergie aux personnages. C'est une chose que l'on ressent, et c'est ce qui a fait la renommée de l'animation Disney. On croit absolument que ce que l'on voit est vrai. Nous avons aussi essayé d'apporter d'autres qualités de l'animation dessinée Disney à ce film. Il y a une certaine rondeur dans le trait des personnages qui rappelle les Disney des années 40 et 50, un design que j'aime vraiment et qui me parlait. Le rythme est unique, et les personnages possèdent une énergie vibrante."
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Parodies en pagaille
Chicken little parodie de nombreux films à succès des dernières années, tels Independence Day, Signes ou encore La Guerre des mondes.
« Préc.
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Snow Dogs|Brian Levant|Comédie||2|américain|2002|98|Anglais||DIV3|||DIV3|857 Kbps|576x432|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|700||||23.976|06/08/2009 00:00:00|Jordan Kerner|Jim Kouf Mark Gibson Michael Goldberg Philip Halprin Tommy Swerdlow|Thomas E. Ackerman||Buena Vista Pictures||Ted Brooks, un dentiste travaillant à Miami, hérite de huit magnifiques Husky de compétition. Il doit se rendre en Alaska pour s'occuper de ces chiens de traîneaux espiègles et totalement incontrôlables. Par la même occasion, il s'engage dans une grande course. Mais Tonnerre Jack, un montagnard irascible, se montre prêt à tout pour récupérer les animaux en question et renvoyer ce citadin d'où il vient. |Cuba Gooding Jr. (Ted Brooks)@James Coburn (Tonnerre Jack)@Joanna Bacalso (Barb )@Sisqo (le docteur Rupert Brooks)@Nichelle Nichols (Amelia )@M. Emmet Walsh (George )@Brian Doyle-Murray (Ernie )@Jean-Michel Pare (Olivier)@Michael Bolton (lui-même)@Jason Pouliotte (le frère Sneed 1)@David Boyce (le frère Sneed 2)@Frank C. Turner (Mr. Neely )@Ron Small (Arthur)@Randy Birch (le vétérinaire)@Jess Maldaner (le passager de l'avion)@Graham Greene (II) (Peter Yellowbear )@||Secrets de tournage :
Un stage de conduite d'attelage
Cuba Gooding Jr. et James Coburn ont suivi un stage intensif de conduite d'attelage. Cuba Gooding Jr. explique : "Nous nous sommes entraînés plusieurs heures par jour. C'est très physique (...) Il faut un bon sens de l'équilibre. Nous nous sommes habitués pendant trois semaines avant le tournage."
Des chiens aux petits soins
Pour le confort des chiens, la production a transformé et équipé un centre de concours à Victoria, en Colombie Britannique. Chaque Huski avait son local chauffé, mais également un terrain où s'ébattre, son propre entraîneur, son maquilleur pour les pelages. Ils étaient suivis par un vétérinaire deux fois par jour. Toutes leurs scènes ont été tournées sous la surveillance d'associations spécialisées dans la protection des animaux.
Le casting des chiens
Brian Levant et la production se sont livrés à un véritable casting d'envergure pour le choix des chiens. Stacy Basil, responsable de l'opération, explique : "Nous ne cherchions pas des chiens dressés à jouer à qui on aurait fait tirer un traîneau. Nous voulions d'authentiques chiens à qui on essaierait de faire jouer le film. Les scènes de traîneau devaient être crédibles, or il faut plusieurs années pour former un bon chien. Nous avons donc cherché à travers tout le Grand Nord. J'envoyais des photos et des films vidéo par mail à Brian, et il me disait ceux qu'il préférait."
Brian Levant aime les chiens
Concernant les Huskis, Brian Levant explique : "Nous avions huit chiens à l'image, ce qui signifie bien plus sur le plateau avec les doublures. Pour les scènes d'attelages, nous en avons eu jusqu'à quatre-vingts en même temps. Cela ne me pose pas de problème. J'ai moi-même six chiens, donc je sais à quoi m'attendre."
Conditions de tournage difficiles
La production a été confrontée à la rudesse des conditions de tournage. Brian Levant résume : "Nous tournions dans des paysages superbes, mais la météo était imprévisible et les conditions climatiques épouvantables. Il faisait entre - 30° C et - 40°C, nous étions tous emmitouflés. Le temps correspondait rarement au planning et nous avons dû beaucoup nous adapter. Nous avons filmé à Canmore, un village aux environs de Banff, dans les Rocheuses canadiennes. C'est là que nous avons trouvé le décor de notre Tolketna. C'est entouré de sommets et de lacs gelés."
Cuba Gooding Jr. se souvient : "Nous filmions sur la glace, et de temps à autre, nous entendions des craquements sinistres. Nous pouvions soit mourir de froid, soit de noyade, soit des deux en même temps !"
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Chinatown|Roman Polanski|Policier|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|1974|125|Anglais||DX50|||DX50|665 Kbps|608x256|MPEG-1 Audio layer 3|32.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Robert Evans|Robert Towne|John A. Alonzo||||Gittes, détective privé, reçoit la visite d'une fausse Mme Mulwray, qui lui demande de filer son mari, ingénieur des eaux à Los Angeles. Celui-ci est retrouvé mort, noyé. Gittes s'obstine dans son enquête, malgré les menaces de tueurs professionnels. |Jack Nicholson (Jake Gittes)@Faye Dunaway (Evelyn Cross Mulwray)@John Huston (Noah Cross)@Perry Lopez (lieutenant Lou Escobar)@Darrell Zwerling (Hollis I. Mulwray)@Diane Ladd (Ida Sessions)@Roman Polanski (l'homme au couteau)@John Hillerman (Russ Yelburton)@Joe Mantell (Lawrence Walsh)@James Hong (Kahn)@Noble Willingham (le conseiller municipal)@Rance Howard@Burt Young (Curly)@||Secrets de tournage :
Hommage au film noir
Chinatown s'inscrit dans la grande tradition du film noir, héritée entre autres de Dashiell Hammett. En 1931, il écrit l'histoire de Carrefours de la ville, réalisé par Rouben Mamoulian. Ce dernier est l'auteur du Le Faucon maltais, dont John Huston tire un film culte. Il a également écrit La Clé de verre, qui est adapté par Stuart Heisler, et qui inspire Miller's Crossing à Ethan Coen et Joel Coen.
Robert Towne, scénariste à succès
Robert Towne a co-écrit le scénario de Chinatown. Il a également participé à l'écriture de Frantic (1988, Roman Polanski). C'est un scénariste prolifique à succès : mis à part son travail avec Polanski, on lui doit Bonnie and Clyde et les trois volets de Mission: impossible. Il a également réalisé quelques films, dont Tequila sunrise (1988).
Polanski et son équipe
Pour Chinatown, Sam O'Steen et Anthea Sylbert ont été respectivement nominés aux Oscars pour le meilleur montage et les meilleurs costumes. Roman Polanski avait déjà travaillé avec eux sur Rosemary's Baby (1968). En 1988, il retravaille avec Sam O'Steen sur Frantic.
John A. Alonzo
John A. Alonzo, directeur de la photographie a été nominé aux Oscars pour son travail dans Chinatown. Il a de nombreux films à son actif, dont certains se situent encore dans la veine du film noir : Adieu, ma jolie (1975, Dick Richards), Scarface (1983, Brian De Palma), Affaires privées (1990, Mike Figgis).
John Huston
John Huston tient un des rôles principaux dans Chinatown aux côtés de Jack Nicholson qu'il dirige plus tard dans L'Honneur des Prizzi (1985). John Huston joue parfois dans ses propres films, comme dans Le Trésor de la Sierra Madre (1947), La Bible (1960). Il joue également pour d'autres réalisateurs : en 1971, on peut le voir dans Le Convoi sauvage (Richard C. Sarafian) et Le Déserteur (Niksa Fulgozi).
Chassés-croisés
Jack Nicholson et Robert Towne ont travaillé ensemble sur différents films. Le premier était acteur et le second scénariste dans La Dernière Corvée (1973, Hal Ashby), Chinatown (1974, Roman Polanski) et Missouri Breaks (1976, Arthur Penn). En 1971, Robert Towne est scénariste et acteur dans Vas-y, fonce de Jack Nicholson. En 1990, il écrit le scénario de Two Jakes de et avec Nicholson.
Un véritable auteur
Roman Polanski a écrit la quasi-totalité des films qu'il a réalisés. Chinatown (1974) ne fait pas exception à la règle. Cinéaste complet, Roman Polanski a écrit (ou co-écrit) vingt-deux des vingt-cinq films qu'il a mis en scène. Rosemary's Baby (1968), Tess (1979), La Neuvième Porte (1999) en sont quelques exemples.
Réalisateur et acteur
Roman Polanski se donne parfois un rôle dans ses films. Il tient le rôle principal dans Le Bal des vampires (1967) et Le Locataire (1967). Il joue un malfrat dans Chinatown (1974) et fait une apparition dans Repulsion (1965).
Chinatown et les Oscars
En 1975, Chinatown est nominé onze fois aux Oscars, et notamment dans les catégories meilleur film, meilleur réalisateur (Roman Polanski) , meilleur acteur dans un premier rôle (Jack Nicholson) , meilleure actrice dans un premier rôle (Faye Dunaway). Sur ses onze nominations, le film obtient l'Oscar du meilleur scénario (Robert Towne).
Une suite pour Chinatown
En 1990, Jack Nicholson retrouve son rôle de détective privé dans la suite de Chinatown (1974, Roman Polanski) qu'il réalise lui-même. Le film s'intitule Two Jakes, en référence à son personnage principal, Jake Gittes. On y retrouve Robert Towne au scénario et Faye Dunaway (voix-off).
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Chok dee|Xavier Durringer|Drame||3|français|2005|102|Français||XviD|||XVID|814 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|125 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Véra Belmont|Christophe Mordellet Xavier Durringer Véra Belmont Dida Diafat|Guillaume Schiffman||Rezo Films||De combines en petits braquages, Ryan finit en prison. Il y rencontre Jean,un ancien champion de boxe. À son contact, il découvre un des sports lesplus violents qui soit, la boxe thaïe, et toutes les valeurs morales qui s'yrattachent.A sa sortie de prison, il part en Thaïlande. Il découvre là-bas que le campd'entraînement dont lui a parlé Jean est inaccessible aux étrangers.Son premier combat sera d'abord de se faire accepter dans ce camp, auprix de toutes les humiliations.Son deuxième combat sera de prouver qu'à force de travail et de volonté,on peut devenir un véritable champion de boxe et un homme... |Dida Diafat (Ryan)@Bernard Giraudeau (Jean)@Florence Vanida Faivre (Kim)@Lakshan (Coffee)@Sombati Medhanee (Wiwat)@Rit Luecha (Mr Amorn)@Jean-Pierre Léonardini (Roger)@Martial Odone (un gardien)@Laurent Olmedo (un gardien)@Jean Miez (un gardien)@||Secrets de tournage :
Inspiré de la vie de Dida
Chok dee s'inspire en majeure partie du livre Dida, de l'enfer de la banlieue à Hollywood, une autobiographie de cet ancien champion du monde de boxe thaïe.
Encore un film d'hommes pour Xavier Durringer
À travers Chok dee, Xavier Durringer retrouve beaucoup de ses
thèmes de prédilection : l'amitié, l'engagement, le parcours d'un individu qui change, qui élargit sa vision et grandit. Ce dernier confie : "L'univers de
la boxe - comme d'ailleurs le monde des voyous dans J'irai au paradis car l'enfer est ici, mon précédent film - est un
excellent contexte qui permet avant tout de parler de l'homme."
Préparation physique intensive pour Dida
Pour l'apparence de son personnage, Dida a travaillé pendant un an et perdu douze kilos pour retrouver son poids de champion du monde alors qu'il avait arrêté la boxe depuis quatre ans. En Thaïlande, la première étape a consisté à l'affiner, à l'affûter. Pour cela, il a retravaillé avec Kim Young, son propre entraîneur.
Le choix de Bernard Giraudeau
Pour incarner le mentor de Dida, Xavier Durringer souhaitait un grand acteur, crédible en tant qu'ancien boxeur. La productrice Véra Belmont voulait Bernard Giraudeau, avec qui elle avait travaillé sur Marquise. Ancien karatéka et passionné de sports de combat, ce dernier accepta rapidement le rôle. Il avait d'ailleurs remis en mains propres un trophée à Dida quelques années plus tôt. Le cinéaste ajoute : "Bernard éprouve une fascination pour la spiritualité de l'Orient. Il nous a amené son intelligence, sa générosité, son regard sur l'histoire."
Dida vu par Bernard Giraudeau
A propos de Dida, Bernard Giraudeau raconte : "Il est très psychologue. Il analyse bien les gens. Il reste calme, ne s'emporte jamais. Il n'a pas de jugement a priori. Sa ceinture de champion du monde, résultat mérité d'un vrai
parcours, est une belle étoile, mais il sait qu'un film n'est pas un combat et que les étoiles sont souvent illusoires (...) Pour Chok dee, il s'est investi totalement, non seulement dans son propre rôle à l'intérieur du film mais dans l'entreprise cinématographique. Je pense qu'il a compris que tout son parcours ne suffisait plus à son histoire d'homme et qu'il avait besoin de s'exprimer aussi dans d'autres dimensions."
De la prison à la Thaïlande
Pour le tournage, Xavier Durringer a respecté, dans la mesure du possible, l'ordre chronologique du film et a commencé par les scènes de prison. "Il y avait quelque chose d'amusant à voir Dida et Bernard échanger" ajoute le cinéaste. "L'un montrait à l'autre comment bien interpréter son propre rôle et l'autre, champion du monde, faisait voir comment avoir l'air d'un pro pour que lui puisse passer pour un débutant."
Pour le tournage en Thaïlande, ils ont débuté par les scènes d'entraînement au camp. Cela permit à Dida de se
recaler sur le niveau de son personnage avant d'attaquer les combats dans lesquels son niveau était aussi à doser. Bernard Giraudeau les a ensuite rejoints en Thaïlande au moment des scènes de combat au Aomnoi Stadium.
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Chouchou|Merzak Allouache|Comédie||2|français|2003|100|Français||XviD|||XVID|863 Kbps|720x288|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Christian Fechner|Gad Elmaleh Merzak Allouache|Laurent Machuel||Warner Bros. France||Chouchou, un jeune Maghrébin, débarque clandestinement à Paris dans la seule intention de retrouver son neveu. Recueilli par le Père Léon et le Frère Jean, en charge d'une paroisse de banlieue parisienne, Chouchou trouve un emploi : assurer l'entretien du cabinet d'une psychanalyste, le docteur Nicole Milovavitch, et recevoir ses clients.
Ce dernier se rend bientôt à Clichy à la recherche de son neveu, devenu "Vanessa", chanteuse romantique au cabaret L'Apocalypse. Le jeune homme y retrouve ses amis et décide de se travestir lui aussi à ses heures libres. Devenu "serveuse" de nuit, il fait la rencontre de Stanislas, un quadragénaire habitué des lieux. C'est le coup de foudre.
Malheureusement, un patient du docteur Nicole Milovavitch, l'inspecteur Grégoire, a vent de l'arrivée clandestine de Chouchou à Paris et de sa double personnalité... |Gad Elmaleh (Chouchou)@Roschdy Zem (Frère Jean)@Catherine Frot (Nicole Milovavitch)@Alain Chabat (Stanislas)@Claude Brasseur (Père Léon)@Julien Courbey (Yekea)@Micheline Presle (la mère de Stanislas)@Jacques Sereys (le père de Stanislas)@Arié Elmaleh (Vanessa)@Yacine Mesbah (Djamila)@Michaël Youn (Le transformiste brésilien)@Catherine Hosmalin (Mme Armand)@Michel Such (le patient)@Rochelle Redfield (la touriste américaine)@Nader Boussandel (le chanteur)@Axelle Laffont (voix du soap opera)@Adrien Saint-Joré (le jeune de l'association)@Isaac Sharry (le serveur du salon de thé)@Jean-François Pages (l'inspecteur Berthier)@Olivia Dessolin (L'apparition)@Jean-Paul Comart (le commissaire Molino)@Messaoud Hattou (le transformiste humoriste)@Anne Marivin (la vendeuse de supermarché)@||Secrets de tournage :
Histoire du personnage
Chouchou est née de l'imagination de Gad Elmaleh quand celui-ci remarque un jour un travesti perruqué de Pigalle avec un accent à la fois effeminé et maghrébin. Il développe cette idée dans son one-man-show "La Vie normale" en créant le personnage de Chouchou, un travesti en pleine dépression "qui travaille Place Clichy". Ce sketch deviendra l'un des plus célèbres du comédien français, régulièrement sous le feu des rappels du public.
De la scène au cinéma
C'est un ami de Gad Elmaleh, le réalisateur Merzak Allouache, qui pousse l'artiste à transposer le personnage de Chouchou de la scène au grand écran, idée qui avait déjà germée dans l'esprit du comédien. Emballés par le projet, les deux hommes ont commencé à réunir leurs idées en vrac puis à coordonner la structure du scénario.
Gad et Alain, un couple
Avant d'être à l'affiche de Chouchou, Gad Elmaleh et Alain Chabat étaient tous deux des éléments réguliers du jeu Burger Quiz de Canal +, le premier simple candidat occasionnel tandis que l'autre animait régulièrement l'émission. Pourtant, quand Alain Chabat dut arrêter temporairement la présentation de l'émission pour assurer la promotion de son Astérix et Obélix : mission Cléopâtre, il confiera les rênes du jeu pendant quelques temps au comédien.
Référence
La référence comique chez les comédiens pour Gad Elmaleh est Louis De Funès. Celui-ci s'est d'ailleurs également travesti au cinéma, que ce soit dans La Folie des grandeurs ou L'Aile ou la cuisse.
Chouchou se maquille
Gad Elmaleh le concède volontiers : se transformer sur le plateau en Chouchou relevait pour le comédien du calvaire : deux heures de préparation quotidiennes avec épilation, les perruques, le maquillage des yeux, les chaussures à talon... qui au bout d'un moment se sont révélées insupportables : le comédien a ainsi un beau jour craqué sur le plateau, et a arraché sa perruque.
Retrouvailles Elmaleh / Allouache
Chouchou donne l'occasion à Merzak Allouache de diriger pour la seconde fois Gad Elmaleh après Salut cousin ! en 1995.
Pourquoi Micheline Presle ?
Micheline Presle, qui joue le rôle de la mère fantasque de Stanislas / Alain Chabat dans Chouchou, a été appelée par Gad Elmaleh. Celui-ci est en effet sensible au souvenir de la comédienne, puisqu'elle était venue dans sa loge après l'une de ses représentations de "La Vie normale" au Casino de Paris pour l'embrasser.
Brasseur / Zem : deuxième !
Claude Brasseur et Roschdy Zem avaient déjà collaboré ensemble sur le tournage de L'Autre Côté de la mer en 1997. Alors qu'il avait écrit le rôle de frère Jean pour Roschdy Zem, Gad Elmaleh avoue d'ailleurs que c'est en voyant ce film qu'il a pensé à confier le rôle du Père Léon à Claude Brasseur.
Chopin
La musique de Chopin, qu'on peut entendre dans Chouchou, est un élément indispensable de la mise en scène d'un spectacle de Gad Elmaleh. Son père, qui était mime dans les cabarets du Maroc, utilisait en effet cette musique lorsqu'il entrait en scène. Depuis, Gad Elmaleh fait toutes ses entrées sous les traits de Chouchou avec cette musique.
Entre frères
Le comédien Arié Elmaleh, qui interprète dans Chouchou l'extravagante Vanessa, n'est autre que le frère de Gad Elmaleh.
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Christine|John Carpenter|Fantastique||3|américain|1984|105|Anglais||DX50|||DX50|1 103 Kbps|704x288|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|936||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Richard Kobritz|Bill Phillips|Donald M. Morgan||||La premiere fois qu'Arnie vit Christine, il tomba en extase devant cette beaute aux formes eblouissantes. C'etait dit, ils allaient lier leurs destins pour le meilleur et pour le pire. Mais Christine, la belle plymouth, modele 57, n'aime pas trop les rivales. Gare a celles qui voudront approcher Arnie! |Keith Gordon (Arnie Cunningham)@John Stockwell (Dennis Guilder)@Alexandra Paul (Leigh Cabot)@Robert Prosky (Will Darnell)@Harry Dean Stanton (Rudolph Junkins)@Roberts Blossom (George LeBay)@Kelly Preston (Roseanne)@William Ostrander (Buddy Repperton)@David Spielberg (Mr. Casey)@Steven Tash (Richard Trelawney)@||||||||||||@@
Child's Play|Tom Holland|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|1989|83|Anglais||DX50|||DX50|1 047 Kbps|640x384|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|707||||25.000|13/08/2009 00:00:00|David Kirschner|Don Mancini John Lafia Tom Holland|Bill Butler|||Saga : Chucky |Pour ses six ans, Andy Barclay est comblé, sa mère lui fait cadeau d'une poupee parlante, joufflue à souhait nommée Chucky. Andy est fou de sa poupée et lui seul connait son secret. Chucky sait faire bien des choses, elle est même capable de tuer... |Brad Dourif (Charles Lee Ray/La voix de Chucky)@Chris Sarandon (Mike Norris)@Catherine Hicks (Karen Barclay)@Alex Vincent (Andy Barclay)@Dinah Manoff (Maggie Peterson)@Tommy Swerdlow (Jack Santos)@Alex Vincent (Mike Norris)@Jack Colvin (Docteur Ardmore)@Neil Giuntoli (Eddie Caputo)@Juan Ramirez (Peddler)@Alan Wilder (Monsieur Criswell)@||||||||||||@@
Child's Play 2|John Lafia|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|1991|80|Anglais||DX50|||DX50|1 090 Kbps|640x336|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|705||||25.000|28/07/2009 00:00:00|David Kirschner|Don Mancini|Stefan Czapsky|||Saga : Chucky |Alors qu'Andy en a terminé avec sa première poupée psychopathe et qu'il est accueilli par une famille calme, les Simpson, les fabriquants de Chucky tentent de redorer le blason de leur jouet pour le remettre sur le marché. Las, l'âme damnée de Chucky est toujours là et la poupée, après s'être debarrassée de ses réparateurs, s'introduit chez les Simpson pour retrouver Andy. |Jenny Agutter (Joanne Simpson)@Alex Vincent (Andy Barclay)@Gerrit Graham (Phil Simpson)@Christine Elise (Kyle)@Grace Zabriskie (Grace Poole)@Brad Dourif (La voix de Chucky)@||||||||||||@@
Child's play 3|Jack Bender|Epouvante-horreur||2|américain|1991|85|Anglais||DX50|||DX50|1 011 Kbps|640x336|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|705||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Robert Latham Brown|Don Mancini|John R. Leonetti|||Saga : Chucky |Huit ans se sont écoulés depuis qu'Andy a vaincu la terrifiante poupée Chucky, habitée par l'âme du serial-killer Charles Lee Ray. Mais les dirigeants de la fabrique de jouets se décident à relancer le modèle du poupon parlant, permettant la résurrection de la poupée meurtière... |Justin Whalin (Andy Barclay)@Perrey Reeves (Kristen De Silva)@Jeremy Sylvers (Tyler)@Travis Fine (Lt. Colonel Fred C. Shelton)@Dean Jacobson (Harold Aubrey Whitehearst)@Brad Dourif (La voix de Chucky)@||||||||||||@@
Bride of Chucky|Ronny Yu|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|1999|85|Anglais||DIVX|||DIVX|953 Kbps|608x320|MPEG-1 Audio layer 3|162 Kbps|False|48.0 KHz|2|686||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Grace Gilroy David Kirschner|Don Mancini|Peter Pau|||Saga : Chucky |La poupée Chucky n'est plus qu'un infâme bout de chiffon et de plastique tout juste bon à jeter aux ordures. Mais Lee Ray, tueur en série officiellement mort depuis une dizaine d'années, habite encore sa carcasse en charpie. La pulpeuse Tiffany, créature tout entière dévolue à son culte, rêve de le ramener à la vie. Et voila qu'elle parvient à le ranimer. Mais dès son retour à la vie, Chucky se fatigue vite de son apparence de jouet, car rien ne vaut, à ses yeux, un mètre quatre-vingts de chair et d'os, un physique avantageux où coule du sang chaud, celui du beau Jesse par exemple. |Jennifer Tilly (Tiffany)@Brad Dourif (Chucky)@John Ritter (Chef Warren Kincaid)@Alexis Arquette (Damien)@Katherine Heigl (Jade)@Nick Stabile (Jesse)@Gordon Michael Woolvett (David)@Lawrence Dane (Lt. Preston)@James Gallanders (Russ)@Michael Johnson (L'officier Norton)@Janet Kidder (Diane)@Vincent Corazza (Robert Bailey)@Kathy Najimy@||||||||||||@@
Seed of Chucky|Don Mancini|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|2005|86|Anglais||XviD|||XVID|957 Kbps|592x320|MPEG-1 Audio layer 3|160 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||23.976|28/07/2009 00:00:00|David Kirschner Corey Sienega|Don Mancini|Vernon Layton||SND|Saga : Chucky |Apprenant qu'un film sur les effroyables exploits de ses parents décédés est en train de se tourner, Glen, le fils de Chucky, se rend à Hollywood.Ayant réussi à ramener ces derniers à la vie, il s'aperçoit vite que sanouvelle famille est loin d'être aussi chaleureuse qu'il l'avait rêvé...A la grande horreur du gentil Glen, ses parents se lancent dans unenouvelle série d'exploits macabres. Chucky, lui, ne parvient pas à sefaire à l'idée que son fils ne partage pas son goût du meurtre ; quant àTiffany, elle ne rêve que de croiser le chemin de la star du film,Jennifer Tilly. Chaque rencontre apporte son lot de surprises... |Jennifer Tilly (elle-même et voix de Tiffany)@Brad Dourif (voix de Chucky)@Billy Boyd (voix de Glen / Glenda)@Redman (lui-même)@Hannah Spearritt (Joan)@John Waters (Pete Peters)@Keith-Lee Castle (Psychs)@Kristina Hewitt (Glenda humaine)@Jason Flemyng (Santa)@Rebecca Santos (Fulvia)@Tony Gardner (lui-même)@Guy J. Louthan (Don Mancini)@||Secrets de tournage :
Cinq films pour un scénariste
On est jamais mieux servi que par soi-même. Scénariste des quatres opus précédents, Don Mancini signe avec Le Fils de Chucky sa première réalisation.
Le retour de la poupée tueuse
La saga horrifique continue ! Le Fils de Chucky est le cinquième opus de la série des aventures de la monstrueuse poupée. Une saga commencée en 1989 avec Jeu d'enfant, réalisé par Tom Holland, et dont le succès ne s'est jamais démenti depuis.
Changement de studio ...
A l'origine le script de Le Fils de Chucky avait été proposé à Universal en 1998. Après le refus de la major, c'est finalement Focus Features (une filiale d'Universal Studios) qui récupéra la projet en 2003, et permit la mise en chantier, offrant la réalisation à Don Mancini.
Fidèle (s) au poste
L'acteur Brad Dourif, qui interprétait le tueur psychopathe du premier volet et qui prête sa voix à la démoniaque créature depuis le début, reprend du service. Jennifer Tilly, alias La Fiancee de Chucky, reprend également son rôle.
Un renouvellement indispensable
La parole au réalisateur: "Pour qu'une franchise comme Chucky puisse durer, il faut qu'elle évolue dans le temps. Nous avions déjà modifié le ton avec La Fiancee de Chucky, après avoir créé trois purs films d'horreur. Pour ce cinquième film, il fallait vraiment réinventer le concept afin d'assurer la longévité de la série. La Fiancee de Chucky parodiait les comédies romantiques, et avec Le Fils de Chucky j'avais envie de franchir encore une nouvelle limite, de révéler une autre dimension du personnage. Il m'a semblé naturel d'évoluer vers une parodie du genre "drame domestique", de films comme Des gens comme les autres ou Kramer contre Kramer...Des films où l'enfant devient l'enjeu d'une bataille".
La Roumanie, le repère du Mal...
Filmé en Roumanie, sur le deuxième plus grands plateaux d'Europe (où a notamment été tourné Retour à Cold Mountain en 2003), Le Fils de Chucky a pu profiter des paysages et de l'atmosphère si singulière du pays. La Roumanie célèbre notamment pour sa chaîne des Carpates, théâtre de nombreux films de vampires, (on peut parait-il y trouver l'antre de Dracula) fait désormais partie intégrante de l'imaginaire fantastique.
L'animation
La gestuelle des poupées a été réalisée en animatronique. Au total, 53 personnes ont travaillé à la création du trio, tandis que 7 personnes portaient les poupées et les déplaçaient sur le décor et autour. 15 personnes enfin étaient nécessaires pour les faire fonctionner.
Les décors
De nombreux décors du film, dont la propriété où vit Jennifer Tilly, ont été construits à près de deux mètres au-dessus du sol. Cela laissait ainsi l'espace nécessaire pour que les marionnettistes puissent bénéficier du maximum de potentiel pour animer chaque poupée.
Parodie d'un classique
L'affiche française de la Fiancee de Chucky parodiait ouvertement celle du slasher Scream 2, sorti la même année. Celle du Fils de Chucky fait un clin d'oeil à la cultissime scène de Shining, dans laquelle Jack Nicholson, après avoir défoncé la porte à coup de hache, jette un oeil dans la salle de bain où s'est réfugié sa femme.
Le Muppets Show débarque !
Dans la première adaptation au cinéma des aventures du bestiaire du Muppets Show, l'agent artistique de la légendaire Peggy la cochonne s'appellait "Morty". Don Mancini a décidé de donner le même prénom à l'agent de Jennifer Tilly.
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Click|Frank Coraci|Comédie|Film pour enfants à partir de 10 ans|2|américain|2006|107|Anglais||XVID|||XVID|770 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|121 Kbps|False|48.0 KHz|2|695||||23.976|27/08/2009 00:00:00|Jack Giarraputo Neal Moritz Adam Sandler Steve Koren Mark O'Keefe|Juan José Campanella Tim Herlihy Steve Koren Mark O'Keefe|Dean Semler||Columbia Pictures||Michael Newman travaille comme un forcené en espérant que son patron reconnaîtra enfin sa valeur, mais il se l'est juré : plus tard, quand il en aura le temps, il s'occupera enfin de sa femme et de ses deux enfants...Après une nouvelle nuit blanche, épuisé, Michael s'énerve parce qu'il n'arrive même plus à distinguer laquelle de ses télécommandes met la télévision en marche. Il décide alors de se procurer la télécommande parfaite, qui lui permettra de commander tous ses appareils...Celle qu'il va trouver est un modèle unique, fait pour lui changer la vie... Très vite, Michael s'aperçoit que ce petit bijou a des capacités extraordinaires, comme de baisser le son du chien, de faire une vraie pause ou de passer en avance rapide sur une querelle avec sa femme. Michael contrôle désormais tout son univers, et les possibilités semblent infinies... |Adam Sandler (Michael Newman)@Kate Beckinsale (Donna Newman)@David Hasselhoff (le patron de Michael)@Christopher Walken (Morty)@Sean Astin (Bill Rando)@Erik Aude@Michael H. Barnett (un adolescent)@Jenae Altschwager (Judy)@Theresa Barrera (Susie)@Jennifer Coolidge (Janine)@Rachel Dratch (Alice)@Michelle Lombardo (Linda)@Cameron Monaghan (Kevin O'Doyle)@Sophie Monk (Stacy)@Nate Torrence (Ignatius)@Henry Winkler (Ted Newman)@Joseph Castanon (Ben Newman à 7 ans)@Lorraine Nicholson (Samantha Newman à 14 ans)@Katie Cassidy (Samantha Newman adulte)@Jonah Hill (Ben Newman à 17 ans)@Jake Hoffman (Ben Newman adulte)@Tatum McCann (Samantha Newman à 5 ans)@||Secrets de tournage :
Retrouvailles
Huit ans après la comédie Waterboy, Adam Sandler décide à nouveau de tourner sous la direction de Frank Coraci pour la comédie fantastique, Click : télécommandez votre vie.
Un film entre amis...
Adam Sandler et Frank Coraci, acteur et réalisateur de Click, sont amis depuis leur adolescence et ont cotoyé la même université. Frank Coraci explique que la perspective de retrouver son complice est l'une des raisons qui l'ont poussé à faire ce film : "J'ai d'abord été attiré par ce projet parce qu'il me permettait de travailler avec des gens que j'aime sur un scénario très tentant. Je savais qu'on allait s'amuser. L'idée est vraiment géniale ! Une autre raison qui m'a donné très envie de faire ce film est qu'on y trouve beaucoup des éléments qui nous font rire Adam et moi, des choses sur la vie qu'on a apprises en grandissant... En vieillissant, on a commencé à faire des films sur ce que nous avions vécu."
L'après The Saturday Night Live
Issu de la célèbre émission de télévision américaine The Saturday Night Live, qui a servi de tremplin à de nombreux comiques, Adam Sandler retrouve sur le plateau de Click Steve Koren, l'un des scénaristes de celle-ci. Les deux hommes avaient ainsi eu l'occasion de collaborer sur de nombreux sketches.
Un sacré duo
C'est le duo composé par Steve Koren et Mark O'Keefe qui est à l'origine du scénario de cette comédie hors du commun. Après Bruce tout-puissant, où un reporter (Jim Carrey) se voit offrir les pouvoirs de Dieu durant 7 jours, Click a pour sujet une télécommande permettant à Adam Sandler de prendre le total contrôle de sa vie.
Naissance d'une idée
C'est une scène de la vie quotidienne qui a vu naître l'idée de Click dans l'esprit du scénariste Steve Koren : "Ma petite amie et moi avions eu une longue dispute. J'ai fini par attraper la télécommande, la pointer vers elle, et j'ai appuyé sur le bouton " muet "... Elle n'a pas trouvé ça drôle, mais ça m'a donné une idée... Et je crois que beaucoup de gens comprendront !" Avec son partenaire à l'écriture Mark O'Keefe, ils ont commencé à réfléchir à ce qui pourrait se passer si on était en possession d'une télécommande nous permettant de diriger notre vie : "Il y avait une infinité d'idées, de possibilités, de zones à explorer, et c'était très amusant de voir le personnage se frayer un chemin au milieu de tout ça. En explorant le passé et l'avenir pour découvrir ce qu'il cherche, Michael apprend également d'autres choses sur sa vie... En fin de compte, c'est un film qui dit qu'il faut vivre dans le présent !"
Difficulté d'écriture
La construction du scénario de Click n'a pas été des plus simples : "On saute sans arrêt en avant ou en arrière dans le temps. Le film commence au présent, retourne dans le passé, puis plonge trente ans en avant dans le futur, puis revient à l'époque où le personnage était enfant.", précise Steve Koren.
"Pilotage automatique"
Dans Click, tout se complique au moment où la télécommande se met à anticiper les intentions du personnage incarné par Adam Sandler et passe en "pilotage automatique" en "zappant" elle-même. Selon Steve Koren : "Le film présente une combinaison de ces choix. Au début, Michael sait où il va, mais très vite, il ne sait plus où tout cela l'entraîne. Il se réveille, et soudain il est trente ans dans l'avenir, au lit avec quelqu'un qu'il ne connaît pas... Cette notion vient souligner les thèmes plus sérieux du film : vous pouvez assister à un événement sans être vraiment présent - soit vous pensez à quelque chose qui s'est déroulé dans votre passé, ou bien vous vous inquiétez de ce qui se passera après. C'est cela que nous avons appelé "pilotage automatique" : vous parlez aux gens mais vous n'êtes pas vraiment là."
Entre décors du futur et du passé
Click à offert la possibilté au chef décorateur Perry Andelin Blake de créer des décors du futur ainsi que du passé : "Dès le départ, Frank et moi avons conçu la maison de Michael, un décor très important du fait qu'une grande partie du film s'y déroule et qu'en plus, Michael est architecte de profession. Il a acheté cette maison des années 50 décorée dans le style années 70 avec l'intention d'en faire une maison vraiment cool. (...) Dans le futur, Michael vit dans un appartement un peu fou et totalement glacial ? du noir, du gris, du bleu... Au fil du temps, Michael change, et nous avons voulu créer un fort contraste entre sa nouvelle et son ancienne vie, une vie de famille ordinaire dans un environnement chaleureux, des couleurs accueillantes, des matériaux tactiles comme la pierre et le bois dans des tons chauds. L'appartement de Michael est dépouillé, impeccable et net, très peu naturel, avec des arêtes et des angles aigus..."
Le maquillage
C'est Rick Baker qui a conçu les maquillages spéciaux de Click, qui se sont révélés particulièrement complexe : "Le plus difficile dans le maquillage est de faire vieillir les acteurs de façon réaliste. C'est beaucoup plus facile de faire un alien ou un monstre parce qu'on n'en voit pas tous les jours ! Mais on voit des personnes âgées tout le temps, elles nous sont très familières... et le film couvre toute la vie d'une personne."
De plus Adam Sandler subit une transformation spectaculaire en devenant obèse. C'est à l'aide d'une seule grande pièce de silicone sans jointure que ce maquillage a été réalisé. Il aura fallu six semaines à Rick Baker pour réaliser ce moulage, faisant parfaitement illusion à l'écran.
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Cloverfield|Matt Reeves|Science fiction||3|américain|2008|81|Anglais||XviD|||XVID|1 069 Kbps|576x320|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|J.J. Abrams Bryan Burk|Drew Goddard|Michael Bonvillain||Paramount Pictures||New York - Une quarantaine de ses amis et relations ont organisé chez Rob une fête en l'honneur de son départ pour le Japon. Parmi eux, Hub, vidéaste d'un soir, chargé d'immortaliser l'événement. La "party" bat son plein lorsqu'une violente secousse ébranle soudain l'immeuble. Les invités se précipitent dans la rue où une foule inquiète s'est rassemblée en quelques instants. Une ombre immense se profile dans le ciel, un grondement sourd se fait entendre... et la tête de la Statue de la Liberté s'effondre brutalement sur la chaussée. L'attaque du siècle vient de commencer. Au petit matin, Manhattan ne sera plus qu'un champ de ruines... |Michael Stahl-David (Rob Hawkins)@Lizzy Caplan (Marlena Diamond)@Jessica Lucas (Lily Ford)@Mike Vogel (Jason Hawkins)@T.J. Miller (Hud)@Odette Yustman (Beth)@Anjul Nigam (homme de caisse)@Margot Farley (Jenn)@Theo Rossi (Antonio)@Brian Klugman (Charlie)@Kelvin Yu (Clark)@Liza Lapira (Heather)@Lili Mirojnick (Lei)@Ben Feldman (Travis)@Rick Overton@Jason Cerbone (Officier de police)@Pavel Lychnikoff (un homme dans la rue)@Billy Brown (Sergent Pryce)@Scott Lawrence (soldat en chef)@Jeffrey De Serrano (soldat)@Tim Griffin (officier du centre de commande)@Chris Mulkey (lieutenant Graff)@Susse Budde (infirmière)@Jason Lombard (infirmier)@Jamie Martz (pilote d'hélicoptère)@||Secrets de tournage :
Un drame muet
Le film Cloverfield n'a pas de bande originale ! La première apparition d'un thème se fait à la toute fin du générique.
Le mystère "Cloverfield"
Cloverfield est à l'origine d'un buzz sans précédent sur Internet... Alors que personne n'était au courant de ce projet, un teaser "choc" nous plongeant une fête new yorkaise perturbée par de gigantesques explosions fait rapidement le tour de la toile en juillet 2007. Il ne dévoile alors rien de l'intrigue mais précise toutefois le nom du producteur (J.J. Abrams, le créateur de Lost) et la date de sortie. La caméra subjective inspirée du Projet Blair witch et l'ampleur des effets spéciaux provoquent alors un engouement jamais vu dans les forums du web, les internautes s'efforçant de percer le mystère de cette force mystérieuse s'apprêtant à dévaster la grande pomme. Depuis J.J. Abrams a toutefois précisé qu'il s'agissait d'un film de monstre, sans pour autant dévoiler d'image de la bête.
Un monstre gigantesque mais bien caché
Si les producteurs ne cachent plus qu'il s'agit d'un film de monstre, il se sont toutefois bien gardés de dévoiler la bête. Un mystère qui a forcément alimenté de nombreuses rumeurs parmi les internautes évoquant tour à tour le célèbre Godzilla ou encore Cthulhu, divinité issu de l'imaginaire de l'écrivain fantastique Howard Phillips Lovecraft.
Godzilla !
En plus de règner sans partage sur le film de monstre, Godzilla est également l'inspirateur de Cloverfield : en voyage au Japon pour la promotion de M : i : III, J.J. Abrams s'est arrêté avec son fils dans un magasin de jouet. C'est en voyant les produits dérivés de Godzilla qu'il a eu envie de lui donner un équivalent américain.
L'ombre de JJ Abrams
Le producteur de Cloverfield n'est autre que J.J. Abrams, le créateur, entre autres, de la série télévisée Lost grâce à laquelle il est passé maître dans la mise en place de mystère pouvant affoler le web. Le scénariste est également issu de l'entourage de J.J. Abrams puisqu'il a également écrit plusieurs épisodes de Lost et Alias.
Le monstre sans nom
Baptisé affectueusement "Clover" pendant le tournage, le monstre de Cloverfield n'a pas de nom officiel ! Cela vient complèter une carte d'identité déjà bien peu remplie : les producteurs ont en effet décidé de ne rien expliquer de ses origines. Pour J.J. Abrams, le concept est simple : "C'est un bébé. C'est un nouveau né. Il est confus, désorienté et de mauvaise humeur. Et il a été plongé au fond de l'eau depuis des années".
La peur
Pour le réalisateur Matt Reeves, Cloverfield est plus qu'un film d'action : "De la même façon que Godzilla reposait sur la peur de la bombe atomique et d'Hiroshima, le monster de Cloverfield est une métaphore de notre temps, une façon de parler de ce sentiment de peur sans le diminuer ou l'exploiter".
Pas seulement un film de monstre
J.J. Abrams tenait à faire un film de personnages avant de faire un film de monstre. Les 20 premières minutes du film sont ainsi consacrées aux personnages, avant même l'arrivée d'une quelconque catastrophe. Et même après, les personnages restent le centre de l'intrigue : "Une des choses importantes dans un film avec autant d'action est d'avoir des moments de coupures, pour renouer avec les personnages. Avoir des passages plus calmes est extrèmement important. Sans eux, vous regardez juste un jeu-vidéo."
Secret Story
Les acteurs de Cloverfield sont volontairement des inconnus. Et pas question pour eux de parler de leur récent moment de gloire : un contrat leur interdisait de révéler une quelconque information au sujet du film.
Erreur de casting
T.J. Miller a eu un casting un peu particulier. A cause du scret permanent autour du film, le jeune acteur n'était au courant de rien, si ce n'est qu'il jouait un personnage à tendance comique. Lors de son audition, il du lire un monologue tout à fait sérieux. Le directeur de casting le laissa terminer avant de lui avouer qu'il s'était trompé de texte.
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Coach Carter|Thomas Carter|Comédie dramatique||3|américain|2005|135|Anglais||XVID|||XVID|586 Kbps|624x256|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||23.976|08/08/2009 00:00:00|Michael Tollin Brian Robbins David Gale|Mark Schwahn John Gatins|Sharone Meir||Paramount Pictures||L'histoire vraie de Ken Carter, l'entraîneur de basket d'une équipe de lycée, qui devint célèbre en 1999 après avoir renvoyé ses joueurs à leurs chères études, déclarant forfait deux matchs de suite alors que l'équipe était invaincue, parce que ces derniers n'avaient pas obtenu des résultats scolaires suffisants. |Samuel L. Jackson (Ken Carter)@Rob Brown (Kenyon Stone)@Ashanti (Kyra)@Robert Ri'chard (Damien Carter)@Rick Gonzalez (Timo Cruz)@Lacey Beeman (Susan)@Terrell Byrd (Shay)@Dana Davis (Peyton)@Denise Dowse (le proviseur Garrison)@Sidney Faison (Tyrone Crane)@Jason Sweet (Sam Walker)@Debbi Morgan (Tonya)@Roger Lim (Benson Chiu)@Vincent Laresca (Renny)@Eugene Lee (un père)@Antwon Tanner (Worm)@Channing Tatum (Jason Lyle )@||Secrets de tournage :
Inspiré d'une histoire vraie
Coach Carter s'inspire de la vie de l'entraîneur Ken Carter qui entra dans la légende du basket-ball le 4 janvier 1999 en consignant la totalité de sa brillante équipe junior pour ses médiocres résultats scolaires. Les producteurs Brian Robbins et Mike Tollin mirent le projet en chantier et contactèrent Carter sitôt après avoir lu un article du L.A. Times sur son geste, aussi provocant qu'inédit.
Le coach
Ken Carter, qui se décrit volontiers comme "un petit gars du Mississippi", a grandi dans une fratrie de sept soeurs et un frère. Après que sa famille se fut installée à Richmond, en Californie, Carter rallia l'équipe de basket du lycée, au sein de laquelle il joua de 1973 à 1977. C'est ce même établissement qu'il ferait entrer avec lui dans les annales de ce sport, en 1999.
Il avait imaginé un contrat dans l'intérêt des joueurs, afin que ceux-ci se sentent personnellement responsables de leur avenir, et pour leur inculquer le respect du à leurs coéquipiers. L'engagement signé par chaque jeune et ses parents stipulait que le joueur devait assister régulièrement aux cours, être toujours assis au premier rang, porter une chemise et une cravate les jours de match et avoir une moyenne suffisante pour prétendre à une bourse d'athlète.
Des producteurs "sportifs"
Le tandem de producteurs Michael Tollin / Brian Robbins est déjà bien rodé dans le domaine des films sportifs, puisqu'on leur doit American boys, Radio, deux longs métrages où il était question de football américain, et Hardball, qui traitait du base-ball.
Se démarquer des stéréotypes
Le réalisateur Thomas Carter souhaitait se démarquer des stéréotypes communs à la majorité des films "sportifs". "J'ai voulu montrer à la fois les aspects positifs et négatifs du sport au lycée, explique le cinéaste. Le basket peut aider un jeune à se focaliser sur un rêve, mais il risque aussi de l'enfermer dans une vision étroite et irréaliste de son avenir. Pour couvrir toutes les facettes du sujet, il fallait évoquer les destins de chacun des joueurs, leurs aspirations contradictoires et les obstacles auxquels ils se confrontèrent."
Des scènes de basket authentiques
Pour rendre hommage au personnage et à ses dons d'éducateur et d'entraîneur, chaque scène de basket devait être d'une authenticité irréprochable. Les producteurs engagèrent à cet effet Mark Ellis, de Reel Sports, une société spécialisée dans la création de séquences sportives pour le cinéma et la télévision, comme coordinateur basket.
La sélection, particulièrement rigoureuse, ne retint que les athlètes les plus qualifiés. "Nous avons choisi 85 jeunes sur 500 candidats, explique Ellis. Le processus dura quatre jours, l'"écrémage" s'opérant à raison de dix candidats par haure. Le joueur retenu était ensuite appelé à suivre un entraînement très strict."
Filmé sous plusieurs angles
Thomas Carter utilisa régulièrement trois ou quatre caméras pour couvrir les manoeuvres des joueurs et les réactions des spectateurs. "On ne peut plus se permettre de tricher dans ce genre de scène, parce que le public actuel connaît toutes les astuces", souligne Mark Ellis.
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The Guardian|Andrew Davis|Action||3|américain|2006|139|Anglais||XviD|||XVID|555 Kbps|720x400|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|688||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Beau Flynn Tripp Vinson|Ron L. Brinkerhoff|Stephen St. John||SND||Depuis qu'une tempête a décimé son équipe de sauveteurs en mer, Ben Randall s'est retiré et se consacre désormais à la formation des jeunes recrues. Sa réputation de bravoure et ses méthodes d'enseignement peu orthodoxes ont fait de lui une légende. Pourtant, il reste hanté par la mort de ses coéquipiers...Parmi ses élèves, Randall remarque un jeune champion de natation insolent et frimeur, Jake Fischer. Il reconnaît aussitôt le potentiel du jeune homme et tente de lui inculquer tout ce qui pourrait faire de lui un grand sauveteur. Randall espère aussi lui épargner les erreurs qu'il a lui-même commises.Son diplôme obtenu, Jake suit Randall à Kodiak, en Alaska, où ils affrontent l'une des pires zones maritimes du globe, la mer de Bering. Lors de sa première opération de secours, Jake va véritablement découvrir tout ce que sa mission implique... |Kevin Costner (Ben Randall)@Ashton Kutcher (Jake Fischer)@Neal McDonough (Skinner)@Derek Adams (Lapp)@Joe Arquette (Le co-pilote Antunez)@Gregory J. Barnett (Le pilote Doug Lathrop)@Jay Bingham@Bonnie Bramlett@Rashonda Brokenberry (La serveuse)@Melissa Sagemiller@Dodie Brown (L'invitée du mariage)@Tanner Gill (Le mari noyé)@Leigh Hennessy (La femme noyée)@Danny Cosmo Higginbottom (Le pêcheur)@Dorian Kingi (Une victime de la grotte)@Henry Kingi Jr. (Une victime de la grotte)@Jeff Loftus (L'assistant de Larson)@Brandon Molale (Le marin)@Conrad E. Palmisano (Le Capitaine du bâteau de pêche)@Justin Roberts (L'assistant de Randall)@Clancy Brown@Bryce Cass (Manny)@Benny Ciaramello (Perada)@J. D. Evermore@Shelby Fenner (Cate Lindsey)@Peter Gail (Danny Doran)@Brian Geraghty@Omari Hardwick (Carl Billings)@John Heard@Dule Hill@Damon Lipari (Bennett)@Scott Mueller (Reeves)@Finch Nissen@Adam Peña (Benjamin Reyes)@Michael Rady (Zingaro)@Brian Wade (Mitch Lyons)@Sela Ward (Helen Randall)@Travis Willingham (Finley)@||Secrets de tournage :
Des sauveteurs peu exploités
Le scénariste Ron L. Brinkerhoff explique pourquoi ils ont choisi de centrer leur film sur des sauveteurs en mer : " Quantité de films ont pour héros des policiers ou des pompiers, mais le monde des sauveteurs et des gardes-côtes n'avait encore jamais été exploré au cinéma. C'est le seul corps militaire dont l'unique mission consiste à sauver des vies, ils ne combattent que les éléments. "
Thèmes universels
Le scénariste s'est concentré sur deux personnages principaux. Le premier est un vétéran admiré qui a accompli des sauvetages héroïques (Kevin Costner), tandis que le deuxième est un jeune sauveteur, fonceur et trop sûr de lui (Ashton Kutcher). A travers ces personnages, Ron L. Brinkerhoff développe les thèmes de la sagesse et du courage. Il explique : : " J'ai cherché à décortiquer le mythe du héros d'action. J'ai voulu exposer les répercussions émotionnelles, psychologiques et physiques d'un tel métier, et les sacrifices que cela demande. "
Questions de producteurs
Les producteurs Tripp Vinson et Beau Flynn, de chez Contrafilm, voulaient depuis quelques temps développer un projet de film se déroulant dans le milieu des sauveteurs. Tripp Vinson confirme : " Nous étions attirés par la possibilité de moments très forts au plan dramatique dans le cadre d'un film d'action spectaculaire. Nous voulions aussi poser la question : qu'est-ce qu'un héros, pourquoi se comporte-t-il ainsi, et quel est le prix à payer ? Les réponses à ces questions font réfléchir. "
Permission des gardes-côtes
Avant même de développer le projet, les producteurs ont souhaité avoir l'approbation des gardes-côtes. Tripp Vinson commente : " Leur soutien était essentiel pour que ce film soit authentique. Ils ont joué un rôle de premier ordre dans la création du film. Ils nous ont dévoilé leurs structures de formation, leur personnel nous a apporté toute son aide, et ils nous ont même conseillés sur l'acquisition du matériel et sur énormément d'autres choses. Ils ont été d'un soutien très précieux et une constante source d'inspiration. "
Sauveteurs comme modèles
Afin de restituer au mieux la réalité, le scénariste a passé beaucoup de temps dans une école de formation de sauveteurs, à assister aux entraînements. Il s'est ensuite rendu à Kodiak, en Alaska, pour rencontrer le plus possible de sauveteurs expérimentés, et a intégré leurs véritables anecdotes au scénario final. Le producteur exécutif Charlie Lyons observe : " Les sauveteurs sont un mélange unique d'athlètes de l'extrême, de chirurgiens, de psychiatres et de prêtres. Ils doivent non seulement essayer de sauver mais ils doivent aussi pouvoir assister les gens dans leurs ultimes instants en leur administrant les derniers sacrements. "
Le réalisateur idéal
Le producteur Tripp Vinson ne tarit pas d'éloges sur le choix du réalisateur : " La tension, l'intensité dramatique et le danger des situations nécessitaient un réalisateur qui puisse rendre tout cela de manière spectaculaire visuellement, et en même temps, l'histoire exigeait un réalisateur vraiment bon avec les personnages, le jeu d'acteurs, les émotions. Andrew Davis était l'idéal. "
Film spécial
Le réalisateur Andrew Davis explique : " Ce film est spécial parce qu'il vous plonge dans un univers que personne n'a jamais vu. Hormis ces sauveteurs eux-mêmes, personne n'a jamais vécu l'enfer de la mer de Bering démontée en pleine nuit, lorsqu'il faut sauter d'un hélico de 6 m de haut pour plonger dans des eaux à des températures glaciales... Ce film vous permet de le vivre. C'est vraiment une expérience unique. "
Véritables motivations
Andrew Davis parle de ses véritables motivations à faire le film : " J'étais bien sûr attiré par le côté éléments physiques, le travail avec l'eau, le vent, la tempête, mais ce sont surtout les relations humaines complexes entre Ben Randall et le jeune Jake Fischer qui m'ont plu. C'est l'histoire de deux hommes, d'un passage de flambeau, de la manière dont un jeune homme va finir par remplacer une légende. L'écriture était remarquable dans son traitement de leur relation. Un homme affronte le temps qui passe, un autre apprend de son mentor ce qu'est vraiment la vie, et comment ne pas répéter les mêmes erreurs. Cet élément humain au milieu de ces incroyables forces naturelles rend le film fascinant. "
Sauveteurs consultants
Trois véritables sauveteurs ont été consultants et acteurs sur Coast Guards. Il s'agit de Robert E. Watson, instructeur et spécialiste de la survie; John F. Hall, qui a sauvé de nombreuses vies humaines durant l'ouragan Katrina, et Joseph " Butch " Flythe, nageur décoré et l'un des cinq premiers Rescue Swimmers choisis pour le programme des gardes-côtes. Robert E. Watson commente : " Le désir de faire un film juste était phénoménal. Ils nous ont constamment demandé si cela se passait bien comme ça, si nous ferions telle ou telle chose dans telle ou telle situation... C'est un portrait remarquablement fidèle des sauveteurs des gardes-côtes. "
Kevin Costner comme 1er choix
Le réalisateur Andrew Davis a tout de suite pensé à Kevin Costner pour le rôle de Ben Randall. Il confie : " Kevin est parfait parce qu'il a la puissance masculine que demandait le rôle combinée à une profonde humanité. Il peut jouer un homme endurci mais capable de mener une réflexion intérieure sur sa vie. "
Message d'espoir
Kevin Costner raconte pourquoi il a accepté ce rôle : " Ce qui m'a définitivement convaincu, c'est la qualité mythique de l'histoire. Nous aimerions tous penser que si nous sommes un jour perdus en mer, quelqu'un viendra nous secourir. C'est un sentiment qui vous fait tenir et vous réconforte. C'est l'extraordinaire promesse des sauveteurs : quand tout semble perdu, lorsque tout le monde est couché en priant, eux y vont. Ils sont prêts à mettre leur vie en danger pour les autres, et Ron Brinkerhoff a fait un travail magistral dans la manière dont il a capté les émotions et les personnalités derrière cet héroïsme. Du tout début jusqu'à la conclusion, on comprend et on ressent ce que c'est d'être celui qui aide à tenir ceux qui sont perdus. "
Un personnage blessé
Le producteur Tripp Vinson explique l'état d'esprit du personnage interpété par Kevin Costner au début du film : " Ben Randall a toujours été en première ligne lors des missions de secours, mais il a vécu une tragédie et les choses ont changé. Pourtant, secourir les gens est la seule chose qu'il sache faire et il ne parvient pas à l'oublier et à passer à l'étape suivante de sa vie... jusqu'à ce qu'il se retrouve en ce gamin, Jake. ". Kevin Costner rajoute : " Chez les gardes-côtes, on dit " on ne fait pas un sauveteur en mer, on le trouve ". On ne devient pas sauveteur : cela fait partie de vous ou non. Pour Ben, c'est plus qu'un job, c'est une vocation, mais ce métier a aussi pesé lourd sur sa vie. Quand nous le rencontrons, il est presque brisé. Pourtant, malgré sa faiblesse, il doit remplir une nouvelle mission, à laquelle il ne s'attendait pas : il doit transmettre ce qu'il sait à un groupe de jeunes recrues qui n'ont aucune idée de ce qui les attend. Ben n'est pas doué naturellement pour enseigner, et ses méthodes sortent de l'ordinaire. Il se retrouve face à des gamins frimeurs et forts en gueule et il essaie de trouver comment leur inculquer le sens des responsabilités. "
Ashton Kutcher vu par Kevin Costner
Kevin Costner parle de son partenaire : " J'ai beaucoup aimé voir Ashton Kutcher faire exister le personnage, le faire évoluer du jeune homme qui joue les petits durs à l'homme intègre et responsable. Ashton a la capacité de saisir les potentialités dramatiques qui n'existent pas forcément sur le papier et de les traduire dans son jeu. "
Confrontation de générations
Le tournage du film étant très physique, l'acteur quinquagénaire Kevin Costner a dû faire ses preuves face aux jeunes acteurs qu'il avait en face de lui. Il confie : " Je suis allé au bout de mes capacités. J'ai 51 ans et les autres acteurs ont tous autour de la vingtaine, il a fallu que je donne tout et plus encore ! "
L'autre visage d'Ashton Kutcher
Ashton Kutcher, qui interprète Jake Fisher, explique les raisons qui l'ont poussé à accepter ce rôle : " Je cherchais quelque chose de totalement différent de ce que j'avais déjà joué, je ne pouvais pas rêver mieux ! C'était aussi l'opportunité de travailler avec des acteurs que j'admire et dont je pouvais apprendre. C'est exactement le propos du film : comment une génération peut apprendre de celle qui la précède. Pouvoir creuser derrière les exploits des sauveteurs en mer m'a également attiré. Je me suis dit que si je faisais un film sur eux, si j'incarnais un de ces héros, je devais faire en sorte qu'ils en soient fiers. Je n'ai pas voulu être doublé. Si ces types sauvent des vies pour vivre, le moins que je puisse faire en tant qu'acteur, c'est de m'entraîner physiquement et d'en faire un portrait juste ! "
Préparation physique intensive
Pour son rôle, Ashton Kutcher a suivi une formation physique intensive dans un camps d'entraînement. Il commente : " La mise en condition avec les formateurs des Aviation Survival Technicians a été une expérience inoubliable. Jamais je ne m'étais tant fait crier dessus par quelqu'un que je respecte autant ? excepté peut-être mes parents ! Ils nous ont formés, et ils l'ont fait à fond ! Dans la vraie formation qu'on reçoit dans ces " A Schools ", les instructeurs ne demandent jamais à un élève de faire quelque chose qu'ils ne font pas eux-mêmes. S'ils vous disent de faire 50 pompes, ils les font à côté de vous ! Cela force le respect. "
Costner et Kutcher vus par Andew Davis
Le réalisateur parle de son expérience avec les deux acteurs principaux : " Ashton a fait un remarquable travail de préparation. Il nous fallait un jeune homme qui ait du cran pour endosser l'habit d'un grand sauveteur, et c'est exactement ce qu'il est. Il a dû gagner quatre à six kilos de muscles durant son entraînement. (...) Kevin est lui-même réalisateur et son sens du rythme et du personnage ont été précieux dans l'évolution du scénario. Quant à Ashton, il est très intelligent et doué pour l'improvisation, et il a un grand sens de l'investissement personnel. "
Une image différente
L'instructeur Robert E. Watson revient sur l'image qu'ils avaient des acteurs hollywoodiens avant de faire le film : " Nous autres sauveteurs, nous avions une certaine image d'Hollywood, mais Kevin, Ashton et toute l'équipe se sont vraiment montrés tout sauf superficiels. Ils avaient un job à faire et ils voulaient le faire bien. Il était formidable de voir des gens issus d'un milieu très différent du nôtre mettre eux aussi tout leur coeur et toute leur âme dans ce qu'ils font. Nous avions cette passion en commun. "
Une épouse frustrée
L'un des personnages féminins est l'épouse de Ben Randall, Helen, interprétée par Sela Ward. Elle dit à propos de son personnage : " Helen est une femme au caractère fort, au tempérament artistique, qui espère une vie bien plus riche que ce que peut lui offrir Kodiak, un trou perdu en Alaska. Ben et elle ont autrefois partagé d'autres rêves, mais elle ne le voit guère plus à cause de son travail. Ce sont deux personnes qui auraient du être ensemble, vivre ensemble et évoluer ensemble, mais les circonstances les ont séparés. "
Une petite amie éclairée
C'est Melissa Sagemiller qui incarne Emily, jeune femme qui ne laisse pas impressionnée par le côté frimeur de Jake Fisher / Ashton Kutcher : " L'honnêteté d'Emily envers Jake va lui devenir indispensable. Elle lit clair en lui alors que lui ne voit pas forcément au-delà de son ego. Elle lui apporte cette intuition féminine, ce regard extérieur dont il a besoin. Emily était un personnage amusant, vraiment vivant et très agréable à jouer. " analyse-t-elle.
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Un bassin gigantesque
Le bassin est formé par une piscine de béton à huit compartiments mesurant 30 m de long sur 24 m de large, et contient près de 3 millions de litres d'eau. Cette piscine a été construite devant un écran bleu de 15 m de haut. Pour être sûr d'être à la pointe en matière de technologie, de sécurité et d'authenticité, Maher Ahmad a fait appel à toute une panoplie d'ingénieurs : ingénieurs du sol, ingénieurs civils, ingénieurs en structure, en mécanique et en électricité. Ce bassin peut contenir des vagues allant jusqu'à 2,80 m de hauteur.
272 tonnes de glaces
272 tonnes de glace ont été utilisées sur le plateau d'Elizabeth City pour recréer quelques unes des scènes qui auraient normalement dû être tournées à Kodiak en Alaska.
Ouragans
Suite à la série d'ouragans dans le Sud des Etats-Unis en 2005, le tournage a été déplacé à Shreveport en Louisiane.
Une vague énorme
Le studio a engagé des entrepreneurs afin de créer une vague énorme dans la piscine d'intérieure pour le tournage.
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Coco|Gad Elmaleh|Comédie||1|français|2009|91|Français||XviD|||XVID|924 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|131 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Alain Goldman|Gad Elmaleh Caroline Thivel|Gilles Henry||StudioCanal||Coco, 40 ans, self made man, est l'exemple parfait de la réussite sociale. Parti de rien, immigré, il a réalisé en 15 ans une des plus fulgurantes success story des temps modernes grâce à son invention de l'eau frétillante.Mais pour Coco, la plus grande consécration est à venir : la bar-mitsva de son fils Samuel qui aura lieu dans six mois. Il invite tout le monde à "l'évènement national de l'année" et promet du jamais vu, de l'époustouflant, du Coco !Trop obsédé par la perspective d'en mettre plein la vue au monde entier pour "sa" fête, Coco agit avec démesure et frôle la folie sans voir que sa femme, son fils, sa mère et tous ses proches se désolidarisent peu à peu. Cet évènement va devenir pour lui un instant de vérité sur son rôle de père. |Gad Elmaleh (Coco)@Pascale Arbillot (Agathe)@Manu Payet (Steve)@Jean Benguigui (Zerbib)@Ary Abittan (Max)@Daniel Cohen (Mimo)@Noémie Lvovsky (Brigitte)@Gladys Cohen (Evelyne)@Nicolas Jouxtel (Samuel)@Léane Grimaud (Julia)@Gérard Depardieu (Le médecin)@Enrico Macias (Le couturier)@Jacques Spiesser (Le Préfet)@Isaac Sharry (Le barman du spa)@Alexis Sellam@Alexandre Knafo (Lucas)@Catherine Salviat (la ministre du Budget )@Béatrice Costantini (la femme du préfet )@François Berland (M. Daumergue)@Arthur Benzaquen (le vendeur de chaussures )@||Secrets de tournage :
De la scène au grand écran
Comme Chouchou avant lui, Coco est la transposition, sur grand écran, d'un personnages issu d'un des spectacles de Chouchou.
Une première derrière la caméra !
Pour mettre en scène le personnage issu de son propre sketch, Gad Elmaleh est lui-même passé derrière la caméra, pour la première fois de sa carrière : "L'idée n'était pas de devenir metteur en scène à tout prix, mais d'essayer d'atteindre au cinéma le plaisir que j'ai sur scène et que je ne retrouve que très rarement sur un plateau", explique l'acteur et réalisateur de Coco.
Les qualités de metteur en scène de Gad Elmaleh
"Il a bon goût. Il a bon goût pour les comédiens, pour la lumière, pour les costumes, pour les décors (c'est la première fois que j'entends des gens rire en découvrant un décor !), pour la place de la caméra... Et puis, il a le sens du rythme. Pour lui, pour ses comédiens, pour la scène...", déclare le producteur Ilan Goldman. "Il m'a fait comprendre des choses sur la mécanique du rire, sur les effets d'un gag selon comment on le monte, selon le temps qu'on laisse au spectateur pour prendre conscience de l'effet qu'on a créé avant de déclencher un autre rire. C'est aussi précis que l'horlogerie suisse !"
Si Coco pouvait voir le film
Il dirait : "Quel hommage ! Mais vous n'avez pas mis assez !", affirme Gad Elmaleh.
Retrouvailles
Coco n'est pas le premier projet sur lequel Gad Elmaleh et le producteur Ilan Goldman travaillent ensemble, puisqu'ils étaient tous deux au générique de XXL, interprété par le premier et produit par le second.
Retrouvailles bis
Avant Coco, Gad Elmaleh et Enrico Macias avaient déjà partagé l'affiche de La Vérite si je mens ! 2 en 2001.
Parti pris de mise en scène
"Mon parti pris est simple : ne pas négliger les effets visuels, les souligner, les accompagner, les sublimer - et j'ai adoré les prises de vue en hélicoptère, les scènes de figuration, le bateau, le stade de France, etc. - mais quand on est dans le jeu pur, laisser simplement les acteurs jouer la comédie", explique Gad Elmaleh.
Une image américaine
Pour Coco, Gad Elmaleh voulait obtenir de son directeur de la photographie, Gilles Henry, une image dite "américaine" : "Je lui ai dit que je voulais que ça fasse... américain ! Mais sans la distance qu'a souvent l'image des films américains, à cause des filtres ou des focales qu'ils utilisent. Je voulais qu'on soit comme dans une comédie américaine et surtout que ce soit... Haribo ! Alors Haribo c'est quoi ? C'est jaune bonbon, vert bonbon, rouge bonbon, et ça claque, et ça donne envie ! Tout le monde est entré dans ce délire qui est aussi le délire de Coco."
Entourage familier
Sur Coco, Gad Elmaleh s'est constitué une équipe technique composée de personnes croisées sur ses précédents films : "C'est un peu un best-of de ma filmographie !", déclare-t-il.
"Coco" vs "La Vérité si je mens !"
Bien conscient que les comparaisons entre Coco et La Vérité si je mens risquent d'être nombreuses, Gad Elmaleh avoue pourtant que cela ne le gêne pas : "Je crois même que c'est moi qui en ai parlé le premier. Ça me va très bien. Le scénario du 2 était super bien ficelé, le film a fait huit millions d'entrées, ça me va ! Il y a même un copain qui m'a dit : "Ça y est, tu l'as fait le 3 ! " Je lui ai répondu : "Attends, j'aimerais bien qu'on fasse le 3 quand même !" D'ailleurs, ça pourrait être Coco qui joue dans La Vérité si je mens 3 et pas Gad Elmaleh !"
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Dragonheart|Rob Cohen|Fantastique||3|américain|1996|95|Anglais||DX50|||DX50|889 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Raffaella De Laurentiis|Patrick Read Johnson Charles Edward Pogue|David Eggby||United International Pictures (UIP)||En l'an 934, la reine Aislinn sollicite l'intervention d'un vénérable et puissant dragon pour sauver la vie de son fils Einon, tombé dans une embuscade. Le dragon fait alors l'offrande de la moitié de son coeur au prince. Sitôt monté sur le trône, Einon se revèle être un tyran. Son précepteur, le chevalier Bowen, est convaincu que le coeur du dragon a empoisonné son disciple. Il quitte la cour en se jurant d'exterminer cette race maudite. |Philippe Noiret (la voix de Draco (VF))@||||||||||||@@
Dragonheart : a new beginning|Doug Lefler|Fantastique||2|américain|2000|80|Anglais||DIV3|||div3|1 103 Kbps|688x512|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|696||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Raffaella De Laurentiis|Shari Goodhartz|Buzz Feitshans||||Le garçon d'écurie Geoffrey et son dragon Drake font équipe et bravent de nombreux dangers... |Christopher Masterson (Geoffrey)@Harry Van Gorkum (Lord Osric de Crossley)@Rona Figueroa (Lian)@Matt Hickey (Mansel)@Henry O (Master Kwan)@Tom Burke (Roland)@Robby Benson (la voix de Drake)@Ken Shorter (le Roi)@||||||||||||@@
Collateral|Michael Mann|Policier||3|américain|2004|116|Anglais||XviD|||XVID|671 Kbps|640x256|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|674||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Michael Mann Julia Richardson|Stuart Beattie|Dion Beebe||Dreamworks Distribution LLC||Max est taxi de nuit à Los Angeles. Un soir, il se lie d'amitié avec une dénommée Annie Farrell, une belle femme procureur montée à l'arrière de son véhicule. Quelques minutes plus tard, c'est au tour d'un homme prénommé Vincent de monter dans le taxi. Un businessman, selon toute apparence, avec un emploi du temps chargé : pas moins de cinq rendez-vous à tenir dans la nuit. Max accepte de lui louer ses services jusqu'au petit matin, en échange de 600 dollars.
Premier arrêt. Vincent entre dans un immeuble. Un coup de feu éclate aussitôt, un corps plonge dans le vide, s'écrasant sur le toit du taxi. Vincent redescend et, sous la menace de son arme, oblige Max à dissimuler le cadavre dans le coffre et à reprendre son mortel périple.
Un chauffeur de taxi, un tueur implacable, cinq "cibles" à éliminer, des agents des stups et une équipe du FBI... Leurs destins se joueront cette nuit... |Tom Cruise (Vincent)@Jamie Foxx (Max)@Jada Pinkett (Annie)@Bruce McGill (Pedrosa)@Peter Berg (Richard Weidner)@Emilio Rivera (Paco)@Barry Shabaka Henley (Daniel)@Richard T. Jones (le policier 1)@Jason Statham (le type à l'aéroport)@Irma P. Hall (Ida)@Mark Ruffalo (Fanning)@Javier Bardem (Felix)@||Secrets de tournage :
Tom Cruise à propos de Michael Mann
Michael Mann vu par la vedette masculine de Collateral : "Non seulement Michael a cette compétence absolue de raconter si bien des histoires, mais il est également un excellent "communicateur". A chacun des comédiens, il sait communiquer l'essence de l'histoire. J'ai une entière confiance en sa direction d'acteur, il suffit d'un simple regard de sa part pour savoir qu'on a la scène artistiquement juste."
Janusz Kaminski intéressé par le projet
Janusz Kaminski, réalisateur des Ames perdues et directeur de la photographie attitré de Steven Spielberg, fut l'un des premiers metteurs en scène à être intéressé par Collateral.
Quelques acteurs pressentis
Plusieurs acteurs furent au départ pressentis pour jouer dans Collateral : Russell Crowe qui devait initialement interpréter Vincent, Adam Sandler qui avait été approché pour le rôle de Max, Val Kilmer qui se désista du projet pour cause d'incompatibilité dans son emploi du temps, l'acteur étant occupé à tourner sous la direction d'Oliver Stone dans Alexandre.
Michael Mann à propos de Tom Cruise
Tom Cruise vu par le réalisateur de Collateral : "En arrivant sur le plateau, Tom ne se comportait pas comme une star mais tout simplement comme un acteur. Consciencieux, il débarquait quinze minutes avant de tourner ses scènes. Ce qu'il aime, c'est le travail, la concentration. Il s'investit à 100 % dans chacune de ses scènes".
Michael Mann retrouve Foxx, Pinkett Smith et McGill
Michael Mann retrouve ici Jamie Foxx, Jada Pinkett et Bruce McGill qu'il avait auparavant dirigés dans Ali (2002).
L'origine du scénario
L'idée du script est tirée d'une expérience personnelle du scénariste Stuart Beattie. Celui-ci confie : "Un jour, à la sortie d'un aéroport, je suis monté dans un taxi et ai commencé à discuter avec le chauffeur. À la fin de la course, alors que nous bavardions comme deux vieux amis, il m'est soudain apparu que cet homme ne savait, en fait, rien de moi. Il me tournait le dos, je l'avais en mon pouvoir et j'aurais très bien pu être un dangereux psychopathe. J'ai alors pensé qu'il serait intéressant de confronter ainsi deux personnages isolés dans un espace confiné. Tel a été le point de départ de cette histoire."
De Manhattan à Los Angeles
L'action du film devait au départ se dérouler à Manhattan, à New York, mais après lecture du scénario, Michael Mann décida que le tournage aurait lieu à Los Angeles, sa ville de prédilection.
Filmer en numérique
La pellicule 35 mm standard ne répondant pas à ses besoins, Michael Mann réalisa la quasi-totalité du film en numérique et utilisa pour la première fois une caméra Thomson Grass Valley Viper FilmStream modifiée pour dépeindre la ville entre crépuscule et aube, telle qu'on ne l'avait encore jamais vue à l'écran.
Changement de look pour Tom Cruise
L'apparence physique de Vincent, avec ses cheveux argentés et sa barbe naissante,
marque un changement d'image pour Tom Cruise. L'acteur explique : "Michael a défini lui-même le look global du personnage, de la chevelure au costume et à la barbe. Nous avons commencé par étudier cela sur ordinateur et Michael m'a frappé par l'incroyable acuité de son regard. J'ai adoré travailler avec lui. Aucun détail ne lui échappe, il est d'une extrême minutie."
Tom Cruise s'entraîne à tuer
Tom Cruise s'est entraîné avec Mick Gould, ex-membre d'une unité d'intervention spéciale anglaise déjà embauché par Michael Mann comme conseiller technique sur Heat. A ses côtés, l'acteur a appris à tuer un homme à mains nues, au couteau et au pistolet, et à repérer des lieux pour s'en échapper le plus rapidement possible. Tom Cruise, habillé en coursier FedEx, s'est même amusé à filer l'un des directeurs artistiques pour finalement lui coller un post-it sur le dos.
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xt_multc = "&x1=film_anecdote&x3=collateral"; //keyword value
//do not modify below
if (window.xtparam!=null){window.xtparam+=xt_multc;}
else{window.xtparam =xt_multc;};
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Les contributeursCe film a reçu 1 contribution, pour les secrets de tournage, de: VincentLesageCritique (site web)
Les contributions faites sur cette fiche sont mises à disposition sous un contrat Creative Commons.
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Crash|Paul Haggis|Drame||3|américain|2005|112|Anglais||XviD|||XVID|752 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|100 Kbps|False|48.0 KHz|2|695||||23.976|02/08/2009 00:00:00|Don Cheadle Paul Haggis Mark R. Harris Cathy Schulman Bob Yari Bobby Moresco|Paul Haggis Bobby Moresco|James Muro||Metropolitan FilmExport||Deux voleurs de voitures. Un serrurier mexicain. Deux inspecteurs de police qui sont aussi amants. Une femme au foyer et son mari, district attorney. Tous vivent à Los Angeles. Eux et beaucoup d'autres ne se connaissent pas, leurs vies n'auraient jamais dû se croiser.
Pourtant, dans les prochaines 36 heures, leurs destins vont se rencontrer, révélant ce que chacun voulait cacher ou ne pas voir... |Sandra Bullock (Jean)@Don Cheadle (Graham)@Matt Dillon (Ryan)@Jennifer Esposito (Ria)@Brendan Fraser (Rick)@Ludacris (Anthony)@Thandie Newton (Christine)@Ryan Phillippe (Officier Tommy Hanson)@Nona Gaye (Karen)@Tony Danza (Fred)@William Fichtner (Jake Flanagan)@Karina Arroyave (Elizabeth)@Sean Cory (un motard de police)@Keith David (Le lieutenant Dixon)@Eddie J. Fernandez (L'officier Gomez)@Howard Fong (Le propriétaire du magasin)@Billy Gallo (L'officier Hill)@James Haggis (Un ami de Lara)@Sylva Kelegian (Hodges, l'infirmière)@Beverly Todd (La mère de Graham)@Dato Bakhtadze (Lucien)@Art Chudabala (Ken Ho)@Loretta Devine (Shaniqua)@Ime N. Etuk (Georgie)@Ken Garito (Bruce)@Terrence Howard (Cameron)@Daniel Dae Kim (Park)@Bruce Kirby (Ryan)@Greg Joung Paik (Choi)@Michael Peña (Daniel )@Yomi Perry (Maria)@Alexis Rhee (Kim Lee)@Ashlyn Sanchez (Lara)@Marina Sirtis (Shereen)@Larenz Tate (Peter)@Jack McGee (Le gérant de la boutique d'armes)@Kathleen York (Officier Johnson)@Shaun Toub (Farhad)@Joe Ordaz (Le conducteur hispanique)@Joe Ordaz (Le conducteur hispanique)@Jayden Lund (Un agent de sécurité)@Allan Steele (Auxilliaire médical)@Allan Steele (Auxilliaire médicale)@Molly Schaffer (Une femme)@Bahar Soomekh (Dorri)@Amanda Moresco (L'assistante)@Paul E. Short (Officier Stone)@Kate Super (La réceptionniste)@Octavio Gómez Berríos (Le passager espagnol)@Martin Norseman (Conklin)@||Secrets de tournage :
Grand Prix à Deauville
Présenté en sélection officielle au festival de Deauville 2005, Collision a été récompensé du Grand Prix attribué par le jury présidé par Alain Corneau.
Ecrit à partir d'expériences personnelles
Le réalisateur Paul Haggis, également scénariste de Million dollar baby, a écrit le scénario de Collision à partir de ses propres expériences, de ses peurs et de ses observations sur notre monde. L'idée du film lui est venue le jour où, en sortant d'un magasin vidéo à Los Angeles, il s'est fait voler sa voiture sous la menace d'une arme à feu. Il est rentré chez lui, a changé toutes les serrures de sa maison... et a commencé à s'interroger sur ses agresseurs... C'est de cet événement personnel que tout est parti.
Au diable la censure !
Pour Paul Haggis, Collision "parle de l'intolérance et de la compassion, de la manière dont nous détestons tous être jugés sans jamais refuser de juger les autres, ce qui est totalement contradictoire." Sachant qu'il serait de toute façon très difficile d'obtenir le financement d'un film sur les questions de race et de classe sociale, le scénariste Bobby Moresco et lui ont décidé de ne pas se censurer. "Nous nous sommes dit : " On écrit comme on le pense et au diable le reste, parce que personne ne voudra jamais faire ce film !, explique Bobby Moresco. Beaucoup de gens nous ont fait d'excellentes suggestions, et nous avons simplement creusé pour découvrir la vérité."
Grâce au soutien de Don Cheadle
Une fois la phase d'écriture terminée, Collision est devenu un projet particulièrement cher aux yeux du producteur Mark Harris, qui a envoyé le scénario achevé à Bob Yari chez Bull's Eye fin 2002. En janvier 2003, le script faisait déjà parler de lui et le casting commença.
Au sommet de la liste de Paul Haggis et de son équipe figurait Don Cheadle. Le profond intérêt de ce dernier pour le scénario et les personnages l'a poussé à devenir également producteur du film, et à utiliser son expérience et ses relations pour monter le projet.
Bobby Moresco raconte : "Grâce à l'implication de Don, nous avons pu faire lire à des acteurs et actrices de tous niveaux un scénario sans aucune offre, juste pour voir s'ils étaient intéressés. Ça n'arrive jamais à Hollywood et ça n'aurait jamais pu se produire sans Don."
Heath Ledger manque à l'appel
Heath Ledger était initialement pressenti pour incarner Hansen, rôle finalement dévolu à Ryan Phillippe.
Quelques contre-emplois
Paul Haggis était prêt à prendre des risques avec le casting, persuadé que faire jouer des contre-emplois à ses acteurs - Sandra Bullock en épouse solitaire, Brendan Fraser en ambitieux district attorney ou encore Ryan Phillippe en policier sur la mauvaise pente - renforcerait l'impact émotionnel de leurs paroles.
La productrice Cathy Schulman souligne : "Je pensais qu'ils auraient des peurs, ou au moins des réticences, d'avoir à faire des choses si négatives, si répréhensibles moralement, mais la vérité est qu'ils ont abordé leur rôle avec le même professionnalisme et le même talent qu'ils mettent au service de rôles plus faciles et plus sympathiques."
Préparation au rôle pour Brendan Fraser
Interprète de Rick, le district attorney, Brendan Fraser a passé beaucoup de temps avec Steve Cooley, le district attorney de Los Angeles, pour préparer son rôle. L'acteur confie : "J'ai énormément appris à ses côtés. Mon personnage se trouve placé face à un dilemme moral. Rick est pour l'essentiel quelqu'un de bien, mais c'est un être humain... Il a des faiblesses, il n'est pas à l'abri des erreurs, comme nous tous, et cela en fait un personnage intéressant à interpréter."
Tournage en 35 jours !
La plus grande difficulté pour la production a été de réussir à tourner le film sur 35 jours seulement sans faire de compromis. Etant à la fois scénariste et réalisateur, Paul Haggis savait très exactement ce qu'il voulait de ses acteurs, ce qui s'est traduit par une plus grande vitesse de travail sur le tournage. "Paul voulait tout répéter, jusqu'aux moindres détails. Il voulait que tout soit parfait, raconte Ludacris. C'est un perfectionniste. Il ne perd pas de temps et il s'assure que tout correspond à sa vision et atteint le but fixé."
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Cats & Dogs|Lawrence Guterman|Comédie|Film pour enfants|2|américain|2001|83|Anglais||DIV3|||DIV3|1 020 Kbps|576x320|MPEG-1 Audio layer 3|137 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||23.976|02/08/2009 00:00:00|Warren Zide Craig Perry Andrew Lazar Christopher DeFaria|John Requa Glenn Ficarra|Julio Macat||Warner Bros. France|Saga : Comme chiens et chats |M. Brody travaille à l'élaboration d'un vaccin qui éradiquerait toute allergie humaine aux chiens. Une découverte très attendue par la race canine mais fort redoutée par les félins. Car au cas où un tel vaccin verrait le jour, les chiens deviendraient les animaux de compagnie favoris des humains. Les chats, qui complotent au renversement de la suprématie des hommes pour ainsi devenir l'espèce dominante, n'auraient alors plus aucune chance de voir leur plan se concrétiser.M. Tinkles, un persan mégalo qui rêve de devenir le maître du monde, appelle donc à la solidarité de ses confrères et consoeurs afin de mettre un terme aux recherches du professeur Brody. La victoire n'est toutefois pas acquise : Lou, le jeune chiot des Brody, est assigné à la protection de son maître et du vaccin en expérimentation. |Jeff Goldblum (le professeur Brody)@Tobey Maguire (la voix de Lou (VO))@Elizabeth Perkins (Carolyn Brody)@Alexander Pollock (Scott Brody)@Alec Baldwin (la voix de Butch (VO))@Jon Lovitz (la voix de Calico (VO))@Susan Sarandon (la voix d'Ivy (VO))@Joe Pantoliano (la voix de Peek (VO))@Michael Clarke Duncan (la voix de Sam (VO))@Miriam Margolyes (la servante Sophie)@Myron Natwick (Mr. Mason)@Doris Chillcott (Mrs. Calvert)@Sean Hayes (Mr Tinkles (voix))@||||||||||||@@
How to Lose a Guy in 10 Days|Donald Petrie|Romance||3|américain|2003|115|Anglais||DX50|||DX50|709 Kbps|640x352|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|700||||23.976|08/08/2009 00:00:00|Lynda Obst Robert Evans Christine Peters|Kristen Buckley Brian Regan Burr Steers|John Bailey||Paramount Pictures||Andie Anderson, une belle et talentueuse journaliste, est chargée par sa rédactrice en chef de livrer un compte-rendu personnel et documenté sur tout ce qui peut faire échouer une histoire d'amour. Andie dispose de dix jours pour faire la conquête d'un mâle, puis accumuler toutes les gaffes possibles qui le feront fuir dare-dare...La journaliste jette alors son dévolu sur le fringant Benjamin Barry, un des publicitaires les plus en vue de l'agence Warren... sans se douter que celui-ci a fait le pari inverse : séduire Andie et la rendre, en dix jours, follement amoureuse de lui... |Kate Hudson (Andie Anderson)@Matthew McConaughey (Benjamin Barry)@Michael Michele (Spears)@Adam Goldberg (Tony)@Kathryn Hahn (Michelle)@Thomas Lennon (Thayer Beekman)@Annie Parisse (Jeannie)@Shalom Harlow (Green)@Bebe Neuwirth (Lana)@Robert Klein (Phillip Warren)@||Secrets de tournage :
A Paris...
C'est dans des boutiques de mode parisiennes qu'ont été réalisés les repérages vestimentaires de Comment se faire larguer en 10 leçons. La costumière et la productrice du film se sont jointes à Kate Hudson pour trouver les costumes des protagonistes.
D'après...
Le film est inspiré d'un "manuel" pratique humoristique intitulé : "Comment faire fuir un mec en dix leçons : tous les trucs à éviter si vous voulez le garder" de Michele Alexander et Jeannie Long. Quelques exemples :
- "Après l'amour, dites-lui que vous avez arrêtée la pilule parce que vous avez peur que ça vous fasse grossir. Demandez-lui s'il est d'accord",
- "Donnez un petit nom à son pénis",
- "Au téléphone, à partir de maintenant, ne dites plus votre nom mais "c'est moi !"".
Danny Vs Donald
Danny DeVito avait initialement été pressenti pour réaliser Comment se faire larguer en 10 leçons, dont il devait assurer la production via sa propre société, Jersey Films. Mais des différends artistiques l'ont amené à se désengager totalement du projet.
Kate Vs Gwyneth
Avant que les producteurs de Comment se faire larguer en 10 leçons ne jettent leur dévolu sur Kate Hudson, le rôle d'Andie Anderson devait être tenu à l'origine par Gwyneth Paltrow. Mais celle-ci s'est désistée du projet.
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Conan the Barbarian|John Milius|Aventure||3|américain|1982|125|Anglais||DX50|||DX50|659 Kbps|640x288|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|44.1 KHz|2|698||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Edward R. Pressman Raffaella De Laurentiis|Oliver Stone John Milius|Duke Callaghan|||Saga : Conan |Encore enfant, Conan assiste impuissant au massacre de ses parents par le cruel Thulsa Doom, et est réduit en esclavage. Enchaîné à la roue de douleur, il y acquiert une musculature peu commune qui lui permet, adulte, de gagner sa liberté comme lutteur. Désireux d'assouvir sa soif de vengeance, il part accompagné de deux voleurs, Subotai et Valeria, à la recherche de Thulsa Doom... |Arnold Schwarzenegger (Conan)@James Earl Jones (Thulsa Doom)@Max von Sydow (le roi Osric )@Sandahl Bergman (Valeria)@Ben Davidson (Rexor)@Cassandra Gaviola (la sorcière)@Gerry Lopez (Subotai)@Mako (l'enchanteur)@Valérie Quennessen (la princesse Yasmina)@William Smith (le père de Conan)@Donald Gibb (le garde d'Osric)@||Secrets de tournage :
Une épée de poids
Le tournage du film a été très éprouvant pour tous les acteurs et particulièrement pour Arnold Schwarzenegger. En effet, son épée était si lourde qu'il pouvait à peine à la porter. En outre, son encombrante armure l'empêchait de s'asseoir correctement et donc de se reposer entre les prises.
Des doublures inadéquates
Malgré de nombreuses scènes dangereuses, Arnold Schwarzenegger et Sandahl Bergman ont réalisé eux-même leurs cascades. En effet, les deux acteurs possédant des mensurations si imposantes, la production a été incapable de trouver des doublures suffisamment ressemblantes.
Un couple muet
Bien qu'ils soient côte à côte durant tout le film, les personnage de Conan et de Valeria ne se parlent qu'à une seule reprise. Cette " événement " intervient lors de leur première rencontre où 5 mots sont en fait échangés:
- Tu es un garde ?
- Non.
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Conan the Destroyer|Richard Fleischer|Aventure||2|américain|1984|98|Anglais||DIV3|||DIV3|839 Kbps|384x288|WMA2|64.1 Kbps|False|44.1 KHz|2|641||||25.635|27/08/2009 00:00:00|Raffaella De Laurentiis Edward R. Pressman|Stanley Mann|Jack Cardiff|||Saga : Conan |Conan se voit confier par la maléfique reine Taramis la mission d'escorter le princesse Jehnna, chargée d'aller voler la corne du dieu Dagoth. En récompense : le retour à la vie de Valéria, la femme qu'il aimait, morte dans le premier épisode. Mais derrière les motifs apparents de cette excursion, la reine cache-t-elle pas de plus noirs desseins ? |Arnold Schwarzenegger (Conan)@Grace Jones (Zula)@Wilt Chamberlain (Bombaata)@Mako (L'Enchanteur Akiro)@Tracey Walter (Malak)@Sarah Douglas (La reine Taramis)@Olivia d' Abo (La princesse Jehnna)@Pat Roach (L'homme-singe / Thoh-Amon)@Bruce Fleischer (Le bagarreur du village)@Olivia d'Abo@Jeff Corey@Ferdy Mayne@||Secrets de tournage :
En hommage aux Vikings
Admirateur des Vikings, le producteur Dino De Laurentiis a choisi de réunir une nouvelle fois, en guise d'hommage, le réalisateur Richard Fleischer et son chef opérateur Jack Cardiff. Ce fut 24 ans après, pour Conan le destructeur, un film d'aventure dans la même veine.
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Confessions of a Dangerous Mind|George Clooney|Biopic||3|américain, canadien, allemand|2003|113|Anglais||DIV3|||DIV3|721 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||23.976|02/08/2009 00:00:00|Andrew Lazar|Charlie Kaufman|Newton Thomas Sigel||Miramax Films||Parallèlement à sa carrière d'animateur du Gong Show, un jeu télévisé américain qui dura quatre ans, de 1976 à 1980, Chuck Barris aurait mené une carrière de tueur professionnel. Il aurait officié pour le compte de la CIA sous le nom de Sunny Sixkiller. Confessions d'un homme dangereux se penche sur ce destin peu ordinaire. |Sam Rockwell (Chuck Barris / Sunny Sixkiller)@George Clooney (l'agent de la CIA Jim Byrd)@Drew Barrymore (Penny)@Julia Roberts (Patricia Watson )@Rutger Hauer (Keeler )@Jerry Weintraub (Larry Goldberg)@David Hirsh (Freddie Cannon)@Artie Lange (Bellboy )@Michelle Sweeney (la concierge)@Chelsea Ceci (Tuvia (à 8 ans))@Kristen Wilson (Loretta)@Jennifer Hall (Georgia)@Chuck Barris (lui-même)@Michael Cera (Chuck Barris enfant)@Maggie Gyllenhaal (Debbie)@Dick Clark (lui-même)@Brad Pitt (Brad, un célibataire)@Matt Damon (Matt, un célibataire)@||Secrets de tournage :
La naissance du projet
Le producteur Andrew Lazar se souvient de sa découverte du livre de Chuck Barris : "Mon collaborateur de longue date et actuel associé, Rand Ravich, l'avait découvert chez un bouquiniste et me l'avait signalé. J'ai tout de suite été attiré par l'extrême originalité du matériau et le fait qu'il tournait autour de deux grandes obsessions américaines : la télévision et la CIA." Chuck Barris présente ce livre comme une autobiographie. Il y raconte comment, parallèlement à sa carrière de producteur et d'animateur pour la télévision, il est devenu un exécuteur de la CIA.
Un scénariste prometteur
Charlie Kaufman débute sa carrière de scénariste à la télévision. En 1999, il écrit le scénario tortueux de Dans la peau de John Malkovich, premier long métrage de Spike Jonze. Il retrouve le jeune réalisateur pour Adaptation (2002). En 2001, il est le scénariste du premier film de Michel Gondry, Human Nature. L'année suivante, il écrit pour la première réalisation de George Clooney, Confessions d'un homme dangereux.
Le tandem Clooney/Soderbergh
En 1998, George Clooney obtient le rôle principal d'Hors d'atteinte de Steven Soderbergh. En 2000, ils fondent la société Section Eight, basée chez Warner Bros et baptisée ainsi en référence à la section huit, section des hôpitaux psychiatriques réservée aux patients dangereux. C'est sous la bannière de Section Eight que sont entre autres produits Loin du paradis (2002, Todd Haynes) et Insomnia (2002, Christopher Nolan). Section Eight prend naturellement part aux projets de ses fondateurs : la société co-produit Ocean's eleven (2001) et Solaris (2002), deux films de Steven Soderbergh dans lesquels George Clooney tient le premier rôle. Elle participe également à la première réalisation de l'acteur, Confessions d'un homme dangereux, dont Steven Soderbergh est le producteur exécutif.
Lieux de tournage
Dans Confessions d'un homme dangereux, le spectateur suit Chuck Barris, incarné par Sam Rockwell, dans ses missions aux Etats-Unis, au Mexique, en Allemagne de l'ouest et en Finlande. Le tournage du film s'est déroulé en Californie, à Montréal et à Nogales au Mexique.
Une aide précieuse
Chuck Barris est présent lors du tournage de Confessions d'un homme dangereux. A ce sujet, George Clooney déclare :"Chuck Barris a été une inépuisable source d'informations. Nous nous adressions à lui dès que nous avions besoin d'une précision, et obtenions toujours satisfaction. Hyper motivé, très déterminé, il venait nous rendre visite sur le plateau et scrutait tout avec attention, dans les moindres détails."
Dans la peau de Chuck Barris
Dans Confessions d'un homme dangereux, Sam Rockwell incarne le personnage principal, Chuck Barris. A propos de ce rôle, il confie : "Je n'avais encore jamais incarné de personnage réel. Je me sentais donc responsable à l'égard de Chuck, mais ce n'était pas comme si j'avais dû jouer Elvis ou Roosevelt. Beaucoup de gens n'ont jamais vu Chuck Barris ou n'en ont qu'un vague souvenir. Il était donc vain de l'imiter."
Une histoire vraie ?
"Mon nom est Chuck Barris. J'ai écrit des chansons pop, j'ai été producteur de télévision, j'ai inondé le petit écran d'émissions d'une terrifiante débilité. Et j'ai tué trente-trois personnes." Voici comment Chuck Barris résume sa vie. Confessions d'un homme dangereux est tiré de son autobiographie. Barris apparaît également dans le film dans son propre rôle. A propos de sa folle histoire, George Clooney déclare : "Voir un homme riche et célèbre faire de tels aveux est à la fois fascinant et profondément choquant. Seul Chuck pourrait nous dire s'il s'agit de la vérité ou d'une affabulation et, avec lui, le secret est bien gardé."
Retrouvailles
En 2000, Sam Rockwell et Drew Barrymore jouent au chat et à la souris dans Charlie et ses drôles de dames. Ils se retrouvent en 2002 dans Confessions d'un homme dangereux. Sam Rockwell et George Clooney ont deux films communs en 2002. Les deux acteurs jouent dans Confessions d'un homme dangereux et Bienvenue à Collinwood. Clooney réalise le premier et co-produit le second.
Une joyeuse équipe
En 2001, Steven Soderbergh réunit George Clooney, Julia Roberts, Matt Damon et Brad Pitt dans Ocean's eleven. Dans sa première réalisation, Confessions d'un homme dangereux, George Clooney joue aux côtés de Julia Roberts. Matt Damon et Brad Pitt font une apparition en forme de clin d'oeil.
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Confessions of a Sociopathic Social Climber|Dana Lustig|Comédie||1|américain|2005|81|Anglais||XviD|||XVID|1 059 Kbps|640x352|MPEG-1 Audio layer 3|129 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Evan Tylor|Eric C. Charmelo|Luc Montpellier||||Katya Livingston, une jeune femme célibataire et sexy, travaille dans une agence de publicité de San Francisco. Véritable active woman la journée, elle passe toutes ses nuits dans les soirées branchées. |Jennifer Love Hewitt (Katya Livingston)@Colin Ferguson (Charles Fitz)@Natassia Malthe (Frangiapani)@Daniel Roebuck (Dove Greenstein)@James Kirk (Sebastian)@Sonja Bennett (Eliza)@Jennifer Clement@Joseph Lawrence (Ferguson)@Preston Cook (Teddy)@Brenda Crichlow (Julie)@||||||||||||@@
Conspiracy|Adam Marcus|Drame||1|américain|2008|86|Anglais||XviD|||XVID|980 Kbps|624x336|MPEG-1 Audio layer 3|138 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Alison Semenza Gilbert Dumontet|Adam Marcus Debra Sullivan (II)|||||Une mère célibataire au destin compliqué par un mariage forcé croise un vétéran de la guerre en Irak sur son chemin. La fortune semble aussi se jouer de sa personne, puisqu'il part à la recherche d'un ami, dont tout le monde nie l'existence. |Val Kilmer (MacPherson)@Jennifer Esposito (Joanna)@Gary Cole (Rhodes)@Jay Jablonski (Le député Foster)@Greg Serano (Miguel Silva)@Stacy Marie Warden (Carly)@Christopher Gehrman (E.B.)@Bob Rumnock (Sherrif Bock)@Scott Burkett (Le député Jefferson)@Keanu Briones (Juan Miguel)@Anthony Jordan Atler (Reinol)@||||||||||||@@
Constantine|Francis Lawrence|Action|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|2005|109|Anglais||XVID|||XVID|1 030 Kbps|648x288|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|48.0 KHz|2|899||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Akiva Goldsman Erwin Stoff Michael E. Uslan Lorenzo di Bonaventura Lauren Shuler Donner|Mark Bomback Frank Cappello|Philippe Rousselot||Warner Bros.||John Constantine, extralucide anticonformiste, qui a littéralement fait un aller-retour aux enfers, doit aider Katelin Dodson, une femme policier incrédule, à lever le voile sur le suicide mystérieux de sa soeur jumelle. Cette enquête leur fera découvrir l'univers d'anges et de démons qui hantent les sous-sols de Los Angeles d'aujourd'hui. |Keanu Reeves (John Constantine)@Rachel Weisz (Angela)@Shia LaBeouf (Chaz Chandler)@Gavin Rossdale (Balthazar)@Djimon Hounsou (Papa Midnite)@Tilda Swinton (Gabriel)@Peter Stormare (Satan)@Larry Cedar (Vermin man)@Brian Holly (le médecin légiste)@Johanna Trias (la fille possédée)@Pruitt Taylor Vince (Le père Hennessy)@Max Baker (Beeman)@José Zuniga (L'inspecteur Weiss)@Francis Guinan (Le père Garret)@April Grace (Dr. Leslie Archer)@Suzanne Whang@Alice Lo (La femme âgée)@Nicholas Downs@Michelle Monaghan (Ellie (scènes coupées))@||Secrets de tournage :
Les mangeurs d'âmes
Les mangeurs d'âmes, immondes créatures qui hantent et peuplent le film, ont été réalisés à partir d'un unique prototype, conçu au sein de l'atelier de Stan Winston, sous la direction de John Rosengrant, le superviseur des effets spéciaux. La créature a d'abord été modélisée sur ordinateur, d'après des dessins faits par le réalisateur Francis Lawrence. La seconde étape fut la sculpture en volume. La troisième consista à la création d'un moulage équipé d'un squelette articulé et mécanisé. le tout fut enveloppé par une couche de latex, reproduisant la texture de la peau.
De Hellblazer...à Constantine
A l'origine, le film devait porter le même nom que sa source d'inspiration, à savoir le comic book "Hellblazer", de Jamie Delano et Garth Ennis. Les producteurs ont finalement préféré Constantine, car le titre du comic était trop proche d'Hellraiser de Clive Barker, un film d'horreur réalisé en 1987.
Un réalisateur motivé et original
Ayant à son actif plusieurs clips musicaux, le réalisateur Francis Lawrence s'est présenté devant les producteurs avec de nombreuses planches de dessins et de concepts. Contrairement aux attentes des producteurs, il n'a pas abordé le projet par ses aspects visuels, ce qui a étonné ces derniers. "Ses talents en ce domaine sont pourtant assez évidents" explique Lorenzo di Bonaventura; "mais lors de ce premier meeting, c'est du script et des personnages que Francis nous entretint pendant deux heures, sans jamais évoquer les questions de look. Ordinairement, un réalisateur issu de la vidéo ou de la pub s'appuie sur des références visuelles, car c'est ce qu'il connait le mieux. En treize ans de carrière, je n'avais jamais vu quelqu'un déroger à ce principe. C'était donc assez étonnant. Mais ce qui nous a le plus impressionnés fut sa capacité à analyser les fondamentaux de chaque scène".
Différences de vues
Ce devait être à l'origine le cinéaste Tarsem Singh, auteur de The Cell, qui devait réaliser le film, avec dans le rôle-titre Nicolas Cage. Des différences de vues ont fini par faire abandonner Singh de la direction du film...tandis que Nicolas cage quittait également le projet.
Un scénario livré à temps
La productrice du film, Lauren Shuler Donner, envoya le scénario de Constantine à Keanu Reeves peu avant la fin du tournage de Matrix revolutions. Ce dernier raconte: "Constantine est l'un des meilleurs scripts qu'il m'ait été donné de lire. Il combine humour, intelligence, vitalité. Rien n'y est souligné, le mystère et les contradictions abondent. Constantine a un sens moral, mais son comportement laisse fortement à désirer, et c'est sans délicatesse aucune qu'il joue les redresseurs de torts. C'est bel et bien un antihéros, et d'un genre que je ne connaissais pas".
Abonnée aux comics
Lauren Shuler Donner, l'un des producteurs du film, a produit le dyptique X-Men / X-Men 2, réalisé par Bryan Singer.
Keanu Reeves fidèle à la SF
Avec Constantine, Keanu Reeves poursuit son exploration du monde de la science-fiction. Il avait en effet incarné un coursier traqué dans le cybernétique Johnny Mnemonic en 1995. Il accepte en 1999 le rôle du demi-dieu Néo de Matrix, succès planétaire réalisé par les frères Andy Wachowski et Larry Wachowski. L'acteur endosse à nouveau le costume de "l'élu" dans ses deux suites: Matrix reloaded et Matrix revolutions.
Entre le ciel et l'enfer
La parole au réalisateur: "J'ai passé en revue différentes représentations picturales de l'enfer, non seulement chez Bosch et Bruegel, mais aussi chez les nombreux artistes qui en font un espace abstrait, un vaste trou noir. Pour ma part, je voulais des images auxquelles on puisse se raccrocher, dotées de structures reconnaissables."
Un arsenal original...et mortel
Pour se défaire des démons, Constantine utilise, entre-autre, une arme pour le moins originale, puisqu'il s'agit d'une arme semi-automatique en forme de crucifix. Plusieurs modèles de fusils à canon courts furent étudiés. L'équipe du film opta finalement pour un modèle appelé "Street Sweeper", qui fut retravaillé afin de "lui donner l'apparence d'une création de Lénard De Vinci". par ailleurs, plusieurs exemplaires furent fabriqués: une réplique opérationnelle, 2 répliques exacts en plastique et 4 versions en caoutchouc, destinées aux répétitions."
Un producteur primé
Producteur de Constantine, Akiva Goldsman a été récompensé en 2002 par l'Oscar du Meilleur scénario pour Un homme d'exception, et par le Prix du Meilleur scénario décerné par la Writers Guild of America.
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« Préc.
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The Contractor|Alexandre Aja|Action|||Etats-unis/G.-B./Ukraine|2006|98|||XviD|||XVID|855 Kbps|624x336|MPEG-1 Audio layer 3|129 Kbps|False|48.0 KHz|2|702||||23.976|02/08/2009 00:00:00|Alexandra Milchan|Ian Jeffers|||||Le gouvernement U.S. ne pouvant plus financer sa croisade contre le terrorisme, ni son rôle de gendarme du monde, fait appel à des troupes d'élites composées de mercenaires pour régler différents conflits à travers le monde. |Wesley Snipes@||||||||||||@@
Maid in Manhattan|Wayne Wang|Romance||2|américain|2003|100|Anglais||XviD|||XVID|806 Kbps|720x288|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|683||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Elaine Goldsmith-Thomas Deborah Schindler Paul Schiff|Kevin Wade|Karl Walter Lindenlaub||Columbia Pictures||Marisa Ventura est une mère célibataire qui vit seule avec son fils Ty dans le Bronx. Elle travaille comme gouvernante dans l'un des palaces les plus luxueux de Manhattan. La jeune femme espère gravir les échelons. Son intrépide collègue Stephanie et le majordome Lionel sont convaincus qu'elle en a les capacités.
La vie de Marisa va bientôt se trouver bouleversée lorsque, suite à un quiproquo, Christopher Marshall, un riche héritier américain qui séjourne pour une semaine dans cet hôtel, se méprend sur son identité. Il la prend alors pour une personne de son milieu. |Jennifer Lopez (Marisa Ventura )@Ralph Fiennes (Christopher Marshall)@Natasha Richardson (Caroline Lane)@Stanley Tucci (Jerry Siegel)@Bob Hoskins (Lionel)@Tyler Garcia Posey (Ty)@Marissa Matrone (Stephanie Kehoe)@||Secrets de tournage :
Plusieurs titres de film
Coup de foudre à Manhattan s'est d'abord intitulé The Chambermaid puis Uptown girl.
Swank et Hughes pressentis
Coup de foudre à Manhattan a d'abord été conçu pour l'actrice Hilary Swank, mais celle-ci s'est désistée. Par ailleurs, John Hughes avait été pressenti derrière la caméra.
La rencontre de femmes de chambre
Afin de percevoir chaque détail de son rôle, Jennifer Lopez a longuement rencontré des mères célibataires et des femmes de chambre qu'elle a accompagnées dans leur travail. Elle raconte : "C'est l'un des aspects que je préfère dans ce métier. J'aime rencontrer des gens. Ils m'apprennent, on échange un peu de nos vies. C'est enrichissant sur le plan humain et le film y gagne en profondeur."
1e expérience de Fiennes dans la comédie
Coup de foudre à Manhattan marque la première expérience de Ralph Fiennes dans la comédie. La productrice Elaine Goldsmith-Thomas se souvient : "Personne n'avait jamais vu jouer Ralph dans une comédie. Pourtant, nous étions tous d'accord pour le convaincre d'incarner Christopher Marshall. C'est un acteur d'exception, il a quelque chose de Cary Grant, une allure, un flegme et une capacité à émouvoir incroyables. Lorsqu'il a dit oui, nous étions tous fous de joie."
Wayne Wang à la réalisation
Après le désistement de John Hughes derrière la caméra, le choix de Wayne Wang s'est imposé de lui-même. L'intéressé se souvient : "Les premiers éléments qui m'ont séduit dans le script sont une ambiance à part et un charme authentique. Les personnages sont nuancés, humains."
Le producteur Paul Schiff commente : "Wayne Wang avait ce mélange de sensibilité et de rigueur qui lui permettait d'aborder l'histoire sous tous les angles. Il restitue parfaitement le ton que nous avions imaginé."
Le choix de l'hôtel
Après de nombreuses recherches, c'est l'hôtel Waldorf-Astoria, à New York, qui a été choisi pour figurer le Beresford Hotel. Situé sur Park Avenue, cet établissement mondialement connu présentait de nombreux avantages. Superbe, il offrait un décor de choix ; il est assez vaste pour permettre un tournage sans gêner son fonctionnement.
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Death Race|Paul W.S. Anderson|Science fiction||3|américain|2008|97|Anglais||XviD|||XVID|793 Kbps|624x256|MPEG-1 Audio layer 3|183 Kbps|False|48.0 KHz|2|689||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Paul W.S. Anderson Jeremy Bolt Roger Corman Paula Wagner Tom Cruise|Paul W.S. Anderson|Scott Kevan||Universal Pictures||Dans une Amérique futuriste, les prisonniers sont contraints de participer à de très violentes courses automobiles dans des arènes fermées. C'est dans ce contexte qu'un homme qui doit être libéré dans quelques semaines se voit assigné à participer à l'une de ces courses. Celle-ci est une course à la mort ! Il devient alors l'un des favoris du public qui le connaît sous le nom de Frankenstein... |Jason Statham (Jensen Ames)@Tyrese Gibson (Machine-Gun Joe)@Joan Allen (Hennessey)@Ian McShane (le coach)@Robin Shou (14K)@Janaya Stephens (Suzy)@Natalie Martinez (Case)@Jacob Vargas (Gunner)@Frederick Koehler (Lists)@Robert LaSardo (Grimm)@Max Ryan (Slovo Pachenko)@Alan D. Purwin (le pilote de l'hélicoptère)@Benz Antoine (Navigateur de Joe)@Jason Clarke (Ulrich)@Marcello Bezina (Jensen)@Justin Mader (Travis Colt)@Danny Blanco (Navigateur de Joe)@Christian Paul (Navigateur de Joe)@John Fallon (Nazi)@Marcello Bezina (Policier)@Jere Gillis (policier 2)@Bruce McFee (Vieux chronometreur)@Cory Fantie (Ouvrier blasé)@Russell Ferrier (Ouvrier mécontent)@Dan Jeannotte (Technicien de Hennessey)@Anna-MArie Frances Lea (Commentateur méchant)@Lydie Bounay (BMW Navigator )@Nathalie Girard (Boattail Navigator )@Carolyn Day (Colt's Navigator )@Melantha Blackthorne (Pachenko's Navigator )@Marie France Denoncourt (Trans Am #2 Navigator )@Sharlene Royer (Grimm Navigator )@||Secrets de tournage :
Plus de trente ans après, une nouvelle course...
Death Race est un remake de La Course à la mort de l'an 2000, film réalisé en 1975 par Paul Bartel et emmené par David Carradine et Sylvester Stallone. La version initiale allait inspirer le jeu vidéo Death Race un an plus tard.
Une longue route vers le succès
Paul Anderson a acquis les droits du film précédent en 1994. Il lui a fallu quatorze ans de réflexion et de travail pour parvenir au résultat final.
Paul Anderson reste dans le futur
Avec le film de science-fiction et d'anticipation Death Race, le réalisateur britannique Paul Anderson confirme son goût pour les univers futuristes, lui qui a notamment signé Mortal Kombat (1995), Event Horizon: le vaisseau de l'au-dela (1998), Resident Evil (2002) ou encore Alien vs. Predator (2004).
Tom Cruise à la production
Death Race est produit par Tom Cruise et son associée de longue date, Paula Wagner. Egalement à la production, Roger Corman, qui officiait déjà à ce poste sur la version d'origine.
Titre de travail
Le titre de travail de Death Race a un temps été Death Race 3000, en référence au titre du premier film qui, dans sa version originale, était Death Race 2000.
La réalité comme ligne d'arrivée
Le réalisateur voulait absolument éviter tout recours aux images de synthèse ou aux effets spéciaux de post-production pour coller au maximum avec le réel. Toutes les cascades et les explosions sont réalisées à l'ancienne, sur le tournage.
La télé-réalité renversée
Le film original était avant tout une critique féroce de la société américaine, dans sa consommation, sa politique et son image. Paul Anderson a voulu réduire son propos à la critique de la télé-réalité. Pour lui, l'hypothèse de voir un jeu de télé-réalité mortel un jour n'est pas à exclure. " C'est un peu comme les gladiateurs, on repoussera toujours les limites " remarque t-il.
Quand les acteurs jouent les pilotes
Jason Statham a mis sa grande expérience de pilote chevronné acquise avec la trilogie du Transporteur au service du film. En effet, comme les autres acteurs, il a piloté son bolide sur chaque cascade, sans doublure. Paul Anderson avoue d'ailleurs s'être fait peur sur certaines scènes.
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Coyote Ugly|David McNally|Comédie dramatique||3|américain|2000|95|||DIV3|||DIV3|887 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|677||||23.976|13/08/2009 00:00:00|Jerry Bruckheimer Chad Oman|Gina Wendkos|Amir M. Mokri||||A 21 ans, Violet Sanford rêve de devenir diva et de connaître la gloire. Elle quitte le foyer familial pour New York. De désillusions en échecs, elle a de moins en moins confiance en elle et ses espoirs de réussite éclatante s'amenuisent chaque jour.Acculée, elle accepte de travailler dans un bar country, célèbre pour ses serveuses aux allures provoquantes, le Coyote Ugly. Dans cet univers d'amazones dirigé par la séduisante Lil, Violet acquiert un certain sens du spectacle et une vraie popularité. |Piper Perabo (Violet "Jersey" Sanford)@Adam Garcia (Kevin O'Donnell)@Maria Bello (Lil)@Tyra Banks (Zoe)@Izabella Miko (Cammie)@Bridget Moynahan (Rachel)@John Goodman (William Sanford)@Melanie Lynskey (Gloria)@Michael Bay (photographe)@Bud Cort (Romero)@John Fugelsang (Richie)@Del Pentecost (Lou)@LeAnn Rimes (Elle-même)@Jeremy Rowley (William Morris )@Ellen Cleghorne (la receptionniste)@||Secrets de tournage :
Melanie Lynskey (Gloria)
Révélée par Créatures célestes (Peter Jackson, 1994), Melanie Lynskey a notamment joué dans Fantômes contre fantômes (id., 1996) et A tout jamais, une histoire de Cendrillon (Andy Tennant, 1998).
Maria Bello (Lil)
Vedette de la télévision américaine, Maria Bello est l'une des héroïnes de «Urgences». Au cinéma, elle est apparue dans Payback (Brian Helgeland, 1999).
Piper Perabo (Violet Sanford)
Découverte dans Witheboys (Marc Levin, 1999), Piper Perabo partage l'affiche de Les aventures de Rocky et Bullwinkle (Des McAnuff, 2000) avec Robert de Niro, Rene Russo et Jason Alexander.
David McNally différencie publicité et cinéma
« Avec un spot, on pense en termes de plans. Avec un film, il faut penser à la scène différemment. Dans la pub, vous avez 30 ou 60 secondes pour attirer l'attention du spectateur, mais pour un film il faut trouver la réalité de la scène pour y parvenir. »
David McNally, réalisateur
Réalisateur de spots publicitaires et de clips (notamment pour Céline Dion), David McNally signe avec Coyote Girls son premier long métrage.
Un entraînement sous le contrôle d'une professionnelle
Jennifer Curann, une ancienne barmaid, a entraîné les actrices pour qu'elles soient capables de jongler avec les bouteilles d'alcool et de manier les seaux à glace comme de véritables professionnelles.
Inspiré d'un article de magazine
La scénariste Gina Wendkos s'est inspiré d'un article d'Elizabeth Gilbert paru dans GQ (un magazine féminin américain) pour écrire le script de Coyote Girls.
Jerry Bruckheimer, producteur
Débutant sa carrière de producteur par Adieu, ma jolie (Dick Richards, 1975), un hommage au film noir, Jerry Bruckheimer est à l'origine de quelques-uns des plus gros succès du cinéma américain. Il a notamment produit Flashdance (Adrian Lyne, 1983), Le flic de Beverly Hills (Martin Brest, 1984), Bad Boys (Michael Bay, 1995), Rock (id., 1996), Les ailes de l'enfer (Simon West, 1997), Armageddon (Michael Bay, 1998).
Ses collaborations avec le réalisateur Tony Scott (Top gun, Le flic de Beverly Hills 2, Jours de tonnerre, USS Alabama, Ennemi d'Etat) ont été plébiscitées par le public.
En 2000, Jerry Bruckheimer a produit 60 secondes chrono de Dominic Sena.
Le producteur Jerry Bruckheimer résume les enjeux du film
« Coyote Girls est l'histoire d'un rêve. L'héroïne est habitée par une flamme, elle veut devenir elle-même, simplement, comme beaucoup d'entre nous. La vie va lui imposer de nombreux obstacles. Soit elle renonce, soit elle s'accroche. C'est un fascinant parcours humain auquel ce film nous convie. Tout est possible à condition de ne jamais lâcher, et c'est cela le plus difficile? »
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Kung Fu Hustle|Stephen Chow|Arts Martiaux||3|chinois|2005|98|Chinois||XviD|||XVID|849 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Stephen Chow Jeffrey Lau Po Chu Chui|Stephen Chow Cheong Tsang Kan Keung Chan Man|Hang-Sang Poon||Sony Pictures Classics||Sing, un prétendu gangster, doit surmonter son incapacité à manier le sabre et démontrer qu'il a toutes les qualités requises pour appartenir au prestigieux gang de Axe.
Dans le même temps, ce gang veut régner en maître sur le territoire le plus convoité qui est en fait une rue sacrée protégée par une bande de personnages hauts en couleurs. La plupart d'entre eux sont des maîtres du kung fu déguisés en personnes ordinaires.
Après plusieurs rencontres avec des voyous et une véritable brute connu sous le nom de "The Beast", Sing parvient à vaincre ses handicaps et réalise qu'il est devenu l'un des plus grands maîtres de kung fu destiné à protéger la rue sacrée. |Stephen Chow (Sing)@Wah Yuen (le propriétaire)@Leung Siu Lung (La Bête)@Dong Zhi Hua (Beignet)@Chiu Chi Ling (Le tailleur)@Xing Yu (Coolie)@Chan Kwok Kwan (Frère Sum)@Lam Tze Chung (L'acolyte de Sing)@Tin Kai Man (Le conseiller du Gang des haches)@Jia Kang Xi (Le harpiste n°1)@Fung Hak On (Le harpiste n°2)@Feng Xiao Gang (le patron du gang du crocodile)@Huang Sheng Yi (Fong)@Yuen Qiu (La propriétaire)@Suet Lam (Le général adjoint du Gang des Haches)@||Secrets de tournage :
La genèse du projet
Suite au carton inattendu de son précédent film, Shaolin soccer (2002), qui est devenu le plus gros succès de toute l'histoire des comédies d'actions made in Hong Kong, le réalisateur Stephen Chow se devait de négocier son virage. Il raconte : "Qu'allais-je faire ensuite? La réponse était simple : depuis que je suis enfant, j'ai envie de devenir un expert en arts martiaux, un héros du kung fu...au moins à l'écran !" D'où l'idée de réaliser Crazy kung fu dont il dit s'être inspiré de ses souvenirs d'enfance et qui est un véritable témoignage d'amour pour un certain genre de cinéma.
Fan de Bruce Lee
Stephen Chow a toujours voué une admiration sans bornes à Bruce Lee. Quoi de plus normal alors que de le voir un jour réaliser son propre film dans la pure veine de ceux de la légende incontestée du kung-fu. Il raconte son premier souvenir de l'acteur disparu prématurément : " J'étais fasciné, bouleversé par l'expérience de voir mon premier film. Dans l'obscurité, j'ai eu l'impression que mon coeur allait exploser, j'avais les larmes aux yeux. Bruce Lee était incroyable, non seulement par son talent pour les arts martiaux, mais aussi par son esprit, libre, déchaîné et puissant. Il remplissait l'écran. Il est devenu tout ce qui comptait à mes yeux. J'ai décidé de devenir comme lui, de lui ressembler."
Un tournage long et complexe
Outre des décors grandioses où un quartier a été entièrement reconstruit pour les besoins du film, le tournage en lui-même a été difficile car comportant beaucoup de scènes d'action et long car d'une durée de quatre mois, ce qui est considéré comme très long pour un film produit à Hong Kong. Le réalisateur raconte : "Crazy kung fu est le film le plus exigeant sur le plan physique que j'aie jamais fait. J'ai effectué plus de combats d'arts martiaux que dans n'importe quel autre film. C'est le tournage qui m'a demandé le plus de travail, jamais je n'étais allé aussi loin, et jamais ça n'avait été aussi difficile ! "
Des stars pour les effets spéciaux
Pour les scènes d'action, Stephen Chow délaisse le bricoleur fou de câblages Tony Ching Siu-Tung (réalisateur des Histoires de fantomes chinois) qui signait la furie de Shaolin soccer, au profit de Sammo Hung et surtout Yuen Woo Ping (Matrix, Tigre et dragon), le premier s'étant éclipsé au milieu du tournage.
Stephen Chow et sa bande
Stephen Chow retrouve le même compositeur que pour Shaolin soccer : Raymond Wong. Il s'entoure également de quelques-uns des acteurs de seconds rôles, aux visages cartoonesques, déjà présents dans son précédent film.
Clins d'oeil
Dès le départ destiné à une distribution internationale, ce film est construit de manière très occidentale. On peut d'ailleurs souligner la présence de nombreux clins d'oeil au cinéma américain : Matrix et ses agents Smiths, Spider-Man et sa morale sur la responsabilité, Shining et ses rivières de sang dans des couloirs inquiétants... Mais le film est surtout un hommage aux " kung-fu comédies " des années 70 et 80.
L'actrice Yuen Qiu
Les fans de la saga James Bond reconnaitront en la star des années '70 Yuen Qiu une des James Bond Girl de L'Homme au pistolet d'or (1974) avec Roger Moore dans le rôle de l'agent secret britannique. Longiligne au naturel, elle a du prendre 14 kilos pour interpréter le personnage de la propriétaire et a suivi un régime utilisé par les lutteurs de sumo japonais pour prendre du poids.
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Crocodile Dundee|Peter Faiman|Comédie||3|américain, australien|1987|93|Anglais||DX50|||DX50|935 Kbps|640x304|MPEG-1 Audio layer 3|98.1 Kbps|False|44.1 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|John Cornell|John Cornell Paul Hogan Ken Shadie|Russell Boyd||UIP||Crocodile Dundee alias Michael J. est un aventurier qui hante les vastes étendues du Bush australien : repas de lézards, larves et fourmis, rencontres inopinées avec des serpents et crocodiles... Elevé par une tribu d'aborigènes, il "zone" dans ces terrifiantes contrées comme un poisson dans l'eau. Sue Charlton, ambitieuse journaliste américaine, découvre l'homme sauvage et veut à tout prix faire un scoop. Elle finit par le rencontrer, l'emmène à New York, succombe à ses charmes et le suit pour le meilleur et pour le pire... |Paul Hogan (Michael J. Dundee)@Linda Kozlowski (Sue Charlton)@Mark Blum (Richard Mason)@David Gulpilil (Neville Bell)@Michael Lombard (Sam Charlton)@John Meillon (Walter Reilly)@Ritchie Singer (Con)@Maggie Blinco (Ida)@Steve Rackman (Donk)@Gerry Skilton (Nugget)@Terry Gill (Duffy)@Peter Turnbull (Trevor)@Christine Totos (Rosita)@Graham Walker (Angelo)@Reginald Veljohnson@||Secrets de tournage :
Titre modifié pour les Etats-Unis
Si le titre original est bien celui connu en France, soit Crocodile Dundee, il fut légèrement retouché pour sa sortie aux Etats-Unis : craignant que le public ne le prenne au premier degré et n'y voie un film sur un reptile, la distribution y fit rajouter des guillemets, aboutissant à "Crocodile" Dundee, afin de bien souligner qu'il s'agissait d'un surnom...
Un film à suites
Conçu, à l'origine, comme une modeste comédie australienne, Crocodile dundee connut un succès inattendu, si bien qu'il devint même un hit mondialement connu. Devant ce phénomène imprévu, une suite fut rapidement mise en route : Crocodile Dundee II (John Cornell, 1988). Elle ne rencontra toutefois pas le même accueil de la part du public, et ce n'est qu'en 2001 qu'un Crocodile Dundee III fut réalisé (cette fois par Simon Wincer), sur volonté de Paul Hogan (qui en est à la fois l'acteur principal, le scénariste et le producteur).
Inspiré de Tarzan
Crocodile Dundee s'inspire lointainement d'un des nombreux films de Tarzan : Les Aventures de Tarzan à New-York (Richard Thorpe, 1942). D'une manière générale, il s'inscrit dans la lignée des comédies mettant en scène des prétendus "sauvages" dans un cadre urbain, genre illustré par le célèbre Les dieux sont tombés sur la tête (Jamie Uys, 1981) ou encore Un indien dans la ville (Herve Palud, 1994).
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Crocodile Dundee II|John Cornell|Comédie||2|australien, américain|1988|108|Anglais||DIV3|||DIV3|736 Kbps|576x256|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|674||||23.976|28/07/2009 00:00:00|John Cornell Jane Scott|Brett Hogan Paul Hogan|Russell Boyd||United International Pictures (UIP)||Toujours poursuivis par des gangsters, Mick et Sue repartent pour l'Australie. Les autres les suivent jusque là-bas. |Paul Hogan (Michael J. "Crocodile" Dundee)@Linda Kozlowski (Sue Charlton)@John Meillon (Walter Reilly )@Hechter Ubarry (Rico )@Juan Fernandez (Miguel )@Charles S. Dutton (Leroy )@Kenneth Welsh (Brannigan )@Dennis Boutsikaris (Bob Tanner )@Ernie Dingo (Charlie )@Luis Guzman (Jose)@||||||||||||@@
Crocodile Dundee in Los Angeles|Simon Wincer|Comédie||2|américain, australien|2001|90|Anglais||XviD|||XVID|938 Kbps|560x320|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Lance Hool Paul Hogan|Paul Hogan Matthew Berry Eric Abrams|David Burr||Paramount Pictures||Quartorze ans après leur rencontre à New York, Mick "Crocodile" Dundee (Paul Hogan) et Sue Charlton (Linda Kozlowski), sa charmante épouse, vivent toujours dans leur modeste maison de Walkabout Creek, un petit village situé au nord de l'Australie. Là, ils passent le plus clair de leur temps à éduquer leur fils, Mickey.
Mais voilà que Sue vient de recevoir des nouvelles du bureau de son père depuis Los Angeles : le directeur d'un magazine est décédé dans d'étranges circonstances et Sue est demandée pour assurer la succession. C'est pour elle l'occasion de renouer avec son ancienne carrière de journaliste. Se sentant coupable de l'avoir retenue à l'autre bout du globe durant toutes ces années, Mick accepte de son plein gré de déménager la petite famille sur la côte ouest des États-Unis.
Une fois arrivé sur le sol américain, le dépaysement se fait rapidement sentir. Tout est si moderne. "Crocodile" Dundee emmène son fils dans la grande ville et lui fait découvrir le monde "civilisé", loin de l'exotisme de la jungle australienne.
Cependant, Sue soupçonne que la mort de son prédécesseur n'est pas purement accidentelle. Elle découvre que celui-ci menait sa propre enquête sur des activités douteuses se déroulant aux studios de cinéma Silvergate. Le propriétaire des lieux, Arnan Rothman (Jere Burns), aurait-il quelque chose à voir avec ce meurtre déguisé ?
Secondé par son vieil ami Jacko (Paul Rodriguez) venu apparemment garder son fils, Mick décide de reprendre l'enquête et tente par tous les moyens d'infiltrer les studios de Silvergate.
Paul Hogan reprend son chapeau d'aventurier australien pour un troisième volet de la série des Crocodile Dundee, qu'il a coécrit et produit. |Paul Hogan (Mick "Crocodile" Dundee)@Linda Kozlowski (Sue Charleton)@Serge Cockburn (Mikey)@Jere Burns (Arnon Rothman)@Paul Rodriguez (Diego)@Jonathan Banks (Milos Drubnik)@Aida Turturro (Jean Ferraro)@Alec Wilson (Jacko)@Gerry Skilton (Nugget O'Cass)@Steve Rackman (Donk)@Kaitlin Hopkins (Miss Mathis)@David Ngoombujarra (Arthur)@George Hamilton (lui-même)@Mike Tyson (lui-même)@Hal Fishman (lui-même)@Marta Waller (elle-même)@David Clendenning (le touriste anglais)@Duke Bannister (le touriste américain)@Betty Bobbit (la dame américaine)@Karen Crone (Ida, la serveuse)@Angela Campbell (une touriste)@Tiriel Mora (un touriste)@Patrick Dargan (Troy)@Matt Winston (un conducteur)@Morgan O'Neill (Matt)@Clare Carey (la patineuse)@Brian Turk (un conducteur)@Vladimir McCrary (un conducteur)@David Bickford (un conducteur)@Rhonda Aldrich (une passagère)@Daryl Keith Roach (un policier)@Joe Michael Burke (un policier)@Jim Davidson (un policier)@Angelo Perez (le valet)@Gerry Del Sol (le barman)@Harvey Shain@Keli Daniels (Didi)@Lenny Citrano (un acteur)@Cara Michelle Meschter (le modèle)@Matthew Kimbrough (le producteur)@Grant Piro (le guide)@David Baldwin (le grincheux)@Gabriella Di Labio (la femme du grincheux)@Alex Kuzelicki (un agent)@Shanyn Asmar (Claire)@John Billingsley (Barry)@Jay Acovone (Eric)@Gregg Donovan (le concierge)@Chad Stephen Taylor (le jongleur sur Venice Beach)@Buddy Daniel Friedman (le pickpocket sur Venice Beach)@Mark Kowalewycz (l'homme au trench coat #1)@Ty Smith (l'homme au trench coat #2)@David Franklin (le directeur assistant)@Van Markell (le directeur)@Gregory Wheeler (le camarade)@Steven Grives (le mauvais baron)@Alan Zitner (le dresseur)@Carey Embry (la cowgirl au bar)@Mark Adair-Rios (le gang banger #1)@Rick Gonzalez (le gang banger #2)@Kenneth Ransom (Phil)@Nicholas Hammond (le conservateur)@Slim DeGrey (le ministre)@Peter Kent (Carl)@Ray Anthony (II) (le gangster #1)@Darko Tuscan (le gangster #2)@Ric Anderson (le gangster #3)@Keir Beck (le gangster #4)@Ron Vreeken (le gangster #5)@Nick McKinless (le gangster #6)@Nick Lawson (le gangster #7)@||Secrets de tournage :
Episodes 1 et 2
Le premier Crocodile Dundee a été réalisé par Peter Faiman (1986). Le second Crocodile Dundee II date de 1988, avec John Cornell pour réalisateur.
Les deux premiers films, comme le troisième, sont interprétés par Paul Hogan et Linda Kozlowski.
Paul Hogan devant la justice
Créateur du personnage de « Crocodile Dundee » en 1986, Paul Hogan a étroitement participé à l'écriture des deux premiers Crocodile Dundee. Pour le troisième volet, Paul Hogan a dû faire appel à la justice américaine pour pouvoir être crédité en tant qu'acteur, scénariste et producteur? une loi du Syndicat des scénaristes américains (« Writers guild of America ») interdit qu'une même personne cumule à la fois les rôles de scénariste et de producteur sur un même film. Déterminé, Paul Hogan obtint gain de cause?
A la recherche d'un petit Crocodile Dundee?
Deux semaines avant le début du tournage, la production n'avait toujours pas trouvé l'enfant pour tenir le rôle de Mikey, le fils de Mick et Sue. Les producteurs passèrent alors une annonce dans les principaux journaux australiens. 10.000 enfants furent alors auditionnés à Sydney, Brisbane et Melbourne?
L'heureux élu fut Serge Cockburn, jeune australien de 10 ans. « Ses parents avaient filmé une cassette de leur fils » commente Linda Kozlowski « en lui disant qu'ils allaient l'envoyer à ses grands-parents. Au lieu de cela, ils l'ont envoyée aux producteurs ! »
Simon Wincer à propos de Serge Cockburn (Mikey)
« J'aime travailler avec des enfants qui n'ont jamais tourné auparavant. Ils ne viennent pas avec un sac de tours. S'ils sont brillants, et Serge est un enfant très brillant, ils apprennent très vite les ficelles du métier et ils prennent cela comme un jeu. Serge est vraiment un gosse génial, il crève l'écran. Et il vous fait fondre littéralement lorsqu'il vous regarde avec ses grands yeux. »
Simon Wincer, réalisateur
Australien, Simon Wincer est réalisateur de télévision et de cinéma.
Parmi les films réalisés pour le grand écran : Harlequin (1980), D.A.R.Y.L. (1985), Mr Quigley, l'Australien (1990), Harley Davidson et l'homme aux santiangs, Sauvez Willy (1993), ou Le fantôme du Bengale (1996).
Simon Wincer a également exercé la fonction de producteur exécutif de L'homme de la rivière d'argent de George Miller.
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Crying Freeman|Christophe Gans|Policier|Interdit aux moins de 12 ans|3|canadien, français|1996|94|||DIV3|||DIV3|812 Kbps|512x240|MPEG-1 Audio layer 3|192 Kbps|False|44.1 KHz|2|687||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Samuel Hadida Brian Yuzna|Christophe Gans Thierry Casals Roger Avary|Thomas Burstyn||Metropolitan FilmExport||Emu O'Hara, jeune peintre, est témoin du meurtre d'un gangster japonais sur les hauteurs de San Francisco. Le meurtrier, un élégant et beau jeune homme, verse une larme de remords. Cette marque d'humanité n'échappe pas à la jeune femme qui se sent, depuis l'enfance responsable de la mort tragique de ses parents. De retour à Vancouver, Emu est devenue un témoin capital que se disputent la police et le puissant chef yakuza Shimazaki, père du gangster executé par Crying Freeman. |Mark Dacascos (Yo Hinomura / Freeman)@Julie Condra (Emu O'Hara)@Rae Dawn Chong (le détective Forge)@Tchéky Karyo (le détective Netah)@Yoko Shimada (Lady Hanada)@Masaya Kato (Ryuji Hanada)@Byron Mann (Koh)@Mako (Shido Shimazaki)@Kevan Ohtsji (Takeshi Shimazaki)@Debbie Podowski (Customs Agent)@Murray Lowry (Head Customs Agent)@||||||||||||@@
Cube Zero|Ernie Barbarash|Science fiction||2|canadien|2004|93|Anglais||XviD|||XVID|913 Kbps|640x352|MPEG-1 Audio layer 3|123 Kbps|False|48.0 KHz|2|701|||Région 2 (Ce DVD ne pourra probablement pas être visualisé en dehors de l'Europe. Plus d'informations sur|25.000|28/07/2009 00:00:00|Jon P. Goulding|Ernie Barbarash|François Dagenais ( I )||||Eric Wynn est un homme respectable qui travaille pour une compagnie dont il croit tout connaître. Son travail : surveiller des gens prisonniers d'une sorte de Cube, prison métallique étrange. Mais quand une innocente se fait capturer et est enfermée dans le Cube, Eric commence à comprendre qu'il y a quelque chose qui se passe derrière ce que raconte la compagnie pour laquelle il travaille. Décidant de ne pas se laisser faire, Eric décide d'entrer lui-même dans le Cube, pour sauver le maximum de gens. Mais l'horreur ne commence pas à l'intérieur du Cube, mais à l'extérieur. Ceux qui épient sont épiés, et la fin n'est que le commencement... |Zachary Bennett ( I ) (Eric Wynn)@Stephanie Moore ( I ) (Cassandra Rains)@Michael Riley (Jax)@Martin Roach (Haskell)@David Huband (Dodd)@Richard McMillian ( I ) (Bartok)@Terri Hawkes (Jellico)@Tony Munch (Owen)@Jasmin Geljo (Ryjkin)@Diego Klattenhoff (Quigley)@||||||||||||@@
Cube|Vincenzo Natali|Fantastique|Interdit aux moins de 12 ans|3|canadien|1999|86|Anglais||XviD|||XVID|958 Kbps|720x384|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|683||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Mehra Meh Betty Orr|André Bijelic Vincenzo Natali Graeme Manson|Derek Rogers||Metropolitan FilmExport||Un groupe de personnes, sans savoir pourquoi, se retrouve enfermé dans une prison surréaliste, un labyrinthe sans fin constitué de pièces cubiques communicantes et équipées de pièges mortels. Le policier, l'architecte, l'étudiante en mathématiques, la psychologue et l'autiste captifs ne savent qu'une seule chose : chacun possède un don particulier qui, combiné aux autres, peut les aider à s'évader. Au fur et à mesure que la peur grandit, les conflits personnels et les luttes de pouvoir s'amplifient. Il leur faudrait pourtant réussir à s'associer pour échapper à une mort certaine. |Maurice Dean Wint (Quentin)@Nicole de Boer (Leaven)@Nicky Guadagni (Dr. Helen Holloway)@David Hewlett (David Worth)@Andrew Miller (Kazan)@Wayne Robson (Rennes)@||Secrets de tournage :
Une histoire d'écrans...
David Hewlett, qui interpréte le personnage de "Worth", partage son temps entre son activité d'acteur et sa compagnie de développement de sites Internet, Darkyl Corporation. Il a conçu et réalisé le site de Cube : http://www.cubethemovie.com
Les récompenses
Cube a obtenu le Prix du Meilleur Premier Film Canadien au Festival de Toronto (1997).
Il a également remporté le Prix de la Critique et le Prix du Public au Festival de Gérardmer Fantastic'Arts (1999).
Quelques chiffres
Cube a été tourné en moins d'un mois pour un budget de 350 000 dollars.
Les conditions de tournage
Le film a été entièrement tourné dans un entrepôt d'un quartier industriel de Toronto, mis gracieusement à la disposition du Canadian Film Centre par les Studios Wallace Street. «Ce n'était qu'un entrepôt de stockage et non pas un studio insonorisé et de temps en temps, le voisinage devenait bruyant, remarque Betty Orr, productrice du film. On entendait des trains passer et, à chaque fois, tout le décor tremblait. On a alors eu l'idée d'intégrer ces vibrations à la narration, plutôt que de lutter contre. Ça a même renforcé l'impression d'être pris au piège d'une mécanique géante qui se déplace tout autour des personnages en faisant un bruit assourdissant.»
Derek Rogers, directeur de la photographie, à propos de Cube :
"(Le film) a été entièrement tourné dans une seule pièce.
On a travaillé dans un lieu étroit, mais en l'exploitant intelligemment, on a donné l'impression d'un cube immense.
C'était comme de faire un puzzle.
En réalité, les acteurs ne pouvaient entrer ou sortir que par une seule porte.
Le plus excitant est que certains spectateurs ne se douteront même pas qu'il n'y avait qu'un seul décor."
Le Cube :
Il mesure 4,30 mètres sur 4,30 mètres, suffisamment grand pour tourner et suffisamment étroit pour créer le sentiment d'emprisonnement.
Jasna Stefanovic, chef décoratrice, a créé un plateau modulable, avec un mur amovible facilitant les mouvements de caméra. Les structures murales étaient couvertes de gélatines de couleur et il était facile de les remplacer en quelques minutes pour changer de décor sans changer l'éclairage.
Vincenzo Natali, le réalisateur, à propos de Cube :
"Je crois que ma fascination pour l'enfermement est lié à ma propre claustrophobie.
Andre, Graeme (Ndlr : Andre Bijelic et Graeme Manson les scénaristes) et moi avons réalisé au bout d'un moment qu'on racontait dans le scénario notre propre expérience.
On était tous les trois des amis de longue date et on habitait ensemble dans un minuscule studio.
On avait le sentiment de n'être que des fourmis dans un monde de géants, ne comprenant rien aux forces qui nous précipitaient dans la vie.
Le film est une version cauchemardesque de ce sentiment, un rêve de s'en échapper."
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Cube² : hypercube|Andrzej Sekula|Science fiction||1|canadien|2003|90|Anglais||XviD|||XVID|914 Kbps|720x384|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|683||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Ernie Barbarash|Ernie Barbarash Lauren McLaughlin Sean Hood|Andrzej Sekula||Metropolitan FilmExport||Lorsqu'elles se réveillent, huit personnes qui ne se connaissent pas se découvrent prisonnières d'un labyrinthe de salles cubiques : l'hypercube. Dans cette étrange structure, les lois connues du temps et de l'espace ne s'appliquent plus. Aucun des captifs ne sait comment ni pourquoi il a atterri là. La survie de chacun dépend de la capacité du groupe à percer les secrets du cauchemar géométrique avant qu'il ne se désintègre, entraînant la mort de ceux qui y sont retenus...
Hallucination collective, réalité simulée, conspiration démoniaque ou dimension parallèle, ils doivent comprendre. Le général Maguire, Jerry, un ingénieur électricien, Simon, un consultant en management, Kate, une psychothérapeute, Max, un concepteur de jeux, Sasha, une étudiante aveugle, Julia, une avocate, et Mme Paley, une mathématicienne à la retraite, vont devoir décrypter ce lieu qui défie l'esprit... |Geraint Wyn Davies (Simon Grady)@Kari Matchett (Kate Filmore)@Neil Crone (Jerry Whitehall)@Matthew Ferguson (Max Reisler )@Barbara Gordon (II) (Mrs. Paley )@Lindsey Connell (Julia)@Grace Lynn Kung (Sasha)@Greer Kent (Becky Young)@Philip Atkin (Alex Trusk)@Bruce Gray (le colonel Maguire )@||Secrets de tournage :
Un prix au Fantasporto
Cube² a remporté au Festival du film fantastique Fantasporto (au Portugal) le prix de la critique. Le prix du Meilleur film lui a échappé au profit d'Intacto.
Suite de...
Cube² est la suite du succès surprise de 1999, Cube de Vincenzo Natali, thriller angoissant dans lequel un groupe de personnes tentait de survivre aux pièges mortels disséminés dans les pièces d'un mystérieux cube, où seuls la logique et l'esprit d'équipe offraient une petite chance d'en sortir vivant...
Kari Matchett et l'univers du Cube
La comédienne Kari Matchett, qui interprète la psychologue Kate dans Cube², a tourné dernièrement dans Cypher de Vincenzo Natali, réalisateur du Cube premier du nom.
Le choix du blanc
Contrairement au premier Cube qui jouait sur les côtés sombres, le réalisateur Andrzej Sekula a voulu que son Cube² soit plus froid. Il explique : "Le plus grand changement a été le style visuel du cube lui-même : le premier était sombre, industriel, j'ai donc voulu pour Cube² un décor nu, froid, d'une brillance aveuglante. La série de cubes colorés a été remplacée par une série infinie de salles d'un blanc éclatant. J'ai dépouillé le décor au maximum pour placer ce film dans un cadre intemporel".
La chambre des tortures
Le décor du cube était constitué de métal, et les angles parfaits des sas devenaient particulièrement acérés et donc dangereux pour les comédiens. Barbara Gordon, qui interprète Mme Paley, raconte : "Passer à travers les portes était pénible, douloureux. Nous grimpions ces échelles d'acier, franchissions ces portes de métal à toute allure et, à la fin de la journée, j'avais des griffures, des écorchures et tout un assortiment de coupures... Quand on nous appelait sur le plateau, nous plaisantions en disant aller dans la chambre de torture. Enfin, nous pensions plaisanter !".
La bosse des maths
Bien que le scénario de Cube² ait bénéficié de la présence de Sean Hood, qui possède une formation universitaire poussé dans le domaine des mathématiques, de nombreuses formules inscrites dans le film se révèlent incorrectes.
Une lumière aveuglante
Le cube est rendu particulièrement lumineux grâce à de nombreux tubes de lumière qui la diffusent sur toutes les surfaces du décor. Les membres de l'équipe technique devait en permanence porter des lunettes de soleil pour se protéger.
En reevanche, cette protection n'était pas permise pour les acteurs. La comédienne Kari Matchett raconte : "C'était lumineux - intensément, horriblement lumineux. Nous pensions tous pouvoir nous habituer à la luminosité en quelques minutes. Nous avons vite appris qu'il était tout simplement impossible de s'y faire... Cela nous a encore rapprochés de nos personnages, parce que quand nous étions enfermés dans le cube pour toute la durée de la scène, il n'y avait tout simplement pas d'issue, aucun endroit où regarder - impossible de s'abriter de ces rayons de lumière, si présents qu'ils en devenaient solides...".
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Cursed|Wes Craven|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|1|américain|2005|99|Anglais||XviD|||XVID|840 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|124 Kbps|False|48.0 KHz|2|693||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Kevin Williamson Marianne Maddalena|Kevin Williamson|Robert McLachlan||Dimension Films||Un loup-garou perdu dans Los Angeles infecte trois adolescents et bouleverse leur vie. Ceux-ci doivent désormais abattre le monstre pour espérer changer leur destin. |Christina Ricci (Ellie Hudson)@Joshua Jackson (Jake)@Jesse Eisenberg (Jimmy Hudson)@Judy Greer (Joanie)@Scott Baio (lui-même)@Mya (Jenny)@Milo Ventimiglia (Bo)@Kristina Anapau (Brooke)@Portia de Rossi (Psychic)@Shannon Elizabeth (Becky)@Michael Rosenbaum (Kyle)@Robert Forster (Inspecteur)@Scott Foley (Inspecteur)@James Lance Bass (lui-même)@Craig Kilborn (lui-même)@Daniel Edward Mora (Jose)@Jonny Acker (Earl)@Eric Ladin (Louie)@Joshua Jackson (Jake)@Derek Mears (Le loup-garou)@Nick Offerman (Officier)@Michelle Krusiec@||Secrets de tournage :
Le maître de l'horreur pour vous servir...
Cursed est la nouvelle réalisation de Wes Craven, considéré pour beaucoup, aux côtés de John Carpenter, comme le maître du cinéma d'horreur. Un statut justifié par la plupart des lignes de son CV, qui indiquent la mise en scène de classiques du genre tels que La Colline a des yeux, Les Griffes de la nuit (premier volet de la saga des Freddy dont il est le créateur) ou encore la série des Scream.
Les retrouvailles de Craven et Williamson
Cursed marque les retrouvailles du réalisateur Wes Craven et du scénariste Kevin Williamson, qui avaient donné naissance, en 1996, à une saga culte : la trilogie horrifique des Scream.
Une genèse à problèmes
La production de Cursed s'est avérée particulièrement difficile. Des différends artistiques autour du script firent que, en plein tournage, plus de la moitié du film fut réécrite. Un accroc d'importance qui entraîna le départ d'acteurs intitialement engagés, le tournage avec de nouveaux comédiens, et un retard de plus d'un an pour la sortie en salles.
Quelques scènes et puis s'en vont...
La réécriture du script de Cursed en plein tournage a provoqué le départ soudain de comédiens qui avaient déjà tourné une partie de leurs scènes. Parmi eux, Mandy Moore, Illeana Douglas, Robert Forster et Corey Feldman. Ils furent remplacés par d'autres comédiens. En revanche, Skeet Ulrich, qui retrouvait le cinéaste Wes Craven après Scream, quitta le projet de son propre gré, différends artistiques obligent, et son personnage ne fut pas remplacé dans la seconde version du scénario.
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Cypher|Vincenzo Natali|Espionnage||3|américain|2003|91|Anglais||DIV3|||DIV3|915 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|692||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Wendy Grean Paul Federbush|Brian King|Derek Rogers||Metropolitan FilmExport||Morgan Sullivan n'aime pas la vie qu'il mène. Il rêve de grands voiliers, d'aventures et il se retrouve comptable dans une banlieue avec une femme qui ne le regarde même plus.
Décidé à changer de vie, il intègre Digicorp, une étrange société spécialisée dans le renseignement industriel. Sa nouvelle fonction est autrement plus excitante : il doit espionner, s'infiltrer chez la concurrence, saisir des informations stratégiques et les rapporter à son patron, Finster.
Sa rencontre avec la très belle et très mystérieuse Rita va pourtant semer le trouble dans sa nouvelle existence. La jeune femme lui révèle qu'il serait la victime d'une machination qui a pour but de lui laver le cerveau. Morgan se trouve bientôt pris au coeur d'un engrenage : fiction ou réalité ? |Jeremy Northam (Morgan Sullivan )@Lucy Liu (Rita )@Nigel Bennett (Finster)@Timothy Webber (Calloway)@David Hewlett (Dunn)@||Secrets de tournage :
Lucy Liu, femme d'action
Lucy Liu a réalisé elle-même ses cascades. Elle a d'ailleurs pour cela subi un entraînement spécial qui lui a permis d'assurer les séquences les plus dangereuses, dont notamment un sauvetage spectaculaire en hélicoptère.
Le choix des acteurs
Jeremy Northam a tout de suite été le premier choix de Vincenzo Natali pour incarner Morgan Sullivan. Concernant le personnage de Rita, le metteur en scène recherchait une actrice à la fois séduisante et physique. Après quelques auditions, son choix s'est rapidement porté sur la comédienne Lucy Liu.
Vincenzo et la conceptrice du
Cypher fut l'occasion pour Vincenzo Natali de retrouver la chef décoratrice de Cube, Jasna Stefanovic, qui avait créé l'original (et unique !) décor du premier long métrage du cinéaste canadien.
Des décors anachroniques
Dès le début de l'aventure Cypher, Vincenzo Natali, le directeur de la photographie Derek Rogers et la chef décoratrice Jasna Stefanovic ont choisi d'adopter un style sans véritable repère chronologique. Pour créer l'atmosphère visuelle du film, l'équipe s'est notamment inspirée de classiques tels que 2001 : l'odyssée de l'espace ou Alphaville.
Dates et lieux de tournage
Le tournage de Cypher a pris place à Toronto et a duré 37 jours : 30 dans des lieux redécorés et seulement 7 en studio.
L'idée du scénario
Le scénario alambiqué de Cypher a émergé dans l'esprit de Brian King après que celui-ci a remarqué un détail de son quotidien : "En voyageant à travers les Etats-Unis, je me suis rendu compte que dans chaque ville, on trouve les mêmes centres de congrès, les mêmes pôles commerciaux, avec les mêmes magasins des mêmes enseignes. En prenant conscience de cela, je me suis dit que tous les gens qui vivent dans ce genre d'endroit, les commerciaux qui vont de salon en salon, doivent parfois se demander où ils sont. Ces lieux se ressemblent tellement qu'il est facile d'y perdre ses repères. J'ai imaginé l'histoire d'un homme dans cet univers déshumanisé, où l'individu n'est finalement là que pour servir une machine commerciale désincarnée".
Modèles célèbres
Vincenzo Natali raconte avoir puisé son inspiration pour la mise en scène de Cypher dans de nombreux films noirs dont notamment ceux d'Alfred Hitchcock, plus particulièrement La Mort aux trousses.
Un montage coordonné
Le montage de Cypher a bénéficié d'un traitement original : en effet, le monteur Bert Kish a assemblé les morceaux de pellicule déjà photographiés parallèlement au tournage du film, si bien que Vincenzo Natali n'a pu visualiser que seulement quelques jours après la fin des prises de vues une première mouture du film.
Natali emballé
Alors qu'on l'attendait dans de nombreux autres projets après Cube (son nom a circulé pour la réalisation d'un éventuel cinquième volet de la saga Alien), Vincenzo Natali s'est de suite impliqué dans l'aventure Cypher dès qu'il a consulté le scénario de Brian King : "J'ai rencontré Brian, nous nous sommes revus souvent jusqu'à devenir amis. Le film s'est construit entre son histoire et ma vision".
Présenté à Gerardmer
Cypher fut présenté en avant-première au 10e Festival "Fantastic'Arts" de Géradmer en 2003. Vincenzo Natali est un habitué de la station vosgienne, puisque celui était cette année-là membre du jury après avoir remporté en 1999 le Grand Prix du festival grâce à son Cube.
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The Da Vinci Code|Ron Howard|Thriller||2|américain|2006|167|Anglais||XviD|||XVID|440 Kbps|624x256|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|696||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Brian Grazer John Calley|Akiva Goldsman|Salvatore Totino||Columbia Pictures|Saga : Robert Langdon |Une nuit, le professeur Robert Langdon, éminent spécialiste de l'étude des symboles, est appelé d'urgence au Louvre : le conservateur du musée a été assassiné, mais avant de mourir, il a laissé de mystérieux symboles... Avec l'aide de la cryptologue Sophie Neveu, Langdon va mener l'enquête et découvrir des signes dissimulés dans les oeuvres de Léonard de Vinci. Tous les indices convergent vers une organisation religieuse aussi mystérieuse que puissante, prête à tout pour protéger un secret capable de détruire un dogme deux fois millénaire...De Paris à Londres, puis en Ecosse, Langdon et Sophie vont tout tenter pour déchiffrer le code et approcher les secrets qui remettent en cause les fondements mêmes de l'humanité... |Tom Hanks (Robert Langdon)@Audrey Tautou (Sophie Neveu)@Jean Reno (Bezu Fache)@Ian McKellen (Sir Leigh Teabing)@Alfred Molina (l'Evêque Aringarosa)@Paul Bettany (Silas)@Jean-Pierre Marielle (Jacques Saunière)@Etienne Chicot (Lieutenant Collet)@Jean-Yves Berteloot (Remy)@Marie-Françoise Audollent (Schwester Sandrine)@Daisy Doidge-Hill (Sophie à 8 ans)@Paul Herbert (Le père de Sophie)@Arnaud Klein (Agent de la police française)@Peter Pedrero (Le père de Silvia)@Denis Podalydès (l'aiguilleur du ciel)@Marc Reardon (Un patient de l'hôpital)@Jürgen Prochnow (André Vernet)@David Bark-Jones (Richard)@Seth Gabel@Clive Carter@Michael Norton@Harry Taylor@||Secrets de tournage :
Interdit aux mineurs aux Philippines
Les responsables de le censure aux Philippines ont décidé d'interdire le Da Vinci Code aux moins de 18 ans. Consoliza Laguardia a déclaré que les hypothèses énoncées par le film, et en particulier l'idée selon laquelle Jésus et Marie-Madeleine auraient conçu une descendance, exigeaient un regard mature.
Adapté du best-seller de Dan Brown
Da Vinci Code est l'adaptation du célèbre roman éponyme de Dan Brown. Sorti en mars 2003 aux Etats-Unis et l'année suivante en France, le thriller religieux s'est vendu à plus de 40 millions d'exemplaires à travers le monde, faisant de lui un véritable phénomène de société. Les droits d'adaptation du roman on été achétés par la Columbia dès Juin 2003.
Première à Cannes
Da Vinci Code est présenté hors-compétition en ouverture du 59e Festival de Cannes, le 17 mai 2006.
Tournage en Europe
Le tournage a débuté le 30 juin 2005 à Paris pour se terminer en Angleterre le 19 octobre de la même année. Fait exceptionnel, le gouvernement français a autorisé l'équipe du film à effectuer des prises de vue à l'intérieur même du Louvre.
Dan Brown veille au grain
L'auteur du roman Dan Brown a suivi de près l'adaptation de son livre en assurant le poste de producteur exécutif.
Ron Howard / Tom Hanks : 3ème !
Da Vinci code marque la troisième collaboration entre le réalisateur Ron Howard et l'acteur Tom Hanks. Les deux hommes avaient déjà travaillé ensemble sur Splash en 1984 et sur Apollo 13 en 1995.
Qui pour incarner Robert Langdon ?
Russell Crowe, Hugh Jackman, Ralph Fiennes et George Clooney ont tous été pressentis pour incarner le rôle du professeur Robert Langdon. Alors que Russell Crowe figurait en bonne place pour obtenir le rôle (il avait déjà collaboré plusieurs fois avec Ron Howard), c'est finalement Tom Hanks qui fut choisi au dernier moment. L'acteur dû toutefois se laisser pousser les cheveux pour se rapprocher du personnage décrit dans le livre.
Toutes pour une
Les actrices Virginie Ledoyen, Ludivine Sagnier, Julie Delpy, Sophie Marceau, Judith Godrèche, Kate Beckinsale et Linda Hardy ont toutes été pressenties pour incarner le personnage de Sophie Neveu qui est finalement revenu à Audrey Tautou. Connue internationalement pour son rôle d'Amélie Poulain, elle s'était déjà illustrée dans un film anglo-saxon en 2003 dans Dirty pretty things, loin de chez eux de Stephen Frears.
Clovis Cornillac dans le rôle de Silas ?
L'acteur français Clovis Cornillac a confié avoir été contacté pour jouer le rôle de l'albino Silas, incarné finalement par Paul Bettany.
Tournage interdit...
Les autorités religieuses britanniques ont refusé à Ron Howard le droit de tourner dans l'Abbaye de Westminster critiquant au passage les théories mises en avant par Dan Brown. Le tournage s'est finalement déroulé dans une autre église londonienne, Lincol Church. La production a toutefois été bloquée par des manifestants religieux et a dû verser près 180 000 dollars aux associations afin d'y poursuivre le tournage. En France, l'église de Saint-Sulpice a, elle aussi, refusé d'ouvrir ses portes à l'équipe de tournage.
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Les contributeursCe film a reçu 5 contributions, pour les secrets de tournage, de: amlban
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Intervention présidentielle ?
Dans un numéro de l'hebdomadaire Newsweek, le metteur en scène Ron Howard et le producteur Brian Grazer ont expliqué s'être entretenus pendant près d'une heure avec le Président Jacques Chirac en décembre 2004, période durant laquelle ils se trouvaient à Paris afin d'auditionner des actrices pour le rôle de Sophie Neveu . Au cours de cette rencontre, le Chef d'Etat français aurait offert son aide aux deux hommes pour qu'ils obtiennent les autorisations nécessaires au tournage à l'intérieur du musée du Louvre, en leur suggérant de recruter une comédienne "meilleure amie de sa fille", l'influente Claude Chirac, responsable de la communication de son père. "Il s'est demandé tout haut, à moitié sérieusement, si Jean Reno, qui interprète le détective français Bezu Fache, pourrait être un peu mieux payé, a ajouté Ron Howard, cité dans Newsweek. C'était hilarant. Heureusement, le contrat était déjà bouclé." L'entourage du Président a toutefois tenu à démentir ces propos.
Ron Howard entouré de ses fidèles
Pour tourner Da Vinci code, le réalisateur Ron Howard s'est entouré du producteur Brian Grazer qui le suit régulièrement depuis Splash. Il a aussi fait appel au scénariste Akiva Goldsman avec qui il a collaboré sur ses derniers films : Un homme d'exception et De l'ombre à la lumière.
Un procès menaçant la sortie du film
L'éditeur du Da Vinci Code a été attaqué en justice pour plagiat par Michael Baigent et Richard Leigh, auteurs de l'ouvrage Le sang sacré. Ces derniers reprochaient à l'éditeur Random House (qui avait publié leur propre livre en 1982) et au romancier d'avoir utilisé dans le Da Vinci Code les thèmes et la structure de leur travail de recherche, notamment autour de la supposée descendance de Jésus-Christ et Marie-Madeleine. Les juges ont toutefois donné raison à Dan Brown et son éditeur rendant ainsi la sortie en salles possible.
L'Opus Dei fait pression
L'Opus Dei, l'organisation catholique attaquée dans le roman, a longtemps insisté pour que son nom ne soit pas cité dans le film. Finalement, la production et l'organisation ont convenu de diffuser en début de générique un message type afin de protéger les intérêts de l'Opus Dei : "Toute similitude avec des faits réels ne serait que pure coïncidence".
Haute joaillerie
Toute une gamme de bijoux a été exclusivement créée par la maison de haute joaillerie Carnet à l'occasion de la sortie du film.
Une réplique de La Joconde
Si l'équipe de tournage a pu tourner à l'intérieur même du musée du Louvre, une réplique de La Joconde a toutefois été utilisée lors des prises de vue afin de protéger la vraie peinture de Léonard de Vinci.
Laminé !
Le Da Vinci Code est l'un des rares blockbusters américains récents a avoir reçu d'aussi mauvaises critiques d'ensemble de la part de la presse mondiale (24% d'opinions favorables seulement sur le site de référence Rottentomatoes), ce qui n'empêcha pas le film d'être un véritable succès au box office.
Premier essai
Le comédien danois Thure Lindhardt auditionna pour le rôle de Silas, finalement dévolu à Paul Bettany. Il tiendra sa revanche quelques temps plus tard en jouant dans Anges et démons, deuxième adaptation d'un roman de Dan Brown.
Jack Bauer en quète du Graal ?
Les producteur de la série 24 heures Chrono, Joel Surnow et Brian Grazer, voulurent acquérir les droits du roman afin d'en faire le scenario d'une saison de la serie 24 heures chrono. Dan Brown déclina l'offre mais Brian Grazer pu avoir les droits afin d'en faire un film.
Caméos
Dan Brown fait une apparition éclair dans le film au tout début, lors du cocktail qui suit la conférence parisienne de Robert Langdon. De même, la femme rousse qui demande à que Langdon lui dédicace son livre est incarnée par l'épouse de Ron Howard, Cheryl.
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Take the Lead|Liz Friedlander|Comédie dramatique||3|américain|2006|117|Anglais||XviD|||XVID|694 Kbps|560x304|MPEG-1 Audio layer 3|130 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|06/08/2009 00:00:00|Michelle Grace Diane Nabatoff Christopher Godsick|Dianne Houston|Alex Nepomniaschy||New Line Cinema||A priori, Pierre Dulaine n'avait aucune chance. Pourtant, son histoire est aussi incroyable que vraie.
Lorsque ce spécialiste des danses de salon de Manhattan décide d'enseigner son art aux élèves difficiles d'un lycée des quartiers populaires, personne ne donne cher de son projet. La principale n'y croit pas, et les élèves eux-mêmes restent sceptiques face à cette éducation d'un autre temps...
A force de sincérité, et usant de son incroyable talent, Dulaine parvient peu à peu à gagner l'estime de ces jeunes et leur fait faire leurs premiers pas, dans la danse et dans la vie.
Face aux préjugés, à tout ce qu'il leur faudra surmonter, Dulaine et ses drôles d'élèves vont offrir une magnifique leçon de vie et d'amitié... |Antonio Banderas (Pierre Dulaine)@Rob Brown (Rock)@Yaya DaCosta (Lahrette)@Alfre Woodard (Augustine James)@John Ortiz (M. Temple)@Laura Benanti (Tina)@Jonathan Malen (Kurd)@Jasika Nicole (Egypt)@Shawand McKenzie (Big girl)@Dante Basco (Ramos)@Elijah Kelley (Danjou)@Darren Marsman (Le chauffeur de taxi)@Kofi Payton (Le gamin dans la rue)@Sharron Matthews (Mme Rosemead)@Frank Spadone (Le superviseur)@Yvonne Myers (La mère de LaRhette)@Tony Craig (Le vigile)@Jenna Dewan (Sasha)@Marcus T. Paulk (Eddie)@Brandon D. Andrews (Monster)@Lauren Collins (Caitlin)@Katya Virshilas (Morgan)@Alison Sealy-Smith (La mère de Rock)@Phillip Jarrett (Le père de Rock)@Jo Chim (Gretchen)@Volodymyr Vynogradskyy (Travis)@Kevin Hanchard (Woodley)@Lyriq Bent (Easy)@Joseph Pierre (Trey)@Heidi von Palleske (Laura)@Ardon Bess (Smitty)@||Secrets de tournage :
Inspiré de faits réels
Dance with me raconte l'histoire de Pierre Dulaine, un danseur et chorégraphe qui donna bénévolement des cours de danse de salon à des enfants d'écoles publiques. Dulaine s'impliqua tellement qu'avec le concours de ses élèves, il créa une nouvelle danse, combinant danses de salon et hip hop des rues. C'est la productrice Diane Nabatoff qui a eu l'idée de transposer la vie du chorégraphe à l'écran, après avoir vu un documentaire sur lui sur CBS. Elle l'a cherché pendant deux mois à travers toute l'Amérique avant de pouvoir le localiser. Quelques mofidications ont été apportées pour rendre l'histoire plus accessible ; le récit a ainsi été transposé d'une école primaire à un lycée afin d'approfondir les relations, autant entre les élèves qu'avec Pierre.
Le choix d'Antonio Banderas
Antonio Banderas fut le premier choix des producteurs de Dance with me. Selon Diane Nabatoff, "Pierre est quelqu'un qui, quand il rentre dans une pièce, attire l'attention et peut vous convaincre de faire l'impossible. Pierre a de la prestance et du charisme, tout comme Antonio". Et Christopher Godsick d'ajouter : "C'est bien simple : les femmes ont envie de lui et les hommes ont envie d'être comme lui".
Banderas danseur ?
Malgré ce que pensent la plupart des gens, Antonio Banderas n'est pas, de son propre aveu, un grand danseur. Il n'a jamais pris de cours mais adore pourtant cette discipline. "Après avoir dansé avec Chita Rivera 288 fois à Broadway, j'étais résolu à jouer ce genre de rôle [au cinéma]", confie t-il.
Il a commencé à travailler sur ses chorégraphies à Los Angeles, puis a repris l'entrainement une fois arrivé sur le tournage, au Canada. Il a travaillé en collaboration avec la chorégraphe Joann Jansen, qui lui a appris à regarder sa partenaire, à placer son corps, à bouger sa tête, "pour faire croire qu'[il] est meilleur acteur que ce qu'[il] est véritablement".
L'inspiration vient de la rue
Pour ancrer son film dans la réalité, la réalisatrice a arpenté les rues de New York, regardant les enfants dans les cours de récréation, observant "ce qu'ils faisaient et comment ils réagissaient les uns par rapport aux autres, comment ils se liaient, à quoi ils ressemblaient, comment ils s'habillaient". Elle voulait ainsi s'assurer que ses acteurs semblent avoir vécu dans le Bronx et qu'ils aient l'air crédibles et authentiques à l'écran.
La danse vue par Antonio Banderas
Antonio Banderas a été très enthousiamé par le film, qui lui a permis de jouer un rôle totalement différent des personnages qu'il a l'habitude d'incarner. Il a ainsi pu porter sur grand écran des valeurs qui lui tiennent à coeur. Selon lui "l'histoire est urbaine, contemporaine et internationale. Elle utilise la danse comme un vecteur pour parler des problèmes qui arpentent les rues des Etats-Unis ou les rues de l'Europe".
Une aide précieuse
Les plus jeunes et plus inexpérimentés des acteurs de Dance with me ont été aidés par Pierre Dulaine lui-même, venu apporter son aide de chorégraphe sur le plateau pour que les jeunes danseurs reproduisent au mieux les mouvements pour le film.
Réaliser en musique
Dance with me marque les débuts au cinéma de Liz Friedlander. Mais la jeune réalisatrice n'en est pourtant pas à son coup d'essai : sa filmographie compte plus de 80 clips vidéos, pour des artistes comme Céline Dion, U2, REM, Joss Stone ou Blink 182 et dont certains ont reçu des prix (MTV Music Awards ...). C'est donc tout naturellement qu'elle s'est tournée vers un film à l'univers musical pour sa première réalisation sur grand écran.
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The Craft|Andrew Fleming|Fantastique|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|1996|96|Anglais||DX50|||DX50|875 Kbps|704x432|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|702||||25.000|09/08/2009 00:00:00|Douglas Wick|Peter Filardi Andrew Fleming|Alexander Gruszynski||Columbia TriStar Films||Trois étudiantes, Nancy, Bonnie et Rochelle tres éprises d'ésotérisme pratiquent la magie. Qualifiées par les autres étudiants de folles ou de sorcières, elles sont bientot rejointes par une quatrième, Sarah, dotée de dons exceptionnels. Le quatuor va former un cercle capable d'invoquer les plus puissants esprits et de transformer leurs rêves en réalités. Jusqu'au jour ou des rivalités apparaissent dans le petit groupe. |Fairuza Balk (Nancy Downs )@Robin Tunney (Sarah Bailey )@Rachel True (Rochelle)@Assumpta Serna (Lirio)@Neve Campbell (Bonnie )@Skeet Ulrich (Chris Hooker )@Christine Taylor (Laura Lizzie )@Cliff De Young (Mr. Bailey )@Breckin Meyer (Mitt )@Helen Shaver (Grace Downs )@Brenda Strong (Le médecin)@||Secrets de tournage :
Tournages après tournages
Robin Tunney porte une perruque dans Dangereuse alliance car elle avait du se raser la tête pour son précédent film Empire records.
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Danny the Dog|Louis Leterrier|Thriller|Interdit aux moins de 12 ans|3|français, américain|2005|98|Anglais||XviD|||XVID|850 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|696||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Pierre-Ange Le Pogam Luc Besson Steve Chasman|Luc Besson|Pierre Morel||EuropaCorp Distribution||Bart a élevé Danny comme un chien, dressé pour tuer. A 30 ans, il ne connaît de la vie que son maître, la pièce dans laquelle il est resté reclus et les combats sanguinaires pour lesquels il est entraîné. Après un règlement de compte, Danny se retrouve seul, perdu. Sam, doux, humain, artiste, et sa belle fille mélomane le recueillent. A force d'amour, de patience et de gentillesse, Sam et Victoria vont défaire le long apprentissage de la violence qu'il a connue. |Jet Li (Danny)@Bob Hoskins (Bart)@Morgan Freeman (Sam)@Kerry Condon (Victoria)@Michael Jenn (Wyeth)@Vincent Regan (Raffles)@Dylan Brown (Lefty)@Seydina Baldé@Fred Dessains (agent de sécurité de la bijouterie)@Vincent Tulli (Le combattant blessé)@||Secrets de tournage :
2e collaboration Jet Li / Luc Besson
Danny the dog marque les retrouvailles de Jet Li avec le producteur et scénariste Luc Besson. Les deux hommes avaient collaboré en 2001 sur Le Baiser mortel du dragon.
Yuen Wo Ping pour la chorégraphie des combats
Les combats ont tous été chorégraphiés par Yuen Wo Ping, qui a supervisé ceux de Matrix. En faisant référence au film, Louis Leterrier explique : "les combats sont visuels et rapides, très sombres. Après, ils se développent et deviennent plus visuels. Les acteurs qui participent aux combats de Wo Ping savent se battre, car ses plans sont longs, avec des enchaînements de dix à douze coups, très chorégraphiés, très compliqués pour les comédiens. On les voit faire des choses qu'on aurait crues impossibles."
Bob Hoskins dans la peau de Bart
Pour incarner au mieux cet effrayant magouilleur qu'est Bart, Bob Hoskins s'est inspiré de nombreuses mauvaises fréquentations de jeunesse et de quelques rencontres douteuses dans les hautes sphères de la production cinématographique. "Je me suis bien amusé, se souvient-il. Dans ce film-là, j'ai pris plus de claques, de coups et de beignes que dans tous les autres réunis !"
Kerry Condon, la révélation du film
Pour le rôle de Victoria, Louis Leterrier souhaitait une jeune femme qui incarne à la fois la fraîcheur et la gentillesse, sans aucune mièvrerie. C'est après avoir voyagé aux Etats-Unis et en Angleterre que son choix s'est porté sur l'Irlandaise Kerry Condon, alors totalement inconnue. A son sujet, le réalisateur déclare : "Kerry a tout de suite brillé par son authenticité, son naturel. Elle est vraiment le personnage de Victoria, toute en faiblesses, une beauté qui s'ignore, très timide, mais dont le charme est évident."
La scène du baiser
Dans une scène du film, Kerry Condon doit embrasser Jet Li, mais celui-ci redoutait de tourner cette séquence. Il n'avait jamais embrassé une fille au cinéma et se demandait comment réagir.
Louis Leterrier proposa alors à la comédienne de laisser planer le doute au moment du jeu, de faire comme si elle pouvait l'embrasser sur la bouche à n'importe quel instant. Celle-ci a laissé s'installer les choses, jouant avec l'embarras de Jet. Le cinéaste se souvient : "Elle l'a frôlé, regardé pour finalement faire ce que les spectateurs découvriront. A ce moment-là, ce n'était pas l'embarras de Danny que je filmais, c'était celui de Jet."
Massive Attack à la musique
La bande originale est signée Massive Attack. A propos de ce groupe, Louis Leterrier déclare : "il est assez proche de l'univers de Danny, on y trouve cette capacité à l'émotion à travers des mélodies qui n'ont pas peur d'être violentes."
Massive Attack a travaillé sur la musique pendant trois mois à partir des images du film. L'un des membres, 3D, explique : "Il existe une grande différence entre composer librement et composer pour un film. Pour un album, on se laisse porter par ses états d'âme, sa seule sensibilité. Dans le cas de Danny, il fallait se nourrir de l'histoire, des ambiances et se laisser porter. A travers les notions qu'il aborde, le film traite beaucoup des thèmes qui nous sont chers : la liberté, les liens qui peuvent surgir entre les individus, la violence qu'il faut parfois pour gagner la paix. Au final, le film était une bonne rencontre entre ce que nous aimons faire et ce qu'il est. Le résultat porte incontestablement notre marque, mais trouve son inspiration dans le film."
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Dances with Wolves|Kevin Costner|Western||4|américain|1991|222|Anglais||DivX|||DIVX|358 Kbps|512x296|WMA2|64.1 Kbps|False|44.1 KHz|2|687||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Kevin Costner Jim Wilson|Michael Blake (I)|Dean Semler||AMLF||Le jeune lieutenant John Dunbar est envoyé à un poste de reconnaissance dans les immenses plaines du Dakota pendant la guerre de Sécession. Il rencontre au cours de l'une de ses missions de reconnaissance le peuple sioux.
Le lieutenant se lie d'amitié avec la population indienne. Il arrive même à intégrer la tribu, au point d'être surnommé "Danse avec les loups", et de s'éprendre d'une des leurs, une blanche baptisée "Dressée avec le poing". |Kevin Costner (Lt Dunbar)@Mary McDonnell (Dressée avec le poing)@Graham Greene (II) (Kicking bird)@Rodney A. Grant (Wind in his hair)@Floyd Red Crow Westerman (Dix ours)@Tantoo Cardinal (Black shawl)@Robert Pastorelli (Timmons)@Charles Rocket (Lt Elgin)@Maury Chaykin (Major Fambrough)@Jimmy Herman (Stone Calf)@Michael Spears (Otter)@Tony Pierce (Spivey)@Wes Studi@||Secrets de tournage :
La fille de Costner sur le tournage
La propre fille de Kevin Costner, Annie, joue dans Danse avec les loups : elle interprète le rôle de "Dressée avec le poing" jeune. Lors de la scène du rêve, la jeune fille, qui pense être poursuivie, se met à s'enfuir et à jeter de brefs coups d'oeil par dessus ses deux épaules, alors que son père ne lui avait demandé que de regarder qu'au-delà de son épaule droite. Cette "désobéissance" est surtout due au très jeune âge de la fillette, six ans au moment du tournage, et qui confondait encore à l'époque sa gauche de sa droite.
Un film tourné chronologiquement
Le film Danse avec les loups a été tourné chronologiquement, c'est à dire que chaque scène a été tourné dans l'ordre chronologique de l'histoire originale. En effet, à cause du climat et des changements de saison associés au nombre conséquent de scènes devant se tourner à l'extérieur, Kevin Costner a du se résoudre à tourner le film dans l'ordre chronologique, ce qui est, dans l'industrie cinématographique, un procédé très rare.
Une pluie d'Oscars
Sept Oscars sont venus récompenser le film lors de la 63e cérémonie de remise des statuettes dorées. Danse avec les loups a remporté l'Oscar du Meilleur montage, de la Meilleure photographie, du Meilleur son, du Meilleur scénario adapté, de la Meilleure musique, du Meilleur réalisateur et du Meilleur film. En revanche, aucun des trois acteurs nommés cette année-là (Kevin Costner, Graham Greene et Mary McDonnell) n'est reparti avec l'Oscar de la catégorie où il était nominé.
Kevin Reynolds à la réalisation
Dans le générique, on peut voir dans la partie des remerciements le nom du réalisateur Kevin Reynolds. Celui-ci a en effet aidé Kevin Costner à la réalisation de Danse avec les loups lors de la difficile séquence de la chasse aux buffles. Mais la collaboration professionelle entre les deux hommes ne débute pas là : en 1985, Kevin Reynolds dirige l'acteur débutant dans la comédie Bringue d'enfer, puis après Danse avec les loups ils se retrouvent sur le tournage de Robin des Bois, prince des voleurs en 1991. Leur dernière collaboration remonte à Waterworld en 1995, tournage pendant lequel les tensions entre les deux hommes furent nombreuses.
Un succès international
La première réalisation de l'acteur Kevin Costner, Danse avec les loups, fut un énorme succès dans le monde entier. Aux Etats-Unis, le film a rapporté plus de 180 millions de dollars, plus de sept millions de français se sont quant à eux déplacés dans les salles pour admirer cette fresque. Au total, le film, doté d'un budget de 15 millions de dollars, en a rapporté plus de 420.
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Daredevil|Mark Steven Johnson|Fantastique|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|2003|99|||XVID|||XVID|874 Kbps|720x304|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Arnon Milchan Gary Foster Avi Arad|Mark Steven Johnson Brian Helgeland Bill Everett Frank Miller|Ericson Core||UFD||Avocat le jour, super-héros la nuit, Matt Murdoch possède une ouïe, un odorat, une force et une agilité incroyablement développés. Bien qu'il soit aveugle, son sens radar lui permet de se diriger et d'éviter le moindre obstacle. Inlassablement, cet être torturé arpente les rues de New York à la poursuite de criminels en tout genre qu'il ne peut punir au tribunal.
Daredevil aura à affronter Kingpin, alias Le Caïd, qui dirige d'une main de fer la mafia new-yorkaise, ainsi que son homme de main Bullseye, alias Le Tireur. |Ben Affleck (Matt Murdock / Daredevil)@Michael Clarke Duncan (Wilson Fisk / Kingpin / Le Caïd)@Jennifer Garner (Elektra Natchios )@Colin Farrell (Bullseye / Le Tireur)@Scott Terra (Matt Murdock à 12 ans)@Kevin Smith (un membre de la police scientifique)@Erick Avari (Ambassadeur Nikolaos Natchios)@Lennie Loftin (le détective Manolis)@Joe Pantoliano (Ben Urich)@Jon Favreau (Franklin Nelson, "Foggy")@David Keith (Jack Murdock)@Ellen Pompeo (Karen Page)@Coolio (Daunte Jackson)@||Secrets de tournage :
Daredevil : un comic-book Marvel
Le super-héros Daredevil voit le jour en 1964 avec la bande-dessinée Daredevil : The Man without fear. Imaginé par Stan Lee et dessiné par Bill Bennett, le personnage Daredevil (nom que l'on peut traduire par "l'audacieux", "le risque-tout") se présente comme le produit d'une époque pleine de tensions et d'incertitudes. Les Etats-Unis plongés dans la crainte d'un conflit nucléaire, pas étonnant de voir surgir un super-héros dont les pouvoirs surhumains lui sont conférés suite à un accident radioactif.
En 1964, Stan Lee et Bill Bennett cherchent à doter Daredevil d'une particularité spécifique. Lee, à qui l'on doit notamment les personnages de Hulk et de Spider-man, réalise alors que personne n'a jamais pensé à rendre un super-héros aveugle. Après de nombreuses recherches, il s'aperçoit que les non-voyants compensent leur handicap en sur-développant leur facultés sensorielles. Un matériau idéal pour le super-héros Daredevil qui allait alors faire le bonheur des Editions Marvel puis, aujourd'hui, du septième art.
Ben Affleck : né pour être Daredevil ?
A l'entendre s'exprimer sur le sujet, Ben Affleck semble être né pour incarner le super-héros Daredevil sur grand écran. En effet, l'acteur ne cache pas avoir été, dès l'âge de douze ans, passionné par ce personnage très particulier. "Cette saga m'a touché et ému plus profondément et plus durablement que je ne saurais le dire", explique-t-il. "J'étais fasciné par ce saint homme, vêtu de rouge, qui paraissait voué au martyre. Il m'ouvrit tout un monde d'ambiguïtés, un espace ténébreux, étrange et merveilleux, où mes sympathies devenaient incertaines, où l'amour virait toujours à la tragédie, où les méchants possédaient panache et séduction, et où l'on pouvait tout juste espérer en un semblant de rédemption." Une définition qui colle parfaitement à l'esprit du comic-book et qui prouve que Ben Affleck était bel et bien l'homme de la situation.
Mark Steven Johnson : né pour le réaliser ?
En la personne de Mark Steven Johnson, la 20th Century Fox a sans doute trouvé LE réalisateur le plus passionné du super-héros Daredevil qui soit. Amoureux de comic-books depuis son plus jeune âge, l'américain s'est formé avec ceux-ci ce qu'il qualifie joliment de "mythologie juvénile". Mais parmi toutes ces bandes-dessinées, une sortait du lot pour le cinéaste. "C'est Daredevil qui éveillait en moi les réactions les plus fortes", explique-t-il avec passion."Son handicap, si singulier, le grandissait à mes yeux. Daredevil se distingue des autres icônes du genre dans la mesure où il s'agit d'un personnage réel confronté à des problèmes réels. Il n'a pas la puissance et les atouts de Spider-man, la musculature d'Hulk, les facultés curatives de Wolverine. C'est un gars comme vous et moi. Si vous lui tirez dessus, il meurt. Son humanité et ses failles sont la source d'un grave conflit moral. Car Daredevil sait qu'il risque de devenir à son tour ce qu'il s'est juré de détruire."
Un entraînement adéquat
Le comédien Ben Affleck a dû se soumettre à un entraînement intensif pour devenir le super-héros Daredevil. Trois mois avant le tournage, l'Américain entama un programme de mise en forme, s'essayant à de multiples styles et techniques de combat, à la main, au pied et au bâton. Puis Affleck travailla longuement avec l'acteur non-voyant Tom Sullivan afin d'être le plus convaincant possible en homme atteint de cécité. Tom Sullivan explique avoir "cherché à établir une continuité entre Matt Murdock et Daredevil. Dans son rôle d'avocat, Matt extériorise davantage son handicap : il feint d'être "plus aveugle" qu'il n'est pour mieux cacher son autre identité."
Un costume original
Le costume de Daredevil a nécessité pas moins de huit mois de travail. Pour le chef costumier James Acheson, l'idée était de s'éloigner le plus possible de l'option "collants et spandex", jugée trop traditionnelle et vieillotte. Le résultat fut à la hauteur des espérances du studio : un costume de cuir rouge mêlant tradition du comic-book et goûts plus contemporains, mettant en valeur la musculature du héros. Une armure aussi bien esthétiquement avantageuse que fonctionnelle. Enfin, à l'instar des autres super-héros, Daredevil possède un accessoire fétiche, en l'occurence une matraque rouge, de la couleur de son costume.
D'un super-héros à l'autre...
En acceptant xXx, Vin Diesel, surchargé de rôles et de projets, a dû refuser un projet ambitieux sur lequel il était pressenti : Daredevil, adaptation du célèbre comic-book Marvel. C'est Ben Affleck qui hérite finalement du rôle du super-héros aveugle, avocat le jour et justicier la nuit venue.
Bullseye : de nombreux acteurs pressentis
C'est l'Irlandais Colin Farrell qui incarne le terrifiant personnage de Bullseye (surnom que l'on pourrait traduire par "dans le mille", en référence à son agilité dans le tir). Mais avant lui, la production de Daredevil approcha d'autres comédiens pour le rôle, parmi lesquels Vin Diesel (également pressenti un temps pour être Daredevil), Matt Damon, Edward Norton ou Guy Pearce.
Kingpin : un caïd imposant
Le personnage de Kingpin est incarné par l'acteur Michael Clarke Duncan. Déjà dôté d'une carrure très impressionnante (1,95 mètres pour 170 kilos !), l'américain s'est encore un peu plus affuté physiquement, prenant encore un peu plus de poids afin de ressembler au mieux au personnage du comic-book. Dans la bande-dessinée, Kingpin est un homme blanc aux mensurations colossales : 2 mètres pour 250 kilos. Au final, le réalisateur Mark Steven Johnson s'avoue particulièrement satisfait du résultat : "Je tenais à avoir le meilleur acteur possible. Michael a réellement donné vie au personnage. La couleur de peau n'étant à mes yeux qu'un facteur secondaire, je pense que les fans les plus exigeants seront d'accord pour dire qu'il EST Kingpin." Quant à l'acteur lui-même, il déclare non sans humour que sa carrure titanesque l'"autorisait à flanquer une sacrée raclée à Ben Affleck !"
Deux apparitions clins d'oeil
Deux apparitions surprises enrichissent Daredevil. D'abord celle, ô combien symbolique, de Stan Lee, le créateur de nombreux comic books célèbres, dont celui de Daredevil. Stan Lee apparaît en piéton, s'apprêtant à traverser la rue lorsque Daredevil le sauve d'un choc certain avec une automobile. L'autre apparition est celle du cinéaste Kevin Smith (Clerks, les employés modèles, Dogma), grand fan de comics devant l'éternel qui a d'ailleurs scénarisé un volume des histoires du super-héros aveugle en bande-dessinée. Dans le film, Smith apparaît en employé d'une morgue.
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De l'autre côté du lit|Pascale Pouzadoux|Comédie||2|français|2009|89|Français||XviD|||XVID|957 Kbps|624x256|MPEG-1 Audio layer 3|129 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Marc Missonier Olivier Delbosc|Pascale Pouzadoux|Pierre Gill||Mars Distribution||Ariane et Hugo décident d'échanger leur vie pour échapper à la routine, qui, après dix ans de mariage, leur donne le sentiment d'être des hamsters pédalant dans une roue. Elle se retrouve du jour au lendemain à la direction d'une entreprise de location de matériel de chantier. Et lui s'improvise vendeur de bijoux à domicile... Mais la vie est-elle plus belle lorsqu'on la contemple de l'autre côté du lit ? |Sophie Marceau (Ariane)@Dany Boon (Hugo)@Roland Giraud (Nicard)@Antoine Duléry (Maurice)@Juliette Arnaud (Charlotte)@Anny Duperey (Lise)@Ninon Mauger (Louise)@Clémot Couture (Hector)@Francois Vincentelli (Nicolas Flanvart)@Delphine Rivière (Samia)@Arsène Mosca (Goncalvo)@Armelle (La directrice d'école)@Pascale Pouzadoux (Un avocat)@Marius Colucci (Le mari jaloux)@Barbara Schulz (L'épouse infidèle)@Vincent Jasinskij (Le gamin dans la cour de récré)@Isabelle Jacquet (La cliente de Hugo)@Victoria Stagni (Une cliente de Hugo)@Nathalie Boileau (Une cliente de Hugo)@Micaelle Mee-Sook (Une maman)@||Secrets de tournage :
Adapté d'un roman d'Alix Girod de L'Ain
De l'autre côté du lit est l'adaptation du roman homonyme d'Alix Girod de l'Ain. "Le sujet et le ton m'ont tout de suite séduite, explique Pascale Pouzadoux. J'avais moi-même développé un projet sur le couple - que je réaliserai plus tard - et j'hésitais entre deux films très différents sur ce sujet. J'ai accepté de changer mes plans pour ne pas manquer l'occasion de travailler sur cette formidable histoire avec Fidélité Films."
Travail d'écriture
Au moment d'adapter le livre, Pascale Pouzadoux sortait d'une longue période d'écriture et ne souhaitait pas écrire seule. On lui a alors présenté Grégoire Vigneron - coscénariste des films de Laurent Tirard Le Petit Nicolas, Molière et Mensonges et trahisons et plus si affinités... - et ils ont travaillé ensemble pendant un an. "Grégoire est aussi rigoureux qu'exigeant et nous avons fonctionné en parfaite
complémentarité, explique la cinéaste. J'ai tendance à amener les idées, les univers, les envies, mais j'ai parfois du mal à trier. J'ai beaucoup parlé et il a beaucoup écrit !"
Style visuel
Les spectateurs pourront le remarquer, De l'autre côté du lit baigne dans un univers très coloré et optimiste. "J'aime la beauté et l'esthétisme, explique Pascale Pouzadoux. Si je dois définir mon style, je le dirais structuré, esthétique mais pas esthétisant. Je veux sortir de la réalité avec beaucoup de couleur pour donner de la vie et de la gaieté. J'ai fait venir du Québec un chef opérateur formidable, Pierre Gill, pour avoir cet univers stylisé, pas tout à fait réel. Je rends hommage à sa sensibilité qui lui a permis d'aller à fond dans mon sens. Avec Philippe Chiffre, le chef décorateur, ils formaient un duo de choc - la lumière et les décors - qui s'est jeté dans l'aventure avec enthousiasme."
Le choix de Sophie Marceau et Dany Boon
Avant même l'écriture du film, Pascale Pouzadoux et les producteurs ont immédiatement pensé à Sophie Marceau. "Je ne la connaissais pas, mais nous avons le même âge et je l'ai vue s'épanouir de film en film depuis que je suis jeune pour devenir l'immense actrice qu'elle est, confie la réalisatrice. Elle était idéale pour jouer Ariane ; elle est séduisante, pétillante tout en ayant un côté très maman. C'est une nature vivante et drôle. J'avais envie de faire une comédie avec elle. Quinze jours après avoir eu le scénario, elle nous a donné son accord et j'ai mis longtemps à croire que j'allais vraiment avoir la chance de tourner avec elle !"
La question suivante était de savoir à qui la marier. L'équipe de production a alors envisagé plusieurs comédiens, mais Dany Boon s'est imposé comme le choix le plus intéressant. "Beaucoup d'hommes auraient pu jouer le mari de Sophie mais la plupart du temps, leur couple était évident au risque d'en devenir prévisible. Dany était un choix parfaitement adapté, sans être convenu. Le rôle est assez loin de ses personnages précédents mais sans être éloigné de sa vraie nature. Il a ce côté élégant, viril, gracieux que demandait le rôle. Nous lui avons envoyé le scénario et il a accepté en trois jours. Il adorait l'idée d'être le mari de Sophie Marceau."
Pascale Pouzadoux vue par Sophie Marceau
Sophie Marceau dévoile la façon de travailler de la réalisatrice Pascale Pouzadoux : "Pascale est très précise, très juste dans sa direction d'acteurs. Elle a vraiment le sens de la comédie. Elle voit toujours les choses avec la volonté de ne pas les prendre au sérieux. Tout en restant attentive, elle ne veut pas dramatiser. Mais elle reste gardienne d'une référence. Cela aide beaucoup pour un tel film. Quand l'acteur perd un peu le ton de la comédie, elle le voit tout de suite et sait le ramener très précisément où elle veut. C'est rassurant. Elle sait toujours revenir vers le côté comique des choses. C'est une façon de les ensoleiller, une volonté farouche de les embellir qui me surprend. C'est une bonne clé dans la vie qui vous permet de parvenir à un certain détachement en arrivant tout de même à transformer les choses et à les considérer avec humour. Mais il faut en être capable !"
Retrouvailles avec Antoine Duléry
Pascale Pouzadoux retrouve ici Antoine Duléry qu'elle avait déjà eu l'occasion de diriger dans son précédent long métrage Toutes les filles sont folles. C'est l'écrivain Alix Girod de l'Ain qui lui a suggéré ce comédien pour le rôle de l'huissier. "Il est présent dans tous mes films, comme un porte-bonheur, confie la réalisatrice. Lui aussi joue son personnage en accentuant un côté très masculin. Il dégage une vraie densité et beaucoup d'énergie. Il compose en étant toujours vrai."
Patrick Chesnais pressenti dans le rôle de Nicard
C'est Patrick Chesnais qui devait à l'origine incarner Nicard, mais le rôle fut finalement attribué à Roland Giraud.
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Dead Man|Jim Jarmusch|Western||3|allemand, américain|1996|115|Anglais||XVID|||XVID|705 Kbps|704x400|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Demetra J. MacBride|Jim Jarmusch|Robby Müller||||Dans la deuxième moitié du XIXe siècle, Bill Blake, jeune comptable en route pour le confins de l'Ouest américain, entreprend un voyage initiatique où il devient malgré lui un hors-la-loi traqué. Blessé, il est recueilli par Nobody, un Amérindien lettré rejeté des siens, qui l'identifie d'emblée à son homonyme défunt, le poète anglais William Blake, et décide de sauver son âme. |Johnny Depp (William Blake)@Gary Farmer (Nobody)@Lance Henriksen (Cole Wilson )@John Hurt (Scholfield)@Michael Wincott (Conway Twill )@Mili Avital (Thel Russell )@Iggy Pop (Sally Jenko)@Gabriel Byrne (Charlie Dickinson)@Robert Mitchum (John Dickinson )@Crispin Glover (le pompier du train)@Alfred Molina (Le missionnaire)@Steve Buscemi (le barman)@Billy Bob Thornton (Big George)@Jared Harris@||Secrets de tournage :
Des hommages très discrets
On peut noter l'hommage que rend Jim Jarmusch, dans son néo-western ultra stylisé, Dead Man, à une des grandes figures du genre, en prénommant ses deux shériffs nigauds respectivement Lee et Marvin (Lee Marvin).
Steven Soderbergh, quant à lui, s'est souvenu de ses classiques, et à appeler les frères Malloy de Ocean's eleven (Scott Caan, Casey Affleck), Virgil et Turk, en référence au personnage de Virgil "Turk" Sollozzo dans le Le Parrain.
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DOA : Dead or Alive|Corey Yuen Kwai|Action||2|allemand, britannique, américain|2007|82|Anglais||XviD|||XVID|1 019 Kbps|608x256|MPEG-1 Audio layer 3|144 Kbps|False|44.1 KHz|2|691||||23.976|06/08/2009 00:00:00|Jeremy Bolt Mark A. Altman Paul W.S. Anderson Bernd Eichinger Robert Kulzer|J.F. Lawton Adam Gross Seth Gross|Chi Ying Chan||Metro Goldwyn Mayer (MGM)||Quatre femmes, au début rivales dans une compétition d'arts martiaux, finissent par s'allier pour lutter contre un homme qui veut contrôler le monde : Tina est superstar dans le milieu de la lutte féminine, Christie est voleuse et tueuse à gages, Princesse Kasumi est une aristocrate asiatique éduquée par des maîtres en arts martiaux, et Helena est une athlète en sports extrêmes dont le passé tragique est lié au lieu dans lequel se déroule le tournoi Dead or Alive... |Jaime Pressly (Tina Armstrong)@Holly Valance (Christie Allen)@Sarah Carter (Helena Douglas)@Eric Roberts (Donovan)@Natassia Malthe (Ayane)@Matthew Marsden (Max)@Steve Howey (Weatherby)@Kevin Nash (Bass Armstrong)@Brian J. White (Zack)@Kane Kosugi (Ryu Hayabusa)@Sing Ngai (Hayate)@Devon Aoki (Kasumi)@Derek Boyer (Bayman)@Silvio Simac (Leon)@Robin Shou (le chef des pirates)@Fang Liu (Gen Fu)@Ying Wang (Lei Fang)@Hung Lin (Hitomi)@Song Lin (Brad Wong)@Anna Bolt (l'infirmière Jones)@||Secrets de tournage :
Adapté d'un jeu vidéo très populaire
Dead or Alive est l'adaptation du jeu vidéo de combat en 3-D du même nom. Sorti en 1996, il met en scène des jeunes filles aux tenues légères s'illustrant dans des combats à mains nues. Véritable succès populaire (six millions de copies écoulées dans le monde), le jeu s'est décliné sur plusieurs consoles et dans plusieurs suites, faisant de cette saga vidéoludique l'une des plus lucratives du genre.
De la console au grand écran
Le producteur Paul Anderson s'exprime sur l'adaptation cinématographique du jeu vidéo Dead or Alive : "?Nous sommes fans du jeu vidéo. J'y ai beaucoup joué. Il a un côté multiculturel avec des gens différents qui se rassemblent. Nous avons fait la même chose sur le film : nous avons engagé les meilleures équipes du monde entier !" Le réalisateur Corey Yuen ajoute, sur le contenu du film Dead or Alive : "?Le jeu lui-même est controlé par un être humain, mais ce film est très ?alive?. L'action est la base du film, mais l'amitié entre les filles et les raisons qui font qu'elles passent de rivales à amies sont également très importantes."
Paul Anderson : un habitué du genre
Un habitué des adaptations de jeux vidéo apporte son expérience dans le domaine à l'aventure Dead or Alive. Paul Anderson, producteur du long-métrage, s'est en effet distingué en portant sur grand écran les sagas Mortal Kombat et Resident evil.
Un casting de poids lourds
Les quatre héroïnes combattantes de Dead or Alive doivent affronter des adversaires redoutables, interprétés par de véritables pointures de sports de combat. Parmi eux, le boxeur de rue Zack, interprété par l'ancien joueur de football américain Brian White, Bayman, joué par Derek Boyer, détenteur d'un record du monde dans le Guiness Book pour avoir tiré un camion de 52 tonnes et connu comme "l'homme le plus fort d'Australie", ainsi que Léon, incarné par Silvio Simac, champion du monde de Tae Kwon Do, et Bass, interprété par le catcheur professionnel Kevin Nash.
Un réalisateur parfait pour le rôle
C'est le cinéaste hong-kongais Corey Yuen qui est derrière la caméra pour Dead or Alive. Réalisateur de plus d'une trentaine de films à Hong Kong, il s'illustre aux Etats-Unis en étant le chorégraphe en arts martiaux de L'Arme fatale 4 et Roméo doit mourir. Réalisateur de seconde équipe sur X-Men, il réalise son premier film en langue anglaise avec Le Transporteur.
Tournage chinois
Dead or Alive a été entièrement tourné en Chine dans les studios Zhejiang Hengdian World et dans le parc Yuzi Paradise à Guilin. Le réalisateur Corey Yuen a décidé de tourner le film en Chine afin de garder une authenticité asiatique. Il explique : "Dans le jeu, beaucoup de personnages sont d'origine asiatique et les costumes sont d'inspiration orientale ou japonaise ; de plus, je connais la Chine et je peux mieux contrôler la qualité et le budget ici."
L'ombre d'un héros...
C'est l'acteur Milo Ventimiglia, l'une des vedettes de la série Heroes et fiston de Sylvester Stallone dans Rocky Balboa, qui devait à l'origine incarner le personnage de Weatherby. Mais il se désista en raison de différents artistiques. Le rôle fut finalement dévolu à Steve Howey.
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Death Tunnel|Philip Adrian Booth|Epouvante-horreur||1|américain|2005|89|Anglais||XviD|||XVID|956 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|02/08/2009 00:00:00||Philip Adrian Booth|||||Cinq étudiantes sont kidnappées et enfermées dans un vieil hôpital construit en 1910 et abandonné depuis longtemps, le Waverly Hill Sanatorium. L'hôpital est considéré comme hanté depuis que 63 000 personnes y soient décédées de manières très étrange... |Melanie Lewis (Devon)@Yolanda Pecoraro (Elizabeth)@Kristin Novak (Ashley)@Annie Burgstede (Tori)@Steffany Huckaby (Heather)@Jason Lasater (Richie)@Gary Wolf (Gio)@Gill Gayle (un professeur)@||||||||||||@@
Décalage horaire|Danièle Thompson|Comédie||2|britannique, français|2002|87|Français||DIV3|||DIV3|831 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|193 Kbps|False|48.0 KHz|2|651||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Alain Sarde|Danièle Thompson Christopher Thompson|Patrick Blossier||Miramax Films||La salle d'attente d'un aéroport est le théâtre d'une rencontre entre Rose, une esthéticienne qui vient de quitter un compagnon violent, et Félix, un homme d'affaires célibataire qui n'a de temps à consacrer qu'à son travail. La première, voyante, bavarde, extravertie, envisage de partir à Mexico en "classe éco", tandis que lui, discret, taciturne, refermé sur lui-même, voyage en première dans un avion qui va de New York à Munich. Tous les deux restent bloqués au sol pendant quelques heures à cause d'une grève... |Jean Reno (Félix)@Juliette Binoche (Rose)@Sergi López (Sergio)@Scali Delpeyrat (le docteur)@Karine Belly (l'hôtesse de l'air)@Raoul Billerey (le père de Félix)@Nadège Beausson-Diagne (une passagère à Roissy)@Alice Taglioni (l'hôtesse au sol)@Jerome Keen (Le gardien)@Sébastien Lalanne (Le barman)@||Secrets de tournage :
Un registre inhabituel
Décalage horaire est l'une des très rares comédies de Juliette Binoche après Les Nanas (1985, Annick Lanoë) et Un divan à New York (1995, Chantal Akerman).
De mère en fils
C'est la deuxième collaboration scénaristique entre Danièle Thompson et son fils Christopher Thompson avec qui elle avait déjà travaillé pour La Bûche (1999).
A Roissy ou presque
Danièle Thompson avait obtenu toutes les autorisations nécessaires pour tourner dans l'aéroport de Roissy quand les évènements du 11 septembre survinrent. Elle dut alors envisager de se reporter sur l'aéroport international de Lourdes quand elle réussit finalement à négocier dix jours de tournage à Roissy. Le reste fut filmé dans l'aéroport de Lille.
Du style de Jean Reno
Danièle Thompson a gardé le look cheveux longs et mal rasé de Jean Reno qu'elle avait aimé dans Les Rivières Pourpres (2000, Mathieu Kassovitz).
Histoire d'un scénario
Danièle Thompson avait écrit le scénario il y a une dizaine d'années pour un projet américain. Son travail était sans cesse remanié et les scénaristes n'avaient même plus gardé l'unité de lieu qu'est l'aéroport. C'est en tournant son premier film La Bûche (1999) qu'elle pensa à reprendre son histoire et à la réaliser elle-même.
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Deep Impact|Mimi Leder|Science fiction||2|américain|1998|116|Anglais||DX50|||DX50|791 Kbps|624x272|MPEG-2 Audio layer 3|40.0 Kbps|False|22.05 KHz|2|695||||25.000|13/08/2009 00:00:00|David (I) Brown|Bruce Joel Rubin Michael Tolkin|Dietrich Lohmann||United International Pictures (UIP)||Leo Biderman, quatorze ans, s'inscrit au club d'astronomie de son lycée. Il prend une photo du ciel étoilé à travers son téléscope et découvre une comète qui se dirige vers la Terre. Prévenu, le president des Etats-Unis fait appel à un ancien astronaute, Spurgeon Tanner, qui est chargé de diriger une mission internationale a bord du vaisseau expérimental "Messiah". Ils doivent se poser sur la comète et tenter, par des charges nucléaires, de la dévier de sa trajectoire. Sur Terre, le cataclysme imminent suscite les réactions les plus extrêmes. |Robert Duvall (Spurgeon "Fish" Tanner)@Vanessa Redgrave (Robin Lerner)@Maximilian Schell (Jason Lerner)@Morgan Freeman (le Président Tom Beck)@Elijah Wood (Leo Biederman)@Téa Leoni (Jenny Lerner)@Leelee Sobieski (Sarah Hotchner Beiderman )@Jon Favreau (Dr. Gus Partenza)@Laura Innes (Beth Stanley)@Blair Underwood (Mark Simon)@Dougray Scott (Eric Vennekor)@James Cromwell (Alan Rittenhouse)@Ron Eldard (Oren Monash)@Mary McCormack (Andrea Baker)@Richard Schiff (Don Biederman)@Bruce Weitz (Stuart Caley)@Mark Moses (Tim Urbanska)@Charles Martin Smith (Marcus Wolf)@Leslie Dilley (le serveur)@Concetta Tomei (Patricia Ruiz)@Mike O'Malley (Mike Perry)@Kurtwood Smith (Otis Hefter)@Jason Dohring (Jason Thurman)@Gary Werntz (Chuck Hotchner)@Suzy Nakamura (L'assistante de Jenny)@||||||||||||@@
Demolition Man|Marco Brambilla|Science fiction||3|américain|1994|110|Anglais||XVID|||XVID|787 Kbps|720x310|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|32.0 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Howard G. Kazanjian Michael Levy Joel Silver|Peter M. Lenkov Robert Reneau Daniel Waters (I)|Alex Thomson||Warner Bros. France||En voulant arrêter en 1996 le psychopathe Simon Phoenix, le sergent John Spartan se rend coupable d'homicide par imprudence et est condamné à l'hibernation, tout comme Phoenix. Ce dernier s'évade en 2032 et se révèle trop fort pour une civilisation où le crime a disparu. Seule chance de l'arrêter : un flic des annees 1990... John Spartan. |Sylvester Stallone (John Spartan)@Wesley Snipes (Simon Phoenix)@Sandra Bullock (Lenina Huxley)@Nigel Hawthorne (Dr Raymond Cocteau)@Denis Leary (Edgar Friendly)@Rob Schneider (Erwin)@Jack Black (un rebelle)@Benjamin Bratt (Alfredo Garcia)@Steve Kahan (Captain Healy)@Pat Skipper (le pilote d'hélicoptère)@||||||||||||@@
Snakes on a Plane|David R. Ellis|Thriller||2|américain|2006|105|Anglais||XviD|||XVID|723 Kbps|640x272|AC3|192 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Craig Berenson Don Granger Gary Levinsohn|John Hefferman Sebastian Gutierrez|Adam Greenberg||New Line Cinema||La mission de l'agent spécial Neville Flynn est simple : il doit escorter un témoin essentiel sur un avion de lignede Hawaï à Los Angeles. L'homme va permettre de faire tomber l'un des piliers de la mafia, après qui Flynn court depuis longtemps. Toutes les précautions ont été prises, mais ce n'est pas assez...Décidé à ce que le témoin n'arrive jamais au tribunal, le criminel met au point un lâcher de serpents venimeux à bord de l'avion. Ils sont partout, silencieux et mortels. Entre un équipage et des passagers paniqués et un témoin qu'il faut protéger à tout prix, Flynn va devoir se battre pour que l'avion ait une chance d'arriver... |Samuel L. Jackson (Neville Flynn)@Julianna Margulies (Claire Miller)@Nathan Phillips (Sean Jones)@Rachel Blanchard (Mercedes)@Flex Alexander (Three G's)@Kenan Thompson (Troy)@Keith Dallas (Big Leroy)@Lin Shaye (Grace)@Bruce James (Ken)@Sunny Mabrey (Tiffany)@Elsa Pataky (Maria)@Byron Lawson (Eddie Kim)@Crystal Lowe (la fan blonde)@Candice Macalino (la fille hawaïenne)@Darryl Quon (l'homme en costume)@Drew Wicks (le passager)@Bobby Cannavale (Hank Harris)@Terry Chen (Chen Leong)@Agam Darshi (la fille I-Pod)@Casey Dubois (Curtis)@Daniel Hogarth (Tommy)@Emily Holmes (Ashley)@Mark Houghton (John Saunders)@David Koechner (Rick)@Taylor Kitsch (Kyle)@Todd Louiso (Price)@Gerard Plunkett (Paul)@Tygh Runyan (Tyler)@||Secrets de tournage :
Samuel L. Jackson face aux serpents
Samuel L. Jackson, la vedette de Des serpents dans l'avion confie : "Lorsque j'ai découvert le scénario, j'ai tout de suite imaginé ce que cette histoire pouvait donner. C'est une idée tellement bonne que l'on peut se demander pourquoi personne ne l'a eue avant. Il y a des enjeux à beaucoup de niveaux, mais chaque élément de l'intrigue est au service du suspense et de l'action. Sur le tournage, nous avions beau nous dire que la plupart des serpents étaient inoffensifs, il n'était pas difficile d'avoir l'air inquiet ! Je n'ai jamais vu une telle expression dans le regard de mes partenaires de jeu, c'est à vous glacer le sang !"
Rencontre avec des serpents
La production de Des serpents dans l'avion a fait appel à deux spécialistes de reptiles, Jules Sylvester et Brad McDonald. Le premier raconte que le producteur et le réalisateur du film avaient des ambitions pour le moins dangereuses : "Lorsque j'ai rencontré Craig Berenson et David R. Ellis pour la première fois, ils voulaient tourner avec des vipères, des taïpans, tout un assortiment des espèces les plus mortelles de la planète. Je leur ai dit que rassembler sur un plateau des serpents venimeux, plein de comédiens et une équipe caméra au grand complet ne serait peut-être pas une très bonne idée... Ce sont des animaux redoutables, qui n'obéissent qu'à leur instinct ou à leur estomac ! On aurait pu les utiliser à la rigueur pour les prises de vues avec la deuxième équipe, mais autrement, le danger était vraiment trop grand." Les deux hommes ont alors suggéré d'utiliser des serpents moins dangereux pour les besoins du long-métrage.
La technique de l'illusion
Le spécialiste de reptiles Jules Sylvester explique que pour minimiser le danger sur le tournage de Des serpents dans l'avion, il a quelque peu triché : "La seule manière de tourner un film comme celui-ci est d'utiliser des "doublures", des serpents qui ressemblent de très près aux espèces que l'on souhaite. Par exemple, le lampropeltis est relativement inoffensif, mais à moins d'être un herpétologiste chevronné, il ressemble trait pour trait au serpent corail brésilien qui lui, est mortel. Les couleurs sont identiques, la taille aussi. Souvent, la seule défense d'un serpent est d'adopter le motif, les couleurs ou le comportement d'une espèce beaucoup plus dangereuse. Un autre bon exemple est le serpent des poulaillers. Lui n'a pas de sonnette à l'extrémité de la queue, mais il secoue la queue dans des couches de feuilles mortes... Le bruit ressemble à celui que produit le crotale, alors forcément, vous vous tenez à distance... Tout est une question d'illusion !"
Des serpents par centaines...
La production de Des serpents dans l'avion a du commander près de 450 serpents pour les besoins du long-métrage.
Quand les fans contribuent au scénario...
Le scénario de Des serpents dans l'avion a été modifié en cours de tournage par... des fans ! En mars 2006, la pression de fans sur Internet fut telle que le studio New Line Cinema débloqua cinq journées pour retourner des scènes afin qu'elles soient plus violentes (de fait, la classification du film passa de PG-13 à R).
La volte-face de Ronnie Yu
Des serpents dans l'avion devait à l'origine être réalisé par le cinéaste chinois Ronny Yu (La Fiancee de Chucky, Freddy contre Jason) mais celui-ci se désengagea du projet pour "différents artistiques". Il fut remplacé par David R. Ellis, à qui l'on doit notamment Destination finale 2 et Cellular.
Titre alternatif
Avant d'opter pour le titre original Snakes on the plane, la production avait donné au film le titre de travail Pacific Air Flight 121.
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Desperation|Mick Garris|Epouvante-horreur||1|américain|2006|125|Anglais||XviD|||XVID|639 Kbps|640x352|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Kelly Von Horn||Christian Sebaldt||||Une famille voyage sur les routes du Nevada. Lorsque l'inquiétant shérif de la petite ville de Desperation les arrête, Peter et sa femme Mary ne savent pas que leur vie vient d'être bouleversée à tout jamais... |Ron Perlman (shérif Collie Entragian)@Henry Thomas (Peter Jackson)@Annabeth Gish (Mary Jackson)@Tom Skerritt (John Edward Marinville)@Steven Weber (Steve Ames)@Charles Durning (Tom Billingsley)@Matt Frewer (Ralph Carver)@Shane Haboucha (David Carver)@Kelly Overton (Cynthia Smith)@Sylva Kelegian (Ellie Carver)@Sammi Hanratty (Pie Carver)@Ewan Chung (Shih)@Alain Uy (Cha'an)@Trieu Tran@Tom Parker@Darren Victoria (Brian Ross)@Glenn R. Wilder (le conducteur ivre)@||Secrets de tournage :
Quant Mick rencontre Stephen...
Désolation est la cinquième collaboration entre Mick Garris et Stephen King après La Nuit déchirée (1992), Le Fléau ) (1994), Shining (1997) et Riding the Bullet (2004). Il devance ainsi largement Frank Darabont, qui n'en compte que trois à son actif (Les Evadés, La Ligne verte et The Mist).
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Final Destination|James Wong|Fantastique||3|américain|2000|93|Anglais||DivX|||DIVX|912 Kbps|720x416|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|686||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Glen Morgan Craig Perry Warren Zide|Jeffrey Reddick Glen Morgan James Wong|Robert McLachlan||Metropolitan FilmExport|Saga : Destination finale |Pour le petit groupe d'étudiants, le voyage à Paris s'annonçait bien. Mais peu avant le décollage de leur avion, Alex a soudain une vision fulgurante : l'appareil va exploser en vol. Parce qu'il va tenter d'alerter les passagers, il sera expulsé de l'avion avec cinq de ses camarades et son professeur. Lorsque, quelques minutes plus tard, l'appareil explose, ils seront les seuls survivants... Pour Alex, ce don de voyance qui lui a sauvé la vie est aussi une malédiction. Comment expliquer ses visions ? D'ou lui vient ce fascinant pouvoir ? |Daniel Roebuck (Agent Weine)@Devon Sawa (Alexander Chance Browning)@Ali Larter (Clear Rivers)@Kerr Smith (Carter Horton)@Kristen Cloke (Valérie Lewton)@Roger Guenveur Smith (Agent Schreck)@Seann William Scott (William Hitchcock)@Tony Todd (William Bludworth)@Chad Donella (Tod Waggner )@Amanda Detmer (Terry Chaney)@Brendan Fehr (George Waggner)@Forbes Angus (Larry Murnau )@Lisa Marie Caruk (Christa Marsh)@Christine Chatelain (Blake Dreyer)@Barbara Tyson (Barbara Browning)@||Secrets de tournage :
Devon Sawa (Alex)
Révélé par Casper (Brad Silberling, 1995), Devon est notamment apparu dans The boy's club (John Fawcett, 1997) et La main qui tue (Rodman Flender, 1999).
En 2000, il est à l'affiche du Coupable (Anthony Waller).
John Willett, le chef décorateur, résume ses intentions
« La difficulté consiste à créer une atmosphère étrange, angoissante, qui vous mette mal à l'aise sans que vous sachiez précisément pourquoi. Plutôt que d'opter pour des procédés évidents, comme des angles de prises de vues bizarres, une lumière étrange, des couleurs sombres, nous avons préféré des choses plus subtiles. En utilisant des perspectives forcées, nous avons créé des angles qui ne font pas les 90 degrés auxquels on s'attend. Les objets ne semblent pas à leur juste place? Tout cela donne une impression étrange mais sans que l'on puisse vraiment l'analyser. »
James Wong, réalisateur
James Wong s'est fait un nom dans le monde de la télévision en collaborant à des séries-cultes comme «21 Jump Street», «Millennium» ou «X-Files», dont il réalisa d'ailleurs un épisode.
Il signe avec Destination finale son premier long métrage.
Un hommage aux maîtres
James Wong, le metteur en scène, a parsemé son film de clins d'?il en forme d'hommage aux grands maîtres du cinéma d'angoisse. Ainsi, Alex, le héros du film, répond au nom de Browning, en référence à Tod Browning, réalisateur de Freaks et du Dracula. De même, Billy s'appelle Hitchcock.
James Wong enthousiaste
«Le sujet était réellement original, le scénario promettait bon nombre de scènes d'action très impressionnantes. De plus, j'avais envie de pousser à un degré bien supérieur l'atmosphère que nous avons développée sur "X-Files". Je souhaitais un mélange d'angoisse et de mystère, d'irrationnel et de spectaculaire. »
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Final Destination 2|David R. Ellis|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|2003|90|Anglais||XviD|||XVID|940 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|696||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Warren Zide Craig Perry|Eric Bress J. Mackye Gruber|Gary Capo||New Line Cinema|Saga : Destination finale |Tandis qu'elle s'apprête à partir en week-end avec des amis, Kimberly Corman a la soudaine vision d'un effroyable accident de la route. Elle y voit la mort de plusieurs personnes, dont la sienne. Tout semble si vrai que la jeune fille décide de bloquer l'accès à l'autoroute.Elle et ceux qu'elle a stoppés assistent, impuissants, à la spectaculaire catastrophe qui se déroule sous leurs yeux. Ils ont tous échappés de justesse à la mort.Kimberly sait pourtant qu'elle n'évitera pas si facilement son destin. Elle décide d'aller demander l'aide de la seule personne qui a connu la même situation, Clear Rivers, l'unique survivante du vol 180. Avec le groupe de rescapés, les deux jeunes filles se lancent dans une course contre la montre. |Ali Larter (Clear Rivers)@Andrea Joy Cook (Kimberly Corman)@Michael Landes (l'officier Thomas Burke)@Tony Todd (William Bludworth)@Terrence "T.C." Carson (Eugene Dix)@Jonathan Cherry (Rory)@Keegan Connor Tracy (Kat)@James Nichol Kirk (Tim Carpenter)@Noel Fisher (Brian Gibbons)@Sarah Carter (Shaina)@||Secrets de tournage :
Ali Larter, unique rescapée
A nouveau incarné par Ali Larter, le personnage de Clear est l'unique rescapé de Destination finale premier du nom. Une situation logique au vu du scénario du prédécesseur de Destination finale 2. "J'avais adoré le scénario de Destination finale", raconte Ali Larter, "quand ils m'ont dit qu'ils en préparaient un second et qu'ils souhaitaient me voir revenir, je dois avouer que j'ai hésité. J'avais peur que le scénario soit moins bon. Je ne voulais pas faire un film de plus. Mais j'ai dévoré le scénario d'une traite. L'histoire parvient à prolonger l'univers du premier volet tout en inventant d'autres choses. Mon rôle était passionnant, je n'avais qu'une envie, le jouer". A noter également un caméo de l'inquiétant Tony Todd (Candyman), lui aussi déjà présent trois ans auparavant.
Les femmes dirigent
Une fois n'est pas coutume, ce sont les deux personnages féminins qui mènent l'enquête de Destination finale 2. "Pour une fois, les filles ne sont pas derrière à suivre le mouvement en hurlant de trouille", explique le réalisateur David R. Ellis. "Elles ont de vraies personnalités et tentent de faire face chacune à sa façon. Résultat : elles sont devant mais elles vont hurler quand même !"
Situations réalistes
Egalement réalisateur de seconde équipe spécialisé dans les scènes d'action, David R. Ellis a mis un accent particulier sur les scènes plus explosives de Destination finale 2. "Le mot d'ordre était clair", se souvient Freddie Hice, coordinateur des cascades du film, "il fallait que ce soit réaliste et presque clinique. Il ne s'agissait pas de montrer une vague carcasse de voiture dans une improbable gerbe d'essence ! Nous avons dû exécuter des tonneaux avec des rebonds, des impacts frontaux à grande vitesse, des balles de dérapages incluant également des deux roues".
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Final Destination 3|James Wong|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|2006|92|Anglais||XviD|||XVID|889 Kbps|624x256|MPEG-1 Audio layer 3|151 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Glen Morgan Craig Perry James Wong Warren Zide|James Wong Glen Morgan|Robert McLachlan||New Line Cinema|Saga : Destination finale |Pour fêter la fin de l'année scolaire, Wendy et ses amis ont décidé de se retrouver dans un parc d'attractions. La soirée s'annonce comme la plus fun de l'année. Pourtant, au moment d'embarquer dans un immense roller coaster, Wendy a un terrible pressentiment. Alors que tous les autres se moquent d'elle, elle quitte l'attraction avec Kevin.Quelques instants plus tard, horrifiée, la jeune fille voit les wagons lancés à toute allure sortir des rails à une hauteur vertigineuse, tuant ses amis. Elle et quelques autres viennent de manquer le rendez-vous que leur avait fixé la mort. Ils vont découvrir que ce n'est pas forcément une chance.Peu de temps après, le destin rattrape brutalement l'un des survivants. Wendy comprend que, sur les photos qu'elle a prises lors de cette tragique soirée, certains indices semblent désigner les prochaines victimes et ce qui les attend... |Mary Elizabeth Winstead (Wendy Christensen)@Ryan Merriman (Kevin Fischer)@Texas Battle (Lewis Romero)@Jamie Isaac Conde (Leon Equinox)@Amanda Crew (Julie Christensen)@Agam Darshi (Laura)@Sam Easton (Frankie)@Patrick Gallagher (Colquitt)@Harris Allan@Jessica Amlee@Gina Holden (Carrie Dreyer)@Alexz Johnson (Erin)@Alexander Kalugin (Yuri Yershov)@Kris Lemche (Ian McKinley)@Crystal Lowe (Ashlynn)@Maggie Ma (Ling)@Dustin Milligan (Marcus)@Cory Monteith (Kahlil)@Jesse Moss@Evan Pinsoneault@Chelan Simmons (Ashley)@Tony Todd (Bludworth)@Tom Welling (Le diable du manège (voix off) VO)@||Secrets de tournage :
La Faucheuse triple la mise
Destination finale 3 est le troisième volet d'une saga entamée en 2000 avec Destination finale puis poursuivie deux ans plus tard avec Destination finale 2.
La mort va plus loin...
Pour le réalisateur James Wong, Destination finale 3 apporte une dimension supplémentaire par rapport aux précédents opus : "Wendy, la jeune fille qui a eu des visions et a échappé à l'accident de grand huit, découvre que des indices sont présents sur les photos qu'elle a prises le soir de la catastrophe. Tout à coup, nous sommes face à une dimension supplémentaire. Est-ce la mort qui joue un peu plus avec ses proies, ou la vie qui cherche à aider les futures victimes ? Si l'ange de la mort existe, pourquoi ne pas imaginer un ange de la vie ? Chacun pourra se faire son opinion et tenter, comme le héros, de comprendre ce qui se trame avant que le destin ne frappe..."
La fascination pour la mort
Selon le producteur Craig Perry, si la saga Destination finale 3 remporte un tel succès, c'est que l'homme est fasciné depuis toujours par la mort : "L'homme éprouve une véritable fascination pour la mort. Il est le seul animal à savoir qu'elle viendra fatalement et passe sa vie à se demander quand et comment. A cette peur, à cette certitude, s'associe la notion de destin, de hasard et de volonté supérieure. Le résultat de cette étrange équation correspond toujours à notre dernière heure. Mais personne ne sait la résoudre et nous en sommes réduits à supposer. Les films de la série Destination finale posent tous ce problème de manière aiguë et spectaculaire. Des gens manquent leur rendez-vous avec la mort, et celle-ci ne l'accepte pas. Elle se comporte comme un serial-killer qui ne supporterait pas que ses victimes lui échappent. C'est le tueur ultime que l'on ne voit jamais..."
James Wong : reçu 2 sur 3 !
James Wong, le réalisateur de Destination finale 3, connaît parfaitement les rouages de la série. C'est en effet lui qui a signé le premier volet, laissant entre-temps à David R. Ellis le soin de s'atteler à la réalisation de Destination finale 2.
Un producteur dans la salle
Afin de s'assurer de l'efficacité des films de la saga, le producteur Craig Perry s'est immiscé dans les salles de cinéma lors de la sortie de Destination finale 2, histoire de scruter les réactions des spectateurs. Il raconte : "J'étais très heureux de voir que cela fonctionnait bien. Un soir, en sortant d'une séance, je me suis retrouvé avec une petite bande de jeunes qui attendaient l'ascenseur pour descendre au parking. Dans ce film, il y avait une séquence très impressionnante avec un ascenseur qui finissait par coûter la vie à l'un des personnages. Ces adolescents ont vu les portes de leur ascenseur s'ouvrir, se refermer à moirtié pour s'ouvrir enfin. Ils ont préféré prendre l'escalier ! J'étais fou de joie. C'est ce que j'apprécie le plus dans les Destination finale. Tout se passe dans un univers quotidien, où de simples objets, des concours de circonstances tout à fait normaux conduisent à des situations terrifiantes ! En jouant sur nos peurs naturelles, celle de la mort y compris, ces films nous offrent le spectacle de personnnages face à leur destin.".
Le choix du grand huit
Après l'accident d'avion dans Destination finale et l'accident automobile de Destination finale 2, Destination finale 3 met en scène un accident de grand huit dans sa scène initiale qui, comme pour les précédents opus, a fait l'objet d'un soin tout particulier. James Wong explique ce choix : "Dans ces engins hype-rsophistiqués, les jeunes perdent le contrôle et sont confrontés à des forces qui les dépassent. Tout le monde a peur, tout le monde hurle, on flirte avec le risque. Le fait est que chaque personne qui monte dans ce genre d'engin sait qu'elle court un risque et cela fait partie du plaisir. En terme de cinéma, c'était un décor incroyable au potentiel visuel très riche. C'est une scène qui va surement faire réflechir ceux qui montaient dedans sans trembler !"
Une attraction renversante
La scène d'ouverture de Destination finale a été réalisée dans un parc d'attractions de Vancouver, au Canada. Le grand huit du film était calqué sur celui du parc d'attraction, mais a aussi été inspiré par le Viper de Magic Mountain, en Californie. Les scènes du parc d'attractions ont été tournées durant trois nuits. Les jeunes acteurs ont fait jusqu'à... trente tours de grand huit par nuit pour obtenir de bonnes images !
Casting de dernière minute
Pour la majeure partie des films, le casting s'effectue bien en amont du début du tournage. Destination finale 3 aurait fait exception à la règle. Selon une rumeur persistante, toutes les jeunes stars du film auraient passé des essais... entre trois et cinq jours avant les premiers coups de manivelle !
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Wrong Turn|Rob Schmidt|Thriller|Interdit aux moins de 16 ans|3|allemand, américain|2003|80|Anglais||DX50|||DX50|1 057 Kbps|512x408|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|690||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Robert Kulzer Stan Winston|Alan McElroy Adam Cooper Bill Collage|John S. Bartley||CTV International||Un accident paralyse totalement la circulation. Chris ne veut pas manquer son rendez-vous. Il quitte l'autoroute et s'engage dans un chemin de terre pour contourner l'embouteillage. Alors qu'il s'enfonce dans la forêt, il heurte une voiture bloquée au milieu de la route. Ses occupants partaient camper pour le week-end lorsque les pneus ont étrangement éclaté.
Le groupe va chercher de l'aide et trouve une cabane. En pénétrant à l'intérieur, le soulagement laisse vite place au cauchemar. Tétanisés par l'horreur de ce qu'ils découvrent, ils n'ont pas le temps de fuir que les occupants arrivent... |Eliza Dushku (Jessie Burlingame)@Desmond Harrington (Chris Finn)@Emmanuelle Chriqui (Carly)@Jeremy Sisto (Scott)@Lindy Booth (Francine)@Kevin Zegers (Evan)@Julian Richings (Trois doigts)@Garry Robbins (Dents de scie)@Ted Clark (N'a qu'un oeil)@||Secrets de tournage :
Un acteur qui aime le genre
L'acteur Desmond Harrington se spécialise de plus en plus dans le genre fantastique. Avant de tourner dans Détour mortel, nous avons également pu le voir récemment dans The Hole, de Nick Hamm et Le Vaisseau de l'angoisse de Steve Beck, deux autres séries B horrifiques qui jouaient avec nos nerfs.
Stan Winston
Avant d'exercer son talent sur Détour mortel, Stan Winston a révolutionné l'art du maquillage et des effets spéciaux au cinéma. On retient entre autres de son travail les cyborgs futuristes de Terminator 2 : le jugement dernier, les dinosaures plus vrais que nature de Jurassic Park ou encore la formidable invention des aliens dans le film du même nom (Alien, le huitième passager). Winston est par ailleurs producteur du film.
"Cabin Fever"
Plusieurs parcs municipaux de Toronto et des sites sauvages situés aux alentours de la ville ont été utilisés pour figurer la Virginie Occidentale. Mais la majeure partie des prises de vues s'est déroulée en studio - une cabane et un entrelacs de branches d'arbres - conçus par la chef décoratrice Alicia Keyman. Cette dernière et son équipe ont littéralement édifié une forêt à partir d'un rouleau de tuyaux métalliques d'un centimètre, recouverts d'écorce artificielle, pour donner de la tenue aux branches, faciliter l'éclairage, les angles de caméra, le déplacement des acteurs et des cascadeurs. Le plateau où s'érigent les arbres a été construit dans des studios situés à l'est de Toronto.
La genèse
Le projet de mettre en scène Détour mortel remonte au jour où le scénariste Alan McElroy soumet le script à Brian Gilbert, le réalisateur de The Gathering. Un an plus tard, Erik Feig, le producteur de Summitt Entertainment entend parler de ce fameux script. Stan Winston, Brian Gilbert, Robert Kulzer et Constantin Films co-financent le film, le casting et les techniciens sont réunis, et le tournage démarre le 6 août 2002 à Toronto.
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Wrong Turn 2 : Dead End|Joe Lynch|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 16 ans|2|américain, canadien|2007|92|Anglais||DX50|||DX50|917 Kbps|544x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Jeff Freilich|Alan B. McElroy Turi Meyer Al Septien|Robin Loewen||||Six concurrents d'un jeu de téléréalité, "The Ultimate Survivalist", sont envoyés pendant six jours dans une simulation de monde post-apocalyptique dans l'ouest de la Virginie. Rapidement, les participants vont se rendre compte qu'ils devront lutter pour sauver leur vie, menacée par des cannibales. |Erica Leerhsen (Nina Papas)@Henry Rollins (Dale Murphy)@Texas Battle (Jake Washington)@Daniella Alonso (Amber)@Aleksa Palladino (Mara)@Steve Braun (Jonesy)@Matthew Currie Holmes (M)@Crystal Lowe (Elena)@Wayne Robson (vieil homme)@Ken Kirzinger (Pa )@Rorelee Tio (soeur)@Jeff Scrutton (Trois doigts)@Ashlea Earl (Ma)@Clint Carleton (frère)@||||||||||||@@
Deux frères|Jean-Jacques Annaud|Aventure||3|français, britannique|2004|104|Anglais||XviD|||XVID|787 Kbps|576x320|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|693||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Jake Eberts Jean-Jacques Annaud|Alain Godard Jean-Jacques Annaud|Jean-Marie Dreujou||Universal Pictures||Deux frères naissent loin de tout, parmi les ruines d'un temple oublié, englouti au coeur de la jungle d'Angkor. Ils grandissent sous le regard affectueux et vigilant de la Tigresse, leur mère et de leur père, le grand Tigre.Hélas, en ce début des années 1920, la fièvre de l'Art Asiatique s'empare des grandes capitales occidentales. Des pilleurs de temples font irruption. Les deux frères sont capturés, séparés et vendus.L'un atterrit dans un cirque, l'autre chez un Prince. Les deux félins se retrouvent opposés, face à face, dans une arène. Au cours du combat, ils se reconnaissent et parviennent à s'enfuir... |Guy Pearce (Aidan McRory)@Jean-Claude Dreyfus (Monsieur Normandin)@Philippine Leroy-Beaulieu (Mathilde Normandin)@Somjin Chimwong (Napoléon)@Freddie Highmore (Raoul Normandin)@Moussa Maaskri (Saladin)@Vincent Scarito (Zerbino)@Maï Anh Le (Nai Rea)@Stéphanie Lagarde (Paulette)@Jaran Phetjareon (le chef du village)@||Secrets de tournage :
Retour à l'univers animalier
Avec Deux frères, le cinéaste Jean-Jacques Annaud retrouve le long-métrage animalier, seize ans après L'Ours. Homme de défis et d'aventures toujours très lié à la nature, il aura entre-temps adapté Marguerite Duras (L' Amant), lancé le procédé Imax 3D en France (Les Ailes du courage), emmené Brad Pitt passer Sept ans au Tibet et plongé Jude Law dans l'enfer de Stalingrad.
La genèse du projet
Lorsqu'il travaillait sur son premier projet animalier, à la fin des années 80, Jean-Jacques Annaud se rendait régulièrement dans des zoos pour se décider sur l'animal à qui il allait donner la vedette. Sur place, il était toujours fasciné par le regard des tigres, mais il choisit de se concentrer sur l'ours car il pensait que celui-ci, souvent debout, serait plus facilement identifiable. Ainsi naquit L'Ours. Mais le tigre ne quitta pourtant jamais son esprit. C'est à la fin des années 90, en vacances sur une lointaine île yéménite, que Jean-Jacques Annaud est revenu vers les tigres et a commencé l'écriture de Deux frères. Assis devant sa tente, face à l'Océan Indien...
Une préparation au bout du monde...
Avant de se lancer dans l'écriture du scénario, Jean-Jacques Annaud s'est rendu deux semaines dans la réserve de Ranthambhore, au Rajasthan, pour observer une trentaine de fauves en compagnie des meilleurs spécialistes du tigre asiatique. Il a ensuite écrit le scénario puis a effectué des repérages durant un an, se rendant en Asie environ tous les deux mois. Après ces longs mois de préparation, le tournage pouvait débuter...
... et un tournage sur des sites exceptionnels
Entamé le 21 octobre 2002, le tournage de Deux frères a duré six mois. En Thaïlande, mais également au Cambodge, sur le site des ruines d'Angkor. Il fallu d'ailleurs à Jean-Jacques Annaud beaucoup de persévérance pour convaincre les autorités cambodgiennes de tourner avec des fauves sur ce site très visité, classé au patrimoine de l'humanité.
Retrouvailles
Pour Deux frères, Jean-Jacques Annaud retrouve le célèbre dresseur Thierry Le Portier, quinze ans après L'Ours. Celui-ci, qui a notamment dirigé les lions de Gladiator, a entraîné les félins du film six mois durant au Puy-du-Fou. Au sujet de Thierry Le Portier, Jean-Jacques Annaud est très élogieux : "Je n'aurais jamais pu faire ce film sans lui, sans sa finesse de jugement, son enthousiasme, sa fiabilité. Il a une incroyable compréhension, presque divinatoire, de ce que vont faire ses bêtes, ou de ce que lui doit faire pour obtenir d'elles ce qu'il souhaite."
Histoire de tigres...
Pour Deux frères, le dresseur Thierry Le Portier a sélectionné trente félins, dont dix-huit bébés, qui devaient "savoir leur texte" et avoir leur propre personnalité. Sur le tournage, tout était conçu pour leur bien-être : un " hôtel pour tigres " fut ainsi créé, où les bêtes étaient rassemblées entre elles. Sécurité oblige, chaque félin avait son propre moyen de transport pour se diriger d'un lieu de tournage à un autre. Une aventure extraordinaire...
Le courage de Guy Pearce
L'acteur Guy Pearce a fermement insisté pour tourner une scène en présence d'un tigre adulte, scènes d'ordinaire tournées en deux fois sans la présence commune des intervenants.
Effets spéciaux minimum
Jean-Jacques Annaud a eu peu recours aux effets spéciaux pour Deux frères. Un poisson rouge a été "partiellement refait en image de synthèse parceque l'indiscipliné ne se présentait jamais au bon moment dans le bocal" et l'envol des chauves-souris qui s'échappent du temple a été entièrement recréé en digital car l'espèce locale est protégée. Mais hormis ces cas précis et quelques autres petits détails, le long-métrage a entièrement été tourné de manière naturelle.
Christian Clavier pressenti
Christian Clavier était initialement pressenti pour incarner le personnage de l'ambassadeur, finalement dévolu à Jean-Claude Dreyfus.
Un producteur de renom
Deux frères est produit par Jake Eberts, producteur de classiques tels que Danse avec les loups et Miss Daisy et son chauffeur.
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Diamant 13|Gilles Béat|Policier||2|français, belge, luxembourgeois|2009|97|Français||XVID|||XVID|863 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Marin Karmitz Nathanaël Karmitz Charles Gillibert Claude Warengo Patrick Quinet|Hugues Pagan Olivier Marchal Gilles Béhat|Bernard Malaisy||MK2 Diffusion||Mat est flic à la 13ème division nuit de la police criminelle. Personnage insubmersible et solitaire, attiré par les abysses, hanté par ses fantômes, Mat a depuis longtemps perdu l'illusion que la vie est peut-être ailleurs... Jusqu'au jour où son destin bascule sur un coup de fil de son vieil ami Franck, qui lui propose un plan. LE plan. Un détournement d'argent sale et facile, un coup forcément parfait. Tellement parfait que Mat se retrouve bientôt obligé de démonter, entouré d'un carré de dames qui vont de pique à coeur, les rouages d'un système corrompu qui coûtera la vie de son seul et unique ami. |Gérard Depardieu (Mat)@Olivier Marchal (Franck Novak)@Asia Argento (Calhoune)@Anne Coesens (Léon)@Aïssa Maïga (Farida)@Catherine Marchal (Z'yeux d'or )@Aurélien Recoing (Ladje)@Frédéric Frenay (L'ami)@Erick Deshors (Spoke)@Jean-François Wolff (Django)@Patrick Hastert (Le directeur de cabinet )@Gérald Marti (Moll)@Sacha Kremer (Un brigadier)@Frédéric Lubansu (Cynthia)@Marc Zinga (Ali Baba Mike)@Corentin Lobet (Jésus)@Laetitia Reva (La femme otage)@Jean-Michel Vovk (Moser)@Benoît Verhaert (Le diplomate )@Yves Degen (Sénateur Taroux )@Valérie Bodson (La femme de Franck )@Max Thommes (Franck Junior )@Marie Favasuli (Voix française d'Asia Argento)@||Secrets de tournage :
Adapté de "L'Etage des morts" de Hugues Pagan
Diamant 13 est l'adaptation du roman policier L'Etage des Morts écrit à la fin des années 80 par Hugues Pagan. "Il s'agissait d'une histoire réelle, fondée sur des faits réels, raconte l'écrivain. Aussi bizarre que cela puisse paraître. Mais l'arrière-plan de corruption ou de pouvoir, qui peuvent sembler caricaturaux à de jeunes esprits impétueux, est tout à fait réaliste. Au départ, il y a eu un problème qui est arrivé à un de mes collègues et rares amis, et quand on gratte la surface des choses, on se rend compte que derrière, ce n'est pas forcément toujours racontable. Enfin ça l'est, la preuve, mais sous une forme romancée, parce que je ne suis ni documentariste ni journaliste."
Genèse du projet
Diamant 13 est un projet qui date quasiment de la sortie du roman. "J'ai toujours été fasciné par cet univers noir, mais d'abord et avant tout, par le cinéma de genre, confie Gilles Béat. Ce n'est pas pour rien que j'ai fait des films comme Rue Barbare ou Urgence. Et si, pendant dix-sept ans, j'ai fait de la télévision, c'est parce que je n'ai pas réussi à monter des films comme ceux qu'Olivier Marchal a fini par réussir à faire. Je suis très lié à Olivier, donc je vais dire ceci sans amertume aucune, mais je pense qu'il a pu réussir à faire Gangsters, parce que d'une certaine manière, son passé de flic légitimait ce film vis-à-vis du système de production tel qu'il était devenu. Hugues et moi, nous avons commencé par une première adaptation assez proche du bouquin. Bien évidemment, il avait surtout fallu travailler la définition du personnage de Mat, sachant qu'on ne pouvait pas "rentrer dans sa tête" comme dans le livre, sauf à user d'une voix off, ce qu'on ne voulait pas. Quand on a commencé à démarcher avec cette première mouture, on a fait face à un vrai problème : il nous a été impossible de trouver l'acteur. Les comédiens que je voyais me disaient : "Ouh la la, mais c'est vraiment noir ! Et ce personnage, là, qui est capable de mettre une balle dans la tête d'un type... oui d'accord, le type a une fille en otage, mais enfin quand même ! Non, non, désolé, je peux pas faire ça..."
Depardieu, l'acteur providentiel
Pour relancer la machine, il a fallu attendre une rencontre, celle de Gilles Béat avec Olivier Marchal, à l'époque où tous deux travaillaient de concert sur un épisode de la série Commissaire Moulin. Le réalisateur avait alors pensé confier le rôle de Mat à l'ancien policier. "Il avait tout : la gestuelle, le charisme, le parler, confie le cinéaste. On ne passe pas un certain nombre d'années dans la police sans que ça ne devienne une seconde nature. En plus il était fan des romans de Hugues Pagan, il adorait "L'Etage des Morts". Olivier s'enthousiasme pour le scénario : "Gilles, c'est magnifique, mais tu ne monteras jamais un film pareil avec moi dans le rôle principal... T'es fou ! Comment veux-tu y arriver avec moi alors que tu n'as pas pu avec Delon ?" Evidemment il n'avait pas tort, même si entre-temps Gangsters était sorti, qui lui avait amené une première vraie notoriété. Le scénario me revenait à nouveau dans la gueule, de la part des producteurs, avec toujours les mêmes reproches : "C'est trop noir... trop long." J'ai alors rencontré un producteur belge, Patrick Quinet, d'Artémis Productions. Rue Barbare était un des premiers films qu'il ait vu quand il était à l'INSAS, alors pensez... Il adore le projet, convainc le producteur luxembourgeois Claude Waringo, avec qui il avait déjà travaillé, d'entrer en coproduction, mais le budget n'était toujours pas bouclé, il nous fallait impérativement la France. Entre-temps, Olivier avait fait 36 Quai des Orfèvres, avec le succès que l'on sait, ce qui aurait pu me sauver, mais le paradoxe c'est que tout à coup, malgré le retour en grâce du polar, on ne pouvait plus en faire sans Olivier Marchal ou Frédéric Schoendoerffer en personne aux manettes !"
Olivier Marchal a ensuite fait ce cadeau à Gilles Béat de retravailler le scénario, de le resserrer et de le peaufiner, malheureusement il n'était toujours pas prêt à jouer le rôle de Mat. Il suggéra alors le nom de Depardieu au cinéaste. "Le lendemain matin, se souvient le réalisateur, le téléphone sonne : "Salut Béat, c'est Gérard, je t'appelle de Tel-Aviv. C'est quoi c't'affaire ?" Dans mon dos, Olivier l'avait appelé, lui avait envoyé le scénario... et l'avait convaincu de jouer Mat. Et voilà. A ce moment-là il avait un petit creux dans son emploi du temps, juste avant le Chabrol, ça rentrait tout juste. Le miracle. L'arrivée de Depardieu dans le rôle principal a tout débloqué."
Tournage dans le Bénélux
Le tournage s'est déroulé du 18 février au 11 avril 2008 à Luxembourg, dans le club de jazz Le Navy, et dans les villes belges de Charleroi, Bruxelles, Bruges et Anvers.
L'invention d'une ville
Gilles Béat a retourné à son avantage les aléas d'une coproduction européenne en conférant aux lieux du film une identité très floue, l'impression permanente que l'on est en territoire inconnu. "A partir du moment où je ne tournais pas en France, où on n'était pas à Marseille ou à Dunkerque pour des raisons de production, j'ai commencé à réfléchir et je me suis dit que j'allais inventer une ville, raconte le réalisateur. Une ville qui soit obligatoirement une ville du Nord, une grande ville d'Europe. Quand on sait ce qui s'est passé ou se passe encore à Marseille, à Bordeaux, à Charleroi ou à Naples, on peut tout à fait penser que l'histoire de Diamant 13 relève davantage de la tragédie antique que du polar "dénonciateur" (...) Montrer des cars ou des voitures de la police française, tellement identifiables, j'avais peur que ça fasse retomber le spectateur dans une ambiance visuelle de série télé. Du coup, j'ai inventé des bagnoles de police : celles que l'on voit dans le film n'existent pas Et les plaques d'immatriculation faisaient partie du jeu de la théâtralisation de l'histoire, avec l'envie de la sortir d'un contexte "réaloréaliste" premier degré."
"Diamant 13" avec Alain Delon ?
A l'origine, Alain Delon, que Gilles Béat connaissait bien pour avoir fait Dancing Machine avec lui, était très intéressé par le projet. "Sauf qu'on tombait pile au moment où il y avait ce désintérêt de la production française pour le film de genre, et particulièrement pour le film noir", confie le cinéaste.
Acteurs pressentis
Parmi les nombreux comédiens pressentis au casting de Diamant 13 figuraient Jean-Pierre Cassel, Alexandra Lamy ainsi que trois acteurs proches d'Olivier Marchal : Francis Renaud, Daniel Duval et Valeria Golino.
Gilles Béat sans "h"
Certains auront remarqué que le patronyme de Gilles Béat, au générique de Diamant 13, a perdu son "h" central. Le réalisateur s'en explique : ""Béat" est en fait l'orthographe réelle de mon nom, mais quand j'ai commencé ma carrière de comédien, au début des années 70, j'ai été mis devant le fait accompli au moment où j'ai vu défiler le générique de mon premier film. J'ai protesté devant cette liberté qu'avaient pris les producteurs, mais je n'ai pas eu gain de cause. Et comme ça tombait à un moment où, comme tout jeune "idiot" de 18 ans, j'étais en rébellion contre tout, contre la société, contre la famille, je me suis dit que ce n'était peut-être pas plus mal, finalement... Et puis un jour, il y a trois ans, mes filles m'ont fait la réflexion : "Pourquoi tu ne portes pas le même nom que nous ?" Et effectivement, pourquoi, aujourd'hui ? Alors je suis revenu à ma graphie originelle."
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Didier|Alain Chabat|Comédie||3|français|1997|97|||XVID|||XVID|799 Kbps|696x410|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|655||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Claude Berri|Alain Chabat|Laurent Dailland||||Ce n'est vraiment pas le moment pour Jean-Pierre, agent sportif, de garder le labrador d'une amie pendant une semaine alors qu'il est empêtré dans de sombres affaires. Et pourtant, cette corvée va l'entraîner dans la plus hallucinante des aventures, où son pire cauchemar risque bien d'être la chance de sa vie. |Alain Chabat (Didier)@Jean-Pierre Bacri (Jean-Pierre Costa)@Caroline Cellier (Annabelle)@Chantal Lauby (Solange)@Dominique Farrugia (le supporter)@Josiane Balasko (Madame Mozart)@Zinedine Soualem (Camel Mimouni)@Dieudonné (le commentateur sportif)@Isabelle Gélinas (Maria)@Lionel Abelanski (Charlie)@Max Chabat@Nathalie Levy-Lang@Olivier Doran (le masseur)@Marie-Charlotte Dutot (Camille)@||||||||||||@@
Die Hard|John McTiernan|Action||4|américain|1988|124|Anglais||DX50|||DX50|709 Kbps|576x256|MPEG-1 Audio layer 3|64.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Lawrence Gordon Joel Silver|Jeb Stuart Steven E. De Souza|Jan de Bont|||Saga : Die Hard |John McClane, policier new-yorkais, est venu rejoindre sa femme Holly, dont il est separé depuis plusieurs mois, pour les fêtes de Noël dans le secret espoir d'une réconciliation. Celle-ci est cadre dans une multinationale japonaise, la Nakatomi Corporation. Son patron, M. Takagi, donne une soirée en l'honneur de ses employés, à laquelle assiste McClane. Tandis qu'il s'isole pour téléphoner, un commando investit l'immeuble et coupe toutes les communications avec l'extérieur... |Bruce Willis (John McClane)@Alan Rickman (Hans Gruber)@Alexander Godunov (Karl)@Bonnie Bedelia (Holly Gennero McClane)@Reginald Veljohnson (Le Sergent Al Powell)@Paul Gleason (Dwayne T. Robinson)@De'voreaux White (Argyle)@William Atherton (Richard Thornburg)@Hart Bochner (Ellis)@James Shigeta (Takagi)@Robert Davi (Big Johnson)@Grand L. Bush (Little Johnson)@Clarence Gilyard Jr. (Theo)@Bruno Doyon (Franco)@Andreas Wisniewski (Tony)@Anthony Peck (Le jeune policier)@Betty Carvalho (Paulina)@Tracy Reiner (L'assistante de Thornburg)@Robert Lesser (Un homme d'affaire)@Rick Ducommun@Tony Peck@Al Leong (Uli)@Matt Landers (Capitaine Mitchell)@Lorenzo Caccialanza (Marco)@Wilhelm von Homburg (James)@Joey Plewa (Alexander)@Dennis Hayden (Eddie)@||Secrets de tournage :
Ourson voyageur
Au début du film, lorsque John McClane (Bruce Willis) descend de l'avion, il tient dans ses bras un ours en peluche affublé d'un noeud papillon rouge. C'est également un ours en peluche portant un noeud papillon rouge qu'on a pu voir aux côtés d'un Jack Ryan (Alec Baldwin) assoupi dans un avion à la fin d'"A la Poursuite d'Octobre Rouge", film que le réalisateur John McTiernan réalisera deux ans plus tard.
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Les contributeursCe film a reçu 1 contribution, pour les secrets de tournage, de: Doofyth
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Die Hard 2|Renny Harlin|Action||3|américain|1990|118|Anglais||DX50|||DX50|742 Kbps|512x296|WMA2|64.1 Kbps|False|44.1 KHz|2|689||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Charles Gordon Lawrence Gordon Joel Silver|Steven E. De Souza Doug Richardson|Oliver Wood||Fox-Hachette|Saga : Die Hard |L'inspecteur de police McClane attend que l'avion de son épouse atterrisse dans un aéroport international proche de Washington. D'étranges allers et venues attirent son attention. Il suit des hommes qui communiquent discrètement entre eux jusqu'au sous-sol de l'aéroport. Là, des inconnus tirent sur lui et des mercenaires prennent le contrôle de l'aeroport, coupant toute communication avec l'extérieur. Les passagers des avions prêts a l'atterrissage, dont la femme de McClane, n'ont plus que cinquante-huit minutes pour vivre ! |Bruce Willis (John McClane)@William Atherton (William Thornburg)@Franco Nero (Le général Ramon Esperanza)@Bonnie Bedelia (Holly M. Gennero McClane)@Reginald Veljohnson (Le sergent Al Powell)@William Sadler (Le colonel Stuart)@John Amos (Le major Grant)@Dennis Franz (Le capitaine Carmine Lorenzo)@Art Evans (Leslie Barnes)@Fred Dalton Thompson (Trudeau)@Tom Bower (Marvin)@Sheila McCarthy (Samantha Coleman)@Don Harvey (Garber)@Robert Costanzo (Vito Lorenzo)@John Costelloe (Cochrane)@John Leguizamo (Burke)@Robert Patrick (O'Reilly)@Vondie Curtis-Hall (Miller)@Ben Lemon (Un sergent)@Amanda Hillwood (Une hôtesse du Windsor Plane)@Jeanne Bates (La vieille dame dans le Northeast Plane)@Colm Meaney (Le pilote du Windsor Plane)@James Lancaster (La navigateur du Windsor Plane)@George Fisher (Un peintre (scène coupée))@David Willis Sr. (Murray)@David Willis Sr. (Murray)@Danny Weselis (Un membre de l'unité d'élite bleue)@David Katz (L'ingénieur du son de WWTW)@Michael Cunningham (Sheldon)@Paul Abascal (Le directeur de WZDC)@Carol Barbee (Présentatrice de WZDC)@Karla Tamburrelli (Une hôtesse du Northeast Plane)@Michael Luggio (Un officier de police (non crédité))@Bill Smillie (Custodian)@Charles Lanyer (Rollins)@Gilbert G. Garcia (Le co-pilote de l'avion militaire)@Dean Wein (Un peintre (scène coupée))@Don McGovern (Un membre de l'unité d'élite bleue)@Felicity Waterman (Une hôtesse du Windsor Plane)@Dale Jacoby (Un membre de l'unité d'élite bleue)@Michael Francis Clarke (Le pilote du Northeast Plane)@Ken Smolka (Un ingénieur)@Julian Reyes (Le jeune caporal)@Dominique Jennings (Présentateur de WZDC)@Nick Angotti (Un ingénieur)@Mark Boone Junior (Shockley)@Patrick O'Neal (II) (Caporal Telford)@Jason Ross-Azikiwe (Un sergent)@Joseph Michael Roth (Un agent de sécurité de l'aéroport)@Earl Houston Bullock (Un ingénieur)@Tom Everett (Le navigateur du Northeast Plane)@Peter Nelson (Thompson)@Tom Verica (Kahn)@Richard Domeier (Le cameraman de WWTW)@Stafford Morgan (Un ingénieur)@Sherry Bilsing (Une hôtesse du Northeast Plane)@Vincent Mazzella Jr (Un membre de l'unité d'élite bleue)@Tom Finnegan (Un ingénieur)@Vance Valencia (Un pilote de l'avion militaire)@Thomas Tofel (Un ingénieur)@Robert Martin Steinberg (Victor de WZDC)@Stephen Gregory Foster (Le co-pilote du Windsor Plane)@Robert Sacchi (Un ingénieur)@Wynn Irwin (Un ingénieur)@Paul Bollen (Un agent de sécurité de l'aéroport)@||||||||||||@@
Die Hard with a Vengeance|John McTiernan|Action||4|américain|1995|121|Anglais||XviD|||XVID|701 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|96.4 Kbps|False|32.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|John McTiernan Michael Tadross|Jonathan Hensleigh|Peter Menzies Jr.||Gaumont|Saga : Die Hard |John McClane est cette fois-ci aux prises avec un maître chanteur, facétieux et dangereux, qui dépose des bombes dans New York. |Bruce Willis (John McClane)@Jeremy Irons (Simon Peter Gruber/Peter Krieg)@Samuel L. Jackson (Zeus Carver)@Colleen Camp (Connie Kowalski)@Larry Brygman (Arthur Cobb)@Anthony Peck (Ricky Walsh)@Nick Wyman (Mathias Targo)@Sam Phillips (Katya)@Stephen Pearlman (Le docteur Fred Schiller)@Kevin Chamberlin (Charles Weiss)@Charles Dumas (Cross)@Michael Tadross (Le propriétaire grec)@Graham Greene (II) (Joe Lambert )@Larry Bryggman (l'inspecteur Arthur Cobb)@John McTiernan Sr (le poissonnier)@||||||||||||@@
Die Hard 4.0|Len Wiseman|Action||3|américain|2007|120|Anglais||XviD|||XVID|672 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|697||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Arnold Rifkin Bruce Willis John McTiernan Michael Fottrell|Mark Bomback|Simon Duggan||Twentieth Century Fox France|Saga : Die Hard |Pour sa quatrième aventure, l'inspecteur John McClane se trouve confronté à un nouveau genre de terrorisme. Le réseau informatique national qui contrôle absolument toutes les communications, les transports et l'énergie des Etats-Unis, est détruit de façon systématique, plongeant le pays dans le chaos. Le cerveau qui est derrière le complot a tout calculé à la perfection. Ou presque... Il n'avait pas prévu McClane, un flic de la vieille école qui connait deux ou trois trucs efficaces pour déjouer les attaques terroristes. |Bruce Willis (l'inspecteur John McClane)@Justin Long (Matt Farrell)@Timothy Olyphant (Thomas Gabriel)@Cyril Raffaelli (Rand)@Maggie Q (Mai Lihn)@Mary Elizabeth Winstead (Lucy McClane)@Kevin Smith (Warlock / le Sorcier)@Cliff Curtis (Bowman)@Yancey Arias (Agent Johnson)@Allen Maldonado (Barbiche)@Yorgo Constantine (Russo)@Chris O'Brocki (le civil furieux)@Chris Palermo (Del)@Tim Russ (Agent Chuck Summers)@Jonathan Sadowski (Trey)@Jack Van Landingham (membre du SWAT)@Andrew Friedman (Casper)@Christopher Palermo (Del)@Sung Kang (Raj)@Zeljko Ivanek (Molina)@Christina Chang (Taylor)@Jake McDorman (Jim)@Rosemary Knower (Mme Kaludis)@Gerald Downey (Agent Hoover)@Jim Cantafio (le propriétaire du restaurant)@Chris Ellis (Scalvino)@Regina McKee Redwing (l'agent tout proche)@Tony Colitti (l'agent chef Hazmat)@Tim deZarn (le sergent de police)@Kurt David Anderson (Miller)@Matt O'Leary (Clay)@Nadine Ellis (Teller)@Ethan Flower (le trader)@Nick Jaine (l'homme au téléphone)@Joe Gerety (Jack Parry)@David Walrod (le client du restaurant)@Edoardo Costa (Emerson)@John Reha (le gamin fainéant)@Rick Cramer (Rodriguez)@Vito Pietanza (l'inspecteur)@Dennis Depew (l'inspecteur)@Howard Tyrone Ferguson (l'inspecteur)@Diana Gettinger (le dispatcher FBI)@Melissa Knowles (la journaliste sur l'autoroute)@||Secrets de tournage :
Retour en enfer
Après 12 ans d'attente, John McClane est de retour pour la quatrième fois au cinéma dans la saga Die Hard. Une saga initiée en 1988 avec Piège de cristal, suivie deux ans plus tard de 58 minutes pour vivre pour se finir lors d'Une journée en enfer en 1995. Après deux volets réalisés par John McTiernan et un autre par Renny Harlin, c'est au tour de Len Wiseman (Underworld 1 et 2) de prendre les rennes de la franchise.
Len Wiseman aux commandes
Bien que le scénario de Mark Bomback ait éveillé l'intérêt de Bruce Willis pour ce quatrième épisode des aventures de John McClane, c'est l'association de Len Wiseman au projet qui a décidé l'acteur à s'y engager. Il exlique : "En voyant le thriller de Len, Underworld 2 - evolution, j'avais été impressionné par la singularité de sa vision. Je suis complètement entré dans son film, j'ai littéralement été entraîné dedans. Le film ne se perdait jamais, c'était maîtrisé de bout en bout. Je sentais que Len pourrait apporter énormément à un nouveau DIE HARD."
Un film d'action old school
Avec Die Hard 4 - retour en enfer, Bruce Willis et Len Wiseman ont voulu réaliser un film d'action "à l'ancienne", y compris dans la façon de le tourner : aucun décor n'a été généré par ordinateur et toutes les cascades ont été réalisées pour de vrai. Brad Martin explique : "Le mot d'ordre de Len était : si on peut faire une cascade devant la caméra, sans images de synthèse, alors on la fait en vrai". Quant au personnage de McClane, même s'il se retrouve dans des situations insensées, il reste toujours concret et pragmatique. Durant la production du film, les deux hommes avaient en tête l'exemple canonique de Piège de cristal, qui reste pour eux une référence absolue.
Quand McClane prend de la bouteille...
Pour la quatrième fois, Bruce Willis revêt le costume de l'inspecteur John McClane. Comme lui, son personnage a forcément vieilli. L'acteur s'explique : "C'est un film DIE HARD, ce qui implique que McClane en voit de toutes les couleurs. Je voulais que cette fois encore, McClane puisse affronter n'importe quelle situation, et j'ai donc suivi un entraînement spécial pendant plusieurs mois avant le début du tournage. McClane est plus âgé ? tout comme moi ! ? et cela faisait partie de ce qui était amusant dans mes retrouvailles avec ce personnage. Mais j'ai aussi réalisé qu'il y avait du bon dans le fait de prendre de l'âge : on fait davantage attention aux choses, et on acquiert une certaine sagesse."
Un cowboy fou à Los Angeles
Après les frêres Gruber incarnés par Alan Rickman et Jeremy Irons, c'est Timothy Olyphant, le cowboy justicier de Deadwood et le manager de porno dans The Girl Next Door, qui incarne le rôle du méchant de service dans ce quatrième Die Hard. Cet acteur est d'ailleurs habitué aux rôles de personnages atypiques et solitaires puisqu'il incarne le célèbre agent 47 dans l'adaptation du jeu vidéo Hitman.
Cyber-terrorisme
A chaque épisode de la saga, John McClane se retrouve confronté à une bande de terroristes dotée des technologies de pointe. Dans Piège de cristal, Hans Gruber et ses acolytes tentent de percer un coffre dont la serrure est électronique. Avec 58 minutes pour vivre c'est tout un aéroport qui tombe sous la coupe des terroristes. Et Simon, dans Une Journée en enfer, n'hésite pas à provoquer une explosion dans le métro new-yorkais pour parvenir à ses fins. Cette fois, c'est un petit génie de l'informatique qui pirate le réseau de communication, d'énergie et de transport des Etats-Unis, plongeant le pays dans le chaos.
Le yin et le yang
Comme dans Une Journée en enfer, McClane est ici affublé d'un side-kick, Matt Farrell, joué par Justin Long. Il est le "yin" virtuel du "yang" bien réel de McClane... et la cible préférée de ses piques! Justin Long explique : "Matt est un faire-valoir très amusant pour McClane. Il est très différent des partenaires qu'il a eus dans les films précédents, il n'est ni flic ni particulièrement dégourdi. C'est un homme de la technologie, là où McClane est un homme d'action. Les voir l'un face à l'autre est vraiment très amusant."
Les larmes du soleil
Quel est le point commun entre Die Hard 4 - retour en enfer et Les Larmes du soleil, réalisé en 2003 par Antoine Fuqua ? Bruce Willis, bien sûr. Mais surtout le titre : "Les larmes du soleil" était le sous-titre du projet Die Hard 4 pendant la première phase du développement. C'est Bruce Willis lui-même qui a proposé le titre à Antoine Fuqua, après avoir réclamé à la Fox le droit de l'utiliser.
Retrouvailles
Dans Die Hard 4 - retour en enfer, Len Wiseman retrouve plusieurs des collaborateurs qui ont travaillé sur ses précédents films : le chef décorateur Patrick Tatopoulos, le monteur Nicolas Toth et le directeur de la photographie Simon Duggan.
"Yipee-Ki-Yay" !
Le fameux cri de guerre de McClane, "Yipee-Ki-Yay", est devenu partie intégrante de la mythologie Die Hard. Le policier la prononce pour la première fois dans Piège de cristal quand Hans Gruber, joué par Alan Rickman, l'appelle "Mr. le Cowboy". Depuis, elle est restée gravée dans les esprits. Bruce Willis s'en étonne : "Je suis encore stupéfait que cette réplique soit entrée dans le langage populaire. A présent, McClane la dit dans diverses circonstances, surtout quand il essaie d'être totalement indéchiffrable."
« Préc.
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A Goofy Movie|Kevin Lima|Animation|Film pour enfants|3|américain|1996|74|Français||DX50|||DX50|1 186 Kbps|720x368|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|690||||25.000|09/08/2009 00:00:00|Dan Rounds|Chris Matheson Brian Pimental|||||Max ne se sent plus de joie depuis que la delicieuse Roxane, dont il est amoureux, accepte de l'accompagner a la grande fete de fin d'annee. Seulement voila, il en fait trop et Dingo, son pere, decide de profiter des vacances pour reformer son fiston. En premiere partie le court metrage "Mickey perd la tete". |Bill Farmer (Dingo (voix))@Jason Marsden (Max (voix))@Kevin Lima (Lester (voix))@||||||||||||@@
An Extremely Goofy Movie|Kevin Lima|||||1999|75|Français||DivX|||DIVX|1 033 Kbps|640x368|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|634||||25.000|09/08/2009 00:00:00|||||||Max est admis à l'université. Il se fait une joie non seulement de s'éloigner de son père Dingo, mais aussi d'avoir à défier les autres étudiants dans une compétition de sports extrêmes où le skate et les rollers sont les rois absolus. Dès leur arrivée sur le campus, Max, et ses amis PJ et Bobby se heurtent à la bande des Gamma, emmenée par le prétentieux Bradley Dugratin, les tenants du titre. Mais pire encore : le jeune adolescent voit un jour débarquer son père dans le même cours que lui, tout ceci pour parfaire son éducation... |Bill Farmer@Jason Marsden@Jim Cummings@Kellie Martin@Rob Paulsen@||||||||||||@@
Dinosaur|Eric Leighton Ralph Zondag|Animation||3|américain|2000|76|Anglais||DIV3|||DIV3|1 129 Kbps|640x352|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|693||||24.000|09/08/2009 00:00:00|Pam Marsden|Walon Green Thom Enriquez John Harrison Robert Nelson Jacobs Ralph Zondag Rhett Reese|||||La Terre, il y a soixante-cinq millions d'années. Une colonie de lémuriens menant une existence paisible sur une île paradisiaque découvre par hasard un oeuf de dinosaure. Lorsque la coquille se fissure, c'est un petit iguanodon qui en sort... Les lémuriens le recueillent et le baptisent Aladar. Celui-ci grandit parmi eux, jusqu'au jour où une météorite détruit l'île et contraint tout le monde à l'éxil. Ils trouvent refuge auprès d'un groupe de dinosaures voyageant à la recherche de la terre des Nids. Très vite, Aladar se heurte a Kron, l'impitoyable chef... |Jamel Debbouze (Zini (voix française))@||Secrets de tournage :
Les décors naturels
Le tournage de Dinosaure a quand même nécessité des prises de vues en extérieur. Elles ont été effectuées en Australie, en Californie, en Floride, à Hawaii, au Venezuela et aux Iles Samoa occidentales.
Neil Eskuri, superviseur des effets numériques :
« Ce film est une entreprise gigantesque. Nous avons apporté des améliorations importantes par rapport à ce qui se faisait dans le passé, et nous avons posé des nouveaux jalons. Chaque scène est issue d'une profonde réflexion quant à l'animation des personnages et à leur intégration dans les décors. Il nous a fallu non seulement gérer l'ampleur d'un tel projet mais aussi la création simultanée d'un studio numérique. C'était un peu comme si nous avions un train lancée à pleine vitesse et que nous devions poser les rails juste devant? »
Un projet ancien?
C'est en 1988 que les Studios Disney se portent acquéreurs d'un scénario de Walon Green, l'auteur de La horde sauvage, intitulé « Dinosaur ». A l'époque, Paul Verhoeven et Phil Tippet (producteur et spécialiste des effets spéciaux) furent un instant pressentis pour le porter à l'écran. Mais à la fin 1994, le projet passe du département « films en prises de vues réelles » vers le département « long métrage d'animation », qui va passer plusieurs années à le développer...
Baker Bloodworth, coproducteur :
« Quand nous avons commencé, nous avions 30 artistes et savions qu'il en faudrait 350. Nous n'avions ni locaux, ni machines, ni logiciels. Nous avons commencé par rassembler une équipe d'experts et avons organisé une étude pendant près de 8 mois. Il nous a fallu deux ans pour créer notre studio numérique et deux ans encore pour achever le film une fois la production lancée officiellement. Le Studio que nous avons créé a pris le nom de « The Secret Lab» (TSL)."
TSL ne chôme pas?
Outre Dinosaur, The Secret Lab a conçu et réalisé les effets visuels de Mission to mars, Les 102 Dalmatiens et 60 secondes chrono
De Pam Marsden, productrice :
« Les films de dinosaures ont toujours tenu une place importante au cinéma. Si ce film-ci s'inscrit dans cet héritage, il montre cependant ces animaux comme jamais auparavant. Il comporte tous les éléments « reptiliens », l'action que l'on aime dans ce genre de films, mais il tire parti d'une technologie extraordinaire qui a permis de raconter une histoire unique et différente. Du point de vue de la mise en scène, on découvre un monde préhistorique vu par les yeux des dinosaures. La caméra plonge droit dans leur regard, on découvre des visages expressifs, tout ce qu'il y a de plus vivant. »
Dinosaure : un peu d'histoire...
Le mot « dinosaure » dérive du latin et signifie « terrible lézard ». Il semble avoir été employé pour la première fois en 1842 ? sous la forme « Dinosauria » - par le paléontologue britannique Sir Richard Owen afin de décrire les fossiles de plusieurs espèce géantes. La première découverte relative aux dinosaures a été faite en 1677 par le Dr Robert Plot. Le premier dinosaure américain a été trouvé en 1787 dans le comté de Gloucester, dans le New Jersey, par Matlack et Casper Wistar?
Les dinos à l'écran
C'est en 1905 qu'apparaît l'un des premiers dinosaures à l'écran dans Prehistoric Man. En 1914, Winstor McCay réalise un dessin animé, Gertie the Dinosaur, tandis, qu'un an plus tard, Willis O'Brien entame ses premiers essais avec des créatures préhistoriques. Ses créations, utilisées par Harry Hoyt en 1925 dans Le monde perdu, marquent une nouvelle étape dans la carrière cinématographique des dinosaures.
Dès lors, on en voit de plus en plus à l'écran : King Kong (1933), One million B.C. (1940), Fantasia (1940), Le monstre des temps perdus (1953), Le voyage au centre de la terre (1959), Le monde perdu (1943), Le sixième continent (1975)? sans oublier Jurassic park (1993) et Le monde perdu : Jurassic park (1997).
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Dirty Dancing|Emile Ardolino|Comédie dramatique||3|américain|1987|96|Anglais||XviD|||XVID|877 Kbps|720x400|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|678||||25.000|09/08/2009 00:00:00||Eleanor Bergstein|Jeff Jur|||Saga : Dirty Dancing |Dans les années soixante, Bébé passe des vacances familiales monotones jusqu'au jour où elle découvre qu'un groupe d'animateurs du village estival forment un groupe de danse. Pour la jeune fille sage, c'est le début de l'émancipation grâce au "dirty dancing", cette danse ultra-sensuelle, et la rencontre avec Johnny Castel, le professeur de danse. |Jennifer Grey (Frances 'Bébé' Houseman)@Patrick Swayze (Johnny Castle)@Jerry Orbach (Dr Jake Houseman)@Cynthia Rhodes (Penny Johnson)@Jane Brucker (Lisa Houseman)@Jack Weston (Max Kellerman)@Kelly Bishop (Marjorie Houseman)@Wayne Knight (Stan)@||||||||||||@@
Dirty dancing : Havana nights|Guy Ferland|Romance||3|américain|2004|85|Anglais||XviD|||XVID|940 Kbps|592x320|MPEG-1 Audio layer 3|194 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Lawrence Bender Sarah Green|Boaz Yakin Victoria Arch Peter Sagal Kate Gunzinger|Anthony B. Richmond||Artisan Entertainment|Saga : Dirty Dancing |La Havane, 1958. La famille Miller débarque à Cuba après une mutation du père. Katey, 18 ans, sérieuse et plutôt mal dans sa peau, est impatiente de découvrir cette capitale exubérante qu'est La Havane. Un soir, alors qu'elle doit rejoindre d'autres jeunes Américains branchés dans un hôtel chic, Katey est attirée par le fier Javier, jeune serveur ambitieux et excellent danseur. Désireuse d'apprendre les figures sensationnelles qui semblent venir sinaturellement au garçon, Katey le convainc de devenir son partenaire et de participer à un prestigieux concours national de danse, et ne tarde pas à mentir à ses parents pour sortir en cachette jour et nuit et découvrir avec Javier un Cuba qu'elle ne soupçonnait pas. Quand, enfin arrive la nuit du concours, Katey et Javier sont prêts à prendre place sur la piste sansse douter que la révolution est sur le point d'éclater... |Diego Luna (Javier Suarez)@Romola Garai (Katey Miller)@Sela Ward (Jeannie Miller)@John Slattery (Bert Miller)@Mika Boorem (Susie Miller)@Jonathan Jackson (James Phelps)@January Jones (Eve)@Rene Lavan (Carlos Suarez)@Mya (Lola Martinez)@Patrick Swayze (le professeur de danse)@JoAnn Fregalette Jansen (le professeur de danse)@||Secrets de tournage :
La suite de Dirty Dancing
Dirty dancing : Havana Nights est la suite du film de Emile Ardolino : Dirty Dancing, tourné en 1987 avec Patrick Swayze et Jennifer Grey en tête d'affiche. Le film de Guy Ferland revisite l'histoire d'amour du film de 1987, en version cubaine cette fois-ci. Dirty dancing avait remporté un gros succès auprès du public et le film avait même décroché l'oscar de la meilleure musique.
Une équipe renommée
Pour cette nouvelle version de Dirty Dancing, une équipe talentueuse a été réunie : Joann Jansen, la choréraphe de Polly et moi et Pirates des Caraïbes, la malédiction du Black Pearl, Lawrence Bender,
producteur indépendant de Pulp Fiction et de Will hunting, Sarah Green,
productrice de Frida, Boaz Yakin, scénariste de Fresh, et enfin, le réalisateur Guy Ferland.
Apparition de Patrick Swayze
Selon certaines rumeurs, 5 millions de dollars auraient été proposés à Patrick Swayze pour qu'il reprenne le rôle qui avait fait de lui une star. Rumeurs inexactes, puisque l'acteur fait une simple apparition dans Dirty dancing : Havana nights.
Ricky Martin et Nathalie Portman pressentis au départ
Le chanteur Ricky Martin et l'actrice Natalie Portman, que l'on a vue dernièrement dans Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones, étaient pressentis au départ pour incarner le couple principal du film : Katey et Javier. Ce sont finalement Diego Luna, remarqué grâce à sa prestation dans Et... ta mère aussi !, et Romola Garai, à l'affiche également en 2004 de Vanity Fair, qui ont été choisis.
Une production A band apart
Dirty dancing : Havana nights est produit par A band apart, la maison de production de Quentin Tarantino.
Inspiré de l'histoire personnelle de la chorégraphe Joann Jansen
Le scénario de Dirty dancing : Havana Night est inspiré de l'adolescence de la chorégraphe Joann Jansen. A 15 ans, celle-ci s'installa à Cuba avec sa famille en raison du travail de son père. Elle vécut alors dans des hôtels luxueux, entourée de personnes de la même classe sociale. Joann Jansen devait fréquenter uniquement des jeunes gens de son rang, mais elle tomba amoureuse d'un jeune homme latino qui lui fit découvrir la culture, la musique et surtout la danse de ce pays.
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Dirty Love|John Mallory Asher|Comédie||1|américain|2005|86|Anglais||DX50|||DX50|992 Kbps|544x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Jenny McCarthy John Mallory Asher BJ Davis|Jenny McCarthy|||First Look Pictures Releasing||Un soir, Rebecca rentre chez elle et trouve son petit ami top model Richards en pleine partie de jambes en l'air. Complètement "retournée", elle va retrouver ses copines dévouées, plus sexy et dévergondées que jamais, pour se lancer dans une aventure sauvage, pleine de débauche et de rencontres étranges, à la recherche d'un amour profond... |Jenny McCarthy (Rebecca)@Carmen Electra (Michelle)@Eddie Kaye Thomas (John)@Kam Heskin (Carrie)@Victor Webster (Richard)@Lochlyn Munro (Kevin)@Kathy Griffin (Madame Belly)@Jessica Collins (Mandy)@David O'Donnell (Jake)@Paul Dooley@Drea de Matteo@Chris Eigeman@||||||||||||@@
Dobermann|Jan Kounen|Policier|Interdit aux moins de 16 ans|3|français|1997|98|||DX50|||DX50|884 Kbps|720x288|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Frédérique Dumas-Zajdela Eric Névé|Joël Houssin|Michel Amathieu||PolyGram Film Distribution||Le Dobermann et son gang défraient la chronique. Banques, postes, fourgons, tout y passe. Une anthologie du braquage, un best-of du hold-up ! En face d'eux, un flic quelque peu pourri, qui fait de leur arrestation une affaire personnelle. |Vincent Cassel (Dobermann)@Monica Bellucci (Nat la gitane)@Tchéky Karyo (l'inspecteur Sauveur Cristini )@Antoine Basler (Moustique )@Dominique Bettenfeld (l'abbé)@Romain Duris (Manu)@Chick Ortega (Pitbull )@Florence Thomassin (Florence)@Gaspar Noé (Le marchand de merguez )@Jan Kounen (l'homme de la banque)@François Levantal (Léo)@Roland Amstutz (Jo Hell (oncle Joe vieux))@Patrick Rocca (Commissaire Clodarec)@Stéphane Metzger (Olivier Brachet, dit Sonia)@Marc Duret (Inspecteur Baumann)@Pascal Demolon (Lefèvre)@Marc Caro (le flic mitrailleur miraculé)@||||||||||||@@
Patch Adams|Tom Shadyac|Comédie dramatique||3|américain|1999|110|Anglais||DX50|||DX50|663 Kbps|640x288|MPEG-1 Audio layer 3|192 Kbps|False|48.0 KHz|2|683||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Mike Farrell Barry Kemp Marvin Minoff Charles Newirth|Steve Oedekerk|Phedon Papamichael||United International Pictures (UIP)||Voici l'histoire vraie d'un étudiant en médecine qui défia la profession et risqua son avenir en prônant les vertus thérapeutiques du rire. Tout commence en 1969, quand Hunter Patch Adams, admis dans un hôpital psychiatrique après une tentative de suicide, découvre qu'il a le don de réconforter les patients par ses clowneries.
En 1971, Patch commence ses études de médecine. Sa gaieté lui attire d'emblée l'inimitié de ses condisciples et l'hostilité du recteur Walcott. Mais Patch persévère. Intimement convaincu du bien-fondé de sa philosophie, il appliquera avec succès ses théories. |Robin Williams (le docteur Patch Adams)@Monica Potter (Carin Fisher )@Philip Seymour Hoffman (Mitch Roman )@Josef Sommer (le docteur Eaton)@Bob Gunton (Dean Walcott )@Daniel London (Truman Schiff )@Irma P. Hall@Harve Presnell@Peter Coyote@Michael Jeter@Harold Gould@Richard Kiley@Ellen Albertini Dow@Alan Tudyk@||Secrets de tournage :
Tom Shadyac, à propos du docteur Patch, de Robin Williams et de son film :
"Patch inquiète certains dans la mesure où il nous incite tous à donner plus. Robin incarne les mêmes valeurs. Ce sont deux personnalités fortes, généreuses, qui détournent les difficultés de la vie par le biais de la comédie. Ils savent donner et ne font pas que recevoir.
Je crois que ce film respecte l'esprit et la sensibilité de Patch Adams. C'est une comédie avec beaucoup d'humour et une dimension dramatique qui devrait toucher et interpeller le spectateur. Mais je pense avant tout que Docteur Patch nous offre le portrait d'un homme très spécial, interprété par un comédien hors du commun."
Tom Shadyac, réalisateur et producteur exécutif
Tom Shadyac est le réalisateur de Ace Ventura, détective chiens et chats, qui révéla Jim Carrey, Le professeur Foldingue, avec Eddie Murphy, et Menteur Menteur.
Philip Seymour Hoffman ("Mitch")
Licencié de la Tisch School of the Arts de New York, Philip S.Hoffman a joué à New York, Chicago et en tournée européenne, dans des pièces classiques comme "Le Roi Lear", "Henry IV" ou "Mère Courage".
Au cinéma, on a pu le voir dans Le temps d'un week-end, de Martin Best, Un homme presque parfait, de Robert Benton, et Twister, de Jan De Bont.
Entre 1997 et 1998, Philip Seymour Hoffman a tourné dans cinq films : Boogie Nights, Next Stop Wonderland, Montana, Happiness, The Big Lebowski et... Patch Adams.
Daniel London ("Truman")
Natif de Pittsburg, Daniel London a fait ses études à l'Oberlin College et dans l'atelier de David Shiner avant d'entreprendre une carrière théâtrale.
Il a débuté au cinéma en 1998, dans A Soldier's Sweetheart, de Thomas Michael Donnelly, aux côtés de Kiefer Sutherland et de Skeet Ulrich.
Monica Potter ("Carin")
Née à Cleveland (Ohio), Monica Potter a fait ses premières expériences professionnelles à douze ans, comme modèle et actrice de pub, avant de s'établir à Los Angeles en 1994 et d'interpréter pour ses débuts à Hollywood la femme de Nicolas Cage dans Les ailes de l'enfer de Simon West.
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Domino|Tony Scott|Policier|Interdit aux moins de 12 ans|2|français, américain|2005|127|Anglais||XVID|||XVID|629 Kbps|640x256|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Samuel Hadida Tony Scott Ridley Scott|Richard Kelly Steve Barancik|Daniel Mindel||New Line Cinema||Jeune mannequin célèbre issu d'une famille en vue, Domino Harvey décide de tout quitter pour devenir chasseuse de primes. Fuyant les défilés et les mondanités, elle se jette dans l'univers de la traque et du danger... |Keira Knightley (Domino Harvey)@Mickey Rourke (Ed Moseby)@Edgar Ramirez (Choco)@Lucy Liu (Taryn Mils)@Mena Suvari (Kimmie)@Christopher Walken (Mark Heiss)@Rizwan Abbasi (Alf)@Macy Gray (Lashandra Davis)@Jacqueline Bisset (Sophie Wynn)@Mo'Nique (Lateesha Rodriguez)@Shondrella Avery (Lashandra)@Brian Austin Green (Lui-même)@Ian Ziering (lui-même)@Jerry Springer (lui-même)@Tom Waits (le vagabond)@Delroy Lindo (Claremont Williams III)@Andy Milder (Agent FBI )@Ash Christian (Keg)@Adam Clark (Agent du FBI)@Dale Dickey ( Edna Fender )@Peter Jacobson (Burke Beckett)@Stanley Kamel (Cigliutti)@Patrick Kerr (Manager DMV)@Frederick Koehler (Chuckie)@Melissa Lee (Lycéenne)@Mark Newsom (Dr. Waldman)@Paul Nguyen (Malfrat vietnamien)@Kel O'Neill (Frances)@Michael Papajohn (sbire de Cigliutti)@Jesse Pate (Laurence Harvey)@Allie Raye (Femme au séminaire)@Paul Sklar (assistant de l'évêque)@Lew Temple (Locus Fender)@Ashley Monique Clark (Kee Kee)@Joseph Nunez (Raul Chavez)@Domino Harvey (elle-même)@||Secrets de tournage :
Le projet
Le réalisateur Tony Scott est intéressé par l'histoire de Domino Harvey depuis le début des années 90. Plusieurs scripts sont rédigés mais c'est Richard Kelly (Donnie Darko) qui est finalement chargé d'écrire le scénario.
L'ombre de Domino
Avant le tournage, Domino Harvey a octroyé deux heures de son temps au scénariste Richard Kelly. Elle fut également présente sur le plateau et s'est vue offrir un cameo par Tony Scott.
Parcours chaotique
Née en 1970, Domino Harvey est la fille de l'acteur Laurence Harvey qui avait notamment joué dans Un crime dans la tête de John Frankenheimer, et d'un mannequin vedette des années 60, Paulene Stone. Devenue mannequin pour l'agence Ford dans les années 80, Domino quitte le monde de la mode en 1993. Lassée des strass et des paillettes, elle devient alors chasseuse de primes à Los Angeles. Habituée à faire les gros titres avec ses affaires, c'est peu à peu sa vie privée qui la propulse à la une des journaux. Accusée de consommation, de possession et de trafic de drogues, elle est placée en liberté surveillée et envoyée en cure de désintoxication en 1997. Malheureusement, elle ne réussira jamais à décrocher des drogues.
Domino Harvey meurt d'une overdose dans sa baignoire la nuit du 27 juin 2005.
Une reprise de vigueur
Dans ses derniers jours, Domino Harvey se fortifia sur plusieurs fronts. D'après son oncle, Stone, elle envisageait de poursuivre en justice les nombreuses publications la décrivant comme une lesbienne. Et elle put enfin retrouver "Blue", son Pitt bull auquel elle semblait plus attachée qu'à qui que ce soit après son séjour en prison.
Une vague histoire vraie
Le film de Tony Scott est inspiré de la vie de Domino Harvey sans être pour autant strictement autobiographique. Le réalisateur n'a d'ailleurs pas utilisé les vrais noms des protagonistes puisqu'il ne suit pas exactement leur histoire. Le producteur Samuel Hadida explique que "le film est une fiction, une palpitante aventure portée par la force de la personnalité de son héroïne. Domino a toujours choisi son chemin, en méprisant les facilités. Plus qu'à son histoire, c'est à son esprit de liberté que nous nous sommes attachés".
Sur le choix de Keira Knightley
L'actrice britannique Keira Knightley a été proposée à Tony Scott par Richard Kelly pour interpréter Domino Harvey. "Elle est Domino", tels furent les propos du cinéaste lors des premiers essais. Tony Scott se dépêcha donc de faire signer l'actrice qui n'était libre que quelques mois et s'en réjouit aujourd'hui "j'ai tout de suite su que Keira Knightley serait parfaite pour ce rôle. Elles ont en commun certains points essentiels : elles sont britanniques, et refusent de se laisser enfermer dans les conventions. Elles tracent leur route à l'instinct, sans compromis, et s'imposent là où on ne les attend pas. Et en plus, elles sont belles !"
Heureux hasard pour Edgar
Edgar Ramirez, acteur vénézuélien interprétant le rôle de Choco, fut découvert au dernier moment par les cinéastes. L'acteur s'est rendu à Los Angeles pour la présentation du film Punto y Raya candidat à l'oscar du meilleur film étranger et la directrice de casting Denise Chamian l'a tout de suite suggérer à Tony Scott et Samuel Hadida. Le producteur Samuel Hadida se souvient "Après avoir regardé seulement quelques minutes de Punto y Raya (...) nous avons arrêté la cassette et décidé de contacter Edgar (...) Tony a immédiatement perçu le potentiel d'Edgar, ce que l'audition n'a fait que confirmer"
Deux stars de "Beverly Hills" dans le monde des chasseurs de primes
Ian Ziering et Brian Austin Green , tous deux stars de la série populaire des 90s Beverly Hills, ont accepté d'interpréter leur propres rôles dans le film de Tony Scott, Domino. Ian Ziering a d'abord cru à une plaisanterie mais c'est tout de suite senti très flatté de figurer dans un film de Tony Scott .
Brian Austin Green raconte "Il est très étrange de jouer son propre personnage (...) Cela demande beaucoup de travail (...) L'écriture très vivante de Richard m'a été d'un grand secours"
Pour Ian Ziering, "le fait que [son] personnage ait le même âge que [lui], [lui] ressemble et porte le même nom sont [leurs] seuls points communs" ! Etrange coïncidence ? Peut-être plus. Faut-il lui dire ?
Beverly Hills
Après la rencontre, l'amitié
Lorsque Tony Scott a commencé à s'intéresser à l'histoire de Domino Harvey, le mannequin devenant chasseuse de prime, il n'a pas hésité une seule seconde à la contacter. Au fil des années, ils sont même devenus très proches. "Pour moi, Domino a toujours été une source d'inspiration. Je n'ai jamais rencontré quelqu'un d'aussi indépendant. Son parcours est à son image, magnifique et sans compromis" explique le réalisateur. Pour la chasseuse de prime morte d'une overdose quelques mois avant la sortie du film, Tony Scott devient un ami "je ne cessais de la mettre en garde. Mais rien n'y faisait. Plus que tout, elle aimait cette vie dangereuse. Elle disait que rien ne lui avait jamais procuré de telles sensations. Je crois que cette existence extrême l'aidait aussi à faire taire les doutes qui la tourmentaient". Tony Scott dédie ainsi son film à Domino Harvey.
Richard Kelly à propos de Tony Scott
Pour le scénariste et réalisateur Richard Kelly, Tony Scott a "un esprit punk rock qui se dissimule pour des besoins marketing mais qui est toujours là néanmoins. Il l'a toujours eu si l'on regarde Les Prédateurs (1983) et True romance (1993) (...) Il a une sensibilité britannique et n'a peur de rien". De plus, il garde le souvenir d'une collaboration très proche sur le plateau : "(...) Beaucoup de gens parlent de lui comme d'un artiste visuel et oublient qu'il fait très attention au développement du script".
« Préc.
Mickey Rourke, bien conseillé
Le personnage du chasseur de prime Ed Moseby, interprété à l'écran par Mickey Rourke, est basé sur la personne de Zeke Unger, réel chasseur de prime collaborateur de la vraie Domino Harvey. Celui-ci fut engagé en tant que conseiller technique pour le film de Tony Scott.
Tom Waits l'apparition
Tom Waits, célèbre chanteur compositeur, acteur à ses heures perdues, est un habitué des seconds rôles étranges et surréalistes. Tournant majoritairement avec Jim Jarmusch ou Francis Ford Coppola, il campe dans Domino de Tony Scott, le rôle du "Vagabond" personnage éphémère et onirique apparaissant dans le désert le temps d'un scène.
« Préc.
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Collateral Damage|Andrew Davis|Action|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|2002|104|Anglais||XviD|||XVID|827 Kbps|720x384|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||25.000|02/08/2009 00:00:00|David Foster Steven Reuther|Donald Roose David Griffiths|Adam Greenberg||Warner Bros.||A Los Angeles, Gordy Brewer, vétéran des sapeurs pompiers, arrive avec quelques minutes de retard à un rendez-vous et assiste, impuissant, à un attentat à la bombe contre le Consulat de Colombie. Le terroriste visait une poignée de hauts dignitaires colombiens oeuvrant à la signature d'un traité de coopération avec les Etats-Unis. Parmi les victimes de cet attentat figurent des dizaines de passants innocents dont Anne et Matt Brewer, l'épouse et le fils de Gordy.
Cet acte terroriste est rapidement imputé au dangereux criminel Claudio "El Lobo". Alors que l'enquête officielle piétine et que les autorités américaines n'ont pas l'intention de mettre la main sur le principal responsable, Gordy décide de venger la mort de ses proches en partant en Colombie sur les traces de Claudio. |Arnold Schwarzenegger (Gordy Brewer)@Cliff Curtis (Claudio "El Lobo")@Francesca Neri (Selena)@Elias Koteas (l'agent de la CIA Peter Brandt)@John Leguizamo (Ramirez)@John Turturro (Sean Amstrong)@Rick Worthy (Ronnie)@Jsu Garcia (Roman)@Miguel Sandoval (Phipps)@Harry J. Lennix (Dray)@Michael Milhoan (Jack )@Lindsay Frost (Anne Brewer )@Raymond Cruz (Junior )@||Secrets de tournage :
Tournage en décor naturel
La production opta pour le Mexique, faute de pouvoir tourner en Colombie, le lieu de l'action. Elle choisit la jungle de l'Etat de Véra Cruz. Arnold Schwarzenegger raconte : "Il suffit de s'enfoncer de quelques mètres dans la jungle pour être confronté aux serpents, aux insectes, aux rivières sauvages et à la peur de s'égarer".
Le tournage ne fut donc pas aisée selon le producteur exécutif du film, Howard W. Koch Jr., "le principal problème était l'état des routes. Il nous a fallu, littéralement, construire notre propre réseau pour transporter le matériel dans la jungle. On a vraiment travaillé dans des conditions extrêmes."
Un nouveau Schwarzenegger
Avec Dommage collatéral, Arnold Schwarzenegger aborde un registre nouveau dans sa carrière. Le producteur Steven Reuther raconte : "C'est effectivement un nouveau Schwarzenegger qu'on découvre ici, bien différent des superhéros qui ont fait sa gloire. Gordy est un simple quidam, avec un boulot, une femme, un enfant, qui se voit projeté dans une situation incontrôlable et obligé de puiser en lui les forces nécessaires à sa survie."
Rattrapé par l'histoire
Originellement prévue pour le 5 octobre 2001, la sortie de Dommage Collatéral aux Etats-Unis fut repoussée de quatre mois à cause de l'attaque terroriste sur le World Trade Center le 11 septembre 2001. Le distributeur du film a également retiré toutes les affiches des cinémas et fermé le site officiel. En effet, le film d'Andrew Davis met en scène des évènements similaires à ceux qui endeuillèrent l'Amérique.
Un clin d'oeil
Lors de la rencontre entre les personnages interprétées par John Leguizamo et Arnold Schwarzenegger, John Leguizamo fait référence à des allemands parlant comme des cyborgs. C'est un petit clin d'oeil au rôle phare de Schwarzenegger, celui de Terminator.
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Dungeons & Dragons|Courtney Solomon|Aventure||1|américain|2000|107|Anglais||DIV3|||DIV3|694 Kbps|640x352|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|641||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Courtney Solomon Kia Jam Thomas M. Hammel|Topper Lilien Carroll Cartwright|Douglas Milsome|||Saga : Donjons & Dragons |L'empire mythique d'Izmer est menacé par le chaos si la princesse Savina refuse de céder son sceptre au maléfique Profion. Un affrontement terrible se prépare et seuls deux jeunes voleurs, Snails et Ridley, acompagnés de Marina, une novice de la très puissante Congrégation des Mages, ont une chance de sauver leur monde. Entre sortilèges et ruses, guidés par un mansucrit ancien, ils vont faire naître l'espoir d'un royaume nouveau. Mais avant, il leur faut survivre aux complots, aux traitres et aux pièges. |Justin Whalin (Ridley)@Marlon Wayans (Snails)@Jeremy Irons (Profion)@Thora Birch (l'impératrice Savina)@Zoe McLellan (Marina)@Bruce Payne (Damodar)@Lee Arenberg (Elwood)@Richard O'Brien (Xilus)@Robert Miano (Azmath)@Tomás Havrlik (Mage)@Edward Jewesbury (Vildan Vildir)@Kristen Wilson (Norda)@David O'Kelly (Trois yeux)@||||||||||||@@
Dungeons & Dragons: Wrath of the dragon god|Gerry Lively|Fantastique||1|américain|2006|100|Anglais||XviD|||XVID|827 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|130 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Wolfgang Esenwein Steve Richards|Robert Kimmel Brian Rudnick|Igor Meglic||Carrère Group|Saga : Donjons & Dragons |Damodar prend possession du Globe Noir, source des quatre éléments fondateurs : l'Eau, la Terre, le Vent et le Feu. Grâce à lui, il détient le pouvoir absolu et invoque le Dragon Noir pour détruire le royaume d'Ismir. Le déclin approche et une armée se met en place pour sauver les habitants, mais il reste peu de temps avant le réveil du Dragon.Cinq combattants, Berek, Lux, Nim, Dorian et Ormaline, partent alors braver tous les dangerset résoudre les énigmes qui les mèneront au Globe avant qu'il ne soit trop tard... |Bruce Payne (Damodar)@Mark Dymond (Berek)@Clemency Burton-Hill (Melora)@Ellie Chidzey (Lux)@Steven Elder (Dorian)@Lucy Gaskell (Ormaline)@Roy Marsden (Oberon)@Tim Stern (Nim)@||Secrets de tournage :
Donjons et Dragons, la suite...
Donjons & dragons, la puissance suprême fait suite à Donjons & dragons. Sorti en 2000, le film avait réuni plus de 1 million de spectateurs en France.
Le retour de Damodar
Parmi le casting du premier Donjons & dragons, seul Bruce Payne est à nouveau présent à l'affiche. Il retrouve ainsi le rôle du maléfique Damodar.
30 ans de Donjons et Dragons
C'est en 1974 que Gary Gygax et Dave Arneson inventent un jeu qu'ils baptisent "Dungeons & Dragons", qui deviendra le premier jeu de rôle de l'histoire. Se déroulant dans un univers médiéval-fantastiques, le jeu remporte un succès est immédiat. L'impact est phénoménal : édité dans plus de 44 pays, traduit en 18 langues, il donne naissance à plus de 300 romans, des magazines, des jeux vidéos, etc. Aujourd'hui encore, plus de 25 millions de personnes continuent d'évoluer dans l'univers de "Donjons & Dragons".
Tournage en Lituanie
Le tournage de Donjons & dragons, la puissance suprême s'est principalement déroulé à Vilnius, en Lituanie.
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Donnie Brasco|Mike Newell|Policier||3|américain|1997|121|Anglais||XviD|||XVID|697 Kbps|624x256|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Barry Levinson Louis Digiaimo Gail Mutrux Mark Johnson|Paul Attanasio|Peter Sova||||En 1978 a New York, l'agent special Joe Pistone est designe par le FBI pour infiltrer le clan Bonanno, une des familles les plus puissantes de la cote Est. Il contacte un modeste porte-flingue de l'organisation, Lefty Ruggiero, aupres duquel il se fait passer pour un specialiste en joaillerie du nom de Donnie Brasco. Coupe de son milieu, Donnie va peu a peu s'identifier a ceux qu'il doit detruire. |Al Pacino (Lefty Ruggiero)@Johnny Depp (Joe Pistone / Donnie)@Zeljko Ivanek (Tim Curley)@James Russo (Paulie)@Michael Madsen (Sonny Black)@Anne Heche (Maggie Pistone)@Bruno Kirby (Nicky)@Gretchen Mol (la petite amie de Sonny)@Tim Blake Nelson (Un agent du FBI)@Paul Giamatti (Un agent du FBI)@||||||||||||@@
Doom|Andrzej Bartkowiak|Science fiction|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|2005|102|Anglais||XVID|||XVID|809 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|132 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||25.000|28/07/2009 00:00:00|John Wells Lorenzo di Bonaventura|Dave Callaham Wesley Strick|Tony Pierce-Roberts||Universal Pictures||Une chose terrible est arrivée à la station de recherche scientifique Olduvai, basée sur la planète Mars. Toutes les expériences se sont arrêtées, la communication ne passe plus. Les derniers messages reçus sont pour le moins angoissants. Le niveau 5 de quarantaine est déclaré et les seules personnes auxquelles l'accès est autorisé sont les membres du commando des Rapid Response Tactical Squad (RRTS). Mais sont-ils face à n'importe quel ennemi ?
Les scientifiques de cette station de la planète rouge ont malencontreusement ouvert une porte dans laquelle se sont engouffrées toutes les créatures de l'enfer. Une armée de créatures de cauchemars d'origine inconnue est tapie derrière chaque recoin des innombrables pièces et couloirs de la base, tuant les quelques rares humains encore présents... |Karl Urban (John Grimm)@Dwayne Johnson (Sarge)@Rosamund Pike (Samantha Grimm)@Ben Daniels (Goat)@Deobia Oparei (Destroyer)@Razaaq Adoti (Duke)@Richard Brake (Portman)@Dexter Fletcher (Pinky)@Robert Russel (Dr. Carmack)@Daniel York (Lt. Huengs)@Al Weaver (Le Kid)@Yao Chin (Mac)@Brian Steele (Hell Knight)@Ian Hughes (Sanford Crosby)@Sara Houghton (Dr. Jenna Willits)@Blanka Jarosova (Dr. Hillary Tallman)@Vladislav Dyntera (Dr Steve Willits)@Petr Hnetkovsky (Dr. Holsen)@Marek Motlicek (Dr. Clay)@||Secrets de tournage :
Adapté du jeu vidéo
Doom est l'adaptation du célèbre jeu vidéo éponyme dont le premier épisode, sorti en 1993, a révolutionné le " jeu de tir à la première personne ". Le joueur y incarne un marine chargé de rétablir l'ordre dans une base de la planète Mars infestée de monstres échappés l'Enfer. Véritable succès commercial (le dernier épisode de la série s'est vendu à plus d'un million d'exemplaires), l'idée d'en faire en film est apparue dès 1995.
Vue subjective
Certaines scènes du film ont été tournées en vue subjective, à la manière du jeu vidéo. Le spectateur voit se dérouler l'action à travers les yeux d'un des personnages, lui donnant ainsi l'impression d'y participer.
Changement de réalisateur
Enda McCallion devait, à l'origine, se charger de l'adaptation de Doom. Connu pour avoir réalisé des clips et des publicités, il a finalement abandonné le projet deux semaines avant le début du tournage. C'est le réalisteur polonais Andrzej Bartkowiak (Roméo doit mourir, En sursis) qui a été choisi au dernier moment pour le remplacer.
The Rock change de rôle
The Rock s'est initialement vu offrir le rôle de John Reaper. Mais après avoir lu le scénario, il s'est senti plus attiré par le personnage de Sarge, que la production lui a finalement confié.
L'artillerie lourde...
Afin de se préparer aux différentes scènes d'action, les acteurs ont reçu un entraînement militaire intense centré particulièrement autours du maniement d'armes. L'artillerie utilisée dans Doom a largement participé au succès du jeu vidéo. C'est le cas notamment du fameux BFG (Bio-Force Gun), qui est évidemment présent dans le film : "Pour le Bio-Force Gun, explique Richard Hooper, nous sommes partis de l'arme que l'on trouve dans le jeu vidéo, et comme elle ne renvoie à rien de réaliste ou d'existant, nous avons laissé les designers s'amuser un peu et partir dans différentes directions. Nous nous sommes arrêtés au final sur cette arme en forme de "Y", dont le design renvoie au chromosome Y et au fait que dans les scientifiques du film tentent de dénicher un vingt-quatrième chromosome chez l'être humain. On trouve au-dessus de ce "Y" la source d'énergie, et juste en dessous le canon d'où sortent ces boules d'énergie. L'idée était intéressante : après il s'agissait de rendre cette arme réaliste et surtout pratique dans une situation de combat. Le réalisateur ne voulait pas d'une arme trop futuriste, mais quelque chose de vraiment réaliste."
Le bestiaire
Afin de donner vie aux monstres imaginés par les créateurs du jeu vidéo, la production s'est tournée vers le Stan Winston Studio qui s'était déjà occupé des xénomorphes d'Aliens le retour, du Predator ou encore du Terminator. Comme pour ces différentes créatures, un acteur devait se glisser dans un costume, ce qui est le cas une nouvelle fois dans Doom. Pour cela, la production a notamment fait appel à Doug Jones, récemment aperçu dans Hellboy sous le costume d'Abe Sapiens.
Les plateaux sur Mars
Afin de faire exister à l'écran la station de recherche souterraine si familière aux aficionados du jeu vidéo, les producteurs ont fait appel au décorateur Stephen Scott, deux fois nominé aux Oscars. Scott s'est intéressé de près aux technologies nécessaires à une architecture souterraine mais il a aussi analysé le jeu. : "Je voulais transposer l'esprit, l'atmosphère et l'ampleur du jeu dans la conception de certains décors." explique-t-il. "J'espérais que les fans du jeu reconnaissent certaines formes ou tel ou tel dispositif."
Clin d'oeil
Le personnage de Dr. Carmack, incarné par Robert Russel, a été nommé en référence à John Carmack, l'un des créateurs du jeu vidéo.
Tournage à Prague
Le tournage s'est entierement déroulé dans les Studios Barrandov de Prague, où ont été réalisés, entre autres, Van Helsing, Hellboy, Alien vs. Predator ou plus récemment Les Frères Grimm.
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Doomsday|Neil Marshall|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|2|britannique|2008|104|Anglais||XVID|||XVID|830 Kbps|608x256|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Benedict Carver Steven Paul|Neil Marshall|Sam McCurdy||SND||Un terrible virus annihile 90 % des habitants en Ecosse. Pour endiguer l'épidémie, le gouvernement anglais construit un mur infranchissable. L'Ecosse est désormais un no man's land barbare et violent où les survivants sont coupés du monde.Lorsque 30 ans plus tard, le même virus réapparaît au coeur de Londres, un commando de choc part en mission suicide rechercher un éventuel vaccin dans une Ecosse contrôlée par des gangs rivaux... |Rhona Mitra (Eden Sinclair)@Bob Hoskins (Bill Nelson)@Adrian Lester (Norton)@Alexander Siddig (John Hatcher)@David O'Hara (Michael Canaris)@Malcolm McDowell (Kane)@Craig Conway (Sol)@Emma Cleasby (Katherine Sinclair)@Jeremy Crutchley (Richter)@Christine Tomlinson (Eden Sinclair, jeune)@Vernon Willemse (David/Gimp)@Stephen Hughes (le soldat Johnson)@Tom Fairfoot (John Michaelson)@Jon Falkow (Capitaine Hendrix)@John Carson (George Dutton)@Nathalie Boltt (Jane Harris)@Susan Danford (l'agent du centre de commandes)@Rick Warden (Chandler)@Nora-Jane Noone (Read)@Leslie Simpson (Carpenter)@Chris Robson (Stevie Miller)@Sean Pertwee (le docteur Talbot)@Darren Morfitt (le docteur Ben Stirling)@Leanne Liebenberg (Viper)@MyAnna Buring (Cally)@Martin Compston (Joshua)@Cal Macaninch (le chancellier Falco)@Ryan Kruger (le soldat)@Garry George (l'homme de main)@Jason Cope (le gardien)@Karl Thaning (le pilote)@Adeola Ariyo (l'infirmière)@||Secrets de tournage :
Du fantastique au cinéma d'anticipation musclé
Après les films fantastiques Dog Soldiers et The Descent, le cinéaste Neil Marshall, considéré comme l'un des chefs de file du nouveau cinéma d'horreur britannique, aborde avec Doomsday un univers plus centré sur l'anticipation et l'action pure. Pour cet ambitieux projet, Marshall a souhaité une mise en scène "à l'ancienne". Il explique : "Je voulais absolument que les scènes d'action soient les plus réalistes possibles, ce qu'on voit très rarement au cinéma de nos jours. Il était hors de question d'utiliser des fonds verts ou de recourir au travail au filin : pour moi, il s'agissait de faire appel à des cascadeurs audacieux capables d'être suspendus à un bolide lâché à 130 km/h ou de sauter dans une voiture qui s'emplafonne dans une autre."
Des influences majeures
Doomsday rend hommage à des oeuvres majeures du cinéma d'anticipation des années 70/80 telles le Mad Max de George Miller ou le New York 1997 de John Carpenter, même si, selon le producteur Steven Paul, le réalisateur Neil Marshall "a apporté sa touche personnelle au film." Un réalisateur qui avoue, au sujet du cinéma d'anticipation et d'action qu'il remet au goût du jour : "C'est un genre un peu délaissé depuis quelques années, et qui me ramène aux films que j'adore."
Un voyage à travers l'imaginaire
Pour définir l'expérience Doomsday, le réalisateur Neil Marshall déclare : "Bien qu'on ait le sentiment d'un voyage dans le temps, on ne change pas vraiment d'époque. Les différents univers du film coexistent tout dans la même temporalité. J'espère surtout que le spectateur passera un bon moment, dans ce voyage à travers l'imaginaire."
Rhona Mitra : une actrice en action !
La jeune actrice britannique Rhona Mitra, l'héroïne de Doomsday, est plutôt spécialisée dans le cinéma d'action (Beowulf, Get Carter, Highwaymen : la poursuite infernale, Shooter tireur d'élite) et était donc la comédienne rêvée pour le réalisateur Neil Marshall. "Elle a été formidable à son audition, et quand on l'a revue à Londres, on a compris qu'on tenait notre Sinclair", affirme le cinéaste. "Son interprétation du personnage allait dans un sens très physique, ce qui ne l'empêchait pas de comprendre sa sensibilité et son rapport à son passé."
Un virus particulièrement répugnant
Les séances de maquillage de Doomsday montrant les répercussions du virus "La Faucheuse" ont demandé beaucoup de travail. "Le réalisateur Neil Marshall souhaitait que ça ait l'air aussi répugnant que possible", se souvient Paul Hyett, responsable des maquillages sur le film. "On voulait donner le sentiment que si un malade vous toussait dessus, vous pouviez en mourir ! J'ai étudié les symptômes de plusieurs maladies, notamment de mycoses et de maladies vénériennes. On trouve toutes sortes de maladies de peau peu ragoûtantes sur Internet..."
Un champion de karaté au casting
Hennie Bomana, champion de karaté sud-africain, a accompagné l'actrice Rhona Mitra dans sa préparation physique, notamment pour son combat contre le géant Telemon.
Lieux de tournage
Pour l'essentiel, le tournage de Doomsday s'est déroulé en Afrique du Sud. Après deux mois ensoleillés passés à l'extrémité du continent africain (ou furent tournées de nombreuses scènes extérieures), l'équipe est retournée à un climat plus frais, passant deux semaines en Ecosse puis bouclant le tournage à Londres.
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Double zéro|Gérard Pirès|Comédie||1|britannique, français|2004|84|Français||XVID|||XVID|1 009 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|127 Kbps|False|48.0 KHz|2|695||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Thomas Langmann|Matt Alexander|Denis Rouden||Warner Bros. France||Un missile vient d'être dérobé et la DGSE est sur les dents. Ses dirigeants pensent qu'il y a un traître dans la maison. Pour récupérer l'arme nucléaire, ils engagent en qualité de nouveaux James Bond deux losers accros aux jeux vidéos. Will et Ben serviront de couverture aux vrais espions. Mais si Will et Ben n'étaient pas si chèvre ?De Paris à la Jamaïque, se sentant investis de lourdes responsabilités, ils affrontent la sublime Natty Dreads et son armée de top models pour remonter jusqu'à leur chef mégalomane : Le Mâle. |Eric Judor (Ben)@Ramzy Bedia (Will)@Edouard Baer (Le Mâle)@François Berléand (Papa Mâle)@Nader Boussandel@Mathieu Delarive@Arthur Chazal (Le Mâle jeune)@Patrick Vo (Le frère de Miss Dan)@Georgianna Robertson (Natty Dreads)@Li Xin (Miss Dan)@Nino Kirtadze (Maman Mâle)@Atmen Kélif (Robinson)@Rossy de Palma (Le Monocle)@Lionel Abelanski (Système D)@Didier Flamand (Pierre de Franqueville)@Bernard Bloch (le lieutenant-colonel Fosse)@||Secrets de tournage :
Eric & Ramzy : le retour !
Le duo comique Eric & Ramzy fait son retour sur grand écran avec Double zéro, trois ans après la comédie d'action La Tour Montparnasse infernale, qui avait remporté un gros succès public dans l'hexagone (plus de 2 millions d'entrées).
Histoire d'un remake
Double zéro est le remake français de la comédie d'espionnage Drôles d'espions réalisée en 1985 par John Landis. C'est Chevy Chase et Dan Aykroyd qui incarnaient à l'époque les deux agents vedettes plongés dans de rocambolesques aventures. Thomas Langmann, le producteur de Double zéro, déclare s'être inspiré pour ce film de parodies comme Austin Powers, Y a-t-il un pilote dans l'avion ? ou encore La Tour Montparnasse infernale, déjà emmenée par le duo Eric & Ramzy.
Un réalisateur casse-cou et un scénariste mystère...
C'est Gérard Pirès, réalisateur casse-cou de Taxi et Riders, qui est aux commandes de Double zéro. Pour l'écriture, c'est le mystérieux duo qui officie sous le nom de Matt Alexander (Le Boulet, Blueberry, l'expérience secrète) qui a été réquisitionné.
Deux agents pas comme les autres
Eric & Ramzy sont particulièrement bavards lorsqu'il s'agit d'évoquer l'aventure Double zéro. "L'idée de faire ce film est née un jeudi vers 15h30", s'exclament-ils en choeur. "C'est donc une capricorne. Après avoir sauvé la Tour Montparnasse et Paris, ça nous démangeait de sauver le monde." Pour être fins prêts à affronter les pires dangers, Eric a suivi "une prépa HEC" alors que Ramzy a suivi une "préparation H". Enfin, aucun doute ne subsiste quant au doublage des scènes les plus dangereuses, le duo comique tenant à être très clair sur la question : "On a absolument exigé de faire toutes les scènes de cascades nous-mêmes, sauf les dangereuses."
Une star du PAF sur grand écran
Avec Double zéro, Edouard Baer, trublion du PAF et des ondes, poursuit sa carrière cinématographique, jalonnée de films tels que La Bostella, Dieu est grand, je suis toute petite, Astérix et Obélix : mission Cléopâtre ou Le Bison. Pour cette nouvelle aventure, il incarne Le Mâle, un truand mégalomane caché dans un repère sous-marin en Jamaïque. "On a cherché le personnage qu'on pouvait construire à partir de mon physique, de ma carrure", explique Edouard Baer. "Au départ, je voulais être une sorte de rappeur blanc, puis on a mixé ça avec une coiffure un peu hard-rock et des bijoux très voyants. Ensuite, on a travaillé la gestuelle, ma façon de parler aussi tout en restant crédible".
Une BO explosive !
La bande-originale de Double zéro réunit quelques-uns des plus grands noms du rap et du R'n'B hexagonal, parmi lesquels Kool Shen, Diam's, Momo Debbouze, Dadoo et la Fonky Family.
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Doubt|John Patrick Shanley|Drame||3|américain|2009|103|Anglais||XviD|||XVID|800 Kbps|608x320|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|692||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Scott Rudin|John Patrick Shanley|Roger Deakins||Miramax Films||1964, une école catholique dans le Bronx.La père Flynn, un prêtre de la paroisse, entraineur de basketball, est soupçonné d'avoir fait des attouchements sur un garçon noir de douze ans.Soeur Aloysius, directrice de l'école, a des doutes sérieux sur la moralité du prêtre mais n'arrive pas à établir les preuves nécessaires à son renvoi.Quand soeur James, une soeur naïve, vient lui raconter un événement impliquant le père Flynn et un garçon de l'école, soeur Aloysius estime que ses soupçons sont confirmés. Elle part donc en guerre contre le prêtre, bien determinée à le demasquer. L'aumônier accusé va tenter de se disculper mais soeur Aoysius n'a pas dit son dernier mot. La doute s'installe. Quelles en seront les conséquences ? Et si tout cela n'était qu'un malentendu ? |Meryl Streep (Soeur Aloysius Beauvier)@Philip Seymour Hoffman (Père Brendan Flynn)@Amy Adams (Soeur James)@Viola Davis (Mme Miller )@Alice Drummond (Soeur Veronica)@Audrie J. Neenan (Soeur Raymond)@Susan Blommaert (Mme Carson)@Carrie Preston (Christine Hurley)@John Costelloe (Warren Hurley)@Lloyd Clay Brown (Jimmy Hurley)@Joseph Foster (Donald Miller)@Bridget Megan Clark (Noreen Horan)@Evan Lewis (un paroissien)@Michael Roukis (William London)@Lloyd Clay Brown (Jimmy Hurley)@Paulie Litt (Tommy Conroy)@Haklar Dezso (le joueur de cithare)@Frank Shanley (Kevin)@Robert Ridgell (l'organiste)@Frank Dolce ( Ralph)@Paulie Litt (Tommy Conroy)@Matthew Marvin (Raymond)@Molly Chiffer (Sarah)@Lydia Jordan (Alice)@Suzanne Hevner (Mrs. Kean)@||Secrets de tournage :
18 ans après...
Doute est le deuxième film de John Patrick Shanley. Son précédent film, Joe contre le volcan était sorti sur les écrans français il y a 18 ans, en juin 1990 !
De la scène à l'écran
Doute est adapté de la pièce Doubt: A Parable que le réalisateur et scénariste John Patrick Shanley avait lui-même écrit. Jouée pendant plus d'un an à Broadway (525 représentations), elle avait remporté le Prix Pulitzer en 2005.
Naissance du doute
John Patrick Shanley revient sur ce qui l'a poussé à écrire Doute : "J'avais le sentiment d'être entouré par une société saturée de certitudes. Tout le monde avait une opinion tranchée sur tout, mais il n'y avait pas réellement d'échange, et si quelqu'un avait le malheur de dire " je ne sais pas ", il était aussitôt méprisé et mis au ban des médias. Cette posture d'assurance et de certitude s'est accentuée dans notre société, au point qu'une fissure a fini par apparaître. Et cette fissure, c'est le doute.
J'ai alors décidé d'écrire une pièce célébrant le fait qu'on ne peut jamais être certain de rien. J'avais envie d'explorer l'idée que le doute est par nature illimité et changeant, qu'il peut se développer et se modifier, alors que la certitude est une impasse. Là où il y a certitude, il n'y a plus de conversation possible, et c'est la conversation qui m'intéresse, parce qu'on pourrait aussi désigner cette conversation par un autre mot : la vie."
Au-delà du scandale
"Ce n'était pas le scandale lié à l'église qui m'intéressait, explique John Patrick Shanley mais la situation tranchée dans laquelle la plupart des gens n'hésiteraient pas une seconde à condamner quelqu'un, un cadre qui puisse me permettre de retourner ces suppositions contre le public en les montrant sous un autre jour."
Inspiré d'expériences personnelles
Pour écrire l'histoire de Doute, John Patrick Shanley s'est largement inspiré de ses propres expériences personnelles puisqu'il a lui-même été élevé dans des écoles religieuses strictes. Le personnage de soeur Aloysius vient ainsi de certaines religieuses qu'il a fréquentées.
5 nominations aux Oscars
Doute a permis à Meryl Streep d'obtenir sa 15e nomination aux Oscars ! Elle bat ainsi son propre record dans ce domaine. Philip Seymour Hoffman (meilleur acteur), Amy Adams et Viola Davis (Meileur actrice dans un second rôle) ainsi que John Patrick Shanley (Meilleur scénario adapté) ont également été cités.
Retrouvailles
Si Meryl Streep et Philip Seymour Hoffman n'avaient jamais joué ensemble au cinéma, ils s'étaient déjà donnés la réplique sur scène dans "La Mouette" de Tchekhov.
Avant Amy Adams...
L'actrice Natalie Portman était sur les rangs pour interpréter soeur James avant qu'Amy Adams n'obtienne finalement le rôle.
Travail d'immersion
Afin de préparer son rôle Meryl Streep a travaillé avec les religieuses du collège de Mount St. Vincent (où a été tourné une partie du film). Philip Seymour Hoffman a, quant à lui, passé du temps dans une église catholique afin de connaître le quotidien des curés.
Une période charnière
Le choix de situer le film dans les années 60 n'est pas innocent. Après le concile Vatican II de 1962, l'Eglise entamait en effet un mouvement de modernisation traduit dans le film par la personnalité du père Flynn. John Patrick Shanley "Je pense aussi que le père Flynn est un pur produit du début des années 60 par sa manière de remettre en question les institutions établies, tout en travaillant au sein du système. Il veut faire de l'Eglise qu'il aime une chose viable dans un monde en pleine métamorphose."
« Préc.
« Préc.
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Down in the Valley|David Jacobson|Drame|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|2006|107|Anglais||DX50|||DX50|805 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Holly Wiersma Edward Norton Adam Rosenfelt Stavros Merjos|David Jacobson|Enrique Chediak||Metropolitan FilmExport||Lorsque Tobe, une adolescente délurée, rencontre Harlan, c'est le coup de foudre. Le jeune homme est aussi beau que mystérieux...
Inquiet du comportement étrange et de la passion qu'inspire cet inconnu chez elle, Wade leur interdit définitivement de se revoir, mais Harlan n'a pas dit son dernier mot... |Edward Norton (Harlan)@Evan Rachel Wood (Tobe)@David Morse (Wade)@Rory Culkin (Lonnie)@Bruce Dern (Charlie)@John Diehl (Steve)@Kat Dennings (April)@Hunter Parrish (Kris)@Aviva (Sherri)@Aaron Fors (Jeremy)@Muse Watson (Bill Sr.)@Heather Ashleigh (Shell)@Geoffrey Lewis (Sheridan)@Elizabeth Pena (Gale)@Jennifer Echols (Rita)@Eloy Casados (Jesus)@Roger Marks (Big Hasid)@Ty Burrell (le Shérif)@Terrence Evans (le réalisateur)@Christina Cabot (l'assistante réalisatrice)@Ira David Wood (Craig le dealer)@||Secrets de tournage :
De Paris à San Fernando...
C'est pendant l'année qu'il a passée à Paris que David Jacobson a commencé à écrire le scénario de Down in the valley, dont l'idée de base était d'évoquer la vallée de San Fernando et le fait d'y grandir. Le cinéaste explique : "C'était assez étrange d'écrire sur un endroit comme la vallée de San Fernando tout en vivant à Paris. J'écrivais le plus souvent à la Bibliothèque Nationale, près du Palais Royal, et travailler dans ces lieux datant du XVIIIe siècle rendait le décalage encore plus étonnant. Dans un décor somptueusement rococo, j'écrivais sur un endroit dont l'accomplissement culturel majeur est une autoroute à deux fois six voies... C'était soit complètement fou, soit parfait, au choix !"
L'ombre des grands westerns...
Alors qu'il travaillait sur le scénario, en partie inspiré de son enfance dans la banlieue de Los Angeles, David Jacobson assista à une rétrospective des grands westerns dans la petite salle parisienne de l'Action Christine. Ce fut un déclic pour le cinéaste, qui voulut imprégner son film des mythes et des images du western : "J'ai commencé à voir des parallèles entre les paysages sauvages, le style de vie du vieil Ouest et ceux de l'Ouest moderne, là où j'ai grandi. Ce sentiment de solitude, la peur constante d'être attaqué violemment et le besoin d'un héros qui vienne à mon secours m'ont également semblé un point commun entre mon enfance et le western."
Entre scénaristes...
Le réalisateur David Jacobson a paufiné le scénario de Down in the valley au Screewriter's Lab du Sundance Institute. Un endroit où il put côtoyer des scénaristes tels que Stewart Stern (La Fureur de vivre), Jim Taylor (L'Arriviste, Sideways) ou encore John August (Big fish) et profiter de leur expérience.
L'arrivée d'Edward Norton
Edward Norton a été le premier acteur auquel a pensé le réalisateur David Jacobson. Avant de signer son contrat, Norton a tenu a rencontrer le cinéaste, entretien qui dura près de trois heures, puis a participer à la réécriture du script et a officier en tant que producteur sur le long-métrage.
Quand Norton devient... cow-boy !
Edward Norton s'est soumis à un entraînement intensif pour le film, afin de devenir un véritable cow-boy. Il a notamment travaillé avec Thell Reed sur le maniement des armes, Reed qui était considéré comme "le tireur le plus rapide des Etats-Unis" dans les années 50 ! Edward Norton passa également beaucoup de temps a améliorer sa pratique de l'équitation et a travailler le maniement du lasso.
Tourner dans "la" vallée de Jacobson
Les lieux de tournages de Down in the valley étaient particulièrement importants pour le réalisateur David Jacobson qui, avant même l'écriture du scénario, a voyagé dans la vallée de San Fernando pour y prendre de nombreuses photos. Il explique : "J'ai grandi à l'ombre de la freeway 405, littéralement. La vallée de San Fernando est un véritable personnage dans le film. J'ai commencé à prendre des photos dans le quartier où j'ai grandi, à Van Nuys, et j'ai fini par explorer des tas d'endroits où je n'étais jamais allé." David Jacobson voulait filmer "sa" vallée, mais avait du mal à expliquer ce qu'elle représentait pour lui. Un jour, après avoir photographié un immense paysage, d'un point de vue surplombant la vallée, il aperçut un pick-up garé au loin. Il s'approcha, remarqua deux paires de jambes derrière la camion puis... un couple faisant l'amour. "Un couple faisait l'amour dans ces vastes espaces... C'était exactement le genre d'endroits que je cherchais", glisse en souriant le cinéaste.
Des références de prestige
L'un des temps forts de la préproduction de Down in the valley fut quand Edward Norton se rendit chez United American Costumers. Il y trouva certains des costumes originaux de La Poursuite infernale, et en porta quelques-uns durant la scène de danse de la fin du film, hommage direct à la scène de danse du film de John Ford. Down in the valley renvoie également à un autre classique du western, La Rivière rouge d'Howard Hawks, dont le style visuel a fortement influencé David Jacobson : "J'aime la scène de nuit dans le brouillard, je l'ai utilisée comme référence pour la scène où Harlan essaie d'aider Lonnie à surmonter sa peur du noir."
Présenté à Cannes
Down in the valley a été présenté au Festival de Cannes 2005, dans la section Un Certain Regard.
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Dracula 2001|Patrick Lussier|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|2001|95|Anglais||DIV3|||DIV3|818 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|650||||25.000|13/08/2009 00:00:00|W.K. Border Joel Soisson|Joel Soisson Patrick Lussier|Peter Pau||Bac Films||Au XIXème siècle, à Londres, après des années de poursuite, Abraham Van Helsing parvient enfin à capturer le comte Dracula. Il s'empresse d'enfermer le corps maudit dans les soubassements de l'abbaye de Carfax. Celui-ci y reposera durant plus d'un siècle.En l'an 2000, l'abbaye de Carfax a laissé place à un important immeuble à bureaux, propriété de Matthew Van Helsing, l'un des descendants d'Abraham. En dépit d'une mystérieuse maladie, il veille à la protection du précieux bien qui sommeille sous les fondations.Il est secondé par Simon Sheppard, collectionneur d'armes antiques et spécialiste dans la chasse aux vampires. Les problèmes surviennent lorsqu'un groupe de voleurs experts en haute technologie parvient à s'introduire dans la chambre forte et tente d'ouvrir une crypte extrêmement bien protégée, celle de Dracula. Ces derniers manquent leur coup et le redoutable comte saisit l'occasion pour s'évader.Pendant ce temps, quelque part à la Nouvelle-Orléans, Mary Van Helsing mène une vie paisible de commerçante avec sa meilleure amie Lucy, préférant ne pas se mêler des affaires de son père. L'arrivée de Simon dans sa boutique vient mettre un terme à cette tranquille existence.Dracula rôderait dans les parages, et Simon se doit de le tuer avant que Marcus et son gang de cambrioleurs ne mettent la main dessus. Pour ce faire, il a besoin de l'aide de Mary. |Gerard Butler (le comte Dracula)@Christopher Plummer (Matthew Van Helsing, Abraham Van Helsing)@Justine Waddell (Mary Heller)@Jonny Lee Miller (Simon Sheppard)@Colleen Fitzpatrick (Lucy)@Jennifer Esposito (Solina)@Danny Masterson (Nightshade)@Jeri Ryan (Valerie Sharp)@Lochlyn Munro (Eddie)@Sean Patrick Thomas (Trick)@Omar Epps (Marcus)@Tig Fong (Dax)@Shane West (J.T)@Jonathon Whittaker (Gautreaux)@Robert Verlaque (Dr. Seward)@Nathan Fillion (Le père David)@Tom Kane (L'homme ancre)@Randy Butcher (Le surveillant 1)@David Davidson (Le surveillant 2)@Peter Cox (Le surveillant 3)@Chris Lamon (Le surveillant 4)@Herb Reischl Jr. (Le surveillant 5)@Duncan McLeod (Le surveillant 6)@Wayne Downer (Le garde à la caisse)@Robert Racki (Le garde à la porte)@William Prael (Le policier à la parade)@Kaaron Briscoe (La jeune collaboratrice)@Scarlett Huntley (La fille ensanglantée)@Harold Short (L'ange noir de la mort)@David J. Francis (Jesus)@Shimmy Silverman (Barker)@||Secrets de tournage :
Sur les traces de Wes Craven
Monteur de Wes Craven, Patrick Lussier creuse la veine fantastique de son mentor (ici producteur exécutif) avec ce film qui réunit quelques-uns de ses collaborateurs.
Un Dracula sans Bram Stoker
Dépassant le cadre du roman de Bram Stoker, Dracula est devenu un personnage du cinéma à part entière. Le plus célèbre des vampires est le héros de centaines de fictions qui sont autant de variations sur le thème. Dracula 2001 appartient à cette catégorie et y côtoie Le Fils de Dracula (Robert Siodmak, 1943), Mother Riley meets the vampire (John Gilling, 1952), Le Retour de Dracula (Paul Landres, 1958), Le Cauchemar de Dracula (Terence Fisher, 1958), Dracula, prince des ténèbres (id., 1966), Les Nuits de Dracula, La Maison de Frankenstein (Erle C. Kenton, 1944), La Maison de Dracula (id., 1945), Blacula, le vampire noir (la version "black" du mythe), Santo contre les femmes vampires, Santo contre le tresor de Dracula (deux films mexicains avec le mythique catcheur Santo), Dracula père et fils (Edouard Molinaro, 1976)...
Le réalisateur Patrick Lussier
Patrick Lussier, monteur pour la trilogie de Scream, La musique de mon coeur et Halloween 20 ans après, réactualise ici l'oeuvre de Bram Stoker. Dracula 2001 est le premier long métrage produit par la franchise Wes Craven's Present.
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Dragon Fighter|Phillip J. Roth|||||2003|89|Région 1 (||XviD|||XVID|939 Kbps|640x480|MPEG-1 Audio layer 3|32.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|27/08/2009 00:00:00|||||||Des scientifiques découvrent les restes d'un dragon mort depuis 1000 ans et décident de le cloner. La créature se développe plus vite que prévue et ne tarde pas à s'échapper dans les couloirs du laboratoire souterrain. L'équipe décide de mener le combat face au dragon avant qu'il ne s'échappe dans la nature. |Dean Cain (Le capitaine David Carver)@Hristo Shopov (Le capitaine Sergei Petrov)@Marcus Aurelius (Le docteur Greg Travis)@Robert DiTillio (Kevin Korisch)@Kristine Byers (Le docteur Meredith Winter)@Robert Zachar (Le docteur Ian Drackovitch)@Vesela Dimitrova (Bailey Kent)@Chuck Echert (Cookie)@||||||||||||@@
Red Dragon|Brett Ratner|Action|Interdit aux moins de 16 ans|3|américain|2002|119|||DX50|||DX50|705 Kbps|720x304|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|694||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Dino De Laurentiis Martha Schumacher|Ted Tally|Dante Spinotti||Metro Goldwyn Mayer (MGM)|Saga : Hannibal Lecter |Trois ans après avoir arrêté le docteur Hannibal Lecter, Will Graham vit paisiblement avec sa femme et son fils en Floride. Les blessures physiques que lui a infligées ce dangereux criminel ont disparu, mais il garde encore quelques séquelles psychologiques de sa rencontre avec lui. Cette mauvaise expérience l'a amené à se retirer du FBI.
Un jour, son ancien patron vient lui rendre visiste. Il a besoin de son aide pour traquer un tueur en série connu sous le nom de "la petite souris". Ce dernier a déjà massacré deux familles durant des nuits de pleine lune. Le FBI ne dispose que de quelques jours avant qu'il ne frappe à nouveau. Will ne se sent pas prêt à reprendre du service, mais a-t-il réellement le choix ?
Afin de comprendre les motivations de ce tueur, il se voit contraint de demander l'aide du docteur Lecter, qui se trouve au centre de détention psychiatrique de Baltimore. |Edward Norton (Will Graham)@Anthony Hopkins (le docteur Hannibal lecter)@Ralph Fiennes (Francis Dolarhyde )@Harvey Keitel (Jack Crawford )@Mary-Louise Parker (Molly Graham)@Emily Watson (Reba McClane)@Philip Seymour Hoffman (Freddy Lounds )@Barbara Kerr Condon (la grand-mère de Francis Dolarhyde )@Cliff Dorfman (l'officier Ovard)@Anthony Heald (le docteur Frederick Chilton)@Ken Leung (Lloyd Bowman)@Tom Verica (Mr. Leeds)@Ellen Burstyn (La voix de Grand-Mère Dolarhyde (non créditée))@Ellen Burstyn (La voix de Grand-Mère Dolarhyde (non créditée))@John Rubinstein (Un invité au dîner)@Frank Whaley (Ralph Mandy (non crédité))@Frank Langella (La voix du dragon (scènes coupées))@Bill Duke (Le chef de la police)@Alex D. Linz (Francis Dolarhyde jeune (voix))@Lalo Schifrin (Le conducteur)@Brenda Strong (Une invitée au dîner)@Marc Abraham (Un invité au dîner)@Christopher Curry (Mr Fisk)@Dwier Brown (Mr Jacobi)@Madison Mason (Commissaire de police)@Frankie Faison (L'infirmier Barney Matthews)@Frankie Faison (L'infirmier Barney Matthews)@Azura Skye (La libraire)@Gianni Russo (Newsie)@Lisa Thornhill (Mrs Sherman (non créditée))@Cliff Dorfman (Un policier)@Conrad E. Palmisano (Le député en voiture)@David Doty (Un invité au dîner)@Jeanine Jackson (Dr Hassler)@Joseph `Run' Simmons (Janitor)@Elizabeth Dennehy (Beverly)@Katie Rich (Une inspectrice)@Frank Bruynbroek (Chef)@Hillary Straney (La secrétaire du museum)@Lisa Haley (Une musicienne (non créditée))@Al Brown (Un garde)@Aaron Michael Lacey (Le cameraman (non crédité))@Michael Cavanaugh (Le dentiste)@Mary Beth Hurt (La conservatrice du musée (non créditée))@Stanley Anderson (Jimmy Price)@William Lucking (Byron Metcalf)@Thomas Curtis (Billy Leeds)@Mark Moses (Le père dans la vidéo)@Marguerite MacIntyre (Valerie Leeds)@Robert Curtis Brown (Un invité au dîner)@Mary Anne McGarry (Une invitée au dîner)@Tyler Patrick Jones (Josh Graham)@Tanya Newbould (La secrétaire de Chromalux)@Veronica De Laurentiis (Une invitée au dîner)@Alex Berliner (Un photographe)@Andreana Weiner (La secrétaire du Docteur Bloom)@Anthony Reynolds (Un agent du FBI)@Edward Nickerson (Un agent du FBI)@Grace Stephens (Une fille de Mr Jacobi)@Jordan Gruber (Sean Leeds)@Lucy Stephens (Une fille de Mr Jacobi)@Kevin Bashor (Le fils de Mr Jacobi)@Morgan Gruber (Susie Leeds)@Kyra Helfrich (L'enfant dans la vidéo)@Norman Fessler (Le chauffeur (non crédité))@Patty Malcolm (Une invitée au dîner (non créditée))@Paul Majors (Le garde de l'hôpital (non crédité))@Sho Brown (Un officier (non crédité))@Robert Randolph Caton (Le patron du musée (non crédité))@Richard Pelzman (Locksmith)@Terence Rowley (Le superintendant)@Tim Wheater (Le flûtiste)@Phillip B. Fahey (Un policier)@||Secrets de tournage :
Premier opus de la trilogie "Lecter"
Dragon Rouge constitue le premier volet de la trilogie Hannibal Lecter écrite par Thomas Harris. Ce dernier déclina par la suite les méfaits du docteur cannibale à travers deux autres romans qui firent l'objet d'adaptations au cinéma : Le Silence des agneaux et Hannibal.
D'autres acteurs pressentis
Au cours du développement de Dragon rouge, Brett Ratner était en négociations avec Sean Penn pour qu'il tienne le rôle de Francis Dolarhyde, mais ces pourparlers n'ont finalement pas abouti. Jude Law était également pressenti pour incarner le docteur Hannibal Lecter à son jeune âge, tandis que Jodie Foster devait faire une apparition clin d'oeil dans le film. Mais ces deux acteurs n'ont jamais confirmé leur attachement au projet.
Brett Ratner sous pression
Entreprendre le tournage de ce film constituait pour Brett Ratner un véritable défi. Ce dernier confie : "Je n'avais jamais ressenti une telle pression. Dragon rouge a été sans conteste le film le plus difficile de ma carrière. Je n'arrivais pas seulement après Michael Mann, Jonathan Demme et Ridley Scott ; j'avais aussi à diriger une troupe de rêve... dont chaque élément possède sa propre méthode."
L'élaboration des décors
Chef décoratrice et réalisatrice deuxième équipe de Le Silence des agneaux, Kristi Zea apporta sa connaissance intime de la personnalité et de l'environnement d'Hannibal. A la sortie du Silence des agneaux, ses plans de la cellule de Lecter avaient été légués à l'American Museum of Moving Image de New York. La production les en sortit pour recréer cette cellule en parfaite conformité avec l'original.
Les décors conçus par Kristi Zea pour ce troisième volet tissent également des liens précis entre le passé et le présent de Lecter. La décoratrice dessina les intérieurs du psychiatre en s'inspirant partiellement des appartements de Sigmund Freud, mais veilla à leur conférer une authentique "touche Lecter", mêlant de savants arrangements floraux à une impressionnante collection d'oeuvres d'art et d'antiquités.
Les doutes d'Anthony Hopkins
En se voyant offrir pour la troisième fois (après Le Silence des agneaux et Hannibal) la possibilité d'incarner Hannibal Lecter à l'écran, Anthony Hopkins a émis quelques doutes. Celui-ci s'explique : "Au départ, je n'étais pas sûr de vouloir endosser à nouveau ce rôle." Mais ses hésitations se sont envolées sitôt qu'il a appris que Ted Tally écrivait le scénario de Dragon rouge.
Nouveau prologue à "Dragon rouge"
Le succès mondial du Silence des agneaux amena Thomas Harris à rééditer Dragon rouge avec un prologue qui évoquait la relation, complexe et tourmentée, de Graham et Lecter. Le producteur Dino De Laurentiis souhaitait aller plus loin, coller de plus près au roman et à son dénouement. Il souhaitait également tirer profit du nouveau prologue de Harris et en développer les prémices. Dino De Laurentiis s'enthousiasme : "Pour la première fois le spectateur découvrira Hannibal avant sa capture et apprendra comment et par qui il a été appréhendé."
Les collaborateurs de Brett Ratner
Brett Ratner s'est adjoint les services de plusieurs de ses collaborateurs de Family man, dont le directeur de la photographie Dante Spinotti, la chef décoratrice Kristi Zea, la chef costumière Betsy Heimann et le chef monteur Mark Helfrich.
"Dragon rouge" déjà adapté au cinéma
Dragon rouge, premier roman de la trilogie Hannibal écrit par Thomas Harris, a déjà été adapté au cinéma par Michael Mann. Réalisé en 1986, ce film interprété par William L. Petersen s'intitulait Le Sixième Sens. Le personnage d'Hannibal Lecter était alors incarné par Brian Cox.
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George and the Dragon|Tom Reeve|Action|||Etats-unis/Allemagne/G.-B.|2003|89|||XviD|||XVID|950 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|696||||25.000|28/07/2009 00:00:00|||||||Le jour ou Luna, la fille du roi disparaît, Georges un valeureux chevalier, accompagné de son fidéle guerrier Garth, partent à la recherche de de la princesse. En affrontant de multiples dangers, leur route va croiser celle d'un gigantesque dragon et de dangereux mercenaires. Les aventures de Georges, le chasseur de dragons, vont faire de lui un héros légendaire. |James Purefoy@Piper Perabo@Patrick Swayze@Michael Clarke Duncan@Bill Treacher@Jean-Pierre Castaldi@Rollo Weeks@Paul Freeman@Stefan Jürgens@Phil McKee@Caroline Carver@Joan Plowright@Simon Callow@Carl Chase@Bill Oddie@Stefan Weinert@||||||||||||@@
Lung Fu Moon|Wilson Yip|Action||2||2006|90|||XVID|||XVID|944 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|06/08/2009 00:00:00|||||Pathé Distribution||Le Dragon Tiger Gate est une école d'arts martiaux fondée par Wong Fuhu pour protéger les citoyens des agissements des triades. Celui-ci a eu deux fils (Dragon et Tiger) de deux femmes différentes. Lorsque sa mère décède, Dragon est pris sous son aile par Ma Kun, un chef de triade d'une école rivale nommée Luosha Gate. Au fil des années, Dragon devient ainsi le garde du corps de Ma Kun. Les deux demi-frères sont alors amenés à s'affronter. |Donnie Yen (Dragon Wong )@Nicholas Tse (Tiger Wong )@Dong Jie (Ma Xiaoling )@Kuan Tai Chen (Ma Kun )@Shawn Yue (Turbo Shek )@Li Xiaoran (Lousha)@Tommy Yuen (Xing)@Wah Yuen (Wong Jianglong )@Xing Yu (Fan)@Vincent Sze (Scaly)@||||||||||||@@
Dragonball Evolution|James Wong|Action|Film pour enfants à partir de 6 ans|1|américain|2009|76|Anglais||DX50|||DX50|1 144 Kbps|704x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Stephen Chow|Ben Ramsey|||20th Century Fox||Dans les temps anciens, la Terre faillit être détruite par des forces maléfiques. Pour s'en prémunir, sept sages créèrent les boules de cristal : les Dragonballs. Décidées à prendre leur revanche, les forces du Mal sont désormais de retour, et un seul guerrier d'exception est capable d'empêcher le pire. Le jeune Sangoku va alors découvrir le jour de ses 18 ans que son destin est trés loin de ce qu'il avait imaginé.Après la mort accidentelle de son grand-père, il rencontre Maître Roshi, un expert en arts martiaux qui lui révèlera le secret et le pouvoir des Dragonballs. Sangoku se retrouve alors investi d¹une mission cruciale : retrouver toutes les boules de cristal avant son ennemi le plus cruel, Piccolo. Il se lancera dans une course effrénée aux côtés de Bulma, une scientifique brillante, Yamcha, un bandit du désert, et Chi Chi pour qui son coeur bat.Pour Sangoku, cette quête des Dragonballs pourrait bien aussi être celle de son identité. |Justin Chatwin (Sangoku)@Emmy Rossum (Bulma)@Jamie Chung (Chi Chi)@Chow Yun-Fat (Tortue Géniale / Roshi)@James Marsters (Piccolo)@Park Joon (Yamcha)@Eriko Tamura (Mai)@Randall Duk Kim (Sangohan)@Ernie Hudson (Sifu Norris)@Texas Battle (Carey Fuller)@Luis Arrieta (Weaver)@Richard Blake (II) (Agundas)@Shavon Kirksey (Emi)@Julian Sedgwick (Monsieur Kingery)@||Secrets de tournage :
L'adaptation d'un manga culte
Dragonball Evolution est l'adaptation en un long métrage live de la série de mangas culte écrite et illustrée par Akira Toriyama entre 1984 et 1995. L'artiste publie d'abord un court manga (Dragon Boy) en juin 1983 qui, par son succès, l'incite à lancer Dragon Ball (42 tomes vendus à plus de 250 millions d'exemplaires à travers le monde, 17 millions en France). Akira Toriyama s'est également inspiré du conte chinois shinto-bouddhiste Le Voyage en Occident dont il a conservé le nom du héros (Son Gokû), ainsi que le nuage, le bâton magique ou encore l'éventail.
Avant le cinéma, un carton à la télé !
Le manga Dragon Ball a été adapté en une célèbre série animée supervisée par le studio Toei. Elle était divisée en deux programmes : Dragon Ball, diffusé entre 1986 et 1989, puis Dragon Ball Z, diffusé entre 1989 et 1996. Une suite, intitulée Dragon Ball GT, a été diffusée en 1996 et en 1997, mais elle n'est pas inspirée du manga d'origine. A noter enfin que de nombreux jeux vidéo adapté du manga Dragon Ball ont été créés, ainsi que des bandes dessinées et des romans graphiques, preuve de l'engouement extraordinaire suscité par l'oeuvre d'Akira Toriyama.
Vingt ans d'attente et de folles rumeurs
La 20th Century Fox a acquis les droits d'adaptation de Dragon Ball au cinéma en 1989. Il a donc fallu attendre près de vingt ans pour l'adaptation live du manga culte prenne forme. Durant tout ce temps, de nombreuses rumeurs (souvent fantaisistes et infondées) ont circulé, annonçant, entre autres, Sylvester Stallone, Jean-Claude Van Damme, Hugh Jackman ou encore Orlando Bloom devant la caméra.
Quand "Dragonball" devient un film
Le manga Dragonball a connu quatre adaptations en films d'animation : Dragon Ball : La légende de Shenron, réalisé par Daisuke Nishio, puis Dragon Ball : Le Château du démon (1987), Dragon Ball : L'Aventure mystique (1988) et Dragon Ball : L'Armée du ruban rouge (1996). En 1989, une première adaptation live du manga est réalisée avec le film philippino-taïwanais La Légende des 7 boules de cristal. Vingt ans plus tard, Dragonball Evolution remet en vedette, en chair et en os, les célèbres personnages.
Action + humour + relationnel = "Dragonball Evolution"
Avec Dragonball Evolution, le réalisateur James Wong et le scénariste Ben Ramsey ont voulu créer un film centré sur l'action, l'humour et les relations entre les personnages. Le réalisateur explique : "Nous avons cherché un juste équilibre entre fantastique et réalisme. Bien sûr, il y a des scènes d'action titanesques, des effets visuels incroyables et des combats d'arts martiaux très élaborés, mais nous avons aussi exploré les personnages et leur histoire, et développé leurs relations." Le scénariste raconte quant à lui qu'"au-delà de ses fabuleuses histoires, l'intérêt de "Dragonball" réside dans la richesse du monde qu'a créé Akira Toriyama. Il y a une complexité et une humanité dans ses personnages surhumains, ainsi qu'un sens profond de l'optimisme, particulièrement sensible chez son héros principal, Sangoku."
Justin Chatwin est Sangoku !
C'est le jeune acteur canadien Justin Chatwin (le fils de Tom Cruise dans La Guerre des mondes) qui a été choisi pour avoir le redoutable honneur d'incarner le héros Sangoku dans Dragonball Evolution. Il observe : "Quand son aventure commence, Sangoku est un adolescent comme les autres, mais il va découvrir qu'il est bien davantage et devenir un véritable symbole du bien.". La quête héroïque de Sangoku a particulièrement intéressé Justin Chatwin, lui qui admire depuis longtemps l'oeuvre de Joseph Campbell, un spécialiste des mythes qui a beaucoup écrit sur le rôle de la figure du héros.
Dans la peau d'un personnage culte
Justin Chatwin évoque sa réaction quand il appris qu'il allait incarner le personnage culte de Sangoku dans Dragonball Evolution : "(...) ...j'étais très heureux parce que j'ai toujours adoré le manga Dragonball. Le dessin animé était encore plus populaire chez la génération qui a suivi la mienne, je me souviens que les petits frères de mes copains n'arrêtaient pas de parler de Sangoku. Ils passaient leur temps à rejouer les batailles et à s'imaginer dans la peau des personnages. J'aime beaucoup Sangoku, il symbolise l'honnêteté et la droiture, il se bat pour le bien et l'espoir, et son objectif est de créer un monde meilleur, plus sûr et plus agréable. On s'amuse beaucoup sur le tournage, j'ai l'impression d'être un gamin de six ans qui joue aux pistolets et à combattre les méchants au fond du jardin avec ses copains. Je donne des coups de poing, des coups de pied, je vole dans les airs, c'est un vrai rêve de gosse !"
Un spécialiste du fantastique aux manettes
Dragonball Evolution est dirigé par le réalisateur hong-kongais James Wong. On lui doit notamment les très efficaces films fantastiques Destination finale et Destination finale 3, dont il est également le scénariste, ainsi que le film d'action The One, avec Jet Li. James Wong est par ailleurs scénariste et producteurs de nombreux épisodes de la saga télévisée culte X-Files : Aux frontières du réel.
Un réalisateur vite conquis
James Wong, le réalisateur de Dragonball Evolution, évoque la manière dont il abordé l'adaptation du manga culte Dragon Ball sur grand écran : "Je me suis beaucoup documenté sur le manga parce que je ne le connaissais pas avant de faire le film, contrairement à mes enfants qui sont des fans du dessin animé Dragonball Z. Quand j'ai lu les bandes dessinées, j'en suis vraiment tombé amoureux. (...) Elles vous emportent dans un monde merveilleux plein de personnages passionnants et très amusants. (...) Les histoires étaient passionnantes, drôles et très riches, cela m'a donné très envie de faire connaître Dragonball à un large public. Les fans du manga sont déjà conquis par cet univers, mais j'espère que le film leur plaira aussi."
Le créateur du manga à la production
Akira Toriyama, le créateur du manga culte Dragon Ball est particulièrement impatient de voir le film Dragonball Evolution, dont il est le producteur exécutif. Il déclare : "La meilleure façon pour moi et tous les fans de l'apprécier est de voir ça comme un nouveau "Dragonball" d'une autre dimension."
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Dreamcatcher|Lawrence Kasdan|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|1|américain, canadien|2003|128|Anglais||DX50|||DX50|621 Kbps|720x288|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|669||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Charles Okun Lawrence Kasdan|William Goldman Lawrence Kasdan|John Seale||Warner Bros.||Après avoir été longuement séparés, quatre amis d'enfance se retrouvent dans les forêts du Maine, au nord-est des Etats-unis. Dotés de pouvoirs télépathiques suite à un acte héroïque, ils sont surpris par un blizzard qui cache une mystérieuse force maléfique. Le quatuor doit alors empêcher le massacre de civils innocents et affronter un horrible danger qui menace la Terre. |Morgan Freeman (le colonel Curtis)@Thomas Jane (le docteur Henry Devlin )@Jason Lee (Joe "Beaver" Clarenton)@Damian Lewis (Jonesy )@Timothy Olyphant (Pete)@Tom Sizemore (Owen Underhill )@Donnie Wahlberg (Duddits)@Jonathan Kasdan (David Defuniak)@||Secrets de tournage :
Basé sur le roman de Stephen King
Dreamcatcher est basé sur le roman homonyme de Stephen King paru en 2001
Castle Rock, spécialiste de King
Productrice de Dreamcatcher, la société Castle Rock Entertainment est déjà à l'origine de six autres adaptations de romans de Stephen King : Stand by me, Misery, Les Evadés, Dolores Claiborne, La Ligne verte et Coeurs perdus en Atlantide.
King admiratif
Pour Stephen King, Dreamcatcher est le "premier film d'horreur et de suspense pleinement satisfaisant qu'un de mes livres ait inspiré au cours de quinze dernières années".
Une longue recherche
Plutôt connu pour ces drames humains, Lawrence Kasdan cherchait depuis longtemps un projet qui lui permettrait d'avoir recours à de nombreux effets spéciaux. Le réalisateur a été largement servi puisque pas moins de 400 effets visuels émaillent le film, de poursuites dans la neige à la création de monstres en passant par un crash d'hélicoptère.
William Goldman : troisième
L'adaptation des quelque 600 pages du roman originel de Stephen King a été confiée au scénariste William Goldman, qui avait déjà rédigé les versions cinéma de Misery et Coeurs perdus en Atlantide.
Créer une maladie
Pour les besoins de l'intrigue de Dreamcatcher, l'équipe de maquillage a dû inventer une maladie biologique totalement fictive. Parmi ses victimes, l'acteur Donnie Wahlberg, qui incarne l'un des membres de la bande infecté par le virus, a dû subir un traitement spécial : rasage du crâne, abandon de plusieurs kilos, séances de maquillage intenses, le tout pour donner à son personnage un air maladif.
Les retrouvailles Kasdan ? Sizemore
Dreamcatcher marque les retrouvailles de Tom Sizemore avec Lawrence Kasdan, qui l'avait dirigé en 1994 dans Wyatt Earp.
Tournage à trois caméras
Directeur de la photographie de Dreamcatcher, John Seale a tourné certaines scènes avec pas moins de 3 caméras différentes, afin de multiplier les points de vue et donc de faciliter le montage.
Conditions extrêmes
Pour figurer la forêt du Maine dans laquelle est censée se dérouler une grande partie de l'intrigue du film, les équipes de Dreamcatcher se sont déplacées en Colombie Britannique, à l'Ouest du Canada. Elles ont dû y affronter des conditions atmosphériques plus que difficiles, le thermomètre descendant parfois au-dessous des ?37 degrés.
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Dreamscape|Joseph Ruben|Science fiction||2|américain|1984|99|Anglais||XviD|||XVID|862 Kbps|704x384|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|48.0 KHz|2|696||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Stanley R. Zupnik Bruce Cohn Curtis|David Loughery|Brian Tufano||||Le gouvernement américain a mis au point, et ce dans le plus grand secret, un système permettant à un télépathe de pénétrer dans le rêve d'une personne endormie. |Dennis Quaid (Alex Gardner)@Max von Sydow (Docteur Novotny)@Christopher Plummer (Bob Blair)@Kate Capshaw (Jane)@Eddie Albert (le président)@Madison Mason (Fred Schoenstein)@Jana Taylor (Melanie Webber)@||||||||||||@@
D-Tox|Jim Gillespie|Thriller|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|2002|91|Anglais||DIV3|||DIV3|866 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|660||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Brian Grazer Ron Howard Karen Kehela Ric Kidney Kevin King|Ron L. Brinkerhoff|Dean Semler||United International Pictures (UIP)||Jake Malloy, un agent du FBI, n'est plus que l'ombre de lui-même. Alors qu'il s'apprêtait à épouser sa compagne Mary, celle-ci a trouvé la mort, victime d'un tueur de flics. Ce geste gratuit restera à jamais ancré dans la mémoire de Jake.
Plusieurs mois s'écoulent, le policier sombre dans l'alcoolisme et veut mettre fin à ses souffrances en se suicidant. Son collègue Hendricks l'envoie alors dans un centre de désintoxication, appelé D-Tox, afin qu'il reprenne goût à la vie. Ce centre, situé au coeur des régions montagneuses du Wyoming, est uniquement occupé par des policiers en dépression.
Cependant, une malédiction poursuit Jake et frappe de nouveau dans son entourage. Tandis qu'un terrible blizzard s'abat sur la région, un patient est assassiné, bientôt suivi d'un second. Le tueur de flics se cache parmi eux. |Sylvester Stallone (Jake Malloy)@Charles S. Dutton (Chuck Hendricks)@Tom Berenger (Hank)@Kris Kristofferson (Dr John Mitchell (Doc))@Robert Patrick (Pete Noah)@Robert Prosky (Matthew Charrey)@Jeffrey Wright (Lenny Jaworski, alias "Smiley")@Sean Patrick Flanery (Slater)@Polly Walker (Jenny)@Stephen Lang (Jack Bennett)@Dina Meyer (Mary)@Courtney B. Vance (Jones)@Angela Alvarado (Lopez)@Christopher Fulford (Slater)@Frank Pellegrino (Jimmy)@Rance Howard (Geezer)@Yves Cameron (Killer)@James Kidnie (Red)@Peter Flemming (Un officier)@Tim Henry (Weeks)@Chris Nelson Norris (Un lieutenant de police)@Hrothgar Mathews (Manny)@Alan C. Peterson (Gilbert)@Bill Mackenzie (Le barman)@||Secrets de tournage :
Vous avez dit blizzard ?
Avant et pendant le tournage, la neige tomba quasiment sans interruption, l'équipe dut même faire appel à des dizaines de camions et d'engins pour dégager les voies d'accès aux différents plateaux. Toutefois, le cinéaste désirait encore plus de neige et un blizzard encore plus épais, c'est pourquoi de nombreuses machines à vent, disposées en des lieux stratégiques, furent amenées sur les lieux du tournage.
Un bunker de pâte et de carton
Le bunker représentait à la fois un défi artistique et technique. Il s'agissait de créer un espace crédible sans rien de futuriste. Il n'y a que la surface du bunker qui est réelle et possède des murs très épais ainsi qu'un minimum de fenêtres et d'ouvertures afin de ressembler au maximum à une ancienne installation militaire capable de suggérer une sorte de ville souterraine. Les intérieurs du centre de désintoxication eux, furent tournés dans l'enceinte du parc des expositions de Vancouver (Canada), ainsi que dans les souterrains d'un port maritime.
Du monastère au bunker
L'intrigue se déployait originellement dans un vieux monastère victorien désaffecté transformé en centre de cure, mais la reconstitution exacte et détaillée étant trop coûteuse, les producteurs décidèrent de choisir un lieu plus épuré. C'est alors que le cinéaste Jim Gillespie découvre un ouvrage assez particulier : Archéologie des bunkers et réoriente à partir de ce dernier le script tout entier.
Un tournage rude et éprouvant
Les prises de vues de Compte à rebours mortel ont débuté en janvier 1999 pour finir au mois de mai dans la vallée de Callaghan en Colombie britannique. La production avait sélectionné pour les extérieurs du centre de désintoxication, un site coupé du monde, où les températures hivernales, associées à un enneigement record, créèrent des conditions de travail particulièrement difficiles.
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Du jour au lendemain|Philippe Le Guay|Comédie||2|français|2006|88|Français||XviD|||XVID|967 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|130 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Philippe Rousselet|Olivier Dazat|Jean-Claude Larrieu||Mars Distribution||La vie est bien ingrate pour François Berthier : un chien hurle toute la nuit et l'empêche de dormir, la machine a café lui explose au visage, il pleut, le chef de bureau à la banque l'humilie et le menace de renvoi.
Et puis, du jour au lendemain, tout ce qui était violent ou pénible pour François se transforme comme par miracle.
Que se passe-t-il ? Pourquoi le monde devient-il si brusquement doux et enchanteur ? C'est l'énigme que va essayer de résoudre François.
Mais il ne suffit pas que les choses se passent bien, encore faut-il les accepter... |Benoît Poelvoorde (François Berthier)@Bernard Bloch (Magne)@Anne Consigny (Caroline)@Constance Dolle (Marion)@Anne Le Ny (Mme Delassus)@Rufus (Cremer)@Flannan Obé (Thierry)@Robert Castel (Mr Plisson)@François-Eric Gendron (Laurent)@Lauriane Escaffre (Collègue François)@Bernard Ballet (Mr Mercier)@Manuela Gourary (Mme Mercier)@Catherine Chevallier (Médiatrice)@Michaël Cohen (Lucas)@Michelle Marquais (Mme Magne)@Mhamed Arezki (Livreur pizza)@||Secrets de tournage :
Paroles de cinéaste
"C'est une fable contemporaine, avec un point de départ quasi fantastique. L'histoire met en scène un homme en proie à mille petites agressions, des vexations, des contrariétés qui n'ont en soi rien d'exceptionnel. Dans une société urbaine, c'est le tissu dans lequel chacun de nous évolue. Et brusquement, du jour au lendemain, la vie de cet homme va s'éclairer, tout ce qui lui faisait violence va tourner en sa faveur. C'est comme si le monde s'accordait à ses désirs... Il cherche une explication à cet enchantement, et il n'en trouve pas ! Il y a donc ce postulat un peu magique, mais qui se déroule dans un univers réaliste."
Influences
Les influences littéraires du réalisateur sont variées "Le cauchemar de François, c'est que la réalité dans son ensemble se met à lui sourire. Il y a là quelque chose de totalitaire, c'est "le Meilleur des Mondes" d'Huxley ! C'est contre cette obligation du succès que le personnage se révolte à la fin. Du reste, j'avais tourné plusieurs plans de caméras de surveillance tout au long du film", confie Philippe Le Guay. Des écrivains comme le Russe Fedor Mikhaïlovitch Dostoievski lui ont aussi servi de sources d'inspiration : "Chaque personnage est une déclinaison possible de François. Le vigile interprété par Rufus représente ce que François pourrait devenir vingt ans plus tard. Cet homme a cessé d'y croire, il n'attend plus rien de la vie, c'est vraiment l'homme du souterrain décrit par Dostoïevski". De son côté Benoît Poelvoorde nous raconte qu'ils se sont même inspirés de dessins ! "Avec Philippe Le Guay, nous nous sommes inspirés des dessins de Sempé où l'on voit souvent un petit bonhomme perdu dans un univers trop grand et qui demande juste d'être tranquille. C'est l'image de François rencogné dans son minuscule bureau..." nous livre l'acteur.
Du jour sans fin ?
Le scénario de Du jour au lendemain nous présente le personnage principal comme une victime poursuivi au quotidien par une suite d'événements malheureux, comme si cela n'avait pas de fin. On notera donc une certaine similitude avec le film d'Harold Ramis Un jour sans fin. Une influence que le réalisateur n'hésite pas à citer : "un peu comme dans Un jour sans fin d'Harold Ramis, un film que j'admire énormément. On ne saura jamais pourquoi tout s'est arrangé le mardi, c'est un postulat !".
Dates de tournage
Le tournage du film s'est terminé le samedi 9 juillet 2005 dans le 13ème arrondissement à Paris, deux mois après le premier clap.
Premier jet
Dans la première version de son scénario, Olivier Dazat expliquait le soudain bonheur de François Berthier, le personnage principal, par une conspiration des services secrets : ils veilleraient à sa joie puis obserververaient par la suite ses réactions. Mais le réalisateur a préféré se focaliser sur la psychologie de François et délaisser les éclaircissements ; en guise de justification, il cite une phrase de Jean Cocteau, qui pourrait être le leitmotiv du film : "Le succès est un malentendu".
Benoît Pooelvoorde, tête d'affiche
Philippe Le Guay, en choisissant Benoît Poelvoorde pour jouer le rôle principal, savait que la notoriété du comédien lui laisserait la possibilité de choisir des acteurs moins connus, mais qui n'en restent pas pour autant excellents. Anne Consigny (vue en 2005 dans Je ne suis pas là pour être aimé), Bernard Bloch, Anne Le Ny et Rufus complètent ainsi la distribution.
Inspiration graphique
Pour créer l'univers visuel du film, Philippe Le Guay s'est inspiré des dessins de Sempé, le papa du Petit Nicolas. Et quand le réalisateur dépeint les décors du Jour au lendemain comme des "décors immenses avec un tout petit personnage qui s'étonne", il est vrai qu'on peut reconnaître la griffe du dessinateur. Philippe Le Guay décrit Sempé comme un "champion de l'oservation quotidienne (...). Chez lui, il y a un mélange de légèreté et d'inquiètude".
Il évoque les décors ainsi créés, et la direction artistique qu'il a voulu prendre : "Je tenais à une sorte d'abstraction quotidienne, un familier décalé. J'ai évité les rues de Paris pour privilégier des décors élégants et un peu vides, comme ceux de la galerie marchande".
Benoît dans tous ses états
Philippe Le Guay avoue avoir cherché à retrouver l'intimité que Woody Allen arrive à créer entre ses personnages, qu'il arrive à transcrire en plaçant généralement ses deux protagonistes sous la pluie. Le réalisateur s'est donc inspiré du cinéaste new yorkais en mettant Benoît Poelvoorde ... sur roues ! "Je voulais un moment de complicité entre François et cette fille croisée dans le self. (...) Avec les rollers, François est en état d'apesenteur, il flotte littéralement. Il est en accord avec lui même, avec le monde. Tout se passe sans un mot, ils se regardent, ils se prennent la main ..."
Philippe Le Guay connait la chanson
Dans Du jour au lendemain, Philippe Le Guay n'a pas hésité à inserer une séquence de comédie musicale, hommage à un réalisateur qu'il admire beaucoup, Jacques Demy. Selon lui, ce genre est "par principe une embellie. (...) Les personnages esquissent un pas de danse, ils fredonnent une chanson et c'est la réalité qui s'enchante. Dans un film qui raconte le passage du gris à la lumière, la comédie musicale était un passage obligé."
Cependant, le réalisateur a bien veillé à ce que la séquence musicale ne soit pas un simple moment de comédie, sans justification. Pour cela, il a fait appel au compositeur Philippe Rombi, avec qui il avait déjà travaillé sur Le Coût de la vie et qui a collaboré à de nombreuses reprises avec François Ozon (Swimming pool, Sous le sable, Les Amants criminels). Il lui a demandé une chanson qui "prolonge l'état intérieur du personnage".
A la poursuite du bonheur
Du jour au lendemain le bonheur qu'un homme triste et malheureux parvient à obtenir, ou plutôt le bonheur tel qu'il l'imaginait et les conséquences que cela aura sur sa vie. Benoît Poelvoorde, qui incarne ce personnage, a une vision très lucide du bonheur : "Le bonheur s'inscrit soit dans le passé "ah, j'étais heureux !" soit dans la projection qu'"Un jour peut être ...". La difficulté est d'apprécier le bonheur à l'état présent, malgré sa durée éphémère. A trop réflechir, on passe son temps à s'observer comme un rat de laboratoire, et on rate tout. (...) Le bonheur est à la fois dense et fragile. Sa fragilité fait sa richesse, et son éphémère sa grandeur. Pour moi, le bonheur serait d'arriver à être en adéquation avec ce que je ressens."
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« Préc.
Le comédien avait également participé à Entre ses mains, dans lequel Benoît Poelvoorde tenait l'un des rôles principaux.
La musique du film
Philippe Rombi, compositeur régulier de François Ozon, a écrit la musique de Du jour au lendemain. Ce ne n'est pas la première fois que le réalisateur Philippe Le Guay et Philippe Rombi travaille ensemble : "J'avais beaucoup aimé faire la musique du Coût de la vie et j'avais donc hâte de savoir quelle nouvelle histoire Philippe le Guay allait me proposer cette fois-ci" nous confie le compositeur. On retrouve dans le film quelques passages de "comédie musicale" que Benoît Poelvoorde et Philippe Rombi ont préparé ensemble : "J'ai passé une soirée avec lui car la chanson du parc, c'est moi qui l'ai chanté de manière provisoire, donc je lui ai fait entendre ces maquettes et il fallait qu'il donne son point de vue, qu'il valide la chanson car il fallait qu'il la chante en faisant son jogging" raconte Philippe Rombi. De son côté le réalisateur nous livre : "Dans un film qui raconte le
passage du gris à la lumière, la comédie musicale était un passage obligé ! Et bien sûr il me plaisait de rendre hommage, le temps d'une séquence, au cinéma de Jacques Demy (...) Je crois à la fonction euphorisante du cinéma. C'est pour cela aussi que j'ai
demandé une musique émotionnelle, au compositeur Philippe Rombi. Il a écrit une partition qui ne fait pas spécialement "comédie" mais qui prolonge l'état intérieur du personnage.
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Dumb and Dumber|Peter Farrelly|Comédie||3|américain|1995|101|Anglais||DIV3|||DIV3|831 Kbps|640x480|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|48.0 KHz|2|685||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Brad Krevoy Charles B. Wessler Steven Stabler|Bobby Farrelly Bennett Yellin Peter Farrelly Roger Kumble|Mark Irwin||||Après un malentendu à l'aéroport, deux amis, Lloyd et Harry, spécialistes de l'élevages de lombrics, partent à la recherche de Mary qui semble y avoir oubliée sa valise. Mais, ils se retrouvent au centre d'un complot. |Jim Carrey (Lloyd Christmas)@Jeff Daniels (Harry Dunne )@Lauren Holly (Mary Swanson )@Teri Garr (Helen Swanson)@Mike Starr (Joe Mentaliano)@Karen Duffy (J.P. Shay )@Charles Rocket (Nicholas Andre )@Harland Williams (Policier à moto)@Felton Perry (Détective Dale )@Victoria Rowell (Agent du F.B.I. Beth Jordan )@Zen Gesner (l'adjoint de Dale)@Lin Shaye (Mrs. Neugeboren)@Joe Baker (Bernard)@Brad Lockerman (Bobby Swanson)@||Secrets de tournage :
Toujours plus débile !
Le comédien Jeff Daniels décrit Dumb and dumber comme "l'histoire des deux types les plus débiles du monde qui prennent la route et commettent quelques-unes des plus grosses idioties dont l'homme se soit rendu coupable et ne survivent que pour pouvoir s'en vanter."
S'exprimant un peu plus sur la notion de débilité, très présente dans le long métrage, Daniels rajoute que "c'est comme dans une course hippique. Chaque fois que Jim Carrey est débile, je le suis encore davantage. Puis nous revenons à Jim qui fait ou dit quelque chose d'encore plus débile. Et ça continue comme ça."
Pour conclure, le comédien déclare que "si les gens voient ce film et continuent à penser qu'il existe des gens encore plus demeurés que nous, c'est que nous avons échoué dans notre entreprise."
Les frères Farrelly : le délire sur grand écran
Dumb and dumber est le premier long métrage des frères Bobby et Peter Farrelly. Quatre ans plus tard, le duo connaît la consécration internationale avec Mary à tout prix et devient le chantre d'un cinéma placé sous le signe de la loufoquerie, de l'absurde, du scabreux et du scatologique. Un cocktail délirant réitéré en 2000 avec Fous d'Irene. En 2001, les frères Farrelly se lancent dans l'animation avec Osmosis Jones puis distillent quelques touches d'émotion dans leur cinéma avec la comédie L'Amour extra large.
Jim Carrey : la consécration comique
Avec Dumb and dumber, Jim Carrey confirme qu'il est l'un des comiques américains les plus talentueux de sa génération. Le film, sorti la même année que The Mask et Ace Ventura, détective chiens et chats, impose Carrey comme le leader d'un humour particulièrement physique, dans la droite lignée de Jerry Lewis. Si Ace Ventura en Afrique, Menteur, menteur ou Fous d'Irene appuient cette tendance, l'acteur caméléon tient à ne pas se cantonner au comique pur. Il dévoile d'autres facettes de son talent avec Disjoncté, The Truman Show et Man on the Moon, où il démontre qu'il peut tour à tour inquiéter et émouvoir.
Farrelly / Carrey : première !
Dumb and dumber marque la première collaboration délirante des frères Bobby et Peter Farrelly avec le comédien Jim Carrey. Les trois hommes se retrouveront six ans plus tard pour le non moins déjanté Fous d'Irene, dans lequel Carrey tient cette fois le rôle d'un policier schizophrène.
Un entraînement... "intensif" ??
Pour se préparer à leurs rôles, Jim Carrey et Jeff Daniels ont subi un véritable processus de "débilisation". Jim Carrey explique que "lorsque la caméra se mettait à tourner, nous nous contentions d'adopter un regard vitreux du style "je-viens-juste-d'avaler-de-la-peinture-fraîche-en-guise-de-petit-déjeûner". Nous n'avons pas vraiment eu à faire d'efforts pour y arriver mais avons plutôt tenté de nous réfréner." Jeff Daniels poursuit dans la même logique : "Le principe consiste à faire le vide dans sa tête. On efface tout. On essaie de faire descendre son QI aussi près que possible du zéro absolu, tout en respectant la crédibilité des personnages."
Coup de foudre sur un tournage
Dumb and dumber n'a pas seulement été un beau succès public pour Jim Carrey. Celui-ci a également connu l'amour sur le plateau. Lauren Holly, l'héroïne féminine du long métrage, allait en effet devenir sa compagne à la ville.
Un prequel en 2003
En 2003, soit neuf ans après Dumb and dumber, les studios New Line refont vivre les aventures de leurs deux héros, avec une suite en forme de prequel. Dumb and dumberer, réalisé par Troy Miller, met ainsi en vedette Harry et Lloyd adolescents, durant la période où ils étudient à l'université. Dans ce nouveau film loufoque, Derek Richardson et Eric Christian Olsen incarnent les personnages précédemment campés par Jeff Daniels et Jim Carrey.
Une version animée
Les frères Bobby et Peter Farrelly ont été contactés par des productions télé à la suite de Dumb et dumber. Les cinéastes ont en effet officié en tant que consultants sur la version animée de leur comédie, un cartoon programmé durant la saison 1995-1996 et diffusé en France sur la chaine cablée Cartoon Network.
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Dumb and Dumberer: When Harry Met Lloyd|Troy Miller|Comédie||1|américain|2003|101|Anglais||DIV3|||DIV3|831 Kbps|640x480|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|48.0 KHz|2|685||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Oren Koules|Troy Miller Robert Brener|Anthony B. Richmond||New Line Cinema||Lorsqu'il arrive au lycée, Harry, qui avait jusque-là seulement étudié chez sa mère, a besoin d'un guide pour lui apprendre la vraie vie. Lloyd, qui habite au sous-sol de l'établissement avec son père adoptif, le concierge Ray, est idéal pour cette mission. C'est le début d'une belle amitié et de gros problèmes...Tous deux vont involontairement servir l'infâme complot du corrompu proviseur Collins et de sa maîtresse, Mrs. Heller : ceux-ci veulent faire des deux garçons les premiers membres d'une fausse "classe pilote pour élèves délicats" qui leur permettra de détourner 100 000 dollars d'aide.Naïfs et enthousiastes, Harry et Lloyd se mettent à recruter tous les élèves "spéciaux", mais ils éveillent également l'attention de la très belle Jessica Matthews, reporter pour le journal du lycée, qui suspecte l'embrouille... |Eric Christian Olsen (Lloyd Christmas)@Derek Richardson (Harry Dunne)@Bob Saget (le père de Jessica)@Shia LaBeouf (Lewis)@Rachel Nichols (Jessica)@Cheri Oteri (Mrs. Heller)@Luis Guzman (Ray)@Mimi Rogers (Mrs. Dunne)@Eugene Levy (le proviseur Collins)@||Secrets de tournage :
Un prequel à "Dumb and dumber"
Dumb & dumberer : quand Harry rencontra Lloyd est un prequel de Dumb and Dumber. Eric Christian Olsen incarne Lloyd, personnage interprété au départ par Jim Carrey, et Derek Richardson reprend le rôle de Harry, tenu à l'origine par Jeff Daniels.
Tout de suite après le succès de la comédie des frères Bobby et Peter Farrelly, il fut question d'une suite, mais aucun scénario satisfaisant ne vit le jour. Il fallut attendre l'idée du scénariste Robert Brener pour que l'univers frappadingue et décalé de Harry et Lloyd renaisse à la vie.
Le recrutement des deux acteurs
C'est grâce à un vaste casting à travers les Etats-Unis et le Canada que le cinéaste a découvert ses jeunes Harry et Lloyd. C'est Eric Christian Olsen qui a d'abord été découvert. Troy Miller raconte : "Lorsque Eric est entré dans la salle d'audition, il émanait de lui cette folie, cette attitude si particulière à Lloyd. La filiation était d'autant plus forte que le physique n'aidait pas. Il était assez grand, blond, athlétique, un frai surfeur !".
Derek Richardson a rapidement été repéré pour jouer Harry Dunne. Troy Miller ajoute : "Nous étions convaincus de la qualité de chacun dans leur rôle, il nous fallait encore juger comment ils fonctionnaient ensemble. Eric a pris un peu de poids, on lui a teint les cheveux d'une couleur plus sombre, et on les a réunis. Pendant la première heure, ils n'ont pas cessé d'être Harry et Lloyd. Même quand l'audition a été terminée, ils ont continué à rester dans leur rôle."
Tournage et effets spéciaux
Le tournage s'est déroulé au Canada et a nécessité pas moins de 17 spécialistes des effets spéciaux pour matérialiser tous les délires du joyeux duo.
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Dragon Wars|Shim Hyung-rae|Fantastique||1|sud-coréen|2007|90|Anglais||XviD|||XVID|931 Kbps|656x272|MPEG-1 Audio layer 3|129 Kbps|False|48.0 KHz|2|691||||23.976|28/07/2009 00:00:00|James B. Kang|Shim Hyung-rae|Hubert Taczanowski||||Selon une légende coréenne, de terribles et mystérieuses créatures dévasteront un jour la terre. Un journaliste est chargé d'enquêter jusqu'au jour où un mystérieux serpent géant fait son apparition avec la volonté de détruire Los Angeles... |Jason Behr (Ethan Kendrick)@Amanda Brooks (Sarah Daniels)@Craig Robinson (Bruce)@Robert Foster (Jack)@Aimee Garcia (Brandy)@Chris Mulkey (Agent Frank Pinsky)@John Ales (Agent Judah Campbell)@Elizabeth Pena (Agent Linda Perez)@Billy Gardell (Mr Belafonte)@Holmes Osborne (l'hypnotiseur)@NiCole Robinson (la psychiatre)@Geoffrey Pierson (le secrétaire de la défense)@Cody Arens (Young Ethan)@Kevin Breznahan (le journaliste)@Jody L. Carlson (la mère de Sarah)@||||||||||||@@
Daddy Day Care|Steve Carr|Comédie||3|américain|2003|88|Anglais||XVID|||XVID|975 Kbps|720x384|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|687||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Matt Berenson John Davis Wyck Godfrey|Geoff Rodkey|Steven B. Poster||Columbia Pictures|Saga : Ecole paternelle |Deux pères qui ont perdu leur emploi se trouvent dans l'obligation de retirer leurs fils du très prisé centre d'apprentissage de Miss Harridan pour s'occuper d'eux. Ils ne parviennent pas à retrouver du travail et décident de créer leur propre garderie pour enfants. Leur crèche, gérée selon des méthodes peu conventionnelles, remporte un succès immédiat et va jusqu'à concurrencer l'établissement dirigé par Miss Harridan qui à jusqu'à présent envoyé tous ses adversaires au tapis. |Eddie Murphy (Charlie Hinton)@Anjelica Huston (Miss Gwyneth Harridan)@Steve Zahn (Marvin)@Arthur Young (Nicky)@Jonathan Katz (Dan Kubitz)@Siobhan Fallon (Peggy)@Lisa Edelstein (Crispin's Mom)@Lacey Chabert (Jenny)@Laura Kightlinger (Sheila)@Leila Arcieri (Kelli)@Anjelica Huston (Mrs. Gwyneth Harridan)@Khamani Griffin (Ben Hinton)@Max Burkholder (Max)@Arthur Young (Nicky)@Jeff Garlin (Phil)@Susan Martino (la mère de Sean)@Regina King (Kim Hinton)@Kevin Nealon (Bruce)@Lacey Chabert (Jennifer)@Elle Fanning (Jamie)@||Secrets de tournage :
Retrouvailles Eddie Murphy / Steve Carr
Ecole paternelle marque les retrouvailles d'Eddie Murphy avec le réalisateur Steve Carr. Les deux hommes ont auparavant collaboré sur Dr. Dolittle 2.
Des milliers d'enfants passés en revue
Pour découvrir la troupe de joyeux bambins qui allaient malmener Eddie Murphy et ses comparses d'infortune, la production a parcouru tout le pays. Steve Carr confie : "Les producteurs, le coproducteur et les directeurs de casting ont vu des milliers d'enfants. Ils cherchaient dans leurs yeux la petite étincelle qui laisse présager le pire pour nous sur le tournage et le meilleur pour les spectateurs. Je peux vous assurer qu'ils ont fait un choix des plus pertinents !"
La reconstitution des décors
Pour des raisons de commodité, la plupart des décors, même les extérieurs, ont été recontruits dans les plus grands studios de Los Angeles. Steve Carr se souvient : "Pour nos jeunes vedettes, nous voulions le maximum de confort et de sécurité. Cela ne nous a pas empêché d'avoir sur le plateau toutes sortes d'animaux, des chèvres, des agneaux, des lamas, et même des poneys sur lesquels les petits se sont promenés !"
La soeur de Dakota Fanning au casting
Elle Fanning, qui joue le rôle de la petite Jamie, n'en est pas à ses débuts au cinéma malgré ses cinq ans. Elle est la soeur de Dakota Fanning et on a pu la voir dans Sam je suis Sam où elle incarnait la fille de Sean Penn dans ses plus jeunes années.
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Daddy Day Camp|Fred Savage|Comédie||1|américain|2007|85|Anglais||DX50|||DX50|1 009 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00|John Davis William Sherak Jason Shuman|Geoff Rodkey J. David Stem David N. Weiss|Geno Salvatori||Sony Pictures Entertainment|Saga : Ecole paternelle |Après avoir connu un beau succès avec leur garderie, Charlie Hinton et Phil Ryerson emmènent cette fois leurs fils au grand air, pour un été en pleine nature au camp Driftwood, là où eux-mêmes allaient autrefois.Mais sur place, le camp se révèle complètement en ruines. Pire, Charlie découvre que de l'autre côté du lac, son ennemi de toujours, Lance Warner, dirige une colonie pour enfants riches qui a conduit le camp Driftwood à la faillite.Décidé à prendre sa revanche et à ressusciter le camp, Charlie rachète la colonie, mais se retrouve vite dépassé. Pour tenter de sauver la situation, il n'a plus d'autre choix que de faire appel à son père, le redoutable colonel Buck... Qui a dit que les vacances étaient faites pour se détendre ? |Cuba Gooding Jr. (Charlie Hinton)@Paul Rae (Phil Ryerson)@Josh McLerran (Dale)@Lochlyn Munro (Lance Warner)@Richard Gant (Col. Buck Hinton)@Spencir Bridges (Ben Hinton)@Talon G. Ackerman (Jack Mayhoffer)@Tamala Jones (Kim Hinton)@Brian Doyle-Murray (Oncle Morty)@Taggart Hurtubise (Carl)@Tad D'Agostino (Robert)@Tyger Rawlings (Billy West)@Molly Jepson (Becca)@Dallin Boyce (Max Ryerson)@Sean Patrick Flaherty (Bobby J)@Telise Galanis (Juliette)@||Secrets de tournage :
Cuba Gooding Jr. remplace Eddie Murphy
Ecole Paternelle 2 est la suite de la comédie à succès Ecole paternelle réalisée par Steve Carr en 2003. Cette fois-ci, le personnage de Charlie Hinton n'est plus incarné par Eddie Murphy, mais par son partenaire dans Norbit : Cuba Gooding Jr..
Le premier long métrage de Fred Savage
Ecole Paternelle 2 est le premier long métrage de Fred Savage en tant que réalisateur. Celui-ci est notamment connu pour avoir joué dans la série télévisée Les Années coup de coeur et pour avoir travaillé sur de nombreux divertissements familiaux à destination de grands groupes comme Nickelodeon, Disney et Disney Channel. Il explique : "J'adore travailler avec et pour les enfants. C'est un public qui demande des divertissements de qualité, et pas seulement au niveau des films d'animation. Ils aiment aussi beaucoup les films avec de vrais acteurs à qui ils peuvent s'identifier et dont ils se sentent proches."
Le choix de Richard Gant
Pour le rôle du colonel Buck, Cuba Gooding Jr. suggéra le nom de Richard Gant, avec qui il venait de jouer dans Norbit de Brian Robbins. Cuba Gooding Jr. commente : "A cause de l'énergie et de la présence qu'il apporte à ses personnages, j'ai tout de suite vu Richard dans le rôle de mon père. Dans une comédie, il est important de trouver des partenaires avec qui vous vous entendez bien sur le plan comique et dramatique, cela donne beaucoup plus de qualité et d'impact émotionnel à vos scènes. C'est pour cela que j'ai suggéré Richard pour ce rôle. C'est aussi un acteur qui joue à la fois au théâtre et dans des comédies : ce mariage de deux genres était aussi particulièrement intéressant pour son rôle."
Tournage dans l'Utah
Ecole paternelle 2 a été tourné en 25 jours dans l'Utah. Malgré la pluie, les nuages et autres nuisances météorologiques, la plupart des scènes ont été tournées en extérieurs. Dans leur recherche d'un endroit typique des Etats-Unis, les cinéastes ont choisi l'Utah pour ses parcs et ses camps magnifiques. Le producteur Jason Schuman explique : "Cet endroit pourrait se trouver dans n'importe quelle partie du pays, c'est une qualité que nous avons recherchée afin qu'il semble familier à tous les spectateurs. Le lieu était parfait. Le seul ennui, c'était qu'il faisait cinq degrés la nuit... Quand je devais dire aux enfants d'enlever leurs blousons et de faire semblant d'être en plein été avec trente degrés, je dois dire que je me sentais assez mal. Mais ils ont été formidables, de vrais petits soldats !"
Où les enfants sont rois...
L'action du film se déroulant dans un camp de vacances, le plateau de tournage a été envahi par de nombreux enfants... Le producteur Jason Schuman confie : "C'est toujours difficile de savoir comment vont se passer les choses quand vous travaillez avec autant d'enfants. Il fallait être capable de les contenir et de les tenir éloignés des sucreries ! C'était difficile car il y avait toujours un buffet à leur portée sur le tournage. Ils allaient se servir dès que nous avions le dos tourné. Mais c'était très drôle. Ils ont apporté sur le tournage un vent de spontanéité très rafraîchissant. Avec eux, il n'y avait pas de méthodes ou de techniques d'acteurs, ils ne jouaient pas, ils étaient simplement eux-mêmes. Leurs personnalités à l'écran sont celles de la vraie vie. Tous nos petits comédiens s'entendaient très bien, ils ont formé un groupe formidable, nous avons eu beaucoup de chance."
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Effroyables jardins|Jean Becker|Comédie dramatique||3|français|2003|92|Français||DX50|||DX50|927 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|116 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Louis Becker|Jean Becker Jean Cosmos Guillaume Laurant Sébastien Japrisot|Jean-Marie Dreujou||UFD||Lucien, un adolescent de quatorze ans, ne comprend pas pourquoi son père, un instituteur sérieux et respecté, se ridiculise, à ses yeux, dans un numéro de clown amateur. Un jour, André, le meilleur ami de son père, lui dévoile l'origine de cette vocation... Il lui raconte qu'à la fin de la guerre, tous deux ont commis un acte de résistance dérisoire, mais qu'ils ont été capturés par les Allemands et jetés avec deux autres compagnons d'infortune dans un "cul de basse-fosse" en attendant d'être fusillés...A travers ce récit, Lucien va découvrir la bravoure et la fraternité que son père dissimule derrière son humilité. |Jacques Villeret (Jacques Pouzay)@André Dussollier (André Designy)@Thierry Lhermitte (Thierry Plaisance)@Benoît Magimel (Emile Bailleul)@Isabelle Candelier (Louise)@Suzanne Flon (Marie Gerbier)@Bernie Collins (Bernt)@Damien Jouillerot@||Secrets de tournage :
On ne change pas une équipe qui gagne
Pour le tournage d'Effroyables jardins, Jean Becker s'attache à reprendre ses comédiens fétiches depuis Les Enfants du marais (1998), comme Jacques Villeret, André Dussollier, et dans un rôle secondaire Suzanne Flon, mais aussi sa région (Rhône-Alpes), et les mêmes périodes de tournage.
Une succession de scénaristes
Pour l'adaptation du livre de Michel Quint, trois scénaristes se sont succédé, c'est d'abord Sébastien Japrisot, l'auteur du roman L'Eté meurtrier (1983), qui commença le scénario, mais celui-ci, souffrant, ne put continuer. Puis Jean Cosmos, qui a notamment travaillé avec Bertrand Tavernier pour Capitaine Conan, en fit une première adaptation. Mais c'est Guillaume Laurant, à qui l'on doit Le Fabuleux destin d'Amélie Poulain (2000), qui termina la version finale du scénario, en modifiant dialogues et situations.
Une histoire de famille
C'est le fils de Jean Becker, réalisateur de L'Eté meurtrier (1983), et d' Elisa (1994), Louis Becker, producteur d' Un indien dans la ville (1994), qui est le vrai initiateur du projet, en apportant le livre de Michel Quint à son père pour que celui-ci l'adapte au cinéma.
Autre fidèle
Impressionné par les musiques des films de Krzysztof Kieslowski, Jean Becker a demandé à Zbigniew Preisner qui avait déjà soigné la musique d'Elisa, de composer celle d'Effroyables jardins.
Clin d'oeil à Jacques Becker
Dans les dialogues du film, Jean Cosmos , co-scénariste du film, avoue avoir rendu hommage à Jacques Becker , notamment lors du passage qui se déroule dans la fosse, en faisant référence au film Le Trou .
Une certaine admiration
C'est lors du festival de Yokohama, au Japon, que Benoît Magimel le héros de La Pianiste (2000) et Jean Becker se sont rencontrés pour la première fois. Benoit Magimel avouant une certaine admiration pour l' oeuvre de Jacques Becker (le père de Jean), celui-ci est venu faire dédicacer une revue qui lui était consacrée.
Collaboration
Ce n'est pas une première rencontre entre Thierry Lhermitte et la famille Becker. Louis Becker, le producteur du film, et Thierry Lhermitte ont produit ensemble Un indien dans la ville (1994) et Le Prince du Pacifique (2000).
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El Aura|Fabián Bielinsky|Thriller||2|argentin|2006|126|Espagnol||XviD|||XVID|630 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Samuel Hadida Pablo Bossi Gerardo Herrero Mariela Besuievsky|Fabián Bielinsky|Checo Varese||Metropolitan FilmExport||De lui, on sait peu de choses. Il est taxidermiste, honnête et simple. Pourtant, cet homme ne peut s'empêcher d'imaginer des vols aussi parfaits que spectaculaires. Chaque événement de la vie courante est pour lui l'occasion de concevoir des opérations si ingénieuses qu'elles seraient forcément couronnées de succès.Un concours de circonstances va lui donner l'opportunité de vivre ce qu'il n'avait fait que rêver. Par hasard, il se retrouve au coeur d'un coup magnifique, une chance unique : le plus grand transfert de fonds d'un casino.Notre homme plonge dans une réalité qu'il n'imaginait pas, dans un vol où il devra tout comprendre sans rien maîtriser... Tout ce qu'il croyait savoir vole en éclats. Il découvre ses limites, l'importance du facteur humain, sans jamais savoir s'il restera conscient assez longtemps pour agir au bon moment... |Ricardo Darin (Esteban Espinosa, le taxidermiste)@Dolores Fonzi (Diana)@Alejandro Awada (Sontag)@Pablo Cedron (Sosa)@Jorge d'Elia (Urien)@Manuel Rodal (Dietrich)@Rafael Castejon (Vega)@Walter Reyno (Montero)@Nahuel Perez Biscayart (Julio)@||Secrets de tournage :
"El Aura" vu par Fabian Bielinsky
Fabián Bielinsky définit El Aura comme "l'odyssée d'un homme à la rencontre d'une réalité et de lui-même. C'est à la fois un film sur l'espoir et sur les désillusions, sur ce que paraissent les choses et ce
qu' elles sont réellement... Le film a été conçu et développé comme une étude de caractère poussée dans les détails les plus infimes, presque jusqu'à l'obsession, qui suit en permanence un individu isolé, effacé, atypique, incapable de nouer des liens avec ceux qui l'entourent."
Imaginé il y a vingt ans
L'idée d'El Aura a germé dans l'esprit de Fabián Bielinsky en 1984, alors qu'il n'était qu'un obscur
assistant réalisateur tout juste sorti de l'école. "Je l'envisageais alors comme
un film policier, un thriller, explique le cinéaste. Il y avait un héros, une trame
classique, des enjeux moraux, l'idée de rédemption et de sacrifice, et tous les passages obligés du genre."
Deux décennies plus tard, le jeune assistant réalisateur est devenu réalisateur, et tout a
changé. "Le héros a perdu son côté caricatural au point de n'être qu'un homme, explique-t-il, la structure morale s'est densifiée, faisant intervenir des notions plus humaines, plus universelles, et il n'est plus question de sacrifice ou de rédemption. L'enjeu, c'est de comprendre, de survivre, de communiquer avec les autres et avec soi-même. La densité y a gagné ce que l'idéalisme y a perdu."
Retrouvailles avec Ricardo Darin
El Aura marque la seconde collaboration du cinéaste Fabián Bielinsky avec l'acteur Ricardo Darin, déjà présent au générique de son précédent film policier Les Neuf Reines. Grâce à cette dernière prestation, le comédien a obtenu le Prix du meilleur acteur de l'Association argentine de la Critique Cinématographique en 2001, et a partagé avec Gaston Pauls le Prix d'interprétation du Festival international du film latino-américain de Biarritz 2001.
Présenté à San Sebastian et Sundance
El Aura a été présenté dans deux festivals : celui de San Sebastian en 2005 et celui de Sundance en 2006.
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Elektra|Rob Bowman|Action||2|américain|2005|96|Anglais||XVID|||XVID|846 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|148 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||23.976|08/08/2009 00:00:00|Gary Foster Avi Arad Arnon Milchan|Zak Penn Raven Metzner Stu Zicherman|Bill Roe||20th Century Fox||Elektra, la tueuse légendaire, a pour mission de liquider ses nouveaux voisins, Mark Miller et sa fille Abby, que poursuit la puissante et maléfique organisation "La Main". Mais impulsivement, la belle se retourne contre ses commanditaires et décide de sauver ses proies... |Jennifer Garner (Elektra Natchios)@Terence Stamp (Stick)@Will Yun Lee (Kirigi)@Goran Visnjic (Mark Miller)@Cary-Hiroyuki Tagawa (Roshi)@Chris Ackerman (Tattoo)@Colin Cunningham (McCabe)@Jason Isaacs (DeMarco)@Hiro Kanagawa (Kinkou)@Natassia Malthe (Typhoid Mary)@Kirsten Prout (Abby Miller)@Bob Sapp (Stone)@||Secrets de tournage :
Jennifer Garner s'échappe de "Daredevil" !
Dans Elektra, l'actrice Jennifer Garner reprend en vedette le rôle de super-héroïne qu'elle tenait en second rôle, en 2003, dans Daredevil, aux côtés de Ben Affleck.
L'ombre de Frank Miller
Le personnage de la guerrière Elektra est l'une des créations de l'auteur de comic-book Frank Miller, à qui l'on doit notamment l'écriture de plusieurs volets du comic Daredevil (héros qui connaitra son adaptation sur grand écran en 2003), ainsi que les dessins et le scénario du sombre Sin city, dont il co-réalise, en compagnie de Robert Rodriguez, l'adaptation cinématographique. En 1980, il se lance dans l'écriture et le dessin de nouvelles aventures de Batman. Il aura la vision du justicier masqué à la fois vieilli (Batman : The Dark Knight returns) et débutant (Batman : year one). Frank Miller est par ailleurs co-scénariste de Robocop 2 et Robocop 3.
Les origines du mythe
Le personnage d'Elektra est née en 1979. A cette date, la série de Daredevil est en sérieuse perte de vitesse. Jo Duffy, alors en charge du développement de la série, fait alors appel à un nouveau talent, Frank Miller. Ce dernier connaît une popularité immédiate, si bien que Duffy lui confie le développement de scénarii à partir de Daredevil n°168. Coup d'essai, coup de maître: en seulement 22 pages, Miller apporte un éclairage inédit et original sur les années de formation du justicier aveugle, et créé l'un des personnages féminins les plus attachants de l'univers des comic book : Elektra. Miller tente très vite d'en faire un personnage plus autonome, en marge de l'univers Marvel. Ainsi sort en 1984 Elektra Saga, très décriée par les fans à sa sortie en raison du remontage de certains épisodes de Daredevil, mais qui permettait une approche plus linéaire et autonome de l'héroïne.
Un spécialiste aux manettes
La réalisation d'Elektra est assurée par l'Américain Rob Bowman, spécialiste du cinéma fantastique. Producteur et réalisateur de nombreux épisodes de la série X-Files, il adapte le célèbre programme fantastique sur grand écran en 1998 avec The X Files, le film. En 2002, il dirige Christian Bale dans l'apocalyptique Règne du feu.
De la réalité à la fiction
Le personnage de Mark Miller (Goran Visnjic) est une création pour les besoins du film. Ce nom est un clin d'oeil à Mark Millar, dessinateur de comic book, qui a notamment illustré plusieurs aventures de Daredevil et d'Elektra.
Retour aux sources
La véritable marque de fabrique d'Elektra, c'est son célèbre costume moulant rouge, qui n'apparaissait pas dans Daredevil. Pour ce spine-off, l'équipe du film a rapidement conclu à la nécessité de redonner au personnage sa tenue. Lisa Tomczeszyn, la costumière du film, explique: "au départ, j'aurais souhaité des tenues un peu plus sportives, mais les tissus envisagés manquaient de relief à l'image. J'ai donc placé des pièces de stretch le long des jambes et une armature dans le corsage, qui laissait à Jennifer une entière liberté de manoeuvre au niveau des bras et des épaules. Il n'y avait malheureusement aucun moyen d'introduire le moindre rembourrage protecteur".
Entrainement spartiate pour Jennifer Garner
L'actrice Jennifer Garner devait s'astreindre à un entraînement impressionnant pour pouvoir effectuer les nombreuses cascades d'Elektra. Outre son expérience des arts martiaux pour les besoins de la série Alias, elle démarrait son entraînement dès 4h30 du matin, avant de se rendre sur le plateau. L'actrice multiplia les techniques de combats sur le plateau de tournage: boxe, bâton, Wu Shu, Shodukan. Par exemple, le combat au bâton demanda deux mois d'entraînement.
Un acteur abonné aux comics
Terence Stamp a déjà joué dans des films mettant en scène un personnage de comic. Il interpréta en effet le rôle du Général Zod dans Superman I et Superman II.
Les décors
Le film a été tourné à Vancouver, au Canada, en grande partie dans des décors naturels; se démarquant ainsi des précédentes adaptations de comics, souvent situées en milieu urbain. Rob Bowman explique: "la forêt qui entoure Vancouver est spectaculaire. Il nous a semblé original et intéressant d'inscrire cette aventure dans un tel contexte". Le chef décorateur du film, Graeme Murray ajoute: "Le décor est cependant traité comme une toile de fond, de façon à donner aux personnages un maximum d'impact et de relief. Ce décor reflète symboliquement l'opposition des forces positives et négatives, de la lumière et des ténèbres".
L'écriture du scénario
C'est Zak Penn qui est à l'origine du scénario d'Elektra. Il a également signé celui de X-Men 2 en 2003.
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In Good Company|Paul Weitz|Comédie||2|américain|2005|109|Anglais||XviD|||XVID|721 Kbps|640x336|MPEG-1 Audio layer 3|156 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Chris Weitz Paul Weitz|Paul Weitz|Remi Adefarasin||Universal Pictures||A 51 ans, la vie réserve encore bien des surprises, et Dan Foreman va en faire l'expérience. Sa femme est enceinte et sa fille aînée, Alex, prend une chambre en ville, mais le pire reste à venir...Directeur des ventes publicitaires pour le magazine Sports America, Dan se retrouve avec un nouveau patron, Carter Duryea, qui a la moitié de son âge. Entre les deux hommes, le courant ne passe pas. Dan n'accepte pas qu'un novice puisse lui expliquer quoi faire dans une équipe qu'il mène depuis des années, et Carter se méfie des dinosaures. Les deux hommes doivent pourtant collaborer étroitement et sont obligés de se fréquenter. Le coup de foudre d'Alex et de Carter va encore compliquer les choses... |Dennis Quaid (Dan Foreman)@Topher Grace (Carter Duryea)@Scarlett Johansson (Alex Foreman)@Selma Blair (Kimberly)@Clark Gregg (Steckle)@Philip Baker Hall (Eugene Kalb)@David Paymer (Mortie)@Marg Helgenberger (Ann Foreman)@Malcolm McDowell (Teddy K)@Frankie Faison (Corwin)@Ty Burrell (Enrique Colon)@Kevin Chapman (Lou)@Amy Aquino (Alicia)@Zena Grey (Jana Foreman)@Colleen Camp (la réceptionniste)@Lauren Tom (l'obstétricienne)@Ron Bottitta@Tim Edward Rhoze (Theo)@Enrique Castillo (Hector)@John Cho (Petey)@||Secrets de tournage :
Note d'intention
Avec En bonne compagnie, Paul Weitz souhaitait revenir sur le thème des relations père / fils, déjà exploré dans American pie et Pour un garçon, mais sous un jour complètement différent. A ses yeux, le paysage économique rendu instable notamment à cause des fusions d'entreprises, des délocalisations, des rachats en chaîne par de puissants groupes financiers constituait le monde chaotique idéal dans lequel situer son histoire.
Paul Weitz explique : "Dans mon approche de En bonne compagnie, j'avais envie de retrouver l'esprit des films qui parlent autant de social que d'humain. Je souhaitais étudier comment les tendances économiques affectent la vie des individus."
Dennis Quaid vu par Paul Weitz
Paul Weitz dit de Dennis Quaid : "Dennis a un charisme énorme qui se renforce encore avec le temps. Je trouve vraiment génial que lui, qui fait toujours des films d'action et joue des héros, ait eu envie à ce point d'incarner Dan. Beaucoup d'autres acteurs auraient redouté la fragilité qu'exigeait ce rôle."
Le producteur Chris Weitz ajoute : "Par sa seule présence, Dennis apporte à ses rôles cette dimension de conquérant à la mâchoire carrée, solide et rentre-dedans. Pour ce film, son personnage est déstabilisé, et il se trouve d'autant plus humanisé. C'est un homme et un père."
Le choix de Topher Grace
C'est sa prestation dans Traffic de Steven Soderbergh qui a valu à Topher Grace d'être remarqué par les cinéastes. Ces derniers ont été impressionnés par la capacité du jeune acteur à donner à son personnage une intelligence pointue et par son impeccable sens du rythme.
Paul Weitz note : "Topher a une énergie formidable, très différente de celle de Dennis, ce qui provoque un vrai contraste entre leurs personnages." Son frère Chris Weitz ajoute : "Topher me fait penser à Jack Lemmon jeune par l'enthousiasme juvénile qu'il peut apporter même au plus cynique des personnages."
Dates et lieux de tournage
Le tournage a débuté à la mi-mars 2004 à Los Angeles et dans les environs. Les intérieurs et les extérieurs de la maison des Foreman ont été filmés à Pasadena. Les images urbaines de plusieurs scènes ont été tournées au centre de L.A. C'est en revanche en studio qu'a été installé le décor de 550 m² qui comprenait les différentes zones de travail des bureaux de la société Sports America.
Après huit semaines passées en Californie, toute l'équipe s'est installée à New York pour une semaine de tournage au Madison Square Garden à Manhattan, à Washington Square Park, Chinatown et TriBeCa.
Scarlett Johansson au tennis
Pour entrer dans la peau d'une sportive douée, Scarlett Johansson a commencé à s'entraîner avec le tennisman professionnel et consultant Nels Van Patten à partir de janvier 2004, et a poursuivi ses leçons hebdomadaires malgré son emploi du temps bousculé entre les remises de prix, les événements et premières, et l'agitation médiatique qui a entouré les sorties de Lost in translation et de La Jeune fille à la perle.
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The Perfect Storm|Wolfgang Petersen|Drame||2|allemand, américain|2000|124|Anglais||XVID|||XVID|663 Kbps|720x304|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|687||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Wolfgang Petersen Gail Katz Paula Weinstein|William D. Wittliff|John Seale||Warner Bros. France||Gloucester fut pendant près de quatre siècles le premier port d'Amérique. Mais l'âge d'or est révolu et les temps difficiles obligent les marins à s'aventurer dans des zones depressionnaires à haut risque. Aussi, après une saison décevante, Billy Tyne, capitaine de l'"Andrea Gail", décide-t-il de tenter sa chance dans la zone du cap Flemish. Mais les éléments semblent s'acharner contre lui et son équipage: une terrible tempête se soulève. |George Clooney (le capitaine Billy Tyne)@Mark Wahlberg (Bobby Shaftford)@Diane Lane (Christina "Chris" Cotter)@John C. Reilly (Dale Murphy )@William Fichtner (David "Sully" Sullivan)@Karen Allen (Melissa Brown)@Allen Payne (Alfred Pierre)@Mary Elizabeth Mastrantonio (Linda Greenlaw)@John Hawkes (Mike 'Bugsy' Moran)@Bob Gunton (Alexander McAnally III)@Christopher McDonald (Todd Gross)@Dash Mihok (Jeremy Mitchell)@Josh Hopkins (Daryl Ennis)@Michael Ironside (Bob Brown)@Cherry Jones (Edie Bailey)@||Secrets de tournage :
Quelques tempêtes sur grand écran
Quelques navires dans la tempête : Les révoltés du Bounty de Frank Lloyd (1935), La vie secrète de Walter Mitty de Norman Z. McLeod (1947), Ouragan sur le Caine de Edward Dmytryk (1954), 20.000 lieues sous les mers de Richard Fleischer (1954), Moby Dick de John Huston (1956)
Krakatoa, à l'est de Java de Bernard L.Kowalski (1969), Les 40e rugissants de Christian De Chalonge (1982).
Wolfgang Petersen passionné par la mer :
« J'ai grandi dans le port de Hambourg et j'ai toujours été attiré par la mer. Elle m'apparaît comme un monde inconnu, perpétuellement changeant : l'ultime frontière des aventuriers.
La pêche industrielle est l'activité la plus dangereuse au monde. Si l'on y inclut les équipes de sauvetage qui l'appuient quotidiennement en mer et dans les airs, elle fait plus de morts par habitant que tout autre métier à risque : policier, sapeurs pompiers, etc. Chaque sortie en mer est un saut dans l'inconnu ? une aventure exaltante qui peut tourner en quelques minutes au cauchemar. »
Wolfgang Petersen avait déjà réalisé en 1981, Das boot, un film qui raconte le périple d'un sous-marin allemand pendant la Seconde Guerre mondiale.
Les extérieurs
Ils se déroulèrent dans le port de Gloucester (Nouvelle-Angleterre).
Le lendemain du passage de Floyd, les vagues s'élevaient encore à 4 ou 5 mètres, et nous avons décidé de sortir l' "Andrea Gail" pour tourner quelques plans de seconde équipe avec le concours de pêcheurs professionnels. Le surlendemain, la mer étant encore passablement agitée, nous avons sorti l' "Hannah Boden", avec Mary Elizabeth Mastrantonio aux commandes, et avons filmé plusieurs plans spectaculaires. Ironie du sort : 48 heures après avoir été notre plus grand sujet d'angoisse, Floyd était ainsi devenu notre plus précieux allié..."
Les intérieurs
Le plateau 16 de Warner Bros Pictures était occupé depuis de nombreuses années par un bassin de 3 mètres de profondeur et de petites dimensions où fut notamment réalisé Le vieil homme et la mer avec Spencer Tracy.
Pour les besoins du tournage, la production le fit excaver à 7 mètres de profondeur et élargir à 33X30 mètres
D'autres stars?
Aucun espadon vivant n'a été utilisé durant les séquences de pêche. Wolfgang Petersen a fait appel à Walt Conti, de la société Edge Innovations, qui fabriqua à sa demande 4 espadons animatroniques et 100 répliques artificielles, d'un réalisme irréprochable.
Edge Innovations a également travaillé sur les productions de Anaconda et de Peur bleue.
Cap'taine Clooney :
« J'ai piloté notre « Andrea Gail » - un bateau de pêche de quelque 24 mètres de long ? pendant trois semaines. J'ai appris à l'accoster en douceur et à le man?uvrer en haute mer. Nous avons passé quelques nuits à bord qui nous ont fait découvrir la vie des pêcheurs et ce monde si particulier, où l'erreur ne pardonne pas. »
Casting bateau : les début de Lady Grace?
« En décembre 1998, la production nous demanda de lui fournir un bateau frère de l'« Andrea Gail », indique le coordinateur maritime Doug Merrified. « Un mois plus tard, nous avions localisé deux candidats possibles, et en mars 99, nous avons acheté à Ocean City (Maryland), un bateau similaire à l' « Andrea Gail » : le « Lady Grace ».
Après un passage par Cape May (New Jersey) où il fut repeint aux couleurs de l' »Andra Gail », le bateau gagna Gloucester. Le gros du tournage fini, le « Lady Grace » repartit pour la Californie, affronta l'ouragan Lenny au large de Cuba, franchit le canal de Panama, subit quelques réparations au Salvador, et rallia Dana Point (côtes californiennes) pour la dernière partie du tournage.
Proche des habitants de Gloucester
L'équipe de tournage a noué des liens privilégiés avec les familles des marins de Gloucester de l' « Andrea Gail » et divers habitants évoqués dans le livre de Sebastian Junger. Parmi ceux-ci, la mère de Bobby Shatford (barmaid au « Crow's Nest), sa s?ur Marianne, ses frères Brian et Rick.
Pour le chef décorateur William Sandell : « Wolfgang est d'une précision maniaque. Ma tâche est de veiller à la parfaite authenticité de chaque élément du décor. Elle fut ici, considérablement allégée par la présence de dizaines d'autochtones qui vivent depuis l'enfance dans ce port et qui étaient tous disposés à nous faire profiter de leur savoir et de leur expérience. »
Les origines de Gloucester
C'est en 1606 que l'explorateur Samuel de Champlain découvrit à environ 70km au nord du site futur de Boston une baie qu'il baptisa Beauport. Quatorze pêcheurs anglais de Dorchester vinrent s'y établir en 1623, et lui attribuèrent le nom de leur port de partance : Gloucester. Ils furent bientôt rejoints par des exilés fuyant la colonie puritaine de Plymouth et des pêcheurs qui en firent le premier port de pêche du Nouveau Monde.
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Cradle 2 the Grave|Andrzej Bartkowiak|Thriller|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|2003|92|||DX50|||DX50|989 Kbps|640x368|WMA2|64.1 Kbps|False|44.1 KHz|2|699||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Joel Silver|John O'Brien Reginald Bythewood Channing Gibson|Daryn Okada||Warner Bros.||Le caïd du milieu Tony Fait et son équipe sont chargés de récupérer des diamants noirs que convoite également Su, un agent du gouvernement taïwanais. Ling, l'ancien partenaire de Su, kidnappe alors la fille de Fait pour l'échanger contre ces pierres précieuses. Ce dernier comprend que, pour sauver sa fille, il doit s'allier avec Su... |Jet Li (Su)@DMX (Tony Fait)@Mark Dacascos (Ling)@Tom Arnold (Archie)@Anthony Anderson (Tommy)@Gabrielle Union (Daria)@Kelly Hu (Sona)@Michael Jace (Odion)@||Secrets de tournage :
Un troisième thriller urbain
En Sursis se place dans la lignée de Roméo doit mourir et Hors limites. Ces trois films ont été réalisés par Andrzej Bartkowiak et produit par Joel Silver qui les qualifient de "thrillers urbains". Les deux comédiens principaux sont également impliqués dans plusieurs de ses films: Jet Li a joué dans Roméo doit mourir et En Sursis, tandis que DMX a participé aux trois longs métrages.
Les scènes de combat
Les scènes de combat ont été réglées par Corey Yuen qui s'était déjà fait remarqué sur L'Arme fatale 4 et Roméo doit mourir. Jet Li est également intervenu dans la chorégraphie des combats. Le producteur Joel Silver dit à ce sujet : "Jet et Corey cherchent perpétuellement de nouvelles approches pour rendre ces scènes encore plus percutantes et originales. Ici, nous voulions des affrontements d'une grande brutalité et d'une vérité indiscutable. D'où un recours limité au câble, qui s'impose surtout dans les combats stylisés où la fantaisie l'emporte sur le réalisme."
L'idée était de mêler des arts martiaux orientaux avec des pratiques de combats de rue occidentales. Un style "kung fu hip-hop" selon Silver.
Les scènes les plus spectaculaires
Ce film comprend quelques scènes d'action spectaculaires : une séquence où le personnage de Su se bat contre Ling au mileu d'un cercle de flammes de 3 mètres de haut, une poursuite où Fait est juché sur une moto à quatre roues motrices, et un combat où Su affronte une quinzaine d'hommes dans un club avec une cage.
La rencontre Silver/ Bartkowiak
Le producteur Joel Silver a rencontré Andrzej Bartkowiak sur le tournage de L'Arme fatale 4 où il était directeur photo. C'est en le voyant travailler et sur le conseil de Keanu Reeves qu'il a eu l'idée de lui confier la réalisation de Roméo doit mourir.
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Behind Enemy Lines|John Moore|Guerre||2|américain|2002|103|Anglais||DIV3|||DIV3|796 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|690||||23.976|13/08/2009 00:00:00|John Davis|David Veloz Zak Penn|Brendan Galvin||UFD||Chris Burnett, un jeune lieutenant des forces armées américaines, se voit confier une mission de reconnaissance à la veille de Noël. Accompagné de Stackhouse, il doit survoler une zone démilitarisée de l'ex-Yougoslavie. Là, les deux hommes découvrent l'existence de véhicules blindés. Burnett les photographie, mais les troupes serbes au sol déclenchent des tirs de DCA. L'avion, touché par un missile SAM, s'écrase.Les deux pilotes s'en sortent indemnes, mais les représailles continuent et Stackhouse se fait tuer. Chris, désarmé et sous le choc, n'a pas d'autre choix que de prendre la fuite avec sa radio. En plein territoire inconnu, il se retrouve traqué par des Serbes dont il ignore les intentions. Aux États-Unis, l'amiral Leslie Reigart reste convaincu que les deux hommes ont survécu à l'explosion. Ecoutant son instinct, il met sur pied sa propre mission de sauvetage. |Owen Wilson (le lieutenant Chris Burnett)@Gene Hackman (l'amiral Leslie Reigart)@Gabriel Macht (Stackhouse)@Charles Malik Whitfield (Rodway)@Joaquim de Almeida (Piquet)@David Keith (O'Malley)@Olek Krupa (Lokar)@Vladimir Mashkov (le pisteur)@Bumper Robinson (le technicien SCIF)@Don Winston@||Secrets de tournage :
L'accord exceptionnel du DOD
Pour les extérieurs du porte-avions, l'équipe de En territoire ennemi obtint, à titre exceptionnel, l'accord du Département de la Défense (DOD) de filmer sur deux bâtiments de guerre. Six mois de démarches administratives, de planning et de présentations détaillées furent nécessaires pour l'obtention des deux navires U.S.S. Constitution et U.S.S. Carl Vinson.
Le choix du réalisateur John Moore
Décidé à moderniser le film de guerre, le producteur John Davis a sélectionné John Moore sur la base d'un spot publicitaire SEGA réalisé à la manière d'un petit film d'action avec des cascades et des effets visuels spectaculaires. Le metteur en scène possédait par ailleurs une connaissance précise du conflit bosniaque et du matériel militaire qu'il mit à profit pour décrire en détail la vie quotidienne sur un porte-avions.
Souvenirs des Marines
Ancien opérateur radio dans les Marines, Gene Hackman apporta une certaine authenticité à son rôle en mettant à contribution sa connaissance des procédures militaires. Le capitaine David Kennedy, conseiller technique du film, a d'ailleurs déclaré : "Gene a parfaitement capté les qualités d'un officier supérieur, notamment l'attention vigilante portée à la sécurité et au bien-être de ses hommes".
Préparation intensive pour Wilson
Durant la préparation de En territoire ennemi, Owen Wilson vécut au rythme des pilotes de l'air, s'entraîna à des exercices de survie et s'initia au fonctionnement des avions de combat Superhornet F/A-18 sur une base de la Navy.
1e collaboration Wilson / Hackman
En territoire ennemi marque la première collaboration entre Owen Wilson et Gene Hackman. Les deux acteurs seront à nouveau partenaires dans The Royal Tenenbaums (2001), une comédie de Wes Anderson.
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Behind Enemy Lines: Axis of Evil|James Dodson|Action||1|américain|2006|91|Anglais||DX50|||DX50|929 Kbps|560x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|06/08/2009 00:00:00|James Dodson Roee Sharon|James Dodson|Lorenzo Senatore||||Quand une équipe de marines US a pour ordre de détruire un site nucléaire en Corée du Nord afin d'éviter une attaque atomique, l'échec n'est pas permis. Pour accomplir cette périlleuse mission, quatre soldats sont envoyés en territoire ennemi. Pour survivre, ils doivent mettre en déroute les forces rebelles qui menacent leurs vies, celles de leurs compatriotes et le monde libre... |Nicholas Gonzalez (Lieutenant Robert James)@Courtenay Taylor (la reporter de la BBC)@Matt Bushell (Chef Neil Calahan dit 'Spaz' )@Peter Coyote (le Président des Etats-Unis)@Keith David (Scott Boytano)@Ben Cross (Commandant Tom Mackey)@Bruce McGill (le Général)@April Grace (Ellie Brilliard)@Shane Edelman (Cam Dunlevey)@Joseph Steven Yang (Commandant Hwang)@Kenneth Choi (l'Ambassadeur Li)@Denis Arndt (Weylon Armitage)@Dennis James Lee (Colonnel Lip)@James Kyson Lee (J.J. (voix))@Glenn Morshower (Amiral Wheeler)@Sang Ho Lee (le cinquième coréen)@Emerson Wong (le troisième coréen)@Hee Sung Moon (le quatrième coréen)@Eyal Podell (David Barnes)@||||||||||||@@
Bedazzled|Harold Ramis|Comédie||2|américain|2001|87|Anglais||DIV3|||DIV3|1 046 Kbps|640x288|WMA2|64.1 Kbps|False|44.1 KHz|2|697||||23.976|27/08/2009 00:00:00|Harold Ramis Trevor Albert|Peter Tolan Larry Gelbart|Bill Pope||UFD||Elliot Richards, conseiller technique plein de bonnes intentions mais célibataire de longue date, souhaite conquérir le coeur de sa très jolie collègue de travail Alison Gardner qui, manque de chance, le remarque à peine. Il ne sait pas comment s'y prendre avec les filles : il est beaucoup trop timide et n'a pas confiance en lui.
Elliot sait que tout se joue sur la première impression. Il va même jusqu'à acheter un livre pour découvrir les secrets du succès. Un soir, alors qu'il est dans un bar avec des amis, il tente le tout pour le tout : il aborde Alison et manque son coup de façon pitoyable. Si seulement il pouvait avoir une seconde chance...
C'est alors qu'une boule de billard roule dans sa direction, suivie d'une femme à la beauté sculpturale, dotée d'un sens de l'humour très particulier dont Elliot fera bientôt les frais. Dieu n'a peut-être pas répondu à son appel, mais le Diable, lui, s'est empressé de le faire. Cette grande séductrice prétend pouvoir exaucer sept voeux censés lui faire gagner l'amour d'Allison en échange de quoi Elliot doit lui donner son âme. Celui-ci, naïf, conclut aussitôt un pacte avec le Diable à ses risques et périls.
D'abord, Elliot demande à être riche, puissant et marié à Alison. Lorsqu'il se réveille le lendemain matin, il réalise qu'il est tout cela et bien plus encore : un baron de la drogue colombien.
|Brendan Fraser (Elliot Richards)@Liz Hurley (le Diable)@Frances O'Connor (Alison Gardner)@Bonnie Somerville (La fille au jardin de la bière)@Paul Adelstein (Bob / Roberto / Garçon sur la plage, Commentateur sportif / Garde de Lincoln)@Jeff Doucette (Le responsable du bureau)@Rudolf Martin (Raoul)@Julian Firth (John Wilkes Booth)@Iain Rogerson (Un acteur de la pièce)@Biddy Hodson (Un acteur de la pièce)@Roger Hammond (Un acteur de la pièce)@William Osbourne (Un acteur de la pièce)@Laurel A. Ward (Un collègue d'Elliot)@Beverly Wiles (Une collègue d'Elliot)@Robert Ambrose (Un collègue d'Elliot)@Sadie Kratzig (La fille de Beer Garden)@David Bain (L'employé du Mac Do)@William Salyers (Le Diable élégant)@Tom Woodruff (Le gros Diable)@William Marquez (Eduardo)@Ilya Morelle (Le dealer russe)@Paul Simon (L'officier de police)@R.M. Haley (Le motionnaire)@Mickey Victor (Le patron de la fabrique de drogue)@Stephan A. McKenzie (Le frimeur du DV 8)@Lindsay Albert (Une invitée du DV 8)@Joanna Bacalso (Une invitée du DV 8)@Anderson Bourrell (Un invité du DV 8)@Cara Michelle Meschter (Une invitée du DV 8)@Jessica Anne Osekowsky (Une invitée du DV 8)@Christine Cameron (La barmaid du DV 8)@Michelle Boehle (Une danseuse)@Brigid Burns (Une danseuse)@Natalie Hohalek (Une danseuse)@Eboni Y. Nichols (Une danseuse)@Katy Quinealty (Une danseuse)@Gloria Rodriguez (Une danseuse)@Susie Shoemaker (Une danseuse)@Joelene Walker (Une danseuse)@Hopez Wood (Une danseuse)@Miriam Shor (Carol / L'hôtesse du penthouse)@Orlando Jones (Dan/ Esteban / Garçon sur la plage, Commentateur sportif/ Invité de la fête africaine)@Toby Huss (Jerry / Alejandro / Garçon sur la plage, Commentateur sportif / Lance)@Gabriel Casseus (Le compagnon de cellule d'Elliot)@Brian Doyle-Murray (Le prêtre)@||Secrets de tournage :
Le chef décorateur de Sleepy Hollow
Concepteur des décors de Endiablé, Rick Heinrichs a notamment travaillé avec les frères Coen sur Fargo et The Big Lebowski, et Tim Burton sur Sleepy Hollow. Il retrouvera Burton à l'occasion de La Planète des singes.
Les costumes de Brendan Fraser
Incarnant cinq personnages, Brendan Fraser endosse différents costumes. Le basketteur géant fut, et de loin, le plus complexe à élaborer. Les maquilleurs, ont dû concevoir une énorme tête pour laquelle deux énormes perruques ont été fabriquées. Ils durent par ailleurs modifier la forme des oreilles du comédien et ajouter un crâne et un front chauves épousant la carnation de Brendan Fraser.
Ramis et les variations
Harold Ramis aime les variations. Dans Endiablé, il explore les différentes personnalités d'un Brendan Fraser soumis à la tentation. Auparavant, Ramis avait déjà expérimenté ce type de construction dramatique, signant Un jour sans fin (1993), où la même journée se répétait à l'infini ; et Mes doubles, ma femme et moi (1996) où Michael Keaton était cloné, ce qui permettait au réalisateur (et scénariste) de multiplier les péripéties autour de ce personnage dédoublé.
Un remake
Endiablé est le remake de Fantasmes (Bedazzled en VO), une comédie que Stanley Donen réalisa en 1967, avec Peter Cook et Dudley Moore, également co-scénaristes du film.
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Envoyés très spéciaux|Frédéric Auburtin|Comédie||2|français|2009|43|Français||XviD|||XVID|1 886 Kbps|688x384|MPEG-1 Audio layer 3|160 Kbps|False|48.0 KHz|2|684||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Manuel Munz|Simon Michaël Jacques Labib|Pierre Aïm||EuropaCorp Distribution||R2I, célèbre radio d'info, envoie en Irak son meilleur duo de reporters : Frank, journaliste, et Poussin, ingénieur du son. Très vite, c'est par millions que les auditeurs suivent leurs récits très documentés, reflétant "à chaud" l'intensité des combats et la difficile survie de la population.Le jour où Frank et Poussin sont victimes d'une prise d'otages, un mouvement de solidarité d'une rare ampleur s'organise pour obtenir leur libération : autour du slogan "un euro pour nos otages", la France se mobilise en masse.Mais le gros souci pour Frank et Poussin, nos deux envoyés très spéciaux, ce n'est pas vraiment la prise d'otages : leur vrai problème, c'est plutôt qu'ils n'ont jamais mis les pieds en Irak, et que les récits haletants qui ont fait leur notoriété, c'est depuis Barbes qu'ils les enregistrent... |Gérard Lanvin (Frank Bonneville)@Gérard Jugnot (Albert Poussin)@Omar Sy (Jimmy)@Anne Marivin (Claire Monier)@Valérie Kaprisky (Françoise Poussin)@Serge Hazanavicius (Jacques Maillard)@Bertrand Lacy (Ravier)@Guillaume Durand (Régis Roche)@Frédérique Trimont (La Ministre des Affaires étrangères)@Laurent Gerra (Francis Bunel)@Farouk Bennaleg (Kader)@Zelda Attali (Virginie, la secrétaire)@André Le Cras (Delasalle)@Patrick Bordier (Le patron du bistrot)@Yann Pradal (Le barman de la fête)@Michel Munz (le collègue du bistrot)@Cécile Cazeaux (La secrétaire de Maillard)@Bing Ying (Chang)@Pétronille Moss (La comptable radio)@Jean-François Chauvet (Armand, le chauffeur R21)@Sören Prévost (L'employé de change)@Farouk Benhaleg (Kader)@Matthew Géczy (Baker, le reporter américain)@Philippe Vieux (Le Général Bordier)@Nidal Saab (Le kiosquier)@Didier Raymond@Eric Naggar (Jean Kowshky)@Stéphanie Bataille (La députée)@Thomas Caplain (Le photographe de presse)@Christophe De La Taille (le respionsable de l'association)@Etienne Bartholomeus (Le bénévole de l'association)@Angélique Boyon (Un mannequin)@Sophie Ducasse (Un mannequin)@Daniel Topic (Le photographe de mode)@Alexandre Sauvageot (Le styliste)@Marie Deramble (La chef de choeur)@Sébastien Séveau (Le chauffeur de taxi Poussin)@Jean-Claude Lagniez (Le chauffeur de taxi Frank)@Abdlah El Ahzari (Le chauffeur bédouin)@Niddal El Mellouhi (Le garde baffeur)@Mohamed Bastaoui (Le chef des bandits)@Eric Descargues (Le reporter télé)@Reza Afchar-Naderi (Le représentant du Croissant Rouge)@Christophe Baillargeau (Le Président de la République)@Didier Gustin (Président de la République (voix) )@||Secrets de tournage :
Un nom pas facile à porter
A la base, le personnage d'Albert Poussin (joué par Gérard Jugnot) devait s'appeler Albert Piteux, en hommage au vrai nom de l'ingénieur du son qui a inspiré le personnage.
Couper court à toute polémique
"Je sais que le scénario d'Envoyés très spéciaux a fait peur à de nombreuses personnes. Moi je l'assume parfaitement", déclare Gérard Jugnot. "Dans ce cas, Gérard Oury n'avait pas le droit de faire La Grande Vadrouille parce que la guerre de 39/45 a fait 18 millions de morts. Il ne faut pas oublier non plus qu'une femme est morte en détournant un avion après avoir voulu faire interdire Rabbi Jacob. Elle trouvait intolérable que l'on puisse rire d'une réconciliation en Juifs et Arabes... De toute façon, quand ils auront vu le film, les spectateurs comprendront que ce n'est absolument pas polémique."
Gérard J. par Gérard L.
Selon Gérard Lanvin, Gérard Jugnot est "un "kiffeur". Il aime manger, boire, comme moi. Il a sans doute fait des erreurs dans le choix de certains films, comme moi. Mais en tout état de cause, c'est un bosseur, un mec sincère qui s'investit dans ce qu'il fait."
Un réalisateur dans la tourmente
Bien que réhabilité par le court métrage qu'il a coréalisé avec Gérard Depardieu pour Paris, Je T'aime, Frédéric Auburtin traîne encore la "casserole San Antonio" qui lui a valu quelques contestations, au moment où il a été désigné pour réaliser Envoyés très spéciaux. Mais le metteur a toutefois pu compter sur le soutien de Gérard Lanvin, déjà à l'affiche de San Antonio.
Les bidonnages en folie !
L'une des scènes du film montrant Gérard Jugnot et Gérard Lanvin bidonner un récit en direct, à l'aide de sons pris sur internet, a été inspiré à Frédéric Auburtin par ses parents journalistes : "[Ils] m'ont raconté entre autres que pendant la guerre d'Indochine, un radio reporter avait fait croire qu'il était dans la cuvette de Diên Biên Phu en faisant des bruitages depuis sa chambre d'hôtel à Hanoï !"
Employés très spéciaux
Les deux scénaristes du film, Simon Michaël et Jacques Labib, ont respectivement été membre de la brigade anti-terroriste et grand reporter pour RTL.
Peut-on rire de tout ?
Diffusée sur le Net, la vidéo montrant Gérard Jugnot et Gérard Lanvin déguisés en otages a fait naître un début de polémique, liée au sujet grave tourné en dérision. Sur ce point, le réalisateur Frédéric Auburtin se veut rassurant : "Nous sommes évidemment très sensibles au sort des otages dans le monde, nous ne sommes pas stupides ! Nous ne voulions pas tomber dans une parodie de mauvais goût. Je me suis documenté et je ne voulais surtout pas que le film tutoie l'atrocité d'une telle situation."
Presqu'inspiré d'une histoire vraie.
C'est peu après la libération de Florence Aubenas que le producteur Manuel Munz et le scénariste Simon Michaël ont, au cours d'un dîner, eu l'idée de faire une comédie à partir du sujet, pourtant grave, des otages, dans laquelle la captivité serait inventée de toutes pièces.
Et de deux et demi !
Envoyés très spéciaux est le deuxième long métrage réalisé, en solo, par Frédéric Auburtin, qui avait fait ses débuts de metteur en scène aux côtés de Gérard Depardieu, à l'occasion d'Un pont entre deux rives.
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Equilibrium|Kurt Wimmer|Science fiction||3|américain|2003|105|Anglais||XVID|||XVID|777 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|693||||23.976|27/08/2009 00:00:00|Jan de Bont Lucas Foster|Kurt Wimmer|Dion Beebe||Dimension Films||Dans les années 2070, dans la citadelle de Libria, les émotions n'existent plus, supprimées par l'absorption quotidienne de Prozium. Cette drogue anti-anxiété rend les gens plus heureux et plus productifs. Les individus ont ainsi accepté de mettre de côté leur liberté pour vivre en harmonie avec leur dirigeant spirituel connu sous le nom de Père. Les personnes qui refusent de prendre leur dose sont considérées comme des rebelles et vivent en retrait de la ville. S'ils sont pris à jeun, c'est la peine de mort assurée.
John Preston travaille au service de Père et applique la loi à la lettre. Un jour, celui-ci brise le flacon de sa dose et n'a pas le temps de s'en procurer une de rechange. Il est alors submergé par toute une gamme d'émotions. Victime d'un revirement spirituel qui le confronte à ses supérieurs hiérarchiques, il mène l'enquête sur ce nouvel état de vie. |Christian Bale (John Preston)@Emily Watson (Mary)@Taye Diggs (Clerick Brandt)@Angus Macfadyen (Dupont)@Sean Bean (Partridge)@William Fichtner (Jurgen)@Oliver Brandl (l'opérateur / le détecteur de mensonges)@Francesco Calabras (Le leader des rebelles)@Christian Kahrmann (l'officier)@Dominic Purcell (Seamus)@||Secrets de tournage :
Equilibrium vu par Kurt Wimmer
"Equilibrium est avant tout l'éducation émotionnelle d'un homme", explique le réalisateur. "Le monde futuriste de Libria n'est que prétexte à raconter une formidable aventure humaine. Bien sûr, je me suis inspiré d'Huxley, Orwell ou Bradbury qui tous utilisent le paradigme d'une société dans le futur, mais la comparaison s'arrête là. C'est le combat d'un homme redécouvrant son humanité."
Inspiré de sa propre expérience
Kurt Wimmer s'est inspiré de sa propre renaissance au monde des émotions. Diplômé en art mais totalement écoeuré par la prétention du milieu artistique, il s'était lui-même interdit d'aimer la peinture et même de ressentir quoi que ce soit. Ce n'est qu'après s'être marié et avoir eu des enfants qu'il comprit combien il était appauvrissant de vivre dans un monde uniquement régi par les idées et jamais par les sens.
La découverte d'un nouvel art martial
Equilibrium nous fait découvrir un nouvel art martial : le gun-kata, la puissance de feu occidentale combinée à la discipline physique orientale. Kurt Wimmer ajoute : "Les films d'action de Hong Kong ont démontré qu'avec deux mains, on peut manier deux pistolets à la fois. Ils ne sont jamais allés plus loin et je me suis demandé si on pouvait encore reculer les limites du genre. Marier armes à feu et arts martiaux me semblait une évidence. Personne n'a encore jamais pratiqué le kata, l'arme au poing, mais elle peut devenir une parfaite extension du corps aux usages surprenants".
Un entraînement intensif
Pour le rôle de John Preston, Christian Bale dut subir un entraînement physique intense. Chef cascadeur, Jim Vickers lui donna des cours intensifs d'art martial japonais et lui apprit l'art zen de manier plusieurs pistolets à la fois.
"Il y a d'incroyables scènes d'action chorégraphiées dans Equilibrium", fait remarquer l'acteur, "et je voulais être prêt. J'avais pris des cours d'arts martiaux pour American psycho mais ici, avec le kendo, la barre est mise très haut. J'ai suivi des cours de judo pendant huit semaines et ça m'a tellement plu que j'espère tourner davantage de films d'action !"
Retrouvailles Christian Bale / Emily Watson
Christian Bale retrouve ici Emily Watson, sa partenaire dans Metroland.
Tournage à Berlin
Le film fut tourné à Berlin, une ville très riche architecturalement où l'ultramoderne côtoie l'étrange et l'austère. Berlin possédait aussi, pour Kurt Wimmer, une qualité unique au monde : l'architecture sévère et obsolète de l'ère hitlérienne et fasciste.
Le palais de justice, le Reichstadt, la Porte de Brandebourg et le métro servirent de lieux de tournage. Wolf Kroeger, le chef décorateur, transforma en plateau la Deutschlandhalle - le vélodrome olympique - pour y construire les somptueux décors futuristes de Libria.
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Eragon|Stefen Fangmeier|Fantastique|Film pour enfants à partir de 10 ans|2|américain|2006|103|Anglais||XviD|||XVID|754 Kbps|592x256|MPEG-1 Audio layer 3|180 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||23.976|28/07/2009 00:00:00|John Davis Wyck Godfrey|Peter Buchman|Hugh Johnson||20th Century Fox||Autrefois, la paix et la prospérité régnaient en terre d'Alagaësia. Les Dragons avaient alors fait don à leurs Dragonniers de pouvoirs magiques, et même de l'immortalité. Aucun ennemi ne pouvait les vaincre... jusqu'à ce que l'un des leurs, Galbatorix, décide de trahir pour s'approprier tous ces pouvoirs et en jouir seul en détruisant tous les autres Dragonniers. Un jeune homme, Eragon, découvre un oeuf étrange aux lueurs bleues, qui donne naissance à un Dragon femelle. Il le baptise Saphira. Le temps des Dragonniers est revenu...Avec l'aide de son mentor, Brom, Eragon va découvrir quel est son vrai destin. Lui seul peut faire renaître l'âge d'or de la justice, il est l'unique espoir du peuple d'Alagaësia, mais pour cela il va devoir affronter Galbatorix et vivre la plus fabuleuse des sagas... |Edward Speleers (Eragon)@Jeremy Irons (Brom )@Rachel Weisz (voix de Saphira (version originale))@Robert Carlyle (Durza )@Sienna Guillory (Arya)@John Malkovich (Galbatorix)@Djimon Hounsou (Ajihad )@Garrett Hedlund (Murtagh)@Gary Lewis (le Roi Hrothgar)@Alun Armstrong (Oncle Garrow)@Christopher Egan (Roran)@Richard Rifkin (Horst)@Steven Speirs (Sloan)@Joss Stone (Angela)@Michael Mehlmann (un villageois)@Tamás Deák (un villageois)@Matt Devere (un soldat)@Máté Haumann (le sergent)@Andrea Fazekas (la femme de Horst)@Caroline Chikezie (Nasuada)@||Secrets de tournage :
Adaptation
Le film Eragon est l'adaptation du best-seller d'héroic-fantasy écrit par Christopher Paolini. Vendu à deux millions et demi d'exemplaires rien qu'en Amérique du Nord, ce premier roman est resté classé pendant quatre-vingt sept semaines consécutives sur la liste des meilleures ventes du New York Times. Publié ensuite dans 38 pays, Eragon est le premier livre de la trilogie L'Héritage - le second s'intitule L'Aîné et le troisième est en cours d'écriture. Christopher Paolini confie : "J'ai conçu à l'origine "Eragon" comme un film, j'avais clairement imaginé dans mon esprit les personnages et l'action. Mais comme je n'avais pas l'argent nécessaire pour produire un film, j'ai commencé à écrire un livre... Et voilà qu'aujourd'hui, l'histoire existe au cinéma !"
Premier film
Eragon marque la première réalisation de Stefen Fangmeier. Issu de l'industrie des effets spéciaux, on a pu le voir à l'oeuvre avec Signes, Master and commander : de l'autre côté du monde ou encore Il faut sauver le soldat Ryan. Il a remporté trois BAFTA Awards et a été nommé à quatre reprises à l'Oscar.
Nouveau visage
Inconnu du grand public, le jeune Edward Speleers a connu un véritable conte de fée en étant choisi pour incarner le rôle titre du film. Alors qu'il n'avait auparavant joué qu'en amateur dans des spectacles scolaires, il a finalement été choisi parmi 180 000 autres prétendants quelques semaines seulement avant le début du tournage. Il compare son aventure personnelle à celle du héros du film : "Je me lançais dans une toute nouvelle aventure, exactement comme Eragon. J'avais jusque-là une vie bien structurée, régulière, et je me retrouvais d'un seul coup dans ce monde incroyable, à tenir le rôle principal d'une superproduction... Un vrai voyage à la recherche de moi-même, à rencontrer des gens nouveaux, à vivre des expériences inédites... comme Eragon !"
Des dragons sans donjons
Jeremy Irons, qui prête ses traits à Brom le mentor d'Eragon, est un habitué des dragons. L'acteur britannique avait en effet incarné un sorcier maléfique essayant de contrôler les créatures légendaires dans Donjons & dragons en 2000.
Retrouvailles
John Malkovich et Jeremy Irons s'étaient déjà donné la réplique dans L'Homme au masque de fer en 2002.
Les combats à l'épée
Jeremy Irons a dû suivre un entraînement particulier pour retranscrire à l'écran la technique de combat à l'épée que décrit Paolini dans son livre. L'acteur explique : "C'est un style de combat très particulier. Cela ressemble aux techniques asiatiques de combat à l'épée, c'est plus ésotérique que le style médiéval anglais. Je me suis entraîné presque tous les jours pour acquérir la force du poignet nécessaire pour jouer les scènes de combat de façon réaliste."
Collaboration entre ILM et Weta
Eragon bénéficie du savoir-faire de deux grands studios spécialisés dans les Effets Visuels : ILM (Star wars : épisode III - La Revanche des Sith, Jurassic Park ) et Weta (Le Seigneur des anneaux : la communauté de l'anneau, King Kong). Les deux sociétés ont d'abord travaillé ensemble afin de créer le dragon Saphira et son animation. L'équipe de Weta s'est ensuite penchée sur les grandes scènes d'action tirant ainsi profit de l'expérience acquise avec les célèbres batailles du Seigneur des anneaux : la communauté de l'anneau.
Mensurations
Au fil de l'histoire, l'aspect du dragon Saphira évolue : la couleur de ses ailes, la taille de sa tête, la longueur de son cou... Quand elle sort de son oeuf, elle mesure un peu plus de vingt centimètres de haut. A la fin, elle mesure 4,50 m de haut sur près de 10 m de long, avec des ailes d'une envergure de 6 à 9 m, et elle pèse quatre tonnes...
Un dragon... animal
Pour créer le design de Saphira, les équipes se sont inspirées de plusieurs animaux. Sa démarche a par exemple était calquée sur celle d'un lion tandis que ses ailes sont inspirées de celles d'un aigle. Enfin, pour imaginer le bébé dragon les animateurs ont étudié des bébés gnous, des lionceaux et des louveteaux.
Un véritable volcan
Les studios étaient trop petits pour accueillir les décors de la forteresse de Vardens. L'équipe du film a alors choisi de tourner dans une carrière abandonnée et un cratère volcanique en Hongrie, près de la frontière autrichienne. Avant même que la construction du décor proprement dite ne puisse commencer, il a fallu construire une route d'accès pour atteindre le haut du cratère. Il a fallut 16 semaines de préparation, de construction et de décoration
« Préc.
Un autre Eragon
Alex Pettyfer (Alex Rider : Stormbreaker) s'était également vu offrir le rôle d'Eragon. Mais le jeune acteur était finalement trop jeune pour incarner le dragonnier.
La bible des fans
En novembre 2006, les éditions Bayard Jeunesse ont publié un ouvrage intitulé Eragon. Les secrets du tournage, qui développe chacun des aspects de la réalisation du long métrage, depuis la conception de l'univers graphique jusqu'à son exploitation en salle.
« Préc.
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Escaflowne|Hajime Yatate|Animation||3|inspiré de la|2000|98|Français||XVID|||XVID|857 Kbps|576x320|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|06/08/2009 00:00:00|||||||Hitomi, une lyceenne qui a perdu l'envie de vivre, atterrit dans un monde parallele ravage par la guerre. |||||||||||||@@
Espace détente|Bruno Solo Yvan Le Bolloc'h|Comédie||2|français|2005|97|Français||XVID|||XVID|856 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|129 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Bruno Solo Yvan Le Bolloc'h|Alain Kappauf Bruno Solo Yvan Le Bolloc'h|Philippe Guilbert||ARP Sélection|Saga : Caméra café |Au fond de la Veule, imaginaire province française, vivote la Geugène Electro Stim, une moyenne entreprise, qui survit grâce à la fabrication et à la vente de la C14, appareil de stimulation électrique ancien, mais peu cher.L'opportunité d'un nouveau produit, le BodyCompact, va jeter cette communauté tranquille dans les affres d'un libéralisme sans foi ni loi. La venue d'un expert, Arnaud Roussel, chargé d'optimiser la mise sur le marché du BodyCompact, va chambouler les coeurs et corrompre les âmes... |Bruno Solo (Hervé Dumont)@Yvan Le Bolloc'h (Jean-Claude Convenant)@Thierry Frémont (Arnaud Roussel / Nonoos)@Sylvie Loeillet (Carole Dussier-Belmont)@Gerard Chaillou (Jean-Guy Lecointre)@Shirley Bousquet (Nancy Langeais)@Alexandre Pesle (Sylvain Muller)@Armelle (Maeva Capucin)@Alain Bouzigues (Philippe Gatin)@Jeanne Savary (Jeanne Bignon)@Valérie Decobert (Fred Castelli)@Marc Andreoni (Serge Touati)@Philippe Cura (André Markovicz)@Noémie Elbaz-Kapler (Juju Hassan)@Karim Adda (Vince Schneider)@Chantal Neuwirth (Annie)@Jean-Francois Gallotte (Paulo)@Michel Scotto di Carlo (Jipé)@Olivier Doran (Le journaliste à Télé Chimoux)@||Secrets de tournage :
Caméra Café... long !
Espace détente est l'adaptation cinématographique du programme télévisé à succès Caméra Café, diffusé sur M6 de 2001 à 2004. Celui-ci égratigne les affres de la vie en entreprise via des sketches se déroulant dans la salle de pause de la société, où les salariés viennent prendre leur(s) café(s) quotidien(s). Les deux acteurs-vedettes, scénaristes et réalisateurs de la série comique, Yvan Le Bolloc'h et Bruno Solo, remplissent les mêmes fonctions dans le long-métrage.
Toute l'équipe au complet...
Toute la distribution de la série Caméra Café est de retour au générique du long-métrage Espace détente. Ainsi, Bruno Solo et Yvan Le Bolloc'h reprennent-ils leurs rôles d'Hervé Dumont et Jean-Claude Convenant. Ils sont notamment rejoints par Gerard Chaillou (le chef d'entreprise Jean-Guy), Shirley Bousquet (Nancy), Armelle (Maeva) ou encore Alexandre Pesle (Sylvain).
...et un petit nouveau !
La distribution d'Espace détente accueille un acteur n'étant pas issu de la série Caméra Café : Thierry Frémont, vu notamment dans Les Démons de Jésus et Les Grandes bouches, et qui incarne ici un expert venant troubler le quotidien paisible de l'entreprise.
Un projet de longue date
Caméra Café devait à l'origine être un long-métrage et non pas une série télévisée. Pour Bruno Solo et Yvan Le Bolloc'h, il était donc logique qu'Espace détente voie le jour. Ils expliquent ce que représente le film : "Après toutes ces années et pour finir la série en beauté, lui faire un enterrement de première classe, on a eu envie de faire vivre tout ce qu'on évoque à la télé sans jamais le montrer : la vie étroite d'Hervé, la voiture de Jean-Claude, sa famille, le quotidien de Jean-Guy, etc... Le film est né de ce désir de sortir les personnages de leur cadre étroit et de les faire vivre. (...) Donc, faire exister l'aventure une dernière fois, en faisant non pas une exploitation cynique du filon "Caméra Café", ni un "best-of" paresseux, mais en trouvant autre chose, c'était une motivation profonde."
Faux départ et vraie prise de conscience
Quatre jours après avoir commencé à écrire Espace détente, Bruno Solo et Yvan Le Bolloc'h se sont rendus compte qu'ils n'allaient pas du tout dans la bonne direction. Ils expliquent : "Ce qu'on était en train d'écrire était facile, attendu, genre "l'entreprise part en vacances", on était parti pour faire, en beaucoup moins bien, un mauvais ersatz des Bronzés. Alors on a décidé de repartir à zéro. (...) On s'est demandé : "Qu'est-ce qui nous motive ?". C'est de parler du monde du travail, du secteur tertiaire, de ce terreau prolétaire dont nous sommes issus. Nos pères travaillaient dans l'imprimerie et le bâtiment. Donc, au lieu de sortir les personnages du contexte de leur entreprise, il fallait au contraire les plonger à fond dedans."
"On a eu alors l'idée d'un nouveau produit dont l'entreprise allait être chargé, et qui serait l'occasion de faire entrer dans la société un élément extérieur, comme on le faisait parfois dans la série quand il y avait des "guest star". Donc, on a décidé que l'action allait tourner autour de l'entreprise. A partir de là, il fallait expliquer ce que fait l'entreprise, la nommer, la situer, la hiérarchiser, introduire et nommer la boîte concurrente. Il fallait prendre le risque de briser l'imaginaire des gens. A partir du moment où on prenait cette direction, c'était la mort de la série."
D'une caméra fixe à un plateau de cinéma
En passant d'une caméra fixe à la télévision à une mise en scène de cinéma, l'un des risques majeurs était de vouloir trop en faire et de bouger la caméra dans tous les sens. Pourtant, Bruno Solo déclare n'avoir jamais envisagé ce cas de figure : "Pour une comédie de ce genre, une grammaire cinématographique très traditionnalle suffit. Les mouvements de caméra ne sont là que pour servir l'histoire. Il n'y a aucune esbrouffe, on est plutôt dans la tradition de la comédie. La référence, pour ce film, c'est le cinéma de Lautner. On adore Les Tontons flingueurs, c'est un type de réalisation qui sert bien la comédie. C'est vers cela qu'on est allé."
Un hommage très particulier...
La ville imaginaire dans laquelle se déroule l'action d'Espace détente répond au nom de La Veule. D'autres bourgades environnantes sont baptisées Chimoux ou encore Gravier sur Glaise. En inventant toutes ces villes, les créateurs du film ont voulu rendre hommage à leurs "cousins du Groland", en référence au programme comique diffusé sur Canal +.
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I Spy|Betty Thomas|Action||2|américain|2003|96|Anglais||XVID|||XVID|862 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|135 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||23.976|13/08/2009 00:00:00|Betty Thomas Jenno Topping Mario Kassar Andrew G. Vajna|Marianne Wibberley Jay Scherick David Ronn|Oliver Wood||Columbia Pictures||Lorsque le prototype d'un avion espion des plus sophistiqués, le Double Sabre, est dérobé au gouvernement américain, Alex Scott, un agent secret, est appelé en urgence pour le retrouver. Ce qu'il ne sait pas c'est qu'il va devoir faire équipe avec un champion du monde de boxe très suffisant et sûr de lui, Kelly Robinson. Leur mission sera d'utiliser leurs dons complémentaires pour attraper Arnold Gundars, vendeur d'armes illégales très réputé, et reprendre possession de l'avion. Mais Alex tombera rapidement sous le charme de Rachel, sa collègue venue lui prêter main forte. |Owen Wilson (Alex Scott)@Eddie Murphy (Kelly Robinson )@Famke Janssen (Rachel Wright)@Mike Dopud (Jim)@Viv Leacock (T.J.)@Lynda Boyd (Edna)@Bill Mondy (McIntyre)@Darren Shahlavi (Darren Shahlavi)@Dana Lee (Zhu Tam)@Aleks Paunovic (Bob)@Péter Vida (L'homme à la vespa)@Malcolm McDowell (Arnold Gundars)@Gary Cole (Carlos )@Phill Lewis (Jerry)@||Secrets de tournage :
La scène de la poursuite en voiture
L'une des séquences les plus difficiles du tournage a été celle de la poursuite en voiture dans une rue étroite près du Danube. Il a fallu obtenir l'autorisation de fermer l'accès pendant la nuit et aller jusqu'en Allemagne pour louer la douzaine d'énormes projecteurs qui, suspendus à deux grues, éclairent la scène.
Les lieux de tournage
Le tournage a commencé le 12 septembre 2001 à Budapest, en Hongrie. Le producteur Andrew G. Vajna commente : "On a rarement vu l'Europe de l'Est dans les films d'action, surtout la Hongrie. Budapest a déjà été utilisé mais surtout comme doublure de Paris ou d'autres capitales européennes. Voir la ville pour elle-même offrait au public une expérience nouvelle. Et la Hongrie est mon pays d'origine !"
Cascades effectuées par les acteurs
Eddie Murphy a insisté pour effectuer lui-même certaines de ses cascades. "Je cherche toujours le moyen de faire surgir la comédie dans toute situation, même la pire. Owen et moi avons visé cela en permanence. Il n'est pas évident d'accomplir certains exercices physiques en étant drôle en même temps !" précise Owen Wilson. "Quand vous êtes suspendu dans les airs et que votre production d'adrénaline est en surrégime, il faut encore continuer à donner la réplique, à improviser..."
Eddie Murphy s'est remis à la boxe
Après avoir envisagé de faire de Kelly Robinson un champion international de tennis, puis un basketteur, c'est finalement Eddie Murphy qui a suggéré d'en faire un boxeur. Il explique : "J'ai pratiqué la boxe autrefois, mon père était boxeur, javais déjà une bonne base. Il ne m'a fallu d'ailleurs que quelques mois d'entraînement."
Adapté d'une série télévisée
Ce film est en fait l'adaptation cinématographique d'une série télévisée américaine intitulée I spy, dont les origines remontent aux années soixante. Bill Cosby y interprétait l'agent Alexander Scott, tandis que Robert Culp y incarnait le champion international de tennis Kelly Robinson.
Deux styles opposés
Eddie Murphy et Owen Wilson ont des manières de jouer assez différentes l'un de l'autre. La réalisatrice se souvient : "Unir deux styles opposés m'attirait. L'énergie d'Eddie est immense, communicative et basée sur l'improvisation. Le rythme d'Owen est plus retenu, plus construit. Ils ont un rapport réciproquement destructeur. C'est jubilatoire de les voir se pourrir la vie !"
2e collaboration Thomas / Murphy
Espion et demi marque la seconde collaboration entre l'acteur Eddie Murphy et la réalisatrice Betty Thomas. Tous deux avaient auparavant travaillé ensemble sur la comédie Dr. Dolittle.
Deux habitués des buddy movies
Eddie Murphy et Owen Wilson sont deux habitués du buddy movie, un genre cinématographique qui mêle à la fois humour et action et qui fait la part belle à un duo d'acteurs diamétralement opposés. Dans ce type de film, le premier a eu pour partenaires Nick Nolte dans 48 heures (1982) et 48 heures de plus (1990) ainsi que Robert De Niro dans Showtime (2002), tandis que le deuxième s'est vu adjoindre les services de Jackie Chan dans Shanghai kid (2000).
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Essaye-moi|Pierre-François Martin-Laval|Comédie||3|français|2006|85|Français||XviD|||XVID|1 005 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|132 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Laurent Pétin Michèle Pétin|Pierre-François Martin-Laval Isabelle Nanty Jean-Paul Bathany Frédéric Proust|Régis Blondeau||ARP Sélection||Quand Yves-Marie, 9 ans, demande à Jacqueline, qui a son âge : "Epouse-moi", elle répond par une pirouette : "Le jour où tu vas dans les étoiles, je te donne ma main."
24 ans plus tard, quand Yves-Marie, devenu cosmonaute, vient sonner à la porte de Jacqueline, celle-ci s'apprête à épouser Vincent et a tout oublié de sa promesse. Alors Yves-Marie a une idée : "Essaye-moi une journée avant de dire non !" |Pierre-François Martin-Laval (Yves-Marie)@Julie Depardieu (Jacqueline)@Pierre Richard (le père d'Yves-Marie)@Kad Merad (Vincent)@Wladimir Yordanoff (le père de Jacqueline)@Isabelle Nanty (la mère de Jacqueline)@Jules-Angelo Bigarnet (Firmin)@Frédéric Proust (Paul)@Arnaud Marciszewer (Yves-Marie enfant)@Tilly Mandelbrot (Jacqueline enfant)@Marina Foïs (la mère de Firmin)@Pascal Vincent (le voisin)@Denise Bonal (Madame Villano)@Valérie Bonneton (la collègue de Jacqueline)@Robert Assolen (le gardien du zoo)@Edea Darcque (fan 1)@Charlotte des Georges (fan 2)@Johanna Leira (la gardienne d'immeuble)@André Lutrand (papy croquet)@Jean-Pierre Ameline (le boucher)@Maxime Masse (le fils du boucher)@Dominique Tedeschi (le client du supermarché)@Lionel Mazeman (collègue astronaute 1)@Jean-François Lenogue (collègue astronaute 2)@Benoît Berthon (chauffeur armée)@Marcel Delahaye (doublure papa d'Yves-Marie)@Elise Larnicol (femme du couple sur la route)@Maurice Barthélémy (homme du couple sur la route)@Denis Martin-Laval (le multi-figurant)@Pica (le pingouin)@||Secrets de tournage :
Un nouveau Robin cinéaste
Avec Essaye-moi, Pierre François Martin-Laval est le second membre de la troupe comique des Robin des Bois à passer derrière la caméra après Maurice Barthélémy, déjà réalisateur de deux longs métrages, Casablanca Driver et Papa.
Une vocation tardive
L'envie de passer derrière la caméra est venue très tard chez Pierre François Martin-Laval. Son désir initial était de devenir comédien, activité qu'il exerca d'abord en suivant les cours de théâtre d'Isabelle Nanty, puis en jouant avec la troupe comique des Robin des Bois. L'envie de diriger germa lorsqu'il mis en scène plusieurs spectacles, celui des Robins des Bois, mais aussi ceux d'Eric et Ramzy, de Kad et Olivier ou encore de Patrick Bosso et Isabelle Nanty. C'est en 2000, pendant le tournage de La Tour Montparnasse infernale, dans lequel il avait un petit rôle, que le déclic intervint véritablement. Le producteur Christian Fechner passa le voir et lui dit : "Tu devrais écrire ton propre film, pour y mettre ton univers !" Pierre François Martin-Laval rédigea alors une page qu'il soumis à son mentor Isabelle Nanty. Celle-ci lui dit : "On fonce. Tu as un style bien à toi, on écrit ensemble." Une vocation était née.
La naissance d'"Essaye-moi"
Après avoir rédigé la fameuse page qui enthousiasma Isabelle Nanty (Papa gagman, l'histoire d'un père qui fait rire son fils suite à un drame), Pierre François Martin-Laval et Nanty ont écrit douze pages d'Essaye-moi. Pef raconte : Christian Fechner a lu ces douze pages, l'essayage lui plaisait, mais pas l'idée de ce héros qui est encore un gamin, qui n'a pas assez grandi, ni l'innocence de mon récit. Et Isabelle, toujours là, m'a dit : "Tu dois faire un film qui ressemble à ce que tu veux raconter, donc on se barre." Après, c'est avec Isabelle qu'on a trouvé l'histoire de s'essayer. Moi, de toutes les façons, j'avais envie de parler d'amour, et d'une histoire qui m'est arrivée, et Isabelle a commencé à délirer sur le fait d'essayer une fille, ou d'essayer un mec, de l'essayer au petit dèj', de l'essayer au quotidien..."
Pef : une part d'enfance indélébile
Pierre François Martin-Laval, surnommé Pef, évoque la part d'enfance indélébile qu'il porte en lui et qui est présente dans nombre des personnages qu'il a créés au fil des années : "Il y a un côté de moi qui n'a pas grandi, qui est resté naïf. J'ai toujours adoré changé la réalité, passer mon temps à faire des blagues à ma famille, mon père m'appelait "le farceur". Je n'ai guère évolué depuis. Un gamin a la liberté de faire ce qu'il veut. Sans doute cela me paraît plus pur, plus innocent, plus authentique. Rien ne m'émeut plus qu'un enfant. Sur scène, j'essaie de me laisser aller en ce sens, pour trouver une vérité ou des gags, et dépasser mes limites. En écriture, c'est pareil. (...) C'est un côté de moi qui est resté très gamin et que du coup j'ai exploité dans mes spectacles. Parce que si tu veux être un bon clown, tu es obligé de connaître parfaitement ta nature, tes défauts..."
Une triple casquette
Pierre François Martin-Laval est à la fois réalisateur, scénariste et acteur principal d'Essaye-moi. Pour lui, jouer dans son film était une évidence dès le départ : "Chacun des dialogues d'Yves-Marie était pour moi, je me suis même surpris à pleurer en écrivant certains passages, ces mêmes passages où j'ai pleuré plus tard en les jouant. Mais lorsque ARP n'a pas trouvé de financement, je me suis dit : "Il faut que je me prépare à abandonner mon rôle. Qui choisir ? Cornillac ? Jamel ? Eric Judor ?" Quelle que soit la réponse, perdre mon personnage m'aurait rendu malheureux. Mais Michèle et Laurent Pétin, les producteurs, ne me l'ont jamais demandé !"
Le souhait de Pef
Pierre François Martin-Laval raconte ce qu'il aimerait que les spectateurs disent après avoir vu Essaye-moi, et résume son film dans le même temps : "J'aimerais qu'ils disent "J'ai trop aimé !" Q'ils se disent que c'est une histoire d'amour, que c'est un conte de féés moderne, mais réaliste, avec une grosse part d'enfance. Une sorte de comédie romantique merveilleuse. Ou qu'ils disent comme les chaînes de télé qui n'ont pas souhaité le financer : "C'est très original" !" J'ai fait un film sans gros mot, sans meurtre, sans histoire misérable et aucun personnage n'est un salaud. C'est aussi un film qui dit : "Quand on veut, on peut." Je crois que c'est un film qui donne envie d'oser. Il faut oser dans la vie, sinon on n'arrive à rien. Donc, si tu es sincère, il faut se lancer, il faut essayer. Oser, ça donne des ailes. Et avec mes plumes je rêve d'en écrire un second."
Quatre scénaristes au générique
Pas moins de quatre scénaristes se sont affairés à l'histoire d'Essaye-moi. Après avoir rédigé un synospis détaillé durant deux mois à Marseille, Pierre François Martin-Laval a travaillé sur le scénario durant plusieurs années, sous le contrôle d'Isabelle Nanty, entre des sketches des Robins des Bois pour Canal + et la confection du film RRRrrrr !!!. Il a ensuite demandé l'aide de Jean-Paul Bathany et Frédéric Proust (qui joue d'ailleurs le rôle du meilleur ami de Kad dans le film), auteurs notamment de la série télévisée H. Pef explique : "Ils m'ont sauvé le scénario. Parce que, dans ce que j'avais écrit, mon personnage avait déteint sur tout le scénario. Il était innocent, candide, parfois stupide et du coup tout le scénario était innocent et candide, et tous les personnages étaient comme le mien. Alors, on n'a gardé que mon père et moi. Les autres s'expriment désormais différemment. C'est ce que je n'aurais pas réussi à faire sans eux."
La valse des producteurs
Pierre François Martin-Laval a démarché de nombreux producteurs pour tenter de donner vie au projet Essaye-moi. Après le refus de Christian Fechner, il se tourna vers Alain Chabat, qui lui donna des conseils et fut intéressé par un remake aux Etats-Unis. Plus intérressé par le "make", comme il s'amuse à le définir, Pef proposa alors son scénario au producteur Bruno Levy qui adora l'idée, mais qui ne se lança pas dans l'aventure, refroidi par l'échec du film d'un autre Robin des Bois qu'il avait produit peu d etemps auparavant, le Casablanca Driver de Maurice Barthélémy. Isabelle Nanty parla alors à Claude Berri d'Essaye-moi : Pierre François Martin-Laval le rencontra, Berri fut séduit, proposa l'idée à Richard Pezet, de Pathé, qui détesta. Mais un jour, le même Berri revint vers Pef et lui présenta le producteur Laurent Pétin, en lui disant en préambule de la rencontre : "J'ai un ami qui a les couilles de produire des films originaux.". Essaye-moi avait trouvé son producteur.
La présence de Pierre Richard
Pierre François Martin-Laval, sur la présence de Pierre Richard au générique d'Essaye-moi : "J'essayais de me préparer à son refus... Mais j'aurais été bien embêté, parce que ce rôle je l'ai écrit pour lui, qui ressemble tant à mon père. Ils sont tous les deux distraits, sensibles, les yeux bleus, si drôles et si touchants. Bon j'avoue que Pierre Richard, c'est mon idole depuis tout petit, alors c'était évident, voilà."
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Afterwards|Gilles Bourdos|Thriller||2|canadien, français|2009|103|Français||XVID|||XVID|801 Kbps|608x256|MPEG-1 Audio layer 3|130 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Christian Larouche Dirk Beinhold|Michel Spinosa Gilles Bourdos|Lee Ping Bing Mark||Mars Distribution||À huit ans, Nathan est entré dans le tunnel lumineux de la "mort imminente" pour avoir voulu sauver une fillette. Déclaré mort, le petit garçon se réveille inexplicablement. Vingt ans plus tard, Nathan est devenu un brillant avocat new yorkais. Meurtri par les circonstances douloureuses de son divorce, il s'est barricadé dans son travail, loin de son ex-femme Claire et de sa fille. C'est alors qu'un mystérieux médecin, le docteur Kay, fait irruption dans son existence en prétendant pouvoir dire à quel moment certaines personnes vont mourir. Et parce que Kay bouleverse tous les repères de sa vie, Nathan va enfin découvrir pourquoi il est revenu. |Romain Duris (Nathan Del Amico)@John Malkovich (Kay)@Evangeline Lilly (Claire)@Reece Thompson (Jeremy)@Glenda Braganza (Rachel)@Sally Taylor-Isherwood (Jennifer)@Pascale Bussières (Anna)@Sara Waisglass (Tracey)@Bruno Verdoni (Le Docteur)@Joan Gregson (Belle mère de Kay)@Mark Camacho (Avocat)@Robin Wilcock (Avocat)@Edward Yankie (Avocat)@Carlo Mestroni (Avocat)@Leni Parker (Accueil aux urgences)@Henri Pardo (Porte-parole haïtien)@||Secrets de tournage :
Adaptation d'un roman
Le film de Gilles Bourdos est adapté du roman de Guillaume Musso, intitulé Et Après. Après la lecture de ce livre, le réalisateur a tout de suite retenu des éléments essentiels, qui ont fait émerger l'idée du film.
Un premier rôle pour l'actrice
Avec son interprétation de Claire dans le film de Gilles Bourdos Et après, Evangeline Lilly tient son premier vrai rôle au cinéma. Habituée des plateaux télé, notamment pour la série Lost, elle tient ensuite un tout petit rôle dans le film d'horreur Freddy contre Jason en 2003. Et après lui offre donc sa première véritable expérience sur grand écran.
L'exil de Duris aux Etats-Unis
Ce film marque le pemier tournage anglo-saxon pour l'acteur français Romain Duris. Exilé pendant plusieurs mois à New York, il va s'imposer malgré la barrière de la langue, face à des partenaires américains. De cette expérience, il précise "J'ai toujours adoré tourner à l'étranger. Après le travail de l'anglais auquel je me suis livré, je me suis rendu compte que lorsque mes intentions étaient bonnes, mon anglais était bon!".
L'arrivée de John Malkovich sur le film
A l'origine, le scénario de Gilles Bourdos n'a pas été envoyé à John Malkovich lui-même mais à sa boîte de production. Le film allait être tourné sur le continent américain mais avec une équipe française, ils avaient donc besoin d'un coup de main logistique. En lisant le scénario, l'acteur américain a été impressionné et c'est comme ça que l'aventure du film a débuté.
Mitterrand, guide spirituel du tournage
Gilles Bourdos, pour trouver le fil conducteur et le propos essentiel de son film, avoue s'être inspiré d'une phrase de l'ancien Président, François Mitterrand : " La merveille est dans l'instant et on s'en aperçoit toujours trop tard ".
Une équipe de tournage fidèle
Gilles Bourdos, depuis ses débuts dans le métier, a toujours travaillé avec Michel Spinosa. En 1995, il écrit le scénario du film Emmène-moi, porté à l'ecran par Michel Spinosa. Les années suivantes, les rôles s'inversent puisque c'est Gilles Bourdos, qui passe derrière la caméra pendant que Spinosa planche sur le scénario. C'est le cas sur le film Disparus en 1998, Inquiétudes en 2004 et le dernier en date, Et après.
Le film est également la deuxième collaboration du réalisateur avec son directeur de la photo, Mark Lee Ping-Bing. Tous les deux avaient déjà travaillé ensemble sur le tournage du film Inquiétudes, en 2003.
Les impressions de Guillaume Musso sur le film
L'auteur du roman Guillaume Musso a été très emballé par le choix du casting et le résultat du film : " Dès les premières images, on baigne dans une ambiance poétique, dramatique et mystérieuse. La tension est permanente et le rythme ne faiblit jamais. "
Alexandre Desplat compose la musique du film
C'est le compositeur Alexandre Desplat qui a composé la musique du film de Bourdos. Son talent a déjà été récompensé en 2007 pour Le Voile des illusions et Desplat a été nommé à l'Oscar de la Meilleure bande originale pour The Queen. Il signe ici une bande-son assez rythmé, qui s'apparente "à une musique d'action mais qui joue surtout avec les émotions", précise-t-il. Une musique qui donne au film une dimension poétique et totalement abstraite.
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E.T. The Extra-Terrestrial|Steven Spielberg|Science fiction|Film pour enfants|3|américain|1982|115|Anglais||XviD|||XVID|761 Kbps|544x288|MPEG-1 Audio layer 3|80.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Steven Spielberg Kathleen Kennedy|Melissa Mathison|Allen Daviau||Universal Pictures||Une soucoupe volante atterrit en pleine nuit près de Los Angeles. Quelques extraterrestres, envoyés sur Terre en mission d'exploration botanique, sortent de l'engin, mais un des leurs s'aventure au-delà de la clairière où se trouve la navette. Celui-ci se dirige alors vers la ville. C'est sa première découverte de la civilisation humaine. Bientôt traquée par des militaires et abandonnée par les siens, cette petite créature apeurée se nommant E.T. se réfugie dans une résidence de banlieue. Elliot, un garçon de dix ans, le découvre et lui construit un abri dans son armoire. Rapprochés par un échange télépathique, les deux êtres ne tardent pas à devenir amis. Aidé par sa soeur Gertie et son frère aîné Michael, Elliot va alors tenter de garder la présence d'E.T. secrète. |Dee Wallace (Mary)@Henry Thomas (Elliot)@Peter Coyote (Keys)@Robert MacNaughton (Michael)@Drew Barrymore (Gertie)@C. Thomas Howell (Tyler)@K.C. Martel (Greg )@Erika Eleniak (la fille mignonne)@Michael Durrell (l'homme du van)@Harrison Ford (Le proviseur (scène coupée))@||Secrets de tournage :
Une influence pour le cinéma
Au-delà de son succès public, Peter Pan a également longuement influencé le cinéma contemporain. Parmi les plus fervents admirateurs du film, Steven Spielberg, qui fait raconter une partie de l'histoire par la mère du petit Elliot dans son E.T. l'extraterrestre en 1982, avant d'adapter à son tour l'oeuvre de Barrie dans Hook ou la revanche du Capitaine Crochet neuf ans plus tard.
D'où vient l'extraterrestre ?
Steven Spielberg réalise ici un film qui lui tient à coeur.
Le réalisateur puise dans ses propres souvenirs d'enfance (un presque systématisme chez le metteur en scène cinéphile, comme avec ses Rencontres du 3e type, hommage à la Science-Fiction des années 50, où l'on voit la silhouette du E. T dans la director's cut).
Spielberg s'attelle au projet dès 1978, travaillant sur des scénarios différents (allant du polar au film d'horreur) qui, mélangés, pourraient donner le "squelette" du film que l'on connait. Les rumeurs vont bon train, certaines allant même jusqu'à annoncer la suite des Rencontres du 3e type. Mais très vite la pré-production commence. Pendant le tournage des Aventuriers de l'Arche perdue (autre hommage du cinéphile au sérial des années 30), Spielberg peaufine son histoire.
Suite aux remarques et désiderata de Spielberg, la scénariste Melissa Mathison s'attaque alors à une version proche du script connu de tous.
Spielberg dans la lune !
E.T a permis à Spielberg de créer sa société de production, Amblin Entertainment. Le logo n'est autre que le vélo d'Elliott avec E.T, clin d'oeil au film et aussi au succès phénomènal rencontré.
Le tournage extraterrestre
C'est au dernier moment que Steven Spielberg trouve son Elliott en la personne de Henry Thomas, le tournage commence le 8 septembre 1981, à Culver City, puis en studio dans la banlieue de Los Angeles. Spielberg achève son film trois jours avant la date prévue par le plan de travail: phénomène assez rare pour le réalisateur des Dents de la mer et des Rencontres du 3e type, deux films dont le budget fut dépassé.
Le film est présenté au Festival de Cannes en avant-première mondiale en mai 1982. Il suscite un enthousiasme réel des journalistes, heureux présage de l'avenir du film. E.T innove en matière de Science-Fiction, en introduisant le personnage de l'extraterrestre sympathique, contraire de celui qui étudiait l'homme dans Le Jour où la terre s'arrêta de Robert Wise en 1951, ou ces méchants habitants venus d'ailleurs présentés comme des poubelles géantes dans Dr Who contre les Daleks de Gordon Flemyng en 1965. E.T aura été une exception dans le domaine, souvenons-nous de XTRO, qui prévient sur l'affiche "Que tous les ExtraTerrestres ne sont pas gentils". Le film de Spielberg a été également parodié par Joe Dante dans Gremlins, une production Amblin entertainment, firme créée par Spielberg lui- même.
"E.T" l'extraterrestre version 3ème millénaire
Comme George Lucas et la saga Star wars, Steven Spielberg a modifié son grand succès familial. Le réalisateur non seulement a amélioré les effets spéciaux, mais a aussi édulcoré la violence du film.
Harrison Ford, héros des Aventuriers de l'Arche perdue a tourné quelques scènes dans E.T. l'extraterrestre de 1982. Dans la version originale, le jeune Elliot et sa mère se rendaient chez le principal, joué par Ford. Officiellement la séquence avait été coupée à l'époque car toute l'attention se portait sur le comédien et non sur l'action. Cette scène est présente dans la version 2002.
Une autre séquence laissée sur la table de montage en 1982, où E.T prenait un bain avec le jeune Elliot, est intégrée dans le nouveau montage. A l'époque Spielberg avait estimé que la créature animatronique (la marionnette radiocommandée de E.T) desservait plutôt le film par son manque de réalisme.
Dans la version 2002, toutes les armes ont été prohibées. Ainsi quand les agents du gouvernement poursuivent l'extraterrestre et ses amis, ils le faisaient armes à la main. Désormais, c'est avec des talkies-walkies.
La scène la plus célèbre du film, du moins la plus marquante après celle où l'extraterrestre et Elliot volent au devant de la pleine lune, est certainement celle où la créature de l'espace tente de joindre ses compatriotes (E.T, téléphone maison). Dans la version 2002, les lèvres d'E.T ont été modifiées par ordinateur pour une meilleure compréhension des dialogues.
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Eternal Sunshine of the Spotless Mind|Michel Gondry|Comédie dramatique||3|américain|2004|107|Anglais||XviD|||XVID|766 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|125 Kbps|False|48.0 KHz|2|696||||23.976|09/08/2009 00:00:00|Steve Golin Anthony Bregman|Charlie Kaufman Michel Gondry Pierre Bismuth|Ellen Kuras||United International Pictures (UIP)||Joel et Clementine ne voient plus que les mauvais côtés de leur tumultueuse histoire d'amour, au point que celle-ci fait effacer de sa mémoire toute trace de cette relation. Effondré, Joel contacte l'inventeur du procédé Lacuna, le Dr. Mierzwiak, pour qu'il extirpe également de sa mémoire tout ce qui le rattachait à Clementine. Deux techniciens, Stan et Patrick, s'installent à son domicile et se mettent à l'oeuvre, en présence de la secrétaire, Mary. Les souvenirs commencent à défiler dans la tête de Joel, des plus récents aux plusanciens, et s'envolent un à un, à jamais.Mais en remontant le fil du temps, Joel redécouvre ce qu'il aimait depuis toujours en Clementine - l'inaltérable magie d'un amour dont rien au monde ne devrait le priver. Luttant de toutes ses forces pour préserver ce trésor, il engage alors une bataille de la dernière chance contre Lacuna... |Jim Carrey (Joel Barish)@Kate Winslet (Clementine Kruscynski)@Kirsten Dunst (Mary)@Mark Ruffalo (Stan)@Elijah Wood (Patrick)@Tom Wilkinson (Le docteur Mierzwiak)@Thomas Jay Ryan (Frank)@Jane Adams (Carrie)@Debbon Ayer (La mère de Joel)@David Cross (Rob)@Ryan Whitney (Joel jeune)@Deirdre O'Connell (Hollis)@Lauren Adler (La patineuse)@Gerry Robert Byrne@||Secrets de tournage :
La genèse du projet
C'est lors d'un dîner entre Michel Gondry et son ami Pierre Bismuth, il y a de cela plusieurs années, que se dessina le projet Eternal sunshine of the spotless mind. Bismuth lanca au réalisateur français une idée aussi provocante que riche de possibilités : "Que dirais-tu si tu recevais une carte t'annonçant que tu as été effacé de la mémoire d'une certaine personne, et que tu devrais désormais t'abstenir de tout contact avec elle ?" Quelques années plus tard, Gondry, après avoir travaillé avec Charlie Kaufman sur Human Nature, décida, en sa compagnie, de mettre en chantier un film d'après cette idée très originale.
L'amour sous toutes ses dimensions
Pour le scénariste Charlie Kaufman, Eternal sunshine of the spotless mind est une histoire d'amour à plusieurs facettes. "J'ai toujours pour principe d'écrire des choses qui reflètent la vérité, ou tout du moins, ma vérité", explique-t-il. "Or, je ne retrouve rien de celle-ci dans la plupart des films d'amour. Peut-être ont-ils un rapport avce la vie des gens qui les font, mais ils n'en ont certainement pas avec la mienne. Ici, l'histoire d'amour est présentée dans toutes ses dimensions, plaisantes ou déplaisantes, et je me garde bien d'en tirer une quelconque morale."
Pour le producteur Anthony Bregman, le film est l'histoire d'amour dont il rêvait depuis longtemps. "Racontée à la perfection, avec tendresse et émotion", déclare-t-il, "elle débute à ce stade critique où un homme et une femme ne peuvent plus se supporter l'un l'autre, puis elle remonte à la source de leur amour, au premier regard, au premier élan... et repart en sens inverse, permettant ainsi à Joel et Clementine de revivre leur idylle avec, désormais, la claire conscience de ce qui les menace. C'est la première fois que je trouvais cela dans un scénario."
Histoire d'un titre à rallonge
Le titre Eternal sunshine of the spotless mind est emprunté au poème Eloisa to Abelard, rédigé par Alexander Pope au 18e siècle. Charlie Kaufman avait déjà utilisé ce poème dans le long-métrage Dans la peau de John Malkovich, réalisé par Spike Jonze en 1999 et qu'il avait scénarisé.
L'évolution de Jim Carrey
Pour le comédien Jim Carrey, habitué au registre comique, Eternal sunshine of the spotless mind est l'occasion de poursuivre dans une veine plus dramatique entamée avec The Truman Show et poursuivie avec Man on the Moon et The Majestic. Du film de Michel Gondry, il dit qu'"il est l'un de ces rares qui vous font apprécier vos malheurs passés. Je n'aurais pu jouer ce rôle si je ne l'avais vécu pour de vrai."
Kate Winslet dans le rôle de Jim Carrey ?
Pour la comédienne Kate Winslet, Eternal sunshine of the spotless mind permet d'assister à une surprenante attribution de rôles. "En fait", explique-t-elle, "c'est MOI qui tient "le-rôle-de-Jim-Carrey" tel qu'on l'entend généralement, alors que Jim joue celui qu'on m'offre le plus souvent. Il fait ici des choses qu'on ne l'avait jamais vu faire à l'écran, incarnant le plus sobre, le plus rationnel, des deux personnages, tandis que je joue la fille totalement chaotique, qui grimace et gesticule. Dans ce film, chacun est utilisé à contre-emploi, ce qui est généralement une bonne chose."
Avant Jim Carrey...
Avant que Jim Carrey ne décrôche le rôle de Joel Barish, c'est Nicolas Cage qui était pressenti pour tenir la vedette d'Eternal sunshine of the spotless mind.
Primé à Deauville
Eternal sunshine of the spotless mind a reçu le Prix Première lors du Festival du Cinéma Américain de Deauville 2004. Ce prix récompense le long-métrage le plus novateur de la compétition.
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Evan Almighty|Tom Shadyac|Comédie||1|américain|2007|91|Anglais||DX50|||DX50|932 Kbps|608x256|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|09/08/2009 00:00:00|Steve Carell Gary Barber Roger Birnbaum Michael Bostick Neal Moritz Tom Shadyac|Steve Oedekerk Alec Sokolow Joel Cohen|Ian Baker||Universal Pictures|Saga : Les Tout-puissants |Une nouvelle vie commence pour Evan Baxter, sa femme Joan et leurs trois fils. Fraîchement élu député de New York, et bien décidé à marquer l'histoire de son pays, l'ex-présentateurvedette demande à Dieu de l'aider à "changer le monde", sans se douter qu'il a déjà été choisi pour une mission de la plus haute importance...Lorsque le député Long - un des hommes les plus influents de Washington - lui propose une alliance, le naïf Baxter est convaincu que sa prière a été entendue. Mais des événements déroutants ne tardent pas à semer le trouble dans sa famille et au sein de sa fidèle équipe. Pourquoi ces livraisons d'outils préhistoriques et de madriers ? Pourquoi cet afflux ininterrompu d'oiseaux et de mammifères de toutes espèces qui chaque jour envahissent un peu plus le voisinage ? Et pourquoi Evan s'est-il cru obligé de troquer son costume pour une longue tunique ? |Steve Carell (Evan Baxter)@Morgan Freeman (Dieu)@Lauren Graham (La femme d'Evan)@John Goodman (un membre du Congrès)@Ed Helms (Ed Carson)@Jimmy Bennett (Ryan Baxter)@Jonah Hill (Eugene Tenanbaum)@Wanda Sykes (Rita)@John Michael Higgins (Marty)@Johnny Simmons (Dylan Baxter)@Molly Shannon (Eve Adams)@David Barrera (reporter sur l'Arche n°1)@Jeremiah Birkett (reporter sur l'Arche n°2)@Jesse Burch (reporter sur l'Arche n°3)@Rachael Harris (reporter sur l'Arche n°4)@Casey Strand (reporter sur l'Arche n°5)@Wayne Wilderson (reporter sur l'Arche n°6)@Dean Norris (officier de police Collins)@Angela Martinez (journaliste de CNN)@Lamont Thompson (officier de police M. Gilbert)@Larry Dorf (officier de police B. McKenzie)@Topper Shutt (un présentateur de la météo)@Juan M. Fernández (journaliste n°1)@Bridget White (journaliste n°2)@Roxana Ortega (une journaliste dans le bureau de Evan)@Brendan Patrick Connor (Patron du Fish'n Chips n°1)@Charlie Hartsock (Patron du Fish'n Chips n°2 )@Jon Stewart (lui-même)@||Secrets de tournage :
Un budget aux proportions bibliques
Le coût des effets visuels, qui visent a recréer numériquement une Arche et la gestion de centaines d'animaux avoisine les 140-160 millions de dollars. Certains quotidiens américains, tels le LA Times, ont avancé la somme colossale de 175 millions de dollars en fin de tournage et 250 millions une fois les frais de marketing et de promotion pris en compte. Avec un tel budget, Evan tout puissant s'impose comme la comédie la plus chère de l'histoire du cinéma, devant Wild Wild West (170 millions de $) et MIIB (140 millions de $).
La construction de l'Arche
La construction de l'Arche fut une tâche herculéenne pour la production; principalement en raison de sa taille. Après s'être inspiré d'indications situées dans la Génèse ainsi que dans divers livres pour enfants, la production de l'Arche fut mise en route en janvier 2006. Les travaux ont commencé par la construction d'un sous-bassements en béton armé, auquel sont venus se joindre les fondations, la coque et la quille de l'Arche. Au total, la structure mesurait pas moins de 90 m de long, 25 m de large et 20 m de haut.
Un sujet original
Joel Cohen et Alec Sokolow ont signé l'histoire d'Evan tout puissant. On leur doit notamment le scénario de...Toy Story; travail pour lequel ils ont été cité à l'Oscar du Meilleur scénario en 1996.
Tout puissant sans Jim Carrey
Jim Carrey a refusé de reprendre le rôle qu'il interprète dans Bruce tout-puissant, de même que Jennifer Aniston. La production s'est donc tournée vers Steve Carell pour endosser le rôle-titre.Tom Shadyac confie :"nul ne peut l'oublier dans le rôle d'Evan Baxter. Steve avait fait un travail tellement extraordinaire que nous avions tous envie d'amplifier son personnage et d'en faire le pivot d'un nouveau film. Evan, c'est le rêve américain à la puissance 10. Il aspire à avoir la plus grande maison, la plus grosse voiture, le plus beau job. Sans se douter que tout cela a un prix."
Un producteur heureux
Réalisateur du film, Tom Shadyac est également le producteur de Quand Chuck rencontre Larry, qui a rapporté en dix jours plus de 70 millions de dollars de recettes aux Etats-Unis, s'offrant le luxe de détrôner temporairement le petit sorcier de Poudlard au box-office américain dans ses dernières aventures.
L'Arche retrouvée ?
L'histoire et le mythe de l'Arche n'ont cessé d'alimenter les rumeurs les plus fantaisistes depuis des siècles. De même que la supposée localisation de l'Arche. Après une trentaine d'années de recherches, il semblerait pourtant que des scientifiques du très sérieux Centre de recherche pour les études stratégiques et internationales basé à Washington DC aient localisé une zone suspecte vue par satellite, qui représenterait une gigantesque construction humaine. Celle-ci se situerait au nord-ouest du Mont Ararat, en Turquie, à une altitude de 4663 m. Mais c'est une zone relativement inexplorée car le gouvernement Turc n'autorise pas de recherches sur place. L'US Air Force a pris les premières photos du site du Mont Ararat en 1949. Elles montraient ce qui semblait être une énorme structure couverte de glace. Mais celles-ci ont été classées dans un dossier "Confidentiel Defense" et étiqueté "Anomalie de l'Ararat": le mythe archéologique est né.
La fibre écolo
Evan tout puissant se voulant aussi une fable écologique, la production a ainsi voulu aller jusqu'au bout de sa logique. Elle s'est en effet engagée à planter 2050 arbres en Californie et Virginie...en compensation des émissions de CO2 occasionnées pendant le tournage ! De même, l'équipe a recyclé tous les matériaux de construction récupérable et refondu l'acier. L'argent de la vente est allé à l'ONG Habitat for Humanity, qui a lancé en partenariat avec le film et le Conservation Fund un site internet destiné à sensibiliser le public sur le réchauffement climatique.
D'un hôtel-restaurant à l'Arche de Noé
Si Evan tout puissant est le sixième film de Lauren Graham qui incarne la femme de Evan à l'écran, l'actrice est en revanche plus connue des sériphiles pour prêter ses traits à Lorelai Gilmore, de la série Gilmore Girls. Celle-ci s'est arrêtée en 2007.
La ménagerie d'Evan
Afin de peupler la ménagerie de l'Arche, la production a dû "recruter" et dresser pas moins de 180 animaux différents. Et comme toutes les espèces ne cohabitent pas forcément bien, il a fallu les filmer séparemment devant un fond bleu, puis les incruster en post-production au milieu d'autres espèces retravaillées à la palette infographique.
Carton au Box-Office
Porté par le duo Jim Carrey / Jennifer Aniston, Bruce tout-puissant a rapporté plus de 500 millions de dollars de recettes mondiales; devenant l'un des plus gros succès de l'année 2003. Forte de ce succès, la production a demandé à Steve Oedekerk de plancher sur une suite, avec toujours aux commandes Tom Shadyac.
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Event Horizon|Paul W.S. Anderson|Fantastique|Interdit aux moins de 12 ans|2|britannique, américain|1998|91|||DIV3|||DIV3|937 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Jeremy Bolt Lawrence Gordon Lloyd Levin|Philip Eisner|Adrian Biddle||United International Pictures (UIP)||2047. Le vaisseau spatial "Lewis & Clark" s'apprète à regagner sa base quand l'équipage reçoit l'ordre de gagner la station Daylight pour embarquer le physicien William Weir, avec lequel il doit repartir en direction de Neptune. Quelques années plus tôt, Weir avait conçu un engin spatial révolutionnaire capable de se déplacer plus vite que la lumière mais qui disparut corps et biens aux abords de Neptune. La mission du "Lewis & Clark" consiste à repérer l'epave de l'"Event Horizon", à déceler les causes de sa mysterieuse avarie et à récuperer les éventuels survivants. |Sam Neill (William Weir)@Laurence Fishburne (Captain Miller)@Kathleen Quinlan (Peters)@Jack Noseworthy (Justin)@Joely Richardson (Lt. Starck)@Richard T. Jones (Cooper)@Jason Isaacs (D.J.)@Sean Pertwee (Smith)@Peter Marinker (Kilpack)@Holley Chant (Claire)@||||||||||||@@
Evil dead 2|Sam Raimi|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|1987|77|Anglais||DIV3|||DIV3|929 Kbps|384x288|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|574||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Robert G. Tapert|Sam Raimi Scott Spiegel|Peter Deming|||Saga : Evil Dead |Deux jeunes amoureux se rendent dans la cabane du professeur Knowby, qui a mystérieusement disparu apres avoir eu en sa possession quelques pages du livre des morts, redoutable grimoire disparu au XIVe siècle. |Bruce Campbell (Ash)@Sarah Berry (Annie Knowby)@Dan Hicks (Jake)@Denise Bixler (Linda)@Kassie DePaiva (Bobbie Joe)@Richard Domeier (Ed Getley)@Lou Hancock (Henrietta Knowby)@Ted Raimi (Henrietta possédée)@Scott Spiegel@Sam Raimi (Le chevalier)@||Secrets de tournage :
Le deuxième volet d'une saga culte
Evil Dead II sort en salles six ans après Evil dead. Le réalisateur Sam Raimi et le comédien
Bruce Campbell sont de retour à leurs postes respectifs. En 1993, un troisième volet intitulé Evil Dead III : l'armée des ténèbres clôture la saga fantastique.
Replonger dans le récit
Afin de récapituler l'histoire, Sam Raimi s'est vu obliger de tourner de nouvelles scènes censées se passer dans le premier film. Le réalisateur n'avait en effet pas les droits d'Evil dead et ne pouvait en conséquence par en réutiliser certaines images.
D'une saga de légende à une autre...
En 1984, Les Griffes de la nuit, qui révélaient le tueur Freddy Krueger, adressaient un clin d'oeil à Evil dead en montrant un passage du film sur un écran de télévision. En échange, Sam Raimi a tenu à ce que le célèbre gant griffé de Freddy Krueger soit entraperçu dans Evil Dead II.
Le gag de Sam Raimi et Bruce Campbell
Durant le tournage d'Evil Dead II, Sam Raimi se cassa la jambe en percutant son comédien Bruce Campbell. C'est du moins ce qu'il fit croire à toute l'équipe, amusé de deviner combien de temps la supercherie allait fonctionner.
Les Raimi au générique
Le réalisateur Sam Raimi fait une apparition clin d'oeil dans son film, dans le rôle d'un chevalier médiéval. Son frère Ted a quant à lui un rôle plus conséquent devant la caméra.
Un coup de tête en moins
La version anglaise d'Evil Dead II est quatre secondes plus courte que la version originale. Le temps d'occulter un coup au visage un peu trop violent pour la censure britannique.
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Evil Dead III : Army of Darkness|Sam Raimi|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|1994|81|Anglais||DIV3|||DIV3|1 081 Kbps|544x304|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|689||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Robert G. Tapert|Sam Raimi Ivan Raimi|Bill Pope||Metropolitan FilmExport|Saga : Evil Dead |Une tronçonneuse greffée au poignet, un fusil à canon scié dans l'autre main, Ash, le héros des Evil Dead, remonte le cours du temps jusqu'en 1300. Là, il lui faut mettre la main sur le Nécronomicon, grimoire à l'origine de ses malheurs. Sa quête se transforme vite en effarante croisade, qui le mène à affronter une armée de squelettes... |Bruce Campbell (Ash)@Embeth Davidtz (Sheila)@Marcus Gilbert (Arthur)@Bridget Fonda (Linda)@Ray Bradbury (Le chef des archers)@Patricia Tallman (La sorcière possédée)@Bernard Rose@William Lustig@Ivan Raimi@Sam Raimi (Le chevalier)@Angela Featherstone@||Secrets de tournage :
La saga continue...
Evil Dead III : l'armée des ténèbres est le troisième volet de la saga d'épouvante Evil Dead, après Evil dead en 1981 et Evil Dead II en 1987. Le réalisateur
Sam Raimi ainsi que l'acteur Bruce Campbell sont une nouvelle fois de la partie.
Un film en famille
Evil Dead III : l'armée des ténèbres marque la collaboration de Sam Raimi avec ses frères Ivan et Ted. Aux côtés de Sam Raimi, réalisateur, co-scénariste et monteur du film, Ivan participe à l'écriture et fait une petite apparition devant la caméra. Ted, lui, ne figure au générique d'Evil Dead III : l'armée des ténèbres qu'en tant que comédien.
Une formule de légende
Les mots magiques que prononce le héros Ashley Williams devant le grimoire ("Klaatu, Barada, Nikto !") sont les mêmes qui font fonctionner le robot Gort dans Le Jour où la terre s'arrêta, réalisé par Robert Wise.
Des invités de marque
Plusieurs vedettes du septième art font une apparition dans Evil Dead III : l'armée des ténèbres. Outre Sam Raimi qui se donne un tout petit rôle devant la caméra, l'actrice Bridget Fonda et le réalisateur William Lustig (Maniac) sont également de la partie.
Une voiture très particulière
La voiture dans laquelle Ashley Williams voyage dans le temps est la voiture personnelle du réalisateur Sam Raimi. Celui-ci lui donne un "rôle" dans la plupart de ses films.
Une fin alternative
Une fin alternative d'Evil dead III : l'armée des ténèbres est disponible dans le DVD du film. La scène en question montre Ashley Williams retraverser le temps dans sa voiture. Malheureusement pour lui, le voyage ne se passe pas comme prévu et il se retrouve dans un futur indeterminé, au milieu d'une ville en flammes.
De fantastiques récompenses...
Evil Dead III : l'armée des ténèbres a remporté un succès considérable lors de ses passages en festivals. Présenté en compétition lors du Festival du film fantastique d'Avoriaz en 1993, le film de Sam Raimi s'est adjugé plusieurs récompenses majeures du genre : le Saturn award du Meilleur Film d'Horreur, le Corbeau d'or à Bruxelles, ainsi que le Prix du public au Fantasporto.
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Evolution|Ivan Reitman|Science fiction||3|américain|2001|97|Anglais||XVID|||XVID|853 Kbps|720x384|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|693||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Ivan Reitman Daniel Goldberg Joe Medjuck|David Diamond David Weissman Don Jakoby|Michael Chapman||DreamWorks Pictures||Une gigantesque météorite s'écrase quelque part dans le désert de l'Arizona, apportant avec elle les germes d'une vie extraterrestre protéiforme. Un certain Ira Kane, accompagné de son meilleur ami, Harry Block, tentent de protéger cette découverte des ambitions de l'armée, vite alertée. Ils se heurtent à Allison Reed, épidémiologiste gouvernementale qui entend bien les écarter des lieux. Mais au final, tous devront s'unir pour combattre les nouvelles et étranges formes de vie qui se reproduisent rapidement... |David Duchovny (Ira Kane)@Julianne Moore (Allison Reed)@Orlando Jones (Harry Block)@Ted Levine (Le général Woodman)@Ethan Suplee (Deke)@Dan Aykroyd (Le gouverneur Lewis)@Seann William Scott (Wayne Green)@Michael Bower (Danny)@Pat Kilbane (Officer Sam Johnson)@Ty Burrell (Colonel Flemming)@Katharine Towne (Nadine)@Gregory Itzin (Barry Cartwright)@Ashley Clark (Lieutenant Cryer)@Michelle Wolff (Carla)@Sarah Silverman (Denise)@||Secrets de tournage :
Un souci de crédibilité
Bien qu'Evolution vise avant tout à divertir et faire rire le public, la vraisemblance scientifique ne fut pas sacrifiée pour autant. Le producteur exécutif, Tom Pollock, souligne ainsi que la théorie sur laquelle se fonde le film, la panspermie (la vie sur Terre aurait été engendrée par des organismes cellulaires "transportés" par des météorites), est admise par "d'éminents scientifiques".
L'acteur David Duchovny, quant à lui, affirme : "la comédie ne devrait pas ôter aux personnages leur crédibilité en tant que scientifiques. C'est cet aspect qui m'a en partie donné envie de faire ce film : comment être crédible et loufoque en même temps ?"
Un drame devenu comédie
Si Evolution s'avère à l'arrivée être une comédie délirante sur une très hypothétique menace extraterrestre, le film avait, à l'origine, été conçu comme un thriller dramatique... C'est au réalisateur, Ivan Reitman, que l'on doit ce changement d'orientation par rapport au scénario original de Don Jakoby.
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Facing the Giants|Alex Kendrick|Drame||2|américain|2006|106|Anglais||DX50|||DX50|811 Kbps|512x272|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Stephen Kendrick Alex Kendrick|Alex Kendrick Stephen Kendrick|Bob Scott||IDP Distribution||Depuis qu'il est entraîneur des Shiloh Eagles, Grant Taylor n'a jamais connu de saisons gagnantes. Alors qu'il envisage d'abandonner, une rencontre inattendue le pousse alors à préserver. |James Blackwell (Matt Prater)@Bailey Cave (David Childers)@Shannen Fields (Brooke Taylor)@Tracy Goode (Brady Owens)@Alex Kendrick (Grant Taylor)@Jim McBride (Bobby Lee Duke)@Tommy McBride (Jonathan Weston)@Jason McLeod (Brock Kelley)@Steve Williams (II) (Larry Childers)@Chris Willis (J.T. Hawkins Jr.)@||||||||||||@@
The Frighteners|Peter Jackson|Fantastique|Interdit aux moins de 12 ans|3|néo-zélandais, américain|1997|105|||DIV3|||DIV3|743 Kbps|512x384|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|635||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Peter Jackson Jamie Selkirk|Peter Jackson Frances Walsh|John Blick||United International Pictures (UIP)||Un architecte médium arnaque les habitants de sa ville avec l'aide de ses amis revenants. Lorsque plusieurs habitants ont des infarctus, il est le coupable idéal aux yeux de la population. Il va devoir faire appel aux fantômes pour s'en sortir et affronter un véritable spectre-tueur... |Michael J. Fox (Frank Bannister)@Jake Busey (Johnny Charles Bartlett)@Peter Dobson (Ray Lynskey)@Jeffrey Combs (Milton Dammers)@Trini Alvarado (Docteur Lucy Lynskey)@John Astin (le Juge)@Dee Wallace (Patricia Ann Bradley)@Chi McBride (Cyrus)@R. Lee Ermey (Sgt. Hiles)@Melanie Lynskey (Deputy)@||Secrets de tournage :
Autour du film
Peter Jackson fait une brève apparition : c'est l'homme barbu avec un piercing qui bouscule Frank peu avant que celui-ci ne soit renversé par le fantôme de Ray.
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The Fast and the Furious|Rob Cohen|Thriller||2|américain|2001|104|Anglais||DIVX|||DIVX|826 Kbps|624x320|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|697||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Neal Moritz|Ken Li Gary Scott Thompson Erik Bergquist David Ayer|Ericson Core||Universal International Pictures|Saga : Fast & Furious |La nuit tombée, Dominic Toretto règne sur les rues de Los Angeles à la tête d'une équipe de fidèles qui partagent son goût du risque, sa passion de la vitesse et son culte des voitures de sport lancées à plus de 250 km/h dans des rodéos urbains d'une rare violence. Ses journées sont consacrées à bricoler et à relooker des modèles haut de gamme, à les rendre toujours plus performants et plus voyants, à organiser des joutes illicites où de nombreux candidats s'affrontent sans merci sous le regard énamouré de leurs groupies. A la suite de plusieurs attaques de camions, la police de L.A. décide d'enquêter sur le milieu des street racers. Brian, un jeune policier, est chargé d'inflitrer la bande de Toretto, qui figure, avec celle de son rival Johnny Tran, au premier rang des suspects. |Paul Walker (Brian Earl Spilner / Officier Brian O'Conner)@Vin Diesel (Dominic Toretto)@Michelle Rodriguez (Letty)@Jordana Brewster (Mia Toretto)@Rick Yune (Johnny Tran)@Chad Lindberg (Jesse)@Johnny Strong (Leon)@Matt Schulze (Vince)@Ted Levine (Tanner)@Ja Rule (Edwin)@Vyto Ruginis (Harry)@Thom Barry (Agent Bilkins)@Rob Cohen (Livreur de pizzas)@||||||||||||@@
2 Fast 2 Furious|John Singleton|Action||2|américain, allemand|2003|103|Anglais||DX50|||DX50|964 Kbps|720x320|MPEG-1 Audio layer 3|160 Kbps|False|48.0 KHz|2|838||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Neal Moritz|Derek Haas Michael Brandt|Matthew F. Leonetti||Universal Pictures|Saga : Fast & Furious |Brian O'Conner a signé sa plus belle action, mais aussi sa faute la plus grave, en laissant filer le chef du gang de voleurs de voitures qu'il avait mission d'infiltrer. Radié de la police de Los Angeles, ce jeune flic rebelle, fan de vitesse et de rodéos, a gardé intact son honneur mais a gâché une belle carrière. Après deux ans de galère, Brian O'Conner se retrouve à Miami et se voit offrir une ultime chance de se racheter.
Le FBI et les douanes locales surveillent depuis plusieurs mois le puissant homme d'affaires Carter Verone, qu'ils soupçonnent de se livrer à des opérations de blanchiment d'argent. Mais leurs efforts sont restés vains, le seul indice dont ils disposent pour appâter et démasquer l'énigmatique criminel étant sa passion pour les rodéos. Le temps presse, Brian semble être le seul espoir... |Paul Walker (Brian O'Conner)@Tyrese Gibson (Roman Pearce)@Eva Mendes (Monica Fuentes)@Cole Hauser (Carter Verone)@Ludacris (Tej)@Thom Barry (l'agent Bilkins)@James Remar (l'agent Markham)@Devon Aoki (Suki)@Amaury Nolasco (Orange Julius)@Michael Ealy (Slap Jack)@Neal Moritz (le flic qui fait une embardée)@||Secrets de tournage :
Les voitures
Véritables stars de Fast and furious 2, les bolides du film ont été particulièrement bichonnés. Parmi les "premiers rôles" on retrouve la Nissan Skyline, l'EVO 7 Mitsubishi, l'Hemi Dodge Challenger 1970, la Yenko Camaro 1969, la BMW M3 1998, la Dodge Viper 2003, la Chevy Corvette, la Toyota Supra 1994, la Mazda RX7 1994, la Honda S2000 et l'Acura NSX 1993. Le look des automobiles a été principalement conçu par le chef décorateur du film, Keith Brian Burns, qui privilégia les couleurs vives ainsi que les équipements et accessoires de qualité supérieure.
Le refus de Vin Diesel
Vin Diesel a refusé de jouer dans Fast and furious 2 en invoquant que la fin du premier Fast & furious ne permettait pas à son personnage de revenir dans une nouvelle aventure. D'autres rumeurs avaient un temps annoncé que le désaccord serait d'ordre financier, le cachet ne convenant pas aux exigences de la star.
Le budget automobile
Universal consacra une part significative du budget de Fast and furious 2 à la construction ou à l'acquisition de près de 190 véhicules. Quelque 400 voitures furent également employées en tant que "figurantes".
Retrouvailles
Fast and furious 2 marque la seconde collaboration entre le réalisateur John Singleton et le comédien Cole Hauser, qui interprète Carter Verone, le méchant du film. Tous deux avaient en effet déjà travaillé ensemble à l'occasion de Higher learning en 1995. Le tournage donna également lieu à John Singleton de retrouver Tyrese Gibson, qu'il avait déjà dirigé dans Baby boy en 2001.
Un succès spectaculaire
Fast and furious 2 est la suite de Fast & furious, succès surprise de l'année 2001. Doté d'un budget de 38 millions de dollars, le film en rapportera plus de 144 millions rien qu'aux Etats-Unis, et révèlera l'acteur Vin Diesel dans le monde entier.
Devon Aoki
Devon Aoki fait ses grands débuts au cinéma à l'occasion de Fast and furious 2, dans lequel elle incarne Suki, l'unique présence féminine lors des compétitions de voitures. Son visage est pourtant familier du grand public, la jeune femme ayant un passé prestigieux de mannequin, notamment pour la maison Chanel. Devon Aoki n'avait d'ailleurs pas encore son permis au moment de la pré-production du film, elle le passa donc avec succès pour le tournage, avant d'enchaîner avec une formation accélérée qui lui permit de piloter sa Honda rose à de grandes vitesses.
Les décors
Fast and furious 2 a pour cadre la ville de Miami. Parmi de nombreux décors naturels, l'équipe utilisa plusieurs sites familiers, comme le fameux Seven-Mile Bridge des Florida Keys, la Homestead Air Force Base et sa douane, ainsi que l'ancienne résidence de Sylvester Stallone.
Tej
Le rôle de Tej dans Fast and furious 2 est revenu au rappeur Ludacris. Mais de nombreux autres rappeurs avaient passé une audition pour ce personnage, dont Redman, Loon ou encore 50 Cent.
Regret pour John Singleton
Devant l'énorme succès de Fast & furious, John Singleton, réalisateur de Fast and furious 2, avait émis un regret : "Lorsque je l'ai vu, je me suis dit : "Bon Dieu, pourquoi n'ai-je pas eu cette idée ? Dans les rues de South Central où j'ai grandi, se déroulaient chaque nuit des courses de bolides. J'y faisais d'ailleurs allusion dans Boyz'n the Hood".
Deux scénarios prévus
Comme la société de production Universal ne savait pas si Vin Diesel ferait oui ou non partie de l'aventure Fast and furious 2 à l'époque du développement du film, celle-ci commanda aux scénaristes du film deux scripts : l'un intégrait le personnage de Vin Diesel, et l'autre non.
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The Fast and the Furious : Tokyo Drift|Justin Lin|Action||2|américain|2006|99|Anglais||DX50|||DX50|842 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Neal Moritz|Chris Morgan Alfredo Botello Kario Salem|Stephen F. Windon||Universal Pictures|Saga : Fast & Furious |Sean Boswell est un risque-tout à qui sa passion immodérée des voitures de sport trafiquées a déjà attiré de sérieux ennuis avec la police californienne. Condamné après un accident, sa seule alternative à la prison est d'accepter la tutelle de son père, militaire de carrière basé à Tokyo.Gaijin (étranger) dans la ville la plus moderne et la plus sexy du monde, le jeune homme se sent plus exclu que jamais jusqu'au jour où un nouveau copain, Twinkie, lui fait découvrir l'univers secret du drifting - le nec plus ultra des rodéos urbains. Un sport clandestin où l'audace, l'élégance et la fluidité de la conduite sont encore plus appréciéesque la simple vitesse.Sean est immédiatement accroché : son style de vie rebelle a trouvé sa parfaite expressiondans le drift, ses périlleuses transgressions, son défi permanent aux lois de la physique... |Lucas Black (Shaun Boswell)@Lil' Bow Wow (Twinkie)@Brian Tee (D.K.)@Nikki Griffin (Cindy)@Caroline de Souza Correa (Isabella)@Henry Jaderlund (Jacob)@Keiko Kitagawa (Reiko)@Collin Leonard (Blackie)@Trey Sanford (Bully)@Don Tai (Basher)@Dennis P. Thomas (Egghead)@Jason Tobin (Earl)@Sung Kang (Han)@Zachery Ty Bryan (Clay)@Nathalie Kelley (Neela)@Daniel Booko (Buddy)@Vin Diesel (Dominic Toretto)@||Secrets de tournage :
Tourner un nouveau volet
Tourner un troisième volet à la sage Fast & Furious demandait de réactualiser certains éléments pour éviter la répétition. Ainsi Fast and Furious : Tokyo Drift permettait d'explorer de nouveaux horizons et également d'introduire un sport fascinant : le drifting, comme l'en témoigne Neal Moritz : "Nous n'aurions pas fait "Fast and Furious : Tokyo Drift" sans une trame solide et originale. Un jour, notre équipe en est venue à discuter d'un nouveau style de course, né à Tokyo, qu'on appelle le "drifting". Les films clandestins tournés durant ces courses m'ont captivé. (...) J'ai pensé que cela méritait un film. Le résultat final m'a comblé."
Le phénomène du "drifting" au Japon
Le Drifting, pratique dangereuse de la course automobile est un sport très réputé au Japon. Le réalisateur Justin Lin revient sur ce phénomène au pays du soleil levant : " Je ne connaissais pas intimement les rites du "drift" lorsque j'ai attaqué ce projet. J'ai découvert qu'il était l'invention de bandes de jeunes d'origine populaire, venants des régions montagneuses du Japon où les routes sont extrêmement sinueuses. Le sport consistait tout simplement à tenter de les descendre le plus vite possible. Plus tard, le phénomène s'est étendu aux rues de Tokyo. Visuellement, cela donne un spectacle fascinant."
Un film d'action réaliste
Si les scènes de cascades sont impressionnantes et spectaculaires, il fallait toutefois garder une ligne de conduite : le réalisme avant tout. Le producteur Neal Moritz revient sur cet élément clé : "Nous avons réuni la meilleure des équipes techniques. Les responsables des effets visuels sont les mêmes que sur les deux films précédents. Ils connaissent les règles du jeu : rester dans les limites du vraisemblable, ne pas faire accomplir aux voitures des exploits dont elles seraient incapables dans la réalité. L'équipe a fait un effort remarquable en ce sens."
Un tuning pointu
L'équipe du tournage a dû customiser elle-même les voitures afin qu'elles puissent atteindre les limites de leur capacité technique. Un tuning pointu a alors été employé sur les voitures du film. Une équipe de cinquante mécaniciens ont été présents sur les plateaux de tournage afin d'effectuer les éventuelles interventions et réparations nécesaires.
L'entraînement des acteurs
Au vu des nombreuses cascades du film, les acteurs ont dû s'imprégner de la culture drift et connaître les manoeuvres exactes pour pouvoir effectuer les commandes correctement. Le réalisateur Justin Lin a donc engagé un conseiller technique, fan du drifting pour qu'il donne des cours de suite aux acteurs. De la même façon, les acteurs ont reçu des cours de japonais et d'argot local afin de mieux intégrer la culture véhiculée par le film. L'acteur Lucas Black évoque ces séances d'entraînement "Lorsqu'ils m'ont montré la manoeuvre pour la première fois, c'était vraiment très impressionnant. J'étais emballé. Par la suite, j'ai découvert qu'il était plus confortable d'être au volant qu'à la proverbiale "place du mort" (...).
Le "casting" des voitures
Les voitures sont considérées comme des acteurs à part entière dans Fast and Furious : Tokyo Drift. Un casting de voitures a dû être organisé avec d'autant plus de sérieux qu'il fallait être certain du modèle employé afin d'effectuer les éventuels remplacements en cas de casse (en effet, pour les besoins du tournage, l'équipe a sacrifié un nombre considérable de voitures : plus de 25 ont été découpées, et environ 80 voitures ont été détruites). Ainsi sur 250 voitures présentées, quelques-unes furent retenues : la Mistubishi Evolution 9, la Nissan Fairlady 35OZ, la Mazda RX-7, la Mazda RX-8, la Mustang 69, la Dodge Viper 05 et enfin la Chevrolet Monte Carlo 71.
Un champion en tant que conseiller technique
Si les scènes de drifting sont si impressionnantes et réalistes dans le film, c'est parce que l'équipe du film a engagé le champion Keiichi Tsuchiya en tant que conseiller technique. Il a en effet été le précurseur du style en lançant la mode du drifting au Japon il y a près de quinze ans. Il a ensuite enchaîné victoires sur victoires et s'est même vu décerner la fameuse couronne Drift King, tant convoitée par les coureurs automobiles.
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Fast & Furious|Justin Lin|Action||3|américain|2009|98|Anglais||DX50|||DX50|855 Kbps|720x288|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|698||||25.253|28/07/2009 00:00:00|Neal Moritz Vin Diesel Michael Fottrell|Chris Morgan|Amir Mokri||Universal Pictures|Saga : Fast & Furious |Un meurtre oblige Don Toretto, un ancien taulard en cavale, et l'agent Brian O'Conner à revenir à L.A. où leur querelle se rallume. Mais confrontés à un ennemi commun, ils sont contraints à former une alliance incertaine s'ils espèrent parvenir à déjouer ses plans. De l'attaque de convoi aux glissades de précision qui les mèneront hors de leurs propres frontières, les deux hommes trouveront le meilleur moyen de prendre leur revanche : en poussant les limites de ce qui est faisable au volant d'un bolide. |Vin Diesel (Dominic Toretto)@Paul Walker (Brian O'Conner)@Jordana Brewster (Mia Toretto)@Michelle Rodriguez (Letty)@John Ortiz (Campos)@Laz Alonso (Fenix Rise)@Gal Gadot (Gisele Harabo)@Jack Conley (Penning)@Shea Whigham (l'agent Ben Stasiak)@Liza Lapira (l'agent Sophie Trinh)@Sung Kang (Han Lue)@Tego Calderon (Tego)@Don Omar (lui-même)@Mirtha Michelle (Cara)@Greg Cipes (Dwight)@Ron Yuan (David Park)@Alejandro Patino (le chauffeur du camion citerne)@Joe Hursley (Virgil)@Cesar Garcia (Juvenal)@Brandon T. Jackson (le chauffeur de la BMW)@Mousa Kraish (le chauffeur de Silvia)@Neil Brown Jr (un trafiquant)@Wilmer Calderon (un trafiquant)@Joseph Julian Soria (un trafiquant)@Don Tai (un trafiquant)@Robert Miano@Luis Moncada (le balafré)@Kofi Natei (l'homme de main)@McCaleb Burnett (l'enquêteur fédéral)@Greg Collins (l'enquêteur principal)@Monique Gabriela Curnen (un agent du FBI)@Jimmy Lin (un agent du FBI)@Roger Fan (un agent du FBI)@Brendan Wayne (un agent du FBI)@Lou Reyes (un agent du FBI)@Breon Ansley (l'assistant du FBI)@Assaf Cohen (un agent des douanes)@Loren Lazerine (un agent des douanes)@Lou Beatty Jr. (le juge)@Julian Starks (l'huissier)@Christopher Gehrman (le préposé)@Marco Rodriguez (le prêtre mexicain)@Naureen Zaim (Hot Girl)@Becky O'Donohue (Hot Girl)@Sharon Zeev (Hot Girl)@Alexandra Castro (la femme dans le couloir)@Jaimie Sullivan (la fille à la plage)@Leigh Folsom (la voix GPS)@||Secrets de tournage :
On passe la quatrième !
Fast and Furious 4 est le quatrième volet d'une saga riche en adrénaline débutée en 2001 avec Fast & Furious, puis poursuivie en 2003 et en 2006 avec 2 Fast 2 Furious et Fast & Furious : Tokyo Drift.
Nouveaus modèles et pièces d'origine
Fast and Furious 4 voit le retour des quatre acteurs vedettes du film d'origine : Vin Diesel est entouré de Michelle Rodriguez, Paul Walker et Jordana Brewster. Toute la troupe n'avait en effet pas été réunie depuis le Fast & Furious de 2001.
Les raisons d'un retour
Neal Moritz, le producteur de la saga Fast and Furious, explique pourquoi il a voulu proposr un quatrième volet au public : "Nous nous étions éclatés sur les trois premiers films, qui avaient connu un grand succès. Mais pour mettre la barre encore plus haut, il nous fallait faire revenir Vin Diesel et Paul Walker. (...) Nous avons palabré pendant des années, organisé des réunions et planifié et, surtout, construit une histoire digne de ces personnages et qui justifierait pleinement leur réunion."
La fidélité de Vin Diesel
Vin Diesel évoque sa participation dans Fast and Furious 4 : "Après Fast & Furious : Tokyo Drift, j'entendais presque les gens me dire : "Allez, fais ce film, on a envie de te voir." J'aime que les suites soient réellement une continuation de l'histoire originale; c'était le cas ici. Autre attrait : retrouver de vieux amis. C'est gratifiant de faire un film comme celui-ci avec des gens qui ont accompagné mes premiers pas à Hollywood."
Pour la nouvelle génération
Le réalisateur Justin Lin explique que Fast and Furious 4 "est l'occasion de revisiter le passé afin d'exploiter et de développer ce que nous savons des personnages. C'est un bon moyen de faire évoluer la franchise et de la faire connaître à une nouvelle génération."
Un casting de bolides
Comme pour tous les volets de la saga, un grand casting ouvert de de bolides fut organisé. La production battit le rappel des propriétaires américains et canadiens de voitures customisées pour trouver son bonheur. Voitures, motos, pickups, véhicules utilitaires... : des centaines d'engins était exposés pour faire partie du "casting" de Fast and Furious 4.
Justin Lin accélère
Fast and Furious 4 est réalisé par Justin Lin, qui était déjà aux commandes de Fast & Furious : Tokyo Drift.
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Fight Club|David Fincher|Thriller|Interdit aux moins de 16 ans|4|allemand, américain|1999|136|Anglais||DIV3|||DIV3|611 Kbps|640x480|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|694||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Ross Grayson Bell Cean Chaffin Art Linson|Jim Uhls|Jeff Cronenweth||UFD||Le narrateur, sans identité précise, vit seul, travaille seul, dort seul, mange seul ses plateaux-repas pour une personne comme beaucoup d'autres personnes seules qui connaissent la misère humaine, morale et sexuelle. C'est pourquoi il va devenir membre du Fight club, un lieu clandestin ou il va pouvoir retrouver sa virilité, l'échange et la communication. Ce club est dirigé par Tyler Durden, une sorte d'anarchiste entre gourou et philosophe qui prêche l'amour de son prochain. |Brad Pitt (Tyler Durden)@Edward Norton (le narrateur)@Helena Bonham Carter (Marla Singer)@Meat Loaf (Robert )@Jared Leto (Angel Face)@Zach Grenier (Richard Chesler)@Eion Bailey (Ricky)@Richmond Arquette (Un interne)@George Maguire (Le leader du groupe)@Tim de Zarn (Inspecteur Bird)@Ezra Buzzington (Inspecteur Dent)@Bob Stephenson (Un membre de la sécurité de l'aéroport)@Charlie Dell (Le portier)@Holt McCallany (Le mécanicien)@Lou Beatty Jr. (Un policier)@Thom Gossom Jr (Le détective Stern)@Carl Ciarfalio (Le garde du corps de Lou)@Stuart Blumberg (Le vendeur de car)@Christopher John Fields (Le propriétaire du Dry Cleaners)@David Andrews (Thomas)@Rachel Singer (Chloe)@David Lee Smith (Walter)@Peter Iacangelo (Lou)@Paul Carafotes (Salvator)@Andi Carnick@Paul Dillon (Irvin)@Phil Hawn@Louis Ortiz@||Secrets de tournage :
Comment ça se finit ?
Lors de l'écriture du roman, Chuck Palahniuk avouera n'avoir pensé qu'aux deux tiers du roman que le narrateur et Tyler pouvaient être la même et unique personne. C'est en remarquant que ces deux derniers agissent d'une volonté commune qu'il décidera d'intégrer cette idée à l'histoire.
Qui conduit ?
Lors de l'accident de voiture, le narrateur est à la place du passager. Tyler le sortira pourtant de la voiture depuis le place du conducteur.
Frappe moi aussi fort que tu peux
Dans la scène ou le héros frappe Tyler à l'oreille, Edward Norton devait au départ faire semblant. C'est Fincher qui a pris Norton à part avant la scène et lui a demandé de vraiment le frapper. Pendant la scène, on peut voir Edward sourire et rire pendant que Brad Pitt se tient l'oreille.
Top 500 Magasine Empire
En 2008, le magazine Empire cite Fight Club comme 10e de son Top 500 des meilleurs films de tous les temps.
L'arroseur arrosé
Lorsqu'un des membres du Project KO arrose le prêtre avec son tuyau, la caméra tremble un peu. Le cameraman ne pouvait s'empêcher de rigoler.
Trop de professionnalisme
David Fincher tourna 12 scènes du cascadeur se jetant dans l'escalier de parking. La scène retenue fut finalement la première.
Le personnage de Marla
Courtney Love et Winona Ryder furent préssenties pour jouer Marla Singer. L'étau se referma finalement entre Helena Bonham Carter et Reese Witherspoon. La production voulait la seconde, plus connue, tandis que Fincher voulait la femme de Tim Burton. Witherspoon déclina finalement le rôle, qu'elle jugeait trop sombre, permettant à Bonham Carter d'exploser à l'écran.
Cure d'Edward
Edward Norton a perdu entre 17 et 20 Kilos pour le film, sortant tout juste du tournage d'American History X.
Starbucks évite la pub
Si Starbucks a bien voulu montrer ses produits à l'écran dans le film, l'entreprise refusa en revanche d'apparaitre dans la scène de démolition d'un café. Lorsque le Project KO s'attaque à détruire un bar à l'aide d'un globe en métal géant, on ne voit donc aucune enseigne.
Enfin Celebre !
La citation "The first rule of Fight Club is you don't talk about Fight Club" a été nommée 27ème dans le Classement des 100 meilleures lignes du Cinéma, par le Magasine Première en 2007.
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Les contributeursCe film a reçu 18 contributions, pour les secrets de tournage, de: Rick28
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Inspirations
La plupart des faux noms donnés par Edward Norton lors de ses diverses intégrations à des groupes de soutien proviennent de "La Planète des Signes", 1968 (Cornelius), ou de divers rôles de Robert de Niro (comme Rupert, de "The King of Comedy", 1982).
New Bettle Baby !
C'est Brad Pitt et Edward Norton, se découvrant une haine commune pour la New Bettle, qui insistèrent pour se faire la main sur cette voiture, à coup de batte de baseball.
1 an sans fumer, ça se fête !
Alors qu'il avait refusé de fumer dans Rounders (1998), où il campe un joueur de poker qui joue pour acheter Ses cigarettes, Edward Norton accepte d'apparaitre à l'écran en fumant dans Fight Club.
C'est de la dynamite !
Le personnage de Tyler Durden devait initialement réciter la vraie recette permettant de créer de la nitroglycérine, à l'instar de la scène tirée du roman. Quelques ingrédients ont été enlevés du film pour ne pas choquer.
Ca tourne !
David Fincher réalisa plus de 1500 prises pour Fight Club, soit près de 3 fois le nombre moyen de prises pour un film de 2h.
Ca passe ou ça casse
Le Générique du début de Fight Club filme l'interieur du cerveau humain ; la caméra remontant les neurones, puis sortant par un pore de cheveux. Cette scène en 3D n'était pas gagnée d'avance. La production avait été claire avec David Fincher : "si le film vaut le coup, vous aurez votre générique en 3D, sinon vous aurez un fond noir" !
Un final compliqué
La scène de fin, où le héros et Marla se prennent par la main et regardent les immeubles s'effondrer, a été une petite galère technique. L'explosion des immeubles entrainaient en effet une saturation de lumière qui faisait disparaitre les héros. De nombreux calques ont été appliqués afin de garder ces derniers toujours visibles.
J'en perds mon pantalon !
Suite à la réception durant laquelle le Project KO menace le commissaire dans les toilettes, le groupe ressort par l'arrière du restaurant et se sépare en deux. La caméra est braquée sur Tyler et le héros, mais en arrière plan, nous pouvons voir Bob, perdant son pantalon, et ne sachant pas si la scène continue ou est à refaire.
Edward Norton derrière la caméra :
Ce sera le cas avec Keeping The Faith, une comédie romantique qu'il interprétera également, avec Jenna Elfman et Ben Stiller (Mary A Tout Prix, Flirter Avec Les Embrouilles).
Meat Loaf, du rock au cinéma :
Certains d'entre vous seront surpris de découvrir cette star du rock sous les traits d'un ancien culturiste. Pourtant, sa présence ne doit rien au hasard. Meat Loaf est en effet un acteur accompli, qui depuis sa prestation dans The Rocky Horror Picture Show, se voit régulièrement proposer des rôles secondaires au cinéma. Ainsi, on a pu le voir dans La Tête Dans Le Chapeau, le premier film d'Antonio Banderas.
« Préc.
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Fighter in the wind|Yang Yun-ho|Biopic||3|sud-coréen|2005|116|Coréen||XviD|||XVID|698 Kbps|608x336|MPEG-1/2 L3|131 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|||||||Une histoire vraie inspirée des mémoires de Choi Bae-dal, un Coréen émigré au Japon qui est devenu un des plus respectés karatekas au monde en créant une nouvelle forme d'arts martiaux, le Kyokushin karate. |Dong-Gun Jang@||||||||||||@@
Uptown Girls|Boaz Yakin|Comédie||2|américain|2004|91|||XviD|||XVID|928 Kbps|592x320|MPEG-1 Audio layer 3|130 Kbps|False|44.1 KHz|2|697||||23.976|28/07/2009 00:00:00|John Penotti Fisher Stevens|Julia Dahl Lisa Davidowitz Allison Jacobs Mo Ogrodnik|Michael Ballhaus||UFD||Molly Gunn, la fille d'une légende du rock décédée, passe ses journées à faire du shopping et ses nuits dans les discothèques. Mais lorsque son conseiller lui vole tout son héritage, elle est forcée de trouver un emploi et devient la nourrice de la jeune Ray Schleine, une petite fille riche et cynique. Au contact l'une de l'autre, Molly va alors apprendre les responsabilités tandis que Ray va apprendre ce que veut dire "être un enfant". |Brittany Murphy (Molly Gunn)@Dakota Fanning (Ray Schleine)@Heather Locklear (Roma Schleine)@Marley Shelton (Ingrid)@Donald Faison (Huey)@Jesse Spencer (Neal)@Austin Pendleton (Mr. McConkey)@Pell James (Julie)@Wynter Kullman (Holly)@||Secrets de tournage :
Changement de titre
Uptown girls s'intitulait au départ Molly Gunn en référence au nom du personnage féminin principal.
Piper Perabo pressentie
Piper Perabo a un temps été pressentie pour incarner le personnage de Molly Gunn.
Date et lieu de tournage
Le tournage débuta le 29 juin 2002 à New York. Pour ce faire, Boaz Yakin se désista du projet Batman beyond, basé sur la série télévisée animée.
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Final Cut|Dominic Anciano Ray Burdis|Comédie dramatique||3|américain|1998|89|Anglais||DX50|||DX50|952 Kbps|608x336|MPEG-1 Audio layer 3|131 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Dominic Anciano Ray Burdis|Dominic Anciano Ray Burdis|John Ward||Sagittaire Films||Jude (Jude Law) est mort. Ses amis proches se retrouvent chez lui pour une veillée funèbre. Mais Sadie, la compagne du défunt, leur réserve une surprise.
Ils vont être filmés pour conclure la vidéo commencée quelques mois auparavant par Jude. Pour les aider à comprendre pourquoi elle veut terminer ce film, Sadie (Sadie Frost) leur montre ce qui a déjà été tourné, à leur insu, par des caméras cachées un peu partout dans l'appartement.
Leurs réactions sont donc filmées alors qu'ils découvrent l'enregistrement, entrecoupé des commentaires de Jude, de leurs moments les plus intimes, de leurs secrets les mieux gardés.
La diffusion de ces séquences volées pendant des dîners ou des fêtes va d'abord provoquer l'amusement puis la colère. Jusqu'à la révélation finale : la vérité concernant les circonstances exactes de la mort de Jude. |Ray Winstone (Ray)@Jude Law (Jude)@Sadie Frost (Sadie)@John Beckett (John)@Mark Burdis (Mark)@Perry Benson (Perry)@Lisa Marsh (Lisa)@Ray Burdis (Ray)@Dominic Anciano (Dominic)@||Secrets de tournage :
Un petit tour à Dinard
Final cut a été présenté au festival du film britannique de Dinard 1998.
Sadie Frost (Sadie)
Découverte dans Les frères Krays (Peter Medak, 1990), Sadie Frost est notamment apparue dans Dracula (Francis Ford Coppola, 1992) et Grandeur et descendance (Robert Young, 1993).
Elle avait déjà partagé l'affiche de deux films, Shopping (Paul Anderson, 1994) et Bent (Sean Mathias, 1997), tous les deux inédits en France. En 2000, ils jouent à nouveau ensemble dans Love, sexe & Karaoké de Dominic Arciano et Ray Burdis.
Dominic Arciano et Ray Burdis, réalisateurs
Avant de réaliser avec Final cut leur premier long métrage, Dominic Aciano et Ray Burdis s'étaient associés pour créer la société de production Fugitive. En 1990, ils ont produit Les frères Krays de Peter Medak. L'année suivante, ils financent L'enfant miroir (1991), le premier film de Philip Ridley, un cinéaste avec lequel ils retravaillèrent en 1995 (Darkly moon).
En 2000, ils signent leur deuxième long métrage commun, Love, sexe & Karaoké.
Ray Winstone (Ray)
Il se fait connaître par son rôle d'homme brutal dans Quadrophenia de Frank Roddam (1979), avec The Who.
Le public français a pu apprécier sa composition saisissante dans le premier film de Gary Oldman, Ne pas Avaler (1997).
Ray Winstone apparaît également aux génériques de Ladybird (Ken Loach, 1994), de Face (Antonia Bird, 1998), d'Agnes Browne (Angelica Huston, id.) et de The war zone (Tim Roth, 1999).
Jude Law joue avec sa vie
"Final cut est l'expérience la plus libératrice, excitante et bizarre que j'aie jamais vécue. Chacun restait soi-même tout en donnant ce qu'il fallait au moment opportun. Les personnages de Jude et Sadie sont mariés dans le film comme je le suis avec Sadie Frost. C'est cinquante pour cent nous et cinquante pour cent les personnages imaginés par Dominic Arciano et Ray Burdis. Ce qui est incroyable, c'est qu'on a fait plus fort que Mike Leigh. Tout le monde pense que Mike Leigh improvise alors qu'en fait, son cinéma est très stylisé."
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Final Fantasy, the Spirits Within|Hironobu Sakaguchi Monotori Sakakibara|Science fiction||3|américain, japonais|2001|101|Anglais||XviD|||XVID|851 Kbps|720x384|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Jun Aida Chris Lee Akio Sakai|Hironobu Sakaguchi Al Reinert Jeff Vintar|||Columbia TriStar Films|Saga : Final Fantasy |En 2065, la plus grande confusion règne sur notre planète. Seuls les plus résistants des humains vivent encore dans un univers de désolation dominé par l'ennemi absolu : de mystérieux fantômes qui se nourrissent en extrayant l'énergie de toute forme de vie terrestre. Le futur de notre espèce repose sur le courage et la volonté de quelques-uns. Déjouant les complots, évitant les pièges, ils doivent reconquérir la Terre en usant de toutes les magies.
Deux clans s'opposent sur la manière la plus efficace d'éliminer les spectres : les premiers, commandés par un général belliqueux, souhaitent utiliser une arme de destruction totale ; les autres, conduits par le docteur Aki Ross, s'engagent dans une voie difficile : la reconstitution d'un rythme spirituel qui devrait chasser les fantômes et protéger les êtres vivants. L'aventure est risquée, mais ils n'ont plus rien à perdre. |Ming-Na Wen (La voix d'Aki Ross (VO))@Alec Baldwin (La voix de Gray Edwards (VO))@Donald Sutherland (La voix du docteur Sid (VO))@James Woods (La voix du général Hein (VO))@Ving Rhames (La voix de Ryan Whitaker (VO))@Steve Buscemi (La voix de Neil (VO))@Peri Gilpin (La voix de Jane Proudfoot (VO))@||Secrets de tournage :
Inspiré du jeu vidéo
Entièrement conçu sur ordinateur et tourné en images de synthèse, Final Fantasy atteint un incroyable degré de réalisme. Réalisée par Hironobu Sakaguchi, cette aventure de science-fiction est inspirée de la célèbre série de jeux vidéos. L'animation des personnages est supervisée par Andy Jones, qui a précédemment travaillé sur les images digitales de Godzilla et Titanic.
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Final fantasy VII : Advent Children|Tetsuya Nomura Takeshi Nozue|Animation||3|japonais|2004|90|Japonais||XviD|||XVID|969 Kbps|720x400|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Yoshinori Kitase|Kazushige Nojima||||Saga : Final Fantasy |Cloud Strife, ex-SOLDAT, décide de s'isoler de ses anciens compagnons pour lutter contre les souvenirs de son passé, seul. Cependant, quand il se fait attaquer par le gang de Kadaj, Loz, et Yazoo, qui recherchent leur "Mère" pour commencer leur "Réunion", Cloud va devoir plus que jamais affronter les souvenirs qui le tourmentent. |Takahiro Sakurai (Cloud Strife (voix))@Ayumi Ito (Tifa Lockheart (voix))@Tsuduruhara Miyuu (Marlene (voix))@Chris Edgerly (Cid (voix))@Keiji Fujiwara (Reno (voix))@Kyosuke Ikeda (Denzel (voix))@Yumi Kakazu (Yuffie Kisaragi (voix))@Yûji Kishi (Yazoo (voix))@Masahiro Kobayashi (Barret Wallace (voix))@Taiten Kusunoki (Rude (voix))@Toshiyuki Morikawa (Sephiroth (voix))@Shotaro Morikubo (Kadaj (voix))@Kenji Nomura (Loz (voix))@Toru Ôkawa (l'handicapé (voix))@Toru Ôkawa (Rufus Shinra (voix))@Paolo Domingo (Kadaj (VF))@Bruno Choel (Sephiroth (VF))@Adrien Antoine (Rufus Shinra (VF))@Marie-Eugénie Maréchal (Aerith)@Jessica Barrier (Tifa Lockheart (VF))@Tanguy Goasdoué (Cloud Strife (VF))@Jean-Christophe Parquier (Reno (VF))@Takahiro Sakurai (Cloud Strife (version japonaise))@Fabrice Josso (Zack Fair (VF))@Emmanuel Garijo (Cait Sith (VF))@Volodia Serre (Yazoo (VF))@Philippe Catoire (Reeve Tuesti (VF))@Raphaël Cohen (Vincent Valentine (VF))@Paolo Domingo (Kadaj (VF))@Bruno Choel (Sephiroth (VF))@Michel Vigne (Barret Wallace (VF))@Adrien Antoine (Rufus Shinra (VF))@Camille Timmerman (Marlène (VF))@Stéphane Fourreau (Tseng (VF))@Simon Koukissa (Denzel (VF))@Bruno Magne (Rude (VF))@Gilles Morvan (Loz (VF))@Lucile Boulanger (Elena (VF))@Bruno Ouzeau (Cid Highwind (VF))@Fabrice Fara (Rouge XIII (VF))@Caroline Combes (Yuffie Kisaragi (VF))@||||||||||||@@
Final Stab|David DeCoteau|Horreur|||Etats-unis|1|77|||DivX|||DIVX|823 Kbps|512x384|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|533||||25.000|28/07/2009 00:00:00|||||||Quoi de mieux pour passer une soirée mémorable entre amis que d'organiser un jeu de rôle de la terreur ? Des couteaux en plastique, du faux sang, des trucages habiles... Tout est prévu pour que les participants, une dizaine d'étudiants, y croient dur comme fer. Tout, même un comédien dans le rôle du tueur masqué ! Mais, lorsqu'un vrai tueur en série a pris sa place et volé son masque, le jeu devient terriblement réél et les perdants ne se relèvent désormais plus... |Jamie Gannon@Melissa Reneé Martin@Erinn Hayes@Laila Reece Landon@Bradley Stryker@||||||||||||@@
Jing wu ying xiong|Gordon Chan Yuen Woo-Ping|Arts Martiaux||3|hong-kongais|2001|96|Cantonais||DIV3|||DIV3|867 Kbps|544x288|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|696||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Jet Li|Lan Kay-Toa Kwong Kim-Yip|Derek Wan||Metropolitan FilmExport||En 1937, au début de la guerre sino-japonaise, Chen Zhen (Jet Li), un étudiant chinois, revient de Tokyo, où le racisme est devenu insupportable, pour rejoindre son école d'arts martiaux à Shanghai. Sur place, il apprend que son vieux maître Huo Yuan-jia a trouvé la mort au terme d'un combat truqué contre le directeur d'une école de karaté rivale.Menant son enquête, Chen Zhen découvre que son mentor a en fait été assassiné par Go Fujita (Billy Chow), un militaire japonais, avec la complicité d'un membre de l'école. Aidé du maître d'arts martiaux japonais Fumio Funakoshi (Yasuaki Kurata), de Huo Ting-en (Siu-hou Chin), le fils de Huo Yuan-jia, ainsi que de Mitsuko Yamada (Shinobu Nakayama), sa petite amie japonaise venue le rejoindre, le jeune homme est déterminé à venger l'honneur de son maître. |Jet Li (Chen Zhen)@Yasuaki Kurata (Fumio Funakoshi)@Shinobu Nakayama (Mitsuko Yamada)@Chin Siu-Hou (Huo Ting-En)@Ada Chow (So-Lan)@Billy Chow (Gô Fujita)@Paul Chiang@Paul Chu (Nong)@Jackson Liu (Akutagawa)@Toshimichi Takahashi@Yuen Cheung-Yan (le capitaine Jie)@Yuen Shun-Yee (Ngai)@||Secrets de tournage :
Yuen Wo Ping, chorégraphe
Yuen Wo Ping a coordonné les combats de Tigre et dragon. Son travail avec Andy et Larry Wachowski sur Matrix a révélé cet homme de spectacle complet (réalisateur, cascadeur) qui a notamment collaboré à Il était une fois en Chine de Tsui Hark (1994).
Yuen Wo Ping a réalisé plus de trente longs métrages, dont certains (Snake in the eagle's shadow en 1978 et Tai-Chi Master de 1993) sont considérés comme des classiques du genre.
Jet Li (Chen Zhen)
Star du cinéma d'action asiatique, Jet li a joué dans plus de vingt-cinq films, notamment sous la direction de Tsui Hark (la trilogie de Il était une fois la Chine) et de Jing Wong (Kung-Fu Master, The new Legend of Shaolin).
Ce champion de wushu est connu du grand public depuis sa prestation dans L'Arme fatale 4 (Richard Donner, 1998).
Les intentions du réalisateur
« Comme tout le monde, je suis fan de Bruce Lee et je pensais qu'il serait intéressant de confronter Jet Li à sa légende. D'une certaine façon, ce n'est pas vraiment une confrontation puisque les deux films ne jouent pas sur le même registre. Avant tout, il s'agissait de remodeler le script d'origine pour l'adapter à Jet Li. C'était un travail passionnant. »
Un film de 1994
Fist of Legend a été réalisé en 1994, et ne doit sa sortie en France qu'au succès que Jet Li a remporté aux Etats-Unis notamment dans L'Arme fatale 4 et Roméo doit mourir.
Un remake de La Fureur de vaincre
Avec Fist of Legend, Gordon Chan réalise un remake de La Fureur de vaincre, le film réalisé par Lo Wei en 1971. Jet Li reprend le rôle qu'interprétait initialement Bruce Lee. Tandis que la version de 1971 professait la haine et la racisme contre les Japonais, celle de Gordon Chan se veut, quant à elle, un plaidoyer pour le courage et la résistance.
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Dou fo sin|Wilson Yip|Action|Interdit aux moins de 12 ans|3|hong-kongais|2007|83|Mandarin||XviD|||XVID|1 033 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00||Kam-Yuen Szeto|Man Po Cheung||||Hong-Kong est aux mains d'une puissante mafia dirigée par trois frères. Un inspecteur de police aux méthodes expéditives et un flic infiltré unissent leurs forces pour tenter de la démanteler. Mais l'opération tourne mal, laissant l'un des deux officiers à l'agonie. Aveuglé par la vengeance, son partenaire se lance alors dans une chasse à l'homme ultra-violente au mépris des règles et de la morale. Son but : décimer tous les membres de l'organisation jusqu'au dernier... |Donnie Yen (Inspecteur Ma Jun)@Louis Koo (Wilson)@Sing Ngai (Tony)@Ray Lui (Archer Sin)@Bingbing Fan (Julie)@Kent Cheng (Comissaire Wong)@Xing Yu (Tiger)@Xu Qing (Madame Lau)@Ben Lam (Sam)@Koon-Lan Law (Madame Ma)@Ping Ha (la mère de Tony)@Austin Wai (Four Eyes)@||||||||||||@@
Flicka|Michael Mayer|Comédie dramatique|Film pour enfants à partir de 6 ans|2|britannique|2006|94|Anglais||XviD|||XVID|893 Kbps|608x256|MPEG-1 Audio layer 3|129 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|02/08/2009 00:00:00|Gil Netter|Mark Rosenthal Lawrence Konner|James Muro||20th Century Fox||La jeune Katie revendique la propriété d'un cheval sauvage et tente de prouver à son père qu'elle sera capable un jour de diriger le ranch familial. |Alison Lohman (Katherine McLoughlin)@Tim McGraw (Rob McLaughlin)@Maria Bello (Nell McLaughlin)@Ryan Kwanten (Howard McLaughlin)@John O'Brien (Monsieur Bamberger)@Dallas Roberts (Gus)@Nick Searcy (Norbert)@Daniel Pino (Jack)@Sierra Doherty Gillin (la cowgirl)@Steve Fox (le cowboy)@Michael Servantes Jr. (le cowboy de rodéo)@David Burton@Kaylee Defer (Miranda)@Armie Hammer@Joe Koons@Jeffrey Nordling (Rick Koop)@Wade Williams (Wade)@Dey Young (Ester Koop)@||Secrets de tournage :
L'adaptation d'un best-seller familial
Flicka est l'adaptation sur grand écran du best-seller familial Mon amie Flicka, de l'Américaine Mary O'Hara, paru dans les années 20 et suivi par Le Fils de Flicka et L'Herbe verte du Wyoming. Trois livres inspirés de sa propre histoire lorsque, étant jeune, elle eut une grande histoire d'amitié avec une pouliche.
Deuxième "Flicka" sur grand écran
Le Flicka version 2006 est la deuxième adaptation cinématographique du roman Mon amie Flicka de Mary O'Hara après Mon amie Flicka, réalisé en 1943 par Harold D. Schuster. Le fils de Flicka, mis en scène deux ans plus tard par Louis King et L'herbe verte du Wyoming, réalisé en 1948, suivèrent, adaptés des deux livres suivants de l'auteur mettant en vedette un jeune garçon et sa pouliche.
Interruption de tournage
Le tournage de Flicka, qui s'est déroulé à Los Angeles et en Nouvelle-Zélande en 2005, a été interrompu au mois d'avril, lorsque'un des chevaux utilisés pour les besoins du film a succombé suite à un accident.
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Flight Plan|Robert Schwentke|Thriller||2|américain|2005|90|Anglais||XVID|||XVID|957 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|44.1 KHz|2|700||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Brian Grazer|Billy Ray|Florian Ballhaus||Buena Vista International||Kyle Pratt affronte le pire cauchemar qui soit : sa fille de six ans, Julia, disparaît sans laisser de traces... alors qu'elles se trouvent à plus de 11 000 mètres d'altitude, dans un avion, entre Berlin et New York...Déjà ébranlée par la mort soudaine de son mari, Kyle lutte désespérément pour prouver à l'équipage et aux passagers, sceptiques, qu'elle est saine d'esprit, tout en finissant par se poser des questions... |Jodie Foster (Kyle Pratt)@Peter Sarsgaard (Gene Carson)@Sean Bean (Captain Rich)@Erika Christensen (Fiona)@Kate Beahan (Stephanie)@Marlene Lawston (Julia Pratt)@Ina Barron (Hôtesse de l'air)@Matthew Bomer (Eric)@Jesse Burch (Passager 19)@Assaf Cohen (Ahmed)@Spencer Conner (Le chef des SWAT)@Latricia Cruz (Employée de la compagnie aérienne)@Shane Edelman (Bob Loud)@David A. Farkas (Le Steward)@Mary Gallagher (Mrs. Loud)@Christopher Gartin (Mike)@Michael Irby (Obaid)@Andray Johnson (Eddie)@Drake Johnston (l'enfant)@Jana Kolesarova (Claudia)@Forrest Landis (Rhett Loud)@Greta Scacchi (La thérapeute)@||Secrets de tournage :
Jodie Foster séduite
Dans Flight Plan, Jodie Foster avoue avoir été "bouleversée par l'idée d'une femme qui a perdu son enfant et qui se retrouve obligée de remettre en cause sa propre santé mentale : il y a en elle tant de douleur qu'elle en vient à se demander si elle devient folle... Elle est dans cet étrange univers, dans un avion où les gens sont naturellement suspicieux. La situation est pleine d'une tension incroyable. J'aime les histoires qui se déroulent en univers clos. J'ai été séduite par l'intensité de celle-ci, par la manière dont elle se penche sur le comportement des gens les uns envers les autres, et sur l'évolution de leurs relations. Ce film est un thriller, mais c'est aussi un voyage personnel, un regard sur la manière dont une femme réagit au plus puissant des stress, à la plus grande des paniques, et comment elle revient à la vie, s'arrachant des abîmes de sa douleur."
Le film selon son producteur...
Le producteur oscarisé Brian Grazer explique ce qui l'a attiré dans Flight Plan : "Le film évoque un mystère à la Hitchcock qui se déroulerait entièrement dans le monde clos d'un avion moderne, avec ses coins et ses recoins, ses endroits inconnus du public et ceux où l'on peut facilement se cacher. L'alliance de cette idée avec une histoire réelle, bouleversante, sur la souffrance liée à la perte d'un être aimé était particulièrement puissante."
Hallucination ou réalité ?
Le réalisateur Robert Schwentke revient sur l'état dans lequel se trouve l'héroïne de Flight Plan : "Au coeur de l'histoire, il y a une femme qui doit se reconstruire après la mort soudaine de son mari. La manière exacte dont il est décédé ne sera révélée que tard dans le film, mais il est clair qu'elle a commencé à perdre pied, qu'elle n'est plus tout à fait dans la réalité. La question est de savoir à quel point... C'est là tout le moteur dramatique du film." Et le cinéaste allemand de préciser avoir vu avec Flight Plan "l'occasion de créer une sorte de puzzle, plein de fausses pistes, d'illusions, de faux-semblants, dans un contexte émotionnel très fort. J'aime que tout se déroule dans un même environnement confiné. On se sent piégé à 11 000 mètres d'altitude avec les personnages, on les voit lutter pour résoudre le mystère..."
Pour le meilleur et pour le pire...
Pour le producteur Billy Ray, Flight Plan agit comme un révélateur de l'âme humaine. Il raconte : "Lorsque des inconnus sont bloqués ensemble dans un avion, et que vous ajoutez la tension et la suspicion, cela devient un formidable terrain, très explosif, pour explorer les réactions humaines exacerbées. Au fil des choix difficiles que tous devront faire, on découvre le meilleur et le pire de l'humanité..."
Le clan des oscarisés
Flight Plan compte deux oscarisés à son générique. Le producteur Brian Grazer a remporté deux Oscars grâce à Un homme d'exception et Apollo 13. Quant à Jodie Foster, elle fait partie du cercle très fermé des actrices doublement oscarisées (Les Accusés et Le Silence des agneaux).
Nouvelle coqueluche américaine
Erika Christensen, qui joue l'une des hôtesses de l'air de Flight Plan, est devenue en quelques années une des jeunes actrices les plus prisées d'Hollywood. Sa carrière, débutée à l'âge de 12 ans, a pris de l'ampleur après son rôle dans Traffic de Steven Soderbergh. A seulement 23 ans, elle a déjà joué auprès d'acteurs confirmés, de Susan Sarandon à Barbara Hershey et Kevin Costner en passant par Annette Bening et Michael Douglas.
Panique à bord
Flight Plan n'est pas le premier film à exploiter le thème de la peur de l'avion et des problèmes qui peuvent y survenir. Passager 57, Ultime décision, Turbulences à 30 000 pieds ou encore Red eye / sous haute pression ont notamment ce sujet pour toile de fond.
Une "école de vol" pour les acteurs
Pour mieux savoir comment se déplacer dans le décor de manière réaliste, l'équipe technique et les acteurs de Flight Plan ont suivi un cours éclair d'"école de vol", une introduction générale à l'aviation. Au programme : savoir comment faire fonctionner l'équipement d'un avion high-tech et connaître les principes de base de la sécurité aérienne.
Un avion imaginaire
La quasi-totalité de l'action de Flight Plan se déroule dans un avion fictif, le Jumbo Jet E-474 d'Aalto Air. Le producteur Brian Grazer et le réalisateur Robert Schwentke ont imaginé le E-474 comme la nouvelle génération d'avion pour le transport de passagers, avec une impressionnante capacité de plus de 700 passagers et une architecture stylée et très design.
Le paradoxe de Sean Bean
L'acteur Sean Bean, qui incarne le pilote de l'avion dans Flight Plan, possède la particularité d'avoir une peur bleue de ces engins dans la vie réelle.
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Forrest Gump|Robert Zemeckis|Comédie dramatique||4|américain|1994|136|Anglais||DivX|||DIVX|596 Kbps|640x256|MPEG-1 Audio layer 3|95.5 Kbps|False|44.1 KHz|2|686||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Wendy Finerman Steve Starkey Steve Tisch|Eric Roth|Don Burgess||United International Pictures (UIP)||Quelques décennies d'histoire américaine, des années 1940 à la fin du XXème siècle, à travers le regard et l'étrange odyssée d'un homme simple et pur, Forrest Gump. |Tom Hanks (Forrest Gump)@Gary Sinise (Le lieutenant Dan Taylor)@Robin Wright Penn (Jennifer Curran)@Mykelti Williamson (Benjamin Bufford-Blue)@Sally Field (Madame Gump)@Michael Connor Humphreys (Jeune Forrest)@Peter Dobson (le jeune Elvis Presley)@Dick Cavett (lui-même)@Kurt Russell (voix d'Elvis Presley)@Haley Joel Osment (Forrest Gump Junior )@Alexandre Zemeckis (Un des écoliers dans le bus)@Hallie D'Amore (Serveuse)@||||||||||||@@
Antz|Eric Darnell Tim Johnson|Animation||3|américain|1998|86|Anglais||DIV3|||DIV3|901 Kbps|640x480|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|640||||22.969|13/08/2009 00:00:00|Brad Lewis Aron Warner Patty Wooton|Todd Alcott Chris Weitz Paul Weitz|||United International Pictures (UIP)||Z-4195, fourmi ouvriere, est amoureux de la belle princesse Bala. Simple numero parmi les milliards composant sa colonie il n'a aucune chance d'attirer le regard de la belle. Pourtant il demande l'aide de son meilleur ami, la fourmi soldat Weaver, afin d'approcher l'elue de son coeur. C'est ainsi que par un caprice du hasard, il parasite involontairement le plan machiavelique de l'ambitieux general Mandibule qui veut tout bonnement liquider la colonie afin de la recreer a son image. Z se retrouve bientot a la tete d'une revolution. |Danièle Hazan (Muffy (voix française))@Daniel Lafourcade (Z-4195 (voix française))@Virginie Ogouz (la Princesse Bala (voix française))@Alain Dorval (Weaver (voix française))@Nathalie Juvet (Azteca (voix française))@Jean Barney (Chip (voix française))@Philippe Catoire (le Général Mandible (voix française))@Annie Bertin (la reine (voix française))@Saïd Amadis (Barbatus (voix française))@Samuel Labarthe (le Colonel Cutter (voix française))@||||||||||||@@
Me, Myself & Irene|Peter Farrelly Bobby Farrelly|Comédie||3|américain|2000|111|Anglais||DIV3|||DIV3|703 Kbps|720x576|MPEG-1 Audio layer 3|160 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|09/08/2009 00:00:00|Bobby Farrelly Peter Farrelly|Mike Cerrone Bobby Farrelly Peter Farrelly|Mark Irwin||UFD||Charlie Baileygates est un policier souffrant de troubles de la personnalite. Apres avoir suivi un traitement medical, il se voit confier la mission d'escorter Irene Waters dans un autre Etat, ou elle est recherchee pour une grave violation au code de la route. Mais Charlie entame ce voyage en oubliant ses medicaments, permettant par la-meme a son alter ego derange, Hank, de refaire surface. Et lorsque les deux personnalites commencent a se disputer l'amour de leur belle prisonniere, Irene se rend compte qu'elle est finalement attiree... par les deux. |Jim Carrey (Officier Charlie Baileygates / Hank Evans)@Renée Zellweger (Irene P. Waters)@Chris Cooper (Lieutenant Gerke )@Anthony Anderson (Jamaal Baileygates)@Mongo Brownlee (Lee Harvey Baileygates)@Jerod Mixon (Shonte Jr. Baileygates)@Tony Cox (Shonte Jackson)@Daniel Greene (Dickie Thurman)@Rob Moran (Trooper Finneran)@Michael Bowman (Whitey / Casper)@Kevin J. Flynn (Dick)@Richard Jenkins (Boshane)@Richard Tyson (Le propriétaire du magasin d'armes)@Robert Forster (Colonel Partington)@Steve Tyler (Le docteur à la maternité)@Googy Gress (Un gars dans la rue)@Traylor Howard (Layla)@Steve Sweeney (Ed le voisin)@Mike Cerrone (Officier Stubie)@Zen Gesner (Agent Peterson)@Dan Murphy (Agent Steve Parfitt)@Andrew Phillips (Lee Harvey à 9 ans)@Mark L. Levine (Le golfeur)@Bob Mone (Officier Delicato)@Bruce Duncan (Le conducteur de train)@Herbie Flynn (Herb le barbier)@Heather Dyson (Une journaliste)@Christine DiCarlo (Une journaliste TV)@Justin Chandler (Shonté Jr. à 9 ans)@Jeremy Maleek Leggett (Jamaal à 9 ans)@Bob Weeks (Le conducteur du train)@Mike Swanson (Un détective (non crédité))@Rex Allen Jr. (Le narrateur (VO))@Tanner Wiley (Lui-même (non crédité))@Tara Perkins (La golfeuse)@||Secrets de tournage :
De Renée Zellweger (?Irène?) :
?Je connaissais jusqu'ici deux sortes de goûts : le bon et le mauvais. Il me restait à découvrir celui des Farrelly. Je n'avais jamais rien vu de tel ! Vous ne pouvez pas imaginer ce que ces gars sont capables d'inventer et ce qu'ils m'ont fait faire. J'espère que Papa ne verra jamais ce film, il ne s'en remettrait pas !
Les frères Farrelly font exploser les tabous. Ils se mettent sur l'écran des choses de la vie qui nous font honte ou nous plongent dans un mortel embarras. Confrontés à ce refoulé, nous ne pouvons que nous esclaffer d'un rire hystérique. »
Robert Forster (« Le colonel Partington ») :
Né à Rochester (Etat de New York) en 1941, Robert Forster a démarré sa carrière au cinéma à la fin des années 60. Sa filmographie en 2000 comporte plus d'une cinquante de films, principalement dans le cinéma d'action et le thriller.
Sa carrière connaît cependant un second souffle grâce à son personnage de Max Cherry, dans Jackie Brown, de Quentin Tarantino, qui lui vaut une nomination à l'Oscar du meilleur second rôle.
Une formule qui a fait ses preuves :
Avec Fous d'Irène les Farrelly ont de nouveau associés un acteur « sérieux » et un comique?
C'était, Randy Quaid et Woody Harrelson dans Kingpin, Jeff Daniels et Jim Carrey pour Dumb and Dumber, Matt Dillon et Ben Stiller pourMary à tout prix. Dans Fous d'Irène, au tandem Renée Zellweger/Jim Carrey est associé le « duo » Robert Forster/Chris Cooper.
De Bobby Farrelly :
« Fous d'Irène regorge de bonnes vieilles blagues, que nous nous sommes contentés de piquer dans nos anciens films.
Plus sérieusement, nous espérons qu'il fera rire autant que Mary. J'y vois au moins deux ou trois scènes qui devraient déclencher la même hilarité, et confirmer que nous sommes encore très loin de la maturité. »
Retrouvailles
Jim Carrey a déjà joué dans un film des frères Farrelly? en 1994, pour Dumb and Dumber
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Step Brothers|Adam McKay|Comédie||2|américain|2008|97|Anglais||XviD|||XVID|862 Kbps|640x336|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Judd Apatow Jimmy Miller|Will Ferrell Adam McKay|Oliver Wood||Sony/Columbia||A 39 ans, Brennan Huff n'a toujours pas de job sérieux et vit chez sa mère, Nancy. De son côté, Dale Doback est un éternel chômeur de 40 ans qui vit encore avec son père, Robert. Lorsque Robert et Nancy se marient et emménagent sous le même toit, Brennan et Dale deviennent frères malgré eux et se retrouvent à vivre ensemble. Quand leurs querelles infantiles et leur incorrigible paresse menacent de faire exploser leur toute nouvelle famille, ces deux quarantenaires immatures imaginent un plan insensé pour réconcilier leurs parents. Mais pour y parvenir, ils vont devoir faire équipe, et peut-être même quitter la maison... |Will Ferrell (Brennan Huff)@John C. Reilly (Dale Doback)@Richard Jenkins (Robert Doback)@Mary Steenburgen (Nancy Huff)@Adam Scott (Derek Huff)@Kathryn Hahn (Alice Huff)@Andrea Savage (Denise)@Elizabeth Yozamp (Tiffany)@Lurie Poston (Tommy)@Kellan Rhude (Boomer)@Logan Manus (Chris Gardoski)@Travis T. Flory@Adam Herschman (Goose)@Gillian Vigman@Ken Jeong@June Raphael (La professeur d'anglais)@Erinn Selkis (La pilote d'hélicoptère)@Matt Besser (Le manager du restaurant)@Rob Riggle (Randy)@Wayne Federman (Le voisin aveugle)@Pedro Miguel Arce@Rosine Hatem (Boat Ho)@Seth Rogen@||Secrets de tournage :
Retrouvailles
Frangins malgré eux réunit à nouveau Will Ferrell, John C. Reilly et le scénariste et réalisateur Adam McKay, le trio à l'origine de la comédie Ricky Bobby : roi du circuit (2006).
40 ans, toujours... ado !
Will Ferrell, l'un des héros de Frangins malgré eux, explique l'idée principale de cette comédie délirante : "Les personnages principaux du film, Dale et Brennan, sont deux adultes qui ont oublié de grandir. Ils raisonnent encore comme des adolescents, et c'est comme tels qu'ils décident de ce qui est cool et parlent de ce qu'ils feront quand ils seront grands. En écrivant cette histoire, nous avons imaginé ce qui se passe quand on devient à 40 ans le type qu'on pensait devenir quand on en avait 13. C'était une idée réjouissante à explorer !"
Un producteur à la mode
Le producteur de Frangins malgré eux est l'Américain Judd Apatow, chef de file de la nouvelle vague du cinéma comique US. Il est le réalisateurs des succès 40 ans, toujours puceau et En cloque, mode d'emploi et notamment scénariste de Braqueurs amateurs et Rien que pour vos cheveux. En tant que producteur, il a, entre autres, travaillé sur SuperGrave et Sans Sarah rien ne va !. Au sujet de Frangins malgré eux, Judd Apatow raconte : "Que faire si vos gamins sont un vrai gâchis ? Les parents de Dale et Brennan ne savent plus quoi faire d'eux. Ils sont complètement désemparés face à ces deux gamins de 40 ans. En fait, ils vivent un problème que rencontrent beaucoup de parents : comment faire quitter le nid familial à ses enfants ?"
Jouer un enfant à 40 ans
Une fois le scénario de Frangins malgré eux terminé, Will Ferrell et John C. Reilly ont travaillé sur l'interprétation de leurs personnages. John C. Reilly explique : "Je suis rentré chez moi, et j'ai regardé comment mes enfants réagissaient quand ils n'avaient pas ce qu'ils voulaient et quand ils se chamaillaient entre eux. Cela a beaucoup influencé ma façon de jouer Dale. Ainsi, même si le film aborde des problèmes d'adultes, il est aussi plein d'innocence et de gaieté."
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A Nightmare on Elm Street|Wes Craven|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|1985|87|Anglais||DX50|||DX50|881 Kbps|640x368|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|638||||24.976|09/08/2009 00:00:00|Robert Shaye|Wes Craven|Jacques Haitkin||Net Diffusion|Saga : Freddy |Nancy est une jeune adolescente qui fait régulièrement des cauchemars sur un homme au visage brûlé, avec un vieux pull déchiré et cinq lames tranchantes à la place des doigts. Elle constate d'ailleurs que parmi ses amis, elle n'est pas la seule à faire ces mauvais rêves. Mais bientôt, l'un d'entre eux est sauvagement assassiné pendant son sommeil.
C'est ainsi que le groupe fait la connaissance de l'ignoble Freddy Krueger, qui se sert des cauchemars pour assassiner les gens qui rêvent de lui. Nancy comprend qu'elle n'a plus qu'une seule solution : si elle veut rester en vie, elle doit rester éveillé... |Robert Englund (Freddy Krueger)@John Saxon (Lt Donald Thompson)@Heather Langenkamp (Nancy Thompson)@Ronee Blakley (Marge Thompson)@Johnny Depp (Glen Lantz)@Amanda Wyss (Tina Gray)@Jsu Garcia (Rod Lane)@Charles Fleischer (Dr. King)@Joseph Whipp (Sergent Parker)@Lin Shaye (L'enseignante)@Joe Unger (Sergent Garcia)@Mimi Craven (L'infirmière)@Jack Shea (Le ministre)@Ed Call (Mr. Lantz)@Sandy Lipton (Mme Lantz)@||Secrets de tournage :
Une première pour New Line
Les Griffes de la nuit fut le premier film produit par New Line Cinema. Auparavant, cette société ne se chargeait que de la distribution des films universitaires.
Références en pagaille
Wes Craven aime inclure quelques références cinématographiques dans ses films. Dans Les Griffes de la nuit, elles sont nombreuses : le film que regarde Nancy pour rester éveillé est Evil Dead, on peut apercevoir lors de la scène où Freddy passe à travers le mur le masque de hockey du tueur Jason (héros de la franchise des Vendredi 13). On retrouve également de nombreuses références aux premiers films de Craven, dont notamment La colline a des yeux ou La Ferme de la terreur. Inversement, le film est devenu depuis une des références préférées de Wes Craven : le réalisateur avait repris les habits du monstrueux Freddy lors d'une apparition surprise en balayeur dans Scream.
Douze ans après
Le comédien Joseph Whipp, qui joue le rôle de l'inefficace sergent Parker dans Les Griffes de la nuit, retrouvera douze ans plus tard le réalisateur Wes Craven pour le film d'épouvante Scream dans le rôle du shérif Burke, où il sera, cette fois, confronté au sergent Dewey Riley, interprété par David Arquette.
Pourquoi "Freddy Krueger" ?
Pour quelle raison Wes Craven a-t-il nommé ainsi Freddy Krueger ? Le réalisateur des Griffes de la nuit aime à dire qu'il lui a tout simplement donné le nom du jeune garçon qui le brutalisait lorsqu'il était enfant.
Une récompense en France
Le premier long métrage mettant en scène l'ignoble Freddy Krueger, Les Griffes de la nuit, n'a reçu une seule et unique récompense : c'était en 1985 lors du festival du film d'Avoriaz, année où Robert De Niro présidait le jury, que le film s'est vu décerner le Prix de la critique, le Grand Prix étant revenu à Terminator.
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A Nightmare on Elm Street - Part 2 : Freddy's revenge|Jack Sholder|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|1986|81|Anglais||DX50|||DX50|953 Kbps|640x368|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|639||||25.000|09/08/2009 00:00:00|Robert Shaye|David Chaskin Wes Craven|Jacques Haitkin|||Saga : Freddy |La famille Walsh emmenage dans une maison restée abandonnée depuis quelques temps à Elm Street. Les adolescents de la rue recommencent à faire d'effrayants cauchemars dans lequel Freddy Krueger tue des enfants, des cauchemars qui malheureusement trouvent leurs repercussions dans la réalité.
Ron est l'un de ses adolescents possédés dans ses rêves par Freddy. Sa petite amie est la seule à pouvoir l'aider, et empêcher l'ignoble serial killer d'utiliser les cauchemars de Ron afin de commetre d'autres crimes... |Robert Englund (Freddy Krueger)@Mark Patton (Jesse Walsh)@Kim Myers (Lisa Webber)@Robert Rusler (Ron Grady)@Clu Gulager (Ken Walsh)@Hope Lange (Cheryl Walsh)@Marshall Bell (Coach Schneider)@Melinda O. Fee (Mme Webber)@Tom McFadden (Mr Webber)@Sydney Walker (Kerry)@Edward Blackoff (Le professeur de biologie)@Christie Clark (Angela Wash)@Lyman Ward (Mr Grady)@Donna Bruce (Mme Grady)@||Secrets de tournage :
Robert Englund à nouveau Freddy
Une nouvelle fois, l'acteur Robert Englund, que l'on a pu voir entre autres dans la série d'anticipation V, reprend le pull miteux et troque ses ongles contre des lames de couteaux pour incarner Freddy, personnage qu'il avait déjà interprété lors du premier épisode, Les Griffes de la nuit. Robert Englund verra sa carrière marquée à jamais par ce personnage : depuis 1985 jusqu'à Freddy vs Jason, il aura incarné Freddy Krueger durant les huit films que comptaient la franchise en 2002.
Une suite parmi d'autres
La Revanche de Freddy est le deuxième film de la série des films mettant en scène le tueur Freddy Krueger. Le dernier film de la franchise, A Nightmare on Elm Street 7, date de 1994. En 2003 est tourné le huitième volet de cette série, Freddy vs Jason, la rencontre entre deux des serial killers les plus célèbres de l'histoire du cinéma.
Un gant très convoité
Le fameux gant aux lames de couteaux que l'on peut voir dans La Revanche de Freddy, permettant au tueur d'exécuter ses victimes, est le gant originel utilisé dans le premier volet de la saga, Les Griffes de la nuit. Mais cette pièce unique n'était apparemment pas seulement convoité par Freddy puisque le gant a été volé durant le tournage de ce film.
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A Nightmare on Elm Street - Part 4 : the dream master|Renny Harlin|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|1989|89|Anglais||DX50|||DX50|894 Kbps|640x368|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|660||||24.977|09/08/2009 00:00:00|Robert Shaye Rachel Talalay|Brian Helgeland Jim Wheat Ken Wheat Michael De Luca Renny Harlin Rachel Talalay Wes Craven|Steven Fierberg||Metropolitan FilmExport|Saga : Freddy |Bien décidé à exterminer les descendants des parents qui l'avaient brulé dans le passé, l'épouvantable Freddy, à nouveau ressuscité, s'apprêtent à revêtir les tenues les plus perverses pour pénétrer dans les rêves de ses prochaines victimes. Mais c'était sans compter sur Alice, elle aussi capable de s'introduire dans les rêves de ses amis pour faire face au redoutable croquemitaine... |Robert Englund (Freddy Kruger)@Lisa Wilcox (Alice Johnson)@Rodney Eastman (Joey Crusel)@Danny Hassel (Dan Jordan)@Andras Jones (Rick Johnson)@Tuesday Knight (Kristen Parker)@Toy Newkirk (Sheila Kopecky)@Ken Sagoes (Roland Kincaid)@Brooke Theiss (Debbie Stevens)@Renny Harlin (un étudiant dans la salle de classe)@Kristen Clayton (Alice)@Brooke Bundy (Elaine Parker)@Linnea Quigley (L'âme du corps de Freddy)@||Secrets de tournage :
Un débutant aux Etats-Unis
Le réalisateur Renny Harlin, célèbre pour avoir posé son empreinte dans le cinéma d'action (Au revoir, à jamais, Peur bleue ou plus récemment Driven avec Sylvester Stallone) effectuait avec Le Cauchemar de Freddy son premier film américain. Renny Harlin avait en effet fait ses premières armes en Finlande, son pays natal, où il avait réalisé deux films. Puis l'occasion de réaliser le quatrième volet des aventures de l'ignoble Freddy s'est présentée à lui, et depuis Renny Harlin s'est engagé dans une carrière américaine.
Retour aux origines
Comme toutes les suites de films d'horreur, Le Cauchemar de Freddy rend à plusieurs reprises hommage au film originel de la série, Les Griffes de la nuit, par l'intermédiaire de petits clins d'oeil disséminés dans le film. Par exemple, les deux pierres tombales visibles lors d'une scène où Kristen Parker et Roland Kincaid sont au cimetière portent le nom de Donald et Nancy Thompson, deux personnages présents dans le premier épisode (ainsi que le deuxième, La Revanche de Freddy, voire même dans le septième, Freddy sort de la nuit). De plus, le petit restaurant où travaille Alice porte le nom de "Crave Inn", référence directe au patronyme du réalisateur Wes Craven, créateur de la série.
Nominations et récompenses
Le quatrième volet des aventures du célèbre croquemitaine Freddy a été nominé dans de nombreuses cérémonies honorifiques. Ainsi, le film a remporté le prix des Meilleurs effets spéciaux au Festival international du Film de Catalogne en 1988, un festival spécialisé dans le cinéma fantastique. Il a également reçu une distinction pour l'ensemble de son jeune casting aux Young Artist Awards l'année suivante. Si le film a concouru lors du prestigieux festival Fantasporto au Portugal en 1989, il a également vu sa chanson principale, Therapist du groupe Vigil, concourir au titre de Pire chanson de l'année à l'occason de la cérémonie des Razzie Awards.
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A Nightmare on Elm Street - Part 5 : the dream child|Stephen Hopkins|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|1990|85|Anglais||DX50|||DX50|928 Kbps|640x368|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|654||||25.000|09/08/2009 00:00:00|Rupert Harvey Robert Shaye|Leslie Bohem Wes Craven|Peter Levy|||Saga : Freddy |L'ignoble Freddy a encore trouvé un moyen pour venir hanter les cauchemars des enfants de Elm Street : il se réincarne dans le bébé qu'attend Alice, celle qui l'avait pourtant vaincu dans le précédent épisode. Il arbore à nouveau crânement son chapeau, son pull rayé et ses longues griffes aiguisées et Alice aura fort à faire pour le ramener dans le sinistre asile psychiatrique où il fut conçu. |Robert Englund (Freddy Krueger)@Danny Hassel (Dan Jordan)@Lisa Wilcox (Alice Johnson)@Whitby Hertford (Jacob)@Kelly Jo Minter (Yvonne)@Erika Anderson (Greta)@Valorie Armstrong (Mme Jordan)@Beatrice Boepple (Amanda Kreuger)@||Secrets de tournage :
Récompenses plus ou moins élogieuses
Freddy 5 a remporté de nombreuses récompenses : le film a reçu le Critics Award du Festival Fantasporto, un festival portugais rendant hommage au cinéma fantastique. Whitby Hertford a quant à lui reçu en 1990 le Young Artist Award, face au jeune Ethan Hawke et Lukas Haas. En revanche, le film a également eu droit aux honneurs du Razzie Award récompensant la pire chanson de l'année.
Un rire célèbre
Un rire démoniaque se fait entendre au début du générique. C'est celui du célèbre acteur de films d'horreur Vincent Price. Il s'agit d'une reprise de sa participation vocale sur le tube de Michael Jackson Thriller, dans lequel il récitait un texte inquiétant avant de rire à gorge déployée.
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A Nightmare On Elm Street - Part 6 : Freddy's dead - The final nightmare|Rachel Talalay|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|1992|85|||DX50|||DX50|990 Kbps|720x416|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|691||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Aron Warner Robert Shaye|Rachel Talalay Michael De Luca Wes Craven|Declan Quinn|||Saga : Freddy |Sixième épisode des aventures cauchemardesques de Freddy. Après avoir tué tous les enfants de sa ville natale, il cherche à aller dans un nouveau territoire pour y trouver de nouvelles proies... |Lezlie Deane (Tracy)@Ricky Dean Logan (Carlos)@Yaphet Kotto (Doc)@Robert Englund (Freddy Krueger)@Lisa Zane (le Dr. Maggie Burroughs)@Shon Greenblatt (John Doe)@Breckin Meyer (Spencer)@Tom Arnold (L'homme sans enfant)@Johnny Depp (L'adolescent à la télé)@Roseanne (La femme sans enfant)@||Secrets de tournage :
Robert Englund, l'increvable
L'acteur Robert Englund reprenait pour la sixième fois les griffes de l'ignoble Freddy. C'est le seul acteur de la franchise (équipe artistique et technique confondues) à être présent dans tous les films mettant en scène les agissements du célèbre serial-killer. Il reprendra ce rôle en 1994 pour le septième épisode : Freddy sort de la nuit, réalisé par le metteur en scène originel de la série, Wes Craven, ainsi qu'en 2003, face au tueur de la série des Vendredi 13, pour Freddy vs. Jason.
Des caméos célèbres
De nombreuses personnalités ont accepté d'apparaître furtivement dans La fin de Freddy : l'ultime cauchemar. L'acteur Johnny Depp, déjà présent (et victime d'une mort atroce) dans le premier épisode de la série (Les Griffes de la nuit, 1984), effectue un petit passage dans une publicité contre la drogue, les acteurs Roseanne et Tom Arnold, à l'époque mariés dans la vie, jouent un couple sans enfant, tandis que le chanteur Alice Cooper interprète le père de Freddy.
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A Nightmare on Elm Street - Part 7 : new nightmare|Wes Craven|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|1995|107|Anglais||DX50|||DX50|760 Kbps|720x384|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|692||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Marianne Maddalena|Wes Craven|Mark Irwin|||Saga : Freddy |Comment le monstre griffu, Freddy, va rattraper ses concepteurs qui pensaient en avoir fini avec lui et leur donner la frousse de leur vie. |Robert Englund (Freddy Krueger/Robert Englund)@John Saxon (Lui-même)@Heather Langenkamp (Elle-même)@Miko Hughes (Dylan)@David Newsom (Chase porter)@Tracy Middendorf (Julie)@Wes Craven (Lui-même)@Marianne Maddalena (Elle-même)@Bodhi Pine Elfman@Robert Shaye@Lin Shaye@||||||||||||@@
Freddy Vs Jason|Ronny Yu|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 16 ans|3|américain|2003|92|Anglais||XviD|||XVID|816 Kbps|608x256|MPEG-1 Audio layer 3|152 Kbps|False|44.1 KHz|2|643||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Sean S. Cunningham|Mark Swift Damian Shannon Wes Craven Victor Miller|Fred Murphy||New Line Cinema|Saga : Vendredi 13 |Voilà bien longtemps que Freddy ne hante plus les nuits des jeunes de Elm Street. Les drogues secrètement administrées aux adolescents par leurs parents empêchent tous les cauchemars et le condamnent à l'impuissance. Pourtant, non loin de là, l'instrument de sa vengeance attend...Jason, le tueur maniaque enterré, n'est pas tout à fait mort. Freddy le sait et décide de pénétrer son esprit. Il va faire de lui le bras armé de son terrifiant retour. Bientôt, Elm Street redevient un enfer. La jeune Lori Campbell et ses amis voient les morts violentes se multiplier autour d'eux. Entre Freddy et Jason, c'est à celui qui saisira ses victimes le plus rapidement. Très vite, ils deviennent concurrents. L'affrontement est inévitable. Lequel des deux monstres triomphera ? Nul ne le sait. Une chose est certaine : si certains survivent à ce choc, ils n'oublieront jamais... |Robert Englund (Freddy Krueger)@Ken Kirzinger (Jason Voorhees)@Evangeline Lilly (la lycéenne)@Kelly Rowland (Kia)@Jason Ritter (Will)@Katherine Isabelle (Gibb)@Brendan Fletcher (Jacob)@Gary Chalk (le shérif de Springwood)@Lochlyn Munro (Stubbs)@Monica Kenna (Lori)@James Callahan (Tim)@Robert Shaye (le principal Shaye)@||Secrets de tournage :
Une rencontre au sommet
Freddy contre Jason marque la rencontre au sommet de deux personnages mythiques du cinéma d'horreur : Jason, le tueur au masque de hockeyeur, et Freddy, mort-vivant aux griffes acérées. Le producteur Sean S. Cunningham explique ce qui différencie ces deux créatures : "Jason et Freddy incarnent l'essence même du mal sous deux de ses aspects les plus spectaculaires. Freddy règne sur les rêves, il frappe là où tout est possible, au-delà de toute réalité, lorsque nous sommes le plus vulnérable. Jason, lui, incarne la terreur froide, les peurs les plus sourdes. Les deux sont une menace absolue. L'un est tapi dans les méandres de nos songes alors que l'autre peut surgir de n'importe quel recoin de notre quotidien."
Robert Englund enthousiaste
A la lecture du scénario, Robert Englund, l'interprète historique du terrifiant Freddy Krueger, confie : "Je suis arrivé sur le projet très tôt, l'idée m'a tout de suite séduit. Dans ce film, Freddy est en difficulté, il a perdu son pouvoir. Il doit pactiser avec un autre démon pour revenir et se venger. C'est non seulement une histoire forte, mais elle ouvre en outre la voie à de nombreuses situations inédites."
Anderson et Goyer pressentis derrière la caméra
Paul Anderson, réalisateur de Mortal kombat et Resident evil, et David Goyer, le scénariste de Blade, étaient d'abord pressentis derrière la caméra. C'est finalement Ronny Yu, cinéaste de La Fiancée de Chucky, qui a pris leur place.
Une apparition du dirigeant de New Line Cinema
Robert Shaye, qui dirige les studios New Line Cinema et produit Freddy contre Jason, fait une apparition dans le film en principal du lycée.
Plusieurs heures de maquillage
Pour donner vie au personnage de Freddy, Robert Englund devait subir plusieurs heures de maquillage par jour. Son masque en latex était fait d'une quinzaine d'éléments collés sur l'ensemble de la tête et du cou.
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Freejack|Geoff Murphy Victor Nelli Jr.|Science fiction||2|américain|1992|105|Anglais||DX50|||DX50|789 Kbps|720x400|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|696||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Stuart Oken Ronald Shusett|Steven Pressfield Dan Gilroy Ronald Shusett|Amir M. Mokri||Warner Bros. France||Alex est un pilote de course. Victime d'un accident, il se réveille en 2009... Sa ville est devenue une jungle ou seuls survivent les hommes d'affaires. Grâce à la technologie, il est désormais possible de transférer un esprit dans un autre corps. Et Alex est poursuivi par un tueur pour servir de récepteur... |Emilio Estevez (Alex Furlong)@Mick Jagger (Victor Vacendak)@Anthony Hopkins (Mc Candless)@Rene Russo (Julie Redlund)@Jonathan Banks (Mark Michelette)@David Johansen (Brad Carter)@Amanda Plummer (La nonne)@Grand L. Bush (Boone)@Frankie Faison (L'homme à l'aigle)@John Shea (Morgan)@Esai Morales (Ripper)@Jerry Hall (La femme du journal)@J. Don Ferguson (Le promoteur)@Mike Starr (L'épouvantail)@David Dwyer (Le chef d'escouade)@Aaron Weiler (Un gardien de la paix)@||||||||||||@@
Frequency|Gregory Hoblit|Fantastique||3|américain|2000|118|||DIV3|||DIV3|569 Kbps|640x304|MPEG-1 Audio layer 3|160 Kbps|False|44.1 KHz|2|625||||24.017|28/07/2009 00:00:00|Bill Carraro Toby Emmerich Howard Koch Gregory Hoblit|Toby Emmerich|Alar Kivilo||Metropolitan FilmExport||John Sullivan, inspecteur de police, est toujours hante par la mort de son pere, survenue lors d'un spectaculaire incendie en 1969. Par une nuit illuminee d'aurore boreale et d'eclairs magnetiques, John met en marche une ancienne radio et croit entendre la voix d'un homme. Bouleverse, il reconnait son pere. Par-dela la mort et le temps, les deux hommes se parlent. Mais tout miracle a un prix et l'enchainement des evenements va s'en trouver modifie. Face a l'etrange vague de meurtres qui se declenche, pere et fils vont se battre, chacun dans sa dimension. |Dennis Quaid (Frank Patrick Sullivan)@Shawn Doyle (Jack Shepard)@Jim Caviezel (John Sullivan)@Andre Braugher (Satch DeLeon)@Noah Emmerich (Gordo Hersch)@Elizabeth Mitchell (Julia Sullivan)@Tucker Robin (Frank Jr.)@Karen Glave (Lanni DeLeon)@Melissa Fitzgerald (Linda Hersch)@Rosemary De Angelis (Mrs. Finelli)@Michael Cera (Gordy Jr. (10 ans))@||Secrets de tournage :
Noah Emmerich (Gordon Hersch)
bCopland en 1997), Peter Weir (The Truman show en 1998) et Antonio Banderas (La tête dans le carton à chapeau en 1999).
Il est également apparu dans Tumbleweeds (Gain O'Connor, 1999).
Noah Emmerich est le frère aîné de Toby Emmerich, le scénariste de Fréquence interdite.
Jim Caviezel (John Sullivan)
Révélé par La ligne rouge (Terrence Malick, 1999), Jim Caviezel avait joué auparavant dans My own private Idaho (Gus Van Sant, 1991), Wyatt Earp (Lawrence Kasdan, 1994), Rock (Michael Bay, 1996) et A armes égales (Ridley Scott, 1997).
Rendre les dialogues plus percutants
Gregory Hoblit a innové pour filmer les dialogues entre Dennis Quaid et Jim Caviezel. Dans le film, les deux comédiens communiquent par radio.
Refusant le champ/contre-champ classique, il a réuni les acteurs dans une seule et même pièce. Chacun pouvait ainsi donner la réplique à son partenaire, ce qui n'a rendu ces scènes que plus dynamiques.
Gregory Hoblit, réalisateur
Fréquence interdite est le troisième long métrage de Gregory Hoblit. Il avait auparavant réalisé Peur primale (1996) et Le témoin du mal (1998).
Gregory Hoblit sensible au scénario
« Mon imagination s'est emballée et j'ai commencé à me demander ce que se serait passé si? Mon propre père étant décédé il y a quelques années , je me suis dit «et si?». Et si j'avais eu moi aussi une deuxième chance ? Et si je pouvais lui parler à nouveau, que lui dirais-je ? Et s'il était encore là, combien de fois, et comment lui dirais-je que je l'aime ? »
Un scientifique à la rescousse du cinéma
Brian Greene, professeur à l'université de Columbia et spécialiste de la physique théorique, a apporté une aide précieuse à Gregory Hoblit, le metteur en scène. Ses études l'ont amené à élaborer une théorie selon laquelle le temps ne serait pas linéaire et qu'il ouvrirait sur des dimensions encore inconnues.
Gregory Hoblit, visiblement enchanté de cette collaboration, affirme que Brian Greene les a «aidés à établir les prémisses de la notion selon laquelle l'information pourrait effectivement voyager à travers le temps et l'espace.»
Toby Emmerich, le scénariste, file la métaphore
« Fréquence interdite s'appuie sur la théorie scientifiquement admise selon laquelle le temps n'est pas simplement linéaire, à l'image d'une rivière s'écoulant dans le même sens? Il s'agit plutôt d'une série d'affluents entre lesquels peuvent avoir lieu des interconnexions. C'est le cas entre 1969 et 1999. »
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Brother Bear|Bob Walker Aaron Blaise|Animation||3|américain|2004|78|Anglais||DX50|||DX50|1 102 Kbps|480x408|MPEG-1 Audio layer 3|135 Kbps|False|44.1 KHz|2|700||||29.970|09/08/2009 00:00:00||Steve Bencich|||Buena Vista Pictures||Kenai, un jeune Indien, affronte un ours. Ses frères viennent à son secours. Sitka, l'aîné, sacrifie sa vie pour sauver les deux plus jeunes du féroce grizzly. Kenai se lance alors à la recherche de l'ours, le traque jusque dans un canyon et parvient à le tuer. A cet instant, le ciel s'ouvre, l'éclatante lumière des Grands Esprits vient baigner Kenai et le métamorphose en ours.
Lorsque Denahi, son frère, survient, il ne voit que les vêtements déchirés de Kenai et, auprès d'eux, un ours mort. Il croit avoir perdu son dernier frère, et, submergé par la colère et la douleur, jure de traquer l'animal et de le tuer.
De son côté, Kenai doit, pour survivre, apprendre à devenir un ours. Afin de retrouver sa forme humaine, il devra voyager jusqu'à la montagne où "les lumières touchent la terre". Là, il pourra demander aux Grands Esprits de lui rendre son apparence première... |Bruno Choel (Kinaï (voix française))@Gwénael Sommier (Koda (voix française))@Olivier Baroux (Muche (voix française))@Kad Merad (Truc (voix française))@Annie Cordy (Nanaka (voix française))@Boris Rhelinger (Sitka (voix française))@Damien Boisseau (Denahi (voix française))@David Douillet (Goliath (voix française))@Omar Sy (mouflon 1 (voix française))@Fred Testot (mouflon 2 (voix française))@||Secrets de tournage :
La genèse du projet
Le projet Frère des ours est né au début des années 90, à l'époque où Le Roi Lion était en production. A l'origine, l'histoire possédait une trame narrative tragique dont certains éléments n'étaient pas sans évoquer le Roi Lear de William Shakespeare. Le projet, baptisé à l'époque Bears, fut remanié et développé à partir de 1997 par le réalisateur Aaron Blaise et le producteur Chuck Williams, bientôt rejoint par le coréalisateur Bob Walker.
Le producteur Chuck Williams estime que les deux réalisateurs de Frère des ours "se sont vraiment emparés du film. Ils savaient quel ton lui donner. Ils voulaient un esprit naturaliste, qui montre la nature et les animaux d'une manière réaliste." David Stainton, Président de Walt Disney Feature Animation, est également plus qu'enthousiaste, affirmant que "Frère des ours est l'un des films les plus beaux et les plus émouvant qu'ait créés notre studio. Il est à la fois dramatique, drôle, excitant. Il est riche de tout ce que l'animation fait de meilleur."
Le mythe de la transformation
Frère des ours évoque le mythe de la transformation, en l'occurence celle d'un homme en ours. Pour le réalisateur Aaron Blaise, "ces mythes ont pour but d'enseigner une leçon de vie; c'est pour cette raison qu'ils se transmettent de génération en génération dans toutes les cultures. Ils ont une structure différente des contes de l'Occident, avec cette idée que l'on peut aller d'une culture à l'autre, passer du monde humain au monde animal. On y a le sentiment que les animaux sont simplement d'autres êtres vivants dans un costume différent... C'est une vision du monde, une philosophie très séduisante."
Walt Disney Floride présente...
Frère des ours a été conçu par le studio d'animation Walt Disney de Floride, l'une des branches de la compagnie aux grandes oreilles à qui l'on doit notamment Mulan et Lilo & Stitch.
Des spécialistes en renfort
Plusieurs experts en anatomie et locomotion animales sont venus faire partager leur expérience aux animateurs Disney, qui ont du dessiner de nombreuses espèces (plantigrades, tamias, ours, mouflons, élans, mammouths,...). Timothy Treadwell, chercheur animalier spécialiste en ours, a également donné de précieuses indications à l'équipe de Frère des ours.
Repérages grandeur nature
Afin de réaliser le dessin animé le plus authentique qui soit et dans le but de rendre parfaitement sur garnd écran l'immensité et la splendeur des paysages, les réalisateurs Aaron Blaise et Bob Walker n'ont pas hésité à effectuer plusieurs voyages en Alaska, en Californie et dans le Wyoming.
D'un format à l'autre...
Frères des ours possède la particularité de posséder deux formats d'image différents. Le premier tiers du film a ainsi un format classique en 1,85 alors que les deux tiers suivants sont en Cinémascope. Les cinéastes ont décidé d'adopter un format plus large dès que le personnage de Kinaï se transforme en ours, changement qui permet au spectateur de percevoir, à l'instar du personnage, un changement dans leur vision du monde, et qui apporte également plus d'ampleur et d'intensité à l'histoire.
Voix prestigieuses en VO...
Des pointures du cinéma hollywoodiens participent à l'aventure Frère des ours. Joaquin Phoenix, Rick Moranis et Michael Clarke Duncan prêtent ainsi respectivement leurs voix aux personnages de Kinaï, Muche et Goliath.
...et en VF !
Des artistes français de renom figurent au générique de Frère des ours. Parmi eux, le duo comique Kad et Olivier, la chanteuse Annie Cordy, le judoka David Douillet et les trublions cathodiques Omar et Fred, qui prêtent respectivement leurs voix à Truc, Muche, Nanaka, Goliath et les deux mouflons.
Phil Collins à la baguette
Le compositeur-interprète américain Phil Collins a créé six nouvelles chansons pour les besoins de Frère des ours. C'est la seconde fois qu'il compose la bande-originale d'une production Walt Disney, quatre ans après Tarzan.
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Brother Bear 2|Ben Gluck|Animation||3|américain|2006|73|Anglais||XviD|||XVID|1 196 Kbps|640x368|MPEG-1 Audio layer 3|127 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Jim Ballantine Carolyn Bates|Rich Burns|||||Alors qu'il était encore un petit garçon, Kenai avait scellé son amitié avec la jeune Nita en lui offrant un médaillon. Les années ont passé, et la fillette est maintenant en âge de prendre un époux. Mais, selon une légende ancestrale, le cadeau de Kenai, devenu un ours, lui interdit le mariage. Pour briser le sortilège qui le lie à Kenai, Nita part à la recherche de son ami d'enfance pour lui rendre ce médaillon bien encombrant. |Bruno Choel (Kinaï (voix française))@Gwénael Sommier (Koda (voix française))@Olivier Baroux (Muche (voix française))@Kad Merad (Truc (voix française))@||||||||||||@@
Friday|F. Gary Gray|Comédie||3|américain|1995|91|Anglais||DIV3|||DIV3|922 Kbps|640x480|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|690||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Patricia Charbonnet|Ice Cube D.J. Pooh|Gerry Lively||||Les péripéties de Craig et Smokey, deux fainéants de Los Angeles qui passent leurs vendredis après-midi à fumer et à boire. |Ice Cube (Craig Jones)@Chris Tucker (Smokey)@Nia Long (Debbie)@Michael Clarke Duncan (le joueur de craps)@Bernie Mac (Le Pasteur Clever)@Regina King (Dana Jones)@Tommy 'Tiny' Lister (Deebo)@Paula Jai Parker@Faizon Love@F. Gary Gray@||||||||||||@@
Next friday|Steve Carr|Comédie||2|américain|2000|94|Anglais||XVID|||XVID|929 Kbps|720x368|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Ice Cube|Ice Cube|Christopher Baffa||||Craig Jones, originaire du ghetto, s'installe chez son oncle, grand gagnant de la loterie. |Ice Cube (Craig Jones)@Tamala Jones (D'Wana)@Mike Epps (Day-Day Jones)@||||||||||||@@
Friday After Next|Marcus Raboy|Comédie||2|américain|2002|84|Anglais||DIV3|||DIV3|1 021 Kbps|640x352|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|700||||23.976|14/08/2009 00:00:00||Ice Cube|Glen MacPherson||New Line Cinema||Chapitre final de la trilogie Friday. |Ice Cube (Craig Jones)@John Witherspoon (Mr. Jones)@Anna Maria Horsford (Mrs. Jones)@||||||||||||@@
Frozen River|Courtney Hunt|Drame||3|américain|2009|92|Anglais||XVID|||XVID|917 Kbps|624x336|MPEG-1 Audio layer 3|126 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Heather Rae|Courtney Hunt|Reed Morano||Rezo Films||Une petite ville américaine à la frontière du Canada.Ray peut enfin offrir à sa famille la maison de ses rêves et bientôt quitter leur préfabriqué. Mais quand son mari, joueur invétéré, disparaît avec leurs économies, elle se retrouve seule avec ses deux fils, sans plus aucune ressource.Alors qu'elle essaie de retrouver la trace de son mari, elle rencontre Lila, jeune mère célibataire d'origine Mohawk, qui lui propose un moyen de gagner rapidement de l'argent : faire passer illégalement aux Etats-Unis des immigrés clandestins, à travers la rivière gelée de Saint Lawrence, située dans la Réserve indienne.Ayant cruellement besoin d'argent à la veille des fêtes de Noël, Ray accepte de faire équipe avec Lila.Pourtant, les risques sont élevés, car la police surveille les allers et venues, et la glace peut céder à tout instant... |Melissa Leo (Ray Eddy)@Misty Upham (Lila)@Michael O'Keefe (Trooper Finnerty)@Mark Boone (Jacques Bruneau)@Charlie McDermott (T.J.)@Dylan Carusona (Jimmy)@Jay Klaitz (Guy Versailles)@Bernie Littlewolf (John Canoe)@Michael Sky (Billy Three Rivers)@||Secrets de tournage :
Problèmes climatiques
Frozen River a été tourné en février à Plattsburgh, dans l'Etat de New-York, et l'essentiel du film se passe en extérieur, de nuit. La réalisatrice, Courtney Hunt nous parle des conditions de tournage :"Les premiers jours, les comédiens et les techniciens ont été un peu stupéfaits quand la température est descendue en dessous de zéro, mais tout le monde a finit par s'y habituer. Et je crois que les acteurs et l'équipe étaient confiants et ont donc bravé le froid courageusement."
Références et influences de Courtney Hunt
"J'aime les personnages auxquels on ne s'identifie pas immédiatement et qui vivent en marge de la société. J'aime partager leur vie dans l'intimité d'une salle de cinéma, si bien que j'ai l'impression de les comprendre et, parfois, de me mettre à les aimer. Je pense à des films comme Central do Brasil, La Balade sauvage, Alice n'est plus ici et Les Nuits de Cabiria."
Naissance du projet de Frozen River
Selon la réalisatrice et scénariste, Courtney Hunt : " L'idée de Frozen River est née quand j'ai entendu parler du trafic d'immigrés à la frontière canadienne, en rendanr visite à ma belle-famille à Malone, dans l'état de New-York. Il y a plusieurs réseves d'Indiens de part et d'autre de la frontière, ce qui donne lieu à une situation juridique hors normes. Quand j'ai appris que certaines femmes indiennes participaient à ce trafic en traversant en voiture la rivière Saint Lawrence gelée, j'ai été subjuguée. A l'époque, j'ai rencontré deux femmes qui faisaient du trafic de cigarettes. Mais lorsque le Canada a baissé la taxe sur le tabac, certains trafiquants se sont reconvertis dans le trafic d'immigrés clandestins : c'était souvent des Chinois et des Pakistanais qui souhaitaient entrer aux Etats-Unis en passant par le Canada, ce qui est plus facile."
Une enfant déjà cinéphile
Courtney Hunt explique comment lui est venu l'envie d'être réalisatrice :" Quand j'étais petite, ma mère, très marquée par les années 70, m'emmenait souvent voir des films d'art et essai (...) elle devait se dire que c'était la seule manière d'élargir mes horizons. J'ai ainsi découvert La Barbe à papa de Peter Bogdanovich, les Les Quatre cents coups de François Truffaut ou Du silence et des ombres de Robert Mulligan qui m'ont beaucoup marquée quand j'étais gamine."
Un court puis un long...
Avant d'être un long-métrage, Frozen River a été tourné en version courte, avec les mêmes actrices. Le film ayant été sélectionné au New-York Festival, Courtney Hunt s'est décidée à développer ce projet plus amplement.
Premier long métrage
Frozen River est le premier long-métrage de la réalisatrice Courtney Hunt. Avant cela, elle avait réalisé, dans le cadre de ses études, Althea Faught, court-métrage de 20 minutes sur une femme qui survit au siège de Vicksburg dans le Mississippi, pendant la guerre de Sécession. Ce court-métrage a reçu plusieurs prix.
Récompenses
Frozen River a déjà reçu trois récompenses : la première au Festival de Sundance 2008 où le film a reçu le Grand Prix. Au Festival de San Sebastian, c'est l'actrice Melissa Leo qui a remporté le prix d'interprétation féminine. Melissa Leo a également reçu le Prix d'interprétation féminine lors du 8ème Festival International du Film de Marrakech.
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Stealth|Rob Cohen|Action||2|américain|2005|120|Anglais||XVID|||XVID|670 Kbps|656x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||23.976|06/08/2009 00:00:00|Laura Ziskin Mike Medavoy Neal Moritz Arnold Messer|W.D. Richter|Dean Semler||Columbia Pictures||Ben, Kara et Henry sont les pilotes d'essai d'avions de combat furtifs ultrasophistiqués. Lorsque le capitaine Cummings leur présente EDI, un avion de combat à intelligence artificielle sans pilote humain, Ben est réticent. Mais lors de leur première mission, EDI se révèle un "pilote" hors pair et élimine leur cible avec succès. Sur le vol de retour, EDI est touché par la foudre. Le cerveau du drone a des réactions étranges. Malgré les réserves de Ben et de Henry, Cummings déclare EDI bon pour le service. Lors de leur mission suivante, contre un baron du crime disposant d'armes nucléaires en Chine, EDI a de nouveaux problèmes, et Ben décide d'annuler la mission... mais EDI refuse d'obéir à ses ordres et mène tout de même l'attaque. A présent, EDI a décidé d'accomplir une mission top secrète qui, si elle aboutit, pourrait bien entraîner une guerre nucléaire à l'échelle mondiale... |Josh Lucas (le lieutenant Ben Gannon)@Jessica Biel (le lieutenant Kara Wade)@Jamie Foxx (le lieutenant Henry Purcell)@Sam Shepard (le capitaine George Cummings)@Joe Morton (le capitaine Dick Marshfield)@Richard Roxburgh (Keith Orbit)@Ian Bliss@Megan Gale@||Secrets de tournage :
Et si la machine devenait trop intelligente ?
Le réalisateur Rob Cohen se penche sur les questions posées par Furtif : "Les thèmes du film dépassent de loin la guerre et la science militaire. Il est question d'une technologie que nous avons créée et qui peut nous dépasser. Quelles seront les conséquences si les ordinateurs deviennent plus intelligents, plus rapides, plus créatifs que nous ? Que deviendrons-nous s'ils apprennent à se régénérer, à se reproduire ? Que pourrons-nous s'ils ont la maîtrise de notre énergie, celle de nos systèmes de communication et de nos systèmes militaires ? Que se passerait-il s'ils décident, au cours de leur évolution, d'exercer leur libre arbitre ?"
Un rêve assouvi
Depuis plusieurs années, Rob Cohen envisageait de faire un film sur les pilotes de combat, mais il avait envie d'un film qui sorte vraiment de l'ordinaire. Il confie : "J'étais convaincu qu'il existait un moyen de créer une expérience intense dans les airs, un peu comme je l'avais fait avec les courses des bolides dans Fast & furious ou l'avalanche dans xXx."
Des conseillers de poids
Pour dessiner les avions téléguidés EDI et le prototype des jets navals Talon, Rob Cohen a travaillé avec deux concepteurs vétérans de chez North Aviation. Avec l'un des deux chefs décorateurs, J. Michael Riva, et une équipe de designers industriels, ils l'ont ensuite affiné, et leurs ont donné une ligne plus sensuelle.
La parole à Josh Lucas
Josh Lucas, l'acteur principal de Furtif, voit dans le film plus qu'un déluge d'action. Pour lui, "le scénario présente une vraie complexité. Il y a un aspect allégorique fascinant, sur le pouvoir et l'abus de pouvoir. Les humains qui se heurtent à la technologie de façon destructrice, l'absence d'humanité au coeur de la technologie, tout cela donnait un bel élan psychologique à l'histoire. En plus, c'est un grand film d'action, un feu d'artifice d'images fabuleuses."
Réalisme maximum
Pour obtenir un plus grand réalisme, Rob Cohen a fait piloter les avions à distance par de vrais pilotes de combat. Les mouvements des jets sont donc parfaitement réalistes. Il raconte : "Ces types savent exactement comment on vole en réalité. Nous pouvions leur dire à quelle attitude on était censé être, quel type de terrain nous survolions, quels étaient les vents, le type de nuages, l'heure de la journée... Ils s'installaient aux commandes à distance reliées au simulateur, et ils volaient..."
Rob Cohen préfère "Furtif"
Réalisateur du premier xXx, Rob Cohen avait la possibilité de signer le second. Préférant se tourner vers Furtif, il laissera sa place à Lee Tamahori pour XXX 2.
L'Australie : un lieu de tournage idéal
Rob Cohen explique pourquoi le tournage de Furtif s'est déroulé sur le territoire australien : "Nous avons choisi de tourner aux Fox Studios en Australie parce qu'il nous fallait beaucoup d'espace, plus que ce qu'on aurait trouvé à Los Angeles. Il nous fallait aussi des extérieurs qui puissent passer pour l'Alaska, la Corée du Nord et l'Asie. Il y avait ce qu'il fallait en Australie ou tout près. C'est en plus une communauté qui réserve un excellent accueil au cinéma. L'infrastructure s'est considérablement développée et a gagné en sophistication, on y trouve d'excellents techniciens. Non seulement l'Australie rivalise avec Hollywood, mais j'y ai trouvé la meilleure équipe technique que j'ai jamais eue !"
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The Core|Jon Amiel|Science fiction||2|américain|2003|128|Anglais||XviD|||XVID|640 Kbps|608x256|MPEG-1 Audio layer 3|109 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||23.976|27/08/2009 00:00:00|David Foster Sean Bailey Cooper Layne|Cooper Layne John Rogers|John Lindley||Paramount Pictures||Pour des raisons inconnues, le noyau interne de la Terre a cessé de tourner sur lui-même. Le champ magnétique de la planète s'effondre, provoquant sous les latitudes les plus diverses une dramatique et spectaculaire série d'accidents.Face à cette catastrophe sans précédent, le gouvernement américain convoque le géophysicien Josh Keyes, une poignée de savants de réputation internationale et un tandem de spatianautes, la Major Rebecca Childs et le Commandant Iverson. Leur objectif : lancer dans les profondeurs du manteau terrestre une capsule habitée et provoquer des explosions nucléaires en chaîne pour réactiver le noyau et ainsi sauver le monde d'une destruction imminente. |Aaron Eckhart (le docteur Josh Keyes)@Hilary Swank (le Major Rebecca "Beck" Childs)@Tchéky Karyo (le docteur Serge Leveque)@DJ Qualls (Taz 'Rat' Finch)@Delroy Lindo (le docteur Ed 'Braz' Brazzleton)@Bruce Greenwood (Le commandant Iverson)@Stanley Tucci (le docteur Conrad Zimsky)@Richard Jenkins (le général Thomas Purcell)@Alfre Woodard (Stickley)@Anthony Harrison (Un agent du FBI)@Ray Galletti (Paul)@Eileen Pedde (Lynne)@Rekha Sharma (Danni)@Christopher Shyer (Dave Perry)@Matt Winston (Luke Barry)@Tom Scholte (Acker)@Glenn Morshower (agent du FBI)@Anthony Harrison (agent du FBI)@Nicole Leroux (la mère)@Fred Keating (le président de la Cour Martiale)@Nathaniel DeVeaux@||Secrets de tournage :
Une véritable incertitude
La base du scénario de Fusion, à savoir l'arrêt du champ magnétique de la Terre, correspond à une crainte réelle, comme l'explique le Docteur Sten Odenwald, de l'Université d'Harvard : "Si le champ magnétique de la Terre s'altérait brusquement ? comme cela arrive à peu près tous les 250 000 ans, les conséquences en seraient spectaculaires. Or les physiciens ont déjà commencé à observer un affaiblissement du rayon magnétique terrestre, et ignorent s'il s'agit d'un phénomène passager ou du signe avant-coureur d'évènements infiniment plus dramatiques".
Une éruption comme détonateur
L'idée de Fusion est venu à Cooper Layne, producteur et coscénariste du film, alors qu'il assistait à une éruption volcanique pendant une visite à Hawaii. "En voyant le magma incandescent se répandre dans la mer, je me suis dit qu'il serait vraiment passionnant de plonger à l'intérieur du volcan et de progresser vers le centre de la Terre et son noyau liquide."
Nombreux conseillers techniques
De nombreux conseillers techniques étaient sur les plateaux de Fusion pour s'assurer de la véracité des scènes : militaires, savants, astronautes de la NASA. Pour préparer leur rôle, les comédiens ont par ailleurs rencontré de nombreux professionnels. Ainsi DJ Qualls, qui incarne un génie de l'informatique, a-t-il croisé des pirates informatiques réhabilités alors que Hilary Swank et Bruce Greenwood, envoyés au centre de la Terre dans le film, ont discuté avec deux astronautes : Tom D. Jones et le Colonel Susan Helms.
Un vaisseau grandeur nature
Plutôt que d'avoir recours aux effets spéciaux ou à des maquettes, l'équipe de Fusion a décidé de construire le vaisseau chargé d'explorer le centre de la Terre en grandeur nature. Rassemblant à un ver de terre, le véhicule mesurait 60 mètres de long sur 10 mètres de larges, soit les dimensions d'un Boeing 737. Pour simuler les vibrations subies par le vaisseau, le superviseur des effets spéciaux Garry Elmendorf n'a fait appel à un traditionnel réseau de pistons hydrauliques, jugé trop bruyant, mais a installé un système d'airbags de la taille d'un camion, pouvant supporter dix tonnes chacun.
Effets numériques européens
Les quelque 400 effets numériques contenus dans Fusion, pour les catastrophes notamment, ont tous été réalisés dans trois pays européens : la France, l'Angleterre et l'Italie.
Christopher Young à la musique
Fusion marque la quatrième collaboration de Jon Amiel avec le compositeur Christopher Young, après Copycat (1995), L'Homme qui en savait trop peu (1997) et Haute Voltige (1999).
La vocation d'Hilary Swank
Incarner une "astronaute" de la Terre a réveillé des souvenirs chez Hilary Swank, qui avoue avoir voulu devenir spationaute avant de se tourner vers son métier de comédienne.
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G.I. Joe - Rise of Cobra|Stephen Sommers|Action||2|américain|2009|107|Anglais||XVID|||XVID|768 Kbps|704x288|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|698||||25.257|13/08/2009 00:00:00|Lorenzo di Bonaventura Bob Ducsay Stephen Sommers|Stuart Beattie Skip Woods David Elliot|Mitchell Amundsen||Paramount Pictures||Des montagnes de l'Asie centrale aux déserts d'Egypte, des rues de Paris au pôle Nord, les agents de l'équipe d'élite connue sous le nom de G.I. Joe mènent une lutte acharnée contre un ennemi redoutable. Disposant des toutes dernières technologies en matière de renseignement et de matériel militaire, ils combattent le puissant marchand d'armes Destro et la mystérieuse organisation terroriste nommée Cobra, qui cherchent à plonger le monde dans le chaos... |Channing Tatum (Conrad 'Duke' Hauser)@Marlon Wayans (Wallace 'Ripcord' Weems)@Sienna Miller (Anastasia 'la Baronne' Decobray)@Byung-hun Lee (Storm Shadow)@Rachel Nichols (Shana 'Scarlett' O'Hara)@Adewale Akinnuoye-Agbaje (Hershel 'Heavy Duty' Dalton)@Saïd Taghmaoui (Abel 'Breaker' Shaz)@Ray Park (Snake Eyes)@Arnold Vosloo (Zartan)@Dennis Quaid (General Hawk )@Christopher Eccleston (McCullen/Destro)@Brendan Fraser (Gung Ho)@Joseph Gordon-Levitt (Le Docteur/Rex)@David Murray (VI) (McCullen en 1641)@Karolina Kurkova (Courtney 'Cover Girl' Kreiger)@Chris Akers (l'agent de sécurité)@Michael Benyaer (le contrôleur aérien)@Duncan Bravo (le général turc de l'OTAN)@Michael Bretten (le technicien de la salle de contrôle)@Michael Broderick (l'homme qui crie)@Frederic Doss (Apache CPG #2)@Elena Evangelo (l'aide du président)@Courtney Fleming (l'agent de sécurité)@Jerald Garner (le technicien Cobra)@Jabbaar George (le garde Viper)@Leo Howard (Snake Eyes jeune)@Luke Massy (le technicien de McCullen)@Kellie Matteson (la technicienne de la salle de contrôle)@Gerald Okamura (Hard Master)@Brittany Alexis Palmer (la danseuse)@Burton Perez (Bravo)@Bob Rumnock (le laborantin #1)@Brandon Soo Hoo (Storm Shadow jeune)@David Jean Thomas (le général britannique de l'OTAN)@Ken Thomas (le navigateur Apache)@Ryan Van de Kamp Buchanan (le garde MARS)@Gunner Wright (l'agent secret)@Ron Yuan (Shadow (voix))@Kevin J. O'Connor (un scientifique)@Jacques Frantz (l'inquisiteur)@Jonathan Pryce (Le président américain)@Robert Russell ( III ) (Le prêtre de la prison de Bastille)@||Secrets de tournage :
Record de tôle froissée
G.I. Joe - Le réveil de Cobra détient le record du nombre de voitures détruites (112), et bat ainsi les Blues Brothers.
M.A.R.S, et ça repart ?
Le grand méchant du film, Destro (Christopher Eccleston) est le chef de M.A.R.S. Industries, M.A.R.S. étant aussi bien l'acronyme de Military Armaments Research Syndicate qu'une référence au dieu de la guerre dans la mythologie latine.
Paris à Prague
Les scènes d'action censées se dérouler à Paris ont en réalité ét tournées à Prague, où les décorateurs ont construit des magasins de fleurs, changé les noms des écoles et garé près de 70 modèles français de voitures.
Des voitures, une poursuite... et 7 blessés !
Le plateau de tournage de G.I. Joe - Le réveil de Cobra a été le théâtre d'une collision spectaculaire survenue entre un bus et plusieurs voitures, lorsque l'une d'elles a rencontré des problèmes de freinage. Bilan des courses : 7 blessés.
Présence rallongée
Dennis Quaid a tellement plu à l'équipe du film, que le scénariste Stuart Beattie a rallongé la présence de son personnage de 10-15 scènes.
Tiercé gagnant
Dennis Quaid définit le Général Hawk, son personnage, comme "un croisement entre Chuck Yeager, le Sergent Rock et un Hugh Hefner naïf."
"G.I. Joe Renaissance" ?
Deux des acteurs de Terminator Renaissance auraient pu figurer au casting de G.I. Joe - Le réveil de Cobra : Sam Worthington, qui a du renoncer au rôle de Duke (finalement tenu par Channing Tatum) à cause du tournage d'Avatar; et le rappeur Common, à qui le rôle du cousin d'Heavy Duty (joué par Adewale Akinnuoye-Agbaje) avait été proposé.
L'art de la ruse
G.I. Joe - Le réveil de Cobra a eu comme (faux) titre de travail Dark Sky : First Strike, sans doute pour pouvoir se tourner en toute tranquilité.
Toy Story
G.I. Joe - Le réveil de Cobra est inspiré des célèbres figurines crées par Hasbro en 1964, elles-mêmes nées d'une bande-dessinée parue en 1942.
Des héros et des copains
Le casting de G.I. Joe - Le réveil de Cobra contient trois vieilles connaissances du réalisateur Stephen Sommers : Brendan Fraser et Arnold Vosloo, qu'il avait dirigés dans La Momie 1 et 2, ainsi que Kevin J. O'Connor, qui était apparu dans Un Cri dans l'océan, La Momie et Van Helsing, et joue ici un scientifique.
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« Préc.
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Galaxy Quest|Dean Parisot|Fantastique||3|américain|2000|97|Anglais||DX50|||DX50|912 Kbps|640x368|WMA2|64.1 Kbps|False|44.1 KHz|2|689||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Charles Newirth Mark Johnson|David Howard Robert Gordon (VII)|Jerzy Zielinski||United International Pictures (UIP)||"Galaxy Quest" est une série de science-fiction qui a fait les beaux jours de la télévision américaine des années quatre-vingt. Depuis, les acteurs n'ont pas réussi à percer et sont condamnés à revêtir leurs costumes spatiaux dans des conventions ou à assurer des animations de supermarchés. Lorsque de vrais extraterrestres demandent son aide à Jason Nesmith, qui jouait le commandant Taggart, celui-ci rameute ses anciens partenaires. Dans l'espace, tout l'univers de la série a été fidèlement reconstitué. Les comédiens vont-ils parvenir à jouer leurs rôles "pour de vrai" ? |Tim Allen (Jason Nesmith alias le commandant Peter Quincy Taggart)@Sigourney Weaver (Gwen DeMarco alias le lieutenant Tawny Madison)@Alan Rickman (Alexander Dane alias le docteur Lazarus)@Tony Shalhoub (Fred Kwan alias le sergent Chen)@Daryl Mitchell (Tommy Webber alias Laredo)@Sam Rockwell (Guy Fleegman alias l'officier de sécurité Ingersol)@Jonathan Feyer (Hollister)@Kaitlin Cullum (Katelyn)@Jeremy Howard (Kyle)@Justin Long (Brandon)@||Secrets de tournage :
Un maquillage pesant
L'acteur anglais Robin Sachs, qui incarne dans Galaxy Quest le terrible Roth'h'ar Sarris, était affublé d'un costume, ou plutôt d'une carapace, de 35 kg. Des marionnettistes contrôlaient les tentacules et les antennes du personnage. Les seuls mouvements que le comédien pouvait contrôler étaient ceux du visage.
Tony Shalhaub (Fred Kwan/Tech Sergent Chen)
(1996) et Les imposteurs (1998).
Dirigé par Joel Coen (Barton Fink, 1991), Andrew Bergman (Lune de miel à Las Vegas, 1992), Andrew Nicol (Bienvenue à Gattaca, 1997), Barry Sonnenfeld (Les valeurs de la Famille Adams, 1993 et Men in black, 1997) et Danny Boyle (Une vie moins ordinaire, 1997), Tony Shalhaub a notamment joué dans Primary Colors (Mike Nichols, 1998) et Couvre-feu (Edward Zwick, id.).
Alan Rickman (Sir Alexander Dane/Dr. Lazarus)
Aussi à l'aise dans les films d'action (Piège de cristal de John Mc Tiernan, Robin des bois, prince des voleurs de Kevin Reynolds), les films policiers (Calendrier meurtrier de Pat O'Connor, Judas Kiss de Sebastien Gutierrez), les drames (Truly, madly, deeply d'Anthony Minghella, Raison et sentiments d'Ang Lee, Michael Collins de Neil Jordan), Alan Rickman est notamment apparu dans Bob Roberts de Tim Robbins et Dogma de Kevin Smith.
Alan Rickman est également cinéaste. En 1997, il a réuni devant sa caméra Phyllida Law et Emma Thompson, la mère et la fille, pour L'invité de l'hiver.
Le producteur Mark Johnson enthousiaste
« J'aimais l'idée de ces six ringards projetés dans un univers futuriste et obligés de tenir leur rôle pour de vrai. Le décalage qui s'installe entre ce que l'on attend d'eux et ce qu'ils sont vraiment m'a semblé un ressort comique très fort. »
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Shark Tale|Eric Bergeron Vicky Jenson Rob Letterman|Animation||2|américain|2004|81|Anglais||DX50|||DX50|1 061 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|698||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Bill Damaschke Janet Healy Allison Lyon Segan|Mark Swift Michael J. Wilson Rob Letterman Damian Shannon|||Dreamworks Distribution LLC||Oscar, un jeune poisson bavard et affabulateur, assiste accidentellement à la mort d'un dangereux requin. Il profite de la situation pour se faire passer pour un grand chasseur de squales. Mais il ignore que le requin en question était le fils de Don Lino, le chef des requins-gangsters... |Eric Judor (Oscar (voix française))@Jacques Frantz (Don Lino (voix française))@Ludivine Sagnier (Angie (voix française))@Patrick Timsit (Lenny (voix française))@Virginie Ledoyen (Lola (voix française))@Jean Benguigui (Sykes (voix française))@Dany Boon (Frankie (voix française))@Ramzy Bedia (Crazy Joe (voix française))@Lucien Jean-Baptiste (Ernie (voix française))@||Secrets de tournage :
DreamWorks Animation persiste et signe !
Gang de requins est le nouveau long-métrage d'animation du studio DreamWorks, celui-là même qui est à l'origine de Shrek et Shrek 2. Vicky Jenson, co-réalisatrice du projet, était d'ailleurs également co-réalisatrice de Shrek.
Du conte de fées à la mafia
Pour le producteur exécutif Jeffrey Katzenberg, Gang de requins est à rapprocher de Shrek dans ce qu'il a d'"irrévérencieux, de légèrement subversif et de TRES parodique". Mais "alors que Shrek prenait pour cible les contes de fées, ce film tourne en dérision les personnages et clichés des films sur la mafia."
Un casting de voix quatre étoiles !
Des artistes de renom ont prêté leurs voix au long-métrage d'animation Gang de requins. Dans la version originale, Will Smith, Robert De Niro, Renée Zellweger, Jack Black, Martin Scorsese et Peter Falk ont participé à l'aventure. En ce qui concerne la version française, Eric Judor, du duo Eric & Ramzy, Ludivine Sagnier, Virginie Ledoyen, Patrick Timsit, Jean Benguigui et Dany Boon ont plongé dans cette aventure sous-marine pas comme les autres.
Vrais comme nature !
Les animateurs de Gang de requins ont, pour chacun des héros du film, capté les caractéristiques physiques, l'allure ou l'expression de leurs interprètes respectifs. C'est très visiblement le cas pour Angelina Jolie, dont les lèvres pulpeuses sont très reconnaissables, pour Martin Scorsese, avec l'accent mis sur ses épais sourcils et son débit rapide, ou pour Robert De Niro. Concernant ce dernier, le co-réalisateur Eric Bergeron explique que les animateurs ont "collecté et fixé des centaines d'expressions de l'acteur en parcourant toute sa filmographie, pour être sûrs de bien les retrouver dans son personnage. Chaque mimique de Don Lino est basée sur une expression de De Niro."
Eric s'anime sans Ramzy
Eric Judor, du duo comique Eric & Ramzy, a particulièrement apprécié le fait de doubler le petit poisson Oscar et, de manière plus générale, cette première expérience dans le cinéma d'animation. "Oscar est un charmeur adorable, inoffensif, qui plaît aux gens par son côté blagueur", explique-t-il. "Bref, c'est Will Smith en poisson, avec son parler urbain, son image de rappeur cool très proche des jeunes. Je pense que ce n'est pas complètement par hasard qu'on m'a choisi pour doubler Oscar, car Ramzy et moi touchons aussi un public urbain, métissé, blanc, black, beur."
New York sous l'eau !
Pour créer la ville sous-marine de Gang de requins, le chef décorateur Dan St. Pierre et son équipe se sont principalement inspirés de la ville de New York, mais également de Las Vegas, Atlantic City, San Francisco, des paysages de la Grande Barrière de Corail et des Caraïbes, le tout pour aboutir à un look "fusionnel". La co-réalisatrice Vicky Jenson explique que "le Récif possède un centre-ville populaire et des quartiers chics en péripétie" alors que le directeur artistique Seth Engstrom met l'accent sur deux looks fortements contrastés du film, "le quartier hip-hop dont les couleurs vibrantes s'accordent tout naturellement à celle du Récif, et le monde de la pègre où prédominent l'acajou, le marron sombre, le gris et, bien évidemment, le noir et blanc des requins."
Hans Zimmer très animé
Avec Gang de requins, le célèbre compositeur Hans Zimmer confirme son goût pour le film d'animation, lui qui a notamment signé les musiques du Roi Lion, du Prince d'Egypte, de La Route d'Eldorado et de Spirit, l'étalon des plaines.
Une bande originale contemporaine
La bande originale de Gang de requins dénote de celles, plus classiques, des autres films d'animation. Le compositeur Hans Zimmer s'est attaché à créer une musique contemporaine, mêlant hip-hop, R&B, rap et hip-hop, qui colle parfaitement à l'ambiance cool et urbaine du long-métrage. Pour le producteur Bill Damaschke, "c'est le son de la génération actuelle, la musique des grandes villes, celle qui domine chaque semaine le tableau des meilleures ventes."
Références en tous genres
Gang de requins fourmille de références cinématographiques parmi lesquelles les films Les Dents de la mer, Le Cercle - The Ring ou encore la prestation de Will Smith dans Ali.
"Gang de requins" pointé du doigt
Le long-métrage d'animation Gang de requins s'est vu accusé par la communauté italo-américaine de promouvoir le cliché de l'italien mafieux. La Colombus Citizens Foundation, par l'intérmédiaire de son président Lawrence Auriana, estime que "Steven Spielberg, co-fondateur de DreamWorks, cherche à faire de l'argent avec le genre mafia, aux frais d'enfants innocents auxquels on inculque de manière préjudiciable des stéréotypes ethniques négatifs." Cet organisme, qui avait déjà pointé du doigt la série télévisée Les Sopranos, enfonce le clou en mettant en exergue que "les méchants ont des noms italiens comme Don Lino ou Guiseppe et parlent l'argot italo-américain. Ils ont soif de pouvoir, sont arrogants, violents (...) introduisant dans les jeunes esprits l'idée que les gens aux noms italiens, qui sont des millions aux Etats-Unis, sont des gangsters." Et de conclure que "si le mot boycott est trop fort, l'association souhaite avertir les parents de ne pas exposer leurs enfants à un tel film."
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Gangs of New York|Martin Scorsese|Historique|Interdit aux moins de 12 ans|3|britannique, allemand, néerlandais, italien, américain|2003|159|Anglais||DX50|||DX50|425 Kbps|720x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|646||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Martin Scorsese Alberto Grimaldi|Jay Cocks Kenneth Lonergan Steven Zaillian|Michael Ballhaus||New Line Cinema||En 1846, le quartier de Five Points, un faubourg pauvre de New York, est le théâtre d'une guerre des gangs entre émigrants irlandais d'un côté, les Dead Rabbits menés par Père Vallon, et les Native Americans de l'autre, dirigés par le sanguinaire Bill le Boucher. Ce dernier met rapidement en déroute les Dead Rabbits en assassinant leur chef, et prend par la même occasion le contrôle exclusif des rues de la "grosse pomme". Afin de renforcer ses pouvoirs, Bill s'allie avec Boss Tweed, un politicien influent.Seize ans plus tard, le gang des Native Americans règne toujours en maître dans New York. Devenu adulte, Amsterdam Vallon souhaite venger la mort de son père en éliminant Bill. Mais sa rencontre avec Jenny Everdeane, une énigmatique pickpocket dont l'indépendance et la beauté le fascinent, va compliquer les choses... |Leonardo DiCaprio (Amsterdam Vallon )@Daniel Day-Lewis (Bill le Boucher)@Cameron Diaz (Jenny Everdeane)@Liam Neeson (Père Vallon)@Brendan Gleeson (Monk McGinn)@John C. Reilly (Happy Jack )@Henry Thomas (Johnny)@Jim Broadbent (Boss Tweed)@Stephen Graham (Shang)@Gary Lewis (McGloin)@Eddie Marsan (Killoran)@Alec McCowen (Le révérend Raleigh)@Larry Gilliard Jr. (Jimmy Spoils)@Cara Seymour (Maggie)@David Hemmings (Mr. Schermerhorn)@Roger Ashton-Griffiths (Barnum)@Peter-Hugo Daly (Le prêtre manchot)@Cian McCormack (Amsterdam Vallon jeune)@Andrew Gallagher (Johnny Sirocco jeune)@Philip Kirk (Le chef des gardes)@Rab Affleck (Le chef des Plug Uglies)@Bill Barclay (Le chef des Shirt Tails)@Nick Bartlett (Le chef des Chichesters)@Robert Goodman (Le chef des Forty Thieves)@Martin Scorsese (Le bourgeois cambriolé par Jenny Everdeane)@Maura O'Connell (Une chanteuse dans la rue)@Peter Berling (Knife Act Caller)@Leo Burmester (L'opérateur du télégraphe (voix))@Barbara Bouchet (Mrs. Schermerhorn)@John Sessions (Harry Watkins-Lincoln)@James Ramsay (Arthur le condamné à mort)@Richard Graham (Harvey le joueur de cartes)@Sean McGinley (Le chef des Forty Thieves)@Blaise Corrigan (Un gangster (non crédité))@Donald Stewart (Un anatomiste (non crédité))@Joseph P. Reidy (Le chef de la police)@Angela Pleasence (La complice)@Michael Hausman (Le capitaine de la frégate)@Terry O'Neill (Le chef des Chichesters)@Michael Byrne (Horace Greeley)@Douglas Plasse (L'étudiant en médecine)@Richard Syms (Le redoublant soûl)@Richard Strange (L'entrepreneur des pompes funèbres)@Tim Pigott-Smith (Le ministre calviniste)@Gary McCormack (Un membre du gang de Bill le Boucher)@David Bamber (Un passager dans l'omnibus)@Brendan Dempsey (L'officier d'état civil)@Ellizzette Duvall (Une jeune fille de bar (non créditée))@Sai-Kit Yung (Un chinois à la Pagode de Sparrow)@Giovanni Lombardo Radice (Mr Legree)@Gerry Robert Byrne (Le fonctionnaire)@Trevor Cooper (Un homme dans le bureau de Tweed (non crédité))@Lucy Davenport (Miss Schermerhorn)@Laurie Ventry (Une résidente)@Sean Gilder (Le maître du jeu de Rat Pit)@Ottaviano Dell'Acqua (Un membre du gang de Bill le Boucher (non crédité))@Salvatore Billa (Un nativiste (non crédité))@Katherine Wallach (Une fille de Jenny)@Bob Colletti (Un soldat)@Vincent Pickering (Un chef de la garde américaine)@Tim Faraday (Le chef des Plug Uglies)@Christian Burgess (Le maire)@Louie Brownsell (Le soldat cul-de-jatte)@David Nicholls (II) (Chef de Garde d'O'Connell)@John McGlynn (Le chef des Bowery Boys)@Massimo Vanni (Un soldat (non crédité))@R. Bruce Steinheimer (Le recruteur de l'armée)@Dick Holland (Le speeker)@Patrick Gordon (Le chiurgien)@Ford Kiernan (Le chef des Blake Joke)@Joel Strachan (L'opérateur du télégraphe)@Nick Miles (Un chef de la garde atlantique)@Iain McColl (Seamus le condamné à mort)@Ian Pirie (Le chef des Slaughter Housers)@Brian Mallon (L'opérateur du télégraphe (voix))@Kathy Shao-Lin Lee (Une danseuse chinoise)@||Secrets de tournage :
Un projet de 22 ans
L'idée de Gangs of New York remonte à ... 1970, lorsque Martin Scorsese découvrit le roman homonyme de Herbert J. Asbury lors d'un week-end passé chez des amis. Le réalisateur en demanda presque immédiatement l'adaptation cinématographique à son ami scénariste Jay Cocks. En 1977, tous deux annoncent le lancement du projet à la presse. Mais des problèmes essentiellement budgétaires les obligent à repousser sans cesse le tournage, jusqu'à la fin des années 90 lorsque Miramax accepte de produire le film. Les prises de vue démarrent en septembre 2000.
Repoussé à plusieurs reprises
Tourné entre septembre 2000 et avril 2001, Gangs of New York a vu sa date de sortie repoussée plusieurs fois. D'abord prévu pour la fin décembre 2001, le film a été décalé en raison des attentats du 11 septembre 2001. Annoncé tour à tour pour le début de l'année 2002, pour l'ouverture du Festival de Cannes 2002 (où 20 minutes du film seront tout de même finalement présenté en grande pompe) et pour le mois de juillet 2002, Gangs of New York sort finalement le 20 décembre 2002 aux Etats-Unis. Des rumeurs de désaccord entre Martin Scorsese et sa production au sujet de la durée du film ont par ailleurs foisonné dans la presse spécialisée au fur et à mesure des décalages de la date de sortie.
Un mélange entre réalité et fiction
L'intrigue de Gangs of New York mélange des événements réels à d'autres purement inventés. Ainsi les terribles émeutes qui secouent New York à la fin du film et leur répression se sont déroulées en 1863 et sont connues sous le nom de Draft Riots. Le personnage de Bill le Boucher est lui aussi inspiré d'un personnage ayant réellement existé. Boucher devenu boxeur professionnel, Bill Poole, connu partout sous le surnom de Bill le Boucher, est cependant mort en 1855 et n'a donc pas pu assister aux Drafts riots comme le personnage de Daniel Day-Lewis dans le film. Purement imaginée, l'histoire de la vengeance d'Amsterdam est un grand classique du drame, alors que son héros est inspiré des paroles d'une chanson de Bruce Springsteen : "attendre un sauveur qui se dresse, venu de la rue".
Hommage au "Grand rasage"
La scène d'ouverture de Gangs of New York qui voit un homme se raser en gros plan se veut un hommage à l'un des premiers courts métrages de Martin Scorsese, Le Grand rasage, entièrement centré sur le rasage de son héros.
Retrouvailles Scorsese - Day Lewis
Gangs of New York marque les retrouvailles de Martin Scorsese avec Daniel Day-Lewis, qu'il avait déjà dirigé en 1993 dans Le Temps de l'innocence.
De Niro pressenti
Le rôle de Bill le Boucher, l'un des héros de Gangs of New York, avait un temps été dévolu à Robert De Niro, ami de Martin Scorsese qui l'a dirigé à huit reprises. Le nom de Willem Dafoe avait également circulé, avant que le metteur en scène ne convainque Daniel Day-Lewis de sortir de sa semi-retraite en Italie.
Recréer New York
Décidé dès le lancement du projet à reconstruire le vieux New York plutôt que d'avoir recours aux effets spéciaux optiques, Martin Scorsese a fait appel à son chef décorateur Dante Ferretti (cinq collaborations) pour recréer les rues de la ville à Cinecitta, sur un terrain de 6 hectares. Outre le quartier de Five Points et les quais du port, les équipes de Gangs of New York ont également reconstruit une partie du Sud de Broadway où vivait alors la classe supérieure, différentes résidences privées et les environs de la Catholic Church, ancêtre de la Cathédrale St Patrick près de laquelle Martin Scorsese a grandi. L'intérieur de l'Old Brewery, le repaire grouillant de la communauté irlandaise de Five points a, lui, été inspiré d'une illustration de "l'Encyclopédie" de Diderot, aucune photo ou illustration n'ayant été découvertes. Des maquettes du quartier en trois dimensions ont été créées principalement pour préparer les vastes mouvements de caméra nécessaires à la mise en scène. Enfin, le réalisateur et ses collaborateurs avaient récupéré quelques 850.000 objets de l'époque découverts lors des travaux d'agrandissement d'un parking de la ville. Rassemblé au building 6 du World Trade Center, ceux-ci ont cependant presque totalement disparus lors des attaques du 11 septembre 2001. Seul 18 objets ont été retrouvés.
Tournage à Cinecitta
Dans l'impossibilité de tourner son film à New York même en raison des trop importants changements architecturaux de la ville, Martin Scorsese s'est tourné vers les plateaux de Cinecitta situés à Rome, qui possédait un terrain suffisamment grand pour récréer le quartier de Five points en taille réelle et un bassin imposant utilisé pour les scènes du port.
Five Points aujourd'hui
Centre névralgique de l'action de Gangs of New York, le quartier de Five Points se situe au nord-est de l'hôtel de ville actuel, essentiellement sur le site de Federal Court House.
Des collaborateurs fidèles
Pour son ambitieux projet, Martin Scorsese s'est entouré de quelques-uns de ses plus fidèles collaborateurs. Ainsi Gangs of New York marque-t-il la sixième collaboration de Martin Scorsese avec le directeur de la photographie Michael Ballhaus (après After Hours, La Couleur de l'argent, La Derniere Tentation du Christ, Les Affranchis et Le Temps de l'innocence), la cinquième avec le chef décorateur Dante Ferretti, la dix-neuvième avec la monteuse Thelma Schoonmaker, la deuxième avec le scénariste et ami de longue date Jay Cocks (après Le Temps de l'innocence) et la deuxième avec le compositeur Howard Shore (après After hours). Le film est par contre une première pour la chef costumière Sandy Powell.
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« Préc.
Question d'accent
Afin de restituer l'accent des habitants de New York du milieu du 19e et à leur argot spécifique (les mots "crèches" et "fourguer" sont nés à Manhattan), un coach spécialement dédié aux dialogues a été engagé. Surnommé "police de prononciation d'époque", Tim Monich a ainsi travaillé sur les accents de plus de 100 personnes, dont quasiment aucun ne s'exprime avec sa prononciation naturelle. N'ayant aucun d'enregistrement de l'époque à analyser, Tim Monich s'est basé sur des pamphlets humoristiques, de poèmes, des ballades et des extraits de la presse pour restituer le bon vocabulaire. Ainsi, Leonardo DiCaprio avait-il tendance à gommer l'expression "okay" qu'il prononce machinalement avant que Tim Monich ne lui précise que ce mot était déjà utilisé dans le langage courant de l'époque.
Un casting imposant
Vaste fresque historique, Gangs of New York possède une distribution des plus imposantes, avec 100 rôles parlant et plus de 22 000 figurations diverses. Italiens pour la plupart, les figurants se sont souvent fait teindre les cheveux en blond pour ressembler à des irlandais. Un autre groupe important de figurants à été recruté dans les bases de l'armée américaine situées près de Rome, où se tournait le film.
Une histoire d'enfance
Les histoires des gangs qui sévissaient dans les New York des années 1860 ont bercé l'enfance de Martin Scorsese de l'aveu même du metteur en scène, qui habitait dans le quartier de Little Italy, non loin de la Cathédrale de St Patrick qui abrite le premier cimetière catholique de New York.
Une organisation militaire
Pour organiser les prises de vue des combats qui impliquaient des centaines de figurants, l'équipe de Gangs of New York a mis en place une véritable organisation militaire. "Nous avons envisagé le tournage comme si nous étions dans l'armée", raconte George Aguillar, coordinateur des cascades. "Nous avons divisé nos centaines d'acteurs en groupes plus petits, en peloton, en désignant un responsable pour chaque. Les chefs de peloton étaient chargés de transmettre les directions de Martin à leur groupe"
« Préc.
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Gangster No. 1|Paul McGuigan|Thriller|Interdit aux moins de 12 ans|2|britannique|2001|98|Anglais||XviD|||XVID|811 Kbps|576x432|MPEG-1 Audio layer 3|164 Kbps|False|48.0 KHz|2|696||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Norma Heyman Jonathan Cavendish|Johnny Ferguson|||Sagittaire Films||De nos jours à Londres, le dénommé Gangster, un gros bonnet de la pègre, mène une vie paisible jusqu'au jour où il apprend la sortie imminente de prison de son mentor et rival, Freddie Mayes. Son passé refait alors surface.Dans les années soixante, Gangster, alors jeune loup ambitieux, travaillait pour le compte de Freddie Mays, le boucher de Mayfair. Son job lui plaisait : il aimait l'argent, les filles, les beaux vêtements, le pouvoir et la violence.Il convoitait la place de son chef. Cette envie allait bientôt engendrer une violente trahison qui les conduira à se livrer une lutte sans merci. |Malcolm McDowell (Gangster 55)@David Thewlis (Freddie Mays)@Paul Bettany (Gangster, jeune)@Saffron Burrows (Karen)@Kenneth Cranham (Tommy)@Jamie Foreman (Lennie Taylor)@Eddie Marsan (Eddie Miller)@Andrew Lincoln (Maxie King)@Doug Allen (Mad Dog)@Razaaq Adoti (Roland)@Cavan Clerkin (Billy)@David Kennedy (Fat Charlie)@Johnny Harris (Derek)@Anton Saunders (Trevor)@||||||||||||@@
Garfield|Peter Hewitt|Comédie||2|américain|2004|79|Anglais||XVID|||XVID|1 081 Kbps|640x352|MPEG-1 Audio layer 3|130 Kbps|False|48.0 KHz|2|692||||23.976|06/08/2009 00:00:00|John Davis|Joel Cohen (II) Alec Sokolow|Dean Cundey||UFD|Saga : Garfield |Les aventures de Garfield, le chat le plus paresseux de la Terre et de Jon, son maître simplet mais sympathique. Le matou sarcastique va devoir apprendre à partager sa vie bien tranquille avec un nouveau colocataire, le chien fou Odie. D'abord excédé, il se révèlera par la suite responsable et héroïque. |Sébastien Cauet (Garfield (voix française))@||Secrets de tournage :
Garfield, matou célèbre
L'un des personnages de bande-dessinée les plus populaires au monde, le personnage de Garfield, créé par Jim Davis en 1978, est un chat paresseux et amateur de lasagnes. Le nom de Garfield est un hommage au grand père de Jim Davis, James Garfield Davis. Avec plus de 260 millions de fans dans le monde, Garfield est adapté au cinéma en 2003, avec un scénario basé sur la BD et sur la série TV des années 80 "Here Comes Garfield".
De la BD au film
Quelques petites différences notables entre la BD et le film. Dans le film, Jon recueille Odie à la SPA alors que dans la BD, Odie appartient originellement à Lyman, un ami de Jon.
Autre différence, dans le film, Nermal est un des chat qui vit dans le cul-de-sac. Dans la BD, Nermal appartient aux parents de Jon.
La voix de Garfield
Il fallait un acteur charismatique, mordant, doué d'un sens aigu de la comédie. Nous avons trouvé tout cela chez un comédien de légende : Bill Murray . Il est hilarant, il a exactement le phrasé et les attitudes de Garfield.
Les voix françaises
Cauet , animateur télé et radio prête sa voix à Garfield dans la version française du film. C'est la deuxième fois qu'il participe au doublage d'un film après avoir fait la voix de Jack Black dans Rock academy. Le personnage de Liz est quant à lui doublé par l'animatrice télé, Virginie Efira pour qui c'est la première expérience.
Le rôle de Jon
Jim Carrey longtemps envisagé pour le rôle de Jon Arbuckle dans Garfield a finalement décliné l'offre laissant ainsi sa place à Breckin Meyer.
Le réalisateur
Peter Hewitt signe avec Garfield son sixième film. Réalisateur de comédies cultes, on lui doit entre autre le remarqué Le Petit monde des Borrowers. Hewitt a également écrit une douzaine de sripts en association avec Phil Hughes .
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George of the Jungle|Sam Weisman|Aventure||2|américain|1997|87|Anglais||DIV3|||DIV3|1 041 Kbps|720x576|WMA2|64.1 Kbps|False|44.1 KHz|2|701||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Jon Avnet David Hoberman Jordan Kerner|Dana Olsen Audrey Wells|Thomas E. Ackerman||GBVI||George, unique rescapé d'un accident d'avion, a été recueilli et élevé par une tribu de gorilles au plus profond de la forêt africaine. Vingt-sept ans plus tard, George vit toujours entouré de ses amis, Tookie le toucan, l'éléphant Shep ainsi qu'un singe savant. Cette belle harmonie va être bousculée par une aventurière, Ursula Stanhope, à la recherche de frissons exotiques. |Brendan Fraser (George)@Leslie Mann (Ursula Stanhope)@Richard Roundtree (Kwame)@Greg Cruttwell (Max)@Thomas Haden Church (Lyle Van de Groot)@Abraham Benrubi (Thor)@Holland Taylor (Beatrice Stanhope)@John Cleese (Singe (voix))@Kelly Miller (Betsy)@John Bennett Perry (Arthur Stanhope)@Michael Chinyamurindi (N'Dugo)@Lydell M. Cheshier (Baleto)@Keith Scott (le narrateur)@||Secrets de tournage :
Brendan Fraser retrouve son éléphant
Lors des séquences des Looney Tunes passent à l'action se déroulant en Afrique, le comédien Brendan Fraser a retrouvé un éléphant prénommé Tai, qu'il avait déjà monté en 1995 dans George de la jungle.
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Georges of the jungle 2 (V)|David Grossman|Comédie||2|américain|2003|83|Anglais||DivX|||DIVX|1 062 Kbps|720x416|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Gregg Hoffman Jordan Kerner|Jordan Moffet Bill Scott (II) Jay Ward|David Burr||||Cinq ans après leur mariage dans la jungle, George et Ursula ont un petit enfant répondant au nom de Georges Junior. Goeorge doit alors faire face à al fois à son role de père, de mari aimanat et aussi de seigneur de la jungle. Pour courroner le tout, la mère d'ursula revient chercher sa fille à l'aide du félon Lyle van de Groot. Tous deux vont bientôt reprendre tout ce qui est cher à George... |Christopher Showerman (George)@Julie Benz (Ursula)@Angus T. Jones (George Jr.)@Christina Pickles (Beatrice Stanhope)@Thomas Haden Church (Lyle Van de Groot)@John Cleese (Singe (voix))@Michael Clarke Duncan (Lion (voix))@John Kassir (Rocky/Armando (voix))@Kevin Greutert (Tookie (voix))@Kelly Miller (Betsy )@Kirstie Hutton (Tiffany)@Chelsea Gibb (Courtney)@Richard Mueck (Singe)@Erika Heynatz (Kowalski)@Marjean Holden (Sally)@||||||||||||@@
Curious George|Matthew O'Callaghan|Animation||3|américain|2006|83|Anglais||DX50|||DX50|1 032 Kbps|608x320|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Ron Howard Brian Grazer David Kirschner Bonne Radford Jon Shapiro|Ken Kaufman Mike Werb|||Universal Pictures||Le musée Bloomsberry n'a jamais eu de guide plus motivé que Ted. Mais le public du musée ne cesse de se réduire, et le vieux Mr Bloomsberry s'est pratiquement résigné à mettre la clé sous la porte... à moins que la prochaine exposition ne soit un succès.Pour éviter le pire, Ted est chargé de ramener d'Afrique l'idole géante de la tribu Zagawa, trésor archéologique légendaire propre à relancer l'affluence au musée. Il se met en route, sans se douter que l'infâme Bloomsberry Junior, qui rêve de convertir le musée en parking, a arraché du journal de son père les cartes permettant de localiser la statue.Dans la jungle, un petit singe remuant et malicieux repère l'explorateur et ne tarde pas à l'aborder. Une solide amitié se noue entre l'Homme au Chapeau Jaune et le primate, qu'il baptisera bientôt Georges... |Will Ferrell (l'homme au chapeau jaune (voix))@Frank Welker (George (voix))@Drew Barrymore (Miss Maggie Dunlop (voix))@David Cross (Junior Bloomsberry (voix))@Eugene Levy (Clovis (voix))@Dick Van Dyke (Monsieur Bloomsberry (voix))@Joan Plowright (Miss Plushbottom (voix))@Ed O'Ross (Ivan (voix))@Shane Baumel (un enfant (voix))@Tymira-Joi Beatty (un enfant (voix))@Christopher Chen (un enfant (voix))@Jessie Flower (un enfant (voix))@Alexander Gould (un enfant (voix))@Terrence Hardy (un enfant (voix))@Hailey Noelle Johnson (un enfant (voix))@Ariel Winter (un enfant (voix))@Billy West (le directeur (voix))@Jeff Bennett (le vendeur (voix))@Michael Chinyamurindi (Edu (voix))@Michael Sorich (le chauffeur de taxi (voix))@Kath Soucie (le réceptionniste (voix))@Clint Howard (l'homme ballon (voix))@||Secrets de tournage :
King George
Curious George est adapté sur une série de livres pour enfants créée en 1941 par Hans Augusto Rey et Margret Rey. Ces deux amoureux des animaux ont vendu plus de 25 millions d'exemplaires des aventures du petit singe malicieux, faisant de lui une des grandes figures de la littérature enfantine mondiale.
Un projet de longue date
L'adaptation des aventures de Curious George sur grand écran a fait l'objet de nombreuses tentatives depuis le début des années 90. Plusieurs réalisateurs se sont ainsi succédé dont Brad Bird (Le Geant de fer) et Jun Falkenstein (Les Aventures de Tigrou et de Winnie l'ourson). Quand les producteurs Brian Grazer et Ron Howard ont repris le projet en main, il était question que le film soit un mélange d'images de synthèse et de prises de vue réelles. Au final, Curious George est un film d'animation traditionnel.
Une bande-originale signée Jack Johnson
C'est le chanteur Jack Johnson qui a composé les titres chantés de la bande originale de Curious George.
Clin d'oeil
Le bateau sur lequel embarque Curious George s'appelle le H.A. Rey, en hommage à l'auteur des livres dont s'est inspiré le film. De plus, le personnage à qui Drew Barrymore prête sa voix dans la version originale se prénomme Maggie en référence à Margret Rey.
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Ghost|Jerry Zucker|Fantastique||3|américain|1990|116|Anglais||DIV3|||DIV3|702 Kbps|720x576|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Lisa Weinstein|Bruce Joel Rubin|Adam Greenberg||United International Pictures (UIP)||Sam Wheat, cadre dans une banque d'affaires new-yorkaise, et Molly Jensen, sculpteur, s'aiment. Mais tout bascule lorsque Sam Wheat est agressé dans la rue et abattu. A sa grande surprise, il devient un fantôme et réussit à communiquer avec une voyante hystérique. Il tente alors d'entrer en contact avec sa femme et découvre qui a voulu le tuer. |Demi Moore (Molly Jensen)@Whoopi Goldberg (Oda Mae Brown)@Patrick Swayze (Sam Wheat)@Tony Goldwyn (Carl Brunner)@Vincent Schiavelli (le fantôme du métro)@Rick Aviles (Willie Lopez)@Phil Leeds (un fantôme)@Stephen Root (le sergent)@||||||||||||@@
Kokaku Kidotai|Mamoru Oshii|Animation||3|britannique, japonais|1997|77|Anglais||DIV3|||DIV3|1 044 Kbps|640x352|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|658||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Mitsuhisa Ishikawa Ken Iyadomi Yoshimasa Mizuo Shigeru Watanabe|Kazunori Itô|Hisao Shirai|||Saga : Ghost in the Shell |Dans un Japon futuriste régi par l'Internet, le major Motoko Kusunagi, une femme cyborg ultra-perfectionnée, est hantée par des intérrogations ontologiques. Elle appartient, malgré elle, à une cyber-police musclée dotée de moyens quasi-illimités pour lutter contre le crime informatique.Le jour où sa section retrouve la trace du 'Puppet Master', un hacker mystérieux et légendaire dont l'identité reste totalement inconnue, la jeune femme se met en tete de pénétrer le corps de celui-ci et d'en analyser le ghost (élément indéfinissable de la conscience, apparenté à l'ame) dans l'espoir d'y trouver les réponses à ses propres questions existencielles... |Atsuko Tanaka (Major Motoko Kusanagi (voix))@Akio Ôtsuka (Bateau (voix))@Tamio Ôki (Aramaki, chef de la Section 9 (voix))@Iemasa Kayumi (Puppet Master (voix))@Kôichi Yamadera (Togusa (voix))@Tesshô Genda (Nakamura, chef de la Section 6 (voix))@||||||||||||@@
Inosensu : Kôkaku kidôtai|Mamoru Oshii|Animation||3|japonais|2004|95|Japonais||XviD|||XVID|879 Kbps|640x336|MPEG-1 Audio layer 3|123 Kbps|False|48.0 KHz|2|695||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Mitsuhisa Ishikawa Toshio Suzuki|Masamune Shirow|||DreamWorks SKG|Saga : Ghost in the Shell |Batou est un cyborg vivant. Son corps entier a été fabriqué par l'homme. Seules lui restent des bribes de son cerveau et le souvenir d'une femme.
Dans un monde où la frontière entre humains et machines est devenue infiniment vague, les Humains ont oublié qu'ils sont humains. Voici la débauche du "fantôme" d'un homme solitaire qui néanmoins cherche à conserver son humanité. |Akio Ôtsuka (Batou (voix))@Atsuko Tanaka (Major Motoko Kusanagi (voix))@Kôichi Yamadera (Togusa (voix))@Tamio Ôki (Chef Aramaki (voix))@Yutaka Nakano (Ishikawa (voix))@Naoto Takenaka (Kim (voix))@Hiroaki Hirata (Koga (voix))@Yoshiko Sakakibara (Haraway (voix))@Masaki Terasoma (Azuma (voix))@||Secrets de tournage :
Un monde meilleur
Le film ne part pas du principe que la race humaine est supérieure. Au contraire selon Mamoru Oshii "le film arrive à la conclusion que toutes les formes de vie: humaine, animale, et robots sont égales. Dans cette période où tout est incertain nous devrions tous penser à ce qu'il faut valoriser dans la vie et réfléchir à la façon de coexister ensemble. Dans le film, en 2032, les robots, les êtres électroniques sont devenus des compagnons indispensables. (...) Actuellement nous n'avons pas besoin d'un humanisme anthropocentrique. L'humanité a atteint ses limites. Avec ce film j'espère faire réléchir sur l'appréhension et la crainte qui imprègnent le monde à l'heure actuelle."
Un animal fétiche
Dans Avalon, ou à l'affiche d' Ghost in the shell 2 - Innocence animal fétiche de Mamoru Oshii, un basset, traîne sa triste mine sur le gris du macadam. Beaucoup voit dans cette apathie canine une projection du tempérament de Mamoru.
Batou : le guide
Le personnage principal Batou est notre guide tout au long du film. Lui et sa partenaire Togusa (personnage à l'apparence la plus humaine) s'embarquent dans un voyage à travers l'enfer qui les force à revoir le sens de l'existence humaine. Le rôle de Batou est de conduire indirectement le public à Togusa.
Robots à visage humain
Il n'y a pas d'humains dans Ghost in the shell 2 - Innocence. Les personnages sont des robots à visage humain. Le réalisateur confie que "Pour un raison étrange, les gens ont toujours crées des robots à leur image. Je me demande pourquoi. Explorer cette question du point de vue des robots m'aidera à mieux comprendre la nature humaine".
L'avenir de l'humanité
Le réalisateur Mamoru Oshii explique que "nous vivons dans un monde cruel et effrayant. Je travaille depuis un moment déjà dans l'industrie de l'animation, un monde corrompu (...) parfois j'aimerai éliminer toutes les interactions humaines et passer le reste de ma vie à la maison à me relaxer(...). C'est cette culture de la peur et de l'anxiété que je veux représenter dans mon film. Ce qui m'intéresse, c'est le futur de l'humanité".
Présenté à Cannes
Ghost in the shell 2 - Innocence a été présenté en compétition officielle au festival de Cannes 2004.
Un manga culte
Après neuf ans d'attente Mamoru Oshii signe Ghost in the shell 2 - Innocence la suite de son manga culte Ghost in the Shell, qui avait remporté un énorme succès auprès du public en 1995. La suite a nécessité quatre ans de développement et un budget de plus de 18 million de Dollars.
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Ghosts of Mars|John Carpenter|Epouvante-horreur||2|américain|2001|98|Anglais||DIV3|||DIV3|786 Kbps|576x256|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|650||||23.976|13/08/2009 00:00:00|Sandy King|Larry Sulkis John Carpenter|Gary B. Kibbe||CTV International||En 2176, la Terre a fait de Mars une colonie minière où 640 000 personnes tentent de vivre dans un environnement hostile.A Chryse, la capitale de la vallée sud, le lieutenant Melanie Ballard et son équipe reçoivent l'ordre de transférer James "Desolation" Williams, un criminel de la pire espèce, à la Cour de justice. Ils débarquent alors dans la ville abandonnée de Shining Canyon. Seuls Desolation et une poigné de détenus, enfermés dans leur cellule, semblent être les rescapés d'une terrible catastrophe. Des cadavres mutilés jonchent les couloirs de la prison. Au même moment, au fond du cratère de la mine à ciel ouvert, un étrange rituel se déroule. Des milliers de guerriers en transe s'adonnent à des rites barbares et sanglants. Le Bien va s'allier au Mal pour combattre le Pire. |Natasha Henstridge (Melanie Ballard)@Ice Cube (James "Desolation" Williams)@Jason Statham (Jericho Butler)@Pam Grier (Helena Braddock)@Clea DuVall (Bashira Kincaid)@Doug McGrath (Benchley)@Richard Cetrone (Big Daddy Mars)@Joanna Cassidy (Arlene Whitkock)@Charlotte Cornwell (Narratrice (voix))@Wanda De Jesus (Akooshay)@Robert Carradine (Rodale)@Peter Jason (McSimms)@Rodney A. Grant (Tres)@Rex Linn (Yelder)@Rosemary Forsyth (L'inquisitrice)@Eileen Weisinger (Une guerrière)@Chad Randall (Le gros guerrier (non crédité))@Liam Waite (Michael Descanso)@Danielle Burgio (Une policière (non créditée))@Lobo Sebastian (Dos)@Michael Krawic (L'homme dans la Rover)@Matt Nolan (Un mineur)@Marjean Holden (Une jeune femme)@Christopher Allen Nelson (Un mineur (non crédité))@Rick Edelstein (Zimmerman)@Duane Davis (Uno)@Damon Caro (Le stagiaire (non crédité))@Harry Jay Knowles (Une tête sur un pique (non crédité))@J. Nathan Simmons (Un mineur (non crédité))@Richard Barela (Un mineur (non crédité))@Anthony M. Trujillo (Un mineur (non crédité))@Chance Romero (Un mineur / un guerrier (non crédité))@Marty Cuny (Un mineur / un guerrier (non crédité))@Dave Duran (Un guerrier (non crédité))@James W. Gruessing Jr. (Un mineur (non crédité))@Louie Martinez (Un mineur (non crédité))@||Secrets de tournage :
Femmes à poigne
Comme dans nombre des films de John Carpenter, Ghosts of Mars est mené par des personnages féminins aux caractères bien trempés. A Jamie Lee Curtis d'Halloween et Adrienne Barbeau de Fog (entre autres), succèdent ainsi Natasha Henstridge (dans le rôle de Melanie Ballard), Pam Grier (Helena Braddock) et Clea Duvall (Bashira Kincaid). Toutes trois allongent la liste des femmes tout sauf victimes consentantes présentes dans la filmographie de John Carpenter.
La gueule de Statham
Personnage haut en couleur avec son accent british au couteau, Jericho Butler est incarné par le britannique Jason Statham, découvert dans Arnaques, crimes et botanique de Guy Ritchie. C'est en se promenant à Londres que le futur mari de Madonna découvre l'acteur, alors... vendeur de bijoux. Egalement apparu dans le deuxième film de Guy Ritchie, Snatch, Jason Statham fut aussi champion de plongée en Angleterre. Des aptitudes qui ont eu leur intérêt lors de la préparation physique de Ghosts of Mars.
Une prière avant le tournage
Le tournage de Ghosts of Mars débute le 7 août 2000 près de la ville d'Albuquerque, au Nouveau Mexique, sur les terres sacrées d'une tribu indienne. La vielle au soir, John Carpenter décide d'organiser une prière dédiée aux traditions locales et à l'esprit des lieux à l'endroit même de tournage. La cérémonie réunit toute l'équipe technique et artistique du film, et est présidée par un sorcier indien, qui bénit les décors.
Courtney Love blessée
Alors que John Carpenter avait depuis longtemps jeté son dévolu sur Courtney Love pour le rôle clé de Melanie Ballard (Ghosts of Mars), celle-ci se blesse à la cheville quelques semaines seulement avant le début du tournage. C'est finalement l'actrice d'origine canadienne Natasha Henstridge qui la remplace au pied levé, manquant du même coup les semaines de préparation physique qui avaient précédé les premières prises de vue. Natasha Henstridge retrouve cependant vite ses marques, habituée aux films fantastiques depuis ses rôles titres dans La Mutante et La Mutante 2
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The Girl Next Door|Luke Greenfield|Romance||3|américain|2004|109|Anglais||XVID|||XVID|751 Kbps|640x336|MPEG-1 Audio layer 3|32.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||23.976|08/08/2009 00:00:00|Harry Gittes Charles Gordon Marc Sternberg|David Wagner Stuart Blumberg Brent Goldberg|Jamie Anderson||UFD||Matthew, 18 ans, est un étudiant modèle qui n'a jamais vraiment vécu sa vie, jusqu'au jour où il tombe sur sa nouvelle voisine, la magnifique et apparemment innocente Danielle. Quand Matthew découvre que cette voisine idéale est une ex-star de films X, il va commencer à perdre le contrôle de sa paisible existence... |Elisha Cuthbert (Danielle)@Emile Hirsch (Matthew Kidman)@Timothy Olyphant (Kelly)@James Remar (Hugo Posh)@Chris Marquette (Eli)@Paul Dano (Klitz)@Timothy Bottoms (Monsieur Kidman)@Donna Bullock (Madame Kidman)@Jacob Young (Hunter)@Brian Kolodziej (Derek)@Brandon Irons (Troy)@Amanda Swisten (April)@Sung Hi Lee (Ferrari)@Richard Fancy (Monsieur Peterson)@Catherine McGoohan (Madame Peterson)@Steven St. Croix (le karatéka dans le film porno)@Autumn Reeser (Jane)@Olivia Wilde (Kellie)@||Secrets de tournage :
Une genèse mouvementée
Girl next door faillit bien ne jamais voir le jour. Lorsque le script de Brent Goldberg et David T. Wagner fut agréé par les producteurs, que Luke Greenfield fut engagé pour la réalisation et que la pré-production du film fut initiée, tout semblait se dérouler à la perfection. Mais c'était sans compter sur... Adam Sandler ! L'acteur comique, qui mettait en chantier, via sa société de production, le film Animal ! l'animal..., proposa à Luke Greenfield la réalisation du projet. Pris entre deux feux, craignant de voir échapper l'une et l'autre de ces deux opportunités, celui-ci supplia le producteur de Girl next door de patienter quelques mois pour pouvoir mettre en scène les deux films. Le producteur accepta ce contre-temps et quelques jours après le tournage de Animal ! l'animal..., Luke Greenfield put immédiatement se remettre au travail sur Girl next door... quatre ans après l'agrément du script !
Plus qu'une comédie pour ados
Avec Girl next door, le réalisateur Luke Greenfield a voulu réaliser un film qui soit plus qu'une simple comédie pour adolescents. Il explique : "J'aime explorer les situations à risque, et je voyais ce film comme l'histoire d'un gars ordinaire fourvoyé dans des circonstances inhabituelles et dangereuses. Tension et réalisme, humour et tendresse étaient pour moi les maîtres mots du projet."
A qui ce film plaît-il ?
Les projections tests de Girl next door ont prouvé que le réalisateur et les producteurs avaient atteint, et même dépassé, leur objectif. Chacun s'attendait logiquement à ce que le long-métrage, qui repose sur un fantasme typiquement masculin, plaise aux hommes. Mais au final, il apparaît qu'il séduit également les jeunes filles et les jeunes femmes. Un verdict public auquel le réalisateur Luke Greenfield apporte une conclusion sous forme d'interrogation : "Girl next door est l'histoire d'un garçon prêt à tout pour défendre son premier amour. Est-il un homme -ou une femme- qui ne s'y reconnaisse pas ?"
Elisha Cuthbert : du petit au grand écran
Avec Girl next door, la jeune comédienne Elisha Cuthbert décroche son premier grand rôle sur grand écran. Assez discrète au cinéma avant ce rôle pas comme les autres d'ex-star du porno, Cuthbert, 22 ans, est surtout connue pour son rôle de Kimberly Bauer, fille fragile et rebelle de Kiefer Sutherland, dans la série policière à succès 24, dont elle est l'une des vedettes depuis 2001.
Un rôle à contre-emploi
Le rôle de Danielle, ex-star du porno qui vient chambouler l'existence d'un jeune adolescent, a représenté un vértable challenge pour Elisha Cuthbert. "Ce personnage se démarquait de tous ceux que j'avais joués jusqu'ici", déclare-t-elle. "C'était un saut immense pour moi, du seul fait qu'elle change radicalement de style et de personnalité en passant d'Athena (la star du porno) à Danielle, la "Girl next door". Avertie et sophistiquée, elle est l'exact opposé du naïf Matthew."
Un jeune acteur très précoce !
Pour incarner le jeune Matthew, celui qui voit avec stupéfaction débarquer dans son existence une ex-star du porno, la production s'est tourné vers Emile Hirsch, un acteur possédant une expérience limitée à l'écran mais se montrant déjà très professionnel dans l'appréhension du métier. "C'est un acteur sérieux, qui a étudié et mémorisé les grands rôles de Brando dès l'âge de 9 ans", remarque avec amusement et admiration le réalisateur Luke Greenfield. "Ennemi de la facilité et des formules toutes faites, il a été agréablement surpris par la qualité du script et a signé sans hésitation pour le rôle."
L'importance de la musique
Le réalisateur Luke Greenfield a souhaité orner Girl next door d'une bande-originale percutante, regroupant des artistes de différentes époques et collant de près aux différentes ambiances qui parcourent le long-métrage. Parallèlement à la partition originale composée par Paul Haslinger ont ainsi été sélectionnés pas moins de 37 chansons. Parmi les artistes regroupés sur la bande-originale, on retrouve The Who, David Gray, Donovan, David Bowie, Elliott Smith et The Verve.
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Girlfight|Karyn Kusama|Comédie dramatique||3|américain|2000|106|Anglais||DX50|||DX50|816 Kbps|528x280|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Sarah Green Martha Griffin Maggie Renzi|Karyn Kusama|Patrick Cady||Diaphana Films||Diana Guzman a l'art de s'attirer des ennuis. Adolescente sombre et maussade, elle en veut a la Terre entière et passe son année scolaire à se battre avec les rares amateurs qui trainent dans les couloirs du lycée. Diana habite Red Hooks, à Brooklyn, avec son père Sandro, souvent absent, et son jeune frère Tiny. Leur mère est morte. Diana est entourée de gens qui, selon elle, passent à côté de la vie. Pour elle, il n'y a pas d'autre alternative que de se battre pour s'en sortir et elle préfère de loin être celle qui cogne. C'est ainsi qu'elle découvre l'univers de la boxe. |Michelle Rodriguez (Diana Guzman)@Jaime Tirelli (Hector)@Paul Calderon (Sandro)@Santiago Douglas (Adrian)@Ray Santiago (Tiny)@Victor Sierra (Ray)@Elisa Bocanegra (Marisol)@Shannon Walker Williams (Veronica)@Louis Guss (Don)@Herb Lovelle (Cal)@Thomas Barbour (Ira)@Graciella Ortiz (Une étudiante)@John-Peter Linton (Mr. Price )@||Secrets de tournage :
Paul Calderon (Sandro)
Paul Calderon a notamment joué sous la direction d'Abel Ferrara (The king of New York, Bad lieutenant, The addiction), Quentin Tarantino (Pulp fiction), Spike Lee (Clockers), et Steven Soderbergh (Hors d'atteinte).
Ce comédien est également apparu dans Sea of love (Harold Becker, 1989) et Oxygen (Richard Shepard, 1999).
John Sayles en producteur délégué
Le réalisateur de Lone star et de Men with guns occupe le poste de producteur délégué.
La production est notamment assurée par Maggie Renzi. Cette fidèle de John Sayles, elle a produit tous les films du cinéaste, de son premier long métrage, Return of the Secaucus 7 (1980) à Limbo (1999).
En outre la monteuse (Plummy Tucker) et le directeur de la photographie (Patrick Cady) du film ont déjà travaillé avec John Sayles, sur Limbo, Lone star et de Men with guns, pour la première ; sur Passion fish, pour le second.
John Sayles apparaît dans le film, il incarne le professeur de sciences de Diana (Michelle Rodriguez).
Karyn Kusama, réalisatrice
Cette diplômée de la New York University's Tisch School of the Arts a réalisé un film de fin d'études (Sleeping beauties, 1991), avant de signer avec Girlfight son premier long métrage.
Le révélation Michelle Rodriguez
En participant à une audition ouverte, Michelle Rodriguez ne pensait pas être retenue parmi les 350 candidates qui avaient répondu à l'appel.
D'emblée la réalisatrice a été étonnée par cette jeune femme inexpérimentée, elle correspondait tout à fait à l'idée de la réalisatrice se faisait de son personnage. Karyn Kusama avoue que «son inexpérience n'a joué pas contre elle» et reconnaît que Michelle Rodriguez «était en mesure d'interpréter l'animal sauvage du début du film et la Diana plus disciplinée de la fin».
Primé à Sundance et Deauville
Girlfight a obtenu le Prix du Jury et Karyn Kusama le prix de la mise en scène au Festival de Sundance 2000. Le film a par ailleurs été récompensé au Festival de Deauville 2000, où le jury lui a décerné le Grand Prix du cinéma indépendant. Michelle Rodriguez s'est vue décerner le Prix de la meilleure actrice.
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Mädchen, Mädchen|Dennis Gansel|Comédie|Interdit aux moins de 12 ans|1|allemand|2001|85|Allemand||XviD|||XVID|936 Kbps|720x480|MPEG-1 Audio layer 3|192 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||25.000|28/07/2009 00:00:00||Maggie Peren|||||Inken, Vicky et Lena sont trois amies âgées de 18 ans n'ayant jamais eu d'orgasme. Les jeunes femmes décident alors de trouver coûte que coûte, l'homme ou la femme qui sera capable de leur procurer du plaisir. |Diana Amft (Inken)@Karoline Herfurth (Lena)@Felicitas Woll (Victoria)@Florian Lukas (Trainer Carsten)@Max Riemelt (Flin)@||||||||||||@@
Gladiator|Ridley Scott|Péplum||4|américain, britannique|2000|171|Anglais||XviD|||XVID|436 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||23.976|02/08/2009 00:00:00|David Franzoni Branko Lustig Douglas Wick|John Logan William Nicholson David Franzoni|John Mathieson||United International Pictures (UIP)||Le general romain Maximus est le plus fidele soutien de l'empereur Marc Aurele, qu'il a conduit de victoire en victoire avec une bravoure et un devouement exemplaires. Jaloux du prestige de Maximus, et plus encore de l'amour que lui voue l'empereur, le fils de Marc-Aurele, Commode, s'arroge brutalement le pouvoir, puis ordonne l'arrestation du general et son execution. Maximus echappe a ses assassins mais ne peut empecher le massacre de sa famille. Capture par un marchand d'esclaves, il devient gladiateur et prepare sa vengeance. |Russell Crowe (Maximus)@Joaquin Phoenix (Commodus)@Connie Nielsen (Lucilla)@Oliver Reed (Proximo)@Richard Harris (Marc Aurèle)@Derek Jacobi (Gracchus)@David Hemmings (Cassius)@Djimon Hounsou (Juba)@David Schofield (Falco)@John Shrapnel (Gaius)@Tomas Arana (Quintus)@Ralf Moeller (Hagen)@Spencer Treat Clark (Lucius)@Tommy Flanagan (Ciceron)@Giorgio Cantarini (le fils de Maximus)@Giannina Facio (la femme de Maximus)@Sven-Ole Thorsen (Tigre)@Nicholas McGaughey (un officier)@Omid Djalili (le marchand d'esclaves)@Chris Kelly (le scribe)@John Quinn (Valerius)@Chick Allen (le chef des Germains)@David Nicholls (le géant)@Billy Dowd (le narrateur)@||Secrets de tournage :
This is Barca !
Mercredi 27 mai 2009, jour de la finale de la Ligue des Champions à Rome, l'entraîneur du FC Barcelone, Josep "Pep" Guardiola, a trouvé une façon originale de galvaniser ses joueurs : leur diffuser un montage des meilleures scènes de Gladiator, entrecoupées d'extraits du best-of de leur saison. Une technique qui s'est avérée plus que payante, puisque le club catalan l'a emporté sur son adversaire du jour, Manchester United, par 2 buts à 0.
Sur un air de Hans Zimmer...
Les Associés marque la sixième collaboration entre Ridley Scott et le compositeur Hans Zimmer, après Black rain (1989), Thelma et Louise (1991), Gladiator (2000), Hannibal (2001), et La Chute du faucon noir (2002).
Lauréat de cinq oscars !
Le film obtint cinq oscars lors de la 73e cérémonie des Oscars en 2001, dont celui du meilleur film, du meilleur acteur pour Russel Crowe, du meilleur costume pour la chef costumière Janty Yates, celui du meilleur son pour Scott Millan, Bob Beemer et Ken Weston, et enfin celui des meilleurs effets visuels pour John Nelson, Neil Corbould, Tim Burke et Rob Harvey. Il fût également nominé dans cinq autres catégories (à savoir meilleur réalisateur pour Ridley Scott, meilleur acteur dans un second rôle pour Joaquin Phoenix, meilleur scénario original, meilleure photographie et meilleur montage), toutefois sans remporter l'oscar.
L'inspiration de "Gladiator"
Sorti en juin 2000, Gladiator de Ridley Scott doit beaucoup à La Chute de l'Empire romain : même genre de héros, général de l'armée romaine avant sa disgrâce (Maximus dans Gladiator, Livius dans La Chute de l'Empire romain), même personnage (Commode et Marc Aurèle), même personnage féminin fragile et manipulateur (Lucilla dans Gladiator et Antonia dans La Chute de l'Empire romain, et même genre de scènes, avec le défilé des troupes et le duel final.
De Braveheart à Gladiator
Afin de garantir la sécurité des acteurs du film, la production engagea Nicholas Powell, qui avait déjà réglé les scènes de bataille de Braveheart. « Ridley souhaitait filmer les joutes en plans rapprochés pour leur conférer un maximum d'impact visuel, ce qui augmentait nécessairement le facteur risque. Il a fallu mettre au point une chorégraphie rigoureuse et maintenir nos gars en alerte afin qu'ils ne se relâchent à aucun moment, fût-ce à la dixième répétition. Une seconde d'inattention aurait pu entraîner de graves blessures. »
Phil Neilson, chef cascadeur
Ancien sergent des « Marines », il a supervisé les cascades de A armes égales de Ridley Scott, avec lequel il travaille également sur Hannibal.
Phil Neilson a, en outre, été chef cascadeur sur Entre ciel et terre et Tueurs nés deux films d'Oliver Stone, La jurée de Brian Gibson, L'armée des 12 singes de Terry Gilliam et Le corrupteur de James Foley.
Neil Corbould, superviseur des effets spéciaux
Il a remporté le « British Academy Award » pour Il faut sauver le soldat Ryan de Steven Spielberg et Le cinquième élément de Luc Besson.
Neil Corbould a également collaboré à Haute Voltige de Jon Amiel.
Le tournage de Gladiator
Il s'est déroulé dans quatre pays et sur trois saisons. Pour Branko Lustig (producteur) : « C'est un peu comme si nous avions tourné quatre films puisqu'il a fallu coordonner les efforts de quatre équipes : la première, qui se déplaçait d'extérieur en extérieur, et les trois autres, qui opéraient respectivement à Londres, Malte et au Maroc. »
« Notre objectif commun se résuma à un mot : « authenticité » souligne Ridley Scott. « Nous n'avions aucunement l'intention de tourner un documentaire archéologique, mais nous tenions à restituer fidèlement l'esprit du temps. J'ai disposé pour cela d'une excellente équipe qui s'est documentée et rendue sur place. Ils ont accompli un travail extraordinaire : on respire l'ambiance de la ville, de l'arène, on se sent transporté à l'époque romaine. »
Janty Yates, chef costumière
Elle a travaillé sur de nombreux films britanniques, parmi lesquels, Jude et Welcome to Sarajevo de Micahel Winterbottom, Guns 1748 de Jake Scott et L'Anglais qui gravit une colline de Christopher Monger.
Après ses débuts dans le prêt-à-porter, elle a travaillé comme assistante de Jean-Jacques Annaud sur La guerre du feu, puis comme assistante costumière sur Dance with a stranger de Mike Newell et The Commitments de Alan Parker.
Branko Lustig, producteur
Il a remporté l'Oscar du meilleur film avec La liste de Schindler de Steven Spielberg. Depuis, il a produit Le Pacificateur de Mimi Leder et poursuivi sa collaboration avec Ridley Scott sur Hannibal, la suite du Silence des agneaux
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Les contributeursCe film a reçu 1 contribution, pour les secrets de tournage, de: Garytheone
Les contributions faites sur cette fiche sont mises à disposition sous un contrat Creative Commons.
« Préc.
Neil Corboud, superviseur des effets spéciaux, a utilisé 160.000 projectiles incendiaires et 10.000 flèches tirées par des archers ou des catapultes spéciales. Des centaines d'acteurs, cascadeurs et figurants participèrent à cette séquence et utilisèrent plus de 2.500 armes (sabres, lances, arbalètes, haches) conçues et fabriquées par l'armurier en chef Simon Atherton et son équipe : « J'ai commencé par étudier les ouvrages de référence traitant de cette période, mais j'y ai trouvé peu d'information utiles. Je me suis donc inspiré d'armements ultérieurs et ai fait travailler mon imagination pour concevoir ces divers instruments de mort qu'on devait voir principalement en plan rapproché. »
Costumes : du lin grossier au caoutchouc
L'équipe de Janty Yates, la chef costumière, a fabriqué plus de 10.000 costumes, dont 500 tuniques de gladiateur.
La plupart des robes de Lucilla (Connie Nielsen) sont en soie brodée à la main, et sa tunique d'hiver en cachemire ourlé de soie et de fourrure. Les sandales ont été fabriquées à la main à Rome, et les bijoux réalisés à partir de modèles d'époque par le joaillier anglais Martin Adams.
L'armure de Commode est en caoutchouc, recouvert de cuir afin d'assurer une plus grande malléabilité. Celle de Maximus, sensiblement plus légère, était en mousse recouverte de cuir.
Chaque élément en fut reproduit à plusieurs dizaines d'exemplaires afin d'équiper les doublures de l'acteur et de répondre aux contraintes spécifiques de certaines scènes (tenue sale, propre, déchirée).
Les tuniques de gladiateurs sont, quant à elles, en lin grossier.
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Les contributeursCe film a reçu 1 contribution, pour les secrets de tournage, de: Garytheone
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Gomez & Tavarès|Gilles Paquet-Brenner|Policier||2|français|2003|104|Français||DIV3|||DIV3|790 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Stéphane Marsil|Gilles Paquet-Brenner Renaud Bendavid|Denis Rouden||SND||Marseille, dans la chaleur de la fin de l'été. Meurtre déguisé en suicide, disparition d'une strip-teaseuse... Depuis quelques temps, la rue appartient aux gangsters. Pour la police, l'ultime recours s'impose : frapper fort en mettant sur le coup deux de ses meilleurs flics : Gomez et Tavarès.Détaché à Marseille, Gomez est un incorruptible pur souche et à la gâchette facile. Tavarès, pour sa part, est une "star" de la police, frimeur, "grande gueule" et efficace, mais il a les doigts qui collent un peu trop aux billets.Tout les oppose : l'un est aussi coriace que l'autre est magouilleur, et Gomez ne va pas tarder à réaliser que son collègue est loin d'être un flic modèle. Les deux policiers vont devoir apprendre à se supporter, n'hésitant pas à passer outre la loi pour arrêter les criminels... |Stomy Bugsy (Carlos Gomez)@Titoff (le lieutenant Tavarès)@Thimothée Prince (Anthony)@Laetitia Colombani@Jean Yanne (Tonton)@Elodie Navarre (Paulina)@Noémie Lenoir (Gina)@Etienne Chicot (le commissaire Cagnotty)@Philippe Lemaire (Baginorrelly)@Daniel Duval (M. Izenberg)@Guy Amram (Rocco)@||Secrets de tournage :
D'après la chanson
C'est en écoutant la chanson de Gomez et Tavares Les Ripoux ("Central, ici Gomez & Tavares..."), sorti en 2001 en France, que Gilles Paquet-Brenner eut l'idée de faire un buddy-movie à la française sur deux policiers ripoux. Stomy Bugsy avait d'ailleurs participé au clip de la chanson, où il batifolait avec la femme d'un policier dans le jacuzzi.
Déjà vus
Titoff et Stomy Bugsy s'étaient déjà croisés sur les plateaux de tournage du film Les Jolies choses en 2001, mis en scène par... Gilles Paquet-Brenner, réalisateur de Gomez & Tavares.
L'intervention de la police
Aucun policier n'a été impliqué sur le tournage de Gomez & Tavares. En revanche, Stomy Bugsy et Titoff ont passé une journée avec les membres du GIPN (Groupe d'Intervention de la Police Nationale) à Marseille pour apprendre à tirer avec de vrais armes.
Pour Renaud
Gomez et Tavares se termine sur les mots "Pour Renaud", en référence au co-scénariste du film Renaud Bendavid, décédé peu de temps avant le tournage.
Les références de Paquet-Brenner
Pour le réalisateur Gilles Paquet-Brenner, la référence en matière de buddy movie reste 48 heures de Walter Hill. Au niveau des séries télévisées, il cite volontiers en exemple Starsky et Hutch.
Des rappeurs marseillais
Deux rappeurs d'origine marseillaise effectuent deux petites apparitions dans le film : Le Rat Luciano rapporte une arme au personnage d'Elodie Navarre tandis que Tefa (l'un des auteurs de la chanson "Les Ripoux") joue le patron de la baraque à frites.
Gomez et... Dubois
Le duo signataire de la chanson officielle du film Gomez & Tavares, Gomez et Dubois, fait une petite apparition comique dans la première scène du film.
Petit accident
Guy Amram, qui incarne le méchant dans Gomez & Tavares, s'est blessé durant le tournage, lors du combat final sur le bateau. A part cet incident, le tournage s'est déroulé sans aucun problème.
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Gomez VS Tavarès|Gilles Paquet-Brenner Cyril Sebas|Policier||1|français|2007|95|Français||XVID|||XVID|890 Kbps|576x320|MPEG-1 Audio layer 3|121 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Stéphane Marsil||Diego Martinez Vignatti||SND||Tonton est mort... et il a planqué l'héritage ! Qui de Gomez et Tavarès mettra la main sur le magot en premier sachant qu'ils ne sont pas seuls sur le coup ! Se partageront-ils le butin ? Nos deux flics se lancent dans une redoutable chasse au trésor où tous les coups sont permis... |Titoff (le lieutenant Tavarès)@Stomy Bugsy (Carlos Gomez)@Noémie Lenoir (Gina)@Jean Benguigui (Jacques)@Daniel Duval (M. Izenberg)@Fernanda Tavarès (Francesca)@Thimothée Prince (Anthony (un des jumeaux))@Alexandre Prince (Georges (un des jumeaux))@Matthieu Touboul (Mika)@Jean-Francois Gallotte (Commissaire Darieux )@Tony Amoni (Saint-Jean)@Claude Brosset (Le notaire)@Arthur Benzaquen (Joseph Dubois)@Maxime Flourac (Raoul)@Sophie Zhang (Marie-Thérèse)@Mabrouk el Mechri (Rachid)@Arsène Mosca (Ahmed)@Christel Piriou (la femme enceinte)@||Secrets de tournage :
Le retour d'une équipe de choc
Quatre ans après Gomez & Tavarès, toute l'équipe s'est réunie à nouveau pour tourner ce deuxième volet. Derrière la caméra, on retrouve Gilles Paquet-Brenner, cette fois assisté d'un second réalisateur : Cyril Sebas. Du côté des acteurs, Stomy Bugsy et Titoff redeviennent respectivement Gomez et Tavarès. Quant au top model Noémie Lenoir, elle reprend son rôle de Gina, la soeur de Gomez. Comme dans le premier film, Gomez VS Tavarès est produit par les sociétés Hugo Films et SND. Comme quoi, on ne change pas une équipe qui gagne !
Un "Vs" à la place du "&"
Le titre en dit long : l'amitié entre Gomez et Tavarès traverse une mauvaise passe. Là où le premier film et le titre Gomez & Tavarès tissaient des liens entre deux personnages opposés, Gomez "Versus" Tavarès est bien centré sur les conflits que vont connaître les deux ripoux de Marseille. Le temps de l'alliance est fini, c'est plutôt celui de la confrontation qui s'ouvre dans cette suite plus sombre.
Gomez et Tavarès : un duo gagnant
En 2003, les premières aventures des flics ripoux de Gomez & Tavarès avaient été un joli succès au box-office : le film avait en effet totalisé 914 513 entrées en France.
Cyril Sebas à la rescousse
En raison d'un emploi du temps chargé, Gilles Paquet-Brenner n'a pu se charger seul de la mise en scène de Gomez VS Tavarès. Il a dû faire appel à un autre réalisateur, Cyril Sebas, dont ce fut le tout premier long-métrage. Aussi difficile que soit une co-réalisation, cette dernière fut positive, comme le confie le producteur Stéphane Marsil : "Gilles avait une antériorité, une connaissance du projet que Cyril a parfaitement respectée. Nourri par de nouvelles expériences, il a évolué. Sa vision s'est affinée (...) Cyril de son côté, de par sa connaissance des clips, a un rythme et une manière singulière de faire bouger les acteurs dans l'action et donne de l'énergie au récit. Cette duplicité était cohérente, ils ont chacun leurs spécificités et leurs univers se rejoignent parfaitement."
A chacun son rôle
Afin de livrer le meilleur d'eux-mêmes, les deux réalisateurs se sont partagés les scènes du film. Ainsi, Gilles Paquet-Brenner s'est occupé des scènes intimistes et de comédie, alors que Cyril Sebas s'est chargé des scènes d'action. "Cyril est plus sanguin et plus nerveux, il saute partout, donne beaucoup d'indications sur la gestuelle des personnages, alors que Gilles est plus en retrait, plus calme, il se contente de quelques mots très précis. L'un est plus dans la pensée, l'autre dans l'action (...)" explique Stomy Bugsy. Une collaboration maîtrisée qui en rappelle étrangement une autre, comme le remarque Titoff. "Ils se complètent parfaitement et lorsque nous les observions, nous avions un peu l'impression de nous retrouver face à Gomez et Tavares !"
Changement de lumière
Impressionné par son travail de chef-opérateur sur U.V., Gilles Paquet-Brenner s'est empressé de réquisitionner Diego Martinez Vignatti sur Gomez VS Tavarès. Un nouveau collaborateur qui donne au film une photographie différente pour, au final, engendrer une ambiance et un ton plus sombres. "Nous avons une lumière plus radicale, la mise en scène s'est calée sur sa vision et l'ensemble est plus chaotique que pour les comédies d'action classiques. Beaucoup de plans sont réalisés caméra à l'épaule ; il y a de nombreux faux raccords, des ambiances de lumières, des couleurs très différentes les unes des autres ; les deux villes, notamment, ne sont pas traitées avec les mêmes émulsions de pellicule, et l'approche générale est plus sombre dans l'image, plus proche du film noir" explique le réalisateur.
Un couple toujours aussi intenable
Si Gilles Paquet-Brenner estime que Stomy Bugsy et Titoff travaillent aujourd'hui avec "plus de rigueur" et que "leur jeu est plus compact", il admet aussi que ce couple d'acteurs est difficile à diriger. "Dès qu'ils se retrouvent face à face, cela peut devenir infernal sur le plateau, même si je les adore ! Ils passent leur temps à se
tendre des pièges, ils n'ont pas de limites. Mais, finalement, l'important n'est-il pas de s'amuser ensemble ?"
Un clin d'oeil à Jean Yanne
Sorti en 2003, Gomez & Tavarès fut le dernier film de Jean Yanne, décédé quelques semaines après sa sortie en salles. Avec la disparition de l'acteur, le personnage de Tonton a été enlevé du scénario de Gomez VS Tavarès. Mais seulement physiquement. Car, si à la suite de Jean Yanne, Tonton décède, le personnage et sa mort sont le fil conducteur de tout le film. "C'est une rencontre qui nous a tous beaucoup marqués. Il était la figure emblématique du premier volet, il devenait donc difficile de rebondir sans lui. Nous voulions lui rendre hommage, en même temps il fallait parer à son absence, changer notre première optique qui faisait de Tonton le personnage central de ce nouvel opus. C'est Gilles qui a finalement proposé de partir de ce qu'il laissait derrière lui, de son héritage, d'une lettre." raconte Stéphane Marsil.
Benguigui, l'âme du film
Si Gomez VS Tavarès voit son affiche demeurer quasiment identique à celle de Gomez & Tavarès, un acteur vient apporter un brin de nouveauté au film : Jean Benguigui. "C'est quelqu'un qui adore jouer, observer, il reste souvent sur le plateau et sa présence est très agréable. Il apporte une cohérence dans cet univers, une assise au personnage, au récit, c'est le second tonton flingueur. J'ai immédiatement été séduit lorsque nous avons évoqué son nom." explique le réalisateur.
Un nom qui en dit long
Pour incarner la vénéneuse Francesca, les directeurs de casting sont tombés sur une perle. Ils sont en effet parvenu à trouver une beauté mais aussi une actrice qui se nomme tout bonnement comme l'un des personnages du film : Fernanda Tavarès ! "C'était un signe, il fallait lui proposer ce rôle et nous n'avons pas eu à le regretter. Elle est accessible, très pure et fragile. Dans le film, c'est un Arsène Lupin au féminin et, si Francesca vole des diamants, Fernanda est une pierre précieuse." raconte Cyril Sebas.
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Gothika|Mathieu Kassovitz|Thriller|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|2004|94|Anglais||DX50|||DX50|812 Kbps|640x368|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|639||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Joel Silver Robert Zemeckis Susan Levin|Sebastian Gutierrez|Matthew Libatique||Columbia Pictures||Le docteur Miranda Grey, psychologue pour criminels de renom, travaille au sein du pénitencier psychiatrique pour femmes que dirige son mari. Elle sait mieux que personne ce qui est rationnel... Jusqu'au jour où elle se réveille dans l'une des cellules de l'institution, accusée du meurtre de son mari. Un crime dont elle n'a aucun souvenir. Dans sa quête pour retrouver la mémoire, elle devra faire face à un esprit vengeur... |Halle Berry (le Docteur Miranda Grey)@Robert Downey Jr. (le Docteur Pete Graham)@Charles S. Dutton (le Docteur Doug Grey)@Penélope Cruz (Chloé Sava)@John Carroll Lynch (le shérif Ryan)@Bernard Hill (Phil Parsons)@Dorian Harewood (Teddy Howard)@Bronwen Mantel (Irene)@Kathleen Mackey (Rachel Parsons)@Matthew G. Taylor (Turlington)@Michel Perron (Joe)@Andrea Sheldon (Tracey Seavers)@||Secrets de tournage :
Kasso s'exporte
Gothika marque le premier film hollywoodien de Mathieu Kassovitz. Le cinéaste français avait été remarqué en 2000 par le producteur Joel Silver : en vol vers Paris, le producteur avait pu découvrir Les Rivières Pourpres dans l'avion et avait souhaité rencontrer le réalisateur dès son arrivée. Après avoir reçu plusieurs scénarios de sa part, ce dernier arrêtera son choix sur Gothika.
"Pour ce film, il fallait plus qu'un bon réalisateur", explique Joel Silver. "Il fallait une vision, une sensibilité, une vraie aptitude à diriger des comédiens sur des registres inhabituels. Je savais que l'expérience et la passion de Mathieu lui permettraient cela. Il sait comment créer une atmosphère, comment raconter une histoire. Lorsque je lui ai fait parvenir le scénario de Gothika, il s'est tout de suite montré enthousiaste. Il avait une approche très précise du film qu'il voulait voir naître".
"Il est très rare que Joel demande à rencontrer un jeune réalisateur, surtout s'il n'a aucun projet particulier en tête, mais il avait vraiment senti le potentiel de Mathieu et a tout de suite eu envie de travailler avec lui", explique la productrice Susan Levin. "Tout comme Joel , Mathieu éprouve une vraie passion pour le cinéma et il a une très grande connaissance des films. Ils se sont trouvés, et ont décidé de faire quelque chose ensemble".
Un bras cassé pour Halle Berry
Lors d'une scène intense, Robert Downey Jr. n'a pu maîtriser sa force et a cassé le poignet de Halle Berry. Le tournage dut subir un arrêt d'un mois après cet incident, Mathieu Kassovitz profitant de cette halte dans la production pour retravailler le scénario et affiner certains points de l'histoire.
Une production Dark Castle
Gothika est la quatrième production Dark Castle Entertainment, entité fondée par Joel Silver et Robert Zemeckis. Les autres films de la société sont La Maison de l'horreur (1999), 13 fantômes (2001) et Le Vaisseau de l'angoisse (2002).
Production express
Développé en vue d'une sortie à Halloween 2003 aux Etats-Unis, le projet Gothika a connu une phase de préproduction des plus rapides. Mathieu Kassovitz estime ainsi le délai entre sa première lecture du scénario et la fin du montage à 8 mois, le tournage n'ayant pris en lui-même que 45 jours contre 90 pour Les Rivières Pourpres ! Une phase de production-express qui permit notamment au cinéaste d'éviter l'épreuve des projections-tests... Au final, le film sera finalement repoussé de quelques semaines (pour une sortie le 21 novembre 2003) afin d'éviter toute concurrence avec les autres films programmés pour Halloween, dont Scary movie 3.
Tournage au Canada
Gothika devait initialement être produit en Australie. Toutefois, pour des raisons personnelles, Mathieu Kassovitz préféra se rabattre sur le Canada, à Montréal.
Une prison comme décor principal
Décor majeur et quasi-unique de Gothika, le pénitencier psychiatrique pour femmes Woodward a été construit au sein de l'ancienne prison de sécurité maximale Saint Vincent de Paul de Laval (Québec), datant du début du 20e siècle.
Le retour du gothique
Le titre Gothika renvoie clairement à la tradition de la littérature gothique. Né à la fin du 18e siècle en Angleterre, ce style met en scène des personnages prisonniers de lieux isolés et affrontant des phénomènes macabres et mystérieux, voire surnaturels.
Et si... ?
Halle Berry explique : "Tout ce film repose sur une seule question : " Et si... ? ". Et si cela vous arrivait, à vous ? Que feriez-vous ? Comment vous en sortiriez-vous ? Est-ce que vous pourriez seulement vous en sortir ? Est-ce que vous abandonneriez, est-ce que vous survivriez, ou est-ce que vous y laisseriez votre peau ? Miranda est une âme torturée qui découvre sa propre force et la fiabilité de son instinct lorsqu'elle se retrouve privée de son identité. Au début de cette histoire, elle vit presque mécaniquement, par habitude. Ce qu'elle va traverser va la réveiller et la pousser à voir vraiment ce qui l'entoure, et elle commence à vivre d'une manière plus viscérale". Pour le producteur Joel Silver, "l'une des répliques les plus significatives provient de Miranda : elle dit qu'elle ne croit pas aux fantômes, mais qu'eux croient en elle... Alors qu'elle s'efforce de définir l'existence d'un éventuel esprit vengeur, elle va devoir admettre que les patientes qui prétendent entendre des voix ne sont pas forcément folles..."
Un scénario signé Sebastian Gutierrez
Réalisateur du polar Judas Kiss en 1998, Sebastian Gutierrez signe avec Gothika une histoire entièrement originale. Il devait initialement diriger le film, mais céda sa place à Mathieu Kassovitz, plus expérimenté aux yeux du studio.
Halle Berry dans la peau de sa mère
La mère de Halle Berry fut infirmière en psychiatrie durant une trentaine d'années. C'est en partie pour cette raison que la comédienne "accrocha" sur le scénario, n'hésitant pas à demander à sa maman des conseils sur son ancien métier.
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Retrouvailles Berry / Silver
Gothika marque la quatrième collaboration de Halle Berry avec le producteur Joel Silver. Ils avaient auparavant travaillé conjointement sur Le Dernier samaritain (1992), Ultime décision (1996) et l'explosif Opération Espadon (2001).
Un Français au montage
Monteur sur Assassin(s) en 1997, Yannick Kergoat retrouve Mathieu Kassovitz pour la seconde fois.
De la Matrice au gothique
Les costumes de Gothika sont l'oeuvre de Kym Barrett, responsable de l'impressionnante et vaste garde-robe de Matrix reloaded / Matrix revolutions, également produits par Joel Silver.
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Gran Torino|Clint Eastwood|Drame||4|américain|2009|110|Anglais||DX50|||DX50|751 Kbps|704x288|MPEG-1/2 L3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|700||||24.252|28/07/2009 00:00:00|Rob Lorenz Billy Gerber Clint Eastwood|Nick Schenk Dave Johannson|Tom Stern||Warner Bros.||Walt Kowalski est un ancien de la guerre de Corée, un homme inflexible, amer et pétri de préjugés surannés. Après des années de travail à la chaîne, il vit replié sur lui-même, occupant ses journées à bricoler, traînasser et siroter des bières. Avant de mourir, sa femme exprima le voeu qu'il aille à confesse, mais Walt n'a rien à avouer, ni personne à qui parler. Hormis sa chienne Daisy, il ne fait confiance qu'à son M-1, toujours propre, toujours prêt à l'usage...Ses anciens voisins ont déménagé ou sont morts depuis longtemps. Son quartier est aujourd'hui peuplé d'immigrants asiatiques qu'il méprise, et Walt ressasse ses haines, innombrables - à l'encontre de ses voisins, des ados Hmong, latinos et afro-américains "qui croient faire la loi", de ses propres enfants, devenus pour lui des étrangers. Walt tue le temps comme il peut, en attendant le grand départ, jusqu'au jour où un ado Hmong du quartier tente de lui voler sa précieuse Ford Gran Torino... Walt tient comme à la prunelle de ses yeux à cette voiture fétiche, aussi belle que le jour où il la vit sortir de la chaîne.Lorsque le jeune et timide Thao tente de la lui voler sous la pression d'un gang, Walt fait face à la bande, et devient malgré lui le héros du quartier. Sue, la soeur aînée de Thao, insiste pour que ce dernier se rachète en travaillant pour Walt. Surmontant ses réticences, ce dernier confie au garçon des "travaux d'intérêt général" au profit du voisinage. C'est le début d'une amitié inattendue, qui changera le cours de leur vie.Grâce à Thao et sa gentille famille, Walt va découvrir le vrai visage de ses voisins et comprendre ce qui le lie à ces exilés, contraints de fuir la violence... comme lui, qui croyait fermer la porte sur ses souvenirs aussi aisément qu'il enfermait au garage sa précieuse Gran Torino... |Clint Eastwood (Walt Kowalski)@Bee Vang (Tao)@Ahney Her (Sue )@Geraldine Hughes (Karen Kowalski)@John Carroll Lynch (Martin, le coiffeur )@Cory Hardrict (Duke)@Dreama Walker (Ashley Kowalski)@Brian Haley (Mitch Kowalski)@Doua Moua (Spider)@Brian Howe (Steve Kowalski)@Christopher Carley (Père Janovich)@Arthur Cartwright (Prez)@Brooke Chia Thao (Vu)@Elvis Thao (Un membre du gang Hmong)@Michael E. Kurowski (Josh Kowalski)@Choua Kue (Youa)@William Hill (Tim Kennedy)@Chee Thao (La grand mère)@Xia Soua Chang (Kor Khue)@Davis Gloff (Darrell)@Scott Reeves (Trey)@Greg Trzaskoma (Le barman)@Vue Sonny (Smokie)@John Johns (Al)@Tom Mahard (Mel)@Nana Gbewonyo (Monk)@Austin Douglas Smith (Daniel Kowalski)@Conor Liam Callaghan (David Kowalski)@Julia Ho (Docteur Chang)@Maykao K. Lytongpao (Gee)@Carlos Guadarrama (Le chef du Gang Latino)@||Secrets de tournage :
Un palme d'or pour Clint Eastwood !
Le jour de la sortie de Gran Torino en France, Clint Eastwood s'est vu remettre par le Festival de Cannes, à l'âge de 78 ans, une Palme d'or pour toute son oeuvre.
Le record !
Grand Torino est le plus gros succès de Clint Eastwood en France en tant que réalisateur, avec 3,2 millions de spectateurs. Il surpasse ainsi Million Dollar Baby (2005), deux fois oscarisé et vu par 3,16 millions de spectateurs dans l'Hexagone.
Eastwood, le retour !
Gran Torino marque le grand retour de Clint Eastwood devant la caméra, absent du grand écran depuis Million Dollar Baby pour lequel il a reçu l'Oscar du meilleur réalisateur.
Une première pour Schenk !
Gran Torino est le premier scénario de Nick Schenk. Originaire du Minnesota, il a travaillé lontemps dans des usines au milieu de nombreux ouvriers Hmong. Les expériences personnelles et les gens qu'il a connu l'ont beaucoup inspiré pour le scripte.
Un démarrage record aux Etats-Unis!
Gran Torino s'est installé en tête du Boxe office américain dès son premier week-end, il s'agit d'un démarrage record pour le film de Clint Eastwood, qui détrône Space Cowboys son record jusqu'alors.
Incitation fiscale à la production
Gran Torino est l'un des premiers films à tirer profit de la nouvelle loi de l'Etat du Michigan qui prévoie des mesures d'incitations fiscales à la production de films.
La rumeur d'un retour de l'inspecteur Harry
A l'annonce de la mise en chantier de Gran Torino, de nombreuses rumeurs ont circulé sur l'intrigue de ce film-mystère. La plus crédible et surprenante, relayée par le site Ain't It Cool News, faisait état d'un nouvel épisode de la saga L'Inspecteur Harry. L'auteur d'une lettre quasi anonyme adressée au site expliquait avoir rencontré des dirigeants de Village Roadshow Pictures, à la recherche d'une Gran Torino de 1972 pour le nouveau film de Clint Eastwood. Il avait également écrit que le long métrage en question serait un polar dans lequel l'inspecteur Harry Callahan sortirait de sa retraite pour traquer l'assassin de son policier de petit-fils, un homme dont seule la voiture aurait été identifiée : une Ford Gran Torino de 1972 ! C'est en conférence de presse, durant le Festival de Cannes, que le cinéaste-comédien fit taire la rumeur en affirmant qu'à 78 ans il était trop vieux pour reprendre du service au sein de la police. Toutefois, force est de constater quelques similitudes entre le héros de Gran Torino et le flic aux méthodes expéditives qui fit la gloire de Clint Eastwood (regard glacial, voix plus éraillée que jamais...).
Sorti 3 mois après "L'Echange"
Ce film a non seulement surpris les fans de Clint Eastwood par sa rapidité de conception mais également par sa date de sortie américaine (le 17 décembre 2008), soit trois mois après la diffusion de son film précédent, L'Echange, sur le terriroire US.
Kowalski, un nom fréquent!
Kowalski est le nom du vétéran de la Guerre de Corée interprété par Clint Eastwood dans le film Gran Torino. C'est un nom fréquent au cinéma, puisqu'il s'agit du nom utilisé pour l'anti-héros champion de stock-car dans le film Point limite zéro du réalisateur Richard C. Sarafian, mais également par le couple Marlon Brando et Kim Hunter dans Un tramway nommé désir d'Elia Kazan.
La voiture Gran Torino
La voiture Gran Torino, à l'origine du titre, est celle utilisée dans les années 1970 pour la série Starsky et Hutch.
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Les contributeursCe film a reçu 1 contribution, pour les secrets de tournage, de: MemeChou
Les contributions faites sur cette fiche sont mises à disposition sous un contrat Creative Commons.
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Grease|Randal Kleiser|Comédie musicale||3|américain|1978|103|Anglais||DX50|||DX50|886 Kbps|704x320|MPEG-2 Audio layer 3|56.0 Kbps|False|22.05 KHz|2|704||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Allan Carr Robert Stigwood|Allan Carr|Bill Butler||Acte Films|Saga : Grease |A la fin des vacances d'été, les amoureux Danny Zuko et Sandy Olsson, une jeune Australienne de bonne famille, doivent se séparer.A son retour au lycée Rydell, le jeune homme retrouve sa bande, les T-birds, blousons de cuir et cheveux gominés. Les parents de Sandy ayant décidé de s'installer aux Etats-Unis, la demoiselle intègre la même école...Passé la surprise des retrouvailles et pour faire bonne figure devant ses copains, Danny adopte une attitude désinvolte qui laisse la jeune fille totalement désemparée. Sandy rejoint alors les Pink Ladies, le pendant féminin des T-Birds.S'ensuit un jeu du chat et de la souris entre les deux tourtereaux, le tout rythmé par les événements de leur vie de lycéens : démarrage de la saison de football américain, bal de promotion, course de voitures, soirées entre filles, entre garçons, au fast-food, au drive-in... |John Travolta (Danny Zuko)@Olivia Newton-John (Sandy Olsson)@Stockard Channing (Betty Rizzo)@Jeff Conaway (Kenickie)@Barry Pearl (Doody)@Andy Tennant (Un danseur)@Lorenzo Lamas (Tom Chisum)@Dinah Manoff@Fannie Flagg@Eve Arden@Frankie Avalon@Joan Blondell@Edd Byrnes@Sid Caesar@Alice Ghostley@||Secrets de tournage :
Basé sur un spectacle musical
Grease est l'adaptation au cinéma d'un spectacle musical datant de 1971 et ayant pour cadre la jeunesse des années cinquante. Les auteurs en sont Jim Jacobs et Warren Casey. Les premières représentations de cette pièce eurent lieu au Kingston Mines Theatre à Chicago.
De "Gorge profonde" à "Grease"
Harry Reems, l'acteur masculin principal de Gorge profonde, s'est vu proposer par le scénariste et producteur Allan Carr le rôle d'un entraîneur dans Grease, mais les studios Paramount désapprouvèrent ce choix. Cette vaine tentative pour intégrer le milieu du cinéma dit "traditionnel" et le refus qui s'en suivit marquèrent le début d'une longue déchéance pour le célèbre acteur porno.
Henry Winkler pressenti
Henry Winkler, alias Fonzie dans la série télévisée Happy Days, était au départ pressenti pour incarner le personnage de Danny. Ce dernier préféra refuser ce rôle qui fut finalement attribué à John Travolta.
La suite
Grease fit l'objet d'une suite tout simplement intitulée Grease 2. Réalisé en 1982 par Patricia Birch, ce second volet interprété par Michelle Pfeiffer et Maxwell Caulfield ne rencontra toutefois pas le même succès.
Le duo Travolta - Newton-John
Grease permit à John Travolta et Olivia Newton-John d'accéder à la gloire. Le premier venait se de faire remarquer par le grand public dans La Fièvre du samedi soir (1977), tandis que la seconde était davantage connue comme chanteuse de country aux Etats-Unis.
Le succès de la bande originale
La musique du générique interprétée par Frankie Valli et la chanson You're the One That I Want ont été classées numéro un aux charts US.
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Grease 2|Patricia Birch|Comédie||2|américain|1982|109|||XviD|||XVID|780 Kbps|720x288|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Allan Carr Robert Stigwood|Ken Finkleman|Frank Stanley|||Saga : Grease |Deux ans après l'aventure de Sandy à la Rydell High School, les élèves de l'école accueillent Michael, le cousin de Sandy. Celui-ci tombe amoureux de Stephanie Zinone, la chef des Pink Lady. |Maxwell Caulfield (Michael Carrington)@Michelle Pfeiffer (Stephanie Zinone)@Lorna Luft (Paulette Rebchuck)@Maureen Teefy (Sharon Cooper)@Alison Price (Rhonda Ritter)@Pamela Segall (Dolores Rebchuck)@Adrian Zmed (Johnny Nogerelli)@Vernon Scott (Henry Dickey)@Brad Jeffries (Preptone)@Dennis Stewart (Balmudo)@Andy Tennant (Boy Greaser)@Jenifer Newman (Une danseuse)@||Secrets de tournage :
Les débuts de Michelle Pfeiffer
Dans Grease 2, Michelle Pfeiffer fait ses grands débuts au cinéma. Brian De Palma la remarque et lui donne, un an plus tard, le rôle féminin principal de Scarface aux côtés de Al Pacino.
La suite de...
Devant le succès de Grease, qui engrangea en 1978 quelque 96,3 millions de dollars (pour un budget de 6 millions), ses producteurs, Allan Carr et Robert Stigwood entreprirent une suite, Grease 2. Le public et la critique réservent un accueil désastreux à ce deuxième opus, qui ne récolta que 6,5 millions au box-office.
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Gremlins|Joe Dante|Fantastique|Film pour enfants|3|américain|1984|99|Anglais||DivX|||DIVX|864 Kbps|704x400|MPEG-1/2 L3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|692||||25.000|09/08/2009 00:00:00|Michael Finnell|Chris Columbus|John Hora|||Saga : Gremlins |Rand Peltzer offre à son fils Billy un étrange animal : un mogwai. Son ancien propriétaire l'a bien mis en garde : il ne faut pas l'exposer à la lumiere, lui éviter tout contact avec l'eau, et surtout, surtout ne jamais le nourrir apres minuit... Sinon... |Zach Galligan (Billy Peltzer)@Phoebe Cates (Kate)@Hoyt Axton (Rand Peltzer)@Frances Lee McCain (Lynn Peltzer)@Polly Holliday (Ruby Deagle)@Glynn Turman (Roy Hanson)@Dick Miller (Murray Futterman)@Keye Luke (Mr. Wing)@Jackie Joseph (June Futterman)@Corey Feldman (Pete F.)@Chuck Jones (Mr. Jones)@Kenneth Tobey (Employé de la station service)@Jerry Goldsmith@William Schallert@Steven Spielberg (l'homme dans la chaise électrique)@Scott Brady@Judge Reinhold@Jonathan Banks@Edward Andrews@Harry Carey Jr.@Nicky Katt@||Secrets de tournage :
Un androïde vedette
Robby le Robot, l'androïde vedette du classique Planète interdite (1957), fera deux apparitions pour le cinéaste Joe Dante, dans Gremlins (1984), puis dans Les Looney Tunes passent à l'action, lors de la séquence de la Zone 52.
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Gremlins 2, the New Batch|Joe Dante|Fantastique||3|américain|1990|99|Anglais||XviD|||XVID|763 Kbps|592x320|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|618||||23.976|09/08/2009 00:00:00|Michael Finnell|Chris Columbus Charles S. Haas|John Hora||Warner Bros. France|Saga : Gremlins |Billy et Kate habitent New York avec leur mogwai Gizmo. Malencontreusement mouillé, la petite créature donnent naissance à une nouvelle génération de gremlins. Les monstres prennent d'assaut un gratte-ciel high-tech... |Zach Galligan (Billy Peltzer)@Phoebe Cates (Kate Beringer)@Christopher Lee (Docteur Catheter)@Robert Prosky (Fred)@John Glover (Daniel Clamp)@Robert Picardo (Forster)@Kenneth Tobey (Le projectioniste)@Joe Dante@Hulk Hogan (lui-même)@Dick Miller@Keye Luke@Kathleen Freeman@Patrika Darbo@Jerry Goldsmith@Rick Ducommun@Paul Bartel@Julia Sweeney@John Astin@Henry Gibson@Leonard Maltin@Raymond Cruz (le livreur )@||||||||||||@@
The Hitchhiker's Guide to the Galaxy|Garth Jennings|Science fiction||2|américain|2005|108|Anglais||XviD|||XVID|755 Kbps|624x256|MPEG-1 Audio layer 3|130 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Nick Goldsmith Jay Roach Jonathan Glickman Gary Barber Roger Birnbaum|Douglas Adams Karey Kirkpatrick|Igor Jadue-Lillo||Buena Vista International||Sale journée pour le Terrien Arthur Dent. Sa maison est sur le point d'être rasée par un bulldozer, il découvre que son meilleur ami, Ford Prefect, est un extraterrestre et pour couronner le tout, la Terre va être pulvérisée dans quelques minutes pour faire de la place à une voie express hyperspatiale.Arthur a une chance de survivre, mais il doit pour cela se faire prendre en stop par un vaisseau spatial, avec l'aide de Ford. Sa plus grande aventure va commencer au moment où notre propre monde disparaît... Arthur se jette dans l'inconnu et entame un délirant périple au cours duquel il va découvrir la véritable nature de l'univers. |Martin Freeman (Arthur Dent)@Mos Def (Ford Prefect)@Sam Rockwell (Zaphod Beeblebrox)@John Malkovich (Humma Kavula)@Zooey Deschanel (Tricia McMillan (Trillian))@Alan Rickman (voix de Marvin, le robot parano)@Bill Bailey (II) (la voix du cachalot)@Stephen Fry (voix du Guide)@Anna Chancellor (Questular)@Warwick Davis (Marvin)@Jack Stanley (Lunkwill)@Steve Pemberton (Prosser)@Bill Nighy (Slartibartfast)@Helen Mirren@Jason Schwartzman (Gag Halfrunt)@||Secrets de tournage :
Une série culte aux Etats-Unis
H2G2 : le guide du voyageur galactique est l'adaptation d'une mini-série radiophonique populaire outre-Manche, créée par Douglas Adams en 1978. La série avait été un tel succès que le réalisateur Ivan Reitman et les producteurs Joe Medjuck et Michael C. Gross voulaient en faire un film dès 1982, avec en vedette Bill Murray et Dan Aykroyd. Mais ce dernier leur fit part d'une autre idée : Ghostbusters, et ils privilégièrent ce projet.
Le succès du film n'éclipsa pas la série, qui devint culte et fut déclinée en roman, jeu vidéo, pièce de théâtre, bande dessinée et bien d'autres produits dérivés. C'est pourquoi le projet resta à l'étude dans les Majors.
Jim Carrey pressenti
A la demande insistante de Douglas Adams, qui souhaitait que le film se produise avant qu'il ne meure, le projet fut relancé avec cette fois, Jay Roach à la réalisation, Hugh Laurie et Jim Carrey pour jouer l'excentrique Zaphod Beeblebrox. Cette belle affiche ne verra jamais le jour. Douglas meurt d'une crise cardiaque en 2001 et le projet change encore de mains. Jay Roach le transmet à Spike Jonze. Ce dernier finit par refuser, mais suggère les noms de Nick Goldsmith et Garth Jennings, réalisateurs de clips, et le projet est lancé définitivement avec l'affiche actuelle.
Passer de "Chicken run" à "H2G2"
Dans leur tentative de trouver un scénariste qui pourrait reprendre le scénario là où Douglas Adams l'avait laissé et le mener à terme, les producteurs Gary Barber et Jonathan Glickman ont porté leur dévolu sur Karey Kirkpatrick, séduits qu'ils étaient par le mélange d'humour, de coeur et le sens de la narration rythmée qu'il avait apportés au film Chicken run.
Flatté par la proposition, ce dernier s'est d'abord laissé aller à la panique : "J'ai d'abord pensé que je serais incapable d'écrire ce scénario, explique-t-il, parce que Douglas Adams était un génie, ce qui n'est pas mon cas (...) Je connaissais le livre de réputation, j'étais conscient de son influence, mais je ne l'avais jamais lu (...) Cela dit, ça m'a permis d'aborder l'histoire avec un regard neuf. Je n'avais tout simplement aucune notion préconçue quand je me suis penché sur l'histoire."
La création d'un univers visuel
Avant le début du tournage, Garth Jennings a storyboardé la plus grande partie du film, couchant sur le papier toutes les idées dont lui, Nick Goldsmith, Karey Kirkpatrick et tous les producteurs avaient discuté pendant des mois. "C'était une tâche colossale, confie le metteur en scène, mais j'ai réalisé que le seul moyen pour que le projet tienne debout était de montrer à tout le monde comment nous allions créer cet univers hyperréaliste sur notre bonne vieille Terre."
Dès le départ, Jennings a désiré créer l'univers de science-fiction humoristique de Douglas Adams en mélangeant animatroniques de dernière génération et trucages de cinéma à l'ancienne, dont certains remontent à l'époque des films muets. Ce mélange devait donner un look bien particulier, à la fois rétro et futuriste, qui ferait cavaler l'esprit du spectateur.
Garth Jennings précise : "Nous ne voulions pas faire un de ces films qui se déroulent dans l'espace truffés d'effets, pleins de conventions que le public connaît et auxquelles il s'attend. Bien sûr, il y a un tas d'effets différents, mais ils ne sont pas là pour épater, ils font partie de l'humour et de l'inventivité de l'histoire. Ils laissent toujours la place à l'imagination - c'est un concept fondamental dans l'univers de Douglas Adams. Nous n'avons pas complètement rejeté les images de synthèse, il y en a pas mal, mais nous les avons minorées, elles sont là comme un complément, pas comme une base. Nous voulions créer quelque chose d'étrange et d'original."
On ne change pas une équipe qui gagne
Une grande partie de l'équipe de Garth Jennings et Nick Goldsmith avait déjà travaillé avec eux sur leurs clips et leurs spots publicitaires. Le réalisateur explique : "Nous pensions essentiel de travailler avec des gens avec qui nous avons une relation de collaboration qui fonctionne parfaitement, parce que nous pourrions ainsi pousser l'inventivité plus loin. Parmi nos fidèles se trouvent Igor Jadue-Lillo, directeur de la photo très créatif, Joel Collins, penseur original et chef décorateur, et Sammy Sheldon, qui a créé les costumes interplanétaires les plus rigolos de la galaxie."
Des créatures en chair et en os
Pour les créatures extraterrestres, Garth Jennings et Nick Goldsmith ont privilégié les effets physiques plutôt qu'informatiques. Ils ont notamment créé des costumes grandeur nature pour les Vogons. Nick Goldsmith explique : "Nous savions que ce serait difficile, mais quand on a des créatures palpables, tangibles sur le plateau, il naît une magie inimitable."
Pour les aider à créer leur ménagerie interspatiale, Garth Jennings et Nick Goldsmith ont fait appel au Jim Henson's Creature Shop, fondé par le marionnettiste Jim Henson. Jamie Courtier, directeur créatif du Creature Shop, est notamment à l'origine des Vogons animatroniques de plus de 2 m de haut. Tous sont nés d'un amalgame d'argile, de caoutchouc, de mousse... le tout porté par des comédiens humains.
Un vaisseau en forme de théière
Le vaisseau qui sauve Arthur et Ford d'une mort certaine dans le vide de l'espace a été décrit par Douglas Adams comme ayant la forme d'une chaussure de tennis géante, mais les cinéastes sont tombés d'accord sur le fait que cela ne fonctionnerait pas à l'écran.
Ils ont donc cherché quelque chose d'inhabituel mais de visuellement intéressant, avec un côté moderne. Le chef décorateur Joel Collins a créé les concepts initiaux et dessiné, en collaboration avec Garth Jennings et Nick Goldsmith, près de 80 vaisseaux spatiaux. "Certains relevaient de l'imaginaire pur, explique-t-il, d'autres étaient juste bizarres, d'autres aérodynamiques, et d'autres très simples. Nous avons même essayé quelques formes de baskets, juste pour voir... Finalement, nous avons resserré les recherches jusqu'à aboutir à notre Coeur-en-Or, une sorte de théière volante avec un dessin bleu qui fait penser à un vase Ming."
Il a fallu quatre mois et demi pour construire les décors grandeur nature du vaisseau et tous ses accessoires. Il y avait également 3 000 ampoules électriques à visser à la main.
Le clin d'oeil du premier Arthur Dent
A l'instar de Paul Michael Glaser dans l'adaptation de Starsky et Hutch en 2004, Simon Jones qui joua Arthur Dent dans les toutes premières adaptations du romans à la radio et à la télévision en 1981, fait une petite apparition dans le film, en hommage à son ami et créateur de la série Douglas Adams.
Un rôle sur mesure
Avant sa mort, l'auteur a écrit spécialement pour John Malkovich le rôle d'Humma Kavula. Il tenait à ce que l'acteur incarne ce leader religieux dans le film, ce qu'il accepta avec enthousiasme.
Trop beau pour le rôle
Jack Davenport, vu dans Pirates des Caraïbes, la malédiction du Black Pearl, fut un temps contacté pour le rôle d'Arthur Dent, mais finalement rejeté, car trop séduisant, selon les producteurs, pour ce rôle de monsieur tout-le-monde.
« Préc.
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Halloween|John Carpenter|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|1979|87|Anglais||DivX|||DIVX|968 Kbps|640x280|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|668||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Debra Hill John Carpenter|John Carpenter Debra Hill|Dean Cundey|||Saga : Halloween |La nuit d'Halloween 1963. Le jeune Michael Myers se précipite dans la chambre de sa soeur aînée et la poignarde sauvagement. Après son geste, Michael se mure dans le silence et est interné dans un asile psychiatrique. Quinze ans plus tard, il s'échappe de l'hôpital et retourne sur les lieux de son crime. Il s'en prend alors aux adolescents de la ville. |Jamie Lee Curtis (Laurie Strode)@Donald Pleasence (Dr. Samuel Loomis)@Brian Andrews (Tommy Doyle)@Nancy Loomis (Annie)@Kyle Richards (Lindsey)@P.J. Soles (Lynda)@Nick Castle@Peter Griffith (Morgan Strode)@||Secrets de tournage :
Femmes à poigne
Comme dans nombre des films de John Carpenter, Ghosts of Mars est mené par des personnages féminins aux caractères bien trempés. A Jamie Lee Curtis d'Halloween et Adrienne Barbeau de Fog (entre autres), succèdent ainsi Natasha Henstridge (dans le rôle de Melanie Ballard), Pam Grier (Helena Braddock) et Clea Duvall (Bashira Kincaid). Toutes trois allongent la liste des femmes tout sauf victimes consentantes présentes dans la filmographie de John Carpenter.
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Halloween 2|Rick Rosenthal|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|1982|88|Toutes les régions||DX50|||DX50|986 Kbps|720x416|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|691||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Debra Hill John Carpenter|Debra Hill John Carpenter|Dean Cundey|||Saga : Halloween |Michael Myers, échappé de l'hôpital psychiatrique, sème de nouveau la terreur dans la petite ville d'Haddonfield. Les habitants fêtent Halloween, la nuit des sorcières et la police a bien du mal à démasquer le meutrier. |Jamie Lee Curtis (Laurie Strode)@Donald Pleasence (Dr Loomis)@Charles Cyphers (Leigh Brackett)@Dick Warlock (Michael "The Shape" Myers)@Dana Carvey (WWAR Assistant)@||||||||||||@@
Halloween 3|Tommy Lee Wallace|Epouvante-horreur||1|américain, américain|1982|93|Anglais||DX50|||DX50|918 Kbps|720x320|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|48.0 KHz|2|695||||25.000|28/07/2009 00:00:00|John Carpenter Debra Hill|Tommy Lee Wallace|Dean Cundey|||Saga : Halloween |Un fabricant de masques d'Halloween met au point un plan démoniaque pour tuer des millions d'enfants avec ses masques... |Stacey Nelkin@Ralph Strait@Tom Atkins (Dr. Daniel Challis)@Stacy Nelkin (Ellie Grimbridge)@Dan O'Herlihy (Conal Cochran)@Michael Currie (Rafferty)@Tommy Lee Wallace@||||||||||||@@
Halloween 4 - The Return of Michael Myers|Dwight H. Little|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|2|britannique|1988|80|Région 1 (||DX50|||DX50|1 019 Kbps|720x416|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|649||||25.000|28/07/2009 00:00:00||||||Saga : Halloween |Comme la loi le prévoit, Michael Myers est transferé dans un hôpital normal après dix ans passés dans un hôpital psychiatrique pour fous criminels. Le docteur Loomis, persuadé que Michael va pouvoir enfin reprendre ses meurtres sanglants, part à sa recherche. Mais la ronde des meurtres a déjà commencé et Michael est en route pour la ville d'Haddonfield qui se prépare à fêter Halloween. |Donald Pleasence (Dr Sam Loomis)@Michael Pataki (Dr Hoffman)@Beau Starr (le Shérif Ben Meeker)@Danielle Harris (Jamie Lloyd)@Ellie Cornell (Rachel Carruthers)@George P. Wilbur (Michael Myers)@Sasha Jenson (Brody)@Kathleen Kinmont (Kelly Meeker)@Gene Ross (Earl)@Carmen Filpi (Jack Sayer)@Raymond O'Connor (un agent de la sécurité)@Jeff Olson (Richard Carruthers)@||||||||||||@@
Halloween 5 : The Revenge of Michael Myers|Dominique Othenin-Girard|Epouvante-horreur||2|américain|1989|93|Anglais||XviD|||XVID|912 Kbps|544x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Ramsey Thomas|Dominique Othenin-Girard Michael Jacobs Shem Bitterman John Carpenter Debra Hill|Robert Draper|||Saga : Halloween |Laissé pour mort, Michael Myers cherche à mettre la main sur sa nièce, traitée par le docteur Loomis... |Donald Pleasence (Dr. Sam Loomis)@Ellie Cornell (Rachel Carruthers)@Matthew Walker (Spitz)@Danielle Harris (Jamie Lloyd)@Wendy Kaplan (Tina Williams)@Beau Starr (Ben Meeker)@Don Shanks (Michael Myers)@||||||||||||@@
Halloween 6 : The Curse of Michael Myers|Joe Chappelle|Epouvante-horreur||2|américain||84|Anglais||DX50|||DX50|899 Kbps|640x480|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|629||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Paul Freeman|Daniel Farrands John Carpenter Debra Hill|Billy Dickson|||Saga : Halloween |Dix ans après avoir terrorisé la petite ville d'Haddonfield et avoir disparu avec sa nièce Jamie, le psychopathe Michael Myers, protégé par une bande de sorciers maléfiques, revient sur les lieux de ses sanglants méfaits. Jamie, elle, donne naissance au fils de Michael Myers et appelle une nouvelle fois le docteur Loomis à l'aide. |Donald Pleasence (Docteur Sam Loomis)@Paul Rudd (Tommy Doyle)@Marianne Hagan (Kara Strode)@Kim Darby (Debra Strode)@Mitch Ryan (Docteur Terrence Wynn)@||Secrets de tournage :
Dernier volet de la trilogie
Halloween 6 met fin à la triologie officieuse formée avec les épisodes 4 et 5. En effet,ces trois films de la saga s'articulent autour du personnage de Jamie,interprêtée par Danielle Harris. Pour l'épisode suivant,la série réintroduit le personnage de Laurie Strode campée par Jamie Lee Curtis,en omettant ainsi toute référence aux volets 4,5 et 6.
Carpenter à l'origine des personnages
Les personnages d'Halloween 6 sont basés sur ceux créés par John Carpenter et Debra Hill pour Halloween, La Nuit des masques
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Les contributeursCe film a reçu 1 contribution, pour les secrets de tournage, de: toton007
Les contributions faites sur cette fiche sont mises à disposition sous un contrat Creative Commons.
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Halloween H20 : Twenty Years Later|Steve Miner|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|1998|77|Anglais||DX50|||DX50|1 043 Kbps|720x416|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|637||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Paul Freeman (II)|Matt Greenberg Robert Zappia John Carpenter Debra Hill|Daryn Okada|||Saga : Halloween |Vingt ans ont passé depuis le drame de Halloween, La Nuit des masques. Laurie Strode tente péniblement d'oublier le passé. Devenue directrice du college privé d'une petite ville, elle mène une vie tranquille auprès de son fils de dix-sept ans et de son compagnon. Pourtant Mike Myers continue à hanter ses nuits. A la veille d'Halloween, elle se dispute violemment avec son fils qui veut participer à la fête. Finalement elle le convainc de rester au collège et de fêter Halloween en petit comité. Tout ce petit monde ignore que Mike Myers a recommencé à assassiner. |Jamie Lee Curtis (Laurie Strode/Keri Tate)@Janet Leigh (Norma)@Adam Arkin (Will Brennan)@Michelle Williams (Molly)@Adam Hann-Byrd (Charlie)@Jodi Lyn O'Keefe (Sarah)@LL Cool J (Ronny)@Joseph Gordon-Levitt (Jimmy)@Josh Hartnett (John Tate)@||||||||||||@@
Halloween : Homecoming|Rick Rosenthal|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|2002|83|Anglais||XviD|||XVID|936 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|644||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Paul Freeman|Larry Brand Sean Hood John Carpenter Debra Hill|David Geddes||Miramax Films|Saga : Halloween |Un groupe de jeunes gens est sélectionné pour participer en direct à une émission de real TV. Ils doivent passer la nuit dans la maison d'enfance de Michael Myers. Les participants présument tous que ce jeu sera une simple partie de plaisir pouvant éventuellement leur apporter un peu de notoriété et de publicité gratuite.Mais les choses vont vite tourner au cauchemar. Michael Myers est de retour. L'un après l'autre, les candidats disparaissent. Le but du jeu va vite consister à essayer de sortir vivant de la demeure. |Jamie Lee Curtis (Laurie Strode )@Bianca Kajlich (Sara Moyer )@Busta Rhymes (Freddie Harris )@Tyra Banks (Nora Winston )@Katee Sackhoff (Jenna 'Jen' Danzig)@Sean Patrick Thomas (Rudy)@Thomas Ian Nicholas (Bill)@||Secrets de tournage :
Le retour de Jamie Lee Curtis
Jamie Lee Curtis déclare : "Je suis fière d'avoir créé un personnage comme celui de Laurie, aimé du grand public et parvenant à survivre à tous ces épisodes. Lorsque j'ai appris que Michael Myers était encore vivant, je me suis dit que je ne pouvais pas faire autrement que de revenir pour ce film."
Ce nouvel opus marque pour le rôle de Laurie un changement de comportement : elle est cette fois déterminée à échapper à son frère Michael. Jamie Lee Curtis a été particulièrement intriguée par la façon dont son personnage apprend enfin à gérer sa peur et devient de plus en plus intrépide face à son frère.
"Il me semblait intéressant de penser que la seule chose qui l'effraie vraiment est la peur elle-même", ajoute la comédienne. "Je voulais qu'elle puisse enfin affronter son frère et lui déclarer : "Cela n'a plus d'importance car la seule chose qui compte est que ton emprise s'achève. Tu es pathétique. Tu n'es rien. Tu es une mauviette car je ne te crains même plus."
Affronter ses propres peurs
Pour la plupart des comédiens, jouer dans Halloween resurrection était une façon d'affronter ses propres peurs. Tyra Banks espérait que jouer dans ce film l'aiderait à dépasser ses terreurs les plus enfouies. "J'ai vu Michael Myers sur le plateau, j'ai été effrayée : son masque est à la fois si proche du vivant et pourtant totalement dépourvu d'émotion."
Bianca Kajlich ajoute : "Qu'importe le nombre de fois où vous avez vu ce masque, cela vous noue encore et toujours l'estomac. Il est tellement effrayant que vous n'avez même plus besoin de simuler, car la peur vient spontanément. Il y a quelque chose chez cet être diabolique que vous ne pouvez expliquer ni formuler mais qui ne cesse de vous terrifier."
Pour plus de subjectivité
Rick Rosenthal souhaitait que le public, à la vue du film, éprouve de nouvelles sensations. C'est ainsi qu'il a eu l'idée de faire porter à chaque participant de ce jeu terrifiant une caméra digitale sanglée autour de la tête.
Le réalisateur explique : "Cela donne l'impression que tout se déroule dans la réalité et en temps réel. Cette idée offre un potentiel impressionnant de suspense et de tension, car vous pouvez voir ce qui se passe en différents points de la maison et savoir qui est en danger avant même que cette personne en ait pris conscience. Enfin, cette idée permet au public de mieux connaître les personnages et d'être beaucoup plus près d'eux."
Les objectifs utilisés pour ces caméras étant du 7 mm, les images prises par les participants le sont sous des grands angles, ce qui donne à ces séquences une ambiance particulièrement inquiétante que Rick Rosenthal caractérise à la "Cabinet du Dr. Caligari".
Rosenthal connaisseur de la saga
Halloween resurrection est l'occasion pour le metteur en scène Rick Rosenthal de retrouver Michael Myers, un personnage qu'il connaît bien, puisqu'il a dirigé en 1981 Halloween 2.
Huitième volet d'une saga d'horreur
Halloween resurrection est le huitième volet de Halloween, une saga d'horreur initiée en 1978 par John Carpenter.
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Hancock|Peter Berg|Action|Film pour enfants à partir de 10 ans|3|américain|2008|92|Anglais||XviD|||XVID|919 Kbps|624x256|MPEG-1 Audio layer 3|129 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Akiva Goldsman Richard Saperstein Will Smith James Lassiter Michael Mann|Vincent Ngo Vince Gilligan|Tobias A. Schliessler||Sony/Columbia||Il y a les héros, les super-héros et il y a... Hancock. Ses superpouvoirs lui ont souvent permis de sauver d'innombrables vies, mais les dégâts monstrueux qu'il fait au passage ont fini par le rendre impopulaire. Les habitants de Los Angeles n'en peuvent plus et se demandent ce qu'ils ont bien pu faire pour mériter un "héros" pareil. Hancock est une tête de mule irascible qui n'est pas du genre à se soucier de ce que pensent les gens... du moins jusqu'à ce qu'il sauve la vie de Ray Embrey, un spécialiste des relations publiques. Le super-héros le plus détesté au monde commence alors à réaliser qu'il n'est pas aussi insensible qu'il voudrait le faire croire... |Will Smith (Hancock)@Charlize Theron (Mary Embrey)@Jason Bateman (Ray Embrey)@Daeg Faerch (Michel)@Kate Clarke (une infirmière )@Valerie Azlynn (la cadre)@Hayley Marie Norman (Hottie)@Kate Clarke (L'infirmière )@Lily Mariye (Le docteur)@Darrell Foster (Sergent de Police)@David Mattey (Man Mountain)@Shea Curry (Reporter #2)@Alexandra Nowak (L'otage)@Rio Ahn (Officier de Police)@Kyla Dang (La petite fille dans le foule)@Atticus Shaffer (Le garçon à la station de bus)@Stephen Bishop (Docteur)@Ron Fassler (Reporter)@Adam Del Rio@Gregg Daniel (Chef de la Police)@Liz Wicker (Policier)@Mark Simich (Matt)@Steve DeCastro (Policier)@Nick Wall (Prisonnier)@Adam Van Conant (Serveur)@Jameson Dixon Jr. (Jason)@Rosemary Garris (l'otage)@Brandon Ford Green (l'annonceur radio (voix))@Allan Havey (le prisonnier)@Alexa Havins (la fan)@Jae Head (Aaron Embrey)@Martin Klebba (le prisonnier)@Algerita Wynn Lewis (l'agent avec le mug)@Rick Mali (le garde des punitions)@Eddie Marsan (Red (le gangster au crochet))@Chris Mitchell (le garde du gang des chaînes)@Sumalee Montano (le présentateur)@Scott Michael Morgan (le reporter de KCOT)@Hayley Marie Norman (la délurée)@Mary-Jessica Pitts (l'enfant chez le marchand de glaces)@Michael Mann (un participant de la réunion)@Peter Berg (un médecin à l'hôpital)@||Secrets de tournage :
Titre
A l'origine, le film devait s'appeller Tonight he comes. Juste avant que le tournage ne commence, il a été retitré John Hancock puis raccourci à Hancock.
Un lieu de tournage assez peu commun
Une partie d'Hancock s'est tournée dans les Studios Universal : située au bout du cul-de-sac qu'est Elm Street, la maison des Embrey se situait à deux pas de Wisteria Lane, qui n'est autre que le quartier des Desperate Housewives.
Effets spéciaux et variés
Si Hancock a permis au superviseur des effets spéciaux John Dykstra d'utiliser toutes sortes de trucages, le plus gros challenge pour lui aura été d'en créer de nouveaux, avec l'aide de Sony Pictures Imageworks ou Carey Villegas, dans la mesure où "une technologie qui existe au moment où vous débutez un film peut être obsolète quand vous l'achevez."
Ouverture pas facile
La scène d'ouverture, au cours de laquelle Hancock poursuit un gang de braqueurs sur une autoroute, a été l'une des plus difficiles à filmer pour Peter Berg et son équipe, puiqu'elle a nécessité plusieurs semaines de tournage à différents endroits, sans compter les scènes qui ont nécessité l'usage de fonds verts.
Une super-costumière
Chargée de créer ce costume qu'Hancock lui-même qualifie de "moulant", Louise Mingenbach n'est pas une novice de l'habillage de super-héros, puisque c'est à elle que l'on doit déjà les costumes de Superman Returns, ainsi que ceux d'X-Men 1 et 2.
Peter Berg, acteur et réalisateur
Quand il n'est pas derrière, Peter Berg évolue devant la caméra, ce qui lui confère un atout supplémentaire, comme l'explique le producteur d'Hancock, Michael Mann : "Le confiance que Peter accorde aux acteurs est différente de celle que distillent un écrivain, un réalisateur ou un producteur. Il sait à quel moment il doit retenir une pensée ou une émotion, et comment filmer une scène en fonction d'un acteur, de façon à provoquer chez le spectateur l'émtion qu'il recherche."
Hancock vu par Will Smith
Concernant son personnage dans le film, Will Smith déclare : "Hancock est compliqué. Il se lève tous les jours et en veut à la Terre entière. Il ne se souvient pas de ce qui lui est arrivé, et personne ne peut l'aider à trouver les réponses qu'il cherche. Ses intentions sont bonnes, mais il a du mal à entrer en contact avec le monde qui l'entoure." Il ajoute ensuite que "Hancock est comme le quaterback de la fac qui a un talent fou mais se comporte mal."
C'est jeudi, c'est spaghetti !
La soirée "spaghetti" que la famille Embrey organise tous les jeudis pour ressouder ses liens, est inspiré des souvenirs de Peter Berg. Une tradition désormais imprimée sur pellicule, mais qui a presque causé l'indigestion du jeune Jae Head : "J'avais oublié de prendre mon petit déjeuner le matin [du tournage de la scène] car j'étais impatient d'être sur le plateau, donc, au début, j'étais content de manger. Mais à la fin de la journée, j'étais à deux doigts de crier "ne me parlez plus de spaghetti !""
Will Smith par Peter Berg
Une fois que Will Smith a été attaché, convaincre Peter Berg n'a pas été la chose la plus difficile au monde, puisque le metteur en scène ne tarit pas d'éloges sur l'acteur principal d'Hancock : "Will est l'une des rares stars à cumuler plusieurs qualités : il est talentueux, n'a peur de rien et est extrêmement honnête. Quand une personne rassemble ces trois éléments, elle peut vraiment tout jouer, et Will est vraiment prêt à s'essayer à tout."
Des nouveaux et un fidèle
Si Hancock marque la première collaboration de Will Smith et Charlize Theron avec Peter Berg, il en va autrement de Jason Bateman, déjà à l'affiche du Le Royaume, et de Mi$e à prix de Joe Carnahan, aux côtés de Berg.
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The Haunting|Jan de Bont|Epouvante-horreur||2|américain|1999|107|Anglais||XVID|||XVID|764 Kbps|720x320|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Susan Arnold Donna Roth Colin Wilson|David Self|Karl Walter Lindenlaub||United International Pictures (UIP)||Sous prétexte de les guérir de leurs insomnies, le docteur David Marrow a invité à "Hill House" trois de ses patients, Theo, jeune femme belle et élégante; Luke, cobaye professionnel qui est venu pour gagner un peu d'argent ; et Lili, fragile, sensible et vulnérable. En réalité, le docteur conduit une expérience sur les mécanismes de l'angoisse. Or, le château de "Hill House", lugubre résidence construite au XIXe siècle par le richissime industriel Hugh Crain, homme cruel et tourmenté, a la reputation d'être hanté. |Liam Neeson (le docteur David Marrow)@Lili Taylor (Eleanor 'Nell' Vance)@Catherine Zeta-Jones (Theodora 'Theo')@Owen Wilson (Luke Sanderson)@Bruce Dern (Mr. Dudley)@Marian Seldes (Mrs. Dudley)@Alix Koromzay (Mary Lambetta)@Todd Field (Todd Hackett)@Virginia Madsen (Jane)@Michael Cavanaugh (le docteur Malcolm Keogh)@Tom Irwin (Lou)@Sherry Lynn (la voix d'un enfant)@Charles Gunning (Hugh Crain)@||||||||||||@@
Hard Candy|David Slade|Thriller|Interdit aux moins de 16 ans|3|américain|2006|104|Anglais||XviD|||XVID|790 Kbps|672x288|MPEG-1 Audio layer 3|135 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||23.976|02/08/2009 00:00:00|David Higgins Richard Hutton Michael Caldwell|Brian Nelson|Jo Willems||Metropolitan FilmExport||Hayley et Jeff se sont connus sur Internet. Elle est une très belle adolescente de 14 ans, et lui un séduisant photographe trentenaire. C'est elle qui a suggéré d'aller chez lui pour être plus tranquille, elle qui a voulu qu'il prenne quelques photos, elle qui leur a servi à boire et a commencé à retirer ses vêtements...Lorsqu'il se réveille, Jeff est ligoté et Hayley retourne tout chez lui. Elle a des questions à lui poser, et elle est décidée à obtenir des réponses. Elle sait qu'elle n'est pas la première adolescente à venir chez Jeff, elle veut découvrir ce qu'est devenue Donna Mauer.Sur le net, elle a également appris comment on pouvait jouer avec un bistouri, et elle meurt d'envie d'essayer... |Patrick Wilson (Jeff Kohlver)@Ellen Page (Hayley Stark)@Sandra Oh (Judy Tokuda)@Jennifer Holmes (Janelle Rogers)@Gilbert John@||Secrets de tournage :
Festivals
Présenté au Festival du Film de Sitges en 2005, Hard Candy de David Slade est reparti auréolé du Prix du Public, du Prix du Meilleur Film ainsi que celui du Meilleur Scénario.
Le film fait aussi partie de la sélection officielle du 32ème Festival du Film Américain de Deauville.
Premier film
Hard Candy est le premier film de David Slade. Il est surtout connu pour avoir réalisé de nombreux films publicitaires et de vidéos clips, pour lesquels il a obtenu 65 prix et distinctions.
Ce film est aussi le premier scénario porté sur grand écran écrit par Brian Nelson. Il est l'auteur de nombreuses pièces de théâtre et le scénariste de séries comme JAG ou Lois et Clark : les nouvelles aventures de Superman.
Inspiration
C'est le producteur David Higgins qui a eu l'idée du scénario d'Hard Candy alors qu'il lisait un article de journal sur des jeunes filles au Japon qui entamaient des relations sur internet avec des hommes plus âgés, leur fixaient rendez-vous, et les attendaient avec plusieurs amis pour les agresser. Il précise : "J'ai resseré sur l'idée d'une seule fille, qui traque les types qui cherchent les adolescentes sur Internet."
Un titre loin d'être innocent
Le titre du film, Hard Candy, désigne le terme argotique anglais pour désigner les mineures surfant sur internet et participant au forum de discussion.
Un tournage en temps record
Le tournage d'Hard Candy s'est fait en un temps record. Au total, il aura fallu 18 jours à David Slade pour boucler son film : "18 jours de tournage, c'est très court, il n'y a pas de temps pour se fâcher, ni pour passer des heures à discuter d'une scène."
Le choix du réalisateur
La production d'Hard Candy a étudié les travaux de nombreux réalisateurs avant de choisir celui qui prendrait la tête du projet. C'est cependant le travail et la vision que portait David Slade sur le scénario qui a attiré David Higgins : "Nous avons choisi David parce que nous voulions quelqu'un qui mènerait les mêmes batailles que nous : sur les films à petit budget, il faut toujours se battre pour ne pas laisser les choses s'échapper."
Le réalisateur David Spade parle du film
"Le script de Brian Nelson montre un monde où l'on doit remettre en question ses valeurs et ses préjugés. Pendant la moitié du film, vous méprisez cette fille. Et soudain, vous avez un dilemme : vous n'êtes pas supposé avoir de sympathie pour un pédophile. Hard Candy allait être difficile à faire au plan émotionnel, mais je pensais que cela servirait le film."
Nicholas Roeg
David Slade le réalisateur d'Hard Candy précise que ce sont les films de Nicholas Roeg qui lui ont donné envie de faire du cinéma : "(...)de tout ce que j'ai pu lire aux Etats-Unis, le scénario de Hard Candy est ce qui s'en rapproche le plus. "
Hayley
Le devenir d'Hard Candy dépendait entièrement du fait de trouver l'actrice qui pourrait interpréter le rôle de la jeune Hayley. Il aura fallu 125 filles et 7 mois avant que la production ne tombe sur la cassette d'Ellen Page : "Elle était saisissante, précise la productrice exécutive Rosanne Korenberg.
Une prédatrice
Avec son scénario, Hard Candy renverse les codes de la "chasse", en faisant d'une adolescente de 14 ans une prédatrice ayant pour proie un homme de 32 ans. Le producteur David Higgins précise : "Je n'avais encore jamais vu un tel personnage, une justicière de 14 ans. C'est tout simplement (...) un Hanibal Lecter de 14 ans."
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Harold & Kumar Go to White Castle|Danny Leiner|Comédie||3|américain|2004|88|Anglais||XviD|||XVID|966 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||23.976|06/08/2009 00:00:00|Greg Shapiro|Jon Hurwitz Hayden Schlossberg|Bruce Douglas Johnson||New Line Cinema|Saga : Harold and Kumar |Deux adolescents se lancent dans une quête mouvementée des hamburgers White Castle à travers l'Etat du New Jersey. |John Cho (Harold)@Kal Penn (Kumar)@Paula Garces (Maria)@Neil Patrick Harris (Neil Patrick Harris)@David Krumholtz (Goldstein)@Eddie Kaye Thomas (Rosenberg)@Malin Akerman (Lianne)@Anthony Anderson (employé du Burger Shack)@Boyd Banks (patient des urgences)@Steve Braun (Cole)@Brooke d'Orsay (Clarissa)@||||||||||||@@
Harry Potter and the Philosopher's Stone|Chris Columbus|Fantastique|Film pour enfants|3|américain, britannique|2001|146|Anglais||DX50|||DX50|568 Kbps|720x304|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|David Heyman|Steve Kloves|John Seale||Warner Bros.|Saga : Harry Potter |Harry Potter, un jeune orphelin, est élevé par son oncle Vernon et sa tante Pétunia qui le détestent. Alors qu'il était haut comme trois pommes, ces derniers lui ont raconté que ses parents étaient morts dans un accident de voiture.Le jour de son onzième anniversaire, Harry reçoit la visite inattendue d'un homme gigantesque se nommant Rubeus Hagrid. Celui-ci lui révèle qu'il est en fait le fils de deux puissants magiciens et qu'il possède lui aussi d'extraordinaires pouvoirs.C'est avec joie que le garçon accepte de suivre des cours à Poudlard, la célèbre école de sorcellerie. Il a enfin la chance de se faire des amis. Blâmé par le professeur Severus Rogue qui lui enseigne les potions et protégé par Albus Dumbledore, le directeur de l'établissement, Harry va tenter d'élucider le mystère de la pierre philosophale. |Daniel Radcliffe (Harry Potter)@Rupert Grint (Ronald Weasley)@Emma Watson (Hermione Granger)@Robbie Coltrane (Rubeus Hagrid)@Richard Harris (le directeur Albus Dumbledore)@Maggie Smith (le professeur Minerva McGonagall)@Alan Rickman (le professeur Severus Rogue)@Ian Hart (le professeur Quirrell)@Warwick Davis (le professeur Flitwick)@John Cleese (Sir Nicholas de Mimsy-Porpington alias Nick Quasi-Sans-Tête)@Tom Felton (Drago Malefoy)@Richard Griffiths (Vernon Dursley, l'oncle de Harry)@Fiona Shaw (Petunia Dursley, la tante de Harry)@John Hurt (Mr. Ollivander )@Chris Rankin (le préfet Percy Weasley )@Julie Walters (Mrs. Molly Weasley )@Zoë Wanamaker (Madame Bibine)@David Bradley (Argus Rusard)@Terence Bayler (Le Baron Sanglant)@Sean Biggerstaff (le capitaine Oliver Dubois)@Simon Fisher-Becker (le moine gras)@Matthew Lewis (Neville Londubat)@Leslie Phillips (Le Choixpeau)@Verne Troyer (Gripsec)@Nina Young (la vieille dame)@Harry Melling (Dudley Dursley )@James Phelps (Fred Weasley )@Oliver Phelps (George Weasley )@Bonnie Wright (Ginny Weasley )@Richard Bremmer (Lord Voldemort )@Alfie Enoch (Dean Thomas )@Joshua Herdman (Gregory Goyle )@Devon Murray (Seamus Finnegan )@Katharine Nicholson (Pansy Parkinson )@Geraldine Somerville (Lily Evans Potter )@Will Theakston (Terrence Higgs )@James Waylett (Vincent Crabbe )@Luke Youngblood (Lee Jordan )@||Secrets de tournage :
Un pot entier!
Tom Felton, qui incarne Drago Malefoy, avait besoin d'un pot entier de gel pour plaquer ses cheveux en arrière.
Première aventure cinématographique pour Harry Potter
Harry Potter à l'école des sorciers est le premier volet cinématographique des aventures du jeune sorcier. Il est suivi d'Harry Potter et la chambre des secrets (2002) et Harry Potter et le prisonnier d'Azkaban (2004).
Une doublure géante pour Robbie Coltrane
Interprète de l'imposant Rubeus Hagrid, gardien des clés de Poudlard, Robbie Coltrane a dû être "doublé" par un autre comédien, géant et massif, sur certaines prises de vue, avant d'accentuer la différence de taille et de carrure de son personnage avec les autres héros du film.
Photos volées
Des photos de promotion d'Harry Potter et la chambre des secrets ont été volées du coffre-fort où elles étaient stockées en décembre 2001. Producteur du film, les studios Warner Bros avaient alors demandé aux médias de ne pas utiliser ces clichés exclusifs (le tournage n'avait débuté que depuis un mois) si les voleurs venaient à leur proposer. Un méfait similaire avait été commis en 2001 sur le plateau d'Harry Potter à l'école des sorciers, où un chapeau de sorcier et trois pièces de monnaie avaient déjà été dérobés puis mis en vente sur Internet.
Une romancière satisfaite...
Joanne Kathleen Rowling, l'auteur de la saga littéraire Harry Potter a suivi de très près l'adaptation cinématographique de son premier livre, Harry Potter à l'école des sorciers. Au final, la jeune romancière avoue être très satisfaite du travail effectué par le réalisateur Chris Columbus. Joli compliment...
D'autres acteurs potentiels
Tim Roth et Rosie O'Donnell ont été un temps pressentis pour jouer respectivement les rôles du professeur Rogue et de Madame Weasley.
Les réalisateurs pressentis
Avant que Chris Columbus ne soit choisi pour réaliser Harry Potter à l'école des sorciers, les studios Warner Bros et le producteur David Heyman se sont d'abord intéressés à Steven Spielberg pour adapter au grand écran les aventures du jeune Harry Potter. D'autres noms de réalisateurs circulaient également à Hollywood : ceux de Robert Zemeckis, Brad Silberling, Jonathan Demme, Mike Newell, Rob Reiner, Ivan Reitman, Terry Gilliam ou encore Tim Robbins.
Un démarrage record
En Grande-Bretagne, Harry Potter à l'école des sorciers a établi un record absolu pour son premier week-end d'exploitation en récoltant l'équivalent de 22,8 millions de dollars (25,9 millions d'euros). En comparaison, Star wars épisode 1 : la menace fantôme avait rapporté, pour son week-end de démarrage outre-Manche, 9,5 millions de dollars en 1999.
Retrouvailles Smith / Radcliffe
Harry Potter à l'école des sorciers a été l'occasion pour Daniel Radcliffe de refaire équipe avec Maggie Smith, sa partenaire dans la série télévisée David Copperfield.
"Philosopher" contre "Sorcerer"
En Grande-Bretagne, Harry Potter à l'école des sorciers est paru sous le titre Harry Potter and the philosopher's stone. Or, aux Etats-Unis, le titre original a été remplacé par Harry Potter and the sorcerer's stone.
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Les contributeursCe film a reçu 1 contribution, pour les secrets de tournage, de: Miamsolo
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Harry Potter and The Chamber of Secrets|Chris Columbus|Fantastique||3|britannique, américain|2002|154|Anglais||XviD|||XVID|522 Kbps|720x288|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||25.000|28/07/2009 00:00:00|David Heyman|Steve Kloves|Roger Pratt||Warner Bros.|Saga : Harry Potter |Alors que l'oncle Vernon, la tante Pétunia et son cousin Dudley reçoivent d'importants invités à dîner, Harry Potter est contraint de passer la soirée dans sa chambre. Dobby, un elfe, fait alors son apparition. Il lui annonce que de terribles dangers menacent l'école de Poudlard et qu'il ne doit pas y retourner en septembre. Harry refuse de le croire.Mais sitôt la rentrée des classes effectuée, ce dernier entend une voix malveillante. Celle-ci lui dit que la redoutable et légendaire Chambre des secrets est à nouveau ouverte, permettant ainsi à l'héritier de Serpentard de semer le chaos à Poudlard. Les victimes, retrouvées pétrifiées par une force mystérieuse, se succèdent dans les couloirs de l'école, sans que les professeurs - pas même le populaire Gilderoy Lockhart - ne parviennent à endiguer la menace. Aidé de Ron et Hermione, Harry doit agir au plus vite pour sauver Poudlard. |Daniel Radcliffe (Harry Potter)@Rupert Grint (Ronald Weasley)@Emma Watson (Hermione Granger)@Kenneth Branagh (le professeur Gilderoy Lockhart)@Richard Harris (le directeur Albus Dumbledore)@Robbie Coltrane (Rubeus Hagrid)@Maggie Smith (le professeur Minerva McGonagall)@Warwick Davis (le professeur Flitwick)@Gemma Jones (Madame Pomfresh)@Alan Rickman (le professeur Severus Rogue)@Tom Felton (Drago Malefoy)@Jason Isaacs (Lucius Malefoy)@Miriam Margolyes (le professeur Chourave)@David Bradley (Argus Rusard)@Sally Mortemore (Madame Pince)@Robert Hardy (le ministre de la Magie Cornélius Fudge)@Christian Coulson (Tom Elvis Jedusor)@Harry Melling (Dudley Dursley)@Mark Williams (Mr. Arthur Weasley)@Oliver Phelps (George Weasley)@James Phelps (Fred Weasley)@Bonnie Wright (Ginny Weasley)@Hugh Mitchell (Colin Creevey)@James Waylett (Vincent Crabbe)@Joshua Herdman (Gregory Goyle)@Sean Biggerstaff (le capitaine Olivier Dubois)@Devon Murray (Seamus Finnegan)@Matthew Lewis (Neville Londubat)@Luke Youngblood (Lee Jordan)@Alfie Enoch (Dean Thomas)@Scott Fern (Marcus Flint)@John Cleese (Sir Nicholas de Mimsy-Porpington alias Nick Quasi-Sans-Tête)@Shirley Henderson (Mimi-Geignarde)@Julian Glover (la voix d'Aragog)@Toby Jones (la voix de Dobby l'elfe de maison)@Edward Randell (Justin Finch-Fletchley)@Chris Rankin (le préfet Percy Weasley)@Richard Griffiths (Vernon Dursley, l'oncle de Harry)@Fiona Shaw (Petunia Dursley, la tante de Harry)@Julie Walters (Mrs. Molly Weasley)@||Secrets de tournage :
Deuxième aventure cinématographique pour Harry Potter
Harry Potter et la chambre des secrets est le second volet cinématographique des aventures du jeune sorcier. Il est précédé d'Harry Potter à l'école des sorciers (2001), et suivi par Harry Potter et le prisonnier d'Azkaban (2004).
Une saga littéraire à succès, un roman plébiscité
En seulement quatre ans, Harry Potter est devenu l'une des sagas littéraires les plus lucratives de l'histoire. Ainsi, l'apprenti-sorcier de J.K. Rowling a vendu plus de 175 millions d'exemplaires de ses aventures dans le monde entier (édité dans 42 pays et de nombreuses langues dont le latin !) dont 11 millions d'exemplaires pour la France. Le second volume, Harry Potter et la chambre des secrets, s'est arraché à 42 millions d'exemplaires (dont 17 millions pour les Etats-Unis et la Canada, et plus de 3 millions d'exemplaires en France).
Le livre favori de Daniel Radcliffe
Harry Potter et la chambre des secrets est le volume d'Harry Potter que préfère Daniel Radcliffe, le jeune interprète de l'apprenti sorcier.
Production rapide pour film d'envergure
Le tournage d'Harry Potter et la chambre des secrets a débuté le 19 novembre 2001, soit trois jours seulement après la sortie d'Harry Potter à l'école des sorciers ! Les comédiens et l'équipe technique ont donc dû enchaîner les deux tournages. Toutefois, la production de ce deuxième opus s'est avérée plus aisée. Ainsi, les principaux décors ayant déjà été construits pour le premier volet, le budget a largement diminué (passant de 125 à 100 millions de dollars). De même, l'équipe ayant retenu les "leçons" et difficultés du premier tournage, cette deuxième aventure a posé moins de souci en terme de réalisation, ramenant le temps de production à moins d'un an (délai plutôt rare pour un film aussi imposant).
"C'était intense, mais nous avons tant appris sur Harry Potter à l'école des sorciers que j'étais ravi de pouvoir utiliser toutes ces connaissances sur le second film", explique le réalisateur Chris Columbus. "Nous n'avons pas eu l'opprtunité de nous asseoir et de réfléchir au succès du premier film. (...) A ce niveau-là, nous formions comme une grande famille. Et c'était génial de pouvoir partager cette excitation, sans perdre notre élan, et de l'injecter dans La Chambre des secrets".
Un film plus sombre pour un "nouveau" Harry Potter
Harry Potter et la chambre des secrets se présente comme un film plus sombre que le premier opus, et met en scène un Harry Potter au visage nouveau. "Nous avons pris une grande partie d'Harry Potter à l'école des sorciers pour mettre en place le monde d'Harry Potter", explique le producteur David Heyman. "Il y avait tant à introduire en terme de magie, de lieux et de personnages. Avec La Chambre des secrets, nous plongeons directement au coeur de l'histoire et de l'aventure". Un avis partagé par Chris Columbus: "La Chambre des secrets est plus sombre et plus drôle, et entraîne Harry dans un nouveau monde. Le premier film était centré sur Harry réalisant sa nature de sorcier. A l'inverse des personnages colorés et extravagants qui l'entouraient, il y était quelque peu passif et ne prenait pas les choses en main avant le dernier tiers du film. Dans La Chambre des secrets, Harry affiche immédiatement plus de confiance et de force".
Daniel Radcliffe et son personnage
Interprète d'Harry Potter, Daniel Radcliffe revient sur ce personnage qu'il comprend de plus en plus profondément : "Il a tellement évolué en tant que personnage, que je devais évoluer de mon côté. Maintenant, j'ai deux instincts : le mien, et celui d'Harry. Et quand nous filmions chaque scène, je me demandais 'Comment harry réagirait ?', et je tentais de faire passer ce sentiment à l'écran. (...) Je n'aurais manqué cette expérience pour rien au monde. Ca a été fantastique, et j'ai grandi et évolué vers l'âge adulte. En fait, je crois que tous ceux qui ont travaillé sur ce film ont grandi, même les adultes ! Et les liens que j'ai tissés, particulièrement avec Emma Watson et Rupert Grint, ne pourront jamais se briser".
Pour le réalisateur Chris Columbus, le jeune comédien a "accepté une énorme responsabilité quand il a été choisi pour interpréter Harry Potter. Il a réussi ce défi, et est devenu vraiment mature en tant que comédien. Il devient un véritable meneur, un véritable héros et, dans une moindre mesure, un véritable séducteur !"
Rupert Grint face aux araignées
Interprète de Ron Weasley, meilleur ami d'Harry Potter, Rupert Grint n'a pas simulé sa terreur face aux araignées géantes du film : "les scènes dans la tanière des araignées était effrayantes car j'ai peur des araignées. Quand j'ai vu Aragog (le chef des arachnides) pour la première fois, je ne jouais pas, j'étais véritablement terrifié !"
Kenneth Branagh, nouveau venu à Poudlard
Le comédien shakespearien Kenneth Branagh incarne le nouveau personnage principal de Harry Potter et la chambre des secrets : le professeur contre les forces du mal Gilderoy Lockhart. Dans la course pour intégrer la prestigieuse école de magie de Poudlard, il a devancé Hugh Grant (très intéressé par le rôle, ce dernier s'était même teint en blond pour convaincre les producteurs !) et Alan Cumming.
"C'était stressant, car je savais que La Chambre des secrets est un film majeur dont les spectateurs attendent beaucoup, et que les fans avaient déjà une idée très précise de Gilderoy Lockhart", explique le comédien. "Il est très éxubérant, plutôt vaniteux et terriblement narcissique. C'est donc un personnage génial à interpréter, férocement agaçant et charmant, mais nous devions convaincre les spectateurs qu'il aurait pu faire ce dont il se vante. Nous devions le rendre convaincant. J'ai totalement fait confiance à Chris Columbus et à son timing comique".
Un professeur absent
Dumbledore (Richard Harris), McGonagall (Maggie Smith), Rogue (Alan Rickman), Flitwick (Warwick Davis) : tous les professeurs du premier opus font leur retour dans Harry Potter et la chambre des secrets, à l'exception de Zoë Wanamaker (Madame Bibine, le professeur de balai magique). Son personnage, finalement supprimé du scénario, ne fait donc pas sa rentrée des classes à Poudlard.
Les nouveaux sorciers
Avec Harry Potter et la chambre des secrets, la saga magique enrichit sa galerie de sorciers. Le professeur Gilderoy Lockhart (Kenneth Branagh), Madame Pomfresh (Gemma Jones), le professeur Chourave (Miriam Margolyes), le professeur Armando Dippet (Alfred Burke), Madame Pince (Sally Mortemore), le ministre de la Magie Cornélius Fudge (Robert Hardy), le père de Ron Weasley (Mark Williams) et le sombre Lucius Malefoy (Jason Isaacs) font ainsi leur apparition dans cette nouvelle aventure.
« Préc.
De nouvelles créatures magiques
Avec La Chambre des secrets, de nombreux monstres inédits viennent peupler l'univers d'Harry Potter, et succèdent aux troll, chien à trois têtes et autres centaures du premier opus. L'apprenti sorcier croisera ainsi Dobby l'elfe de maison (premier véritable personnage numérique de la saga Harry Potter), les araignées géantes de la forêt emmenées par Aragog (Julian Glover en version originale), les lutins de Cornouailles, le phoenix Fumseck et le Basilic, un serpent géant aux terribles pouvoirs.
Le dernier "Harry Potter" pour Chris Columbus ?
Fatigué et désireux de passer plus de temps avec sa famille après quatre ans et demi de production/tournage à Poudlard, le réalisateur Chris Columbus a décidé de passer la main à Alfonso Cuaron pour le troisième volet, Harry Potter et le prisonnier d'Azkaban, sur lequel il se "contentera" du poste de producteur exécutif. Un film qui pourrait également marquer la fin de la franchise cinématographique estampillée Harry Potter : ainsi, le cinéaste déclarait que ses trois jeunes stars (Daniel Radcliffe, Rupert Grint et Emma Watson) souhaiteraint sans doute arrêter l'aventure après le troisième opus. Un départ éventuellement synonyme, s'il venait à se concrétiser, d'arrêt de la saga.
Williams / Ross : deux compositeurs à la baguette
Auteur des divers thèmes de la saga Harry Potter le célèbre compositeur John Williams reprend sa baguette pour ce second film. Il est secondé par William Ross, adaptateur de la musique de John Williams et auteur de nouveaux morceaux.
La chambre des secrets, un décor imposant
Pièce centrale et mystérieuse de ce second volet, la chambre des secrets a demandé un énorme travail au chef décorateur Stuart Craig. Au final, le décor est le plus imposant de la saga et mesure plus de 76 mètres de long sur 36,5 mètres de large ! En comparaison, le hall de Poudlard, décor majeur du premier film, affiche des dimensions de seulement 42 mètres sur 12 mètres...
La folie des pré-ventes britanniques
Les premiers billets pour Harry Potter et la chambre des secrets ont été mis en vente dès le 27 septembre 2002 dans les cinémas britanniques, soit sept semaines avant la sortie du film ! Les organismes de réservation espérent ainsi un raz-de-marée identique, voire supérieur, à celui du premier opus en 2001 (record historique de recettes en pré-vente).
Photos volées
Des photos de promotion d'Harry Potter et la chambre des secrets ont été volées du coffre-fort où elles étaient stockées en décembre 2001. Producteur du film, les studios Warner Bros avaient alors demandé aux médias de ne pas utiliser ces clichés exclusifs (le tournage n'avait débuté que depuis un mois) si les voleurs venaient à leur proposer. Un méfait similaire avait été commis en 2001 sur le plateau d'Harry Potter à l'école des sorciers, où un chapeau de sorcier et trois pièces de monnaie avaient déjà été dérobés puis mis en vente sur Internet.
Une bande-annonce événement
Très attendue, la première bande-annonce d'Harry Potter et la chambre des secrets était présentée aux Etats-Unis avant le film Scooby-Doo, attirant de nombreux spectateurs supplémentaires. Un petit "coup de pouce" magique qui n'est sans doute pas étranger aux très bons résultats financiers du cabot froussard (153 millions de dollars de recettes outre-Atlantique)...
Une Première mondiale londonienne
Respectant la "tradition" british d'Harry Potter (tournage en Angleterre, casting presque intégralement britannique...), la Première mondiale d'Harry Potter et la chambre des secrets est organisée le dimanche 3 novembre à Londres, en présence de l'équipe du film.
« Préc.
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Harry Potter and the Prisoner of Azkaban|Alfonso Cuarón|Fantastique|Film pour enfants|3|américain, britannique|2004|129|Anglais||DX50|||DX50|628 Kbps|480x360|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|44.1 KHz|2|697||||25.000|06/08/2009 00:00:00|David Heyman Chris Columbus Mark Radcliffe|Steve Kloves|Michael Seresin||Warner Bros. France|Saga : Harry Potter |Sirius Black, un dangereux sorcier criminel, s'échappe de la sombre prison d'Azkaban avec un seul et unique but : retrouver Harry Potter, en troisième année à l'école de Poudlard. Selon la légende, Black aurait jadis livré les parents du jeune sorcier à leur assassin, Lord Voldemort, et serait maintenant déterminé à tuer Harry... |Daniel Radcliffe (Harry Potter)@Rupert Grint (Ron Weasley)@Emma Watson (Hermione Granger)@Gary Oldman (Sirius Black)@David Thewlis (le professeur Remus Lupin)@Robbie Coltrane (Rubeus Hagrid)@Michael Gambon (le professeur Albus Dumbledore)@Maggie Smith (le professeur Minerva McGonagall)@Alan Rickman (le professeur Severus Rogue)@Emma Thompson (le professeur Sybille Trelawney)@Warwick Davis (le professeur Flitwick)@Tom Felton (Drago Malefoy)@Pam Ferris (Tante Marge)@Julie Christie (Madame Rosmerta)@Harry Melling (Dudley Dursley)@Richard Griffiths (Vernon Dursley)@Robert Hardy (Cornelius Fudge, le Ministre de la Magie)@Mark Williams (Mr. Weasley)@Joshua Herdman (Gregory Goyle)@James Waylett (Vincent Crabbe)@James Phelps (Fred Weasley)@Oliver Phelps (George Weasley)@Bonnie Wright (Ginny Weasley)@Chris Rankin (Percy Weasley)@Matthew Lewis (Neville Londubat)@David Bradley (Argus Rusard)@Miriam Margolyes (le professeur Chourave)@Adrian Rawlins (James Potter)@Geraldine Somerville (Lily Potter)@Lee Ingleby (Stan Shunpike)@Jimmy Gardner (Ernie, le conducteur du Magicobus)@Jim Tavare (Tom l'aubergiste)@Devon Murray (Seamus Finnegan)@Sitara Shah (Parvati Patel)@Jennifer Smith (Lavande Brown)@Genevieve Gaunt (Pansy Parkinson)@Dawn French (le portrait de la grosse dame)@Paul Whitehouse (le chevalier au catogan)@Peter Best (le bourreau)@Timothy Spall (Peter Pettigrew)@Fiona Shaw (Pétunia Dursley)@Julie Walters (Mrs. Weasley)@Lenny Henry (la tête réduite)@||Secrets de tournage :
Troisième aventure cinématographique pour Harry Potter
Harry Potter et le prisonnier d'Azkaban est le troisième volet cinématographique des aventures du jeune sorcier. Il est précédé d'Harry Potter à l'école des sorciers (2001) et Harry Potter et la chambre des secrets (2002) signés Chris Columbus, et sera suivi par Harry Potter et la coupe de feu de Mike Newell (2005).
Alfonso Cuaron remplace Chris Columbus
Après une longue période d'incertitudes et de rumeurs (le nom de Steven Spielberg avait été évoqué), c'est finalement Alfonso Cuaron qui a été choisi par la production (après un vote autour de plusieurs candidats potentiels) pour remplacer Chris Columbus et mettre en scène Harry Potter et le prisonnier d'Azkaban. C'est son long métrage Une petite princesse, très remarqué par les têtes pensantes de la saga Harry Potter, qui lui a définitivement ouvert les portes de Poudlard. Désireux de passer plus de temps avec sa famille ("le temps était venu de dîner enfin avec mes gosses !"), Chris Columbus se "contente" sur ce film du poste de producteur.
Note d'intention du réalisateur
"À travers cette histoire qui nous parle de magie et de créatures fantastiques, se profilent des questions passionnantes sur le passage à l'adolescence, la quête d'identité, les relations avec les amis, l'absence de figure parentale, la recherche d'un mentor. Ces livres évoquent aussi les rapports de classes, l'injustice, le racisme ? autant de sujets qui nous concernent tous à travers le monde. Et... ta mère aussi ! raconte le passage de l'adolescence à l'âge adulte, AHarry Potter et le prisonnier d'Azkaban celui de l'enfance à l'adolescence".
Un épisode plus sombre
Harry Potter et le prisonnier d'Azkaban se démarque des deux premiers volets de la saga par une nouvelle imagerie et un look plus sombre. "Le film adopte une tonalité beaucoup plus sombre que les précédents, qui se traduit par des éclairages plus dramatiques et des jeux d'ombres angoissants", explique le directeur de la photographie Michael Seresin. "Alfonso utilise très rarement le gros plan et favorise le grand angulaire qui donne à l'environnement autant d'importance qu'aux acteurs". "Bien qu'Alfonso ait 'hérité' de plusieurs décors préexistants, la façon dont Michael Seresin et lui les ont filmés permet au spectateur de vivre une toute nouvelle expérience visuelle", ajoute le chef-décorateur Stuart Craig. "C'est comme si l'on découvrait le monde d'Harry avec un regard neuf".
Travail en profondeur
Désireux de travailler plus en profondeur les personnages avec ses trois jeunes vedettes Daniel Radcliffe, Emma Watson et Rupert Grint, le réalisateur Alfonso Cuaron leur demanda de coucher sur le papier leur point de vue sur Harry Potter, Hermione Granger et Ron Weasley et sur la façon dont ils avaient évolué depuis le début de la saga. "J'eus le plaisir et la fierté de remettre le premier mon texte, long d'une page", explique Daniel Radcliffe. "Mais le lendemain, Emma me succéda... avec une rédaction de 16 pages !" Quant à Rupert Grint, fidèle au paresseux Ron, il ne rendit jamais son "devoir" : "J'ai été fidèle jusqu'au bout à mon personnage ! Ron a toujours détesté les études, et il aurait certainement trouvé un tas d'excuses pour se défiler, comme je l'ai fait avec le soutien de Dan et Emma". Tel personnage, tel acteur...
Richard Harris : un absent de marque
Interprète du Directeur de Poudlard Albus Dumbledore dans Harry Potter à l'école des sorciers et Harry Potter et la chambre des secrets, Richard Harris ne participe malheureusement pas à ce troisième opus. Le comédien irlandais a succombé en octobre 2002 à la maladie de Hodgkin (cancer des ganglions lymphatiques), quelque jours avant la Première mondiale du second volet. Il est remplacé par son compatriote Michael Gambon.
"Beaucoup de gens m'ont demandé quel effet cela fait de succéder à Richard Harris", explique le comédien. "J'ai répondu par une comparaison avec le Roi Lear. Des centaines de comédiens ont joué Lear sans s'occuper de l'approche de leurs prédécesseurs. Un acteur s'empare d'un rôle et se l'approprie, point final. (...) Je suis d'origine irlandaise, et j'ai spontanément donné cet accent au personnage. Alfonso a aimé cela, et j'ai donc persévéré dans cette voie. C'est mon clin d'oeil à Richard".
Des petits nouveaux à Poudlard
Des comédiens britanniques de renom débarquent avec ce troisième opus dans le monde magique de Harry Potter : Gary Oldman (Sirius Black), Emma Thompson (Sybille Trelawney), David Thewlis (Remus Lupin), Timothy Spall (Peter Pettigrew) ou Julie Christie (Madame Rosmerta) font ainsi leur entrée à Poudlard.
Des monstres secrets
Les Détraqueurs (ou Dementors), les sombres gardiens de la prison d'Azkaban et "monstres" majeurs de ce troisième opus, ont été gardés secrets par la production jusqu'à la sortie en salles du film. Hormis une main squelettique aperçue dans les bandes-annonces, les spectateurs ne les découvriront que sur grand écran. Il a fallu plus de six mois à l'équipe des effets visuels pour conveoir ces terrifiants personnages.
Le secret du Magicobus
Construit à partir du châssis d'un vieux bus rouge londonien, le Magicobus à trois étages devait donner l'illusion de rouler à 160 km/h dans les rues de Londres. Tournées en décors naturels, ces scènes ont en réalité été filmées au "ralenti" : "Le véhicule roulait en fait à 50 à l'heure, et les voitures à 12", explique ainsi le chef-casadeur Greg Powell. "Il a cependant fallu des semaines de répétitions avec nos conducteurs/cascadeurs ainsi qu'avec les passants, qui étaient tous des cascadeurs entraînés à marcher, très, très lentement pour crédibiliser l'effet".
Cool attitude à Poudlard
"J'ai voulu donner à Poudlard une apparence un peu plus réaliste, plus contemporaine", explique Alfonso Cuaron. "En me documentant sur les écoles anglaises, j'ai constaté qu'aucun élève ne portait l'uniforme de la même manière. Tous s'arrangeaient pour y introduire une petite touche, révélatrice de leur personnalité. J'ai donc demandé aux jeunes de faire de même et de porter leur uniforme comme ils le feraient hors de la présence de leurs parents". "Nous avons assombri leurs teintes et leur avons ajouté des capuchons où sont inscrites les couleurs emblématiques de chaque section de l'école", ajoute la costumière Jany Temime. "Pour inciter les acteurs à exprimer leur personnalité, nous leur avons laissé le libre choix des maillots, pulls, cardigans et autres articles composant leur uniforme"... pour la plus grande joie des jeunes héros du film ! "J'y suis allé carrément", explique Rupert Grint. "J'ai froissé et plissé ma veste et fait sortir à moitié ma chemise en mon pantalon. Ce n'était pas un gag, mais une façon de singulariser nos personnalités". Emma Watson résume : "Bonjour les jeans, adieu les jupes en tweed et les pulls tricotés de grand-mère !"
Pour le producteur (et réalisateur des deux premiers volets) Chris Columbus, "ce ne sont pas des changements radicaux par rapport aux deux premiers films, mais un reflet de l'évolution des personnages, conforme aux indications du livre. Nous n'habillons pas ces jeunes de costumes derniers cri, nous marquons simplement leur entrée dans l'adolescence".
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Harry Potter and the Goblet of Fire|Mike Newell|Fantastique||3|britannique, américain|2005|147|Anglais||XviD|||XVID|527 Kbps|608x256|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|28/07/2009 00:00:00|David Heyman|Steve Kloves|Roger Pratt||Warner Bros.|Saga : Harry Potter |La quatrième année à l'école de Poudlard est marquée par le "Tournoi des trois sorciers". Les participants sont choisis par la fameuse "coupe de feu" qui est à l'origine d'un scandale. Elle sélectionne Harry Potter alors qu'il n'a pas l'âge légal requis !Accusé de tricherie et mis à mal par une série d'épreuves physiques de plus en plus difficiles, ce dernier sera enfin confronté à Celui dont on ne doit pas prononcer le nom, Lord V. |Daniel Radcliffe (Harry Potter)@Emma Watson (Hermione Granger)@Rupert Grint (Ron Weasley)@Ralph Fiennes (Lord Voldemort)@Michael Gambon (le professeur Albus Dumbledore)@Brendan Gleeson (le professeur Alastor 'Fol-Oeil' Maugrey)@Robbie Coltrane (Rubeus Hagrid)@Maggie Smith (le professeur Minerva McGonagall)@Alan Rickman (le professeur Severus Rogue)@Warwick Davis (le professeur Flitwick)@Miranda Richardson (Rita Skeeter)@Gary Oldman (Sirius Black)@Jason Isaacs (Lucius Malefoy)@Tom Felton (Drago Malefoy)@Frances de la Tour (Madame Olympe Maxine)@Clémence Poésy (Fleur Delacour)@Stanislav Ianevski (Viktor Krum)@Robert Pattinson (Cedric Diggory)@Katie Leung (Cho-Chang)@Pedja Bjelac (Igor Karkaroff)@Jeff Rawle (Amos Diggory)@Roger Lloyd-Pack (Bartémius Croupton)@David Tennant (Bartémius Croupton Jr.)@Matthew Lewis (Neville Londubat)@Devon Murray (Seamus Finnigan)@James Waylett (Vincent Crabbe)@Joshua Herdman (Gregory Goyle)@Alfie Enoch (Dean Thomas)@Oliver Phelps (Fred Weasley)@James Phelps (George Weasley)@Chris Rankin (Percy Weasley)@Mark Williams (Arthur Weasley)@Bonnie Wright (Ginny Weasley)@Robert Hardy (le ministre de la Magie Cornélius Fudge)@Shirley Henderson (Mimi Geignarde)@Timothy Spall (Peter Pettigrew)@David Bradley (Argus Rusard)@Afshan Azad (Padma Patil)@Shefali Chowdhury (Parvati Patil)@Angelica Mandy (Gabrielle Delacour)@Louis Doyle (Ernie MacMillan)@Charlotte Skeoch (Hannah Abbott)@Tiana Benjamin (Angelina Johnson)@Adrian Rawlins (James Potter)@Geraldine Somerville (Lily Potter)@Eric Sykes (Frank Bryce)@William Melling (Nigel)@Tolga Safer (l'aide de Igor Karkaroff)@Robert Wilfort (le photographe de Rita Skeeter)@Henry Lloyd Hughes (Roger Davies)@Jarvis Cocker (le chanteur)@Jonny Greenwood (le guitariste)@Philip Selway (le bassiste)@Steve Mackey (le bassiste)@Jason Buckle (le guitariste rythmique)@Alan Watts (le substitut)@||Secrets de tournage :
Quatrième rentrée à Poudlard
Harry Potter et la Coupe de Feu est le quatrième film adapté de la saga littéraire de J.K. Rowling. Le film succède à Harry Potter à l'école des sorciers (2001), Harry Potter et la chambre des secrets (2002), et Harry Potter et le prisonnier d'Azkaban (2004), et est suivi par Harry Potter et l'Ordre du Phoenix (2007).
Les nouveaux sorciers
Comme à chaque rentrée, de nouveaux personnages font leur apparition dans l'univers de Harry Potter : Miranda Richardson (la journaliste Rita Skeeter), Brendan Gleeson (le professeur Alastor "Fol-Oeil" Maugrey), Ralph Fiennes (Lord Voldemort), Frances de la Tour (Madame Maxine), Predrag Bjelac (Igor Karkaroff), Roger Lloyd-Pack (Barty Croupton) et les jeunes Katie Leung (Cho-Chang), Stanislas Ianevski (Viktor Krum), Robert Pattinson (Cedric Diggory) et Clémence Poésy (Fleur Delacour).
Une Frenchie à Poudlard
Révélée en 2003 par la comédie Bienvenue chez les Rozes, la Française Clémence Poésy prête ses traits à Fleur Delacour, l'un des nouveaux personnages majeurs de ce quatrième volet. Opposée à Harry Potter dans le cadre du "Tournoi des Trois Sorciers", elle représente d'ailleurs les chances... françaises dans le petit monde des écoles de magie. Agée de 23 ans, la comédienne, parfaitement bilingue, est parvenue à convaincre les producteurs grâce à sa prestation dans le téléfilm historique Gunpowder, treason and plot (2004) dans lequel elle campe une impressionnante Mary Stuart.
Casting magique
Interprètes respectifs de la belle Cho Chang et du champion de Durmstrang Viktor Krum, Katie Leung et Stanislas Ianevski doivent leur participation à Harry Potter et la Coupe de Feu à leur bonne étoile. La première, sans aucune expérience de comédienne, se rendit ainsi par hasard à une audition ouverte organisée pour les besoins du film, et devança quelques 3 000 candidates ! Quant au jeune Bulgare, peu intéressé par la comédie, il fut repéré dans son pensionnat britannique par la directrice de casting du film, alors qu'il était en retard à un cours.
Un nouveau réalisateur
Pour ce nouvel opus, les producteurs ont décidé de confier la franchise à un nouveau réalisateur. Retenu pour sa capacité à retranscrire l'atmosphère très sombre du quatrième roman et ses nombreuses intrigues, le Britannique Mike Newell succède à Chris Columbus (Harry Potter à l'école des sorciers et Harry Potter et la chambre des secrets) et Alfonso Cuaron (Harry Potter et le prisonnier d'Azkaban). "Notre réalisateur devait être aussi à l'aise avec le côté suspense et thriller noir qu'avec le côté action", explique le producteur David Heyman. "Il lui fallait aussi être en résonace avec les affres comiques de l'adolescence. Il suffit d'évoquer des films aussi divers que Un Crime pour une Passion, Quatre mariages et un enterrement et Donnie Brasco pour voir que Mike Newell était l'un des très rares à posséder tous ces dons".
British style
Succédant à l'Américain Chris Columbus et au Mexicain Alfonso Cuaron, Mike Newell est le premier réalisateur britannique à mettre en scène un film de la saga Harry Potter. Un choix qui confère à ce quatrième opus une atmosphère à part pour le producteur David Heyman. "Mike a fait ses études dans une colé privée anglaise. Il connaît leur mode de vie et l'esprit d'anarchie juvénile qui règne parfois dans ces établissements. Il en a remarquablement suggéré les rigueurs et les contraintes. Poudlard n'avait jamais été aussi vivant et aussi britannique que dans cet épisode".
Un réalisateur impliqué (dans une bagarre)
Trouvant qu'une bagarre entre les jumeaux Oliver et James Phelps manquait d'intensité, le réalisateur Mike Newell proposa à l'un d'eux... de se battre contre lui. En suivit en empoignade mémorable. "Je n'avais pas prévu cette petite démonstration, mais cela m'a paru une bonne occasion de faire rire toute le monde. Je n'avais évidemment pas prévu que je m'étirerais un muscle qui me ferait souffrir pendant des mois, mais je ne le regrette pas. Il ne faut pas hésiter à se ridiculiser de temps en temps devant des gens qui voient en vous un symbole d'autorité. Je ne peux pas tout savoir, et on ne tire pas le meilleur des autres lorsqu'ils vous croient omniscient".
Résolument sombre...
L'affiche teaser du film annonçait la couleur : comme dans les romans, ce quatrième opus marque un tournant dans la saga magique. Résolument sombre et adulte, le long métrage se retrouve ainsi interdit aux moins de 12 ans non-accompagnés en Angleterre et déconseillé aux moins de 13 ans outre-Atlantique (PG-13), notamment pour la présence de "violence fantastique modérée, de scènes d'épouvante et d'horreur et de l'utilisation de l'expression ?va te faire f...'". Ces classifications témoignent en tout cas que le réalisateur Mike Newell a plus que jamais respecté le ton de l'oeuvre de J.K. Rowling.
Un défi d'écriture
L'adaptation de Harry Potter et la Coupe de Feu à l'écran a demandé un long travail d'écriture à Steven Kloves, scénariste attitré de la franchise. Si les trois précédentes aventures de l'apprenti-sorcier avaient déjà dû sacrifier bon nombre d'éléments chers aux fans pour leur passage au cinéma, le quatrième roman de J.K. Rowling s'imposait au moment de la pré-production comme le livre le plus riche de la saga avec près de 650 pages, contre 250 à 350 pages pour les trois premiers tomes. Ainsi, il fut un temps envisagé de produire deux films autour de Harry Potter et la coupe de feu, avant que Steven Kloves, Mike Newell et David Heyman ne parviennent à réduire le script et à retenir l'essence de cette quatrième année à Poudlard, en faisant notamment l'impasse sur certains personnages (les Dursley, Molly Weasley), certaines sous-intrigues (le comité de défense des Elfes de maison notamment) et certains événements (la coupe du monde de Quidditch), et en se concentrant, comme avait pu le faire Alfonso Cuaron avec Harry Potter et le prisonnier d'Azkaban, sur l'histoire et le parcours de Harry.
Plus c'est long...
Avec une durée de 2 heures et 35 minutes, Harry Potter et la Coupe de Feu est le plus long des épisodes de la saga magique. Un constat logique quand on sait que le quatrième roman des aventures du jeune sorcier fait quelques 646 pages, contre 240 pages pour le premier opus, 290 pages pour le deuxième et 360 pour la troisième. Que nous promet Harry Potter et l'Ordre du Phoenix, dont l'intrigue se déroule sur... 984 pages ?
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Les contributeursCe film a reçu 9 contributions, pour les secrets de tournage, de: Miamsolo
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Onze mois de tournage !
Entamé au printemps 2004, alors qu'Alfonso Cuaron travaillait encore sur Harry Potter et le prisonnier d'Azkaban , le tournage de Harry Potter et la Coupe de Feu s'est achevé en mars 2005. Il aura fallu quasiment onze mois à Mike Newell pour venir à bout de ce projet d'envergure...
Budget-mystère
La rumeur a longtemps circulé que ce quatrième opus avait vu son budget grimper au-delà des 250 millions de dollars. Selon certains, il aurait même dépassé le cap des 300 millions de billets verts, s'imposant comme le projet le plus cher de l'histoire du cinéma. Le véritable budget du film est beaucoup plus raisonnable et se situe autour des 130 M$.
Un héros fatigué
"Ce que j'aime vraiment chez Harry, c'est qu'il n'est pas un héros au sens classique, un conquérant de l'impossible au courage surhumain", explique son interprète Daniel Radcliffe. "Harry est vulnérable. Il a peur. Bien qu'il ait aidé quantité de gens, il rêve depuis longtemps de rompre avec son passé et son encombrante image de ?héros'. Mais lorsque la Coupe le désigne, il se retrouve une fois encore sous les feux de la rampe et en butte aux critiques de ceux qui le soupçonnent d'avoir glissé son nom dans la Coupe de Feu".
Dumbledore, "un vieillard usé"
Incarné pour la deuxième fois par l'Irlandais Michael Gambon, le directeur de Poudlard Albus Dumbledore affiche dans ce quatrième opus un nouveau visage, loin de la puissance et de la sagesse que le personnage dégageait dans les trois précédents films. "Dumbledore ne contrôle plus les événements et cela lui fait peur", explique le comédien. "Une énorme responsabilité pèse sur ses épaules : assurer la sécurité et le bien-être de ses étudiants. Lorsque ce mal se répand dans Poudlard, Dumbledore se montre incapable d'y faire face". Daniel Radcliffe ajoute : "Dumbledore apparaît pour la première fois à Harry comme un vieillard usé, et ce constat est aussi amer que troublant. Quelqu'un (ou quelque chose) s'est introduit à Poudlard dans le but de manipuler Harry. Dumbledore ne sait as de quoi il s'agit, ni d'où cela provient, ni comment l'arrêter".
Deux psychopathes chez Harry Potter !
Respectivement interprètes de Sirius Black, le ténébreux parrain de Harry Potter, et du démoniaque Lord Voldemort, Gary Oldman et Ralph Fiennes ne s'étaient encore jamais donné la réplique. Ils ont par contre la particularité d'avoir tous deux prêté leurs traits à des psychopathes de la saga Hannibal Lecter : Gary Oldman en sombre Mason Verger dans Hannibal (2001), et Ralph Fiennes en inquiétant Francis Dolarhyde dans Dragon Rouge (2003).
Quel acteur pour Voldemort ?
Avant que Ralph Fiennes ne soit choisi pour camper le sombre Lord Voldemort, les noms de Rowan Atkinson et John Malkovich avaient circulé pour incarner l'ennemi juré de Harry Potter. Harry Potter et la Coupe de feu marque la troisième apparition à l'écran de "Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom" après avoir été dévoilé en quasi-spectre dans Harry Potter à l'école des sorciers, puis dans son jeune âge dans Harry Potter et la chambre des secrets.
Dans la peau de Voldemort
"C'est difficile de jouer un homme censé exprimer la quintessence du Mal", explique Ralph Fiennes, qui se voit confier dans ce film la lourde tâche de donner vie au maléfique Lord Voldemort. "Avec Mike Newell, nous avons trouvé opportun de donner à Voldemort certaines qualités humaines, tout bonnement parce qu?on ne peut pas jouer ?méchant' d'un bout à l'autre du film. Le ?mal' s'exprime trop souvent par des effets conevnus : mâchoire crispée, regard fixe, bave aux lèvres... Pour ma part, je souhaitais faire de Voldemort un homme profondément et authentiquement mauvais. Ce trait de caractère résulte de ses peurs, de ses frustrations et de ses malheurs. Voldemort a été rejeté par ses parents, il a eu une enfance abominable, et c'est là qu'ont germé en lui la colère, la jalousie et la haine. Mike Newell tenait aussi à mettre en valeurs les sautes d'humeur de Voldemort, ses soudaines explosions de violence. A certains moments, il semble tout près de cracher son venin, mais à d'autres, il paraît presque sympathique. On ne sait jamais à quoi s'attendre avec lui. Les gens à double-face peuvent être particulièrement effrayants, lorsque l'on perçoit des abîmes de monstruosité derrière leur charme apparent. Imaginez vous au restaurant, face à un type souriant dont vous savez qu'il a tué sa femme. Cela a de quoi vous couper l'appétit".
Créer "Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom"
L'élaboration du look de Lord Voldemort était bien évidemment l'un des défis majeurs de ce quatrième film, d'autant que J.K. Rowling ne décrit jamais avec beaucoup de précisions le Seigneur des Ténèbres. Mike Newell, le producteur David Heyman et leurs équipes ont donc planché de longs mois pour définir l'aspect du personnage, qui devait allier simplicité et terreur. "Ce maquillage est d'une conception simple et forte", souligne Ralph Fiennes. "Je le voulais aussi discret que possible pour disposer d'ujne pleine liberté de mouvement. L'idée de base est que Voldemort, tel un reptile, vient de se faire une nouvelle peau. Il se sent à l'aise dans ce corps tout neuf, il le met à l'épreuve, il en savoure la puissance".
Ce maquillage est composé de prothèses minimales accentuant la pâleur et la transparence de la peau de Voldemort et simulant un réseau de veines le long de son crâne et de ses membres. Par ailleurs, l'équipe en charge des effets visuels transforma en post-production le nez de Ralph Fiennes en lui donnant une forme épatée marquée par deux légères incisions latérales, rappelant le museau d'un serpent et renvoyant ainsi au côté reptilien du personnage, originaire de la maison de Serpentard. Par contre, les yeux rouges décrits dans le roman ne sont pas au rendez-vous du long métrage : "Le regard étant une fenêtre sur l'âme, et conférer des yeux rouges au personnage aurait trop attiré l'attention des spectateurs sur cette couleur et nous aurait fait perdre l'humanité, ou plutôt l'inhumanité de Voldemort", explique ainsi le producteur David Heyman.
Quant à la garde-robe de Voldemort, elle se compose d'une simple cape de soie noire ultra-légère, conférant au personnage l'allure d'un "reptile volant". "Mieux qu'un vêtement, c'est une peau noire qui flotte au vent", souligne Ralph Fiennes. Au final, la transformation fut si impressionnante que les propres neveux du comédien, venus sur le plateau voir leur "Oncle Ralph en Voldemort", ne purent même pas le reconnaître ! Quant à J.K. Rowling, elle fut peu consultée dans l'élaboration du personnage et découvrit son Voldemort au moment de la projection du film. Aux dires de David Heyman, elle en fut ravie et le trouva parfait.
Un chasseur de primes... avec une baguette !
Nouveau personnage majeur de ce quatrième opus, Alastor "Fol-Oeil" Maugrey est le sorcier recruté par Dumbledore pour reprendre le poste de Professeur de Défense contre les Forces du Mal. Ancien traqueur de mages noirs (ou Auror), Maugrey est un personnage marqué physiquement et mentalement par ses combats passés. "C'est un chasseur de primes armé... d'une baguette magique !", explique son interprète Brendan Gleeson, qui souligne également le côté paranoïaque et dérangé du personnage. "Il a mis tant d'énergie à chasser les démons que cela a fini par tourner à l'obsession. Lors de nos premières discussions, Mike Newell a suggéré de mettre l'accent sur les dommages physiques et psychologiques subis par cet homme. C'était intéressant de montrer l'évolution de ce personnage et la façon dont il arrive à gagner la confiance des enfants. Il me rappelle certains de mes profs : il n'a pas le temps de se pencher dans des bouquins ou de se perdre en discours. Il veut, sur le champ, expliquer aux jeunes que le mal existe, et qu'ils ont intérêt à s'y préparer. Il est à lui seul une cérémonie initiatique ambulante". Outre ses nombreuses cicatrices, "Fol-Oeil" affiche comme principales caractéristiques un long manteau de cuir noir défraîchi s'inspirant des westerns italiens, et surtout un oeil mécanique et magique, mêlant animatronique et images de synthèses.
Bal magique
La scène du Bal de Noël, organisé dans le cadre du Tournoi des Trois Sorciers, permit aux jeuns comédiens de quitter leurs traditionnelles tenues de sorciers. Une centaine de couturiers furent mis à contribution pour les 300 costumes dévoilés dans cette séquence, dont la robe portée par Hermione / Emma Watson qui demanda à elle seule près de trois mois de travail. Quant à l'épreuve de la danse, elle fut vécue comme telle par le pauvre Daniel Radcliffe : "C'était paniquant. Mes parents sont d'excellents danseurs, mais ne m'ont apparemment pas transmis ce gène. En outre, mon emploi du temps ne m'octroyait que quatre jours de préparation, alors que les autres disposaient de trois semaines pour assimiler les pas. Résultat : je calais le plus souvent au milieu du numéro, incapable de me rappeler la suite. Par chance, Harry n'est pas censé être un second Fred Astaire". Et Mike Newell de conclure : "Ce tournage a été hilarant ! Daniel est un travailleur acharné, mais le Seigneur semble avoir négligé d'en faire un bon danseur. La déroute de Harry dans cette scène n'est pas feinte : c'est celle de Daniel !"
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Les contributeursCe film a reçu 9 contributions, pour les secrets de tournage, de: Miamsolo
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Rock'n'roll attitude
Le groupe de rock qui apparaît dans la scène du Bal de Noël est composé de Jarvis Cocker du groupe Pulp et des membres de sa nouvelle formation Relaxed Muscle, mais également du guitariste Jonny Greenwood et du batteur Philip Selway de Radiohead. Ils ont signé trois chansons pour le film : Do the hippogriff, This is the night et Magic works. Finalement non présent dans le film, le groupe Franz Ferdinand avait un temps été attaché au projet.
Rita Skeeter : une garde-robe adaptée
Très attentive à son look, l'insupportable journaliste Rita Skeeter, campée par Miranda Richardson, affiche des tenues en rapport avec les événements qu'elle couvre pour son journal. Les spectateurs les plus attentifs noteront ainsi que la plume-vedette de la Gazette du Sorcier adopte une tenue en peau de serpent pour l'épreuve des dragons, et un ensemble d'un vert aquatique pour l'épreuve du lac.
Retrouvailles magiques !
Outre les habituelles retrouvailles entres les comédiens présents aux génériques des trois films précédents, Harry Potter et la coupe de feu permet à certains "petits nouveaux" de retrouver d'anciens camarades de jeu, tels Miranda Richardson et Robbie Coltrane (Eat the rich et Provoked), Miranda Richardson et Michael Gambon (The Actors et Sleepy Hollow), Miranda Richardson et Jason Isaacs (St. Ives), Miranda Richardson et Timothy Spall (Chicken Run), Miranda Richardson et Ralph Fiennes (Spider), Miranda Richardson et Mike Newell (Un Crime pour une Passion et Avril enchanté), Mike Newell et Alan Rickman (An awfully big adventure), Mike Newell et Brendan Gleeson (Le Cheval venu de la mer), Brendan Gleeson et Alan Rickman (Michael Collins), et enfin Ralph Fiennes et Jason Isaacs (The Chumscrubber et La Fin d'une liaison).
Deux dragons, sinon rien !
Majoritairement réalisé en images de synthèse (et s'inspirant du design d'un vélociraptor équipé d'ailes de chauve-souris), le Magyar à pointes qui est opposé à Harry Potter lors de la première épreuve du Tournoi des Trois Sorciers fut également créé "en vrai" par l'équipe de Nick Dudman, grâce à l'animatronique. D'une longueur de douze mètres de long, cette dragonne pouvait ainsi cracher de véritables flammes à plus d'une dizaine de mètres. Chaud devant !
Défi aquatique
La séquence sous-marine du film, qui illustre la deuxième épreuve du Tournoi des Trois Sorciers, a été l'un des grands défis du film. "Nous voulions donner l'impression que nos personnages évoluaient en eaux troubles", explique David Heyman. "On obtient rarement cela dans un bassin classique mais filmer dans un vrai Loch était impossible pour de multiples raisons, à commencer par le froid". Un bassin de tournage, l'un des plus grands d'Europe, fut donc construit en trois mois pour les besoins du film. Recouvert d'un fond bleu, il accueillit les acteurs, les cascadeurs et les cadreurs, mais également le réalisateur de deuxième équipe Peter MacDonald qui pouvait se placer dans une galerie séparée aménagée à son intention pour diriger l'équipe. Une salle de repos étanche fut égalemnt élaborée pour permettre aux acteurs de se reposer entre les prises sans avoir à remonter en surface. Lors du tournage de cette scène, Daniel Radcliffe réalisa un véritable tour de force : tout en nageant dans l'obscurité la plus totale par six mètres de fond, il devait également jouer, se battre contre des créatures imaginaires ajoutées ultérieurement en post-production, mais également éviter de laisser échapper la moindre bulle d'air, Harry possédant des branchies à ce moment du récit ! Au final, le jeune acteur passa 41 heures et 38 minutes sous l'eau, sur une durée de trois semaines.
Les sirènes du Lac Noir
Les observateurs noteront quelques nouveautés chez les sirènes imaginées pour le film. Ainsi, leur queue oscille non pas verticalement, comme on a l'habitude de le voir, mais latéralement. Quant à leurs cheveux, ce sont... des tentacules de Méduse ! On est bien loin des créatures de rêves habituellement retranscrites à l'écran...
Protégez les dragons !
Clin d'oeil magique : le dossier de presse et le générique du film se concluent pas la mention " Aucun dragon n'a été blessé durant la réalisation de ce film ".
Cho Chang
5000 candidates ont été auditionnées pour le rôle de Cho Chang.
Combien de robes et costumes?
Pour la scène du bal, 300 robes et costumes ont été fabriqués.
La robe d'Hermione
La conception de la robe de bal d'Hermione a nécessité 3 semaines.
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Harry Potter and the Order of the Phoenix|David Yates|Fantastique||3|britannique, américain|2007|125|Anglais||DX50|||DX50|1 420 Kbps|704x288|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|1395||||25.000|28/07/2009 00:00:00|David Heyman David Barron|Michael Goldenberg|Slawomir Idziak||Warner Bros.|Saga : Harry Potter |Alors qu'il entame sa cinquième année d'études à Poudlard, Harry Potter découvre que la communauté des sorciers ne semble pas croire au retour de Voldemort, convaincue par une campagne de désinformation orchestrée par le Ministre de la Magie Cornelius Fudge. Afin de le maintenir sous surveillance, Fudge impose à Poudlard un nouveau professeur de Défense contre les Forces du Mal, Dolorès Ombrage, chargée de maintenir l'ordre à l'école et de surveiller les faits et gestes de Dumbledore. Prodiguant aux élèves des cours sans grand intérêt, celle qui se fait appeler la Grande Inquisitrice de Poudlard semble également décidée à tout faire pour rabaisser Harry. Entouré de ses amis Ron et Hermione, ce dernier met sur pied un groupe secret, "L'Armée de Dumbledore", pour leur enseigner l'art de la défense contre les forces du Mal et se préparer à la guerre qui s'annonce... |Daniel Radcliffe (Harry Potter)@Rupert Grint (Ron Weasley)@Emma Watson (Hermione Granger)@Imelda Staunton (Dolorès Ombrage)@Ralph Fiennes (Lord Voldemort)@Robbie Coltrane (Rubeus Hagrid)@Gary Oldman (Sirius Black)@Helena Bonham Carter (Bellatrix Lestrange)@Michael Gambon (le professeur Albus Dumbledore)@Maggie Smith (le professeur Minerva McGonagall)@Alan Rickman (le professeur Severus Rogue)@Emma Thompson (le professeur Sybille Trelawney)@Brendan Gleeson (le professeur Alastor 'Fol-Oeil' Maugrey)@Warwick Davis (le professeur Filius Flitwick)@Apple Brook (le professeur Gobe-Planche)@David Thewlis (Remus Lupin)@Julie Walters (Molly Weasley)@Mark Williams (Arthur Weasley)@Jason Isaacs (Lucius Malefoy)@Tom Felton (Drago Malefoy)@Kathryn Hunter (Mme Arabella Figg)@George Harris (Kingsley Shacklebolt)@Adrian Rawlins (James Potter)@Robbie Jarvis (James Potter jeune)@Evanna Lynch (Luna Lovegood)@Natalia Tena (Nymphadora Tonks)@Sian Thomas (Amelia Bones)@Jason Boyd (Piers Polkiss)@Richard Macklin (Malcolm)@Charles Hughes (Wormtail)@Nick Shrim (Zacharias Smith)@Susie Shinner (Lily Potter)@Jim McManus (Abelforth Dumbledore)@Jason Piper (Bane, le centaure)@James Walter (Sirius Black adolescent)@James Utechin (Remus Lupin adolescent)@Alec Hopkins (Severus Rogue adolescent)@Richard Leaf (Auror Dawlish)@David Bradley (Argus Rusard)@Robert Hardy (le ministre de la Magie Cornélius Fudge)@Richard Griffiths (Vernon Dursley, l'oncle de Harry)@Fiona Shaw (Petunia Dursley, la tante de Harry)@Jessica Stevenson (Mafalda Hopkirk)@Ryan Nelson (Serdaigle, membre de l'Armée de Dumbledore)@Shefali Chowdhury (Parvati Patil)@Afshan Azad (Padma Patil)@Katie Leung (Cho Chang)@Matthew Lewis (Neville Londubat)@William Melling (Nigel)@Alfie Enoch (Dean Thomas)@Michael Wildman (Magorian)@Tony Maudsley (Grawp)@James Waylett (Vincent Crabbe)@Bonnie Wright (Ginny Weasley)@James Phelps (Fred Weasley)@Oliver Phelps (George Weasley )@Robert Pattinson (Cedric Diggory)@||Secrets de tournage :
Poudlard Express : En gare du 19 juin au 1er juillet 2007
A l'occasion de la sortie d'Harry Potter et l'Ordre du Phénix, un train aux couleurs d'Harry Potter baptisé Poudlard Express sillonnera la France entre le 19 juin et le 1er juillet 2007. Le train composé de sept wagons, dont deux seront entièrement décorés et aménagés avec des décors, costumes et accessoires du film, fera escale dans les grandes villes de France.
Voir les dates de passage en gare du Poudlard Express
5ème volet de la saga Potter
Harry Potter et l'Ordre du Phénix est le cinquième volet de la saga Harry Potter. Il fait suite à Harry Potter à l'école des sorciers (2001), Harry Potter et la chambre des secrets (2002), Harry Potter et le prisonnier d'Azkaban (2004) et Harry Potter et la coupe de feu (2005). Deux autres chapitres complèteront la série : Harry Potter et le Prince de sang mêlé et Harry Potter and the Deathly Hallows.
L'année Harry Potter
L'année 2007 semble être l'année Harry Potter, puisque sort sur les écrans Harry Potter et L'Ordre du Phénix, l'épisode clé de la saga marquant le retour du terrible Voldemort, et sort en librairie (en anglais), dix jours après la sortie en salle du cinquième opus, le septième et dernier livre de la saga : Harry Potter et les Reliques de la mort. Un livre qui sortira en France le 26 octobre 2007.
Daniel Radcliffe chez le psy...
Daniel Radcliffe s'est préparé d'une manière très particulière pour Harry Potter et l'ordre du Phénix. L'acteur s'est rendu à plusieurs reprises chez une psychologue pour tenter de comprendre ce qu'a pu ressentir Harry après les événements du quatrième opus, Harry Potter et la coupe de feu. Au début d'Harry Potter et l'ordre du Phénix, Harry ressent une certaine culpabilité d'avoir survécu aux attaques de Voldemort alors que Cédric Diggory (Robert Pattinson) est mort... L'acteur a donc tenté grâce à une psychologue de comprendre le " syndrome du survivant ", celui-ci a même rencontré des personnes ayant souffert de ce traumatisme afin de rendre son personnage plus crédible.
Un réalisateur fan d'Harry Potter
Si le réalisateur David Yates est peu connu en France, celui-ci est très apprécié en Grande-Bretagne pour avoir réalisé plusieurs séries pour la télévision anglaise telles que The Sins, State of Play et The Way We Live Now. Pour David Heyman, le producteur "David Yates a non seulement une véritable passion pour le monde d'Harry Potter, mais c'est aussi un grand réalisateur doté d'un grand sens visuel et qui sait filmer les personnages avec humanité et compassion."
David Yates avoue qu'il était vraiment enthousiaste à l'idée de réaliser le cinquième volet des aventures d'Harry Potter. "Je rêvais de réaliser une superproduction de ce genre depuis l'âge de quatorze ans ! Depuis la série The Way We Live Now on m'a fait quelques offres pour réaliser des films, mais rien de bien intéressant. Avec Harry Potter et l'Ordre du Phénix, c'est un rêve qui se réalise."
Réalisateurs potentiels
Avant de confier la réalisation d'Harry Potter et L'Ordre du Phénix à David Yates, Warner Bros avait proposé à la réalisatrice indienne Mira Nair de diriger ce cinquième opus. Celle-ci ayant décliné l'offre, Warner en a offert la réalisation au réalisateur français Jean-Pierre Jeunet qui a également refusé la proposition pourtant alléchante du studio. David Yates a, quant à lui, immédiatement accepté l'offre.
Un compositeur récompensé
Le compositeur Nicholas Hooper a composé la musique d'Harry Potter et l'Ordre du Phénix, il succède ainsi à John Williams, le compositeur des musiques des trois premiers opus de la saga, et à Patrick Doyle, compositeur de la musique d'Harry Potter et la coupe de feu.
Nicholas Hooper collabore depuis 15 ans avec le réalisateur David Yates pour lequel il a composé de nombreuses musiques pour le cinéma et le petit écran. Le compositeur a d'ailleurs remporté un BAFTA pour son travail sur le téléfilm de David Yates et Richard Curtis, The Girl in the cafe et a également été nominé pour les séries State of Play et The Way We Live Now.
Un nouveau scénariste
Si pour ce cinquième opus des aventures du célèbre apprenti sorcier, un nouveau réalisateur est aux commandes, le scénariste Michael Goldenberg, est également un nouveau venu dans la grande famille Harry Potter. Celui-ci succède donc à Steve Kloves qui avait écrit les scénarios des 4 précédents opus de cette saga magique. Michael Goldenberg est, entre autres, responsable des scénarios de Contact de Robert Zemeckis et Peter Pan de P.J. Hogan.
Un rôle terrifiant : Bellatrix Lestrange
Le rôle de Bellatrix Lestrange, la terrifiante Mangemort, cousine de Sirius Black et fidèle disciple de Voldemort, devait au départ être tenu par l'actrice anglaise Helen McCrory, mais suite à l'annonce de sa grossesse, la production a décidé de la remplacer. C'est donc Helena Bonham Carter qui a été choisi pour interpréter l'effrayante Bellatrix Lestrange. Helena Bonham Carter est habituée à un univers mystérieux puisqu'elle a incarné une sorcière dans Big Fish de Tim Burton, et la fée Morgan dans le téléfilm Merlin.
Un rôle convoité : Luna Lovegood
Afin de trouver la jeune fille idéale pour incarner à l'écran Luna Lovegood, la production a organisé un immense casting auquel seules les d'adolescentes âgées de 13 à 16 ans et étant de nationalité britannique ou irlandaise étaient autorisées à participer. Un rôle très important dans le cinquième volet des aventures d'Harry Potter, puisque Luna Lovegood, jeune sorcière excentrique et solitaire, apporte une aide plus que précieuse à Harry... A l'annonce des auditions, le samedi 14 janvier 2006 à Londres, plus de 15 000 d'adolescentes ont fait la queue dans l'espoir de décrocher le rôle de leur vie. Certaines jeunes filles ayant même commencé à faire la queue la veille de l'audition. C'est finalement Evanna Lynch, une jeune irlandaise de quinze ans qui a décroché le rôle tant prisé. Celle-ci avoue avoir lu chaque livre d'Harry Potter six fois.
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Harry Potter and the Half-Blood Prince|David Yates|Fantastique||2|américain, britannique|2009|142|Anglais||XVID|||XVID|584 Kbps|640x256|AC3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|08/08/2009 00:00:00|David Heyman David Barron|Steve Kloves|Bruno Delbonnel||Warner Bros.|Saga : Harry Potter |L'étau démoniaque de Voldemort se resserre sur l'univers des Moldus et le monde de la sorcellerie. Poudlard a cessé d'être un havre de paix, le danger rode au coeur du château... Mais Dumbledore est plus décidé que jamais à préparer Harry à son combat final, désormais imminent. Ensemble, le vieux maître et le jeune sorcier vont tenter de percer à jour les défenses de Voldemort. Pour les aider dans cette délicate entreprise, Dumbledore va relancer et manipuler son ancien collègue, le Professeur Horace Slughorn, qu'il croit en possession d'informations vitales sur le jeune Voldemort. Mais un autre "mal" hante cette année les étudiants : le démon de l'adolescence ! Harry est de plus en plus attiré par Ginny, qui ne laisse pas indifférent son rival, Dean Thomas ; Lavande Brown a jeté son dévolu sur Ron, mais oublié le pouvoir "magique" des chocolats de Romilda Vane ; Hermione, rongée par la jalousie, a décidé de cacher ses sentiments, vaille que vaille. L'amour est dans tous les coeurs - sauf un. Car un étudiant reste étrangement sourd à son appel. Dans l'ombre, il poursuit avec acharnement un but aussi mystérieux qu'inquiétant... jusqu'à l'inévitable tragédie qui bouleversera à jamais Poudlard... |Daniel Radcliffe (Harry Potter)@Rupert Grint (Ron Weasley)@Emma Watson (Hermione Granger)@Bonnie Wright (Ginny Weasley)@Evanna Lynch (Luna Lovegood)@Jessie Cave (Lavande Brown)@Jim Broadbent (le professeur Horace Slughorn)@Michael Gambon (le professeur Albus Dumbledore)@Helena Bonham Carter (Bellatrix Lestrange)@Helen McCrory (Narcissa Malefoy)@Tom Felton (Drago Malefoy)@Robbie Coltrane (Rubeus Hagrid)@Alan Rickman (Severus Rogue)@Maggie Smith (le professeur Minerva McGonagall)@Warwick Davis (le professeur Filius Flitwick)@David Bradley (Argus Rusard)@Hero Fiennes Tiffin (Tom Jedusor (à 11 ans))@Frank Dillane (Tom Jedusor (16 ans))@Ralph Fiennes (Lord Voldemort)@Julie Walters (Molly Weasley)@Mark Williams (Arthur Weasley)@James Phelps (Fred Weasley )@Oliver Phelps (George Weasley)@Dave Legeno (Fenrir Greyback)@Natalia Tena (Nymphadora Tonks)@David Thewlis (Remus Lupin)@Matthew Lewis (Neville Londubat)@Katie Leung (Cho Chang)@Alfie Enoch (Dean Thomas)@Rob Knox (Marcus Belby)@William Melling (Nigel)@Timothy Spall (Peter Pettigrew)@Gemma Jones (Madame Pomfrey)@Georgina Leonidas (Katie Bell)@Freddie Stroma (Cormac McLaggen)@Devon Murray (Seamus Finnigan)@Scarlett Byrne ( Pansy Parkinson)@Anna Shaffer ( Romilda Vane)@Afshan Azad (Padma Patil)@Shefali Chowdhury (Parvati Patil)@James Waylett ( Vincent Crabbe)@Joshua Herdman ( Gregory Goyle)@Tom Moorcroft (Regulus Black)@Ralph Ineson ( Amycus Carrow)@William Melling (Nigel)@Elarica Gallacher (la serveuse)@Geraldine Somerville (Lily Potter)@Amber Evans (Jumelle 1)@Ruby Evans (Jumelle 2)@Louis Cordice (Blaise Zabini)@Isabella Laughland (Leanne)@Amelda Brown (Mrs. Cole)@Jack Pryor (le gamin malingre)@Mark Lockyer (le serveur)@Paul Ritter (Eldred Worple)@Joerg Stadler (un Inferius)@Caroline Wilder (une Inferius)@Suzie Toase (Alecto)@Rod Hunt (Rowle)@Alfred Enoch (Dean Thomas)@||Secrets de tournage :
Episode 6
Harry Potter et le Prince de sang mêlé est le sixième volet de la saga Harry Potter. Le film suit Harry Potter à l'école des sorciers (2001), Harry Potter et la chambre des secrets (2002), Harry Potter et le prisonnier d'Azkaban (2004), Harry Potter et la coupe de feu (2005) et Harry Potter et l'Ordre du Phénix (2007), et précède Harry Potter et les reliques de la mort - partie 1 (2010) et Harry Potter et les reliques de la mort - partie 2 (2011).
Imax 3D
Les 12 premières minutes du film bénéficient de la technologie IMAX 3D, qui offre une expérience des plus impressionnantes aux spectateurs.
Sortie repoussée !
Le jeudi 14 août 2008, par le biais d'un communiqué, les dirigeants des studios Warner Bros. Pictures ont annoncé aux fans leur décision de décaler la sortie du sixième volet de la franchise magique. La sortie de Harry Potter et le Prince de sang mêlé prévue initialement pour novembre 2008 fut repoussée de onze mois, soit à juillet 2009. Une nouvelle très mal acceuillie par les millions de fans.
Lettre ouverte aux fans
Face aux très nombreuses protestations des fans de la saga magique suite au décalage de la sortie du sixième opus de novembre 2008 à juillet 2009, Alan Horn, Président des studios Warner Bros, a tenu à s'adresser à eux à travers un communiqué:
"Un grand nombre d'entre-vous m'ont écrit pour me faire part de leur déception face à notre décision de décaler la sortie de Harry Potter et le Prince de sang mêlé à l'été 2009.
Soyez assurés que nous partageons la même passion pour Harry Potter, et que nous ne prendrions jamais une décision susceptible de nuire aux films. Durant les dix dernières années, nous avons développé et protégé chacun de ces films, et respecté l'intégrité des romans dont ils s'inspirent, du mieux que nous pouvions.
La décision de décaler la sortie de Harry Potter et le Prince de sang mêlé n'a pas été prise à la légère, et n'a jamais été prise dans l'intention de mécontenter les fans. Nous savons que c'est à eux que nous devons le succès de cette saga, et nous les remercions pour leur enthousiasme et leur soutien sans faille.
Je souhaiterais simplement souligner ceci : il y aurait eu une attente de deux ans entre Harry Potter et le Prince de sang mêlé et la première partie de Harry Potter et les reliques de la mort, qui doit sortir en novembre 2010.
Si l'attente autour de Harry Potter et le Prince de sang mêlé est un peu plus longue que prévue, l'écart entre ce sixième film et le septième sera réduit à moins de 18 mois. Je suis désolé de vous avoir déçus maintenant, mais si vous patientez encore un peu, je pense que ça en vaudra la peine."
Alan Horn, President, Chief Operating Officer, Warner Bros.
Harry Potter et les Reliques de la Mort
Alors que toute l'équipe était en plein tournage du 6ème épisode de la saga Harry Potter et le Prince de sang mêlé, a été mis en vente dans le monde entier Harry Potter et les Reliques de la Mort, le septième et ultime tome de la saga, dévoilant ainsi la fin tant attendue.
Un nouveau professeur
Les spectateurs et les lecteurs sont désormais habitués : à chaque rentrée scolaire, Poudlard accueille un nouveau professeur. Dans Harry Potter et le Prince de sang mêlé, c'est le caméléon Jim Broadbent qui se joint aux enseignants, dans le rôle d'Horace Slughorn, professeur de potions. "C'est un personnage riche et fascinant, un érudit passionné par sa tâche", souligne l'acteur. "Un as dans le domaine des Potions, mais un homme bien imparfait, hanté par un vieux et lourd secret qu'il s'efforce de dissimuler. C'est là qu'Harry va intervenir ; Il sera l'appât qui incitera Slughorn à retourner à Poudlard.". "Nous devions fournir à cet homme un bureau à sa démesure : de vastes dimensions, avec une architecture imposante, une immense cheminée, une très belle terrasse donnant sur la montagne. Le personnage demandait cette théâtralité", explique le chef décorateur Stuart Craig. La chef costumière Jany Temime ajoute : "Ce gentleman un rien dandy, excentrique, qui aime les bons vins, la bonne chère, une compagnie de qualité et, bien sûr, les beaux vêtements. Nous lui avons fait des costumes de tweed, un beau complet de velours pour les fêtes de Noël, des noeuds papillon du dernier chic. Slughorn a belle allure, mais on remarquera aussi que ses tenues sont légèrement défraîchies du fait qu'il n'a plus d'emploi."
Premier film
Trois jeunes comédiens font ici leurs débuts à l'écran : Jessie Cave (Lavande Brown), Hero Fiennes Tiffin (Tom Jedusor enfant) et Frank Dillane (Tom Jedusor adolescent).
Casting gagnant
A l'instar de Evanna Lynch sur Harry Potter et l'Ordre du Phénix, Jessie Cave a obtenu dans Harry Potter et le Prince de sang mêlé le rôle de Lavande Brown, "l'amoureuse" de Ron, lors d'un gigantesque casting organisé à travers le Royaume-Uni. Elle a été préférée à plusieurs milliers de candidates. "C'est une fille effervescente, très physique", explique t-elle. Elle n'hésite pas à sauter sur Ron et à l'étouffer de caresses et de baisers. Peu de filles ont ce culot et parviennent ainsi à leurs fins. Mais je pense que cela cache aussi quantité d'appréhensions. Cette nana est plus compliquée qu'il n'y paraît, et donc encore plus intéressante à jouer." Emma Watson expliquet quant à elle la rivalité entre Lavande et Hermione : "Hermione hait Lavande de toutes ses forces. Pas seulement parce qu'elles sont rivales, mais parce qu'elles sont de natures diamétralement opposées. Hermione ne voit en Lavande qu'une bimbo narcissique et écervelée, alors qu'elle-même est une fille forte et intelligente ? le genre qui intimide les garçons. Elle ne sait pas se coiffer, se maquiller, se mettre en beauté, ce qui la désavantage par rapport à Lavande."
Filiation maléfique
C'est le nouveau venu Hero Fiennes Tiffin, 11 ans, qui campe le jeune Tom Jedusor (le futur Voldemort) lors des scènes de flashbacks. A la ville, ce comédien en herbe n'est autre que le neveu de Ralph Fiennes, alias "Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom".
Trop vieux !
L'acteur Christian Coulson qui interprète Tom Jedusor (Voldemort à l'âge de 16 ans) dans Harry Potter et la chambre des secrets, fut un moment pressenti pour reprendre son rôle dans le 6ème opus, mais en raison de son âge (30 ans), il fut finalement décidé de l'écarter du casting. Il est remplacé par le nouveau-venu Frank Dillane, qui "suggère avec une grande finesse ce qui se trame chez ce garçon, si poli en apparence, dont l'allure insidieusement menaçante trouble et inquiète fort son professeur" selon le réalisateur David Yates.
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Apprenti réalisateur
Durant le tournage d'Harry Potter et le Prince de sang mêlé, James Phelps qui interprète George Weasley, l'un des frères jumeaux Weasley, a suivi de près et attentivement le travail du réalisateur David Yates dans l'objectif d'apprendre quelques notions.
Chaises musicales
Initialement retenue pour le rôle de Béatrix Lestrange dans Harry Potter et l'Ordre du Phénix, Helen McCrory avait dû renoncer à sa participation au film après être tombée enceinte. Elle se rattrape dans ce sixième volet en campant Narcissa Malefoy, glaciale génitrice de Drago Malefoy. Dans le camp des forces du Mal, elle côtoie Helena Bonham Carter, sa remplaçante dans le rôle de Béatrix.
Tout public ?
La MPAA (Motion Picture Association of America) qui assure la classification des films aux États-Unis, a marqué Harry Potter et le Prince de sang mêlé du sceau PG qui signifie "accompagnement parental recommandé". Une décision plus qu'étonnante dans la mesure où la saga connait un assombrissement progressif de son histoire. Seuls les trois premiers volets à savoir, Harry Potter à l'école des sorciers, Harry Potter et la chambre des secrets et Harry Potter et le prisonnier d'Azkaban avaient bénéficié de cette classification. Harry Potter et la coupe de feu (2005) et Harry Potter et l'Ordre du Phénix (2007) avaient été quant à eux classés PG-13 ("déconseillé aux moins de 13 ans non accompagnés"). Il semblerait donc que ce 6e épisode fasse un retour au "tout public" alors même que la version papier regorge de scènes violentes.
Un Français à Poudlard
A la photo de Harry Potter et le Prince de sang mêlé, on retrouve Bruno Delbonnel, le directeur de la photographie de Jean-Pierre Jeunet sur Le Fabuleux destin d'Amélie Poulain et Un Long dimanche de fiançailles, qui manque au passage le nouveau film du cinéaste français (Micmacs à tire-larigot). Et pour l'anecdote, Jean-Pierre Jeunet faillit un temps réaliser Harry Potter et l'Ordre du Phénix...
Vétérans
Réalisateur de Harry Potter et l'Ordre du Phénix, le Britannique David Yates rempile pour ce sixième opus : c'est le seul réalisateur, avec Chris Columbus (réalisateur des deux premiers volets de la franchise), à signer deux épisodes. A ses côtés, il retrouve des habitués de l'univers magique de J.K. Rowling, dont la costumière Jany Temime, le responsable des effets visuels Tim Burke, le responsable des créatures Nick Dudman et le compositeur Nicholas Hooper.
A la baguette
La musique de Harry Potter et le Prince de sang mêlé est signée Nicholas Hooper, déjà à l'oeuvre sur le précédent opus. Les fans reconnaîtront également certains thèmes composés par John Williams (les thèmes d'Hedwige et du Quidditch).
La caverne
La caverne de Voldemort, où se rendent Harry et Dumbledore pour détruire l'une des Horcruxes du sorcier maléfique, n'existe pas... ou presque. Les extérieurs ont été tournés aux Falaises de Moher, dans l'ouest de l'Irlande. Quant aux intérieurs, ils ont été intégralement générés en studio, le tournage ayant eu lieu sur fond bleu et le décor créé en post-production. "Pour reproduire ces cristaux de sel, nous avons expérimenté sur des résines synthétiques. Il fallait créer un matériau qui soit à la fois magique et crédible. Ce fut un gros challenge pour nous, ainsi que pour Tim Burke, notre équipe des effets visuels et le directeur de la photo Bruno Delbonnel. Comment éclairer cet ilot cristallin lumineux au beau milieu d'un immense trou noir? Chacun a apporté sa contribution, cela a été une expérience passionnante", souligne ainsi le chef-décorateur Stuart Craig.
Le Pont du Millenium
Le Pont du Millenium ("Millennium Bridge" en anglais) situé à Londres, est un pont en acier suspendu, réservé aux piétons. Dans Harry Potter et le Prince de sang mêlé, le Millennium Bridge est attaqué et détruit par des Mangemorts. Cette scène réalisée avec l'accord de J.K. Rowling n'existe pas dans le livre Harry Potter et le Prince de sang mêlé. En effet, dans le sixième ouvrage, l'histoire se déroule en 1996, date à laquelle le pont n'existait pas encore, puisqu'il fut créé en 2000.
Le grand retour du Quidditch !
Absent depuis Harry Potter et la coupe de feu, ce sixième volet de la franchise marque le grand retour du Quidditch, le sport favori à Poudlard, à travers un match mettant aux prises Gryffondor et Serpentard. "J'ai trouvé ces scènes d'autant plus intéressantes à réaliser que le précédent film n'en avait point", explique le réalisateur David Yates. "Nous avons voulu mettre en évidence la dureté de ce sport aérien, très physique, qui présente de sérieux risques de chute ou de collision. C'est un spectacle intense, fulgurant, qui vous prend aux tripes."
Deuil
Robert Knox qui interprète Marcus Belby dans Harry Potter et le Prince de sang mêlé, a trouvé la mort, poignardé, le 24 mai 2008, à la sortie d'un pub en essayant de protéger son frère entrainé dans une bagarre. L'acteur âgé de 18 ans venaient à peine de terminer le tournage du 6ème volet de la saga.
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Harry, un ami qui vous veut du bien|Dominik Moll|Thriller||3|français|2000|109|Français||DIV3|||DIV3|753 Kbps|720x416|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Michel Saint-Jean|Dominik Moll Gilles Marchand|Matthieu Poirot-Delpech||||Les vacances de Claire et Michel s'annoncent plutôt difficiles. Entre leurs trois enfants, énervés par l'infernale canicule qui sévit sur la ville, et cette maison de vacances qui est en chantier depuis cinq ans, le couple est sur les nerfs. C'est alors qu'Harry debarque inopinément dans leurs vies, prêt à tout pour faire le bonheur de son ami Michel. |Sergi López (Harry)@Laurent Lucas (Michel)@Mathilde Seigner (Claire)@Sophie Guillemin (Prune)@Liliane Rovère (La mère)@Dominique Rozan (Le père)@Michel Fau (Eric)@Victoire De Koster (Jeanne)@Laurie Caminita (Sarah)@Lorena Caminita (Iris)@||Secrets de tournage :
Deuxième film pour Dominik Moll
Harry, un ami qui vous veut du bien est le deuxième film de Dominik Moll, réalisateur français dont les origines sont allemandes. Son premier film était Intimite en 1994, dont il signait également le scénario en s'adaptant sur une nouvelle du philosophe Jean-Paul Sartre.
Références hitchcockiennes
Harry, un ami qui vous veut du bien multiplie les références aux oeuvres d'Alfred Hitchcock, et ce dès le titre, référence à Mais qui a tue Harry ?. Les rapports entre les deux hommes, Laurent Lucas et Sergi Lopez rappellent la situation dramatique de L' inconnu du nord-express. Mais il y en d'autres...
Comment Harry est né en Sergi Lopez
L'acteur d'origine espagnole Sergi Lopez, qui interprète le rôle titre de Harry, un ami qui vous veut du bien, raconte comment il a trouvé le personnage de Harry : "Et puis quand je suis arrivé sur le tournage, que je suis monté dans la vraie Mercedes grise (qui lui servira pour certains de ses meurtres), ça a été tout seul. Harry était là" (Studio).
Un succès international
Harry, un ami qui vous veut du bien a rencontré un grand succès en France, vu par environ 2 millions de spectateurs. La sortie américaine du long métrage de Dominik Moll a connu également une belle carrière, le film rapportant environ 4 millions de dollars aux Etats-Unis.
Les récompenses d'Harry
Harry, un ami qui vous veut du bien a rencontré un grand succès dans les milieux de la profession. Le film a en effet reçu une pluie de récompenses dans différentes cérémonies internationales. Non seulement le film était en compétition lors de l'édition 2000 du Festival de Cannes, mais il a reçu également lors des Césars 2001 les prix du Meilleur Acteur pour Sergi Lopez, du Meilleur Réalisateur pour Dominik Moll, du Meilleur Montage et du Meilleur Son. Sergi Lopez a été également désigné Meilleur Acteur lors de la cérémonie des European Film Awards.
Harry, un ami cannois
Harry, un ami qui vous veut du bien a été présenté en sélection officielle au Festival de Cannes 2000.
Laurent Lucas au travail
" Pour me préparer au personnage de Michel, je n'ai pas souhaité établir une fiche signalétique précise. J'ai abandonné la méthode de l'Actor's Studio que j'employais avec plaisir dans les cours de théâtre pour aller vers un travail plus global. Au début, on veut des réponses à tout, on essaye de percer des secrets qui ne nous regardent pas, des secrets auxquels le réalisateur et le scénariste n'ont même pas pensé ! Finalement, si on endosse bien l'écorce du personnage, après, il y en a pour tout le monde. Trop fouiller amène souvent à une performance d'acteur, on ne sait pas vraiment si ça sert le film ou pas. "
Dominik Moll insiste sur l'importance du casting
" Le souci était de ne pas vendre la mèche trop tôt. Par exemple, pour interpréter Harry, il était très important pour moi que l'acteur inspire confiance et soit d'emblée sympathique, le rôle doit beaucoup à la bonhomie de Sergi Lopez. Je n'aime pas les films où dès les premières images, on sait tout du "méchant", on s'attend déjà à voir le pire. Ca ne m'intéresse pas d'agresser le spectateur, j'ai envie de l'inclure dans le film et essayer de faire en sorte qu'il prenne du plaisir, même devant des scènes d'angoisse. "
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He Got Game|Spike Lee|Comédie dramatique||3|américain|2000|130|Anglais||XviD|||XVID|611 Kbps|504x280|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Jon Kilik Spike Lee|Spike Lee|Malik Hassan Sayeed||Opening Distribution||Lorsque son père Jake sort de prison, Jesus Shuttlesworth ne saute pas de joie. Cet homme est l'assassin de sa mère et l'a contraint à se prendre en charge, lui et sa petite soeur. Pour ne pas retourner derrière les barreaux d'ici une semaine, Jake doit convaincre son fils d'accepter l'offre du gouverneur : intégrer l'équipe de basket de l'université d'Etat. Une mission d'autant plus délicate que Jesus est le jeune joueur le plus convoité du pays, celui que toutes les équipes, tous les agents et toutes les fédérations courtisent à coups de millions de dollars... |Denzel Washington (Jake Shuttlesworth)@Ray Allen (Jesus Shuttlesworth)@Kim Director (Lynn)@Lori Rom (June)@Milla Jovovich (Dakota Burns)@Rosario Dawson (Lala Bonilla)@Hill Harper (Coleman "Booger" Sykes)@Zelda Harris (Mary Shuttlesworth)@Ned Beatty (Warden Wyatt)@Jim Brown (Spivey)@Bill Nunn (Oncle Bubba)@Thomas Jefferson Byrd (Sweetness)@John Turturro (le coach Billy Sunday)@Lonette McKee (Martha Shuttlesworth)@Jennifer Esposito (Mme Janus)@Shaquille O'Neal (Lui-même)@Michael Jordan (Lui-même)@John Thompson (II) (Lui-même)@Scottie Pippen (Lui-même)@Charles Barkley (Lui-même)@Reggie Miller (Lui-même)@Bill Walton (Lui-même)@Rick Pitino (Lui-même)@Nolan Richardson (Lui-même)@||||||||||||@@
Hell Ride|Larry Bishop|Action||2|américain|2007|83|Anglais||XVID|||XVID|994 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|162 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|13/08/2009 00:00:00|Shana Stein Michael Steinberg Larry Bishop|Larry Bishop|Scott Kevan||Third Rail Releasing||Flingues à la main, gros cylindres et bombes atomiques entre les jambes, Pistoléro et ses potes, les grandes gueules cassées des Victors, n'ont qu'un seul but : écumer les terres sauvages d'Amérique pour venger la douce du big boss, brûlée vive par le gang de motards des 666.Une seule façon d'y parvenir : suivre la route qui mène droit en enfer... |Larry Bishop (Pistolero)@Michael Madsen (The Gent)@Laura Cayouette (St. Claire)@Eric Balfour (Comanche)@Dennis Hopper (Eddie 'Scratch' Zero)@Vinnie Jones (Billy Wings)@Kanin J. Howell (Opium)@Michael Beach (Goody Two-shoes)@Cassandra Hepburn (Lana)@Léonor Varela (Nada)@Julia Jones (Cherokee Kisum)@Francesco Quinn (Machete)@Alison McAtee (La suédoise)@David Grieco (Dr Cement)@Theresa Alexandria (Carmen)@Claudia Salinas (Angelina)@David Carradine (The Deuce)@Bonnie Aarons (The Reff)@Sanja Banic (Fille au feu de camp)@Mary Castro@Cristos (Speed)@Dean Delray (Apeshit)@Andrea Fellers (Echo)@Terry Fradet (Holy Smoke)@Amber Hay (Flower)@Alyson Kiperman (Gigi)@Michael Macecsko (Shyster)@Steve McCammon (Bob the Bum)@Nygell (Motard)@Shanna Olson (Serveuse au Mud Devil)@Ivonne Oquendo (Fille au feu de camp)@Tracy Phillips (Yvonne)@Kasey Poteet (Serveuse topless)@Pete Randall (St. Louie)@Vincent Rivera (L'homme du labo)@Diana Terranova (Mud Devil #1)@Natasha Yi (Jucinda)@||Secrets de tournage :
De "Desperado" à Pistolero
Le nom du personnage principal du film, Pistolero, qu'incarne le metteur en scène Larry Bishop, est un hommage au titre de travail de Desperado de Robert Rodriguez (grand ami de Quentin Tarantino) qui était présentement Pistolero.
Rencontres sur le plateau de Kill Bill
Larry Bishop et Michael Madsen se sont rencontré pendant le tournage Kill Bill : Volume 2 qu'ils tournaient pour un certain Quentin Tarantino. Le monde est petit !
L'équipe Tarantino
Le film réuni quelques habitués de l'univers Tarantino. Outre Quentin Tarantino lui-même, à la production, le film met en scène Michael Madsen (Reservoir Dogs, Kill Bill : Volume 2) ainsi que le metteur en scène lui-même, Larry Bishop qui jouait le rôle du patron du night club dans lequel travaille Bud dans Kill Bill : Volume 2. A la production on retrouve également Bob et Harvey Weinstein, collaborateurs historiques de Tarantino.
Tarantino prévu dans le casting
Au départ, Quentin Tarantino devait jouer un des personnages principaux du films, Comanche. Le rôle a finalement été confié à Eric Balfour, acteur dans les saisons 1 et 6 de 24 heures chrono, que l'on verra dans Silver Cord de James Ordonez , aux côtés de Val Kilmer.
Deuxième long métrage
Hell Ride constitue le deuxième long métrage de Larry Bishop, plus de dix ans après son Mad dogs (1997) dans lequel il dirigeait Ellen Barkin, Gabriel Byrne, Richard Dreyfuss, Jeff Goldblum, Diane Lane, Burt Reynolds,... Ce qui composait, pour un premier film, déjà un fort beau casting. Sur ce second film, Bishop est également acteur, scénariste et producteur.
Tarantino à la production
On retrouve Quentin Tarantino à la production de ce film de "bikers" mis en scène par son ami Larry Bishop. Tarantino se fait de plus en plus présent sur le marché de la production, faisant bénéficier ses amis de l'attractivité de son nom. Dans les années 90, il s'était associé à Roger Avary (Killing Zoe) ou Robert Rodriguez (Une nuit en enfer). Plus récemment, il a produit Eli Roth (Hostel, Hostel - Chapitre II) et donc le dernier film de Larry Bishop, Hell Ride.
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Hellboy|Guillermo Del Toro|Fantastique||2|américain|2004|127|||DX50|||DX50|662 Kbps|480x256|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Lloyd Levin Larry Gordon Mike Richardson|Guillermo Del Toro Peter Briggs|Guillermo Navarro||Columbia Pictures|Saga : Hellboy |Né dans les flammes de l'enfer, le démon Hellboy est transporté sur Terre lors d'une sombre cérémonie célébrée par les nazis, désireux d'utiliser les forces infernales à des fins de conquête. Sauvé par le docteur Broom, Hellboy est alors élevé pour combattre les forces du Mal. Armé, possédant un bras droit en pierre, il fait équipe avec le télépathe Abe Sapien et Liz Sherman, capable de contrôler le feu... |Ron Perlman (Hellboy)@John Hurt (le professeur Trevor "Broom" Bruttenholm)@Selma Blair (Liz Sherman)@Rupert Evans (Agent John Myers)@Jeffrey Tambor (Tom Manning)@Karel Roden (Grigori Rasputin)@Doug Jones (Abraham "Abe" Sapien)@Ladislav Beran (Kroenen)@Corey Johnson (l'agent Clay)@Bridget Hodson (Ilsa)@Kevin Trainor (le professeur Broom jeune )@David Hyde Pierce (la voix de Abe Sapien)@Mike Mignola@Guillermo Del Toro (Un homme déguisé en dragon)@||Secrets de tournage :
A l'origine, un comic-book
Hellboy est l'adaptation de la série éponyme de comic-books créée par Mike Mignola en 1994 et publiée chez Dark Horse. Très populaire outre-Atlantique, l'oeuvre se distingue par un graphisme très particulier jouant sur l'ombre et la lumière, et met en scène les aventures d'un super-héros atypique, une créature démoniaque issue des flammes de l'Enfer mais combattant pour le Bien. "Hellboy est un héros de bande dessinée particulier", explique l'auteur. "C'est un type droit. Né des flammes, il est indestructible, tout en étant pourtant innocent et timide. C'est un être paradoxal. Ses origines et ce qu'il veut faire de sa vie sont en opposition complète, maintenus dans un équilibre instable. Issu du Mal, il a choisi d'oeuvrer pour le Bien".
Vin Diesel dans la peau de Hellboy ?
Avant que Ron Perlman ne soit choisi pour le rôle, Vin Diesel, également doté d'une impressionnante carrure, avait un temps été annoncé dans la peau de Hellboy. Nicolas Cage et The Rock avaient également été pressentis pour le rôle.
Inspiration
Hellboy s'inspire du premier tome de la saga, Les Graines de la destruction, mais reprend également des éléments à d'autres volumes de l'histoire. Y sont également incorporés des éléments nouveaux comme la relation approfondie entre le professeur Broom (John Hurt) et Hellboy (Ron Perlman), le caractère de Abe Sapien (Doug Jones) ou les personnage de l'agent du FBI John Myers (Rupert Evans) et du monstre Sammael, totalement inventés par Guillermo Del Toro. "Certaines choses présentes dans mes bandes dessinées ici et là depuis dix ans ont été condensées", note Mike Mignola. "J'ai dit à Guillermo : 'Change ce que tu veux, approprie-toi mon travail''".
Un super-héros atypique
"Hellboy est un super-héros qui n'aspire pas à en être un", explique Guillermo Del Toro. "Il est né de cette force colossale et de l'immortalité, mais tout ce dont il rêve, c'est de s'asseoir avec sa petite amie, comme un type ordinaire. (...) Il possède une nature double, qui se partage entre le Bien et le Mal. Il a le physique d'un grand gaillard adulte, mais le coeur et l'esprit d'un adolescent. Il a un côté enfant gâté, un fort tempérament, il est indiscipliné".
Hellboy plutôt que Harry Potter et Blade !
Après le succès de Blade 2, Guillermo Del Toro se vit offrir de nombreux projets par les Majors, dont Blade : trinity et Harry Potter et le prisonnier d'Azkaban. Le cinéaste mexicain préféra toutefois donner vie à un projet qui lui tenait à coeur : Hellboy.
Ron Perlman, le Hellboy rêvé
Durant la pré-production de Hellboy, le réalisateur Guillermo Del Toro et le créateur de la BD Mike Mignola avaient tout deux un acteur en tête pour incarner Hellboy. Souhaitant se réserver mutuellement la surprise, ils décidèrent de se révéler leur idée en même temps. Un seul et même nom jaillit de leur bouche : Ron Perlman. Guillermo Del Toro avait d'ailleurs déclaré qu'il refuserait de faire le film si tout autre acteur était choisi par les producteurs, pour qui le comédien, relativement peu connu du grand public, représentait un risque financier.
Un acteur fidèle
Fidèle à ses metteurs en scènes (il a joué pour Jean-Jacques Annaud dans La Guerre du feu, Le Nom de la rose et Stalingrad ; dans La Cité des enfants perdus et Alien, la résurrection pour Jean-Pierre Jeunet), Ron Perlman est également un habitué de Guillermo Del Toro : il est ainsi apparu dans Cronos, Blade 2, Hellboy et Hellboy 2.
Ron Perlman, l'ami des maquilleurs
Avant d'incarner Hellboy, Ron Perlman avait déjà endossé un maquillage sur de nombreux projets, dont La Guerre du feu, Le Nom de la rose, Star Trek : nemesis ou la série La Belle et la Bête.
Un entraînement drastique
Pour incarner Hellboy et porter le lourd costume du démon, Ron Perlman dut se soumettre à un entraînement drastique : "Je passais cinq ou six jours par semaine au gymnase. J'ai fait beaucoup de cardio et j'ai développé au maximum ma force et mon endurance".
Mike Mignola et le cinéma
Hellboy ne marque pas la première collaboration de Mike Mignola et d'Hollywood. Auparavant, l'artiste avait oeuvré sur l'adaptation en BD du Dracula de Francis Ford Coppola, et avait signé des dessins pour Atlantide, l'empire perdu et Blade 2.
Retrouvailles...
Hellboy marque les retrouvailles du réalisateur Guillermo Del Toro avec son directeur de la photographie Guillermo Navarro, après Cronos et L'Echine du diable. Le film offre également au cinéaste mexicain l'occasion de retrouver le compositeur Marco Beltrami, à l'oeuvre sur Mimic et Blade 2.
Une première collaboration sur "Blade 2"
Avant Hellboy, Mike Mignola avait déjà collaboré avec Guillermo Del Toro sur Blade 2 en tant que designer. Interprète du sombre Raspoutine dans Hellboy, l'acteur tchèque Karel Roden était également présent au générique du film de vampires.
Renfort vocal
Si le contortionniste Doug Jones prête ses traits à Abe Sapien, la voix de l'homme-poisson est celle du comédien David Hyde Pierce, ajoutée en post-production.
Une apparition clin d'oeil
Créateur du comic-book original, Mike Mignola apparaît à l'écran déguisé en chevalier lors de la scène de bal masqué.
Dans la peau de Hellboy...
Mis au point par l'expert Rick Baker, le maquillage de Hellboy était l'un éléments essentiels à la viabilité du projet. La pose du masque demandait environ quatre heures au maquilleur Jake Garber. "Ce qui me stupéfie", explique le producteur Lloyd Levin, "c'est la façon dont les subtilités de l'interprétation de Ron sont perceptibles sous les couches de maquillage. C'est un personnage délirant, rouge, avec des cornes, il est énorme et a des dents gigantesques, et pourtant on ne voit pas un masque, mais une créature vivante, qui respire et éprouve des émotions". Au final, les paupières et la main gauche de Ron Perlman étaient les seuls parties du corps du comédien à apparaître à l'écran ! Pourtant, le comédien ne s'est jamais, de son propre aveu, trouvé aussi sexy qu'en Hellboy...
Problème dentaire
Les prothèses dentaires démesurées de Hellboy affectaient quelque peu la diction de Ron Perlman, qui marquait alors trop les "s" et les rendait sifflants. Un problème qui fut corrigé en post-production.
Pas d'images de synthèse pour le géant rouge
Comme l'avait fait Ang Lee pour Hulk, Guillermo Del Toro songea un temps à mettre en scène un Hellboy en images de synthèse. Une discussion avec son ami James Cameron lui fera toutefois changer d'avis : "Je discutais de cela avec James, et il m'a dit : 'Bonne idée, mais l'histoire d'amour ne marchera pas'. J'ai alors réalisé qu'il avait totalement raison, et je suis retourné vers le maquillage".
Un poing et une queue électroniques
La main droite du héros (censée être de pierre) et sa queue de démon ne sont en aucun cas des postiches, mais des accessoires électroniques et articulés contrôlés à distance par des animateurs. Affublé de son maquillage, ces ajouts, son costume et son arme, Ron Perlman supportait un poids de plusieurs kilos et pouvait difficilement tourner sur une trop longue période sans devoir se reposer.
Une arme de service impressionnante
L'arme de service de Hellboy, un revolver des plus impressionnants, pesait à lui seul plusieurs kilos ! Soucis du détail : Guillermo Del Toro demanda à l'équipe des accessoires de graver le signe du Bureau de la Défense et de la Recherche Paranormale (BDRP) sur chaque balle.
Des monstres de 27 kilos !
Le costume principal du monstre Sammael pesait environ 27 kilos. En plus du cascadeur à l'intérieur de la créature, trois manipulateurs était chargé d'animer la bête et de maintenir son aspect gluant. Toutefois, dès que Sammael se déplace plus de deux ou trois pas, c'est un personnage numérique qui apparaît à l'écran.
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Hellboy II : The Golden Army|Guillermo Del Toro|Fantastique||3|allemand, américain|2008|119|Anglais||XviD|||XVID|681 Kbps|592x320|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Lawrence Gordon Lloyd Levin Mike Richardson|Mike Mignola Guillermo Del Toro|Guillermo Navarro||Universal Pictures|Saga : Hellboy |Après qu'une ancienne trêve établie entre le genre humain et le royaume invisible des créatures fantastiques ait été rompue, l'Enfer sur Terre est prêt à émerger. Un chef impitoyable qui règne sur le royaume d'en-dessous, renie ses origines et réveille une menace sans précédent : une armée de créatures que personne ne peut arrêter. Maintenant, il est temps pour le super héros le plus indestructible et le plus cornu de la planète de combattre un dictateur sans pitié et ses légions. Il peut être rouge, il peut avoir des cornes, il peut être mal compris, mais si vous voulez que le travail soit bien fait, appelez Hellboy.Avec ses partenaires du Bureau de Recherche et de Défense Paranormal (B.P.R.D.), sa petite amie pyrokinésique Liz, l'aquatique et empathique Abe Sapien et le mystique protoplasmique Johann, le B.P.R.D voyagera entre notre monde et celui où voguent les créatures que ne peuvent pas voir les humains, où les créatures du monde fantastique sont devenues réelles. Hellboy, créature appartenant aux deux mondes qui n'est accepté dans aucun, devra choisir entre la vie qu'il connaît et une destinée incertaine qui l'attend. |Ron Perlman (Hellboy)@Selma Blair (Liz Sherman)@Doug Jones (Abe Sapien / Le Chambellan / L'Ange de la mort)@John Alexander (Johann Krauss)@James Dodd (Johann Krauss)@Seth MacFarlane (Johann Kraus (voix))@Luke Goss (Prince Nuada)@Anna Walton (La Princesse Nuala)@Jeffrey Tambor (Tom Manning)@John Hurt (Le Professeur Broom)@Brian Steele (Wink/Cronie/le troll à l'épicerie/Fragglewump)@Iván Kamarás (l'agent Steel)@Andrew Hefler (l'agent Flint)@Mike Kelly (l'agent Marble)@Jeremy Zimmerman (le commissaire-priseur)@Santiago Segura (l'acheteur distingué)@Roy Dotrice (Le roi Balor)@Aidan Cook (le commerçant à deux têtes)@Jeanne Mockford (la clocharde)@John Alexander (un gobelin de Bethmoora)@Montse Ribé (Hellboy, jeune)@Ferenc Elek (gros lard)@Alex McSweeney (un policier)@Matthew O'Toole (le vendeur de membres)@Jamie Wilson (le vendeur de chats)@Kevin Hudson (le joueur d'orgue)@Clive Llewellyn (un vendeur)@Sándor Svigelj (le joueur de cornemuse)@Brian Herring (Silkard/Le poissonnier)@Pálma Pásztor (le vendeur de momies)@Jimmy Kimmel (lui-même)@Judit Viktor (la dame au chien)@Szonja Oroszlán (la femme avec un bébé)@Péter Horkay (le steward)@Richard Rifkin (le type pontifi ant)@||Secrets de tournage :
Le retour du démon
Hellboy II les légions d'or maudites est la suite de Hellboy adapté des bandes dessinées de Mike Mignola. Le premier épisode avait rapporté près de 100 millions de dollars sur le marché mondial pour un budget estimé à 66 millions de dollars permettant ainsi de mettre en chantier un nouvel opus. A cette occasion, le réalisateur et scénariste Guillermo Del Toro est de retour accompagné de toute son équipe dont Ron Perlman dans le rôle du démon. Parmi les acteurs principaux, seul Rupert Evans, qui tenait le rôle de l'agent John Myers, n'est plus de la partie...
La patte Del Toro
Si Mike Mignola avait déjà développé un large bestiaire dans la bande dessinée Hellboy, Guillermo Del Toro a dû imaginer lui-même quelques créatures pour les besoins du film comme l'Ange de la nuit ou encore Wink, l'âme damnée de Nuada. Ce dernier demandait au comédien qui le jouait, Brian Steele, d'enfiler un costume de 30 kilos ! Son imposante main était, quant à elle, contrôlée par une équipe de marionnettistes.
Trois en un
En plus du personnage d'Abe Sapien, Doug Jones prête son corps à l'Ange de la mort ainsi qu'à celui du Chambellan. Véritable pierre angulaire du cinéma de Guillermo Del Toro, c'est lui qui avait endossé le costume de l'homme pâle et du Faune dans Le Labyrinthe de Pan.
Patience
Le maquillage nécessaire pour transformer le comédien Doug Jones en Abe Sapiens demandait près de 5 heures de travail.
Quand les monstres font leurs courses
L'une des scènes clés du film se déroule dans l'étrange "Marché aux trolls" situé sous le pont de Brooklyn. Pour le construire et abriter les 200 créatures qui y vivent, il a fallu un espace de 4 000 mètres carrés aménagés dans une ancienne carrière en Hongrie.
Le Prince Nuada
Le rôle du Prince Nuada est revenu à Luke Goss, avec qui Guillermo Del Toro avec travaillé sur Blade 2 (c'est d'ailleurs en pensant à lui qu'il a écrit le rôle). L'acteur revient sur ce personnage par qui tout arrive : "Nuada veut rétablir l'équilibre planétaire par la voie la plus directe. Il n'entend pas détruire le monde, mais en jouir. Je comprends son point de vue ainsi que sa rage à voir son histoire personnelle mise aux enchères."
Ron Perlman, l'ami des maquilleurs
Avant d'incarner Hellboy, Ron Perlman avait déjà endossé un maquillage sur de nombreux projets, dont La Guerre du feu, Le Nom de la Rose, Star Trek Nemesis ou la série La Belle et la Bête.
Un acteur monstrueux
Brian Steele, qui endosse le costume de Wink, est un habitué des rôles de monstres au cinéma. Avec une taille de 2,01m , il a ainsi pu se glisser sous les impressionnants costumes des Hell Knight de Doom, d'un des Tartutics de La Jeune fille de l'eau, des inquiétantes créatures de La Crypte ou encore du Tyran de Resident Evil: Extinction. Il était par ailleurs déjà présent dans premier Hellboy puisqu'il était sous le costume du démon Sammael.
L'autre Guillermo
Pour le tournage d'Hellboy II, Guillermo Del Toro a une nouvelle fois fait appel à son directeur de la photographie Guillermo Navarro avec qui il avait travaillé sur Cronos, L'Echine du diable, Hellboy ou encore le Le Labyrinthe de Pan.
De Marco à Danny
Si Guillermo Del Toro retrouve son fidèle directeur de la photographie, il s'est pourtant séparé de Marco Beltrami, l'auteur des musiques du premier Hellboy. Il s'est toutefois entouré d'une autre pointure puisqu'il a fait appel à Danny Elfman, compositeur fétiche d'un autre réalisateur spécialisé dans le fantastique : Tim Burton.
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Highlander|Russell Mulcahy|Action|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain, britannique|1986|106|||DX50|||DX50|847 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|64.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Peter S. Davis William N. Panzer|Gregory Widen Peter Bellwood Larry Ferguson|Gerry Fisher||Artistes Auteurs Associés (A.A.A.)|Saga : Highlander |Connor Macleod est un immortel. Il traverse les Ages depuis son Ecosse de 1536, multipliant les rencontres, les expériences et les combats...Car depuis plus de 400 ans Macleod affronte dans des luttes sans merci d'autres immortels pour remporter Le Prix. Le seul moyen de le tuer est de leur trancher la tête et c'est ce qu'il s'évertue à faire depuis des siècles tout comme son ennemi juré : le Kurgan. Un guerrier sadique ayant tué la majorité des immortels.C'est dans le New York de 1986 que Macleod prépare le combat ultime qui fera de lui le dernier des immortels. Il ne peut en rester qu'un. |Christophe Lambert (Connor MacLeod / Russell Edwin Nash)@Sean Connery (Juan Sanchez Villa - Lobos Ramirez)@Roxanne Hart (Brenda J. Wyatt)@Clancy Brown (Kurgan / Victor Kruger)@Beatie Edney (Heather MacLeod)@Alan North (Lieutenant Frank Moran)@Jon Polito (Inspecteur Walter Bedsoe)@Sheila Gish (Rachel Ellenstein)@Hugh Quarshie (Sunda Kastagir)@Christopher Malcom (Kirk Matunas)@Peter Diamond (Aman Fasil)@Billy Hartman (Dugal MacLeod)@James Cosmo (Angus MacLeod)@Celia Imrie (Kate)@Alistair Findlay (Chef Murdoch)@Edward Wiley (Garfield)@James McKenna (Père Rainey)@John Cassady (Kenny)@Ian Reddington (Bassett)@Sion Tudor Owen (Hotchkiss)@Damien Leake (Tony, le vendeur de hot-dogs)@Frank Dux (Le vieil homme dans la voiture)@Anthony Fusco (Le barman)@Ron Berglas (Erik Powell)@Corinne Russell (Candy)@Greg Gagne (Lui-même (non crédité))@Buddy Roberts (Catcheur professionnel (non crédité))@Gordon Sterne (Dr. Willis Kenderly)@Helena Stevens (Le vieille femme dans la voiture)@Terry 'Bam Bam' Gordy (Catcheur professionnel (non crédité))@Sam Fatu (Catcheur professionnel (non crédité))@Jim Brunzell (Lui-même (non crédité))@Harry Fielder (Le garde à l'hopital (non crédité))@Michael Seitz (Catcheur professionnel (non crédité))@Peter Banks (Le prêtre)@||||||||||||@@
Highlander II : The Quickening|Russell Mulcahy|Action||1|américain|1991|85|||DIV3|||DIV3|1 017 Kbps|720x416|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|692||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Peter S. Davis Jean-Luc Defait Ziad El Khoury William N. Panzer|Brian Clemens Peter Bellwood|Phil Meheux||UGC International|Saga : Highlander |Transposition du postulat du premier Highlander dans le futur. Année : 2025. Une guerre fratricide déchire la planète Zeist. La raison : la couche d'ozone a été détruite. McLeod et Ramirez sont envoyés sur Terre afin de découvrir pourquoi. |Christophe Lambert (Connor MacLeod / Russell Edwin Nash)@Sean Connery (Juan Sanchez Villa - Lobos Ramirez)@Virginia Madsen (Louise Marcus)@Michael Ironside (Général Katana)@John C. McGinley (David Blake)@Allan Rich (Allan Neyman)@Phil Brock (Cabbie)@Rusty Schwimmer (l'alcoolique)@Ed Trucco (Jimmy)@Steven Grives (Hamlet )@||||||||||||@@
Highlander III : The sorcerer|Andrew Morahan|Fantastique||1|américain, français|1995|94|||DX50|||DX50|910 Kbps|720x304|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|691||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Claude Léger|Brad Mirman William N. Panzer Paul Ohl|Steven Chivers|||Saga : Highlander |Dans le Japon féodal, l'Immortel Connor McLeod est à la recherche d'un maître afin d'apprendre l'art de la magie. Il est poursuivi par un homme immortel aux desseins maléfiques. |Christophe Lambert (Connor MacLeod / Russell Edwin Nash)@Mario Van Peebles (Kane)@Deborah Unger (Alex Johnson / Sarah)@Mako (Nakano)@Martin Neufeld (Stenn)@Raoul Trujillo (un guerrier)@Jean-Pierre Perusse (un guerrier)@Louis Bertignac (Pierre Bouchet)@Michael Jayston (Jack Donovan)@Gabriel Kakon (John)@Daniel Do (Takamura)@||||||||||||@@
Highlander: Endgame|Douglas Aarniokoski|Fantastique||2|américain|2001|92|Anglais||DIV3|||DIV3|877 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|671||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Peter S. Davis William N. Panzer|Joel Soisson|Douglas Milsome||Bac Films|Saga : Highlander |Les Highlanders ont vécu à l'époque de nos ancêtres et vivent aujourd'hui à nos côtés. Depuis des siècles, Duncan MacLeod (Adrian Paul) croise le chemin de son proche ami, Connor MacLeod (Christophe Lambert), immortel également.
Leur amitié a commencé au XVIIème siècle, lors de leur première rencontre sur le champ de bataille de Glen Fruin. Connor l'avait alors pris comme apprenti et lui avait enseigné les rudiments de combat et les règles des immortels. A l'aube du XXIème siècle, le destin a fait en sorte de les réunir à nouveau.
Kate (Lisa Barbuscia), l'ancienne flamme de Connor, a rejoint les rangs de Kell (Bruce Payne), un immortel aux pouvoirs maléfiques. Ce dernier voue une haine féroce à Connor et ne cesse de le traquer. Mais aucun Highlander n'a la faculté à lui seul de se confronter à Kell. Celui-ci a déjà tué six cents immortels et pris leur pouvoir. Duncan et Connor MacLeod vont devoir unir leurs forces pour mettre fin à la suprématie de ce tyran.
Par ailleurs, les deux combattants découvrent que chacun de leurs adversaires possède un pouvoir de destruction incroyable dû à la maîtrise des arts martiaux et de l'épée. Une ultime bataille dont l'issue décidera du destin de l'espèce humaine va se dérouler entre les immortels sur la Terre. A la fin, il ne doit en rester qu'un seul.
Les fans peuvent s'attendre à une réunion de la série télévisée et de la franchise cinéma, puisque ce quatrième Highlander met en scène la vedette de la série, Adrian Paul, ainsi que Christophe Lambert qui est associé à la saga depuis ses débuts. |Adrian Paul (Duncan MacLeod)@Christophe Lambert (Connor MacLeod / Connor MacLeod / Russell Edwin Nash )@Bruce Payne (Jacob Kell)@Lisa Barbuscia (Kate MacLeod / Faith)@Donnie Yen (Jin Ke)@Ian Paul Cassidy (Cracker Bob)@Peter Wingfield (Methos)@Damon Dash (Carlos)@Beatie Edney (Heather MacLeod)@Jim Byrnes (Joe Dawson)@Douglas Aarniokoski (Kirk)@Adam Copeland (Lachlan)@Sheila Gish (Rachel Ellenstein)@Mihnea Trusca (le villageois)@June Watson (Caiolin MacLeod)@Donald Douglas (le Père Rainey)@Liviu Timus (le bourreau)@Oris Erhuero (Winston)@Christopher Leps (le moine encapuchonné)@Vernon Rieta (Manny)@John Medlen (le premier moine)@Thomas Lockyer (Matthew Hale)@Charmian May (la dame)@Paul Bigley (le fripon)@Daniel Parker (Puffer, le fumeur de joint)@Jessica Mann (Rachel, à l'âge de 8 ans)@Robert Hewett (le photographe)@Kananu Kimiri (l'assistant de Faith)@David Nicholls (l'ami ivre)@Abigail Kingsbury (Rachel, à l'âge de 12 ans)@Candace Hallinan (Rachel, à l'âge de 19 ans)@Wendy Partridge (la collègue)@||Secrets de tournage :
Les débuts de Douglas Aarniokoski
Avec Highlander : endgame, Douglas Aarniokoski signe son premier film en tant que réalisateur. Il n'est pourtant pas un débutant dans la profession. Réalisateur de bandes annonces commerciales pour Miramax, il aussi travaillé avec Robert Rodriguez :
Christophe Lambert à propos de Highlander IV
« C'est probablement l'histoire qui se rapproche le plus des sources du premier film. Highlander : endgame revient sur le côté romantique de l'histoire ? avec un regard lyrique sur la douleur de l'être immortel et la nécessité de gagner le combat ultime. »
Douglas Aarniokoski, sur son premier film :
« L'histoire ne demande pas d'avoir vu le film précédent ni la série télévisée, n'importe qui peut rentrer directement dans le film (?). Ce film montre Conor et Duncan MacLeod de manière totalement différente (?). Ils ont élevé leurs dons de combattants à une absolue perfection. Les innombrables fans de Highlander y découvriront des choses qu'ils n'avaient jamais vues avant. »
Les lieux du tournage
Pour l'essentiel, Highlander : endgame le tournage s'est déroulé en Roumanie, à Bucarest et dans ses environs. Mais plusieurs scènes ont été tournées au Musée d'Histoire Naturelle et au Millenium Dome de Londres.
Nick Allder, superviseur des effets spéciaux
Il a travaillé sur deux films de Luc Besson : Le 5ème élément et Léon, mais aussi sur Braveheart, Lost in space, Conan Le Barbare ou Les joyaux du Nil.
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Hitch|Andy Tennant|Romance||3|américain|2005|118|Anglais||DX50|||DX50|690 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||23.976|02/08/2009 00:00:00|James Lassiter Teddy Zee Will Smith|Kevin Bisch|Andrew Dunn||Sony Pictures Entertainment||Alex Hitchens est un entremetteur (marieur) professionnel qui utilise des moyens peuorthodoxes pour coacher ses clients et jouer avec le destin. Il réussit ainsi avec succès à unir des hommes ordinaires avec des femmes extraordinaires. Malgré tout cela, Hitch ne croit pas en l'amour.Pourtant sa rencontre avec Sara, une jeune journaliste sexy qui partage les mêmes points de vue cyniques sur les relations amoureuses va les amener sur un territoire inconnu... |Will Smith (Alex Hitchens "Hitch")@Eva Mendes (Sara)@Kevin James (Albert)@Michael Rapaport (Ben)@Amber Valletta (Allegra Cole)@Adam Arkin (Max Trundle)@Julie Ann Emery (Casey)@Robinne Lee (Cressida)@Nathan Lee Graham (Geoff)@Jeffrey Donovan (Vance)@Paula Patton (Mandy)@Philip Bosco (Mr. O'Brian)@Kevin Sussman (Neil)@Navia Nguyen (Mika)@Matt Malloy (Pete)@Maria Thayer (Lisa)@Ato Essandoh (Tanis)@Marlyne Afflack (Stephanie)@Jack Hartnett (Tom Reda)@David Wike (Chip)@Frederick B. Owens (Larry)@Jenna Stern (Louise)@Ptolemy Slocum (Ron)@||Secrets de tournage :
Enfin une comédie pour Will Smith
Héros d'action réputé pour son charme et son humour, Will Smith n'avait cependant encore jamais joué dans une comédie. Le producteur James Lassiter explique : "Cela faisait des années que nous cherchions un bon scénario de comédie pour Will. Ce n'est pas aussi facile que ça en a l'air." C'est à ce moment-là qu'est tombé le script de Hitch écrit par Kevin Bisch et qui a aussitôt séduit le producteur et l'acteur.
Un scénario inspiré d'expériences personnelles
Le scénariste Kevin Bisch a puisé son inspiration dans ses expériences personnelles à l'université. Après une suite de rendez-vous plus ou moins réussis avec différentes jeunes filles, il a réalisé qu'il finissait généralement assis au bord du lit avec elles, à feuilleter longuement des albums photos... "J'ai eu une révélation, confie-t-il. Comment avais-je pu être aussi bête ? Elles ne faisaient que tuer le temps en attendant que je les embrasse. Après ça, je me suis intéressé de près à la mécanique et au timing des débuts d'une relation avec une femme, et aux petits détails infimes..."
Les débuts cinématographiques de Kevin James
Kevin James, star de la série comique Un gars du Queens, fait ici ses débuts cinématographiques dans le rôle du très doux Albert Brennaman, le comptable. Les années d'expérience de ce comédien à la télévision étaient un plus pour Will Smith, qui avait lui-même débuté avec succès dans la série Le Prince de Bel Air.
Le choix d'Eva Mendes
Eva Mendes a été choisie pour le rôle de Sara en raison de sa vivacité et de son dynamisme. La productrice exécutive Wink Mordaunt explique : "Nous avons choisi Eva Mendes parce qu'elle a quelque chose de léger. Elle avait le tempérament idéal pour Sara. Lorsque Hitch essaie d'organiser un rendez-vous avec elle et que les choses tournent à la catastrophe, elle ne se fâche pas. Au contraire, cela l'amuse. C'est exactement la personnalité d'Eva."
Tournage à New York
Hitch a entièrement été tourné à New York. Andy Tennant confie : "C'est une ville gigantesque où l'on se sent comme dans un village. J'avais filmé juste quelques scènes pour Coup de foudre et conséquences et Fashion victime à Manhattan, et je trouve que New York est l'endroit idéal pour tourner un film sur les rendez-vous amoureux, les endroits où il faut être, et les trentenaires !"
Le tournage a débuté au printemps 2004 au Balthazar, un bistro tendance de Soho. Le réalisateur a choisi de tourner en grande partie dans le centre ville, dans des quartiers rarement vus au cinéma. L'histoire se déroule principalement dans l'ancien quartier des abattoirs et boucheries de Manhattan, près de la 14e rue. On y trouve certains des endroits les plus branchés de la vie nocturne new-yorkaise. Plusieurs séquences ont également été tournées au Amp Lounge, inspiré par le Soho House.
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Hitman|Xavier Gens|Action||2|américain, français|2007|94|Anglais||XviD|||XVID|899 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|699||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Chuck Gordon Adrian Askarieh Luc Besson Pierre-Ange Le Pogam|Skip Woods|Laurent Bares||EuropaCorp Distribution||Crâne rasé, code barre tatoué sur la nuque, costume noir, chemise blanche et cravate rouge : l'agent 47 est le plus mystérieux et le plus insaisissable des tueurs professionnels. Réputé pour la minutie avec laquelle il va jusqu'au bout de ses missions, il obéit toujours à un protocole strict : extrême vigilance, extrême discrétion et extrême soin apporté à l'exécution de ses contrats. Patience et détermination sont ses deux armes de prédilection. Rien ne l'arrête. Sa signature : l'absence de preuves. Sa spécialité : disparaître sitôt sa mission accomplie. Un vrai fantôme, obligé de se découvrir le jour où Belicoff, candidat aux élections russes, lui tend un piège. Avec Interpol, les services secrets russes et trois tueurs de sa propre agence à ses trousses, l'agent 47 est contraint de briser son propre protocole pour mener à bien sa mission... |Timothy Olyphant (l'Agent 47)@Dougray Scott (Mike Whittier)@Olga Kurylenko (Nika Boronina)@Robert Knepper (Yuri Marklov)@Ulrich Thomsen (Mikhail Belicoff)@Michael Offei (Jenkins)@Henry Ian Cusick (Udre Belicoff)@Christian Erickson (General Kormarov)@Eriq Ebouaney (Bwana Ovie )@Joe Sheridan (Capitaine Gudnayev)@James Faulkner (Smith Jamison)@Jean-Marc Bellu (Hitman n°2)@Nicky Naude (Hitman n° 4)@Loïc Molla (Hitman n° 6)@Youssef Diawara (un prisonnier attaché)@Patrick Ligardes (un trafiquant d'arme)@Anca Radici (la fille triste)@Peter Hudson (Mr. Price)@Cyril Gueï (le vieux chef du SUV)@Ivan Yurukov (John le Russe)@Vladimir Kolev (un homme du HRT)@Paul Barrett (journaliste n° 3)@Stefka Yanorova-Trenfafilova (la femme de Belicoff)@Yasmine Meddour (la fille de Belicoff)@Desislava Bakardzhieva (la femme journaliste)@Velizar Binev (le prêtre)@Radoslav Parvanov (l'Agent 47 jeune)@Lisa Jacobs (Diana (voix))@Dessislava Zidarova (la prostituée de Belicoff)@Emile Abossolo M'Bo (General Ajunwa)@Paul Bandey (Directeur MC Ray)@Assen Blatechki (chauffeur du FSB)@Dobrin Dosev (un homme d'Eglise)@||Secrets de tournage :
Genèse d'un projet
L'adaptation de Hitman a débuté lorsque les producteurs Charles Gordon, Adrian Askarieh, et le coproducteur Daniel Alter en ont acheté les droits pour la Twentieth Century Fox. Intéressé par le projet, EuropaCorp décida de s'y associer. Producteurs du premier film de Xavier Gens, Frontières, Pierre-Ange Le Pogam et Luc Besson ont alors suggéré aux cadres de la Fox de jeter un oeil sur ce film, qui les a convaincu de donner le feu vert pour engager le cinéaste sur ce projet.
Hitman Academy
Pour le rôle de Nika, la production a dû auditionner pas moins de 200 femmes, avant de tomber sur la perle rare : Olga Kurylenko, que le réalisateur Xavier Gens a rencontré très peu de temps avant le début du tournage.
Histoire de Gunfights
Les acteurs bénéficiaient de quatre versions de leurs armes. Une arme qui ne devait pas tirer était systématiquement remplacée par une version en latex : plus légère, elle ne risquait pas ainsi de blesser les cascadeurs et/ou les comédiens. Si les acteurs devaient tirer, ils devaient alors utiliser soit une réplique appelée "non gun", qui est en fait une arme électrique qui ne tire pas, mais dont la gâchette déclenche une flamme au bout du canon; soit une arme dite "à canon bouché", dans laquelle on utilise des cartouches sous-dosées. Enfin la dernière alternative reste les balles à blanc, qui demande tout de même un certain nombres de mesures de protections (visiaires en plexiglas pour les caméramens par exemple).
Acteur tamponné
Pour le fameux code-barre tatoué sur la nuque de l'Agent 47 (ces deux chiffres désignant en fait les deux derniers du numéro de ce code-barre), l'équipe utlisait chaque matin un...tampon qu'elle appliquait sur la nuque de Timothy Olyphant.
Xavier Gens, aficionado des jeux vidéo
Grand amateur de jeux vidéo, Xavier Gens avait d'autant plus à coeur de soigner sa vision de l'univers de l'Agent 47, que la franchise des Hitman est l'une de ses préférées. Il explique : "le principal challenge était de respecter un maximum, que ce soit dans les costumes ou les décors, l'univers graphique et la direction artistique du jeu, tous deux très marqués. Le jeu se déroule dans des ambiances de pays de l'Est, dans des lieux très influencés par l'univers de John Le Carré. Au moment de commencer le film, je me suis d'ailleurs replongé dans l'ambiance post-mur de Berlin, alors que l'influence communiste telle qu'on la trouvait dans les films des années 70 ou 80 était encore perceptible."
Bad Guy
C'est en le voyant dans le rôle du bad guy de Die Hard 4 - retour en enfer que les producteurs ont décidé de choisir Timothy Olyphant pour incarner l'Agent 47. Xavier Gens explique : "l'idée était de choisir un acteur froid qui soit capable de passer d'une émotion fermée à des sentiments subtilement humains. Dès que j'ai rencontré Timothy, j'ai su que c'était lui. C'est un garçon qui possède en lui quelque chose de sombre et de mystérieux. [...] Nous avions aussi besoin d'un homme solide avec beaucoup d'intensitéet et d'élégance. Le fait qu'il ait pratiqué la natation en compétition lui donnait aussi une grâce et une souplesse qui servaient le personnage. Il bouge comme un félin."
Une future director's cut en DVD
Une version director's cut devrait voir le jour en DVD en 2008, rajoutant notamment plusieurs plans sensiblement plus violents que ceux montrés dans l'exploitation salle.
Cinéma et jeux vidéo
Depuis plus d'une dizaine d'années, l'univers du jeu vidéo est devenu l'une des principales sources d'inspiration du cinéma; avec plus ou moins de bonheur. En 1992 sortait Super Mario Bros avec dans le rôle-titre Bob Hoskins, qui enfilait la célèbre salopette de la mascotte de Nintendo. C'était la première fois qu'une franchise de jeu vidéo était transposée sur grand écran. On compte également la saga des Mortal Kombat, celle de Tomb raider dans laquelle Angelina Jolie prête ses plantureuses courbes à l'héroïne Lara Croft; les trois volets du survival horror Resident Evil emmenés par Milla Jovovich. Il faut également citer les oeuvres d'Uwe Boll (The House of the dead, Alone in the dark, BloodRayne,...), que beaucoup d'aficionados des jeux vidéo considèrent comme le fossoyeur du genre. Enfin, il faut citer le Silent Hill de Christophe Gans, une des meilleurs adaptations de franchise vidéoludique jamais portée à l'écran selon l'avis de nombreux gamers.
A propos du teaser du film
La musique du teaser du film, le célèbre "Ave Maria" composé par Schubert, est aussi celle du 4e volet des aventures d'Hitman (Hitman : Blood Money), sorti en 2006 sur consoles et PC.
D'un espadon à l'agent 47
Le scénariste du film, Skip Woods, a également écrit celui d'Opération Espadon, dans lequel John Travolta tient le rôle-titre.
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Hollow Man|Paul Verhoeven|Fantastique|Interdit aux moins de 12 ans|2|allemand, américain|2000|105|Anglais||DIV3|||DIV3|800 Kbps|480x352|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|686||||29.970|08/08/2009 00:00:00|Alan Marshall Douglas Wick|Gary Scott Thompson Andrew W. Marlowe|Jost Vacano||Columbia TriStar Films||Un brillant scientifique, Sebastian Caine, travaille pour les services secrets. Il vient de mettre au point une formule pour rendre invisible. Apres l'avoir testee avec succes sur lui-meme, il s'apercoit qu'il ne peut plus inverser le phenomene. Ses collegues tentent alors de trouver une solution. Mais Caine devient de plus en plus obsede par son nouveau pouvoir et se persuade peu a peu que ses collegues en veulent a sa vie. Desormais, Caine va sombrer dans la folie et representer une menace reelle pour son entourage. |Kevin Bacon (Sebastian Caine)@Elisabeth Shue (Linda McKay)@Josh Brolin (Mathhew Kensington)@Kim Dickens (Sarah Kennedy)@Greg Grunberg (Carter Abbey)@Joey Slotnick (Frank Chase)@Mary Randle (Janice Walton)@William Devane (Docteur Howard Kramer)@Rhona Mitra (la voisine de Sebastian)@Jimmie F. Skaggs (Wino)@||Secrets de tournage :
Ellen Mirojnick, chef costumière
Collaboratrice de Paul Verhoeven (Basic instinct en 1992, Showgirls en 1995, Starship Troopers en 1997), d'Adrian Lyne (Liaison fatale en 1987, L'échelle de Jacob en 1990) et d'Oliver Stone (Wall Street en 1987), Ellen Mirojnick a conçu les costumes de Always (Steven Spielberg, 1989), Chaplin (Richard Attenborough, 1992), Cliffhanger (Renny Harlin, 1993), Speed (Jan de Bont, 1994) et Strange days (Kathryn Bigelow, 1995).
Ellen Mirojinick a également habillé Bill Paxton et Helen Hunt (Twister en 1996), John Travolta et Nicolas Cage (Volte/Face en 1997).
Le Pentagone pour décor
Chose extrêmement rare, l'équipe du film a eu l'autorisation de tourner devant le Pentagone.
Dans l'ombre de Locarno et de Deauville
Présenté au Festival de Locarno 2000, L'homme sans ombre a obtenu le Prix du Public. Le film a fait l'ouverture du Festival de Deauville 2000.
Scott E. Anderson, superviseur senior des effets spéciaux
Responsable des effets spéciaux Star Trek VI (Nicholas Meyer, 1991), Allô maman c'est Noël (Tom Ropelewski, 1993), Richard et le livre magique (Maurice Hunt & Joe Jonston, 1994) et Babe (Chris Noonan, 1995), Scott E. Anderson a également travaillé avec John McTiernan (A la poursuite d'Octobre rouge en 1990 et Une journée en enfer en 1995) et Henry Selick (James et la pêche géante en 1997).
L'homme dans ombre marque sa deuxième collaboration avec Paul Verhoeven, puisqu'il avait déjà supervisé les effets spéciaux de Starhip Troopers (1998).
Andrew W. Marlowe, le scénariste
Ce talentueux scénariste a signé les scripts de Air Force One (Wolfgang Petersen, 1997) et de La fin des temps (Peter Hyams, 1999).
Une fable selon Andrew W. Marlowe, le scénariste
« Ce film est une fable sur un personnage charismatique que les lois de la société tiennent en échec. On assiste à ce qui se passe en lui tandis qu'il est peu à peu libéré de ces contraintes ? exactement comme il est dépouillé couche par couche de son enveloppe corporelle. »
Kim Dickens (Sarah Kennedy)
Les spectateurs ont notamment pu apprécier Kim Dickens dans La dernière cavale (Kiefer Sutherland, 1997), Code Mercury (Harold Becker, 1998), La méthode zéro (Jake Kasdan, id.) et De grandes espérances (Alfonso Cuaron, id.).
En 2000, elle est à l'affiche de The gift de Sam Raimi.
Josh Brolin (Matthew Kensington)
Débutant dans Les Goonies (Richard Donner, 1985), Josh Brolin a notamment joué dans Flirter avec les embrouilles (David O. Russell, 1996), Pluie de roses sur Manhattan (Michael Goldenberg, 1996), Mimic(Guillermo Del Toro, 1997), Le veilleur de nuit (Ole Bornedal, 1998), Mod squad (Scott Silver, 1999) et Un coup d'enfer (Mike Barker, id.).
Un petit pas pour le cinéma, un grand pas pour la science
Beth Riga et Stuart Sumida, consultants en anatomie sur le film avouent que «les recherches accomplies par Sony Pictures Imageworks pour L'homme sans ombre vont permettre d'avancer les études en anatomie médicale» avant d'ajouter qu'«en tant qu'enseignants, nous avons longtemps cherché un outil aussi détaillé, aussi précis, mais malheureusement introuvable dans la communauté scientifique? Ce qui a été conçu comme un effet visuel brillant a le potentiel pour devenir un outil d'enseignement extrêmement utile.»
Une transformation réaliste
L'équipe de Scott E. Anderson, superviseur senior des effets visuels, a développé un procédé pour accroître le réalisme de la transformation de Kevin Bacon, qui révèle le corps de l'acteur couche par couche. Ce procédé, le «volume rendering» (littéralement rendu de volume), permet de montrer à l'écran aussi bien l'intérieur que l'extérieur des corps.
Les techniciens et les concepteurs de Sony Pictures Imageworks se sont beaucoup documentés, prenant des cours d'anatomie dans les écoles de médecine, assistant à des autopsies? Scott Anderson est fier de préciser qu'«avec cette méthode, un c?ur humain peut-être montré à l'écran vivant, apparaissant graduellement sous la forme de quelques fibres d'un système capillaire qui croît et pulse. Les vaisseaux sanguins deviennent des artères et des veines, puis des couches de muscles se développent autour d'eux pour former au final un c?ur parfait »
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Hook|Steven Spielberg|Aventure|Film pour enfants à partir de 10 ans|3|américain|1992|136|Anglais||XVID|||XVID|588 Kbps|608x256|MPEG-1 Audio layer 3|117 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Kathleen Kennedy Frank Marshall Gerald R. Molen|Nick Castle James V. Hart Malia Scotch Marmo|Dean Cundey||Columbia TriStar Films||Peter Banning alias Peter Pan est devenu un brillant avocat d'affaires qui a tout oublie de ses merveilleuses aventures. Mais le terrible capitaine Crochet, lui, n'a pas oublie. Pour enfin, regler leur compte, il enleve une nuit Jack et Maggie, les enfants de Peter. C'est en compagnie de Tinkerbell que Peter s'envole a nouveau pour le pays de Nulle Part. |Dustin Hoffman (Capitaine James Hook)@Robin Williams (Peter Pan)@Julia Roberts (La fée Clochette)@Bob Hoskins (Smee)@Maggie Smith (Grand-mère Wendy Moira Angela Darling)@Caroline Goodall (Moira Banning)@Charlie Korsmo (Jack Banning)@Amber Scott (Maggie Banning)@Glenn Close (Gutless)@Phil Collins (L'inspecteur Good)@Gwyneth Paltrow (Wendy jeune)@Carrie Fisher (La Femme qui embrasse sur le pont)@Dante Basco (Rufio)@Laurel Cronin@Kelly Rowan@George Lucas (L'homme qui embrasse sur le pont (non crédité))@Nick Tate (Noodler)@David Crosby (Tickles)@Don S. Davis (Dr Fields)@Scott Williamson (Coach)@Cameron Thor (Ron)@Tony Burton (Bill Jukes)@Bruce Mahler (Un pirate (non crédité))@Geoffrey Lower (Brad)@Beverly Polcyn (Une prostituée)@Brad Parker (Jim)@Randi Pareira (Une prostituée)@||Secrets de tournage :
Spielberg et Peter Pan
L'intérêt de Steven Spielberg pour l'histoire de Peter Pan ne date pas de Hook. Le jeune Spielberg, alors agé de 11 ans a, pour son école, mis en scène une pièce de théâtre adaptée du livre J.M. Barrie.
Une influence pour le cinéma
Au-delà de son succès public, Peter Pan a également longuement influencé le cinéma contemporain. Parmi les plus fervents admirateurs du film, Steven Spielberg, qui fait raconter une partie de l'histoire par la mère du petit Elliot dans son E.T. l'extraterrestre en 1982, avant d'adapter à son tour l'oeuvre de Barrie dans Hook ou la revanche du Capitaine Crochet neuf ans plus tard.
Glenn Close dans le coffre à bobos
Les plus attentifs auront pu remarquer le caméo de Glenn Close dans l'une des scènes du film. Pas si simple, d'autant que la star interprète ici le rôle d'un pirate homme qui se voit enfermer dans le fameux coffre à bobos.
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Les contributeursCe film a reçu 1 contribution, pour les secrets de tournage, de: jangofett71 (site web)
Les contributions faites sur cette fiche sont mises à disposition sous un contrat Creative Commons.
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Hooligans|Lexi Alexander|Drame|Interdit aux moins de 16 ans|3|américain, britannique|2006|104|Anglais||XVID|||XVID|796 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Deborah Del Prete Gigi Pritzker Donald Zuckerman|Lexi Alexander Dougie Brimson Josh Shelov|Alexander Buono||Metropolitan FilmExport||Renvoyé de la prestigieuse université de Harvard pour un délit qu'il n'a pas commis, Matt Buckner part se faire oublier chez sa soeur en Angleterre. Là-bas, il découvre la fièvre qu'engendre le football, et surtout les groupes de supporters qui défendent l'image et la réputation de leur club comme une religion.
Sensible à l'esprit de camaraderie et à cette volonté d'absolu, Matt se laisse entraîner, mais prend aussi peu à peu conscience des coulisses d'un sport dont les joueurs sont les seigneurs et les fans les mercenaires... Ces cercles très fermés sont prêts à tout pour renforcer leur réputation et asseoir leur suprématie. La compétition ne se déroule pas que sur les stades, et entre ces groupes extrêmes, il n'y a jamais d'arbitre.
Face à sa conscience et son passé qui le rattrape, Matt va devoir choisir ses règles du jeu... |Elijah Wood (Matt Buckner)@Charlie Hunnam (Pete Dunham)@Claire Forlani (Shannon Dunham)@Terence Jay (Jeremy Van Holden)@Leo Gregory (Bovver)@Henry Goodman (Carl Buckner)@Marc Warren (Steve Dunham)@Geoff Bell (Tommy Hatcher)@Rafe Spall (Swill)@Kieran Bew (Ike)@Francis Pope (Ned)@Christopher Hehir (Keith)@Joel Beckett (Terry)@Oliver Allison (Ben Dunham)@James Allison (Ben Dunham)@Andrew Blair (Présentateur)@David Carr (Clive)@Scott Christie (Ricky)@Alec Dalman (Homme de la sécurité)@Jacob Gaffney (Todd)@Jon House (Commandant)@Jamie Kenna (Marc)@Joshua Kennedy@Frank McAvennie (Lui-même)@Ross McCall (Dave)@Johnny Palmiero (Garry)@Martin Sherman (Mitch)@David Alexander (Nigel)@Brendan Charleson (John Morris)@||Secrets de tournage :
Premier long métrage
Hooligans est le premier film de Lexi Alexander après une série de cinq courts-métrage réalisés entre 2002 et 2005. Un film pour lequel la réalisatrice est également co-productrice.
A propos du film...
Deborah Del Prete, la productrice d'Hooligans, parle du moment où elle a découvert le scénario : "J'ai été intrigué par cet univers de supporters, mais ce qui m'a passionnée, c'est l'histoire de ce garçon qui trouver ses marques. (...) Pour moi, ce n'est en aucun cas un film sur le football britanniques, c'est une odyssée humaine dans un univers aussi effrayant que fascinant.". L'autre productrice, Gigi Pritzker confie également qu'elle "aime aussi que le film aille contre les idées reçues. (...) Pour une fois on ne parle pas de gens qui ont des parcours tellement cohérents, tellement prévisibles que cela en devient improbable."
Tournage londonien
L'équipe d'Hooligans a installé ses caméras dans la capitale anglaise durant 5 semaines entre avril et mai 2004. Lexi Alexander explique son choix : "Londres offre l'avantage d'être une ville dont les clubs sont très réputés, mais c'est aussi une cité vivante et surprenante. Le football anglais est très lié aux thèmes du film et il y a là-bas une dévotion très spectaculaire à ce sport. Bien sûr tourner sur ce thème dans cette ville était parfois surprenant tellement nous étions proches de la réalité. Nous avons reçu l'aide du West Ham Football Club d'Upton Park et ils se sont montrés vraiment coopératifs. Filmer chez eux a été une chance fantastique."
Des femmes dans le milieu du foot
L'une des originalités de ce projet est qu'il soit initié par des femmes, comme le souligne Gigi Pritzker : "Le projet est atypique et je trouve amusant qu'il soit mené par des femmes. Cela rééquilibre le fait que la presque totalité de la distribution soit masculine !"
Le casting
Trouver des acteurs pouvant interpréter un groupe d'Hooligans n'a pas été le premier objectif pour la réalisatrice : "Lorsque j'ai écrit mon scénario, je n'avais personne en tête pour les rôles. je souhaitais d'abord écrire une bonne histoire et il serait ensuite temps d'écouter les propositions. Ce qui est certain, c'est que la majorité du casting demandait des hommes jeunes, peu attendus dans ce genre de contexte, et que les quelques personnages féminins devaient être remarquablement incarnés pour prendre leur place dans cet univers.
A propos de Matt Buckner...
Le rôle principal est tenu par Elijah Wood. L'acteur a été le seul sollicité pour incarner Matt Buckner. De son personnage, il déclare : "Matt Buckner est un personnage qui a son parcours, il a connu l'injustice, il a fait des erreurs, il s'est enfui pour trouver le repos, et le voilà confronté à un univers qui d'abord l'attire parce qu'il y est accueilli, mais qui bientôt va lui poser de vrais problèmes de conscience...C'est un rôle fort, à l'opposé des caricatures que l'on trouve trop souvent dans les films de studios. Tout n'y est pas tout noir ou tout blanc. C'est passionnant à jouer et il n'y a plus que les films indépendants pour offrir des personnages aussi réels."
A propos de Shannon...
Claire Forlani confie sur son rôle de Shannon et à propos de l'ambiance durant le tournage : "Etre le premier rôle féminin dans cet environnement de garçons vous met une sacrée pression. Shannon essaie de garder la tête sur les épaules entre tous ces passionnés. Elle est la raison, le coeur et elle a beaucoup à faire. Souvent, c'est elle qui voit venir les catastrophes et qui garde un peu de bon sens. (...) Sur le plateau, l'ambiance était vraiment fantastique. J'éatais parfaitement entourée et le climat était beaucoup plus détendu que dans l'histoire !"
Le phénomène des supporters de football
A travers son film, Lexi Alexander a voulu faire la distinction entre les supporters et les hooligans : "Souvent dans l'esprit des gens, les clubs de supporters sont amalgamés aux gangs, or il existe une différence fondamentale : les gangs sont des organisations criminelles dont la raison d'être est de controler un territoire ou de vendre de la drogue. Les clubs de supporters ne regroupent pas de criminels mais des gens comme vous et moi, qui le plus souvent travaillent, ont une famille, et qui le samedi soir venu, vivent autre chose...". Elle poursuit en précisant que sa démarche n'avait pas pour but de "caricaturer ni de dédouaner tout ce qui se passe dans ces firms, mais de permettre aux spectateurs de plonger dans un univers qui a du bon et du mauvais, à un niveau d'intensité inégalé."
Des "hooligans" plus vrais que nature
Pour les besoins du film de nombreuses scènes ont été tournées durant de vrais matchs, Lexi Alexander se souvient : "Nous avions des scènes très différentes à tourner, sait au milieu de la foule pendant les matchs, soit les affrontements entre clubs de supporters (...) Les scènes pendant les matchs ont parfois été surréalistes à tourner. Nous avions nos acteurs principaux mélangés à des comédiens et des figurants qui jouaient l'enthousiasme pour leur équipe. Souvent, ils se prenaient au jeu, regardaient le match et oubliaient même qu'il y avait des caméras ! (...) Une fois les policiers sont venus nous voir pour nous demander de calmer nos comédiens parce qu'ils se montraient tellement présents que les autres clubs de supporters, de vrais ceux-là, risquaient d'y voir une provocation. On avait des comédiens trop remontés qui risquaient de mettre le feu aux poudres."
Cass Pennant, profession : hooligan...
L'oeuvre de Cass Pennant a été d'un apport décisif pour film. Personnage-clé de la célèbre InterCity Firm de West Ham, sa capacité à se sortir de n'importe quels combats à coups de poings lui a permis d'être respecté par ses pairs et craint par les autres. Il a utilisé son expérience de hooligan en écrivant son autobiographie, ainsi que quatre autres livres sur l'univers du football et des firms.
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Hors de prix|Pierre Salvadori|Comédie||3|français|2006|101|Français||DX50|||DX50|832 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Philippe Martin|Pierre Salvadori Benoît Graffin|Gilles Henry||TFM Distribution||Jean, serveur timide d'un grand hôtel, passe pour un milliardaire aux yeux d'Irène, une aventurière intéressée.Quand elle découvre qui il est réellement, elle le fuit aussitôt. Mais Jean, amoureux, se lance à sa poursuite et la retrouve sur la Côte d'Azur.Rapidement ruiné, il finit par adopter le mode de vie de celle qu'il aime et s'installe comme homme de compagnie dans un magnifique palace.Ce nouveau statut le rapproche d'Irène qui accepte enfin sa présence. Elle lui donne alors des conseils et sans s'en rendre compte, s'attache de plus en plus à lui... |Audrey Tautou (Irène)@Gad Elmaleh (Jean)@Marie-Christine Adam (Madeleine)@Vernon Dobtcheff (Jacques)@Jacques Spiesser (Gilles)@Annelise Hesme (Agnès)@Charlotte Vermeil (la dame au Chihuahua)@Claudine Baschet (la dame au Dogue)@Laurent Claret (le responsable du bar à Biarritz)@Jean de Coninck (le client au cigare)@Blandine Pelissier (la femme de chambre)@Philippe Vendan-Borin (le serveur au restaurant à Biarritz)@Bernard Bourdeau (le collègue de Jean à Biarritz)@Didier Brice (François)@Frédéric Bocquet (le réceptionniste à Monaco)@Jean-Michel Lahmi (le chirurgien esthétique)@Guillaume Verdier (le serveur de la piscine)@||Secrets de tournage :
Point de départ
C'est lors d'une discussion sur ce qui les angoissait et les préoccupait que Pierre Salvadori et son scénariste Benoît Graffin ont eu l'idée de ce film. Le réalisateur raconte ce qu'il en est ressorti : "Le triomphe du pragmatisme sur tout, le pessimisme ambiant qui peut nous faire basculer à tout moment dans le cynisme et nous amener à nous dire que finalement, pour gagner une place au soleil, tous les moyens sont bons". Les personnages se sont construit autour de ce thème : "Ensuite est arrivée Irène, un personnage asservi à une idée très particulière du bonheur, qui confond un peu luxe et sérénité. Puis Jean, effacé et timide jusqu'à la soumission. Et enfin, l'idée du malentendu comique de leur rencontre."
Le personnage d'Irène
Le réalisateur est très satisfait du travail d'Audrey Tautou, notamment pour ses regards et la facilité avec laquelle elle passe d'un sentiment à l'autre dans la même scène. Selon le réalisateur, "elle y arrivait tellement que je lui en demandais encore plus !". Elle s'est beaucoup investi dans le personnage d'Irène et a même suggéré de créer un contraste entre le côté luxueux de son apparence physique et de ses vêtements avec le côté modeste de ses origines sociales trahies par sa voix et ses intonations.
Le choix de Gad
Dès qu'il a vu Gad Elmaleh au théâtre, Pierre Salvadori a tout de suite pensé à lui pour le rôle de Jean. Il voulait un comédien "qui puisse être presque invisible, neutre, et progressivement acquérir une élégance, une beauté, devenir un magicien, quelqu'un qui peut débrouiller pleins de situations. Et aussi quelqu'un qui sache se servir aussi bien de son corps. Un vrai corps burlesque. Précis."
Jean et ses alter ego
Le personnage incarné par Gad Elmaleh, garçon timide et inquiet, est récurrent dans les films de Pierre Salvadori. En effet, les personnages de François Cluzet (Les Apprentis), Guillaume Depardieu (Cible émouvante), de Marie Trintignant (Comme elle respire) ont beaucoup de points communs : "Ce sont des personnages qui me bouleversent. Ils désirent accéder au monde et en faire partie, alors qu'ils n'ont rien pour ça. Ils n'ont pas le " mode d'emploi ". Comme beaucoup de mes personnages, Jean est un personnage soumis, écrasé par sa timidité, que ses désirs vont émanciper", confirme le cinéaste.
Une équipe qui gagne
Pierre Salvadori sait s'entourer. Le chef opérateur Gilles Henry travaille avec lui depuis ses débuts : "On se connaît tellement bien, on en arrive aujourd'hui à un degré de collaboration passionnant. Il sait désormais quelle est la langue que j'utilise ou que j'aime utiliser quand je fais un film. C'est très précieux !" témoigne Salvadori. Camille Bazbaz, qui a composé la musique de Hors de Prix, collabore avec Salvadori depuis Comme elle respire. Le cinéaste ne tarit pas d'éloges sur l'artiste : "Quand on s'est rencontrés, on s'est rendu compte qu'on avait beaucoup d'affinités et de vrais goûts communs en matière de musique, comme de cinéma (...) Son travail est très fin, très réfléchi."
Objet fétiche
Pierre Salvadori applique fréquemment dans ses films la méthode de Lubitsch, baptisée "images expressives", qui consiste à donner de l'importance à un objet apparemment insignifiant. Dans Hors de prix, c'est une pièce d'un euro qui représente les ambiguïtés entre les personnages et sert de relais entre eux et les spectateurs.
Lubitsch et les autres
Outre son admiration pour Ernst Lubitsch, Salvadori cite plusieurs autres cinéastes de l'âge d'or d'Hollywood comme référence, tel que Gregory La Cava ou Mitchell Leisen. Il se repasse en boucle leurs films "pour essayer de ne pas faire n'importe quoi, de ne pas fournir la comédie de plus qu'on vous réclame toutes les cinq minutes. Je ne les quitte plus de l'oeil, je les regarde comme une boussole pour ne pas perdre le nord !"
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Exit Wounds|Andrzej Bartkowiak|Thriller||3|américain|2001|97|Anglais||XviD|||XVID|867 Kbps|608x256|MPEG-1 Audio layer 3|32.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|703||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Dan Cracchiolo Joel Silver|Ed Horowitz Richard D'Ovidio|Glen MacPherson||Warner Bros.||Cinquante kilos d'héroïne ont disparu du dépôt central de la police de Detroit. Exécuté par un commando de six hommes, ce coup monté est l'oeuvre de professionnels.
En dépit de ses loyaux services, Orin Boyd, un flic aux méthodes quelque peu orthodoxes, est retrogradé au poste de police 13 dans le quartier le plus dur de la ville. Il oriente l'enquête vers Latrell Walker, un dealer dont la réputation n'est plus à faire.
Avec l'aval de sa supérieure, le commandant Mulcahy, Boyd et son partenaire, George Clark, entreprennent de remonter la filière et de faire tomber Walker et ses complices haut placés. |Steven Seagal (Orin Boyd)@DMX (Latrell Walker)@Bill Duke (Chef Hinges)@Isaiah Washington (George Clark)@Jill Hennessy (Annette Mulcahy)@Michael Jai White (Sergent Lewis Strutt)@Anthony Anderson (T.K. Johnson)@Tom Arnold (Henry Wayne)@Bruce McGill (Daniels)@David Vadim (L'officier Montini)@Eva Mendes (Trish)@Matthew G. Taylor (Useldinger)@Paolo Mastropietro (Parker)@Shane Daly (Fitz)@Drag-on (Shaun)@Jennifer Irwin (Linda)@Daniel Kash (Rory)@Quancetia Hamilton (La femme au foyer)@Rick Demas (Le gardien de prison)@Jason Stephens (Un technicien du laboratoire)@Peter Kosaka (Un technicien du laboratoire)@Chris Lawford (Le vice-président)@Noah Danby (Le chef des terroristes)@Shakira Harper (La serveuse immobile)@Eduardo Gomez (II) (Le père)@Yanira Contreras (La mère)@Mario Torres (Jose)@Jenny Celly (Maria)@Rothaford Gray (Norris)@Dean McKenzie (Carlson)@Thomas Seniuk (Un agent secret)@Bobby Johnson (Un agent secret)@Neville Edwards (Un agent secret)@Arnold Pinnock (Morris)@Gregory Vitale (Le vendeur de voitures)@Shawn Lawrence (O'Malley)@John Ralston (L'homme au rendez-vous de Mulcahy)@Simon Kim (Un voyou)@James Kim (Un voyou)@Shekib Ahmad Foroughi (Un voyou)@Ekundayo Odesanyo (Un voyou)@Christopher Oster (Un voyou)@Naomi Gaskin (La femme de george)@Elio Campbell (Un policier)@Stromm Bradshaw (Stormy)@Shannon Jobe (Une strip-teaseuse)@Kym Kristalie (Une strip-teaseuse)@Peter Walsh (Le type de Ducati)@Phillip Jarrett (Un homo)@Michael Boisvert (Un homo)@John McConnach (Un homo)@Moses Nyarko (Un homo)@Eldridge Hyndman (Un homo)@Gary Johnston (Un membre du groupe Anger Management)@Joe Alberico (Un membre du groupe Anger Management)@Stone Conway (Un membre du groupe Anger Management)@Barrington Bignall (Un membre du groupe Anger Management)@Greg Zajac (Un membre du groupe Anger Management)@Ed Semenuk (Un membre du groupe Anger Management)@David Boyce (Un membre du groupe Anger Management)@Jaime Estrada (Un membre du groupe Anger Management)@||Secrets de tournage :
David Ellis, réalisateur de seconde équipe
Réglées par Dion Lam, les scènes de combat ont été réalisées par David Ellis. Ce réalisateur de seconde équipe s'est notamment illustré dans Jeux de guerre (Philip Noyce, 1992), Sliver (id., 1993), Sphère (Barry Levinson, 1998), Peur bleue (Renny Harlin, 1999), En pleine tempête (Wolfgang Petersen, 2000), et plus récemment Les Visiteurs en Amérique (Jean-Marie Gaubert, 2001).
Joel Silver, producteur
Il a connu quelques-uns des plus grands succès du cinéma américain des dix dernières années. Au total, ses productions ont rapporté plus de 3 milliards de dollars.
On lui doit entre autres la tétralogie de L'Arme Fatale de Richard Donner, la trilogie de Piège de Cristal de John McTiernan et quelques films avec Arnold Schwarzenegger (Predator de J. Mc Tiernan, Commando de Mark Lester) et Matrix (Andy & Larry Wachowski, 1999).
Joel Silver s'intéresse également à des cinéastes considérés comme de véritables auteurs. Il a notamment produit Le Grand Saut des frères Coen et Minuit dans le Jardin du Bien et du Mal de Clint Eastwood.
DMX à l'écran
Célèbre rappeur américain (il compte déjà trois albums à son actif), DMX tient l'un des rôles principaux de Hors limites, où il retrouve Adrzej Bartkowiak, le réalisateur qui l'avait auparavant dirigé dans Roméo doit mourir, avec Jet Li.
DMX signe également quelques titres de la bande originale du film, sur laquelle d'autres rappeurs (Timbaland, The Lox, Ja Rule, Mack 10, Redman) retrouvent James Brown, Moby et les Fun Lovin' Criminals.
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Hostel|Eli Roth|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 16 ans|2|américain|2006|93|Russe||DX50|||DX50|907 Kbps|720x400|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Eli Roth Chris Briggs Mike Fleiss Daniel Frisch Philip Waley|Eli Roth|Milan Chadima||Lions Gate Films Inc.|Saga : Hostel |Deux étudiants américains, Paxton et Josh, ont décidé de découvrir l'Europe avec un maximum d'aventures et de sensations fortes. Avec Oli, un Islandais qu'ils ont rencontré en chemin, ils se retrouvent dans une petite ville de Slovaquie dans ce qu'on leur a décrit comme le nirvana des vacances de débauche : une propriété très spéciale, pleine de filles aussi belles que faciles...Natalya et Svetlana sont effectivement très cools... un peu trop, même. Paxton et Josh vont vite se rendre compte qu'ils sont tombés dans un piège. Ce voyage-là va les conduire au bout de l'horreur... |Jay Hernandez (Paxton)@Derek Richardson (Josh)@Eythor Gudjonsson (Oli)@Barbara Nedeljakova (Natalya)@Jana Kaderabkova (Svetlana)@Jan Vlasak (l'homme d'affaires hollandais)@Jennifer Lim (Kana)@Paula Wild (Monique)@Petr Janis (le chirurgien allemand)@Jana Havlickova (Vala)@Vanessa Jungova (Saskia)@Takashi Miike@Radomil Uhlir (Le manager défoncé)@Philip Waley (Alfie)@Mark Taylor (Brucey)@Nick Roe (Stan)@Gabriel Roth (Sir Robert Wappus)@Josef Bradna (Le boucher)@Petr Sedlacek (Le chauffeur de taxi édenté)@Roman Janecka (L'homme qui jette la bouteille)@Eli Roth (Un jeune au haschbar)@Christopher Allen Nelson (Officier de police hollandais)@Miroslav Hanus (Méchant officier de police)@David Baxa (Le gardien du musée des tortures)@Lubos Vinicky (L'elfe hollandais en colère)@Petra Kubesova (Svetlana Shemp)@Natali Tothova (Natalya Shemp)@Jakub Habarta (Le garçon du bus)@Ota Filip (Muttonchop)@||Secrets de tournage :
Tarantino producteur
Lorsque Eli Roth a présenté son nouveau projet à Quentin Tarantino, fan de son premier long métrage, le très remarqué Cabin Fever, l'auteur de Pulp fiction s'est montré tellement enthousiaste qu'il a décidé d'en être le producteur exécutif. Ajoutons que, parmi les personnes que remercie Tarantino dans le générique de fin de Kill Bill: Volume 2 figure le nom d'Eli Roth et que celui-ci avait tourné dans le cadre de ses études un film intitulé... Restaurant dogs (référence évidente à Reservoir dogs). D'autre part, le réalisateur et scénariste Boaz Yakin (Fresh) et Mike Fleiss, producteur du remake de Massacre à la tronçonneuse ont également apporté leur soutien financier au film.
Les rois du gore
Les deux producteurs exécutifs Boaz Yakin et Scott Spiegel sont des habitués du cinéma d'horreur. Le premier a récemment produit 2001 maniacs de Tim Sullivan. Quand au second, il est le réalisateur d'Une nuit en enfer 2 : Le prix du sang et du thriller gore Intruder.
Panique à l'Hostel
Hostel a été présenté en avant-première mondiale au Festival de Toronto en septembre 2005. Ce film d'épouvante a produit un certain effet sur l'assistance, et plus particulièrement sur deux spectateurs : durant la projection, un homme a couru vers la sortie avant de s'écrouler quelques minutes plus tard dans un escalator, victime d'un malaise, tandis qu'une femme a été prise de douleurs à la poitrine. Tous deux ont été rapidement soignés et mis hors de danger.
Miike sur un plateau
Une des sources d'inspiration d'Eli Roth est le maître de l'épouvante japonais Takashi Miike, et notamment son film Audition. Miike, qui pour l'occasion a fait le déplacement entre le Japon et Prague, fait d'ailleurs un cameo dans Hostel.
Mortel, le voyage !
Eli Roth a eu l'idée de son film après avoir entendu parler d'un site internet qui propose des "vacances" d'un genre bien particulier : un voyage en Thaïlande au cours duquel on se voit offrir la possibilité de tuer quelqu'un en échange de quelques milliers de dollars, une partie de cette somme étant versée à la famille de la victime... C'est le webmaster du site Aintitcoolnews.com, Harry Knowles, qui avait parlé de ce fait-divers au réalisateur. Roth songea un temps à en faire un documentaire, mais le tournage n'aurait pas été de tout repose:"Si j'avais découvert des gens vraiment liés à une organisation qui vit du meurtre, pourquoi auraient-ils hésité à me faire disparaître?".
Dans l'Est, personne ne vous entend crier
Eli Roth a resitué l'histoire du film en Slovaquie, un pays assez proche des itinéraires que parcourent les routards à la découverte de l'Europe, mais en marge de la plupart des destinations traditionnelles. "J'avais moi -même pas mal voyagé comme routard pendant mes études, mes producteurs aussi, et nous aimions bien l'idée d'un film d'horreur se déroulant dans un environnement qu'on n'avait plus vu au cinéma depuis longtemps" explique Eli.
La fièvre n'est pas retombée
Si une grande partie de l'équipe technique (tout comme d'ailleurs de la distribution) est tchèque, le cinéaste a de nouveau fait appel, pour les décors et les costumes, à Franco-Giacomo Carbone, et, pour la musique, à Nathan Barr, deux collaborateurs qui avaient contribué à créer le climat angoissant de Cabin Fever.
Une affaire de goût...
L'équipe visuelle a choisi avec soin la couleur et la texture de chaque scène, en s'inspirant de l'esthétique des photographies macabres de Joel Peter Witkin et des courts métrages sombres des frères Quay. Pour renforcer l'authenticité de l'histoire, le film a été entièrement tourné en décors naturels, pendant 40 jours, et dans plus de trente lieux de tournage différents.
Un futur radieux pour le cinéma d'horreur...
Eli Roth est d'ores et déjà en cours d'écriture d'un film psychologique intitulé The Box, qu'il coécrit avec un autre spécialiste des grands frissons, Richard Kelly, l'auteur et réalisateur de Donnie Darko.
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Hostel: Part II|Eli Roth|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 16 ans|2|américain|2007|91|Anglais||DX50|||DX50|938 Kbps|608x256|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Mike Fleiss Eli Roth Chris Briggs|Eli Roth|Milan Chadima||Lions Gate Films Inc.|Saga : Hostel |Alors qu'elles sont en vacances en Europe, Beth, Lorna et Whitney, trois jeunes Américaines, rencontrent une superbe femme. Celle-ci se propose de leur faire découvrir pour un week-end un établissement de cure où elles pourront se reposer et s'amuser. Attirées par cette offre, les trois jeunes femmes la suivent et tombent dans son piège. Livrées à de riches clients associant l'horreur au plaisir, les trois jeunes femmes vont vivre un cauchemar absolu... |Lauren German (Beth)@Roger Bart (Stuart)@Heather Matarazzo (Lorna)@Bijou Phillips (Whitney)@Richard Burgi (Todd)@Vera Jordanova (Axelle)@Jay Hernandez (Paxton)@Jordan Ladd (Stephanie)@Milan Knazko (Sasha)@Stanislav Ianevski (Miroslav)@Edwige Fenech (le Professeur)@Patrick Zigo (le chef de gang)@Roman Janecka (Roman)@Luc Merenda (le détective italien)@Susanna Bequer (traductrice d'italien)@Philip Waley@Jan Nemejovsky (le médecin)@Zuzana Geislerova (Inya)@Monika Malacova (Mme Bathory)@Davide Dominici (Riccardo)@Petr Vancura (Pavel)@Ruggero Deodato (le cannibale italien)@Jana Kaderabkova (Sveltana)@||Secrets de tournage :
La suite d'"Hostel"
Comme son titre l'indique, Hostel - chapitre 2 est la suite d'Hostel, le film d'horreur d'Eli Roth. Produit par Quentin Tarantino, le film a connu un beau petit succès (262 224 entrées en France et 80,2 millions de dollars dans le monde). Il n'en fallait pas moins pour que le réalisateur replonge dans l'horreur.
Une vraie suite
Hostel - chapitre 2 commence exactement là où s'arrête le premier opus. On retrouve donc le personnage de Paxton, joué par Jay Hernandez, complètement traumatisé par son expérience et qui va rencontrer les nouvelles héroïnes de cet épisode.
Passion de l'horreur
Eli Roth voue depuis toujours une passion aux films d'horreur. A 11 ans, il démembrait ses frères dans sa première réalisation en vidéo, Splatter on the Linoleum.
Maquillage et effets spéciaux
Les maquilleurs Gregory Nicotero et Howard Berger (Le Monde de Narnia : chapitre 1 - le lion, la sorcière blanche et l'armoire magique) ont travaillé quatre semaines avant le début du tournage pour réaliser des prothèses de parties de corps et des trucages qui soulèveraient le coeur des fans de films d'horreur les plus endurcis. Pour donner à l'écran encore plus de réalisme aux prothèses, Gregory Nicotero et Howard Berger ont parfois fait appel aux talents du superviseur des effets visuels Gary Beach. Son travail d'infographie a relayé les effets de maquillage.
Création des décors
Le tournage s'est déroulé dans plusieurs endroits dont le sud de la France et l'Islande. Eli Roth a eu la liberté de créer l'usine de briques et de mortier dans laquelle l'histoire se déroule : " Lorsque les gens iront voir Hostel - chapitre 2, ils voudront revoir le même hôtel, la même usine. Mais je ne voulais pas remontrer les mêmes salles de l'usine. C'est pour cela que j'ai fait construire un tout nouvel ensemble de souterrains. " Pour construire le décor le plus authentique possible, le réalisateur et le chef décorateur Robert Wilson King ont visité plusieurs usines et sites souterrains et construit des copies des lieux qu'ils avaient trouvés les plus intéressants en ajoutant quelques idées personnelles. Eli Roth décrit : " L'usine qu'a construite Robert Wilson King est pratiquement un personnage à part entière de l'histoire. C'est un endroit qui rappellera aux cinéphiles des lieux qu'ils ont connus tout en leur montrant quelque chose de complètement nouveau. "
Un lieu de tournage ... pas très catholique !
De nombreuses scènes ont été tournées à Prague et dans ses environs, et notamment dans un établissement très connu, le Big Sister, qui a été utilisé comme décor pour plusieurs scènes avec Todd et Stuart, afin d'y planter le décor du monde de la nuit et de l'illégalité. A la fois club voyeuriste et maison close, l'établissement fournit à ses clients un large choix de " services " gratuits tant qu'ils laissent leurs activités être diffusées sur le site Internet payant de l'établissement...
Réglements de compte
Le mentor d'Axelle, Sasha, est le chef de l'organisation nommée Elite Hunting. Joué par l'acteur slovaque Milan Knazko, Sasha est un tueur froid et sans pitié. Ancien ministre de la culture de la Slovaquie, Milan Knazko a saisi l'opportunité de jouer un Russe de cette nature. L'acteur confie : " Le fait que Sasha soit russe est une des raisons qui ont fait que j'ai accepté ce rôle. En Slovaquie, nous sommes toujours un peu fâchés d'avoir été occupés par l'armée russe ! "
Le choix des actrices principales
Pour le rôle de Beth, Eli Roth a choisi Lauren German : " Même si son rôle était court dans le Massacre à la tronçonneuse de Marcus Nispel (elle jouait l'autostoppeuse) il était très intense émotionnellement et elle m'a beaucoup impressionné. J'avais besoin d'une actrice qui puisse être vulnérable et adorable, mais aussi très forte lorsque les circonstances le demandent. Bien qu'elle doive peser au maximum 45 kilos et ressemble à une princesse, on sent que c'est une jeune fille qui a du répondant ! " Bijou Phillips interprète Whitney, l'amie de Beth. Eli Roth se souvient : " Quand elle est entrée dans la salle pour les auditions, tout le monde est tombé sous le charme. Elle était vraiment très drôle, futée et ne mâchait pas ses mots. C'était exactement la personnalité dont j'avais besoin. C'est une des filles les plus intelligentes que j'aie rencontrées. Tourner avec elle était vraiment un plaisir. " Pour le rôle de Lorna, Eli Roth a su très tôt qu'il voulait l'actrice Heather Matarazzo, qui avait joué quelques années avant dans le film culte de Todd Solondz, Bienvenue dans l'âge ingrat. Intéressée par le scénario, celle-ci a pris un vol pour Los Angeles pour une lecture, sans même savoir qu'elle avait déjà le rôle.
Un lieu de tournage féérique
Eli Roth a choisi de tourner une scène de fête médiévale dans la pittoresque ville de Cesky Krumlov, près de Prague. Il commente : " La ville est si belle que lorsque vous vous y promenez, il est difficile de croire qu'elle est vraiment réelle. Cet endroit apporte une tonalité très " conte de fées ". Si Beth est notre Blanche-Neige, alors Cesky Krumlov est son royaume merveilleux. Mais c'est un endroit si idyllique qu'il est presque évident que quelque chose doit venir briser cette apparence parfaite. "
Un tournage éprouvant
Une des scènes de torture avec Bijou Phillips a nécessité 45 prises, et l'intensité émotionnelle de cette expérience lui a laissé un souvenir douloureux. Elle confie : " Je ne crois pas que je pourrais refaire quelque chose de semblable. Je suis heureuse d'avoir connu cette expérience et j'aime mon métier, mais nous avons fait des choses que je n'avais même jamais imaginées, et je n'ai aucune envie de recommencer. " Quant à Heather Matarazzo, elle a dû jouer complètement nue pour une séquence qui a demandé deux nuits de tournage. Durant toute la séquence, l'actrice était suspendue la tête en bas pendant un laps de temps qui pouvait durer jusqu'à 5 minutes, les mains attachées dans le dos.
« Préc.
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Hot Shots !|Jim Abrahams|Comédie||3|américain|1991|81|Anglais||DIV3|||DIV3|1 054 Kbps|704x416|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|690||||25.000|09/08/2009 00:00:00|Bill Badalato|Jim Abrahams Pat Proft|Bill Butler||||Les aventures du pilote Sean Harley, poursuivi par une faute commise par son père vingt ans auparavant. Parodie des films ayant pour héros les pilotes de l'US Air Force et qui connurent leur apogée avec le fameux "Top Gun". |Charlie Sheen (Topper Harley, Rocky, Reth Butler, Superman)@Kevin Dunn (Lt Commandant Block)@Valeria Golino (Ramada Thompson, Adrian, Scarlett O'Hara, Lois Lane)@Cary Elwes (Lt Kent Gregory)@Lloyd Bridges (Amiral Benson)@Jon Cryer (Jim "Wash Out" Pfaffenbach)@Bill Irwin (Buzz Harley)@Kristy Swanson@Efrem Zimbalist Jr.@Ryan Stiles@Kelly Connell@Marc Shaiman@David Oliver@Bruce A. Young ("Red" Herring)@Don Lake (Le docteur)@Jerry Haleva (Saddam Hussein)@Charles Barkley (Lui-même)@Mark Arnott (Rosener)@Ryan Cutrona (Capitaine Margolis)@||||||||||||@@
Hot Shots! Part Deux|Jim Abrahams|Comédie||3|américain|1993|82|Anglais||DIV3|||DIV3|984 Kbps|512x272|MPEG-1 Audio layer 3|192 Kbps|False|44.1 KHz|2|696||||25.000|09/08/2009 00:00:00|Bill Badalato|Jim Abrahams Pat Proft|John R. Leonetti||20th Century Fox||Topper Harley s'est refugié en Inde pour oublier Ramada. Mais Saddam Hussein continue de mener la vie dure aux commandos américains. L'armée fait alors appel à Topper, dernier espoir du monde libre... |Charlie Sheen (Topper Harley)@Lloyd Bridges (Tug Benson)@Valeria Golino (Ramada Rodham Hayman)@Richard Crenna (Colonel Denton Walters)@Brenda Bakke (Michelle Rodham Huddleston)@Miguel Ferrer (Harbinger)@Rowan Atkinson (Dexter Hayman)@Mitchell Ryan (Gray Edwards)@Ryan Stiles (Rabinowitz)@Gregory Sierra (le Capitaine)@Andreas Katsulas (Rufshaad)@Clyde Kusatsu (le Premier ministre Soto)@Kelly Connell@Jerry Haleva (Saddam Hussein)@Martin Sheen (Capt. Benjamin L. Willard )@David Wohl (Gerou)@Mitch Ryan (Senateur Gray Edwards)@Michael Colyar (Williams)@Ben Lemon@Buck McDancer (Richard Nixon)@Larry Lindsey (Gerald Ford)@Jay Koch (Ronald Reagan)@Bob Vila (Lui-même)@Gerald Okamura (L'arbitre du match de boxe)@Andreas Katsulas (Rufshaad)@Clyde Kusatsu (Le premier ministre japonais Soto)@||||||||||||@@
The House of the dead|Uwe Boll|Epouvante-horreur||1|américain|2003|90|||XviD|||XVID|950 Kbps|512x288|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|703||||23.976|06/08/2009 00:00:00|Uwe Boll Shawn Williamson|Mark A. Altman Dave Parker Dan Bates|Mathias Neumann||Artisan Entertainment||Un groupe d'amis est invité à participer à une rave party sur une île mystérieuse. Arrivés sur place, ils sont attaqués par des zombies friands de chair humaine et par de monstrueuses créatures. Attaquant sur terre, dans l'air ou dans l'eau, ces monstres sont dirigés par une créature démoniaque terrée dans un sombre manoir... |Ona Grauer (Alicia)@Jonathan Cherry (Rudy)@Tyron Leitso (Simon)@Enuka Okuma (Karma)@William Sanderson (Greg)@Sonya Salomma (Cynthia )@Ellie Cornell (Casper)@Clint Howard (Salish)@Jürgen Prochnow (Kirk)@Michael Eklund@Erica Durance (Johanna)@David Palffy@||||||||||||@@
House of the Dead 2 : Dead Aim|Michael Hurst|Epouvante-horreur||1|américain|2005|91|Anglais||XVID|||XVID|930 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Mark A. Altman Mark Gottwald|Mark A. Altman Michael Roesch Peter Scheerer|Raymond Stella||||Sur un campus universitaire, une infection transmise par des zombies touchent la plupart de ses occupants. Une agence secrète gouvernementale est alors chargée d'endiguer la propagation du virus et l'invasion des zombies par la même occasion. Elle doit avant tout retrouver le zombie porteur de l'infection afin de pouvoir créer un antidote. |Emmanuelle Vaugier (Dr Alex Morgan)@Ed Quinn (Lieutenant Jake Ellis)@Kirk Jones (Sergent Dalton)@Steve Monroe (Capitaine Gerald O'Conner)@Victoria Pratt (Lieutenant Alison Hanson)@James Parks (Lieutenant Bart)@Bill Brown (Griffin)@Nadine Velazquez (Maria Rodriguez)@Ellie Cornell (Colonel Jordan Casper)@Sid Haig (professeur Curien)@Danielle Burgio (Alicia)@Mircea Monroe (Sarah Curtis)@Paige Peterson (Tracy Leibowitz)@Theo Rossi (Greg Berlin)@James O'Shea (Jake)@Johnny Nguyen (Braxton)@||||||||||||@@
The Hulk|Ang Lee|Fantastique||2|américain|2003|107|Anglais||XviD|||XVID|755 Kbps|528x384|MPEG-1 Audio layer 3|152 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|27/08/2009 00:00:00|James Schamus Larry J. Franco Gale Anne Hurd Avi Arad|James Schamus John Turman Michael France|Frederick Elmes||Universal Pictures||Au cours d'une opération scientifique qui a mal tourné, le docteur Bruce Banner est exposé à une surdose de radiations nucléaires. Miraculeusement indemne, il sort néanmoins affecté de cette douloureuse expérience et développe le pouvoir de se transformer en Hulk, un monstre vert à la force surhumaine et à la rage incontrôlable. Cette créature ne se manifeste que lorsque ce dernier est soumis à une intense émotion.Mis au ban de la société, le docteur Banner est obligé de se cacher pour ne pas faire subir aux autres sa métamorphose. Le général Ross, le père de Betty, l'ex-petite amie de Bruce, est chargé de stopper le monstre par tous les moyens. Glenn Talbot, rival scientifique de Banner, est également sur les traces de Hulk. Lorsque Betty découvre que la créature a un rapport avec les recherches du père de Bruce, elle devient la seule à pouvoir comprendre ce qu'est Hulk... |Eric Bana (le docteur Bruce Banner)@Jennifer Connelly (Betty Ross)@Nick Nolte (David Banner)@Sam Elliott (le général Ross)@Josh Lucas (Glenn Talbot)@Paul Kersey (David Banner jeune)@Cara Buono (Edith Banner)@Todd Tesen (Young Ross)@Kevin Rankin (Harper)@Celia Weston (Mme Krensler)@Mike Erwin (Bruce Banner)@Lou Ferrigno (un garde)@Stan Lee (un garde)@Regi Davis (un garde)@Daniel Dae Kim@Daniella Kuhn (l'amie d'Edith)@Rhiannon Leigh Wryn (Betty Ross enfant)@Lou Richards (le pédiatre)@Johnny Kastl (un soldat)@Jesse Corti (un colonel)@Rob Swanson (un colonel)@John A. Maraffi (un technicien)@Michael Papajohn (un technicien)@Boni Yanagisawa (un technicien)@Sean Mahon (un pilote comanche)@Kirk B.R. Woller (un pilote comanche )@||Secrets de tournage :
De Stan Lee à Ang Lee
Jeune, Stan Lee avait adoré La Fiancée de Frankenstein, avec Boris Karloff, et était également obsédé par le mythe du Docteur Jekyll. Une combinaison qui a inspiré Hulk, " le premier super héros à être aussi un monstre ".
Apparaissant pour la première fois en 1962, le monstre vert-qui était d'ailleurs gris au début de la série- fait ses premiers pas pratiquement en même temps que Spider-man et les Fantastic Four, et peu de temps avant les étranges X-Men. Au total, plus de 2 milliards de ses Comics ont été publiés dans 75 pays et en 25 langues. Parmi les lecteurs, Ang Lee, fasciné par " l'énergie et le dynamisme des dessins de Jack Kirby et (par) la fantastique liberté des histoires de Stan Lee". Pour le cinéaste, "ces B.D. parlent de grands problèmes, de grandes peurs, et leur discours est qu'il faut trouver au coeur même de la peur la volonté et l'imagination nécessaire pour la combattre".
Culture Comics
La première séquence de The Ice storm, film que Ang Lee tourna juste avant Tigre et dragon, montre Tobey Maguire dans le métro en train de dévorer et commenter en voix-off un épisode des Fantastic Four (les Quatre Fantastiques), le plus fameux quatuor imaginé par Stan Lee et Jack Kirby. Un clin d'oeil appuyé qui atteste la passion de Ang Lee pour l'univers des Comics et une coïncidence troublante pour Maguire, alors débutant et qui remportera un triomphe en endossant les habits de Spider-Man.
Dédoublements
La dimension tragique de Hulk réside principalement dans le dédoublement de personnalité extrême qui caractérise la transformation du Docteur Banner. Récurrent dans le cinéma, ce thème de la métamorphose en un autre "moi" qui devient le plus souvent incontrôlable, a donné ces dernières années des versions plutôt tragiques comme en témoigne la transformation de Jeff Goldblum dans La Mouche, à la fois irréversible et fatale. Mais elle a toutefois inspiré aussi des versions plus ludiques, à l'image de la transformation en forme de clin d'oeil à l'univers des cartoons de Jim Carrey dans The Mask.
Des effets très spéciaux
" Concernant les effets spéciaux de Tigre et dragon, explique Ang Lee, il s'agissait principalement de choses simples comme supprimer les fils auxquels les acteurs étaient suspendus, mais dans Hulk, les effets à eux seuls correspondent à la création de 10 films ! " Leur supervision a été assurée par Dennis Muren, oscarisé à neuf reprises et notamment connu pour son travail sur le Jurassic Park de Steven Spielberg. Ang Lee assure d'ailleurs que le film n'aurait pas pu voir le jour sans les surdoués d'ILM. L'exigence était ainsi de créer par infographie un Hulk plus vrai que nature. Une prouesse qui aura mobilisé 69 artistes techniques, 41 animateurs, 35 compositeurs, 10 animateurs muscles, 9 modéliseurs infographiques, 8 superviseurs, 6 peintres peau, 5 techniciens capture de mouvements et 3 directeurs artistiques pour 2, 5 millions d'heures de calcul d'images et six térabits de données.
Mi-homme, mi-monstre
Découvert dans la peau d'un serial-killer sarcastique et bodybuildé pour Chopper, Eric Bana a séduit Ang Lee dans cette fable atypique qui mettait en scène un assassin sympathique. " Son personnage était d'autant plus monstrueux qu'il était très humain, confie le cinéaste. D'un seul regard, Eric communiquait une sorte de fureur et d'intelligence surhumaines. J'ai pensé qu'il serait adapté pour incarner Bruce Banner ". Pour Hulk, l'acteur a eu à travailler en étroite relation avec les artistes de ILM pour définir les positions, gestes et expressions du visage qui sont devenus la base de sa métamorphose.
La Belle et la Bête
Dans le rôle de Betty, qui est à la fois la petite amie de Bruce Banner et la fille du général Ross, ennemi juré de Hulk, Jennifer Connelly impose sa silhouette fragile et tourmentée. Révélée par Sergio Leone avec le rôle de Deborah jeune dans Il était une fois en Amérique, l'actrice s'est distinguée récemment dans son rôle de droguée pour Requiem for a dream et dans Un homme d'exception pour lequel elle a raflé Oscar et Golden globe. Pour donner la réplique au géant vert, Jennifer Connely a du ruser en matière de jeu, puisqu'elle devait pour la plupart du temps jouer face à un mannequin de carton-pâte ou devant une vitre marquée d'une croix à l'image d' une séquence-charnière du film, " un exercice vraiment spécial (...) mais amusant aussi, avec le recul " de l'aveu même de la comédienne.
Pères, modèles et adversaires
L'un des principaux intérêts de Hulk réside dans la dramatisation des rapports que lie le personnage du monstre vert avec les proches de son double initial, le docteur Banner, et notamment avec son père, interprété ici par Nick Nolte. Le comédien a d'ailleurs été le premier, et seul acteur à qui Ang Lee et les producteurs ont voulu confier le rôle. Massif et fragile à la fois, il a été pressenti comme idéal pour camper ce chercheur dont le travail pionnier en génétique a repoussé les limites de l'éthique et bouleversé sa vie comme celle de son fils. Un modèle souvent et un adversaire, parfois.
Une "doublure" nommée Elvis
Pour Hulk, les comédiens ont eu à relever une gageure de taille en affrontant un personnage qui n'était en fait jamais présent en lui-même sur tournage, même si les techniciens d'ILM se sont donné tous les moyens pour lui donner une véritable apparence "physique" sur le plateau. Parmi les " doublures " de Hulk, la première et plus fameuse pour toute l'équipe a été une grossière représentation de sa tête montée sur une perche télescopique, et qui a vite été surnommée " Elvis ".
Clin d'oeil à la série
" J'aimais la série télé, explique Ang Lee, et avoir Lou Ferrigno dans un petit rôle sur Hulk a été un vrai plaisir. A l'époque où la série a été faite, poursuit le cinéaste, un culturiste était la solution idéale. Mais le Hulk que je voulais devait être davantage que l'incarnation de la force humaine ". Diffusée sur CBS de 1977 à 1982, cette série avait néanmoins considérablement contribué à populariser la figure de Hulk, à travers 81 épisodes étalés sur cinq saisons auxquels s'étaient ajoutés 3 téléfilms tournés à la fin des années 90. Le film d'Ang Lee est en fait plus proche de l'esprit de la bande dessinée que celui de son adaptation télévisée. Hulk y mesure de 2 à 4 mètres 50, court à plus de 150 kilomètres/heures, fait des bonds de plusieurs centaines de mètres et peut soulever ou presser plusieurs tonnes. En guise d'hommage, Lou Ferrigno, apparaît donc dans la peau d'un vigile, aux côtés d'un certain Stan Lee.
B.O. Super Héros
La bande originale du film Hulk est l'oeuvre de Danny Elfman. Compositeur attitré de Tim Burton, on lui doit notamment, pour ce réalisateur, la partition de Batman, une autre adaptation de Comics portée à l'écran, tout comme Spider-Man dont il a écrit la B.O. pour Sam Raimi en 2002.
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The Incredible Hulk|Louis Leterrier|Fantastique|Film pour enfants à partir de 10 ans|3|américain|2008|111|Anglais||XviD|||XVID|736 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Avi Arad Kevin Feige Gale Anne Hurd|Zak Penn|Peter Menzies Jr.||Universal Pictures||Le scientifique Bruce Banner cherche désespérément un antidote aux radiations gamma qui ont créé Hulk. Il vit dans l'ombre, toujours amoureux de la belle Betty Ross et parcourt la planète à la recherche d'un remède.La force destructrice de Hulk attire le Général Thunderbolt Ross et son bras droit Blonsky qui rêvent de l'utiliser à des fins militaires. Ils tentent de développer un sérum pour créer des soldats surpuissants.De retour aux Etats-Unis, Bruce Banner se découvre un nouvel ennemi. Après avoir essayé le sérum expérimental, Blonsky est devenu L'Abomination, un monstre incontrôlable dont la force pure est même supérieure à celle de Hulk. Devenu fou, il s'est transformé en plein coeur de New York.Pour sauver la ville de la destruction totale, Bruce Banner va devoir faire appel au monstre qui sommeille en lui... |Edward Norton (Bruce Banner / Hulk)@Liv Tyler (Betty Ross)@Tim Roth (Emil Blonsky / L'Abomination)@William Hurt (Général Thaddeus E. Ross/ Ross-la-foudre)@Christina Cabot (Major Kathleen 'Kat' Sparr)@Tim Blake Nelson (Samuel Sterns)@Ty Burrell (Dr. Samson)@Peter Mensah (Général Sam Greller)@Chris Owens (Commando)@Jay Hunter (Policier)@Lou Ferrigno (le gardien / la voix de Hulk)@Paul Soles (Stanley)@Débora Nascimento (Martina)@Greg Bryk (commando)@Al Vrkljan (commando)@Adrian Hein (commando)@John MacDonald (commando)@Shaun McComb (commando)@Simon Wong (un étudiant)@Pedro Salvin (le chef de la bande)@Grant Nickalls (le pilote de l'hélicoptère)@Joris Jarsky (soldat)@Arnold Pinnock (soldat)@Tig Fong (policier)@Maxwell McCabe-Lokos (chauffeur de Taxi)@David Collins (technicien médical)@John Carvalho (manager)@Imali Perera (un membre de la faculté)@Robin Wilcock (sniper)@Frédéric Bénudis (un militaire)@Robert Downey Jr. (Tony Stark)@Stan Lee (l'homme au soda)@Wayne Robson (Le capitaine du bateau)@Aaron Berg (Un soldat)@Aaron Berg (Un soldat)@Moses Nyarko (Un soldat)@Russell Yuen (Un agent du FBI)@Tony Nappo (Le policier courageux)@Todd Hofley (Pilote d'hélicoptère)@David Meunier (Un soldat)@Billy Parrott (Un garde de sécurité (non crédité))@Tre Smith (Un soldat)@Roberto Bakker (Le vendeur au marché)@Chris Ratz (Un jeune gars)@Tamsen McDonough (Un collègue)@Stephen Gartner (Un soldat de Ross)@François Mequer (Un policier de la NYPD (non crédité))@Ishan Morris (Un étudiant (non crédité))@Avi Phillips (L'étudiant dans le laboratoire (non crédité))@Max Topplin (Jimmy (non crédité))@Nicholas Rose (McGee)@DeShaun Clarke (Le petit garçon)@Jason Hunter (Un policier)@Joe La Loggia (Un soldat)@P.J. Kerr (Wilson)@Lenka Matuska (L'assistante médicale)@||Secrets de tournage :
Un nouveau départ pour le géant vert
L'Incroyable Hulk s'incrit dans la lignée du comic-book Marvel et de la série TV qui a fait le succès populaire du personnage dans les années 80. Le long métrage tranche ainsi avec le Hulk de Ang Lee, plus dramatique et jugé décevant (en terme de recettes notamment) par Marvel. Ce nouveau film n'est d'ailleurs pas une suite, mais a pour but de lancer une nouvelle franchise autour du géant vert : d'où le changement de réalisateur (Louis Leterrier ) et d'acteur dans la peau de Bruce Banner (Edward Norton remplace Eric Bana).
Un Frenchie à la barre
Pur produit de l'école Besson, Louis Leterrier signe avec L'Incroyable Hulk ses débuts hors du giron bessonnien. Il est par contre habitué à diriger des comédiens anglo-saxons, après Le Transporteur, Le Transporteur II et Danny the dog.
Un acteur physique et schizophrénique
Choisi pour sa "capacité à se transformer pour un rôle singulier", comme en attestent ses performances dans Peur primale, American History X et Fight Club, Edward Norton a été préféré, entres auutres, à David Duchovny, Dominic Purcell, Jeff Goldblum ou encore Adrien Brody, un temps envisagés dans le rôle. Egalement réalisateur (Au nom d'Anna) et scénariste, le comédien a participé à l'écriture de L'Incroyable Hulk.
Une nouvelle Betty Ross
Personnage primordial dans l'univers du Géant Vert, la belle Betty Ross était campée par Jennifer Connelly dans le Hulk de Ang Lee. Dans L'Incroyable Hulk, la comédienne laisse sa place à une autre brune aux yeux verts, Liv Tyler (pour l'anecdote, elles s'étaient toutes deux données la réplique en 1997 dans le drame romantique Les Années rebelles). Le père du personnage, le Général Ross, voit quant à lui William Hurt reprendre l'unforme porté par Sam Elliott en 2003.
Un spécialiste au scénario
Le scénario de L'Incroyable Hulk est signé Zak Penn, auteur notamment de X-Men 2, Elektra et X-Men l'affrontement final.
Tournage dans un favela
En novembre 2007, l'équipe de L'Incroyable Hulk s'est installée pour une quinzaine de jours et en secret dans une favela de Rio de Janeiro, située en face du Pain de Sucre, pour une séquence qui voit le géant vert s'échapper sur les toits des maisons. Une favela considérée comma la plus sûre de la ville, de par la présence du Bataillon des Opérations Spéciales de la police militarisée (BOPE). Les propriétaires des habitations "piétinées" par Hulk ont reçu un dédommagement de 100 reais (48 dollars), alors qu'une soixantaine d'autres ont joué les figurants. Selon l'AFP, l'unique revendication de l'Association des habitants de Tavares Bastos a été l'embauche de main d'oeuvre locale : pour l'occasion, l'association a reçu 5 000 dollars de la production pour la construction d'un poste de santé.
La bataille finale
L'incroyable Hulk se termine dans une bataille monumentale dans laquelle Hulk doit sauver new York et ses habitants de la fureur de l'Abomination. Après avoir exploré différents lieux de tournage potentiels, les cinéastes ont finalement choisir de filmer la séquence dans trois endroits différents (devant l'Apollo Theater par exemple, figure emblématique de Harlem) sur une période de plusieurs semaines. Surnommée "la plus grosse bagarre de bar de l'histoire" par Kurt Williams, le superviseur des effets visuels, elle a nécessité la création et l'intégration de près de 80 plans à effets visuels.
Le défi de la motion-capture
Kurt Williams, le superviseur des effets visuels, se souvient : "Une fois les mouvements des personnages déterminés par le procédé de motion capture, le défi était d'expliquer aux acteurs où se trouvaient ces créatures, comment elles se déplaçaient et à quelle vitesse. Pour les acteurs, c'est très difficile de tourner avec des personnages en images de synthèse parce qu'ils ne voient pas la créature qui est en face d'eux. Cela demande un énorme effort d'imagination."
Le géant gris
Hulk, héros marvel créé en 1962 par Stan Lee et Jack Kirby, est au départ gris. Une couleur exceptionnelle pour un Super-héros à cette époque. Il nous explique : "Quand j'ai créé Hulk il y a 45 ans, j'ai choisi le gris parce qu'aucun héros ou méchant n'avait cette couleur. Quand nous avons sorti le premier numéro de la B.D., nous nous sommes aperçus que le gris donnait un résultat très médiocre. Comme il n'y avait pas de super-héros vert et que c'était une couleur plus facile à reproduire, Hulk est devenu vert au numéro suivant. C'est aussi simple que ça."
Hommage(s)
La transformation d'Edward Norton en Hulk, très éprouvante à l'écran, est un hommage appuyé à la séquence culte du Loup-garou de Londres, rendue célèbre par les maquillages spéciaux de Rick Baker. Autre clin d'oeil, un coup de tête asséné par le géant vert à l'Abomination, spéciale dédicace à Zinedine Zidane du propre aveu de Louis Leterrier. Enfin, les fans de l'univers Marvel reconnaîtront le liquide bleu injecté à Tim Roth dans le film : il s'agit du sérum des super-soldats utilisé dans Captain America.
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Okhota na Piranyu|Andrei Kavun|Action|||Russie|2006|118|||XVID|||XVID|718 Kbps|608x256|MPEG-1 Audio layer 3|99.6 Kbps|False|48.0 KHz|2|702||||25.000|08/08/2009 00:00:00|||||||Le gouvernement russe confie une mission a priori banale au colonel Mazur. Accompagné d'une jeune scientifique prénommée Olga, il devra faire disparaître toute trace d'un laboratoire top secret situé quelque part en Sibérie. Tous deux progressent au sein de la nature sauvage de l'Est russe. Une fois leur mission menée à bien, ils réalisent que les habitants de la région n'apprécient guère leur présence. |||||||||||||@@
Crank|Mark Neveldine Brian Taylor|Action|Interdit aux moins de 12 ans|2|britannique, américain|2007|83|Anglais||XviD|||XVID|1 024 Kbps|592x320|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|696||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Michael Davis Gary Lucchesi Tom Rosenberg Richard Wright|Mark Neveldine Brian Taylor|Adam Biddle||Lions Gate Films Inc.|Saga : Hyper tension |Chev Chelios est un tueur à gages qui n'a pas rempli un banal contrat : la veille, il a en effet raté sa cible. Et ce matin-là, Chev est réveillé par un coup de téléphone de bien mauvaise augure. A l'autre bout du fil, le malfrat Ricky Verona lui apprend qu'il a été empoisonné dans son sommeil et qu'il ne lui reste qu'une heure à vivre...Désormais, Chelios ne doit surtout pas rester immobile - sous peine de mourir d'un instant àl'autre : il lui faut stimuler son adrénaline pour empêcher le poison de provoquer un arrêt cardiaque. Dans une terrible course contre la montre, Chev parcourt les rues de Los Angeles, n'hésitant pas à affronter ceux qui osent se mettre en travers de sa route. Il n'a dorénavant d'autre choix que de trouver l'antidote lui permettant d'échapper à une mort certaine... |Jason Statham (Chev Chelios)@Glenn Howerton (Dr. Ankleson)@Amy Smart (Eve)@Efren Ramirez (Kaylo)@Reno Wilson (Orlando)@Carlos Sanz (Carlito)@Jose Pablo Cantillo (Verona)@Michael J. Gonzalez (Buttons)@Nina Kaze (Cleopatra)@Valarie Rae Miller (Chocolate)@Dwight Yoakam (Doc Miles)@Theresa bennett (la journaliste)@Ted Garcia (le journaliste)@Elizabeth Jayne Hong (la Japonaise)@Stephanie Mace (le pharmacien)@India King (l'infirmière)@Edi Gathegi (Chauffeur de taxi Haïtien)@Michael McLafferty (Policier de l'hôpital)@Sean Graham (Policier à moto)@Francis Capra (Chef du gang à l'usine)@Noel Gugliemi (Gangster sur le toit)@Daniel Venegas (Gangster à la fenêtre)@Dorian Kingi (Epicier)@Keone Young (Don Kim)@Ted Garcia (Reporter TV)@||Secrets de tournage :
Premier long métrage pour les réalisateurs
Hyper tension est le premier film de Mark Neveldine et de Brian Taylor. Le duo a une certaine expérience de la réalisation puisqu'ils ont tourné plusieurs spots publicitaires.
Un film à la manière d'un jeu vidéo
Mark Neveldine et Brian Taylor souhaitaient réaliser un film dans l'esprit d'un jeu vidéo, c'est-à-dire, " un film d'action carburant à l'adrénaline " selon leurs propres termes. Mark Neveldine avoue, qu' Hyper tension est " Le film du trouble de l'attention par excellence. C'est un film déjanté. " Et Brian Taylor ajoute " Nous voulions faire un film où un type ne cesse de bouger, bouger, bouger tout le temps. Comme dans Speed, sauf qu'à la place d'un car, il s'agit d'un type. S'il ralentit, il explose. Ce film est un jeu vidéo grandeur nature. "
Un regard original
Le producteur Skip Williamson, de Lakeshore Entertainement, a été intéressé par le regard original que les deux réalisateurs portaient à l'univers sordide des bas-fonds de Los Angeles où le héros (Jason Statham) évolue. A la lecture du scénario, le producteur avoue qu'il a " compris que leur style, comme leur sens de la narration, collaient parfaitement à notre époque. " Williamson a alors décidé de soutenir le tandem de réalisateurs, depuis l'écriture du scénario jusqu'au tournage.
Un vrai "dur"
Les réalisateurs souhaitaient un acteur originaire de Los Angeles et ont donc auditionné de nombreux comédiens américains, à la recherche d'un acteur crédible en " dur " à la manière des acteurs mythiques des années 70 (Steve McQueen ou Roy Scheider). Mais après avoir reçu de nombreux candidats ils se sont convaincus que ce style d'acteurs n'existait plus aux Etats-Unis. Ils ont donc fait appel à l'acteur anglais Jason Statham remarqué dans Arnaques, crimes et botanique et plus récemment dans Le Transporteur.
Un acteur doué pour l'action
Le choix de l'acteur principal s'est finalement porté sur Jason Statham. Pour le directeur de production David Rubin, " Jason s'est prêté à des scènes d'action délicates, en donnant l'impression que c'était un jeu d'enfant, ou interprétait des scènes au rythme trépidant, en les rendant drôles." Les responsables du film ont alors décidé qu'il incarnerait le héros, Chev.
Un acteur cascadeur
Jason Statham a exécuté lui-même toutes ses cascades, y compris lors des scènes les plus périlleuses lorsqu'il est suspendu à un hélicoptère au-dessus des rues de Los Angeles. L'acteur déclare que ce fut "une expérience très gratifiante. Au final, on voit bien que c'est moi qui suis suspendu dans les airs à 1 km au-dessus de Los Angeles ! On ne peut pas remplacer ça en utilisant un fond vert ! Ça fout vraiment la trouille, et ça se voit dans mon regard. Mais il faut le surmonter. C'est flippant, excitant et dangereux à la fois."
Un tournage spécial...
Mark Neveldine a décidé de tourner Hyper tension d'une manière plus qu'originale... Celui-ci a chaussé des rollers et a tourné caméra à l'épaule. Il précise que l'utilisation de caméras HD nouvelle génération, d'une taille minuscule, a permis à l'équipe de se glisser dans des endroits inattendus.
Une mise en scène directe
Pour leur premier long métrage, Mark Neveldine et Brian Taylor ont adopté une approche très directe de la mise en scène. Ce qui a beaucoup impressionné Jason Statham, qui précise : " Lorsque j'ai rencontré Mark et Brian, ils m'ont expliqué ce qu'ils voulaient et m'ont montré leurs films publicitaires. J'ai compris qu'ils avaient une vision très précise de leur film, qui était aux antipodes de ce qui se fait en général. "
Hardcore gamers
Mark Neveldine et Brian Taylor sont tous deux fous de vidéo et considèrent ce support comme une forme esthétique en tant que telle.
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I, Robot|Alex Proyas|Science fiction||3|américain|2004|110|Anglais||XviD|||XVID|752 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|123 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Laurence Mark John Davis|Jeff Vintar Hillary Seitz Akiva Goldsman|Simon Duggan||UFD||En 2035, les robots sont devenus de parfaits assistants pour les êtres humains. Le détective Del Spooner enquête sur le meurtre du docteur Alfred Lanning, un chercheur en robotique. Le principal suspect semble être un androïde nommé Sonny. Or, si l'on s'en réfère aux lois de la robotique, les robots ne sont pas dotés de la faculté de tuer... |Will Smith (Del Spooner)@Alan Tudyk (Sonny)@Bridget Moynahan (le Dr. Susan Calvin)@Chi McBride (le lieutenant John Bergin)@Bruce Greenwood (Lawrence Robertson)@James Cromwell (le Dr. Alfred Lanning)@Scott Heindl (le robot NS5)@David Haysom (le robot NS4)@Adrian Ricard (Granny)@Jerry Wasserman (Baldez)@Fiona Hogan (V.I.K.I.)@Shia LaBeouf (Farber)@||Secrets de tournage :
Asimov à l'écran
I, Robot est inspiré d'un classique de la science-fiction, Les Robots d'Isaac Asimov, recueil de nouvelles paru en 1950. Un film avait déjà été réalisé à partir d'une oeuvre de cet écrivain : L'Homme bicentenaire de Chris Columbus
La genèse du projet
Dans les années 90, Jeff Vintar, scénariste d'un autre film d'anticipation, Final fantasy, les créatures de l'esprit, écrit le script d'un film intitulé Hardwired, qui conte l'histoire de l'assasinat d'un homme par un robot. Le projet est confié à Alex Proyas, qui, à la même époque, achète les droits du livre I, robot d'Isaac Asimov. La production décide alors de faire un seul long-métrage à partir de ces deux projets, Vintar étant alors rejoint pour l'écriture du scénario par Akiva Goldsman, auteur d'Un homme d'exception.
Le film vu par Will Smith
"Will Smith était le premier acteur sur notre liste", explique le producteur John Davis. Smith, qui affronte les robots après avoir fait face aux extra-terrestres dans la série des Men in Black, est également producteur exécutif d'I, robot". "Ce qui m'a attiré dans ce projet, c'est l'idée que le problème, ce ne sont pas les robots, ni la technologie, confie le comédien. Ce sont les limites de la logique humaine. Nous sommes au fond nos propres ennemis (...) I, robot est un mélange des genres particulièrement intéressant : film d'action high-tech, film à effets spéciaux, drame romantique, et polar."
Les robots dessinés par un Français
Le design des robots a été conçu par le Français Patrick Tatopoulos, qui a collaboré pendant trois ans avec le cinéaste pour mener à bien ce projet. Tatopoulos, qui a travaillé sur des films tels que Godzilla, Independence Day et Stargate avait déjà imaginé l'univers inquiétant de Dark City de Proyas.
Les 3 Lois de la Robotique
Les Lois de la Robotique qui régissent l'univers d'I, robot sont au nombre de 3. Selon la première Loi, un robot n'a pas le droit de nuire à un humain, ni de laisser sans assistance un humain en danger. La deuxième stipule qu'un robot doit obéir aux ordres des humains, sauf lorsque ces ordres sont incompatibles avec la première Loi. Enfin, la troisième prévoit qu'un robot doit protéger sa propre existence tant que cette protection n'est pas incompatible avec une des deux premières Lois.
La voix du robot
C'est Alan Tudyk qui prête sa voix au robot Sonny. Sur le tournage, l'acteur, habillé tout en vert - pour être effacé au montage - donnait la réplique aux comédiens. Lorsqu'ils s'adressaient au robot, les acteurs avaient ainsi face à eux un être de chair et d'os.
L'enfance d'un fan
Le réalisateur Alex Proyas confie qu'il est depuis longtemps passionné par la science-fiction : "A l'âge de dix ans, je lisais beaucoup de livres de science-fiction, et Asimov était l'un de mes auteurs de chevet. J'étais un vrai fan de science-fiction, et j'ai toujours pensé qu' I, robot ferait un très bon film. Quand vous êtes jeune, vous avez ce genre de rêve, et comme j'ai très tôt eu envie de faire des films, j'espérais pouvoir réaliser un jour cette adaptation."
Neuf récits résumés en un film
Le réalisateur revient sur les difficultés posées par le travail d'adaptation : "Le film est inspiré de l'oeuvre d'Asimov, mais ce n'est pas vraiment une transposition directe. Ca a été un travail compliqué, parce que construire un scénario concis pour le cinéma à partir d'une série originale de 9 nouvelles est à peu près impossible. Nous avons pris évidemment quelques libertés pour créer notre propre histoire sans trop nous éloigner du monde et des idées d'Asimov. Nous avons donc tenté d'être fidèle à son esprit tout en donnant une nouvelle jeunesse à son univers grace au cinéma."
Les puzzles d'Asimov
"Les histoires de robot d'Asimov sont des petits puzzles intellectuels", explique le scénariste Jeff Vintar à propos de l'attrait qu'exercent les récits d'Isaac Asimov auprès des fans de science-fiction. "Dans chacune des histoires de I, robot, il expose un problème qui va défier les Trois Lois de la Robotique. Je pense que c'est ce qui fascine les lecteurs de ces récits depuis des décennies : il vous propose à chaque fois un nouveau défi, et vous en donne ensuite la résolution."
La danse des robots
Pour chorégraphier les mouvements des robots, la production a fait appel au danseur Paul Mercurio, le héros de Ballroom dancing de Baz Luhrmann.
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Identity|James Mangold|Thriller|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|2003|87|Anglais||DX50|||DX50|931 Kbps|720x432|MPEG-1 Audio layer 3|160 Kbps|False|48.0 KHz|2|691||||25.000|09/08/2009 00:00:00|Cathy Konrad|Michael Cooney James Mangold|Phedon Papamichael||Columbia Pictures||Surpris par un orage, dix étrangers - une ancienne star de la télé et son chauffeur, un policier qui escorte un tueur, une call-girl, deux jeunes mariés, un couple avec un enfant - se retrouvent par hasard au Golden Palm Hotel, un motel situé en plein désert. Au cours de la nuit, ils se font assassiner les uns après les autres. Pour les survivants, c'est le début d'un terrible cauchemar, chacun soupçonnant l'autre.Peu à peu, ils s'aperçoivent qu'ils ont tous quelque chose en commun. Ils vont devoir chercher, dans la personnalité et la vie de chacun, le mobile du tueur et par déduction trouver l'assassin. |John Cusack (Ed)@Ray Liotta (le détective Rhodes)@Amanda Peet (Paris)@Jake Busey (Robert Maine)@Bret Loehr (Timmy York)@Alfred Molina (le médecin)@Clea DuVall (Ginny)@Rebecca De Mornay (Caroline Suzanne)@John C. McGinley (George York)@John Hawkes (Larry)@William Lee Scott (Lou)@Pruitt Taylor Vince (Malcolm Rivers)@Leila Kenzle (Alice York)@||Secrets de tournage :
Le motel
Le motel du film a été construit intégralement sur le plateau 27, le deuxième plus grand des studios Sony Pictures de Culver City. C'est un extérieur situé dans le désert californien, à une trentaine de kilomètres à l'est de Palmdale qui a été utilisé pour les scènes de conduite et les plans d'introduction. Etant donné que la majorité du film se déroule la nuit au coeur d'une tempête, James Mangold et Cathy Konrad ont pensé qu'il serait plus facile de contrôler l'environnement en tournant en studio.
Une ambiance oppressante
Pour créer une ambiance d'oppression, James Mangold a collaboré pour la seconde fois (après Kate & Leopold) avec Mark Friedberg. Celui-ci explique : "Ma première tâche a consisté à rendre ce décor suffisamment captivant pour retenir l'attention du public pendant toute la durée du film."
James Mangold et Ray Liotta
Identity est l'occasion pour le réalisateur James Mangold et le comédien Ray Liotta de se retrouver sept ans après leur travail sur Copland.
Coup de théâtre surprenant
Un des aspects originaux qui surprend dans Identity, c'est la révélation choc du film qui intervient longtemps avant la fin. C'est un choix délibéré puisqu'il permet au spectateur de modifier la perspective de ce qui se déroule et de se trouver impliqué à un autre niveau. Mais ce n'est pas pour autant que le suspense ne continue pas. Cathy Konrad, la productrice, dit à ce propos: "Le spectateur est entraîné par l'action et l'analyse qu'il en fait. Il cherche lui aussi à comprendre (...) les spectateurs auront beau chercher dans toutes les directions, ils seront surpris de toute façon !"
Séduisant par son originalité
C'est l'originalité du scénario écrit par Michael Cooney qui a d'abord séduit la productrice Cathy Konrad. Elle explique: "C'est un film-puzzle envoûtant, un assemblage d'énigmes qui, à travers une vision décalée, vous surprend et vous fait frissonner. J'ai également aimé la variété des personnages, la puissance de leur rencontre."
Identity par James Mangold
Pour James Mangold, Identity représentait l'opportunité de travailler sur un genre cinématographique particulier: le thriller dans un lieu unique. C'est le cas de films comme Fenêtre sur cour d'Alfred Hitchcock, Alien, le huitième passager de Ridley Scott ou The Thing de John Carpenter.
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Idiocracy|Mike Judge|Comédie||2|américain|2007|84|Anglais||XVID|||XVID|1 028 Kbps|624x336|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|702||||23.976|06/08/2009 00:00:00|Mike Judge Elysa Koplovitz|Mike Judge Etan Cohen|Tim Suhrstedt||Twentieth Century Fox France||Joe Bowers, l'Américain moyen par excellence, est choisi par le Pentagone comme cobaye d'un programme d'hibernation, qui va mal tourner. Il se réveille 500 ans plus tard et découvre que le niveau intellectuel de l'espèce humaine a radicalement baissé et qu'il est l'homme le plus brillant sur la planète... |Luke Wilson (Le 2ème classe Joe Bowers)@Dax Shepard (Frito)@Maya Rudolph (Rita)@David Herman (le Secrétaire d'Etat)@Mitch Baker (Le docteur)@Tom Beaver (Dan Fisk)@Robert Musgrave (Sergent Keller)@Kevin Cacy (L'assistant de l'avocat)@Anthony Campos (le Secrétaire à la Défense)@Ricky Cavazos (Le propriétaire du parc / Le prisonnier)@Mark Chavarria (Le conducteur du monte-charge)@Joseph Cheatham (Le docteur de la salle d'attente)@Josh Christman (Le petit garçon)@Ryan Christopher (Le docteur)@Peter Cornwell (Le conducteur)@Terry Crews (Le Président Camacho)@Jack Cruz (Un patient à l'hôpital)@Patrick Fischler@Joanna Gallagher@Ruben Gonzales (L'entourage du Président Camacho)@Charles E. Gray (Le conducteur ivre)@Bruce Hayes (Le client de Costco / L'interné)@Brendan Hill (Le secrétaire d'Energy)@Darlene Hunt@Marc Hustvedt (Le jeune punk)@Katie Knighten (La groupie du Président Camacho)@Jason Konopisos (Un policier)@Justin Long (un docteur)@Jeremy Lopez (Le catcheur)@Michael McCafferty (Officier Collins)@William McMinn (L'élève du jardin d'enfant / Le petit garçon à l'anniversaire)@Javier Merida (Le client de Costco)@Evan Miller (Charles Chaplin)@James Moreno (Le juré du premier rang)@Erica Paniagua (La fille de l'entrepôt)@Rajiv Patel@Hugo Pérez (Roadie)@Leila Plummer (La troisième fille enceinte)@Ryan Ransdell (Clevon)@Andrew Rice (Un client)@Brenna Rivas (Une groupie du Président Camacho)@Stephen Root (Le juge Hank)@Sara Rue (L'avocate générale)@Christopher Ryan (Un docteur)@Thomas Haden Church (le PDG de Brawndo)@Laetitia Bertrand (Un patient de l'hôpital)@Timothy Judd@Beth Gosnell (La femme qui regarde la voiture exploser)@Eric Anderson (Le membre de la Cour)@Greg Pitts@Randal Reeder@Andrew Wilson@Brad Jordan@Heather Kafka@Kimo Keoke@||Secrets de tournage :
Sept ans d'absence
Idiocracy marque le retour de Mike Judge à la réalisation, après six ans d'absence. Son dernier long métrage, Office Space, inédit en France, date de 1999.
Tournage
Le tournage d'Idiocracy s'est déroulé durant le mois de mai 2004 à Austin au Texas.
Titre provisoire
Le titre du scénario était au départ The United States of Uhh-merica, tandis que le titre provisoire durant le tournage était 3001.
De Beavis and Butthead à Idiocracy
Le réalisateur avoue avoir eu l'idée d'Idiocracy pendant le tournage du film d'animation Beavis et Butt-Head se font l'Amerique (1997). Il pensait à la façon dont allait évoluer notre monde, sachant que l?homme n'a plus de prédateur naturel et vit de plus en plus longtemps.
Histoire de famille
Andrew Wilson, qui a un petit rôle dans le film, est le frère de Luke Wilson qui joue le personnage principal. Ils ont déjà joué ensemble dans plusieurs films, dont les plus connus sont Charlie et ses drôles de dames 1 et 2 ainsi que La Famille Tenenbaum (avec leur troisième frère, Owen).
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Il était une fois dans l'Oued|Djamel Bensalah|Comédie||3|français|2005|93|Français||DivX|||DIVX|883 Kbps|480x270|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|681||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Franck Chorot|Gilles Laurent Djamel Bensalah|Pascal Gennesseaux||Gaumont Columbia Tristar Films||En 1988, alors que tout le monde rêvait d'aller faire fortune en Amérique, Johnny Leclerc, lui, ne rêvait que de devenir petit épicier en Algérie. Voici l'histoire de sa réussite ! |Julien Courbey (Johnny)@Sid Ahmed Agoumi (Monsieur Sabri)@David Saracino (Yacine)@Karina Testa (Nadia)@Marilou Berry (Nadege)@Amina Annabi (Madame Khiera Sabri)@Medy Kerouani (Medy)@Karim Belkhadra (le parrain)@Frankye Pain (la mère de Johnny)@Max Morel (le père de Johnny)@Mouss Benia (pote 1)@Adrien Saint-Joré (pote 2)@Stephane Soo Mongo (Pote 3)@Yohan Duport (pote 4)@Elie Semoun (Le maître d'hôtel)@Atmen Kélif@Olivier Baroux (le passager suisse)@Eric Judor@Ramzy Bedia@David Elmaleh@Djamel Bensalah (Un ami de Yacine (voix au téléphone))@Hassan Koubba (Un cousin)@||Secrets de tournage :
Tout est parti du 113
En 1999, le groupe 113 a sorti le single Tonton du bled. Ce morceau racontait avec humour l'histoire d'un adolescent qui doit retourner en Algérie pour les vacances. Mais il n'a pas envie de quitter sa cité, d'aller dans un pays où tout est bancal. Au bout du compte, il s'y rend et parle de finir ses jours là-bas... Ayant connu cette expérience, Djamel Bensalah est allé à la rencontre du 113 pour tenter d'élaborer un projet de long métrage à partir de cette chanson. "Je pensais faire un film qui allait s'appeler Tonton du bled, explique le réalisateur. Mais j'ai vite réalisé qu'avec cette matière, il y avait de quoi écrire une chronique, pas une histoire."
Retrouvailles avec Julien Courbey
Il était une fois dans l'Oued marque la quatrième collaboration de Djamel Bensalah avec son acteur fétiche Julien Courbey, déjà aux génériques de tous ses précédents films : Y'a du foutage dans l'air, Le Ciel, les oiseaux et... ta mère ! et Le Raid.
"Avec sa tête de fou, ses oreilles décollées, son physique atypique, il faut savoir que c'est une star en banlieue, explique le réalisateur. Mais moi je ne pensais pas spécialement à lui, pas plus qu'à d'autres acteurs de mon entourage d'ailleurs. C'est le groupe 113, quand on a évoqué ce personnage, qui s'est aussitôt exclamé : "Il nous FAUT Julien Courbey !""
Julien Courbey d'abord méfiant
Lorsque Djamel Bensalah lui a offert la possibilité d'être l'interprète principal d'Il était une fois dans l'Oued, Julien Courbey s'est d'abord montré méfiant. Il craignait que le personnage de Johnny ne prête à la caricature, "qu'on aille vers un truc "gaguesque" que je ne sentais pas" explique l'acteur. Le scénariste Gilles Laurent et le réalisateur l'ont alors rassuré. "Nous avions la même optique, la même envie d'authenticité. A partir de là, j'ai dit oui", ajoute-t-il.
L'état d'esprit de Djamel Bensalah
Après Le Raid, Djamel Bensalah avait envie de retourner à quelque chose de plus simple et de plus ambitieux sur le plan émotionnel. Le réalisateur s'explique : "J'avais envie de remettre l'individu au centre de l'histoire. Comme dans Le Ciel, les oiseaux et... ta mère !, avec ses potes de banlieue, plein de vie et de couleurs. Avec la banane tout le temps. Sans flics, ni embrouilles. Je souhaitais raconter à ceux qui sont prêts à l'entendre que rien n'est inéluctable. Je voulais aider à changer l'image de la banlieue, de l'immigration, et redonner de l'espoir, de la confiance et de la fierté à toute une génération qui en a bien besoin mais ne le réclame pas."
Les références cinématographiques de Djamel Bensalah
En s'attaquant à la réalisation de cette comédie, Djamel Bensalah avait de nombreuses références en tête, celles du cinéma américain des années 30 à 60, fait par des immigrés européens, notamment Frank Capra. "Mais aussi, d'une certaine manière, Billy Wilder, explique le réalisateur. Quand on pense à Certains l'aiment chaud, c'est quand même l'histoire de gens qui se transforment pour se cacher et qui finissent par se trouver eux-mêmes sous leur déguisement !"
Top chrono !
La conception du film s'est faite dans des délais très brefs. "Je suis retourné en Algérie en février 2004 pour la première fois depuis que j'avais douze ans, confie Djamel Bensalah. On a eu l'idée du film en avril. Gaumont a dit oui pendant le Festival de Cannes, le scénario était prêt en juin ; je suis retourné en Algérie en juillet et, en octobre 2004, le film était dans la boîte. Une sorte de coup de poing."
Un petit désaccord entre Marilou Berry et Djamel Bensalah
Marilou Berry se souvient d'un petit désaccord qu'elle a eu durant le tournage avec Djamel Bensalah : "Sur la scène dans laquelle je dis à Johnny qu'il est "un seigneur, un seigneur décalé", on était tendu parce que je ne voulais pas donner à Djamel ce qu'il voulait - parce que je n'y arrivais pas, tout simplement, ne voyant pas la scène comme lui... Il a fallu qu'on arrive à s'entendre. Au final, je trouve que tout passe, que c'est touchant, que ce n'est ni ridicule, ni incohérent vis-à-vis du personnage. Après, peut-être que j'essaie de me convaincre !"
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Shao Lin Tzu|Chang Hsin Yen Xinyan Zhang|Arts Martiaux|||chinois|1979|128|Chinois||XVID|||XVID|625 Kbps|512x288|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|13/08/2009 00:00:00|||Lau Fung Lam||||L'empereur Tang est trahi par l'un de ses généraux, qui s'installe sur son trône. Chieh Yuan, fils de l'une des victimes de l'usurpateur, se réfugie au monastère des Shaolin, et y perfectionne sa connaissance des arts martiaux, pour venger son père. |Jet Li (Chieh Yuan)@Wang Jue (Ban Kong)@Sun Jian Kui (Se Kong)@Ding Lan (Bai Wu Xia)@Hai Yu (Shi Fu)@Liu Huai Liang (Liao Kong)@Cui Zhi Qiang (Xuan Kong)@Hu Jian Qiang (Wu Kong)@Qingfu Pan@Du Chuan Yang (Wei Kong)@||||||||||||@@
Wong Fei-hung ji yi : Naam yi dong ji keung|Tsui Hark|Arts Martiaux||3|hong-kongais|2000|107|Chinois||XVID|||XVID|851 Kbps|544x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|758||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Tsui Hark|Tsui Hark Chan Tin-suen Cheung Tan||||Saga : Il était une fois en Chine |Dans la Chine de 1895, les Européens pratiquent une politique impérialiste qui leur vaut le ressentiment de la population. En réaction, une société secrète, la secte du lotus blanc, attaque régulièrement les Britanniques. Au point que ceux-ci envisagent de dépêcher leur armée... Devant ce risque, Wong Fey Hong, combattant sans pareil, met toute sa science des arts martiaux en oeuvre pour les protéger. |Jet Li (Wong Fey Hong)@Rosamund Kwan (Shao Yun)@Xin Xin Xiong (Kung)@David Chiang (Luke)@Yee Kwan Yan (Chung)@Donnie Yen (Lan)@Paul Fonoroff (Le consul anglais)@Ka-Kui Ho (Mak)@||||||||||||@@
Wung Fei-Hung tsi sam: Siwong tsangba|Tsui Hark|Arts Martiaux||3|chinois|1993|107|Cantonais||XviD|||XVID|811 Kbps|544x224|MPEG-1 Audio layer 3|87.6 Kbps|False|44.1 KHz|2|697||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Tsui Hark|Tsui Hark|Andrew Lau||Metropolitan FilmExport|Saga : Il était une fois en Chine |L'impératrice douairière décide dans le plus grand secret d'instaurer la compétition de la Tête de Lion, qui doit distinguer les plus grandes écoles de kung-fu de Chine. |Jet Li (Wong Fei-hung)@Max Mok (Leung Fun)@John Wakefield (Tumanovsky)@Rosamund Kwan (13ème tante)@Shun Lau (Wong Kei-ying)@||||||||||||@@
Huang Fei-Hung zhi sei: Wang zhe zhi feng|Yuen Bun|Arts Martiaux||3|chinois|1994|97|||DX50|||DX50|782 Kbps|640x352|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|48.0 KHz|2|703||||25.000|28/07/2009 00:00:00|||||Metropolitan FilmExport|Saga : Il était une fois en Chine |Evocation de la vie de Wong Fei-hung, docteur en médecine chinoise, professeur d'arts martiaux et membre de l'armée des Dix Tigres de Canton. |Chiu Man-cheuk@Hung Yan-yan@Jean Wong@Max Mok@Kar Lok Chin@||||||||||||@@
Il était une fois en Chine V : Dr Wong et les pirates|Tsui Hark|Arts Martiaux||2|chinois|1994|97|||XviD|||XVID|964 Kbps|720x384|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|747||||25.000|06/08/2009 00:00:00||||||Saga : Il était une fois en Chine |Wong Fei-Hung est aux prises avec une bande de pirates, ainsi qu'avec ses disciples, qui n'hésitent pas à enfreindre les codes de combat en utilisant des armes à feu. |Chiu Man-cheuk@Hung Yan-yan@Kwok Chun-on@Rosamund Kwan@Max Mok@Cheng Kent@||||||||||||@@
Wong Fei-Hung chi saiwik hung si|Sammo Hung Kam-Bo|Arts Martiaux||2|hong-kongais, chinois|1997|95|Cantonais||DX50|||DX50|912 Kbps|704x304|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Tsui Hark Dick Tso|Tsui Hark|||Metropolitan FilmExport|Saga : Il était une fois en Chine |Wong Fei-Hung part rendre visite à l'un de ses disciples, qui habite en Amérique. Au cours d'une attaque indienne, il est frappe à la tête et perd la mémoire. |Jet Li (Wong Fei-Hung)@Kwok-Pong Chan (Sol)@Jeff Wolfe (Billy)@Chyrsta Bell Eucht (Sarah)@Rosamund Kwan (13ème tante)@Xin Xin Xiong ('Clubfoot' Seven)@Roger Yuan (Dick)@Richard Ng (Han)@||||||||||||@@
Saving Private Ryan|Steven Spielberg|Guerre||3|américain|1998|160|Anglais||DIV3|||DIV3|511 Kbps|352x208|MPEG-2 Audio layer 3|48.0 Kbps|False|24.0 KHz|2|650||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Steven Spielberg Gary Levinsohn Mark Gordon Ian Bryce|Robert Rodat|Janusz Kaminski||United International Pictures (UIP)||Alors que les forces alliées débarquent à Omaha Beach, Miller doit conduire son escouade derrière les lignes ennemies pour une mission particulièrement dangereuse : trouver et ramener sain et sauf le simple soldat James Ryan, dont les trois frères sont morts au combat en l'espace de trois jours. Pendant que l'escouade progresse en territoire ennemi, les hommes de Miller se posent des questions. Faut-il risquer la vie de huit hommes pour en sauver un seul ? |Tom Hanks (Capitaine John H. Miller)@Tom Sizemore (Sergent Michael Horvath)@Edward Burns (Richard Reiben)@Barry Pepper (Daniel Jackson)@Adam Goldberg (Stanley Mellish)@Vin Diesel (Adrian Caparzo)@Matt Damon (James Francis Ryan)@Giovanni Ribisi (Irwin Wade)@Jeremy Davies (Timothy Upham)@Ted Danson (Capitaine Fred Hamill)@Paul Giamatti (Sergeant William Hill)@Dennis Farina (Lieutenant Colonel Anderson)@Nathan Fillion@Harve Presnell (General Marshall)@Dale Dye@Bryan Cranston@Leland Orser (lieutenant Dewindt)@||Secrets de tournage :
Dans la peau des personnages
Pour interpréter leur rôle, les acteurs sont entrés en contact avec la famille des soldats ainsi, Ryan Phillippe passa du temps avec James Bradley , auteur de l'oeuvre originale et fils du "Doc Bradley" (rôle de Ryan Phillippe): "C'était un peu étrange de me présenter à lui comme l'interprète de son père, mais il m'a reçu très chaleureusement et a trouvé que j'étais un bon choix.".
"C'est un homme honnête, simple et direct. Il ne prétend pas être autre chose que ce qu'il est. J'ai fait tout mon possible pour interpréter de la façon la plus honnête et la plus complète ce type remarquable."
Sur le plan technique, le principal challenge de l'acteur fut d'assimiler les techniques de base médicales : "J'ai appris à faire un tourniquet, à mettre en place un bandage ou des attelles. Plusieurs générations d'hommes ont fait la guerre au sein de ma famille. Mon père s'est battu au Vietnam, ainsi que mon oncle, et mes deux grands-pères ont fait la Deuxième Guerre. C'est une énorme responsabilité et un honneur de pouvoir leur témoigner mon respect."
Quant à Jesse Bradford qui interprète Gagnon, il explique: "Son fils et moi avons longuement évoqué sa personnalité. Je pense que Gagnon avait certaines failles, mais aussi qu'il était un héros à sa manière, très conscient de l'importance de cette contribution à l'effort de guerre. J'ai essayé de privilégier ses bons côtés."
"Mike Strank (soldat) avait 25 ans au moment d'Iwo Jima", complète Ryan Phillippe. "Les autres gars n'en avaient que 18 ou 19. Strank était donc un vétéran aguerri. Détail amusant : Barry Pepper, fort de ses expériences martiales sur Il faut sauver le soldat Ryan et Nous étions soldats, a joué le même rôle auprès de nous et s'est tout naturellement chargé de notre formation."
Succès, récompenses et révélations
Avec 4 130 597 entrées en France, dont plus de 700 000 sur Paris-périphérie, Il faut sauver le soldat Ryan, est l'un des dix plus grands succès de l'année 1998. Aux Etats-Unis, il a rapporté plus de 215 millions de dollars et plus de 475 millions au box-office mondial. A ce triomphe en salles s'ajoute un succès critique et l'Oscar du meilleur réalisateur pour Steven Spielberg. Découvreur de talent, comme il le fut avec Richard Dreyfuss ou Roy Scheider, Spielberg lance à l'occasion de ce film plusieurs jeunes comédiens aux côtés de Tom Hanks et Matt Damon . Edward Burns, Barry Pepper ou Giovanni Ribisi y font pratiquement leurs premiers pas . Quant à Vin Diesel, il a été contacté par Spielberg qui lui a écrit spécialement le rôle du soldat Adrian Caparzo, lançant par la même occasion la carrière de la nouvelle icône du film d'action.
Hanks/ Spielberg, 1ère
Découvert chez Ron Howard, avec qui il a tourné à plusieurs reprises, ainsi qu'avec Joe Dante et Robert Zemeckis, Tom Hanks se devait tout naturellement de travailler un jour avec celui qui avait lancé et le plus souvent produit les films de ces metteurs en scène. Incarnation de l'Américain moyen, il a reçu l'oscar du meilleur acteur à deux reprises, pour Forrest Gump et Philadelphia. Admirant mutuellement leur travail, Steven Spielberg et Tom Hanks se sont retrouvés pour Arrête-moi si tu peux et multiplie depuis les projets ensemble. Après avoir réfléchi et travaillé sur une version de la vie d'Abraham Lincoln, le réalisateur américain serait ainsi sur le point de réaliser une nouvelle comédie intitulée Terminal pour le compte des studios DreamWorks Pictures. Il y dirigerait donc pour la troisième fois Tom Hanks et le tournage de cette histoire d'un voyageur coincé dans un aéroport est d'ores et déjà annoncée pour la fin de l'année 2003.
Un thème de prédilection
Ce n'est pas la première fois que Steven Spielberg prend la guerre comme toile de fond. Elle est déjà le sujet, tourné en dérision, de 1941, mais aussi de L'Empire du soleil et bien sûr de toute la série des Indiana Jones, depuis Les Aventuriers de l'Arche perdue. Elle est surtout au centre de son oeuvre la plus grave et la plus personnelle, La Liste de Schindler. Pour Il faut sauver le soldat Ryan, Spielberg prend le parti de l'ultra réalisme, notamment dans les scènes de combat du début. Caméra tremblée, nauséeuse, au plus près des visages blêmes et des corps démembrés, couleurs passées, tirant vers le sépia, bruit continu des mitraillettes. La guerre sans fard romantique, dans toute son horreur .
D'une guerre à l'autre
Lorsque Steven Spielberg aborde Il faut sauver le soldat Ryan, le film de guerre est depuis plus de deux décennies essentiellement monopolisé par le conflit vietnamien. Plus que l'épopée guerrière, des films aussi divers que Voyage au bout de l'enfer, Apocalypse Now ou plus récemment Ne un 4 juillet s'attachent davantage à cerner les implications humaines de ces conflits. Le tempérament de Spielberg le pousse donc à ressusciter en partie cet art du spectacle que le genre avait enterré, sans pour autant tirer un trait sur ce nouvel héritage. Même s'il lorgne plus du côté des grands classiques comme Le Jour le plus long que de celui de Francis Ford Coppola, Michael Cimino ou Oliver Stone, le réalisateur revisite le débarquement avec le réalisme extrême des films de l'après-Platoon.
Une fructueuse collaboration
La bande originale du film Il faut sauver le soldat Ryan est signée John Williams, compositeur attitré de Steven Spielberg et par ailleurs immortel auteur du thème de La Guerre des étoiles. Multi-oscarisé pour ses partitions de Star Wars, Les Dents de la mer, E.T. l'extraterrestre et La Liste de Schindler, il a reçu un Grammy award pour Il faut sauver le soldat Ryan.
Retour en force
1993. Avec Jurassic Park suivi de près par La Liste de Schindler, Steven Spielberg vient de mettre en scène à quelques mois d'intervalle son plus gros succès public et son oeuvre la plus personnelle. Le premier a battu tous les records de recette y compris celui du légendaire E.T. l'extraterrestre et le second permet au cinéaste d'obtenir une reconnaissance critique longtemps désirée avec dix oscars à la clé pour les deux films. Au fait de ce triomphe, Spielberg décide de s'accorder une pause, assez inhabituelle de la part d'un cinéaste plutôt prolifique et ne reviendra qu'après trois ans d'absence, mettant alors tout son énergie dans trois films qu'il tourne quasi simultanément. Sur le tournage d'Amistad et dans une atmosphère d'orage où deux cents figurants nus et enchaînés dans les cales du bateau s'empilaient, Spielberg supervisait ainsi le montage de Le Monde perdu à l'heure du déjeuner tout en peaufinant le soir déjà le scénario d'Il faut sauver le soldat Ryan.
Du grand au petit écran
Fort de leur fructueuse collaboration, Steven Spielberg et Tom Hanks se sont retrouvés pour un projet qui rassemble les éléments les plus significatifs d' Il faut sauver le soldat Ryan, mais sous une forme légèrement différente. En l'occurrence, une série tournée avec les moyens du cinéma, sous l'égide de HBO. Avec Band of Brothers, Steven Spielberg et Tom Hanks poursuivent ? cette fois en tant que producteurs exécutifs ? l'exploration de la dimension humaine de la Seconde Guerre mondiale, qu'ils avaient amorcée dans le film, à travers l'évocation du quotidien bourbeux d' un régiment de paras yankees. Si l'on ne retrouve aucun des personnages de " Ryan", les partis pris de mise en scène du film de Spielberg ont été dans l'ensemble conservés.
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Il ne faut jurer de rien !|Eric Civanyan|Comédie||2|français|2005|96|Français||XviD|||XVID|878 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|125 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00||Eric Civanyan|Eduardo Serra||SND||Paris, juillet 1830. Valentin se perd dans l'alcool, le jeu, les femmes. Il ne croit pas en la vie et surtout pas en l'amour. Son oncle Van Buck ne croit qu'aux vertus de l'argent et du commerce. Irrité par les extravagances de son neveu, Van Buck veut lui faire épouser Cécile, la jeune fille de la baronne de Mantes... |Gérard Jugnot (Van Buck)@Jean Dujardin (Valentin)@Mélanie Doutey (Cécile)@Marie-France Santon (la baronne de Mantes)@Arno Chevrier (le borgne)@Patrick Haudecoeur (l'abbé)@Henri Garcin (le boîteux)@Philippe Magnan (l'intendant)@Lorella Cravotta (Henriette)@Jean-Luc Porraz (Haussmann)@Jacques Herlin (Lafayette)@Hubert Saint-Macary (le contremaître)@Michèle Garcia (la patronne du sérail)@Jean-Francois Fagour (le mameluk)@Reginald Huguenin (le maître de danse)@Aurélie Matéo@||Secrets de tournage :
Jugnot et Civanyan se retrouvent
Il ne faut jurer de rien ! est la seconde réalisation d'Eric Civanyan après Tout baigne, en 1998. Le long-métrage lui permet de retrouver Gérard Jugnot, qu'il avait dirigé au théâtre dans les pièces à succès Espèce menacées et Etat critique.
Un mesquin, un suicidaire et une fille de la noblesse
Gérard Jugnot, Jean Dujardin et Mélanie Doutey évoquent leurs personnages respectifs. Jugnot incarne Van Buck, un homme "vif, ridicule, mesquin. Il lui arrive un tas de malheur. C'est un rôle jubilatoire, c'est l'Oncle Picsou. C'est une figure de comédie, mis à part une ou deux scènes où il se dévoile dans son pathétique." Dujardin campe "Valentin, suicidaire écorché qui ne croit en rien et surtout pas en l'amour. Ce qui m'a attiré chez lui, c'est son épaisseur et sa dualité. Il joue sans arrêt sur deux tableaux : le voyou avec son oncle et le prince avec l'ingénue." Quant à Mélanie Doutey, elle interprète Cécile de Mantes, "une fille de la noblesse, qui doit avoir 23-24 ans, à l'heure où la monarchie est en train de se faire renverser. Elle a plein d'ambition, d'amour, elle est entière. C'est un personnage très honnête, très franc, qui aime beaucoup la vie, qui veut aller au bout, avec plein de rêves dans la tête."
Des références prestigieuses
Gérard Jugnot et Jean Dujardin évoquent les références d'Il ne faut jurer de rien !, long-métrage entre Fanfan la Tulipe et Cartouche. Pour Gérard Jugnot, "le film est dans la grande tradition de ces films qu'on n'ose plus faire mais qui me plaisent beaucoup. C'est Ridicule, Mon Oncle Benjamin, Les Liaisons dangereuses, Que la fête commence. Les américains ont le western, les français ont la comédie et le film d'époque." Quant à Jean Dujardin, il aborde la comparaison qu'on fait de lui avec l'icône du film d'aventure à la française qu'est Jean-Paul Belmondo. Il explique : "Gérard a lancé la comparaison entre Jean-Paul Belmondo et moi. Je pense que Belmondo reste un maître dans ce type de personnage virevoltant."
Un film qui parle d'amour
Pour le trio vedette d'Il ne faut jurer de rien !, le maître-mot du film est l'amour. Pour Gérard Jugnot, "c'est tout simplement l'histoire de trois personnages qui courent après l'amour... sauf que c'est plus compliqué !" Pour Jean Dujardin, "il faut croire à l'amour encore un peu : c'est pas mort, ça vaut le coup d'être amoureux, d'avoir le palpitant de 14 ans, d'être heureux, ça vaut le coup de tenter l'amour." Enfin, Mélanie Doutey explique que l'"une des plus belles choses de ce film, c'est qu'on voit ce qu'est le romantisme, le vrai."
La parole au réalisateur
Pour le réalisateur Eric Civanyan, Il ne faut jurer de rien ! pose des questions sur l'amour. "Faut-il envisager l'amour sur une vie entière, ou sur une durée plus courte ? Est-ce que l'amour est la réponse à la vie ? Ce sont des thèmes qui me touchent assez. Les gens qui me connaissent un peu disent que Valentin, ce personnage qui questionne l'amour, c'est moi : est-ce que la vie, c'est la frivolité, le plaisir immédiat ou est-ce qu'il faut construire des choses à plus long terme ? Ce sont des questions que je trouve intéressantes... auxquelles je n'ai pas répondu, mais en tout cas, le film les pose !"
Jugnot et les films d'époque
Gérard Jugnot avoue son bonheur de jouer dans un film d'époque. "J'aime beaucoup les films d'époque car je trouve que le recul du temps nous permet d'être beaucoup plus universels que si nous parlions de faits se situant en 2004-2005, comme c'est le cas des Choristes, de Monsieur Batignole, etc... (...) C'est assez excitant de faire un film d'époque. On se déplace en cheval ou en fiacre, il y a les costumes, les figurants : tout ça est très agréable. Mais en même temps, il faut que le tout soit lié à une histoire forte et je trouve que cette comédie est très moderne et très "punchy". On n'est pas dans le mièvre ou dans le "Quoi, charmante Elise ?""
Adapté de De Musset
Il ne faut jurer de rien ! est l'adaptation sur grand écran de la pièce de théâtre d'Alfred de Musset, créée en 1836.
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Ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants|Yvan Attal|Comédie||2|français|2004|100|Français||DX50|||DX50|962 Kbps|720x400|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|787||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Claude Berri|Yvan Attal|Rémy Chevrin||Pathé Distribution||Trois hommes, la quarantaine, s'interrogent sur leur vie. Vincent vit avec Gabrielle et Georges avec Nathalie. Ils ont l'impression d'étouffer et envient la liberté de Fred, un célibataire qui sort avec de belles filles. Lui rêve de donner enfin un sens à sa vie. Mais Vincent vit une histoire avec une autre femme. Personne n'est au courant, sauf Gabrielle, sa femme. Lui ne sait pas qu'elle sait... |Charlotte Gainsbourg (Gabrielle)@Yvan Attal (Vincent)@Alain Chabat (Georges)@Emmanuelle Seigner (Nathalie)@Alain Cohen (Fred)@Anouk Aimée (la mère de Vincent)@Claude Berri (le père de Vincent)@Angie David (la maîtresse)@Aurore Clément (La mère de la maîtresse)@Johnny Depp (L'Inconnu)@Stéphanie Murat (Géraldine)@Marie-Sophie Wilson-Carr (Florence)@Keith Allen (L'homme de la piscine)@Kitu Gidwani (Madame Gibson)@Sujay Sood (Monsieur Gibson)@Ben Attal (Joseph)@Nicolas Vaude (Le spectateur mécontent)@||Secrets de tournage :
Couple de cinéma
Ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants est le deuxième long-métrage réalisé par le comédien Yvan Attal, trois ans après Ma femme est une actrice. Ce premier film, ancré dans le milieu du cinéma, était centré sur un seul couple - celui que forment, à la ville comme à l'écran, le cinéaste et l'actrice Charlotte Gainsbourg -, alors que ce nouvel opus est une comédie chorale. Attal et Gainsbourg, qui s'étaient rencontrés sur le tournage d'Aux yeux du monde d'Eric Rochant et ont été réunis dans Amoureuse et Love etc., sont partenaires à écran pour la cinquième fois. C'est leur propre fils, Ben, qui joue le rôle de Joseph, l'enfant de Gabrielle et Vincent dans Ils se marièrent....
L'ami américain
Johnny Depp apparaît dans deux scènes en forme de clins d'oeil dans Ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants. "Un rêve !", reconnaît Yvan Attal à propos de cet invité-surprise. C'est la première fois que l'acteur américain, qui vit en France avec sa compagne Vanessa Paradis, tourne dans l'hexagone. Mais Depp a déjà donné la réplique à une autre grande actrice française, Juliette Binoche, dans Le Chocolat de Lasse Hallström. De son côté, Charlotte Gainsbourg a eu pour partenaire en 2003 un autre bad boy du cinéma américain, Sean Penn, dans 21 grammes d'Inárritu. Ajoutons qu'après le tournage de son propre film, Yvan Attal a lui aussi joué aux côtés de Sean Penn. Tous deux sont en effet au générique de The Interpreter de Sydney Pollack, thriller politique avec Nicole Kidman.
La genèse du projet
Yvan Attal revient sur le point de départ de ce deuxième long-métrage : "Pendant le tournage de Ma femme est une actrice, un soir où l'écriture me manquait, je me suis mis à mon ordinateur et spontanément, j'ai commencé à imaginer trois types à table qui se parlaient de leur vie. En fait, ce soir-là, j'ai écrit une scène que l'on peut voir maintenant dans le film, celle où les deux Alain [Chabat et Cohen] et moi-même déjeunons dans la brasserie (...) L'idée de tourner un film uniquement centré sur des hommes en train de se questionner sur la vie de famille, et sur les avantages et les inconvénients du célibat, commençait à m'ennuyer. Je ne tiendrais pas sans la femme que j'aime et les personnages féminins sont intervenus très vite."
Love, etc.
Le film est une nouvelle déclaration d'amour d'Yvan Attal à sa compagne Charlotte Gainsbourg : "J'ai envie de la filmer, j'ai envie d'être avec elle. Pourquoi je m'en priverais ?" confie le cinéaste. "L'histoire du type qui trompe sa femme n'a rien d'autobiographique ! En même temps, il y a peut-être une part d'exorcisme. La croyance absurde que filmer un couple qui se détraque, protège le sien. J'ai cherché un acteur pour jouer mon rôle. Ca s'est révélé factice , voire impossible. On se serait demandé - et moi le premier - à quoi rime cette manière de se cacher derrière la caméra. L'autre avantage de jouer dans le film avec Charlotte, c'est que le couple existe facilement dans l'esprit du spectateur. Autrement dit : il n'est pas question de déballer sa vie dans un film. Mais d'utiliser tout ce qui peut aider la fiction à être vraisemblable."
L'inquiétude de Charlotte Gainsbourg
"J'étais très angoissée par le sujet du film, confie Charlotte Gainsbourg, l'égérie du réalisateur. "L'idée lui venait forcément d'une réflexion qu'il se faisait sur sa vie, dont je fais partie ! C'était légitime de ma part de m'inquiéter. Un couple qui défaille, ça me faisait peur, je voulais y voir une réalité et j'avais du mal à faire la part des choses. J'ai changé de point de vue lorsque Yvan m'a fait lire le scénario. Le plaisir que j'ai eu à la lecture, l'humour, la structure du film et le point de vue de mon personnage ont effacé mes angoisses."
Radiohead : variations sur le même t'aime
Initialement, Radiohead devait signer la bande originale du film. Mais le groupe britannique, parti en tournée mondiale, n'a pu concevoir qu'une chanson originale, sans même avoir le temps de faire les arrangements - ce qui explique qu'elle ne figure pas dans le film. Néanmoins, les morceaux de Radiohead sont très présents dans Ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants. On entend en effet dans une des scènes-clés du film le titre qui les révéla en 1993, Creep, à la fois dans une version électrique et dans une version acoustique. Fan du quintette d'Oxford qui oscille entre mélodies pop et musique plus expérimentale, le cinéaste a également glissé des extraits de leurs albums The Bends et OK computer, ainsi que la surprenante reprise d'un de leurs plus fameux singles, Paranoïd android, par le pianiste de jazz Brad Mehldau, déjà responsable de la bande originale du premier long métrage du réalisateur, Ma femme est une actrice. On retrouve par ailleurs, dans ce deuxième opus très musical, des chansons, entre autres, du Velvet underground et de Sparklehorse.
Berri, le papa de cinéma
Tout comme Ma femme est une actrice, Ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants est produit par Claude Berri, qui, cette fois, est également acteur. Il incarne le père de Vincent, la mère de celui-ci étant interprétée par Anouk Aimée. Essentiellement connu comme cinéaste et producteur, Berri est souvent apparu devant la caméra, tenant notamment le rôle principal de Stan the Flasher, le dernier film réalisé par Serge Gainsbourg. Après le tournage du film d'Yvan Attal, Charlotte Gainsbourg retrouvait Claude Berri, avec cette fois sa casquette de réalisateur, pour L'Un reste, l'autre part, une comédie dans laquelle elle est l'épouse de Daniel Auteuil.
L'enfant devenu grand
Le rôle de Fred, le célibataire qui multiplie les conquêtes, est tenu par Alain Cohen, un acteur qui connut la célébrité à l'âge de 9 ans. Dans Le Vieil homme et l'enfant, le premier long-métrage de Claude Berri en 1967, il est le petit garçon juif envoyé pendant la guerre chez le vieillard bourru qu'interprète Michel Simon. Si on le retrouve en alter ego du cinéaste dans Le Cinéma de papa et La Première fois, deux films qui appartiennent eux aussi à la veine autobiographique de Berri, Alain Cohen sera par la suite totalement absent des écrans de cinéma. Devenu architecte, puis fournisseur en fruits et légumes pour de grands restaurants parisiens, il réapparait dans cette comédie d'Attal, produite (et interprétée) par... Claude Berri.
Un homme sous influence
Yvan Attal évoque ses références en matière de cinéma américain : "J'ai grandi avec les films de Cassavetes et Woody Allen. Aujourd'hui, j'ai une passion pour Michael Mann et Paul Thomas Anderson. Aussi différents soient-ils, Révélations et Punch-drunk love sont les films dont je regarde un morceau pratiquement tous les jours." Il confie d'autre part à propos de l'écriture du scénario de Ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants : "(...) ma première idée, influencée par Husbands de Cassavetes, était de faire un film totalement destructuré (...)"
Mon mari est un cinéphile
Dans une scène de Ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants, Vincent et Gabrielle regardent un film à la télévision. Il s'agit de Butch Cassidy et le Kid, western de George Roy Hill avec Paul Newman et Robert Redford.
« Préc.
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In my country|John Boorman|Drame||2|britannique|2003|92|Anglais||XviD|||XVID|919 Kbps|640x336|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|John Boorman Robert Chartoff Kieran Corrigan Lynn Hendee Mike Medavoy|Ann Peacock|Seamus Deasy||Sony Pictures Classics||De 1996 à 1998, les travaux entrepris par la Commission Vérité et Réconciliation chargée d'enquête sur les crimes commis en Afique du Sud durant la période de l'Apartheid. |Samuel L. Jackson (Langston Whitfield)@Juliette Binoche (Anna Malan)@Brendan Gleeson (De Jager)@Menzi Ngubane (Dumi Mkhalipi )@Sam Ngakane (Anderson)@Aletta Bezuidenhout (Elsa)@Lionel Newton (Edward)@Langley Kirkwood (Boetie)@Owen Sejake (le révérend Mzondo)@||Secrets de tournage :
Afrique du Sud, ma douleur
In my country est l'adaptation d'un roman d'Antjie Krog, poétesse née en 1952. Elle est issue d'une famille d'Afrikaners, ces Blancs d'Afrique du Sud, fervents chrétiens, le plus souvent originaires de Hollande, et qui mirent en place l'Apartheid au lendemain de la Seconde guerre mondiale. Les textes que publie Antje Krog dès l'adolescence témoignent de son engagement contre ce système. Devenue enseignante dans une école réservée aux Noirs, puis journaliste, elle couvre pour une radio de 1996 à 1998 les sessions de la Commission Vérité et Réconciliation, chargée de faire la lumière sur les crimes de l'Apartheid. Elle témoignera de cette expérience particulièrement marquante dans Country of my skull, le livre dont est tiré le film de Boorman. Paru en 1999, cet ouvrage sort en France en 2004 sous le titre La douleur des mots.
Présenté à Berlin
En 2004, In my country a été présenté en compétition au Festival de Berlin.
Le retour du Général
In my country marque la troisième collaboration de John Boorman avec Brendan Gleeson : le cinéaste avait confié au comédien irlandais le rôle du gangster Martin Cahill dans Le Général et l'avait dirigé trois ans plus tard dans Le Tailleur de Panama.
La scénariste
Le scénario de In my country a été écrit par Ann Peacock, auteur du Monde de Narnia : chapitre 1 - le lion, la sorcière blanche et l'armoire magique, un film de Andrew Adamson, mais qui devait à l'origine être réalisé par John Boorman.
Voight pressenti
Jon Voight avait été pressenti pour tenir le rôle de de Jager, finalement interprété par Brendan Gleeson.
Changement de titre
Au départ, In my country avait pour titre Country of my skull (littéralement : Pays de mon crâne)
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Incognito|Eric Lavaine|Comédie||3|français|2009|94|Français||DX50|||DX50|848 Kbps|608x320|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|690||||25.000|28/07/2009 00:00:00|François Cornuau Vincent Roget|Eric Lavaine Héctor Cabello Reyes Bénabar|Stéphane Cami||Pathé Distribution||Lucas est devenu une superstar en s'étant approprié les chansons d'un ami qu'il croyait disparu. Soudainement, cet ami réapparait. Lucas, pour lui cacher sa fortune et sa célébrité, commet l'erreur de demander à Francis, un comédien raté, de prendre sa place. |Bénabar (Lucas)@Franck Dubosc (Francis)@Jocelyn Quivrin (Thomas)@Anne Marivin (Marion)@Isabelle Nanty (Alexandra)@François Damiens (chauffeur accident)@Gérard Loussine (Jean-Paul Pasquier)@Virginie Hocq (Géraldine)@Yolande Moreau (Mme Champenard)@Pierre Palmade (lui-même)@Stephan Wojtowicz (le patron du restaurant de Gronvieux)@Olivier Rigo (La Glue)@Patrick Pelloux (L'urgentiste)@||Secrets de tournage :
Bénabar acteur : première !
Incognito marque la première expérience d'acteur du chanteur Bénabar. Le réalisateur Eric Lavaine raconte pourquoi il l'a choisi pour tenir la vedette de sa comédie : "Parce qu'il est totalement légitime en chanteur et parce que c'est un comédien né. On s'est connu lorsque j'étais directeur artistique, responsable des auteurs sur la série H pour laquelle il écrivait des épisodes. C'est devenu un ami et c'est naturellement que je lui ai parlé d'Incognito car je connaissais ses velléités de comédien. En plus, il n'y avait que lui pour écrire les chansons dont j'avais besoin pour le film. En gros, on s'est fait confiance."
Triple casquette pour Bénabar !
Le chanteur Bénabar débute sa carrière de comédien avec Incognito, mais il profite du film pour coiffer deux autres casquettes : celle de scénariste (il a déjà une petite expérience dans le dmaine puisqu'on lui doit l'écriture de certains épisodes de la série H) et celle de compositeur. C'est en effet lui qui a composé toutes les chansons d'Incognito. Il avait déjà composé pour le cinéma en 2004, pour Madame Edouard, et en 2006, pour Le Lièvre de Vatanen.
La naissance d'"Incognito" : sur un air de U2
Le réalisateur Eric Lavaine se souvient précisément du jour où il a eu l'idée d'Incognito : "(...) je passais des vacances à Naples et un matin, en courant le long de la baie, je tombe sur un type qui joue un morceau méconnu de U2 à la guitare électrique. Je m'arrête pour l'écouter et je lis dans ses yeux : "J'ai composé ça cette nuit, qu'est-ce que tu en penses, mon pote ?". Je suis rentré à mon hôtel et j'ai écrit le pitch d'Incognito. L'histoire simple d'un mec qui s'est approprié les chansons d'un autre."
Le fantasme de Bénabar
Bénabar évoque sa première expérience devant la caméra : "C'était plutôt quelque chose qui m'excitait secrètement, comme plein d'autres choses dont on a envie mais que l'on ne va pas forcément réaliser : grimper l'Annapurna, conduire une Ferrari ou faire du saut à l'élastique... (...) C'était quelque chose qui tenait plus de l'ordre du fantasme que du rêve. Un truc que je ne pensais jamais réaliser." Puis d'ajouter sur l'expérience Incognito en général : "Sérieusement, cette expérience m'a sincèrement bouleversé. Ce film ne m'a pas seulement apporté des choses sur le tournage, mais bien après également. Par exemple, Eric Lavaine a voulu que je me mette au sport, j'avais quelques kilos à perdre... Eh bien, je continue. C'est un film qui a changé le regard que j'avais sur moi au niveau physique. Je sais que je n'étais pas tout à fait pareil à la fin du tournage ; et ce changement me suit, sans pour autant tomber dans le cliché. Ça a été une expérience vraiment nouvelle."
Le risque Bénabar
Le réalisateur Eric Lavaine était conscient du risque qu'il prenait en embauchant le chanteur Bénabar pour tenir la vedette d'Incognito. Pour autant, jamais il n'a douté, connaissant ls qualités de l'artiste : "(...) Bénabar acteur, ça ne convainquait personne. Je lui ai fait faire des essais qui étaient prometteurs, mais il a surtout bossé. Je me suis basé sur ce que je connaissais de lui, de sa personnalité... Je l'ai associé à l'écriture du script, sachant qu'en s'appuyant sur ces détails, on aboutirait à quelque chose de vrai. Et sa fibre de comédien a fait le reste. C'est un créatif qui adore la vanne ! Et grâce à lui, on a pu débloquer certaines situations. Avec Bénabar, on aime se faire rire. Bénabar est soit génial soit fou, car accepter un premier rôle de chanteur comme première apparition au cinéma c'est une mise en abîme totale."
Les petits mensonges de la vie
Eric Lavaine, le réalisateur d'Incognito, évoque le thème du mensonge, au coeur du film : "J'aime quand le spectateur peut se mettre à la place du héros. Je n'écris que des intrigues qui pourraient nous arriver. Par exemple dans nos vies, on dit souvent des petits mensonges... petits mensonges qui peuvent avoir de grandes conséquences. C'est un petit mensonge de Lucas qui va le faire passer de contrôleur de bus à superstar de la chanson. C'est-à-dire qu'au moment où il joue la chanson de son pote disparu à une fille, avant même qu'il puisse lui avouer qu'elle n'est pas de lui, elle l'embrasse. Pour Lucas, c'est juste un cadeau posthume, l'occasion d'avoir une aventure avec cette fille grâce à cette chanson... Évidemment, il devient prisonnier de son mensonge. Ce n'est pas un salaud pour autant. On pourrait tous être emportés par ce genre de choses, comme ces hommes ordinaires qui ont des destins extraordinaires."
Dubosc l'enfantin...
Eric Lavaine ne tarit pas d'éloges sur Franck Dubosc, l'un des acteurs principaux d'Incognito. Pour lui, l'acteur livre une performance touchante et enfantine : "Franck Dubosc est un acteur prodigieux ! Mais un acteur, pour donner toute l'étendue de son talent, a besoin de textes corrects. C'est aussi simple que ça. Et c'est parce que c'est un grand comédien que l'on peut lui faire jouer des scènes parfois limites, scènes qui seraient graveleuses ou lourdes avec d'autres et qui prennent une autre dimension avec Franck. Ce n'est pas si simple de jouer la comédie tout en jouant à la Wii cul-nu. Francis est un personnage qui n'a pas de filtre entre le cerveau et la parole ; comme un enfant. Et Franck a su donner ce côté enfantin et touchant au personnage."
Un peu d'aide...
Pour travailler sur son personnage, le novice Bénabar a été accompagné durant tout le tournage par Patricia Sterlin, une professeur de théâtre.
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Incontrôlable|Raffy Shart|Comédie||1|français|2006|81|Français||XviD|||XVID|1 062 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|132 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Abel Nahmias|Raffy Shart|Carlo Varini||Pathé Distribution||Imaginez. Un beau matin, votre corps décide de ne plus vous obéir. Pire, il n'en fait qu'à sa tête, prend un malin plaisir à vous mettre dans les situations les plus humiliantes, et passe son temps à vous vanner avec la voix de l'âne de Shrek ! Cet étrange phénomène, c'est ce qui arrive au pauvre Georges, devenu incontrôlable bien malgré lui... |Michaël Youn (Georges)@Hélène de Fougerolles (Marion)@Thierry Lhermitte (Denis)@Hippolyte Girardot (Roger)@Patrick Timsit (Marc)@Shirley Bousquet (Catherine)@Cyrielle Clair (Grace)@Francoise Bertin (Mamie)@Jacky Nercessian (Pierre-Emmanuel)@Régis Laspalès (le prêtre)@Gilles Gaston-Dreyfus (Docteur Clair)@Christophe Fluder (l'agent Francky)@Julia Faure (Rose)@India Weber (la petite soeur 1)@Delphine Chaneac (la petite soeur 2)@Sabine Perraud (la petite soeur 3)@Med Hondo (la voix de Rex)@Rebecca Hampton (Rebecca)@Vincent Desagnat (Un amoureux du parc)@Eric Le Roch (l'homme des pompes funèbres)@Dolly Golden (fille du rêve / fille du parc)@||Secrets de tournage :
L'évolution du scénario
Quand Raffy Shart a proposé à Michaël Youn le rôle de Georges il y a deux ans, il lui a fait lire une première version qui ne ressemblait pas vraiment à celle d'aujourd'hui. L'histoire d'un homme qui avait perdu le contrôle de chacun de ses membres, c'est-à-dire que ses deux bras, ses deux jambes, son nez, son ventre, sa bouche ou encore son sexe s'agitaient indépendamment et parlaient avec une voix différente. Le réalisateur-scénariste avait même prévu de rajouter des yeux et des effets spéciaux sur chacun de ces membres.
Le comédien et le producteur Abel Nahmias trouvaient l'idée très originale, mais un peu trop compliquée. Les trois hommes ont alors retravaillé le script afin de revenir à une structure plus imaginable pour un cerveau humain en se concentrant sur la dualité du personnage.
Michaël Youn en surpoids
Pour se préparer au rôle de Georges, Michaël Youn a suivi le régime de Morgan Spurlock, le réalisateur de Super size me, mais avec des kebabs.
"Je n'ai bouffé que ça, raconte le comédien. Kebab-café le matin, kebab-coca le midi et kebab-bière le soir. Le Turc en bas de chez moi a fait fortune. Je sais même qu'il s'est depuis acheté deux maisons à Istanbul. Ensuite, mon poids a commencé à stagner. J'ai alors mangé des plats de pâtes énormes et je suis allé au fast-food. Sans compter qu'en soirée, je dévorais un pot de glace entier et mes cinq paquets de noix de cajou devant la télé."
Résultat : l'acteur a grossi de 18 kilos en deux mois.
Des cours de danse et de mime
Malgré son surpoids, Michaël Youn se devait de gesticuler avec une élégance et une souplesse que l'on ne lui
connaît guère. Pour ce faire, il a suivi des cours de danse avec Philippe Decouflé ainsi que des cours de mime avec un disciple du Mime Marceau, Guerassim Dichliev, un Bulgare, à raison de deux heures par jour.
Le comédien se souvient des exercices auxquels il devait se plier : "Des trucs tout bêtes, comme l'éveil. On est assis, complètement recroquevillé, et il faut se déplier, très lentement, sentir ses articulations qui se réveillent une à une. On réfléchissait aussi à la manière d'aborder les scènes les plus difficiles du scénario. Guerassim m'a alors appris à bouger un bras tout en gardant le buste immobile. Il m'a également demandé d'interpréter des tempéraments différents - l'orgueilleux, le raté, le gourmand - uniquement avec mon corps. Un exercice qui m'a servi à mieux dissocier et caractériser mes deux personnages. Pour Georges, je rentrais les épaules et je mettais les mains entre les cuisses. Pour Rex, je bombais le torse, et les mains étaient en ouverture."
Parler avec la voix VF d'Eddie Murphy
Michaël Youn se souvient comment se déroulaient les scènes où il était censé parler avec la voix de Rex en l'absence de Med Hondo, le doubleur VF d'Eddie Murphy : "Dans ces moments-là, j'ouvrais grand les yeux, j'élargissais ma bouche et j'imitais sa voix. Je voulais que l'on retrouve par instants les mimiques d'Eddie Murphy. J'ai d'ailleurs maté tous ses films en version française avant le tournage. Et c'est grâce à ça qu'on a eu l'idée de la scène devant la boîte de nuit, où il déboule en déclarant : ?FBI ! T'es dans la merde mec?."
Place aux acrobates et contorsionnistes !
Raffy Shart a très peu utilisé d'effets numériques pour les scènes où Georges devient incontrôlable, préférant avoir recours à des trucages mécaniques, des acrobates et des contorsionnistes. Par exemple, lorsque Rex applaudit avec les pieds, il y a deux acteurs pour tourner la scène.
Richard Berry avant le flic nain
Richard Berry devait au départ tenir le rôle du flic auquel a affaire Michaël Youn dans le film, mais il ne put se libérer, question de planning. C'est alors qu'il n'imaginait aucun autre acteur pour ce personnage que Raffy Shart a pensé à faire appel à un homme de petite taille.
Une marge d'improvisation aux comédiens
Pour les trois ou quatre premières prises, Raffy Shart demandait aux comédiens de respecter la partition. Une fois
que c'était dans la boîte, il les invitait à aller dans la direction qu'il voulait. "Michaël Youn et Thierry Lhermitte adoraient ça, se souvient-il. Hélène De Fougerolles, elle, ne fonctionne pas de cette manière habituellement. Mais elle a joué le jeu, et elle m'a suivi dans mes délires. Quand j'ai décidé au dernier moment de lui mettre des poils sous les aisselles, elle n'a pas hésité une seconde. C'est une actrice très douée."
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Independence Day|Roland Emmerich|Fantastique||2|américain|1996|147|Anglais||DX50|||DX50|536 Kbps|504x216|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|44.1 KHz|2|692||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Dean Devlin|Roland Emmerich Dean Devlin|Karl Walter Lindenlaub||UFD||Une immense soucoupe volante envahit le ciel terrestre, libérant un nombre infini de plus petites soucoupes qui prennent position au-dessus des plus grandes villes du monde. Un informaticien new-yorkais décrypte les signaux émanant des etranges voyageurs. Ils ne sont pas du tout amicaux et ces extraterrestres se preparent a attaquer la Terre. |Jeff Goldblum (David Levinson)@Bill Pullman (Président Thomas J. Whitmore)@Will Smith (Capitaine Steven 'Eagle' Hiller)@Mary McDonnell (Marylin Whitmore)@Vivica A. Fox (Jasmine Dubrow Hiller)@Judd Hirsch (Julius Levinson)@Robert Loggia (General William M. Grey)@Margaret Colin (Constance 'Connie' Spano)@James Rebhorn (Secrétaire d'état à la défense Albert Nimzki)@Randy Quaid (Russell Casse)@James Duval (Miguel Casse)@Harry Connick Jr (Capitaine Jimmy 'Raven' Wilder)@Kiersten Warren (Tiffany)@Brent Spiner (Dr Brackish Okun)@Harvey Fierstein (Marty Gilbert)@Adam Baldwin (Major Mitchell)@Ross Bagley (Dylan)@Mae Whitman (Patricia Whitmore)@Bill Smitrovich (Capitaine Watson)@Devon Gummersall (Phillip)@Dan Lauria (Un officier)@James Wong (un technicien)@Jana Marie Hupp (un technicien)@Rance Howard (Chaplain)@Andrew Keegan (le vieux garçon)@||||||||||||@@
Indiana Jones and the Temple of Doom|Steven Spielberg|Aventure||3|américain|1984|118|Anglais||DX50|||DX50|721 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|93.7 Kbps|False|44.1 KHz|2|700||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Robert Watts|Willard Huyck Gloria Katz|Douglas Slocombe||CIC|Saga : Indiana Jones |L'achéologue aventurier Indiana Jones est de retour. Il poursuit une terrible secte qui a dérobé un joyau sacré dôté de pouvoirs fabuleux. Une chanteuse de cabaret et un époustouflant gamin l'aideront a affronter les dangers les plus insensés. |Harrison Ford (Docteur Henry 'Indiana' Jones)@Kate Capshaw (Willie Scott)@Jonathan Ke Quan (Demi-Lune)@Amrish Puri (Mola Ram)@Roshan Seth (Chattar Lal)@Philip Stone (Le Capitaine Blumburtt)@Dan Aykroyd (Weber)@Roy Chiao (Lao Che)@David Yip (Wu Han)@Ric Young (Kao kan)@Pat Roach (le chef des Thug)@Steven Spielberg (un touriste à l'aéroport)@George Lucas (un touriste à l'aéroport)@Frank Marshall (Un touriste à l'aéroport (non crédité))@Anthony Powell (Un missionnaire (non crédité))@D.R. Nanayakkara (Shaman)@Denavaka Hamine (Une villageoise)@Mellan Mitchell (Un garde du temple)@Nizwar Karanj (La victime sacrifiée)@Philip Tan (Le tueur à la mitraillette)@Tranganie Serasinghe (Une villageoise)@Michael Yama (Le co-pilote)@Akio Mitamura (Le pilote chinois)@Chua Kah Joo (Chen)@Dharmadasa Kuruppu (Le chef du village)@Stany De Silva (Sajnu)@Ruby De Mel (Une villageoise)@Dharshana Panangala (L'enfant mourrant)@Raj Singh (Le maharaja)@Kathleen Kennedy (une danseuse (non crédité))@||Secrets de tournage :
La saga continue...
Indiana Jones et le Temple maudit est le second volet de la saga Indiana Jones après Les Aventuriers de l'Arche perdue, réalisé trois ans auparavant. Steven Spielberg est de retour derrière la caméra alors qu'Harrison Ford endosse une nouvelle fois son costume d'intrépide archéologue.
Sharon Stone pressentie
L'actrice Sharon Stone était l'un des premiers choix de la production pour le rôle féminin principal d'Indiana Jones et le Temple maudit. C'est finalement Kate Capshaw qui fut choisie, et qui allait devenir sept ans plus tard... l'épouse de Steven Spielberg.
Des scènes d'un film à l'autre...
Certaines scènes d'Indiana Jones et le Temple maudit étaient initialement prévues pour figurer dans Les Aventuriers de l'Arche perdue, le premier volet de la saga. La scène de course de chariots dans la mine devait ainsi, à l'origine, être l'une des principales séquences du premier film.
De nombreux caméos
De nombreuses vedettes font une apparaition clin d'oeil dans Indiana Jones et le Temple maudit. Steven Spielberg et George Lucas eux-mêmes incarnent deux missionnaires. Le producteur Frank Marshall campe quant à lui un touriste, alors que le comédien Dan Aykroyd croise fugacement la route d'Indiana dans les couloirs de l'aéroport.
Une montagne en forme de symbole
A l'instar du premier volet de la saga, Indiana Jones et le Temple maudit débute par un plan de montagne similaire à celui du logo des studios Paramount Pictures.
Naissance d'un classement
Indiana Jones et le Temple maudit fut le premier long-métrage à se voir classer PG-13 par la Motion Picture Association of America (MPAA). En l'occurence, ce classement indique que certaines scènes du film peuvent choquer des enfants de moins de treize ans et que l'on conseille donc fortement à ceux-ci d'être accompagnés de leurs parents.
Un box-office juteux
Budgété à hauteur de 28 millions de dollars, Indiana Jones et le Temple maudit est largement rentré dans ses frais puisque le long-métrage à récolté 211 millions de dollars de recettes à travers le monde. En France, le second volet de la saga a enregistré plus de 5,6 millions d'entrées.
Référence a Star Wars
Le bar dans lequel l'action se déroule au début du film s'appelle le club Obi Wan, en référence au personnage culte de la saga Star Wars, qu'a réalisé George Lucas, producteur des Indiana Jones.
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Les contributeursCe film a reçu 1 contribution, pour les secrets de tournage, de: Miamsolo
Les contributions faites sur cette fiche sont mises à disposition sous un contrat Creative Commons.
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Raiders of the Lost Ark|Steven Spielberg|Aventure||4|américain|1981|110|Anglais||XVID|||XVID|773 Kbps|720x304|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Frank Marshall|Philip Kaufman Lawrence Kasdan George Lucas|Douglas Slocombe||CIC|Saga : Indiana Jones |1936. Parti à la recherche d'une idole sacrée en pleine jungle péruvienne, l'aventurier Indiana Jones échappe de justesse à une embuscade tendue par son plus coriace adversaire : le Français René Belloq.Revenu à la vie civile à son poste de professeur universitaire d'archéologie, il est mandaté par les services secrets et par son ami Marcus Brody, conservateur du National Museum de Washington, pour mettre la main sur le Médaillon de Râ, en possession de son ancienne amante Marion Ravenwood, désormais tenancière d'un bar au Tibet.Cet artefact égyptien serait en effet un premier pas sur le chemin de l'Arche d'Alliance, celle-là même où Moïse conserva les Dix Commandements. Une pièce historique aux pouvoir inimaginables dont Hitler cherche à s'emparer... |Harrison Ford (Docteur Henry 'Indiana' Jones)@Karen Allen (Marion Ravenwood)@Paul Freeman (René Belloq)@Denholm Elliott (Marcus Brody)@Ronald Lacey (Toht)@John Rhys-Davies (Sallah)@Alfred Molina (Sapito)@Anthony Higgins (Gobler)@Fred Sorenson (Jock)@Wolf Kahler (Dietrich)@George Harris (le capitaine Katanga)@Frank Marshall (le pilote d'avion)@Dennis Muren (l'espion nazi dans l'avion)@Pat Roach@Pat Roach (Le colosse allemand)@Michael Sheard (Le commandant du sous-marin)@John Rees (Un sergent)@Peter Diamond (Un soldat allemand (non crédité))@Nick Gillard (Un soldat allemand (non crédité))@Don Fellows (Colonel Musgrove)@Glenn Randall Jr. (Un mécanicien (non crédité))@Kiran Shah (Abu)@Rocky Taylor (Un soldat allemand (non crédité))@Matthew Scurfield (Un nazi)@Malcolm Weaver (Ratty Nepalese)@Ted Grossman (Le porteur péruvien)@Anthony Chinn (Mohan)@Terry Richards (L'homme au sabre)@Terry Leonard (Le conducteur du camion (non crédité))@Tony Vogel (Un capitaine)@Tutte Lemkow (Imam)@Bill Reimbold (Un bureaucrate)@Christopher Frederick (Otto)@Martin Kreidt (Un jeune soldat)@Eddie Tagoe (Le second du capitaine Katanga)@Steve Hanson (Un allemand)@Souad Messaoudi (Fayah)@William Hootkins (Major Eaton)@Vic Tablian (L'homme au singe/Barranca le guide)@||Secrets de tournage :
Danny DeVito aux portes de l'Arche...
Le choix initial de Steven Spielberg pour le rôle de Sallah s'était porté sur l'acteur Danny DeVito. Les deux hommes étaient d'ailleurs tombés d'accord et se montraient très enthousiastes sur leur collaboration à venir, mais l'engagement de DeVito sur une série télévisée l'empêcha de participer au projet. C'est finalement John Rhys-Davies qui obtint le rôle.
John Rhys-Davies, un pro de l'aventure
John Rhys-Davies a fait du récit d'aventure sa spécialité en apparaissant au générique de trois films emblématiques de ce genre cinématographique : Les Aventuriers de l'Arche perdue (1981), Allan Quatermain et les mines du roi Salomon (1985) et Indiana Jones et la dernière croisade (1989).
Le début d'une saga de légende
Les Aventuriers de l'Arche perdue est le volet initial de la saga Indiana Jones qui comporte deux autres épisodes : Indiana Jones et le Temple maudit (1984) et Indiana Jones et la Dernière Croisade (1989). Chaque film bénéficie de la même équipe : Steven Spielberg à la réalisation, Harrison Ford dans le rôle-titre et George Lucas à l'écriture et à la production.
Des refus célèbres
Plusieurs acteurs avant Harrison Ford se sont vus proposer le rôle d'Indiana Jones. Le comédien Nick Nolte a par exemple refusé de porter le chapeau du célèbre explorateur, tout comme Tom Selleck, personnellement engagé sur la série télévisée Magnum. Cette série a d'ailleurs parodié lors d'un épisode "Les Aventuriers...", dans lequel Tom Selleck reprenait le chapeau et le fouet.
Référence à Star Wars
Dans le film de Steven Spielberg, Les Aventuriers de l'Arche perdue, on trouve de multiples références à La Guerre des étoiles. Certains hiéroglyphes dans le puits des âmes sont à l'effigie de R2-D2 et C3PO, les deux droïdes, tandis que l'immatriculation de l'avion de Jock au début du film est OB-CPO, références directes à Obi-Wan Kenobi et C3PO. Mais il y en a d'autres...
Un tournage physique
Les blessures furent monnaie courante durant le tournage des Aventuriers de l'Arche perdue. En effet, toute l'équipe technique est tombée malade durant les prises de vues en Tunisie (sauf Steven Spielberg), et Harrison Ford a multiplié les égratignures, dont une blessure plus sérieuse aux côtes lorsqu'il a voulu assurer lui-même la cascade où Indiana Jones est tiré par un camion.
Un succès phénoménal
Face à l'énorme succès remporté par le film (environ 390 millions de dollars de recettes dans le monde entier, plus de 6 millions d'entrées en France), Les Aventuriers de l'Arche perdue a généré deux suites : le plus violent Indiana Jones et le Temple maudit en 1989 et Indiana Jones et la Dernière Croisade en 1991. Un quatrième épisode devrait voir le jour en 2005.
Une poursuite en Mercedes
Le camion qui est détourné par Harrison Ford dans Les Aventuriers de l'Arche perdue est un modèle Mercedes. Mais dans cette même scène de poursuite, on peut voir une Mercedes type 320 noire de 1936 originelle, qui était utilisé à l'époque par les policiers de la Wehrmacht, et qui a été entièrement restauré pour les besoins du film. C'est un collectionneur particulier qui a accepté de prêter ce modèle à la production.
Les lieux de tournage
Le tournage des Aventuriers de l'Arche perdue a emmené le casting à La Rochelle en France (pour les scènes dans les cavernes souterraines avec les sous-marins), puis dix moix dans les studios EMI-Elstree. Enfin toute l'équipe s'est retrouvé en Tunisie dans le désert, pour les scènes illustrant les fouilles archéologiques.
Les récompenses des Aventuriers
Les Aventuriers de l'Arche perdue s'est vu récompenser par quatre Oscars en 1982 : Meilleure Direction Artistique, Meilleurs Effets Visuels, Meilleur Montage, Meilleur Son. Steven Spielberg décrochait sa deuxième nomination à l'Oscar du Meilleur Réalisateur, tandis que la stauette du Meilleur Film où Les Aventuriers... était cité revenait à Les Chariots de feu. Le film a également été nommé au César du Meilleur Film Etranger.
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Indiana Jones and the Last Crusade|Steven Spielberg|Aventure||4|américain|1989|121|Anglais||DX50|||DX50|711 Kbps|720x304|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|713||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Robert Watts|George Lucas Menno Meyjes Jeffrey Boam Philip Kaufman|Douglas Slocombe||United International Pictures (UIP)|Saga : Indiana Jones |L'archéologue aventurier Indiana Jones se retrouve aux prises avec un maléfique milliardaire. Aux côtés de la cupide Elsa et de son père, il part à la recherche du Graal. |Harrison Ford (Docteur Henry 'Indiana' Jones)@Sean Connery (Professeur Henry Jones Sr.)@Denholm Elliott (Marcus Brody)@John Rhys-Davies (Sallah)@Julian Glover (Walter Donovan)@Alison Doody (Docteur Elsa Schneider)@River Phoenix (Le jeune Indiana Jones)@Michael Byrne (Vogel)@Kevork Malikyan (Kazim)@Robert Eddison (Le Chevalier)@Richard Young (Fedora)@Alexei Sayle (Sultan)@Pat Roach (Gestapo)@Michael Sheard (Adolf Hitler)@Ronald Lacey (Himmler (scène coupée))@Vernon Dobtcheff (Le majordome)@Alex Hyde-White (Henry Jones jeune)@Paul Maxwell (Panama Hat)@Vince Deadrick, Sr. (Rough rider)@Marc Miles (Le shériff)@Bradley Gregg (Roscoe)@Isla Blair (Mme Donovan)@Jeff O'Haco (Half Breed)@J.J. Hardy (Herman)@Eugene Lipinski (G-man)@David Murray (Un scout)@Nick Gillard (Le soldat assomé par le périscope (non crédité))@Nick Gillard (Le soldat assomé par le périscope (non crédité))@Billy Mitchell (Dr Mulbray)@Tip Tipping (Un pilote du tank (non crédité))@Suzanne Roquette (La réalisatrice (scène coupée))@Frederick Jaeger (Le vétéran de la première guerre mondiale (scène coupée))@Nicola Scott (Une femme officier au château autrichien)@Jerry Harte (Professeur Stanton)@George Malpas (Un homme dans le zeppelin)@Derek Lyons (Un soldat allemand (non crédité))@Ted Grossman (Le député shériff)@Paul Humpoletz (Un officier allemand)@Julie Eccles (Irène)@Stefan Kalipha (L'artilleur du tank)@Larry Sanders (Le chef scout)@Will Miles (Un scout)@Tim Hiser (Panama Hat jeune)@Steven Spielberg (un bandit (non crédité))@Steven Spielberg (un bandit (non crédité))@||Secrets de tournage :
Un box-office gagnant
D'un budget de 48 millions de dollars, Indiana Jones et la Dernière Croisade a rapporté près de 500 millions de dollars à travers le monde. En France, le long-métrage a enregistré plus de 6,2 millions d'entrées en 1988, un score légèrement inférieur à celui des Aventuriers de l'Arche perdue et qui le classa à l'époque juste derrière Le Cercle des poètes disparus et Rain Man.
Un parfum de James Bond...
Steven Spielberg a toujours vu le personnage d'Indiana Jones comme un James Bond en plus aventurier. Doit-on alors n'y voir que le fruit du hasard si Indiana Jones et la Dernière Croisade compte à son générique une incarnation de James Bond (Sean Connery), un allié de James Bond (John Rhys-Davies), une James Bond girl (Alison Doody) et deux méchants de la saga 007 (Julian Glover, Stefan Kalipha et Pat Roach).
Retrouvailles
Indiana Jones et la Dernière Croisade marque les retrouvailles d'Harrison Ford avec le jeune River Phoenix trois ans après Mosquito Coast, où il incarnait son père.
Un destin brisé...
Indiana Jones et la Dernière Croisade compte à son générique le jeune River Phoenix, qui incarne le personnage d'Indiana Jones à l'âge adolescent. Révélé dans Stand by me et consacré dans le My Own Private Idaho de Gus Van Sant, le jeune Américain, très vite comparé à James Dean, décède à 23 ans d'une overdose, laissant derrière lui une carrière aussi éphémère que culte.
Un scénario rejeté
Le réalisateur et scénariste Chris Columbus (Maman, j'ai raté l'avion, Harry Potter à l'école des sorciers, Harry Potter et la chambre des secrets) rédigea un script pour Indiana Jones et la Dernière Croisade. Un script qui voyait Indiana Jones voyager en Afrique et qui fut rejeté par la production en raison de trop nombreux stéréotypes négatifs liés au Continent.
John Rhys-Davies, un pro de l'aventure
John Rhys-Davies a fait du récit d'aventure sa spécialité en apparaissant au générique de trois films emblématiques de ce genre cinématographique : Les Aventuriers de l'Arche perdue (1981), Allan Quatermain et les mines du roi Salomon (1985) et Indiana Jones et la dernière croisade (1989).
Une visite de prestige
Le tournage d'Indiana Jones et la Dernière Croisade s'est un temps arrêté en Jordanie. La famille royale du pays a profité de l'occasion pour effectuer une petite visite des plateaux.
Et de trois pour Indy...
Indiana Jones et la Dernière Croisade est le troisième volet de la saga Indiana Jones, après Les Aventuriers de l'Arche perdue (1981) et Indiana Jones et le Temple maudit (1984). Une nouvelle fois, Steven Spielberg est de retour derrière la caméra alors qu'Harrison Ford rempile dans le rôle de l'intrépide archéologue.
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Indiana Jones and the Kingdom of the Crystal Skull|Steven Spielberg|Aventure|Film pour enfants à partir de 10 ans|2|américain|2008|117|Anglais||XVID|||XVID|730 Kbps|720x294|MPEG-2 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|24.0 KHz|2|701||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Frank Marshall|David Koepp|Janusz Kaminski||Paramount Pictures|Saga : Indiana Jones |La nouvelle aventure d'Indiana Jones débute dans un désert du sud-ouest des Etats-Unis. Nous sommes en 1957, en pleine Guerre Froide. Indy et son copain Mac viennent tout juste d'échapper à une bande d'agents soviétiques à la recherche d'une mystérieuse relique surgie du fond des temps. De retour au Marshall College, le Professeur Jones apprend une très mauvaise nouvelle : ses récentes activités l'ont rendu suspect aux yeux du gouvernement américain. Le doyen Stanforth, qui est aussi un proche ami, se voit contraint de le licencier. A la sortie de la ville, Indiana fait la connaissance d'un jeune motard rebelle, Mutt, qui lui fait une proposition inattendue. En échange de son aide, il le mettra sur la piste du Crâne de Cristal d'Akator, relique mystérieuse qui suscite depuis des siècles autant de fascination que de craintes. Ce serait à coup sûr la plus belle trouvaille de l'histoire de l'archéologie. Indy et Mutt font route vers le Pérou, terre de mystères et de superstitions, où tant d'explorateurs ont trouvé la mort ou sombré dans la folie, à la recherche d'hypothétiques et insaisissables trésors. Mais ils réalisent très vite qu'ils ne sont pas seuls dans leur quête : les agents soviétiques sont eux aussi à la recherche du Crâne de Cristal, car il est dit que celui qui possède le Crâne et en déchiffre les énigmes s'assure du même coup le contrôle absolu de l'univers. Le chef de cette bande est la cruelle et somptueuse Irina Spalko. Indy n'aura jamais d'ennemie plus implacable... Indy et Mutt réuissiront-ils à semer leurs poursuivants, à déjouer les pièges de leurs faux amis et surtout à éviter que le Crâne de Cristal ne tombe entre les mains avides d'Irina et ses sinistres sbires ? |Harrison Ford (Docteur Henry 'Indiana' Jones Jr.)@Cate Blanchett (Irina Spalko)@Karen Allen (Marion Ravenwood)@Shia LaBeouf (Mutt Williams)@Ray Winstone ("Mac" George Michale)@John Hurt (Le Professeur Oxley)@Jim Broadbent (Le doyen Charles Stanforth)@Igor JiJikine (Dovchenko)@Dimitri Diatchenko (un agent russe)@Ilia Volok (un agent russe)@Emmanuel Todorov (un soldat russe)@Pavel Lychnikoff (un soldat russe)@Andrew Divoff (un soldat russe)@Veniamin Manzyuk (un soldat russe)@Alan Dale (le Général Ross)@Joel Stoffer (Taylor)@Neil Flynn (Smith)@VJ Foster (Le pasteur)@Chet Hanks (l'étudiant à la bibliothèque)@Brian Knutson (un facteur)@Dean L. Grimes (un facteur)@Sasha Spielberg (Slugger)@Nicole Luther (la serveuse)@Sophia Stewart (la fille à la cafétéria)@Christopher Todd (un étudiant chahuteur)@Dennis Nusbaum (un étudiant chahuteur)@T. Ryan Mooney (un ado)@Audi Resendez (une ado)@Helena Barrett (une ado)@Carlos Linares (le détenu bavard)@Gustavo Hernandez (le détenu qui hurle)@Maria Luisa Minelli (l'infirmière du sanatorium)@Nito Larioza (le guerrier du cimetière)@Ernie Reyes Jr (le guerrier du cimetière)@John Valera (le combattant dans la caverne)@Kevin Collins (II) (le PM au poste de garde)@Robert Baker (le sergent de la PM)@||Secrets de tournage :
Note d'intention
Steven Spielberg : "Harrison m'a appelé un jour et m'a dit : 'Pourquoi ne pas faire un autre de ces films ? Le public est demandeur'. Il n'a pas lâché prise, il a appelé George, l'a amené à réfléchir à sa proposition. Alors, George m'a appelé pour me demander si je partageais cette envie. C'est à Harrison que revient le mérite d'avoir lancé en premier cette idée et à George celui de m'avoir mis en condition de tourner au moins uen de ces histoires. (...) Nous avons inventé Indiana Jones mais il appartient désormais à tout le monde. Nous sommes devenus ses gardiens. Notre travail n'a pas consisté seulement à satisfaire les attentes de ceux qui ont grandi avec lui, mais aussi à révéler Indiana Jones à une nouvelle génération. Ce film est dédié aux fans." Et si les méchants ont changé, "la tradition Indiana Jones a été respectée : vous aurez droit aux cartes du monde, au petit avion circulant autour du globe, à tous ces symboles que nous aimons et que nous ne sacrifierions pour rien au monde. (...) Voir Harrison faire son entrée sur le plateau, saisir son fouet, le faire claquer et l'enrouler en un éclair sur la poitrine d'un méchant est une expérience grisante. Sa rapidité m'a fasciné. A revoir son vieux sac à dos et tous ses accessoires, j'ai ressenti plus que de la nostalgie. J'ai réalisé que nous étions en train de faire revivre à l'écran ce personnage et tout ce qu'il véhicule, d'offrir tout cela à un public qui le connaît depuis toujours et à un autre, qui s'apprête à le découvrir".
Indy - Episode IV
Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal est le quatrième volet des aventures du célèbre archéologue, après Les Aventuriers de l'Arche perdue (1981), Indiana Jones et le Temple maudit (1984) et Indiana Jones et la Dernière Croisade (1989). Parallèlement, une série dérivée de la franchise a vu le jour (Les Aventures du jeune Indiana Jones, 1992-1993), ainsi que plusieurs jeux vidéo (Indiana Jones and The Fate of Atlantis, Indiana Jones et la Machine Infernale, Indiana Jones : Le Tombeau de l'Empereur et LEGO Indiana Jones). A l'origine, Steven Spielberg et George Lucas envisageaient de produire cinq films autour de l'aventurier. Depuis, Georges Lucas semble plutôt voir ce film comme un nouveau départ, un peu à la manière de Star wars : épisode I - La Menace fantôme qui avait lancé la nouvelle trilogie Star Wars. Des rumeurs abondent dans ce sens, certains acteurs ayant apparemment signé pour trois nouveaux films autour du célèbre aventurier. Harrison Ford lui-même n'exclut pas un cinquième film.
19 ans après...
Il aura fallu deux décennies pour voir Indiana Jones reprendre du service. Absent du grand écran depuis La Dernière Croisade en 1989, l'archéologue a vu son retour au cinéma différé maintes fois, en raison notamment des emplois du temps surchargés de Steven Spielberg, Georges Lucas et Harrison Ford (le projet est évoqué depuis... 1997 !), mais également d'un scénario remanié à de nombreuses reprises. Se sont ainsi succédés à l'écriture Jeb Stuart, Jeffrey Boam, M. Night Shyamalan, Stephen Gaghan, Tom Stoppard, Frank Darabont, Jeff Nathanson et finalement David Koepp.
Titres
Avant que George Lucas et Steven Spielberg n'optent pour Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal (Indiana Jones and the Kingdom of the Crystal Skull), plusieurs titres ont été évoqués (et enregistrés auprès de la Motion Pictures Association of America) : Indiana Jones and the City of Gods, Indiana Jones and the Destroyer of Worlds, Indiana Jones and the Fourth Corner of the Earth, Indiana Jones and the Lost City of Gold ou encore Indiana Jones and the Quest for the Covenant.
La légende des crânes de cristal
La légende des crânes de cristal divise la communauté scientifique et les adeptes de paranormal depuis presque un siècle. Des blocs de cristal ou de quartz, taillés avec une extrème précision en forme de crânes humains, ont été retrouvés un peu partout dans le monde au début du XXème siècle, notamment dans les ruines d'un temple de la cité maya de Lubaantun. Problème : les expertises faites à l'époque montrent que les Aztèques ne disposaient pas des outils pour tailler avec tant de précision ces crânes dans des matières si dures. La Crystal Skulls Society International, créée en 1945, se lance alors à la poursuite de tous les crânes : on en retrouve un à Paris, un à Londres, exposés dans des musées ou dans des collections privées... De récentes expertises ont depuis démontré que ces crânes seraient des faux, créés au début du siècle. Mais la légende est lancée : les crânes des cristal auraient été donnés aux anciens peuples par les Atlantes, voire par une civilisation extraterrestre. Au nombre de 12, les crânes seront rassemblés lorsque l'Humanité sera prête. Quand ils seront réunis, l'Empire Aztèque se reconstituera... et Indiana Jones sera de retour !
Une attraction "visionnaire" et des romans prophétiques
Une attraction baptisée "Indiana Jones Adventure: Temple of the Crystal Skull" avait été inaugurée en 2001 au parc Tokyo DisneySea. Par ailleurs, l'auteur Max McCoy avait évoqué la légende des crânes de cristal dans les aventures littéraires de l'archéologue : Indiana Jones and the Philosopher's Stone (1995), Indiana Jones and the Dinosaur Eggs (1996), Indiana Jones and the Hollow Earth (1997) et Indiana Jones and the Secret of the Sphinx (1999). Enfin, George Lucas avait initialement prévu de traiter de ces artefacts dans la troisième saison de la série Les Aventures du jeune Indiana Jones... Saison qui ne verra jamais le jour.
Bienvenue dans les années 50
Alors que certaines rumeurs annonçaient une quête autour de l'Atlantide ou du Jardin d'Eden, la révélation du titre officiel du film, Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal, a définitivement validé l'orientation de ce nouvel opus vers la science-fiction. Ainsi, comme ils avaient pu le faire dans les trois premiers épisodes -hommages aux serials des années 30-, George Lucas et Steven Spielberg ont souhaité orienter cette quatrième aventure cinématographique vers l'hommage aux bandes SF des années 50. Le titre d'un premier scénario (Indiana Jones and the Saucer Men From Mars), la légende des crânes de cristal et l'apparition furtive d'une inscription "Roswell" dans la première bande-annonce du film laissent d'ailleurs planer l'ombre de petits hommes verts sur le film... L'Arche d'Alliance pourrait également être évoquée, dans la mesure où on retrouve au générique Marion Ravenwood (Karen Allen), héroïne des Aventuriers de l'Arche perdue... auquel fait explicitement référence l'affiche teaser de ce nouvel opus.
Après les Nazis, les Russes
Indy a vieilli, et l'histoire du Royaume du Crâne de Cristal se déroulant durant les années 50, il convenanit de faire évoluer ses ennemis. Exit, donc, les soldats Nazis. Et bienvenue, Guerre Froide oblige, à l'Armée Russe, emmenée par Irina Spalko, alias Cate Blanchett, fan de la saga devant l'éternel. Selon Steven Spielberg, son personnage de méchant préféré parmi tous ceux qui ont croisé la route d'Indy... "Spalko est une femme d'acier que rien n'affecte, une mécanique de précision que rien n'arrête", explique Cate Blanchett. "Jamais un cheveu de travers, pas la moindre trace de boue sur ses bottes après avoir pataugé des heures durant dans la gadoue. Une arme fatale..."
Sa place n'est pas dans un musée
Malgré les critiques et moqueries dûes à son âge "avancé", Harrison Ford s'est soumis à un entraînement (trois heures de gymnastique / jour) et un régime très stricts pour revenir en forme. Ainsi, il a pu réaliser lui-même la plupart de ses cascades, comme au bon vieux temps. Non sans impressionner Steven Spielberg et son équipe.
L'homme au chapeau
Indiana Jones est clairement indissociable de son fouet et de son chapeau fedora. "C'est parfois très difficile de garder le chapeau", explique Harrison Ford sur le site officiel du film. "Mais nous devons avoir une bonne raison pour faire tomber le chapeau : un gag ou un élément narratif important. Mais sinon, Indy ne perd pas son chapeau. Et si je perds le chapeau, nous arrêtons la scène et nous recommençons..." "Nous n'avons pas vraiment modernisé le costume d'Indy", explique le costumier Bernie Pollack. "Si vous regardez les trois précédents films, vous ne verrez quasiment aucune différence au niveau de son look. Du coup, j'avais énormément de pressions vis à vis de George Lucas, Steven Spielberg et Harrison Ford pour parvenir à recréer cette icône. Au final, j'ai travaillé avec Steven Delk, qui a réussi à créer le chapeau parfait, avec le design et le poids parfaits. Quand nous avons fait des screen-tests, Steven était ravi !"
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Home Sweet Home
Les fans s'amuseront à scruter avec attention la demeure d'Indiana Jones dans ce film : le chef-décorateur Guy Dyas et son équipe ont pris le soin d'y placer de nombreux artefacts suggérant les multiples aventures vécues par l'archélogue depuis le troisième film. Ils pourront également y voir quelques souvenirs des précédents opus, dont des clichés de ceux qui ont croisé Indy dans ses aventures tels Willie Scott (Kate Capshaw), Sallah (John Rhys-Davies), Marcus Brody (Denholm Elliott) ou bien évidemment le père du héros, Henry Jones Sr. (Sean Connery).
Steven au téléphone
C'est Steven Spielberg qui a annoncé en personne à Karen Allen ses retrouvailles avec Indy. La comédienne ignorait pourtant l'objet de l'appel du cinéaste. Et ce dernier de lui lancer : "C'est officiel. On tourne Indy 4 ! Et devine quoi ? Tu es dedans !"
Un fils pour Indy ?
Le nouveau sidekick d'Indiana Jones dans Le Royaume du Crâne de Cristal n'est autre que Shia LaBeouf, star montante repérée par Steven Spielberg sur Transformers, dont il était l'un des producteurs. Forcément emballé à l'idée de rejoindre cette franchise de légende, le jeune acteur a signé sans même lire le scénario. Il s'est soumis à un entraînement drastique au sabre et au couteau à cran d'arrêt, tout en se musclant pour gagner une petite dizaine de kilos. Si sa filiation éventuelle avec Indy ne sera pas révélée avant la sortie du film, une autre a été dévoilée en même temps que le nom de son personnage : Mutt Williams, hommage au compositeur John Williams qui rempile à la baguette.
"Mutt est un petit gars qui a manqué d'un bon encadrement", explique Shia LaBeouf. "Il a déserté l'école et s'est pris de passion pour les motos et la mécanique. N'ayant jamais vraiment pu communiquer avec les autres, il s'est replié sur lui-même et parle à peine. Entre adolescence et âge adulte, il s'est fabriqué un personnage qui en apparence est très loin de ce qu'il est raiment. (...) Sa quête à lui est de se recréer une famille. D'abord avec Indy, puis avec tous ceux qu'ils rencontreront ensemble et qui resserreront leurs liens. Dans cette atmosphère de folie, chaque coup de poing renforce leur complicité. (...) J'ai su dès la siganture du contrat que j'allais vivre quelques chose d'exceptionnel ! Mais ni les serpents, ni les motos ni les sabres ne m'ont autant impressionné que ma première rencontre avec Harrison en Indiana Jones. Il s'est posé sur le tarmac de la base où nous répétions, est sorti de l'hélico, a fait cinq ou six pas et s'est retourné pour prendre son fouet. A cet instant, je n'ai plus vu Harrison, mais Indiana Jones !" Pour préparer son rôle, Steven Spielberg lui a demandé de visionner Graine de violence, La Fureur de vivre et L'Equipée sauvage.
Blessure
Après avoir survécu sans heurts aux androïdes de I, Robot, aux démons de Constantine et aux robots géants de Transformers, Shia LaBeouf s'est blessé pour la toute première fois de sa carrière sur Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal. Malgré un problème musculaire dans la région de la hanche, il poursuivit le tournage, provoquant ainsi de terribles douleurs au niveau de l'aine.
Le fille de Spielberg au générique
Agée de 17 ans au moment du tournage, Sasha Spielberg, fille de Steven Spielberg et Kate Capshaw, fait un caméo dans le film. Elle était auparavant apparue dans Le Terminal et Munich.
Les souvenirs de John Hurt
Nouveau venu dans la saga, John Hurt évoque le tournage du film : "L'expérience Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal a été géniale. Ne serait-ce que Steven Spielberg . Quand vous bossez avec lui, il met en place une telle atmosphère, c'est tellement sympa et enrichissant, que vous avez l'impression d'avoir travaillé avec lui une dizaine de fois auparavant. Or, je n'avais jamais travaillé avec lui, je ne l'avais même jamais rencontré ! Il était tel avec moi que j'avais l'impression de le connaître depuis des années. Et quel réalisateur ! Qu'est-ce qu'on peut dire de plus sur lui ? C'est l'un des tous meilleurs. Sinon, j'adore Harrison Ford. Il était l'un des capitaines du navire. Vous savez, il connaît la saga mieux que n'importe qui et il savait tous nous mettre en confiance. Il est drôle, il est humble, il est charmeur, très classe, et puis il a cette qualité rare de savoir rire de lui-même. Et puis le petit Shia LaBeouf est adorable, très talentueux. Ce tournage était vraiment une expérience très agréable. (...) Nous étions tous comme des gamins sur le tournage ! Et Spielberg était le gamin en chef, il prenait tout avec un enthousiasme de débutant, un enthousiasme très communicatif. C'était vraiment une super expérience, un privilège de faire partie d'une telle aventure. Je suis très flatté que George Lucas et Steven Spielberg aient fait appel à moi !"
Sans Sean Connery
Longtemps espéré par les fans, Sean Connery a finalement décliné l'invitation du tandem Lucas / Spielberg pour reprendre son rôle de Henry Jones Sr. dans cette quatrième aventure. "On m'a posé la question si souvent que j'ai pensé qu'il serait préférable de faire une déclaration officielle. J'y ai longtemps réfléchi, et si quelque chose avait pu me tirer de ma retraite, c'était bien un film d'Indiana Jones. J'adore travailler avec Steven Spielberg et George Lucas, et il va sans dire que c'est un honneur d'avoir Harrison Ford pour fils. Mais finalement, je trouve quand même que la retraite est quelque chose de vachement plus marrant ! J'ai cependant un petit conseil à donner à Junior : demande à ce que les créatures soient numérisées, que les falaises soient petites, et pour l'amour de Dieu, garde ce fouet sur toi à tout moment au cas où tu aies besoin de t'échapper des griffes du coordinateur de cascades ! C'est un casting remarquable, et je ne peux que souhaiter bonne chance à tout le monde ! Je vous retrouve le 22 mai 2008 au cinéma !".
Des absents de marque
Retenu sur le tournage de La Momie 3, le coordinateur des cascades Vic Armstrong, à l'oeuvre sur les trois premières aventures d'Indy, n'a pas pu être de cet Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal. John Rhys-Davies, interprète de l'inoubliable Sallah, n'est pas non plus du voyage. Tout comme Kate Capshaw (Willie Scott), Jonathan Ke Quan (Demi-Lune) ou le regretté Denholm Elliott (Marcus Brody). Quant à Pat Roach, le seul acteur (à l'exception d'Harrison Ford) à avoir été des trois précédents opus, il n'est pas non plus de ce nouveau film : il s'est éteint en 2004.
Rumeurs de casting
De nombreux noms prestigieux ont été avancés au fil de la longue gestation du projet : Sandra Bullock, Michelle Yeoh, Calista Flockhart ou Virginia Madsen en "Jones Girl", Natalie Portman en fille d'Indy ou encore Kevin Costner en frère d'Harrison Ford. Steven Spielberg avait également annoncé en 2002 le retour du personnage de Willie Scott (Indiana Jones et le Temple maudit), campé par son épouse à la ville Kate Capshaw.
Leur place est dans un musée
Refusant les orientations numériques de son ami George Lucas, Steven Spielberg a souhaité tourner cette nouvelle aventure comme à l'époque des trois premiers films : effets spéciaux en plateau, cascades "à l'ancienne" et le moins d'images de synthèse possibles (un peu plus de 200 plans, confiés à Pablo Helman et les équipes d'ILM). Remplaçant le vétéran Douglas Slocombe, parti à la retraite, Janusz Kaminski, directeur-photo attitré de Spielberg depuis La Liste de Schindler, a par exemple reçu comme consigne de "copier" le style des trois précédents opus et de mettre de côté sa touche artitique le temps d'un film. Le monteur Michael Kahn a, lui, travaillé sur une ancienne Moviola. Quant à Spielberg, il a fait en sorte de retrouver la "fraîcheur" de ses débuts. Enfin, selon les rumeurs, le film ne sera pas projeté en salles en numérique, mais uniquement sur des projecteurs 35mm. A l'ancienne, quoi...
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Tau man ji D|Andrew Lau Alan Mak|Action||3|chinois|2004|104|Anglais||XviD|||XVID|791 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|133 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Andrew Lau|Felix Chong Shuichi Shigeno|Yiu-Fai Lai||||Takumi, un jeune étudiant, livre chaque matin, avant d'aller en cours, du tofu pour l'entreprise de son père. Lors de ses livraison matinales il dévale les routes du Mont Akina à toute vitesse à bord de sa voiture, une Toyota AE86 blanche et noir. Lors d'une de ses livraisons, il croise la route d'un street racer confirmé qu'il bat avec une grande facilité. Dès lors, les défis de professionnels et d'amateurs du drift lui sont lancés. Le jeune Takumi va devoir se confronter à leurs talents et les vaincre pour s'affirmer comme le meilleur conducteur de la ville ... |Jay Chou (Takumi Fujiwara)@Shawn Yue (Takeshi Nakazato)@Edison Chen (Ryousuke Takahashi)@Anthony Wong Chau-Sang (Bunta Fujiwara)@Chapman To (Itsuki Tachibana)@Tsuyoshi Abe (Kenji)@Anne Suzuki (Natsuki Mogi)@Kenny Bee (Yuuichi Tachibana)@Liu Keng Hung (Seiji Iwaki)@Jordan Chan (Kyouichi Sudou)@Kiyohiko Ueki (Iketani)@Kazuyuki Tsumura (Monsieur X)@Chie Tanaka (Miya)@||||||||||||@@
Insomnia|Christopher Nolan|Policier||3|américain|2002|118|Anglais||DIVX|||DIVX|669 Kbps|512x344|MPEG-1 Audio layer 3|131 Kbps|False|48.0 KHz|2|687||||23.976|08/08/2009 00:00:00|Broderick Johnson Andrew A. Kosove Edward McDonnell Paul Junger Witt|Hillary Seitz Erik Skjoldbjaerg Nikolaj Frobenius|Wally Pfister||Warner Bros.||Will Dormer, un policier expérimenté et désabusé, est envoyé en Alaska pour enquêter sur le meurtre sordide d'une adolescente. Lui et ses hommes montent une embuscade et repèrent le tueur, mais celui-ci parvient à s'enfuir. Will le prend en chasse mais le perd de vue dans l'opaque brouillard. Il voit une ombre qui pointe une arme à feu et tire. Lorsqu'il s'approche du corps, il découvre qu'il vient de tuer Hap, son partenaire. Instinctivement, il prend le pistolet qu'a auparavant laissé tomber le tueur dans sa fuite et le place près de Hap pour dissimuler sa culpabilité. Walter Finch, le meurtrier, a vu faire Will. Il le menace de le dénoncer s'il ne ferme pas rapidement le dossier en accusant l'ancien petit ami de la victime d'être responsable des deux meurtres. Will ne peut laisser Walter s'en tirer aussi facilement. Cependant, l'absence de sommeil l'empêche d'avoir les idées claires. |Al Pacino (Will Dormer)@Robin Williams (Walter Finch)@Hilary Swank (Ellie Burr)@Maura Tierney (Rachel)@Martin Donavan (Hap Eckhart)@Nicky Katt (Fred Duggar )@Paul Dooley (Charles Nyback )@Jonathan Jackson (Randy Stetz )@Katharine Isabelle (Tanya Francke )@Jay Brazeau (Francis)@Larry Holden (Farrell)@Lorne Cardinal (Rich)@Paula Shaw (Coroner)@Crystal Lowe (Kay Connell)@Tasha Simms (Mme Connell)@Maura Tierney (Rachel Clement)@Jonathan Jackson (Randy Stetz)@Katharine Isabelle (Tanya Francke)@Kerry Sandomirsky (Trish Eckhart)@Chris Gauthier (L'officier)@Ian Tracey (Warfield (voix))@Kate Robbins (La femme sur la route)@Emily Perkins (La fille aux funérailles)@Dean Wray (Le contrôleur)@||Secrets de tournage :
Un flic différent pour Al Pacino
Al Pacino, grand habitué des rôles de policier, déclare à propos du personnage de Will Dormer : "Will Dormer ne ressemble à aucun de mes personnages antérieurs. C'est un romantique, un flic très différent de ceux que j'ai eu l'occasion de jouer. Mais, en vérité, on retrouve chez les policiers la même diversité que dans le reste de la population, et j'espère bien avoir fait de Frank Serpico ou du Vincent Hanna de Heat des personnages distincts."
Des méthodes de travail différentes
Al Pacino et Robin Williams ont des approches radicalement différentes du métier d'acteur. Ce dernier résume : "Ma rencontre avec Al, c'est "Monsieur Méthode" contre "Monsieur N'importe Quoi" !".
Christopher Nolan a pu faire cette constatation : "Robin s'attarde volontiers sur le plateau et aime à faire rire l'équipe, alors qu'Al se tient à l'écart, va se préparer dans son coin et revient fin prêt. Mais ce qui me frappe chez ces deux grands acteurs, c'est leur capacité à se renvoyer la balle, à interagir de façon aussi constructive à partir de méthodes de travail radicalement différentes."
Rôle inhabituel pour Robin Williams
Après sa prestation dans Photo obsession, l'acteur comique Robin Williams incarne à nouveau un personnage ambigu, voire machiavélique. Ce dernier confie : "C'est passionnant d'interpréter un homme aussi méprisable que Walter Finch, qui vous incite à explorer les zones les plus obscures de notre personnalité : la séduction du mal ou sa banalité par exemple."
Le producteur Andrew A. Kosove explique son choix : "Bien qu'on considère traditionnellement Robin Williams comme une vedette comique, nous avons toujours aimé ses compositions dans des films comme Le Cercle des poètes disparus ou Will hunting. Nous avons pensé qu'il serait fascinant dans le rôle de ce tueur lisse et impénétrable."
Les lieux de tournage
Port Alberni, sur Vancouver Island, fut choisi pour représenter la ville fictive d'Unkmuit, où réside Walter Finch. C'est là que fut tournée la scène de poursuite entre Finch et Dormer sur un immense train de rondins.
La poursuite dans le brouillard constitua elle aussi un redoutable challenge technique. La production sélectionna pour cet épisode-clé un îlot sauvage au relief accidenté, proche de Vancouver et connu sous le nom d'Indian Arm.
Impression d'une lumière obsédante
Le chef opérateur Wally Pfister et Christopher Nolan voulaient communiquer l'impression d'une lumière obsédante, qui s'immisce partout et renforce le sentiment de danger et de culpabilité. Wally Pfister déclare : "La lumière occupe une telle place dans l'histoire et l'évolution de Will que nous la considérions comme un personnage en soi. C'était passionnant de l'utiliser de cette façon, en jouant à la fois sur sa présence concrète et son rôle symbolique."
Le thème de la lumière se matérialisa également dans la conception des décors. Le chef décorateur Nathan Crowley a conçu des intérieurs très sombres, offrant un maximum de contraste avec la lumière du jour, intense et omniprésente. Ce dernier a opté pour une palette sombre et peint les décors à l'aide d'une peinture émail, qui renvoyait la lumière sur les murs et dans les angles.
Une caméra "collante"
L'objectif commun à Christopher Nolan et son chef opérateur Wally Pfister fut de capter la spectaculaire beauté de l'Alaska, tout en restant au plus près des personnages. Wally Pfister déclare : "Nous avons créé ce sentiment d'intimité en collant au personnage principal, comme nous l'avions déjà fait sur Memento. La caméra ne quitte jamais Will, soit qu'elle le précède en travelling, soit qu'elle se tienne juste derrière lui pour nous faire partager son point de vue. De sorte que le spectateur explore avec Will ce payasage déroutant et ressent de la même façon que lui l'intrusion répétée du soleil dans ses nuits sans sommeil."
Un spécialiste des enquêtes tortueuses
Réalisateur de Insomnia, Christopher Nolan semble se délecter des enquêtes tortueuses comme celle qui obsède Al Pacino au fin fond de l'Alaska. Dès son premier long métrage, Following, le suiveur, le cinéaste développe une intrigue complexe autour d'un jeune homme dont la passion est de suivre les inconnus. Dans Memento, c'est au tour de Guy Pearce de perdre ses repères dans une enquête à contre-sens.
Présenté à Deauville
Insomnia est présenté en avant-première au 28e Festival du cinéma américain de Deauville, en septembre 2002.
Un original norvégien
Signé Christopher Nolan, Insomnia est le remake américain du film éponyme réalisé en 1997 par le Norvégien Erik Skjoldbjaerg, avec Stellan Skarsgard dans le rôle principal.
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Inspector Gadget|David Kellogg|Aventure||2|américain|1999|75|||DIV3|||DIV3|873 Kbps|352x208|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|543||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Roger Birnbaum Andy Heyward Jordan Kerner|Kerry Ehrin Zak Penn Dana Olsen|Adam Greenberg||GBVI|Saga : Inspecteur Gadget |John Brown, vigile aux laboratoires Bradford, rêve de devenir un grand détective pour séduire celle qu'il aime en secret, Brenda Bradford. L'occasion se présente quand, alors que le professeur et sa fille mettent au point leur programme top secret de cyber-policier, le méchant Sanford Scolex organise un cambriolage du laboratoire. Au cours de cette effraction particulièrement violente, le professeur est tué tandis que John Brown fait preuve d'héroïsme. Pour le récompenser, Brenda décide de lui appliquer son programme scientifique. |Rupert Everett (Sanford Scolex/Dr Claw)@Matthew Broderick (Officier John Brown/ Inspecteur Gadget)@Dabney Coleman (Chef Quimby)@Michelle Trachtenberg (Penny)@Andy Dick (Kramer)@Joely Fisher (Dr Brenda Bradford)@Cheri Oteri (Maire Wilson)@D.L. Hughley@Rene Auberjonois@||||||||||||@@
Inspector Gadget 2 (V)|Alex Zamm|Comédie||1||2003|88|Français, Anglais, Néerlandais, Hébreu||XVID|||XVID|966 Kbps|576x352|MPEG-1 Audio layer 3|131 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|27/08/2009 00:00:00|Peter Green Charles Hirschhorn|Alex Zamm William Robertson|||Walt Disney Pictures|Saga : Inspecteur Gadget |Le célèbre inspecteur se retrouve face à une nouvelle "Inspectrice Gadget", version féminine et concurrente du policier bionique et gaffeur. Tous deux doivent empêcher Claw de s'emparer d'un laser aux pouvoirs terribles |French Stewart (Inspecteur Gadget)@Elaine Hendrix (G2)@||||||||||||@@
Interceptors|Phillip J. Roth|Science-fiction|||Etats-unis|1999|84|Région 1 (||DX50|||DX50|694 Kbps|640x480|MPEG-1 Audio layer 3|320 Kbps|False|48.0 KHz|2|617||||25.000|06/08/2009 00:00:00|||||||Un satellite d'alarme repère un objet approchant de la terre à vive allure. Le point d'impact de cet objet est une ville de la côte nord du pacifique. Sous couvert d'une rumeur de contamination, intervienne la Force d'Interception, une équipe de soldats spécialement formés pour lutter contre les forces extraterrestres. Arrivés sur les lieux, ils sont confrontés à des extraterrestres à forme reptilienne qui prennent une apparence humaine. Les interceptors ont moins de 24 heures pour éliminer ces créatures, avant que les bombes ne soient lachées... |Olivier Gruner@Brad Dourif@Ernie Hudson@William Zabka@Glenn Plummer@||||||||||||@@
Into the Sun||Action||3|américain|2005|92|Anglais||XviD|||XVID|928 Kbps|640x320|MPEG-1 Audio layer 3|124 Kbps|False|48.0 KHz|2|705||||25.000|02/08/2009 00:00:00|||||||Un homme est confronté à la mafia japonaise pour venir en aide à la fille de l'un de ses amis. |Steven Seagal@||||||||||||@@
Intolerable Cruelty|Joel Coen|Comédie||2|américain|2003|99|Français||XviD|||XVID|836 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|695||||23.976|27/08/2009 00:00:00|Brian Grazer James Jacks Sean Daniel Ethan Coen|Ethan Coen Joel Coen Robert Ramsey Matthew Stone John Romano|Roger Deakins||Universal Pictures||Miles Massey est l'avocat que l'on s'arrache quand on veut divorcer. Sa renommée et son train de vie témoignent de sa remarquable réussite. Mais Miles s'ennuie. Il ne va pas tarder à trouver un cas à sa mesure.
Marylin Rexroth, future ex-femme d'un richissime investisseur immobilier pris en flagrant délit d'adultère, comptait profiter de la vie et d'une belle pension. Mais Miles réussit à dispenser son client du moindre dédommagement.
Décidée à se venger, la jeune femme épouse aussitôt un magnat du pétrole. Entre Miles et Marylin commence alors un match où tous les coups sont permis. |George Clooney (Miles Massey)@Catherine Zeta-Jones (Marylin Rexroth)@Julia Duffy (Sara Sorkin)@Paul Adelstein (Wrigley)@Jonathan Hadary (Heinz, le baron Krauss von Espy)@Tom Aldredge (Herb Myerson)@Richard Jenkins (Freddy Bender)@Bruce Campbell (Un acteur à la télévision)@Geoffrey Rush (Donovan Donaly)@Billy Bob Thornton (Howard Doyle)@Cedric The Entertainer (Gus Petch)@Edward Herrmann (Rex Rexroth)@||Secrets de tournage :
Le retour des frères Coen
Intolerable cruauté traite de la guerre des sexes, sujet intemporel s'il en est ! Pour donner naissance à cette comédie romantique féroce et jubilatoire, les frères Joel et Ethan Coen ont tenu à y ajouter une dimension glamour : "C'est le film le plus glamour que nous ayons fait !", déclarent-t-ils. "Pour nous, il s'agissait d'essayer quelque chose de différent, mais sans rien perdre de notre identité."
Le producteur Brian Grazer y va lui aussi de son petit commentaire sur le film : "C'est une comédie romantique interprétée par de très grandes stars. Ajoutez-y l'irrévérence des frères Coen... et vous obtenez une réjouissante folie, très élégante et parfaitement imprévisible."
La comédienne Catherine Zeta-Jones précise enfin que le film délivre l'humour noir qui fait la marque des fabrique des frères Coen : "Tout le film est teinté de cette ironie, de ce recul. Ce trait distinctif se traduit dans toutes les étapes de leur travail, depuis le scénario jusqu'à la mise en scène."
George Clooney d'un rôle à l'autre
Ethan Coen rapporte que pour l'acteur George Clooney, "son personnage d'Intolerable cruauté est le descendant direct de celui qu'il incarnait dans O'Brother, Everett McGill. Il est un peu désinvolte et assez préoccupé de lui-même". Clooney remarque avec humour : "Everett était tout en cheveux, et Mike, lui, est tout en dents. Il est toujours en train de les nettoyer ou de les vérifier... Cela m'a beaucoup amusé !"
Los Angeles, ville de l'excès
L'action d'Intolerable cruauté se déroule à Los Angeles, ville du glamour par excellence. La cité californienne était l'endroit rêvé pour raconter cette histoire de guerre des sexes, comme l'explique Joel Coen : "Il aurait été possible de raconter cette histoire n'importe où, mais elle n'aurait pas eu la même saveur, parce que le film est façonné et nourri par des attitudes et un style de vie que l'on ne trouve que dans cette ville."
Le tournage de ce long-métrage au budget de 60 millions de dollars s'est déroulé à partir du mois de juillet 2002 dans le centre-ville même de Los Angeles, mais également dans plusieurs endroits de la région comme Encino, Malibu ou San Marino.
Retrouvailles
Intolerable cruauté marque les retrouvailles des frères Joel et Ethan Coen avec George Clooney, qu'ils ont dirigé dans O'Brother, et Billy Bob Thornton, avec qui ils ont collaboré sur The Barber : l'homme qui n'était pas là.
Un projet convoité
Avant d'être réalisé par les frères Joel et Ethan Coen et interprété par George Clooney et Catherine Zeta-Jones, Intolerable cruelty est passé entre les mains des cinéastes Ron Howard et de Jonathan Demme, ces deux derniers ayant tenté de réunir Hugh Grant et Téa Leoni devant les caméras.
George Clooney passe à table !
Quasiment la même scène en deux films pour George Clooney. La table de restaurant où il courtise Catherine Zeta-Jones dans Intolérable cruauté est en effet la même, dans le même restaurant, où il tente de séduire Julia Roberts dans Ocean's eleven.
Un passage par la Mostra de Venise
Intolerable cruelty a été présenté hors-compétition à la Mostra de Venise 2003.
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Invincible|Werner Herzog|Drame||3|allemand|2002|103|||XviD|||XVID|791 Kbps|608x256|MPEG-1 Audio layer 3|138 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Werner Herzog Gary Bart Christine Ruppert|Werner Herzog|Peter Zeitlinger||Diaphana Films||Sous le IIIe Reich, Zishe Breitbart est un forgeron juif polonais. Un jour, il est découvert par un agent berlinois qui décide de tirer partie de sa stature imposante. Hanussen, directeur du cabaret de Berlin et roi de l'hypnose, l'engage pour incarner des héros de la mythologie germanique. Mais, un soir, il refusera de jouer les Siegfried. |Tim Roth (Hanussen)@Jouko Ahola (Zishe Breitbart)@Anna Gourari (Marta Farra)@Max Raabe (le maître des cérémonies)@Jacob Wein (Benjamin)@Gustav Peter Wöhler (Landwehr)@Udo Kier (le comte Helldorf)@Hebert Golder (Le rabbin Edelmann)@Gary Bart (Yitzak Breitbart)@||Secrets de tournage :
Vraie hypnose
"Werner Herzog m'a appris à hypnotiser les gens et je dois dire que je suis devenu plutôt bon dans ce domaine. Mais c'est quelque chose que l'on ne peut pas traiter à la légère. Par exemple, la femme que j'hypnotise dans le film l'était réellement lorsque nous avons tourné la scène", explique Tim Roth. En 1976, Werner Herzog avait réalisé un film avec des acteurs sous hypnose intitulé Coeur de verre.
Un vrai homme fort et une vraie pianiste
Le Finlandais Jouko Ahola, qui incarne Zishe, a remporté le titre d'homme le plus fort d'Europe ainsi que des titres mondiaux en 1997 et 1999. Invincible est son premier film. Quant à Anna Gourari qui incarne la musicienne Marta Farra, elle est réellement pianiste. Elle a notamment remporté en 1994 le prix Clara Schumann.
Inspiré d'une histoire vraie
Le film est inspiré de l'histoire véridique de Zishe Breitbart, vedette de cabaret à Berlin dans les années 30.
A Venise
Le film a été sélectionné dans la catégorie officielle "Cinéma du présent" au Festival de Venise en 2001.
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Iron Man|Jon Favreau|Fantastique|Film pour enfants à partir de 10 ans|3|américain|2008|121|Anglais||XviD|||XVID|672 Kbps|720x288|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Avi Arad Kevin Feige|Arthur Marcum Matt Holloway Mark Fergus Hawk Ostby|Matthew Libatique||Paramount Pictures||Tony Stark, inventeur de génie, vendeur d'armes et playboy milliardaire, est kidnappé en Aghanistan. Forcé par ses ravisseurs de fabriquer une arme redoutable, il construit en secret une armure high-tech révolutionnaire qu'il utilise pour s'échapper. Comprenant la puissance de cette armure, il décide de l'améliorer et de l'utiliser pour faire régner la justice et protéger les innocents. |Robert Downey Jr. (Tony Stark / Iron Man)@Terrence Howard (Lieutenant-colonel Jim Rhodes)@Gwyneth Paltrow (Pepper Potts)@Jeff Bridges (Obadiah Stane)@Shaun Toub (Yinsen)@Leslie Bibb (Christine Everhart)@Clark Gregg (l'agent Phil Coulson)@Bill Smitrovich (le Général Gabriel)@Faran Tahir (Raza)@Ghostface Killah (Dubai Tycoon)@Sahar Bibiyan (Gulmira mom)@Sayed Badreya (Abu Bakar)@Fahim Fazli (Omar)@Micah A. Hauptman (Lacy)@Tim Guinee@Stan Lee (Hugh Heffner)@Nazanin Boniadi (Ameera Ahmed)@Samuel L. Jackson (Nick Fury)@Jon Favreau (le chauffeur de Stark)@Adam Harrington (Un journaliste)@Eileen Weisinger (Ramirez)@Paul Bettany (Jarvis (voix))@Peter Billingsley (William Ginter Riva)@Will Lyman (Le narrateur à la remise de prix)@Meera Simhan (Une journaliste)@Patrick O'Connell (Un journaliste)@Kevin Foster (Jimmy)@Chris Reid (Un journaliste (non crédité))@Ben Newmark (Un journaliste)@Daston Kalili (Un garde)@Marco Khan (Un garde)@Marvin Jordan (Un officier de l'Air Force)@Zorianna Kit (Elle-même)@Gerard Sanders (Howard Stark)@Garrett Noel (Pratt)@David Winston Barge (Un garde (non crédité))@Brett Padelford (Un journaliste (non crédité))@Ahmed Ahmed (Ahmed)@Jeffrey Ashkin (Un photographe (non crédité))@Ido Ezra (Un garde)@Justin Rex (Le lieutenant de l'Air Force)@Russell Bobbitt (Georgio (non crédité))@Sylvette Ortiz (Un sergent (non crédité))@Laura Liguori (Une danseuse (non crédité))@Jim Cramer (Lui-même)@||Secrets de tournage :
L'adaptation d'un célèbre comic-book Marvel
Iron Man est l'adaptation sur grand écran du comic-book Marvel créé en 1963 par Stan Lee, l'homme qui a donné naissance à d'autres super-héros légendaires tels que Spider-Man, Hulk, Les 4 Fantastiques ou encore les X-Men. C'est dans les pages du comic-book Tales of suspense qu'Iron Man fit sa toute première apparition, devenant la vedette d'une série à part entière en 1968 avec The Invincible Man.
Un super-héros courtisé par les plus grands
L'adaptation du comic-book Iron Man suscite les convoitises du tout-Hollywood depuis de nombreuses années. Au début des années 90, Stuart Gordon, le réalisateur de Re-animator, manque de peu de réaliser un long-métrage sur le super-héros. Par la suite, les plus grandes stars seront passionnées par le rôle, comme Nicolas Cage et Tom Cruise, et nombre de réalisateurs crient leur envie de porter le super-héros à l'écran, de Quentin Tarantino à Nick Cassavetes en passant par Joss Whedon, le créateur de la série Buffy. En plus de dix ans, le projet d'adaptation sera passé entre de nombreuses mains et entre les murs de trois studios (Universal, la Fox et New Line) avant que Marvel Studios ne reprenne lui-même la main et que Jon Favreau ne soit choisi pour mettre en scène, pour de bon, Iron Man, avec Robert Downey Jr. dans le rôle-titre.
Un super-héros pas comme les autres
Stan Lee, le créateur du comic-book Iron Man, qui officie comme producteur exécutif de l'adaptation cinématographique, explique pourquoi il a créé ce super-héros atypique : "Ce qui m'a poussé à créer un personnage comme Iron Man, c'est que je voulais tenter quelque chose qui change du super-héros habituel. En 1963, il incarnait tout ce que les jeunes lecteurs de l'époque ne portaient pas dans leur coeur : c'était un industriel qui inventait des machines de guerre. Je me suis dit que j'allais m'arranger pour que les jeunes le trouvent attachant en faisant de lui un type intéressant, riche, élégant et séduisant. Mais j'ai aussi voulu qu'il ait un problème cardiaque afin de casser son côté "parfait" et de faire en sorte que les lecteurs s'inquiètent pour lui. L'accueil a été formidable et, parmi tous les personnages Marvel, Iron Man est celui qui a reçu le plus de courrier de fans de la part des lectrices. Les gens de tous les âges se sont reconnus dans le côté humain du personnage."
Un super-héros super-humain
Kevin Feige, producteur d'Iron Man, explique que la popularité du personnage réside dans le fait qu'il n'est pas un mutant, mais un super-héros qui ne doit ses super-pouvoirs qu'à lui-même. "Dans l'univers Marvel, Iron Man peut rivaliser avec Spider-Man, les X-Men et les 4 Fantastiques", explique-t-il. "Cela fait quarant ans que ça dure, et si Iron Man a tant séduit les lecteurs, c'est parce qu'il n'est pas un mutant : il n'a pas subi de mutation biologique et n'a pas été piqué par un insecte. Il n'est qu'un homme qui s'est servi de son génie créatif pour inventer une armure extrêmement sophistiquée." Avi Arad, pilier de Marvel et producteur du film, poursuit : "Ce qui nous plaisait chez Iron Man, c'est qu'il permet d'aborder des thèmes en prise directe avec notre société et le monde d'aujourd'hui. C'est une histoire qui parle de rédemption et d'un homme qui ne pourra révéler sa part héroïque que dans des circonstances extrêmes."
Robert Downey Jr. dans l'armure d'Iron Man
Un peu à la surprise générale, c'est l'acteur Robert Downey Jr. (Chaplin, Zodiac) qui a été choisi pour incarner le milliardaire Tony Stark (et donc sa création Iron Man) sur grand écran. Il évoque ce rôle particulier : "Je suis américain. J'adore les Marvel Comics et j'ai lu Iron Man et Spider-Man quand j'étais petit. J'ai toujours eu une préférence pour Iron Man en raison de son intelligence et de son ingéniosité. Les super-héros sont sensationnels, mais les super-héros qui fabriquent des armes, puis qui conçoivent une armure qui leur permet d'avoir des super-pouvoirs, c'est le summum ! C'est un homme qui se pose beaucoup de questions, et à juste titre. Il ne prend conscience du rôle qu'il peut jouer que lorsqu'il se met à vivre en accord avecun certain code éthique. C'est un formidable thème pour un film."
Un acteur très impliqué
Robert Downey Jr., qui incarne Iron Man, s'est beaucoup impliqué dans l'écriture du scénario, n'hésitant pas à faire pression sur les scénaristes et sur le réalisateur Jon Favreau pour modifier telle ou telle scène du film.
Une préparation physique intense
Pour incarner Iron Man, Robert Downey Jr. s'est astreint à un entraînement physique intense, pratiquant la musculation et s'initiant aux arts martiaux. Il explique non sans humour : "Il y a environ un an, je me suis décidé à étoffer un peu ma musculature, ce qui n'est pas évident quand on approche la quarantaine. Je me suis dit que tant qu'à jouer dans un film comme Iron Man, autant le faire maintenant avant que ça ne devienne ridicule de me retrouver en collants et d'exhiber mes chairs flasques. J'ai donc commencé par faire de la musculation car je ne suis plus un gamin, et il fallait que je me muscle pour soulever les poids que je m'apprêtais à soulever. C'était vraiment une question de survie pour moi, et cette phase difficile de préparation s'est avérée payante pendant le tournage."
L'ombre d'Howard Hugues
Pour le personnage du milliardaire Tony Stark, qui deviendra Iron Man, Stan Lee, son créateur, n'a jamais caché s'être librement inspiré d'Howard Hughes, dont il admirait les qualités d'inventeur, d'aventurier et de séducteur en même temps que la folie.
Le cinéma aime Stan Lee et ses héros
Avec Iron Man, Stan Lee, la légende des studios Marvel, voit à nouveau l'un de ses super-héros portés à l'écran. Depuis 2002, le cinéma a plébiscité ses créations avec les sorties de Spider-Man (2002) et de ses deux suites (Spider-Man 2 en 2004 et Spider-Man 3 en 2007), de Hulk (2003), ou encore des 4 Fantastiques (2005) et de sa suite (2007). Et depuis dix ans, les adaptations Marvel ont généré
près de 5 milliards de dollars de recettes dans le monde entier.
Jon Favreau, des deux côtés de la caméra
Iron Man est réalisé par le new-yorkais Jon Favreau, également connu pour son travail d'acteur. Car s'il a réalisé la comédie policière Made (2001), la comédie Elfe (2003) et le film fantastique familial Zathura : une aventure spatiale (2006), il a aussi derrière lui une belle carrière devant la caméra entamée au début des années 90, s'illustrant dans Deep Impact, Very Bad Things, Tout peut arriver ou encore La Rupture et un rôle récurrent dans la saison 3 de la série Friends. Et pour ceux qui s'étonneraient, voire s'inquiéteraient, de voir l'Américain diriger un film de super-héros, qu'ils soient rassurés : Jon Favreau est un grand fan de comic-books et il a déjà une petite expérience de ce type de films, puisqu'il incarnait le meilleur ami de Ben Affleck dans Daredevil (2003).
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Avant Gwyneth
Avant que Gwyneth Paltrow ne soit choisie pour incarner le personnage de Pepper Potts, c'est l'actrice Rachel McAdams, vue aux génériques de N'oublie jamais et Red eye / sous haute pression, qui avait les faveurs du réalisateur Jon Favreau. Mais la jeune femme refusa l'offre.
Caméos ou pas caméos ?
De nombreuses rumeurs ont circulé avant la sortie d'Iron Man concernant de multiples caméos d'acteurs. Ainsi, Samuel L. Jackson (dans le rôle de Nick Fury), Hilary Swank ou encore William Hurt ont été annoncés comme pouvant faire une petite apparition dans le film. De même, une rumeur a couru selon laquelle un personnage de L'Incroyable Hulk figurerait au casting d'Iron Man et qu'en retour, un personnage d'Iron Man apparaîtrait dans L'Incroyable Hulk (qui sortira en salles le 23 juillet 2008). La réponse à ces multiples rumeurs le 30 avril 2008, date de sortie d'Iron Man, puisque la production, très joueuse, aurait mystérieusement décidé de proposer une version à la presse différente de la version proposée en salles.
Stan Lee au générique... comme toujours !
L'auteur Stan Lee fait une petite apparition clin d'oeil au générique d'Iron Man, comme il le fait dans tous les films adaptés de ses comic-books.
« Préc.
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Iznogoud|Patrick Braoudé|Comédie||1|français|2005|94|Français||XVID|||XVID|896 Kbps|576x224|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Aïssa Djabri Farid Lahouassa Manuel Munz|Patrick Braoudé|Jérôme Robert||TFM Distribution||Le grand vizir Iznogoud a pour unique ambition de devenir Calife à la place du Calife Haroun El Poussah. Cet être mauvais et risible est prêt à tout pour parvenir à ses fins... |Michaël Youn (le grand vizir Iznogoud)@Jacques Villeret (le calife Haroun El Poussah)@Arno Chevrier (Dilat Larath)@Elsa Pataky (Prehti-Ouhman)@Franck Dubosc (Chambellan Calife)@Magloire (l'eunuque en chef)@Rufus (Conseiller Calife)@Kad Merad (le génie 2 (Ouzmoutousouloubouloubombê))@Olivier Baroux (le génie 1 (Ouz))@Bernard Farcy (Pullmankar le Sanguinaire)@Juliette Poissonnier (Plassahssiz)@Maurice Lamy (Conseiller Pullmankar)@Mathias Jung (Général Bohl)@Vincent Desagnat (Un prince)@||Secrets de tournage :
De la BD à l'écran
Iznogoud est la première adaptation cinématographique des bandes dessinées créées par le scénariste René Goscinny, le père d'Astérix, et le dessinateur Jean Tabary, dont les personnages apparurent pour la première fois en 1962 dans les colonnes des journaux Record et Pilote. Ce personnage, petit et méchant, deviendra le héros très populaire de près de trente ouvrages. Mais Iznogoud ne faillit pourtant jamais devenir grand vizir, puisque Goscinny envisagea à l'origine d'en faire... un détective !
Histoire d'un vizir sur grand écran
Le désir de voir Iznogoud évoluer sur grand écran germe dans l'esprit de René Goscinny dans les années 70. Le scénariste rédige alors un scénario avec Pierre Tchernia et imagine même Louis De Funès dans le rôle du vizir colérique, accompagné par Philippe Noiret et Michel Galabru. Mais le coût prohibitif des effets spéciaux, puis le décès brutal du scénariste en 1977 mettent un terme à l'aventure... du moins provisoirement.
Patrick Braoudé, le réalisateur de Neuf mois, a l'idée de faire une adaptation live des aventures d'Iznogoud lorsqu'il tourne Deuxième Vie. De retour du Maroc où il a réalisé quelques scènes du film, ses enfants regardent Aladdin à la télévision, Astérix et Obélix contre César sort sur les écrans... Une association d'idées lui donne soudain envie de réaliser Iznogoud. Avec le soutien de M6, il relance alors le projet d'une adaptation cinématographique. Le trublion cathodique Michaël Youn est choisi pour incarner le vizir et le tournage d'Iznogoud débute en mars 2004, au Maroc. Le rêve de René Goscinny se sera finalement réalisé...
Iznogoud vu par Braoudé
Pour le réalisateur Patrick Braoudé, Iznogoud, dont le voeux éternel est de devenir "calife à la place du calife" est "un personnage assez rare dans la BD car il est vraiment méchant. C'est l'anti-héros type mais il est hyper attachant. (...) C'est un personnage obsessionnel qui n'a qu'une idée en tête : prendre la place d'Haroun El Poussah. Il le déteste et tous les moyens sont bons pour arriver à ses fins."
Et Michaël Youn devint Iznogoud...
Patrick Braoudé est élogieux lorsqu'il parle de Michaël Youn, l'incarnation du vizir Iznogoud sur grand écran : "Avec Michaël, nous avons eu une grande complicité avant et pendant le film, il a été très à l'écoute, très disponible, très intelligent. Je ne lui demandais pas de faire du Michaël Youn. (...) C'était évident que c'était le personnage. Il a cette puissance de comédie que je recherchais comme metteur en scène... mais aussi comme spectateur. Cela faisait longtemps que j'attendais une vraie relève, un acteur qui nous rappelle les grandes comédies françaises des années 60-70. Je crois que Michaël est de ceux-là, et pas seulement un trublion de la télé qui peut sauter sur les tables et se mettre à poil... D'abord, pour faire cela, il faut être bien dans sa peau, dans sa tête... et oser... Oser aller très loin. N'est-ce pas ce qu'on demande à un acteur de comédie ? (...) Il a énormément travaillé. Il était souvent assis sur une chaise, concentré sur le scénario."
Pour tous les publics
Pour Patrick Braoudé, "Iznogoud se doit d'être un film populaire, familial. Mais j'ai eu envie que ce soit un film à double entrée. Il y a des gags que les petits enfants vont comprendre d'une certaine manière et leur parents autrement, les ados comprendront d'autres allusions. J'ai voulu qu'il y ait plusieurs lectures possibles. Les enfants, d'ailleurs, ont grandi. Shrek et Titeuf sont passés par là."
Le travail d'adaptation
Le réalisateur Patrick Braoudé explique comment il s'est à la fois inspiré de l'esprit de la BD tout en ajoutant des éléments issus de sa propre imagination : "Le film n'est pas une compilation. Je voulais être libre, qu'Anne Goscinny (ndlr : la fille de René Goscinny) et Jean Tabary me fassent confiance. Je leur ai dit que je voulais les droits des personnages pour inventer une histoire. J'ai relu beaucoup de BD mais les histoires ressemblaient beaucoup à des courts-métrages. Il y avait beaucoup de petites histoires mais l'ensemble ne faisait pas un film. (...) C'est un scénario totalement original. (...) Il y a un mélange entre les personnages de la BD et ceux que j'ai inventés, et même à ces derniers j'ai essayé de donner comme nom des jeux de mots car ce qui caractérisait la BD, c'étaient les calembours que Goscinny aimait faire."
Décors, costumes, figurants : "Iznogoud" voit grand !
Neuf mois de préparation ont été nécessaires pour concevoir et fabriquer les décors d'Iznogoud. 1200 costumes, 1000 armes et 350 plans d'effets spéciaux furent par ailleurs créés pour les besoins du film. Enfin, le film bénéficie de la présence de pas moins de 8000 figurants. Patrick Braoudé, devant le gigantisme de l'entreprise, et en guise d'inspiration, s'est replongé dans les DVD de Ben-Hur, Lawrence d'Arabie, Les Dix Commandements, Le Voleur de Bagdad ou encore Star wars, qu'il a directement emmenés au Maroc. Il explique : "Je voulais que les décors et les costumes fassent très très vrais. Le coût de la fabrication des costumes et des décors devait être très élevé car il fallait créer un Orient fantasmé mais vrai sans pour autant être réel. C'est à dire qu'on ait l'impression qu'un jour, il y a très longtemps, la Cité de la Magnifique a été vraiment comme cela, sans pour autant qu'elle soit réaliste. Comme dans Star wars ou Le Seigneur des anneaux, les mondes sont inventés et, pourtant, ils existent. Je voulais que l'on y croit aussi. C'était cette orientation qu'il fallait donner au film."
Iznogoud en musique
La musique tient un rôle très important dans Iznogoud. Patrick Braoudé, qui avait écrit une première chanson avant de rencontrer Michaël Youn, en a écrit une seconde pour lui, puis les choses se sont accélérées. Ce fan des comédies musicales américaines explique : "Progressivement, de nouvelle chanson en nouvelle chanson, le film est devenu un film musical, mais pas une comédie musicale, non, plutôt comme un Disney, comme Aladdin ou La Belle et la bête. Il y a une histoire et, tout d'un coup, les personnages se mettent à chanter. Cette idée se mariait très très bien avec Iznogoud qui était un conte. Et avec l'univers des Mille et une nuits qui pour moi permettait au film de se rapprocher d'un film indien que j'avais adoré à sa sortie, Devdas. En tout, il y a finalement huit chansons qui participent de la comédie."
Le plus beau des compliments
Anne Goscinny, la fille de René Goscinny, ainsi que Jean Tabary, le dessinateur de la BD, ont été sous le charme du long-métrage de Patrick Braoudé. Celui-ci a en mémoire un moment particulièrement important, lorsque Tabary s'est rendu sur le plateau du film. Il revient sur cet épisode émouvant : "Il a vécu pendant 40 ans avec Iznogoud et, tout d'un coup, il découvrait tous ces personnages qu'il avait dessinés en chair et en os, il m'a fait un merveilleux compliment qui caractérise sa générosité et la grande bonté qu'on lit dans le regard de cet homme quand on le découvre pour la première fois. Il m'a dit : "C'est plus beau que ce que j'ai dessiné."" Jean Tabary avait en projet de faire la bande dessinée tirée du scénario du film en caricaturant les acteurs. Il avait ainsi demandé à ces derniers la permission de les dessiner. Mais, tombé malade, il ne put mener à bien ce projet.
Hommages en pagaille !
Iznogoud lorgne du côtés des comédies musicales américaines dont raffole Patrick Braoudé : celles de Fred Astaire, de Gene Kelly ou de Frank Tashlin. Le film rend également hommage aux films des Marx Brothers ainsi qu'à Tex Avery et aux dessins animés Disney, pour tout son côté "cartoonesque".
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The Lodger|John Brahm|Epouvante-horreur||4|américain|1943|91|Anglais||DIVX|||DIVX|923 Kbps|720x404|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|695||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Robert Bassler|Barré Lyndon|Lucien Ballard||||Dans le Londres victorien, la terreur règne. Des prostituées sont assassinées et la police peine à trouver le coupable. Cette série macabre coïncide avec l'arrivée d'un étrange locataire dans une pension de famille. Les soupçons se portent sur l'inconnu, qui se révèle être Jack l'Eventreur. |Laird Cregar (Slade, le locataire / Jack l'éventreur)@George Sanders (John Warwick)@Merle Oberon (Kitty Langley)@Cedric Hardwicke (Robert Burton)@Aubrey Mather (Le superintendant Sutherland)@Queenie Leonard (Daisy)@Doris Lloyd (Jennie)@David Clyde (Le policier Sergeant Bates)@Helena Pickard (Annie Rowley)@Anita Sharp-Bolster (Wiggy)@||Secrets de tournage :
Un réalisateur fidèle
John Brahm réalise un an après the Lodger, Hangover Square ou il retrouve certains des acteurs du précèdent film: Laird Cregar et George Sanders.
Un coup de foudre
C'est sur le tournage de The Lodger que Merle Oberon rencontre le chef opérateur Lucien Ballard. Ils se marièrent l'année suivante.
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What Happens in Vegas|Tom Vaughan|Comédie||3|américain|2008|94|Anglais||XviD|||XVID|896 Kbps|640x352|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Michael Aguilar Dean Georgaris Shawn Levy|Dana Fox|Matthew F. Leonetti||20th Century Fox||Joy vient de se faire larguer. Jack vient de se faire virer. Ils ne se connaissent pas mais, après une nuit de folie à Las Vegas, la ville de tous les possibles... ils se réveillent... mariés. Ils sont d'accord pour se séparer à l'amiable... mais tout change quand Jack gagne 3 millions de dollars aux machines à sous avec une pièce prêtée par Joy. Pour garder le jackpot, chacun va alors tenter de se rendre insupportable pour dégouter l'autre et le pousser au divorce. |Cameron Diaz (Joy McNally)@Ashton Kutcher (Jack Fuller)@Rob Corddry (Steve " Hater " Hader)@Treat Williams (Jack Fuller, Sr.)@Dennis Miller (Le juge Whopper)@Lake Bell (Tipper)@Dennis Farina (Tamer)@Jason Sudeikis (Mason)@Queen Latifah (Dr Twitchell)@Zach Galifianakis (Dave)@Krysten Ritter (Kelly)@Michelle Krusiec (Chong)@Blake Young-Fountain (Walker)@Russ Russo (Johnny Boy)@Caroline Willman (Sammy)@Maddie Corman (L'avocate de Joy)@Delia Sheppard@Cassidy Gard (Une amie de Joy)@Deirdre O'Connell (Mrs. Fuller)@Lauren Reeves (La mariée)@||Secrets de tournage :
Tout a été très vite...
Lorsque le producteur Michael Aguilar et la scénariste Dana Fox ont proposé l'idée de Jackpot, la Fox n'a pas hésité. Michael Aguilar raconte : "Tout a été très vite. Nous avons vendu l'histoire au printemps, Dana a terminé le scénario à l'automne, et peu de temps après Cameron Diaz et Ashton Kutcher acceptaient de jouer les rôles principaux. L'été suivant, nous commencions à tourner..."
"Ce qui arrive à Vegas, reste à Vegas"
Jackpot est né de plusieurs idées sur lesquelles la scénariste Dana Fox travaillait. Celle-ci explique : "J'aime beaucoup les histoires qui parlent de chercher l'amour ou de découvrir la véritable nature d'une personne au-delà de ses problèmes et ses défauts. Au début, je voulais écrire une histoire sur un couple qui apprend à mieux se connaître en plein divorce. J'ai ensuite entendu la phrase "Ce qui arrive à Vegas, reste à Vegas", et j'ai immédiatement pensé qu'elle ferait un superbe titre de film. Après cela, Britney Spears a surpris tout le monde en se mariant à Las Vegas. C'est le genre de chose que vous pouvez faire dans cette ville sur un coup de tête, en quelques minutes et avec un parfait inconnu. Bien sûr, vous pouvez aussi aller à Vegas simplement pour jouer et gagner des millions. C'est à ce moment-là que je me suis demandé ce qui arriverait si deux personnes se rencontraient, jouaient, gagnaient et se mariaient dans la même nuit. L'idée de Jackpot était née."
Las Vegas vu par Cameron Diaz
A propos de Las Vegas, Cameron Diaz déclare : "Cette ville est un lieu unique, un monde en soi avec sa logique. C'est une ville qui ne dort jamais. Rapidement, vous perdez vos repères, vous ne savez plus quelle heure il est, ni combien vous avez perdu, ni à quel point vous êtes saoul ou combien de temps vous avez dormi ! Toutes vos références s'effacent et toutes les inhibitions s'envolent. Tout est possible dans cette ville. A Vegas, vous pouvez faire des choses que vous n'auriez jamais faites ailleurs."
Droit du divorce
Bien que le film soit avant tout une comédie, les cinéastes ont veillé à ancrer l'histoire dans la réalité, notamment au niveau des procédures légales relatives au mariage et au divorce. Le producteur Michael Aguilar raconte : "Le film se déroule à New York parce que les lois de cet Etat sur le divorce concordaient avec ce que nous voulions raconter. Et puis c'était un endroit parfait pour la partie du film qui ne se déroulait pas à Vegas." Dana Fox souligne : "Nous voulions aussi éviter de transformer le film en quelque chose de complètement improbable. Pour que l'histoire fonctionne, il fallait que la situation et les émotions des personnages restent au premier plan."
Dans les rôles secondaires
Avec Cameron Diaz et Ashton Kutcher dans les rôles principaux, les cinéastes se devaient d'engager des acteurs d'exception pour les rôles secondaires. Le producteur Michael Aguilar se souvient : "J'avais déjà travaillé sur d'autres films avec Rob Corddry et je savais que c'était un acteur comique brillant, tout comme Zach Galifianakis. Ils étaient parfaits pour jouer les potes de Jack parce que nous ne voulions pas du cliché des "meilleurs amis" qui passent leur temps à traîner dans le coin en sortant des vannes. Nous voulions qu'ils développent pleinement leurs personnages tout en étant aussi drôles que touchants."
Entre Las Vegas et New York
Bien que l'histoire de Jackpot débute à Las Vegas, la plus grande partie du film se déroule à New York. Le réalisateur Tom Vaughan observe : "Je voyais New York comme un personnage à part entière dans cette histoire. Nous avons réussi à filmer dans des endroits merveilleux qui apportent au film une énergie et une ambiance très particulières."
Le producteur Michael Aguilar reprend : "Les différents quartiers de la ville ont servi à souligner les différences entre les personnages. Joy travaille à Wall Street et mène une vie très classe et pleine d'agitation, alors que Jack vit à Brooklyn et exerce un métier manuel. Nous avons réussi à capter la beauté et le caractère unique de New York grâce à des images qui montrent des aspects très différents de la ville. Avec un couple aussi original, nous avions deux fois plus de choses à montrer sur New York."
Le tournage du film s'est terminé par deux semaines à Las Vegas avec pour "camp de base" le Planet Hollywood Resort & Casino. Michael Aguilar confie : "Tourner à Las Vegas est plus qu'un challenge. Quand il faut filmer une scène au milieu d'une foule de touristes juste en face des fontaines du Bellagio Hotel avec des stars comme Cameron Diaz et Ashton Kutcher, les choses deviennent vite très compliquées ! La ville ne peut absolument pas fermer un endroit pour le tournage d'un film, vous devez donc improviser sur place. En quelques minutes, vous vous retrouvez avec des centaines de personnes en train de regarder ce que vous faites et de hurler à tue-tête le nom des comédiens ! C'est difficile, mais vous apprenez vite à travailler avec cet environnement, et non pas contre lui."
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On Her Majesty's Secret Service|John Glen Peter Hunt|Espionnage||3|britannique|1969|135|Anglais||DivX|||DIVX|605 Kbps|512x216|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|32.0 KHz|2|686||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Albert R. Broccoli Harry Saltzman|Richard Maibaum|Michael Reed|||Saga : James Bond |L'agent secret James Bond est appelé à la rescousse pour mettre un terme aux malversations de Blofeld. Ce dernier tente de mettre au point un virus qui mettrait un terme à toute vie végétale sur la planète. |George Lazenby@Diana Rigg@Telly Savalas@Gabriele Ferzetti@Joanna Lumley@Ilse Steppat (Irma Bunt)@Lois Maxwell (Miss Moneypenny)@George Baker (Sir Hilary Bray)@Bernard Lee (M)@Bernard Horsfall (Campbell)@Desmond Llewelyn (Q)@Peter Hunt@George Baker (Sir Hillary Bray)@||Secrets de tournage :
Ernst Blofeld à l'écran
Ernst Blofeld, ennemi juré de James Bond et chef de l'organisation criminelle Le Spectre, a été incarné à l'écran par six acteurs différents : Anthony Dawson dans Bons baisers de Russie et Opération Tonnerre, Donald Pleasence dans On ne vit que deux fois, Telly Savalas dans Au service secret de sa Majesté, Charles Gray dans Les Diamants sont éternels, John Hollis dans Rien que pour vos yeux et Max von Sydow dans Jamais plus jamais.
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From Russia with Love|Terence Young|Aventure||3|britannique|1964|110|Anglais||DivX|||DIVX|751 Kbps|512x216|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|1|679||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Albert R. Broccoli Harry Saltzman|Johanna Harwood Richard Maibaum|Ted Moore|||Saga : James Bond |007 alias James Bond reçoit pour mission d'aider Tatiana, une jeune Soviétique, à passer à l'Ouest. |Sean Connery (James Bond)@Pedro Armendariz (Kerim Bey)@Daniela Banchi (Tatiana)@Lotte Lenya (Rosa Klebb)@Robert Shaw (Grant)@Bernard Lee (M)@Eunice Gayson (Sylvia)@Lois Maxwell (Miss Moneypenny)@Desmond Llewelyn (Q)@Nadia Regin (maîtresse de Kerim Bey)@Anthony Dawson (Ernst Stavro Blofeld)@Martine Beswick (Zora)@Walter Gotell (Morzeny)@||Secrets de tournage :
Ernst Blofeld à l'écran
Ernst Blofeld, ennemi juré de James Bond et chef de l'organisation criminelle Le Spectre, a été incarné à l'écran par six acteurs différents : Anthony Dawson dans Bons baisers de Russie et Opération Tonnerre, Donald Pleasence dans On ne vit que deux fois, Telly Savalas dans Au service secret de sa Majesté, Charles Gray dans Les Diamants sont éternels, John Hollis dans Rien que pour vos yeux et Max von Sydow dans Jamais plus jamais.
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Casino Royale|Martin Campbell|Espionnage||3|américain, britannique, italien, tchèque|2006|143|Anglais||XviD|||XVID|1 382 Kbps|608x240|AC3|192 Kbps|False|48.0 KHz|2|1396||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Barbara Broccoli Michael G. Wilson|Neal Purvis Robert Wade Paul Haggis|Phil Meheux||Gaumont Columbia Tristar Films|Saga : James Bond |Pour sa première mission, James Bond affronte le tout-puissant banquier privé du terrorisme international, Le Chiffre. Pour achever de le ruiner et démanteler le plus grand réseau criminel qui soit, Bond doit le battre lors d'une partie de poker à haut risque au Casino Royale. La très belle Vesper, attachée au Trésor, l'accompagne afin de veiller à ce que l'agent 007 prenne soin de l'argent du gouvernement britannique qui lui sert de mise, mais rien ne va se passer comme prévu. Alors que Bond et Vesper s'efforcent d'échapper aux tentatives d'assassinat du Chiffre et de ses hommes, d'autres sentiments surgissent entre eux, ce qui ne fera que les rendre plus vulnérables... |Daniel Craig (James Bond)@Eva Green (Vesper Lynd)@Mads Mikkelsen (Le Chiffre)@Judi Dench (M)@Jeffrey Wright (Felix Leiter)@Giancarlo Giannini (René Mathis)@Caterina Murino (Solange Dimitrios)@Simon Abkarian (Alex Dimitrios)@Isaach de Bankolé (Steven Obanno)@Jesper Christensen (Mr. White)@Ivana Milicevic (Valenka)@Tobias Menzies (Villiers)@Claudio Santamaria (Carlos)@Sebastien Foucan (Mollaka)@Malcolm Sinclair (Dryden)@Richard Sammel (Gettler)@Ludger Pistor (le banquier Mendel )@Joseph Millson (Carter)@Daud Shah (Fisher)@Clemens Schick (Kratt)@Emmanuel Avena (Leo)@Tom Chadbon (le courtier)@Ade (Ade)@Urbano Barberini (Tomelli)@Tsai Chin (Madame Wu)@Charlie Levi Leroy (Gallardo)@Lazar Ristovski (Kaminofski)@Tom So (Fukutu)@Veruschka von Lehndorff (Grafin Von Wallenstein)@Carlos Leal (le Directeur du tournoi)@Daniel Andreas (le donneur)@Martin Ucik (le barman)@Vlasta Svatkova (la serveuse)@Miroslav Simunek (l'homme désapprobateur)@Patrik Plesinger (le barman de la salle de jeu)@Christina Cole (la réceptionniste)@Jürgen Tarrach (Schultz)@Con O'Neill (John Bliss)@John Gold (un joueur de cartes)@Jerry Inzerillo (un joueur de cartes)@Diane Hartford (une joueuse de cartes)@Jessica Miller (la donneuse)@Regina Gabajova (l'employée de l'Hôtel Splendide)@Leos Stransky (l'homme de grande taille)@Paul Bhattacharjee (un médecin des urgences)@Crispin Bonham-Carter (un médecin des urgences)@Simon Cox (un technicien des urgences)@Rebecca Gethings (une technicienne des urgences)@Peter Notley (le technicien médical MI6)@John Chancer (l'Inspecteur)@Peter Brooke (un policier)@Jason Durran (un policier)@Robert Jezek (l'officier d'arrestation)@Michael Offei (le Lieutenant d'Obanno)@Michael G. Wilson (le Chef de la police)@Vladimir Kulhavy (le Général croate)@Valentine Nonyela (l'attachée militaire)@Dusan Pelech (le barman)@Alessandra Ambrosio (la joueuse de tennis)@Veronika Hladikova (la joueuse de tennis)@Richard Branson@||Secrets de tournage :
James Bond, 21e du nom
Casino Royale est le 21e volet de la saga James Bond, l'une des plus célèbres franchises du septième art. Le long-métrage est l'adaptation cinématographique du tout premier roman de Ian Fleming, publié en 1953, apparaissant ainsi comme un retour aux sources : il met un James Bond plus jeune, plus physique et plus sombre, à l'orée de sa première mission, un James Bond qui porte déjà en lui toutes les qualités qui en feront le héros planétaire que l'on connaît.
Son nom est Craig, Daniel Craig...
Daniel Craig est le sixième acteur à se glisser dans le costume ô combien célèbre de l'agent James Bond 007. Il succède à Sean Connery, Roger Moore, George Lazenby, Timothy Dalton et Pierce Brosnan.
Craig, un Bond qui fait l'unanimité...
Le choix de l'acteur qui incarnerait le nouveau James Bond s'est effectué sur un casting long de plusieurs mois. Celui-ci s'est conclu par une audition très particulière consistant à jouer la scène de Bons baisers de Russie dans laquelle Bond rencontre Tatiana Romanova pour la première fois. La productrice Barbara Broccoli se souvient de Daniel Craig : "Dès notre première rencontre, il a été évident que Daniel était parfait. Il a beaucoup de charisme, il est capable de jouer dans un très grand nombre de registres et il est séduisant. Ce rôle est un véritable défi, mais il campe un formidable Bond." Son associé Michael G. Wilson ajoute : "Daniel est un Bond très moderne, qui possède l'authenticité dont nous avions besoin pour redéfinir ce personnage très complexe. Bond est Commandeur, c'est un ancien de la Marine, qui vient juste d'obtenir le très rare statut de double zéro, c'est-à-dire qu'il a autorité pour décider de tuer. Daniel a montré un immense talent dans la gestion des émotions conflictuelles que ressent Bond. C'est un grand acteur qui s'est totalement donné au rôle."
... ou presque !
En février 2006, des fans virulents ouvraient un site internet afin de protester contre la titularisation de Daniel Craig dans le costume de 007. Le site www.craignotbond.com appellait ainsi au boycott du film. Il reprochait à Eon Production et Sony Pictures d'avoir refusé que Pierce Brosnan reprenne son rôle, puis d'avoir choisi Daniel Craig, acteur dont ils critiquaient les "rôles bizarres", sans autre précision. Pour le site, Clive Owen ou encore Hugh Jackman auraient été des choix plus judicieux. Ces fans en colère se présentaient comme des "admirateurs de toujours de James Bond, venus du monde entier."
Ils partirent 200...
Selon le producteur Michael G. Wilson, près de deux cent comédiens furent auditionnés pour le très convoité rôle de James Bond, finalement obtenu par Daniel Craig. Parmi ceux-ci, retenons, entre autres, Clive Owen, Julian McMahon, Dominic West, Gerard Butler, Goran Visnjic ou encore Henry Cavill. Selon la rumeur, ce dernier aurait été tout proche de rafler la mise, mais son jeune âge joua en sa défaveur.
Daniel Craig : un James Bond "plus sombre"
Daniel Craig, le nouvel agent 007, s'exprime sur le scénario de Casino Royale : "J'ai été attiré par la complexité des émotions du scénario et la manière dont évolue le personnage au fil de l'histoire. James Bond apparaît ici comme un personnage plus sombre, ce qui correspond davantage à la manière dont l'a dépeint Ian Fleming à l'origine. C'est un peu un retour aux sources, avec un Bond au tout début de sa carrière, plus physique et plus brut dans sa façon d'être. C'est un solitaire, qui n'aime pas se lier aux autres. Au fur et à mesure de l'histoire, il va évoluer et devenir plus raffiné."
Eva Green, première James Bond Girl
C'est la jeune actrice française Eva Green, fille de Marlène Jobert, vue aux génériques des Innocents - the dreamers et de Kingdom of Heaven, qui a obtenu le très convoîté rôle de Vesper Lynd, première James Bond Girl issue de l'imagination de Ian Fleming. Eva Green raconte : "Vesper Lynd est la première femme dont Bond tombe amoureux et par qui il se sentira trahi. Le scénario de Casino Royale est l'un des meilleurs qu'il m'ait été donné de lire. Il est dense, riche en coups de théâtre, et l'histoire d'amour m'a émue. Vesper est une femme complexe. Elle a beaucoup de secrets et je crois que c'est un des aspects qui attirent Bond : elle n'est pas transparente pour lui. C'est une sorte de sphinx. Elle a beaucoup de facettes ? elle a l'esprit vif, une intelligence aiguë, elle est impertinente, elle a de l'humour, mais elle est aussi vulnérable. Entre elle et lui, le courant passe tout de suite, ils sont toujours en train de plaisanter et ils se comprennent l'un l'autre. Vesper n'a rien à voir avec la James Bond Girl classique qui se ballade en bikini en brandissant des armes à feu. Elle est bien autre chose que ça. C'est le premier personnage féminin qu'ait écrit Ian Fleming et elle a un impact extraordinairement puissant sur la vie de Bond. Elle est le fondement de toutes les femmes qui vont suivre, et l'explication du comportement de Bond avec la gent féminine."
Eva Green selon Martin Campbell
Le réalisateur Martin Campbell ne tarit pas d'éloges concernant Eva Green : "La relation entre Vesper Lynd et James Bond est l'axe directeur de l'histoire, et il nous fallait une actrice qui sache se montrer à la hauteur de Bond. C'est sans conteste le meilleur rôle féminin de tous les livres de Fleming, et nous avons fait des recherches et des tests très poussés pour être sûrs de trouver la meilleure comédienne. Eva possède toutes les qualités que nous recherchions : c'est une actrice formidable, elle est somptueuse et elle a ce quelque chose de mystérieux qui était essentiel pour le rôle. Eva a travaillé très dur pour créer ce personnage et elle l'a emmené plus loin encore que ce que prévoyait le scénario. La voir jouer et développer Vesper était fantastique."
Tant de prétendantes...
Avant qu'Eva Green n'obtienne le rôle de Vesper Lynd dans Casino Royale, de nombreuses jeunes femmes furent sur les rangs pour décrôcher le droit de donner la réplique à James Bond. Parmi elles, retenons Charlize Theron, Naomi Watts, Thandie Newton, Angelina Jolie, Rachel McAdams, Sienna Miller, Scarlett Johansson, Jessica Simpson et une certaine... Caterina Murino, qui aura finalement obtenu un autre rôle de femme fatale dans le film.
Le Chiffre : premier méchant pour 007
C'est le méconnu acteur danois Mads Mikkelsen qui incarne Le Chiffre, premier méchant de la saga James Bond. Il raconte : "Les scénarios qui m'attirent sont ceux où mon personnage peut avoir des secrets, alors jouer Le Chiffre, un homme qui n'a pas de nom, était la perfection même ! (...) Le Chiffre n'est pas le méchant typique d'un Bond : plutôt qu'un fou mégalomane qui cherche à diriger le monde, c'est un cerveau criminel amoral qui a désespérément besoin d'argent. Le Chiffre vit dans notre monde contemporain et essaie de gagner le plus d'argent possible... comme tout le monde, je dirais. Il est rusé, très intelligent. Il se salit rarement les mains, mais il le fera si nécessaire. Quand nous le découvrons, il est riche et connaît la réussite, mais Bond est sur ses traces. Et dans les moments cruciaux, il ne montre jamais ses émotions. Il est froid comme la glace."
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Les contributeursCe film a reçu 2 contributions, pour les secrets de tournage, de: amlban
Les contributions faites sur cette fiche sont mises à disposition sous un contrat Creative Commons.
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A View to a Kill|John Glen|Espionnage||3|américain|1985|125|Anglais||XviD|||XVID|669 Kbps|544x224|MPEG-1 Audio layer 3|96.3 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Albert R. Broccoli Michael G. Wilson|Richard Maibaum Michael G. Wilson|Alan Hume|||Saga : James Bond |Une puce électronique dérobée dans un centre de recherches soviétique qui saute de Londres à Paris avant de faire sauter Silicon Valley. Mais l'agent 007 veille... |Roger Moore (James Bond)@Christopher Walken (Max Zorin)@Tanya Roberts (Stacey Sutton)@Grace Jones (May Day)@Patrick MacNee (Tibbett, Sir Godfrey)@Patrick Bauchau (Scarpine)@David Yip (Chuck Lee)@Fiona Fallerton (Pola Ivanova )@Manning Redwood (Bob Conley)@Alison Doody (Jenny Flex)@Willoughby Gray (Le docteur Carl Mortner)@Lois Maxwell (Miss Moneypenny)@Geoffrey Keen (Frederick Gray, Ministre de la Défense)@Jean Rougerie (Aubergine)@Daniel Benzali (WG Howe)@Lucien Jerome (Le chauffeur de taxi à Paris)@Dolph Lundgren (Venz)@Desmond Llewelyn (Q)@Walter Gotell (Général Gogol)@Walter Gotell (General Anatol Gogol)@Robert Brown (M)@Mary Stavin (Kimberley Jones)@Joe Flood (Le capitaine de police de San Francisco)@Anthony Chinn (L'homme d'affaire jeté du dirigeable)@Papillon Soo Soo (Pan Ho)@Bogdan Kominowski (Klotkoff)@Maud Adams (Une femme sur le quai des pêcheurs (non créditée))@Patricia Martinez (Une femme (non créditée))@Gérard Buhr (Le comissaire-priseur)@Derek Lyons (Un membre d'équipage de la péniche (non crédité))@Roland Malet (Un actionnaire à la vente aux enchères (non crédité))@Michael G. Wilson (Voix-off dans le San Francisco City Hall (non crédité))@Doug Robinson (Un tueur (non crédité))@||||||||||||@@
Tomorrow Never Dies|Roger Spottiswoode|Drame||3|américain, britannique|1997|114|Anglais||DivX|||DIVX|743 Kbps|640x352|MPEG-1 Audio layer 3|96.9 Kbps|False|32.0 KHz|2|694||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Barbara Broccoli Michael G. Wilson|Bruce Feirstein|Robert Elswit||United International Pictures (UIP)|Saga : James Bond |L'agent 007, alias James Bond, a pour mission de localiser l'épave du "Devonshire", une fregage de la Royal Navy, perdue dans les eaux territoriales chinoises. Il doit egalement retrouver le coupable de l'attentat, un certain Henry Gupta, ancien gauchiste activement recherché par le FBI et, enfin, remonter jusqu'au cerveau de l'operation, Elliot Carver, proprietaire du quotidien "Tomorrow" et patron du plus grand empire mediatique de tous les temps. |Pierce Brosnan (James Bond)@Jonathan Pryce (Elliott Carver)@Michelle Yeoh (Wai Lin)@Teri Hatcher (Paris Carver)@Joe Don Baker (Jack Wade)@Judi Dench (M)@Ricky Jay (Henry Gupta)@Vincent Schiavelli (le Docteur Kaufman)@Julian Fellowes (le Ministre de la Défense)@Gerard Butler@Michael Byrne (l'Amiral Kelly)@Götz Otto (Mr. Stamper )@Desmond Llewelyn (Q)@Samantha Bond (Miss Moneypenny )@Colin Salmon (Charles Robinson)@Geoffrey Palmer (l'Amiral Roebuck)@Nina Young (Tamara Steel)@Rolf Saxon (Philip Jones)@||Secrets de tournage :
Deuxième scénario
Si les personnages du film sont inspirés de ceux crées par Ian Fleming, c'est Bruce Feirstein qui a signé le scénario de Tomorrow Never Dies. L'homme n'en est pas à son coup d'essai puisqu'il avait déjà co-écrit celui de Goldeneye.
Un tournage international
Le tournage de Demain ne meurt jamais a demandé un grand effort des deuxièmes équipes puisque du fait de la multiplicité des locations, certaines séquences ont été tournées simultanément. Une scène de poursuite a lieu dans les Pyrénées. Une autre en voiture a été tourné à Hambourg en Allemagne. Toutes les scènes sur mer ont pour cadre le Mexique. La poursuite en moto a été tournée en Thaïlande.
James Bond 18
Demain ne meurt jamais est le dix-huitième épisode des aventures de James Bond au cinéma. Après Goldeneye, c'est la deuxième fois que Pierce Brosnan endosse le rôle du plus célèbre des agents secrets britanniques.
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GoldenEye|Martin Campbell|Espionnage||3|britannique, américain|1995|124|||XviD|||XVID|677 Kbps|704x288|MPEG-1 Audio layer 3|96.7 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Barbara Broccoli Michael G. Wilson|Jeffrey Caine Bruce Feirstein|Phil Meheux||United International Pictures (UIP)|Saga : James Bond |Dix-septième aventure de 007 à la poursuite d'une carte informatique, Goldeneye, capable de brouiller tout dispositif électronique, avion, train, ordinateur, téléphone... dans un rayon de 1 000 kilomètres. |Pierce Brosnan (James Bond)@Sean Bean (Alec Trevelyan)@Izabella Scorupco (Natalya Simonova)@Famke Janssen (Xenia Onatopp)@Joe Don Baker (Jack Wade)@Judi Dench (M)@Robbie Coltrane (Valentin Zukovsky)@Tchéky Karyo (Dimitri Mishkin)@Gottfried John (Colonel Ourumov)@Alan Cumming (Boris Grishenko)@Desmond Llewelyn (Q)@Samantha Bond (Miss Moneypenny)@Michael Kitchen (Bill Tanner)@Serena Gordon (Caroline)@Simon Kunz (l'officier de service Severnaya )@Minnie Driver (Irina)@Michelle Arthur (Anna)@||||||||||||@@
Goldfinger|Guy Hamilton|Policier||3|britannique|1965|105|Anglais||DivX|||DIVX|795 Kbps|512x288|MPEG-1/2 L3|106 Kbps|False|48.0 KHz|2|689||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Albert R. Broccoli Harry Saltzman|Richard Maibaum Paul Dehn|Ted Moore|||Saga : James Bond |L'agent secret 007 est chargé d'enquéter sur les revenus d'Auric Goldfinger. La banque d'Angleterre a découvert qu'il entreposait d'énormes quantités d'or, mais s'inquiète de ne pas savoir dans quel but. Quelques verres, parties de golf, poursuites et autres aventures galantes plus loin, James Bond découvre en réalité les préparatifs du "crime du siècle", dont les retombées pourraient amener le chaos économique sur les pays développés du bloc Ouest... |Sean Connery (James Bond)@Gert Frobe (Auric Goldfinger)@Honor Blackman (Pussy Galore)@Shirley Eaton (Jill Masterson)@Tania Mallet (Tilly Masterson)@Harold Sakata (Oddjob)@Bernard Lee (M)@Desmond Llewelyn (Q)@Lois Maxwell (Miss Moneypenny)@Margaret Nolan (Dink)@Burt Kwouk (Mr Ling)@Cec Linder (Felix leiter)@Richard Vernon (Smithers)@||Secrets de tournage :
Bons baisers de...
Les lieux de tournage se répartissent entre la campagne sud-américaine, Miami, la Suisse, Londres et le kentucky. La plantation d'héroïne de la séquence d'ouverture a été tourné dans une raffinerie en Angleterre.
A propos du générique
La tradition selon laquelle le thème introductif des James bond devient une chanson pop est lancée avec Goldfinger. Ici, le thème de John Barry, chanté par Shirley Bassey, fut un succès dans les charts américains. Dans le générique d'ouverture, ce sont des extraits des trois premiers James Bond qui sont projetés sur le corps peint en or de Margaret Nolan.
James Bond et les gadgets
La voiture truffée de gadgets que Q présente à Bond est une Aston Martin DB5. Elle possède, entre autres, des vitres pare-balles, une carosserie blindée, elle peut modifier ses plaques minéralogiques (Anglaises, Françaises ou Suisses), une trappe lui permet de lâcher des clous sur la route pour stopper ses poursuivants, elle est équipée d'un radar, des pointes lui permettent de crever les roues de ses ennemis, et le siège passager est éjectable.
Début de l'aventure Bond pour Guy Hamilton
Goldfinger est le premier James Bond dirigé par Guy Hamilton. Il réalisera aussi Les Diamants sont éternels, Vivre et laisser mourir, et L' Homme au pistolet d'or. Seul John Glenn réalisera plus d'épisodes que lui (5 films réalisés consécutivement de 1981 à 1989, c'est-à-dire à la fin de la période Roger Moore, puis la courte période Timothy Dalton).
Le film de tous les records
Fort Knox, où est censé se dérouler toute la séquence finale du film, a été recréé à l'identique (la taille y compris) en studio, car il était impossible de tourner sur le site pour des raisons de sécurité. Ce décor énorme devint à l'époque le plus cher jamais construit. Mais Goldfinger entra dans le Guinness Book pour avoir récupéré sa mise (il avait coûté 3 millions de dollars) en un temps record de deux semaines.
Premier Oscar pour 007
Norman Wanstall fut celui par qui James Bond reçut son premier Oscar. Ici, Wanstall fut récompensé pour son travail de mixage sur les effets sonores.
Quand les pneus crissent...
Alors que James Bond s'introduit dans le complexe de Goldfinger, il est pris en chasse par les sbires du magnat de la finance. Ses poursuivants conduisent des Mercedes noires, modèle de 1964, alors que Bond est pour la première fois au volant de sa désormais célèbre Aston Martin équipée d'extravagants gadgets de défense. A cause d'un miroir, l'agent 007 rentre dans un mur et se fait capturer.
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Never Say Never Again|Irvin Kershner|Policier||2|britannique, allemand, américain|1983|124|||DX50|||DX50|715 Kbps|704x320|MPEG-2 Audio layer 3|64.0 Kbps|False|22.05 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Jack Schwartzman|Lorenzo Semple Jr.|Douglas Slocombe||Warner Bros. France||James Bond a vieilli. Il est considéré par ses supérieurs comme étant bon pour la retraite. Mais lorsque la paix du monde est menacée par une organisation criminelle, bien obligé de faire appel à 007 ! |Sean Connery (James Bond)@Klaus Maria Brandauer (Maximilian Largo)@Barbara Carrera (Fatima Blush)@Kim Basinger (Domino Petachi)@Max von Sydow (Ernst Stavro Blofeld)@Bernie Casey (Felix Leiter)@Edward Fox (M)@Alec McCowen (Q)@Pamela Salem (Mlle Moneypenny)@Valerie Leon (La femme aux Bahamas)@Robert Rietty (Un ministre italien)@Vincent Marzello@Manning Redwood (Le général Miller)@Michael Medwin@Joanna Dickens@Paul Tucker@Jill Meager (La réceptionniste du spa)@Rocky Taylor@Rowan Atkinson (Nigel)@Milos Kirek (Kovacs )@Pat Roach (Lippe)@Anthony Sharp (Lord Ambrose)@Prunella Gee (Patricia)@Gavan O'Herlihy (Jack Petachi)@Ronald Pickup (Elliott)@Saskia Cohen Tanugi (Nicole)@||Secrets de tournage :
Ernst Blofeld à l'écran
Ernst Blofeld, ennemi juré de James Bond et chef de l'organisation criminelle Le Spectre, a été incarné à l'écran par six acteurs différents : Anthony Dawson dans Bons baisers de Russie et Opération Tonnerre, Donald Pleasence dans On ne vit que deux fois, Telly Savalas dans Au service secret de sa Majesté, Charles Gray dans Les Diamants sont éternels, John Hollis dans Rien que pour vos yeux et Max von Sydow dans Jamais plus jamais.
La genèse de Dr. No
Le rôle du sombre Dr. No dans James Bond 007 contre Dr. No (1962) fut initialement proposé à Max von Sydow (ainsi qu'à Christopher Lee), puis fut finalement confié à Joseph Wiseman. C'est Ian Fleming lui-même qui proposa Christopher Lee, son cousin, dont le personnage de Fu Manchu l'avait inspiré pour créer le Dr. No. Avant cela, il avait proposé le rôle à Noel Coward qui déclina l'invitation par un télégramme disant : "Dr. No? No! No! No!".
Max von Sydow s'essaiera toutefois à l'univers bondien dans Jamais plus jamais en 1983 (remake de Opération Tonnerre - 1965), dans lequel il affronte 007 alias Sean Connery, sous les traits du sombre Ernst Stavro Blofeld. Quant à Christopher Lee, il participera à la franchise en incarnant Scaramanga dans L'Homme au pistolet d'or en 1974.
Bons baisers de...
Dans ce film James Bond passe son temps entre Londres, Monte Carlo et le sud de la France, Nassau et les Bahamas, et l'Afrique du nord.
Sean connery reprend du service
Sean Connery avait affirmé en 1971 après la sortie des Diamants sont éternels qu'il ne réendosserait plus le costume de l'agent 007. Mais le titre le dit bien, qui affirme littéralement " il ne faut jamais dire "jamais" ". Pour la coquette somme de 5 millions Connery s'est laissé convaincre de revenir sur sa décision. Les années ont passé mais il interprète le personnage qui le rendit célèbre dans le monde entier avec une classe intacte.
Le duel Roger Moore/Sean Connery
Les producteurs et les distributeurs s'accordèrent pour que leur film sorte en même temps que le film "officiel" avec Roger Moore. Mais malgré la présence de Sean Connery, ce fut Octopussy qui recueillit les faveurs du public. En effet, Jamais plus jamais ne rapporta que l'équivalent des recettes du premier James Bond en 1962 (James Bond 007 contre Dr. No), 19 ans plus tôt.
Une voiture en or
Le noir est synonyme d'élégance mais aussi de classicisme. Fatima Blush, femme fatale n'ayant de cesse de vouloir éliminer Bond, semble préférer la fantaisie comme en atteste sa Renaud turbo rouge, mais surtout sa Mercedes SL convertible peinte en or métallisé. Le temps des Mercedes noires (comme leur âme) semble révolu pour les méchants.
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Diamonds Are Forever|Guy Hamilton|Espionnage||2|britannique|1971|114|Anglais||DivX|||DIVX|713 Kbps|512x280|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|32.0 KHz|2|672||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Albert R. Broccoli|Richard Maibaum|Ted Moore|||Saga : James Bond |James Bond se lance à la recherche d'un trafiquant de diamants, à Amsterdam, et se retrouve face au terrifiant Blofeld. Ce dernier est en passe de finir la construction d'un gigantesque laser d'une puissance terrifiante, à l'aide de tous les diamants qu'il a rassemblés, pour détruire Washington. |Sean Connery (James Bond)@Jill St. John (Tiffany Case)@Charles Gray (Ernst Stavro Blofeld)@Bruce Glover (Mr. Wint)@Desmond Llewelyn (Q)@Lana Wood (Plenty O'Toole)@Jimmy Dean (Willard Whyte)@Bruce Cabot (Albert R. Saxby)@Jill St John@Laurence Naismith@Laurence Naismith (Sir Donald Munger)@Norman Burton (Félix Leiter)@||Secrets de tournage :
Le retour de Sean Connery
Les Diamants sont éternels permet à Sean Connery de retrouver son personnage fétiche d'agent secret alors qu'il avait décidé de ne plus enfiler le smoking de James Bond après On ne vit que deux fois. Ce sont les studios United Artists qui firent de nouveau appel à lui après l'échec de Au service secret de sa Majesté, échec dont ils tinrent responsable l'acteur George Lazenby. Le comédien britannique accepta de reprendre le rôle moyennant 1,25 million de dollars, un pourcentage sur les bénéfices et la promesse de la compagnie de l'engager dans deux films qu'elle produirait. George Hamilton, le réalisateur de Goldfinger, fut également appelé à la rescousse pour permettre à la saga d'espionnage de renouer avec le succès.
Tourné à Hollywood
Les Diamants sont éternels est le premier James Bond à avoir été tourné à Hollywood.
Burt Reynolds et John Gavin pressentis
Burt Reynolds et John Gavin, vu dans Les Oiseaux, furent un temps pressentis pour prendre la relève de George Lazenby dans le rôle de James Bond.
Ernst Blofeld à l'écran
Ernst Blofeld, ennemi juré de James Bond et chef de l'organisation criminelle Le Spectre, a été incarné à l'écran par six acteurs différents : Anthony Dawson dans Bons baisers de Russie et Opération Tonnerre, Donald Pleasence dans On ne vit que deux fois, Telly Savalas dans Au service secret de sa Majesté, Charles Gray dans Les Diamants sont éternels, John Hollis dans Rien que pour vos yeux et Max von Sydow dans Jamais plus jamais.
Sammy Davis Jr. à la roulette
Sammy Davis Jr. fait une brève apparition à l'écran en jouant à la roulette.
Nominé à l'Oscar
En 1972, Les Diamants sont éternels fut nominé à l'Oscar dans la catégorie Meilleur son.
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The Spy Who Loved Me|Lewis Gilbert|Aventure||3|britannique|1977|120|Anglais||XviD|||XVID|704 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|96.2 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Albert R. Broccoli|Richard Maibaum Christopher Wood|Claude Renoir|||Saga : James Bond |Les gouvernements soviétique et américain sont sur les dents : on leur a dérobé des sous-marins nucléaires. L'agent 007 et Anya, charmante espionne soviétique, tentent de déjouer les noirs desseins du méchant Stromberg... |Roger Moore (James Bond)@Curd Jürgens (Karl Stromberg)@Barbara Bach (Anya Amasova)@Richard Kiel (Jaws)@Caroline Munro (Naomi)@Walter Gotell (General Anatol Gogol)@Geoffrey Keen (Sir Frederick Gray)@George Baker (Capitaine Benson)@Michael Billington (Sergei Barsov)@Bernard Lee (M)@Desmond Llewelyn (Q)@Edward De Souza (Sheikh Hosein)@Vernon Dobtcheff (Max Kalba)@Valerie Leon (La réceptionniste de l'hôtel)@Lois Maxwell (Miss Moneypenny)@Sydney Tafler@Nadim Sawalha (Aziz Fekkesh)@Milo Sperber (Prof. Markovitz)@Shane Rimmer (Le commandant Carter)@Desmond Llewelyn (Q)@Robert Brown (Amiral Hargreaves)@Milton Reid (Sandor)@||||||||||||@@
The Man with the Golden Gun|Guy Hamilton|Espionnage||3|britannique|1974|119|Anglais||XviD|||XVID|708 Kbps|672x362|MPEG-1 Audio layer 3|96.2 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Albert R. Broccoli Harry Saltzman|Richard Maibaum Tom Mankiewicz|Ted Moore|||Saga : James Bond |A Bangkok, James Bond affronte le tueur a gages le plus efficace et le plus cruel, Scaramanga, l'homme au pistolet d'or. |Roger Moore (James Bond)@Christopher Lee (Scaramanga)@Britt Ekland (Mary)@Maud Adams (Andrea)@Herve Villechaize (Nick Nack)@Lois Maxwell (Miss Moneypenny)@Bernard Lee (M)@Michael Goodliffe (chef d'équipe)@Desmond Llewelyn (Q)@Clifton James (Shérif Pepper)@Soon-Tek Oh (Lieurenant Hip)@Ray Marioni (Al Capone)@Yuen Qiu (Nara )@Marc Lawrence@Richard Loo (Haï-Fat)@Marc Lawrence (Rodney)@||Secrets de tournage :
Al Capone à l'écran
Célèbre baron de la pègre américaine, Al "Scarface" Capone a forcément inspiré de nombreux cinéastes, avec une trentaine de films et téléfilms. Outre Robert De Niro dans Les Incorruptibles, on retiendra parmi ses incarnations Rod Steiger (Al Capone, 1959), Jason Robards (L'Affaire Al Capone, 1967), Maurice Barrier (Salut l'artiste, 1973), Ray Marioni (non crédité dans L'Homme au pistolet d'or, 1974), Ben Gazzara (Capone, 1975), et F. Murray Abraham (Dillinger and Capone et Baby Face Nelson, 1995). Sans oublier Neville Brand dans la série Les Incorruptibles, tournée de 1959 à 1963.
Quant à son cousin et bras droit/homme de main Frank Nitti, il sera notamment incarné par Sylvester Stallone (Capone, 1975), Billy Drago (Les Incorruptibles, 1987), et Stanley Tucci (Les Sentiers de la perdition, 2002).
Britt Ekland en Mary Goodnight
L'actrice d'origine suédoise Britt Ekland s'est présenté au casting de L'Homme au pistolet d'or pour interpréter le rôle de la maîtresse de Scaramanga, tenu finalement par Maud Adams. Le réalisateur Guy Hamilton a préféré lui donner le rôle de Mary Goodnight après l'avoir vu en bikini.
Changement de casting
Le rôle titre de L' Homme au pistolet d'or n'est pas revenu tout de suite à Christopher Lee. Ce rôle a tout d'abord été offert à Jack Palance. Ce n'est qu'après que Christopher Lee s'est vu attribuer l'interprétation de Scaramanga. L'acteur est d'ailleurs dans la vie le cousin de Ian Fleming, l'auteur qui a créé le personnage de James Bond.
Le dernier Ian Fleming
L'Homme au pistolet d'or a été le dernier roman de l'auteur Ian Fleming, le créateur du personnage de James Bond.
Le lieu de l'action
L'action de L'Homme au pistolet d'or selon le roman de Ian Fleming se déroulait à la Jamaïque, mais le dernier opus de la série James Bond, Vivre et laisser mourir, se déroulant déjà dans les Caraïbes, les scénaristes ont déplacé l'action de cette nouvelle aventure de l'agent secret vers l'Asie.
Maud Adams, 3 fois James Bond Girl
Maud Adams, qui incarne la maîtresse de Christopher Lee dans L' Homme au pistolet d'or, retrouvera encore deux fois le monde de l'espion britannique : elle incarnera Octopussy en 1983 et elle apparaîtra en caméo dans Dangereusement votre en 1985.
James Bond en Russie
Bien qu'en 1974 la Guerre Froide entre les Etats-Unis et l'U.R.S.S. n'était pas encore terminé, le film L' Homme au pistolet d'or a néanmoins été le premier film de la franchise James Bond à franchir les frontières des pays de l'ex-Union Soviétique.
Roger Moore et James Bond
Roger Moore a endossé 7 fois le costume de l'agent secret britannique 007. L' Homme au pistolet d'or représente sa deuxième participation dans les aventures de James Bond, après Vivre et laisser mourir en 1973.
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Die Another Day|Lee Tamahori|Espionnage||3|britannique, américain|2002|128|Anglais||XviD|||XVID|527 Kbps|512x216|MPEG-1 Audio layer 3|110 Kbps|False|48.0 KHz|2|702||||23.976|09/08/2009 00:00:00|Barbara Broccoli Michael G. Wilson|Neal Purvis Robert Wade|David Tattersall||UFD|Saga : James Bond |Une opération secrète, menée en Corée du Nord par James Bond et deux de ses hommes, est compromise par un traître non identifié. S'ensuit une course-poursuite en hovercraft au cours de laquelle le colonel nord-coréen Moon trouve la mort et son lieutenant, Zao, est grièvement blessé. James Bond est quant à lui capturé et jeté dans une prison militaire.Après quelques mois de détention, ce dernier est libéré à l'occasion d'un échange de prisonniers organisé par Falco, le directeur de la National Security Agency. Démis de ses fonctions, l'ancien agent secret est décidé à retrouver Zao et à démasquer le traître qui a entraîné sa chute. Sa quête, riche en rebondissements, l'amènera à faire la rencontre de la belle et mystérieuse Jinx et de Gustav Graves, un mégalomaniaque propriétaire d'un somptueux palais de glace islandais et d'une arme d'une puissance insoupçonnée. |Pierce Brosnan (James Bond)@Halle Berry (Jinx )@Toby Stephens (Gustav Graves)@Rosamund Pike (Miranda Frost)@Rick Yune (Zao)@Will Yun Lee (le colonel Moon)@Michael Madsen (Falco)@Judi Dench (M )@Samantha Bond (Miss Moneypenny )@John Cleese (Q)@Colin Salmon (Charles Robinson)@Michael Gorevoy (Vlad)@Madonna (le professeur d'escrime)@Emilio Echevarria (Raul)@Lawrence Makoare (Monsieur Kil)@Anna Edwards (la fille scorpion)@Thomas Ho (le garde coréen)@||Secrets de tournage :
James Bond : vingtième !
Meurs un autre jour est le vingtième épisode officiel de la saga mettant en vedette James Bond, héros issu de l'imagination de Ian Fleming. A noter que Jamais plus jamais, qui n'est pas produit par la famille Brocoli, détentrice des droits, ne fait pas partie de la série officielle. Dans Meurs un autre jour, c'est Pierce Brosnan qui incarne l'agent secret 007, et ce pour la quatrième fois, après Goldeneye, Demain ne meurt jamais et Le Monde ne suffit pas.
Pierce Brosnan : 100% Bond !
Pierce Brosnan s'exprime avec entrain sur ce nouveau volet des aventures de James Bond. "Sur Meurs un autre jour, nous bénéficions d'une histoire et d'un personnage forts. Bond essaie de se racheter, de revenir dans le jeu. On l'a dépouillé de ses privilèges d'agent 00, réduit au rang de simple observateur, mais on ne lui a pas enlevé ses précieux gadgets, aussi indispensables à ses aventures que les explosions et les scènes d'action à grand spectacle. (...) L'intrigue est sensiblement plus linéaire que celle des deux épisodes précédents. Ce qui me paraît plus plaisant, tant pour le public que pour l'acteur.
Et quand on lui demande quel est son meilleur souvenir sur le film, c'est tout le côté charmeur de Bond qui revient au galop : "Halle Berry émergeant de l'onde. Travailler avec Halle, c'est le top !"
Le thème de James Bond signé Madonna
C'est la chanteuse américaine Madonna qui a composé le thème musical des ces nouvelles aventures de l'agent 007, avec une chanson logiquement baptisée Die another day. Madonna effectue par ailleurs une petite apparition dans le film en incarnant un professeur d'escrime.
Halle Berry : du rêve à la réalité
La comédienne Halle Berry, James Bond girl de Meurs un autre jour, n'en revient pas d'avoir participé à l'aventure et revient sur son amour pour la saga. "Je suis moi-même une fan de Bond, avec une préférence pour les quatre ou cinq plus récents. Quand j'étais jeune, certaines intrigues me paraissaient très compliquées. J'aimais découvrir les gadgets, regarder les filles, suivre le héros mais je me perdais un peu dans les méandres de l'histoire. J'ai plus apprécié les derniers films de la série, et Pierce Brosnan m'apparaît comme un Bond de rêve."
Le choix du réalisateur
Le choix de Lee Tamahori comme réalisateur de Meurs un autre jour a été l'objet d'une intense réflexion pour les producteurs Michael G. Wilson et Barbara Broccoli. "Notre premier objectif fut de dénicher un vrai réalisateur capable de maîtriser tous les enjeux de cette vaste entreprise et de répondre aux attentes du public. Quelqu'un qui saurait bâtir une nouvelle histoire propre à surprendre le spectateur, à lui apporter encore plus qu'il n'espère. Lee Tamahori est très dynamique et doué d'un sens visuel aigu."
Un James Bond plus sombre...
Neal Purvis et Robert Wade, les scénariste de Meurs un autre jour, ont souhaité "étoffer la personnalité du héros pour éviter la caricature. Nous avons tenté de "Fleminguer" James Bond en soulignant un côté plus sombre de son caractère. Nous étions décidés à travailler cet aspect un peu trouble de Bond, tout en respectant certains rituels, comme les scènes avec Q et Moneypenny, l'inventaire des nouveaux gadgets, etc. Des conventions qu'il n'est pas toujours aisé de renouveler."
Pierce Brosnan selon son réalisateur...
Lee Tamahori reconnaît être tombé sur un comédien très professionnel en la personne de Pierce Brosnan. "Avec lui, la plus grande prudence s'impose, car voilà un acteur qui attend de chaque metteur en scène qu'il réinvente la roue ! Vous ne pouvez pas vous permettre n'importe quelle fantaisie avec un tel héros : l'envoyer en analyse, en faire un angoissé, un vélléitaire torturé par le doute. Le public ne l'accepterait pas. Mais vous ne pouvez pas davantage lui faire faire eternellement les mêmes choses, faute de tomber dans une routine insipide. Par bonheur, Pierce connaît le personnage de A à Z, et si jamais vous lui dites : "Ecoute, je ne sais pas comment Bond peut réagir dans cette scène", il vous dira aussitôt : "Moi, je sais"."
Lee Tamahori bouleverse la saga...
Lee Tamahori a surpris, voire inquiété la production de Meurs un autre jour. Le réalisateur néo-zélandais a en effet proposé d'insérer pour la première fois dans la saga des effets spéciaux et infographiques. "Ma proposition a été accueillie avec une certaines nervosité parce que les films de James Bond sont traditionnellement basés sur de vraies cascades et non sur des trucages à la Matrix. Nous avons, cette fois, changé notre fusil d'épaule parce que l'effet recherché était physiquement irréalisable : comment simuler une lame de fond provoquée par l'effondrement de millions de tonnes de glace et exposer des cascadeurs à un cataclysme de cette ampleur ?"
"La règle des 3 G" !
Lee Tamahori, le réalisateur aux commandes de Meurs un autre jour, déclare ne pas avoir été inhibé par l'ampleur du projet et possède même sa petite formule pour mettre en chantier un épisode de James Bond. "Je savais ce qui m'attendait : un film de James Bond s'inscrit dans un genre bien précis et ne se conçoit pas sans certains ingrédients. Je suis sûr que Martin Campbell, Roger Spottiswoode ou Michael Apted vous diraient la même chose. Vous devez satisfaire à la règle des "3 G" : girls, guns & gadgets, et mettre le turbo dans les scènes d'action. Tels sont les principes incontournables de James Bond. Partant de là, vous disposez d'une grande marge de manoeuvre. Mais rappelez-vous ceci : quelle que soit la manière dont vous les accomodez, vous retournerez toujours à ces mêmes ingrédients qui ravissent le spectateur."
Un réalisateur dévoué à la saga
Lorsque l'on demande au réalisateur néo-zélandais Lee Tamahori sa vision de la saga James Bond, il ne manque pas d'enthousiasme. "J'ai toujours aimé les films de James Bond", déclare-t-il. "Je n'en ai pas manqué un seul et suis un fan de la première heure. Goldeneye redonnait à mon sens un formidable coup de jeune à la série, et c'est à partir de là que j'ai recommencé à m'intéresser à 007. J'ai vu en lui un nouveau genre d'agent tueur, bien différent de l'homme raffiné, suave et sexiste qui l'avait précédé. C'était surtout un retour au super-films d'action que j'aime. Bond est le roi en ce domaine. Personne n'a fait mieux. Avec Meurs un autre jour se présentait donc l'opportunité de faire un film d'éction émaillé de cascades délirantes. J'ai tout de suite dit oui."
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Un Palais... de glace !
L'un des décors les plus impressionnants de Meurs un autre jour est sans conteste le gigantesque Palais de Glace, construit sur le plateau 007 des studios Pinewood. Peter Lamont, chef décorateur, se souvient que "le problème majeur consistait à donner à ce Palais l'apparence de la glace, mais je pense que nous l'avons résolu de façon satisfaisante. Son modèle, que j'ai visité en Suède, à l'avantage incomparable d'être taillé dans la glace, mais il n'a pas le style imposant du nôtre."
L'appel fait à Versace
La chef costumière de Meurs un autre jour, Lindy Hemming, est particulièrement fière d'avoir convaincu la créatrice de mode Donatella Versace pour les besoins du film. Celle-ci a en effet été chargée de créer une robe pour Halle Berry. "Je doute qu'elle passe inaperçue !", glisse mystérieusement Lyndi Hemming.
Une voiture qui défie James Bond !
L'ennemi de James Bond possède la particularité de posséder une automobile extrêmement sophistiquée, qui concuurence sévèrement le véhicule de l'agent 007. "C'est la première fois dans l'histoire de la série que le méchant dispose à bord de sa voiture d'un arsenal encore plus impressionant que Bond dans sa légendaire Aston Martin", affirme Chris Corbould, superviseur des effets spéciaux du film. "Cela donne du piment à la scène et en fait un palpitant jeu du chat et de la souris. La Jaguar est suréquipée, mais Bond use plus habilement de sa panoplie. Celle-ci est en outre plus subtile que celle du méchant, qui pêche par sa démesure."
Un décor toujours différent
La mission du chef décorateur Simon Wakefield sur Meurs un autre jour a été de "matérialiser sa vision et de conférer au film le look approprié." Pour ce nouveau volet des aventures de James Bond, c'est la glace qui est l'élément le plus mis en valeur. Mais pour Simon Wakefield, ce n'est pas que ça : "Coexistent dans ce film deux looks extrêmes, qui vont du plus raffiné au plus sordide. C'est un des attraits des James Bond dont Peter Lamont se régale. Vous ne verrez d'ailleurs jamais deux décors identiques dans ce film..."
Rumeurs de casting...
Lors de la pré-production de Meurs un autre jour, les comédiennes Saffron Burrows et Salma Hayek furent pressenties pour faire partie de la distribution du film.
Une occasion manquée
Selon la rumeur, Meurs un autre jour aurait dû être le premier épisode de James Bond à reconduire la même vedette féminine. Michelle Yeoh aurait ainsi du être de l'aventure, mais des problèmes d'emploi du temps l'en empêchèrent. Le rôle tenu par Halle Berry aurait ensuite été revu et étoffé afin de pallier l'absence de la comédienne asiatique.
Les blessures de Brosnan et Berry
Le tournage de Meurs un autre jour a du être interrompu durant deux semaines. La raison : une blessure au genou de Pierce Brosnan intervenue lors d'une scène de combat aquatique. Quant à Halle Berry, elle a également victime des risques du métier puisqu'elle a été touchée à l'oeil gauche par un éclat de grenade.
Un autre réalisateur pressenti ?
La rumeur voudrait que Pierce Brosnan, à l'aube du projet, ait souhaité un autre réalisateur que Lee Tamahori pour prendre les commandes de ces nouvelles aventures de l'agent 007. Le comédien aurait ainsi plébiscité l'américain Brett Ratner, à qui l'on doit Rush hour et Dragon Rouge.
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Moonraker|Lewis Gilbert|Aventure||3|britannique|1979|121|||XviD|||XVID|699 Kbps|704x288|MPEG-1 Audio layer 3|96.2 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Albert R. Broccoli|Christopher Wood|Jean Tournier|||Saga : James Bond |007 enquete sur la disparition en plein vol d'une navette americaine. |Roger Moore (James Bond)@Lois Chiles (Holly Goodhead )@Michael Lonsdale (Hugo Drax )@Richard Kiel (Jaws)@Corinne Cléry (Corinne Dufour)@Bernard Lee (M)@Geoffrey Keen (Le Ministre de la Défense)@Desmond Llewelyn (Q)@Lois Maxwell (Miss Moneypenny)@Alfie Bass@Brian Keith@Georges Beller@Alfie Bass (Tueur)@Brian Keith (Capitaine de l'U.S. Schuttle)@Georges Beller (Technicien de Drax)@Walter Gotell (Général Gogol)@Jean-Pierre Castaldi (Pilote du jet privé)@||||||||||||@@
Octopussy|John Glen|Policier||3|britannique|1983|123|Anglais||DX50|||DX50|718 Kbps|720x320|MPEG-2 Audio layer 3|64.0 Kbps|False|22.05 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Albert R. Broccoli|George MacDonald Fraser Richard Maibaum Michael G. Wilson|Alan Hume|||Saga : James Bond |Chargé d'enquéter sur la mort très suspecte de l'agent 009 (pourquoi avait-il donc cet inestimable oeuf Fabergé dans la main ?...), James Bond assiste à la mise aux enchères de l'oeuf. Le richissime Kamal Khan en fait l'acquisition. Ce prince Indien exilé semble nourrir de secrètes accointances avec le général rénégat Orlov. Mais quel lien y a-t-il entre l'oeuf, les complots du tandem russo-indien et la désirable, bien que mystérieuse, Octopussy ? Et si c'était le déclenchement de la Troisième Guerre Mondiale ?!... |Roger Moore (James Bond)@Louis Jourdan (Kamal Khan)@Maud Adams (Octopussy)@Kristina Wayborn (Magda)@Kabir Bedi (Gobinda)@Vijay Amritraj (Vijay)@Steven Berkoff (Orlov)@Robert Brown (M)@Desmond Llewelyn (Q)@Lois Maxwell (Miss Moneypenny)@Bruce Boa (Le général US)@Jeremy Bulloch (Zek)@Walter Gotell (Général Gogol)@David Meyer (Mischka)@Geoffrey Keen (Le ministre de la défense Sir Frederic Gray)@Walter Gotell (General Anatol Gogol)@Tony Meyer (Grishka)@Richard LeParmentier (Aide de camp U.S.)@Eugene Lipinski (Chef VOPO (non crédité))@Douglas Wilmer (Jim Fanning)@Michael G. Wilson (Un membre du conseil soviétique (non crédité))@Andy Bradford (009)@Albert Moses (Sadruddin)@Derek Lyons (Un officier de la base de l'US Air Force (non crédité))@||Secrets de tournage :
Bon baisers de...
Outre l'inévitable Londres, les aventures de l'agent 007 se déroulent à Moscou, en République Fédérale Allemande et en Allemagne de l'Est, mais surtout en Inde où la sublime Octopussy vit entourée de son armée de femmes guerrières. La traditionnelle séquence d'ouverture a été tournée dans la campagne sud-américaine.
A propos de la belle Octopussy
Maud Adams est la première actrice féminine à apparaître pour la deuxième fois dans un rôle important et la troisième fois dans un James bond. Elle est dans Goldfinger au générique, ensuite dans L' Homme au pistolet d'or, la petite amie de Scaramanga (Christopher Lee) et ici la mystérieuse milliardaire Octopussy.
Les méchants Français
Louis Jourdan, qui joue ici le rôle du prince Afghan Kamal Khan, est le deuxième Français à jouer un méchant dans la série James Bond, après Michel Lonsdale dans Moonraker. Depuis il y a eu Sophie Marceau dans Le Monde ne suffit pas.
Jeu, set et match !
Vijay Amritraj, qui joue ici le rôle de Vijay, agent allié des services secrets britanniques, utilise la couverture de tennisman professionnel pour mener à bien ses activités d'espionnage. Mais l'acteur est dans la vraie vie un véritable champion de tennis indien.
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You Only Live Twice|Lewis Gilbert|Policier||3|britannique|1967|111|Anglais||DivX|||DIVX|769 Kbps|576x248|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|32.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Albert R. Broccoli Harry Saltzman|Roald Dahl|Freddie Young|||Saga : James Bond |Le gouvernement d'un pays asiatique veut provoquer un conflit arme entre les Etats-Unis et l'URSS. Afin de rester dans l'anonymat, il a confie cette mission au terrible SPECTRE. Encore une occasion pour le celebre James Bond de montrer toutes ses possibilites dans bien des domaines. |Sean Connery (James Bond)@Akiko Wakabayashi (Aki)@Tetsuro Tamba (Tiger Tanaka)@Mie Hama (Kissy)@Teru Shimada (Monsieur Osato)@Karin Dor (Helga Brandt)@Bernard Lee (M)@Donald Pleasence (Blofeld)@Lois Maxwell (Miss Moneypenny)@Desmond Llewelyn (Q)@Tsai Chin@Diane Cilento@Alexander Knox (Président U.S.)@Charles Gray (Mr Henderson)@Burt Kwouk (Spectre numéro 3)@Tsai Chin (Chinoise)@Michael Chow Man-Kin (Spectre numéro 4)@||Secrets de tournage :
Ernst Blofeld à l'écran
Ernst Blofeld, ennemi juré de James Bond et chef de l'organisation criminelle Le Spectre, a été incarné à l'écran par six acteurs différents : Anthony Dawson dans Bons baisers de Russie et Opération Tonnerre, Donald Pleasence dans On ne vit que deux fois, Telly Savalas dans Au service secret de sa Majesté, Charles Gray dans Les Diamants sont éternels, John Hollis dans Rien que pour vos yeux et Max von Sydow dans Jamais plus jamais.
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Thunderball|Terence Young|Aventure||3|britannique|1965|124|Anglais||XviD|||XVID|675 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|96.2 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Albert R. Broccoli Kevin McClory Harry Saltzman|Richard Maibaum Kevin McClory Jack Whittingham John Hopkins|Ted Moore|||Saga : James Bond |L'organisation criminelle SPECTRE détourne un avion de l'OTAN transportant deux bombes atomiques et réclame une rançon au gouvernement britannique. L'agent secret James Bond est envoyé aux Bahamas à la recherche de Domino, la soeur du commandant Derval, qui pilotait le Vulcan. Celui-ci a en fait été tué et remplacé par un sosie. 007 découvre que l'instigateur de l'opération est un dénommé Emilio Largo, un homme riche et cruel passionné par les requins. |Sean Connery (James Bond)@Bernard Lee (M)@Claudine Auger (Domino)@Adolfo Celi (Emilio Largo)@Luciana Paluzzi (Fiona Volpe)@Rick van Nutter (Felix Leiter)@Desmond Llewelyn (Q)@Lois Maxwell (Miss Moneypenny)@Anthony Dawson (Ernst Stavro Blofeld)@Martine Beswick (Paula)@Earl Cameron (Pinder)@Philip Stone (Spectre n°5 (non crédité))@Michael Culver (Le copilote du bombardier (non crédité))@Albert Michel (Le prêtre (non crédité))@||Secrets de tournage :
Ernst Blofeld à l'écran
Ernst Blofeld, ennemi juré de James Bond et chef de l'organisation criminelle Le Spectre, a été incarné à l'écran par six acteurs différents : Anthony Dawson dans Bons baisers de Russie et Opération Tonnerre, Donald Pleasence dans On ne vit que deux fois, Telly Savalas dans Au service secret de sa Majesté, Charles Gray dans Les Diamants sont éternels, John Hollis dans Rien que pour vos yeux et Max von Sydow dans Jamais plus jamais.
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Quantum Of Solace|Marc Forster|Action||2|britannique, américain|2008|48|Anglais||XviD|||XVID|1 558 Kbps|640x272|AC3|448 Kbps|True|48.0 KHz|6|700||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Barbara Broccoli Michael G. Wilson|Paul Haggis Neal Purvis Robert Wade|Roberto Schaefer||Sony/Columbia|Saga : James Bond |Même s'il lutte pour ne pas faire de sa dernière mission une affaire personnelle, James Bond est décidé à traquer ceux qui ont forcé Vesper à le trahir. En interrogeant Mr White, 007 et M apprennent que l'organisation à laquelle il appartient est bien plus complexe et dangereuse que tout ce qu'ils avaient imaginé...Bond croise alors la route de la belle et pugnace Camille, qui cherche à se venger elle aussi. Elle le conduit sur la piste de Dominic Greene, un homme d'affaires impitoyable et un des piliers de la mystérieuse organisation. Au cours d'une mission qui l'entraîne en Autriche, en Italie et en Amérique du Sud, Bond découvre que Greene manoeuvre pour prendre le contrôle de l'une des ressources naturelles les plus importantes au monde en utilisant la puissance de l'organisation et en manipulant la CIA et le gouvernement britannique...Pris dans un labyrinthe de traîtrises et de meurtres, alors qu'il s'approche du vrai responsable de la trahison de Vesper, 007 doit absolument garder de l'avance sur la CIA, les terroristeset même sur M, afin de déjouer le sinistre plan de Greene et stopper l'organisation... |Daniel Craig (James Bond)@Olga Kurylenko (Camille)@Mathieu Amalric (Dominic Greene)@Judi Dench (M)@Giancarlo Giannini (René Mathis)@Gemma Arterton (l'Agent Strawberry Fields)@Jeffrey Wright (Felix Leiter)@David Harbour (Gregg Beam)@Jesper Christensen (Monsieur White)@Anatole Taubman (Elvis)@Rory Kinnear (Tanner)@Tim Pigott-Smith (le ministre britannique des Affaires étrangères)@Joaquin Cosio (le Général Medrano)@Fernando Guillen Cuervo (le Colonel de la police)@Jesus Ochoa (le Lieutenant Orso)@Glenn Foster (Henry Mitchell)@Paul Ritter (Guy Haines)@Simon Kassianides (Yusef)@Stana Katic (Corinne Veneau)@Lucrezia Lante Della Rovere (Gemma)@Neil Jackson (Monsieur Slate)@Oona Chaplin (la réceptionniste de l'hôtel)@Laurence Richardson (l'officier de police)@Rachel McDowall (Anna)@Gustavo Nanez (Un membre de Quantum)@Mark Wakeling (Un agent du MI6)@Sarah Hadland (La réceptionniste à l'Ocean Sky)@David Decio (Un agent du MI6 (non crédité))@Aaron King (Un agent du MI6 (non crédité))@Alexandra Prusa (Un membre de Quantum)@Brandon Jovanovich (Mario Cavaradossi)@Alexandre Krawetz (Spoletta)@Birol Tarkan Yildiz (Un membre de Quantum)@Dale Albright (Spoletta)@Daniel Stüssi (Un membre de Quantum)@Emilia Pountney (Hirtenknabe)@Dave Evans (Un membre de la Delta Force (non crédité))@Jaime Newball (Un barman)@Erosi Margiani (Un membre de Quantum)@Jake Seal (Un barman)@Felix Peñaranda (Le taximan bolivien)@Elizabeth Arciniega (La petite amie de Mr. White)@Kamil Krejcí (Un membre de Quantum)@Uygar Tamer (Un membre de Quantum)@Muhamed Gandura (Un membre de Quantum)@Shamel El-Salhy (Un membre de Quantum)@Tsedor Gyalzur (Un membre de Quantum)@Karine Babajanyan (Floria Tosca)@Sebastien Soules (Baron Scarpia)@Katia Velletaz (Hirtenknabe)@Martin Busen (Sciarrone)@Mike Patlin (Copilote DC-3)@Tracy Redington (Une agent du MI6 (non crédité))@Tatyana Lavrentyeva (La voisine russe (non crédité))@||Secrets de tournage :
"Quantum of Solace" : suite et fin...
Quantum of Solace, 22e volet de la saga James Bond, est la suite de Casino Royale. C'est la première fois dans la saga 007 qu'un film commence dans la directe continuité du précédent. Alors que le 21e épisode se clôturait sur la trahison de Vesper Lynd (Eva Green), on retrouve, dans Quantum of Solace, la suite de l'histoire. Le film débute une heure après la fin du premier. James Bond découvre que la femme qu'il aimait était sous l'emprise d'une organisation bien plus complexe et dangereuse que ce qu'il aurait pu imaginer : son objectif, retrouver les coupables et venger la mort de sa femme.
"Quantum of Solace" : kézako ?
Le producteur Michael G. Wilson explique le titre -mystérieux au premier abord- Quantum of Solace : "Le titre du film vient d'une nouvelle de Ian Fleming et signifie dans le contexte de cette histoire qu'une relation ne peut être sauvée que si la confiance est restaurée entre les deux parties. "Quantum" signifie quantité et "Solace" consolation, réconfort. Le titre exprime donc l'idée qu'il faut partager ses souffrances pour trouver une issue heureuse et se réconcilier avec les gens. Dans le film, Quantum of Solace fait référence à deux choses : tout d'abord au fait que Bond cherche à se consoler de la perte de Vesper, et ensuite à Quantum, l'organisation criminelle qu'il va devoir combattre."
Craig... Daniel Craig
Avec Quantum of Solace, Daniel Craig endosse le costume de 007 pour la deuxième fois consécutive. Le patron des studios MGM, Harry Sloan, avait d'ailleurs annoncé après la sortie de Casino Royale que Craig serait présent dans quatre autres James Bond. Pour rappel, l'acteur succède à Sean Connery, Roger Moore, George Lazenby, Timothy Dalton et Pierce Brosnan dans le rôle de James Bond.
Daniel Craig de retour en 007
L'acteur Daniel Craig se montre ravi de retrouver le personnage de 007 : "Je n'ai eu aucune difficulté à retrouver le personnage, c'était comme si je ne l'avais jamais quitté. Je crois que c'est aussi dû au fait que j'étais davantage impliqué : j'ai commencé à travailler sur Quantum of Solace trois mois avant le début du tournage. Un James Bond, c'est comme une énorme machine, il faut une énergie et des moyens gigantesques pour la lancer. C'est pour cela que nous avons donné le coup d'envoi après Noël, nous avions besoin de temps pour tout mettre en place."
Une question de confiance
Pour le réalisateur Marc Forster, le thème central de Quantum of Solace est la confiance. "Celle-ci peut revêtir plusieurs formes", explique-t-il. "A qui faites-vous réellement confiance ? Avez-vous confiance en vous-même ? Est-ce que nous faisons confiance aux autres ? La confiance est une chose qui nous préoccupe tous parce que nous avons tous été trahis à un moment ou un autre de notre vie."
Poursuivre l'histoire de Bond
Daniel Craig explique que Quantum of Solace développe un peu plus l'histoire de James Bond tout en confirmant son grand retour. "Nous avions envie de développer la fin un peu évasive de Casino Royale, mais pour nous il était aussi important de confirmer auprès du public que Bond était vraiment de retour", déclare-t-il. "Nous voulions également créer un nouveau film qui puisse être regardé et compris sans avoir vu le précédent. L'intrigue de Quantum of Solace est autonome, mais vous pouvez aussi la voir comme la deuxième partie d'une seule et même histoire qui a commencé dans Casino Royale. C'est une expérience incroyable et complètement nouvelle dans l'histoire des James Bond."
Daniel Craig adore le titre du nouveau Bond !
Le titre Quantum of Solace en a laissé plus d'un perplexe. Trop compliqué pour cetains, pas assez accrocheur pour d'autres... Pourtant, Daniel Craig soutient l'idée et avoue que ce choix est totalement lié à l'intrigue : "Nous aurions pu opter pour un titre plus accrocheur, mais cela suggèrerait que nous manquons d'assurance quant à ce que nous tentons de dire. La phrase est celle du créateur de Bond, Ian Fleming. L'idée est que dans une relation, s'il ne vous reste pas un quantum de consolation, alors abandonnez !". Et 007 d'ajouter : "A la fin du dernier film, son coeur a été brisé et il n'a pas une once de consolation... Sa vie s'est refermée et il doit découvrir la vérité. Ce qui est bien, c'est que cela s'applique à quelque chose de très important dans l'intrigue."
Marc Forster : un réalisateur atypique
Contre toute attente, la production de Quantum of Solace a porté son dévolu sur un réalisateur a priori peu "Bondien" pour mettre en scène le film. Marc Forster, à qui l'on doit A l'ombre de la haine, Neverland ou encore Stay, est en effet très peu, si ce n'est pas du tout, habitué aux superproductions à gros budget. Le cinéaste explique : "J'avais très envie de faire ce film, mais c'était une décision difficile à prendre parce que c'était un projet très différent de ceux que j'avais faits avant. Quand vous faites un James Bond, vous devez respecter les codes de la franchise : il doit y avoir des James Bond Girls, de belles voitures, des paysages sublimes et une histoire palpitante. Vous êtes attendu par des millions de fans. Je trouvais cela intimidant, mais cela représentait aussi une fantastique opportunité. J'étais très excité à l'idée de chercher une nouvelle manière de raconter un James Bond sans trahir ces codes. Je savais que cela allait être un véritable défi, mais c'est aussi ce qui m'attirait." Et de poursuivre sur le fait de réaliser un "très gros" film, avec une pointe de soulagement : "J'étais très intimidé par l'idée de réaliser un film d'action, mais en fait cela a été moins difficile que je ne le pensais. Quand vous avez une bonne logistique et une équipe habituée à tourner ce genre de films, cela facilite grandement les choses. Ce qui est difficile, c'est l'écriture et la préparation des scènes d'action, pas leur tournage. Il faut toujours garder à l'esprit que l'action doit servir l'histoire, parce que l'action purement pour l'action est inintéressante et n'apporte rien au film."
Mathieu Amalric : le méchant de "Quantum of Solace" !
La production de Quantum of Solace a choisi un acteur français pour incarner le méchant du 22e opus de la saga James Bond. Son choix s'est porté sur Mathieu Amalric (Le Scaphandre et le papillon, Un conte de Noël, Mesrine : L'Ennemi public n°1), qui retrouve les joies d'une superproduction internationale près de trois ans après le Munich de Steven Spielberg. Avant lui, d'autres acteurs ou actrices français ont incarné les (plus ou moins) méchants de la saga 007 : Simon Abkarian dans Casino Royale, Sophie Marceau dans Le Monde ne suffit pas, Louis Jourdan dans Octopussy ou Michael Lonsdale, accompagné de Georges Beller, dans Moonraker.
Daniel Craig fan d'Amalric
Daniel Craig ne cache pas son admiration pour l'acteur français Mathieu Amalric, qui incarne Dominic Greene, le méchant de Quantum of Solace : "Mathieu est un acteur extraordinaire. Son personnage n'est pas un savant fou ou un type à l'ego démesuré qui rêve de devenir le maître du monde. C'est juste un homme très offensif et très intelligent qui utilise ses talents pour manipuler les gens et s'enrichir le plus possible. Il se moque de blesser des gens, il balaye tout ceux qui se mettent sur sa route. Mathieu Amalric a parfaitement compris qui était Greene, il fait vraiment froid dans le dos quand il le joue, mais c'est exactement ce qu'on attend d'un méchant dans un James Bond !"
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Les contributeursCe film a reçu 12 contributions, pour les secrets de tournage, de: amlban
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L'ombre de... Sarkozy ?
Mathieu Amalric, sans que l'on sache s'il s'agit d'une plaisanterie dou d'une révélation sérieuse, déclare qu'il s'est inspiré du regard de Nicolas Sarkozy pour le personnage du méchant Dominic Greene qu'il incarne dans Quantum of Solace. Il raconte également, cette fois avec une fiabilité plus certaine : "Quand j'ai commencé à réfléchir au personnage, j'ai demandé au réalisateur si je pouvais me raser la tête, avoir une cicatrice, un oeil qui saigne ou quelque chose dans ce genre qui puisse m'aider. Marc Forster m'a répondu : "Non, ton regard suffira". Je me suis alors demandé ce qui faisait d'un personnage un méchant. Ce n'est pas le stéréotype du dingue qui cherche à détruire le monde ; il devait donc avoir un fort impact psychologique. Le jouer comme un personnage discret qui s'efforce de s'effacer, de se fondre dans le paysage a bien plus de sens parce que cela lui permet d'être plus efficace. De nos jours, il devient de plus en plus difficile de savoir qui sont les vrais méchants dans la vie, et c'est ce que nous voulions montrer avec Greene."
Deux nouvelles "James Bond Girl"
Tradition oblige, James Bond, dans le très attendu Quantum of Solace, est une fois de plus très bien entouré... Les deux James Bond Girls de ce nouvel opus sont Olga Kurylenko et Gemma Arterton. La première, d'origine ukrainienne, interprète le rôle de Camille, une jeune femme qui, tout comme Bond, cherche à se venger. L'actrice n'avait, jusqu'à présent, joué que dans des films de réalisateurs français. En 2005, elle interprète le rôle d'Iris dans L'Annulaire de Diane Bertrand. Elle joue également dans Le Serpent d'Eric Barbier et dans Hitman, de Xavier Gens.
La seconde, Gemma Arterton, est une actrice britannique encore peu connue du grand public. Plus familière des planches et du petit écran, elle fait ses premiers pas au cinéma avec Quantum of Solace.
Jack White et Alicia Keys au micro !
Alors qu'Amy Winehouse était fortement pressentie pour interpréter la chanson vedette de Quantum of Solace, ce sont finalement Jack White, le leader du groupe de rock The White Stripes, et la chanteuse de R'n'B Alicia Keys, qui ont été choisis par la production pour chanter en duo Another way to die. La chanson est une composition de Jack White, qui raconte : "Cela fait deux ans que je cherche à collaborer avec Alicia Keys, et il a fallu James Bond lui-même pour que ça finisse par se faire. (...) Alicia a mis une énergie électrique dans son souffle, qui s'est cimentée sur bande. C'était très inspirant à regarder. Ca m'a offert une nouvelle voix, je n'étais plus moi-même." De son côté, Alicia Keys déclare : "C'était génial de travailler avec Jack. J'ai toujours été une grande fan des White Stripes. C'est la première fois qu'une chanson de la saga James Bond est interprétée en duo. Jack White et Alicia Keys succèdent à Chris Cornell, qui avait composé la chanson de Casino Royale.
Un tournage aux quatre coins du monde
Le tournage de Quantum of Solace s'est déroulé aux quatre coins du globe, des studios londoniens de Pinewood à la Bolivie, en passant par le Mexique, l'Italie, le Chili et l'Autriche. Daniel Craig est particulièrement enthousiaste sur le sujet : "Ce film a été tourné dans bien plus de pays que n'importe quel autre film de la franchise. C'est un aspect important des James Bond, ils doivent faire voyager le spectateur et lui montrer des lieux excitants qui vont lui faire voir le monde autrement. Quand j'étais gamin, les films de James Bond me transportaient dans un autre univers... Chaque nouvelle aventure se déroulait dans des lieux incroyables et montrait à quel point le monde est merveilleux, vaste et varié. Nous avons fait la même chose avec Quantum of Solace... et bien plus encore."
Le retour de Judi "M" Dench
Quantum of Solace marque le retour de Judi Dench dans le rôle de M. C'est la sixième fois (elle s'est glissé dans le rôle en 1995 pour GoldenEye) que l'actrice britannique incarne la directrice du MI-6, la supérieure de James Bond. Judi Dench est la seule femme à avoir joué le personnage de M, succédant à Bernard Lee et Robert Brown.
Deux fois plus de cascades !
Quantum of Solace est annoncé par la production comme deux fois plus spectaculaire que Casino Royale. Daniel Craig, qui s'est entraîné pour effectuer le maximum de cascades lui-même, raconte : " Nous avons beaucoup travaillé parce qu'un film comme celui-ci est très exigeant. D'une certaine façon, c'est encore un peu nouveau pour moi ; pour être certain de ne pas se blesser il faut beaucoup s'entraîner et répéter les cascades le plus possible. Elles sont complexes et dangereuses, tout doit donc être parfait, à la fois pour notre sécurité et pour la qualité du spectacle."
L'épisode le plus court
Quantum of Solace est, avec une durée de 108 minutes, l'épisode le plus court de la saga 007. Etrangement, Casino Royale, le précédent opus, était lui le plus long, avec une durée de 144 minutes. Les deux premiers films mettant Daniel Craig dans la peau de James Bond se placent donc, au niveau de la durée, aux deux extrêmes de la franchise.
Jeffrey Wright reprend son rôle de Felix Leiter
Dans Casino Royale, Jeffrey Wright interprétait pour la première fois Felix Leiter, célèbre agent de la CIA et ami de 007. Il reprend ici rôle dans Quantum of Solace. Initialement interprété par Jack Lord, le personnage de Felix Leiter fait partie de l'univers Bond depuis 1962 : d'abord dans James Bond 007 contre Dr. No, puis en 1963 dans Bons baisers de Russie. Cec Linder reprendra le flambeau en 1964 dans Goldfinger puis Rik Van Nutter dans Opération Tonnerre en 1965. Et même si l'acteur change et que le personnage ne fait que de courtes apparitions, le rôle perdure. Jeffrey Wright, lorsqu'il tourne Casino Royale en 2006, est le premier acteur noir à interpréter Felix Leiter.
Une histoire de chiffres
Plus de 200 000 balles à blanc ont été achetées pour les entraînements, les répétitions et le tournage de Quantum of Solace. Par ailleurs, afin de résister à l'atmosphère chaude et humide de Colon au Panama, l'équipe du film buvait pendant le tournage plus de 1000 bouteilles d'eau par jour !
Un nouveau tailleur pour 007
Dans Quantum of Solace, James Bond est habillé par le célèbre couturier Tom Ford. La société italienne Brioni, qui s'est occupé des costumes de GoldenEye à Casino Royale, a cédé sa place à l'ancien designer de Gucci, qui a aujourd'hui créé sa propre marque. L'acteur Daniel Craig accorde d'ailleurs une grande importance à ses costumes : "L'une des choses importantes pour moi est qu'il porte des costumes incroyables, mais j'en détruis 30 à 40 pendant le tournage. C'est vraiment un crime - j'en pleure à chaque fois ! J'emporte quelques fois un costume chez moi."
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Les contributeursCe film a reçu 12 contributions, pour les secrets de tournage, de: amlban
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Accident(s) de voiture
Durant le tournage de Quantum of Solace, la célèbre Aston Martin de James Bond a terminé sa course au fond du lac de Garde, dans le Nord de l'Italie. Le conducteur, chargé d'amener le véhicule sur les lieux du tournage au petit matin, a perdu le contrôle de la voiture : secouru par les pompiers, il s'en est tiré avec quelques contusions. Plus de peur que de mal donc, sauf pour l'automobile de 007. Quatre jours plus tard, nouvel accident, plus grave cette fois : la voiture utilisée par deux cascadeurs a percuté le camion de tournage puis un mur. L'un des deux hommes a été emmené en réanimation dans un état sérieux à l'hôpital Borgo Trento de Vérone.
Une scène aux moyens gigantesques
Le tournage de la scène finale de Quantum of Solace, tournée dans les studios londoniens de Pinewood, a duré douze jours et a nécessité pas moins de 54 explosions.
De drôles de voix additionnelles...
Au générique de Quantum of Solace, on peut apercevoir deux grands noms de la mise en scène, crédités pour avoir été "voix additionnelles" sur le film : Guillermo Del Toro (Hellboy, Le Labyrinthe de Pan) et Alfonso Cuarón (Harry Potter et le prisonnier d'Azkaban, Les Fils de l'homme).
Clin d'oeil aux Beatles...
Si son prénom n'est jamais prononcé à l'écran, l'Agent Fields (Gemma Arterton) a un patronyme assez spécial (dévoilé dans le générique final) : Strawberry.
Parce qu'il le vaut bien !
Avec un budget estimé à plus de 200 millions de dollars, Quantum Of Solace s'affirme comme l'épisode le plus cher de la franchise.
Carnet noir
Lois Maxwell, interprète historique de Miss Moneypenny dans de nombreux films de la franchise, décéda en septembre 2007 durant la pré-production du film.
Caméo
Comme il est de coutume dans un film de 007 le producteur Michael G. Wilson fait une brève apparition dans le film en tant que client de l'hôtel d'Haiti où Bond démarre son enquête.
Duo de choc
Pour la première fois dans la franchise, la chanson générique "Another way to die" est interpretée par un duo: Alicia Keys et Jack White. Le morceau n'est toutefois pas utilisé dans l'adaptation en jeu vidéo et est remplacé par "When nobody loves you" de Kerli. Amy Winehouse fut envisagée pour interpréter le générique mais l'idée fut abandonnée vu les problèmes personnels de la chanteuse.
James Bond volé !
Le tournage au Panama fut entaché de plusieurs vols dans les chambres d'hôtel des membres de l'équipe, dont Daniel Craig.
Merci mais non merci !
Paul Haggis, qui ecrivit le script du film, refusa de le mettre en scène préférant se concentrer sur son métier de scénariste. Roger Mitchell refusa également estimant que les délais de tournage étaient trop courts.
« Préc.
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Les contributeursCe film a reçu 12 contributions, pour les secrets de tournage, de: amlban
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For Your Eyes Only|John Glen|Policier||3|britannique|1981|122|Anglais||XviD|||XVID|690 Kbps|704x288|MPEG-1 Audio layer 3|96.5 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Albert R. Broccoli|Richard Maibaum Michael G. Wilson|Alan Hume|||Saga : James Bond |Un bateau espion du Royaume-Uni, sombre dans les eaux albanaises après avoir heurté une mine, engloutissant avec lui l'ATAC, système top secret de lancement de missiles. Les services secrets britanniques déclenchent une opération sous-marine discrète pour récupérer l'appareil. L'opération est conduite par un couple d'archéologues marins, Timothy et Iona Havelock. Mais le tueur cubain Hector Gonzalès interrompt brutalement les recherches en assassinant le couple sous les yeux de sa fille Mélina. James Bond entre alors en scène et s'en va enquêter, secondé de la séduisante et vengeresse Mélina, sur les liens de Gonzalès avec le système ATAC... |Roger Moore (James Bond)@Carole Bouquet (Mélina Havelock)@Lynn-Holly Johnson (Bibi Dahl)@Julian Glover (Aristotle Kristatos)@Cassandra Harris (la comtesse Lisl)@Chaim Topol (Columbo)@Desmond Llewelyn (Q)@Lois Maxwell (Miss Moneypenny)@Charles Dance (Claus)@Jill Bennett@James Villiers (Colonel Tanner)@Michael Gothard (Locque)@Jill Bennett (Jacoba Brink)@Jack Klaff (Apostis)@John Wyman (Eric Kriegler)@Walter Gotell (Général Gogol)@John Hollis (Ernst Stavro Blofeld)@Walter Gotell (General Anatol Gogol)@John Wells (Denis Thatcher)@Michael G. Wilson (Un prêtre grec (non crédité))@Jeremy Bulloch (Smithers (non crédité))@Robert Rietty (Ernst Stavro Blofeld (voix))@Jack Hedley (Sir Timothy Havelock)@Janet Brown (Margaret Thatcher)@Maureen Bennett (Sharon l'assistante de Q (non créditée))@Stefan Kalipha (Hector Gonzales)@||Secrets de tournage :
Ernst Blofeld à l'écran
Ernst Blofeld, ennemi juré de James Bond et chef de l'organisation criminelle Le Spectre, a été incarné à l'écran par six acteurs différents : Anthony Dawson dans Bons baisers de Russie et Opération Tonnerre, Donald Pleasence dans On ne vit que deux fois, Telly Savalas dans Au service secret de sa Majesté, Charles Gray dans Les Diamants sont éternels, John Hollis dans Rien que pour vos yeux et Max von Sydow dans Jamais plus jamais.
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The Living Daylights|John Glen|Espionnage||3|américain, britannique|1987|123|Anglais||DX50|||DX50|724 Kbps|720x336|MPEG-2 Audio layer 3|56.0 Kbps|False|22.05 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Michael Wilson Albert R. Broccoli|Richard Maibaum Michael Wilson|Alec Mills||United International Pictures (UIP)|Saga : James Bond |Après que Bond ait aidé un officier soviétique à traverser le Rideau de Fer pour passer à l'ouest, il découvre avec stupeur que celui-ci a été retrouvé et kidnappé. La piste le mène sur les traces d'une belle violoncelliste, Kara, qui va l'entraîner dans une suite de situations dangereuses, avec comme paroxysme une base militaire en Afghanistan où il doit stopper un trafic d'armes. |Timothy Dalton (James Bond)@Maryam D'Abo (Kara Milovy)@Jeroen Krabbe (Général Georgi Koskov)@John Rhys-Davies (Général Leonid Pushkin)@Art Malik (Kamran Shah)@Joe Don Baker (Brad Whitaker)@Desmond Llewelyn (Q)@Robert Brown (M)@Andreas Wisniewski (Necros)@Walter Gotell (Général Gogol)@Thomas Wheatley (Saunders)@Geoffrey Keen (Sir Frederic Gray, ministre de la défense)@John Terry (Félix Leiter)@Virginia Hey (Rubavitch)@Nadim Sawalha (Le chef de la police)@||Secrets de tournage :
L'ombre de Roger Moore
Les premières versions du scénario furent rédigées dans l'idée que Roger Moore incarnerait une nouvelle fois le célèbre espion. C'est ce qui explique les nombreuses touches humoristiques qui émaillent le film, originellement destinées au caractère imprimé par Moore au personnage. Dans le film suivant, Timothy Dalton reprend les rênes de son rôle pour jouer un Bond plus sérieux et menaçant.
Titres à gogo
Le film fut distribué sous des titres différents selon les pays européens : Death Is Not a Game en France, Breeze of Death en Allemagne de l'Ouest, Immediate Risk au Portugal, 007 : High Tension en Espagne, Spies Die At Dawn au Danemark, Icecold Mission en Suède. Les spectateurs chiliens eurent même droit à His Name is Danger, tandis qu'en hébreu on traduisait par "007 in the Dangerous Zone. La raison officielle? Le titre original était difficilement traduisible dans les langues correspondantes. Le problème c'est que ces titres, du coup, n'ont plus rien à voir avec celui de départ.
Première apparition de Thimothy Dalton
Tuer n'est pas jouer marque la première incursion de Timothy Dalton dans le costume de l'espion britannique, après Sean Connery, Roger Moore et, pour le temps d'un seul film, George Lazenby. Il fut approché pour reprendre la suite de Sean Connery juste après On ne vit que deux fois mais déclina le rôle, considérant qu'il était trop jeune; sa participation à cet épisode se joua finalement à peu, puisque toute une troupe d'acteurs furent approchés avant lui : Pierce Brosnan, Sam Neill, Mark Greenstreet, et Sean Bean.
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Live and Let Die|Guy Hamilton|Espionnage||3|américain|1973|116|Anglais||DivX|||DIVX|727 Kbps|512x280|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|32.0 KHz|2|693||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Albert R. Broccoli Harry Saltzman|Tom Mankiewicz|Ted Moore|||Saga : James Bond |007 est appelé à la rescousse pour mettre fin à l'hécatombe meurtrière qui décime les agents secrets britanniques. Enquêtant à New York, dans le quartier de Harlem, il affronte un caïd de la drogue, le redoutable docteur Kananga et sa comparse, l'étrange Blanche Solitaire. |Roger Moore (James Bond)@Yaphet Kotto (Kananga / Mr Big)@Jane Seymour (Solitaire)@Clifton James (le shérif J.W. Pepper)@Julius Harris (Tee Hee)@Geoffrey Holder (Baron Samedi)@David Hedison (Felix Leiter)@Gloria Hendry (Rosie Carver)@Bernard Lee (M)@Lois Maxwell (Miss Moneypenny)@Roy Stewart (Quarrel Jr.)@Lon Satton (Harold Strutter)@Madeline Smith (Miss Caruso)@||||||||||||@@
The Bourne Identity|Doug Liman|Thriller||3|tchèque, américain|2002|117|Anglais||XviD|||XVID|716 Kbps|608x256|MPEG-1 Audio layer 3|104 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Doug Liman Patrick Crowley Richard N. Gladstein|Tony Gilroy William Blake Herron|Oliver Wood||Universal Pictures|Saga : Jason Bourne |Sur la côte adriatique, un petit bateau de pêche repère le corps inanimé d'un homme ballotté par les flots. Des marins s'empressent de le repêcher. Portant des traces de balles dans le dos, cet homme à l'identité inconnue a miraculeusement survécu, mais il ne se souvient plus de rien. Même pas de son nom. Et encore moins des raisons pour lesquelles on a tenté de le tuer.Toutefois, un indice subsiste : de sa hanche est extraite une petite capsule holographique indiquant un numéro de compte à Zurich. L'inconnu se rend alors dans une banque suisse afin de faire la lumière sur son identité. Une fois sur place, il découvre dans un coffre-fort une malette contenant plusieurs milliers de dollars, un pistolet, un passeport au nom de Jason Bourne et six autres documents d'identité de diverses nationalités. Ce dernier s'aperçoit bientôt qu'il est suivi à la trace par une mystérieuse organisation. |Matt Damon (Jason Bourne )@Franka Potente (Marie Kreutz )@Valérie Benguigui@Chris Cooper (Ted Conklin )@Brian Cox (Ward Abbott )@Clive Owen (le professeur)@Julia Stiles (Nicolette )@Adewale Akinnuoye-Agbaje (Nykwana Wombosi)@||Secrets de tournage :
Pas vraiment une suite !
Dernier volet de la franchise, La Vengeance dans la peau n'est pourtant pas véritablement une suite à La Mort dans la peau. En effet, les spectateurs avertis constateront que la trame de ce troisième opus vient en réalité s'insérer (pour l'essentiel) entre l'avant-dernière scène et la dernière scène de La Mort dans la peau ! Les dix dernières minutes de La Vengeance dans la peau déroulant ensuite l'histoire de Jason Bourne jusqu'à son dénouement. Un dénouement "aquatique" qui boucle la boucle avec La Mémoire dans la peau. Cette impressionnante construction scénaristique, inédite au cinéma, est à mettre au crédit de Tony Gilroy.
Jason Bourne, héros littéraire
Jason Bourne, le héros de La Mémoire dans la peau, est issu de l'imagination du romancier Robert Ludlum. Ce maître de la littérature d'espionnage a consacré trois best-sellers à ce personnage : La mémoire dans la peau (1980), La Mort dans la peau (1986) et La Vengeance dans la peau (1990).
Le romancier, décédé en mars 2001, officie en tant que producteur exécutif du long métrage, et a accepté que cette adaptation diffère librement de son roman, afin d'attirer une nouvelle génération de spectateurs.
Un profond souci de réalisme
Le réalisateur Doug Liman souhaitait vivement que La Mémoire dans la peau soit un film reflétant l'image exacte d'un monde, en l'occurence l'espionnage, qui est traité par le septième art de manière plus ou moins réaliste. "La plupart des films d'espionnage relèvent de la pure fantaisie", explique Doug Liman. "J'ai passé un certain temps à Washington, à l'époque où mon père travaillait sur le dossier Iran-Contra, j'y ai vu surgir de vrais espions, et n'en ai jamais rencontré un seul qui ressemble à l'image qu'en donne le cinéma."
Matt Damon séduit par son réalisateur
Selon Matt Damon, c'est le choix de Doug Liman comme réalisateur de La Mémoire dans la peau qui l'a incité à se lancer dans l'aventure. "J'ai eu envie de faire La Mémoire dans la peau pour Doug, à cause de sa sensibilité de cinéaste. J'étais sûr qu'il ne se contenterait pas de faire un film d'action hollywoodien et je me suis dit qu'il était le réalisateur idéal avec qui tenter ce genre d'expérience."
Franka Potente : la consécration internationale
La comédienne allemande Franka Potente, révélée avec le film Cours, Lola, cours!, se voit offrir l'accès au monde hollywoodien grâce à La Mémoire dans la peau. La jeune femme se montre particulièrement enthousiaste au sujet de sa première expérience américaine. "Je pense que La Mémoire dans la peau pourrait bien rénover le thriller à la Hitchcock, car, outre ses scènes d'action", explique-t-elle, "il repose sur des personnages authentiques et des relations très fortes."
Un entraînemant physique intense
Matt Damon a du subir un entraînement physique intense pour préparer son rôle. "J'avais à peu près trois mois pour me former aux arts martiaux, à la boxe, au maniement d'armes, et devenir un parfait assassin", se rappelle le comédien. Celui-ci fut ainsi initié à un art martial philippin méconnu répondant au nom de Kali. Le chef cascadeur Nick Powell explique que cette pratique "repose sur trois ou quatre mouvements simples et très rapides : parade, blocage, annihilation. On le voit très rarement au cinéma, raison pour laquelle Doug (Doug Liman, le réalisateur) l'a adopté sur ce film. Il voulait que Jason, cette véritable machine à tuer, ait une technique de combat bien à lui."
Des difficultés de tourner à Paris
L'action de la majeure partie de La Mémoire dans la peau se déroule à Paris. Tourner dans la capitale française a constitué un véritable casse-tête logistique pour l'équipe du film. Le producteur Patrick Crowley explique qu'"obtenir des permis de tournage à Paris relève du parcours du combattant. Il faut préparer un épais dossier pour chaque extérieur désiré, en indiquant très exactement où seront placées les caméras, où seront parqués les camions, etc. (...) Par ailleurs, la circulation est si dense qu'il est virtuellement impossible à une grosse équipe de couvrir deux extérieurs dans la même journée. Reste que c'est une des villes les plus belles, les plus photogéniques du monde. Je pense que les extérieurs que nous avons sélectionnés en révéleront des aspects inconnus de la majorité des spectateurs."
Doug Liman séduit par Paris
L'équipe de La Mémoire dans la peau a tourné à la fois dans les rues et les bâtiments de Paris. Le quartier de Belleville a particulièrement inspiré le réalisateur Doug Liman, pour qui ce quartier représente "le "vrai" Paris, avec son incroyable patchwork de cultures : Chinois, Vietnamiens, Juifs d'Afrique du Nord, Maghrébins, Africains... Tout cela forme un spectacle très stimulant sur le plan visuel et fort éloigné des clichés touristiques."
Prague "doublure" de Zurich
Prague, capitale de la République Tchèque, recueille de plus en plus les faveurs des studios, qui voient souvent dans cette ville européenne un merveilleux cadre pour le tournage de leurs films. Dans La Mémoire dans la peau, Prague a servi de réplique à la ville de Zurich. Le producteur Patrick Crowley explique que "Zurich n'est pas très excitante sur le plan visuel, sauf si vous la contemplez à une certaine distance, en relation avec son lac. Nous savions pouvoir trouver à Prague des extérieurs plus dramatiques et plus photogéniques. Par ailleurs, la République Tchèque est connue pour être particulièrement accueillante envers les équipes de cinéma."
Une scène ultra-physique
L'une des scènes d'action les plus spectaculaires de La Mémoire dans la peau est sans nul doute celle au cours de laquelle Matt Damon descend une façade d'immeuble à mains nues, le tout sur plus de vingt mètres. L'acteur en garde un souvenir vivace. "Cette descente est probablement ce que j'ai tourné de plus dur au cinéma. J'avais déjà quelques scènes très physiques dans Il faut sauver le soldat Ryan et A l'épreuve du feu, mais celle-ci les bat toutes, car je suis loin d'être un grimpeur confirmé."
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The Bourne Supremacy|Paul Greengrass|Action||3|américain|2004|102|Anglais||DX50|||DX50|820 Kbps|480x360|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Frank Marshall Paul L. Sandberg Patrick Crowley|Tony Gilroy|Oliver Wood||Universal Pictures|Saga : Jason Bourne |Depuis deux ans, l'ex-agent / tueur à gages de la CIA Jason Bourne et sa compagne Marie ont réussi à tromper leurs poursuivants au prix d'une vigilance sans faille. Ce paisible village de Goa aurait dû être leur dernier refuge. Vain espoir. Deux ans plus tôt, Jason avait juré de se venger de quiconque le relancerait. Il tiendra parole... |Matt Damon (Jason Bourne)@Franka Potente (Marie Kreutz)@Brian Cox (Ward Abbott)@Julia Stiles (Nicky)@Karl Urban (Kirill)@Gabriel Mann (Danny Zorn)@Joan Allen (l'agent Pamela Landy )@Marton Csokas (Jarda)@Tom Gallop (Tom Cronin)@John Bedford Lloyd (Teddy)@Michelle Monaghan (Kim)@||Secrets de tournage :
Pas vraiment une suite !
Dernier volet de la franchise, La Vengeance dans la peau n'est pourtant pas véritablement une suite à La Mort dans la peau. En effet, les spectateurs avertis constateront que la trame de ce troisième opus vient en réalité s'insérer (pour l'essentiel) entre l'avant-dernière scène et la dernière scène de La Mort dans la peau ! Les dix dernières minutes de La Vengeance dans la peau déroulant ensuite l'histoire de Jason Bourne jusqu'à son dénouement. Un dénouement "aquatique" qui boucle la boucle avec La Mémoire dans la peau. Cette impressionnante construction scénaristique, inédite au cinéma, est à mettre au crédit de Tony Gilroy.
La suite de La Mémoire dans la peau
En 2002, avec le succès international de La Mémoire dans la peau, une suite s'imposa très vite dans l'esprit des producteurs. Frank Marshall explique : "Nous avions fait un film d'espionnage intellectuel, un thriller parano d'un style inédit. Le casting à contre-emploi de Matt Damon se révéla un choix idéal. Avec lui naissait un nouveau héros d'action si passionnant, si déroutant, que nous avons eu envie de poursuivre son histoire".
L'adaptation d'un roman de Robert Ludlum
La Mort dans la peau est l'adaptation du deuxième roman du cycle Jason Bourne écrit par Robert Ludlum. Cet ouvrage a été édité en 1986 et a figuré pendant 25 semaines sur la liste des best-sellers du New York Times.
Appel au réalisateur Paul Greengrass
Doug Liman se désistant de la réalisation de ce second opus, le choix des producteurs se porta rapidement sur Paul Greengrass après avoir visionné son film Bloody Sunday. Pour eux, le style visuel intense et quasi-documentaire de ce cinéaste s'adaptait parfaitement à un projet comme La Mort dans la peau.
Tournage à Berlin
La production établit ses quartiers aux légendaires studios de Babelsberg à Berlin et sillonna la ville pour capter au mieux sa diversité et ses contrastes.
C'est au coeur de l'ancien Berlin-Est, sur le pont de la Friedrichstrasse, que fut tournée l'évasion de Bourne. La séquence de la maison de verre de Jarda fut réalisée dans le faubourg de Wannsee, et une partie de la poursuite finale à Postdam. L'Ostbanhof (gare de l'Est) berlinoise servit de réplique à une gare moscovite, et deux des quatre aéroports de Berlin furent également mis à contribution.
L'utilisation d'une Go Mobile
Le réalisme des cascades automobiles tient à l'usage du Go Mobile, une plate-forme motorisée, fabriquée par la firme Go Stunts, Inc., qui surpasse aisément les voitures-travelling d'antan. Sur ce châssis à hauteur, largeur et longueur variables, on peut simuler les déplacements de n'importe quel type de véhicule. L'équipe de production dispose ainsi d'une liberté totale dans le positionnement de la caméra et d'une multitude d'angles sur le conducteur.
Une préparation physique intensive
Outre plusieurs mois de mise en forme et d'entraînement au combat, Matt Damon, Karl Urban et plusieurs de leurs partenaires reçurent une initiation spéciale au maniement d'armes. L'acteur principal confie : "Lorsque Jason décide de prendre les armes, il fallait que celles-ci soient un prolongement naturel de son bras. Pour arriver à ce degré d'automatisme, je me suis longuement entraîné à Los Angeles avec un expert du S.W.A.T.".
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Jason X|Jim Isaac|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|2002|91|Anglais||DIV3|||DIV3|904 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|153 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|06/08/2009 00:00:00|Jim Isaac Noel Cunningham|Todd Farmer|Derick V. Underschultz||New Line Cinema|Saga : Vendredi 13 |Jason Vorhees, le célébrissime tueur en série au masque de hockey, a finalement été capturé. Ne pouvant être détruit, celui-ci se retrouve cryogénisé, comme la charmante Rowan qu'il tentait de tuer.
Près de cinq siècles plus tard, la Terre est devenue inhabitable suite aux méfaits de la pollution. Venus de la planète qui a servi d'asile à la race humaine, de jeunes archéologues partent en voyage sur la Terre pour étudier les causes du cataclysme écologique.
Au cours de leurs recherches, ils découvrent un caisson réfrigéré contenant ce qu'ils pensent être l'un de leurs plus vieux ancêtres. Afin de le préserver et d'en savoir plus, ils décident de ramener ce corps cryogénisé ainsi que celui de Rowan sur leur vaisseau spatial. Jason ne va pas tarder à sortir de son hibernation... |Kane Hodder (Jason Voorhees)@Lexa Doig (Rowan)@Lisa Ryder (Kay-Em 14)@Chuck Campbell (Tsunaron)@David Cronenberg (le Docteur Wimmer)@Boyd Banks (Fat Lou )@Jonathan Potts (le professeur Lowe)@Peter Mensah (le sergent Brodski)@Melyssa Ade (Janessa)@Dov Tiefenbach (Azrael)@Melody Johnson (Kinsa)@Derwin Jordan (Waylander)@||Secrets de tournage :
Nouveau masque
Pour son dixième anniversaire, l'increvable Jason s'offre un lifting et se paye notamment un nouveau masque pour dissimuler son visage marqué par les différentes "épreuves" subies en dix épisodes. Selon Stephan Dupuis, responsable des maquillages de Jason X, le masque est "à la fois futuriste, médiéval, cyber et totalement effrayant".
David Cronenberg en victime consentante
Jason X peut se prévaloir d'un invité de marque devant la caméra en la personne de David Cronenberg, qui n'en est pas à sa première expérience sur l'écran puisque le réalisateur était déjà apparu dans Cabal de Clive Barker (1990) ou encore dans Resurrection de Russell Mulcahy(1999). Selon le réalisateur de Jason X Jim Isaac, David Cronenberg n'avait posé qu'une condition à sa participation au projet : se faire tuer de la plus atroce des manières.
Kane Hodder pour la quatrième fois
Tueur indéboulonnable de la série des Vendredi 13, Jason Voorhees est incarné pour la quatrième fois par Kane Hodder, cascadeur et acteur spécialisé dans les films d'horreur. Celui-ci avait enfilé le célèbre maque de Jason pour la première fois en 1988 dans Vendredi 13, chapitre 7, un nouveau defi et ne l'a plus quitté depuis.
Collaborateur de Sean S. Cunningham
Metteur en scène de Jason X, Jim Isaac, qui signe là sa deuxième réalisation, est un fidèle collaborateur de Sean S. Cunningham, créateur de la série des Vendredi 13 en 1980 et producteur exécutif de Jason X. Les deux hommes se sont rencontrés en 1986 sur les plateaux de House de Steve Miner, produit par Cunningham et dont Jim Isaac assurait les effets spéciaux. Une fonction que le futur réalisateur assure également sur M.A.L.: Mutant Aquatique en Liberté signé en 1989 par Sean S. Cunnigham.
Dixième volet de la saga
Situé au 25e siècle, Jason X est le dixième volet de la série des Vendredi 13, initiée en 1980 par Sean S. Cunningham et dont le personnage principal est le croquemitaine Jason Voorhees.
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JCVD|Mabrouk el Mechri|Comédie||3|français, belge|2008|92|Français||XviD|||XVID|917 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Sidonie Dumas|Frédéric Bénudis Mabrouk el Mechri|Pierre-Yves Bastard||Peace Arch Entertainment Group Inc.||Entre ses problèmes fiscaux, la bataille juridique qui l'oppose à sa femme pour l'obtention de la garde de son fils, les périodes de vache maigre du cinéma d'action qui voient même Steven Seagal lui souffler un rôle, Jean-Claude Van Damme est venu chercher dans son pays d'enfance le calme et le repos qu'il ne trouve plus aux Etats-Unis... |Jean-Claude Van Damme (lui-même)@Karim Belkhadra (le directeur de casting)@Jean-François Wolff (Trentenaire)@Zinedine Soualem (l'homme au bonnet)@François Damiens (Bruges)@Anne Paulicevich (la guichetière)@Kim Hermans (le prisonnier en tenue de kickboxing)@Raphaëlle Lubansu@François Beukelaers@Mourade Zeguendi@Leslie Woodhall (le visiteur de prison)@Dean Gregory (le réalisateur de Tobey Wood)@Mehmet Yildirim (Un prisonnier)@||Secrets de tournage :
Un fan derrière la caméra
C'est en entendant parler d'un projet de film mettant Jean-Claude Van Damme en scène, dans son propre rôle, que Mabrouk el Mechri a eu envie de saisir cette opportunité de rendre hommage à celui qu'il décrit comme l'un des héros de son adolescence.
Round 2
Après Virgil, comédie dramatique sur fond de boxe avec Jalil Lespert et Léa Drucker, JCVD est le deuxième long métrage réalisé par Mabrouk el Mechri.
Note d'intention de Mabrouk El Mechri
"JCVD (...) ouvre des portes, fait l'éclairage sur le personnage public et privé qu'est Van Damme. Mais c'est avant tout une comédie d'action interprétée par un très bon comédien."
Gratter le vernis
"Mon désir, en m'attelant à l'écriture du scénario de JCVD, était d'agir sur cette image de star de pacotille qui lui collait à la peau et de revisiter le "mythe", déclare Mabrouk el Mechri, à propos de l'image véhiculée par Jean-Claude Van Damme.
Grand écart structurel
Interrogé sur la structure du long métrage, qui fait se succéder allers-retours entre présent et passé, et scène filmées sous plusieurs angles, Mabrouk el Mechri explique que "C'est venu logiquement, puisque JCVD est un film sur le point de vue (...) On pense toujours que devenir une star altère la perception qu'on a des autres, mais le contraire est valable : votre entourage, forcément, change d'attitude. JCVD étant basé sur ce principe, la multiplication des points de vue est devenue non seulement cohérente, mais aussi jubilatoire."
Jouer son propre rôle, c'est vraiment aware
Ce n'est pas la première fois que Jean-Claude Van Damme incarne son propre rôle dans un long métrage : le comédien était déjà apparu ainsi aux côtés d'Arnold Schwarzenegger dans Last action hero de John McTiernan, puis avec Benoît Poelvoorde dans Narco, de Tristan Aurouet et Gilles Lellouche.
Influences
Même s'il met en scène une des stars des années 80-90, en la personne de Jean-Claude Van Damme, JCVD puise ses influences stylistiques dans les années 70, et notamment des films comme Un après-midi de chien de Sidney Lumet, ou Je dois tuer de Lewis Allen, avec Frank Sinatra.
Retrouvailles
Des comédiens du premier long métrage de Mabrouk el Mechri, Virgil, seul Karim Belkhadra est au casting de JCVD, dans un rôle que le scénariste-réalisateur a écrit pour lui : "je voulais creuser la dimension comique de Karim que j'avais déjà effleurée dans Virgil."
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Je vous trouve très beau|Isabelle Mergault|Comédie dramatique||3|français|2006|94|Français||XVID|||XVID|888 Kbps|640x336|MPEG-1 Audio layer 3|129 Kbps|False|48.0 KHz|2|695||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Jean-Louis Livi|Isabelle Mergault|Laurent Fleutot||Gaumont Columbia Tristar Films||Aymé Pigrenet vient de perdre sa femme. Il n'est pas submergé par le chagrin, mais anéanti par le travail qu'il va devoir désormais effectuer tout seul à la ferme.Très vite, Aymé s'aperçoit qu'il ne peut pas s'en sortir. Il doit impérativement trouver une autre femme. Mais dans ce village, la chose n'est pas facile.Aymé décide alors de faire appel à une agence matrimoniale. Contrairement aux autres "clients", il ne recherche pas l'âme soeur mais seulement une femme solide, bien plantée sur ses deux jambes, susceptible de le seconder à la ferme. Comprenant qu'il ne recherche pas l'affectif mais l'utile, la directrice de l'agence propose à Aymé de se rendre en Roumanie où là, les filles sont prêtes à tout pour quitter la misère dans laquelle elles vivent.Et c'est effectivement en Roumanie, qu'Aymé va rencontrer Elena... |Michel Blanc (Aymé Pigrenet)@Medeea Marinescu (Elena)@Wladimir Yordanoff (Roland)@Benoît Turjman (Antoine)@Eva Darlan (Mme Marais)@Elisabeth Commelin (Françoise)@Valérie Bonneton (Maître Labaume)@Arthur Jugnot (Pierre)@Julien Cafaro (Thierry)@Valentin Traversi (Jean-Paul)@Raphaël Defour (Nicolas)@Agnès Boury (Huguette)@Choukri Gabteni (le patron du café)@Tadrina Hocking (Nicole)@Nathalie Jouin (Sylvie)@Renée Le Calm (la grand-mère)@Isabelle Mergault (le chauffeur de taxi)@||Secrets de tournage :
Un premier long métrage pour Isabelle Mergault
Pour Isabelle Mergault, réaliser ce premier long métrage n'allait pas de soi. "Je n'avais jamais réalisé, explique-t-elle, et je n'en avais même pas l'idée. C'est le producteur Jean-Louis Livi et Michel Blanc qui m'ont proposé de mettre en scène. Eux et d'autres m'y ont poussé (...) Jean-Louis Livi a eu un argument qui m'a touchée. C'est vrai qu'en tant que scénariste, parfois, on ne retrouve pas forcément tout ce qu'on a voulu mettre dans la réalisation d'un autre. Il m'a dit : "Au moins, si tu te trahis, tu ne trahiras que toi.""
L'étincelle
L'idée du film est venue à l'esprit d'Isabelle Mergault en regardant un reportage à la télévision. Celui-ci portait "sur des hommes qui vivaient à la campagne dans la solitude la plus complète et qui étaient prêts à tout pour rencontrer l'amour".
La rencontre Mergault / Blanc
Michel Blanc avait croisé Isabelle Mergault sur le tournage d'Une nuit à l'Assemblée nationale de Jean-Pierre Mocky en 1988, "juste assez longtemps pour savoir qu'elle avait autant d'humour que de caractère". Le comédien poursuit : "on s'est revu ensuite, mais notre vraie rencontre s'est faite pour ce film. Je n'étais pas surpris qu'elle écrive, car mon camarade Gérard Jugnot avait déjà réalisé Meilleur espoir féminin d'après son scénario. Cela m'a fait plaisir qu'Isabelle ait pu écrire en pensant à moi."
Le choix de Medeea Marinescu
Pour le rôle d'Elena, Isabelle Mergault et la production auditionnèrent de nombreuses jeunes filles originaires d'Europe de l'Est. Medeea Marinescu était la seule à ne pas parler français. Elle fit ses essais en ayant appris son texte phonétiquement et s'en sortit admirablement bien. La cinéaste se souvient de sa performance : "Sans la maîtrise de la langue, elle parvenait déjà à être émouvante, drôle, et l'ampleur de son potentiel de jeu se devinait déjà."
Benoît Turjman issu de l'école de mime Marcel Marceau
Pour le rôle d'Antoine, le jeune homme muet, Isabelle Mergault fit appel à Benoît Turjman, dont c'est ici la première apparition à l'écran. Celui-ci fut retenu en raison de sa formation à l'école de mime Marcel Marceau. Le comédien confie : "Ce rôle demandait un jeu qui passait autant par le physique que par les mots."
Tournage en extérieurs
Dès le départ, la production souhaita privilégier les tournages en extérieurs. Pour le producteur Jean-Louis Livi, "cela contribua énormément au climat de l'histoire mais ça compliqua aussi la logistique. Le film n'aurait jamais eu cette atmosphère si nous avions tourné en région parisienne ou en studio." Pour son premier film, Isabelle Mergault eut donc droit aux problèmes de météo et aux facéties des animaux de la ferme.
Un cameo d'Isabelle Mergault
Ayant pris au pied de la lettre la remarque d'un directeur de casting qui lui avait reproché d'être trop âgée pour le métier d'acteur, Isabelle Mergault a décidé de ne plus jouer la comédie au cinéma. Pour son film, celle-ci a tout de même consenti à incarner un chauffeur de taxi, dont on n'aperçoit que l'avant-bras à l'écran, chargé d'amener Michel Blanc et Eva Darlan à l'hôtel roumain où les attendent les postulantes pour le grand départ en France.
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Jean-Philippe|Laurent Tuel|Comédie||3|français|2006|92|Français||XviD|||XVID|916 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Olivier Delbosc Marc Fiszman Marc Missonier|Christophe Turpin|||Mars Distribution||Fabrice, cadre moyen, est un fan absolu de Johnny Hallyday, peut-être même le plus grand... Mais un jour, il se réveille dans une réalité différente, un monde parallèle où Johnny n'existe pas.
Perdu, orphelin, il se met alors à la recherche de Jean-Philippe Smet, pour savoir ce qu'il est devenu dans cette autre dimension, et lorsqu'il le retrouve enfin, c'est pour découvrir un patron de bowling, un type comme les autres qui n'est jamais devenu une star.
Fabrice n'a plus qu'un seul but : ressusciter son idole, réveiller le "Johnny" qui sommeille en Jean-Philippe.
Mais Jean-Philippe peut-il devenir en quelques mois ce que Johnny Hallyday a mis des années à construire ?
Les deux compères ont 40 ans de "Johnny" à rattraper !
A travers l'aventure de ce pari impossible, une amitié extraordinaire va naître entre les deux hommes... |Fabrice Luchini (Fabrice)@Johnny Hallyday (Jean-Philippe Smet, lui-même)@Jackie Berroyer (Le professeur)@Guilaine Londez (Babette)@Antoine Duléry (Chris Summer)@Elodie Bollée (Marion / Laura)@Olivier Guéritée (Laurent)@Caroline Cellier (Caroline)@Barbara Schulz (Gabrielle)@Francois Toumarkine (le clochard)@Christine Paolini (Édith)@Jacky Nercessian (l'instituteur)@Jean-Claude Camus (lui-même)@Laeticia Hallyday (une spectatrice du karaoké)@Benoît Poelvoorde (Bernard Frédéric)@Emilie de Preissac (La copine de Marion)@||Secrets de tournage :
De Johnny à Jean-Philippe
Dans un premier temps, Johnny Hallyday a refusé de jouer dans Jean-Philippe puisque le chanteur ne voulait pas tourner dans des fims qui touchent au domaine de la musique. Mais après avoir lu le scénario, il a finalement accepté : " Pour moi, l'intérêt du rôle était un rôle de Johnny Hallyday qui n'a jamais existé. Je ne devais pas incarner un chanteur mais Jean-Philippe Smet, qui ne le connaît pas. C'est l'histoire d'un homme normal qui n'est pas devenu ce que je suis. "
Un message universel
Laurent Tuel n'a pas voulu faire un film sur Johnny Hallyday. Même si le long métrage compte dans sa distribution deux interprètes très connus, la volonté du réalisateur était de transmettre dans son film un message universel : " le film peut intéresser beaucoup de monde en offrant l'occasion de découvrir des gens aimés sous un angle nouveau, mais on peut y suivre une histoire qui trouve un écho en chacun de nous. (...) Ce n'est pas un film sur Johnny, c'est une fable de vie avec Johnny."
20 ans après "Conseil de famille"
Fabrice Luchini et Johnny Hallyday se sont rencontrés pour la première fois sur le tournage de Conseil de famille réalisé par Costa-Gavras (1986).
Que serait la vie sans Johnny ?
Christophe Turpin a écrit le scénario de Jean-Philippe en plusieurs phases. Son idée première était d'écrire un film fantastique. Ensuite, il s'est demandé ce que changerait l'absence de Johnny Hallyday dans notre société : "Il est, dans notre pays, le seul individu qui depuis des générations, réunit tout le monde, au-delà des barrières sociales (...) C'est un cas unique. Sans être un spécialiste ou un expert, il est facile de dire qu'il compte et que son absence modifierait sensiblement notre univers quotidien et culturel."
Les hésitations de Luchini
Le soir d'une représentation au Théâtre Antoine où Fabrice Luchini jouait Knock, Johnny Hallyday est venu le voir et lui à proposer de tourner avec lui dans Jean-Philippe. Dans un premier temps, Luchini a refusé parce qu'il y avait des éléments du scénario qui lui échappaient. Mais quelques temps après, sa fille Emma et sa mère Catherine de Beauvais qui avaient été emballé à la lecture du scénario l'ont finalement convaincu de jouer dans le film.
Fabrice Luchini dans la peau d'un fan
Fabrice Luchini interprète à plusieurs reprises des chansons de Johnny Hallyday. Le chanteur ne voyait que lui pour interpréter ce rôle de fan : "Je le connais depuis longtemps. Je le vois à tous mes concerts. Nous avons passé des soirées ensemble et je l'avais déjà vu "chanter" mes chansons ! Je l'ai vu monter sur une table en public, saisir une bouteille comme un micro et m'imiter. Ce rôle lui était prédestiné. S'il n'avait pas pu le jouer, je n'aurais pas pu faire le film."
Contre-emploi
Christophe Turpin a mis deux mois pour écrire la première version du scénario de Jean-Philippe. Il ne s'est pas tellement documenté sur la personnalité et la vie de Johnny Hallyday . Il a plutôt utilisé l'image qu'il en avait lui-même. Ce qui intéressait le réalisteur, c'est de le voir dans un rôle de contre emploi où il n'est pas chanteur.
Musique
La bande originale de Jean-Philippe est composée de plusieurs chansons de Johnny Hallyday mais aussi la musique originale composée par André Manoukian ainsi que de morceaux inspirés du blues. Une partie des enregistrements s'est déroulée à Londres.
Un concert grandeur nature
Dans une scène du film, le concert au Stade de France de Johnny Hallyday a été reconstitué. Il était impossible de tourner pendant un vrai concert donc l'équipe du film a reconstitué cet évènement de grande envergure en plusieurs phases. Un tournage qui s'est avéré très technique puisque pour les plans larges, Laurent Tuel a tourné en hélicoptère autour du Stade de France. La scène et l'avant scène où se pressent les spectateurs, quant à elles ont été reconstituées en grandeur nature sur le terrain militaire à Villacoublay avec la présence de huit cents figurants et toutes les scènes de backstage ont été tournées au stade Charlety . Il a également fallu recréer la machinerie, les éclairages et la pyrotechnie. Cette reconstituon constitue une étape primordiale puisque cette scène devait ensuite être incrustée numériquement dans les images de celle du concert donné au Stade de France par Johnny Hallyday.
A la recherche des lieux de tournage
Le tournage de Jean-Philippe s'est déroulé du 27 juin au 20 septembre 2005. Pour trouver les lieux de tournage, l'équipe du film a dû parcourir 10 000 km dans la banlieue parisienne afin de trouver une dizaine d'endroits adaptés au scénario. Par exemple, le bowling est une association de trois endroits différents.
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Jennifer Eight|Bruce Robinson|Thriller||3|américain|1993|120|||XviD|||XVID|677 Kbps|688x384|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Gary Lucchesi David Wimbury|Bruce Robinson|Conrad L. Hall||United International Pictures (UIP)||John Berlin, inspecteur à Los Angeles, déménage dans sa ville natale afin d'oublier son difficile divorce. Il intègre le commissariat local et tombe très vite sur une étrange affaire de main coupée découverte dans une décharge publique. La disparition d'une jeune femme a été signalée dans un institut pour non-voyants, et d'après l'usure des doigts, la main serait justement celle d'une aveugle. John Berlin fait la connaissance d'Helena, la compagne de chambre de la disparue... |Andy Garcia (John Berlin)@Uma Thurman (Helena Robertson)@Lance Henriksen (Freddy Ross)@Graham Beckel (John Taylor)@Kathy Baker (Margie Ross)@Kevin Conway (Citrine)@John Malkovich (St Anne)@Perry Lang (Travis)@Michael O'Neill (Serato)@||Secrets de tournage :
Triple casquette
Bruce Robinson a seulement réalisé trois films à ce jour : Whitnail et moi en 1987, How to get ahead in advertising en 1989 et Jennifer 8 en 1992 dont il a également signé les scénarios. Son producteur David Wimbury a aussi travaillé sur les trois. Bruce Robinson fut d'abord acteur avant de passer derrière la caméra, et a notamment joué dans le Roméo et Juliette de Franco Zeffirelli et L'Histoire d'Adèle H de François Truffaut.
Le choix de Bruce
Si le réalisateur Bruce Robinson a choisi Uma Thurman pour interpréter le personnage d'Helena c'est, dit-il, pour "sa beauté naturelle qui la dispense de se maquiller. Or, il fallait une actrice qui accepte de jouer ainsi, car les aveugles ne se maquillent pas."
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Taboo|Max Makowski|Horreur|||Etats-unis|2002|76|Français, Anglais, Espagnol, Allemand||DX50|||DX50|1 114 Kbps|720x576|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|690||||25.000|28/07/2009 00:00:00|||||||Dans une vieille battisse éloignée, un jeu de vérité révèle imprudemment des secrets tabous sur les désirs sexuels refoulés de six jeunes étudiants, provocant la fureur meurtrière d'un membre du groupe... |Nick Stahl@Eddie Kaye Thomas@Lori Heuring@Amber Benson@January Jones@||||||||||||@@
Jin-Roh|Hiroyuki Okiura|Animation||3|japonais|1999|97|Japonais||DIV3|||DIV3|924 Kbps|704x416|MPEG-2 Audio layer 3|64.0 Kbps|False|24.0 KHz|2|698||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Tsutomu Sugita Hidekazu Terakawa|Mamoru Oshii|Hisao Shirai||CTV International||Tokyo, fin des années 50. La ville est secouée par des troubles sociaux fomentés par un groupe d'opposition appelé "La Secte". Fuse est membre de l'unité Panzer, une division surarmée de la police de sécurité métropolitaine, la POSEM.Entraîné à devenir une véritable machine à tuer, Fuse se retrouve cependant incapable de faire feu sur une fillette porteuse d'une bombe. L'enfant déclenche l'engin explosif et meurt devant ses yeux. Traumatisé par cet événement, Fuse se recueille sur la tombe de la victime et rencontre la soeur aînée de celle-ci. |Yoshikazu Fujiki (Kazuki Fuse (voix))@Sumi Mutoh (Kei Amemiya (voix))@Yukihiro Yoshida (Hajime Handa (voix))@||||||||||||@@
J'me sens pas belle|Bernard Jeanjean|Comédie||3|français|2004|84|Français||XviD|||XVID|1 027 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|704||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Antoine Rein Fabrice Goldstein Caroline Adrian|Bernard Jeanjean|Pierre Aïm|||Saga : Bernard Jeanjean / le couple |Fanny, une trentenaire célibataire, ne veut plus entendre parler d'amour mais seulement d'aventures d'un soir. Elle tente alors d'obtenir les faveurs de Paul, un collègue de bureau, mais les choses vont prendre une tournure inattendue. |Marina Foïs (Fanny)@Julien Boisselier (Paul)@||Secrets de tournage :
Premier film
J'me sens pas belle est le premier long-métrage de Bernard Jeanjean, qui se destinait initialement à une carrière de comédien. Après avoir pris des cours de théâtre, il a travaillé comme scénariste pour la télévision, en particulier pour des séries policières telles que PJ ou Une femme d'honneur.
Du ciné au théâtre
J'me sens pas belle a fait l'objet d'une adaptation théâtrale de la main même de Bernard Jeanjean. Créée en janvier 2009 à la Manufacture des Abbesses (Paris), cette pièce mettait en scène Martine Fontaine et Yvon Martin dans les rôles initialement tenus par Marina Foïs et Julien Boisselier.
Tout le plaisir est pour Julien...
En dehors de J'me sens pas belle, dans lequel il a pour partenaire Marina Foïs, Julien Boisselier est le héros de deux autres comédies romantiques sorties en salles au courant de l'été 2004. Le jeune comédien incarne le petit ami de Julie Gayet dans Clara et moi, et celui de Marie Gillain dans Tout le plaisir est pour moi.
Les intentions du cinéaste
Bernard Jeanjean revient sur l'origine du projet : "C'est parti d'un rêve éveillé un matin. J'ai eu l'image du personnage de Fanny, assise sur un lit avec un homme qui la déshabillait. Et elle se dénigrait pendant qu'il la déshabillait (...) Je savais que je tenais quelque chose. Mon envie est venue de là, de quelqu'un qui avait du désir et qui en avait peur. Je voulais que ce soit un film sur l'intimité et la découverte de l'autre. Au-delà de la rencontre amoureuse, c'est une femme qui s'ouvre de nouveau à l'amour. Je souhaitais montrer que c'était possible, que le cinéma peut servir à cela, qu'il est plus fort que la vie. J'ai eu envie de faire du bien aux gens !"
Marina chante encore une Fois
Marina Foïs, qui était déjà au centre de la comédie musicale décalée Filles perdues, cheveux gras de Claude Duty, s'essaie de nouveau à la chanson dans J'me sens pas belle. Elle y interprète "Trentenaire et célibataire", une chanson composée par Valmont sur un texte de Martine Fontaine. Valmont avait déjà signé les chansons de Filles perdues, cheveux gras. Par ailleurs, le titre du film J'me sens pas belle rappelle le refrain d'un succès de Catherine Ringer et Marc Lavoine, Qu'est-ce que t'es belle.
Le romantisme selon Marina Foïs
J'me sens pas belle offre à Marina Foïs son premier grand rôle d'amoureuse. L'actrice donne son point de vue sur le romantisme au cinéma : (...) je ne suis pas sûre d'être une spectatrice très romantique. J'adore Quand Harry rencontre Sally, mais ce n'est pas un film culte pour moi. Je ne rêve pas de vivre une histoire à la Pretty woman. Je ne suis pas sûre qu'un clair de lune me fasse fondre, je ne suis pas sûre que la façon de me toucher le plus, c'est de m'offrir des fleurs. Je ne suis pas sûre que ces codes me touchent. Je suis plus retournée par Lost in translation ou Nous ne vieillirons pas ensemble."
Influencé par Bacri-Jaoui et Almodovar
Le réalisateur voue une grande admiration à Jean-Pierre Bacri et Agnès Jaoui, "peut-être parce qu'ils viennent du théâtre et puis c'est leur côté huis clos", précise-t-il, avant d'ajouter : "Aujourd'hui, il y a une vraie tendresse dans leurs personnages, alors qu'au début c'était plus des jeux de massacre." Bernard Jeanjean se sent également proche de l'univers d'Almodovar, "dans sa façon d'aborder des choses populaires, à la fois drôles et émouvantes."
Du sondage au scénario
Bernard Jeanjean confie qu'il a procédé à une petite enquête avant de se lancer dans la construction des deux personnages du film : "Pour construire le personnage de Fanny, il fallait d'abord créer celui de Paul. J'ai interrogé un certain nombre de femmes célibataires et trentenaires qui ont du répondre à une batterie de questions dont les axes étaient : si vous aviez une aventure d'un soir, à quoi ressemblerait votre partenaire, et le deuxième axe portait sur les critères de l'homme idéal. Avec ces réponses j'ai bâti le personnage de Paul, qui pour moi devait représenter l'homme idéal. Une fois que j'ai eu cette première couche, j'ai commencé à le "salir". Je me suis dit que c'était certainement quelqu'un qui a tous ces critères en lui mais il en a très peur."
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Johnny English|Peter Howitt|Comédie||2|britannique|2003|87|||XVID|||XVID|967 Kbps|640x336|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|667||||24.047|09/08/2009 00:00:00|Tim Bevan Eric Fellner Mark Huffam|Neal Purvis Robert Wade William Davies Peter Howitt|Remi Adefarasin||Universal Pictures||Dans un monde angoissé, déboussolé, peu d'institutions sont aussi fiables que les services secrets britanniques. Leurs supers agents, leurs réseaux internationaux, leur matériel et leur panoplie high-tech en font l'ultime bastion de l'Honneur, du Devoir et de la Vérité.
Informés d'un odieux complot contre les Joyaux de la Couronne, les services secrets mettent sur le coup la crème de la crème des espions de Sa Majesté - leur agent n°1. Mais ce dernier se fait tuer et est promptement rejoint dans l'autre monde par l'élite du Renseignement...
La sécurité du pays, l'espoir de venger le contre-espionnage, la protection des Joyaux de la Couronne, symbole immémorial de la grandeur de l'Empire, reposent désormais sur les épaules d'un seul homme : Johnny English. Il ne craint rien et ne comprend rien. Ce n'est pas le meilleur des agents... C'est le seul. |Rowan Atkinson (Johnny English)@Natalie Imbruglia (Lorna Campbell)@John Malkovich (Pascal Sauvage)@Ben Miller (Bough)@Douglas McFerran (Carlos Vendetta)@Tim Pigott-Smith (Pegasus)@Tim Berrington (Roger)@Steve Nicolson (Dieter Klein)@Neville Phillips (le prêtre)@Rowland Davies (Sir Anthony Chevenix)@Tasha de Vasconcelos (La comtesse Alexandra)@Greg Wise (Agent 1)@Terence Harvey@Kevin McNally (Le premier ministre)@Nina Young (Le secrétaire de Pegasus)@Kevin Moore (Le docteur)@||Secrets de tournage :
A l'origine, un spot publicitaire...
Johnny English, qui peut être vu comme une parodie des films de James Bond, est en fait inspiré d'une série de spots publicitaires dont Rowan Atkinson a été le héros de 1992 à 1997. Ces spots, qui vantaient la carte de crédit britannique Barclaycard, mettaient l'acteur dans la peau d'un espion gaffeur, victime d'accidents à répétition. Rapidement, Rowan Atkinson a eu l'idée de faire de ce personnage le héros d'un long-métrage : "En dépit de leur brièveté, ces spots de 60 secondes possédaient d'indéniables qualités cinématographiques. Très élaborés, techniquement impeccables, ils dégageaient une riche atmosphère. C'était, en fait, des mini-films et il semblait logique d'en faire un maxi-film."
Les scénaristes adéquats
Pour Johnny English, pastiche des aventures de James Bond, la production du film n'aurait pas pu trouver mieux que les scénaristes Neal Purvis et Robert Wade. Ce sont en effet eux qui ont scénarisé les deux derniers volets officiels de l'agent 007, Le Monde ne suffit pas et Meurs un autre jour. Un parallèle qui montre que les deux hommes n'ont pas peur de rire du mythe de l'agent secret...
Malin plus que crétin
Le personnage de Johnny English n'est pas dénué de qualités, même si ses mésaventures pourraient à priori laisser penser le contraire. Pour le réalisateur Peter Howitt, il "n'est ni un crétin, ni un incompétent. Il est réellement malin, mais cela ne l'empêche pas de commettre des erreurs de jugements. Il se reprend cependant après chaque gaffe, car rien ne semble pouvoir entamer sa confiance. On sent alors qu'il pense : "J'ai fait une boulette, mais personne n'en saura rien." Rowan excelle dans ce genre de comique, tout en nuances."
Rowan Atkinson lui-même poursuit : "Johnny prend tellement de plaisir à être un agent secret qu'il surestime ses capacités. Il franchit aisément les premières haies d'une course d'obstacles, puis se laisse griser par les hourras de la foule... et se casse la figure. Ce sont toujours les dernières foulées qui lui sont fatales."
John Malkovich en "frenchie"
La production de Johnny English a engagé John Malkovich pour le rôle de Pascal Sauvage, un Français désireux de règner sur la Grande-Bretagne. Pour l'occasion, l'acteur a adopté un accent français pour le moins hilarant. "Je connais des Français qui parlent parfaitement l'anglais", déclare-t-il, "d'autres qui sont incompréhensibles, et d'autres encore qui gardent mystérieusement un petit accent français après avoir vécu plus de vingt ans à New York. Quoi qu'il en soit, notre Pascal n'était pas censé être parfaitement à l'aise en anglais."
Rowan Atkinson, de son côté, a été emballé par la performance de Malkovich : "Il a cerné son personnage à la perfection, avec sa nonchalance inimitable. Vivant au milieu de Français, il connaît leur mode de pensée et d'expression. Nous ne pouvions rêver meilleur casting." Et le réalisateur Peter Howitt de conclure : "Pascal est plusieurs hommes à la fois. Il a un bon côté, un côté glacial et un côté dingue. John est capable de passer de l'un à l'autre en un clin d'oeil. Sa familiarité avec la caméra et sa vaste expérience du langage cinématographique le dispensent de souligner les effets."
Un compliment de valeur
John Malkovich a des propos très élogieux au sujet de Rowan Atkinson, notamment sur son jeu d'acteur : "Comme tous les grands comiques, Rowan est un homme incroyablement sérieux et réfléchi. Je le trouve très intelligent, perfectionniste à souhait et extrêmement précis dans ses choix. On n'a pas seulement du plaisir à le voir, on ressent aussi une grande impression de vérité, et même une certaine douleur. Car toute comédie nous confronte à notre propre ridicule, à nos échecs, à nos insuffisances."
Natalie Imbruglia : de la musique au septième art
Johnny English est la première expérience cinématographique de Natalie Imbruglia. L'Australienne a débuté sur petit écran dans son pays, grâce à la série Neighbours. Décidée à mener une carrière musicale, elle accède à la reconnaissance internationale en 1997 avec l'album Left of the Middle et le tube Torn. En 2001, elle sort son second album, White Lilies Island puis est choisie un an plus tard pour représenter la marque de cosmétiques L'Oréal.
Natalie Imbruglia a du cumuler sur la même période le tournage du film, ses activités télévisées et la promotion de son dernier disque. Un emploi du temps très chargé dont elle garde un bon souvenir et qui la motive pour la suite des évènements : "C'était un peu surréaliste, mais je m'y suis faite. Je trouverais intéressant de prolonger l'expérience et de concilier à l'avenir chanson et cinéma, à condition de ne pas me disperser."
Un tournage très physique
Le tournage de Johnny English s'est déroulé à Londres. Rowan Atkinson et Natalie Imbruglia ont exécuté eux-mêmes la majeure partie des cascades du film. Le premier à notamment effectué la quasi-totalité des cascades automobiles, a joué les parachutistes et s'est retrouvé suspendu au plafond d'une cathédrale. Quant à Natalie Imbruglia, l'aspect physique de son rôle ne l'a pas effrayée, bien au contraire : "M'adonnant parfois au kickboxing durant mes loisirs, je me suis éclatée dans les scènes de combat. Mais le rôle de Lorna offrait encore bien d'autres plaisirs. Il m'a donné l'occasion de danser, de me bagarrer, de rouler à moto... Que pouvais-je demander de plus ?"
Clin d'oeil Bondien...
Petit clin d'oeil à la saga James Bond : dans la scène de la réception organisée par Pascal Sauvage (John Malkovich), le groupe qui joue en fond sonore répond au nom de Bond.
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Jumanji|Joe Johnston|Fantastique||3|américain|1996|99|||DIV3|||DIV3|834 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|696||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Scott Kroopf William Teitler|Jonathan Hensleigh Greg Taylor Jim Strain|Thomas E. Ackerman||||Lors d'une partie de Jumanji, un jeu très ancien, le jeune Alan est propulsé sous les yeux de son amie d'enfance, Sarah, dans un étrange pays. Il ne pourra s'en échapper que lorsqu'un autre joueur reprendra la partie et le libèrera sur un coup de dés. Vingt-six ans plus tard, il retrouve le monde réel par le coup de dés de deux autres jeunes joueurs. |Robin Williams (Alan Parrish)@Kirsten Dunst (Judy Shepherd)@Bradley Pierce (Peter Shepherd)@Jonathan Hyde (Sam Parrish/Van Pelt)@Bonnie Hunt (Sarah Whittle)@Bebe Neuwirth (Tante Nora)@David Alan Grier (Carl Bentley)@Adam Hann-Byrd (Alan Parrish enfant)@Laura Bundy (Sarah Whittle enfant)@Patricia Clarkson (Carol Parrish)@James Handy (L'exterminateur)@Malcolm Stewart (Jim Shepherd)@Annabel Kershaw (Martha Shepherd)@Gillian Barber (Mme Thomas Realtor)@Brandon Obray (Benjamin)@Cyrus Thiedeke (Caleb)@Lloyd Berry@Peter Bryant@Mike Mitchell@||||||||||||@@
Junior|Ivan Reitman|Comédie||1|américain|1995|107|Anglais||DX50|||DX50|804 Kbps|680x352|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|701||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Ivan Reitman|Kevin Wade Chris Conrad (II)|Adam Greenberg||United International Pictures (UIP)||Afin de mener à bien une étude sur la fertilité, le docteur Arbogast injecte un produit au docteur Hesse et fait de lui le premier homme... enceint ! |Arnold Schwarzenegger (docteur Hesse)@Danny DeVito (docteur Arbogast)@Emma Thompson (docteur Reddin)@Frank Langella (Noah Banes)@Pamela Reed (Angela)@Aida Turturro (Louise)@Lawrence Tierney (Le Déménageur)@||||||||||||@@
Problem Child|Dennis Dugan|Comédie||3|américain|1991|77|Anglais||XviD|||XVID|1 120 Kbps|592x320|MPEG-1 Audio layer 3|130 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Robert Simonds|Scott Alexander Larry Karaszewski|Peter Lyons Collister|||Saga : Junior le terrible |Ben Healy et sa femme ne se doutent guère de ce qui les attend le jour où ils adoptent Junior. Derrière un sourire enjoleur se cache en fait un petit monstre renvoyé de plusieurs orphelinats. |Jack Warden (Big Ben)@John Ritter (Ben Healy)@Michael Richards (Martin Beck)@Gilbert Gottfried (Mr. Peabody)@Michael Oliver (Junior)@Amy Yasbeck (Flo Healy)@Peter Jurasik (Roy)@Charlotte Akin (Lorrine)@Dennis Dugan (Le père de famille américain)@Jordan Burton (Un enfant)@||||||||||||@@
|Brian Levant|||||1991|86|||XviD|||XVID|984 Kbps|592x320|MPEG-1 Audio layer 3|130 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|||||||La famille Healys a déménagé, ils habitent à présent Mortville dans une jolie maison et Junior a une superbe chambre. Son père a une liaison avec une femme millionnaire qui déteste les enfants. Junior va leur pourrir la vie avec l'aide d'une gamine toute aussi exubérante que lui. |John Ritter@Michael Oliver@Jack Warden@Laraine Newman@Amy Yasbeck@Ivyann Schwan@Gilbert Gottfried@Paul Willson@Alan Blumenfeld@Charlene Tilton@James Tolkan@Martha Quinn@Zach Grenier@Eric Edwards@Krystle Mataras@||||||||||||@@
Problem Child 3: Junior in Love|Greg Beeman|Comédie|||Etats-unis|1995|84|||XviD|||XVID|1 022 Kbps|640x480|MPEG-1 Audio layer 3|129 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|||||||Bratty Junior Healy est de retour une nouvelle fois. Il a grandi et est en âge de tomber amoureux d'une de ses camarades de classe qui ne le remarque même pas, mais qui semble faire attention à 3 autres garçons, des rivals de Junior... |CHAPMAN JUSTIN@||||||||||||@@
Juno|Jason Reitman|Comédie||3|américain, canadien, hongrois|2008|95|Anglais||XviD|||XVID|871 Kbps|592x320|MPEG-1 Audio layer 3|140 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Mason Novick Lianne Halfon Russell Smith John Malkovich|Diablo Cody|Eric Steelberg||Fox Searchlight Pictures||Juno McGuff, 16 ans, est une jeune fille qui n'a pas la langue dans sa poche mais qui, sous ses airs de dure, se cherche comme toutes les adolescentes de son âge. Alors que la plupart de ses copines de lycée passent leur temps sur Internet ou au centre commercial, Juno ne fait rien comme les autres. C'est ainsi qu'un jour où elle s'ennuie, elle couche avec Bleeker, garçon aussi charmant que peu prétentieux.Mais quand elle tombe enceinte accidentellement, elle décide de trouver le couple de parents adoptifs idéal qui pourra s'occuper de son bébé. Avec l'aide de sa meilleure amie Leah, elle repère dans les petites annonces du journal local Mark et Vanessa Loring qui rêvent d'adopter leur premier enfant. Soutenue par sa famille, Juno fait la connaissance des Loring. Tandis que le terme de sa grossesse approche, Juno va devoir faire preuve de maturité et de courage... |Ellen Page (Juno MacGuff)@Michael Cera (Paulie Bleeker)@Jennifer Garner (Vanessa Loring)@Jason Bateman (Mark Loring)@Allison Janney (Bren MacGuff)@J.K. Simmons (Mac MacGuff)@Olivia Thirlby (Leah)@Eileen Pedde (Gerta Rauss)@Rainn Wilson (Rollo)@Daniel Clark (Steve Rendazo)@Darla Vandenbossche (la mère de Bleeker)@Aman Johal (Vijay)@Valérie Tian (Su Chin Quah)@Emily Perkins (la réceptionniste punk)@Kaaren De Zilva (assistante échographie)@Steven Christopher Parker (le gars du laboratoire de chimie)@Candice Accola (une technicienne de laboratoire)@Sierra Pitkin (Liberty Bell)@Lucas MacFadden (le professeur de chimie)@Eve Harlow (la fille pas commode)@Kirsten Williamson (l'infirmière)@Emily Tennant (la fille 'fantastique')@Ashley Whillans (Katrina De Voort)@Jeff Witzke (l'annonceur sportif)@Colin McSween (Keith)@Peggy Logan (la prof d'éducation sexuelle)@Cameron Bright (un nerd)@Joy Galmut (le médecin accoucheur)@Wendy Russell (l'amie de Vanessa n°1)@Robyn Ross (l'amie de Vanessa n°2)@||Secrets de tournage :
Cadeaux de naissance
Tandis qu'Ellen Page et Diablo Cody ont respectivement reçu les prix du Meilleur espoir féminin et du Meilleur scénario aux Satellite Awards, de la part du jury du Festival du Film d'Hollywood et du National Board Review, Juno a été désigné Meilleur Film aux Festivals de Rome, de Saint-Louis et de l'Alpe-d'Huez, et s'est vu décerner le Prix du Public à l'issue du Festival de Stockholm.
Le rôle de Juno vu par Ellen Page
"C'est un rôle d'ado extrêmement bien écrit, ce qui n'est pas si banal. Elle est à la fois directe et originale, très loin des stéréotypes, ce qui est formidable pour une comédienne.
J'ai essayé de m'identifier à elle et de rendre sa manière de s'exprimer et ses rapports aux autres les plus authentiques possibles. C'est en faisant confiance aux gens avec qui j'ai travaillés que je crois y être arrivée."
Combler un vide
D'apparence timide, mais dotée d'un grand sens de l'humour et d'un aplomb hors du commun, Juno est née après que Diablo Cody se soit aperçue qu'il n'existait aucun personnage de ce genre dans les films d'ados.
Du strip au script
Scénariste de Juno, Diablo Cody a d'abord été strip-teaseuse, puis romancière, avant d'arriver dans le milieu du cinéma.
Blog à part
C'est après avoir découvert le blog animé par Diablo Cody, et été séduit par le style, à la fois drôle, sincère et en phase avec l'époque de la romancière, que le producteur Mason Novick lui a proposé d'écrire le script de Juno, son premier scénario.
Comparaisons flatteuses
Tête d'affiche de Hard Candy, après avoir été découverte dans X-Men l'affrontement final, Ellen Page a conquis toute l'équipe de Juno : tandis que tous vantent son naturel, Jennifer Garner la décrit comme "hallucinante", Jason Reitman ose la comparaison avec Meryl Streep, et Allison Janney déclare "elle me fait penser à Audrey Hepburn quand elle était jeune".
Encore des récompenses ?
Elue Meilleure Actrice par le Las Vegas Film Critics Society, le Toronto Film Critics Assocation et le Chicago Film Critics Association, lors des derniers Critics Choice Awards, Ellen Page est également nominée, dans la même catgéorie, aux Screen Actors Guild Awards, aux côtés de Cate Blanchett, Julie Christie, Angelina Jolie et Marion Cotillard.
Ouverture difficile
Jason Reitman reconnaît avoir eu du mal à mettre en place la séquence d'ouverture du film, au cours de laquelle Juno peut donner l'impression de vouloir se suicider : "Je me suis vraiment interrogé sur la pertinence de cette séquence dans le scénario : je me suis demandé ce que cette scène pouvait bien apporter au tout début d'une comédie, mais au moment du tournage, j'ai senti que je devais montrer à toute l'équipe que je savais ce que je faisais. Il nous fallait un arbre et un très, très long lacet de réglisse rouge, qu'on a fait faire, mais au fond de moi, je n'étais pas encore tout à fait convaincu."
Retrouvailles
Décrit par Jason Reitman comme son comédien fétiche, J.K. Simmons retrouve le réalisateur pour la deuxième fois de suite, après avoir incarné le patron revêche de Nick Naylor (Aaron Eckhart) dans Thank You for Smoking.
Les plus observateurs reconnaîtront également le jeune Cameron Bright (le fils Aaron Eckhart dans le précédent film de Reitman) dans la peau d'un accro de jeux vidéo.
Juno et débat
Selon Diablo Cody, le film de Jason Reitman devrait susciter des débats, quant à la position que Juno adopte vis-à-vis de sa grossesse : "C'est un sujet brûlant. On peut considérer qu'il s'agit d'un hymne à la vie qui milite contre l'avortement, ou bien on peut le voir comme un film sur une jeune fille libérée qui prend une décision pour préserver sa liberté".
« Préc.
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The Lost World : Jurassic Park|Steven Spielberg|Aventure||3|américain|1997|123|||DIV3|||DIV3|2 355 Kbps|512x272|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|692||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Gerald R. Molen Colin Wilson|David Koepp|Janusz Kaminski||United International Pictures (UIP)|Saga : Jurassic Park |Quatre ans après le terrible fiasco de son Jurassic Park, le milliardaire John Hammond rappelle le Dr Ian Malcolm pour l'informer de son nouveau projet. Sur une île déserte, voisine du parc, vivent en liberté des centaines de dinosaures de toutes tailles et de toutes espèces. Ce sont des descendants des animaux clônes en laboratoire. D'abord réticent, Ian se décide à rejoindre le docteur quand il apprend que sa fiancée fait partie de l'expédition scientifique. Il ignore qu'une autre expédition qui n'a pas les mêmes buts est également en route. |Jeff Goldblum (Dr. Ian Malcolm)@Richard Attenborough (John Hammond)@Pete Postlethwaite (Roland Tembo)@Arliss Howard (Peter Ludlow)@Julianne Moore (Dr. Sarah Harding)@Vince Vaughn (Nick Van Owen)@Vanessa Lee Chester (Kelly Curtis)@Peter Stormare (Dieter Stark)@Joseph Mazzello (Tim Murphy)@Ariana Richards (Lex Murphy)@Steven Spielberg (le mangeur de pop-corn)@Richard Schiff (Eddie Carr)@Camilla Belle (Cathy Bowman)@David Koepp (Le malchanceux)@Bernard Shaw (Un reporter de CNN)@||Secrets de tournage :
Le deuxième volet
Le Monde perdu est en 1997 le deuxième volet de la franchise Jurassic Park, après le premier opus paru en 1993 et Jurassic Park III en 2001, ce dernier n'étant d'ailleurs pas basé sur un roman de Michael Crichton et dont la mise en scène n'a pas été assuré par Steven Spielberg. Un quatrième épisode est par ailleurs en préparation.
La rencontre Spielberg / Vaughn
La production du film Swingers, avec Vince Vaughn, avait demandé à Steven Spielberg l'autorisation d'utiliser le thème musical du film Les Dents de la mer. Le réalisateur américain avait préféré attendre de voir le film avant de donner son consentement. C'est donc en visionnant Swingers que Steven Spielberg a repéré Vince Vaughn et, littéralement impressionné par sa performance, lui offrira un rôle dans Le Monde perdu.
Un chiffre record
Le Monde perdu a pendant longtemps été le film qui a enregistré le plus de recettes lors de son week-end d'ouverture : il a en effet engrangé plus de 92 millions de dollars en trois jours. Il a été battu par Harry Potter à l'école des sorciers et Spider-Man.
Binoche dit non à Steven Spielberg
Le rôle de Sarah Harding n'est pas revenu directement à la comédienne Julianne Moore. C'est tout d'abord Juliette Binoche qui s'est vu proposer ce rôle par Steven Spielberg, mais l'actrice française a refusé, indiquant qu'elle accepterait de figurer au casting du Monde perdu seulement si elle pouvait jouer un dinosaure.
Des Mercedes partout
Mercedes a conclu un solide partenariat avec l'équipe de production du Monde perdu. En effet, tous les véhicules utilisés dans le film sont de la marque Mercedes, du camion qui tombe de la falaise (empêchant Julianne Moore de tomber dans le vide grâce à une mince plaque de verre) aux voitures qui s'écrasent dans les pattes du T-Rex lorsque celui-ci attaque les rues de San Diego.
Un scénariste au dîner
Lors de la scène où le T-Rex attaque la ville de San Diego, un homme est dévoré par le dinosaure, près du magasin vidéo. L'homme en question n'est autre que David Koepp, scénariste de Jurassic Park et Le Monde perdu.
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|Joe Johnston|Aventure||2|américain|2001|88|Anglais||DX50|||DX50|993 Kbps|544x288|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|695||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Larry J. Franco Kathleen Kennedy|Peter Buchman Alexander Payne Jim Taylor|Shelly Johnson||Universal International Pictures|Saga : Jurassic Park |Dix ans après les événements surréalistes survenus lors de sa visite au Jurassic Park du richissime John Hammond, le paléontologue Alan Grant se rappelle toujours de sa rencontre, d'abord magique puis effroyable, avec ces dinosaures ramenés à la vie grâce aux incroyables progrès de la génétique. À l'origine, ces créatures de la Préhistoire n'étaient pas censées se reproduire ni survivre, mais elles ont déjoué les plans des scientifiques. Elles sont probablement toujours en vie sur l'île Isla Sorna.Alan étudie l'intelligence des vélociraptors. Cependant, il manque de subventions pour financer ses recherches. Paul Kirby et sa femme Amanda, un couple richissime, lui proposent alors une grosse somme d'argent s'il leur fait survoler la fameuse île. Alan accepte leur offre.Mais celui-ci flaire une entourloupe lorsque le pilote amorce sa descente sur l'île. Il découvre alors les vraies raisons de l'excursion organisée par les Kirby : sauver Eric, leur fils disparu dans les environs. Ces derniers avaient besoin de son aide, car il est le seul à connaître l'île et ses mystérieux occupants. Cependant, au moment où l'avion s'apprête à redécoller, un spinosaure tente de piétiner l'appareil... |Sam Neill (le docteur Alan Grant)@William H. Macy (Paul Kirby)@Téa Leoni (Amanda Kirby)@Alessandro Nivola (Billy Brennan)@Trevor Morgan (Eric Kirby)@Michael Jeter (Udesky)@John Diehl (Cooper)@Bruce A. Young (Nash)@Laura Dern (le docteur Ellie Sattler)@||Secrets de tournage :
A l'origine du scénario
L'idée de départ de Steven Spielberg était que l'on découvre le personnage de Sam Neill en vie sur l'île du premier épisode. Après qu'on l'ait interdit de poursuivre ses recherches, il y serait retourner en cachette et aurait vécu dans un arbre tel un Robinson Cruzoé. Mais ce projet fut finalement ambandonné.
Deux nouvelles espèces
Par rapport aux autres opus de la série, deux nouvelles espèces apparaissent dans ce film. Il s'agit du Ptéranodon (un reptile volant) et du Spinosaure. En tout, douze espèces différentes sont présentes à l'écran.
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Ju-rei (V)|Kôji Shiraishi|Epouvante-horreur||1|japonais|2004|74|Japonais||XviD|||XVID|1 126 Kbps|528x384|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|746||||25.000|28/07/2009 00:00:00||Naoyuki Yokota|||||De jeunes étudiantes sont assassinées après avoir aperçu une ombre mystérieuse... |Eriko Kazuto@Mirai Ueno@Chinatsu Wakatsuki@||||||||||||@@
Until Death|Simon Fellows|Thriller||3|américain|2007|101|Anglais||XviD|||XVID|824 Kbps|608x256|MPEG-1 Audio layer 3|131 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Moshe Diamant John Thompson|Dan Harris James Portolese|Douglas Milsome||||Flic pourri et drogué, méprisé par tout le monde, Anthony Stowe sombre dans le coma après avoir pris une balle en pleine tête, tirée par son ex-coéquipier. Au sortir du coma, il décide de se venger et de faire payer le prix fort à son ancien ami, désormais baron de la drogue. |Jean-Claude Van Damme (Anthony Stowe)@Selina Giles (Selina Giles)@Mark Dymond (Mark Rossini)@William Ash (Serge)@Stephen Lord (Jimmy M)@Gary Beadle (Mac)@C. Gerod Harris (Ross)@Wes Robinson (Chad Mansen)@Stephen Rea (Gabriel Callaghan)@Alana Maria (Clementine)@Fiona O'Shaughnessy (Lucy)@Adam Leese (Van Huffel)@Rachel Grant (Maria Ronson)@Ivo Kehayov (Conducteur)@Maggie Eldred (Samantha Curry)@Julia Horvath (Wanda)@Rachel O'Meara (Médecin)@Michal Yannai (Jessika)@Gary McDonald (Larenz)@Eric Loren (Docteur Gaudio)@Velimer Velev (Manager)@Atanas Srebrev (Mr. Millstein)@Mena McCabe (Mrs. Millstein)@||||||||||||@@
K-19 : the Widowmaker|Kathryn Bigelow|Thriller||3|américain, allemand, britannique|2002|138|Russe||DX50|||DX50|596 Kbps|720x416|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|696||||23.976|13/08/2009 00:00:00|Kathryn Bigelow Edward S. Feldman Sigurjon Sighvatsson Chris Whitaker|Christopher Kyle Louis Nowra|Jeff Cronenweth||Paramount Pictures||En juin 1961, en pleine Guerre froide, dans les eaux de l'Atlantique nord, Alexei Vostrikov, le capitaine du premier sous-marin nucléaire de l'arsenal soviétique, le K-19, découvre que le système de refroidissement du réacteur principal est défaillant. A son bord, des ogives et un moteur à propulsion atomique menacent d'exploser si la température au coeur du réacteur ne baisse pas rapidement.
Coupés du monde extérieur et du reste de la flotte russe à cause d'une panne d'antenne, le capitaine Vostrikov et son second Mikhail Polenin doivent surmonter leurs différends pour faire face à la crise et éviter un accident nucléaire. Par ailleurs, si une telle explosion se produisait, les Etats-Unis pourraient croire à une première attaque soviétique et déclencher une guerre totale. |Harrison Ford (le capitaine Alexei Vostrikov)@Liam Neeson (le capitaine Mikhail Polenin)@Peter Sarsgaard (Vadim Radtchenko )@Christian Camargo (Pavel Loktev )@Joss Ackland (Marshal Zelentstov)@Tygh Runyan (Maxim Portenko )@Lex Shrapnel (Kornilov)@Donald Sumpter (le docteur Savran )@Tim Woodward (Partonov)@Sam Spruell (Dimitri)@||Secrets de tournage :
Basée sur un fait divers tragique
K-19 : le piège des profondeurs revient sur l'une des plus dramatiques tragédies de l'histoire russe. Le 4 juillet 1961, le sous-marin nucléaire K-19 est victime d'une avarie du système de refroidissement de l'un de ses réacteurs, alors qu'il demeure dans les eaux de l'océan Atlantique. Afin de remettre en marche le système manuellement, huit marins se sacrifieront pour entrer dans le compartiment du réacteur et seront mortellement irradiés.
K-19 et les festivals
K-19 : le piège des profondeurs a eu les honneurs de deux festivals internationaux : le drame de Kathryn Bigelow a été présenté aux festivals de Deauville 2002 et de Venise 2002 (hors-compétition).
Harrison Ford producteur
K-19 : le piège des profondeurs est le premier film où le comédien américain Harrison Ford s'engage non seulement en tant qu'acteur, mais également comme producteur exécutif, pour un film dont le budget avoisine les 100 millions de dollars.
Un scénario réécrit
Certaines scènes du scénario de Christopher Kyle a ont été remaniées par Tom Stoppard, scénariste oscarisé en 1998 pour Shakespeare in Love. Sa participation n'a néanmoins pas été créditée.
Le sous-marin racheté
Le vrai K-19 repose dans un cimetière à bateaux et son état de délabrement est tel qu'il était complètement inutilisable pour les besoins du film. Le producteur Sigurjon Sighvatsson a donc entamé des négociations pour louer un ancien sous-marin soviétique. Après le film, celui-ci a été revendu à un groupe de Rhode Island qui s'en sert aujourd'hui comme pièce d'exposition.
Harrison Ford séduit par le propos
Harrison Ford a été séduit par le propos du film : "Le projet m'a tout de suite intéressé par son approche de la Guerre Froide. Aucun film hollywoodien n'avait, à ma connaissance, exprimé le point de vue russe sur ce conflit. Il n'y a dans cette histoire ni bons, ni méchants, et aucune prise de position politique. Notre but (l'acteur est également producteur éxécutif sur ce film) a été simplement de permettre au public d'apprécier ceux qui servirent à bord du K-19. Ces gens aux personnalités très diverses s'unirent pour faire face au danger, avec un héroïsme et une abnégation admirables. Ils firent, tout simplement, leur devoir."
Alliance américano-russe
Kathryn Bigelow a entamé le tournage de K-19 : le piège des profondeurs à Moscou en février 2001. Grâce à la normalisation des relations entre les Américains et les Russes, l'équipe a eu la permission d'accéder à pluseurs bâtiments offficiels. Elle a bénéficié en outre de la collaboration des autorités russes puisqu'un ancien commandant de sous-marin et un conseiller naval ont vérifié l'authenticité des protocoles et des manoeuvres lors du tournage.
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Kaena, la prophétie|Chris Delaporte Pascal Pinon|Animation||3|canadien, français|2003|87|Français||DIV3|||DIV3|978 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Denis Friedman|Tarik Hamdine Chris Delaporte|||Bac Films||L'Axe est un arbre gigantesque qui s'élève au-delà des nuages. Sur ses hautes branches vit une petite communauté imaginaire en danger de mort. La sève a en effet tendance à se raréfier. Les dieux sont implorés en vain.
Kaena, une jeune fille déterminée et rebelle, défie le Grand Prêtre et les croyances ancestrales. Allant à l'encontre des siens, elle se lance dans un périlleux voyage pour découvrir quels sombres desseins se cachent derrière les nuages. |Cécile de France (Kaena (voix))@Michael Lonsdale (Opaz (voix))@Victoria Abril (la Reine (voix))@Francois Siener (Voxem (voix))@Jean-Michel Farcy (Assad (voix))@Raymond Aquaviva (Gommy (voix))@Jean Piat (le grand prêtre (voix))@||Secrets de tournage :
Quelques chiffres
Pour la création de Kaena, la prophétie, plus de 80 infographistes se sont affairés. Le film est composé d'environ 1300 plans. Plus d'un million de polygones composent le plus gros monstre du film. L'animation s'effectue à 24 images par seconde et un film de 90 minutes en 3D est fait de 129 600 images. L'animation de Kaena nécessite la modélisation de 40 visages différents. Le film représente environ 65 000 heures de calcul.
Génèse d'un projet
Les deux auteurs du scénario de Kaena, la prophétie, Chris Delaporte et Patrick Daher, proposent dans un premier temps un jeu vidéo "Kaena" à la société de production "Chaman". Puis ils réalisent un téléfilm de 52 minutes, l'accueil étant plus que positif, ils décident d'en faire un film.
La "French Touch" selon Denis Friedman, producteur du film
"En France, nous avons la chance de combiner trois facteurs fondamentaux pour la création de contenus exceptionnels. Tout d'abord, une culture séculaire de l'image qui a produit de grands peintres, des grands cinéastes, et aujourd'hui des grands infographistes. Ensuite, un système éducatif extrêmement performant dans le domaine de l'image. Et enfin, un marché très vivace aussi bien dans le jeu vidéo que dans celui de l'audiovisuel." Denis Friedman
Des voix en or
Pour interpréter les voix des personnages de Kaena, la prophétie, l'équipe a fait appel à un casting impressionnant : pour la version française, Cécile de France, Michael Lonsdale, Victoria Abril, Jean Piat, Francois Siener, la version anglaise est interprètée par Kirsten Dunst, Richard Harris, Anjelica Huston, Keith David.
Sortie du jeu vidéo Kaena
La société de développement de jeux vidéo Namco, développe à partir de Kaena, la prophétie, un jeu vidéo qui doit sortir en même temps que le film.
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The Karate Kid|John G. Avildsen|Action||3|américain|1984|121|Anglais||DX50|||DX50|667 Kbps|432x352|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Jerry Weintraub|Robert Mark Kamen|James Crabe|||Saga : Karaté Kid |Daniel quitte le Texas pour s'installer avec sa mère en Californie. A l'école, ses nouveaux camarades de classe l'isolent et le persécutent. Comment faire face ? En se laissant aller à son tour à la violence ? A la haine ? Et ce vieux japonais plein de sagesse, fera-t-il de lui un champion de karaté ? Transformera-t-il sa vision de la vie ?... |Ralph Macchio (Daniel LaRusso )@Pat Morita (Mr. Kesuke Miyagi )@Elisabeth Shue (Ali Mills)@Martin Kove (John Kreese)@Randee Heller (Lucille Larusso)@William Zabka (Johnny Lawrence)@Larry Drake (1st Yahoo)@||Secrets de tournage :
Pas d'arts martiaux
Pat Morita, qui incarne le grand Miyagi, ne pratiquait même pas les arts martiaux.
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Les contributeursCe film a reçu 1 contribution, pour les secrets de tournage, de: Miamsolo
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The Karate Kid Part II|John G. Avildsen|Action||3|américain|1986|108|Anglais||DX50|||DX50|769 Kbps|464x368|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Jerry Weintraub|Robert Mark Kamen|James Crabe|||Saga : Karaté Kid |Daniel LaRusso, d'adolescent brimé est devenu l'un des karatékas les plus doués de Californie, et ce, grâce aux conseils pleins de sagesse de son maître japonais Miyagi. Mais un beau jour ce dernier doit s'en retourner dans son pays natal. Daniel décide alors de l'y accompagner... |Ralph Macchio (Daniel LaRusso )@Pat Morita (Mr. Kesuke Miyagi )@||||||||||||@@
The Karate Kid Part III|John G. Avildsen|Action||2|américain|1989|107|Anglais||DX50|||DX50|772 Kbps|464x368|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Jerry Weintraub|Robert Mark Kamen|Steve Yaconelli|||Saga : Karaté Kid |Kresse, le propriétaire du Dojo Cobra Kai, a été vaincu par le vieux maître Miyagi. Il abandonne alors son entreprise au peu scrupuleux Terry Silver qui lui promet une revanche éclatante sur Miyagi et son disciple Daniel... |Ralph Macchio (Daniel LaRusso)@Pat Morita (Mr. Kesuke Miyagi)@Robyn Lively (Jessica)@Thomas Ian Griffith (Terry Silver)@Martin Kove (John Kreese)@Sean Kanan (Mike Barnes)@||||||||||||@@
The Next Karate Kid|Christopher Cain|Arts Martiaux||2|américain|1994|102|Anglais||DX50|||DX50|1 101 Kbps|704x368|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|913||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Jerry Weintraub|Mark Lee|Laszlo Kovacs||Columbia TriStar Films|Saga : Karaté Kid |Julie, une adolescente mal dans sa peau, est entraînée dans un voyage initiatique par son professeur de karaté, M. Miyagi qui paie ainsi sa dette envers le grand-père de Julie, qui lui a sauvé la vie pendant la Deuxième Guerre mondiale. |Hilary Swank (Julie Pierce)@Chris Conrad (Eric McGowen)@Michael Cavalieri (Ned)@Pat Morita (Mr. Kesuke Miyagi)@Michael Ironside (Colonel Dugan)@Constance Towers (Louisa Pierce)@Fred Fontana (Dusty)@Paul Bronk (Larry Townes)@Bud Ekins (Jack Russell)@Christopher Wilder (Roland)@||||||||||||@@
Kill Bill : Volume 1|Quentin Tarantino|Action|Interdit aux moins de 16 ans|3|américain|2003|109|Anglais||XVID|||XVID|755 Kbps|560x240|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||23.976|09/08/2009 00:00:00|Lawrence Bender|Quentin Tarantino Uma Thurman|Robert Richardson||Miramax Films|Saga : Kill Bill |Au cours d'une cérémonie de mariage en plein désert, un commando fait irruption dans la chapelle et tire sur les convives. Laissée pour morte, la Mariée enceinte retrouve ses esprits après un coma de quatre ans.
Celle qui a auparavant exercé les fonctions de tueuse à gages au sein du Détachement International des Vipères Assassines n'a alors plus qu'une seule idée en tête : venger la mort de ses proches en éliminant tous les membres de l'organisation criminelle, dont leur chef Bill qu'elle se réserve pour la fin. |Uma Thurman (La Mariée alias 'Black Mamba')@Lucy Liu (O-Ren Ishii alias "Mocassin d'Eau")@David Carradine (Bill)@Michael Madsen (Budd / Sidewinder)@Daryl Hannah (Elle Driver)@Sonny Chiba (Hattori Hanzo )@Julie Dreyfus (Sophie Fatale)@Chiaki Kuriyama (Gogo Yubari)@Gordon Liu (Johnny Mo)@Michael Parks (le shérif)@Michael Bowen (Buck)@Vivica A. Fox (Vernita Green alias "Vipère Cuivrée")@James Parks (edgar mcgaw)@Ambrosia Kelley (nikki)@||Secrets de tournage :
Deux volumes pour tuer Bill
Initialement, Quentin Tarantino envisage de projet de Kill Bill comme un unique film. Puis, en cours d'écriture, il prend conscience que le récit peut être développé sur deux époques, et donc sur deux longs métrages. Mais il n'ose pas évoquer cette éventualité avec le producteur Harvey Weinstein, qui partage avec son frère Bob la présidence du studio Miramax. A la lecture du script, Weinstein parvient lui aussi à la même conclusion, l'histoire de Kill Bill pourrait se décliner sur deux longs métrages. Il en fait part Tarantino et déclare qu'il serait prêt à financer un diptyque. Enthousiaste, le réalisateur-scénariste modifie le scénario en conséquence et divise l'ensemble en deux parties. La première (Kill Bill volume 1) se veut un hommage au film de sabre et de kung-fu, tandis que la seconde (Kill Bill volume 2) emprunte aux codes du western spaghetti.
Le retour de Tarantino
Le diptyque Kill Bill : volume 1 / Kill Bill : volume 2 marque le grand retour de Quentin Tarantino derrière l'objectif après six ans d'absence. Film-événement de 2003 / 2004, Kill Bill est seulement le quatrième film du cinéaste, après Reservoir dogs (1992), Pulp Fiction (1994) et Jackie Brown (1998).
Retrouvailles Thurman ? Tarantino
En 1994, dans Pulp Fiction, Uma Thurman jouait le rôle de Mia Wallace, la petite amie de Ving Rhames accro à la cocaïne et victime d'une overdose. Neuf ans plus tard, elle retrouve Quentin Tarantino pour Kill Bill.
Thurman enceinte, tournage retardé
Au printemps 2001, alors que tous les décors sont montés et que l'équipe est parée, la nouvelle tombe, Uma Thurman attend un enfant. Tarantino ne peut concevoir le film sans son interprète fétiche et ajourne le tournage. Malgré l'instance des studios Miramax, qui avancent déjà le nom de Patricia Arquette pour remplacer la comédienne, le réalisateur ne cède pas. Il entend ainsi rééditer le tour de force accompli par Josef von Sternberg en 1930 pour Morocco. Le cinéaste autrichien, apprenant que son actrice principale et muse Marlene Dietrich était tombée enceinte, suspend le tournage de son film jusqu'à ce que la comédienne puisse à nouveau jouer.
Toute l'équipe de Kill Bill mit à profit cet ajournement pour parfaire la pré-production du film, un report que Tarantino juge rétrospectivement bénéfique au film. Le premier coup de manivelle du film est finalement donné en janvier 2002.
Tourné au Beijing Film Studio
Le tournage eut lieu en partie au Beijing Film Studio, en Chine. Construit en 1949 à l'initiative de la femme de Mao, ce studio s'est rapidement imposé comme le pôle incontournable de la production cinématographique du pays.
Un plateau polyglotte
Sur le tournage se côtoient comédiens et techniciens américains, chinois et japonais. Pour se coordonner, l'équipe eut recours à des traducteurs, sollicités de toute part. L'espace de quelques semaines, les plateaux du Beijing Film Studio furent transformés en une véritable Tour de Babel.
Robert Richardson
Tarantino a confié la direction de la photographie de ses deux films à Robert Richardson. Recherché pour sa capacité unique à mêler des univers esthétiques différents et des sources diverses (animation, 35 mm, etc.), il est notamment à l'origine de patchwork visuel que constitue Tueurs nés, le film d'Oliver Stone qui brasse les influences et les supports.
Pas de Pei Mei pour QT
A l'origine, le réalisateur s'était attribué un rôle de Pei Mei dans Kill Bill : volume 2, mais devant la masse de travail qui l'attendait comme réalisateur, il a dû renoncer au profit de Gordon Liu.
Parks bis !
Dans Kill Bill : volume 1, Michael Parks incarne un Texas Ranger, un rôle similaire à celui qu'il tenait dans Une nuit en enfer de Robert Rodriguez, écrit et interprété par Tarantino. Dans Kill Bill : volume 2, il campe un vieux souteneur mexicain qui prête main forte à Uma Thurman.
Yuen Wo Ping
Yuen Woo Ping a assisté Tarantino en qualité de chorégraphe et réalisateur de deuxième équipe. Son travail avec Andy et Larry Wachowski sur la saga Matrix a révélé cet homme de spectacle complet (réalisateur, cascadeur), qui a notamment participé à Il était une fois en Chine de Tsui Hark (1994). Yuen Woo Ping a également coordonné les combats de Tigre et dragon d'Ang Lee.
Yuen Wo Ping a par ailleurs réalisé plus de trente longs métrages, dont certains (Snake in the eagle's shadow en 1978 et Fist of legend en 1994) sont considérés comme des classiques du genre.
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Les contributeursCe film a reçu 1 contribution, pour les secrets de tournage, de: m0uvee
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Lawrence Bender, un producteur complice
Véritable complice de Quentin Tarantino depuis ses débuts, le producteur Lawrence Bender collabore pour la cinquième fois avec le cinéaste sur Kill Bill : volume 1 / Kill Bill : volume 2. Les deux hommes avaient auparavant travaillé ensemble sur Reservoir dogs, Pulp Fiction, Four rooms et Jackie Brown, ainsi que sur la production de Killing Zoe et de la trilogie Une nuit en enfer.
Entraînement intensif
Quentin Tarantino obligea ses comédiens à se soumettre à un entraînement particulièrement intensif. Pour ce faire, il les réunit dans un entrepôt proche des bureaux de la société de production Super Cool Man Chu Productions, à Culver City, au sud de Los Angeles. Outre des séances de musculation et de stretching, les acteurs suivirent les cours de Sonny Chiba, qui leur enseigna les rudiments du maniement du sabre. Yuen Woo Ping fut, quant à lui, chargé des cours d'arts martiaux. Les comédiens apprirent également les bases de la langue japonaise, pour que les répliques déclamées dans cette langue soit compréhensible par le public nippon.
Tarantino en survêtement
Le réalisateur s'est lui aussi soumis à l'entraînement qu'il imposa à ses comédiens, d'une part pour subir ce que les acteurs ont pu endurer, et d'autre part pour effectuer les mouvements précis qu'il attendait de ses interprètes lors des prises.
Tarantino et l'anime
Pour la séquence animée du film, Tarantino a fait appel au studio japonais Production I.G., déjà à l'origine des classiques de l'anime que sont Ghost in the Shell et Jin-Roh, la brigade des loups.
RZA à la BO
La BO du film est signée par RZA, membre fondateur du collectif rap Wu Tang Clan. L'artiste avait auparavant composé la bande originale de Ghost Dog: la voie du samourai de Jim Jarmusch.
Immersion complète
Après l'écriture du scénario, Quentin Tarantino consacra un an à voir des films d'arts martiaux, à écrire et réécrire son script. Il avoue s'être complètement immergé dans le cinéma d'action asiatique durant cette période au point d'avoir délaissé la production sortie durant l'année 2001.
Sonny Chiba
Né en 1939 à Fukuoka (Japon), Sonny Chiba est un figure mythique du cinéma d'action hongkongais. Karatéka de haut niveau, il fut même pressenti pour rejoindre les rangs de l'équipe japonaise de la discipline avant qu'une blessure ne l'éloigne des tatamis... et ne le rapproche des studios de cinéma. Repéré à l'occasion d'un concours organisé par les studios Toei, il rencontre le succès avec The Bodyguard (1970). Connu pour son rôle dans la série Shadox warriors, il se révèle acteur de premier plan avec The Streetfighter, où il prête sa silhouette massive au mercenaire Terru Suruguy, héros d'un film qui connaîtra une suite en 1974, The Return of the streetighter. Longtemps opposé au style félin de Bruce Lee, celui de Chiba se distingue par la violence et la rage qu'il imprime à chacun de ses combats. Star de plus de 125 productions Toei, il reste l'une des plus grandes vedettes du cinéma asiatique.
Tarantino à propos de Sonny Chiba
" Sonny Chiba m'est apparu dès les années 70 comme l'une des plus grandes stars du cinéma d'action, aux côtés de Charles Bronson et Clint Eastwood. "
Combat de longue haleine
Morceau de bravoure de Kill Bill volume 1, le combat de sabre de Black Mamba (Uma Thurman) contre 88 assaillants a nécessité quelque huit semaines de tournage. Pour comparaison, celui de Pulp Fiction ne dura que dix semaines.
Un film de Q & U
L'histoire de Kill Bill est signée du duo Q & U, alias Quentin Tarantino et Uma Thurman. C'est durant une fête sur le tournage de Pulp Fiction que le cinéaste et la comédienne eurent ensemble l'idée de cette histoire de veangence et du personnage de la Mariée. Développant un premier jet du scénario, Quentin Tarantino décidera, et ce pour la première fois de sa carrière, d'y laisser quelques zones d'ombres afin que son actrice y apporte ses propres idées et sa vision de l'histoire. Il promit d'offrir à Uma Thurman le scénario définitif pour ses trente ans... mais eu besoin de quelques mois supplémentaires pour terminer de coucher l'histoire sur papier.
« Préc.
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Tarantino et le film de kung-fu
"Au début des années 70, j'étais gosse lorsque déferla aux Etats-Unis la vague des films de kung-fu. L'Old School Martial Arts Cinema devint mon école. Pendant deux ans, il projeta sans discontinuer ces films. La fièvre du kung-fu retomba partout ailleurs, sauf dans ces salles de South Bay et celles du ghetto où elle sévit jusqu'au des années 80. Je pense que c'est un des plus grands genres cinématographiques qui ait jamais existé".
Un film sous influence (vol. 1)
Téléphage acharné, Quentin Tarantino rend hommage avec Kill Bill aux séries qui ont bercé sa jeunesse. Il confesse une passion pour Le Frelon vert (la série qui révéla Bruce Lee), Kung-fu (avec David Carradine, qui incarne le Bill), mais aussi Shadow warriors (série où Sonny Chiba interprète le détective ninja Hattori). Le personnage de Chiba dans Kill Bill s'inspire en grande partie du héros qu'il immortalisa dans cette série.
Un film sous influence (vol. 2)
Cinéphile fou, Tarantino trouve dans le cinéma d'extême-Orient l'autre source d'inspiration de Kill Bill. Au début des années 70, il n'est âgé que d'une dizaine d'années lorsqu'il prend de plein fouet la vague de cinéma d'action hongkongais. A cette époque, il voit Lady snowblood, un film samouraï féminin, référence incontestable pour Kill Bill, et découvre les productions Shaw Brothers, spécialisés dans l'action. Produit par cette firme, One-armed Swordman de Chang Cheh, ou la légende d'un sabreur au bras amputé, s'impose comme une autre influence majeure de Tarantino.
Trois visages pour Bill...
Kevin Costner et Warren Beatty avaient été pressentis pour incarner Bill, le principal bad guy de l'histoire. Choix initial de son ami Quentin Tarantino, Warren Beatty avait finalement dû décliner l'offre, les dates et la durée du tournage ne lui convenant pas. Il sera remplacé par David Carradine, inoubliable interpète de la série télévisée Kung-Fu dans les années soixante-dix.
Michael Madsen retrouve Tarantino
Le diptyque Kill Bill : volume 1 / Kill Bill : volume 2 marque la seconde collaboration entre Michael Madsen avec Quentin Tarantino, pour qui le comédien avait incarné le célèbre Mister Blonde de Reservoir dogs.
Une recrue de la "Battle Royale"
Interprète de Go Go Yubari, la tueuse à la boule, Chiaki Kuriyama a été révélée par son rôle d'adolescente tueuse et psychotique dans Battle royale. Dans Kill Bill, son costume d'écolière renvoie directement au film-choc de Kinji Fukasaku.
Une apparition de Samuel L. Jackson
Inoubliable Julius de Pulp Fiction, vu ensuite dans True romance (écrit par Quentin Tarantino) et Jackie Brown, Samuel L. Jackson retrouve le cinéaste dans Kill Bill : volume 2, avec une apparition clin d'oeil dans le rôle du joueur d'orgue de l'église où se déroule le mariage d'Uma Thurman. Des retrouvailles sanglantes...
Tournage "à l'ancienne"
Pour son diptyque Kill Bill : volume 1 / Kill Bill : volume 2, Quentin Tarantino souhaitait revenir à un tournage "à l'ancienne", dans la lignée des films d'exploitation de son enfance. Les films font ainsi très peu appel à la CGI et autres images de synthèse, même durant les combats pour lesquels les comédiens ont dû apprendre à travailler avec des câbles invisibles pour la caméra. Le plan de l'avion survolant Tokyo a été également réalisé sans assistance informatique, le cinéaste préférant filmer une maquette de l'appareil lancée sur un fil au-dessus d'un modèle réduit de la ville. Quant aux scènes sanglantes, elles font appel aux techniques asiatiques et leurs geysers de sang très exagérés, l'hémoglobine devant être activée à distance au bon moment par l'équipe des effets spéciaux pour donner l'effet souhaité à l'écran. Une technique qui, en cas d'erreur ou de prise râtée, demandait invariablement un nettoyage du plateau, des costumes et des comédiens...
Sang pour sang gore
Près de 500 litres de faux sang auraient été utilisés pour le tournage de Kill Bill : volume 1 / Kill Bill : volume 2.
Une version gore pour le Japon
Kill Bill est sorti au Japon dans une version différente de la version réservée au reste du monde. Plus gores (certains plans été rallongés), les scènes violente de la version japonaise sont présentées en couleur, alors qu'elles sont en noir et blanc dans le montage international.
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Les contributeursCe film a reçu 1 contribution, pour les secrets de tournage, de: m0uvee
Les contributions faites sur cette fiche sont mises à disposition sous un contrat Creative Commons.
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Kill Bill : Volume 2|Quentin Tarantino|Action|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|2004|134|Anglais||XVID|||XVID|572 Kbps|720x528|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|686||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Quentin Tarantino Lawrence Bender|Quentin Tarantino Uma Thurman|Robert Richardson||Miramax Films|Saga : Kill Bill |Après s'être débarrassée de ses anciennes collègues Vernita Green et O-Ren Ishii, la Mariée poursuit sa quête vengeresse. Il lui reste à régler le sort de Budd puis de Elle Driver avant d'atteindre le but ultime : tuer Bill. |Uma Thurman (La Mariée alias 'Black Mamba')@David Carradine (Bill )@Michael Madsen (Budd alias Sidewinder)@Daryl Hannah (Elle Driver)@Gordon Liu (Pei Mei)@Michael Parks (Esteban Vihaio / Sheriff Earl McGraw)@Bo Svenson (le pasteur)@Samuel L. Jackson (l'organiste)@Vivica A. Fox (Vernita Green alias "Vipère Cuivrée")@Lucy Liu (O-Ren Ishii alias "Mocassin d'Eau")@Julie Dreyfus (Sophie Fatale)@Sonny Chiba (Hattori Hanzo)@Chiaki Kuriyama (Go Go Yubari)@Larry Bishop (larry)@Sid Haig (jay)@||Secrets de tournage :
Deux volumes pour tuer Bill
Initialement, Quentin Tarantino envisage de projet de Kill Bill comme un unique film. Puis, en cours d'écriture, il prend conscience que le récit peut être développé sur deux époques, et donc sur deux longs métrages. Mais il n'ose pas évoquer cette éventualité avec le producteur Harvey Weinstein, qui partage avec son frère Bob la présidence du studio Miramax. A la lecture du script, Weinstein parvient lui aussi à la même conclusion, l'histoire de Kill Bill pourrait se décliner sur deux longs métrages. Il en fait part Tarantino et déclare qu'il serait prêt à financer un diptyque. Enthousiaste, le réalisateur-scénariste modifie le scénario en conséquence et divise l'ensemble en deux parties. La première (Kill Bill volume 1) se veut un hommage au film de sabre et de kung-fu, tandis que la seconde (Kill Bill volume 2) emprunte aux codes du western spaghetti.
Le retour de Tarantino
Le diptyque Kill Bill : volume 1 / Kill Bill : volume 2 marque le grand retour de Quentin Tarantino derrière l'objectif après six ans d'absence. Film-événement de 2003 / 2004, Kill Bill est seulement le quatrième film du cinéaste, après Reservoir dogs (1992), Pulp Fiction (1994) et Jackie Brown (1998).
Retrouvailles Thurman ? Tarantino
En 1994, dans Pulp Fiction, Uma Thurman jouait le rôle de Mia Wallace, la petite amie de Ving Rhames accro à la cocaïne et victime d'une overdose. Neuf ans plus tard, elle retrouve Quentin Tarantino pour Kill Bill.
Thurman enceinte, tournage retardé
Au printemps 2001, alors que tous les décors sont montés et que l'équipe est parée, la nouvelle tombe, Uma Thurman attend un enfant. Tarantino ne peut concevoir le film sans son interprète fétiche et ajourne le tournage. Malgré l'instance des studios Miramax, qui avancent déjà le nom de Patricia Arquette pour remplacer la comédienne, le réalisateur ne cède pas. Il entend ainsi rééditer le tour de force accompli par Josef von Sternberg en 1930 pour Morocco. Le cinéaste autrichien, apprenant que son actrice principale et muse Marlene Dietrich était tombée enceinte, suspend le tournage de son film jusqu'à ce que la comédienne puisse à nouveau jouer.
Toute l'équipe de Kill Bill mit à profit cet ajournement pour parfaire la pré-production du film, un report que Tarantino juge rétrospectivement bénéfique au film. Le premier coup de manivelle du film est finalement donné en janvier 2002.
Tourné au Beijing Film Studio
Le tournage eut lieu en partie au Beijing Film Studio, en Chine. Construit en 1949 à l'initiative de la femme de Mao, ce studio s'est rapidement imposé comme le pôle incontournable de la production cinématographique du pays.
Un plateau polyglotte
Sur le tournage se côtoient comédiens et techniciens américains, chinois et japonais. Pour se coordonner, l'équipe eut recours à des traducteurs, sollicités de toute part. L'espace de quelques semaines, les plateaux du Beijing Film Studio furent transformés en une véritable Tour de Babel.
Robert Richardson
Tarantino a confié la direction de la photographie de ses deux films à Robert Richardson. Recherché pour sa capacité unique à mêler des univers esthétiques différents et des sources diverses (animation, 35 mm, etc.), il est notamment à l'origine de patchwork visuel que constitue Tueurs nés, le film d'Oliver Stone qui brasse les influences et les supports.
Pas de Pei Mei pour QT
A l'origine, le réalisateur s'était attribué un rôle de Pei Mei dans Kill Bill : volume 2, mais devant la masse de travail qui l'attendait comme réalisateur, il a dû renoncer au profit de Gordon Liu.
Parks bis !
Dans Kill Bill : volume 1, Michael Parks incarne un Texas Ranger, un rôle similaire à celui qu'il tenait dans Une nuit en enfer de Robert Rodriguez, écrit et interprété par Tarantino. Dans Kill Bill : volume 2, il campe un vieux souteneur mexicain qui prête main forte à Uma Thurman.
Yuen Wo Ping
Yuen Woo Ping a assisté Tarantino en qualité de chorégraphe et réalisateur de deuxième équipe. Son travail avec Andy et Larry Wachowski sur la saga Matrix a révélé cet homme de spectacle complet (réalisateur, cascadeur), qui a notamment participé à Il était une fois en Chine de Tsui Hark (1994). Yuen Woo Ping a également coordonné les combats de Tigre et dragon d'Ang Lee.
Yuen Wo Ping a par ailleurs réalisé plus de trente longs métrages, dont certains (Snake in the eagle's shadow en 1978 et Fist of legend en 1994) sont considérés comme des classiques du genre.
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Entraînement intensif
Quentin Tarantino obligea ses comédiens à se soumettre à un entraînement particulièrement intensif. Pour ce faire, il les réunit dans un entrepôt proche des bureaux de la société de production Super Cool Man Chu Productions, à Culver City, au sud de Los Angeles. Outre des séances de musculation et de stretching, les acteurs suivirent les cours de Sonny Chiba, qui leur enseigna les rudiments du maniement du sabre. Yuen Woo Ping fut, quant à lui, chargé des cours d'arts martiaux. Les comédiens apprirent également les bases de la langue japonaise, pour que les répliques déclamées dans cette langue soit compréhensible par le public nippon.
Tarantino en survêtement
Le réalisateur s'est lui aussi soumis à l'entraînement qu'il imposa à ses comédiens, d'une part pour subir ce que les acteurs ont pu endurer, et d'autre part pour effectuer les mouvements précis qu'il attendait de ses interprètes lors des prises.
Tarantino et l'anime
Pour la séquence animée du film, Tarantino a fait appel au studio japonais Production I.G., déjà à l'origine des classiques de l'anime que sont Ghost in the Shell et Jin-Roh, la brigade des loups.
RZA à la BO
La BO du film est signée par RZA, membre fondateur du collectif rap Wu Tang Clan. L'artiste avait auparavant composé la bande originale de Ghost Dog: la voie du samourai de Jim Jarmusch.
Immersion complète
Après l'écriture du scénario, Quentin Tarantino consacra un an à voir des films d'arts martiaux, à écrire et réécrire son script. Il avoue s'être complètement immergé dans le cinéma d'action asiatique durant cette période au point d'avoir délaissé la production sortie durant l'année 2001.
Sonny Chiba
Né en 1939 à Fukuoka (Japon), Sonny Chiba est un figure mythique du cinéma d'action hongkongais. Karatéka de haut niveau, il fut même pressenti pour rejoindre les rangs de l'équipe japonaise de la discipline avant qu'une blessure ne l'éloigne des tatamis... et ne le rapproche des studios de cinéma. Repéré à l'occasion d'un concours organisé par les studios Toei, il rencontre le succès avec The Bodyguard (1970). Connu pour son rôle dans la série Shadox warriors, il se révèle acteur de premier plan avec The Streetfighter, où il prête sa silhouette massive au mercenaire Terru Suruguy, héros d'un film qui connaîtra une suite en 1974, The Return of the streetighter. Longtemps opposé au style félin de Bruce Lee, celui de Chiba se distingue par la violence et la rage qu'il imprime à chacun de ses combats. Star de plus de 125 productions Toei, il reste l'une des plus grandes vedettes du cinéma asiatique.
Tarantino à propos de Sonny Chiba
" Sonny Chiba m'est apparu dès les années 70 comme l'une des plus grandes stars du cinéma d'action, aux côtés de Charles Bronson et Clint Eastwood. "
Combat de longue haleine
Morceau de bravoure de Kill Bill volume 1, le combat de sabre de Black Mamba (Uma Thurman) contre 88 assaillants a nécessité quelque huit semaines de tournage. Pour comparaison, celui de Pulp Fiction ne dura que dix semaines.
Un film de Q & U
L'histoire de Kill Bill est signée du duo Q & U, alias Quentin Tarantino et Uma Thurman. C'est durant une fête sur le tournage de Pulp Fiction que le cinéaste et la comédienne eurent ensemble l'idée de cette histoire de veangence et du personnage de la Mariée. Développant un premier jet du scénario, Quentin Tarantino décidera, et ce pour la première fois de sa carrière, d'y laisser quelques zones d'ombres afin que son actrice y apporte ses propres idées et sa vision de l'histoire. Il promit d'offrir à Uma Thurman le scénario définitif pour ses trente ans... mais eu besoin de quelques mois supplémentaires pour terminer de coucher l'histoire sur papier.
Tarantino et le film de kung-fu
"Au début des années 70, j'étais gosse lorsque déferla aux Etats-Unis la vague des films de kung-fu. L'Old School Martial Arts Cinema devint mon école. Pendant deux ans, il projeta sans discontinuer ces films. La fièvre du kung-fu retomba partout ailleurs, sauf dans ces salles de South Bay et celles du ghetto où elle sévit jusqu'au des années 80. Je pense que c'est un des plus grands genres cinématographiques qui ait jamais existé".
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Un film sous influence (vol. 1)
Téléphage acharné, Quentin Tarantino rend hommage avec Kill Bill aux séries qui ont bercé sa jeunesse. Il confesse une passion pour Le Frelon vert (la série qui révéla Bruce Lee), Kung-fu (avec David Carradine, qui incarne le Bill), mais aussi Shadow warriors (série où Sonny Chiba interprète le détective ninja Hattori). Le personnage de Chiba dans Kill Bill s'inspire en grande partie du héros qu'il immortalisa dans cette série.
Un film sous influence (vol. 2)
Cinéphile fou, Tarantino trouve dans le cinéma d'extême-Orient l'autre source d'inspiration de Kill Bill. Au début des années 70, il n'est âgé que d'une dizaine d'années lorsqu'il prend de plein fouet la vague de cinéma d'action hongkongais. A cette époque, il voit Lady snowblood, un film samouraï féminin, référence incontestable pour Kill Bill, et découvre les productions Shaw Brothers, spécialisés dans l'action. Produit par cette firme, One-armed Swordman de Chang Cheh, ou la légende d'un sabreur au bras amputé, s'impose comme une autre influence majeure de Tarantino.
Trois visages pour Bill...
Kevin Costner et Warren Beatty avaient été pressentis pour incarner Bill, le principal bad guy de l'histoire. Choix initial de son ami Quentin Tarantino, Warren Beatty avait finalement dû décliner l'offre, les dates et la durée du tournage ne lui convenant pas. Il sera remplacé par David Carradine, inoubliable interpète de la série télévisée Kung-Fu dans les années soixante-dix.
Michael Madsen retrouve Tarantino
Le diptyque Kill Bill : volume 1 / Kill Bill : volume 2 marque la seconde collaboration entre Michael Madsen avec Quentin Tarantino, pour qui le comédien avait incarné le célèbre Mister Blonde de Reservoir dogs.
Une recrue de la "Battle Royale"
Interprète de Go Go Yubari, la tueuse à la boule, Chiaki Kuriyama a été révélée par son rôle d'adolescente tueuse et psychotique dans Battle royale. Dans Kill Bill, son costume d'écolière renvoie directement au film-choc de Kinji Fukasaku.
Une apparition de Samuel L. Jackson
Inoubliable Julius de Pulp Fiction, vu ensuite dans True romance (écrit par Quentin Tarantino) et Jackie Brown, Samuel L. Jackson retrouve le cinéaste dans Kill Bill : volume 2, avec une apparition clin d'oeil dans le rôle du joueur d'orgue de l'église où se déroule le mariage d'Uma Thurman. Des retrouvailles sanglantes...
Tournage "à l'ancienne"
Pour son diptyque Kill Bill : volume 1 / Kill Bill : volume 2, Quentin Tarantino souhaitait revenir à un tournage "à l'ancienne", dans la lignée des films d'exploitation de son enfance. Les films font ainsi très peu appel à la CGI et autres images de synthèse, même durant les combats pour lesquels les comédiens ont dû apprendre à travailler avec des câbles invisibles pour la caméra. Le plan de l'avion survolant Tokyo a été également réalisé sans assistance informatique, le cinéaste préférant filmer une maquette de l'appareil lancée sur un fil au-dessus d'un modèle réduit de la ville. Quant aux scènes sanglantes, elles font appel aux techniques asiatiques et leurs geysers de sang très exagérés, l'hémoglobine devant être activée à distance au bon moment par l'équipe des effets spéciaux pour donner l'effet souhaité à l'écran. Une technique qui, en cas d'erreur ou de prise râtée, demandait invariablement un nettoyage du plateau, des costumes et des comédiens...
Sang pour sang gore
Près de 500 litres de faux sang auraient été utilisés pour le tournage de Kill Bill : volume 1 / Kill Bill : volume 2.
Une version gore pour le Japon
Kill Bill est sorti au Japon dans une version différente de la version réservée au reste du monde. Plus gores (certains plans été rallongés), les scènes violente de la version japonaise sont présentées en couleur, alors qu'elles sont en noir et blanc dans le montage international.
Pas de Bill avant le volume 2 !
Jouant avec les nerfs des spectateurs, Quentin Tarantino a décidé de ne pas dévoiler Bill (David Carradine) avant Kill Bill : volume 2. Dans Kill Bill : volume 1, seules ses mains sont visibles !
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Killer Instinct|Tony Maylam Ian Sharp|Science fiction||2|britannique|1992|86|Anglais||DX50|||DX50|1 001 Kbps|720x576|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|689||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Chris Hanley Laura Gregory||Clive Tickner||||En 2008 Londres est en plein chaos. Le niveau de la mer a monté et une grande partie des terres est immergée sous les eaux. Une créature diabolique erre dans la ville. La rencontrer signifie souvent terminer le coeur arraché. Le nombre de victimes augmente d'une manière inquiétante. Le policier Harley Stone flanqué de ses deux collègues part à la recherche du monstre. |Rutger Hauer (harley stone)@Kim Cattrall (michelle)@Neil Duncan (dick durkin)@Michael J. Pollard (The rat catcher)@Alun Armstrong ( Thrasher )@Pete Postlethwaite (Paulsen)@Ian Dury (Jay Jay)@Sara Stockbridge (Tiffany)@Dave Duffy (Nick'The barman')@Ken Bones (Forensic expert)@John Bennett Perry (Dr Schulman)@Alan Stocks (Policeman)@Tony Steedman (O'Donnell)@Steven Hartley (Foster)@||||||||||||@@
Kill Switch|Jeff F. King|Action||2|américain|2008|92|Anglais||DX50|||DX50|954 Kbps|560x304|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Lindsay MacAdam Kirk Shaw|Steven Seagal|Tom Harting||||Détective célèbre et craint, Jacob King est une légende. Justicier sans pitié, il ne recule devant rien. Mais, durant sa dernière enquête, il croise la route de deux tueurs bien plus violents que lui qui terrorisent la ville. A travers Memphis et une course folle pour les arrêter, Jacob King va se plonger dans un monde de perversions où règne le danger. |Steven Seagal (Jacob King)@Holly Dignard (Agent Frankie Miller )@Chris Thomas King (Storm Anderson)@Michael Filipowich (Lazereus)@Isaac Hayes (Coroner)@Mark Collie (Billy Joel Hill)@Karyn Michelle Baltzer (Celine)@Philip Granger (Capitaine Jensen)@Riley Jang (Jacob jeune )@Finn Michael (tueur dans le flashback)@||||||||||||@@
King Kong|Peter Jackson|Fantastique||3|américain, néo-zélandais|2005|170|Anglais||XviD|||XVID|906 Kbps|640x240|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|1385||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Peter Jackson Frances Walsh Jan Blenkin Carolynne Cunningham|Peter Jackson Frances Walsh Philippa Boyens|Andrew Lesnie||Universal Pictures||New York, 1933. Ann Darrow est une artiste de music-hall dont la carrière a été brisée net par la Dépression. Se retrouvant sans emploi ni ressources, la jeune femme rencontre l'audacieux explorateur-réalisateur Carl Denham et se laisse entraîner par lui dans la plus périlleuse des aventures...
Ce dernier a dérobé à ses producteurs le négatif de son film inachevé. Il n'a que quelques heures pour trouver une nouvelle star et l'embarquer pour Singapour avec son scénariste, Jack Driscoll, et une équipe réduite. Objectif avoué : achever sous ces cieux lointains son génial film d'action.
Mais Denham nourrit en secret une autre ambition, bien plus folle : être le premier homme à explorer la mystérieuse Skull Island et à en ramener des images. Sur cette île de légende, Denham sait que "quelque chose" l'attend, qui changera à jamais le cours de sa vie... |Naomi Watts (Ann Darrow)@Jack Black (Carl Denham)@Adrien Brody (Jack Driscoll)@Andy Serkis (King Kong / Lumpy)@Thomas Kretschmann (le Capitaine Englehorn)@Colin Hanks (Preston)@Kyle Chandler (Bruce Baxter)@Jamie Bell (Jimmy)@Evan Parke (Hayes)@John Sumner (Herb)@Lobo Chan (Choy)@Craig Hall (Mike)@Willians Johnson (Manny)@Mark Hadlow (Harry)@Geraldine Brophy (Maude)@David Denis (Taps)@David Pittu (Weston)@Pip Mushin (Zelman)@Billy Jackson (Un enfant new-yorkais)@Katie Jackson (Un enfant new-yorkais)@Peter Jackson (Un mitrailleur)@Frank Darabont (Un mitrailleur)@Rick Baker (Un pilote)@||Secrets de tournage :
Budget géant
Initialement fixé à 150 millions de dollars, le budget du film s'élève finalement à 207 millions de billets verts, dont 25 millions de dépassement de budget et 32 millions entièrement dédiés à la production des effets spéciaux supplémentaires. King Kong devient ainsi l'un des films les plus chers de l'histoire du cinéma avec notamment Titanic et Spider-Man 2.
35 ans plus tôt...
Agé de 9 ans, le jeune Peter Jackson découvre le premier King Kong, réalisé par Ernest B. Schoedsack et Merian C. Cooper : " J'avais 8 ou 9 ans, explique le réalisateur. L'impact fut tel que je décidai sur le champ de devenir réalisateur. Je me suis dit : " Je veux faire du cinéma, je veux être capable de faire des films comme King Kong". Il réalisa son rêve 35 ans plus tard, après maintes tentatives... "Il peut sembler étranger que King Kong ait fait partie de ma vie si longtemps, qu'il soit depuis 35 ans mon film favori. Pouvoir le refaire aujourd'hui, c'est concrétiser un rêve incroyable, que je n'aurais même pas osé imaginer. Ma dette à son égard n'a fait que croître, car c'est ce film qui m'a orienté vers la réalisation et a été le moteur de ma carrière. Tourner cette nouvelle version m'a permis de l'en remercier et de lui rendre hommage."
Le rêve de toute une vie
A 13 ans, le jeune Peter Jackson tente une première fois de tourner son adaptation de King Kong. A l'aide d'une maquette de l'Empire State building et de dinosaures en plastiques, il tourne quelques images de la scène finale avec la caméra familiale. Quelques années plus tard, en 1996, après avoir fait ses preuves en tant que réalisateur, Peter Jackson se voit proposer par Universal de mettre en scène un nouveau King Kong : "C'était un film d'aventures au second degré, très hollywoodien, plein de gags, de répliques à l'emporte-pièce", admet-il. Quelques mois après le début de la pré-production, le projet est finalement abandonné permettant ainsi au réalisateur Néo-zélandais de se pencher sur l'adaptation du Seigneur des anneaux. Dix-sept oscars plus tard, Peter Jackson réalise enfin son rêve d'enfant et tourne sa propre version de King Kong, 35 ans après avoir vu le premier film.
Salaire record
Peter Jackson toucha 20 millions de dollars pour tourner King Kong, soit le plus gros salaire jamais versé à un réalisateur.
Retour aux années 30
A l'inverse de John Guillermin, qui ancra son remake dans les années 70, Peter Jackson décida plutôt de revenir aux années 30 pour raconter sa propre version de King Kong... En 1933 précisément, en hommage à l'année de sortie de la première version. Explications : " Le clou du film serait, ici encore, la séquence de l'attaque des biplans sur King Kong, accroché au sommet de l'Empire State Building, et je ne voyais pas comment justifier la présence de ces avions dans un contexte actuel. Deuxième raison : dans les années 30, on pouvait encore croire qu'il y avait, quelque part dans le vaste univers, une minuscule terra incognita, une île perdue au milieu de l'océan, qui aurait échappé à la vigilance des cartographes. Nous n'en sommes plus là. "
Tournage à Wellington
Le tournage de King Kong s'est principalement déroulé à Wellington et ses alentours pendant 131 jours. Surnommée Wellywood, la capitale de la Nouvelle-Zélande abritait les différents studios et lieux de tournages qui ont réunis au total 1300 techniciens et plus de 7500 figurants.
Changement de Compositeur
Fidèle de Peter Jackson, Howard Shore, compositeur de la bande originale du Seigneur des anneaux, devait initialement écrire la musique du film. Mais suite à un différend artistique, il dû laisser sa place à James Newton Howard, compositeur attitré d'un certain M. Night Shyamalan...
Deux rôles pour Andy Serkis
Sous la peau numérique du Gollum du Seigneur des anneaux se trouvait Andy Serkis. Contacté à nouveau par Peter Jackson pour incarner le roi Kong lui-même, le comédien prête aussi ses traits au cuisinier bourru du S.S. Venture : Lumpy.
Andy chez les gorilles
Afin s'imprégner de la personnalité et des mouvements des véritables gorilles, Andy Serkis est allé observer les animaux dans leur environnement naturel au Rwanda. En revenant, il insista pour conserver l'aspect végétarien de ses animaux. En effet, bien qu'ils restent des bêtes sauvages capables de tuer, les gorilles sont végétariens et ne mangent pas d'humains.
Une comédienne manque à l'appel
L'actrice Fay Wray, qui incarnait Ann Darrow dans le King Kong de 1933 s'est vu proposer un caméo par Peter Jackson, mais celle-ci est malheureusement décédée un mois avant le début du tournage. Le réalisateur voulait lui alors confier la dernière réplique du film...
Carl Denham, l'homme par qui tout arrive...
Le personnage de Carl Denham, initiateur de l'expédition vers l'île du Crâne, est fortement inspiré d'un certain... Orson Welles: "J'ai beaucoup réfléchi à ce rôle, explique Jack Black. Je me suis demandé si Peter ne m'avait pas choisi en raison de nos similitudes physiques : nous avons à peu près la même taille, la même carrure, et voilà qu'il me confie un rôle de réalisateur ! Serait-ce qu'il se reconnaît en moi ? J'ai alors eu l'idée de baser secrètement mon interprétation sur lui, mais j'ai vite compris que ce n'était pas la bonne approche. Peter n'a aucune des angoisses de Carl, aucune de ses obsessions ou de ses crises de colère. Et il est certainement dans une situation moins désespérée que Carl.
J'ai alors pensé à faire de Denham une sorte de P.T. Barnum, mais Peter avait un autre modèle en tête - pour faire court, un Orson Welles au petit pied. Carl se prend pour un artiste maudit. Il a un ego monumental et espère être reconnu un jour, mais, au fond, il a peur de ne jamais arriver à rien. C'est cela son vrai moteur." Peter Jackson précises ses intentions pour le rôle :" Nous avons pris pour référence le jeune Orson Welles du Mercury Theatre. Carl a cette énergie bouillonnante et contagieuse, cette détermination inflexible à réaliser son film par tous les moyens possibles et imaginables. Il est ambitieux et un brin escroc... comme Orson qui n'hésitait pas à utiliser pour tel ou tel de ses projets l'argent qu'il avait obtenu pour un tout autre film". Parallèlement, Carl Denham renvoie aussi à Merian C. Cooper, l'un des deux réalisateurs du King Kong de 1933, en raison de sa vocation d'aventurier.
Ann Darrow rencontre Ann Darrow
Lors de la pré-production, Peter Jackson organisa une rencontre entre Naomi Watts et Fay Wray, qui incarnait Ann Darrow en 1933. Selon Naomi Watts , a l'issue de leur rencontre, Fay Wray, lui aurait murmuré à l'oreille " Ann Darrow est entre de bonnes mains ". Ce que la comédienne britannique a reçu comme une véritable bénédiction.
Où est Peter Jackson ?
Comme dans ses précédents films, Peter Jackson s'est réservé une apparition dans King Kong parmi l'équipe de mitrailleurs chargés d'abattre le gorille géant. A ses côtés, d'autres personnalités sont venues faire une apparition clin d'oeil comme le réalisateur-scénariste Frank Darabont, ou encore Rick Baker, le célèbre maquilleur. On peut aussi apercevoir les propres enfants du réalisateurs, qui jouent de jeunes enfant à New York. On avait déjà pu les remarquer dans la trilogie du Seigneur des anneaux.
Journal de bord
Tout au long du tournage et de la post production, Peter Jackson a entretenu un journal de bord vidéo permettant aux internautes du monde entier de suivre l'état d'avancement du projet. Plus de 3500 heures de "rushes" ont ainsi été tournées en vue d'alimenter ce journal.
Chapeau bas !
Le chapeau que porte Naomi Watts dans le film est inspiré de celui de Fay Wray dans le King Kong réalisé en 1933.
Inspiré d'un vrai gorille
Pour créer son King Kong, Peter Jackson s'est inspiré de la physionomie d'un véritable gorille vivant au zoo de Barcelone du nom de Snowflake (Flocon de neige).
King Kong change de look
Au fur et à mesure que la production avançait, plusieurs changements sont intervenus dans le design général du gorille géant. Au final, King Kong a connu trois styles différents, devenant ainsi plus vieux et plus marqué.
Le retour de l'araignée géante
Comme dans Le Seigneur des anneaux : le retour du roi, Peter Jackson met en scène une araignée géante dans King Kong. Dans le film de 1933, une scène similaire avait été tournée mais elle fut coupée lors du montage. Les négatifs furent depuis perdus.
Connaissant cette scène et sa disparition, le réalisateur néo-zélandais, décida de lui redonner vie. Dans des conditions de tournage équivalentes à celles de 1933, avec une image similaire, il tenta de la récréer avec l'aide de son équipe. Celle-ci est aujourd'hui visible sur l'édition DVD Zone 1 du King Kong de Ernest B. Schoedsack et Merian C. Cooper.
Gorille d'avril
Pour le 1er avril, Peter Jackson laissa espérer que deux suites étaient en préparation : Le fils de Kong et King Kong : dans l'antre des loups, une rumeur bien évidemment fausse.
Pas de tournage en mer
Souffrant de mal de mer, Peter Jackson refusa de filmer le périple du S.S. Venture sur l'océan, privilégiant un tournage en studio.
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King Kong lives|John Guillermin|Fantastique|||américain|1986|128|Anglais||DivX|||DIVX|655 Kbps|688x320|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|694||||25.022|28/07/2009 00:00:00|Martha Schumacher|Steven Pressfield Ronald Shusett|Alec Mills||||New York 1976. King Kong gît au pied du World Trade Center. Il n'est pas mort et une équipe de médecins et chercheurs de l'Institut d'Atlanta le recueille et rétablit ses fonctions biologiques. Seulement Kong donne des signes de faiblesse et l'implantation d'un coeur artificiel s'impose. C'est alors qu'un aventurier, Hank Mitchell, découvre, dans la jungle de Bornéo, un gigantesque gorille femelle, Lady Kong qu'il revend à l'Institut. |Linda Hamilton (Amy Franklin)@Brian Kerwin (Hank Mitchell)@John Ashton (Nevitt)@Peter Michael Goets (Dr Ingersoll)@Frank Maraden (Dr Benson Hughes)@Peter Elliot@George Yiasoumi@||||||||||||@@
Kingdom of Heaven|Ridley Scott|Historique||3|américain, allemand, espagnol, britannique|2005|144|Anglais||XviD|||XVID|1 217 Kbps|592x256|MPEG-1 Audio layer 3|123 Kbps|False|48.0 KHz|2|1393||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Ridley Scott|William Monahan|John Mathieson||Pathé Distribution||L'aventure extraordinaire d'un homme ordinaire, précipité dans un conflit qui va durer des décennies : les croisades.Etranger sur une terre qui lui est étrangère, il va servir un roi condamné, s'éprendre d'une troublante et inaccessible reine avant d'être fait chevalier.Il lui faudra protéger les habitants de Jérusalem, dont une immense armée a entrepris le siège, sans jamais cesser de lutter pour maintenir une paix fragile... |Orlando Bloom (Balian)@Liam Neeson (Godefroy)@David Thewlis (L'Hospitaller)@Eva Green (Sibylle)@Marton Csokas (Guy De Lusignan)@Brendan Gleeson (Reynald)@Ghassan Massoud (Saladin)@Jeremy Irons (Tiberias)@Iain Glen (Richard Coeur de Lion)@Alexander Siddig (Imad)@Velibor Topic (Amalric)@Edward Norton (le roi Baudouin IV)@Jon Finch (Jerusalem )@Martin Hancock (un fossoyeur)@Michael Sheen (le prêtre)@Nathalie Cox (l'épouse de Balian)@Eriq Ebouaney (Firuz)@Jouko Ahola (Odo)@Philip Glenister (le châtelain)@Bronson Webb (l'apprenti)@Lofti Yahya (une vieille servante)@Samira Draa (la suivante de Sibylle)@Ulrich Thomsen (le maître du temple)@Kevin McKidd (un chevalier)@||Secrets de tournage :
Schwarzy et Verhoeven intéressés
Cette fresque historique, connue originellement sous le nom de Crusade, a longtemps été convoitée par Arnold Schwarzenegger et le réalisateur Paul Verhoeven à la fin des années 90. Paul Bettany fut par ailleurs pressenti pour être le héros du film, mais il dut laisser sa place à Orlando Bloom, car aux yeux des studios Twentieth Century Fox il n'était pas assez connu du grand public.
De la conception au tournage
Ridley Scott était en train de développer un projet intitulé Tripoli avec le scénariste William Monahan lorsque les deux hommes commencèrent à s'intéresser à un film évoquant l'épopée des croisades. Ce dernier travailla à l'écriture du script à partir de récits d'époque. Ses recherches révélèrent que le roi Baudouin et Saladin avaient effectivement réussi à instaurer une trêve durable et sans précédent, durant laquelle les trois grandes religions monthéistes étaient pratiquées librement à Jérusalem.
Retrouvailles Ridley Scott / Orlando Bloom
Kingdom of Heaven marque les retrouvailles de Ridley Scott avec Orlando Bloom. Les deux hommes avaient travaillé ensemble sur La Chute du faucon noir. Le réalisateur explique : "Orlando est quelqu'un de franc et de très ouvert, ce qui correspondait bien au personnage. Sur La Chute du faucon noir, il est vraiment tombé d'un hélicoptère ! Il est capable de faire tout ce que je lui demande, mais je crois que c'est surtout son honnêteté et sa sincérité qui lui donnent l'authenticité nécessaire à l'interprétation du rôle de Balian".
Ghassan Massoud très impliqué dans le film
Tous les acteurs ont effectué leurs propres recherches sur cette époque de l'Histoire, sur leurs personnages, les coutumes et les différentes cultures. Ghassan Massoud a étudié la vie de Saladin en profondeur à partir de sources aussi bien orientales qu'occidentales, et a lu quantité d'ouvrages sur le sujet. Il est arrivé à plusieurs reprises que le scénariste, le réalisateur et le comédien arabe apportent des ajustements au scénario d'après les connaissances de Ghassan Massoud sur Saladin et les coutumes orientales.
Les costumes
La chef costumière Janty Yates a elle aussi effectué des recherches poussées pour recréer les divers costumes du film en visitant le British Museum, l'armurerie de Leeds et la Salle des Croisades du château de Versailles. A partir de là, elle et son équipe ont créé environ 15 000 costumes pour les acteurs et figurants et ont habillé jusqu'à 2 000 figurants en même temps. Ils ont mis en place sur les lieux de tournage de véritables "villages" pour laver, vieillir, teindre, créer et ajuster les différents costumes.
Tournage en Espagne et au Maroc
Kingdom of Heaven a été tourné dans deux pays : en Espagne, à Séville notamment, pour les scènes se déroulant dans la France du XIIe siècle, et au Maroc pour celles situées en Terre sainte. Certains intérieurs de Jérusalem ont également été filmés en Espagne.
Le dernier lieu de tournage a été Essaouira, sur la côte Atlantique du Maroc. Cette ville portuaire a été utilisée pour ses rues et ses vieux murs qui passent pour des détails de l'ancienne Jérusalem. C'est également là que se trouve la plage où échoue Balian après son naufrage.
Recréer Jérusalem
Le chef décorateur Arthur Max et son équipe ont reconstitué les extérieurs de Jérusalem du XIIe siècle aux studios Atlas Films. Ce dernier raconte : "Nous avons recréé notre décor d'après des éléments de la vraie ville, les portes, la zone de la citadelle, avec la Tour de David. Il y a plus de 28 000 m² de murs. Nous avons utilisé 6 000 tonnes de plâtre".
L'équipe des décors a dû également fabriquer la plupart des objets de la vie courante. L'ensemblière Sonja Klaus et son équipe de 80 décorateurs et artisans sont souvent remontés directement à la source. Ainsi, une douzaine de couvreurs spécialistes du toit de chaume ont rejoint les 450 membres de l'équipe technique et ont travaillé de la même manière que leurs ancêtres au XIIe siècle. Un forgeron britannique a par ailleurs enseigné à Orlando Bloom comment se comporter dans une forge comme on le faisait il y a mille ans.
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Kong Saan Mei Yan|Ching Siu-Tung Zhao Xiaoding|Action||2|chinois, hong-kongais|2008|94|Cantonais||XviD|||XVID|883 Kbps|624x272|MPEG-1 Audio layer 3|134 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||23.976|27/08/2009 00:00:00|Lau Gin|James Yuen Cheung Tan Chun Tin-Nam|Liu Zhang Mu||||Chine, IIe siècle avant Jésus Christ. Les royaumes en guerre combattent sans relâche. À la mort de son père, Yen Feier accède au trône et prend la tête de l'armée pour défendre le royaume. Mais c'est sans compter son cousin Wu Ba qui a prévu son assassinat et l'usurpation du pouvoir. Rescapée de l'attaque et décidé à se venger, Feier rassemble ses guerriers et mène la lutte pour la reconquête du trône... |Donnie Yen (Xuehu Muyong )@Guo Xiaodong (Ba Hu)@Kou Zhenghai (Bochang Teng)@Kelly Chen (Yen Feier)@Leon Lai (Lanquan Duan)@Liu Weihua (Yan King)@Zhang Shan (Zhao King )@Zhou Bo (Jia Ao)@Yan Jie (Prince Zhao )@Harashima Daichi (Muyong Xuehu Jeune)@Yang Yi-Yi (Yan Feier Jeune)@Zhou Zhonghe (Prêtre Tribal)@Liu Asoka (L'aide du prêtre tribal)@Wang Dong Dong (Employé de Yan)@Liu Xinyi (Employée de Yan)@Chen Guoyi (Employé de Yan)@Jin Shengyu (Employé de Yan)@Sun Xiaofei (Employée de Yan)@Deng Li Min (Adjoint de Yan)@Guo Hongqing (Adjoint de Yan)@Peng Bo (Adjoint de Yan)@Li Yuan (Adjoint de Yan)@Hao Tian (Adjoint de Yan)@Peng Zhi (Adjoint de Yan)@Chen Kang (Assassin)@Zhang Jie (Assassin)@Liu Zhiwei (Assassin)@Lin Jianming (Assassin)@Xin Wang (Assassin)@Jin Zhang (Assassin)@Sun Guo Chao (Assassin)@Xie Zhiyong (Assassin)@Yin Guoxiong (Assassin)@Zhang Jun (Assassin)@Yin Hailong (Assassin)@Sheng Peng Qiu (Assassin)@||||||||||||@@
Kirikou et les bêtes sauvages|Michel Ocelot Bénédicte Galup|Animation|Film pour enfants|3|français|2005|73|Français||XviD|||XVID|621 Kbps|720x400|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|400||||25.000|28/07/2009 00:00:00||Michel Ocelot|||Gebeka Films|Saga : Kirikou |Le grand-père, trônant dans sa grotte bleue, explique : "L'histoire de Kirikou et la sorcière était trop courte. On n'a pas eu le temps de rapporter tout ce que l'enfant avait accompli. Et il a vraiment accompli de belles et bonnes actions, qu'il ne faudrait pas oublier. Alors, je vous les raconte."
Et il nous dit comment l'inventif Kirikou est devenu jardinier, détective, potier, marchand, voyageur et médecin, toujours le plus petit et le plus vaillant des héros. |Pierre-Ndoffé Sarr (Kirikou (voix))@Awa Sène Sarr (Karaba (voix))@Robert Liensol (le grand-père (voix))@Marie-Philomène Nga (la mère (voix))@Emile Abossolo M'Bo (l'oncle (voix))@Pascal N'Zonzi (le vieillard (voix))@Marthe N'Domé (la femme forte (voix))@Emilie Gaydu (la grande fille (voix))@Gwénael Sommier (le grand garçon (voix))@Alex Carrete (le garçon moyen (voix))@Yanis Durancy (le petit garçon (voix))@Jean Bediebe (le Fétiche (voix))@Noémie Germain (une fille (voix))@Ebra Kouahoulé (une fille (voix))@||Secrets de tournage :
Hors compétition
Kirikou et les bêtes sauvages a été présenté hors compétition au festival de Cannes 2005.
Enfance africaine
Michel Ocelot a passé son enfance en Guinée. Ce qui l'a inspiré pour créer le personnage de Kirikou.
De nouvelles aventures
Kirikou et les bêtes sauvages ne raconte pas la suite du premier volet. On retrouve le petit garçon dans de nouvelles aventures. Kirikou retrouve certains personnages de Kirikou et la sorcière notamment la sorcière Karaba mais il fait aussi de nouvelles rencontres.
Kirikou revient !
Michel Ocelot explique pourquoi il a fait revenir son petit héros : "Je n'avais pas l'intention de faire un deuxième ?Kirikou?. Mais l'enfant
Kirikou ne m'a pas demandé mon avis, il s'est imposé, et je ne faisais pas
le poids. C'est une étrange expérience, d'une part d'être un peu dépassé
par son invention, d'autre part de revenir en arrière pour recommencer
comme la première fois... Ce n'est pas une suite à l'histoire de Kirikou et la
Sorcière, où le héros est devenu un homme. J'ai eu un immense plaisir à refaire vivre
intensément mon minuscule héros, le faire réagir, foncer, parler - il me dictait
son dialogue sans une hésitation, et ce que disait sa mère, et son grand-père,
et le vieux grincheux sous son baobab, et la Femme Forte, autoritaire mais
pas indifférente. Karaba resplendit toujours, elle n'est encore que sorcière,
mais on sent bien que cette femme extraordinaire intrigue le gamin
extraordinaire dont le dernier mot, dans ce film, sera pour elle."
Que de fétiches !
Le premier volet des aventures de Kirikou, Kirikou et la sorcière a remporté plus de vingt distinctions dans les festivals internationaux !
En musique
Plusieurs artistes africains ont collaboré pour réaliser la bande originale de Kirikou et les bêtes sauvages : Youssou N'Dour qui avait déjà signé la musique du premier volet des aventures du petit héros, Rokia Traoré, célèbre chanteuse malienne et Manu Dibango qui signe ici sa première musique de film.
Kirikou, une égérie
Le succès immense du film a consacré le petit héros africain, il revêt aujourd'hui le statut d'égérie. Certaines grandes marques l'ont choisi comme effigie de leurs produits. Ainsi, 20 millions de produits représentant Kirikou sont en cours de distribution. Mais l'aventure ne s'arrête pas là, pour l'année à venir, il sera le représentant officiel, en France, du Fonds des Nations Unies pour l'enfance (Unicef), son image sera sur les cartes de voeux et les emballages cadeaux.
Propos recueillis sur : http://www.afrik.com/article9004.html
Success story
En 1994 Didier Brunner fonde la société Les Armateurs. La société remporte ses premiers
succès dès 1997, grâce au court métrage La Vieille Dame et les pigeons de Sylvain Chomet, et Kirikou et la sorcière, sorti en 1998 : 1,5
million d'entrées en France à ce jour, distribué dans plus de 50 pays. Après Princes et princesses, Les Triplettes de Belleville de Sylvain Chomet remporte un vif succès
public et critique lors de sa présentation, hors compétition, au Festival de Cannes 2003. Le film
totalise aujourd'hui près de 900 000 entrées en France et a été vendu dans 50 pays.
Dans la tradition du dessin animé
L'essentiel du film a été fabriqué dans le studio éphémère des Armateurs au Pôle Image d' Angoulême. Aucun effets spéciaux n'ont été utilisé pour ce long-métrage réalisé dans la pure tradition du dessin animé.
Michel Ocelot, travailleur acharné
Michel Ocelot raconte son implication lors de la préparation de Kirikou et les bêtes sauvages qu'il a cosigné avec Bénédicte Galup : "On a échangé des idées, puis j'ai écrit le scénario et les dialogues. Ensuite, j'ai surveillé de près le story-board en dessinant moi-même celui des scènes avec le grand-père et celui des séquences avec les femmes malades. J'ai aussi supervisé quotidiennement la création des décors. Je me suis rendu aussi régulièrement à Angoulème de façon à suivre la mise en place du travail, ce que les Américains appellent le "layout", avant d'envoyer l'ensemble au Vietnam où une partie du film a été réalisée sur mes indications. Bénédicte était sur le terrain tout le temps et moi j'essayais de travailler à temps complet sur Kirikou et sur mon nouveau long-métrage Azur et Azmar."
« Préc.
de 50 corps de métiers pour un total de plus de 200 personnes réparties
en une dizaine d'unités de production, et ce dans trois pays différents : France, Lettonie, Vietnam !
AbraKaraba !
En 2005, on peut retrouver Kirikou dans une foule d'aventures sur papier : 6 albums illustrés, un livre avec CD pour une histoire racontée par grand-père, 2 romans, un livre sur l'élaboration du premier volet par Michel Ocelot, un livre scolaire... et un jeu vidéo !
"L'enfant Nu, l'enfant noir": la chanson !
Refrain: KIRIKOU L'ENFANT NU, L'ENFANT NOIR.
Enfant mais pas naïf,
petit mais pas craintif,
il pense à chaque fois,
puis il fonce dans le tas.
(Refrain)
Il n'a pas de gri-gri,
il n'a pas de fusil,
il arrive quand même
à sauver ceux qu'il aime.
(Refrain)
Il ne condamne pas,
il demande pourquoi,
et quand il a trouvé,
il sait tout pardonner.
(Refrain)
Il n'est ni fort ni grand,
et pourtant il nous rend
l'eau, les fruits et les fleurs,
et la paix dans les coeurs.
Paroles : Michel Ocelot / Musique : Brigitte Palabaud / Chant : Youssou N'Dour
« Préc.
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Kung Fu Panda|Mark Osborne John Stevenson|Animation|Film pour enfants à partir de 6 ans|3|américain|2008|82|Anglais||XVID|||XVID|1 052 Kbps|720x480|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|704||||30.032|27/08/2009 00:00:00|Melissa Cobb|Jonathan Aibel Glenn Berger|Yong Duk Jhun||DreamWorks Animation||Passionné, costaud et quelque peu maladroit, Po est sans conteste le plus grand fan de kung fu. Serveur dans le restaurant de nouilles de son père, son habileté reste encore à prouver.Elu pour accomplir une ancienne prophétie, Po rejoint le monde du kung fu afin d'apprendre les arts martiaux auprès de ses idoles, les légendaires Cinq Cyclones : Tigresse, Grue, Mante, Vipère et Singe, sous les ordres de leur professeur et entraîneur, Maître Shifu.Mais Taï Lung, le léopard des neiges fourbe et animé d'un désir de vengeance, approche à grands pas, et c'est Po qui sera chargé de défendre la vallée face à cette menace grandissante. |Manu Payet (Po le panda (voix française))@Pierre Arditi (Shifu (voix française) )@Marie Gillain (Master Tigresse (voix française))@Mylène Jampanoï (Master Viper (voix française) )@Marc Lavoine (Tai Lung (voix française) )@Tomer Sisley (Grue (voix française))@William Coryn (Singe (voix française))@Xavier Fagnon (Mante (voix française))@Pierre Bonzans (Oogway (voix française))@Michel Tureau (Mr. Ping (voix française))@Pascal Sellem (Zeng (voix française))@Philippe Dumond (Commander Vachir (voix française))@||Secrets de tournage :
DreamWorks toujours aussi animé !
Kung Fu Panda est le nouveau film d'animation du studio DreamWorks, qui a notamment créé des succès internationaux tels que la saga Shrek, Madagascar ou encore Bee movie - drôle d'abeille.
PO-SI-TIF !
Kung Fu Panda déborde d'une bonne humeur contagieuse. Le réalisateur Mark Osborne déclare : "Depuis le début, il nous paraissait important que Kung Fu Panda véhicule un message positif dans lequel nous croyons. Nous souhaitions que le film soit ludique, plein d'humour et d'action mais avec un ressenti gonflé d'optimisme."
Jack Panda est un panda... pas comme les autres !
Pour l'acteur Jack Black, prêter sa voix à un panda dingue de Kung Fu n'est pas si étrange; Il raconte : "Le Kung Fu m'a toujours fasciné. Les mouvements gracieux exécutés par les Maîtres de cet art martial sont magnifiques à regarder. Donc, l'offre du producteur Jeffrey Katzenberg de doubler Po était alléchante. Gamin, j'ai pris des cours de judo et j'ai même remporté un trophée dans une compétition... enfin, en trichant un peu sur mon poids. Bien que je n'aie jamais pris de cours de karaté, selon moi, c'est l'art martial le plus spirituel. Et Po me rappelle moi quand j'étais jeune. Il est innocent et rêveur."
Des voix originales d'exception...
Kung Fu Panda réunit un casting vocal international d'exception, avec notamment la pointure comique Jack Black dans le rôle du Panda, mais également Dustin Hoffman, Angelina Jolie, Lucy Liu, Jackie Chan, Seth Rogen ou encore Michael Clarke Duncan.
... et des voix françaises au diapason
Les voix françaises de Kung Fu Panda sont qualitativement au diapason de la version originale. Le jeune comique Manu Payet prête ainsi sa voix au Panda, accompagné au générique par Pierre Arditi, Marie Gillain, Marc Lavoine, Mylène Jampanoï, Tomer Sisley ou encore Pascal Sellem.
Deux pointures à la baguette
Kung Fu Panda bénéficie de la présence à son générique de deux pointures de la musique de films : Hans Zimmer et John Powell. Ces compositeurs de renom ont notamment collaboré sur Le Roi Lion, Gladiator et la saga Pirates des Caraïbes pour le premier, et Le Prince d'Egypte, Volte/Face ou encore Shrek pour le second.
Présenté à Cannes
Le film d'animation Kung Fu Panda a été présenté en 2008 au Festival de Cannes, en Sélection Officielle Hors-compétition.
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Beauty and the Beast|Gary Trousdale Kirk Wise|Animation|Film pour enfants|4|américain|1992|86|Anglais||XviD|||XVID|986 Kbps|624x352|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Don Hahn|Roger Allers Linda Woolverton Rob Minkoff|||Buena Vista Pictures||Belle est une jolie jeune fille passionnée par les livres. Son père, un inventeur, se retrouve par hasard dans le château d'une bête hideuse qui le fait prisonnier.
Belle vole à son secours et offre de prendre sa place. Avec l'aide des habitants ensorcelés du château, dont une théière, un chandelier et une pendulette, elle va découvrir, au-delà de l'aspect terrifiant de la Bête, un être honnête et généreux. |Paige O'Hara (Belle (voix))@Robby Benson (la Bête (voix))@Richard White (Gaston (voix))@Jerry Orbach (Lumière (voix))@David Ogden Stiers (le narrateur (voix))@Angela Lansbury (Mme. Potts (voix))@Bradley Pierce (Chip (voix))@Rex Everhart (Maurice (voix))@||||||||||||@@
Lady and the Tramp|Hamilton Luske Clyde Geronimi Wilfred Jackson|Animation|Film pour enfants|3|américain|1955|72|Anglais||DIV3|||DIV3|1 078 Kbps|720x576|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|614||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Walt Disney Erdman Penner|Erdman Penner Ward Greene Joe Rinaldi Ralph Wright Don Da Gradi|||||Les aventures amoureuses de Lady, ravissant cocker et de Clochard le batard, perturbées par tante Sarah et ses deux adorables chats siamois, Si et Am, diaboliques et sournois. |Larry Roberts (Clochard (voix))@Barbara Luddy (Belle (voix))@Peggy Lee (Darling / Si / Am / Peg (voix))@Bill Baucom (Trusty (voix))@Bill Thompson (Jock, le Scotch-terrier / Bulldog / Policier au Zoo / Dachsie / joe (voix))@||||||||||||@@
Lady and the Tramp II: Scamp's Adventure (v)|Darrell Rooney|Animation||2|américain, australien|2001|66|Anglais||DIV3|||DIV3|1 207 Kbps|688x432|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|619||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Jeannine Roussel|Bill Motz Bob Roth|||||Scamp est le seul mâle de la portée de la Belle et du Clochard. Un jour, il décide de s'enfuir de chez lui. Il rencontre une bande de chiens et surtout, Ange, une charmante chienne qui recherche une famille. |Emmanuel Garijo (Scamp (voix française))@Ludivine Sagnier (l'Ange (voix française))@Jacques Frantz (le Caïd (voix française))@Barbara Tissier (Belle (voix française))@Guillaume Lebon (Clochard (voix française))@||||||||||||@@
La Beuze|François Desagnat Thomas Sorriaux|Comédie||2|français|2003|88|Français||XVID|||XVID|959 Kbps|720x304|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|677||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Abel Nahmias|Juliette Arnaud Philippe de Chauveron François Desagnat Thomas Sorriaux Tefa|Vincent Mathias||Pathé Distribution||Alphonse Brown, fils caché de James Brown, et Scotch sont amis depuis l'enfance. Ils vivent au Havre de petits deals minables jusqu'au jour où Alphonse se fait serrer.Après un an de prison, il retrouve Scotch et la liberté avec la ferme intention de tirer un trait sur les galères du passé pour suivre les traces de son père dans la musique. Le soir de la libération d'Alphonse, sa vie et celle de Scotch vont basculer quand ils découvrent dans un bunker, une vieille malle au contenu mystérieux.Alors qu'ils débarquent à Paris dans l'espoir d'entamer une grande carrière dans la musique, ils vont vite se rendre compte que leur trésor est l'objet de toutes les convoitises... |Michaël Youn (Alphonse)@Vincent Desagnat (Scotch)@Zoé Félix (Dina)@Kad Merad (Le Directeur de Pacific Recordings)@Frédérique Bel (la fille nue dans le spot publicitaire)@Valérie Benguigui@Alex Descas (Shaft)@Lionel Abelanski (Perez)@Jean-Francois Gallotte (Marceau)@Hans Meyer (Rudolf Maier)@Youssef Diawara (Sam)@Makan Sidibé (Dave)@Ginette Garcin (Madame Batin)@Kool Shen (Lord Fatal)@Laurent Pons (V.R.)@Catherine Benguigui (La spécialiste de rap)@Gad Elmaleh (Le spécialiste des Stups)@Benjamin Morgaine (Le DJ du bar de la plage)@Omar Sy (Michel Dembélé, le voisin)@||Secrets de tournage :
Le choix de Zoé Félix
La comédienne Zoé Félix n'a pas été immédiatement retenue pour le tournage de La Beuze. Elle connaissait déjà François Desagnat, mais le personnage de Dina était censée être au départ métis. Or, quelques jours avant le début du tournage, la comédienne initialement prévue s'est désistée, laissant l'opportunité à Zoé Félix de démontrer ses talents au directeur de casting. Celui-ci assura aux deux réalisateurs que la jeune femme était le mieux placée pour reprendre le rôle.
Tournage familial
Le réalisateur de La Beuze, François Desagnat, n'est autre que le grand frère de Vincent Desagnat, l'un des interprètes principaux du film.
Reformation d'une équipe
Tout le monde ou presque se connaissait déjà sur le tournage de La Beuze. En effet, Michaël Youn et Vincent Desagnat avaient déjà joué sous la direction de François Desagnat et Thomas Sorriaux dans un court métrage réalisé en 2000, et intitulé La Malediction de la mamie. La "mamie" en question était jouée par Francia Séguy, qui n'est autre que la grand-mère de Benjamin Morgaine, le troisième trublion des Bratisla boys.
Un coach personnalisé
Michaël Youn et Vincent Desagnat ont bénéficié d'un coach personnel qui leur permettait de se perfectionner lors de leurs répétitions sur le tournage. Ils ont choisi Eric Théobald, qui est également le metteur en scène du spectacle de Michaël Youn, le one-man-show "Pluskapoil".
Le retour de Benjamin
Michaël Youn a rencontré ses deux meilleurs amis au cours de ses études : Vincent Desagnat et Benjamin Morgaine, qui l'ont toujours accompagné lors de ses différents sketches dans l'émission Morning Live ainsi que dans le groupe-gag Les Bratisla boys. L'affiche de La Beuze pourrait penser à croire que le groupe s'est réduit à Michaël et Vincent. Erreur : Benjamin fait une courte apparition dans le film, en DJ du bar de la plage.
Des apparitions surprenantes
De nombreuses personnalités ont accepté de figurer au générique de La Beuze. On retrouve ainsi des acteurs comiques, tels que Gad Elmaleh, Kad Merad, Omar Sy, mais aussi d'autres apparitions plus surprenantes, telles que Ginette Garcin et Kool Shen, dont c'est la deuxième apparition cinématographique après Old School en 2000.
Gad Elmaleh et Michaël Youn
Gad Elmaleh, qui apparaît dans La Beuze, n'est pas un inconnu dans l'univers de Michaël Youn. Le comédien a en effet enregistré une chanson aux côtés des Bratisla boys en 2002, intitulée It's kyz mai life.
"Le Frunkp"
Le titre-phare de la bande originale de La Beuze, à savoir "Le Frunkp", a été remanié par Faf Larage (rappeur déjà apparu dans le collectif One shot pour Taxi 2). Interprété par Michaël Youn sous le pseudonyme Alphonse Brown, cet essai ne représente pas une première pour le comédien dans le domaine de la chanson puisqu'il avait déjà fait danser la France entière avec Stach stach, au sein de son groupe Les Bratisla boys.
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La Boîte noire|Richard Berry|Thriller||2|français|2005|87|Français||XviD|||XVID|978 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|127 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Michel Feller|Richard Berry Eric Assous|Thomas Hardmeier||EuropaCorp Distribution||A la suite d'un accident de voiture, Arthur est plongé pendant quelques heures dans un coma. Durant sa phase d'éveil, dans un délire verbal, il exprime des phrases incohérentes qui trouvent leurs racines directement dans son inconscient.A son réveil, il est face à une curieuse énigme : Que faisait-il la nuit sur cette route, proche de Cherbourg ?Ses phrases inquiétantes, dérangeantes et libératrices ont été notées dans un carnet noir par Isabelle, une des infirmières de l'hôpital. Pour l'aider à répondre à ses questions, Isabelle remet à Arthur, comme si elle lui offrait un trésor, le témoignage écrit de son délire.Dès cet instant commence pour Arthur une incroyable aventure ; il sera à la fois la victime, le coupable et l'enquêteur...de sa propre vie.Envahi par les traumatismes de notre inconscient, nous faut-il pour autant écraser les souvenirs qui nous encombrent ? |José Garcia (Arthur Seligman)@Marion Cotillard (Isabelle / Alice)@Michel Duchaussoy (le père d'Arthur)@Bernard Le Coq (Walcott / Granger)@Helena Noguerra (Soraya)@Gérald Laroche (Koskas)@Marisa Borini (la mère d'Arthur)@Nathalie Nell (Le docteur Brenner)@Lise Lametrie (La gardienne)@Pascal Bongard (Clovis)@Hugo Brunswick (Yvan, ado)@Alexandre Donders (Le patron de café)@Arnaud Maillard (L'ami de Koskas)@Olivier Vitrant (L'agresseur)@Christian Clessi (un flic)@Frederik Staikowski (un médecin)@Françoise Geier (la maîtresse d'école)@Sarah Leclerc (Infirmiere)@Pierre-Ange Le Pogam (Colbert)@Thomas Chabrol (Thierry)@Marilou Berry (la réceptionniste de l'hôpital)@||Secrets de tournage :
Richard Berry et Tonino Benacquista sortent en boîte
Pour ce long-métrage, Richard Berry s'est tourné vers une nouvelle de Tonino Benacquista, scénariste de Sur mes lèvres et De battre mon coeur s'est arrêté, et dont les écrits sont déjà à l'origine de Les Morsures de l'aube et L'Outremangeur.
Arthur, Texas Ranger
Le premier titre envisagé pour le film était "Le Texas n'existe pas". Joli titre, énigmatique, tiré d'un dialogue entre Arthur et son père. C'est accessoirement l'une des clés pour comprendre le film...
Prière de ne pas révéler la fin du film !
La Boîte Noire est un thriller dont les multiples niveaux de récits et rebondissements n'ont rien à envier aux musts anglo-saxons du genre. Et pour cause : " Tout ça obsède Arthur, le taraude, le perturbe énormément. D'autant que dans cette histoire , il est à la fois l'enquêteur, la victime et le coupable présumé. Il ne peut donc compter que sur lui-même pour recomposer le puzzle de sa vie ", révéle José Garcia.
Une adaptation aux petits oignons
La nouvelle originale ne dépasse pas les 40 pages : un peu court, pour un film d'1H30 ! Richard Berry explique : " Ce scénario a été difficile à écrire. Il fallait développer un thriller dont la construction s'apparentait à un puzzle, tout en assurant la cohérence d'un sujet très particulier. Je me suis énormément documenté sur les comas, les traumatismes cérébraux... mais aussi sur les phénomènes psychiques et psychologiques associés. Je me suis plongé dans les livres de neurochirurgiens et de neuropsychiatres..." Ainsi l'intrigue du film diffère sensiblement de celle de la nouvelle: celle-ci est ici enchâssée à l'intérieur d'un récit plus large, avec plus de rebondissements et moins d'introspection.
Chauds, les moyens !
Si La Boîte Noire est le film casse-tête par excellence, de grands moyens ont été aussi engagés rien que pour le plaisir des rétines. Michel Feller , producteur : " Film d'auteur filmé comme un film d'action, il a nécessité de nombreux mouvements d'appareils, des séquences de cascade au bord d'une falaise avec des enfants, des câbles, des accidents de voiture, le tout en extérieur avec parfois des tempêtes de vent... (...) Le tournage a duré 60 jours, à Paris, aux studios d'Epinay et dans les environs de Cherbourg. Face à la météo qui a souvent joué contre nous, le tournage sur la falaise n'a pas été simple. Nous devions tourner en extérieur pour l'ambiance, l'authenticité, mais toutes les actions exigées par le
scénario auraient justifié la sécurité d'un studio. Alors, nous avons cumulé, nous
avons fabriqué un bout de falaise pour obtenir le surplomb, nous l'avons entouré
de fond bleu, et il y a aussi eu les grues et les câbles..."
José Garcia et sa boîte noire
Il y a des expériences qui ne s'oublient pas, et le métier d'acteur permet d'en approcher des plus diverses et variées... José Garcia confirme: "L'expérience permet à un acteur de
mettre un peu de distance vis-à-vis de ses
rôles. Malgré tout, quand vous vivez durant
trois mois avec un personnage, il finit forcément
par vous rattraper à un moment ou à un
autre. Je me souviens, quand je jouais des rouleurs
de mécanique, il m'arrivait de rentrer à la
maison en faisant mon frimeur, sans même
m'en rendre compte. Arthur, lui, est un personnage
très intérieur. Il a un lien très étroit avec
son inconscient. Et bien je pense que l'incarner
m'a aidé à communiquer avec mon inconscient.
J'ai en effet effectué une marche arrière personnelle.
J'ai regardé certaines choses que
j'avais mises de côté, des mensonges d'enfant
qui me semblaient lointains et qui me laissent
une saveur différente après le film.
En jouant un rôle introspectif, j'ai donc pu réfléchir sur moi-même. Bien sûr, la fatigue aidant, surviennent parfois des moments de spleen. Mais au final, il me paraît plus facile de vivre au quotidien avec un Arthur Seligman qu'avec un fanfaron de comédie qui va vous pomper toute votre énergie. Ce type d'expérience,
plus mentale, vous restructure et vous régénère."
Marion Cotillard et La Boîte noire: échanges intîmes
Marion Cotillard explique avoir des affinités de longue date avec le personnage d'Arthur ! "Durant mon adolescence, il paraît
que je parlais dans mon sommeil. J'ai toujours
rêvé de connaître la nature de mes propos
et j'ai maintes fois essayé de m'enregistrer
la nuit. Problème : aucune cassette ne
dure plus d'une heure trente, si bien que je
n'ai jamais réussi à m'entendre. Ou plutôt à
entendre cette partie de mon inconscient.
Dommage. Tout ça pour vous dire que mon
besoin de partir à la quête de moi-même
remonte à fort longtemps. Et que le sujet
du film a par conséquent éveillé en moi
d'étranges résonances."
Une production EuropaCorp.
On oppose souvent le cinéma dit "commercial" au cinéma d'"auteur". Et Luc Besson et sa société de production EuropaCorp. ont la réputation de ne pas faire dans la dentelle. En témoignent les blockbusters Yamakasi, Le Baiser mortel du dragon, Le Transporteur ou encore Danny the dog. C'est oublier qu'EuropaCorp. est aussi à l'origine de films plus intimistes, tels que 15 août de Patrick Alessandrin, La Turbulence Des Fluides de Manon Briand, Les Côtelettes de Bertrand Blier, Imposture de Patrick Bouchitey...
Richard Berry réalisateur ?
La Boîte noire est le troisième long-métrage de Richard Berry, après L'Art (délicat) de la séduction et Moi César, 10 ans 1/2, 1,39 m. Expérience concluante ? Comment passe-t-on de la comédie au thriller dramatique? La parole à l'intéressé: " Ce que
j'aime, c'est raconter une histoire qui
parle aux gens. J'espère, à travers ce
film, leur faire passer un bon moment, les
surprendre, les intéresser, mais aussi les
pousser à se poser des questions, à
s'intéresser à eux-mêmes. Si La Boîte Noire peut seulement aider les gens à
prendre conscience qu'il y a en eux une
boîte noire et qu'elle contient probablement
ce qui peut les gêner dans leur vie,
alors j'en serai très heureux. J'ai envie
de leur donner quelques modestes moyens pour découvrir leurs propres
clefs, et peut-être se libérer d'une partie de leurs souffrances. Jusqu'à présent, les témoignages que j'ai eus me confortent, particulièrement chez les jeunes qui sont très sensibles aux thèmes du film. Tout ce que j'ai vécu m'a servi à structurer ma pensée, à devenir un vrai réalisateur. J'ai l'impression, la sensation, que j'ai enfin trouvé ma vraie forme d'expression. C'est quelque chose que j'avais en moi depuis toujours. "
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The Crucible|Nicholas Hytner|Drame||3|américain|1997|118|Anglais||DX50|||DX50|679 Kbps|720x384|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|694||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Robert A. Miller David V. Picker|Arthur Miller|Andrew Dunn||||Adaptation de la pièce d'Arthur Miller "les Sorcières de Salem", écrite en réponse à l'hystérie anti-communiste suscitée par la Commission des activités anti-américaines et la croisade du sénateur McCarthy, dont l'auteur eut à souffrir. L'histoire : les bigots du petit village de Salem ne supportent pas que les jeunes filles de la région se réunissent dans les bois alentours pour danser. Ces innocentes assemblées vont, avec la rumeur, devenir subversives et devenir des orgies sataniques. |Paul Scofield (le Juge Thomas Danforth)@Winona Ryder (Abigail Williams)@Daniel Day-Lewis (John Proctor)@Joan Allen (Elizabeth Proctor)@Bruce Davison (Le révérend Parris)@Rob Campbell (Le révérend Hale)@Jeffrey Jones (Thomas Putnam)@Charlayne Woodard (Tituba)@Frances Conroy (Ann Putnam)@George Gaynes (le Juge Samuel Sewall)@Robert Breuler (le Juge Hathorne)@Mary Pat Gleason (Martha Corey)@Elizabeth Lawrence (Rebecca)@Karron Graves (Mary Warren)@||||||||||||@@
Der Untergang|Oliver Hirschbiegel|Drame||3|allemand|2005|147|Allemand||XviD|||XVID|557 Kbps|576x320|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Bernd Eichinger|Bernd Eichinger|Rainer Klausmann||TFM Distribution||Berlin, avril 1945. Le IIIe Reich agonise. Les combats font rage dans les rues de la capitale. Hitler, accompagné de ses généraux et de ses plus proches partisans, s'est réfugié dans son bunker, situé dans les jardins de la Chancellerie.A ses côtés, Traudl Junge, la secrétaire particulière du Führer, refuse de l'abandonner. Tandis qu'à l'extérieur la situation se dégrade, Hitler vit ses dernières heures et la chute du régime. |Bruno Ganz (Adolf Hitler)@Juliane Kohler (Eva Braun)@Alexandra Maria Lara (Traudl Junge)@Corinna Harfouch (Magda Goebbels)@Ulrich Matthes (Joseph Goebbels)@Heino Ferch (Albert Speer)@Thomas Kretschmann (Hermann Fegelein)@Ulrich Noethen (Heinrich Himmler)@Christian Berkel (le professeur Schenk)@Matthias Habich (Prof. Dr. Werner Haase)@Götz Otto (Otto Günsche)@Christian Redl (Alfred Jodl)@Julia Jentsch (Hanna Potrowski)@||Secrets de tournage :
Deux sources, un film
Le producteur et scénariste Bernd Eichinger (L'Histoire sans fin, Le Nom de la rose, Resident evil) a initié le projet et puisé la substance du film dans deux ouvrages : Les Derniers Jours d'Hitler, un best-seller de l'historien spécialiste de l'époque nazie Joachim Fest, paru en 2002, et "Jusqu'à la dernière heure : La dernière secrétaire d'Hitler", soit les mémoires de Traudl Junge -incarnée dans le film par l'actrice Alexandra Maria Lara-, traduites dans plus de 20 langues. "Avec Traudl Junge, explique le scénariste, je venais de trouver le personnage principal de mon film".
Il contacta ensuite Oliver Hirschbiegel, réalisateur de L'Expérience, pour que ce dernier en assure la mise en scène.
Les intentions du réalisateur
Selon Oliver Hirschbiegel, "le défi ne consistait pas à mettre en scène les personnages fictifs de façon crédible, mais à donner vie aux personnages réels, à les recréer à la manière d'un documentaire. Je ne voulais surtout pas qu'on ait le sentiment qu'il s'agit de comédiens interprétant un rôle (...). Les personnages historiques doivent être totalement crédibles". Dans un même souci de réalisme, le réalisateur limita au maximum l'utilisation d'éclairages artificiels.
Pour représenter l'atmosphère de la guerre, il décida également de se passer des traditionnelles scènes de combat spectaculaires : "dans le film, on n'aperçoit pas vraiment l'ennemi. Je me suis placé du point de vue des Allemands et j'ai adopté une approche quasi documentaire. c'est pour cela que j'ai tourné caméra à l'épaule (...)".
S'il hésita avant de s'engager dans le projet, Oliver Hirschbiegel finit par accepter, parce qu'il estimait qu'en tant qu'Allemand, c'était son "devoir historique d'accepter. (...) Personne n'a le droit de nous empêcher de parler de notre propre histoire -sauf nous-mêmes."
Les intentions du scénariste
Bernd Eichinger affirme que le film ne se réduit pas à l'analyse d'un "microcosme", mais "s'intéresse à la situation d'un régime à l'agonie", dans une "sorte d'épopée ultra condensée". "Dans mon scénario, j'ai tenté de mieux faire comprendre le fonctionnement de ce régime, mais de manière concentrée, en me focalisant sur une seule période (du 20 avril 1945 -l'ultime anniversaire d'Hitler- au 2 mai 1945). Cela facilite grandement la compréhension".
Pour le scénariste, qui balaye les reproches concernant le choix d'un tel sujet en affirmant qu'il ne faut pas se voiler la face, s'interdire d'aborder une période si essentielle de notre Histoire, "le plus grand danger consistait à faire d'Hitler un psychopathe ou un fou. Hitler était animé d'une énergie criminelle et destructrice incommensurable -c'était un barbare au sens le plus fort du terme. Mais je suis convaincu qu'il est resté maître de lui jusqu'à la fin -et c'est pour cela que le pouvoir ne lui a jamais échappé".
Un carton au box-office allemand
La Chute arrive en France auréolé d'un large succès auprès du public d'outre-Rhin. Environ 4,5 millions de spectateurs sont allés voir le film, dont plus de 100 000 dès le jour de sa sortie (un chiffre d'autant plus élevé qu'étant donnée la durée du film, le nombre des séances quotidiennes était forcément restreint).
Un rôle lourd à porter...
Certaines révélations ne font pas plaisir, loin de là. Bruno Ganz avoue avoir été stupéfait de constater, durant les auditions, à quel point il ressemblait à Hitler, du moins en apparence. Le tournage fut toutefois loin d'être évident. Les moments les plus pénibles pour l'acteur furent les scènes où il devait vociférer des propos antisémites. "Mais, précise-t-il,j'étais conscient de ces difficultés au moment où j'ai accepté d'interpréter le rôle".
Pour lui, le film est sans ambiguïté, et "porte un regard très dur sur la chute du régime. Un regard sans pitié. Et même si certaines situations peuvent donner le sentiment d'humaniser les personnages, et si Hitler n'est pas décrit du début à la fin comme un bourreau, l'idéologie véhiculée par les protagonistes est montrée comme totalement absurde et démente (...)".
...alors ils le portent à plusieurs
Plusieurs acteurs ont précédé Bruno Ganz dans le rôle d'Adolf Hitler, aux différentes périodes de sa vie, qu'il s'agisse de sa jeunesse, son ascension, ou de sa fin : Charlie Chaplin , dans Le Dictateur (où Hitler devient "Hynkel"), parodie du IIIème Reich devenue un classique du 7ème art, et Anthony Hopkins dans le téléfilm the Bunker, entre autres. Plus récemment, Robert Carlyle, avec "Adolf Hitler, La naissance du mal" (T.V.) et Noah Taylor (Max) ont endossé l'uniforme du "führer".
La polémique
Par la teneur de son sujet, extrêmement sensible, le film d'Oliver Hirschbiegel a suscité la polémique en Allemagne. N'était-il pas dangereux d' "humaniser" Adolf Hitler ? Selon le réalisateur, le danger résidait bien plus dans le fait de conserver de lui l'image irréelle d'un monstre qu'à le restituer dans ses traits d'homme: "C'est une insulte aux victimes de prétendre qu'il n'était pas un être humain (...) Il a su exactement ce qu'il faisait à chaque moment de sa vie, et, avec lui, tous ceux qui le suivaient (...) Si vous le trouvez sympathique, c'est que vous n'écoutez pas".
Pour Bruno Ganz, "Il n'était ni le pantin grotesque dont on rit aujourd'hui quand on entend ses discours, ni un fou enragé -ce serait beaucoup trop réducteur". Selon le Taggespiegel, l'acteur "montre que les choses les plus inhumaines peuvent sortir d'un être humain, ce qui ne les rend pas plus légères".
Berlin à Saint-Pétersbourg
Trouver des décors naturels qui évoquent le Berlin de 1945 s'avéra une vraie gageure pour la production du film, qui effectua de nombreux repérages, notamment en Bulgarie et en Roumanie. Le décorateur Bernd Lepel suggéra alors le nom de l'ancienne capitale des tsars, dont le style architectural correspondait aux attentes de l'équipe. La seconde moitié du film a pour sa part été tournée dans un bunker spécialement construit pour l'occasion dans les studios de Bavaria Films à Munich.
L'élocution d'Hitler
Pour être pleinement réaliste, le film devait s'emparer de l'intimité du "führer". "Sa façon de parler, par exemple -qu'on connaît grâce à ses discours- était de toute évidence très différente dans le privé", explique Bernd Eichinger, qui s'est servi de documents, de compte-rendus de conversation, et de l'enregistrement d'une discussion entre Hitler et Mahnstein, pour élaborer une "diction particulière", propre au dictateur.
"Je suis très sensible aux dialectes et je me suis rendu compte qu'il parlait un allemand mêlant un accent autrichien cultivé à un dialecte du sud de le Bavière, ce qui donne un son guttural et fait rouler les 'r' -mais pas autant que dans ses discours publics. Bruno Ganz, qui joue le rôle, a parfaitement réussi à restituer cette diction particulière".
Un acteur international
On peut noter au générique de La Chute la présence de Thomas Kretschmann, un acteur allemand qui "s'exporte" bien, déjà vu dans Le Pianiste ou Immortel (ad vitam).
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La Cité de la peur|Alain Berbérian|Comédie||3|français|1994|94|||DIV3|||DIV3|911 Kbps|720x320|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|44.1 KHz|2|700||||25.050|27/08/2009 00:00:00|Charles Gassot|Alain Chabat Dominique Farrugia Chantal Lauby|Laurent Dailland||||Odile Deray, attachée de presse, vient au Festival de Cannes pour présenter le film "Red is Dead". Malheureusement, celui-ci est d'une telle faiblesse que personne ne souhaite en faire l'écho. Mais lorsque les projectionnistes du long-métrage en question meurent chacun leur tour dans d'étranges circonstances, "Red is dead" bénéficie d'une incroyable publicité. Serge Karamazov est alors chargé de protéger le nouveau projectionniste du film... |Alain Chabat (Serge Karamazov )@Chantal Lauby (Odile Deray )@Gérard Darmon (Le commissaire Patrick Bialès)@Dominique Farrugia (Simon Jérémi )@Olivier Doran (Jean)@Sam Karmann (Emile Gravier )@Hélène de Fougerolles (Sandy)@Rosanna Arquette (Elle-même)@Tchéky Karyo (La première victime)@Jean-Pierre Bacri (Une victime)@Daniel Gélin (Une victime)@Eddy Mitchell (Une victime)@Pierre Lescure (Lui-même)@Patrick Lizana (Grimaldi)@Jean-Christophe Bouvet (Alain)@Eric Prat (Garcia)@Marc de Jonge (le patron de Serge Karamazov)@Valérie Lemercier (la veuve joyeuse)@Dave (lui-même)@Patrice Laffont (lui-même)@Artus de Penguern (Sens)@Michel Hazanavicius (Régis)@Daniel Toscan du Plantier (lui-même)@James Cameron (lui-même)@Gérard Lanvin ((scène coupée))@Dominique Besnehard (Le journaliste au caméo)@Henri de Turenne (Le récitant du documentaire tissu (voix))@Christian Gazio (L'infirmier dans l'ambulance)@Florence Viala (Martine)@Philippe Chany (Le voisin du crétin dans la foule)@Pierre Amzallag (Bestel)@Bruno Carette (Mizou Mizou (images d'archives))@Claire Hammond (La journaliste pipelette 2)@Christian Moro (Un assistant d'Odile)@Florence Joubert (Susan dans "Red is Dead")@Hélène Rodier (Janine)@Géraldine Bonnet-Guérin (Tiffany)@Pierre Héros (Lui-même)@Sophie Mounicot (La journaliste pipelette 1)@||||||||||||@@
La Cité des Enfants Perdus|Jean-Pierre Jeunet Marc Caro|Fantastique||3|français, canadien|1995|107|Français||DIV3|||DIV3|800 Kbps|640x320|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|695||||29.970|02/08/2009 00:00:00|Claudie Ossard Elias Querejeta Felicie Dutertre Maria Victoria Hebrero Jose Luis Lopez (II) Arlette Mas Svetlana Novak Francois Rabes|Gilles Adrien Marc Caro Jean-Pierre Jeunet Guillaume Laurant|Darius Khondji||UGC||Krank, un étrange personnage vit entouré de clones et d'autres personnages encore plus étranges sur une plate-forme en mer perdue dans le brouillard. Krank, doit, pour ne pas vieillir trop vite, voler les rêves des enfants. C'est pour cela qu'il les enléve de la cité portuaire. |Ron Perlman (One)@Judith Vittet (Miette)@Daniel Emilfork (Krank)@Dominique Pinon (Le scaphandrier / Les clones)@Mathieu Kassovitz (l'homme dans la rue)@Jean-Claude Dreyfus (Marcello)@Geneviève Brunet (Zette, 'La pieuvre')@Odile Mallet (Line, 'La pieuvre')@Rufus (La Pelade)@Serge Merlin (Le chef des cyclopes)@François Hadji-Lazaro (Le cyclope tueur)@Marc Caro (Ange-Joseph)@Mapi Galan (Lune)@Thierry Gibault (Brutus)@Jean-Louis Trintignant (La voix d'Irvin)@Mireille Mossé (Melle Bismuth)@Dominique Bettenfeld (Bogdan)@Joseph Lucien (Denree)@Briac Barthélémy (Bouteille)@Alexis Pivot (Tadpole)@Léo Rubion (Jeannot)@Lotfi Yahya-Jedidi (Melchior)@Daniel Adric (Cyclope)@Buster Verbraeken (Krank à 4 ans)@Ticky Holgado (Le vieux saltimbanque)@||Secrets de tournage :
Adapté en jeu vidéo
Un jeu vidéo d'aventure fut tiré de La Cité des enfants perdus. Celui-ci, réalisée par la société anglaise Psygnosis (disparue depuis) et lointainement supervisé par Marc Caro et Jean-Pierre Jeunet, ne connut toutefois qu'un maigre succès. Si la performance graphique était en effet indéniable, les mécanismes de jeu souffraient en revanche de défauts rédhibitoires, tels qu'une certaine difficulté pour ramasser les objets ou actionner des mécanismes.
Une obsession visuelle ?
Dans la critique qu'il fit du film à sa sortie, le magazine Première fait une intéressante analyse de la place démesurée occupée par le sens visuel dans La Cité des enfants perdus et, au-delà, l'oeuvre de Marc Caro et Jean-Pierre Jeunet en général :
"Caro et Jeunet sont manifestement détraqués : obsédés par tout ce qui touche à l'oeil. Qui sont les méchants de ce pire des mondes ? Une bande d'aveugles à qui on redonne la vue en leur posant sur l'oeil une terrifiante caméra reliée au cerveau... Par quel supplice François Hadji-Lazaro se défait-il de l'un de ces oui-non-voyants ? En lui enfonçant un couteau dans l'orbite... Quelle est la cause d'une très effroyable catastrophe maritimo-portuaire ? Une simple larme... Mais ne dit-on pas "près des yeux, près du coeur" ?"
Musique fondée sur Blue Velvet
La musique est l'oeuvre d'Angelo Badalamenti, compositeur attitré de David Lynch : il fut présent sur Mulholland Drive, Lost Highway, Twin Peaks, Blue Velvet... Et elle s'inspirerait notamment de ce dernier titre : Marc Caro et Jean-Pierre Jeunet lui aurait indiqué de partir, comme base, du morceau Mystery of Love, dixième morceau de la bande originale du film de David Lynch.
Trop excentrique pour les Etats-Unis ?
S'il ne reçut pas de manière générale un accueil aussi enthousiaste que Delicatessen, le film réalisa des résultats particulièrement décevants aux Etats-Unis. Outre des critiques mitigées (lui reprochant notamment un ton jugé excessivement baroque), les résultats financiers ne furent pas à la hauteur des moyens investis : le film n'y rapporta que 1,5 millions de dollars...
Des trucages abondants et coûteux
Après le succès de Delicatessen sorti quatre ans auparavant (1991), Marc Caro et Jean-Pierre Jeunet pouvaient se permettre un budget plus conséquent. Celui-ci, colossal pour un film français à l'époque (90 millions de FF) fut essentiellement investi dans les effets spéciaux extrêmement nombreux.
Au total, c'est 17 minutes qui furent entièrement conçues à l'aide de trucages numériques (40 000 images digitalisées !), soit un total de 144 prises, par la société française Dubois (travail supervisé par Pitof).
Les images de synthèse (les puces, les bouteilles à rêve, les métamorphoses de Miette et Krank dans la séquence de rêve, les contorsions du laboratoire de Krank, la larme de Miette...), dues à Buf Compagnie, ont nécessité 15 personnes et 10 mois de travail pour 5 minutes à l'écran, soit 48 prises... Lors de sa sortie, La Cité des enfants perdus aurait ainsi été le film contenant, en durée, le plus d'images de synthèse au monde !
Un projet de longue date
Le film a été mis en production... 14 ans après que l'idée ait germé dans le cerveau de Marc Caro et Jean-Pierre Jeunet !
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Man cheng jin dai huang jin jia|Zhang Yimou|Aventure||2|chinois, hong-kongais|2007|109|Chinois||XviD|||XVID|752 Kbps|656x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Zhang Yimou William Kong Weiping Zhang|Zhang Yimou Bian Zhihong Wu Nan|Zhao Xiaoding||Sony Pictures Classics||Chine, Xème siècle, Dynastie Tang. De retour à la Cité interdite après une longue absence, l'Empereur découvre qu'un complot se trame au coeur même de son palais. Les dangereuses alliances et les manipulations des conspirateurs n'ont qu'un seul but : prendre le pouvoir du plus grand Empire au monde. La trahison viendra de l'intérieur : une rébellion menée par la reine elle-même. |Gong Li (l'impératrice Phoenix)@Chow Yun-Fat (l'Empereur Ping)@Jay Chou (le Prince Jai)@Liu Ye (le Prince héritier Wan)@Qin Junjie (le Prince Cheng)@Man Li (Chan, la fille du médecin impérial)@Dahong Ni (le médecin impérial)@Chen Jin (l'épouse du médecin impérial)@||Secrets de tournage :
Budget record
Avec un budget avoisinant les 45 millions de dollars La Cité interdite est le film le plus cher du cinéma chinois dépassant ainsi Wu ji, la légende des cavaliers du vent de Chen Kaige et Hero, déjà réalisé par Zhang Yimou.
Les décors
Comme dans Hero et Le Secret des poignards volants, la composition visuelle du film était essentielle pour le réalisateur qui revient sur ses choix :"Afin de renforcer l'impression d'opulence, j'ai beaucoup utilisé la couleur or dans les décors et dans les costumes, explique-t-il. La lumière joue également un rôle majeur. Nous avons employé l'art du verre chinois, très coloré, pour intensifier les nuances et la translucidité des colonnes, des murs, des fenêtres, et de nombreux éléments de décor dans le palais. La palette des différents décors et la luminosité sont vraiment uniques et grandioses."
Personnages fictifs
L'intrigue de La Cité interdite se déroule pendant la dynastie des Hou Tang. S'étalant de l'an 923 à 936, cette période l'histoire chinoise a été marquée par la corruption du gouvernement et la guerre. Pour illustrer ce chaos politique, les scénaristes n'ont pourtant pas choisi de mettre en scène des personnes ayant véritablement existé mais ont imaginé des personnages fictifs.
Vices cachés
Le réalisateur Zhang Yimou évoque ce qui l'a attiré dans cette fresque historique : "La Cité interdite se déroule au temps de la dynastie des Tang postérieurs, il y a plus de mille ans. Les Tang ont été l'une des dynasties les plus flamboyantes de l'histoire de la Chine. C'était une époque pleine d'ostentation. Un vieux proverbe chinois dit "Or et jade à l'extérieur, pourriture et décadence à l'intérieur", ce qui signifie que sous des dehors magnifiques se cache souvent une vérité aussi sombre qu'épouvantable. L'histoire de ce film évolue autour d'une famille impériale dysfonctionnelle. Comme dans toute grande famille des temps féodaux, sous la richesse et les belles apparences, de sombres secrets se dissimulent dans le palais."
Zhang Yimou / Gong Li
La Cité interdite est l'occasion pour le réalisateur Zhang Yimou de retrouver son actrice fétiche, Gong Li, avec qui il a tourné près de sept longs métrages dont Le Sorgho rouge, qui l'a révélée, et Epouses et concubines. Leur dernière collaboration remontait à Shanghai Triad en 1995.
Costumes de luxe
Les costumes de La Cité interdite ont demandé une attention particulière. Au delà du nombre conséquent de costume qu'il a fallu fourni à tous les figurants, certaines pièces ont fait l'objet d'un travail méticuleux. Ainsi, la "robe dragon" de l'Empereur et la "robe phénix" de l'Impératrice ont demandé près de deux mois de travail à 40 artisans.
Une nomination aux Oscars
La Cité interdite a obtenu une nomination aux Oscars 2007 dans la catégorie Meilleurs costumes.
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La Clef|Guillaume Nicloux|Thriller||2|français|2007|111|Français||XviD|||XVID|739 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|130 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Frédéric Bourboulon Philippe Rousselet|Guillaume Nicloux Pierre Trividic|Christophe Offenstein||SND|Saga : Trilogie policière de Guillaume Nicloux |Depuis peu Eric Vincent, trentenaire sans histoire, a un fort sentiment de malaise. Est-ce la peur d'avoir un enfant ou celle de voir brutalement resurgir le fantôme d'un père qu'il n'a jamais connu ?Un matin, un inconnu l'appelle pour lui proposer de récupérer les cendres de son père. D'abord réticent, il finit par accepter et se retrouve plongé au coeur d'une machination infernale. |Guillaume Canet (Eric Vincent)@Marie Gillain (Audrey)@Vanessa Paradis (Cécile)@Josiane Balasko (Michèle Varin)@Thierry Lhermitte (François Manéri)@Jean Rochefort (Joseph Arp )@Yves Verhoeven (Pujol )@Gilles Cohen (Larue )@Laure Marsac (Florence)@Francoise Lebrun (Florence Arp )@Maria Schneider (Solange)@Emmanuel Salinger (le médecin)@Hélène Alexandridis (Muriel)@Pascal Bonitzer (Jean)@Michaël Abiteboul (Thierry)@Marina De Van (Sophie)@Jean-Louis Coulloc'h (Worzik)@Nicolas Jouhet (Ariel Bessy)@Martial Bezot (Simon )@Sylvain Creuzevault (Greg)@||Secrets de tournage :
3e volet d'une trilogie policière
La Clef clôt la trilogie policière de Guillaume Nicloux entamée en 2002 avec Une affaire privée et poursuivie en 2003 avec Cette femme-là. On y retrouve d'ailleurs les héros de ces deux longs métrages : le détective François Manéri, campé par Thierry Lhermitte, et l'inspectrice Michèle Varin, incarnée par Josiane Balasko. "Il n'est pas nécessaire d'avoir vu les précédents opus pour comprendre les enjeux de celui-ci, confie le cinéaste. Mais j'ai souvent essayé de poursuivre et de nourrir les personnages que j'ai créés dans d'autres films, de garder un lien avec eux. Et puis lorsqu'il a fallu inventer les personnages d'un enquêteur privé et d'un flic, j'ai préféré faire appel à ceux que je connaissais le mieux."
Le thème de la paternité et de ses engagements
La Clef aborde le thème de la paternité et de ses engagements. Guillaume Nicloux explique les raisons qui l'ont amené à choisir ce thème : "Parce qu'il me touche en tant que père et en tant que fils. C'est un sujet de questionnement assez vaste d'ailleurs pour ne pas faire l'objet que d'un seul film. Je pense qu'un homme est éternellement poursuivi par l'image paternelle, son poids et son acceptation, c'est même ce qui le guide durant toute sa vie. C'est un élément essentiel de construction ou de destruction pour chacun d'entre nous."
La structure narrative du film
La Clef raconte une histoire qui se déroule sur plusieurs époques. Guillaume Nicloux y a vu un procédé d'écriture pour le moins intéressant, sa complexité rendant l'ossature scénaristique particulièrement délicate. "De plus, suivre le destin d'un personnage évoluant dans une période antérieure a bien évidemment eu des répercussions sur le destin des deux autres, explique le réalisateur. Cet effet de cascade événementielle et ce mélange de temporalité m'ont permis d'éclater les résolutions et de ne pas concentrer l'explication du film sur le seul personnage principal."
La direction d'acteur vue par Guillaume Nicloux
Pour Guillaume Nicloux, le choix des comédiens se fait au moment de la rencontre et rarement en fonction de leurs performances dans d'autres films. Il raconte : "Je les vois et je me dis : "C'est mon personnage. C'est lui qui va pouvoir apporter tout ce que je n'ai pas inscrit dans le scénario". J'y vais donc à l'instinct, sans essais, ni lecture, en parlant le moins possible du personnage avec eux. Pour moi, la direction d'acteur réside, en grande partie, dans le choix du comédien. Ensuite, c'est la façon dont vous organisez l'espace et les déplacements autour de lui, qui compte. Installer un climat et une tension qui donnent la tonalité, puis chercher ensemble et les laisser inventer."
Partis pris de mise en scène
Contrairement à ses deux films précédents, où il attachait beaucoup d'importance à nourrir l'arrière-plan, Guillaume Nicloux a préféré tourner de façon extrêmement frontale en se concentrant sur les comédiens et leur quotidien. "Il n'est pas utile de fouiller l'image et de se détacher des personnages pour découvrir d'autres strates de lecture, explique-t-il. Je suis ainsi revenu à une méthode de travail plus proche de mes premiers films tels que Faut pas rire du bonheur ou La Vie crevée, avec une équipe légère réduite et une infra structure quasi neutre."
Tourner caméra à l'épaule, avec un objectif unique était également une façon pour le cinéaste d'évacuer au maximum les contraintes techniques afin de se concentrer exclusivement sur le jeu. "Les comédiens dictent la dynamique d'une scène, poursuit le réalisateur, et je me suis attaché à respecter au maximum cette donnée : les regarder prendre possession de l'espace et adapter le filmage en conséquence."
Changement de registre pour Guillaume Canet
Avec le rôle d'Eric Vincent, Guillaume Canet concrétise son "envie de jouer des choses plus complexes, plus dures". "Cela faisait déjà plusieurs années que je voulais incarner ce type de personnage, explique l'acteur. J'ai été très souvent dans l'emploi du jeune premier classique. Je ne le regrette pas, mais ça n'a jamais été ma vraie nature. La Clef arrive à un moment de ma vie de comédien où j'ai besoin de travailler avec d'autres types de metteurs en scène, qui ne vont pas forcément me conforter mais continuer à me faire évoluer."
Guillaume Nicloux vu par Guillaume Canet
Guillaume Canet explique la façon de travailler de Guillaume Nicloux : "Sur un plateau, il ne lâche rien et il est toujours très précis. Mais ce n'est pas évident du tout à travailler. Et même, au début, il faut s'y faire parce qu'il est dans une déstabilisation totale de l'acteur. Mais si vous vous persuadez que sa façon de vous diriger n'est là que pour servir le film, vous suivez exactement ce qu'il vous dit et ce qu'il ne vous dit pas ! Par exemple ce n'est pas quelqu'un qui dit "moteur", ni "action", pour démarrer les prises de vues. Je trouve ça très intéressant car ça force toute l'équipe à être en alerte toute la journée. On peut tourner d'un moment à un autre, très rapidement. Et cette méthode se révèle assez payante. Tout le monde reste vraiment concentré. D'autre part, ce qui déstabilise aussi, c'est que Guillaume livre peu d'explication, voire aucune, avant les prises et encore moins après ! On ne sait jamais si on est dans le ton ou pas. Du coup, on est forcément un peu perdu à ces moments-là, ce qui était finalement une bonne sensation pour moi, pour réussir à jouer l'errance de mon personnage qui ne contrôle rien de ce qui lui arrive dans cette histoire."
Guillaume Canet retrouve Jean Rochefort
La Clef a donné à Guillaume Canet l'occasion de retrouver Jean Rochefort, acteur qu'il a lui-même dirigé dans Ne le dis à personne et partenaire de jeu dans Barracuda. "Le plaisir de jouer ensemble est tellement fort qu'on se laisse totalement aller, on est en confiance, confie Guillaume Canet. Par exemple, dans la scène où je me trouve assis à côté de Jean à l'écouter me parler de l'odeur de la mort, j'avais 40 de fièvre. La situation de la scène, l'étrangeté du lieu, les rapports entre nos deux personnages ont fait de ce moment de jeu un instant très intime."
Marion Cotillard et Emma de Caunes pressenties
Marion Cotillard, déjà présente au casting d'Une affaire privée, et Emma de Caunes étaient au départ pressenties pour incarner les deux personnages féminins principaux du film.
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The Love bug|Robert Stevenson|Comédie||3|américain|1968|103|Anglais||DX50|||DX50|878 Kbps|512x408|WMA2|64.1 Kbps|False|44.1 KHz|2|701||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Bill Walsh|Don DaGradi Bill Walsh|Edward Colman|||Saga : La Coccinelle |Herbie, une vieille Coccinelle rouillée, est rachetée par un coureur qui entend bien la mener à la victoire. |Dean Jones (Jim Douglas)@David Tomlinson (Peter Torndyke)@Michele Lee (Carole Bennett)@Buddy Hackett (Tennessee Steinmetz)@Joe Flynn (Havershaw)@Benson Fong (Monsieur Wu)@Andy Granatelli (le Président de l'Association)@Joe E. Ross (le détective)@||||||||||||@@
Herbie rides again|Robert Stevenson|Comédie||2|américain|1974|84|Allemand||DX50|||DX50|1 041 Kbps|704x288|MPEG-1 Audio layer 3|32.0 Kbps|False|32.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Bill Walsh|Gordon Buford Bill Walsh|Frank V. Phillips|||Saga : La Coccinelle |La petite Coccinelle vole au secours d'une vieille dame harcelée par un développeur immobilier désireux de construire un gigantesque centre commercial sur ses terres. |Ken Berry (Willoughby Whitfield)@Stefanie Powers (Nicole Harris)@Helen Hayes (Mrs. Grandma Steinmetz)@Keenan Wynn (Alonzo Hawk)@John McIntire (Monsieur Judson)@Liam Dunn (le docteur)@||||||||||||@@
Herbie goes to Monte Carlo|Vincent McEveety|Comédie||3|américain|1978|100|Anglais||DX50|||DX50|865 Kbps|512x224|MPEG-1 Audio layer 3|32.0 Kbps|False|32.0 KHz|2|698||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Ron Miller|Arthur Alsberg Don Nelson||||Saga : La Coccinelle |La coccinelle Herbie est l'une des voitures engagées pour le rallye de Monte-Carlo. Alors que la course démarre, elle doit faire face à une bande de voleurs qui a caché des diamants dans son réservoir et veut à tout prix les récupérer. |Dean Jones (Jim Douglas)@Don Knotts (Wheely Applegate)@Julie Sommars (Diane Darcy)@Jacques Marin (Inspecteur Bouchet)@Roy Kinnear (Quincey)@Bernard Fox (Max)@Eric Braeden (Bruno von Stickle)@Xavier Saint-Macary (Détective Fontenoy)@Gérard Jugnot@Jean-Marie Proslier@Josiane Balasko@||||||||||||@@
Herbie goes Bananas|Vincent McEveety|Comédie||2|américain|1980|88|Anglais||DX50|||DX50|997 Kbps|576x320|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|32.0 KHz|2|698||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Ron Miller|Don Tait|Frank V. Phillips|||Saga : La Coccinelle |Herbie, la petite Coccinelle, accompagne le jeune Paco dans sa quête d'un trésor Inca... |Cloris Leachman (Tante Louise)@Charles Martin Smith (Davie Johns)@John Vernon (Prindle)@Stephen W. Burns (Pete Stanchek)@Elyssa Davalos (Melissa Drake)@Joaquin Garay (Paco)@Harvey Korman (Capitaine Blythe)@Richard Jaeckel (Shepard)@Alex Rocco (Quinn)@||||||||||||@@
Herbie: Fully Loaded|Angela Robinson|Comédie||2|américain|2005|94|Anglais||DX50|||DX50|900 Kbps|352x208|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Robert Simonds|Thomas Lennon Ben Garant Alfred Gough Miles Millar Mark Perez Gordon Buford|Greg Gardiner||Buena Vista International|Saga : La Coccinelle |Faites chauffer les moteurs ! Herbie, la Coccinelle la plus populaire de l'histoire de l'automobile, est de retour !
Dans cette toute nouvelle comédie d'aventure, Maggie Peyton, la nouvelle propriétaire de Choupette, la Volkswagen de caractère, est en piste pour la compétition NASCAR.
Elle en a bien assez sous les pneus pour entraîner le public dans une comédie débridée qui carbure à 300 à l'heure ! Sur route, en tout-terrain, sur piste... et dans les livres des records ! |Lindsay Lohan (Maggie Peyton)@Justin Long (Kevin)@Breckin Meyer (Ray Peyton Jr.)@Matt Dillon (Trip Murphy)@Michael Keaton (Ray Peyton Sr.)@Thomas Lennon (Larry Murphy)@Cheryl Hines (Sally)@Clam Davis (Todd)@Mark Deklin (le reporter)@Mario Larraza (Miguel Hernandez)@Scoot McNairy (Augie)@Jill Ritchie (Charisma)@Amy Hill (Docteur)@Allen Bestwick (Lui-même)@Benny Parsons (Lui-même)@Jeff Gordon (Lui-même)@Jimmie Johnson (Lui-même)@Tony Stewart (Lui-même)@Dale Jarrett (Lui-même)@Stuart Scott (Lui-même)@Bob Dillner (Journaliste)@Tim Sitarz (Garde de sécurité)@Edmund L. Shaff (Dean)@Caroline Limata (Une fan)@Mary Bonner Baker (Une fan)@Rocky Soto (Fan de Trip Murphy)@Jimmi Simpson (Crash)@Jeremy Roberts (Crazy Dave)@E.E. Bell (Beeman)@Pater Pasco (Juan Hernandez)@Patrick Cranshaw (Jimmy D.)@||Secrets de tournage :
Le retour de la Coccinelle !
La Coccinelle revient est le cinquième volet de la saga Disney consacrée à la légendaire automobile de marque Volkswagen. Cette très populaire série débute en 1968 avec la comédie Un Amour de Coccinelle. Le petit bolide, alors conduit par Dean Jones et Buddy Hackett, multiplie dès lors les compétitions et les aventures extraordinaires sur grand écran. On le retrouve dans Un Nouvel amour de Coccinelle (1974), La Coccinelle à Monte-Carlo (1977) et La Coccinelle à Mexico (1980).
L'univers des courses NASCAR
La Coccinelle revient prend pour cadre l'univers des courses autombiles NASCAR. Plusieurs scènes du film ont ainsi été tournées durant les véritables compétitions du circuit NASCAR que sont le Target House 300 et le Pop Secret 500. Et de véritables vedettes de la discipline ont participé au tournage, tels Jimmie Johnson, Jeff Gordon, Kevin Harvick, Jamie McMurray ou Casey Mears.
Le casting : espoirs et acteurs confirmés
Pour La Coccinelle revient, la production a réunit une distribution étonnante. Aux côtés de valeurs confirmées du septième art comme Michael Keaton (Batman) ou Matt Dillon (Mary à tout prix) évoluent de jeunes espoirs du septième art au premier rang desquels figurent Lindsay Lohan (Freaky friday dans la peau de ma mère) et Justin Long (Jeepers Creepers, le chant du diable).
Priorité numéro 1 : garder l'esprit de la saga !
L'un des principaux désirs de l'équipe de La Coccinelle revient était de garder l'esprit de la saga. La réalisatrice Angela Robinson raconte : "J'ai revu tous les films, les émissions de télé et je me suis assurée que nous respecterions tous les détails, parce que même si nous avons actualisé Choupette, il fallait qu'elle soit toujours cette bonne vieille voiture que tout le monde connaît bien. Il était hors de question pour moi de m'appuyer uniquement sur les images de synthèse pour la créer, parce que ce personnage a besoin d'exister pour de bon. Nous avons donc utilisé de vraies Coccinelles des années 60, que nous avons équipées de robotique high tech et auxquelles nous avons ajouté quelques effets numériques."
Choupette 2005
La réalisatrice Angela Robinson explique pourquoi il lui a semblé judicieux de relancer la célèbre coccinelle flanquée du numéro 53 sur les routes : "Nous sommes nombreux à aimer Choupette depuis l'enfance. Elle tient vraiment une place à part, aucun héros ne lui ressemble, et nous avons pensé qu'il était grand temps de la voir revenir sur les écran. La Coccinelle revient porte un regard neuf sur l'héritage de Choupette, qui est pilotée cette fois par une charmante jeune femme. (...) Offrir une nouvelle vie à cette petite Coccinelle, lui donner l'occasion de montrer tout ce qu'elle sait faire en bénéficiant de tous les potentiels de notre époque était une idée passionnante. Ceux qui la connaissent vont la retrouver en pleine forme avec quelques surprises, et les autres vont faire une vraie découverte ! Nous avons voulu que Choupette reste fidèle à elle-même, mais dans notre époque."
Lindsay Lohan à toute vitesse
La jeune comédienne Lindsay Lohan ne cache pas son enthousiasme d'avoir contribué à la relance d'une saga de légende : "J'avais vu le film original et j'aimais que cet univers passe d'une génération à l'autre. Il y a chez Choupette quelque chose de particulier, de magique, on la considère vraiment comme un être vivant, impossible de penser à elle comme à une banale voiture ! J'ai aussi trouvé attirant de jouer un film destiné aussi bien aux adultes qu'aux enfants. Et puis, qui refuserait d'aprendre à piloter une voiture de course ?"
Un angle d'approche féminin
Angela Robinson explique avoir aimé le scénario de La Coccinelle revient car "il raconte l'histoire d'une jeune femme qui s'affirme et prend sa place dans le monde. Elle accomplit son rêve malgré les obstacles." Et de poursuivre : "Les scénaristes ont trouvé un nouvel angle d'approche du monde de Choupette en imaginant cette jeune femme qui rêve d'être pilote et qui est aussi la seule personnes à pouvoir aider Choupette à revenir en piste. Le scénario mêle étroitement de grandes scènes d'action et de course, avec l'humour que nous aimons tous, et l'histoire édifiante d'une femme qui s'efforce de s'affirmer dans un univers vibrant, vivant, et très masculin... C'est ce mélange qui m'a attiré."
Une trentaine de Coccinelles à l'oeuvre !
Une trentaine de voitures Wolkswagen de type Coccinelles ont été utilisées pour les besoin du film. Randy White, coordinateur des véhicules à l'image, explique : "J'ai effectué des recherches pour trouver d'authentiques Wolkswagen en état de marche. J'ai trouvé peu à peu près de la moitié des voitures sur Internet, grâce à un site consacré aux Wolkswagen. Nos Choupettes viennent des quatre coins des Etats-Unis - Ohio, Nevada, Washington, Oregon, Utah, Nouveau mexique et Californie. Les propriétaires de Coccinelles, et en particulier les fans de Choupette, ont une incroyable somme de connaissances, et ils ont été un atout précieux sur ce film. Ils nous ont non seulement aidés à trouver des dizaines de ces voitures mais aussi pour tous ces détails infimes que seuls les vrais fans de Choupette connaissent."
Une poitrine retouchée
Les projections test de La Coccinelle revient ont abouti à une étonnante conclusion : de nombreux parents étaient choqués par la poitrine volumineuse de Lindsay Lohan, trop importante selon eux pour un film destiné au jeune public. A la suite de ce constat, les producteurs du film décidèrent de procéder à des ajustements numériques sur la poitrine de la comédienne, afin qu'elle soit... moins voyante.
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The Hills Have Eyes|Alexandre Aja|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 16 ans|3|américain|2006|86|Anglais||DX50|||DX50|1 034 Kbps|640x336|MPEG-1 Audio layer 3|93.2 Kbps|False|32.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Peter Locke Marianne Maddalena Wes Craven|Grégory Levasseur Alexandre Aja Wes Craven|Maxime Alexandre||Fox Searchlight Pictures|Saga : La Colline a des yeux |Pour fêter leur anniversaire de mariage, Big Bob Carter, un ancien policier de Cleveland, et sa femme Ethel ont demandé à leur famille de partir avec eux en Californie. Big Bob est sûr que faire la route tous ensemble les aidera à resserrer des liens familiaux un peu distendus.Même si tout le monde vient, personne n'est vraiment ravi d'être là. Lynn, la fille aînée, s'inquiète du confort de son bébé. Son mari, Doug, redoute de passer trop de temps près de son beau-père. La jeune Brenda regrette de ne pas être allée faire la fête à Cancun avec ses amis. Et Bobby ne s'intéresse qu'aux deux chiens de la famille.Une route désertique va conduire les Carter vers le pire des cauchemars... |Aaron Stanford (Doug Bukowski)@Ted Levine (Bob Carter)@Kathleen Quinlan (Ethel Carter)@Vinessa Shaw (Lynne Bukowski)@Emilie de Ravin (Brenda Carter)@Dan Byrd (Bobby Carter)@Robert Joy (Lizard)@Desmond Askew (Big Brain)@Tom Bower@Ezra Buzzington (Goggle)@Maisie Camilleri Preziosi (le bébé de Catherine)@Billy Drago (Jupiter)@Laura Ortiz (Ruby)@Michael Bailey Smith (Pluto)@||Secrets de tournage :
Remake d'un film de Wes Craven
Alexandre Aja signe ici le remake d'un classique du cinéma d'horreur datant de 1977, La Colline a des yeux de Wes Craven. En cela, le long métrage du jeune réalisateur français s'inscrit dans une tendance hollywoodienne consistant à reprendre des films d'épouvante emblématiques des seventies (Massacre à la tronçonneuse, La Malédiction ou encore Amityville, la maison du diable) et à en proposer une nouvelle version. Wes Craven, lui-même, a assuré la production de ce remake pour Dimension Films.
Remarqué pour "Haute tension"
C'est grâce à Haute tension, son film d'horreur made in France qui a été présenté au Festival du film indépendant de Sundance en 2004, qu'Alexandre Aja, seulement âgé de 25 ans, s'est vu courtiser par les pontes de Hollywood et confier ce projet de remake.
Un remake novateur
Le but n'était pas de copier le film original mais d'apporter une nouvelle vision au film. Alexandre Aja s'exprime à ce sujet : "Nous étions particulièrement enthousiastes à l'idée de pouvoir aller plus loin dans l'exploration des mécanismes de la peur et de développer les personnages. C'était l'occasion de s'intéresser à la nature humaine lorsqu'elle est confrontée à la plus extrême pression. Pour nous, ce film était l'étape parfaite après Haute tension".
Entre l'hommage et l'actualisation
Alexandre Aja évoque la difficulté à écrire le remake d'un film d'horreur : "Le secret, c'était de trouver le mélange parfait entre l'originalité et l'hommage, entre l'actualisation pure et la prolongation des éléments d'origine. Il ne fallait surtout pas diluer l'énergie brute du premier film. Beaucoup de remakes de films d'horreur faits ces dernières années ressemblent trop à des clips, ils sont trop clean, pas assez terrifiants et graphiques. Nous avons fait exactement le film que nous voulions voir, sans compromis."
Inspirée d'une histoire vraie
Même si La Colline a des Yeux reste une oeuvre de pure fiction, Wes Craven dit s'être inspiré d'une histoire vraie qui date du XVIIème siècle, en Ecosse. Une famille de 48 membres tendait des embuscades aux voyageurs sur des routes, les tuait pour les manger ensuite. Le roi James Ier d'Ecosse a fini par envoyer 400 soldats pour traquer et exécuter ces cannibales.
Victimes de la censure
Alexandre Aja et Wes Craven ont dû consentir quelques coupes pour ne pas voir leur film interdit aux moins de 17 ans aux Etats-Unis. Certaines scènes d'une rare violence - l'attaque de la famille par les mutants - ont en effet heurté la sensibilité de la redoutée MPAA. A l'initiative des deux cinéastes, une version intégrale de La Colline a des yeux sera disponible en DVD.
Le studio "K.N.B."
L'équipe du tournage du remake de La Colline a des yeux a travaillé avec le studio K.N.B. Effects Group, à qui l'on doit les maquillages de nombreux films d'horreur tels que Re-animator II, Evil Dead III : l'armée des ténèbres, Le Sous-sol de la peur ou Scream. Ce studio très renommé a d'ailleurs travaillé pour les plus grands succès hollywoodiens du moments comme Kill Bill : Volume 1, Sin City ou Hostel.
Se comporter comme une famille
Afin de renforcer les "liens familiaux" entre les différents acteurs, le réalisateur Alexandre Aja a insisté pour qu'ils arrivent tôt sur les lieux de tournage au Maroc afin de pouvoir passer du temps ensemble. La productrice Marianne Maddalena s'exprime à ce sujet : "Ils ont parlé, répété, ils dînaient ensemble tous les soirs et ainsi, ils ont vraiment appris à se connaître. Cela a permis de nouer des liens très proches, ce qui se ressent dans leur interprétation. Ils ont vraiment l'air d'une famille..."
Des conditions de tournage difficiles
L'action de La Colline a des yeux se passe en Californie mais l'équipe a décidé de tourner dans les déserts du Maroc. Une situation bien difficile puisque les acteurs et l'équipe technique ont affronté des vents puissant et une forte chaleur montant jusqu'à 48° C : une chaleur suffisante pour faire fondre le maquillage à base de latex. Mais ces conditions spéciales de tournage ont aidé les acteurs dans leur interprétation comme le témoigne le comédien Aaron Stanford : "Tourner à Ouarzazate a aidé à créer cette famille de manière réaliste parce que nous étions dans un endroit isolé, dans des conditions difficiles, et que cela nous a tous rapprochés.".
L'idée du "nucléaire"
Après avoir acquis les droits de remake du film de Wes Craven, Alexandre Aja et Grégory Levasseur ont commencé à retravailler le scénario jusqu'à ce que Wes Craven insiste pour qu'ils fassent un film plutôt personnel. C'est ainsi qu'ils ont développé l'histoire de cette famille d'anciens mineurs, atteinte par les radiations nucléaires. Une idée qui semble ravir le réalisateur des Griffes de la nuit : "Le thème de l'irradiation nucléaire et de ses conséquences sur l'être humain est parfaitement d'actualité. Les gens n'ont malheureusement pas vraiment idée des dangers que cela représente".
« Préc.
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The Hills Have Eyes 2|Martin Weisz|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 16 ans|2|américain|2007|102|Anglais||XviD|||XVID|813 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|126 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Wes Craven Peter Locke Marianne Maddalena|Wes Craven Jonathan Craven|Sam McCurdy||Twentieth Century Fox France|Saga : La Colline a des yeux |Lors d'une mission de routine, une unité de jeunes soldats de la Garde Nationale fait halte dans un avant-poste du Nouveau-Mexique afin de livrer du matériel à des scientifiques. Lorsqu'ils arrivent, le camp est désert. Après avoir repéré un signal de détresse dans la montagne voisine, les soldats partent à la recherche des savants disparus...Ils ignorent que ces collines, autrefois hantées par la terrifiante famille Carter, sont aujourd'hui peuplées par une tribu de mutants cannibales qui attendent leurs proies, pour se nourrir et se reproduire... |Daniella Alonso (Missy Martinez)@Michael McMillian (David 'Napoleon' Napoli)@Jessica Stroup (Amber Johnson)@Jacob Vargas ('Crank' Medina)@Lee Thompson Young (Delmar Reed)@Ben Crowley ('Stump' Locke)@Eric Edelstein (le Caporal 'Spitter' Cole)@Flex Alexander (le Sergent Jeffrey Millstone)@Reshad Strik (Mickey Elrod)@Michael Bailey Smith (Hades)@David Reynolds (Hansel)@Derek Mears (Chameleon)@Tyrell Kemlo (Stabber)@Javier Nieto (Letch)@Gáspár Szabó (Grabber)@Jeff Kober (le Colonel Lincoln Redding)@Jay Acovone (Dr. Wilson)@Archie Kao (Dr. Han)@Philip Pavel (Dr. Foster)@Ashley O'Connor (Gretel )@Jason Oettle (Letch)@||Secrets de tournage :
Le remake de la suite ou la suite du remake?
La Colline a des yeux 2 a été écrit par Wes Craven, réalisateur du premier film original. Mais ici, le film correspond plus à une suite du remake plutôt qu'au remake de la suite réalisée en 1985. Le groupe de bikers de la première suite est ici remplacé par un groupe de militaires en plein entraînement.
De la crasse plus vraie que nature
Afin de souligner la saleté des mutants, la responsable des costumes, Janie Bryant, s'est beaucoup documenté sur les métiers "salissants", comme mineur, boucher, ou encore exploitants de puits de pétrole. A l'aide de sept costumières, elle a ensuite artificiellement vieilli les costumes, en les lavant à outrance et les frottant avec du papier de verre. Pour simuler la crasse accumulée depuis des décennies, la production a versé de l'huile sur les vêtements.
Mort censurée
Le premier teaser poster du film montrait un mutant en train de traîner un sac d'où dépassait une main crispée sur le sable. Le MPAA (Comité de classification des films américains) s'est alors rapidement emparé de l'affiche pour la changer, jugeant la mort trop cruelle. Sur l'affiche changée, rien ne dépasse plus du sac, suggérant plus que la personne est morte depuis longtemps : Voir la comparaison entre les deux affiches.
Tournage en plein désert
A l'instar de La Colline a des yeux d'Alexandre Aja, sa suite a été tournée au Maroc, dans le désert attenant à la ville de Ouarzazate; la production y voyant une grande similitude avec le désert calciné du Nouveau-Mexique.
Maquillages primés
La société en charge des maquillages, K.N.B. EFX Group déjà responsable de ceux du remake signé Alexandre Aja, a été récompensée aux Oscars pour son travail sur les maquillages et créatures du film Le Monde de Narnia : chapitre 1 - le lion, la sorcière blanche et l'armoire magique. Gregory Nicotero, l'un des responsables des maquillages, raconte : "nous avons travaillé pour la première fois avec Wes Craven en 1992 sur le film Le Sous-sol de la peur et ensuite sur tous les films de Wes, pour qui nous avons créé pas mal de monstres ! Il sait ce qu'il veut et sent exactement à quoi doivent ressembler ses personnages."
Du loup-garrou au caméléon
Derek Mears, qui jouait le loup-garrou dans Cursed deWes Craven, prête ses traits au caméléon, un mutant capable de se fondre dans les rochers du désert.
Scénaristes de père en fils
Confortés par le succès du remake d'Alexandre Aja (40 millions de dollars de recettes en salles), les studios Fox Atomic ont proposé à Wes Craven d'imaginer une suite, qu'il a écrite en collaboration avec son fils Jonathan. Ce dernier explique : "Nous nous sommes mis à écrire tout de suite après la sortie du remake. Pendant les deux premières semaines, nous avons réuni des idées et mis en place l'histoire. Nous avons ensuite travaillé pendant un mois, sept jours sur sept et douze heures par jour, à l'écriture du scénario. Mon père et moi écrivions dans des pièces séparées, mais voisines. Nous nous retrouvions régulièrement pour fusionner nos travaux."
Un univers familier au cinéaste
Martin Weisz, réalisateur de cette suite, n'est pas totalement étranger aux univers malsains. Il s'est longtemps illustré dans la réalisation de clips et spots publicitaires, avant de réaliser en 2006 Rohtenburg, un film primé au Festival International de Catalogne, tiré d'un fait divers réel autour du cannibalisme.
La survivante disparue
A la base, Wes Craven voulait écrire un scénario à partir de Brenda, le personnage joué par Emilie de Ravin dans le remake. Traumatisée à vie par sa terrible experience dans le désert, elle décidait de s'engager dans l'armée et d'ammener un petit commando sur les lieux pour décimer le reste des mutants. Mais retenu par le tournage de la série Lost, la comédienne ne pouvait pas reprendre son rôle. Au lieu de la remplacer, Wes Craven a réécrit le rôle, qui occupe toujours une place importante dans le groupe.
Un mutant caméléon
De l'équipe originelle du remake d'Alexandre Aja, il ne reste plus qu'un acteur: Michael Bailey Smith qui incarnait le mutant violeur Pluto. Il interprète ici un autre mutant, nommé Hadès, en référence au Dieu des enfers grecs, et qui apparait comme le leader de cette nouvelle équipe de mutants.
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Dangerous Beauty|Marshall Herskovitz|Comédie dramatique||3|américain|1999|111|Anglais||DX50|||DX50|715 Kbps|512x344|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|681||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Edward Zwick Arnon Milchan Marshall Herskovitz Sarah Caplan|Jeannine Dominy|Bojan Bazelli||UFD||Au XVIe siècle à Venise, Veronica, jeune femme à la beauté extraordinaire, décide de devenir courtisane afin d'approcher la haute sphère de la cour. Disputée par de nombreux hommes, Veronica se met, malgré elle, les femmes dites respectables et le fameux poète Maffio à dos. Un jour, un mal terrible survient et, pour libérer la ville de son malheur, Veronica est choisie pour un sacrifice expiatoire. |Jacqueline Bisset (Paola Franco)@Catherine McCormack (Veronica Franco )@Rufus Sewell (Marco Venier)@Oliver Platt (Maffio Venier)@Moira Kelly (Beatrice Venier)@Fred Ward (Domenico Venier)@Naomi Watts (Guila De Lezze)@Melina Kanakaredes (Livia)@Jeroen Krabbe (Pietro Venier)@Joanna Cassidy (Laura Venier)@Daniel Lapaine (Serafino Franco)@Justine Miceli (Elena Franco )@Jake Weber (le roi Henry )@||Secrets de tournage :
Une autre Courtisane...
La Courtisane est également le titre français d'un film de Robert Z. Leonard, avec Greta Garbo, réalisé en 1931 (titre original : "Susan Lenox : Her Fall and Rise").
Venise dans les studios de Cinecitta
A l'issue des repérages, les producteurs comprirent que tourner à Venise même posait de trop grands problèmes logistiques. Toute une architecture de canaux remplis de gondoles, avec les facades de maison les entourant, fut construite dans les studios de Cinecitta de Rome.
La réalisation de ce décor haut de 13 mètres, avec deux sections de canal de plus de cent mètres de long, a nécessité quatorze semaines de travail.
Construit dans un réservoir jadis utilisé pour un tournage de Fellini, le canal demanda plus de cent millions de litres d'eau.
Les extérieurs
Le tournage a commencé au centre de Rome, au Palais Sachetti, Via Guilia, avant de se déplacer vers Bassano, puis au château Orsini-Odesalchi (construit en 1470) à Bracciano, où a été recréé le décor de l'atelier du Tintoret. Le tournage en extérieurs se termina dans les jardins de la Villa Aldobrandini, à Frascatti, magnifique construction surplombant Rome, construite en 1598.
Gabriella Pescucci, chef costumière
Née à Livourne, Gabriella Pescucci a fait ses études à l'Institut d'Art de Florence, puis à l'Académie du Cinéma de Rome, assista Piero Tosi, sur Mort à Venise et Ludwig de Luchino Visconti avant de créer les costumes de Répétition d'orchestre de Federico Fellini, Trois frères de Francesco Rosi, Passion d'Amour d'Ettore Scola, Indochine de Régis Wargnier.
Gabriella Pescucci a obtenu pour Le temps de l'innocence de Martin Scorsese, le British Academy Award pour Il était une fois en Amérique de Sergio Leone, une citation à l'Oscar pour Les Aventures du Baron Munchausen de Terry Gilliam.
Norman Garwood, chef décorateur
Il a été cité à l'Oscar pour ses contributions à Hook de Steven Spielberg, Glory d'Edward Zwick et Brazil de Terry Gilliam, film pour lequel il remporta aussi le British Academy Awrd et le London Standard Award.
Il a conçu les décors de Princesse Bride et Misery de Rob Reiner, Lost in Space de Stephen Hopkins, et Haute Voltige de Jon Amiel.
Catherine McCormack ("Veronica Franco")
"Elle s'est révélée sur la scène internationale dans Braveheart de Mel Gibson, où elle interprétait Murron, le jeune compagne de William Wallace.
Né à Alton (Hampshire), elle a fait ses études à l'Ecole d'Art Dramatique d'Oxford.
C'est en 1994 qu'elle débute au cinéma dans un film anglo-néo-zélandais d'Anna Campion, Loaded. Depuis, elle a tourné dans Landgirls de David Leland, Dancing at Lughnasa, de Pat O'Connor, The Debtors d'Evi Quaid et This Year's Love de David Kane.
Propos de Marshall Herskovitz, le réalisateur :
"Le film tente de jeter un regard sur un aspect étouffé de notre culture : le pouvoir de la sexualité féminine. Au seizième siècle, être une courtisane était la seule voie permettant à une femme d'être une personne à part entière. Elles étaient les seules femmes à qui l'on permettait d'acquérir une éducation, les seules femmes à qui il était permis de devenir artiste, les seules femmes qui pouvaient être leur propre maître. C'était une vision complètement différente de ce qui se passe aujourd'hui."
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The Cave|Bruce Hunt|Fantastique|Interdit aux moins de 12 ans|1|américain|2006|94|Anglais||XviD|||XVID|880 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|685||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Tom Rosenberg Gary Lucchesi Andrew Mason|Michael Steinberg Tegan West|Ross Emery||Screen Gems Inc.||Au coeur d'une forêt roumaine, dans les ruines d'une abbaye du XIIIe siècle, des scientifiques découvrent l'entrée d'un labyrinthe de grottes souterraines. Ils engagent des spécialistes pour les aider à explorer cet univers mystérieux.
Jack et son frère Tyler dirigent la meilleure équipe de spéléologues plongeurs du monde. Ils en ont déjà vu beaucoup, mais ce qui les attend au fond, loin sous la terre, dépasse leurs pires cauchemars... |Cole Hauser (Jack)@Morris Chestnut (Top Buchanan)@Eddie Cibrian (Tyler)@Rick Ravanello (Briggs)@Marcel Iures (Dr. Nicolai)@Kieran Darcy-Smith (Strode)@Daniel Dae Kim (Kim)@Lena Headey (Kathryn)@Piper Perabo (Charlie)@Vlad Radescu (Dr. Bacovia)@Simon Kunz (Mike (spéléologue 1))@David Kennedy (Ian (spéléologue 2))@Alin Panc (Razvan (spéléologue 3))@Zoltan Butuc (Corvin (spéléologue 4))@Brian Steele (interprète créature)@||Secrets de tournage :
Plus qu'une simple fiction fantastique
La Crypte est une fiction, mais une fiction qui s'inspire de faits réels. En effet, de nouvelles formes de vie ont réellement été découvertes dans les profondeurs de certaines grottes, notamment en Roumanie. L'une de ces plus fameuses découvertes est celle de la grotte de Movilé, par le spéléologue roumain Cristian Lascu, éditeur en Roumanie du magazine National Geographic. Avec une équipe de biologistes, ils ont découvert des organismes isolés du monde extérieur depuis la préhistoire... Consultant sur le film, le Docteur Lascu explique : "La grotte de Movilé présente une ressemblance certaine avec celle de La Crypte. Vers la fin des années 80, le gouvernement voulait construire une centrale électrique près de la mer Noire. Nous avons effectué une mission de sondage du sol pour voir s'il supporterait un bâtiment aussi important. Dans l'une des grottes du sous-sol, il y avait des eaux chaudes sulfureuses qui contenaient des invertébrés qu'aucun laboratoire ne connaissait. Il y avait probablement des centaines de créatures différentes, et 35 d'entre elles ont été reconnues par les scientifiques comme des espèces nouvelles. Ces créatures ne vivaient que dans cette grotte. Elles étaient au sens propre de véritables fossiles vivants, ayant survécu des millions d'années."
Et si...
Aucun des animaux, dans la grotte de Movilé, n'avait la taille de la créature de La Crypte (dans la grotte de Movilé, des animaux amphibies mesuraient jusqu'à vingt centimètres de long), mais l'extrapolation n'est pas impossible. En théorie, il n'y a pas de limites à la taille des créatures pouvant vivre aussi profond... Le producteur Andrew Mason explique : "Bien qu'il s'agisse d'une fiction, notre histoire puise ses racines dans des faits réels que nous nous sommes contentés de pousser plus loin. La réalité est fascinante, nous lui avons simplement ajouté une dimension effrayante."
Des producteurs enthousiastes
Le producteur australien Andrew Mason a immédiatement été séduit par le scénario de La Crypte : "Je l'ai tout de suite aimé. C'est une fantastique approche, très originale, des grands films d'horreur classiques qui reposent sur la terreur psychologique." Gary Lucchesi, également producteur du film, raconte : "Le scénario m'a fait penser à Alien, le huitième passager ! Je l'ai trouvé sophistiqué, terrifiant, mais aussi remarquablement crédible."
Les grottes : danger permanent
Le producteur Andrew Mason insiste sur le fait que les grottes sont des endroits particulièrement dangereux. "Nous avons engagé certains des plus grands plongeurs spécialistes en grottes du monde comme consultants. Nous avons fait appel à leur expérience pour représenter ce qui se passe réellement quand on plonge sous la terre", explique-t-il. "Les grottes sont des environnements extrêmement dangereux. Un plongeur sur 14 meurt en moyenne chaque année. Il y a un sentiment de danger permanent quand on évolue dans cet univers." Jill Heinert, légende de la plongée et consultante sur le film, observe que "les accidents sont fréquents. Je me suis retrouvée piégée dans un iceberg en Antarctique. Nous avons connu des moments très durs. Ce sont vraiment des endroits claustrophobiques, effrayants."
Le monstre des profondeurs
Patrick Tatopoulos, à qui l'on doit certaines des créatures les plus stupéfiantes du cinéma de ces quinze dernières années (Independence Day, Godzilla, I, Robot), a créé celle de La Crypte. Bruce Fuller, de chez Patrick Tatopoulos Designs, explique : "Le concept de base de la créature est d'abord dicté par son environnement. C'est un albinos, aveugle, dont les autres sens sont surmultipliés. C'est pour cette raison qu'il a un système de localisation d'écho, comme une chauve-souris. La forme de la tête reflète cela : tous les sons qui arrivent se réverbèrent à l'intérieur du crâne. C'est comme cela qu'il repère ses proies, ses yeux sont inutiles. Nous avons pensé aux chauves-souris, aux taupes, et avons essayé de combiner les différentes caractéristiques des créatures souterraines avec celles d'un humain."
Un entraînement intense
Les acteurs de La Crypte ont du s'entraîner durant six semaines pour connaître les fondamentaux du quotidien d'un plongeur. Cole Hauser, la vedette du long-métrage, se souvient : "La préparation pour ce film a été la plus rude que j'aie jamais faite. Il faut en moyenne quinze ans pour apprendre à faire ce que nous avons dû apprendre en quinze jours ! J'ai regardé le documentaire "Journey Into Amazing Caves" avant de faire ce film, et j'ai été bluffé par ce dont sont capables les plongeurs spéléo. Ce sont vraiment les astronautes de la terre..."
Un tournage aquatique
Entre le bassin en Roumanie et le tournage en extérieurs au Yucatan, au Mexique, l'équipe de tournage de La Crypte a passé plus de 3500 heures sous l'eau. En y incluant les entraînements préalables et les essais, cela porte le chiffre à près de... 4000 heures par personnes !
Bruce Hunt : un novice expérimenté
Avant de passer à la réalisation avec La Crypte, Bruce Hunt a fait ses armes en tant que réalisateur de spots publicitaires puis en tant qu'assistant réalisateur sur les sommets de science-fictions que sont Dark City et la trilogie Matrix des frères Wachowski.
Du petit ... au grand écran
La plupart des acteurs de La Crypte sont des vedettes du petit écran. Morris Chestnut a joué dans plusieurs épisodes d'Urgences, alors qu'Eddie Cibrian a joué dans Sunset Beach et New York 911. Rick Ravanello s'est quant à lui illustré dans la série Stargate SG-1.
Tournage autour du monde
Une grande partie de l'intrigue de La Crypte se déroule sous l'eau, dans des cavernes sous-marines. Pour trouver un lieu propice au tournage, la production s'est installée au Mexique et en Roumanie, ce dernier pays possédant pas moins de 12000 caves répertoriées sous son territoire (et sans doute au moins autant qui ne le sont pas). Pour l'anecdote, la plus profonde de ces grottes a été découverte récemment : elle mesurait 17 kilomètres !
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The Last Legion|Doug Lefler|Aventure||2|slovaque, tunisien, italien, britannique, américain, français|2007|97|Anglais||DX50|||DX50|865 Kbps|608x256|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Dino De Laurentiis Raffaella De Laurentiis Tarak Ben Ammar Martha De Laurentiis|Jez Butterworth Tom Butterworth Carlo Carlei Peter Rader Valerio Manfredi|Marco Pontecorvo||Quinta Distribution||Rome, 476 après J-C : l'empire est menacé par les armées barbares.Oreste, maître de l'Empire romain d'Occident assiste au couronnement de son fils Romulus Auguste. Celui que l'on va nommer à présent le dernier des Césars est désormais menacé d'un grand danger.Malgré la protection d'Aurelius, commandant de la quatrième légion, Romulus est capturé par Odoacre, chef des Goths. Emmené sur l'île forteresse de Capri, il y découvre la légendaire épée de César marquée de la prophétie "Un côté pour défendre, un côté pour vaincre... Destinée à celui... appelé à régner."Avec ses frères d'armes, Aurélius, la magnifique et dangereuse Mira, Romulus et le magicien Ambrosinus partent en Angleterre à la recherche de la valeureuse neuvième légion, dernière armée fidèle à Rome... |Colin Firth (Aurelius)@Ben Kingsley (Ambrosinus)@Aishwarya Rai (Mira)@Peter Mullan (Odoacer)@Kevin McKidd (Wulfila)@John Hannah (Nestor)@Thomas Sangster (Romulus Augustus)@Iain Glen (Oreste)@Rupert Friend (Demetrius)@Nonso Anozie (Batiatus)@Owen Teale (Vatrenus)@Robert Pugh (Kustennin)@Alexander Siddig (Theodorus Andronikos)@Beata Ben Ammar (Flavia)@Murray McArthur (Tertius)@James Cosmo (Hrothgar)@Trevor Lovell (Orosius)@Alexandra Thomas-Davies (Ygraine)@Ferdinand Kingsley (le jeune druide)@Rory James (Arthur jeune)@Harry Van Gorkum (Vortgyn)@Lee Ingleby (Germanus)@Igor De Laurentiis (Septimus)@Mark Sangster (Metellus)@Igor De Laurentiis (Septimus)@Lee Ingleby (Germanus)@Murray McArthur (Tertius)@Mark Sangster (Metellus)@||Secrets de tournage :
A propos de Doug Lefler
S'il travaille régulièrement pour le cinéma en tant que story-boardeur (on lui doit notamment une partie de ceux de Evil Dead III : l'armée des ténèbres), Doug Lefler s'est surtout illustré pour la télévision, pour laquelle il a réalisé des épisodes des séries Hercule et Xena. Il a également réalisé le film Coeur de dragon 2 - un nouveau départ, déjà produit par Raffaella De Laurentiis.
L'empreinte du père
Le directeur de la photographie, Marco Pontecorvo, n'est autre que le propre fils du célèbre cinéaste Gillo Pontecorvo, le réalisateur de La Bataille d'Alger.
Le tournage
Le film a été tourné en Tunisie pour la reconstitution de Rome ainsi qu'en Slovaquie où fut recréée l'Angleterre. En tout, le tournage a duré près de 14 semaines.
Inspiré du livre de Valerio Manfredi
La Dernière légion est inspiré du livre éponyme de l'historien et romancier Valerio Massimo Manfredi.
De producteur à producteur
Selon la productrice Martha De Laurentiis, l'idée de caster Colin Firth dans le rôle d'Aurélius lui a été soufflée par le célèbre producteur Harvey Weinstein.
Colin Firth et Thomas Sangster : 3 ème.
Malgré son jeune âge (17 ans), Thomas Sangster qui incarne le jeune Romulus a déjà joué deux fois aux côtés de Colin Firth dans Nanny McPhee et dans Love Actually.
Charme indien
Mira est incarnée par Aishwarya Rai, star de Bollywood et miss monde 1994. Ce n'est pas la première fois qu'elle joue hors de son pays natal puisqu'elle avait tourné dans le film Mistress of Spices de Paul Mayeda Berges.
Collection printemps-été 476 après J-C
Le costumier Paolo Scalabrino est un habitué des reconstitutions historiques. Il a notamment déjà travaillé sur Gangs of New York et sur Troie.
Dangereux métier
Les acteurs ont tourné eux-mêmes les scènes de combats. Celles-ci étaient dans un premier temps chorégraphiées par les doubleurs avant qu'ils n'enseignent les mouvements aux acteurs.
Désapprendre et apprendre à nouveau
Colin Firth avait déjà pratiqué l'escrime dans sa jeunesse mais cela n'a pas suffit pour les besoins du film : "Il m'a fallu désapprendre le style fleuri que je pratiquais avec des épées plus petites et un jeu de jambe fantaisiste. Mon personnage manipule une grosse pièce d'acier. Je craignais de ne pas être capable de me mouvoir élégamment avec une telle arme".
« Préc.
« Préc.
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La Doublure|Francis Veber|Comédie||3|français|2006|79|Français||XviD|||XVID|1 091 Kbps|640x416|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Patrice Ledoux|Francis Veber|Robert Fraisse||Sony Pictures Classics|Saga : François Pignon |Surpris par un paparazzi avec Eléna, sa maîtresse, un top model superbe, le milliardaire Pierre Levasseur tente d'éviter un divorce sanglant en inventant un mensonge invraisemblable. Il profite de la présence sur la photo, d'un passant, François Pignon, pour affirmer à sa femme qu'Eléna n'est pas avec lui, mais avec Pignon.Pignon est voiturier. C'est un petit homme modeste. Levasseur, pour accréditer son mensonge, est obligé d'envoyer la trop belle Eléna vivre avec Pignon. Elena chez Pignon, c'est un oiseau de paradis dans un H.L.M. Et aussi une mine de situations. |Gad Elmaleh (François Pignon)@Daniel Auteuil (Pierre Levasseur)@Alice Taglioni (Eléna)@Kristin Scott Thomas (Christine Levasseur)@Richard Berry (Maître Foix)@Virginie Ledoyen (Emilie)@Dany Boon (Richard)@Michel Aumont (Le médecin )@Michel Jonasz (André)@Karl Lagerfeld (lui-même)@Laurent Gamelon (Paul)@Patrick Mille (Pascal)@Michèle Garcia (Louise)@Philippe Magnan (Berman)@Jean-Yves Chilot (Hervé)@Irina Ninova (Marie)@Philippe Beglia (le Maître d'hotel)@Noémie Lenoir (Karine)@Sandra Moreno (La secrétaire)@Jean-Pol Brissart (Mauricet)@Philippe Brigaud (Monsieur Hervé)@Alexandre Brik (Ken)@Thierry Humbert (Paparazzi)@Paulette Frantz (La mère de Richard)@Thierry Nenez (Perrache)@||Secrets de tournage :
Un nouveau François Pignon
Après Jacques Brel (L'Emmerdeur), Pierre Richard (Les Compères, Les Fugitifs), Jacques Villeret (Le Dîner de cons ), et Daniel Auteuil (Le Placard), c'est au tour de Gad Elmaleh se glisser dans la peau de François Pignon, l'un des personnages récurrents créés par Francis Veber : "Gadest un très bon Pignon, affirme le réalisateur-scénariste. Parce qu'il a compris qu'il ne faut pas en faire trop. Il a été obligé de gommer le Gad Elmaleh de la scène pour entrer dans cette nouvelle peau et ce n'est pas facile, parce que ce n'est pas Pignon qui fait les effets, ce sont les autres. Pignon est comme ces boxeurs qui boxent en contre. A la fin du combat il gagne mais il a pris beaucoup de coups." Le comédien Gad Elmaleh apprécie lui aussi ce personnage qui se rapproche de ceux qu'il incarne dans ses one-man Show : "Ce que j'aime vraiment chez Pignon, c'est qu'il n'a rien demandé mais que tout lui arrive. C'est presque chaplinesque comme situation. Pignon est quelqu'un qui est au centre de l'histoire, au coeur de l'action, mais qui n'en est pas le moteur. Il le devient malgré lui. Ce qui le caractérise aussi, c'est sa candeur, mais ce n'est pas le benêt pour autant."
Veber écrit sur les femmes
Pour la première fois dans un film de Francis Veber, la place des femmes est équivalente à celle celles des hommes. Nouvelles venues dans le clan Veber, Alice Taglioni, Virginie Ledoyen, et Kristin Scott Thomas sont ainsi les pièces maîtresses du scénario de La Doublure : "Je n'avais pas d'a priori contre les femmes, explique le réalisateur-scénariste, mais simplement je n'avais pas de sujet. Les histoires qui me venaient le plus facilement étaient les histoires d'amitié. Puis brusquement, une histoire d'amour s'est présentée en tant que sujet et il a bien fallu retrousser ses manches et écrire un rôle de femme. Alors dans la foulée j'en ai écrit plusieurs... Finalement écrire pour les femmes n'est pas plus compliquée que d'écrire pour les hommes et j'ai très envie de recommencer."
Gad Elmaleh, doublure de Jamel Debbouze
Le rôle de François Pignon était initialement prévu pour Jamel Debbouze. Quand Francis Veber lui a lu le script, le jeune comédien a finalement décidé de laisser à sa place à un acteur plus précis et exigeant que lui. C'est ainsi que fut choisi Gad Elmaleh.
Auteuil et Berry répondent à l'appel
A coté des nouveaux venus dans l'univers de Francis Veber, le réalisateur a fait appel à des comédiens avec qui il avait déjà travaillé sur d'autres films. C'est le cas de Daniel Auteuil, le François Pignon du Placard et de Richard Berry, qu'il avait dirigé dans Tais-toi ! et au théâtre dans l'Emmerdeur. Face à Patrick Timsit, l'acteur y reprenait le rôle de Lino Ventura...
Du One-man show au cinéma
Dans La Doublure les comiques Gad Elmaleh et Dany Boon incarnent deux colocataires dont l'amitié est ébranlée à cause des femmes. Les deux comédiens spécialistes des one-Man show, sont réunis pour la première fois devant la caméra : "Avec Dany on se connaît assez bien, explique Gad Elmaleh. J'ai beaucoup de respect et d'admiration pour son travail. Ca va vous paraître bizarre, mais notre complicité sur le film est néée de la rigueur que nous avons acquis tous les deux sur scène. Au moment des prises, ça donne de belles parties où l'on se renvoie tous les deux la balle en y mettant le plus d'effets possibles."
Une touche de Karl Lagerfeld
Pour les besoins du film, la comédienne Alice Taglioni a participé à un veritable défilé de mode dirigé par Karl Lagerfeld. Celui-ci joue ainsi son propre rôle. La comédienne et le couturier s'étaient auparavant rencontré lors d'une séance photo de jeunes comédiens.
Tournage à Epinay-sur-Seine
La Doublure a été tourné pendant l'été 2005 aux studios Eclair d'Epinay-sur-Seine.
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Fracture|Gregory Hoblit|Thriller||3|allemand, américain|2007|113|Anglais||XviD|||XVID|699 Kbps|624x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|677||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Sam Brown Gregory Hoblit Charles Weinstock|Glenn Gers Daniel Pyne|Kramer Morgenthau||New Line Cinema||Lorsque Ted Crawford découvre que sa jeune épouse le trompe, il décide de la tuer... mais en mettant au point le crime parfait. Alors que la police arrive sur les lieux du drame, l'inspecteur Rob Nunally a deux surprises : la victime n'est pas morte, et c'est la femme avec laquelle il avait une liaison...Avec Crawford, qui a avoué la tentative d'homicide, Willy Beachum, un ambitieux procureur adjoint, sur le point d'intégrer un prestigieux cabinet d'avocats, se voit confier cette dernière affaire. Mais dans la partie qui s'annonce, rien n'est aussi évident qu'il y paraît. Dans un redoutable jeu de manipulation, l'affaire va tourner à la confrontation de deux hommes qui ont chacun besoin de la défaite de l'autre pour servir leur plan...Entre mensonges et ambition, entre faux-semblants et orgueil, l'affrontement va aller bien au-delà de ce que chacun avait prévu... |Anthony Hopkins (Ted Crawford)@Ryan Gosling (Willy Beachum)@David Strathairn (Joe Lobruto)@Rosamund Pike (Nikki Gardner)@Embeth Davidtz (Jennifer Crawford)@Billy Burke (Rob Nunally)@Cliff Curtis (Détective Flores)@Fiona Shaw (Juge Robinson)@Bob Gunton (Le juge Frank Gardner)@Josh Stamberg (Norman)@Xander Berkeley (Le juge Moran)@Zoe Kazan (Mona)@Petrea Burchard (Dr. Kane)@Valerie Dillman (Peg Gardner)@Monica Garcia (Tina)@Lyle Kanouse (Le messager)@John Littlefield (Un policier)@Gonzalo Menendez (Le policier en uniforme)@Larry Sullivan (Lee Gardner)@Sandra Prosper (Karla)@David Purdham (Burt Wooton)@Judith Scott (Residente)@||Secrets de tournage :
Genèse d'un projet
Charles Weinstock, producteur du film, a mûri le projet pendant plus de six années. Sa rencontre avec Glenn Gers, le scénariste, a été déterminante. Ce dernier explique: " L'idée d'un thriller autour d'un procès où les vrais conflits se déroulent à l'extérieur du tribunal m'a beaucoup attiré. [...] Quand j'ai commencé à travailler sur le projet, j'ai bénéficié de l'aide et des conseils de ma soeur, qui est procureur. Grâce à elle, j'ai beaucoup appris sur le système et la procédure juridique. Un an après, elle est entrée dans une firme privée qui défend les entreprises, un peu comme dans le film. Pour un juriste, c'est une transition difficile qui peut représenter un vrai dilemme moral. C'est ce que l'on retrouve chez Willy Beachum. C'est un personnage complètement obsédé par son ambition, sa volonté d'entrer dans un grand cabinet privé."
Les spécialistes du genre
Au générique de La Faille, nous pouvons retrouver deux habitués du film à suspense, dont le réalisateur Gregory Hoblit et le scénariste Daniel Pyne. Pour ce premier, il avait commencé sa carrière en réalisant des thrillers psychologiques et fantastiques comme Peur primale, Le Témoin du mal et Fréquence interdite. Quant à Daniel Pyne, il est auteur de plusieurs scénarios à suspense tels que Fenêtre sur Pacifique et Un crime dans la tête.
Un acteur, deux criminels
Anthony Hopkins n'a incarné à l'écran que deux rôles de criminels. Le premier, culte, est celui d'Hannibal Lecter dans le multi oscarisé Le Silence des agneaux réalisé par Jonathan Demme. Le second est celui du film, l'ingénieur en aéronotique Ted Crawford, spécialisé dans l'étude des facteurs d'usure provoquant des dysfonctionnements et l'analyse des crashs d'avions. Passionné par son métier, il est fier de pouvoir détecter toutes les failles d'un système, qu'il soit mécanique ou humain...
Un heureux élu
Le réalisateur a lu plus d'une centaine de scénarios avant d'accepter de réaliser La Faille. Il explique: "J'ai aimé les surprises, tout ce que l'on ne voit pas venir. J'ai su que cela allait être intéressant et je savais comment j'allais le faire. Dès la première lecture du scénario, l'histoire et les personnages m'ont beaucoup frappé. Il y a cette scène intense où Crawford et Willy se rencontrent pour la première fois. Crawford avoue avoir tué sa femme et Willy prend conscience du enjeu de cette affaire pour sa carrière. Quand j'ai lu cette scène, je n'avais plus qu'une envie : la tourner. Tout ce qui suit découle de cette confrontation. Filmer cette scène a été un des jours les plus excitants de mes 25 ans de carrière. "
Souci d'authenticité
Un soin particulier a été pris pour montrer l'histoire sous un jour le plus réaliste possible, surtout le monde judiciaire. Ainsi, le producteur du film, Charles Weinstock, a été un temps avocat au Barreau de New York. Les cinéastes ont aussi été conseillés par l'avocat Bob Breech, avec qui Gregory Hoblit a déjà travaillé sur les séries Capitaine Furillo et La Loi de Los Angeles. Le cinéaste raconte : " En plus de connaître les lois sous toutes les coutures, Bob Breech a un grand sens de la narration. Il sait comment tirer le meilleur d'une scène tout en restant fidèle aux procédures légales. "
Casting difficile pour rôle sur mesure
La distribution du rôle de l'inspecteur Rob Nunally a donné du fil à retordre à l'équipe du film. Les producteurs ont alors songé à Billy Burke, qui sortait justement du tournage d'un film policier sur lequel il avait travaillé avec des négociateurs professionnels spécialisés dans les prises d'otages. "Cette expérience" précise Gregory Hoblit, "lui a permis d'entrer dans son personnage plus facilement ".
Orgueil, préjugés et passion
C'est lors de la tournée promotionnelle d'Orgueil et préjugés à Los Angeles en 2006, que Gregory Hoblit a repéré et contacté Rosamund Pike. Leur rencontre a convaincu le réalisateur qu'elle serait parfaite dans le rôle de la séductrice et ambitieuse Nikki Gardner. Charles Weinstock précise: "Rosamund était un très bon choix. Elle a cette perfection blonde à la Grace Kelly qui apporte à son personnage beaucoup de séduction et de distance en même temps. Nikki représente la tentation sous toutes ses formes. C'est aussi l'incarnation même de l'ambition de Willy. Le rôle était plus difficile qu'il y paraît car c'est aussi un personnage très fort qui va tout de même révéler quelques faiblesses. Rosamund Pike a parfaitement interprété ces deux aspects de Nikki."
Juge et truand
L'acteur Bob Gunton, qui interprète l'inflexible Juge Gardner dans le film, prêtait ses traits à Warden Norton, le directeur de prison véreux, sadique, tortionnaire et bigot dans Les Evadés de Frank Darabont. Un personnage nettement moins recommendable...
Adeptes du thriller
On retrouve à l'affiche du film David Strathairn, qui a joué dans de nombreux thrillers tels que Dolorès Claiborne, Instincts meurtriers ou bien La Firme ainsi que Ryan Gosling vu dans Stay et Calculs meurtriers.
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Nutty professor II : the klumps|Peter Segal|Comédie||2|américain|2000|96|Anglais||DIV3|||DIV3|883 Kbps|416x240|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|682||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Brian Grazer|Barry W. Blaustein David Sheffield Paul Weitz Chris Weitz|Dean Semler||United International Pictures (UIP)|Saga : Foldingue |Le professeur Sherman Klump est sur le point d'epouser sa jeune et jolie collegue Denise Gaines. Sa famille, qui avait craint de le voir rester celibataire a vie, est ravie. Mais Sherman est inquiet. Buddy, son odieux alter ego, dont il se croyait debarrasse, surgit sans crier gare et menace gravement ses projets matrimoniaux. Pour eliminer definitivement le geneur, Sherman decide d'eradiquer l'ADN de son patrimoine. Mais l'operation echoue et Buddy tente de s'emparer du serum de jouvence invente par Sherman. |Eddie Murphy (Sherman, Cletus, Cletus Jr., Anna Pearl, Ida Mae, Ernie Klump / Buddy Love )@Janet Jackson (Denise Gaines)@Richard Gant (Mr. Gaines )@Larry Miller (Dean Richmond )@John Ales (Jason)@Anna Maria Horsford (Mrs. Gaines )@Ralph Drischell (Zeke)@Selma Stern (Mrs. Dudikoff)@Wanda Sykes (Chantal)@Freda Payne (Claudine)@||Secrets de tournage :
Tom Shadyac, de la réalisation à la production
Le réalisateur du Professeur Foldingue, Tom Shadyac, occupe ici le poste de producteur exécutif.
Eddie Murphy compare le premier volet au second
« La famille Foldingue n'est plus centrée, comme le premier film, sur les tribulations de Sherman Klump et sa quête du grand amour. Le professeur a fini par s'accepter tel qu'il est et par trouver la femme de sa vie. Bien qu'il reste le héros de La famille Foldingue, c'est aujourd'hui son pittoresque entourage qui nous intéresse. Et il y a quelques rôles en or? »
Brian Grazer ? Eddie Murphy : Acte V
Le producteur Brian Grazer et Eddie Murphy travaillent ensemble pour la cinquième fois.
Brian Graser avait auparavant produit Boomerang (Reginald Hudlin, 1992), Le Professeur Foldingue (Tom Shadyac, 1996), Bowfinger (Frank Oz, 1999) et Perpète (Ted Demme, id.), dont Eddie Murphy est la vedette.
A chaque jour son personnage
La longueur des séances de maquillage ne permettait pas à Eddie Murphy d'incarner plus d'un personnage par jour. Une scène qui comportait plusieurs personnages campés par le comédien nécessitait donc une semaine de tournage.
Rick Baker, responsable des maquillages spéciaux
Rick Bake compte à son palmarès King Kong (John Guillermin, 1976), Star Wars (George Lucas, 1977), Furie (Brian De Palma, 1978), Videodrome (David Cronenberg, 1983), Greystoke (Hugh Hudson, 1984) et Bigfoot chez les Andersons (William Dear, 1987).
Il a également opéré sur Ed Wood (Tim Burton, 1994), Woolf (Mike Nichols, id.), Batman Forever (Joel Schumacher, 1995) et Fantômes contre fantômes (Peter Jackson, 1996).
Rick Baker avait déjà supervisé le maquillage des acteurs du Professeur Foldingue de Tom Shadyac (1996).
En 2000, il travaille pour Ron Howard sur Le Grinch.
Peter Segal, réalisateur
Débutant sa carrière au cinéma avec Y a-t-il un flic pour sauver Hollywood ? en 1994, Peter Segal a depuis réalisé deux longs métrages, Tommy boy (1995) et My fellow Americans (1996).
En 2000, il réalise L'homme qui rétrécit, d'après le roman de Richard Matheson.
Eddie Murphy se démultiplie
« Jouer différentes personnages n'est pas une épreuve, mais une libération. Je le fais sans peine car c'est un exercice dont je raffole. Mon principal problème sur ce film a consisté à mettre ces gens en mouvement, à leur inventer des postures distinctes, à jouer sur leurs tailles respectives, à développer entre eux des séries d'interactions. »
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Tinker Bell|Bradley Raymond|Animation||3|américain|2008|77|Anglais||XviD|||XVID|1 117 Kbps|640x352|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||23.976|27/08/2009 00:00:00||Jeffrey M. Howard|||||Au coeur du pays imaginaire, dans un monde magique appelé Pixie Hollow, les premiers rires d'un enfant amènent Clochette à la vie. Et maintenant pour la toute première fois, Clochette parle ! Rejoignez notre charmante héroïne dans sa première grande aventure où elle rencontre de nouvelles amies fées. Rosetta la charmante fée des plantes, Silvermist, l'optimiste fée de l'eau, Iridessa, la perfectionniste fée de la lumière et Fawn, la fée des animaux. |Lorie (La Fée Clochette (voix française))@||||||||||||@@
Cabin Fever|Eli Roth|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 16 ans|2|américain, britannique|2004|92|Anglais||XviD|||XVID|922 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Evan Astrowsky Sam Froelich Bruce Cowen|Eli Roth Randy Pearlstein|Scott Kevan||Metropolitan FilmExport||Trois jeunes hommes et deux jeunes filles ont loué une cabane dans la forêt pour y fêter la fin de leurs études et profiter des derniers jours de liberté avant d'entrer dans le monde du travail. Mais la fiesta tourne au cauchemar quand un ermite infecté par un mystérieux virus fait son apparition. Les cinq jeunes gens vont devoir faire face à ce terrible virus qui dévore les chairs de ses victimes... |Jordan Ladd (Karen)@Rider Strong (Paul)@James DeBello (Bert)@Cerina Vincent (Marcy)@Giuseppe Andrews (Shériff Winston)@||Secrets de tournage :
La maladie dévoreuse de chair
La fasciite nécrosante ou "maladie dévoreuse de chair" est une maladie rare, causée par un streptocoque du groupe A. Elle entraîne une destruction par destructuration des chairs et tissus; plus de 3500 personnes contractent cette maladie chaque année. A la suite de l'infection les chairs se ramollissent et perdent de leur élasticité, le simple fait de se gratter ou de tirer pour provoquer leur chute. 20 à 30% des personnes atteintes de cette maladie en meurent.
L'inspiration à fleur de peau !
C'est une mésaventure personnelle qui a inspiré le film. Le réalisateur raconte: "A l'âge de 19 ans, je travaillais dans un élevage de chevaux au sud de l'Islande. (...) j'ai attrappé une infection au visage. Je me suis réveillé au milieu de la nuit en me grattant la joue, (...) j'ai regardé ma main et j'y ai vu des lambeaux de peau. Le lendemain matin, j'ai essayé de me raser, et c'est la moitié de ma joue qui est venue avec le rasoir." Eli Roth a réalisé le film en pensant à sa propre peur de contracter cette maladie.
Retour aux sources
Eli Roth , réalisateur et scénariste de Cabin fever explique : "J'ai toujours adoré les films d'horreur. Adolescent, j'étais un fan d'Evil dead , The Thing ou Les Griffes de la nuit. (...) J'avais très envi de faire un film comme ceux-là, un film qui vous poursuit et vous obsède. Je me suis efforcé de faire un film qui reviendrait à la grande époque de l'horreur, fin 70, début 80. (...) de l'horreur franche et directe qui utilise l'humour à la fois pour soulager la tension (...)"
Les effets spéciaux
Le film a été réalisé uniquement avec du maquillage, sans images de synthèse. K.N.B EFX Group qui avait déjà réalisés les maquillages sur Evil Dead II, Evil Dead III : l'armée des ténèbres, a accepté de faire ceux de Cabin Fever.
La musique
Angelo Badalamenti , compositeur fétiche de David Lynch , a réalisé la musique du film. Une musique qui contribue à faire naître la terreur.
Nathan Barr participe également à la BO du film.
Une maladie mal connue
La fasciite nécrosante est encore mal connue des scientifiques. On peut la traiter avec des antibiotiques mais aucun vaccin n'existe à l'heure actuelle.
Les imprévus
Tourné en Caroline du Nord, le film a rencontré plusieurs obstacles. Le premier cas d'Anthrax a été rapporté le premier jour de préproduction, entrainant l'effondrement de la bourse et le retrait d'un des investisseurs majeurs. Le climat s'est lui aussi manifesté; les nuits sont devenues d'un seul coup glaciales rendant les scènes plus pénibles.
Le casting
Trouver les acteurs s'est révélé plus difficile que prévu pour le réalisateur. Il s'est inspiré de David Lynch qui choisi ses acteurs juste en leur parlant, pour faire son casting. "Il fallait des acteurs excellents dans leur travail bien sûr, mais aussi faciles à vivre, que les longues attentes, le sang et les tripes ne dérangent pas !"
Du sang au fond des bois
Eli Roth explique: "Nous avons voulu recréer le style visuel et l'atmosphère des classiques de l'horreur du début des années 80, sans pour autant donner l'impression d'un film à petit budget." Le réalisateur a filmé en format large, ainsi les personnages donnent l'impression visuelle d'être piégés au milieu de nulle part.
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First Daughter|Forest Whitaker|Romance||2|américain|2005|104|Anglais||XviD|||XVID|796 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|126 Kbps|False|48.0 KHz|2|696||||23.976|27/08/2009 00:00:00|John Davis Wyck Godfrey Arnon Milchan|Jessica Bendinger Jerry O'Connell Kate Kondell|Toyomichi Kurita||Twentieth Century Fox France||Alors que la fille du Président des Etats-Unis insiste pour suivre une scolarité normale et vivre sur le campus de son université, sans la surveillance constante des services secrets, le gouvernement décide en secret de placer un jeune agent charger de la protéger, tout en se faisant passer pour un étudiant. Ainsi débute une romance entre les deux... jusqu'à ce qu'elle découvre sa véritable identité... |Katie Holmes (Samantha Mackenzie)@Marc Blucas (James Lansome)@Michael Keaton (Le President Mackenzie)@Amerie Rogers (Mia Thompson)@Margaret Colin (Melanie Mackenzie)@Lela Rochon (Liz Pappas)@Michael Milhoan (Agent Bock)@Dwayne Adway (Agent Dylan)@Hollis Hill (Agent Colvin)@Damon Whitaker (Charles)@Steve Tom (Senateur Downer)@Peter White (College Dean)@Parry Shen (le leader du rallye)@Marilyn McIntyre (Le professeur à la fête)@Ann Ryerson (Nurse Practitioner)@Joan Rivers (lui-même)@Jay Leno (lui-même)@Forest Whitaker (le narrateur (voix off))@||Secrets de tournage :
Forest à la réalisation, troisième !
Des étoiles plein les yeux est le troisième long métrage de l'acteur américain Forest Whitaker (vu entre autres dans Bird ou Phone game), après Où sont les hommes? (1995), dans lequel il dirige Whoopi Goldberg, et Ainsi va la vie (1998), avec Sandra Bullock.
First Director
C'est Brian Robbins (American boys, The Perfect score) qui devait réaliser à l'origine Des étoiles plein les yeux. Il a finalement été remplacé par Forest Whitaker.
Un titre, deux films
Deux films sur le destin de la fille d'un Président américain ont été tournés en 2003, deux films évoquant leur histoire d'amour avec un agent travaillant pour leur père et, cerise sur le gateau... portant tous les deux, au départ, le même titre original : First daughter ! Le film de Forest Whitaker a pu garder son titre original. L'autre, un film de Andy Cadiff avec Mandy Moore dans le rôle-titre, a été modifié : il s'est finalement intitulé Chasing liberty (Esprit libre en français).
De Sliders au scénario
L'acteur Jerry O'Connell a co-signé le scénario de Des étoiles plein la tête. Le comédien, révélé par la série fantastique Sliders, s'est notamment illustré dans les comédies Tomcats et Kangourou Jack. La scénariste Jessica Bendinger vient également de la télévision puisqu'elle a travaillé sur la série Sex and the City.
Du petit au grand écran...
Tout comme les scénaristes du film, les deux acteurs principaux ont été révélés par des séries télévisées. Katie Holmes est connue pour avoir incarné le personnage de Joey, l'héroïne de Dawson, tandis que Marc Blucas s'est distingué en incarnant Riley Finn, le petit ami de Buffy, alias Sarah Michelle Gellar, dans Buffy contre les vampires.
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End of Days|Peter Hyams|Fantastique|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|1999|117|Anglais||DX50|||DX50|689 Kbps|704x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|694||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Armyan Bernstein Bill Borden|Andrew W. Marlowe|Peter Hyams||Metropolitan FilmExport||Trois jours avant le passage à l'an 2000, le diable sort de sa tanière et débarque à New York. Il part à la recherche de Christine York, une jeune femme prédestinée depuis sa naissance à lui donner un enfant, qui sera l'instrument de la destruction de l'humanité. L'ancien policier Jericho Cane, reconverti dans la protection rapprochée, va trouver Christine sur son chemin et lui offrir son aide. Traqués par Satan mais aussi par un commando intégriste du Vatican, ils vont devoir empêcher que ne se produise la fin des temps. |Arnold Schwarzenegger (Jericho Cane )@Gabriel Byrne (Satan)@Robin Tunney (Christine York )@Kevin Pollak (Chicago)@CCH Pounder (l'inspecteur Margie Francis )@Derrick O'Connor (Thomas Aquinas)@David Weisenberg (OB)@Rainer Judd (La mère de Christine)@Miriam Margolyes (Mabel )@Rod Steiger (le père Kovak)@Udo Kier (le prêtre)@Marc Lawrence@||||||||||||@@
Spaceballs|Mel Brooks|Comédie||3|américain|1987|96|Anglais||DIV3|||DIV3|840 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|673||||29.970|08/08/2009 00:00:00|Mel Brooks|Mel Brooks Thomas Meehan Ronny Graham|Nick McLean||||Aidé du sombre Casque Noir, le Président Skroob décide de s'emparer de l'atmosphère de la pacifique planète Druidia. C'était sans compter l'intrépide Lone Starr et son fidèle Barf, la princesse Vespa et son droïde Dot Matrix, et le mystérieux Yogurt, grand maître du "Schwartz"... |Mel Brooks (le président Skroob/Yogurt)@Rick Moranis (Lord Casque Noir)@Bill Pullman (le capitaine Lone Starr)@John Candy (Barfolemew 'Barf')@Daphne Zuniga (la princesse Vespa de Druidia)@Dick Van Patten (le roi Roland, dirigeant de Druidia)@George Wyner (Colonel Sandurz)@Joan Rivers (la voix de Dot Matrix)@Michael Winslow (le technicien radar)@John Hurt (Kane)@Stephen Tobolowsky (le capitaine de la Garde)@Jim Jackman (Major Asshole)@Leslie Bevis (Zircon)@Tony Cox (un Dink)@Dom DeLuise (la voix de Pizza le Hutt)@Julie Pitkanen (la voix de la station spatiale)@Rick Ducommun@Tim Russ@Brenda Strong@||||||||||||@@
History of the World : Part I|Mel Brooks|Comédie||2|américain|1982|90|Anglais||DIV3|||DIV3|940 Kbps|512x384|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Mel Brooks|Mel Brooks|Woody Omens||Gaumont||L'histoire du monde selon Mel Brooks, de l'Age de Pierre à la Révolution française. |Mel Brooks (Moïse / Comicus / Torquemada / Louis XVI / Jacques)@Madeline Kahn (l'Impératrice Nympho)@Dom DeLuise (Julius Caesar)@Harvey Korman (Comte de Monet)@John Hurt (Jesus)@Cloris Leachman (Madame DeFarge)@Ron Carey (Swiftus)@Gregory Hines (Josephus)@Pamela Stephenson (Mademoiselle Rimbaud)@Shecky Greene (Marcus Vindictus)@Sid Caesar (l'homme des cavernes)@Mary Margaret Humes (Miriam)@Rudy De Luca (un primate)@Paul Mazursky (un soldat romain)@Ron Clark (un soldat)@Barry Levinson (le vendeur de colonnes)@Andréas Voutsinas (Bearnaise)@Spike Milligan (Monsieur Rimbaud)@Nigel Hawthorne (un officiel)@Orson Welles (le narrateur)@||||||||||||@@
Fist of fury|Lo Wei|Arts Martiaux|Interdit aux moins de 12 ans|3|hong-kongais, chinois|1974|92|Chinois||XviD|||XVID|957 Kbps|608x240|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|32.0 KHz|2|700||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Raymond Chow Leonard Ho|Lo Wei Bruce Lee I Kuang|Chen Chin Chu||René Chateau||Le meilleur élève d'une école d'arts martiaux de Shanghai décide de venger la mort de son maître disparu dans des circonstances mystérieuses. |Bruce Lee (Chen Zhen)@Nora Miao (Yuan Le-erh)@James Tien (Chang Chun-hsia)@Lo Wei (L'inspecteur de police)@Jackie Chan (Un étudiant)@Tony Liu (Chin)@Wai Ping (Wu)@Chung-Hsin Huang (Tien)@Fung Yi (Yoshida)@Feng Tien (Fan)@Quin Lee (Hsu)@Yin-Chieh Han (Feng Kwai-Sher)@Unicorn Chan (Un étudiant)@Tian Feng (Fan)@||||||||||||@@
La Gifle|Claude Pinoteau|Comédie||2|français, italien|1974|99|||DX50|||DX50|841 Kbps|656x384|MPEG-1 Audio layer 3|131 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Alain Poiré|Claude Pinoteau|Jean Collomb||Gaumont||Tout va mal pour Jean Douelan, professeur de géographie à Paris. Il démissionne après avoir frappé deux policiers. Sa femme l'a plaqué il y a huit ans et sa maîtresse est sur le point de le faire. Sa fille veut abandonner ses études et échoue à ses examens. Suite à cette nouvelle, il la gifle... |Lino Ventura (Jean Doulean)@Annie Girardot (Hélène Doulean)@Isabelle Adjani (Isabelle Doulean)@Francis Perrin (Marc Morillon)@Jacques Spiesser (Rémi)@Michel Aumont (Charvin)@Xavier Gélin (Xavier)@Robert Hardy (Robert)@Nathalie Baye (Christine)@Nicole Courcel (Madeleine)@Georges Wilson (Pierre)@Richard Berry (Un élève)@André Dussollier (Un joueur de foot)@||||||||||||@@
La Gloire de mon Père|Yves Robert|Comédie dramatique||3|français|1990|106|||DX50|||DX50|817 Kbps|560x304|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Alain Poiré|Yves Robert Louis Nucéra Jérôme Tonnerre|Robert Alazraki|||Saga : Pagnol / Robert |Chronique d'une famille du début du siècle à travers le regard et les aventures du jeune Marcel qui sont également les souvenirs d'enfance de Marcel Pagnol. |Julien Ciamaca (Marcel )@Philippe Caubère (Joseph Pagnol)@Nathalie Roussel (Augustine)@Didier Pain (Oncle Jules)@Thérèse Liotard (Tante Rose)@Joris Molinas (Lili des Bellons)@Victorien Delamare (Paul)@Pierre Maguelon (François)@Paul Crauchet (Mond des Parpaillouns)@Jean-Pierre Darras (Marcel Pagnol (voix))@Jean Rougerie (Bergougnas)@Philippe Uchan@||Secrets de tournage :
Le rôle d'une vie
La Gloire de mon Père et son second volet Le Château de ma Mère (1990) sont les deux seuls films de leur interprète principal Julien Ciamaca.
La gloire de Pagnol
Le film est adapté des souvenirs d'enfance de Marcel Pagnol qu'il rédigea en l'espace de trois ans à travers trois ouvrages : La Gloire de mon Père (1957), Le Château de ma Mère (1958) et Le Temps des Secrets (1960). L'auteur avait le projet de les porter lui-même à l'écran mais il n'en eut pas le temps. Yves Robert s'intéressa au sujet dès 1963 mais l'obtention des droits d'auteur mit de longues années. Il réalisa La Gloire de mon Père et Le Château de ma Mère en même temps, le second sortant le 26 octobre 1990.
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Call Me: The Rise and Fall of Heidi Fleiss|Charles McDougall|Drame|||Etats-unis|2004|80|||XviD|||XVID|1 071 Kbps|576x320|MPEG-1 Audio layer 3|129 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|||||||Lorsque la jeune Heidi Fleiss rachète une entreprise de call girls qui compte parmi ses clients les plus grandes stars d'Hollywood, elle décide d'utiliser le sexe pour se frayer un chemin vers la célébrité. Mais, trahie et trompée, Heidi verra son univers de luxe et de gloire basculer du jour au lendemain. |||||||||||||@@
War of the Worlds|Steven Spielberg|Fantastique||2|américain|2005|111|Anglais||DX50|||DX50|770 Kbps|528x272|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Colin Wilson Kathleen Kennedy|David Koepp Josh Friedman|Janusz Kaminski||Paramount Pictures||Ray Ferrier est un docker divorcé et un père rien moins que parfait, qui n'entretient plus que des relations épisodiques avec son fils Robbie, 17 ans, et sa fille Rachel, 11 ans. Quelques minutes après que son ex-femme et l'époux de cette dernière lui ont confié la garde des enfants, un puissant orage éclate. Ray assiste alors à un spectacle qui bouleversera à jamais sa vie... |Tom Cruise (Ray Ferrier)@Dakota Fanning (Rachel Ferrier)@Justin Chatwin (Robbie Ferrier)@Miranda Otto (Mary Ann Ferrier)@Tim Robbins (Harlan Ogilvy)@Rick Gonzalez (Vincent)@Yul Vazquez (Julio)@Lenny Venito (Manny le mécanicien)@Lisa Ann Walter (la barmaid)@David Alan Basche (Tim)@Ann Robinson (la grand-mère)@Gene Barry (le grand-père)@Morgan Freeman (la voix du narrateur)@Channing Tatum (Un garçon dans la scène de l'église)@||Secrets de tournage :
Adapté de H.G. Wells
La Guerre des mondes est l'adaptation du roman fantastique écrit en 1898 par le Britannique Herbert George Wells, maître de la science-fiction (L'Homme invisible, La Machine à remonter le temps, L'Ile du Dr. Moreau). La Guerre des mondes fut l'un des premiers ouvrages de science-fiction, mais aussi l'un des premiers romans à aborder le thème de l'invasion extra-terrestre. Ce thème allait, par la suite, inspirer bon nombre de cinéastes parmi lesquels Roland Emmerich (Independence Day), Tim Burton (Mars Attacks!) et... Steven Spielberg, avec E.T. l'extraterrestre et Rencontres du 3e type.
Un projet vieux de dix ans
C'est au milieu des années 90 que Steven Spielberg eut l'idée d'adapter le roman d'H.G. Wells. Mais la sortie, en 1996, d'Independence Day, long-métrage abordant le même thème de l'invasion extra-terrestre, l'incita à mettre de côté le projet. Après Minority report, Spielberg parla dudit projet à Tom Cruise, qui lui rendait visite sur le plateau d'Arrête-moi si tu peux, et les deux hommes en vinrent rapidement à conclure que leur prochain film commun serait La Guerre des mondes. Trois ans plus tard, le rêve devenait réalité...
La seconde version sur grand écran
La Guerre des mondes de Steven Spielberg n'est pas l'unique adaptation cinématographique du roman de H.G. Wells. En 1954, Byron Haskin y allait de sa Guerre des mondes, avec Gene Barry et Ann Robinson en vedettes. Une autre version a été tournée par Timothy Hines : sortie directement en DVD au mois de juin 2005, cette Guerre des mondes, très fidèle au roman d'origine, est portée par des comédiens peu connus du grand public. Mais lors du lancement du projet en 2001, Michael Caine, Charlize Theron et Eric Stoltz reçurent et déclinèrent une offre pour jouer dans le film.
Cruise/Spielberg : deuxième !
La Guerre des mondes marque la seconde collaboration, à nouveau dans le genre de la science-fiction, du réalisateur Steven Spielberg et du comédien Tom Cruise, trois ans après Minority report. Au sujet de ce dernier, le cinéaste déclare : "Nous nous connaissons déjà depuis de longues années, mais cela a créé entre nous une nouvelle relation. Tom est un associé créatif, d'une rare intelligence, qui vous apporte des idées formidables. Le courant passe admirablement entre nous. J'adore travailler avec lui."
Mirando Otto enceinte
L'actrice australienne Miranda Otto était de passage à Los Angeles lorsque son agent l'informa que Steven Spielberg souhaitait la rencontrer. Enceinte, elle craignait de devoir refuser son offre, mais elle découvrit que cette grossesse (amplifiée à l'écran) serait un atout supplémentaire, un élément propre à étoffer - et compliquer encore un peu plus - les relations entre Ray et son ex-femme, Mary Ann.
Gene Barry et Ann Robinson au générique
Fan de la version réalisée en 1953 par Byron Haskin, Steven Spielberg demanda aux deux stars de ce film, Gene Barry - qu'il avait dirigé à ses débuts dans Les Règles du jeu - et Ann Robinson, de faire une petite apparition dans sa propre Guerre des mondes.
De la 3D pour les story-boards
Steven Spielberg s'est fait par avance une idée extrêmement précise des lieux et décors-clés du film en ayant recours, depuis le début de la préproduction, à de l'animation en 3D - équivalents numériques et animés de story-boards qui ne "pré-visualisent" pas seulement l'univers général de la scène mais chacune de ses composantes futures : décor, personnages, position des caméras, etc. C'est une visite à son ami George Lucas qui persuada le réalisateur de tirer profit de cette technique.
Lieux de tournage
Le tournage débuta dans la petite communauté d'Ironbound. C'est sur ce site que l'équipe technique, les comédiens et quelques centaines de figurants ont participé à la première confrontation de Ray avec un Tripode.
A Lexington, modeste bourgade qui abrite l'Université Washington and Lee et l'Institut Militaire de Virginie, un vallon niché entre les collines offrit un décor de rêve pour la première partie de la séquence dite de la "Guerre de la Vallée".
Après avoir regagné la côte ouest, l'équipe a repris le travail dans la région de Los Angeles, notamment à Piru où a été filmée la deuxième partie de cette séquence, et à Mstery Mesa, à quelques 90 km au nord de Los Angeles.
Une petite colline des studios Universal a été entièrement aménagée et "habillée" pour le crash dévastateur d'un 747.
Le projet avorté d'Orson Welles
En 1938, le réalisateur Orson Welles (Citizen Kane) terrifie l'Amérique en répandant sur les ondes du pays la nouvelle selon laquelle les extra-terrestres sont sur le point de débarquer sur Terre. Un gigantesque canular inspiré de La Guerre des mondes, le roman de son (presque) homonyme H.G. Wells. Un canular qui allait également lui donner l'envie d'adapter l'ouvrage sur grand écran. Mais le projet, difficile à mettre en place, fut finalement abandonné.
Deux siècles plus tard...
A la différence du roman d'H.G. Wells, qui situait l'action de son histoire au 19e siècle, le film La Guerre des mondes voit son action prendre place au 21e siècle. En revanche, malgré ces deux siècles de différence, la trame scénaristique reste la même.
« Préc.
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Fist of the North Star|Tony Randel|Action||1|Etats-unis|1995|88|Anglais||DIV3|||DIV3|717 Kbps|512x368|AC3|224 Kbps|False|48.0 KHz|2|600||||25.000|27/08/2009 00:00:00||Tony Randel|Jacques Haitkin||||Ken, le dernier héritier de l'école de Vega, erre dans le désert à la recherche de sa bien-aimée, Julia, kidnappée par Shin, son ennemi juré. Celui-ci lui a laissé 7 cicatrices sur la poitrine. Tournant le dos à sa destinée de chevalier de Vega, Ken rencontre la petite aveugle Lynn... |Gary Daniels (Kenshiro)@Malcolm McDowell (Ryuken)@Costas Mandylor (Lord Chin)@Downtown Julie Brown (Charlie)@Melvin Van Peebles (Asher)@William L. Nagle (Miner)@Clint Howard (Stalin)@Chris Penn (Jackal)@Tracey Walter (Paul McCarthy)@Nils Allen Stewart (Zeed)@George Cheung (Neville)@||||||||||||@@
Tarzan & Jane (v)|Victor Cook Steve Loter|Animation||2|américain|2001|72|Anglais||DX50|||DX50|1 114 Kbps|640x368|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|648||||25.000|28/07/2009 00:00:00|||||||Alors qu'approche le premier anniversaire de leur rencontre, Jane recherche le cadeau idéal pour Tarzan, aidée par les inséparables Terk et Tantor. Comme ils se remémorent leurs nombreuses aventures communes, Jane réalise combien cette année au coeur de la jungle a été excitante : rencontre d'anciens amis, combat avec les panthères... |Michael T. Weiss (Tarzan (voix))@Olivia d'Abo (Jane Porter (voix))@Jeff Bennett (le professeur Porter (voix))@Jim Cummings (Tantor (voix))@Alexis Denisof (Nigel Taylor (voix))@Kevin Michael Richardson (Merkus (voix))@Nicollette Sheridan (Eleanor (voix))@April Winchell (Tok (voix))@||||||||||||@@
The Legend of Zorro|Martin Campbell|Aventure||3|américain|2005|127|Anglais||XviD|||XVID|602 Kbps|592x252|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Walter F. Parkes Laurie MacDonald Lloyd Phillips|Roberto Orci Alex Kurtzman Ted Elliott Terry Rossio|Phil Meheux||Columbia Pictures|Saga : Zorro / Banderas |En 1850, la Californie aspire à devenir le 31e Etat de l'Union, mais les membres de la mystérieuse confrérie médiévale des Chevaliers d'Aragon sont décidés à l'en empêcher par tous les moyens... Les paysans doivent aussi se défendre contre Jacob McGivens, qui s'empare de leurs terres par la force. Seul Zorro pourrait intervenir...
Joaquin, le fils de Don Alejandro de la Vega et de son épouse Elena, a aujourd'hui 10 ans et ignore tout de l'identité secrète de son père. Elena voudrait qu'Alejandro abandonne ses activités de justicier pour se consacrer enfin à sa famille. Lorsque face à l'urgence, il décide néanmoins d'enfiler le légendaire masque de Zorro, Elena se sent trahie et demande le divorce.
Armand, un aristocrate français qui vient de s'installer en Californie, en profite pour faire la cour à la jeune femme... tout en continuant à diriger secrètement les Chevaliers d'Aragon... |Antonio Banderas (Alejandro De La Vega / Zorro )@Catherine Zeta-Jones (Elena De La Vega)@Rufus Sewell (Armand)@Nick Chinlund (Jacob McGivens)@Adrian Alonso (Joaquin De La Vega)@Julio Oscar Mechoso (frère Felipe)@Raúl Méndez (Ferroq)@Gustavo Sanchez Parra (Cortez)@Giovanna Zacarias (Blanca)@Pedro Armendariz (le gouverneur de Californie)@||Secrets de tournage :
Après le masque, la légende !
La Légende de Zorro est la suite du Masque de Zorro, réalisé en 1998 par Martin Campbell. Sept ans après, le réalisateur est fidèle au rendez-vous, tout comme Antonio Banderas dans le rôle du justicier et Catherine Zeta-Jones dans celui de la belle Elena.
Zorro sur petit et grand écran
Sur petit comme sur grand écran, Zorro (créé en 1919 par Johnston McCulley dans son roman Le Fléau de Capistrano) a toujours signé son nom à la pointe de l'épée. Au cinéma, les prestations de Douglas Fairbanks (Le Signe de Zorro, 1920), Tyrone Power (Le Signe de Zorro, 1940), Alain Delon (Zorro, 1974) et Antonio Banderas (Le Masque de Zorro, 1998; La Légende de Zorro, 2005), soit deux Américains, un Français et un Espagnol, auront tour à tour marqué l'imaginaire de millions de spectateurs. A la télévision, c'est l'Américain Guy Williams qui aura incarné, de 1957 à 1959 dans la série Zorro, le célèbre justicier masqué.
Zorro : aventurier, justicier et humain...
Martin Campbell, le réalisateur du Masque de Zorro et de La légende de Zorro, donne sa vision du célèbre justicier masqué : "Il est le héros du peuple, il protège les gens simples. Rares ont été les héros à agir ainsi avant lui. Il n'a pas de pouvoir spécial, aucun gadget, et seules ses qualités propres et son intelligence le rendent redoutables. Il est capable de choses extraordinaires avec une épée et un fouet, mais ce qui fait sa particularité, c'est avant tout qu'il s'agit d'un homme de chair et de sang, pas d'un héros totalement déconnecté de la réalité comme on en voit beaucoup de nos jours." Pour la productrice Laurie MacDonald, Zorro "est avant tout un être humain, qui affronte les mêmes doutes et les mêmes obstacles que nous." Enfin, Antonio Banderas insiste sur le fait que son personnage est là pour "préserver de l'injustice" le peuple californien dont il est lui-même issu.
Zorro se bat pour son couple
La Légende de Zorro entraîne le spectateur plus loin dans l'histoire de Zorro. Dix ans se sont écoulés, Alejandro De La Vega et Elena sont mariés et parents d'un petit garçon. La productrice Laurie MacDonald s'exprime sur cette évolution : "L'un des défis de la nouvelle aventure était que nous avions marié nos héros à la fin du premier film. Dix ans après, ils sont heureux, mais les problèmes ne sont pas loins... La fissure est là. Les soucis personnels de Zorro et d'Elena ont été développés et approfondis pour donner naissance à une autre dimension dramatique." Le producteur Walter F. Parkes va plus loin : "Ce qui se produit entre Zorro et Elena dans La Légende de Zorro s'inspire des grandes histoires d'amour classiques. On pense à ces grandes romances dans lesquelles le héros et l'héroïne ne peuvent vivre ensemble et sont pourtant incapables de vivre séparés... C'est non seulement une trame de narration puissante, mais cela donne un coup de fouet à l'énergie romantique qui existe entre eux."
Banderas enthousiaste
Antonio Banderas, qui retrouve le costume de Zorro, s'est engagé dans cette nouvelle aventure car il y a retrouvé tous les ingrédients du premier film. Il raconte : "Il y avait la comédie et l'humour, essentiels à ce type de films, des dialogues vifs, et beaucoup d'aventure. Sachant que Martin Campbell et une bonne partie de l'équipe du premier film reprenaient les commandes, il était évident que ce serait passionnant."
Rufus Sewell en méchant français
Le "méchant" de La Légende de Zorro, un aristocratique français qui essaie d'entraver le développement de l'Amérique, est incarné par le Britannique Rufus Sewell, comédien assez rare sur grand écran et particulièrement éclectique lorsqu'il s'y distingue (Hamlet, Dark City, Chevalier). Il explique ce qui l'a attiré dans le projet : "L'idée de jouer à nouveau un méchant après Chevalier ne m'attirait pas trop, jusqu'à ce que j'en discute avec Martin Campbell. Armand n'est pas un méchant ordinaire. C'est un idéaliste, un soldat. Il est entièrement dévoué à sa cause... Il se trouve simplement que c'est une mauvaise cause."
Trouver le fils de Zorro
Un casting international, de Londres à Miami, en passant par l'Espagne, New York et Mexico, a été organisé pour trouver le jeune acteur qui jouerait Joaquin, le fils de Zorro. Le choix de la production s'est finalement porté sur un jeune Mexicain de dix ans, quasiment novice dans le métier, répondant au nom d'Adrian Alonso. Toute l'équipe a vité été séduite par le comédien en herbe, et notamment Catherine Zeta-Jones, qui ose une comparaison plus que flatteuse : "Martin Campbell a trouvé une perle rare pour jouer Joaquin. Adrian pourrait être un nouveau Marlon Brando s'il le voulait... Il a un naturel formidable, il ne joue pas, il est. C'est déjà difficile de dire à un adulte d'être naturel devant la caméra, ça l'est encore plus avec un enfant. Et il parlait à peine anglais, il m'a stupéfiée. Martin le dirigeait en mimant, et ça marchait remarquablement." Antonio Banderas emboîte le pas de l'actrice : "Adrian a un fantastique sens du rythme, du timing. Il est très drôle, il comprenait parfaitement le genre d'humour du film, ce qui n'est pas évident pour un garçon de son âge."
Encore plus d'action que dans le premier film !
Martin Campbell, spécialiste du film d'action (GoldenEye, Vertical Limit, Le Masque de Zorro) a tenu à rendre La Légende de Zorro encore plus spectaculaire que le premier volet. Il explique : "Les séquences de combat sont beaucoup plus développées en termes de duels à l'épée, et il y a une scène impressionnante sur un train vers la fin du film. Le film comprend tant de scènes d'action qu'il a fallu une énorme préparation pour la première comme pour la deuxième équipe. Tout a du être storyboardé très précisément, préparé en amont, planifié et répété."
Tournage californien... au Mexique !
L'histoire de La Légende de Zorro se déroule en Californie, mais le film a été entièrement tourné au Mexique, dans la ville de San Luis Potosi, car il était impossible de représenter la Californie du 18e siècle dans la Californie d'aujourd'hui. Durant le tournage au Mexique, la production a souffert des variations climatiques, et notamment de violents orages qui forcèrent l'équipe du film a être particulièrement vigilante. Catherine Zeta-Jones se souvient : "Pendant toute une semaine, nous nous sommes bagarrés avec la pluie. Chaque fois que nous étions prêts à tourner, on entendait le tonnerre au loin, et quelques secondes plus tard, il se mettait à tomber des pluis torrentielles."
Une histoire de titres
Avant d'opter finalement pour le titre La Légende de Zorro, la production a successivement nommé le long-métrage Le Masque de Zorro 2, Zorro démasqué, Zorro 2 et Le Retour de Zorro.
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Hong Xiguan zhi Shaolin wu zu|Jing Wong Corey Yuen|Arts Martiaux||2|hong-kongais|1994|79|||XviD|||XVID|1 112 Kbps|720x416|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Helen Li Wai Sum Shia|Jing Wong|Tom Lau||Lolistar||En Chine, Hung Xi Guan, un moine Shaolin désespéré par la mort de sa famille, se révolte contre l'autorité impériale. Avec son jeune fils, qu'il initie aux arts martiaux, il se lance à la recherche des meurtriers. |Jet Li (Hung Xi Guan)@Chingmy Yau Suk-Ching@Chen Sung-Yung (Mai Kai-Sin)@Chuen-Hua Chi (Ma Ling-Yee)@Damian Lau (Chan Kan-Nam)@||Secrets de tournage :
Retrouvailles Jet Li- Jing Wong
Tourné en 1994, La légende du dragon rouge marque la troisième collaboration de Jet Li avec le metteur en scène Jing Wong, qui l'avait déjà dirigé en 1993 dans Deadly China hero et dans The Evil cult.
Chorégraphies signées Corey Yuen
Les chorégraphies virevoltantes de La légende du dragon rouge sont signées Corey Yuen, l'un des maîtres en la matière de Hong Kong, qui a notamment travaillé sur Zu, les guerriers de la montagne magique de Tsui Hark avant de travailler à Hollywood sur L'Arme fatale 4, Roméo doit mourir et Le Baiser mortel du dragon et de co-réaliser Le Transporteur avec Louis Leterrier.
Différents titres
Comme souvent pour d'anciens films asiatiques déjà distribués en vidéo, La légende du dragon rouge est connu sous différents titres notamment aux Etats-Unis, de Legend of the red dragon à New Legend of Shaolin en passant par Legend of the future Shaolin et Shaolin's five founders.
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Ye Yan|Feng Xiaogang|Action||2|chinois|2006|125|Mandarin||DX50|||DX50|321 Kbps|624x352|AC3|448 Kbps|True|48.0 KHz|6|699||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Yuen Woo-Ping|Feng Xiaogang Tai An-Ping Chiu|Li Zhang||||L'Empereur, l'Impératrice, le Prince, le Ministre et le Général se rendent à un banquet organisé la nuit et où chacun aimerait voir mourir ses ennemis. |Ge You (Empereur Li)@Xiaoming Huang (Le fils du Ministre)@Jingwu Ma (Le Ministre)@Daniel Wu (Le Prince Wu Luan)@Zhang Ziyi (L'impératrice Wan)@Xun Zhou (Qinq Nu)@Zhou Zhonghe (chamberlain)@Zeng Qiusheng (Governer Pei Hong)@Xu Xiyan (Ling)@Liu Yanbin (Messenger)@Xiang Bin (Imperial Guard)@Chunyu Zheng (Imperial Guard)@||||||||||||@@
The Green Mile|Frank Darabont|Fantastique|Interdit aux moins de 12 ans|4|américain|2000|180|Anglais||DIV3|||DIV3|426 Kbps|352x288|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|682||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Frank Darabont David Valdes|Frank Darabont|David Tattersall||United International Pictures (UIP)||Paul Edgecomb, pensionnaire centenaire d'une maison de retraite, est hanté par ses souvenirs. Gardien-chef du pénitencier de Cold Mountain en 1935, il était chargé de veiller au bon déroulement des exécutions capitales en s'efforcant d'adoucir les derniers moments des condamnés. Parmi eux se trouvait un colosse du nom de John Coffey, accusé du viol et du meurtre de deux fillettes. Intrigué par cet homme candide et timide aux dons magiques, Edgecomb va tisser avec lui des liens très forts. |Tom Hanks (Paul Edgecomb )@David Morse (Brutus Howell )@Gary Sinise (Burt Hammersmith )@Bonnie Hunt (Jan Edgecomb )@James Cromwell (Warden Hal Moores )@Michael Clarke Duncan (John Coffey )@Michael Jeter (Eduard 'Del' Delacroix )@Doug Hutchison (Percy Wetmore)@Sam Rockwell (William 'Wild Bill' Wharton )@Harry Dean Stanton (Toot-Toot )@Graham Greene (II) (Arlen Bitterbuck )@Barry Pepper (Dean Stanton)@Jeffrey DeMunn (Harry Terwilliger)@Patricia Clarkson (Melinda Moores)@Eve Brent (Elaine Connelly)@William Sadler (Klaus Detterick)@Paula Malcomson (Marjorie Detterick)@Rachel Singer (Cynthia Hammersmith)@||Secrets de tournage :
Michael Clarke Duncan (John Coffey) :
Doté d'un physique hors-normes (2,10 m pour 165 kg), Michael Clarke Duncan est apparu aux côtés de Bruce Willis dans Armageddon (Michael Bay,1998) et dans Breakfast Club (Alan Rudolph, 1999).
Il a également joué dans Une Nuit au Roxbury (John Fortenberry et Peter Markle, 1998).
En 2000, Michael Clarke Duncan est à l'affiche de Bullworth (de Warren Beatty) et de The Whole Nine Yards (de Jonathan Lynn).
James Cromwell (le directeur Hal Moores) :
Outre sa prestation dans Babe (Chris Noonan, 1995) et Babe-Le Cochon dans la Ville (George Miller, 1998), James Cromwell est notamment apparu dans Romeo is Bleeding (Peter Medak, 1993), L'Effaceur (Chuck Russell, 1996), Larry Flynt (Milos Forman, 1996) et L.A. Confidential (Curtis Hanson, 1997).
David Morse (Brutus «Brutal» Howell) :
Les amateurs de thrillers ont pu apprécier ses prestations dans Desperate Hours (Michael Cimino, 1990), Guet-Apens (Roger Donaldson, 1994), The Crossing Guard (Sean Penn, 1995), Au Revoir, à Jamais (Renny Harlin, 1996), Rock (Michael Bay, id.) et Mesures D'Urgence (Michael Apted, id.).
David Morse a pu également retenir l'attention des inconditionnels de science-fiction, puisqu'il est apparu dans L'Armée des Douze Singes (Terry Gilliam, 1995) et Contact (Robert Zemeckis, 1997).
Terence Marsh, chef décorateur :
Cet ancien directeur artistique a signé les décors de Terreur sur le Britannic (Richard Lester, 1974), Le Piège (John Huston, 1973), Absence de Malice (Sydney Pollack, 1981), Havana (id., 1990), Basic Instinct (Paul Verhoeven, 1992) et Danger Immédiat (Phillip Noyce, 1994).
Terence Marsh a également été chargé de l'élaboration des décors des Evadés (Frank Darabont, 1994) et du Témoin du Mal (Gregory Hoblit, 1998).
Une réalité recréée en studio :
Frank Darabont souhaitait un décor à mi-chemin entre la réalité et la fantasmagorie.
Pour répondre aux attentes du réalisateur, le chef décorateur, Terence Marsh, s'est inspiré de l'ancien pénitencier d'Etat du Tennessee. Ce lieu, sombre et exigu, a servi de décor à La Dernière Marche de Bruce Beresford. Terence Marsh a ensuite recréé l'ensemble en studio, y apportant la touche de mystère et de mysticisme que recherchait Frank Darabont.
Frank Darabont, réalisateur :
Réalisateur de deux téléfilms et d'un court métrage, Frank Darabont a mis en scène Les Evadés en 1994.
Il réalise, avec La Ligne Verte son deuxième long métrage.
Par ailleurs, Frank Darabont est scénariste. Il a signé les scripts de The Blob (Chuck Russell, 1988) et de Frankestein (Kenneth Branagh, 1994), ainsi que ceux de ses deux longs métrages.
Stephen King compare Les Evadés et La ligne Verte :
Les Evadés, tout comme La Ligne Verte, est adapté d'un roman de Stephen King.
«Pour l'écrivain, The Shawshank Redemption (Les Evadés) était (...) une histoire plus optimiste. Celle-ci se rapproche de mes contes étranges. Mais on y trouve aussi l'idée que l'esprit humain est susceptible de triompher des rudes épreuves, et même d'être stimulé par elles. »
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The League of Extraordinary Gentlemen|Stephen Norrington|Fantastique||2|américain, danois|2003|108|||DX50|||DX50|757 Kbps|624x256|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|691||||23.976|27/08/2009 00:00:00|Don Murphy|James Robinson|Dan Laustsen||UFD||L'aventurier Allan Quatermain dirige la Ligue des Gentlemen Extraordinaires, association de sept super-héros légendaires, comprenant le mystérieux Capitaine Nemo, la femme vampire Mina Harker, l'invisible Rodney Skinner, le jeune et intrépide agent secret américain Tom Sawyer, l'inaltérable Dorian Gray et l'inquiétant duo Jekyll / Hyde. Venus des horizons les plus divers, les membres de la Ligue sont de farouches individualistes, des exclus au passé ténébreux et agité, dont les facultés hors normes constituent à la fois un atout et une malédiction.
Réunis dans des circonstances exceptionnelles, ils doivent en peu de temps nouer des rapports de confiance, apprendre à fonctionner en équipe. Après avoir embarqué à bord du Nautilus, ils gagnent Venise, où leur adversaire, le diabolique Fantôme, se prépare à saboter une conférence réunissant les plus grands chefs d'Etat... |Sean Connery (Alan Quatermain)@Shane West (Tom Sawyer)@Stuart Townsend (Dorian Gray)@Peta Wilson (Mina Harker)@Naseeruddin Shah (le capitaine Nemo)@Tony Curran (Rodney Skinner / l'Homme invisible)@Jason Flemyng (le docteur Henry Jekyll et Mister Hyde)@Richard Roxburgh (M)@Max Ryan (Dante Aligheri)@||Secrets de tournage :
L'adaptation d'un comic-book
La Ligue des Gentlemen Extraordinaires est adapté d'un comic-book d'Alan Moore. C'est la seconde fois que le septième art adapte l'une des bandes-dessinées du britannique, deux ans après From Hell, qui évoquait les méfaits de Jack l'Eventreur. A noter que le comédien Jason Flemyng est à l'affiche de ces deux longs-métrages.
Sept super-héros de légende au générique !
La Ligue des Gentlemen Extraordinaires met en vedette sept super-héros de légende emmenés par le plus grand d'entre eux, l'aventurier Allan Quatermain (Sean Connery), intrépide chasseur et lutteur, dôté d'une très grande expérience. Autour de lui, on retrouve :
Le Capitaine Nemo (Naseeruddin Shah), navigateur rebelle à la fois savant, ingénieur, inventeur et pirate.
La guerrière Mina Harker (Peta Wilson), terrifiante créature de la nuit, unique survivante d'un fléau qui s'abbatit sur Londres.
L'homme invisible Rodney Skinner (Tony Curran).
L'aristocrate Dorian Gray (Stuart Townsend), individu à l'exceptionnelle puissance physique qui commanda un jour un portrait de son visage pour que celui-ci vieilisse à sa place.
Le turbulent agent Tom Sawyer (Shane West), qui fut tantôt détective, tantôt chasseur de trésor sur le fleuve Mississipi, et qui se trouve désormais au sein de la Ligue.
L'inquiétant double-personnage Dr. Jekyll / Mr. Hyde (Jason Flemyng).
La Ligue selon Stephen Norrington
Le réalisateur Stephen Norrington, cinq ans après Blade, livre avec La Ligue des Gentlemen Extraordinaires une nouvelle épopée fantastique. Pour lui, "la Ligue se compose de super-héros avant la lettre, qui possèdent à la fois des dons surnaturels et des vertus humaines telles que le courage, l'honneur, la loyauté et l'abnégation. C'est la somme de ces qualités qui leur permettra de combattre le péril technologique incarné par le Fantôme. L'histoire, traitée avec humour et fantaisie, illustre les dangers représentés par des hommes ou des nations qui se croient invincibles et s'arrogent tous les droits."
Le super-héros oublié
Le personnage de l'agent des Renseignements britanniques Campion Bond devait, à l'origine, faire partie de la Ligue des Gentlemen Extraordinaires. Après avoir été intégré dans les premières versions du script, il a été totalement mis à l'écart pour rejoindre la Ligue dans une eventuelle suite.
Tom Sawyer, seul américain de la bande
Le personnage de Tom Sawyer n'existait pas dans le comic-book d'Alan Moore, qui n'avait réunit que des grandes figures de la littérature fantastique britannique dans son oeuvre. Il a été rajouté par les studios qui pensaient que sans un héros américain dans la Ligue, le public américain ne suivrait pas.
Le départ de Monica Bellucci
Le personnage de Mina Parker, interprété par Peta Wilson, devait à l'origine être tenu par Monica Bellucci. La comédienne d'origine italienne ne put honorer son engagement en raison d'une incompatibilté d'emploi du temps.
Des moyens considérables
Afin de donner à La Ligue des Gentlemen Extraordinaires toute sa dimension visuelle, d'énormes moyens matériels ont été mis en place. Pas moins de 58 décors grandeur nature, de très nombreux modèles réduits et effets visuels et trois gigantesques maquettes de Venise, Londres et Paris ont ainsi été créés. Un effort particulier fut également livré pour concevoir le Nautilus, l'impressionnant vaisseau du Capitaine Nemo.
Jason Flemyng transfiguré
Pour incarner Mr. Hyde, le double maléfique du Docteur Jekyll, l'acteur Jason Flemyng dut se plier à une transformation particulièrement impressionnante. Mesurant moins d'1,80 m dans la vie, il revêtit un costume prosthétique de de 2,70m pour un poids de 22 kilos, équipé d'énormes bras actionnés par divers leviers et ressorts.
Un tournage mouvementé
Le tournage de La Ligue des Gentlemen Extraordinaires, dont l'action est censée se dérouler à Londres, se tint en majeure partie à Prague (tout comme celui de From Hell, autre film adapté d'Alan Moore). Il dura plus longtemps que prévu en raison des innondations dont fut l'objet la capitale Tchèque au cours de l'été 2002. Des conditions météorologique extrêmes qui détruisirent une partie des plateaux, soit l'équivalent de sept millions de dollars de pertes.
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Righteous Kill|Jon Avnet|Policier||2|américain|2008|99|Anglais||DX50|||DX50|864 Kbps|640x352|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|44.1 KHz|2|698||||24.253|27/08/2009 00:00:00|Jon Avnet Randall Emmett Avi Lerner Alexandra Milchan Daniel Rosenberg Rob Cowan Boaz Davidson George Furla Lati Grobman|Russell Gewirtz|Denis Lenoir||Metropolitan FilmExport||Après avoir passé trente ans ensemble dans la police de New York, les détectives Turk et Rooster sont prêts à tout, sauf à prendre leur retraite. Peu avant leur départ, plusieurs criminels ayant échappé à la justice sont assassinés selon un mode opératoire qui rappelle celui d'un serial-killer que les deux enquêteurs ont mis sous les verrous plusieurs années auparavant. Une insupportable question se pose alors : Turk et Rooster se seraient-ils trompés ?L'officier Karen Corelli s'interroge, et les détectives Perez et Riley espèrent résoudre l'affaire avant Turk et Rooster. Très vite, le lieutenant Hingis, leur chef, commence à craindre qu'un policier ne soit impliqué. C'est le début d'une enquête à hauts risques... |Robert De Niro (Turk)@Al Pacino (Rooster)@Curtis "50 Cent" Jackson (Spider)@Carla Gugino (Karen Kleisner)@John Leguizamo (Inspecteur Perez)@Donnie Wahlberg (Inspecteur Riley)@Brian Dennehy (Lieutenant Hingus)@Dan Futterman (Un avocat)@Trilby Glover (Jessica)@Rob Dyrdek (Un voyou)@Frank John Hughes (Randall)@Shirly Brener (Natalya)@Alan Blumenfeld (Inspecteur Baum)@Katie Chonacas (Shelly)@Adrian Martinez (Glenn)@Saidah Arrika Ekulona (Gwen Darvis)@Liza Colon-Zayas (Angel Rodriguez)@Quinton Aaron (Le garde-du-corps de Spider)@Les Chantery (Un avocat)@Edrick Browne (Un tueur)@Jim Jones (Jim Jones)@Tyrone Smith (Fly Ty)@Shalaya Patty Ford (Latasha)@Bryan Chatlien (Ellis Lynde)@John Cenatiempo (Joseph Cianci)@||Secrets de tournage :
De Niro et Pacino : un duo au sommet
Les fans de Robert De Niro et Al Pacino seront aux anges, puisque ces deux monstres sacrés d'Hollywood se donnent enfin la réplique pendant près de 90 minutes de film. Partageant l'affiche du Parrain, 2e partie mais n'ayant aucune scène en commun, ces deux Italo-américains formés à l'Actors' Studio ont eu l'occasion de s'échanger quelques lignes de dialogue dans le polar d'action Heat, mais le réalisateur Michael Mann avait pris soin de ne pas les inclure dans un même plan afin d'entretenir le mystère sur cette confrontation. La Loi et l'ordre tombe donc à point nommé pour mettre fin à dix bonnes années de frustration.
Ecrit par le scénariste de "Inside Man"
Le scénario de La Loi et l'ordre est signé Russell Gewirtz, très courtisé depuis qu'il a écrit le script de Inside Man. Ce dernier confie : "Quand le scénario est arrivé entre les mains de Jon Avnet puis de Robert De Niro, je me suis dit que le film allait être fantastique. Et quand Al Pacino a rejoint le projet, j'ai su que ça allait être carrément énorme !"
L'accord de deux monstres sacrés
Selon l'agent artistique Bryan Lourd de CAA (Creative Artists Agency), il s'agissait d'un scénario taillé sur mesure pour Robert De Niro. "Comme j'ai toujours voulu travailler avec lui, explique Jon Avnet, j'ai lu le script, et je me suis aperçu qu'il avait tout à fait raison. Je suis donc allé à New York pour rencontrer Bob, faire une lecture avec lui et voir si le courant passait bien entre nous." "C'était très excitant d'entendre Robert lire son rôle, poursuit le cinéaste. Je le trouvais parfait, et de son côté il se sentait bien dans son personnage. Juste après cela, je lui ai demandé quel acteur il rêverait d'avoir dans le rôle de son partenaire. Il a immédiatement répondu Al Pacino."
Al Pacino confie pour sa part : "Je suis assez exigeant avec les projets qu'on me propose et je prends toujours le temps de réfléchir avant d'en accepter un. Cette fois-ci, c'était un peu différent. J'étais très nerveux en lisant le scénario pour la première fois parce que je mourais d'envie de travailler avec Robert et Jon, c'était une occasion absolument unique. Par chance, l'histoire était vraiment excellente, j'ai donc donné très vite mon accord."
Après "88 minutes"...
Pour l'occasion, Al Pacino retrouve le cinéaste Jon Avnet qui l'avait dirigé deux ans plus tôt dans le thriller 88 minutes.
Jon Avnet vu par De Niro et Pacino
"Jon adore utiliser tout ce que nous faisons, la moindre nuance l'intéresse, raconte Robert De Niro. Il encourage l'interaction et observe chacun de nos gestes. Il exploite tout notre potentiel. Pour les acteurs, cela rend le tournage extrêmement intéressant. Avec lui on ne se sent pas limité, il nous laisse faire ce que nous voulons tout en nous dirigeant avec tact vers le résultat qu'il veut obtenir."
Pour sa part, Al Pacino confie : "J'ai beaucoup aimé travailler avec Jon sur 88 minutes. Nous sommes devenus des amis sur ce tournage. Quand on m'a donné le scénario en me disant que Robert allait jouer dans le film, j'aurais accepté même sans le lire parce que je savais que cela allait être une expérience fantastique."
Un célèbre skateur comme victime
Pour interpréter l'une des premières victimes de La Loi et l'ordre, Jon Avnet a engagé le skateur Rob Dyrdek de l'émission télévisée de MTV, Rob & Big. Le réalisateur commente : "Il n'avait aucune véritable expérience d'acteur mais après l'avoir rencontré, je me suis dit qu'il était capable de jouer ce rôle. Je lui ai fait confiance. Je tenais beaucoup à cette idée de maquereau skateur, je trouvais ça très original."
Rob Dyrdek se souvient : "Jusqu'à ce que j'arrive sur le plateau, je n'arrivais pas à croire que j'allais jouer dans un film avec deux des plus grandes stars de cinéma de tous les temps. Une fois sur place, j'étais là, étendu par terre, avec une balle dans la tête sous un soleil brûlant, du sang partout et les yeux fermés. Je me sentais comme allongé sur une plage avec au-dessus de moi Robert De Niro et Al Pacino dans le rôle de Dieu en train de me demander "T'es prêt, gamin ?". C'était complètement surréaliste. J'étais vraiment très content de faire le cadavre, sans cela je n'aurais jamais pu écouter ces deux acteurs de légende en train de discuter au-dessus de moi du trou que j'avais dans la tête !"
Un ancien enquêteur de la police de New York comme consultant
Pour plus d'authenticité, la production a engagé Neil Carter, un ancien enquêteur de la police de New York devenu consultant pour le cinéma et la télévision après 24 ans de carrière. L'ancien policier a rencontré pour la première fois le scénariste Russell Gewirtz sur le plateau d'Inside man - l'homme de l'intérieur où il conseillait Spike Lee et Denzel Washington sur tous les aspects relatifs à la police et aux détectives de New York. Neil Carter raconte : "Russell et moi avons beaucoup parlé sur le tournage de ce film. A cause des questions qu'il me posait, j'ai très vite compris qu'il avait déjà une autre histoire en tête. Je ne le savais pas encore, mais c'était La Loi et l'ordre."
Tournage dans le Connecticut
En 36 jours de tournage, l'équipe a surtout filmé à Bridgeport dans le Connecticut, et quelques jours à New Haven, Norwalk, Stamford et Milford. Les deux derniers jours de tournage ont eu lieu à New York, le premier jour à Harlem, le second à Brooklyn. Les avantages fiscaux proposés par l'Etat du Connecticut ont poussé la production à y tourner la plus grande partie du film. L'aide du maire de Bridgeport, John M. Fabrizi, a aussi été déterminante. Grâce à lui, plusieurs endroits de la ville qui est considérée comme le lieu le plus peuplé du Connecticut ont été transformés en rues de New York.
50 Cent impressionné
50 Cent a rencontré pour la première fois Robert De Niro et Al Pacino pendant une lecture. "Sous la table, mes jambes n'arrêtaient pas de trembler, se souvient-il. Ils ont joué dans des films que j'adore, et être dans la même pièce qu'eux était déjà quelque chose d'incroyable. Contrairement à ce que je pensais, c'est très facile de jouer avec eux parce qu'ils vous aident et vous guident dans chaque scène."
De Niro / 50 Cent : un premier rendez-vous manqué
Robert De Niro et le rappeur 50 Cent ont failli se donner la réplique dans un film policier intitulé New Orleans. Le pitch de ce projet qui aurait dû initialement se tourner en février 2007 en Louisiane ? Le voici : Alors qu'il le croyait mort dans les tempêtes de l'ouragan Katrina, un policier (Robert De Niro) découvre que son partenaire a été assassiné. Il décide de mener l'enquête, aidé d'un jeune inspecteur... Ce dernier étant bien sûr incarné par 50 Cent. C'est le réalisateur Tim Hunter, connu pour avoir mis en scène de nombreux épisodes de séries télévisées (Cold Case, Les Experts : Manhattan, Les 4400...), qui était pressenti derrière la caméra. Finalement, Robert De Niro a abandonné ce rôle au profit de Val Kilmer, Tim Hunter a été remplacé par Charles Winkler, l'un des producteurs de Rocky Balboa, et le projet s'intitule dorénavant Microwave Park.
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The Time Machine|Simon Wells Gore Verbinski|Fantastique||2|américain|2002|92|Anglais||DIV3|||DIV3|899 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|140 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Walter F. Parkes David Valdes|David Duncan|Donald McAlpine||Warner Bros.||A New York, en 1899, Alexander Hartdegen, un brillant physicien de l'Université de Columbia, fait la connaissance d'Emma, une charmante demoiselle dont il tombe follement amoureux. Un soir, dans Central Park, il trouve le courage de lui déclarer sa flamme et de lui offrir une bague de fiançailles. Un voleur tente alors de dérober le fameux bijou, mais Emma ne se laisse pas faire. Un coup de feu retentit, la malheureuse s'effondre et meurt dans les bras d'Alexander.Refusant cette triste fatalité, celui-ci consacre tout son savoir et toute son énergie à construire une machine à explorer le temps afin d'altérer le cours des événements et ainsi sauver la vie de sa bien-aimée. Alexander embarque à l'insu de tous pour ce voyage de la dernière chance et se voit bientôt propulsé dans le XXIe siècle. |Guy Pearce (Alexander Hartdegen )@Samantha Mumba (Mara )@Jeremy Irons (l'Uber-Morlock)@Orlando Jones (Vox)@Mark Addy (le docteur David Philby)@Myndy Crist (la joggeuse)@Sienna Guillory (Emma )@Phyllida Law (Mrs. Watchit)@Doug Jones (un espion Morlock)@Max Baker (Le cambrioleur)@||Secrets de tournage :
Un réalisateur épuisé
Simon Wells, le réalisateur de La Machine à explorer le temps - Time machine a du cédé sa place à Gore Verbinski durant les derniers jours de tournage suite à une très grosse fatigue. Il est ensuite revenu pour la phase de post-production.
Une sortie repoussée
Comme bon nombre de films aux Etats Unis, La Machine à explorer le temps - Time machine a vu sa sortie repoussée suites aux attentats du 11 septembre 2001.
Les studios Stan Winston
Les studios de Stan Winston sont responsables de la plupart des effets et des créatures du film. Avant cela Winston avait déjà à son palmarès les dinosaures de Jurassic Park, le monstre de Predator, la reine mère d'Aliens le retour, ou le cyborg de Terminator.
Pearce perdu dans le temps
Guy Pearce a été l'interprète principal d'un autre film qui joue avec la narration temporelle: Memento, un thriller qui remonte le temps pour dévoiler le début d'une énigme mystérieuse.
Samantha Mumba, déjà star
Samantha Mumba, l'interprète de Mara dans le film, est une star de la chanson. Après plusieurs succès en Grande-Bretagne, elle introduit sa musique sur le marché américain. D'origine irlando-zambienne, elle signe avec La Machine à explorer le temps - Time machine son premier film.
Une nouvelle version
Une des différences entre le récit original et cette nouvelle version de La Machine à Remonter le Temps réside dans le fait d'avoir donné au personnage central (anonyme à l'origine) une identité et un nom: Alexander Hartdegen. Personnage interprété par Guy Pearce. Notons également que cette nouvelle adaptation donne à Alexander un motif plus émotionel que purement scientifique (comme c'était le cas dans le roman) de voyager dans le temps: la mort de sa bien aimée, qu'il va désespéremment tenter d'empêcher en fabriquant la fameuse machine.
Un scénariste talentueux
John Logan, le scénariste de La Machine à explorer le temps - Time machine est aussi celui de Gladiator.
Une histoire de famille
Simon Wells, le réalisateur du remake 2002 de La Machine à explorer le temps - Time machine est l'arrière petit fils d'Herbert George Wells, l'auteur du roman sur lequel sont basés les films.
Une première version
Le roman d'H.G. Wells a fait l'objet de plusieurs adaptations, dont celle de George Pal en 1960.
Tim Burton, créateur des Morlocks ?
Le concepteur des 'Morlocks', les créatures souterraines du film, est un certain Tim Burton... A ne pas confondre avec le réalisateur de La Planète des singes.
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The Time Machine|George Pal|Science fiction||3|américain|1961|102|||DX50|||DX50|779 Kbps|640x368|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|649||||23.976|28/07/2009 00:00:00|George Pal|David Duncan|Paul Vogel||Splendor Films||Un scientifique vivant à l'époque victorienne fabrique une machine à voyager dans le temps et voyage loin dans le futur. Il s'aperçoit alors que la race humaine s'est divisée en deux espèces, une vivant à la surface, et l'autre sous terre. Quand sa machine est volée par le peuple souterrain cannibale, il doit risquer sa vie pour retourner dans son époque. |Rod Taylor (George (H.G Wells))@Alan Young (Filby)@Yvette Mimieux (weena)@Sebastian Cabot (Dr. Philip Hillyer)@Rodney Taylor@Whit Bissell@||Secrets de tournage :
Hommage à "La Machine à explorer le temps"
Le générique de début de Retour vers le futur (une succession de plans d'horloges et de montres) est un hommage appuyé à La Machine à explorer le temps (1960) de George Pal, qui débute de la même façon.
Remake 2002
L'arrière petit-fils d'H.G. Wells (l'auteur du roman dont le film est une adaptation), Simon Wells, réalise en 2002 le remake du film de George Pal, La Machine à explorer le temps - Time machine.
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House on the Haunted Hill|William Malone|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|2000|85|||DX50|||DX50|1 011 Kbps|640x336|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|705||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Gilbert Adler Joel Silver Robert Zemeckis|Dick Beebe|Rick Bota||||Le richissime Steven Price décide de fêter l'anniversaire de sa femme infidèle, Evelyn, dans le nouveau parc d'attractions sur le thème de l'horreur et du surnaturel qu'il vient d'inaugurer. A la grande surprise de Price, les personnes qui se présentent ne sont pas celles qu'il a invitées. Inexplicablement, les convives et leurs hotes se retrouvent prisonniers de l'inquiétante demeure. S'agit-il d'un tour macabre ou d'une réalité beaucoup plus effrayante? |Famke Janssen (Evelyn Stockard-Price)@Geoffrey Rush (Steven H. Price)@Bridgette Wilson (Melissa Margaret Marr)@Peter Gallagher (Donald W. Blackburn)@Taye Diggs (Eddie Baker)@Ali Larter (Sara Wolfe)@Chris Kattan (Watson Pritchett)@Max Perlich (Carl Schecter)@Jeffrey Combs (Docteur Richard Benjamin Vannacutt)@James Marsters (un caméraman)@||Secrets de tournage :
"KNB EFX Group", effets spéciaux et maquillage :
Fondée par trois spécialites des effets spéciaux au début des années 80, KNB (K pour Robert Kurtzman, N pour Greg Nicotero, B pour Howard Berger) est une référence dans son domaine.
KNB a notamment réalisé les maquillages du Sous-sol de la Peur (Wes Craven), de Scream I & II (id.), de L'Antre de la Folie (John Carpenter), de Vampires (id.), ou de Mars Attacks ! de Tim Burton.
KNB EFX Group ne se cantonne pas au fantastique. Kurtzman et ses associés ont en effet travaillé sur Danse avec les Loups (K. Costner), Reservoir Dogs (Q. Tarantino), Pulp Fiction (id.), Misery (Rob Reiner), ou encore Boogie Nights (Paul Thomas Anderson).
Peter Gallagher (Dr. Blackburn) :
Au cours de sa carrière (encore jeune. Il est né en 1955), il a retenu l'attention de cinéastes tels que Robert Altman (Short Cuts, The Player), Joel et Ethan Coen (Le Grand Saut), Alan Rudolph Mrs. Parker et Le Cercle Vicieux, ou Bruce Beresford (La Dernière Danse).
Il est également l'un des acteurs principaux du premier film de Steven Soderbergh, Sexe, Mensonges et Vidéo. En 1997, il retrouve Soberbergh pour A Fleur de Peau.
En 2000, il partage l'affiche d'American Beauty avec Kevin Spacey et Annette Bening.
Bridgette Wilson (Melissa Marr) :
Ses qualités athlétiques lui permettent de participer à quelques films d'action (Last Action Hero, Mortal Kombat). Mais Bidgette Wilson ne se cantonne pas à un style. Elle multiplie les expériences et collabore aux projets les plus divers (Une Vraie Blonde de Tom DiCillo, Décroche les Etoiles de Nick Cassavetes, Nixon d'Oliver Stone).
Elle est également l'une des vedettes de Souviens-toi... l'Eté Dernier.
David Klessen (directeur artistique) refuse les clichés :
« Je suis parti des travaux de l'architecte autrichien Richard Noitre. Dans les années 30, il a dessiné des maisons aux lignes droites, épurées, usant de matériaux inhabituels comme le verre pour les sols et les plafonds. Je me suis également reposé sur les travaux d'Albert Speer pour le Troisième Reich, des bâtiments généralement surdimensionnés et froids. A savoir en suivant les plans d'un style épuré, monolithique, spacieux et qui ne soit pas propice à tout ce que vous vous attendez à voir dans une maison hantée, des toiles d'araignée, de la poussière. »
Famke Janssen (Evelyn Price) :
Pierce Brosnan (Goldeneye), Harvey Keitel (City Of Crime), Matt Damon et Edward Norton (Les Joueurs) et Kenneth Brannagh (The Gingerbread Man et Celebrity) comptent parmi les comédiens qui lui ont donné la réplique.
En 1998, elle interprète le rôle d'un professeur dans The Faculty de Roberto Rodriguez.
Geoffrey Rush (Steven Price) :
En 1997, son interprétation dans Shine de Scott Hicks lui vaut l'Oscar du Meilleur Acteur. Cette récompense marque un tournant dans sa carrière. Cet Australien, acteur de théâtre réputé, n'était alors apparu que dans des films assez modestes.
Geoffrey Rush a également tourné dans Shakespeare in Love de John Madden, Elizabeth de Shekhar Kapur et Les Misérables de Bille Ausgust.
En 1999, il incarne le méchant de Mystery Men.
William Malone résume sa conception du remake :
« Je vénère William Castle et plus particulièrement La Nuit de Tous les Mystères. Je n'ai toutefois pas voulu l'imiter jusqu'au moindre détail. Nous savions qu'un scénario de 1959 doit, pour passer à 1999, subir des changements. Nous avons ainsi repris les bases de l'histoire originale pour y ajouter des éléments nouveaux, de manière à la rendre plus contemporaine, apte à captiver le public plus sophistiqué d'aujourd'hui. (...) En clair, j'ai essayé d'associer la texture des films fantastiques d'avant-guerre à un contexte moderne. »
Joel Silver, producteur :
Il a connu quelques-uns des plus grands succès du cinéma américain des dix dernières années. Au total, ses productions ont rapporté plus de 3 milliards de dollars.
On lui doit entre autres la tétralogie de L'Arme Fatale de Richard Donner, la trilogie de Piège de Cristal de John McTiernan et quelques films avec Arnold Schwarzenegger (Predator de J. Mc Tiernan, Commando de Mark Lester).
Joel Silver s'intéresse également à des cinéastes considérés comme de véritables auteurs. Il a notamment produit Le Grand Saut des frères Coen et Minuit dans le Jardin du Bien et du Mal de Clint Eastwood.
La fille de William Castle complimente Joel Silver, le producteur :
« J'ai aussitôt perçu la sincérité de la démarche de Joel Silver (...). Dès notre première rencontre, il m'est apparu qu'il respectait profondément le travail de mon père. De plus, c'est un producteur doué d'un extraordinaire instinct. De même que Robert Zemeckis et Gilbert Adler (les deux autres producteurs du film, Ndlr). Tous les trois étaient fiers de préserver l'esprit de mon père dans le remake de La Nuit de Tous les Mystères. »
La Nuit de tous les Mystères de William Castle :
La Maison de l'Horreur est le remake de La Nuit de tous les Mystères de William Castle.
Réalisé en 1958, ce huis clos qui mêle horreur, surnaturel et humour, est considéré comme un classique du cinéma fantastique.
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La Maison du bonheur|Dany Boon|Comédie||2|français|2006|98|Français||XviD|||XVID|849 Kbps|576x240|AC3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|696||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Claude Berri|Dany Boon|Jean-Marie Dreujou||Pathé Distribution||Un mari radin décide d'être enfin généreux avec sa femme en lui offrant une maison de campagne. Mais il ne peut pas s'empêcher de faire des économies et choisit donc de faire confiance à un agent immobilier douteux et à des ouvriers foireux qui vont transformer sa surprise en cauchemar. |Dany Boon (Charles Boulin)@Michèle Laroque (Anne Boulin)@Daniel Prévost (Jean-Pierre Draquart)@Zinedine Soualem (Mouloud Mami)@Laurent Gamelon (Donatello Pirelli)@Line Renaud (Tata Suzanne Bailleul)@Michel Vuillermoz (Jacques Kurtz)@Gaëlle Bona (Elisabeth Boulin)@Didier Flamand (le banquier)@Ariane Seguillon (Nicole Kurtz)@Antoine Chappey (Alexis Boulin)@Laure Sirieix (Norah Boulin)@Virginia Anderson@||Secrets de tournage :
De la scène à l'écran
Pour son premier long métrage en tant que réalisateur, Dany Boon a choisi d'adapter sa propre pièce La Vie de chantier qu'il avait écrite et mise en scène en 2003. Seul acteur à la fois présent dans le spectacle d'origine et dans le film : Zinedine Soualem.
Le producteur Claude Berri d'abord réticent
A l'origine, La Vie de chantier était un scénario que Dany Boon avait écrit pour le cinéma. L'ayant proposé à Claude Berri pour qu'il le produise, celui-ci n'avait pas donné suite. "Finalement, explique le cinéaste-comédien, parce qu'il produisait un film dans lequel on me proposait un rôle, il est venu voir la pièce et là, il a ri tout du long. A la fin de la représentation, Claude est entré dans ma loge et m'a dit : "C'est formidable, il faut en faire un film !".
Dany Boon retrouve Michèle Laroque
La Maison du bonheur donne à Dany Boon l'occasion de retrouver Michèle Laroque, sa partenaire de jeu dans Pédale dure. Celle-ci a accepté de tourner sous sa direction à la condition que son personnage soit plus moderne et moins snob que celui de la pièce. Dany Boon n'a pas tardé à lui donner raison.
Dany Boon, le cinéaste, vu par Michèle Laroque
Pour Michèle Laroque, "Dany Boon est d'abord un comédien qui aime les comédiens et qui a envie de voir ceux qui l'entourent au mieux de ce qu'ils sont. En ayant confiance en eux ? c'est très agréable de sentir ça chez un réalisateur ? en étant très client de votre travail. Et puis comme il veut retrouver ce qu'il a écrit, son humour mine de rien, il nous a dirigé très précisément, mais de manière naturelle. Ça se faisait facilement, aisément, et nous étions au mieux de nos possibilités. Je l'ai senti. Et puis c'est quelqu'un qui a une énergie extraordinaire et qui est travailleur. Quand il arrive sur le plateau, il sait exactement ce qu'il veut faire. Il est extrêmement rigoureux, pour nous comme pour lui."
Dany Boon, l'acteur, vu par Daniel Prévost
Pour Daniel Prévost, "jouer avec Dany Boon, c'est comme faire une partie de ping-pong ou de tennis. Dany a toutes les nuances d'un grand comédien. Je suis ravi qu'il ait eu cette nomination aux César pour Joyeux Noël. Ça lui donne une consistance supplémentaire face au public... et à la profession."
Un casting 100 % Dany Boon
Dany Boon a casté tous les rôles. "Même pour le personnage qui part à la retraite et qui fait une crise cardiaque, s'en amuse l'acteur-cinéaste. J'avais un DVD de comédiens qui s'attrapent le bras gauche et qui tombent !"
Etre réalisateur pour Dany Boon
Pour Dany Boon, "être réalisateur c'est subir chaque jour une centaine de contrariétés par rapport à ce qu'on a imaginé en écrivant. Et toutes ces petites décisions que l'on prend au cours de la journée finissent par donner la couleur et le ton du film. Psychologiquement, c'est éprouvant. Il faut être fort. Au début, j'étais tellement craintif que je me couvrais sous tous les angles. Voir les rushes - en groupe, dans une salle de cinéma et non pas en DVD chacun pour soi - m'a rassuré. Les premiers temps, il y avait quatre heures de rushes, puis on est descendu à un timing normal parce que je devenais plus précis."
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Beneath still waters|Brian Yuzna|Epouvante-horreur||1|espagnol, britannique|2005|96|Espagnol||XviD|||XVID|937 Kbps|624x352|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|739||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Julio Fernandez Brian Yuzna|Angel Salazar|||||En 1965, deux garçons, Téo et Luis, s'amusent dans la ville déserte de Marienbad. La construction d'un barrage va submerger la ville dont tous les habitants ont été évacués. Tous sauf les membres d'une secte, cachés dans l'église dont le chef Mordecai Salas va être libéré par Téo. Quelques dizaines d'années plus tard, alors qu'a lieu la célébration de la construction du barrage, des personnes disparaissent mystérieusement dans le lac sombre et profond. Une enquête est menée, de vieilles croyances semblent être mêlées à ces disparitions. |Omar Munoz (Luis à 10 ans)@Manuel Manquina (Luis à 50 ans)@Ricard Borràs (Luca, le maire)@Maria Briones (la secrétaire de Luca)@Santiago Pasaglia (Teo)@Eva Pont (membre du culte)@Norberto Morán (membre du culte)@Patrick Gordon (Mordecai Salas)@Charlotte Salt ( Clara Borgia )@Antonio Portillo (Roberto Borgia)@Pilar Soto (Susana)@Damià Plensa (Antonio)@Aparicio Rivero (le père d'Antonio)@Fanny Castro (la mère d'Antonio)@Michael McKell (Dan Quarry)@Raquel Meroño (Teresa Borgia)@María Borrego (le caméraman Bea)@Ricardo Birnbaum (le preneur de son, Nacho)@José María Pou (Julio Gambine)@Carlos Castanon (Capitaine de police Keller)@Mansueto Manel (le policier Beto)@Ignacio Sánchez (le policier Gonzalez)@David Meca (le plongeur Eduardo)@Paco Hidalgo (le lieutenant plongeur Ruso)@David Pinilla (Paramedic)@María Durán (le chauffeur de Sala)@Diana Penalver (Madame Martín)@Alejandro De Nova (David)@Gara Muñoz (Samantha)@Juan Orozco (Roberto Borgia jeune)@Carmela Quijano (la jeune fille effrayée)@||||||||||||@@
Hangman's Curse|Rafal Zielinski|Fantastique|||américain|2002|101|Anglais||XviD|||XVID|818 Kbps|576x320|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|696||||25.000|28/07/2009 00:00:00|||||||Able Frye, une jeune lycéenne qui s'est suicidée par pendaison dans son lycée, hante les esprits de tous les étudiants. Lorsqu'une étrange maladie touche plusieurs étudiants, ceux-ci pensent être touchés par la malédiction du pendu. Pour faire face à ces événements, le proviseur du lycée fait appel à la famille Springfield, grande spécialiste des événements paranormaux. |David Keith (Nate Springfield)@Mel Harris (Sarah Springfield)@Leighton Meester (Elisha Springfield)@Douglas Smith (Elijah Springfield)@Jake Richardson (Ian Snyder)@Bobby Brewer (Leonard Baynes)@Daniel Farber (Norman Bloom)@Edwin Hodge (Blake Hornsby)@Andrea Morris (Crystal Sparks)@William R. Moses (Marquardt)@Margaret Travolta (Debi Wyrthen)@Tom Wright (Dan Carillo)@||||||||||||@@
La Marche de l'empereur|Luc Jacquet|Documentaire||3|français|2005|82|Français||XviD|||XVID|1 011 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|165 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Yves Darondeau Emmanuel Priou Christophe Lioud|Luc Jacquet Michel Fessler Emilie Simon|Laurent Chalet||Buena Vista International||L'histoire des manchots empereurs et de leur cycle de reproduction est unique au monde. Elle mêle amour, drame, courage et aventure au coeur de l'Antarctique, région la plus isolée et inhospitalière de la planète.Un scénario offert par la nature, qui se perpétue depuis des millénaires et que les hommes n'ont découvert qu'au début du XXème siècle.La Marche de l'empereur raconte cette histoire extraordinaire... |Romane Bohringer (voix de la narratrice)@Charles Berling (voix du narrateur)@Jules Sitruk (voix du narrateur)@Morgan Freeman (voix du narrateur (version américaine))@||Secrets de tournage :
Genèse d'une passion
L'histoire de la passion de Luc Jacquet pour l'Antarctique remonte à 1992, alors que le futur ornithologue faisait ses études à Lyon. Il vit un jour une annonce sur un panneau à la faculté, qui cherchait quelqu'un prêt à partir plusieurs mois en Terre Australe pour faire des recherches et rapporter des images de manchots empereurs. Il se souvient: "Etant d'un naturel autant porté sur la nature et l'aventure que sur le baroud et les conditions extrêmes, ce genre de proposition ne pouvait que m'intéresser. D'ailleurs, déjà à cette époque, il s'agissait de faire des images de manchots empereur."
Naissance d'un projet
Le projet de La Marche de l'empereur a été long et parfois difficile. La parole au réalisateur Luc Jacquet: "L'empereur, c'est le plus grand, le plus beau. Il fallait que j'ai la carrure, et puis il fallait les moyens. J'ai commencé à écrire l'histoire il y a quatre ans et le projet a mûri peu à peu, au fil des mois. Et puis il y a eu l'intérêt immédiat et sans réserve des producteurs. Comme on était en août et qu'il fallait partir en janvier, tout s'est enclenché à 200 à l'heure. D'un coup tout devenait une aventure rare, à tous les niveaux de fabrication. Une gigantesque conjonction d'envies concordantes avec à la clé une détermination et une énergie similaire à une opération commando. (...) j'avais l'histoire, pure, simple, sans tricherie dès qu'il s'agit de survie, d'un peuple maudit quelque part. Je savais précisément où et quand tourner. Mon découpage était fait, la scénarisation avait été minutieusement élaborée et tout ce qui restait à faire, c'était de parier sur les acteurs."
Cinéaste en herbe
Avant de réaliser ses premiers documentaires, Luc Jacquet n'avait jamais tenu une caméra de sa vie. Il partit donc à Zurich, pour être formé au 35 mm, durant une dizaine de jours. Il devait notamment s'entraîner à filmer des manchots en carton qui étaient disposés sur les glaciers des Alpes.
Un tournage très physique
En Antarctique, l'homme se déplace le plus souvent à pied, ce qui exige de très bonne condition physique. C'est ce qu'a dû faire l'équipe de tournage du film, qui devait tirer un traîneau avec près de 60 kg de matériel, tout en marchant dans une poudreuse de près d'un mètre de hauteur. Les caméras ont quant à elles dû être préparées pour résister au grand froid, les températures minimales atteignant tout de même les... - 30°C !
Incident de tournage
Les deux caméramen, Jérôme Maison et Laurent Chalet, ont failli perdre la vie au cours du tournage. Ils ont été pris dans un blizzard, que l'on appelle le White-Out, c'est-à-dire lorsque la neige est en suspension dans l'atmosphère. Ils n'ont eut la vie sauve que grâce à leurs GPS, localisés par une caravane envoyée depuis la base française de Dumont d'Urville. Alors que la visibilité était nulle, ils ont mis six heures pour faire 3 km, en regagnant la base. Les deux hommes s'en sont tirés avec quelques gelures superficielles.
Un (très) long hivernage
La majeure partie des images a été tournée par le duo formé de Jérôme Maison et Laurent Chalet, qui ont hiverné pendant de long mois. Luc Jacquet, de son côté, a tourné des scènes durant cinq mois, scénarisant par ailleurs le film, supervisant le tournage dans son ensemble et s'occupant du montage. Au total, le tournage aura duré un an (la durée d'un cycle de manchot), 120 heures d'images ayant été nécessaires.
Le Manchot empereur, dernier élément de vie
Alors que de nombreuses espèces animales nichent pendant l'été austral, seul le manchot empereur se risque à s'aventurer l'hiver en Antarctique, nichant en plein blizzard et jeunant pendant près de 115 jours. Sur ces terres désolées, sans âmes qui vivent, le manchot incarne alors "la frontière de la vie". Le réalisateur ajoute: "Il n'y a plus rien après le manchot empereur. On touche au domaine de l'abiotique. Il n'y a pas une cellule en Antarctique. Dans cet horizon blanc à perte de vue, il est le dernier guetteur, le dernier élément de vie de la planète. A supposer que cela ne soit pas déjà en soi une autre planète. Parce que si on est pas vraiment dans l'espace, on n'est plus vraiment non plus sur terre ! On est entre le réel et le fantastique."
Fondre comme neige au soleil
La période de couvaison par le mâle est très longue. Alors que la femelle est partie au loin trouver de quoi manger, pour elle et son petit, le mâle vit et puise dans ses réserves de graisse accumulée. Lorsque la femelle revient enfin, il a perdu entre 12 et 15 kg.
Un code de bonne conduite
Pour pouvoir filmer en toute quiétude les manchots empereurs, l'équipe du film s'est imposé une sorte de "code de bonne conduite". Il s'agissait d'être le plus discret possible, et de ne pas perturber la colonie de manchots. Ainsi arrivait-elle à gagner leur confiance, et pouvait les filmer au plus près. Durant la saison des amours, certains manchots esseulés, sans compagnes, s'aventuraient même sous la caméra, et cherchaient à séduire les membres de l'équipe...pour former un couple !
Une histoire des espèces
Privé de vol, le manchot est capable d'effectuer des plongées à 300 ou 400 mètres de profondeur, pendant plus d'un quart d'heure, alors que même s'il est un excellent plongeur, le pingouin ne reste pas plus de deux minutes sous l'eau. La famille du manchot (17 espèces, dont une au Galapagos) est celle des sphéniscidés. Le pingouin appartient quant à lui à la famille des alcidés. Par ailleurs, des deux espèces de pingouins existantes au monde, le petit pingouin, et le grand pingouin, disparu à cause des persécutions humaines, il n'en subsiste plus désormais qu'une seule, le petit pingouin Alca Torda, que l'on rencontre dans l'Atlantique nord seulement.
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The Mummy|Stephen Sommers|Aventure||3|américain|1999|119|Anglais||DX50|||DX50|702 Kbps|640x256|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|693||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Sean Daniel James Jacks|Stephen Sommers Nina Wilcox Putnam Richard Schayer Lloyd Fonvielle Kevin Jarre|Adrian Biddle||United International Pictures (UIP)|Saga : La Momie |Longtemps avant la naissance du Christ, pour avoir osé défier le pharaon en lui ravissant sa jeune maîtresse, le grand prêtre de Thèbes, Imhotep, est momifié vivant et enseveli dans une crypte secrète d'Hamunaptra, la cité des morts. Du fond de son sarcophage, le grand prêtre jure de se venger du genre humain. En 1923, un aventurier américain, Rick O'Connell, découvre fortuitement les ruines d'Hamunaptra que des générations d'égyptologues recherchaient en vain. Il met dans le secret une jeune égyptologue et son frère et tous trois partent à la recherche du trésor des pharaons. |Brendan Fraser (Rick O'Connell)@Rachel Weisz (Evelyn Carnahan)@John Hannah (Jonathan Carnahan)@Arnold Vosloo (Imhotep)@Jonathan Hyde (Le docteur Allen Chamberlin)@Patricia Velasquez (Anck-Su Namun)@Kevin J. O'Connor (Beni Gabor)@Oded Fehr (Ardeth Bay)@Bernard Fox (Le capitaine Winston Havlock)@Erick Avari (Le docteur Terrence Bey)@Stephen Dunham (M. Henderson)@Corey Johnson (M. Daniels)@Omid Djalili (Le gardien Gad Hassan)@Carl Chase (Hook)@Tuc Watkins@Tuc Watkins (Mr Burns)@Aharon Ipale (Séti Ier)@||Secrets de tournage :
Bientôt La Momie 2 ?
Une « séquelle » pourrait être tournée au cours de l'été 2000. Cette fois-ci, l'action se situerait à Londres, juste avant la Seconde Guerre Mondiale. Affaire à suivre...
Une femme organisée?
L'organisation des extérieurs marocains a été assurée par la coproductrice Patricia Carr, une femme habituée aux tournages dans le désert, puisqu'elle avait déjà travaillé sur La Guerre des Etoiles, Le Retour du Jedi, Les aventuriers de l'Arche Perdue et Indiana Jones et la dernière croisade.
Le tournage
La première partie du tournage se déroula au Maroc. Les premières prises de vues débutèrent à Marrakech, par les séquences de la Casbah et du bazar du Caire. Les ruines d'Hamunaptra, "La Cité des Morts », furent édifiées dans le cratère d'un volcan éteint, aux abords de la bourgade saharienne d'Erfoud. La température atteignait fréquemment 40° dès l'aube?
Les intérieurs (notamment les souterrains de la Cité des Morts) ont été construits non loin de Londres, dans les légendaires studios de Shepperton qui ont accueilli de nombreuses superproductions.
Un spécialiste en égyptologie
Arnold Vosloo a été conseillé par Stewart Smith, professeur d'égyptologie à l'UCLA. Parmi ses compétences, il peut lire les hiéroglyphes.
Stewart Smith avait déjà la responsabilité des dialogues anciens sur le film Stargate.
Simon Crane, chef cascadeur
Il a coordonné les scènes d'action et les cascades deTitanic (James Cameron), Il faut sauver le soldat Ryan (Steven Spielberg), Braveheart, ( Mel Gibson), Goldeneye (Martin Campbell), Les 101 Dalmatiens (Stephen Herek).
Avant de passer chef cascadeur, Simon Crane a réalisé les cascades de nombreux films parmi lesquels : Aliens (James Cameron), Total Recall (Paul Verhoeven), Air America (Roger Spottiswood ? doublure de Mel Gibson), Robin des Bois, Prince des voleurs (Kevin Reynolds ? doublure de Kevin Costner), Batman (Tim Burton) et deux James Bond : Tuer n'est pas jouer et Permis de tuer
John Bloomfield, chef costumier
Il a signé les costumes de quatre productions de Kevin Costner : Robin des Bois, Rapa Nui, Waterworld et Postman.
On lui doit également les costumes de nombreux films, parmi lesquels : Conan Le Barbare, Le Bounty(Roger Donaldson).
Il a en outre collaboré avec la plupart des grandes compagnies de répertoires anglaises, ainsi qu'avec l'English National Opera, la Welsh Drama Company et les Festivals de Chichester et Hongkong.
Une momie numérique
Pour Stephen Sommers : « Je souhaitais une Momie créée sur ordinateur. Les maquillages prosthétiques, employés à bon escient, ne sont pas sans mérite, mais on ne peut y recourir en toutes circonstances. Pour répondre aux attentes du public contemporain, notre Momie nécessitait des techniques de pointe, et c'est pourquoi j'ai tout de suite opté pour l'ordinateur. »
John Berton : « Il a fallu d'abord définir l'apparence physique de la Momie. Nous ne pouvions pas nous contenter d'emmailloter un acteur comme on le faisait dans les années trente ; nous devions inventer un personnage monstrueux, implacable, terrifiant? et original.
Nous avons planché sur la question pendant près de trois mois pour définir avec un maximum de précision le « look » de la Momie dont découlerait les effets spéciaux. L'un des principaux problèmes consistait à élaborer des déplacements réalistes, aussi proches que possible de la démarche humaine. Nous avons donc filmé Arnold Vosloo en mouvement et pris toute une série de vues pour analyser sa démarche en détail et la recréer dans un espace tridimensionnel.
Dans un premier temps, la Momie est totalement synthétique. Mais à mesure qu'elle se régénère, elle revêt une apparence de plus en plus humaine et proche d'Arnold. A ce stade, nous avons utilisé le visage de l'acteur filmé en prises de vues réelles et combiné à des maquillages prosthétiques numériques.
Arnold confère à la Momie une présence inquiétante. Chaque fois qu'apparaît à l'écran l'image, même partielle, d'Imhotep, c'est bel et bien d'Arnold qu'il s'agit. Lorsque la créature tourne la tête et révèle un visage incomplet auquel manque toute la mâchoire, c'est encore le visage d'Arnold, associé à un trucage infographique. Et ce genre d'effet ne s'obtient pas aisément ! »
John Berton, superviseur des effets visuels
Il a rallié l'équipe infographique d'Industrial Light & Magic en 1990 et y a débuté comme animateur sur Terminator 2 de James Cameron, qui remporta l'Oscar des meilleurs effets spéciaux. Parmi les films auxquels il a collaboré depuis : Star Trek VI, de Nicholas Meyer, La mort vous va si bien, de Robert Zemeckis, Jurassic Park, de Steven Spielberg (Oscar 1993 des meilleurs effets visuels), The Mask de Charles Russell (cité à l'Oscar des meilleurs effets visuels), Casper, de Brad Silberling, Men in black, de Barry Sonnenfeld.
Patricia Velasquez («Anck-Su-Namun»)
Top-model, Patricia Velasquez interprète ici la maîtresse de Pharaon. Elle a tenu le rôle vedette de « Maya » aux côtés de Jean Reno et Patrick Bruel dans Le Jaguar de Francis Veber.
Arnold Vosloo («Imhotep»)
Originaire d'Afrique du Sud, Arnold Vosloo est issu d'une famille d'acteurs. Il débute sur scène dès l'enfance et recueille plusieurs prix pour ses créations scéniques.
Installé aux Etats-Unis depuis quelques années, il mène de paire, une carrière de comédien de théâtre et de cinéma.
Sur le grand écran, on a pu le voir dans 1492 de Ridley Scott, aux côtés de Gérard Depardieu, et dans Hard Target de John Woo, en compagnie de Jean-Claude Van Damme.
« Préc.
Brendan Fraser (« Rick O'Connell »)
Il a débuté au cinéma en 1991 dans Dogfight de Nancy Savoca. Ces dernières années, il a tourné dans George de la jungle (Sam Weisman ? 1997), Gods and Monsters (Bill Condon ? 1998 ? inédit dans les salles françaises).
Les origines de La Momie
The Mummy, réalisé par le chef opérateur Karl Freund sur un scénario de Nina Wilcox Putnam et Richard Schayer, avec Boris Karloff dans le rôle principal.
Le succès populaire du film, contribua, avec les permeirs Dracula et Frankenstein, à asseoir la réputation du studio en matière de film d'horreur, engendra dans els années quarante quatre autres films : The Mummy's Hand, de Christy Cabanne (1940), The Mummy's Tomb d'Harold Young (1942), The Mummy's Ghost de Reginald LeBorg (1944), The Mummy's Curse de Leslie Goodwins (1944). Ces trois derniers films étant interprétés par Lon Chaney, jr.
A la fin des années cinquante, ce fut au tour de la Hammer Films de reprendre le flambeau :The Mummy, de Terence Fisher (1959), avec Christopher Lee et Peter Cushing, Curse of The Mummy's Tomb, de Michael Carreras (1964), The Mummy's Shroud de John Gilling (1966),Blood From The Mummy's Tomb de Seth Holt et Michael Carreras (1973). Ce dernier film, fit l'objet d'un remake en 1980 : La Malédiction de la Vallée des Rois, de Mike Newell, avec Charlton Heston.
Propos de Stephen Sommers :
« J'envisageais une production romantique à grand spectacle dans le cadre de l'Egypte ancienne. J'ai choisi de situer l'intrigue dans les années vingt parce que cette période était à mes yeux la plus romantique, la plus propice à l'ambiance que je souhaitais créer dans ce film. »
Stephen Sommers, scénariste et réalisateur
Après avoir fait ses études à la St.Johns University (Minnesota), il passe une licence à l'Université de Séville et parcourt l'Europe, travaillant comme acteur de rue et comme régisseur de tournée avec divers groupes de rock
De retour au Etats-Unis, il se fixe sur la côte ouest, passe une licence de cinéma à l'USC, et débute dans l'écriture et la réalisation avec le court métrage Perfect Alibi, qui lui vaut plusieurs prix.
En 1994, il adapte et réalise pour Walt Disney Les aventures d'Huckleberry Finn, avec Elijah Wood et Jason Robards, puis écrit et met en scène Le Livre de la Jungle, avec Jason scott Lee, Cary Elwes, Sam Neill et John Cleese. En 1998, il réalise le thriller Un Cri dans l'Océan, interprété par Treat Williams et Famke Janssen.
« Préc.
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The Mummy Returns|Stephen Sommers|Aventure||3|américain|2001|121|Anglais||DivX|||DIVX|732 Kbps|640x272|WMA2|64.1 Kbps|False|44.1 KHz|2|699||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Sean Daniel James Jacks|Stephen Sommers|Adrian Biddle||Universal Pictures|Saga : La Momie |En 1935, Rick O'Connell et sa femme Evelyn mènent une vie paisible à Londres avec Alex, leur fils talentueux.
Mais une nouvelle catastrophe se prépare dans les profondeurs du désert saharien. Six mille ans avant notre ère, le roi Scorpion, fit un pacte avec le dieu Anubis, qu'il trahit. Damné pour l'éternité, il est sur le point de sortir des limbes et de lever l'armée d'Anubis pour dévaster la planète.
Une secte mystérieuse et avide de pouvoir menée par le diabolique Lock Nah et la séduisante Meela, ramènent à la vie la seule créature capable de faire face au roi Scorpion : le grand prêtre Imhotep, condamné depuis trois mille ans à errer comme un mort-vivant pour avoir séduit la favorite du Pharaon. Sa momie est entreposée dans une salle secrète du British Museum.
Ardeth Bay, chef militaire des Medja, implore O'Connell d'empêcher ce forfait aux conséquences désastreuses. |Brendan Fraser (Rick O'Connell)@Rachel Weisz (Evelyn O'Connell)@Freddie Boath (Alex O'Conell)@John Hannah (Jonathan Carnahan)@Dwayne Johnson (le Roi Scorpion)@Patricia Velasquez (Meela Nais / Anck-Su-Namun)@Arnold Vosloo (Imhotep)@Adewale Akinnuoye-Agbaje (Lock Nah)@Oded Fehr (Ardeth Bay)@Shaun Parkes (Izzy Buttons)@Bruce Byron (Red)@Tom Fisher (Spivey)@Donna Air (La show girl)@||Secrets de tournage :
Le chef costumier John Bloomfield se joue de la fidélité historique
" Le film n'ayant aucune prétention documentaire, je ne jurerais pas notre héroïne se serait habillée ainsi en 1933. Je lui fait porter des vêtements que le spectateur de 2001 est susceptible d'aimer [...]. Le plus intéressant dans ce film, de mon point de vue, c'est l'extrême diversité de ses looks. Nous partons du Londres des années trente, remontons à l'Egypte antique et jusqu'à 3000 ans avant les Pharaons, couvrant ainsi toute une gamme de styles. J'ai trouvé l'exercice fascinant. "
Un tournage itinérant
Le Retour de La Momie a tout d'abord été tourné dans le désert de Jordanie, l'équipe est ensuite partie pour le Maroc (au village saharien d'Erfoud et à Ouarzazate), avant de s'installer à Londres pour filmer les intérieurs à Shepperton, et certains extérieurs près du Tower Bridge, du British Museum, ainsi que dans le Bedfordshire, le Hertfordshire et le Buckinghamshire.
Rachel Weisz à l'entraînement
" Pour ce film, j'ai appris différentes techniques, notamment j'ai subi un entraînement spécial pour une spectaculaire scène de combat dans le palais du Pharaon il y a trois mille ans. Patricia Velasquez (Meela) et moi avons appris les règles d'un ancien art martial japonais, adapté pour la circonstance en art martial... égyptien. Un instructeur nommé Hido, qui est à moitié japonais, est venu d'Amérique et nous a formées pendant toute la durée du tournage, soit cinq mois. "
Le succès de La Momie
Le film de Stephen Sommers avait enregistré des recettes de 414 millions de dollars. Ce succès devrait assurer un bel avenir au mythe popularisé par le romancier et scénariste Nina Wilcox Putnam (qui inspira La Momie de Karl Freund, avec Boris Karloff). En effet, la production prévoit de mettre en chantier un "spin-off" (film dérivé), Le Roi Scorpion, un projet dont le héros, "The Rock" (le Roi Scorpion interprété par Dwayne Johnson), est l'un des personnages principaux du Retour de la Momie.
Sur les talons du Monde perdu
Lors de son premier week-end d'exploitation dans les salles américaines le vendredi 4 mai 2001, Le Retour de La Momie a totalisé une recette de 70,1 millions de dollars. Le film n'a cependant pas battu le record établi par Le Monde perdu de Steven Spielberg, qui, sorti le 23 mai 1997, avait enregistré quelque 72,1 millions de dollars de recette le premier week-end de son exploitation.
Une suite à La Momie
Le Retour de La Momie est la suite de La Momie. La même équipe (le réalisateur Stephen Sommers affirme que 98% de l'équipe originale a travaillé sur le second volet de la saga) s'est attelée à ce second volet. Ainsi, le scénariste et réalisateur retrouve-t-il sa place derrière la caméra, alors que Brendan Fraser, Rachel Weisz, John Hannah et Arnold Vosloo reprennent les rôles qu'ils tenaient déjà.
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The Mummy : Tomb of the Dragon Emperor|Rob Cohen|Aventure||2|américain|2008|107|Anglais||DX50|||DX50|1 683 Kbps|704x288|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|1394||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Sean Daniel Bob Ducsay Stephen Sommers Jim Jacks|Alfred Gough Miles Millar|Simon Duggan||Universal Pictures|Saga : La Momie |Le troisième épisode de la saga La Momie nous transporte cette fois en Asie pour une nouvelle aventure qui verra Rick O'Connell et les siens livrer un combat sans merci à l'Empereur Dragon. Des catacombes de la Chine antique aux sommets de l'Himalaya, l'explorateur intrépide, son jeune fils Alex, sa femme Evelyn et son beau-frère Jonathan affronteront la Momie ressuscitée du plus cruel conquérant de Chine.Victimes d'une sorcière maléfique, l'Empereur Dragon et ses 5000 soldats ont été relégués pour l'éternité dans les limbes. L'immense armée de terre cuite reposera ainsi durant 2000 ans, oubliée de tous, jusqu'à ce qu'Alex commette l'erreur de réveiller son chef. Pour éviter une vague de méfaits, Rick devra appeler à la rescousse les seules personnes plus habiles que lui à combattre les morts-vivants : sa propre famille... |Brendan Fraser (Rick O'Connell)@Jet Li (L'Empereur Han)@Maria Bello (Evelyn O'Connell)@John Hannah (Jonathan Carnahan)@Michelle Yeoh (Zi Yuan)@Luke Ford (Alex O'Connell)@Isabella Leong (Lin)@Anthony Wong Chau-Sang (le Général Yang)@Russell Wong (Ming Guo)@Liam Cunningham (Mad Dog Maguire)@Roger Wilson (David Calder)@Jessey Meng (Choi)@Tian Liang (Li Zhou)@Albert Kwan (Chu Wah)@Wu Jing (un assassin)@Wei Binghua (un assassin)@Guo Jing (un assassin)@Alison Louder (la femme dans la librairie)@Marcia Nasatir (la princesse russe)@Emerald Starr (l'homme au bar)@Helen Feng (la chanteuse de cabaret)@Jay Hayden (La brunette de l'Imhotep)@James Bradford (Jameson, le maître d'hôtel)@Daniel Giverin (Benjamin Fry )@Kyle Burnett Cashulin (un copain de Mad dog)@Charles Esposito (un copain de Mad dog)@Mike Scherer (Yeti)@Scott Taylor (Yeti)@Kham Tri Vixaysy (un fossoyeur)@Don Lew (un fossoyeur)@Regis Attiow (un mystique)@Tony Wai (un mystique)@Wu Yungstun (un mystique)@Guangxu Xiang (un mystique)@Lam Cong-Quyen (un mystique)@Rob Cohen (un danseur à la soirée)@||Secrets de tournage :
Une troisième aventure pour la Momie !
La Momie : la tombe de l'Empereur Dragon est le troisième volet de la saga d'aventures débutée en 1999 avec La Momie puis poursuivi en 2001 par Le Retour de la momie.
Du changement dans la saga !
Du changement pour ce troisième épisode de la saga La Momie : si Brendan Fraser rempile dans le rôle d'intrépide explorateur, Rob Cohen remplace Stephen Sommers derrière la caméra (Sommers agissant ici en tant que producteur), alors que Maria Bello succède à Rachel Weisz. Jet Li, qui incarne l'Empereur Han, reprend quant à lui le "rôle" de la momie, tenu par Arnold Vosloo dans les deux premiers films.
De l'Egypte à l'Asie...
Les producteurs de La Momie et du Le Retour de la momie souhaitaient donner, avec La Momie : la tombe de l'Empereur Dragon, un nouvel élan à la franchise et lui ouvrir d'autres horizons. L'Égypte n'offrant plus rien d'inédit, l'option asiatique était la plus séduisante, la plus propice à faire vivre aux O'Connell de nouvelles aventures. Le chef monteur et producteur exécutif Bob Ducsay explique : "Après Le Retour de la momie, nous avons tourné en rond durant plusieurs années avant de songer aux légendaires Guerriers de Terre Cuite. Quel merveilleux ressort pour lancer dans de nouvelles aventures les héros auxquels le public est si attaché."
Le retour de Brendan "Rick O'Connell" Fraser !
La Momie : la tombe de l'Empereur Dragon voit le retour de Brendan Fraser dans la peau de l'intrépide explorateur Rick O'Connell. L'acteur, qui exécute ses propres cascades dans le film (il les effectuaient déjà lui-même dans les deux premiers volets), revient sur l'évolution de son personnage. "Les sept années écoulées depuis Le Retour de la momie ont permis à la famille O'Connell d'évoluer. Aujourd'hui, Rick et Evy s'ennuient dans leur retraite, et Alex rêve d'émuler leurs anciens exploits. Il voudrait faire plaisir à son père, mais il reste quelque part un fils à sa maman, un rien gaffeur. La preuve : il se fait piéger en ramenant à la vie le cruel Empereur momifié... et c'est reparti pour le clan O'Connell !"
Un expert en kung-fu derrière la caméra
Rob Cohen, le réalisateur de La Momie : la tombe de l'Empereur Dragon, a le privilège de diriger la star asiatique Jet Li. Un honneur pour ce fan d'arts martiaux, qui avait déjà signé un film du genre en 1993 avec Dragon, l'histoire de Bruce Lee.
Le film idéal pour Rob Cohen
Le scénariste et metteur en scène Rob Cohen n'est pas seulement le réalisateur de gros blockbusters d'action comme Fast & furious ou XXX. Il est également un passionné d'histoire et d'anthropologie, qui s'intéresse depuis longtemps à l'Asie. Lorsqu'on lui offrit de réaliser le troisième volet de la franchise La Momie, avec la possibilité de concilier pour la première fois ses deux passions dominantes que sont le cinéma à grand spectacle et la Chine, il n'hésita pas une seconde. "J'aime profondément la culture chinoise et je suis fasciné par la longue histoire tumultueuse de ce pays", explique Rob Cohen. "Depuis le lycée et l'époque où ma mère m'initia à l'aquarelle chinoise, le Chine a hanté mon imagination et occupé une très large part de mon temps de lecture. Je me suis intéressé à plusieurs de ses dynasties, notamment les Tang et les Ming, ainsi qu'à leurs explorateurs, qui découvrirent l'Indonésie, l'Inde, l'Afrique, qui firent le tour du monde en bateau avant Magellan et accostèrent peutêtre aux Amériques bien avant Colomb."
Un combat d'anthologie
Le duel au sabre opposant Jet Li à son amie Michelle Yeoh fascina la presse chinoise. "C'était le combat que toute l'Asie attendait !", plaisante l'actrice. "De De Ku, alias Master De, qui entraîne Jet depuis longtemps, est un grand artiste, un homme brillant qui nous a mâché le travail. Nous n'avons eu qu'à suivre ses instructions... magiques. Jet et moi nous affrontions pour la première fois en ennemis. Nous nous comprenons fort bien, nous sommes sur la même longueur d'onde, et tous deux décidés à donner le maximum." Même enthousiasme du côté de Jet Li qui déclare qu'"avoir un bon adversaire est essentiel. C'est comme au tennis, il faut que les deux joueurs soient au même niveau. J'ai eu énormément de plaisir à travailler avec Michelle et j'espère bien renouveler l'expérience."
La Grande Muraille reconstituée
La Grande Muraille de Chine a été reconstituée pour les besoins de La Momie : la tombe de l'Empereur Dragon. Une reconstitution ambitieuse supervisée par le directeur artistique chinois Mr. Yi, conseiller technique et historique du film. C'est la sixième fois que cet éminent artiste supervise la reconstitution d'une des Sept Merveilles du Monde.
Une équipe internationale
L'équipe de La Momie : la tombe de l'Empereur Dragon, pour certaines scènes épiques partculièrement difficiles à tourner, s'enrichit de plusieurs centaines de participants. Elle compta ainsi certains jours plus de 2000 collaborateurs, dont 200 Américains et Québécois, 1700 techniciens de Chine continentale, 100 de Hongkong, sans oublier des collaborateurs venus de Taiwan, de Malaisie, de Croatie ou encore de Slovénie...
Un tournage autour du monde
La Momie : la tombe de l'Empereur Dragon a été tourné en cinq mois, en Amérique du Nord et en Asie, principalement à Montréal, Beijing et Shanghai.
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North by Northwest|Alfred Hitchcock|Policier||4|américain|1959|130|Anglais||DX50|||DX50|610 Kbps|512x288|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Alfred Hitchcock|Ernest Lehman|Robert Burks||||Le publiciste Roger Tornhill se retrouve par erreur dans la peau d'un espion. Pris entre une mystèrieuse organisation qui cherche à le supprimer et la police qui le poursuit, Tornhill est dans une situation bien inconfortable. Il fuit à travers les Etats-Unis et part à la recherche d'une vérité qui se révèlera très surprenante. |Cary Grant (Roger Thornhill/George Kaplan)@Eva Marie Saint (Eve Kendall)@James Mason (Phillip Vandamm)@Jessie Royce Landis (Clara Thornhill)@Leo G. Carroll (Le professeur)@Josephine Hutchinson (Mrs Townsend)@Philip Ober (Lester Townsend)@Martin Landau (Leonard)@Robert Shayne@Malcolm Atterbury@Alfred Hitchcock@||||||||||||@@
The Fly|David Cronenberg|Fantastique|Interdit aux moins de 12 ans|3|britannique, canadien, américain|1987|95|||DIV3|||DIV3|825 Kbps|576x312|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|661||||29.970|06/08/2009 00:00:00|Stuart Cornfeld|David Cronenberg Charles Edward Pogue|Mark Irwin||Splendor Films|Saga : La Mouche |Seth Brundle est un jeune biologiste très doué. Après avoir fait ses premières armes dans une brillante équipe, il se décide à travailler seul. Il met au point une invention qui doit révolutionner le monde : la "téléportation" qui consiste à transporter la matière à travers l'espace. Les essais sur un babouin sont peu convaincants et après des fuites dans la presse, il décide de se téléporter lui-même. Seulement il ne s'apercoit pas qu'une mouche fait partie du voyage. |Jeff Goldblum (Seth Brundle )@Geena Davis (Veronica 'Ronnie' Quaife )@Leslie Carlson (Dr Cheevers)@George Chuvalo (Marky)@David Cronenberg (le Gynécologue)@John Getz (Stathis Borans)@Joy Boushel (Tawny)@Michael Copeman (le deuxième homme dans le bar)@Carol Lazare (l'infirmière)@Shawn Hewitt (l'employé)@||Secrets de tournage :
Remake d'un classique des 50's
La mouche est le remake d'un classique de la SF des années cinquante : La Mouche noire, réalisé en 1958 par Kurt Neumann, avec le légendaire Vincent Price dans le rôle titre. A l'origine de la version tournée par David Cronenberg, le script écrit par Charles Edward Pogue prévoyait d'être beaucoup plus fidèle à la version de départ. Lorsque le cinéaste fut engagé sur le projet, celui-ci n'accepta qu'à la condition qu'il puisse remanier le script en profondeur, ce qui lui fut accordé. Toutefois, des détails importants, comme la fusion du scientifique avec la mouche ainsi que le processus de la métamorphose, furent maintenus.
Frère et soeur
C'est à Denise Cronenberg que l'on doit les costumes du film, qui n'est autre que...la soeur du cinéaste !
Burton sur les rails
La Fox envisagea un premier temps de confier le film à un certain...Tim Burton, qui s'était surtout distingué jusque-là par des courts métrages d'exceptions, comme Vincent et Frankenweenie. Il s'était aussi distingué chez Disney, ayant notamment travaillé sur Rox et Rouky ! Le studio se tourna ensuite vers Robert Bierman, qui abandonna rapidement le projet en raison d'un décès survenu au sein de sa famille.
Couple à la ville et à l'écran
Geena Davis et Jeff Goldblum vivaient ensemble lorsqu'ils tournèrent La mouche. Le cinéaste leur demandant finalement de reproduire leur vie de couple à l'écran !
Sacré Mel !
La société de production du film, Brooksfilm, appartient en fait à Mel Brooks, l'ex Monthy Python ! David Cronenberg doit à ce dernier d'avoir contribué à le faire engager par la Fox, à la faveur d'une lettre élogieuse écrite à la direction de la Fox.
Quand le succès engendre des suites...
Le succès de La mouche a entraîné dans son sillage deux suites : la première en 1989 avec La Mouche 2 de Chris Walas, et un direct to video sorti en 2008 signé par Todd Lincoln.
Un film plusieurs fois primé
Unaninement reconnu aujourd'hui comme un chef-d'oeuvre de la SF / horreur, La mouche fut récompensé en 1987 par l'Oscar des Meilleurs maquillages, que l'on doit à Chris Walas et Stephan Dupuis. Entre-autres prix, le film obtint le Prix spécial du Jury au Festival d'Avoriaz.
Le calvaire de Jeff Goldblum
Jeff Goldblum, qui tient le rôle-titre et qui fut d'abord décliné par Michael Keaton, devait subir la pose de prothèses et maquillages pendant près de cinq heures par jour ! Une véritable souffrance pour l'acteur, qui déclara des années plus tard que ce fut l'une des plus grosses contraintes qu'il ait jamais eu à affronter au cours de sa carrière.
La mouche se pose à l'opéra !
Aussi surprenant que cela puisse paraître, en février 2008, le grand ténor Plácido Domingo a annoncé qu'il produirait un opéra basé sur l'univers du film, à l'opéra de Los Angeles, ainsi qu'au théâtre du Châtelet, à Paris. David Cronenberg officiera en tant que producteur, tandis que la musique serait conduite par...Howard Shore, déjà compositeur de celle du film !
Caméo
David Cronenberg fait un caméo dans le film : il prête ses traits au gynécologue obstétricien. En fait, tout est parti d'une remarque que fit Martin Scorsese à David Cronenberg lorsqu'ils se rencontrèrent pour la première fois : le cinéaste italien lui déclara qu'il lui faisait penser à un chirurgien-plastique de Beverly Hills ! Une remarque amusante qui n'a pas échappé au réalisateur Canadien, qui décida de faire un caméo dans La mouche en tant que médecin.
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The Fly II|Chris Walas|Epouvante-horreur||1|américain|1989|100|Anglais||DIV3|||DIV3|763 Kbps|720x416|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|643||||25.000|28/07/2009 00:00:00||Frank Darabont|||20th Century Fox|Saga : La Mouche |Martin Bundle, le fils du savant transformé en mouche, veut connaître le secret de son père. |Eric Stoltz (Martin Bundle)@Daphne Zuniga (Beth)@Lee Richardson (Bartok)@||||||||||||@@
The Ninth Gate|Roman Polanski|Fantastique||3|américain, espagnol, français|1999|127|Français||DX50|||DX50|661 Kbps|544x224|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Roman Polanski|John Brownjohn Enrique Urbizu Roman Polanski|Darius Khondji||Bac Films||Dean Corso est un chercheur de livres rares pour collectionneurs fortunes. Sa reputation lui vaut d'etre engage par un eminent bibliophile, feru de demonologie, Boris Balkan, qui lui demande de traquer les deux derniers exemplaires du legendaire manuel d'invocation satanique, "les Neuf Portes du royaume des ombres". Corso releve le defi. De New York a Tolede, de Paris a Cintra, il s'enfonce dans un labyrinthe seme de pieges et de tentations. Il va peu a peu decrypter les enigmes du livre maudit et decouvrir le veritable enjeu de sa mission. |Johnny Depp (Dean Corso)@Emmanuelle Seigner (La fille)@Lena Olin (Liana Telfer)@James Russo (Bernie)@Frank Langella (Boris Balkan)@Barbara Jefford (la Baronne Kessler)@Jacques Collard (Gruber)@Allen Garfield (Witkin)@Willy Holt (Andrew Telfer)@Jack Taylor (Victor Fargas)@Catherine Benguigui (La concierge de l'immeuble de la baronne Kessler)@Jacques Dacqmine (Le vieil homme)@Asil Rais (Cabby)@Rebecca Pauly (La belle fille)@Emmanuel Booz (Baker)@Dominique Pozzetto (L'employé de bureau)@José Lopez Rodero (Pablo Ceniza/Pedro Ceniza)@Joe Sheridan (Le fils du vieil homme)@Tony Amoni (Le garde du corps de Liana Telfer)@Maria Ducceschi (La secrétaire)@Jane Bradbury (Demon (non créditée))@Christopher Goodman (Un homme d'affaires américain (non crédité))@Bernard Richier (Un client du café)@Marinette Richier (Une cliente du café)@Lino Ribeiro de Sousa (Le portier de l'hôtel)@||Secrets de tournage :
Barbara Jefford ("la baronne Kessler")
Depuis 1950, elle a interprété la plupart des grands rôles du répertoire shakespearien.
Elle a été découverte au cinéma dans Ulysse de Joseph Strick. Parmi les films dans lesquels elle est apparue, Et vogue le navire de Federico Fellini, L'Ami retrouvé de Jerry Schatzberg, The Saint de Phillip Noyce.
James Russo ("Bernie")
Il a figuré au générique de Il était une fois l'Amérique de Sergio Leone, Cotton Club de Francis Coppola, China Girl et Snake Eyes d'Abel Ferrara, Trauma de Dario Argento, Donnie Brasco de Mike Newell, Postman de Kevin Costner et My own private Idaho de Gus Van Sant.
James Russo est également le réalisateur d'un court métrage, Candy Store, Oscar 1980 du Meilleur Film d'Etudiant.
Arturo Perez-Reverte, l'auteur
Né en 1951 à Carthagène (Colombie), Arturo Perez-Reverte a écrit depuis 1986 une demi-douzaine de romans.
"El Club Dumas", qui a inspiré La Neuvième Porte, est paru chez Jean-Claude Lattès en 1994.
"Le Maître d'escrime" a été adapté au cinéma par Pedro Olea sous le titre Le Maître d'escrime (1992), avec Omero Antonutti et Assumpta Serna. "Le tableau du maître flamand" a été porté à l'écran par Jim McBride en 1994, sous le titre Uncovered, avec Kate Beckinsale et John Wood.
Anthony Powell, chef costumier
Il a obtenu l'Oscar pour Voyages avec ma tante de George Cukor, Mort sur le Nil de John Guillermin et Tess, qui marque le début de sa collaboration avec Roman Polanski.
Cité à l'Oscar pour son travail sur Hook de Steven Spielberg et Pirates de Roman Polanski, il a été récompensé par un César pour les costumes de Pirates.
Roman Polanski à propos de Dean Tavoularis :
"Je connais Dean Tavoularis depuis près de trente ans, mais nous n'avions jamais collaboré. La bibliothèque de Telfer, l'antre de Balkan?la plupart de ces décors ont été fabriqués en studio, mais ils sont d'une telle authenticité qu'on croit y respirer l'odeur des vieux livres. Dean n'est pas seulement un grand artiste et un chef décorateur passionné, mais un homme exquis, drôle, chaleureux. C'est un privilège de connaître quelqu'un de cette qualité." (extrait d'un entretien accordé à Olivier Eyquem)
Dean Tavoularis, chef décorateur
Il a travaillé sur une douzaine de films de Francis Coppola, dont la trilogie du Parrain, Conversation Secrète, Apocalypse Now, Tucker, Jardins de pierre ou Jack.
On lui doit également les décors de Soleil Levant de Philip Kaufman, Sang chaud pour meurtre de sang-froid de Phil Joanou et Bulworth de Warren Beatty.
Dean Tavoularis a été lauréat à l'Oscar pour Le Parrain (2e partie).
Roman Polanski à propos du travail de Darius Khondji
"Tous ses films sont brillants. J'aime sa lumière, stylisée et pourtant réaliste. Dans La Neuvième Porte, on est constamment à la lisière du fantastique, et lorsqu'on bascule dans le surnaturel, c'est sans effort ni artifice. Darius Khondji se prépare très minutieusement. De tous les directeurs photo que je connais, c'est celui qui travaille le plus en amont. Cela nous a permis de déterminer pratiquement toutes les ambiances dès les repérages."
Darius Khondji, directeur de la photographie
Son travail sur Delicatessen et La Cité des Enfants perdus, de Caro et Jeunet, lui a valu le César de la Meilleure Photographie.
Cité à l'Oscar pour sa contribution à Evita d'Alan Parker, Darius Khondji a été directeur de la photographie sur Seven de David Fincher, Beauté volée de Bernardo Bertolucci, Alien - La Résurrection de Jean-Pierre Jeunet et Prémontions de Neil Jordan.
Le fantastique chez Roman Polanski
Roman Polanski a déjà abordé le fantastique et l'horreur dans ses précédents films et notamment dans Le bal des vampires (1967) et Rosemary's Baby (1968)
Roman Polanski, à propos du livre d'Arturo Perez-Reverte et de son adaptation
"C'est le livre d'un grand érudit qui débuta dans le journalisme et a signé là le plus grand succès de toute l'histoire de la littérature espagnole. C'est un superbe divertissement, un roman baroque, ludique, foisonnant, ouvrant sans cesse de nouvelles pistes, vraies ou fausses.
J'y ai pris un grand plaisir, mais il m'a semblé que sa transposition exigeait des choix précis et rigoureux. Le cinéma, dans mon esprit, demande des constructions plus cohérentes, plus rigides. Il fallait aussi faire un tri pour aboutir à un film d'une durée normale. C'est pourquoi j'ai seulement retenu ce que j'aimais le plus dans ce récit.
C'est un défi d'adapter un roman aussi complexe, mais j'aime ce genre de travail. J'aborde cela comme un jeu de patience, comme l'assemblage d'un vaste puzzle, et j'y trouve de grandes satisfactions." (extrait d'un entretien accordé à Olivier Eyquem).
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La Monja|Luis De La Madrid|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|1|espagnol|2006|93|Espagnol||XVID|||XVID|913 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|127 Kbps|False|44.1 KHz|2|698||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Julio Fernandez Brian Yuzna|Jaume Balaguero Manu Diez|David Carretero||Carrère Group||Elèves dans une école privée, six jeunes femmes subissent les mauvais traitements d'une nonne impitoyable. Quand l'une d'entre elles tombe enceinte, cette dernière décide de la "purifier" par la torture. Ses amies décident de l'aider et d'intervenir. La nonne disparaît et quelques semaines plus tard, l'école ferme ses portes. 17 ans après ces événements, les six amies ont grandi et se sont éloignées, afin d'oublier cette le terrible secret qui les lie. Pourtant quand deux d'entre elles sont retrouvées mortes, elles doivent se rendre à l'évidence : la nonne est de retour. Aidée de la fille de leur amie assassinée, elles retournent à l'école pour faire face à leur passé et affronter cette nonne vengeresse... |Anita Briem (Eva)@Belen Blanco (Julia)@Cristina Piaget (la Nonne)@Manu Fullola (Gabriel)@Alistair Freeland (Joel)@Teté Delgado (Cristy)@Oriana Bonet (Eulalia)@Paulina Galvez (Zoe)@Natalia Dicenta (Susan)@Lola Marcelli (Mary)@||Secrets de tournage :
Un projet entre amis
Le réalisateur Luis De La Madrid n'est pas parti en terrain inconnu lorsqu'on lui proposa de réaliser le projet La Nonne. Il a déjà travaillé auparavant pour les deux sociétés productrices Fantastic Factory (Filmax) et Filmax. Pour la première il est assistant réalisateur et responsable Effets Spéciaux sur différents films. Quant à la seconde, il est monteur cinq auparavant d'une de ses productions les plus connues, La Secte sans nom de Jaume Balaguero. Précisons encore que ce dernier est également l'un des deux scénaristes du film. Il n'y avait donc pas grande place pour le hasard !
La parole au réalisateur
Le metteur en scène évoque son film en soulignant les points importants de sa gestation : "Nous avons passé deux ans à la Fantastic Factory recherchant une histoire que je pourrais diriger jusqu'à ce que ce projet finalement arrive. Je [me] suis totalement immergé dedans et [j'ai] été très enthousiasmé par tout le travail préparatoire entrepris." Il évoque brièvement l'histoire : "Le scénario de La Nonne est rempli de tous les ingrédients nécessaires aux films d'horreur que nous aimons tellement chez Filmax et que les fans du genre attendent. Il a un scénario solide, qui nous permet non seulement de remplir les exigences du film d'horreur, et nous donne la liberté d'incorporer des éléments nouveaux pour créer une production très originale."
Quelques éléments biographiques
Luis De La Madrid a étudié dans l'école d'Audiovisuel EMAV de Barcelone entre 1989 et 1991. Il a suivi plus tard des cours de perfectionnement (El Curso Superior de Cinematografia), se spécialisant dans le montage. Depuis son diplôme en 1992, il a occupé divers postes dans l'industrie audiovisuelle : assistant de production, assistant réalisateur, assistant cameraman de télévision et dans la post production. Il a finalement définitivement opté pour le montage en 1995.
Une belle filmographie de monteur
Au fil des ans, Luis est devenu un monteur de tout premier plan, il a travaillé sur nombre de projets importants tel que L'Echine du diable de Guillermo Del Toro, Faust de Brian Yuzna, La Secte sans nom et Darkness de Jaume Balaguero, dernièrement il a monté The Machinist de Brad Anderson.
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Night at the Museum|Shawn Levy|Fantastique|Film pour enfants à partir de 6 ans|3|américain|2007|107|Anglais||XviD|||XVID|773 Kbps|656x368|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Shawn Levy Michael Barnathan Chris Columbus Bob Ducsay Josh McLaglen Lorne Orleans|Ben Garant Thomas Lennon|Guillermo Navarro||20th Century Fox|Saga : La Nuit au musée |Le Muséum d'Histoire Naturelle renferme dans ses murs un secret mystérieux et stupéfiant que Larry, nouveau gardien de sécurité, ne va pas tarder à découvrir avec affolement : la nuit, toutes les expositions prennent vie ! Sous ses yeux, les soldats romains et les cow-boys miniatures se lancent dans une guerre acharnée, Attila et ses Huns commencent à piller les expositions avoisinantes, la momie tente de sortir de son sarcophage, le squelette du redoutable ? mais néanmoins attachant ? tyrannosaure rôde dans les couloirs... Le chaos est total ! Larry pourra-t-il remettre de l'ordre dans ses collections et sauver le musée ? |Ben Stiller (Larry Daley)@Carla Gugino (Rebecca)@Dick Van Dyke (Cecil Fredericks)@Mickey Rooney (Kaa)@Bill Cobbs (Reginald)@Jake Cherry (Nick)@Ricky Gervais (Mr. McPhee)@Robin Williams (Teddy Roosevelt)@Kim Raver (Erica Daley)@Patrick Gallagher (Attila le Hun)@Rami Malek (Ahkmenrah)@Pierfrancesco Favino (Christophe Colomb)@Charles Q. Murphy (le chauffeur de taxi)@Steve Coogan (Octave)@Mizuo Peck (Sacagawea)@Stefan Karl Stefansson (voix)@Owen Wilson (Jedidiah)@Martin Christopher (Lewis)@Matthew Harrison (l'homme de Néanderthal)@Lou Torres (Miguel)@Alex Castillo (Mayan (voix))@Marshall Factora (le responsable du musée)@Ed Helms (le dentiste)@Darryl Quon (Hun)@Paul Rudd (Don)@Brad Garrett (La statue de l'île de Paques (voix))@Matthew Walker (Un politicien)@Jody Racicot (Un homme de Néanderthal)@Teagle F. Bougere (Mike l'instituteur)@Martin Sims (Clark)@Nico McEown (Un ami)@Meshach Peters (Un ami)@Kerry van der Griend (Un homme de Néanderthal)@Anna Meara (Debbie)@Paul Chih-Ping (Un hun)@Jason Vaisvila (Un viking)@Cade Wagar (Un viking)@Crystal the monkey (Dexter)@Randy Lee (Un hun)@Gerald Wong (Un hun)@Dan Rizzuto (Un homme de Néanderthal)@||Secrets de tournage :
Adapté d'un livre de Milan Trenc
La Nuit au musée est l'adaptation du livre pour enfants homonyme écrit par l'auteur croate Milan Trenc.
Un scénario signé Thomas Lennon / Robert Ben Garant
Le scénario de La Nuit au musée a été écrit par le duo Thomas Lennon / Robert Ben Garant à qui l'on doit l'écriture d'une autre comédie familiale, La Coccinelle revient. Thomas Lennon se souvient : "Nous avons tous les deux grandi à New York et lorsque nous étions enfants, nous adorions passer du temps au Muséum d'Histoire Naturelle. Nous le connaissions par coeur."
Robert Ben Garant précise : "Nous rêvions de nous cacher dans le musée pour pouvoir y jouer après la fermeture. Se retrouver seul, à la nuit tombée, au milieu de personnages légendaires ou d'énormes créatures est un rêve d'aventure que partagent beaucoup d'enfants - et d'adultes aussi !"
Shawn Levy donne de sa personne
Bien souvent, Ben Stiller devait jouer alors que les magiciens des effets spéciaux n'avaient pas encore créé les créatures face auxquelles il était confronté. Pour l'aider à ressentir leur présence, Shawn Levy n'a pas hésité à se jeter dans la bataille.
Le réalisateur confie : "Ces moments resteront certainement parmi les plus surréalistes de ma vie. Pour aider Ben, je me suis retrouvé dans des costumes ridicules ou sous des masques de tyrannosaure à le poursuivre devant un fond vert ! Parfois je tombais, parfois nous étions morts de rire mais le plus souvent, cela l'aidait ! Heureusement pour le film, j'étais ensuite effacé et remplacé par les vraies créatures !"
Casting troisième âge
Pour camper les trois gardiens de nuit que Ben Stiller est censé remplacer dans le film, Shawn Levy a sorti de leur retraite trois acteurs vétérans, véritables légendes hollywoodiennes : Mickey Rooney, Dick Van Dyke et Bill Cobbs. Le réalisateur se souvient : "C'est un trio exceptionnel ! Dick, Mickey et Bill sont des légendes chacun dans leur domaine. Dick Van Dyke possède une élégance espiègle et nonchalante, Mickey Rooney est d'une spontanéité remarquable et Bill Cobbs a un air mystérieux qui n'appartient qu'à lui. Ils forment un trio malicieux, complice qui se nourrit de leurs différences et de leurs personnalités. Un par un, ils sont fantastiques ; ensemble, ils sont extraordinaires !"
Robin Williams en Président des Etats-Unis
Pour préparer son rôle de Theodore Roosevelt, Robin Williams s'est documenté sur la vie et la pensée du Président des Etats-Unis. La détermination de celui-ci l'a beaucoup marqué. L'acteur confie : "C'était un homme dynamique et positif. C'est cette attitude que mon personnage tente de communiquer à Larry Daley. Il cherche à lui montrer qu'il est possible de réussir en surmontant tous les a priori. Il va tenter de lui donner confiance en lui et pour cela, remettre de l'ordre dans ce musée est un bon début."
Un musée recréé grandeur nature
L'ampleur du travail du chef décorateur Claude Paré et de la costumière Renée April était considérable, car si l'équipe du film a été autorisée à filmer les extérieurs du Muséum d'Histoire Naturelle, il n'était pas question de tourner des scènes d'action à l'intérieur, au milieu des précieuses collections. Les équipes techniques ont donc dû reconstituer toutes les salles grandeur nature sur les immenses plateaux des Mammoth Studios à Vancouver.
Ainsi pendant plusieurs semaines, les artistes travaillant pour Claude Paré se sont transformés en conservateurs de musée, accumulant et créant des pièces de collection ou des scènes allant du pêcheur inuit sur son glacier à l'homme de Neandertal essayant d'allumer un feu dans sa grotte.
Les artistes ont par ailleurs travaillé jour et nuit par équipes alternées, sept jours sur sept, afin de préparer les statues, maquettes et miniatures du film. La zone des pyramides, construite pour la galerie égyptienne, est notamment inspirée de celle du Metropolitan Museum de New York.
Une déferlante d'effets spéciaux
Pour animer les créatures et statues du musée, Shawn Levy a fait appel à Jim Rygiel, qui a notamment travaillé sur la trilogie du Seigneur des anneaux, et à Rhythm & Hues, la société qui a réalisé les animaux du Monde de Narnia. L'une de leurs tâches les plus difficiles a consisté à travailler sur des dioramas pour rendre réelles des armées de quelques centimètres de hauteur.
Jim Rygiel raconte : "Nous avons créé 89 maquettes qui ont servi de base à plusieurs centaines de variations sur ordinateur. Nous avons également filmé de vrais acteurs en train de se battre puis nous les avons multipliés numériquement de sorte que, lorsqu'on voit des cow-boys face à des Romains sur un diorama, chaque personnage ait ses propres caractéristiques."
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Night At The Museum : Battle of the Smithsonian|Shawn Levy|Comédie|Film pour enfants à partir de 6 ans|2|américain|2009|99|Anglais||XviD|||XVID|847 Kbps|640x256|MPEG-1 Audio layer 3|127 Kbps|False|44.1 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Michael Barnathan Chris Columbus Shawn Levy Mark Radcliffe|Thomas Lennon Ben Garant|John Schwartzman||20th Century Fox|Saga : La Nuit au musée |Le plus grand musée du monde vient d'accueillir de nouvelles expositions, et parmi elles, l'ancestrale tablette des pharaons aux pouvoirs magiques. Désormais la nuit, toutes les animations du musée prennent vie, y compris le maléfique pharaon Kahmunrah et ses acolytes Al Capone, Ivan le Terrible et Napoléon. Le gardien de musée Larry et ses vieux amis le Président Roosevelt, Attila, T-Rex, le romain Octavius et Jedediah le cowboy vont devoir livrer une bataille acharnée et délirante contre ces animations malintentionnées. |Ben Stiller (Larry Daley)@Robin Williams (Theodore Roosevelt)@Hank Azaria (Kah Mun Rah/Le Penseur/Lincoln)@Amy Adams (Amelia Earhart)@Owen Wilson (Jedidiah)@Steve Coogan (Octave)@Ricky Gervais (Mr. McPhee)@Alain Chabat (Napoléon)@Christopher Guest (Ivan le terrible)@Bill Hader (Général Custer)@Jon Bernthal (Al Capone)@Jonah Hill (le garde du Smithsonian)@Thomas Lennon (Wilbur Wright)@Eugene Levy (Einstein)@Craig Robinson (Tuskegee Airman #2)@Mizuo Peck (Sacajawea)@Rami Malek (Ahkmenrah)@Ben Garant (Orville Wright)@Jake Cherry (Nick Daley)@Patrick Gallagher (Attila le Hun)@Keith Powell (Tuskegee Airman #1)@Matthew Harrison (Neanderthal)@Samuel Patrick Chu (l'adolescent #1)@Nicole Wilson (le professeur)@Alberta Mayne (la fille qui embrasse)@Nick Dash (Ulysses S. Grant)@Regina Taufen (Gina, la secrétaire)@Kerry van der Griend (Neanderthal)@Darryl Quon (le Hun #2)@Rick Dobran (Neanderthal)@Jay Baruchel (Marin Joey Motorola)@Clint Howard (Contrôleur Mission Air and Space #1)@Shawn Levy (le père Infomercial)@Paul Kevin Jonas (Chérubin #1 (voix))@Joe Jonas (Chérubin #2 (voix))@Nick Jonas (Chérubin #3 (voix))@Brad Garrett (Statue de l'île de Pâques (voix))@||Secrets de tournage :
Le musée réouvre ses portes !
Comme son titre le laisse entendre, La Nuit au musée 2 est la suite de La Nuit au musée, qui s'était classé parmi les plus gros succès de 2007 avec plus de 250 millions de dollars de recettes aux Etats-Unis, et plus de 2,2 millions d'entrées en France.
Et de six !
La Nuit au musée 2 est le sixième long métrage réalisé par Shawn Levy, un spécialiste des comédies à qui l'on doit notamment La Panthère Rose ou La Nuit au musée.
Plus vrai que nature
Des autorisations pour filmer des scènes de La Nuit au musée 2 situées à la National Art Gallery sur les lieux étant - logiquement - impossibles à obtenir, le chef décorateur Claude Paré a du en reconstruire une réplique en studio. Au final, cette dernière est tellement réaliste qu'il déclare : "Notre décor n'est pas une copie exacte de l'original, mais je ne serais pas surpris d'apprendre que le lendemain de la sortie du film, des membres du comité directeur auront demandé qui a autorisé le tournage d'un film dans la National Art Gallery !"
Filmer au musée
L'un des plus gros défis de l'équipe de La Nuit au musée 2 a été de pouvoir tourner au Smithsonian. Ils ont finalement obtenu les précieuses autorisations... mais que pour les heures d'ouverture du musée, celui-ci ne fermant ses portes pour aucun homme ni film : "Quand nous tournions au Smithsonian, c'était un peu comme être au théâtre parce que Ben [Stiller] devait jouer ses scènes devant des centaines de spectateurs", explique Shawn Levy.
Ils reviennent au musée
Outre Ben Stiller, Owen Wilson (Jedediah), Steve Coogan (Octavius), Robin Williams (Theodore Roosevelt), Mizuo Peck (Sacagawea), Patrick Gallagher (Attila), Ricky Gervais (McPhee), Dick Van Dyke (Cecil) et le singe Dexter font leur retour dans La Nuit au musée 2.
French touch
Pour sa première incursion à Hollywood, Alain Chabat incarne ni plus ni moins que son compatriote, l'Empereur Napoléon Bonaparte : "Je joue un Napoléon très colérique, excessivement nerveux, très bruyant et court sur pattes avec un chapeau énorme et un problème avec sa taille. Comme les trois autres méchants, il a un ego démesuré et un sacré caractère."
Comme on se retrouve !
Interprète du pharaon Kahmunrah dans La Nuit au musée 2, Hank Azaria retrouve Ben Stiller pour la quatrième fois, après Mystery Men, Polly et moi et Même pas mal ! (Dodgeball).
Ironie, quand tu nous tiens
Interprète de l'aviatrice Amelia Earhart dans le film, Amy Adams possède une particularité : elle a peur de voler !
Amelia par Amy
"Je ne pouvais tout simplement pas refuser de jouer un tel personnage historique. Amelia Earhart était une héroïne, et son audace et sa force font d'elle un modèle", raconte son interprète, Amy Adams. "C'est le partenaire idéal pour Larry parce qu'elle le pousse à se souvenir de qui il est vraiment, à voir ce qui est important pour lui, et à ne jamais laisser s'échapper les opportunités qui s'offrent à lui. Je me suis beaucoup documentée sur Amelia, mais le film n'est pas un biopic sur elle. En fait, je joue une version idéalisée d'Amelia qui met en avant ses qualités les plus remarquables."
Et l'amour dans tout ça ?
Petite nouveauté pour Larry (Ben Stiller) dans ce film : il se retrouve au coeur d'une histoire d'amour. Un changement qui n'a pas déplu au comédien : "Je me sentais un peu seul dans le premier film parce que c'était Larry contre les créatures du musée. Mais cette fois, Larry a quelqu'un avec qui courir dans les allées du Smithsonian et cela a rendu la chose beaucoup plus excitante pour moi."
« Préc.
C'est l'un des musées les plus visités au monde. Tous les ans, 25 millions de visiteurs viennent admirer et découvrir les reliques qu'il abrite, parmi lesquelles les magnifiques tableaux de la National Art Gallery et les vieux avions du National Air & Space Museum. La Nuit au musée 2 est le premier film d'action et d'aventure à avoir été tourné au Smithsonian Institute.
Deux grands esprits se rencontrent
La Nuit au musée 2 est le deuxième film on l'on peut retrouver Abraham Lincoln et Napoléon, qui s'étaient déjà "rencontrés" dans Bill & Ted's Excellent Adventure, en 1989.
« Préc.
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The Pink Panther|Blake Edwards|Comédie||3|britannique, américain|1964|110|||DX50|||DX50|799 Kbps|672x272|MPEG-1 Audio layer 3|114 Kbps|False|48.0 KHz|2|730||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Martin Jurow|Blake Edwards Maurice Richlin|Philip H. Lathrop||Action Cinémas / Théâtre du Temple|Saga : La Panthère rose |Le Phantom, mystérieux cambrioleur introuvable, dépouille régulièrement le gotha de ses bijoux. Une belle princesse fuyant son pays arrive en Europe avec dans ses bagages une extraordinaire pierre precieuse, "La Panthère Rose". En villégiature à Cortina d'Ampezzo, elle devient la proie numéro un du voleur. L'inspecteur Clouseau est envoyé sur les lieux pour débusquer l'insaisissable Phantom. |Peter Sellers (Inspecteur Jacques Clouseau)@David Niven (Sir Charles Litton)@Robert Wagner (George Litton)@Capucine (Simone Clouseau)@Brenda De Banzie (Angela Dunning)@Claudia Cardinale (Princesse Dala)@John Le Mesurier (L'avocat de la défense)@Colin Gordon (Tucker)@James Lanphier (Saloud)@Guy Thomajan (Artoff)@Michael Trubshawe (Felix Townes)@Riccardo Billi (Aristotle Sarajos)@Meri Welles (Monica Fawn)@Martin Miller (Pierre Luigi)@Fran Jeffries (le cousin grec)@Mario Fabrizi (le maître d'hôtel 1)@Eugene Walter (le maître d'hôtel 2)@||Secrets de tournage :
Un succès inattendu
La Panthère rose constitue le premier volet d'une saga fameuse du grand écran. Le succès inattendu de ce film amena les auteurs, Blake Edwards en tête, à imaginer une et plusieurs suites, de qualité diverses mais également couronnée de succès et dont l'inspecteur Clouseau, incarné par Peter Sellers et qui était à l'origine un personnage secondaire devint la figure de proue.
Une musique immortelle
Le thème de La Panthère rose a pour auteur Henry Mancini, habituel complice multi-oscarisé de Blake Edwards et qui accompagnera toute la saga avec cette légendaire partition jazzy qui a fait le tour du monde.
Un générique de légende
Outre le score signé Henry Mancini, La Panthère rose s'est signalé par un générique très fameux qui a par la suite donné naissance à une série animée oscarisée en 1964 et incontournable sur le petit écran.
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The Pink Panther|Shawn Levy|Comédie||2|américain, britannique|2006|88|Anglais||DX50|||DX50|963 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Robert Simonds|Len Blum Steve Martin|Jonathan Brown||Metro Goldwyn Mayer (MGM)|Saga : La Panthère rose |Un célèbre entraîneur de football est assassiné et une bague, ornée du fameux diamant La Panthère Rose, lui a été dérobée. Le gouvernement français a besoin d'un détective de génie pour résoudre le mystère mais personne n'est libre. L'inspecteur Jacques Clouseau arrive alors à la rescousse.Une pop star, un joueur de foot, un assassin chinois... tous sont suspects mais qui est le coupable ? Clouseau et son acolyte Ponton vont devoir résoudre ce cas épineux et empêcher leur chef Dreyfus de récolter les lauriers de l'enquête. |Steve Martin (L'inspecteur Jacques Clouseau)@Kevin Kline (L'inspecteur chef Dreyfus)@Beyoncé Knowles (Xania)@Jean Reno (Le gendarme Gilbert Ponton)@Emily Mortimer (Nicole)@Jason Statham (Yves Gluant)@Henry Czerny (Yuri)@Monty C. Floyd (Le portier du Waldorf)@Chad Gabriel (Le concierge de l'hôtel)@Phillip Goodwin (L'inspecteur Renard)@Nick Toren (L'agent Savard)@William Abadie (Bizu)@Scott Adkins (Jacquard)@Alice Taglioni (Une journaliste)@Dexter Bell (Terry Ahkee-Sauce)@Kristin Chenoweth (Cherie)@Daniel Sauli (Roland Saint-Germain)@Stephen Rowe (Sykorian )@Radu Spinghel (Hwang)@Clive Owen (L'agent 006)@Delphine Chaneac@||Secrets de tournage :
La Panthère Rose - Remake
Une fois de plus l'histoire de La Panthère Rose est racontée au cinéma. En 1963, on retrouve déjà Peter Sellers dans le rôle du fameux Inspecteur Clouseau. Ce premier opus a donné vie à une incroyable saga de 6 long-métrages, tous réalisés par Blake Edwards et interprété par Peter Sellers.
Duo
Le casting de La Panthère Rose nous livre Jean Reno et Kevin Kline, mais ce n'est pas la première fois que les deux acteurs se retrouvent sur le même écran. Effectivement en 1995, on avait déjà pu voir le duo dans French Kiss, une comedie romantique dans laquelle on retrouve également Meg Ryan.
Actrice, mais toujours musicienne...
Beyoncé Knowles ne s'est pas contentée de jouer dans La Panthère Rose, elle a aussi composé quelques titres de la bande originale.
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The Pink Panther 2|Harald Zwart|Comédie||2|américain|2009|94|Anglais||DX50|||DX50|905 Kbps|672x272|MPEG-1 Audio layer 3|115 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Robert Simonds|Steve Martin Scott Neustadter Michael H. Weber|Denis Crossan||Sony/Columbia|Saga : La Panthère rose |Après avoir été récompensé pour avoir résolu le mystère du Diamant Rose, l'inspecteur Jacques Clouseau a été assigné à des tâches mineures par son chef l'inspecteur Dreyfus afin de ne plus l'avoir dans ses jambes. Hélas, le fameux diamant a été de nouveau dérobé au cours d'une série de cambriolages à travers le monde. Ses succès précédents vont permettre à l'inspecteur Clouseau d'intégrer la dream team qui comprend les plus grands détectives des pays concernés et lui permettre de déployer ses nombreux talents au-delà des frontières !! |Steve Martin (l'Inspecteur Clouseau)@Jean Reno (Ponton)@Alfred Molina (Pepperidge)@Emily Mortimer (Nicole)@Aishwarya Rai (Sonia)@Andy Garcia (Vicenzo)@Lily Tomlin (Madame Berenger)@John Cleese (l'Inspecteur en chef Dreyfus)@Yuki Matsuzaki (Kenji)@Jack Metzger (Antoine)@Geoffrey Palmer (Joubert)@Phillip Goodwin (Renard)@Armel Bellec (Louis)@Yevgeni Lazarev (le Pape)@Simon Green (le libraire britannique)@Sean Patrick Doherty (le Général français)@Federico Castelluccio (le guide italien)@Andria Blackman (l'hôtesse de l'air)@Roger Dillingham Jr. (le dignitaire international)@Lewis D. Wheeler (Black Beret)@Jaime De La Rosa (un invité de la fête internationale)@Michael Anthony Coppola (un serveur)@John Dixon@Tarek Moussa (Serveur)@Kimmie Johnson (le touriste japonais)@Vincent J. Earnshaw (un invité de la soirée )@Nicki Connors (la journaliste italienne)@Jennifer Gjulameti (une invitée au mariage)@Richard DeAgazio (le dignitaire italien)@Haytham Kandil (le serveur italien)@Patrick Mel Hayes (l'officier militaire français)@Jeremy Irons (Avellaneda)@Johnny Hallyday (Milliken)@Richard LaFrance@Judith Godrèche (une journaliste)@Abe Lee Tsunenori (le policier japonais)@Jimmy May@Harry Van Gorkum (le conducteur)@Michael Allosso@Zofia Moreno (une journaliste)@Alexis Furic (un journaliste)@Réna Kano (une journaliste)@Jonathan Dino (un journaliste)@Sharon Tay@Joshua R. Roberts (le caméraman)@Lia Ochoa (la danseuse de flamenco)@||Secrets de tournage :
La Panthère Rose est de retour
La Panthère Rose 2 est la suite de La Panthère Rose, réalisé en 2006 par Shawn Levy d'après les célèbres personnages créés par Maurice Richlin et Blake Edwards.
La Panthère Rose au cinéma
La Panthère Rose 2 marque la neuvième apparition de l'Inspecteur Clouseau sur grand écran. La saga La Panthère Rose, d'après les personnages créés par Maurice Richlin et Blake Edwards, débute en 1964 avec La Panthère Rose, puis se poursuivra avec Le Retour de la Panthère rose (1975), Quand la Panthère rose s'emmêle (1977), La Malédiction de la Panthère rose (1978) et A la recherche de la Panthère rose (1983), tous les films étant emmenés par Peter Sellers dans le rôle de L'Inspecteur Clouseau. Suivront L'Héritier de la Panthère Rose (1983), avec Roger Moore, puis Le Fils de la panthère rose (1993), avec Roberto Benigni. Après cette saga dont tous les films ont été réalisés par Blake Edwards, La Panthère Rose de Shawn Levy, en 2006, marque un nouveau départ pour le personnage de Clouseau, cette fois incarné par Steve Martin.
Ils sont de retour !
Dans La Panthère Rose 2, Steve Martin reprend son rôle de l'impayable Inspecteur Clouseau, alors que Jean Reno retrouve l'uniforme du gendarme Gilbert Ponton et que Emily Mortimer reprend son rôle de Nicole.
Steve Clouseau
L'acteur Steve Martin, avec La Panthère Rose 2, incarne l'Inspecteur Clouseau pour la deuxième fois sur grand écran. Il ne cache pas sa joie de retrouver ce personnage culte : "J'adore jouer Clouseau. J'ai du retravailler un peu mon accent, mais hormis cela, il s'agissait pour moi de retrouver un vieil ami. Ce rôle me donne l'opportunité de pratiquer un comique très physique, burlesque, parce que Clouseau est un personnage extrême. Il est à la fois innocent et enfantin. Il est convaincu de faire ce qu'il y a de mieux dans toutes les situations, et cette assurance le rend très drôle. Quand on m'a proposé de faire une suite, j'ai tout de suite accepté."
Des petits nouveaux pour une nouvelle enquête
Shawn Levy, le réalisateur de La Panthère Rose, a laissé sa place à Harald Zwart (Divine mais dangereuse) pour La Panthère Rose 2. Shawn Levy officie désormais comme producteur exécutif sur ce second volet. John Cleese remplace quant à lui Kevin Kline dans le rôle de l'Inspecteur Dreyfus. Parmi les nouveaux venus, citons , Alfred Molina, et la sublime star bollywoodienne Aishwarya Rai.
Caméos français
La Panthère Rose 2 a un petit côté français, puisque le chanteur et acteur Johnny Hallyday ainsi que la comédienne Judith Godrèche y font de courtes apparitions.
Tournage parisien
Le tournage de La Panthère Rose 2 s'est notamment déroulé à Boston et Paris. L'équipe a posé ses caméras dans de nombreux endroits de la capitale : à la Tour Eiffel, sur le Pont de l'Archevêché derrière la cathédrale Notre-Dame, dans une vieille rue du quartier du Marais, à l'Ecole Nationale Supérieure des Arts et Métiers, au Petit Palais et au Grand Palais. L'équipe s'est également rendue au château de Ferrières, dans les environs de Paris.
Un Paris de carte postale
Pour La Panthère Rose 2, les cinéastes ont choisi de créer un Paris de carte postale, intemporel, classique et romantique. Un Paris de terrasses de cafés, de fleuristes, d'artistes des rues et de voitures aux lignes étranges, inspiré de films tels que Madeline de Daisy Von Scherler Mayer, Le Ballon rouge d'Albert Lamorisse, mais aussi inspiré des films de Jacques Tati et... du film d'animation Ratatouille. Ainsi, l'action de La Panthère Rose 2 se déroule dans un Paris moderne, mais avec la la présence d'éléments anachroniques.
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The Little Shop of Horrors|Roger Corman|Comédie||2|américain|1960|93|Anglais||DX50|||DX50|922 Kbps|720x480|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|692||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Roger Corman|Charles B. Griffith|Archie R. Dalzell||Warner Bros. France||Le jeune Seymour, employé d'un minable fleuriste, est propriétaire d'une mystérieuse plante qu'il a baptisé Audrey Junior par amour pour Audrey, sa jolie collègue de travail. Mais la plante se nourrit de sang humain, parlant pour réclamer sa nourriture et grandissant de façon inquiètante : elle devient très vite une attraction touristique. Bientôt, Seymour est obligé de lui fournir de nombreuses victimes et se retrouve pourchassé par la police ... |Jonathan Haze (Seymour Krelboined)@Jackie Joseph (Audrey Fulquard)@Mel Welles (Gravis Mushnik)@Dick Miller (Burson Fouch)@Myrtle Vail (Winifred Krelboined)@Leola Wendorff (Sadie Shiva)@Jack Nicholson (Wilbur Force)@Tammy Windsor (Une adolescente)@Toby Michaels (Une adolescente)@Lynn Storey (Mme Hortense Feuchtwanger)@Wally Campo (Detective Sergent Joe Fink/Narrateur)@Jack Warford (Detective Frank Stoolie)@Meri Welles (Leonora Clyde)@John Herman Shaner (Dr. Phoebus Farb )@Dodie Drake (La serveuse)@Robert Coogan (Un clochard)@Charles B. Griffith (Le cambrioleur / La voix de Audrey Jr. / Kloy / L'homme saoûl chez le dentiste / Le patient qui crie)@Jack Griffith (L'homme saoûl)@||||||||||||@@
The Little Mermaid|John Musker Ron Clements|Animation|Film pour enfants|3|américain|1990|79|Anglais||DX50|||DX50|1 085 Kbps|696x454|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|693||||25.000|28/07/2009 00:00:00|John Musker|Roger Allers Ron Clements John Musker Rob Minkoff|||Warner Bros. France||Malgré l'interdiction de son père, le roi Triton, Ariel, la petite sirène, ne peut résister à la tentation d'aller à la rencontre d'un monde inconnu, celui des humains. Accompagnée de Polochon, elle gagne la surface de l'océan et s'approche d'un grand navire où est donnée une grande fête en l'honneur du prince Eric, dont elle tombe immédiatement amoureuse. Une terrible tempête se lève et le prince est projeté par-dessus bord. Ariel le sauve de la noyade, le dépose sur le continent puis disparaît. Mais elle ne réussit pas à oublier le prince. |Claire Guyot (Ariel, la sirène (voix française))@Thierry Ragueneau (le Prince Eric (voix française))@Micheline Dax (Ursula, la pieuvre (voix française))@Boris Roatta (Polochon (voix française))@Henri Salvador (Sébastien, le crabe (voix française))@Jacques Deschamps (le Roi Triton (voix française))@Gérard Rinaldi (Louis (voix française))@||||||||||||@@
Running Scared|Wayne Kramer|Policier|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|2006|121|Anglais||XviD|||XVID|653 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|686||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Sammy Lee Brett Ratner Michael A. Pierce Tony Grazia Jeff G. Waxman|Wayne Kramer|Jim Whitaker||New Line Cinema||Jusqu'à présent, Joey avait toujours réussi à jongler entre son job secret au service de la mafia italienne et son rôle de père de famille. Mais cette fois, le pire est arrivé. Le meilleur ami de son jeune fils lui a dérobé une arme qu'il cachait dans sa cave. Au-delà du danger, ce revolver est aussi une pièce à conviction impliquant les patrons de Joey dans un assassinat explosif. Le gamin qui l'a pris semble décidé à s'en servir contre son beau-père, un névrotique appartenant à la mafia russe, qui aurait tout intérêt à ce que cette preuve tombe entre les mains de la police. L'inspecteur Rydell est d'ailleurs sur le coup, mais il est loin d'être net...Joey n'a que quelques heures pour récupérer l'arme, sauver sa vie et sa famille. Il doit coûteque coûte rattraper l'enfant avant que l'une des mafias ne mette la main dessus. La nuit va être longue... |Paul Walker (Joey Gazelle)@Cameron Bright (Oleg Yugorsky)@Vera Farmiga (Teresa Gazelle)@Karel Roden (Anzor "Duke" Yugorsky)@Johnny Messner (Tommy "Tombs" Perello)@Ivana Milicevic (Mila Yugorsky)@Chazz Palminteri (l'inspecteur Rydell)@Alex Neuberger (Nicky Gazelle)@Michael Cudlitz (Sal "Gummy Bear" Franzone)@Bruce Altman (Dez)@Elizabeth Mitchell (Edele)@Arthur J. Nascarella ( Frankie Perello )@John Noble (Ivan Yugorsky)@Idalis DeLeon (Divina)@David Warshofsky (Pimp Lester)@||Secrets de tournage :
Par le réalisateur de Lady chance
Wayne Kramer est à la fois le réalisateur et le scénariste de La peur au ventre. Son dernier long-métrage Lady chance avait été présenté au festival de Sundance en 2003.
Paul Walker à nouveau dans un film d'action
L'acteur principal de La peur au ventre Paul Walker a joué le rôle principal de Fast & furious et de la suite 2 fast 2 furious.
Carte blanche
Les producteurs ont laissé carte blanche à Wayne Kramer pour le scénario, la réalisation et le choix des interprètes. Michael A. Pierce, un des producteurs s'exprime sur la liberté qu'il a accordé au réalisateur : " La vision de Wayne était si précise et son projet si abouti que nous ne voulions pas confier le film aux habituels circuits de production des grands studios. IIs affadissent souvent le contenu et refuse de prendre des risques. C'est pourquoi nous avons décidé de le produire en toute indépendance."
Tourné à la steadicam
Plus de 70 % de La peur au ventre a été tourné à la steadicam pour être au plus près de l'action et des comédiens. Certaines scènes du film ont été tourné en haut d'une grue, il fallait donc que l'image véhicule un sentiment de stabilisation et d'équilibre.
Action !
La peur au ventre comporte de nombreuses scènes d'action qui ont nécéssité des cascades. C'est Joel Kramer qui a été chargé de régler ces séquences d'action. L'acteur Paul Walker qui est un athlète et un surfeur a assuré la majeure partie des cascades seul.
Tournage en République Tchèque
Le tournage de La peur au ventre s'est déroulé en République Tchèque où le chef décorateur, Toby Corbett a du reconstituer une petite ville du New Jersey. Pour les extérieurs, il a du changer la signalétique d'une station de bus, redécorer des trains et modifier les éléments architecturaux afin que les quartiers périphériques de Prague ressemble à un bourg de l'Amérique profonde.
Une ambiance brute et réaliste
Le directeur de la photographie James Whitaker qui avait déjà collaboré avec Wayne Kramer dans Lady chance a travaillé sur des couleurs à dominante bleutée pour rendre l'atmosphère du film plus brute et plus réaliste.
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Treasure Planet|Ron Clements John Musker|Animation||3|américain|2002|94|Anglais||DivX|||DIVX|890 Kbps|544x320|MPEG-1 Audio layer 3|134 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Roy Conli Ron Clements John Musker|Ron Clements John Musker Rob Edwards Kaan Kalyon Mark Kennedy Sam Levine Donnie Long Frank Nissen Ken Harsha Barry Johnson Terry Rossio|||Buena Vista Pictures||Jim Hawkins, un garçon de quinze ans, vit paisiblement avec sa mère dans une ville portuaire. Un jour, il tombe sur un homme gravement blessé, mais il ne peut le sauver d'une mort certaine. L'homme, du nom de Billy Bones, lui remet un orbe précieux qui contient une carte. Celle-ci mène à un fabuleux trésor de pirates, le légendaire "butin des mille mondes".
Le docteur Doppler organise rapidement une expédition à bord du RLS Legacy, un magnifique galion de l'espace. Jim entreprend ce fantastique voyage comme mousse. Grâce aux conseils bienveillants de son ami John Silver, le charismatique cyborg cuisinier du navire, le jeune garçon devient un talentueux navigateur. Il affronte, avec les autres membres de l'équipage, les supernovas, les trous noirs et les terribles tempêtes du cosmos. Mais il découvre bientôt que son vieil ami Silver est en fait un pirate qui complote une mutinerie. |David Hallyday (Jim Hawkins (voix française))@Michèle Laroque (le capitaine Amélia (voix française))@Lorànt Deutsch (B.E.N. (voix française))@Jacques Frantz (John Silver (voix française))@Bernard Alane (le Docteur Doppler (voix française))@Igor de Savitch (Mr Arrow (voix française))@Pascal Renwick (Scroop (voix française))@Patrick Messe (Billy Bones (voix française))@Ninou Fratellini (Sarah Hawkins (voix française))@Gwenvin Sommier (Jim enfant (voix française))@Jean Topart (le narrateur (voix française))@||Secrets de tournage :
L'île au trésor
La Planète au trésor est une adaptation de L'Île au trésor, le roman d'aventure de Robert Louis Stevenson publié en un volume en 1883. L'ouvrage a déjà suscité de nombreuses adaptations cinématographiques parmi lesquelles on peut citer L' Ile au tresor de Victor Fleming, L' Ile au tresor de John Hough avec Orson Welles ou L' Ile au trésor de Raoul Ruiz.
Un projet de longue haleine
L'idée d'adapter L'Île au trésor ne date pas d'aujourd'hui. Ron Clements et John Musker ont élaboré ce projet il y a déjà dix-sept ans mais à l'époque les techniques étaient trop limitées pour le rendre réalisable. Il a fallu attendre le développement de l'animation assistée par ordinateur pour relancer la projet. La planète au trésor a ainsi demandé plus de quatre années et demi de travail pour sa conception.
la technique du "Deep Canvas"
Pour les besoins de La Planète au trésor, les animateurs ont eu recours à une technique jusqu'ici limité le "Deep Canvas". Ce procédé consiste à peindre sur des formes géométriques 3D animées par ordinateur. Les traits de pinceaux adhérent à des points fixés à l'espace et se déplacent au gré des mouvements. Cette technique permet la fluidité et la précision de l'infographie tout en conservant le style particulier du dessin traditionnel. Grâce à cette nouvelle technologie, tous les éléments lumière, couleur et densité peuvent être modifiés et la caméra peut être axée n'importe où dans le décor et s'y déplacer.
Entre passé et futur
En définissant le style visuel de leur film, Ron Clements et John Musker ont voulu transposer le roman de Robert Louis Stevenson dans un univers de science-fiction. Le premier s'explique : "Nous souhaitions créer un nouveau monde qui n'appartienne ni au passé ni au futur. J'ai toujours apprécié la science-fiction et depuis que j'ai commencé à travailler chez Disney, j'ai eu envie de traduire ce genre dans un film du studio. Mais je ne voulais pas de quelque chose de high-tech ni de trop futuriste qui pourrait devenir daté. L'Île au trésor m'a semblé idéal parce que l'intrigue est intemporelle. Nous avons voulu faire notre film comme si Stevenson avait écrit un roman fantastique et de science-fiction. C'est comme si le futur était vu depuis le XVIIIème siècle. Il n'y a ni ordinateurs, ni télévisions, mais plutôt des éléments du siècle passé qui aurait pu être transplanté dans le futur. L'alliance des symboles de la piraterie et de l'univers donne un résultat surprenant de cohérence. Nous avons abouti à notre propre combinaison d'éléments en nous inspirant fortement du passé afin de lui donner une chaleur dont le genre est habituellement dépourvu."
La peinture Brandwyne
L'école de peinture Brandwyne a été une des sources d'inspiration visuelle pour La Planète au trésor. Des artistes comme Howard Pyle, Maxfield Parrish ou N.C. Wyeth, appartenant à ce courant, étaient déjà les illustrateurs de l'édition Scribner de 1911 du roman de Robert Louis Stevenson, L'île au trésor.
Couleurs
Pour la première fois, les couleurs d'un film d'animation ont été créées par ordinateur. Dan Cooper, qui a supervisé les décors, justifie ce choix : "On procède toujours en peignant touche par touche, mais au lieu d'utiliser un pinceau, on emploie un stylet. Obtenir ce style visuel "peinture à l'huile" à la main aurait été impossible parce qu'il faut compter six mois à un an de séchage par peinture. Avec l'ordinateur, on obtient exactement le même aspect instantanément !" Cette approche "peinture à l'huile" n'avait pas été utilisé depuis Bambi, il y a soixante ans.
Un travail d'équipe
L'animation recquiert souvent un travail d'équipe. Un personnage comme celui de John Silver exige au moins un minimum de deux personnes. Glen Keane commence par dessiner des esquisses de chaque scène. C'est lui qui définit les émotions du personnage, son timing et ses mouvements. Eric Daniels scanne ensuite tous les dessins et retravaille tous les dessins de manière numérique. Une des grandes difficultés techniques du film a ainsi été de mêler l'animation à la main et les images numériques. Plus de 350 artistes ont travaillé sur le projet.
Hommage aux films d'aventure
Le compositeur James Newton Howard avoue avoir voulu rendre hommage aux grands films d'aventure par ses compositions :"Cette musique est l'aboutissement de beaucoup de choses que j'ai essayé par le passé. Elle s'inscrit dans le riche héritage de Erich Wolfgang Korngold, Dimitri Tiomkin et Max Steiner, et des films d'aventures flamboyants qu'ils ont aidé à créer."
Morph
Morph n'est pas un personnage comme les autres. C'est le seul à être doublé par la même voix en français comme en anglais à savoir Dane A. Davis. Cette créature étrange aurait par ailleurs été inspiré à l'animateur Mike Show par "un chiot, son fils et une lampe à lave".
Des réalisateurs maisons
Ron Clements et John Musker, les deux réalisateurs de La Planète au trésor n'en sont pas à leur coup d'essai. C'est à eux que l'on doit déjà Basil, détective privé, La Petite Sirène, Aladdin et Hercule.
« Préc.
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The Celestine Prophecy|Armand Mastroianni|Aventure|||américain|2006|100|Anglais||XviD|||XVID|838 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|28/07/2009 00:00:00|James Redfield Barnet Bain Terry Collis|James Redfield Barnet Bain|||||A l'origine, un manuscrit fabuleux rédigé 600 ans avant Jésus Christ et une prophétie : notre société va subir un grand bouleversement. Intrigué, le héros de cette histoire s'envole pour le Pérou à la recherche du mystérieux grimoire, objet de toutes les convoitises, qui va transformer sa vie. Commence alors une aventure magique et enchanteresse, une dangereuse initiation : une quête en neuf étapes qui le mène au sommet des Andes au coeur de la forêt amazonienne sur la voie des révélations de la vie... |Matthew Settle (John)@Thomas Kretschmann (Wil)@Sarah Wayne Callies (Marjorie)@Annabeth Gish (Julia)@Hector Elizondo (Sebastian)@Joaquim de Almeida (Sanchez)@Jürgen Prochnow (Jensen)@John Aylward (Dobson)@Castulo Guerra (Jose)@Obba Babatundé (Miguel)@||||||||||||@@
Queen of the Damned|Michael Rymer|Fantastique|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|2002|101|Anglais||XviD|||XVID|795 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|144 Kbps|False|48.0 KHz|2|689||||23.976|06/08/2009 00:00:00|Jorge Saralegui|Scott Abbott Michael Petroni|Ian Baker||Warner Bros.||En quête de popularité, le vampire Lestat s'initie à la musique rock et devient le chanteur d'un groupe underground. La raison de son succès : son allure et ses manières de vampire. Nuit après nuit, des groupies se pressent dans sa somptueuse demeure, lui fournissant en abondance le sang frais nécessaire à sa survie.
Au cours de sa fulgurante ascension, Lestat fait la rencontre de Jesse Reeves, une étudiante anglaise, nièce de la vampire Maharet. Fragile, désorientée, la jeune fille s'offre à Lestat et demande à être initiée par lui. Mais pour la première fois, celui-ci se refuse à profiter d'une innocente.
En rompant avec la traditionnelle discrétion des vampires, Lestat s'attire la haine de Marius, son ancien maître, et réveille la soif de pouvoir de la reine Akasha, qui décide d'en faire son compagnon. |Stuart Townsend (Lestat)@Aaliyah (la reine des vampires Akasha)@Marguerite Moreau (Jesse Reeves )@Vincent Perez (Marius)@Lena Olin (Maharet )@Paul McGann (David Talbot )@Claudia Black (Pandora )@Tiriel Mora (Roger Smythe )@Bruce Spence (Khayman )@Matthew Newton (Armand)@||Secrets de tournage :
Un tournage endeuillé
La fin du tournage du film a été endeuillée par la disparition de la chanteuse de R'n'B Aaliyah, décédée dans un accident d'avion le 25 août 2001. La post-production n'était alors pas achévée. La comédienne a donc dû se faire doubler pour l'ensemble de ses dialogues par une voix plus sombre et menaçante, correspondant plus à son personnage. Un travail effectué par le propre frère de la comédienne débutante, Rashad.
Des clips pour commencer
Les premières prises de vue de La Reine des damnés ont été assez inhabituelles puisqu'elles ne concernaient pas l'une ou l'autre des scènes du scénario, mais bien trois clips devant être ceux de chansons interprétées par Lestat et sa bande. Le thème de ses composions ne doivent rien au hasard puisque chaque clip rend hommage à un classique du cinéma d'horreur, respectivement Le Cabinet du docteur Caligari, Nosferatu et le Dracula de Tod Browning.
Bande-son assurée par Korn
Situé dans le milieu rock gothique qu'investit le vampire Lestat, La Reine des damnés se devait de posséder une bande-son à la hauteur de son thème. L'écriture de celle-ci a été confiée aux soins de Jonathan H. Davis, leader et compositeur du groupe de métal KoRn. Les chansons censées être interprétées par Leslat et son groupe ont, pour leurs parts, été composées et interprétées par des poids lourds de la scène rock, comme Marilyn Manson ou Static-X's.
Basé sur les chroniques d'Anne Rice
La Reine des damnés est le deuxième long métrage basé sur Les Chroniques des vampires, ensemble de romans écrits par Anne Rice et consacrés aux goules. La Reine des damnés succèdent à Entretien avec un vampire réalisé en 1994 par Neil Jordan.
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The Benchwarmers|Dennis Dugan|Comédie||1|américain|2005|81|Anglais||XviD|||XVID|1 062 Kbps|592x320|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Adam Sandler Jack Giarraputo|Allen Covert Nick Swardson|Thomas E. Ackerman||Sony Pictures||Trois hommes vont tenter, pour rattraper les occasions perdues de leur enfance, de former une équipe de base-ball et concourir avec des petites équipes de 2ème division. |Rob Schneider (Gus)@David Spade (Richie Goodman)@Jon Heder (Clark)@Jon Lovitz (Mel)@Craig Kilborn (Jerry)@Molly Sims (Liz)@Tim Meadows (Wayne)@Reggie Jackson (lui-même)@Brooke Langton (Kathy Dobson)@Danny McCarthy (Troy)@Amaury Nolasco (Carlos)@Nick Swardson (Howie Goodman)@Matt Weinberg (Kyle)@Dennis Dugan (Le coach Bellows )@||Secrets de tournage :
Adam Sandler retrouve Dugan
Adam Sandler officie en tant que producteur sur The Benchwarmers (il fait également une petite apparition dans le film). L'occasion pour lui de collaborer une nouvelle fois avec le cinéaste Dennis Dugan, qui l'avait dirigé dans Happy Gilmore (1996) et Big Daddy (1999).
Chauffeurs de banc
Le titre original The Benchwarmers peut se traduire par "chauffeurs de banc". Autrement dit, dans le langage sportif, des remplaçants plutôt mauvais.
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The Break Up|Peyton Reed|Comédie||2|américain|2006|102|Anglais||DX50|||DX50|853 Kbps|544x288|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Vince Vaughn|Jeremy Garelick Jay Lavender|Eric Alan Edwards||Universal Pictures||Pour Gary et Brooke, une simple chamaillerie autour de quelques assiettes sales dégénère un soir en dispute, et la dispute tourne à la brouille, et la brouille à la rupture. Un mot de trop, une phrase blessante sur laquelle on est trop fier pour revenir, et soudain c'est un gouffre qui se creuse au sein du couple. Pour Brooke, jeune bourgeoise pleine d'aspirations artistiques, l'enjeu était pourtant simple : se faire reconnaître à sa juste valeur et susciter chez son compagnon l'esprit d'entraide, le sens du partage qui lui font si cruellement défaut. Pour Gary, égocentrique, issu d'un milieu modeste, c'était se faire respecter mais, surtout, préserver son jardin secret, s'adonner librement à ses jeux favoris, continuer à fréquenter ses copains machos et boute-en-train.
Les meilleurs amis s'en mêlent, jouant de leur mieux les psys, les confesseurs ou les conseillers matrimoniaux... |Jennifer Aniston (Brooke)@Vince Vaughn (Gary)@Jason Bateman (Riggleman)@Tiffany L. Addison (Serveuse)@John Michael Higgins (Richard)@Joey Lauren Adams (Addie)@Ann-Margret (Wendy Meyers)@Shelby Bakken (Taylor)@Peter Billingsley (Andrew)@Judy Davis (Marilyn Dean)@Vincent D'Onofrio (Dennis)@Jon Favreau (Johnny O)@George Glynn (Casey)@Mary-Pat Green (Mischa)@Cole Hauser (Lupus)@Brad Nelson (Greg)@Keir O'Donnell (Paul)@Rebecca Spence (Jen)@Geoff Stults (Mike)@Marko Tomic (Fan de concert)@Donier Tyler (La fille du concert)@Loreen Washington (Fan de concert)@Ron Valdez (Le patron de la galerie d'art)@||Secrets de tournage :
Genèse d'un scénario
Depuis plusieurs années, l'idée d'un film se différenciant des comédies romantiques traditionnelles grandissait dans l'esprit de Vince Vaughn. C'est durant l'été 2001, en faisant la connaissance de Jay Lavender et Jeremy Garelick, que le l'idée prend corps. Il faudra cependant encore un an avant que l'idée d'un film "de rupture" soit évoquée entre les trois scénaristes. Après trois mois d'écriture intensive en 2004, dans la maison de Vince Vaughn, le scénario de La Rupture est enfin bouclé.
Une comédie de "rupture"
Alors que la plupart des comédies romantiques montre le long cheminement amenant les deux héros à terminer enfin ensemble et vivre une belle et longue histoire d'amour, La Rupture décide de montrer un nouvel aspect de la vie à deux. Vince Vaughn et Jennifer Aniston forment un couple dés le début du récit, c'est la "déchéance" de ce-dernier que Peyton Reed propose au spectateur de suivre. Quand la routine et les défauts de chacun prennent le pas sur les premiers émois de la relation, voici le thème abordé dans La Rupture.
Tournage à Chicago
Le choix de la ville de Chicago pour le tournage de La Rupture a été aussi important que celui du casting. Vince Vaughn s'explique : "De plusieurs façons, La Rupture est une lettre d'amour adressé à Chicago et je sentais que cette ville serait la parfaite toile de fond pour ce film." Peyton Reed renchérit : "C'est un film qui ne pouvait pas prendre place ailleurs. Dans le même principe que les films de Woody Allen sont entièrements dévoués à New York, ce film est dévoué à Chicago. Le scénario était intelligent dans sa manière d'utiliser tous les différents aspects de la ville (...)".
Un duo qui marche
Jennifer Aniston aime jouer avec la bande de Vince Vaughn. Après La Rupture, on retrouve ici la comédienne, connue notamment pour son rôle dans la série Friends, aux côtés d'Owen Wilson, l'un de ses amis et compères. Grandement récompensée pour son travail sur le petit écran, la comédienne s'est déjà imposée au cinéma dans des comédies romantiques telles The Good Girl ou L'Objet de mon affection.
L'art de l'improvisation
Malgré une volonté des deux acteurs principaux, Vince Vaughn et Jennifer Aniston, de coller au plus près au scénario d'origine, l'envie d'improviser a souvent pris le dessus. Peyton Reed précise à ce sujet : "(...) C'est vraiment un domaine dans lequel Vince excelle, et c'est ce que les gens aiment voir. Cela donne à la comédie une réelle immédiateté, comme si vous le regardiez trouver ses pensées."
Vince Vaughn omniprésent
En plus d'être basé sur une idée originale de Vince Vaughn, le film La Rupture permet à l'acteur tenant le haut de l'affiche, d'endosser à nouveau la casquette de producteur. Rôle qu'il avait tenu au préalable pour Made (2001).
Une question de happy-end
La projection test de La Rupture n'a pas reçu un accueil des plus favorables sur le continent américain. En effet, le public convié à découvrir le film en exclusivité a jugé la fin trop pessimiste à leur goût. De ce fait, les producteurs ont demandé à Jeremy Garelick et Jay Lavender de revoir leurs copies et de trouver une fin plus en harmonie avec les attentes des spectateurs.
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Kissing Jessica Stein|Charles Herman-Wurmfeld|Comédie||3|américain|2002|96|||DIV3|||DIV3|840 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|151 Kbps|False|44.1 KHz|2|694||||23.976|27/08/2009 00:00:00|Eden Wurmfeld Brad Zions|Jennifer Westfeldt Heather Juergensen|Lawrence Sher||UFD||Jessica Stein est journaliste à New York et elle a tout pour plaire. Elle est belle, sensible et intelligente. Mais le célibat lui pèse.
Son frère vient de se fiancer, sa meilleure amie est enceinte, alors qu'elle-même n'a pas eu d'histoire d'amour depuis un an. Jessica décide alors de prendre son destin en main.
Après une série de rendez-vous cauchemardesques, Jessica tombe sur une petite annonce qui éveille sa curiosité. Bien que celle-ci figure dans la section "Femmes cherchent femmes", elle décide d'y répondre. C'est ainsi qu'elle rencontre, dans un bar, la séduisante Helen Cooper.
A sa grande surprise, le courant passe instantanément entre elles et la soirée, chaleureuse et animée, se conclut sur un baiser qui trouble au plus haut point Jessica. Et si l'homme de sa vie était... une femme ? |Jennifer Westfeldt (Jessica Stein)@Heather Juergensen (Helen Cooper )@Tovah Feldshuh (Judy Stein )@Esther Wurmfeld (Grand-mère Esther)@Hillel Friedman (Rabbi)@Robert Ari (Sidney Stein)@David Aaron Baker (Dan Stein)@Jennifer Carta (Rachel)@Ben Weber (Larry)@Brian Stepanek (Peter)@Michael Mastro (Martin)@||Secrets de tournage :
Un réalisateur concerné
Primé au Festival de Los Angeles en 2001 et au Festival de Miami, La Tentation de Jessica est mis en scène par Charles Herman-Wurmfeld qui signe là son premier long métrage en 35 mm. Un réalisateur forcément concerné par le sujet du film (l'amour entre deux jeunes femmes) puisque lui aussi homosexuel, comme il le déclare lui-même dans le dossier de presse du film : "A vingt-deux ans, j'étais tombé amoureux de mon meilleur ami hétéro, et j'avais dû gérer les angoisses et frustrations de cette crise identitaire, avant de me reconnaître comme gay et d'y trouver le bonheur. Après bien des déchirements, nous nous sommes acceptés : lui était hétéro, moi gay, et nous avons préservé notre amitié."
Un film entre amis
Tourné en 22 jours seulement dans des conditions que les scénaristes et actrices Jennifer Westfeldt et Heather Juergensen qualifient de "théâtre de garage", La Tentation de Jessica a mis à contribution "les amis, la famille, les amis des amis, qui nous ont offert leurs services, investi de l'argent, assuré des repérages et même hébergé des techniciens".
Inspirations prestigieuses
Lassées des rôles de belles plantes qui leur étaient régulièrement proposés, Jennifer Westfeldt et Heather Juergensen se sont, de leur propre aveu, inspirés de grands créateurs comme Billy Bob Thornton, Edward Burns ou Ben Affleck pour interpréter elles-mêmes leur scénario.
Actrices et scénaristes
Actrices principales de La tentation de Jessica, Jennifer Westfeldt et Heather Juergensen agissent également en tant que scénaristes du film. Une situation logique, puisque le film est basé sur la pièce de théâtre Lipschtik créé par les deux jeunes comédiennes.
Basé sur une pièce de théâtre
Réalisé par Charles Herman-Wurmfeld, La Tentation de Jessica remonte à un sketch créé en 1997 par Jennifer Westfeldt et Heather Juergensen pour une soirée théâtrale à New York, lui-même ré-adapté par ses deux créatrices pour donner la pièce de théâtre Lipschtik. Présenté une semaine seulement dans une salle off-Broadway, le spectacle n'en a pas moins fait parler de lui et a fini par être remarqué par Hollywood et notamment Fox Searchlight Pictures, qui a contacté les deux jeunes femmes.
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La Tour Montparnasse infernale|Charles Nemes|Comédie||2|français|2001|89|Français||DX50|||DX50|780 Kbps|352x288|MPEG-1 Audio layer 3|192 Kbps|False|44.1 KHz|2|625||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Christian Fechner|Eric Judor Ramzy Bedia Kader Aoun Xavier Matthieu|Etienne Faudet||UFD||Un soir, suspendus au 52ème étage de la Tour Montparnasse, Eric et Ramzy, deux laveurs de carreaux, ont pris du retard dans leur travail.Pendant ce temps, la jolie Stéphanie attend son oncle, le puissant PDG du Groupe Lanceval, et ses fils, les actionnaires principaux, pour un conseil d'administration nocturne qui va se révéler bien mouvementé. En effet, un commando surentraîné investit l'immeuble, contrôle tous les accès et prend la famille Lanceval en otage. Stéphanie est en fait l'organisatrice du coup monté et convoite la fortune de son oncle qui la méprise depuis toujours. Stéphanie et ses hommes n'attendent plus que la main de la chère mère, dont les empreintes vont permettre d'actionner le mécanisme d'ouverture du coffre.Cependant, nos deux compères sont restés au sommet de la Tour et risquent bien de faire capoter le plan machiavélique de la belle. |Ramzy Bedia@Eric Judor@Hubert Saint-Macary@Joey Starr@Omar Sy (un chauffeur de taxi)@Marina Foïs (Marina)@Serge Riaboukine (De Fursac)@Michel Puterflam (Le PDG Lanceval)@Bô Gaultier de Kermoal (Ming)@Peter Semler (Hans)@Edgar Givry (Greg)@Georges Trillat (Peter)@Bruce L. Johnson (Chris)@Laurence Pollet Villard (Sylvie)@Pierre-François Martin-Laval (Jean-Louis, le gardien)@Benoît Giros (Le fils de Lanceval #1)@Thibault Lacroix (Le fils de Lanceval #2)@Volodia Serre (Le fils de Lanceval #3)@Grégory Lemoigne (Le fils de Lanceval #4)@Olivier Balazuc (Le fils de Lanceval #5)@Philippe Schwartz (Le chef du GIGN)@Vincent Haquin (Homme du GIGN)@||||||||||||@@
La Vérité si je mens|Thomas Gilou|Comédie||3|français|1997|96|||DX50|||DX50|888 Kbps|640x336|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|44.1 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Aïssa Djabri Farid Lahouassa Manuel Munz|Gérard Bitton Michel Munz|Jean-Jacques Bouhon||AFMD|Saga : La Vérité si je mens ! |Edouard Vuibert est au bout du rouleau. Victor Benzakem, entrepreneur prospère du quartier du Sentier, le prend sous son aile quand une bagarre l'oppose a deux joueurs de bonneteau. Le prenant pour un juif, il décide de l'embaucher comme manutentionnaire. Eddie laisse le quiproquo s'installer sur ses origines et il va faire son chemin dans une communauté chaleureuse jusqu'à séduire Sandra, la fille de son patron. Mais au cours de la préparation du mariage, Eddie se démasque involontairement. Il n'est pas juif ! Il déchaine alors le scandale et la colère de la belle Sandra. |Richard Anconina (Eddie Vuibert)@Vincent Elbaz (Dov Mimran)@Bruno Solo (Yvan)@José Garcia (Serge Benamou)@Amira Casar (Sandra Benzakem)@Elie Kakou (Rafi "Stylmod")@Richard Bohringer (Victor Benzakem)@Anthony Delon (Maurice Aflalo)@Aure Atika (Karine)@Gilbert Melki (Patrick Abitbol)@Sabrina Van Tassel (Muriel)@Emma Warg (Effi)@David Sarfati (Benny Serfati)@Guy Amram@Ali Mehar Akhtar@Cyril Raffaelli@Eric Munz@Isaac Sharry@Serge Malik@Gilbert Levy@Christophe Le Masne@Victor Haïm@Gladys Cohen@Valérie Benguigui@||||||||||||@@
La Vérite si je mens ! 2|Thomas Gilou|Comédie||3|français|2001|105|Français||DIV3|||DIV3|774 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|687||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Aïssa Djabri Farid Lahouassa Manuel Munz|Gérard Bitton Michel Munz|Robert Alazraki||Warner Bros. France|Saga : La Vérité si je mens ! |Dans le quartier du Sentier, Eddie Vuibert, Dov et Yvan sont confrontés aux procédés pour le moins expéditifs de leur nouveau client, Eurodiscount, une chaîne européenne d'hypermarchés. Karine, lasse des turpitudes de son volage époux, Dov, le chasse du foyer. La bande de copains se disloque.Dov et Patrick partent tenter leur chance sous le soleil de Californie, tandis qu'Eddie et Yvan font les marchés. Entre temps, Serge, devenu livreur, noue une idylle avec Chochana Boutboul, une jeune fille de bonne famille à qui il fait croire qu'il est très fortuné.C'est alors qu'Eddie découvre que sa faillite dépasse le simple échec commercial et qu'il a été victime d'une scandaleuse escroquerie. Dès lors, il décide de se venger et conçoit un plan qui va réunir et mobiliser tous ses amis. |Richard Anconina (Eddie Vuibert)@José Garcia (Serge)@Gad Elmaleh (Dov)@Bruno Solo (Yvan)@Gilbert Melki (Patrick)@Daniel Prévost (Vierhouten)@Amira Casar (Sandra)@Aure Atika (Karine)@Jordane Salemi (Rebecca)@Elisa Tovati (Chochona)@Pierre-François Martin-Laval (Peznec)@Nicole Calfan (La mère de Chochona)@Enrico Macias (Le père de Chochona)@Sarah Partouche (Sarah)@Ilona Hattab (Shaï)@Gladys Cohen (Georgette)@Lucien Layani (Mordechai)@Marc Andreoni (Willy Journo)@Tony D'Amario (Charly Journo)@Yvonne Scio (Annabella)@Sabrina Van Tassel (Muriel)@Manu Layotte (Jean-Claude)@Dominique Pozzetto (M. Legrand)@Victor Haïm (Le rabbin)@Jeupeu (M. Lopez)@Serge Malik (Le patron de Serge)@Christophe Le Masne (Le banquier)@Cathy Guetta (Isabelle)@Christian Bujeau (L'avocat)@Isaac Sharry (Miro)@Nitsa Benchetrit (Carole)@Marie-Christine Adam (Mme Vierhouten)@Marc Samuel (Elie Taieb)@Isabelle Doval (L'huissier)@||Secrets de tournage :
Casting
Dans La vérité si je mens ! 2, suite d'un des plus gros succès de la comédie française, on retrouve la quasi-totalité des acteurs du premier opus, à l'exception d'Anthony Delon, de Richard Bohringer, du regretté Elie Kakou et de Vincent Elbaz, qui a décliné l'offre et a cédé sa place à Gad Elmaleh. Enrico Macias, dont c'est la première apparition au cinéma, et Nicole Calfan (Le Gang) sont, quant à eux, de la partie.
Pourquoi une suite ?
"C'est venu tout naturellement," précise Thomas Gilou "le public avait envie de continuer à vivre avec cette bande de copains. On est parti de ce désir et le film a très bien marché. La production avait envie de renouveler l'expérience. La fin étant assez ouverte, il y avait une vraie possibilité de le faire."
Les références de Thomas Gilou :
"Elles sont larges. Ce sont des films qui génèrent un décalage. Il y a quelqu'un que j'admire beaucoup, c'est Jean Rouch. Il a fait des films extraordinaires comme Les maîtres fous. Il est un de ceux qui ont amené un nouveau langage au cinéma. On lui doit notamment toute la technologie du matériel portable. Il m'a donné envie de faire du cinéma."
Elisa Touati (Chochana Boutboul)
Avant La vérité si je mens ! 2, elle a joué dans Macho de Bigas Luna et Soleil de Roger Hanin.
3 nouveaux
Gad Elmaleh, Daniel Prévost et... Enrico Macias !
4 absents...
Par rapport à La vérité si je mens 1, sont absents : Vincent Elbaz, Richard Bohringer, Anthony Delon et, bien sûr, Eli Kakou (décédé en juin 1999).
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White Noise|Geoffrey Sax|Thriller|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|2005|98|Anglais||XviD|||XVID|864 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|123 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|06/08/2009 00:00:00|Paul Brooks Shawn Williamson|Niall Johnson|Chris Seager||Universal Pictures|Saga : La Voix des morts |Avant le décès soudain et mystérieux de son épouse, l'architecte Jonathan Rivers se considérait comme un homme rationnel qui ne croyait pas à la communication avec les morts. Jusqu'à ce que Raymond Price entre dans sa vie en prétendant avoir entendu la femme de Jonathan, Anna, par EVP (Electronic Voice Phenomenon)... |Michael Keaton (Jonathan Rivers)@Deborah Unger (Sarah Tate)@Chandra West (Anna Rivers)@Ian McNeice (Raymond Price)@Sarah Strange (Jane)@Nicholas Elia (Mike Rivers)@Mike Dopud (le détective Smits)@||Secrets de tournage :
À propos de l'EVP (Electronic Voice Phenomenon)
La Voix des morts traite de l'EVP (Electronic Voice Phenomenon), un phénomène dont les tenants sont persuadés que l'on peut réellement communiquer avec les morts. Au cours des deux dernières décennies, ils ont multiplié les expériences en vue de capter et enregistrer la voix des morts, censément relayée par le white noise (bruit blanc), une gamme de fréquences émises par des équipements électroniques. Ces phénomènes paranormaux, encore mal connus du grand public, sont étudiés à travers le monde.
Michael Keaton et son personnage
En accord avec Geoffrey Sax et le producteur Paul Brooks, Michael Keaton opta pour un jeu discret, naturaliste, évitant tout débordement émotionnel qui aurait alourdi et dénaturé le propos. Ce dernier explique : "Je ne voulais pas que cela devienne l'histoire d'un type "sensible" parce qu'on tombe alors très vite dans l'excès et la complaisance. Je voulais qu'on partage les problèmes de Jonathan comme on le ferait avec n'importe qui dans cette situation. Je voulais qu'il apparaisse comme un type sympathique avec qui l'on puisse aisément s'identifier."
L'évolution de l'environnement visuel
Geoffrey Sax et ses collaborateurs définirent ensemble un environnement visuel de plus en plus froid et dépouillé, en accord étroit avec l'évolution de Jonathan. Ainsi, au début du film, la maison de ce dernier et Anna et leurs costumes arborent des teintes pastel très chaudes qui soulignent le bonheur et la prospérité de ce couple. Après la mort de celle-ci, Jonathan choisit d'aller vivre dans un nouvel appartement dont l'aspect angulaire et géométrique signale chez lui le début d'une nouvelle phase. Au fil des scènes, les couleurs s'estompent à mesure que se dégradent ses conditions d'existence.
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Chinjulhan geomjasshi|Park Chan-wook|Thriller|Interdit aux moins de 16 ans|3|sud-coréen|2005|110|Coréen||XviD|||XVID|617 Kbps|512x288|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Cho Young-wuk|Park Chan-wook Chung Sea-kyung|Chung Chung-hoon||Metropolitan FilmExport||Geum-ja, une belle jeune fille, devient un personnage public lorsqu'elle est accusée de l'enlèvement et du meurtre d'un garçon de 5 ans. Ce crime atroce obsède les médias. Geum-ja passe aux aveux et est condamnée à une longue peine de prison. Elle va consacrer ses 13 ans d'enfermement à la préparation méticuleuse de sa vengeance contre son ancien professeur Mr. Baek... |Yeong-ae Lee (Geum-ja Lee)@Choi Min-sik (Mr.Baek)@Su-hee Go (Ma-nyeo)@Kim Bu-seon (So-young Woo)@Seung-Shin Lee (Park Yi-jeong)@Se-Won Kim (narrateur)@Il-woo Nam (Chef Choi)@||Secrets de tournage :
La trilogie thématique de Park Chan-Wook
Lady vengeance est la troisième volet d'une "trilogie de la vengeance" initié par Park Chan-wook en 2002 avec Sympathy for Mr. Vengeance et poursuivit en 2004 avec Old boy.
Un succès national
La première du film a eu lieu en Corée le 18 juillet 2005. Il a ensuite prit le box-office d'assaut. Trois semaines plus tard, le film a rapporté plus de 20 500 000 $ et a été vu par près de 4 millions de spectateurs, ce qui en fait le plus grand démarrage de l'année en Corée. Le film se classe aujourd'hui parmi les plus succès de l'histoire du cinéma coréen.
Une vengeance feminine
Dans les premiers films de Park Chan-wook, la structure était simple : "deux hommes, une femme", le personnage féminin passant inévitablement au second plan. C'est contre ça que le réalisateur a voulu se révolter. Après Old boy, il expliquait : "Je m'en fais une promesse : dans mon film suivant, le personnage principal serait une femme". Lady vengeance était née.
Un contre-emploi radical pour Lee Yeong-Ae
Lee Yeong-ae est une des plus grandes et des plus populaires actrices coréennes. Célèbre dans toute l'Asie grâce à diverses séries télé comme "Jewel in the Palace" ou à des films comme "One fine spring day", l'ange de la vengeance retrouve Park Chan-wook (après une collaboration dans Joint security area) pour un rôle détruisant totalement son image lisse de femme douce et chaleureuse. Elle incarne le faux-démon violent avide de vengeance, personnage principal de Lady vengeance.
Choi Min-Sik de retour !
L'acteur culte coréen, star vengeresse de Old boy, retrouve Park Chan-wook pour le troisième volet de cette trilogie... mais du côté des ennemis. Il interprête le rôle d'un professeur d'école, sadique kidnappeur qui sera traqué par la fameuse Lady Vengeance.
Prix collatéraux pour Lady Vengeance
Bien que le film reparte bredouille des principales récompenses de la 62ème Mostra de Venise, Lady vengeance obtient de nombreux prix "collatéraux" à la compétition officielle : Meilleur film "nouvelles tendances", Lionceau d'Or et Prix "cinéma du futur" en forment le début de liste. Le film part favori pour les équivalents des Césars coréens.
Après Berlin et Cannes: Venise
Chaque volet de la "trilogie de la vengeance" de Park Chan-wook a voyagé aux quatres (ou trois) coins de l'Europe, participant toujours à divers festivals. Sympathy for Mr. Vengeance fut présenté à Berlin en 2002, Old boy repartit de Cannes avec le Grand prix du Festival sous le bras et Lady vengeance faisait partie de la sélection officielle de la 62ème Mostra de Venise.
Violence rédemptrice
Entre Tsui Hark, Quentin Tarantino et Abel Ferrara, il y a Park Chan-wook. Diplômé de philosophie, il pense la violence comme processus rédempteur et offre une vraie analyse et méthode de leur rapport. Théorie sur la juste vengeance dans Sympathy for Mr. Vengeance (qui a le droit à la vengeance ?), sur la vengeance conditionnée dans Old boy (le mal doit-il engendrer la vengeance ?) dans Lady vengeance, il offre une vision pessimiste sur la rédemption, inaccessible pour son personnage : Lady Vengeance "comprend son erreur (...) elle réalise que la violence n'a aucune vertu rédemptrice". Et d'un coup Park revient à la source du mal, la pulsion de violence : est-elle vraiment créée par le désir de vengeance ? N'est-ce peut-être pas l'inverse ?
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The Ladykillers|Joel Coen Ethan Coen|Comédie||3|américain|2004|104|Anglais||XVID|||XVID|795 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|134 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Tom Jacobson Barry Josephson Barry Sonnenfeld Ethan Coen|Joel Coen Ethan Coen|Roger Deakins||Buena Vista International||Le docteur Goldthwait Higginson Dorr III réunit un gang "d'experts" pour accomplir le casse du siècle. Ses associés ? Un spécialiste en explosifs, un perceur de tunnel, un gros bras et un complice infiltré qui risque d'être découvert... Le QG de l'opération ? La cave d'une vieille dame, Mrs. Munson, qui fréquente assidûment l'église et ne se doute de rien. Les cinq hommes se font passer pour des musiciens qui ont besoin d'un endroit où répéter.Le premier problème ? Dorr et ses associés sont des amateurs.Le vrai problème ? Ils ont sérieusement sous-estimé leur hôtesse. Lorsque Mrs. Munson découvre leurs projets et menace de les dénoncer aux autorités, les cinq malfrats décident de l'associer à l'affaire. Après tout, se débarrasser d'elle ne devrait pas être un problème... |Tom Hanks (le Dr. Goldthwait Higginson Dorr III)@Irma P. Hall (Mrs. Munson)@Marlon Wayans (Gawain)@J.K. Simmons (Garth Pancake)@Tzi Ma (Le Général)@Ryan Hurst (Lump)@Bruce Campbell@Diane Delano (montagnarde)@George Wallace (Sheriff Wyner)@John McConnell (député)@Jason Weaver (Weemack Funthes)@Stephen Root (Fernand Gudge)@Lyne Odums (Rosalie Funthes)@Walter K. Jordan (Elron)@George Anthony Bell (le prêcheur)@Greg Grunberg (le directeur commercial de la télévision)@||Secrets de tournage :
Irma P. Hall distinguée à Cannes
Avec Ladykillers, Joel et Ethan Coen revenaient pour la septème fois sur la Croisette. La comédienne Irma P. Hall y a remporté, non pas le Prix d'interprétation féminine (attribué à Maggie Cheung), mais, de façon peu banale, le Prix du jury, partagé avec le film thaïlandais Tropical malady. Le jury était présidé par un autre réalisateur américain, Quentin Tarantino.
La parole aux frères Coen
Ladykillers est un remake homonyme du classique de 1955, réalisé par Alexander Mackendrick. " Joel et moi avions adoré le film original", raconte Ethan Coen. "C'est une histoire redoutablement efficace qui offre un potentiel comique puissant. Nous l'avons épurée jusqu'à n'en garder que la structure principale, les rouages, et nous avons repensé tout le reste. Les spécificités des personnages et le cadre de l'action sont complètement différents de l'original." Joel Coen précise : "L'idée de situer Ladykillers dans le Sud et de faire de la vieille dame une fervente de l'Eglise baptiste a été notre point de départ. Cela redéfinissait tout l'ensemble".
Un étroit lien de parenté
Les cinéphiles les plus pointus auront peut-être constaté que dans le tout premier film des frères Coen, Sang pour sang (1984), ceux-ci avaient emprunté une réplique au film original. "Dans Sang pour Sang", explique Joel Coen, "lorsque le détective tire sur le propriétaire du bar, il dit "Qui a l'air stupide maintenant ?". C'est une réplique culte de la fin de Tueurs de dames, lorsque le gangster appuie sur la détente de l'arme vide..."
L'équipe technique
Les frères Coen se sont à nouveau entourés d'une équipe fidèle au poste : le directeur de la photographie Roger Deakins a tourné huit films avec eux, le chef décorateur Dennis Gassner six, la chef costumière Mary Zophres sept, ou encore le coordinateur des cascades Jery Hewitt, qui en a collaboré à neuf reprises avec la fratrie.
Le casting de Ms. Munson
A l'inverse de Ms. Wilberforce, le personnage de la vieille dame du film original incarnée par Katie Johnson, les frères Coen voulaient une femme plus dure de caractère pour leur version de l'histoire. L'actrice Irma P. Hall fut la première a être auditonnée dans le développement du projet. Persuadée d'avoir échoué, elle se souvient : "Je n'avais lu que quelques lignes, et puis nous avions commencé à parler. Je me suis dit qu'ils ne voulaient même pas m'entendre lire et que je n'aurais pas le rôle ! Je n'oublierai jamais ce sentiment de tristesse". Par conscience professionnelle, les frères Coen ont auditionné des dizaines de personnes... pour rien, avant de se rendre compte qu'Irma P. Hall serait la seule capable d'incarner Ms. Munson.
Des gifles...pour de vrai !
Au cours d'une scène mettant aux prises Marlon Wayans avec Irma P. Hall, celle-ci asséna une véritable gifle à l'acteur ! Impassible, Marlon poussa même le professionnalisme jusqu'à "ne pas anticiper le coup à la seconde prise, sachant ce qui allait lui arriver" raconte Joel Coen. Et d'ajouter : "Ce qui est le plus amusant, c'est qu'Irma est allée voir Ethan et qu'elle s'est mise à fanfaronner en lui disant qu'elle avait suivi une formation au combat..."
Le professeur Dorr: si tout marchait comme son cerveau...
Le professeur Dorr est un personnage loufoque et décalé qui permet à Tom Hanks de laisser libre court à son interprétation pour en révéler tout le potentiel comique. "C'est le cerveau de l'affaire" explique Joel Coen. "Mais il faut prendre ce terme de "cerveau" au sens large... Le gang le tient pour le plus intelligent d'entre eux, mais tout est relatif...". Et Tom Hanks d'enfoncer un peu plus le clou : "Dorr n'a rien d'un génie du crime et son équipe est faite de bras cassés... Son assurance, sa confiance en lui et sa capacité à anticiper les problèmes sont pourtant celles d'un virtuose".
Habiller la bande
La chef costumière Mary Zophres a exprimé la qualité intemporelle des costumes en combinant différentes époques du 20e siècle, tout en gardant à l'esprit que les personnages vivent dans une petite ville du Mississipi. Tandis que Ms. Munson et ses amis de l'église portent des tenues fleuries et des châles, rappelant les années 1930, les hommes de mains de Dorr ont des tenues plutôt contemporaines... Excepté peut-être les personnages du Général et de Garth Pancake, qui semblent ne pas avoir renouvelé leur garde-robe depuis les années 1970.
Une petit Arche de Noé
Le bestiaire de Ladykillers est plutôt loufoque : on y croise Pickles le chat, un corbeau sur un pont, et même un bouledogue anglais dressé à faire le mort, qui porte un masque à gaz ! Réputés difficiles à dresser, l'équipe avait dix chats identiques capables d'actions différentes. Pour chaque scène, elle en préparait trois différents.
La musique, élément important du film
T-Bone Burnett, le producteur exécutif de la musique, retrouve les frères Coen pour la troisième fois. "Dans ce film comme dans O'Brother" explique-t-il, "les frères Coen ont fait de la musique un élément essentiel de la narration. La musique a toujours occupé une part importante dans leurs films, depuis le nettoyage des traces d'un meurtre au rythme de 'It's the Same old Song' dans Sang pour sang, aux tyroliennes de Arizona Junior, en passant par la séquence de rêve humoristique de The Big Lebowski ou les témoignages d'un siècle de musique folk dans O'Brother... L'album de ce dernier film a fait renaître l'intérêt pour la musique folk, il s'est vendu à 7 millions d'exemplaires, ce qui en fait l'un des best-sellers de l'histoire de la musique de film".
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Shadow Man|Michael Keusch|Action|||Etats-unis|2006|91|||DX50|||DX50|929 Kbps|592x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||25.000|08/08/2009 00:00:00|||||||Un agent secret découvre malgré lui que tout le monde n'est pas ce qu'il paraît être dans l'univers fantasmagorique de l'espionnage... |Steven Seagal@Eva Pope@Imelda Staunton@Vincent Riotta@Michael Elwyn@Skye Bennett@Garrick Hagon@Alex Ferns@Michael Fitzpatrick@Elias Ferkin@Levan Uchaneishvili@Zoltan Butuc@Emanuel Parvu@Vince Leigh@Werner Daehn@Laura Grigoriu@Corina Toader@Gabriel Spahiu@Titus-Gabriel Patrascu@Luminita Filimon@Daniel Pasleaga@Florin Stancu@Nicolai Stoianov@Cornelia Bloos@||||||||||||@@
Ice Age|Chris Wedge Carlos Saldanha|Comédie||3|américain|2002|77|Anglais||DIV3|||DIV3|1 111 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|32.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|696||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Lori Forte|Michael J. Wilson Michael Berg Peter Ackerman|||UFD|Saga : L'Age de Glace |Vingt mille ans avant notre ère, lorsque Scrat, un rongeur obstiné, fend la banquise et déclenche un nouvel Age de Glace, une vaste cohorte de mammifères s'assemble et commence à émigrer vers le sud. Manny, un mammouth solitaire qui n'en fait qu'à sa tête, choisit d'aller vers le nord et se voit bientôt rejoint par Sid, un petit paresseux volubile en quête de protecteur.Ce dernier l'oblige bientôt à recueillir un bébé humain, Roshan, que sa mère leur a confié avant de mourir, et à ramener celui-ci à son père, chasseur nomade parti vers le nord. Sur leur chemin, les deux compères devront protéger Roshan de Diego, un tigre aux dents de sabre chargé par son chef Soto de capturer le bébé. |Gérard Lanvin (Manfred (voix française))@Elie Semoun (Sid (voix française))@Vincent Cassel (Diego (voix française))@Maureen Dor (une paresseuse (voix française))@||Secrets de tournage :
Le crayon à la base
Tout animé par ordinateur qu'il soit, L'Age de glace a souvent trouvé son origine dans les crayons des animateurs, qui n'hésitaient pas à recourir aux techniques les plus classiques comme le crayonné et le modelé en terre glaise, ce dernier procédé étant appliqué pour chaque personnage, avant le passage au scanner puis en 3-D.
Un logiciel pour la lumière
Epoque lointaine dominée par des paysages glacée, l'ère de L'Age de glace nécessitait une luminosité spécifique. Cette tache fut confiée au logiciel Ray Tracing, spécialement conçu pour l'occasion par les techniciens des studios Blue Sky.
Préparation au musée
Afin de pouvoir représenter correctement des animaux pour la plupart disparus depuis des siècles, l'équipe de L'age de glace s'est tournée vers l'un des rares lieux à posséder des reliques de cette période pré-historique : le Museum d'histoire naturelle de New York, dans lequel Chris Wedge et son équipe passèrent de nombreuses heures à étudier les ossements de mammouth, à consulter des ouvrages spécialisés et des paléontologues.
Les difficultés du mammouth
De l'aveu des animateurs, le mammouth Manfred fut l'un des personnages les plus compliqués à dessiner, notamment en raison du manque de représentations existantes de l'animal et de sa fourrure, un élément toujours difficile à reproduire fidèlement en images d'animation. La vitesse du tigre Diego a également posé de nombreux problèmes.
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Ice Age 2 : The Meltdown|Carlos Saldanha|Animation|||américain|2006|83|Anglais||XviD|||XVID|1 031 Kbps|592x272|MPEG-1 Audio layer 3|105 Kbps|False|44.1 KHz|2|686||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Lori Forte|Jon Vitti Peter Gaulke Gerry Swallow Jim Hecht|||20th Century Fox|Saga : L'Age de Glace |Pour Manny le mammouth, Sid le paresseux et Diego le tigre à dents de sabre, la vie est beaucoup plus douce depuis que les glaces fondent et que la température remonte. Mais les problèmes ne sont pas terminés pour autant !Manny rêve de fonder une famille, mais la toute dernière femelle de son espèce, Ellie, se prend pour un opossum... Plus grave encore, un immense barrage de glace qui retient l'océan est sur le point de se rompre sous l'effet du réchauffement et menace d'engloutir leur petit coin de paradis. Leur seule chance de survie se trouve à l'autre bout de la vallée...Voilà nos trois héros, accompagnés d'Ellie et de ses deux insupportables frères, Crash et Eddie - de vrais opossums, eux ! - lancés dans un périlleux voyage vers la vie... |Gérard Lanvin (Manny (voix française))@Elie Semoun (Sid (voix française))@Vincent Cassel (Diego (voix française))@Christophe Dechavanne (Crash (voix française))@||Secrets de tournage :
Un nouveau réalisateur
Chris Wedge, réalisateur de L'Age de glace, passe le flambeau à Carlos Saldanha pour diriger ce nouvel opus. Celui-ci avait travaillé avec Wedge sur le premier épisode, ainsi que sur Robots, où il occupait le poste de co-réalisateur.
Le goût du doublage
Gérard Lanvin, Vincent Cassel et Elie Semoun, qui avaient prêté leur voix aux personnages de L'Age de glace, n'ont pas hésité à reprendre leur rôle pour cette suite.
D'ailleurs, Cassel et Semoun avouent avoir pris goût au doublage et ont chacun participé à d'autres films d'animation : Shrek pour le premier, Le Manège enchanté pour le deuxième. Ils se sont également retrouvés derrière les micros pour Robots.
Une apparition clin d'oeil
Bien qu'il n'ait pas pu réaliser cette suite de L'Age de glace, Chris Wedge a tenu à rester impliqué dans le projet. Comme pour le premier épisode, il prête donc sa voix à Scrat, l'écureuil déjanté, qui reste pour beaucoup de fans leur personnage préféré.
Scart plébiscité par le public
Scrat, le rongeur qui passe son temps à courir après son gland, ne devait au départ pas exister dans L'Age de glace : il n'avait été créé que pour la bande annonce et ne figurait pas dans le long métrage. Face à l'enthousiasme du public et l'attachement que le petit écureuil suscitait, les scénaristes ont décidé de l'intégrer à l'histoire, en lui donnant un rôle mineur, mais récurant. Résultat payant : les spectateurs s'attachent autant à lui qu'aux trois personnages principaux, voire même plus !
Il était inconcevable pour les créateurs du film que Scrat ne soit pas dans l'Age de glace 2 ; mais, conscients que son histoire tournait un peu en rond, ils ont donc décidé d'enrichir le personnage de l'écureuil, d'apporter de nouvelles facettes à sa personnalité. Les animateurs ont également beaucoup travaillé sur Scrat, plus que pour tous les autres personnages, afin d'améliorer sa façon de bouger et son apparence globale.
Une autre suite à l'Age de glace
En 2002, soit un an après L'Age de glace, Chris Wedge et Carlos Saldanha réalisèrent L'aventure inédite de Scrat, un court-métrage mettant en scène l'écureuil dans de nouvelles aventures.
L'aventure inédite de Scrat fut nommé pour l'Oscar du meilleur court métrage animé en 2004, qui échut finalement à Harvie Krumpet d'Adam Elliot. Wedge avait précedemment reçu cet Oscar pour Bunny en 1999. Ces deux courts métrages sont disponibles sur l'édition collector de L'Age de glace.
Un cran plus haut
L'effectif des animateurs travaillant sur L'Age de glace 2 a été doublé par rapport au premier film : ils sont donc 60 animateurs et disposent d'effets plus sophistiqués mais également d'une quantité de travail accrue. Galen Tan Chu, qui supervise l'animation, confie : "Nous avons conservé les personnages du premier film mais avons créé de nouveaux modèles, avec des contrôles d'animation plus avancés sur le plan technique, ce qui a permis d'articuler les personnages de façon encore plus excitante. Ce film est définitivement un cran plus haut !"
Histoire de fourrure
Le studio Blue Sky, qui avait déjà travaillé sur L'Age de glace, Robots et le court métrage oscarisé Bunny, a mis au point pour L'Age de glace 2 différents logiciels permettant d'améliorer la qualité de l'animation. Les animateurs ont ainsi utilisé le Ray Tracing, qui projette la lumière d'une façon unique, renforçant le réalisme des personnages. Ils se sont également servis du Voxel, qui donne un effet de volume sur les poils et fourrures des personnages : on peut ainsi compter plus de deux millions de poils rien que sur le dos de Manny. Sa fourrure est brillante, épaisse et interagit avec la lumière de façon très naturelle. Selon Christopher Meledandri, producteur exécutif, "voir les petits poils fins onduler sur sa queue, son nez frémir, apporte beaucoup de crédibilité. Ces petits détails nous forcent à croire qu'il existe pour de bon !"
L'eau, un personnage à part entière
L'eau étant un élement extrêmement difficile à animer, un des challenges du film a été de rendre naturels les moments où les personnages nagent, plongent, touchent la surface ...
Pour résoudre ce problème, les animateurs ont créé un système permettant de manipuler l'eau, de la faire bouger, comme ils l'auraient fait avec un personnage. Et l'un des animateurs d'ajouter : "Avoir donné à l'eau cette dimension quasi vivante la rend bien plus menaçante, elle n'est plus vraiment inerte et devient un danger qui plane sur toute l'histoire."
Des doubleurs aussi déjantés que leurs personnages
Parmi les nouveaux personnages de L'Age de glace 2, on compte entre autres Ellie, la femmelle mammouth se prennant pour un opposum et ses deux frères, Crash et Eddie. Ils ont tous deux une énergie incroyable, aucune limite et sont prêts à réaliser tous les exploits physiquement possibles. Il fallait trouver des doubleurs adaptés, qui soient drôles, impertinents et qui aient une vraie complicité ; Seann William Scott, plus connu sous le nom de Stifler (American Pie), et Josh Peck s'en sont chargés. Leur alchimie a été telle que le réalisateur les a placé dans la même cabine d'enregistrement, ce qui n'arrive que très rarement en animation.
Broadway révisité
L'Age de glace 2 introduit un nouveau méchant, le Vautour solitaire, un prédateur qui voit en le déluge surtout une occasion de faire un fabuleux festin. Cette perspective lui inspire une chanson, une réinterprétation de "Food, Glorious Food", extraite d'Oliver. Ce classique de la comédie musicale de Broadway des années 60 fut adapté par la suite en film.
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Ice Age: Dawn of the Dinosaurs 3D|Carlos Saldanha|Animation|Film pour enfants à partir de 6 ans|3|américain|2009|86|Anglais||XviD|||XVID|994 Kbps|640x320|MPEG-1 Audio layer 3|118 Kbps|False|44.1 KHz|2|694||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Lori Forte John C. Donkin|Michael Berg Peter Ackerman Mike Reiss Yoni Brenner|||20th Century Fox|Saga : L'Age de Glace |Les héros de L'Age de glace sont de retour pour une nouvelle aventure hilarante, où une maladresse de Sid le paresseux va les propulser au coeur d'un monde étrange perdu sous la glace, et peuplé de dinosaures ! Ensemble, ils vont devoir se confronter à des habitants pour le moins hostiles et parfois farfelus. Mais nos personnages ne semblent pas complètement préparés à affronter cet univers inconnu...En effet, Manny et Ellie attendent leur premier enfant mammouth : comment le futur père, déjà hyper stressé, va t'il appréhender la paternité dans ce contexte peu sécurisant ? Diego, le tigre aux dents de sabre, redoute d'avoir perdu ses instincts de prédateur. C'est pourtant le moment de les retrouver !Sid, quant à lui, est convaincu d'avoir enfin réussi à construire sa propre famille en kidnappant trois oeufs... de dinosaures ! Saura t-il persuader leur T-Rex de mère qu'il est mieux placé qu'elle pour les élever ?En chemin, ils feront la rencontre d'une fouine légèrement cinglée prénommée Buck, chasseur de dinos obsessionnel, sur qui ils devront s'appuyer pour survivre aux pièges de ce nouveau monde. Et au fait, Scrat ? Va-t-il renoncer à sa noisette au nom du grand amour ?! |Gérard Lanvin (Manny (voix))@Vincent Cassel (Diego (voix))@Elie Semoun (Sid (voix))@Christophe Dechavanne (Crash (voix))@Armelle Gallaud (Ellie (voix))@Alexis Tomassian (Eddie (voix))@Emmanuel Curtil (Buck (voix))@||Secrets de tournage :
Troisième épisode !
L'Age de glace 3 - Le Temps des dinosaures est le troisième opus de la franchise "L'Age de glace", produit par la Fox dont le premier sortit sur nos écrans en 2002.
L'utilisation de la 3-D
Pour la première fois, L'Age de glace 3 - Le Temps des dinosaures utilise la 3-D. En effet les spectateurs pourront visionner le troisième opus en trois dimensions contrairement aux deux précédents. Le réalisateur confie que "notre intention en utilisant ce procédé était de faire vivre une expérience immersive aux spectateurs, nous ne voulions pas nous contenter de les faire sursauter en faisant sortir des choses de l'écran. La 3-D nous a obligés à faire plus attention à la composition de l'image, au placement de la caméra et des personnages. Je ne voulais pas créer des plans qui vous sautent gratuitement à la figure. Si nous décidions que la 3-D pouvait améliorer un plan ou un point de l'histoire, alors nous l'utilisions, mais sans jamais sacrifier la composition en 2-D."
Des personnages attachants
Dans L'Age de glace 3 - Le Temps des dinosaures on retrouve la grande famille qui s'est formée depuis le premier épisode de la franchise, à savoir le mammouth Manny, Ellie sa campagne, Sid le paresseux, Diego le tigre et les opossums Crash et Eddie. Michael Berg, coscénariste explique que "dans les films précédents, Manny, Sid et Diego ont vécu ensemble de grands changements et leur relation s'est transformée en amitié. Cela a créé une résonnance émotionnelle que nous voulions retrouver dans ce film." Le coscénariste Peter Ackerman ajoute "avec les années, nous nous sommes profondément attachés à ces personnages et nous voulons vraiment qu'ils réussissent quels que soient les changements qu'ils doivent endurer."
Un opus ambitieux
Carlos Saldanha, le réalisateur du film d'animation (déjà réalisateur des deux premiers opus de la franchise), considère que L'Age de glace 3 - Le Temps des dinosaures "est de loin le plus ambitieux des trois films. Nous avons plongé nos héros, qui ne connaissent que la période glaciaire et la fonte des glaces, dans un monde complètement étranger pour eux." Le coréalisateur Michael Thurmeier ajoute que "le film est beaucoup plus riche sur le plan visuel, c'est presque un film de genre. L'histoire est toujours aussi intelligente, drôle et centrée sur les personnages, mais le monde souterrain et les protagonistes apportent une dimension épique qui est vraiment nouvelle dans la franchise."
La paternité
Manny le mammouth, dans L'Age de glace 3 - Le Temps des dinosaures doit faire face à un nouveau défi: sa paternité. Il prend la chose très au sérieux, au point que la frénésie s'empare de lui. Ray Romano qui lui prête sa voix dans la version originale s'est beaucoup retrouvé dans le personnage: " j'ai vécu exactement la même chose. Quand on prépare l'arrivée d'un bébé, on devient vite complètement dingue ! ". Sid le paresseux, est très proche de Manny, il entretient avec lui une relation presque fraternelle. Manny étant très préoccupé par la grossesse d'Ellie, Sid se sent mis à l'écart et souhaite également fonder sa propre famille. Lorsqu'il découvre trois énormes oeufs dans une caverne il va les garder et à leurs naissances va tenter de les élever.
La grossesse
Les animateurs ont beaucoup réfléchi à la manière de montrer la grossesse d'Ellie, la compagne de Manny sur grand écran. Ils ne voulaient pas qu'elle perde son entrain et son énergie. "Nous avons donc décidé de ne pas trop faire bouger son ventre, il devait juste être là et ne pas la ralentir. Pour protéger son ventre et son bébé, une femme enceinte gère l'espace et ses mouvements différemment, et c'est une chose que nous avons aussi gardée à l'esprit" précise le directeur de l'animation.
Les sons de Scrat
L'infatigable écureuil/rat préhistorique connu sous le nom de Scrat, qui passe son temps à courir après un gland qui lui échappe toujours est également de retour dans L'Age de glace 3 . Les sons émis par ce personnage infortuné sont l'oeuvre de Chris Wedge, le réalisateur du premier L'Age de glace, également producteur exécutif des deux suivants.
Le retour de Scrat et de son gland
Créé à l'origine comme un personnage périphérique de L'Age de glace, la grande popularité de Scrat dès la bande-annonce du film a poussé les cinéastes à développer son rôle. Dans L'Age de glace 3, la route de Scrat croise celle d'une charmante demoiselle écureuil, Scratina, et va donner une histoire d'amour inattendue. Dans une scène les cinéastes, les montre en train de se battre, puis de danser le tango, sur un classique de Lou Rawls, "You'll Never Find Another Love Like Mine". Carlos Saldanha se souvient que "quand nous avons commencé à réfléchir à cette scène, nous nous sommes dit " OK, ils se battent pour le gland. Que pouvons-nous faire pour que cette bagarre se transforme en une scène romantique et en même temps pleine d'action ?"
Buck
Un nouveau personnage fait son entrée dans L'Age de glace 3 - Le Temps des dinosaures, il s'agit d'une belette du nom de Buck. Ce dernier est borgne et légèrement dingue, tombé par hazard dans un monde souterrain. L'origine de sont état est dû à la rencontre malencontreuse avec un dinosaure terrifiant nommé Rudy. Depuis il erre dans ce monde souterrain à la recherche de la créature pour se venger, comme le capitaine Achab dans " Moby Dick ". Le réalisateur a souhaité que la "folie" du personnage de Buck ait une raison et que son comportement s'explique. Dans la version originale, le réalisateur voulait une voix originale qui se démarque des autres personnages. C'est pourquoi il confia le rôle à l'acteur Simon Pegg. L'acteur déclare : " J'aime beaucoup Buck, je me suis amusé à le faire parler avec un accent cockney. Il est plein d'énergie et c'est un personnage qui a de l'ampleur. Pour moi, c'est un peu un croisement entre Indiana Jones et Kurtz, le colonel fou d'Apocalypse now. "
Le son
C'est l'ingénieur du son deux fois Oscarisé, Randy Thom, dont la filmographie comprend Forrest Gump, Le Pôle Express ou encore Ratatouille, qui est à l'origine du travail de son effectué sur L'Age de glace 3. De nombreux sons ont dû être créé pour le film, surtout pour les dinosaures. Pour les dinosaures géants, Randy Thom s'est rendu en Afrique et dans un refuge en Thaïlande pour enregistrer les sons émis par des éléphants. Il les a rendu ensuite plus grave pour qu'ils soient plus impressionnants. Pour Rudy, le dinosaure que poursuit Buck pour se venger, il a utilisé et modifié des barrissements d'éléphants enregistrés pendant la saison des amours.
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L'Américain|Patrick Timsit|Comédie||1|français|2004|90|Français||XVID|||XVID|940 Kbps|576x320|MPEG-1 Audio layer 3|125 Kbps|False|44.1 KHz|2|699||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Thomas Anargyros Edouard de Vesinne|Patrick Timsit Jean-Carol Larrivé Jean-François Halin|Pierre Morel||SND||Francis Farge, alias "L'Américain", n'est géographiquement parlant pas né au bon endroit. En effet, bien que français, il pense, il mange, il vit américain... bref, il est américain, ce que se refusent à admettre les employés de l'ambassade américaine à Paris. Aidé par un avocat, Maître Edouard Barnier, dit "Eddy", il va tenter de convaincre les Américains en transformant son lotissement de Sarcelles en 51ème Etat des Etats-Unis. |Lorànt Deutsch (Francis Farge dit L'Américain)@Thierry Lhermitte (Maître Edouard Barnier dit Eddy)@Emilie Dequenne (Nelly)@Paolo Seganti (Rick)@Mathias Mlekuz (Tennessee)@Patrick Leluherne (Texas)@Richard Berry (Le professeur)@Marianne Denicourt (Murielle)@Thomas Doucet (Tom)@Patrick Timsit (Monsieur Samarone)@Patrick Paroux (Nevada)@||Secrets de tournage :
L'origine du projet
L'histoire de L'Américain est née de l'imagination de Patrick Timsit à l'époque où celui-ci faisait de la scène. Il souhaitait à l'origine faire un sketch basé sur ce personnage désirant à tout prix acquérir la nationalité américaine, mais le projet ne se concrétisa pas. Une dizaine d'années plus tard, Patrick Timsit reprendra possession du sujet, cette fois-ci avec succès et pour le grand écran.
Histoire d'une fascination
Pour réaliser L'Américain, il fallait que Patrick Timsit soit fasciné par les Etats-Unis depuis l'enfance. Il raconte avec humour cette attirance précoce pour la première puissance mondiale : "Je l'ai vécu, ce rêve américain, depuis l'âge de 14/15 ans, j'allais régulièrement aux Etats-Unis. A l'époque, je voulais importer le skate-board en France ! Avec un de mes amis, on voulait partir et exporter la ratatouille ! Ce qui est drôle, c'est que lorsqu'un français rêve d'Amérique et qu'il va y vivre... il ouvre un restaurant... français ou un magasin de jeans... français !"
Le bon conseil de Thierry Lhermitte
C'est Thierry Lhermitte, interprète de l'avocat dans L'Américain, qui suggéra à Patrick Timsit le nom de Lorant Deutsch pour le rôle-titre du film. Thierry Lhermitte et Lorant Deutsch s'étaient cotoyés à l'affiche des Ripoux 3, en 2003.
Lorant Deutsch vu par Timsit
"J'ai tout de suite pensé à Lorant parce qu'il a cette gouaille, ce côté un peu "titi parisien", il sait être énergique, émouvant, sincère. Il a tout pour ce personnage de doux dingue, cet espèce de Don Quichotte jamais pathétique, super attachant, dont on se demande comment il va faire pour inquiéter la première puissance mondiale !"
Les retrouvailles Timsit-Lhermitte
L'Américain marque une nouvelle étape dans la relation professionnelle qui unit Patrick Timsit et Thierry Lhermitte. Après s'être rencontrés sur le tournage d'Elles n'oublient jamais en 1994, les deux hommes se retrouvent au même générique dans Un indien dans la ville (1994), Marquise (1997), Le Prince du Pacifique (2000) et Les Clefs de bagnole (2003). Avec L'Américain, ils sont une nouvelle fois ensemble à l'écran, mais fait nouveau - et "première" dans leur collaboration - l'un dirige l'autre.
Un film "américanisé"
Patrick Timsit a souhaité donner à son film une vraie "couleur" américaine. Dans cette optique, il a ainsi, sur les conseils de son ami cinéaste Alain Corneau (qui l'avait fait tourner en 1997 dans Le Cousin), fait tout "à l'américaine" : tournage en Cinémascope, en Technicolor...
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Two Weeks Notice|Marc Lawrence (II)|Comédie||2|américain|2003|96|Anglais||XVID|||XVID|874 Kbps|720x400|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|696||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Sandra Bullock|Marc Lawrence (II)|Laszlo Kovacs||Warner Bros.||Le millionnaire Georges Wade ne prend aucune décision sans consulter Lucy Kelson, sa conseillère multi-fonction en chef à la Wade Corporation. Brillante avocate et fin stratège, elle a aussi un ulcère et ne dort pas beaucoup. Ce n'est pas son travail qui en est la cause mais George. Intelligent, charmeur et totalement centré sur lui-même, il la traite plus comme sa nourrice que comme une avocate sortant de Harvard. Aujourd'hui, après avoir tout régi pendant cinq ans, de ses vêtements à son divorce, Lucy Kelson a décidé de démissionner. George accepte l'idée de son départ de la Wade Corporation à la condition qu'elle se trouve une remplaçante. Au bout d'une recherche non sans difficultés, elle engage June Carter, une jeune avocate ambitieuse qui, très vite, ne cache pas ses visées sur son riche nouveau patron... |Sandra Bullock (Lucy Kelson)@Hugh Grant (George Wade)@Alicia Witt (June)@Mark Feuerstein (Ansel)@Dana Ivey (Ruth Kelson)@Heather Burns (Merryl)@||Secrets de tournage :
Troisième collaboration
L'Amour sans préavis est le premier long métrage de Marc Lawrence, mais sa troisième collaboration avec Sandra Bullock. Il avait déjà signé les scénarios d'Un vent de folie (1999, Bronwen Hughes) et Miss Détective (2000, Donald Petrie).
Une visite de New York
Présent tout au long du film, New York est le troisième protagoniste de L'Amour sans préavis. Vue d'hélicoptère, visite de classiques tels que le pont de Brooklyn, le siège de l'entreprise des Wade dans le film est en fait le Lucent Building, situé à Wall Street. L'intérieur de l'appartement de George Wade (Hugh Grant) a été filmé dans le Sky studio, un loft de trois étages dans Greenwich Village ; et celui de Lucy Kelson (Sandra Bullock) déniché à Brighton Beach, près de Coney Island.
Galerie de tableaux
Les peintures accrochées dans l'appartement de George Wade (Hugh Grant) sont l'oeuvre d'un groupe d'artistes anglais contemporains appelés Les Sensationnels.
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Land of the Dead|George A. Romero|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain, canadien, français|2005|92|Anglais||XviD|||XVID|894 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|151 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Mark Canton Bernie Goldmann Peter Grunwald|George A. Romero|Miroslaw Baszak||Universal Pictures|Saga : des morts-vivants de Romero |Dans un avenir pas si lointain, une poignée de survivants barricadés dans une ville bunker vit encore dans le souvenir de l'ancien monde... Des zombies, qui désormais pensent et communiquent, s'organisent pour prendre d'assaut la ville bunker. Kaufman, autoproclamé chef des vivants, engage un commando de mercenaires pour contrer les attaques de ces morts-vivants d'un genre nouveau... |Simon Baker (Riley)@Asia Argento (Slack)@Dennis Hopper (Kaufman)@John Leguizamo (Cholo)@Robert Joy (Charlie)@Pedro Miguel Arce (Pillsbury)@Eugene Clark (Big Daddy)@Joanne Boland (Pretty Boy)@Tony Nappo (Foxy)@Jennifer Baxter (Numéro 9)@Boyd Banks (le boucher)@Jasmin Geljo (Tambourine Man)@Tony Munch (Anchor)@Shawn Roberts (Mike)@Krista Bridges (Motown)@Simon Pegg (le zombie chez le photographe 1)@Edgar Wright (le zombie chez le photographe 2)@Tom Savini (le zombie à la machette)@||Secrets de tournage :
Quatrième volet d'une saga sur les morts-vivants
Land of the dead est le quatrième épisode d'une saga sur les morts-vivants entamée en 1968 par George A. Romero. Marqué de l'empreinte du 11 septembre 2001, cet opus prend le relais du spectre de la guerre du Vietnam de La Nuit des morts-vivants, du consumérisme de Zombie (1978) et des germes du totalitarisme du Jour des morts-vivants (1985). Romero reprend donc sa saga vingt ans après son point final provisoire...
Que devenaient les zombies ?
Pour le réalisateur, "Land of the dead (le territoire des morts) aurait dû se monter dans les années 90, mais on s'est embourbé, avec mon partenaire, dans des projets hollywoodiens. Après, j'ai fui le système, j'ai réalisé des petits films comme Bruiser pour manger, et je me suis mis sérieusement à écrire ce film. Et puis le 11-septembre est arrivé et tout le monde ne jurait que par des films rassurants, pas apocalyptiques."
Un goût de déjà-vu...
Le film semble reprendre certains éléments du dernier film de zombies réalisé à ce jour par George A. Romero, Le Jour des morts-vivants, qui enfermait dans un bunker des militaires et un groupe de chercheurs scientifiques. C'est normal : le scénario de Land of the dead (le territoire des morts) est tiré du premier script, bien plus long, de ce dernier...
Argento de père en fille
Le rôle féminin principal est tenu par la sulfureuse et arty Asia Argento. Son père, le légendaire cinéaste italien Dario Argento, avait co-produit un des films de morts-vivants réalisés par Romero, Zombie. Ils avaient également réalisé ensemble un film à sketches intitulé Deux Yeux malefiques et sorti en France en 1992. Néanmoins, Asia Argento avait tenu à préciser que ce n'était pas au nom de cette collaboration entre les deux vétérans du film d'épouvante qu'elle participait à Land of the dead (le territoire des morts) : "Bien sûr, toute gamine, j'ai rencontré George A. Romero à deux ou trois reprises, mais s'il m'a demandée d'y interpréter Slack, c'est surtout parce qu'il avait beaucoup aimé mon premier long-métrage en tant que réalisatrice, Scarlet Diva. Après deux projets qui ont avorté, il m'a contactée à nouveau pour Land of the dead. Je me suis aussitôt engagée à fond dans le projet même si les films d'horreur ne sont pas vraiment ma tasse de thé..."
Toujours ennemis
Ce n'est pas la première fois que l'acteur américano-colombien John Leguizamo trouve sur sa route le vétéran Dennis Hopper, puisque tous les deux s'étaient déjà affrontés dans Super Mario Bros !
Cameos (1)
Le film regorge d'apparitions clin d'oeil, à commencer par Edgar Wright et Simon Pegg, les deux créateurs de Shaun of the dead, succès surprise récent en Angleterre (et ailleurs), qui parodie la tradition des films de zombies imposée par George A. Romero. Le cinéaste, impressionné par leur opus, leur a proposé de tenir le rôle de deux zombies (qu'on peut apercevoir chez un photographe).
Cameos (2)
Notons également la présence de Tom Savini, illustre responsable des effets spéciaux et du maquillage sur nombre de films d'horreur, dont Vendredi 13 (1980), Trauma (Dario Argento, 1993) et Killing Zoe (Roger Avary, 1994). Fidèle collaborateur de Romero depuis Martin en 1977, il est occasionnellement passé devant la caméra pour des films choc comme, récemment, L'Armée des morts, remake (ah tiens) du Zombie de Romero.
Le regard de George A. Romero sur sa saga
Pour George A. Romero, "chaque film de la saga reflète à sa manière le climat politique et social de son époque. Si les histoires que j'y raconte sont finalement assez proches les unes des autres, elles prennent tout leur sens par le contexte dans lesquelles elles se situent, par l'évolution du monde et de la société sur plusieurs décennies. C'est un concept inhabituel, mais il permet, politiquement parlant, de saisir l'air du temps tout en poussant plus loin le tableau d'une lente dégradation de l'humanité."
Pas de confusion
L'un des titres initiaux du film était Dead Reckoning, mais il a été modifié pour qu'on ne le confonde pas avec le film homonyme de John Cromwell, réalisé en 1947 et interprété par Humphrey Bogart, et dont le titre français est En marge de l'enquête. Dead Reckoning, dans le film, est désormais le nom du camion-dézingueur de zombies !
Délocalisation
Romero désirait tourner le film à Pittsburgh, c'est-à-dire là où se situait l'action des précédents épisodes de la saga des morts-vivants et, accessoirement, là où le cinéaste a passé son enfance. Mais les producteurs ont insisté pour qu'il aille tourner dans la région de Toronto, au Canada, car les taxes sur les tournages y sont moins élevées...
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Bedknobs and Broomsticks|Robert Stevenson|Animation||3|américain|1972|133|Anglais||DX50|||DX50|1 326 Kbps|720x400|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|1398||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Bill Walsh|Ralph Wright Ted Berman Bill Walsh Don DaGradi|Frank V. Phillips||Buena Vista Pictures||L'Angleterre est en danger... Une apprentie sorcière, trois enfants et un escroc s'allient pour tenter de trouver l'élément manquant dans la composition d'une formule magique qui pourra sauver l'Angleterre. |Cindy O'Callaghan (Carrie Rawlins)@Roy Snart (Paul Rawlins)@Ian Weighill (Charlie Rawlins)@Angela Lansbury (Eglantine Price)@Roddy McDowall (Mr. Jelk)@David Tomlinson (Mr. Emelius Browne)@Sam Jaffe (le libraire)@John Ericson (le Colonel Heller)@Bruce Forsyth@Tessie O'Shea (Madame Hobday)@Arthur Gould-Porter (Capitaine Ainsley Greer)@Ben Wrigley (le travailleur dans la rue à Portobello)@Reginald Owen (le Général Sir Brian Teagler)@Cyril Delevanti (le fermier âgé)@Dal McKennon (l'ours (voix))@Bob Holt (Mr. Codfish (voix))@||||||||||||@@
Lara Croft: Tomb Raider|Simon West|Action||2|américain|2001|100|Anglais||DIV3|||DIV3|821 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|691||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Lawrence Gordon Lloyd Levin Colin Wilson|Patrick Massett John Zinman Simon West|Peter Menzies Jr.||Paramount Pictures|Saga : Tomb Raider |Lara Croft a hérité de son père archéologue de nombreux trésors parmi lesquels une mystérieuse horloge magique.
Des années plus tôt, celui-ci lui dévoila l'existence d'une organisation secrète, les Illuminati, qui s'était lancée à la recherche d'une horloge dont la clé ouvrait les portes du Temps et de l'Espace. Celle-ci est un triangle sacré qui assura, 5 000 ans auparavant, la victoire des premiers Illuminati sur leurs ennemis. Si le triangle venait à être recomposé, ces lointains ancêtres reviendraient à la vie et le sort de l'Humanité en serait bouleversé à jamais.
Le puissance de ce triangle atteindra son summum lorsque trois planètes s'aligneront dans le ciel en une éclipse totale qui survient une fois tous les 5 000 ans. L'aventurière ne dispose que de 48 heures pour résoudre l'énigme du triangle magique et ainsi sauver le monde. |Angelina Jolie (Lara Croft)@Iain Glen (Powell)@Daniel Craig (Alex Marrs)@Jon Voight (Lord Henshingly Croft)@Noah Taylor (Bryce)@Chris Barrie (Hillary)@Julian Rhind-Tutt (Pimms)@Leslie Phillips (Mr Wilson)@Richard Johnson (le gentleman distingué)@Rachel Appleton (Lara Croft, jeune)@Mark Collie (Larson)@||Secrets de tournage :
Quelques adaptations de jeux vidéos sur grand écran
Lara Croft Tomb Raider le berceau de la vie et son prédécesseur Lara Croft : Tomb raider ne sont pas les premiers jeux vidéo à être porté à l'écran, loin s'en faut. Parmi les autres films à être passés de la console au cinéma, citons notamment Super Mario Bros (Annabel Jankel & Rocky Morton, 1992), Wing Commander (Chris Roberts, 1998), Double Dragon (James Yukich, 1995), Mortal Kombat et Resident evil (Paul Anderson, 1995 & 2001) ou encore Final fantasy, les créatures de l'esprit (Hironobu Sakaguchi & Monotori Sakakibara, 2001).
De nombreuses postulantes
Pour incarner en chair et en os le personnage de l'aventurière Lara Croft, de nombreuses actrices ou mannequins furent envisagées avant qu'Angelina Jolie ne soit finalement choisie. Natalie Cook, Rhona Mitra, Nell McAndrew, Lara Weller, Vanessa Demouy et Lucy Clarkson furent ainsi pressenties pour le rôle.
Père et fille, devant et derrière la caméra
Dans le film de Simon West, Lady Lara Croft (Angelina Jolie) est la fille de Lord Richard Croft (Jon Voight)... filiation qui est également vraie en dehors des studios !
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Lara Croft Tomb Raider: The Cradle of Life|Jan de Bont|Action||2|américain, britannique|2003|116|Anglais||XviD|||XVID|1 229 Kbps|640x272|AC3|448 Kbps|True|48.0 KHz|6|1399||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Lawrence Gordon Lloyd Levin|Dean Georgaris Kirk M. Petruccelli Lloyd Levin|David Tattersall||Paramount Pictures|Saga : Tomb Raider |Aux abords du Kilimandjaro, le "Berceau de la Vie" abrite le plus mystérieux et le plus terrifiant des fléaux : la Boîte de Pandore, dont les germes pourraient en quelques heures anéantir l'Humanité. Au moment où Lara Croft, l'archéologue de charme, s'apprête à prendre possession de l'orbe contenant les coordonnées de ce trésor, un commando chinois fait irruption dans le temple sous-marin et s'en empare.Sauvée de la mort par ses fidèles assistants Bryce et Hillary, l'aventurière regagne son manoir, où elle reçoit bientôt la visite de deux émissaires du MI 6. Elle apprend ainsi que le commanditaire des tueurs et de leur chef Chen Lo n'est autre que le Dr. Jonathan Reiss, un mégalomane cynique, soupçonné de fournir des armes biologiques high-tech aux plus offrants... |Angelina Jolie (Lara Croft)@Gerard Butler (Terry Sheridan)@Ciarán Hinds (le docteur Jonathan Reiss)@Daniel Caltagirone (Nicholas Petraki)@Khan Bonfils (le guarde de Reiss)@Chris Barrie (Hillary)@Robert Atiko (Armin Kal)@Robert Cavanah (l'agent Stevens)@Djimon Hounsou (Kosa)@Noah Taylor (Bryce)@Til Schweiger (Sean)@Fabiano Martell (Jimmy Petraki)@Ronan Vibert (l'agent Calloway)@Simon Yam (Chen Lo)@Terence Yin (Xien)@||Secrets de tournage :
Le retour de Lara Croft
Lara Croft Tomb Raider le berceau de la vie est le second long-métrage inspiré du célèbre jeu vidéo Tomb Raider mettant en vedette l'aventurière sexy Lara Croft. En 2001 était sorti dans les salles Lara Croft : Tomb raider.
Angelina Jolie fidèle au poste
Pour ce second volet des aventures de Lara Croft, la comédienne américaine Angelina Jolie rempile dans la combinaison de l'aventurière sexy. En revanche, c'est Jan de Bont (Speed, Hantise) et non plus Simon West qui est aux commandes du long-métrage.
Jan de Bont : spécialiste de l'action
Avec Jan de Bont aux commandes, qui possède à son actif des films comme Speed et Twister, les producteurs de Lara Croft Tomb Raider le berceau de la vie ont bénéficié de l'expérience d'un spécialiste du film d'action. L'un des producteurs, Lloyd Levin, ne cache pas son enthousiasme : "Ce film contient deux fois plus d'action que le premier, et il exigeait le degré d'intensité que Jan apporte à son cinéma. Il connaît parfaitement les exigeances d'un film d'action et sait obtenir une tension et un suspense crédibles. Son tempérament positif, sa détermination à nous offrir un spectacle inédit en faisaient le réalisateur idéal."
Quelques adaptations de jeux vidéos sur grand écran
Lara Croft Tomb Raider le berceau de la vie et son prédécesseur Lara Croft : Tomb raider ne sont pas les premiers jeux vidéo à être porté à l'écran, loin s'en faut. Parmi les autres films à être passés de la console au cinéma, citons notamment Super Mario Bros (Annabel Jankel & Rocky Morton, 1992), Wing Commander (Chris Roberts, 1998), Double Dragon (James Yukich, 1995), Mortal Kombat et Resident evil (Paul Anderson, 1995 & 2001) ou encore Final fantasy, les créatures de l'esprit (Hironobu Sakaguchi & Monotori Sakakibara, 2001).
De nombreuses postulantes
Pour incarner en chair et en os le personnage de l'aventurière Lara Croft, de nombreuses actrices ou mannequins furent envisagées avant qu'Angelina Jolie ne soit finalement choisie. Natalie Cook, Rhona Mitra, Nell McAndrew, Lara Weller, Vanessa Demouy et Lucy Clarkson furent ainsi pressenties pour le rôle.
Un manège aux couleurs du film
Le jeu vidéo Tomb Raider ainsi que la saga cinématographique mettant en vedette l'aventurière sexy ont inspiré une attraction de parc à thème. Répondant au nom de Tomb Rider : The Ride, celle-ci se trouve dans le parc King's Island des studios Paramount, près de Cincinatti, et a été inaugurée en 2002. A l'image du Space Moutain de Disney, elle emmène les visiteurs dans une course effrénée, au beau milieu d'effets spéciaux et de décors du film.
Un monteur de prestige
L'équipe de Lara Croft Tomb Raider le berceau de la vie a bénéficié de l'expérience du chef monteur Michael Kahn, fidèle collaborateur de Steven Spielberg. Détenteur de trois Oscars avec ce dernier (Les Aventuriers de l'Arche perdue, La Liste de Schindler et Il faut sauver le soldat Ryan), il travaille pour la troisième fois avec Jan de Bont après Twister et Hantise.
Des décors pharaoniques
Pas moins de 102 décors furent créés pour les besoins de Lara Croft Tomb Raider le berceau de la vie, répartis sur les trois continents que sont l'Afrique, l'Asie et l'Europe. Les célèbres studios britanniques de Pinewood furent réquisitionnés pour de nombreuses scènes. Enfin, pour un maximum d'authenticité, des membres de l'équipe furent envoyés à Hong-Kong pour acheter des accessoires typiques (lézards séchés, thés, oeufs millénaires,...) servant à orner les boutiques de la place de la Pagode des Fleurs de Shanghaï reconstituée en studio.
Un look très mode
Même si Angelina Jolie a subi un entraînement physique intense (conduite de jet-ski, maniement de bâton,...), la comédienne est, selon la chef costumière Lindy Hemming (primée à l'Oscar pour le premier volet), toujours aussi sexy et lumineuse à l'écran. Elle choisit de lui redonner, comme dans le premier film, un look "simple, élégant et moderne".
Un tournage autour du monde
Le tournage de Lara Croft Tomb Raider le berceau de la vie s'est déroulé du 27 août 2002 au 19 mars 2003, avec un budget de 90 millions de dollars. L'équipe du film a posé ses caméras un peu partout autour du globe, de l'Angleterre au Kenya, en passant par Hong-Kong et la Grèce.
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Lethal Weapon|Richard Donner|Action|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|1987|112|Anglais||DX50|||DX50|755 Kbps|720x416|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|691||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Richard Donner Joel Silver|Shane Black|Stephen Goldblatt|||Saga : L'arme fatale |Deux excellents policiers de Los Angeles, Martin Riggs et Roger Murtaugh, se retrouvent coéquipers sur une même affaire. Les deux hommes, de caractère franchement opposé, finissent par s'apprécier et demontrent leur amitié et leurs capacités quand la fille de l'un d'eux est enlevée par d'anciens agents des forces spéciales devenus trafiquants de drogue. |Mel Gibson (Martin Riggs)@Danny Glover (Roger Murtaugh)@Gary Busey (Mr. Joshua)@Mitchell Ryan (Le général Peter McAllister)@Tom Atkins (Michael Hunsaker)@Darlene Love (Trish Murtaugh)@Traci Wolfe (Rianne Murtaugh)@Jackie Swanson (Amanda Hunsaker)@Damon Hines (Nick Murtaugh)@Ebonie Smith (Carrie Murtaugh)@Don Gordon (Un policier)@Alphonse Philippe Mouzon (Un ami d'Alfred)@Everitt Wayne Collins, Jr. (Un ami d'Alfred)@Brian Strohm (Un ami de la famille)@Frank Reinhard (Un policier)@John O'Neill (Policier dans la voiture)@Jimmie F. Skaggs (Un dealer)@Jason Ronard (Un dealer)@Blackie Dammett (Un dealer)@Gail Bowman (Un policier)@Chad Hayes (Un mercenaire)@Chris D. Jardins (Un mercenaire)@Gilles Kohler (Un mercenaire)@Cedric Adams (Un mercenaire)@James Poslof (Un mercenaire)@Deborah Dismukes (La blonde sur la moto)@Cheryl Baker (Une femme dans la douche)@Bill Kalmenson (Un policier)@Patrick Cameron (Un policier)@Terri lynn Doss (Une femme dans la douche)@Sharon K. Brecke (Une femme dans la douche)@Sven-Ole Thorsen (Un mercenaire)@Peter DuPont (Un mercenaire)@Robert Fol (Un policier)@Selma Archerd (Une femme flic)@Richard B. Whitaker (Un officier de police)@Mary Ellen Trainor (La psychologue)@Tom Noga (Policier dans la voiture)@Shaun D. Hunter (Un ami d'Alfred)@Paul Tuerpe (Un mercenaire)@Ed O'Ross (Mendez)@Ed O'Ross (Mendez)@Steve Kahan (Capt. Murphy)@Al Leong (Endo)@Michael Shaner (Mc Cleary)@Jack Thibeau (McCaskey)@Grand L. Bush (Boyette)@Grand L. Bush (Boyette)@Gustav Vintas (Gustaf)@Donald Gooden (Alfred)@Lycia Naff (Dixie)@||||||||||||@@
Lethal Weapon 2|Richard Donner|Action||3|américain|1989|112|Anglais||XviD|||XVID|758 Kbps|512x288|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Richard Donner Joel Silver|Jeffrey Boam Shane Black Warren Murphy|Stephen Goldblatt||Warner Bros. France|Saga : L'arme fatale |Quand Martin Riggs, alias "Arme Fatale", est séduit par la secrétaire d'un dangereux malfaiteur et que ce dernier, mauvais joueur, assassine la belle, que fait-il ? Il se venge. Et comment ? A l'aide de voitures de police, revolvers et armes en tout genre, folles poursuites et gags cocasses. Et qui le met en valeur ? Roger Murtaugh, flic qui n'aspire qu'à une vie paisible... |Mel Gibson (Martin Riggs)@Danny Glover (Roger Murtaugh)@Joe Pesci (Leo Getz)@Derrick O'Connor (Pieter 'Adolph' Vorstedt)@Joss Ackland (Arjen 'Aryan' Rudd)@Patsy Kensit (Rika Van Den Haas)@Darlene Love (Trish Murtaugh)@Traci Wolfe (Rianne Murtaugh)@Steve Kahan (Le capitaine Ed Murphy)@Mark Rolston (Hans)@Jenette Goldstein (L'officier Meagan Shapiro)@Dean Norris (Tim Cavanaugh)@Juney Smith (Tom Wyler)@Nestor Serrano (Eddie Estaban)@Philip Suriano (Joseph Ragucci)@Grand L. Bush (Jerry Collins)@Tony Carreiro (Marcelli)@Damon Hines (Nick Murtaugh)@Ebonie Smith (Carrie Murtaugh)@Allan Dean Moore (George)@Jack McGee (Carpenter)@Mary Ellen Trainor (Psychiatre)@David Marciano (Un policier)@Lionel Douglass (Officier Friesen)@James Oliver (Officier Moss)@Salim Jaidi (Un policier)@Cynthia Burr (La propriétaire de la Honda)@Tommy Hinkley (Un policier)@||||||||||||@@
Lethal Weapon 3|Richard Donner|Action||3|américain|1992|117|Anglais||DX50|||DX50|694 Kbps|608x256|MPEG-1 Audio layer 3|123 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|13/08/2009 00:00:00|Richard Donner Joel Silver|Jeffrey Boam Robert Mark Kamen|Jan de Bont||Warner Bros. France|Saga : L'arme fatale |Roger Murtaugh, brillant sergent de la police de Los Angeles, se prépare à partir à la retraite. Mais, à la suite d'une imprudence, son coéquipier Martin Riggs dit "Arme Fatale" et lui-même se voient rétrogradés au rang de simple flic. Les deux amis décident alors de poursuivre pour leur propre compte une enquête qu'ils avaient engagée sur un trafic d'armes volées dans leur commissariat. |Mel Gibson (Martin Riggs)@Danny Glover (Roger Murtaugh)@Joe Pesci (Leo Getz)@Rene Russo (Lorna Cole)@Stuart Wilson (Le lieutenant Jack Edward Travis)@Steve Kahan (Le capitaine Ed Murphy)@Darlene Love (Trish Murtaugh)@Traci Wolfe (Rianne Murtaugh)@Damon Hines (Nick Murtaugh)@Ebonie Smith (Carrie murtaugh)@Paul Hipp (Doctor)@Lauren Shuler Donner (Nurse)@Alan Scarfe (Herman Walters)@Nick Chinlund (Hatchett)@Mark Pellegrino (Billy Phelps)@Stephen T. Kay (Le réalisateur)@Stephen T. Kay (Le réalisateur)@Stephen T. Kay (Le réalisateur)@John Cenatiempo (Smitty)@Danny Wynands (Hershel)@Mary Ellen Trainor (Stephanie Woods)@Kenneth Tigar (Ernie/Détective)@James Oliver (La manager)@Gregory Millar (Tyrone)@Andrew Hill Newman (Jaywalker)@Delores Hall (Delores)@John Harms (Un policier)@Thomas A. Geas (L'homme au stand d'hamburgers)@Bobby Wynn (Darryl)@Danny Big Black (Le père de Darryl)@Adam Klineberg (Le flic acteur)@Eward Rosen (Un spectateur de hockey)@Anthony T. Pennelo (Le garde mort)@Jason Meshover-Iorg (Le jeune policier)@Germain Williams (Le conducteur)@Marian Collier (Le patron)@Jay Byron (Un garde)@Jay Fiondella (Un spectateur de hockey)@Harvey Fisher (Le voisin des Murtaugh)@Steve Luport (Welder)@Michael George Miller (L'assistant-réalisateur)@Michele Landry (Une jeune femme)@Scott M. Bryce (Le jeune homme)@Norman D. Wilson (George)@Sylvia Sylvia Webb White (La mère de Darryl)@||||||||||||@@
Lethal weapon 4|Richard Donner|Action|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|1998|122|Anglais||DX50|||DX50|665 Kbps|572x232|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Richard Donner Joel Silver|Channing Gibson Jonathan Lemkin Alfred Gough Miles Millar|Andrzej Bartkowiak||Warner Bros. France|Saga : L'arme fatale |On adjoint un nouveau détective au quatuor Riggs, Murtaugh, Cole et Getz pour les besoins d'une enquête sur une série de crimes dans lesquels des faux-monnayeurs sont impliqués. Leurs investigations les conduisent à Wah Sing Ku, un membre de la mafia asiatique... |Mel Gibson (Martin Riggs)@Danny Glover (Le détective Roger Murtaugh)@Joe Pesci (Leo Getz)@Chris Rock (Lee Butters)@Rene Russo (Lorna Cole)@Jet Li (Wah Sing Ku)@Steve Kahan (Le capitaine Ed Murphy)@Darlene Love (Trish Murtaugh)@Traci Wolfe (Rianne Murtaugh-Butters)@Eddy Ko (Hong)@Richard Riehle (INS Agent)@Rick Hoffman@Roger Yuan (Chu)@Jennie Lew Tugend (Réceptionniste de Cheng)@Damon Hines (Nick Murtaugh)@Ebonie Smith (Carrie Murtaugh)@Mary Ellen Trainor (Stephanie Woods)@Michael Chow Man-Kin (L'assistant de Benny)@Elizabeth Sung (La femme de Hong)@Kim Chan (Oncle Benny)@Danny Arroyo (Gomez)@Raymong Ma (Dr. Cheng)@Phil Chong (Yee)@Steven Lam (Ping)@Zu-Wu Qian (Oncle Chung)@Roland Kickinger (Détective)@Al Sapienza (Détective)@Benjamin King (Détective)@Stephen Liska (Détective)@Paul Tuerpe (Copilote de l'hélicoptère)@John Harms (Détective)@Jamie Donovan (Détective)@Jessica Jann (Une petite fille)@Robin Link (Détective)@Darren Peel (Détective)@Dana Lee (Général)@Barret Swatek (Une infirmière)@Bill Henderson (Le patient furieux)@Craig Hoskins (Pilote d'hélicoptère)@Doug Weaver (Un policier)@George Kee Cheung (Un fan)@Gary Hand (L'assistant de Coroner)@Edward J. Rosen (Voisin de Murtaugh)@J. Matthew Jordan (Voisin de Murtaugh)@Glenn Friedman (Un policier)@James W. Gavin (Pilote d'hélicoptère)@Jeanne Chinn (La mère de Ping)@Ray Chang (Le père de Ping)@Tim Cooney (Un caméraman)@Jay Fiondella (Voisin de Murtaugh)@Joan Frasco (Une infirmière)@Lisa Rhianna Smith (Voisinne de Murtaugh)@Kenneth Jackman (Un employé de l'hospital)@Paul Bollen (Détective)@Kerry Kletter (Une infirmière)@Joyce Ingalls (Une infirmière)@Shawn Michaels (Détective)@Sarah Gamble (Une journaliste)@Wallace Gudgell (Officier de l'ATF)@||Secrets de tournage :
40 millions de $ pour Mel Gibson
Mel Gibson, qui avait longtemps refusé de reprendre le rôle de Martin Riggs, a finalement empoché une coquette somme de quarante millions de dollars pour jouer dans L' Arme fatale 4. C'est dire si l'argument financier a pesé sur sa décision.
Jet Li, protégé de Joel Silver
C'est en visionnant Fist of legend - La nouvelle fureur de vaincre de Gordon Chan et Yuen Woo Ping et plusieurs autres longs métrages dans lesquels joue Jet Li que le producteur Joel Silver a choisi ce dernier pour incarner le méchant Wah Sing Ku.
Les hésitations de Danny Glover
Après de multiples hésitations, Danny Glover s'est laissé convaincre par Richard Donner d'incarner pour la quatrième fois l'officier de police Roger Murtaugh. L'acteur noir-américain avait d'abord accepté puis refusé de reprendre le rôle, parce qu'il trouvait que le scénario s'allégeait au fur et à mesure des épisodes et que son personnage n'avait plus rien à défendre.
Le réalisateur l'a rassuré à ce sujet. Dans ce volet, le personnage interprété par Danny Glover héberge une famille entière de Chinois exilés et prend ainsi fait et cause pour les immigrés clandestins aux Etats-Unis.
Jackie Chan pressenti
Jackie Chan était d'abord pressenti pour incarner Wah Sing Ku, rôle qui a finalement été attribué à Jet Li. Jackie Chan avait en effet refusé d'interpréter ce personnage en raison de son côté maléfique.
Chris Rock dans la famille
Chris Rock est un nouveau venu dans la saga de L'Arme fatale. En incarnant le futur gendre du capitaine Roger Murtaugh, il intègre ainsi, comme Joe Pesci dès le deuxième volet et Rene Russo dès le troisième, le proche entourage des deux policiers interprétés par Mel Gibson et Danny Glover.
Le quatrième volet de la saga
A nouveau réalisé par Richard Donner et interprété par le tandem Mel Gibson / Danny Glover, L' Arme fatale 4 (1998) constitue le quatrième épisode de L'Arme Fatale, une saga de films policiers mêlant à la fois humour et action. Le premier opus, datant de 1987, avait remporté un énorme succès et rendu populaire le buddy movie, sorte de thriller d'action dans lequel un duo de personnages mal assortis entreprend une enquête aux multiples rebondissements.
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12 Monkeys|Terry Gilliam|Drame||3|américain|1996|123|Anglais||DX50|||DX50|675 Kbps|544x288|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|694||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Charles Roven|David Webb Peoples Janet Peoples|Roger Pratt||UFD||Nous sommes en l'an 2035. Les quelques milliers d'habitants qui restent sur notre planète sont contraints de vivre sous terre. La surface du globe est devenue inhabitable à la suite d'un virus ayant décimé 99% de la population. Les survivants mettent tous leurs espoirs dans un voyage à travers le temps pour découvrir les causes de la catastrophe et la prévenir. C'est James Cole, hanté depuis des années par une image incompréhensible, qui est désigné pour cette mission. |Bruce Willis (James Cole)@Madeleine Stowe (Docteur Kathryn Railly)@Brad Pitt (Jeffrey Goines)@Christopher Plummer (Docteur Leland Goines)@David Morse (Docteur Peters)@Frank Gorshin (Docteur Owen Fletcher)@Jon Seda (Jose)@Joseph Melito (James Cole enfant)@Lisa Gay Hamilton@Christopher Meloni@||||||||||||@@
The Art of War|Christian Duguay|Policier||2|canadien, américain|2000|114|Anglais||DIV3|||DIV3|683 Kbps|480x352|MPEG-1 Audio layer 3|160 Kbps|False|44.1 KHz|2|699||||29.970|28/07/2009 00:00:00|Nicolas Clermont|Wayne Beach Simon Barry|Pierre Gill|||Saga : Art de la guerre - Wesley Snipes |Neil Shaw est un agent special, inconnu des services de renseignement americains, qui n'obeit qu'au secretaire general des Nations unies par l'intermediaire de sa collaboratrice Eleanor Hooks. Se remettant d'une perilleuse mission a Hong Kong, Shaw se voit confier un travail apparemment simple: mettre sur ecoute l'ambassadeur de Chine a New York lors d'un sommet commercial. Mais celui-ci est assassine et Shaw arrete. Libere par les triades chinoises, qui tentent ensuite de l'eliminer, il s'evade. Recherche par le FBI, il doit faire cavalier seul. |Wesley Snipes (Neil Shaw)@Marie Matiko (Julia Frang)@Donald Sutherland (Douglas Thomas)@Maury Chaykin (Capella)@Michael Biehn (Robert Bly)@Anne Archer (Eleanor Hooks)@||Secrets de tournage :
James Hong (Ambassadeur Wu)
Né aux Etats-Unis, James Hong a débuté sa carrière chez William A. Wellman, Edward Dmytrik, avant de jouer sous la direction de Robert Wise (La canonnière du Yang-Tsé), Roman Polanski (Chinatown), et John Carpenter (Les aventures de Jack Burton dans les griffes du mandarin).
La filmographie de cet acteur sino-américain dépasse les cent titres, dont La veuve noire (Bob Rafelson, 1986), Tango & Cash (Andrej Konchalovsky, 1989), Wayne's World 2 (Stephen Surjik, 1993) et Red Corner (Jon Avnet, 1997).
Michael Biehn (Bly)
Dirigé par James Cameron (Aliens, Abyss), William Friedkin (Jade) et Michael Bay (Rock), Michael Biehn a notamment joué dans Navy SEALS (Lewis Teague, 1990), Timebomb (Avi Nesher, 1992) et Tombstone (George P. Cosmatos, 1993).
La mise en scène selon Christian Duguay
Soucieux de contrôler totalement son film, Duguay cadre lui-même les plans qu'il filme.
« Je trouve très difficile de travailler autrement, et je pense qu'on perd quelque chose d'essentiel à ne regarder que le moniteur. J'aime manier moi-même la caméra, travailler un symbiose avec l'acteur et savoir que le spectateur verra plus tard tout ce que je vois à ce instant précis. »
Christian Duguay, réalisateur
Réalisateur de télévision réputé, le Canadien Christian Duguay a réalisé pour le cinéma Scanners II (1991), Scanners III (1992), et a connu le succès avec Planète hurlante (1995). Il a également signé Contrat sur un terroriste (1997), dans lequel apparaissait déjà Donald Sutherland.
L'art de la guerre ? le livre
Attribué à Sun Tzu, un général chinois du IVème siècle avant J.-C., « L'art de la guerre » propose une conception novatrice de la guerre, fondée non plus sur la force et la destruction, mais sur l'habileté et le refus du combat. Pour Sun Tzu, le guerrier suprême défait son adversaire sans le combattre.
Comparé au « Prince », « L'art de la guerre » est autant un traité militaire que politique, et a connu, tout comme le chef-d'?uvre de Machiavel, nombre d'exégètes, parmi lesquels Mao.
Wesley Snipes évoque son personnage
« Doué d'une belle forme physique, il se distingue également par ses facultés d'analyse et son sang-froid. Il est aussi à l'aise dans les quartiers chauds et dans les salons huppés de Washington, bien qu'il n'appartienne à aucun de ces univers. C'est un esprit libre, dénué de préjugés et, incidemment, un bouddhiste. Enfin, il pratique les arts martiaux, dont j'ai moi-même une certaine expérience. Ce mélange rendait ce personnage particulièrement intéressant. »
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Art of War II : The Betrayal|Josef Rusnak|Action||1|américain, canadien|2008|102|Anglais||XviD|||XVID|810 Kbps|656x282|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||29.970|28/07/2009 00:00:00|Dan Lyon Kirk Shaw|Jason Bourque Keith Shaw||||Saga : Art de la guerre - Wesley Snipes |L'agent spécial Neil Shaw est maintenant à la retraite et se contente de jouer les consultants pour Hollywood. Le meurtre de l'un de ses maîtres l'oblige à reprendre du service. Il découvre bientôt un complot visant à éliminer des sénateurs américains. |Wesley Snipes (Neil Shaw)@Fraser Aitcheson (Agent Sparks)@Lisa Marie Caruk (Hallinger)@Olivia Cheng (Geena)@Ray Galletti (Matt Sanders)@Rachel Hayward (Carlson)@Scott Heindl (Graham)@Pascale Hutton (Autumn)@||||||||||||@@
Fear and Loathing in Las Vegas|Terry Gilliam|Comédie dramatique|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|1998|111|Anglais||DX50|||DX50|771 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Patrick Cassavetti Stephen Nemeth Laila Nabulsi|Terry Gilliam Tony Grisoni Alex Cox Tod Davies|Nicola Pecorini||||A travers l'épopée à la fois comique et horrible vers Las Vegas du journaliste Raoul Duke et de son énorme avocat, le Dr. Gonzo, évocation caustique et brillante de l'année 1971 aux Etats-Unis, pendant laquelle les espoirs des années soixante et le fameux rêve américain furent balayés pour laisser la place à un cynisme plus politiquement correct. |Johnny Depp ('Oncle' Raoul Duke)@Benicio Del Toro (Oscar Zeta Acosta, 'Dr. Gonzo')@Tobey Maguire (Hitchhiker)@Ellen Barkin (la serveuse au 'North Star' café)@Gary Busey (l'agent de la patrouille de l'autoroute)@Christina Ricci (Lucy)@Mark Harmon (le reporter du magazine au 'Mint 400')@Cameron Diaz (la reporter télé blonde)@Katherine Helmond (l'employé de bureau à l'hôtel Mint)@Michael Jeter (L. Ron Bumquist)@Lyle Lovett (la personne de la route)@Flea (le musicien dans la pièce des hommes au Club Matrix)@Harry Dean Stanton (le juge)@Tim Thomerson (Hoodlum)@Debbie Reynolds (sa propre voix)@Hunter S. Thompson (Vieil Oncle Duke)@Verne Troyer (un serveur)@Craig Bierko (Lacerda)@Laraine Newman (la femme aux yeux globuleux)@Richard Riehle (le conducteur du désert)@Christopher Meloni (le vendeur à l'Hotel Flamingo)@||Secrets de tournage :
Des réalisateurs pressentis
Avant Gilliam, d'autres réalisateurs furent pressentis, dont Martin Scorsese, Jack Nicholson, Dan Aykroyd, John Belushi et Alex Cox.
Gilliam le rapide
La première mouture du scénario fut écrite en dix jours, et le tournage ne dura que cinquante jours.
Un vieux projet de dix ans
Cela faisait dix ans environ que Terry Gilliam cherchait à adapter Las Vegas parano, écrit par Hunter S. Thompson, et qui parut tout d'abord par épisodes dans le magazine Rolling Stone, en novembre 1971. Ce roman fut le point de départ du "Gonzo journalisme".
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Last Action Hero|John McTiernan|Aventure||3|américain|1993|125|Anglais||DX50|||DX50|696 Kbps|720x288|MPEG-1 Audio layer 3|64.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|694||||25.000|27/08/2009 00:00:00|John McTiernan Stephen J. Roth|Zak Penn Adam Leff Shane Black David Arnott|Dean Semler||||Grace a un billet magique, Danny Madigan, un enfant de onze ans, peut vivre les aventures de son policier prefere, Slater, croise des temps modernes. Ensemble ils affrontent force danger et triomphent toujours. Mais les choses se compliquent lorsque des personnes mal intentionnees s'emparent du billet magique et gagnent New York, ou le crime paie encore plus qu'au cinema. |Arnold Schwarzenegger (Jack Slater/lui-même)@F. Murray Abraham (John Practice)@Austin O'Brien (Danny Madigan)@Art Carney (Frank)@Charles Dance (Benedict)@Frank McRae (le lieutenant Dekker)@Tom Noonan (Lui-même)@Robert Prosky (Nick)@Anthony Quinn (Tony Vivaldi)@Mercedes Ruehl (Irene Madigan)@Ian McKellen (la mort)@Joan Plowright (Le Professeur)@Noah Emmerich (Rookie)@Tina Turner (Le Maire)@Angie Everhart (Video Babe)@Bridgette Wilson (Whitney / Meredith)@James Belushi (Lui-même (Caméo))@Keith Barish ((Caméo))@Chevy Chase ((Cameo))@Karen Duffy ((Cameo))@Larry Ferguson ((Cameo))@M.C. Hammer ((Cameo))@Little Richard ((Cameo))@Robert Patrick ((Cameo))@Maria Shriver ((Cameo))@Sharon Stone (Catherine Tramell)@Jean-Claude Van Damme ((Cameo))@Melvin Van Peebles ((Cameo))@Damon Wayans ((Cameo))@Leeza Gibbons@Brigdgette Wilson-Sampras@Rick Ducommun@Michael V. Gazzo@Colleen Camp@John McTiernan@Angie Everhart (Video babe)@Anthony Peck (Un policier)@Bryan Hanna (Valet (non crédité))@Bobbie Brown (Video babe)@Anna Navarro (Policier à la station de L.A.)@Danny DeVito (Whiskers (voix - non crédité))@Chris Connelly (Lui-même (non crédité))@Joan Plowright (Le professeur)@Melvin Van Peebles (Lui-même)@Toru Tanaka Jr. (Un asiatique)@Peter Kent (Maître D (non crédité))@Sven-Ole Thorsen (Gunman)@Symba Smith (Un top model (non créditée))@Michael Chieffo (Monroe)@Persia White (Elle-même (non créditée))@Lee Reherman (Krause)@John Finnegan (Watch commander)@Dex Elliot Sanders (Mitchell)@Thomas Rosales Jr (Henchman (non crédité))@Neriah Davis ((Caméo) (Non créditée))@Nick Dimitri (Funeral doctor)@Kim Anderson ((Caméo) (Non créditée))@Mike Muscat (Policier à la station de L.A.)@Jeffrey Braer (Skeezy)@RC Bates (Rabbi)@Janice Rivera (un top model (non crédité))@||||||||||||@@
Layer Cake|Matthew Vaughn|Policier|Interdit aux moins de 12 ans|3|britannique|2005|105|Anglais||XviD|||XVID|786 Kbps|608x256|MPEG-1 Audio layer 3|130 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Matthew Vaughn Adam Bohling David Reid|J.J. Connolly|Ben V. Davis||Sony Pictures Classics||"XXXX", un dealer de cocaïne respecté au sein de l'élite de la mafia anglaise, désire prendre sa retraite. Mais Jimmy Price, un grand ponte du milieu, lui confie une mission difficile : retrouver la fille aînée de son vieil ami Eddie Temple, un puissant criminel... |Daniel Craig (XXXX)@Tom Hardy (Clarkie)@Jamie Foreman (Duke)@Sally Hawkins (Slasher)@Burn Gorman (Gazza)@George Harris (Morty)@Tamer Hassan (Terry)@Colm Meaney (Gene)@Marcel Iures (Slavo)@Francis Magee (Paul)@Dimitri Andreas (Angelo)@Kenneth Cranham (Jimmy Price)@Garry Tubbs (Brian)@Nathalie Lunghi (Charlie)@Sienna Miller (Tammy)@Dexter Fletcher (Cody)@Michael Gambon (Eddie Temple)@Ben Whishaw (Sidney)@||Secrets de tournage :
Adapté d'un roman de J.J. Connolly
Layer cake est l'adaptation du roman homonyme de J.J. Connolly. Matthew Vaughn, alors producteur, l'avait rencontré dans un train tandis qu'il se rendait en Belgique. Il raconte : "J'étais parti assister au match de foot Angleterre contre Allemagne pendant l'Euro 2000. J'étais assis à côté d'un type. On a commencé à parler. Je lui ai demandé ce qu'il faisait dans la vie, il m'a répondu qu'il écrivait."
De retour en Angleterre, Matthew Vaughn s'est procuré un exemplaire du livre de J.J. Connolly. "Je l'ai trouvé brillant et passionnant, je l'ai lu d'une traite. Après, j'ai revu John et je lui ai dit : "Tu sais, on ne peut pas laisser quelqu'un d'autre faire un film de ton livre, c'est trop génial."
Pourquoi ce titre ?
Matthew Vaughn explique l'origine du titre : "Layer cake fait référence à un gâteau fait de plusieurs couches différentes. C'est une métaphore des différents niveaux de la société britannique, dans le secteur criminel comme dans les autres. Vous naissez au pied du gâteau, vous en prenez plein la tête toute votre vie. Peu à peu, vous pouvez monter, de couche en couche, pour passer à des étages où la vie est moins lourde. Le but reste d'atteindre le sommet, vous vivez alors dans un nuage de crème au-dessus des autres."
Guy Ritchie aux commandes...
Le réalisateur britannique Guy Ritchie était initialement pressenti pour réaliser Layer cake, mais d'autres engagements lui firent abandonner le projet.
... puis son producteur !
Avec le désistement de Guy Ritchie, le producteur Matthew Vaughn, grand ami de ce dernier et compagnon à la ville de Claudia Schiffer, s'est porté candidat pour se retrouver derrière la caméra. Avec Layer cake, il réalise ainsi son premier long métrage, un coup d'essai qui a immédiatement séduit Hollywood : il a en effet été choisi dans la foulée pour mettre en scène X-Men 3. Malheureusement, Matthew Vaughn se désengagera du projet pour des raisons d'ordre familial.
Lieux de tournage
Les extérieurs de Layer cake ont été tournés en Hollande et à Londres. Les intérieurs ont quant à eux été filmés aux studios de Twickenham.
Le producteur Adam Bohling commente : "Le tournage a été dense ? six semaines et demie en extérieurs, trois et demie en studio. Dans chaque domaine, que ce soit la photo aérienne ou les prises de vues en extérieurs, nous avons repoussé nos limites, parce que nous connaissions l'équipe technique et savions que c'était possible d'obtenir quelque chose de vraiment géant. Nous savions qu'ils en étaient capables."
Les plus grandes difficultés se sont présentées en studio. Adam Bohling raconte : "Nous avons dû affronter les températures les plus élevées qu'ait connues l'Angleterre, sur un plateau sans air conditionné... Les maquilleurs ont vécu un enfer pendant plusieurs jours."
Un petit air de James Bond ?
Daniel Craig, la vedette de Layer cake, a été l'un des (nombreux) acteurs cités comme favori pour être la nouvelle incarnation de l'agent secret James Bond après Pierce Brosnan. Il a rapidement démenti la rumeur.
Présenté à Sundance et Cognac
Layer cake a été présenté dans de nombreux festivals, dont ceux de Sundance et Cognac.
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Le Bison (et sa voisine Dorine)|Isabelle Nanty|Comédie||2|français|2003|93|Français||DX50|||DX50|895 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|137 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|09/08/2009 00:00:00|Claude Berri Claudie Ossard|Isabelle Nanty Fabrice Roger-Lacan|Philippe Pavans de Ceccatty||Pathé Distribution||Louis Le Bison est un homme solitaire, misanthrope et un rien bohème. Dorine, sa gardienne d'immeuble, est quant à elle mariée et attend un cinquième enfant. Tous deux ont des caractères diamètralement opposés.Mais un jour, ils sont obligés de s'entraider lorsque le mari de Dorine s'en va refaire sa vie avec la compagne de Louis. |Edouard Baer (Louis Le Bison)@Isabelle Nanty (Dorine)@Virginia Anderson@Pierre-François Martin-Laval (Joël)@Juliette Duval (Rose)@Nicolas Marais (Joseph)@Marie Martin (Léa)@Jules-Angelo Bigarnet (Paulo)@Tilly Mandelbrot (Kim)@Martine Chevallier (Madame Labut)@Emmanuelle Lepoutre (Anita)@Valérie Bonneton (Reine)@Anne Consigny (l'avocate)@Chad Chenouga (Mourad)@Riton Liebman (l'employé de banque)@Candide Sanchez (le huissier 1)@||Secrets de tournage :
Le Bison vu par Isabelle Nanty
Pour Isabelle Nanty, Le Bison (et sa voisine Dorine) c'est avant tout la rencontre entre "une héroïne qui symboliserait la survie" et une personne qui "symboliserait la pensée et qui devrait à un moment ou à un autre se bouger pour la tirer du pétrin". Selon elle, il s'agissait de "passer de la pensée à l'acte".
Où Isabelle Nanty puise-t-elle son inspiration ?
Pour le personnage de Dorine, Isabelle Nanty s'est inspirée de plusieurs personnages ayant réellement existé, notamment d'une représentante syndicale de l'usine de son village natal et de sa grand-mère maternelle.
Une inconditionnelle d'Edouard Baer
En écrivant ce film, Isabelle Nanty a tout de suite pensé à Edouard Baer qu'elle avait mis en scène dans la pièce Cravate club. Elle explique son choix : "C'est un des rares acteurs qui puissent être léger avec de l'élégance, à avoir une grande profondeur avec beaucoup de légèreté. Je voulais montrer cet aspect-là de sa personnalité. Son côté "unplugged" : acoustique et débranché".
Appel à Pef
Pour son premier long métrage, Isabelle Nanty se devait de faire appel à Pierre-François Martin Laval, alias Pef, un de ses grands amis qu'elle connaît depuis une dizaine d'années. Celle-ci avait joué le Shérif dans la pièce Robin des Bois avec sa troupe La Royal Impérial Green Rabbit Compagnie avant qu'ils ne deviennent Les Robins des Bois. Pef était également dans La Mouette qu'Isabelle Nanty avait montée en 1993.
Une idée précise pour les décors
Pour les décors, Isabelle Nanty a fait appel à Sylvie Gautrelet, la créatrice de costumes, et à Thierry Flamand, le chef décorateur, pour travailler sur une stylisation du monde de Dorine et de Louis Le Bison. "Un costume unique, qui impose une silhouette, témoigne d'une attitude. Pour Louis, une version moderne du cow boy des villes. Et pour Dorine, une invention, pour échapper à la caricature. Pas de réalisme. Changer les règles des contre-points dans les couleurs, pas de couleurs primaires, des pastels, des couleurs passées."
Les rapports avec les enfants
Selon Edouard Baer, Isabelle Nanty a fait le choix de montrer les enfants comme des caractères tranchés, des individualités, et pas seulement comme des "enfants". Celle-ci s'est interdite de les manipuler. Elle a tissé avec chacun d'eux des relations particulières sans jamais faire semblant de remplacer leurs parents, tandis qu'Edouard Baer a imaginé avec eux un rapport de "grand frère". Celui-ci se souvient : "J'étais le premier avec qui on fait des bêtises et en même temps celui qu'on écoute quand on va trop loin".
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The Man|Les Mayfield|Comédie||2|américain|2006|82|Anglais||XviD|||XVID|1 037 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|130 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Robert N. Fried|Jim Piddock Margaret Grieco Oberman Stephen Carpenter|Adam Kane||New Line Cinema||Sale temps pour l'agent fédéral Derrick Vann... Son coéquipier, mouillé dans un gigantesque vol d'armes, vient d'être retrouvé assassiné. Soupçonné à son tour, Vann n'a que quelques heures pour coincer le gang et retrouver l'arsenal, qui va être revendu et dispersé... Cette mission s'annonçait déjà assez compliquée sans que Vann soit en plus obligé de faire équipe avec un malheureux représentant en matériel dentaire, Andy Fiddler, que les trafiquants ont pris par erreur pour l'acheteur du butin... Vann n'a pas le choix : pour piéger les redoutables criminels, lui, le pro, va devoir s'associer avec un civil gaffeur et trop bavard. Prendre des risques était son métier, mais rien ne l'avait préparé à en prendre autant avec un boulet pareil... |Samuel L. Jackson (l'agent spécial Derrick Vann)@Eugene Levy (Andy McShane)@Luke Goss (Joey)@Miguel Ferrer (L'agent Peters)@Randy Butcher (le flic du commissariat)@Susie Essman (le lieutenant Carbone)@Peter Kosaka (l'homme dans l'ascenseur)@Anthony Mackie (Booty)@Gigi Rice (Susan)@Kevin Rushton (Thug)@Horatio Sanz (Diaz)@Rachael Crawford (Dara Vann)@||Secrets de tournage :
Rencontre dans un talk-show
Plusieurs stars ont été envisagées pour le rôle de Derrick Vann, jusqu'à ce que Eugene Levy et Samuel L. Jackson se rencontrent lors d'un talk-show. "C'est au cours de cette émission que Jackson a exprimé son désir de travailler avec Levy, explique Les Mayfield... Après avoir lu le scénario, Jackson a accepté de jouer Derrick Vann."
Eugene Levy impressionné par Samuel L. Jackson
Pour Eugene Levy, Samuel L. Jackson est "un acteur extrêmement préparé." Il poursuit : "Il est bon dès la première prise. Je suis complètement à l'opposé. Je pars dans tous les sens, parfois j'invente un truc qui marche, parfois je me plante. Il faut que j'essaie plusieurs choses pour trouver la bonne. Et quand je faisais fausse route, je me sentais mal vis-à-vis de Sam qui lui, tape juste dès la première fois !"
L'évolution du personnage de Derrick Vann
Steve Carpenter a travaillé le scénario pendant neuf mois, en portant son attention sur le personnage de Derrick Vann, qui devait être crédible en tant qu'agent sous couverture. Dans
les premières versions du scénario, Vann était plus jeune et moins extrême, puis il a évolué
graduellement.
Tourné comme un film dramatique
Les Mayfield souhaitait que Le Boss soit tourné comme l'aurait été un film dramatique. Comme l'explique le directeur de la photographie Adam Kane, "les comédies sont éclairées de manière assez crue, pour tout révéler." Il ajoute : "Ici, nous avons préféré une lumière plus sculptée, qui valorise les ombres et les contrastes. Les angles de caméra donnent de l'espace à l'image, du volume. Ils font exister l'environnement dans lequel vivent les personnages. La caméra est davantage utilisée comme un outil de révélation des protagonistes."
Un autre point qui éloigne volontairement Le Boss du style visuel habituel des comédies est le choix des couleurs : dans le film, les teintes sont désaturées, aussi bien pour les décors et les costumes que pour les véhicules - à l'exception de la maison de Dara, l'ex-femme de Vann, qui est une sorte d'oasis de couleur dans le film.
Tournage à Toronto
Le film a été entièrement tourné à Toronto durant huit semaines. L'équipe a rencontré d'importantes difficultés face à la météo. Le directeur de la photographie Adam Kane explique : "Les mois d'avril, mai et juin à Toronto peuvent être très froids. Nous avons eu de la pluie, de la neige fondue, du verglas et de la grêle. En un sens, cela nous servait parce que ça renforçait
l'aspect film noir, mais c'était parfois tellement sombre que le côté dramatique surpassait la
comédie. Parvenir à un équilibre a été très difficile."
La Cadillac de Samuel L. Jackson
Vann et Andy passent une grande partie de l'histoire à conduire en ville. Lors de la
préproduction, Samuel L. Jackson a choisi une Cadillac Coupé de Ville. Le responsable des véhicules, Wayne Ireland, a trouvé trois modèles des années 81 à 84. Ireland a ensuite travaillé avec l'équipe des effets spéciaux pour les préparer pour les prises de vues. Une voiture a été équipée
d'un système hydraulique pour les scènes où Vann utilise son véhicule pour coincer Booty contre un grillage et le poursuit dans une ruelle.
Wayne Ireland explique : "Nous avons restructuré le châssis à l'avant et à l'arrière. Il a fallu installer des vérins capables de soulever la carrosserie sans casser. Des batteries, des pompes et des tuyaux ont été installés sous le cadre, agissant chacun sur des parties séparées du châssis."
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The Hunchback of Notre-Dame|Gary Trousdale Kirk Wise|Animation|Film pour enfants|3|américain|1996|87|Anglais||DX50|||DX50|912 Kbps|716x384|MPEG-1 Audio layer 3|160 Kbps|False|48.0 KHz|2|674||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Richard Conli Don Hahn|Irene Mecchi Tab Murphy Jonathan Roberts Bob Tzudiker Noni White|||GBVI||En l'an de grâce 1482 à Paris, Quasimodo, jeune orphelin contrefait, est le sonneur de Notre-Dame. Il vit reclus dans le clocher sous la férule du puissant juge Frollo, son maître. Ses seules amies sont les gargouilles la Rocaille, la Muraille et la Voliere. Quasimodo rêve de vivre libre au milieu de tous ceux qu'il observe depuis longtemps. Ce moment tant attendu se présente le jour de la fête des fous et, désobéissant à Frollo, il se mêle au peuple venu célébrer la nouvelle année. |Francis Lalanne (Quasimodo (voix française))@Rebecca Dreyfus (Esmeralda (voix française))@Jean Piat (Claude Frollo (voix française))@Emmanuel Jacomy (le Capitaine Phoebus (voix française))@Bernard Alane (La Muraille (voix française))@Michel Mella (La Rocaille (voix française))@Perrette Pradier (La Volière (voix française))@Frédérique Tirmont (l'Archidiacre (voix française))@Nathalie Régnier (la mère de Quasimodo (voix française))@Claudia Benamou (Esmeralda (chansons))@||Secrets de tournage :
Tournage à Paris
Du Bossu de Notre-Dame à Kuzco, l'empereur mégalo en passant par Hercule et Tarzan, de nombreux plans des dessins animés Disney sont désormais tournés dans les locaux parisiens du studio. Ce fut aussi le cas pour Atlantide, l'empire perdu. De mai 1999 à novembre 2000, les membres du Walt Disney feature animation France ont peint 213 des 1392 décors du film. De plus, le personnage d'Helga Sinclair a été totalement créé et supervisé à Paris par Yoshimichi Tamura.
une précision d'horloger
Afin de donner un grand réalisme aux dessins, les acteurs des voix originales, Demi Moore pour Esmeralda et Tom Hulce pour Quasimodo, ont été filmés et observés par les animateurs afin de reproduire au mieux le mouvement des lèvres.
Une élaboration croisée...
Le film a été réalisé par les deux réalisateurs de La Belle et la bête (1991).
Trousdale et Wise ont séjourné en France, à Paris, en 1993, afin de noter les détails de la capitale, en particulier ceux de Notre Dame de Paris.
Pendant ce temps, les directeurs du studio Disney Feature Animation France, à Montreuil, ont été aux Etats-Unis afin de coopérer avec les équipes américaines en place.
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The Hunchback of Notre Dame II||||||2001|63|||DIV3|||DIV3|1 297 Kbps|640x384|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|648||||25.000|06/08/2009 00:00:00|||||||7 années se sont écoulées depuis qu'Esméralda a épousé le capitaine Phoebus et donné naissance à un jeune garçon du nom de Zéphyr. Quasimodo, lui, sonne toujours les cloches de Notre-Dame, parmi lesquelles celle nommée La Fidèle, dont l'apparence extérieure dissimule une montagne d'or et de bijoux représentant une fortune pour qui voudrait s'en emparer. Or, c'est précisément ce à quoi pense Sarousch, le chef d'une troupe de cirque venue sur le parvis de Notre-Dame pour le fameux Festival de l'Amour... |||||||||||||@@
Le Boulet|Alain Berbérian Frédéric Forestier|Comédie||2|français|2002|103|Français||XVID|||XVID|802 Kbps|720x304|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|677||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Thomas Langmann|Thomas Langmann Matt Alexander|||Warner Bros. France||Moltès, un détenu, joue chaque semaine au loto. C'est Reggio, un gardien de prison maladroit, qui valide ses bulletins. Un jour, Moltès apprend qu'il a gagné le jackpot : quinze barres !!!
Mais Reggio croit que Pauline, sa femme infirmière, est partie avec le ticket gagnant en Afrique sur un rallye.
Moltès s'évade alors de prison destination Bamako pour récupérer le billet en question. Il force Reggio à l'accompagner et se retrouve poursuivi en plein désert par Le Turc, un redoutable gangster qui veut sa peau, et Le Meg, son gigantesque garde du corps. |Gérard Lanvin (Moltès)@Benoît Poelvoorde (Reggio)@José Garcia (Le Turc)@Rossy de Palma (Pauline)@Jamel Debbouze (le maton malien)@Djimon Hounsou (l'inspecteur Youssouf)@Gérard Darmon (Kowalski)@Gary Tiplady (Le Meg)@Jean Benguigui (Saddam)@Stomy Bugsy (le Malien 1)@Marco Prince (le Malien 2)@Omar Sy (le Malien 3)@Frederic Merlo (Le gardien de parking)@Thomas Langmann (le frère du Turc)@||Secrets de tournage :
Les effets spéciaux
C'est Christian Guillon, directeur de la société EST (Etude et Supervision des Trucages) qui a organisé la réalisation des effets spéciaux du Boulet et tout particulièrement la séquence de la Grande Roue qui compte 150 plans dont 70 avec trucages, l'ensemble ayant nécessité un mois de travail. Elle se situe dans le film lors d'une poursuite entre Lanvin et un policier et comporte une chute de la Grande Roue qui finit par se briser. Les plans serrés ont été réalisés sur maquette et les plans plus large en images de synthèse. L'équipe "Les Versaillais" a réalisé les trucages à la prise de vue tandis que Mikros Image s'est chargé des trucages en 3D.
José Garcia le troisième homme
Alors que le scénario du Boulet reposait essentiellement sur le duo Lanvin/Poelvoorde, l'interprétation du Turc par José Garcia a modifié l'équilibre du film devenu une oeuvre à trois personnages. José Garcia déclare au sujet de son personnage : "Ici ce qui m'amusait était de jouer un méchant comme je les aime au cinéma, c'est-à-dire un pur salaud prêt à tuer un enfant pour un bout de pain."
Les scénaristes Matt Alexander
C'est sous le pseudonyme mystérieux de Matt Alexander qu'officie depuis douze ans un duo inséparable de scénaristes. Matt Alexander avai(ent)t rencontré à propos de son projet sur Fantomas. Le jeune producteur qui avait déjà écrit une première version du scénario du Boulet avec Dominique Mezerette, a finalement décidé de leur en confier la réécriture.
Le duo Lanvin/Poelvoorde
Le duo Gérard Lanvin/Benoît Poelvoorde pour la première fois réuni à l'écran fait référence aux couples qui émaillent les comédies de Gerard Oury, Francis Veber et Jean-Marie Poiré : Gérard Depardieu et Pierre Richard dans La Chèvre, Louis De Funès et Bourvil dans La Grande Vadrouille ou encore Jean Reno et Christian Clavier dans Les Visiteurs.
Deux réalisateurs
Le Boulet a été réalisé par un duo composé de Alain Berberian et Frédéric Forestier. Alain Berberian s'est chargé de la partie tournée en premier au Maroc. Frédéric Forestier s'est ensuite occupé des scènes d'action et de comédie parisiennes dont le point fort est la Grande roue.
Thomas Langmann
Si Le Boulet a été réalisé par Alain Berberian et Frédéric Forestier, ce film est avant tout celui de Thomas Langmann à la fois producteur et scénariste. Il dit à ce sujet: "Je revendique haut et fort le film de producteur. C'est essentiel et indispensable à la diversité du cinéma. Ce qui ne m'empêche pas de produire des films d'auteur : Blueberry est un gros film mais à mon sens un projet qui appartient avant tout à Jan Kounen. Alors que le Boulet est un film dans lequel j'ai voulu prendre part à toutes les décisions, du choix des costumes à la déco, en passant évidemment par les acteurs."
Thomas Langmann s'est même réservé un petit rôle au début du film: il joue le frère de José Garcia dit "Le Turc".
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The Ring|Gore Verbinski|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain, japonais|2003|110|Anglais||DX50|||DX50|748 Kbps|544x288|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Laurie MacDonald Walter F. Parkes|Ehren Kruger|Bojan Bazelli||Dreamworks Distribution LLC|Saga : The Ring |Lorsque sa nièce trouve la mort foudroyée par la peur une semaine après avoir visionné une mystérieuse cassette vidéo, Rachel Keller, une journaliste de Seattle, décide d'enquêter sur ce fameux enregistrement. Aidée de son ex-mari Noah, elle découvre que cette cassette est porteuse d'une étrange malédiction : quiconque la visionne est condamné à périr dans de terribles circonstances.Rachel prend tout de même le risque de regarder l'enregistrement. Le téléphone sonne alors, le décompte mortel s'enclenche : la jeune femme ne dispose plus que de sept jours pour sauver sa vie et celle de son fils. Sept jours pour tenter de déjouer le sortilège du Cercle... |Naomi Watts (Rachel Keller )@Brian Cox (Richard Morgan )@Martin Henderson (Noah )@David Dorfman (Aidan Keller)@Daveigh Chase (Samara)@Lindsay Frost (Ruth Embry)@Amber Tamblyn (Katie Embry)@Rachael Bella (Becca)@Adam Brody (Kellen)@||Secrets de tournage :
Remake du film de Hideo Nakata
Le Cercle - the Ring est le remake de Ring du japonais Hideo Nakata, sorti au Pays du Soleil Levant en décembre 1998 et à la base d'un véritable phénomène de société. Comme son prédécesseur, le film de Gore Verbinski est une adaptation du roman Ringu écrit par Kôji Suzuki, considéré comme le Stephen King japonais.
Inspiré d'une véritable légende urbaine
Comme son homologue japonais, Le Cercle - the Ring est inspiré d'une véritable légende urbaine, celle d'une cassette vidéo tueuse, dont l'origine est impossible à déterminer.
Réaliser la vidéo maudite
Outre son long métrage, Gore Verbinski a eu la délicate tâche de réaliser le petit film contenu dans la vidéo maudite. Pour cela, le metteur en scène avoue être parti de certaines images de la vidéo montrée dans Ring de Hideo Nakata pour y ajouter d'autres parmi celles qui l'effrayaient le plus.
Un fidèle de DreamWorks
Réalisateur du Cercle - the Ring pour DreamWorks, Gore Verbinski n'est pas étranger à la société de production, pour laquelle il avait déjà réalisé La Souris et Le Mexicain.
Découverte sur... cassette
Par un amusant retournement de situation, c'est sur une cassette vidéo que la plupart des protagonistes du remake américain de Ring ont découvert cette histoire de... cassette vidéo maudite. Ainsi Gore Verbinski, le réalisateur, avoue avoir visionné le film de Hideo Nakata sur une VHS à la qualité incertaine, ce qui renforça paradoxalement son pouvoir de terreur. Les producteurs Laurie MacDonald et Walter F. Parkes ont, eux aussi, découvert Ring en vidéo, après que l'un de leur collaborateur les eut engagés à découvrir le film toutes affaires cessantes.
Hommages discrets au Japon
Remake d'un film phénomène japonais, Le Cercle - the Ring rend hommage au Pays du Soleil Levant à travers certains détails visuels. Parmi les plus importants, l'arbre, élément clé de l'intrigue, se trouve être un pommier rouge du Japon. De même, une porte translucide coulissante à la manière de celles des habitations japonaises et une peinture viennent rappeler l'origine du film.
Tournage dans l'Etat de Washington
Les prises de vue de Le Cercle - the Ring se sont déroulées à Los Angles et dans l'Etat de Washington, au Nord-Ouest des Etats-Unis. Un lieu important dont l'ambiance pluvieuse et froide a servi l'atmosphère inquiétante du film, mais qui a aussi causé certains soucis aux équipes chargées des décors, qui devaient parfois travailler dans vingt centimètres de boue.
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The Ring Two|Hideo Nakata|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|2005|103|Anglais||XVID|||XVID|794 Kbps|640x352|MPEG-1 Audio layer 3|131 Kbps|False|48.0 KHz|2|695||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Walter F. Parkes Laurie MacDonald|Ehren Kruger|Gabriel Beristain||Dreamworks Distribution LLC|Saga : The Ring |Six mois après les horribles événements qui leur avaient fait fuir Seattle, Rachel Keller et son jeune fils Aidan se sont réfugiés à Astoria, dans l'Oregon. La journaliste espère oublier ses épreuves dans cette paisible bourgade côtière, mais de nouvelles menaces ne tardent pas à planer sur sa vie. Un crime énigmatique, commis à l'aide d'une cassette trop familière, donne l'alerte : l'esprit de Samara n'a pas renoncé à sa vengeance et Rachel va devoir enquêter sur le lointain passé de la fillette pour arrêter le cycle infernal de ses violences maléfiques... |Naomi Watts (Rachel Keller)@Simon Baker (David Rourke)@David Dorfman (Aidan Keller)@Elizabeth Perkins (Docteur Emma Temple)@Emily VanCamp (Emily)@Sissy Spacek (Evelyn)@Kelly Stables (Samara)@Cary Cole (Martin Savide)@||Secrets de tournage :
Suite et non remake
Le Cercle - The Ring 2 est la suite du Cercle - The Ring mais non le remake du film japonais Ring 2. Hideo Nakata, à l'origine de la saga japonaise Ring , trouva dans le script d'Ehren Kruger une incitation à se remettre à l'oeuvre : "Lorsque j'ai lu la première mouture du scénario du Cercle - The Ring 2, j'ai trouvé que c'était à la fois très intéressant et très différent de mon propre Ring 2. Cela m'a captivé et j'ai eu envie d'explorer cette histoire, si différente de la source originale et du Cercle - The Ring américain."
D'étranges événements...
D'étranges incidents ponctuèrent le tournage. Ainsi, au septième jour, le personnel de régie découvrit ses bureaux envahis d'eau à cause d'une rupture de canalisation. Pour parer à toute malédiction, Hideo Nakata fit procéder à une cérémonie de purification shintoïste dans les bureaux de production et sur le plateau. Mais les incidents continuèrent à se multiplier. Des milliers d'abeilles fondirent un jour sur le camion des accessoires, obligeant les occupants à évacuer précipitamment les lieux. Quelques semaines après la première inondation, un conteneur d'eau potable "explosa" sans raison apparente dans la cuisine du bureau de production. Et un matin, sur le parking des Studios Universal, un habilleur de plateau fut chargé par un cerf adulte en fureur.
Plusieurs membres de l'équipe en vinrent à se demander si l'esprit maléfique de Samara ne rodait pas sur le tournage.
Chaises musicales...
Gore Verbinski, le cinéaste du premier volet, n'étant pas disponible pour diriger Le Cercle - The Ring 2, la mise en scène de cet opus devait être assurée par le réalisateur de spots publicitaires Noam Murro. Mais celui-ci abandonna le projet en raison de différends artistiques avec le studio. Après que Richard Kelly (Donnie Darko) ait été approché sans succès, DreamWorks se tourna vers le Japonais Hideo Nakata, particulièrement bien placé pour le poste puisqu'il est à l'origine de la saga japonaise Ring .
Des images aux émotions
La productrice Laurie MacDonald souligne la différence fondamentale qui existe entre le premier et le second volet : "Le Cercle - The Ring était raconté en images. La cassette vidéo n'était pas seulement un objet hanté qui semait la mort, elle renfermait des indices visuels permettant à Rachel de remonter jusqu'à Samara. C'était en quelque sorte la "feuille de route" du film, le jeu de piste en images qu'on suivait tout au long de l'action. Cette fois, l'histoire fait davantage appel aux émotions et les personnages ont pris de l'épaisseur. La connexion existe avec le premier film, mais on gagne en ampleur sur ces deux aspects."
La participation de Sissy Spacek
32 ans après Carrie au bal du diable, Sissy Spacek fait ici son retour au film d'épouvante, un genre qui la révéla. A son sujet, le producteur Walter F. Parkes déclare : "Lorsque son nom fut évoqué, chacun de nous se demanda : "Est-ce jouable ?". Car Sissy n'est pas seulement une actrice couronnée à l'Oscar, mais une icône pour tous les fans du cinéma d'horreur. L'une de mes plus belles expériences sur ce film aura été de travailler avec cette grande et brillante interprète."
Dans la peau de Samara
Kelly Stables, qui avait été l'une des doublures de Samara dans Le Cercle - The Ring, incarne à nouveau cet ange maléfique. Pour devenir cette horrible créature, la comédienne dut se soumettre quotidiennement à cinq heures de maquillage appliqué par Rick Baker, six fois couronné aux Oscars. La première étape du grimage de Kelly consistait à vaporiser sur le visage et le corps une base de couleur blanche, fantomatique à souhait. L'équipe peignait ensuite sur celle-ci des veines saillantes puis procédait à diverses applications de fragments prosthétiques avant de coiffer l'actrice d'une longue perruque noire. Kelly Stables était équipée, en outre, de lentilles de contact blanches opaques suggérant la cécité.
Lieux de tournage
Le tournage débuta le 13 mai 2004 par trois semaines d'extérieurs dans Los Angeles et ses environs. L'ancien bâtiment de l'Herald Examiner, situé en centre-ville, devint le siège du Daily Astorian. Durant cette phase "californienne", l'équipe tourna également au St. Luke's Hospital de Pasadena et à la Résidence Mary Andrews Clark. La production établit ensuite ses quartiers à Astoria, dans l'Oregon, localité choisie pour deux raisons précises : son climat notoirement maussade - en parfait accord avec la tonalité générale de l'histoire - et le fait qu'elle occupe une péninsule. Ayant bouclé les extérieurs, la production regagna Los Angeles, où le tournage des dernières scènes se déroula sur divers plateaux des Studios Universal et des L. A. Center Studios, où fut reconstitué le fameux puits.
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Dead Poets Society|Peter Weir|Comédie dramatique||3|américain|1990|123|Anglais||XVID|||XVID|658 Kbps|544x304|MPEG-1 Audio layer 3|121 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Steven Haft Paul Junger Witt Tony Thomas|Tom Schulman|John Seale||Warner Bros. France||Todd Anderson, un garçon plutôt timide, est envoyé dans la prestigieuse académie de Welton, réputée pour être l'une des plus fermées et austères des Etats-Unis, là où son frère avait connu de brillantes études.
C'est dans cette université qu'il va faire la rencontre d'un professeur de lettres anglaises plutôt étrange, Mr Keating, qui les encourage à toujours refuser l'ordre établi. Les cours de Mr Keating vont bouleverser la vie de l'étudiant reservé et de ses amis... |Robin Williams (John Keating)@Ethan Hawke (Todd Anderson)@Robert Sean Leonard (Neil Perry)@Josh Charles (Knox Overstreet)@Gale Hansen (Charlie Dalton)@Dylan Kussman (Richard Cameron)@Allelon Ruggiero (Steven Meeks)@James Waterston (Gerard Pitts)@Lara Flynn Boyle (Ginny Danburry)@Norman Lloyd (Mr Nolan)@Kurtwood Smith (Mr Perry)@Carla Belver (Mme Perry)@Leon Pownall (McAllister)@George Martin (Dr Hager)@Alexandra Powers (Chris Noel)@Melora Walters (Gloria)@Jamie Kennedy@Bill Rowe@||Secrets de tournage :
Liam Neeson pressenti
C'est Liam Neeson qui devait dans un premier temps incarner le professeur Keating dans Le Cercle des poètes disparus, au moment où la réalisation avait été confié à Jeff Kanew. Mais dès que ce projet est passé dans les mains de Peter Weir, c'est finalement à Robin Williams que fut confié le rôle.
Tom Schulman oscarisé
Le Cercle des poètes disparus est basé sur les propres souvenirs de collège du scénariste Tom Schulman. Ce fut d'aileurs son premier scénario, qu'il écrivit en 1985. Il remporta l'Oscar du Meilleur Scénario Original cinq ans plus tard.
Une phrase mythique
La célèbre phrase "Carpe Diem" ("Vis l'instant présent" en français), répétée tout au long du Le Cercle des poètes disparus, est inscrite pour l'éternité dans la plaque de ciment de Robin Williams, plaque de postérité visible au Mann's Chinese Theatre de Los Angeles.
Un film tourné chronologiquement
Le Cercle des poètes disparus a été tourné dans l'ordre chronologique de son scénario, fait plutôt rare pour un tournage. Le réalisateur Peter Weir souhaitait ainsi que le développement des relations entre les élèves et Mr Keating soient encore plus naturelles.
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Tenku no shiro Rapyuta|Hayao Miyazaki|Animation||4|japonais|2003|119|Japonais||XviD|||XVID|685 Kbps|720x384|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|678||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Isao Takahata|Hayao Miyazaki|||||Retenue prisonnière par des pirates dans un dirigeable, la jeune Sheeta saute dans le vide en tentant de leur échapper. Elle est sauvée in extremis par Pazu, un jeune pilote d'avion travaillant dans une cité minière. Les pirates leur donnent la chasse.
Au terme d'une course-poursuite effrénée, Sheeta se confie à Pazu, lui avouant qu'elle est la descendante des souverains de Laputa, la cité mythique située dans les airs. Elle est par conséquent la seule détentrice du secret de Laputa que le chef des armées, le cruel Muska, cherche à percer. |Mayumi Tanaka (Pazu (voix))@Keiko Yokosawa (Sheeta (voix))@Kotoe Hatsui (Dora (voix))@Minori Terada (Muska (voix))@||Secrets de tournage :
Réalisé en 1986
Réalisé en 1986 par Hayao Miyazaki, Le Château dans le ciel a dû attendre le mois de janvier 2003 pour enfin pouvoir sortir dans les salles françaises.
Premier film pour Ghibli
Le Château dans le ciel est le premier film d'Hayao Miyazaki à avoir été réalisé pour le compte du légendaire studio d'animation Ghibli. En fait, le studio a été créé par Isao Takahata et Toshio Suzuki dans le but précis de pouvoir donner vie au Château dans le ciel. Le nom de la nouvelle société a été trouvé par Hayao Miyazaki lui-même, qui a repris celui d'un avion de reconnaissance italien.
Inspiré des
L'idée de Laputa, l'île volante derrière laquelle courent tous les protagonistes du Château dans le ciel, provient des Voyages de Gulliver écrit par le révérend irlandais Swift, dans lesquels est mentionnée l'existence d'une île dans le ciel. De son propre aveu, Hayao Miyazaki n'a pourtant jamais lu l'intégralité des Voyages de Gulliver, mais une version raccourcie qu'il a découverte au lycée.
Inspirations de l'enfance
Parmi les nombreuses sources d'inspiration évoquées par Hayao Miyazaki pour son Château dans le ciel, nombreuses sont celles qui remontent à l'enfance du maître de l'animation japonaise. Ainsi le réalisateur voulait-t-il évoquer un bijou aux pouvoirs magiques, comme celui de la petite Sheeta dans le film, après avoir lu une bande dessinée tournant autour d'un tel bijou alors qu'il était adolescent. Preuve de l'intérêt d'Hayao Miyazaki pour ce thème, le premier titre de travail du Château dans le ciel était Le jeune Pazu et le mystère de la pierre volante. Autre aveu du cinéaste, celui d'avoir pris sa mère comme source d'inspiration pour Dora, la chef des pirates, et ses trois frères pour celle des autres pirates, fils de Dora.
Des thèmes récurrents
Réalisé en 1986, Le Château dans le ciel aborde déjà bon nombre de thèmes récurrents de l'oeuvre d'Hayao Miyazaki, qui seront découverts au fil des sorties de ses films. Déjà au coeur de l'intrigue, la destruction de la nature par la cupidité de l'homme évoque notamment Nausicaä de la vallée du vent (1984), le futur Princesse Mononoké (1997) et le pessimisme avoué de réalisateur. Ici, c'est surtout le danger du pouvoir, en l'occurrence celui du bijou de Sheeta, que le réalisateur a voulu souligner, notamment dans les séquences de fin du film. L'absence de manichéisme est également très présente, aucun personnage n'étant ni tout à fait blanc, ni tout à fait noir, comme ils ne le seront jamais dans Princesse Mononoke et surtout Le Voyage de Chihiro (2001). Seul exception, le manipulateur Muska, qui se révèle être l'un des rares personnages entièrement négatif de la filmographie d'Hayao Miyazaki. Autre thème central du film, l'aviation, une passion pour Miyazaki, que l'on retrouvera notamment dans Porco Rosso (1992). Enfin, comme dans la plupart des films du senseï (maître en japonais), ce sont les enfants qui sont les héros de l'intrigue du Château dans le ciel.
Deuxième collaboration avec Joe Hisaishi
Le Château dans le ciel marque la deuxième collaboration d'Hayao Miyazaki avec le compositeur Joe Hisaishi, après Nausicaä de la vallée du vent en 1984. Ce dernier deviendra le compositeur attitré du réalisateur, avec notamment les bandes originales de Princesse Mononoké et du Voyage de Chihiro.
Une nouvelle partition
Pour sa première distribution internationale, Le Château dans le ciel s'est vu doté d'une nouvelle partition instrumentale, signée, comme l'originale, par Joe Hisaishi. Responsable des droits de distribution internationaux, Disney avait tout d'abord demandé au compositeur de ré-orchestrer sa première partition, mais celui-ci a finalement préféré en composer une nouvelle.
Voyage au Pays de Galles
Pour s'assurer de l'authenticité des décors terrestres dessinés pour Le Château dans le ciel censé se situer à l'époque de la Révolution Industrielle, l'équipe du film s'est déplacée jusqu'au Pays de Galles sur les conseils du producteur Isao Takahata. L'ensemble des décors du début du film est notamment inspiré de la vallée de Rhondda.
Le film préféré de son auteur
De son propre aveu, Le Château dans le ciel est le film préféré Hayao Miyazaki parmi tous ceux qu'il a réalisés. Le maître indique cependant également qu'il est celui qui a rapporté le moins d'argent lors de sa sortie au Japon.
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Le Château de ma mère|Yves Robert|Comédie dramatique||3|français|1990|94|Langage Des Signes||DX50|||DX50|879 Kbps|640x368|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|687||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Alain Poiré|Yves Robert Jérôme Tonnerre|Robert Alazraki|||Saga : Pagnol / Robert |L'adolescence de Marcel, sa découverte de l'amour, son retour à l'amitié et les grands départs pour ses chères collines où, pour arriver plus vite, toute la famille passe en cachette sur un domaine privé. |Julien Ciamaca (Marcel)@Philippe Caubère (Joseph Pagnol)@Nathalie Roussel (Augustine)@Didier Pain (Oncle Jules)@Thérèse Liotard (Tante Rose)@Victorien Delamare (Paul)@Paul Crauchet (Mond des Parpaillouns)@Joris Molinas (Lili des Bellons)@Pierre Maguelon (François)@Jean Carmet (Le gardien du château)@Julie Timmerman (Isabelle)@Jean Rochefort (Loïs de Montmajour/Adolphe Cassignole)@Jean-Pierre Darras (Marcel (voix))@Ticky Holgado@Georges Wilson (Le comte colonel)@Patrick Prejean (le jardinier)@Philippe Uchan@||Secrets de tournage :
Adapté de Marcel Pagnol
Le Château de ma mère est adapté des souvenirs d'enfance de Marcel Pagnol, qu'il rédigea en l'espace de quatre ans à travers trois ouvrages : La Gloire de mon Père (1957), Le Château de ma Mère (1958) et Le Temps des Secrets (1960). L'auteur avait le projet de les porter lui-même à l'écran mais il n'en eut pas le temps. Yves Robert projeta d'adapter les deux premiers ouvrages dès 1963 mais l'obtention des droits d'auteur prit de longues années. Il réalisa La Gloire de mon pere et Le Château de ma Mère de manière simultanée.
Le rôle d'une vie
La Gloire de mon pere et son second volet Le Château de ma Mère sont les deux seuls films tournés par leur interprète principal Julien Ciamaca, qui interprète Marcel Pagnol enfant.
Une sortie très rapprochée
Le Château de ma mère est sorti en salles fin octobre 1990, deux mois à peine après La Gloire de mon pere, premier volet de la saga adaptée de l'oeuvre de Marcel Pagnol.
Un gros succès public
Le Château de ma mère est le troisième plus gros succès de l'année 1990 au box-office français. Avec près de 4,3 millions d'entrées, le film se place juste derrière Cyrano de Bergerac (4,7) et... La Gloire de mon pere (6,2). Les deux films d'Yves Robert, sortis à deux mois d'intervalle, ont ainsi attiré plus de 10,5 millions d'entrées. Profitant de ce succès en salles, les livres de Marcel Pagnol ont connu de leur côté un extraordinaire regain d'intérêt en format de poche.
Une forte présence aux César
Le Château de ma mère fut nommé dans pas moins de quatre catégories aux César 1991 : Meilleure actrice dans un second rôle pour Thérèse Liotard, Meilleur espoir masculin pour Philippe Uchan, Meilleure musique pour Vladimir Cosma et Meilleurs costumes pour Agnès Nègre. Le film ne décrocha aucune des récompenses.
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Chocolat|Lasse Hallström|Comédie||3|britannique, américain|2001|116|Français||DX50|||DX50|705 Kbps|624x352|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00|David Brown Kit Golden Leslie Holleran|Robert Nelson Jacobs|Roger Pratt||Miramax Films||Durant l'hiver 1959, Vianne Rocher s'installe avec Anouk, sa petite fille, à Lansquenet, une petite bourgade française. En quelques jours, elle ouvre une confiserie à proximité de l'église. C'est une chocolatière hors pair : elle devine la gourmandise cachée de chacun et adapte ses recettes raffinées pour combler ses clients. De nombreux villageois s'abandonnent rapidement à ses irrésistibles friandises et succombent à ses délices sucrés.Mais la bourgeoisie huppée de la ville ainsi que le Comte de Reynaud sont outrés de voir les habitants envoûtés par les chocolats de Vianne. Craignant que ses friandises n'amènent les gens au péché et à l'oisiveté, le Comte s'oppose vivement au commerce de Vianne et, afin de causer sa faillite, interdit à quiconque de s'y rendre. La venue d'un autre étranger, le beau Roux, va bouleverser la donne. Il aide Vianne à tenir tête à ses détracteurs. |Lena Olin (Josephine Muscat)@Juliette Binoche (Vianne Rocher)@Johnny Depp (Roux)@Judi Dench (Armande Voizin)@Alfred Molina (Comte de Reynaud)@Carrie-Anne Moss (Caroline Clairmont)@John Wood (Guillaume Bierot)@Hugh O'Conor (Père Henri)@Victoire Thivisol (Anouk)@Aurelien Parent-Koenig (Luc Clairmont)@Antonio Gil-Martinez (Jean-Marc Drou)@Hélène Cardona (Françoise Drou)@Harrison Pratt (Dedou Drou)@Gaelan Connell (Didi Drou)@Elisabeth Commelin (Yvette Marceau)@Ron Cook (Alphonse Marceau)@Guillaume Tardieu (Baptiste Marceau)@Michele Gleizer (Madame Rivet)@Dominique MacAvoy (Madame Pouget)@Arnaud Adam (George Rocher)@Christianne Gadd (Chitza)@Marion Hauducoeur (Gati)@Esteban Antonio (Homme mince)@J.J. Holiday (Musicien)@Malcom Ross (Musicien)@Ged Barry (Musicien)@Tatyana Yassukovich (Narratrice)@Peter Stormare (Serge Muscat)@Leslie Caron (Madame Audel)@||Secrets de tournage :
Le tournage
Le chocolat a été tourné partiellement dans la ville médiévale de Flavigny, non loin de Dijon, en Bourgogne. D'autres scènes ont été tournées dans l'ouest de l'Angleterre et aux studios de Shepperton, à Twickenham.
Juliette et le chocolat
Pour les besoins du film, Juliette Binoche a effectué de savantes recherches sur le chocolat? et a suivi les cours d'une école de cuisine du chocolat. Elle précise : « J'ai toujours aimé le chocolat, mais dans ce film, il représente bien davantage qu'un simple goût sucré. Il devient un geste envers les autres ou envers soi-même, une sorte de compassion. C'est un merveilleux symbole d'échange ? émotions, honnêteté, souci de l'autre ? entre les gens. »
Juliette Binoche a étudié avec un spécialiste du chocolat, Walter Bienz, qui lui a enseigné comment confectionner des friandises au chocolat, de la forme à la consistance, en passant par les différents types de bonbons et de bouchées.
Débuts précoces pour Victoire Thivisol (Anouk Rocher) :
A 4 ans, elle est devenue la plus jeune « comédienne » à avoir remporté le Prix d'interprétation au Festival de Venise, pour son rôle dans Ponette, de Jacques Doillon.
Les retrouvailles de Juliette et de Lena
Juliette Binoche et Lena Olin avaient déjà joué ensemble dans L'insoutenable légèreté de l'être de Philip Kaufman.
Joannne Harris, romancière
Moitié française, moitié anglaise, Joanne Harris a puisé l'inspiration de « Chocolat » dans l'histoire de sa propre famille. Elle a vécu dans une confiserie et est l'arrière-petite-fille d'une française qui était connue comme? sorcière et guérisseuse.
Joanne Harris a fait ses études au St.Catherine's College de Cambridge, où elle y a passé une licence te une maîtrise de français et d'allemand. Elle enseigne le français dans une école anglaise et vit dans le Yorkshire.
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The Fifth Element|Luc Besson|Science fiction||3|français, américain|1997|117|Anglais||DIV3|||DIV3|666 Kbps|512x296|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|678||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Patrice Ledoux|Luc Besson Robert Mark Kamen|Thierry Arbogast||Gaumont Buena Vista International (GBVI)||Au XXIII siècle, dans un univers étrange et coloré, ou tout espoir de survie est impossible sans la découverte du cinquième élément, un héros affronte le mal pour sauver l'humanité. |Bruce Willis (Korben Dallas)@Gary Oldman (Zorg)@Ian Holm (Père Vito Cornélius)@Milla Jovovich (Leeloo)@Chris Tucker (Ruby Rhod)@Luke Perry (Billy)@Brion James (Général Munro)@Tommy 'Tiny' Lister (Président Lindberg)@Charlie Creed-Miles (David)@Tricky (Le bras droit)@Maïwenn (La cantatrice)@John Neville (Général Staedert)@Ivan Heng@Lee Evans (Fog)@John Bluthal (Le professeur Pacoli)@Kim Chan (Mr. Kim)@Mathieu Kassovitz (L'agresseur)@Christopher Fairbank (Mactilburgh)@John Bennett Perry (Le prêtre)@Mia Frye (Hôtesse TV)@Sibyl Buck (La secrétaire de Zorg)@Jerome Blake (Un mondoshawan)@Alan Ruscoe (Un soldat mangalore)@John Sharian (Le capitaine du Fhloston Paradise)@Richard Leaf (Le voisin)@Michael Culkin (L'homme lourd)@Sam Douglas (Le chef de la police de New-York)@Jean-Luc Caron (Un pilote de vaisseau)@Al Matthews (Général Tudor)@Fred Williams (Le manager de l'hôtel)@Julie T. Wallace (Major Icebob)@Anthony Chinn (Un technicien de Mactilburgh)@Bill Reimbold (Un assistant de Mactilburgh)@||||||||||||@@
Le Code A Changé|Danièle Thompson|Comédie dramatique||2|français|2009|95|Français||XviD|||XVID|844 Kbps|608x256|MPEG-1 Audio layer 3|165 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Alain Terzian Christine Gozlan|Danièle Thompson Christopher Thompson|Jean-Marc Fabre||StudioCanal||Un dîner, c'est la dictature de l'apparence : on se fait beau, on rit, on raconte, on frime, on partage souvenirs et projets. Les angoisses sont cachées sous l'humour et les chagrins étouffés par les éclats de rire. Et pour quelques heures, on y croit ! C'est ça le principal...Si on a le bon code et que l'on respecte les autres, cordialité, hypocrisie, bonne humeur, on risque de passer une bonne soirée... Mais les masques tombent dès le chemin du retour. |Karin Viard (ML (Marie-Laurence))@Dany Boon (Piotr)@Marina Foïs (Mélanie)@Patrick Bruel (Alain)@Emmanuelle Seigner (Sarah)@Christopher Thompson (Lucas)@Marina Hands (Juliette)@Patrick Chesnais (Erwann)@Blanca Li (Manuela)@Laurent Stocker (Jean-Louis Mozard)@Pierre Arditi (Henri)@Guillaume Durand (Lui-même)@Jenny Rieu (Une spectatrice)@Eric Moreau@Marc Rioufol@Cyrille Eldin@||Secrets de tournage :
Genèse du projet
C'est juste avant la sortie de Fauteuils d'orchestre que Danièle Thompson a eu l'idée du Code a changé. "Il y avait cette idée qu'en arrivant à un dîner, on fait semblant d'aller bien parce qu'il y a une politesse d'apparence, explique Christopher Thompson. Le point de départ était d'imaginer ce qui se passe dans les coulisses d'une soirée entre amis. On arrive tous avec des bagages qu'on met de côté pour préserver les apparences, pour rendre le moment supportable... et on finit par y croire."
Un style Thompson
Danièle Thompson définit son style cinématographique et la tendance dans laquelle s'inscrit Le Code a changé : "Notre envie est de tenir le spectateur entre un éclat de rire et une émotion. Ce qui se rapproche plus d'une démarche italienne ou anglo-saxonne, car en France, on fait soit des films comiques, soit des tragédies. Le style, ce n'est pas quelque chose qu'on choisit mais plutôt quelque chose qu'on découvre au fur et à mesure qu'on avance dans son travail... Pendant la fabrication du film, on sait ce qu'on veut mais on ne sait pas ce qu'on fait. A ce propos, j'adore ce que dit Scorsese : "Faire un film, c'est essayer d'écrire "À la recherche du temps perdu" dans une auto tamponneuse."
Un univers plus réaliste
Le ton de Fauteuils d'orchestre, le précédent long métrage de Danièle Thompson, se voulait proche du conte ou de la fable. Avec Le Code a changé, on se situe dans un registre plus contemporain et actuel. "On est dans un univers plus réaliste, confie la réalisatrice. On est passé de l'avenue Montaigne à cette maison au coeur de Belleville avec des personnages qui, même s'ils sont privilégiés, ont des métiers plus ordinaires. Il y a des médecins, des avocats, un cuisiniste, une prof de flamenco, un marin, une costumière... Il fallait trouver le juste milieu, d'autant plus que si on raconte ce qu'ils sont dans leurs vies professionnelles, personnelles, sentimentales, amicales, on montre aussi ce qu'ils pensent ou disent les uns des autres... Durant ce dîner, certains malaises vont remonter à la surface, des histoires naître, des relations se créer. On est dans la vie sociale - une forme de paraître, voire d'hypocrisie et de mensonge - grâce à laquelle on survit."
Ecrit à quatre mains
Pour Christopher Thompson, la difficulté principale dans l'écriture du scénario, c'était de savoir ce qui se passe avant, pendant et après ce dîner. "D'où l'idée d'éclater le récit pour essayer de donner une forme narrative originale parce que nos films ont toujours été écrits dans une unité de temps et de lieu." Et Danièle Thompson de poursuivre : "Je me souviens d'une journée où nous avons eu tous les deux un vrai refus d'obstacle. On avançait dans une trame et ça nous a paru impossible d'asseoir les personnages autour d'une table et de rester comme ça pendant une heure. On a eu envie de sortir de la maison pour suivre ces gens dans leur vie, leur univers, de les projeter dans le temps. D'où l'idée que la maîtresse de maison essaie de récupérer ses copains un an plus tard pour réunir le même groupe."
En pleine Fête de la musique
L'action du Code a changé se déroule le soir de la Fête de la musique. Danièle Thompson explique ce choix : "C'est une atmosphère en plus... C'est aussi le premier jour de l'été, le jour le plus long... Il y a un climat particulier dans les rues qui donne une couleur au film et joue un rôle dans l'évolution dramatique de certains de nos personnages."
Tourner la scène du dîner
La scène du dîner a été tournée en quatre semaines. Il fallait donc - mis à part Pierre Arditi qui arrive plus tard - que les dix acteurs soient tous réunis en même temps. "Cela a été techniquement très compliqué à régler avec les impératifs de chacun, confie Danièle Thompson. D'autant plus que cinq acteurs étaient tous les soirs au théâtre..." Et Christopher Thompson de poursuivre : "On est resté un mois dans cette maison, autour de cette table. On a beaucoup travaillé mais on a aussi énormément ri. Au-delà de nos différences, il y avait une osmose, un esprit de troupe et de solidarité entre les uns et les autres."
Un film très coloré
Danièle Thompson souhaitait faire un film avec des couleurs très gaies. "C'est le premier jour de l'été, même s'il y a des scènes de nuit, je voulais qu'on soit dans un ton coloré, explique la réalisatrice. Nous avons beaucoup travaillé avec Catherine Leterrier sur les costumes qui doivent non seulement refléter les personnalités de chacun mais aussi leur évolution à travers les deux époques. Il fallait que les personnages gardent leur style mais qu'on sente aussi qu'ils ne sont plus tout à fait les mêmes. C'est difficile de parler des décors parce que justement ils sont faits pour qu'on ne s'aperçoive pas que ce sont des... décors. Là, on est tout le temps dans le vrai et le faux. Le décor naturel et le studio se marient si bien que je défie qui que ce soit de pouvoir le déceler !"
Deuxième collaboration avec Nicola Piovani
Le Code a changé marque les retrouvailles de Danièle Thompson avec le compositeur Nicola Piovani qui avait travaillé sur son précédent film, Fauteuils d'orchestre. A son sujet, la réalisatrice ne tarit pas d'éloges : "C'est un grand musicien. Il apporte une tonalité à la fois gaie et mélancolique. Ça l'a beaucoup amusé, inspiré, que je lui demande de faire une musique italienne qui parte vers une musique... espagnole. J'avais adoré travailler avec lui sur Fauteuils d'orchestre où la partition musicale était importante mais, à cause des chansons préexistantes, moins significative que dans Le Code a changé."
Récompensé à Tokyo
Le Code a changé a remporté le Prix du Public au Festival Unifrance de Tokyo.
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Le Coeur des hommes|Marc Esposito|Comédie dramatique||3|français|2003|102|Français||XVID|||XVID|817 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Pierre Javaux|Marc Esposito|Pascal Caubère||Bac Films|Saga : Le Coeur des hommes |Alex, Antoine, Jeff et Manu, quatre amis à la fois solides et immatures, sont au tournant de leur vie d'adulte. Ils se voient régulièrement, aiment tchatcher, s'engueuler et rire ensemble. Issus de milieux populaires, ils ont atteint leurs objectifs professionnels : Alex et Jeff ont créé un petit groupe de presse sportive qui marche bien, Antoine est prof de gym dans un grand lycée parisien, Manu a une boutique charcuterie-traiteur qui ne désemplit pas. Ce printemps-là, une série d'événements, la mort d'un père, l'infidélité d'une femme, le mariage d'une fille, les touche et les rapproche encore davantage. Confrontés à des situations qu'ils ne maîtrisent pas, ils se font des confidences, s'expliquent, s'aident, s'affrontent et se remettent en question. Leur rapport aux femmes est au coeur de tous leurs problèmes, de toutes leurs conversations, de tous leurs conflits... |Gérard Darmon (Jeff)@Jean-Pierre Darroussin (Manu)@Bernard Campan (Antoine)@Marc Lavoine (Alex)@Ludmila Mikaël (Françoise)@Fabienne Babe (Lili)@Zoé Félix (Elsa)@Florence Thomassin (Juliette)@Catherine Wilkening (Nanou)@Jules Stern (Arthur)@Amélie Gabillaud (Viviane)@Guillaume Crozat (Nono)@Rebecca Potok (Marie-Hélène)@Anna Gaylor (la mère de Manu )@Alice Taglioni (Annette, l'avocate)@||Secrets de tournage :
Les influences d'un cinéphile
Parmi les films qui ont suscité sa passion pour le cinéma et les acteurs, Marc Esposito souligne l'importance des comédies italiennes des années 70, et notamment celles avec Alberto Sordi. Dans un registre plus dramatique, il évoque les films de Claude Sautet comme Vincent, François, Paul et les autres ou Les Choses de la vie.
Les acteurs à l'honneur
Marc Esposito qualifie ainsi son film : "Le Coeur des hommes est un film d'acteurs, un film de groupe." Le réalisateur avoue avoir toujours été fasciné par le travail des comédiens : "c'est magique, de voir ces gens devenir d'autres gens." Par conséquent, il a voulu écrire des personnages de façon à permettre aux acteurs de s'amuser et de montrer l'étendue de leur répertoire. Les quatre copains inséparables du film sont interprétés par Gérard Darmon, Jean-Pierre Darroussin, Bernard Campan et Marc Lavoine.
Bernard Campan
Après plusieurs comédies avec ses complices Didier Bourdon et Pascal Légitimus, Bernard Campan s'essaie à la comédie dramatique dans Se souvenir des belles choses (2001, Zabou Breitman). Pour ce rôle, il est nommé pour le César du meilleur acteur en 2003. Le public et la critique se réjouissent de ce virage dans sa carrière. Pas étonnant, donc, qu'il récidive dans Le Coeur des hommes.
Jean-Pierre Darroussin, d'un film à l'autre
En 2000, Jean-Pierre Darroussin est Raoul dans 15 août. Rien ne va plus pour lui : sa femme le quitte sans crier gare au beau milieu de l'été. Il se lie d'amitié avec deux autres hommes à qui il arrive la même mésaventure. Le Coeur des hommes aborde des questions similaires : les difficultés de communication dans le couple et l'importance de l'amitié pour les hommes.
Du journalisme à la réalisation
Féru de cinéma, Marc Esposito débute dans le milieu en tant que journaliste. En 1976, il participe à la création du magazine Première dont il devient le rédacteur en chef. Il quitte ce magazine pour en fonder un autre, et non des moindres : Studio Magazine. Il se retire de l'univers de la presse en 1993 pour se consacrer à l'écriture et à la réalisation. Le Coeur des hommes est son premier long métrage de fiction.
Des hommes et des femmes
Entre les années 70 et les années 2000, la société a connu de grands changements quant au statut des hommes et des femmes. "Le Coeur des hommes est un film d'amour et d'amitié qui traite de ces changements", confie Marc Esposito. "Je veux réaliser une comédie réaliste sur ces hommes "anciens" confrontés à ces femmes "nouvelles". Grâce à elles, ils découvrent, au tournant de leur vie, que la clé du bonheur, ce n'est pas le pouvoir, l'argent ou la réussite sociale, c'est l'amour. C'est une bonne nouvelle."
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The Convent|Mike Mendez|Epouvante-horreur||2|américain|2001|76|Anglais||DIV3|||DIV3|1 140 Kbps|640x352|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|698||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Jed Nolan|Chaton Itae|Jason Lowe||Sagittaire Films||En 1959, il se passe des événements plutôt étranges dans le sinistre pensionnat pour jeunes filles de St Francis. Des événements si étranges que Christine (Adrienne Barbeau ; Fog), une demoiselle en colère, n'a d'autre choix que de faire irruption chez les nonnes plongées dans leurs prières, de sortir une carabine tronçonnée et de les truscider.
Le Couvent de Mike Mendez (Killers) a été présenté dans le cadre de la Nuit Trash au Festival du Film Fantastique de Gérardmer 2001. Adrienne Barbeau est une habituée des films d'horreur, elle a joué dans de nombreuses séries Z gore peu connues en France : Cannibal Women in the Avocado Jungle of Death, Scooby Doo on Zombie Island... |Adrienne Barbeau (Christine)@Joanna Canton (Clarissa)@Megahn Perry (Monica)@Dax Miller (Chad)@Richard Trapp (Frijole)@Coolio (L'officier Starkey)@David Gunn (Saul)@Jim Golden (Biff)@Liam Kyle Sullivan (Brant)@Allison Dunbar (Davina)@Kelly Mantle (Dickie-Boy)@Larrs Jackson (Le père Ryan)@Renée Graham (Kaitlin)@Jennifer Buttell (Lisa)@Bill Moseley (L'officier Ray)@Chaton Itae (Sapphira)@Oakley Stevenson (Christine jeune)@Bugsy (Boozer, le chien)@||Secrets de tournage :
Présenté à Gérardmer
Le Couvent a été présenté au Festival Fantastic'Art de Gérardmer 2001, lors de la Nuit Trash, un programme "gore" qui comportait également The Irrefutable truth about demons de Glenn Standring (Nouvelle-Zélande) et Versus de Ryuhei Kitamura (Japon).
Adrienne Barbeau, vedette de l'horreur
Ex-femme de John Carpenter, qui la dirigea dans The Fog (1980), New York 1997 (1981), Adrienne Barbeau est notamment apparue dans L'Equipée du cannonball (Hal Needham, 1981), La Créature du marais (Wes Craven, 1982) et Creepshow (George A. Romero, id.).
Coolio en guest-star
Le rappeur américain Coolio apparaît dans Le Couvent, où il interprète le rôle d'un officier de police. Le chanteur avait auparavant participé à An Alan Smithee Film (Alan Smithee, 1997), aux cotés de Eric Idle et Ryan O'Neal.
Les influences de Mike Mendez
« J'avais plusieurs raisons à cela. J'ai grandi avec Evil Dead 2 et Re-Animateur, des films qui avaient l'art de vous terrifier, tout en vous faisant rire aux éclats. J'adore ce genre, qu'on ne voit plus guère de nos jours, et je tenais à lui rendre hommage. Je voulais surtout tenter de moderniser le film d'horreur tendance trashy, comme Scream l'a fait avec les histoires de tueurs au couteau. Enfin, j'avais envie d'embellir le gore et de faire un film pour la nouvelle génération. »
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The Last Castle|Rod Lurie|Action||3|américain|2002|125|Anglais||XVID|||XVID|667 Kbps|720x288|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Robert Lawrence|David Scarpa Graham Yost|Shelly Johnson||DreamWorks Pictures||Injustement condamné par la Cour Martiale, le général Irwin est tenu responsable de la mort de huit soldats. Il doit donc purger une peine dans une prison militaire de haute sécurité appelée "Le Château".Le colonel Winter, qui dirige ce centre de détention, veille à ce qu'Irwin n'ait droit à aucun privilège quel qu'il soit. Au grand étonnement de ce dernier, les autres prisonniers se mettent à le respecter et à le saluer comme le ferait un soldat à son général, et ce, même si son grade est tombé en désuétude. Winter voit rouge : il ne tolère pas de voir contester son autorité et ses méthodes dictatoriales.Avec l'aide de ses compagnons de cellule, Irwin va mettre en place sa propre armée pour organiser une véritable insurrection et ainsi piéger le directeur du "Château". |Robert Redford (le général Irwin)@James Gandolfini (le colonel Winter)@Mark Ruffalo (Yates)@Robin Wright Penn (Rosalie Irwin )@Delroy Lindo (le général Wheeler)@Clifton Collins Jr. (Aguilar)@Steve Burton (le capitaine Peretz)@George W. Scott (Thumper)@Maurice Bullard (le sergent McLaren)@Brian Goodman (Beaupré)@Paul Calderon (Dellwo)@Frank Military (Doc)@Samuel Ball (Duffy)@Michael Irby (Enriquez)@Jeremy Childs (Cutbush)@||Secrets de tournage :
Redford renoue avec le milieu carcéral
Robert Redford se glisse pour la deuxième fois dans la peau d'un détenu de pénitencier. En 1980 dans Brubaker, il interprète un directeur de prison qui s'est volontairement déguisé en détenu. Dans le film de Rod Lurie, Le Dernier château (2002), il est le général Irwin, incarcéré dans une prison militaire de haute sécurité appelée "le château". Le premier film dénonce les conditions déplorables de détention, alors que le second évoque le thème du pouvoir militaire.
Un décor chargé d'histoire
Le Dernier château a été en grande partie tourné dans l'ancien Pénitencier d'Etat du Tennessee qui a abrité jusqu'en 1992 de célèbres détenus tels que James Earl Ray, plus connu pour être l'homme qui a assassiné Martin Luther King. Le réalisateur Rod Lurie a choisi ce site pour son passé et son style architectural.
L'expérience militaire de Rod Lurie
Diplômé de l'Académie militaire de West Point, le réalisateur américain Rod Lurie avait l'expérience nécessaire pour appréhendé le thème fort du leadership abordé dans Le Dernier château. Il a même déclaré à ce sujet : "A West Point, j'ai appris qu'on ne pouvait pas apprendre à devenir un chef."
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The Last Samurai|Edward Zwick|Historique||3|américain|2004|143|Anglais||XviD|||XVID|586 Kbps|608x256|MPEG-1/2 L3|81.8 Kbps|False|32.0 KHz|2|697||||23.976|27/08/2009 00:00:00|Tom Cruise Paula Wagner Edward Zwick Marshall Herskovitz Ted Field Scott Kroopf Tom Engelman|John Logan Edward Zwick Marshall Herskovitz|John Toll||Warner Bros.||En 1876, le capitaine Nathan Algren vit avec les souvenirs des batailles sanglantes menées contre les Sioux. Fort de son expérience au combat, il devient conseiller militaire pour le compte de l'empereur japonais soucieux d'ouvrir son pays aux traditions et au commerce occidentaux et d'éradiquer l'ancienne caste guerrière des samouraïs. Mais ceux-ci influent sur le capitaine Algren, qui se trouve bientôt pris entre deux feux, au coeur d'une confrontation entre deux époques et deux mondes avec, pour le guider, son sens de l'honneur. |Tom Cruise (le capitaine Nathan Algren)@Billy Connolly (Zebulon Gant)@Tony Goldwyn (le colonel Benjamin Bagley)@Timothy Spall (Simon Graham)@Ken Watanabe (Katsumoto)@Hiroyuki Shimosawa (Ujio)@Shun Sugata (Nakao)@Shin Koyamada (Nobutada)@Seizo Fukumoto (le samouraï silencieux)@Shichinosuke Nakamura (l'empereur)@Koyuki (Taka)@Masato Harada (Omura)@||Secrets de tournage :
Entre fiction et réalité
Le Dernier samouraï met en scène un véritable événement historique, la dernière grande révolte de l'ordre des samouraïs qui finit par disparaître à l'issue du conflit. Le personnage incarné par Tom Cruise est quant à lui partiellement fictif et s'inspire très librement de l'ouvrage La Noblesse de l'échec d'Ivan Morris centré sur le destin de Saigo Takamori, resté célèbre pour sa rébellion contre un gouvernement japonais qu'il avait aidé à mettre en place.
Tom Cruise presque décapité !
Tom Cruise faillit être quasiment décapité lors d'une scène de combat intense. Assis sur un cheval mécanique, il devait éviter un violent coup d'épée lancé par son assaillant grâce à un mécanisme lui permettant de basculer en arrière. A la deuxième ou troisième prise, le mécanisme se bloqua laissant l'acteur à la merci de la lame. Le cascadeur japonais Hiroyuki Sanada parvint à arrêter la lame à quelques centimètres du cou de la star. Juste à temps...
Un entraînement de samouraï
Pour camper son personnage de guerrier, Tom Cruise s'est entraîné durant près d'une année, à raison de sept heures par jour, à la musculation, aux assouplissements en passant par les arts martiaux, le kendo et le maniement des armes. Au final, l'acteur, désormais capable de manier deux épées simultanément, aura gagné 12 kilos de muscles. Durant le tournage, il resta dans le même état d'esprit et s'imposait de se rendre sur le plateau quelques heures avant l'arrivée de l'équipe pour s'échauffer.
Tom Cruise producteur
Le Dernier samouraï marque la huitième production de Tom Cruise en collaboration avec sa partenaire Paula Wagner, via leur société Cruise-Wagner Productions. Ensemble, ils ont produit entre autres Mission : impossible, Mission : impossible 2, Les Autres, Vanilla sky et Narc.
Tom Cruise "bénévole"
Tom Cruise n'a pas perçu de salaire sur le film. Producteur, il touchera toutefois une part conséquente des recettes générées par le film. Une décision parfois risquée, mais qui rapporte souvent (beaucoup) plus en cas de succès.
Le retour d'Edward Zwick
Edward Zwick fait avec Le Dernier samouraï son grand retour à la réalisation, six ans après Couvre-feu. Il n'est pourtant pas resté éloigné des plateaux, participant à la production de films comme Shakespeare in Love, Traffic ou Sam je suis Sam.
Zwick / Herskovitz : une complicité qui dure
Avec Le Dernier samouraï, le tandem Edward Zwick / Marshall Herskovitz poursuit une collaboration entamée au début des années quatre-vingt via leur société The Bedford Falls Company. Ensemble, ils ont travaillé sur divers projets télévisés mais également sur Légendes d'automne, Traffic ou encore Sam je suis Sam. Les deux hommes sont également scénaristes du Dernier samouraï.
John Logan, du gladiateur au samouraï
Encore inconnu à la fin des années quatre-vingt-dix malgré son travail sur L'Enfer du dimanche, John Logan est devenu l'un des scénaristes à suivre après son script de Gladiator en 2000. Depuis, il a signé les scénarios de La Machine à explorer le temps - Time machine, Star Trek : nemesis, Sinbad - la légende des sept mers, Le Dernier samouraï et The Aviator de Martin Scorsese.
La révélation Ken Watanabe
Star au Japon, héros de nombreux films et séries sur les samouraïs, Ken Watanabe tourne pour la première fois en anglais avec Le Dernier samouraï. Considéré comme une sorte de "Robert De Niro nippon" par Tom Cruise, il a véritablement impressionné l'acteur et l'équipe du film par sa gravité et son incarnation de la dignité et de l'esprit des samouraïs. Il est d'ailleurs crédité en première position dans les crédits du film.
Des acteurs débutants en anglais
Venus du cinéma et du théâtre japonais, certains acteurs du film ne maîtrisaient pas la langue anglaise ! Ainsi, Koyuki, principale comédienne du film ne parlait pas un seul mot d'anglais et dut apprendre son rôle en même temps que la langue. Quant aux enfants du film, Tom Cruise avait l'habitude de communiquer avec eux par l'intermédiaire de dessins.
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Passion
Avec Le Dernier samouraï, Edward Zwick et Tom Cruise peuvent illustrer leur passion pour le cinéma nippon et le Japon des samouraïs. "J'ai découvert Les Sept samouraïs d'Akira Kurosawa à l'âge de 17 ans, et depuis lors, je l'ai revu plus de fois que je peux m'en souvenir", explique le cinéaste. "Dans ce seul film, on retrouve tout ce dont un réalisateur a besoin de savoir quant à la façon de conter une histoire, de développer des personnages, de mettre en scène l'action, et de dramatiser un récit. Après l'avoir vu, je me suis penché sur chacun de ses films. Et bien que je ne m'en sois pas rendu compte à l'époque, c'est son cinéma qui m'a mis sur le chemin de la réalisation".
"J'ai toujours eu un profond respect et une très forte attirance pour la culture et le peuple japonais", ajoute Tom Cruise. "L'élégance et la beauté des samouraïs, leur esprit de Bushido, de force, de compassion et de loyauté, leur engagement à respecter leur parole et leur volonté de donner leur vie pour ce qu'ils croient juste... Je ne pouvais y résister". "J'ai toujours trouvé que les fondements et les valeurs de la culture samouraï étaient à la fois admirables et pertinents", explique Edward Zwick . "En particulier dans la compréhension que la violence et la compassion peuvent co-exister et que la poésie, la beauté et l'art font autant partie de l'entraînement d'un guerrier que le combat à l'épée ou la résistance physique".
Tournage en Nouvelle-Zélande
Le tournage du Dernier samouraï s'est déroulé entre le Japon, les Etats-Unis et la Nouvelle-Zélande, un pays désormais très prisé par les tournages hollywoodiens après Le Seigneur des anneaux, Le Dernier samouraï et King Kong.
Tournage historique
Le Dernier samouraï fut le premier film tourné dans le village japonais de Himeji, petite communauté rurale regroupée en altitude autour d'un monastère vieux de mille ans.
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Chemical Wedding|Julián Doyle|Thriller||1|britannique|2008|102|Anglais||XviD|||XVID|821 Kbps|624x336|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Malcolm Kohll Justin Peyton Benjamin Timlett|Julián Doyle Bruce Dickinson|Brian Herlihy||||Un timide professeur décide de ramener à la vie l'inquiétant poète et occultiste britannique Aleister Crowley. |Simon Callow (Haddo)@Kal Weber (Mathers)@Lucy Cudden (Lia)@Jud Charlton (Victor)@Paul McDowell (Symons)@John Shrapnel (Crowley)@Richard Franklin (II) (le doyen)@Terence Bayler (Brent)@Robert Ashby (Chaplain Marshall)@Jared Ashe (Ashby)@Esmé Bianco (Mavis)@Lily Dumont (Joyce)@Helen Millar (Rose)@Thomas Nelstrop (Jones)@Andrea Sadler (Stella)@Danny Szam (Ben)@||||||||||||@@
Le Divorce|James Ivory|Comédie||2|américain|2003|117|Anglais||XVID|||XVID|694 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|27/08/2009 00:00:00|Ismail Merchant Rahila Bootwala Michael Schiffer|James Ivory Ruth Prawer Jhabvala|Pierre Lhomme||UFD||Isabel, une jeune Californienne, arrive à Paris pour rejoindre sa soeur Roxy. Celle-ci est enceinte d'un enfant de son mari français, Charles-Henri de Persand. Ce dernier vient de quitter Roxy pour une autre et souhaite divorcer rapidement. Roxy, elle, résiste au divorce mais finit par se laisser convaincre par ses proches.Pendant ce temps, Isabel découvre l'amour dans les bras d'un diplomate français marié qui se trouve être l'oncle du futur "ex" de Roxy. S'ensuit un scandale mondain où l'idéalisme américain et la fougue des soeurs Walker se heurtent à la sophistication et au rationalisme têtu des Persand.L'affaire se complique encore lorsque Roxy découvre que son tableau favori, qu'elle avait apporté de Californie, vaut des millions de dollars. C'est alors qu'un crime passionnel bouleverse l'écheveau des intrigues et des chocs culturels et amorce une chance de dialogue... |Kate Hudson (Isabel Walker)@Naomi Watts (Roxy)@Melvil Poupaud (Charles-Henri de Persand)@Aurélie Matéo@Thierry Lhermitte (Edgard de Persand)@Glenn Close (Olivia Pace)@Matthew Modine (Tellman)@Stephen Fry (Piers Janely, l'expert de Christie's)@Sam Waterston (Chester Walker)@Stockard Channing (Margeeve Walker)@Leslie Caron (Suzanne de Persand)@Jean-Marc Barr (Maître Bertram)@Romain Duris (Yves)@Samuel Labarthe (Antoine de Persand)@Bebe Neuwirth (Julia Mancheevering, la conservatrice du Musée Getty)@Thomas Lennon (Roger Walker)@Nathalie Richard (Charlotte de Persand)@Catherine Samie (Madame Florian)@Rona Hartner (Magda Tellman)@||Secrets de tournage :
Winona Ryder et Nathalie Portman prévues au départ...
Ce sont Winona Ryder et Natalie Portman qui devaient initialement tourner dans Le Divorce de James Ivory. La première devait à l'époque répondre devant la justice d'actes de cleptomanie, tandis que la seconde venait de perdre un membre de sa famille, tué par balle en Israël, et décida alors d'abandonner le tournage qui devait juste débuter.
...Kate Hudson et Naomi Watts dans le rôle à l'arrivée
Ce sont Kate Hudson et Naomi Watts qui ont finalement repris le rôle des deux soeurs Walker, cette fois-ci devenues blondes. Tout comme Natalie Portman et Winona Ryder, les deux comédiennes n'avaient jamais tourné avec James Ivory. Par ailleurs, si Kate Hudson a acquis une importante renommée dans de nombreuses comédies romantiques, Naomi Watts, révélée dans le Mulholland Drive de David Lynch aborde ici un genre totalement nouveau pour elle.
Sous le charme de la France
Amoureux des charmes de la France, James Ivory visite périodiquement l'Hexagone depuis cinquante ans. Situé à Paris, son film Le Divorce a donc logiquement été tourné dans la capitale, sur les lieux mêmes de son action. Le réalisateur a également fait appel à de nombreux acteurs français, Thierry Lhermitte, Romain Duris, Daniel Mesguich, Melvil Poupaud et Jean-Marc Barr entre autres, qui figurent au générique en manière de clin d'oeil.
Un roman à la base
Le Divorce est basé sur le roman Une Américaine à Paris de Diane Johnson, finaliste du National Book Award et qui a remporté un vif succès à travers le monde. "Ce livre m'a fait rire, explique James Ivory, je connais bien Paris, et les personnages français que Diane présente avec humour et authenticité m'étaient familiers ". Abordant un thème cher au cinéaste, celui des rapports conflictuels entre deux cultures diffrérentes, ce roman a ainsi servi de base à un fim cette fois-ci envisagé sous l'angle de la comédie.
Présenté à Deauville
Le Divorce de James Ivory a été présenté en avant-première au 29e Festival du Cinéma Américain de Deauville en septembre 2003.
Changement de registre
Avec Le Divorce, James Ivory se tourne vers la comédie et aborde par la même un genre auquel il était peu accoutumé, cité à l'Oscar avec trois drames austères, Chambre avec vue, Retour à Howards End et Les Vestiges du jour qui lui avaient par ailleurs valu les faveurs d'un large public. Ivory a tenu à rompre avec cette image de réalisateur de "drames d'époque".
Tourné dans la Tour Eiffel
Pour Le Divorce, James Ivory a tourné une scène dans la Tour Eiffel, symbole parisien. Pour ce faire, il a fallu l'accord de la SNTE (Société Nouvelle d'Exploitation de la Tour Eiffel) qui exige dans ce cas de lire l'intégralité du scénario et qui exige un forfait de 5500 euros par jour hors taxes, si elle juge que l'image du monument est compatible avec le film.
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Son of the Mask|Lawrence Guterman|Comédie||1|américain|2005|87|Anglais||DX50|||DX50|985 Kbps|512x224|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|44.1 KHz|2|695||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Erica Huggins|Lance Khazei|Greg Gardiner||Pathé Distribution||Tim Avery, un dessinateur qui n'est pas prêt à être père, se retrouve contraint d'élever un bébé. Les pouvoirs que lui confère le masque de Loki lui permettront de mener à bien cette mission. Seulement le masque tombe entre les mains du bébé... |Jamie Kennedy (Tim Avery)@Alan Cumming (Loki)@Liam Falconer (Alvy)@Ryan Falconer (Alvy)@Traylor Howard (Tania Avery)@Steven Wright (Daniel Moss)@Bob Hoskins (le Dieu Odin)@Kal Penn (Jorge)@Ben Stein (le Docteur Neuman)@Sandy Winton (Chris)@Rebecca Massey (Clare)@Ryan Johnson (Chad)@Victoria Thaine (Sylvia)@Magda Szubanski (Betty, la voisine)@Peter Flett (Monsieur Kemperbee)@Amanda Smyth (Madame Babcock (obèse))@Joyce Kurtz (Alvy (voix))@Mona Marshall (Alvy (voix))@Mary Mouser (Alvy (voix))@Neil Ross (Alvy (voix))@Richard Horvitz (Otis possédé (voix))@Bill Farmer (Otis possédé (voix))@||Secrets de tournage :
Un véritable défi technique
Les effets spéciaux utilisés pour le bébé Alvy ont été un véritable défi pour l'équipe technique du film. Pour le réalisateur Lawrence Guterman, ces effets permettent au bébé "de lui faire faire des trucs aussi délirants que dans les animations en 2D où les corps sont comprimés, étirés, découpés, démultipliés, déchiquetés à un rythme infernal. Autant d'effets qu'il a fallu crédibiliser et adapter à un contexte réaliste, tout en préservant l'intense énergie du film. En transposant purement et simplement certains de ces gestes extrêmes, on tomberait dans le grotesque et le monstrueux. En imposant à notre rejeton numérique des distorsions délirantes, cela cesse vite d'être drôle. Il fallait donc inventer des postures et des actions appropriées à ce bébé, mignon en toutes circonstances en dépit de ses élans de folie."
Le retour de "The Mask"
Le Fils du Mask est la suite indirecte de The Mask, long-métrage réalisé en 1994 et qui révéla l'acteur Jim Carrey. Ce nouveau film, s'il ne voit pas le retour des acteurs principaux d'origine, en reprend l'ingrédient principal : un masque extraordinaire donne des pouvoirs étonnants à quiconque le porte. En l'occurence, c'est ici un bébé qui s'approprie le Mask.
Un bébé masqué !
Le réalisateur Lawrence Guterman explique le changement majeur du Fils du Mask par rapport à The Mask : l'arrivée d'un bébé qui, au contact du Mask, se voit dôté de pouvoirs extraordinaires. Pour lui, "conçu sous l'influence du Mask, le petit Alvy franchit en accéléré toutes les étapes de la croissance d'un bébé ordinaire. Sauf qu'il ne se contente pas de mimer vaguement les expressions et les gestes des adultes ou de produire quelques redouillis indistincts. Non, il copie fidèlement les artistes ou dessins animés qu'il a vus à la télé, danse des claquettes, chante à tue-tête ou allonge un bras élastique et hyperextensible pour mettre K.O. un méchant !"
Ben Stein : l'unique revenant !
L'acteur Ben Stein est l'unique acteur du Fils du Mask a avoir figuré au générique de The Mask. Onze ans plus tard, il reprend ainsi son rôle du Docteur Neuman.
Alan Cumming : un acteur... fantastique !
En incarnant le personnage de Loki, l'acteur Alan Cumming prouve son attachement au cinéma fantastique. Il s'est en effet souvent illustré dans le genre, en témoignent ses prestations dans X-Men 2, où il incarne Diablo, dans la saga Spy Kids ou dans Garfield le film, qui lui offre l'opportunité de prêter sa voix a un chat.
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Beverly Hills Cop|Martin Brest|Comédie||3|américain|1985|101|||DIV3|||DIV3|816 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|693||||23.976|27/08/2009 00:00:00|Jerry Bruckheimer Linda Horner Don Simpson|Danilo Bach Daniel Petrie Jr.|Bruce Surtees||CIC|Saga : Le Flic de Beverly Hills |Alex Foley, lieutenant de police de Détroit, part à Los Angeles pour mener une enquête sur la mort de l'un de ses amis Mikey Tandino. Cette affaire le conduit à découvrir un vaste réseau de trafiquants de drogue. |Eddie Murphy (Alex Foley)@Judge Reinhold (Billy Rosewood )@John Ashton (Taggart )@Martin Brest (l'employé de l'hôtel)@Bronson Pinchot (Serge)@Damon Wayans (L'homme du Banana)@Paul Reiser (Jeffrey )@James Russo (Mikey Tandino )@Lisa Eilbacher (Jeannette )@Ronny Cox (Lieutenant Bogomil )@Steven Berkoff (Victor Maitland )@Jonathan Banks (Zack)@Stephen Elliott (Chef Hubbard )@||Secrets de tournage :
A l'origine du rôle
A l'origine, le rôle d'Alex Foley fut proposé à la fois à Sylvester Stallone et à Mickey Rourke, avant d'échouer finalement dans les bras d'Eddie Murphy.
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Beverly Hills Cop 2|Tony Scott|Comédie||3|américain|1987|102|Anglais||DIV3|||DIV3|809 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|699||||23.976|13/08/2009 00:00:00|Jerry Bruckheimer Don Simpson|Eddie Murphy Robert D. Wachs Larry Ferguson Warren Skaaren|Jeffrey L. Kimball||United International Pictures (UIP)|Saga : Le Flic de Beverly Hills |Axel Foley est de retour à Beverly Hills. Cette fois, il vient prêter main forte à ses collègues et amis pour résoudre une affaire de vol de bijoux. |Eddie Murphy (Axel Foley )@Judge Reinhold (Detective Billy Rosewood )@Jürgen Prochnow (Maxwell Dent )@Ronny Cox (Andrew Bogomil )@John Ashton (Sgt.Detective John Taggart )@Allen Garfield (Harold Lutz)@Paul Guilfoyle (Nikos Thomopolis)@Gilbert Gottfried (Sidney Bernstein)@Brigitte Nielsen (Karla Fry )@Dean Stockwell (Chip Cain)@Paul Reiser (Detective Jeffrey Friedman)@Robert Pastorelli (Vinnie )@Chris Rock (Le valet dragueur)@||Secrets de tournage :
Une suite moins rentable
Cette suite fut moins rentable que le premier opus, son exploitation en salles ne remportant "que" 300 millions de dollars à travers le monde contre 316 millions la première fois.
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Beverly Hills Cop 3|John Landis|Policier||2|américain|1994|102|Anglais||DIV3|||DIV3|802 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|694||||23.976|27/08/2009 00:00:00|Robert Rehme Mace Neufeld|Steven E. De Souza|Mac Ahlberg||United International Pictures (UIP)|Saga : Le Flic de Beverly Hills |Dans cette nouvelle aventure Axel Foley va mener l'enquête dans le célèbre parc d'attractions de Wonderworld à Beverly Hills. Il recherche le dangereux commanditaire d'une bande de voleurs de voitures responsable de la mort de son ami Todd. |Eddie Murphy (Axel Foley)@John Saxon (Orrin Sanderson )@Hector Elizondo (Jon Flint )@Theresa Randle (Janice)@Judge Reinhold (Billy Rosewood )@Jon Tenney (Levine)@Joe Dante (un gardien de prison)@Barbet Schroeder (l'homme à la porsche)@George Schaefer (Mike)@Bronson Pinchot (Serge)@George Lucas (cameo)@||||||||||||@@
Le Furet|Jean-Pierre Mocky|Comédie||2|français|2003|85|Français||XVID|||XVID|985 Kbps|640x352|MPEG-1 Audio layer 3|132 Kbps|False|48.0 KHz|2|694||||25.000|09/08/2009 00:00:00|Farid Tourab|Jean-Pierre Mocky|Edmond Richard||Gémini Films||Le Furet est un modeste serrurier qui vit dans sa petite boutique, entouré de sa femme et de ses enfants. Sa passion ? Les films de gangsters qu'il visionne à maintes reprises sur son magnétoscope. Son rêve ? Devenir l'un d'eux et jouir de la possession de somptueuses bagnoles et de belles nanas. Pour y parvenir, Le Furet est prêt à tout et il a plus d'un tour dans son sac... |Jacques Villeret (Le Furet)@Michel Serrault (Anzio)@Karl Zéro (Tino)@Michael Lonsdale (Don Salvadore)@Robin Renucci (l'inspecteur Bart)@Dick Rivers (El Malo)@Géraldine Danon (Kitty)@Dominique Zardi (Colonel Petitjean)@Alain Foures (Inspecteur Vasseur)@Jean Abeillé (Glackspill)@Bernadette Robert (Blanche)@||Secrets de tournage :
Un nouveau prototype
Pour Jean-Pierre Mocky, Le Furet est "un nouveau prototype de long-métrage" qu'il a tenté de faire ressembler à ces "comédies hors-du-commun, où la présence des comédiens et le rythme de l'action créent une atmosphère qui est celle de l'auteur." Comme exemples de ces comédies qui ont inspirées Le Furet, le cinéaste cite Arsenic et Vieilles Dentelles, Tueurs de dames, Le Pigeon, Drôle de drame, Les Tontons flingueurs et Petits Meurtres entre amis.
La fidélité de Jean-Pierre Mocky
Le Furet marque la dixième collaboration du cinéaste Jean-Pierre Mocky avec le comédien Michel Serrault. Les deux hommes ont notamment travaillé ensemble sur Le Miraculé, A mort l'arbitre! et Ville à vendre. Quant à Michael Lonsdale, c'est la huitième fois qu'il est dirigé par Mocky, après notamment La Grande Lessive et La Bourse et la Vie.
Un peu de télé et de musique chez Mocky
Deux personnalités du showbiz hexagonal font partie de la distribution du Furet : l'animateur télé Karl Zéro et le chanteur de rock'n'roll Dick Rivers.
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Bulletproof Monk|Paul Hunter|Action||2|américain|2003|103|Anglais||XVID|||XVID|801 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|695||||23.976|09/08/2009 00:00:00|Charles Roven Terence Chang John Woo Douglas Segal|Ethan Reiff Cyrus Voris|Stefan Czapsky||UFD||Le Moine 5 est un maître en arts martiaux, un modèle de sérénité zen, auquel fut jadis confiée la garde d'un manuscrit sacré, clé du pouvoir suprême. Après avoir assuré cette mission durant des temps immémoriaux, il se rend en Amérique pour passer le flambeau à son successeur.Stupeur et consternation : la prophétie a désigné comme gardien un petit voyou, aussi sympathique qu'incontrôlable du nom de Kar. S'armant de courage et de patience, Le Moine entreprend d'initier son jeune protégé pour lui permettre d'affronter le machiavélique super-méchant qui cherche depuis soixante ans à s'emparer du fameux manuscrit... |Chow Yun-Fat (Le Moine 5)@Seann William Scott (Kar)@Bayo AKinfemi (Shade)@Mauricio Rodas (Wicho)@Rob Archer (Buzz)@Jaime King (Jade)@Karel Roden (Struker)@Victoria Smurfit (Nina)@Mako (Monsieur Kojima)@Roger Yuan (Master Monk)@||Secrets de tournage :
Les scènes de combat
Les comédiens ont suivi un entraînement intensif avant de commencer le tournage, surtout Seann William Scott et Jaime King qui n'avaient jamais tourné de scènes de combat avec harnais et filins. Seann William Scott dut perdre 15 kilos pour mieux servir son rôle très physique. Le conseiller combats et arts martiaux du film, Stephen Tung, précise : "Coordination et flexibilité sont les clés d'une bonne scène d'action. Il faut des heures pour apprendre les mouvements et les enchaîner sans hiatus, avec toute la grâce et la fluidité voulues. La gestuelle, quoique rigoureusement contrôlée, doit avoir toute l'apparence de la spontanéité." Et les scènes d'action étaient si nombreuses qu'elles furent tournées par deux équipes travaillant simultanément.
Une adaptation de bande-dessinée
Ce film est adapté librement d'une bande-dessinée en trois épisodes publiée à la fin des années 90 : Bulletproof Monk. La scénariste Ethan Reiff dit à ce sujet : L'histoire nous plut, mais elle n'était qu'une amorce d'intrigue et le Moine y tenait le rôle marginal d'un personnage de légende. Nous avons décidé d'utiliser ce matériau comme un simple tremplin."
Action et comédie
Le réalisateur Paul Hunter déclare à propos du film : "Pour entrer dans un livre, un film, un scénario, j'ai besoin de m'y identifier. Ce qui me plaisait le plus dans cette histoire, c'est son improbable héros. J'aimais aussi l'idée que Chow Yun-Fat serve de mentor à un jeune gars complètement largué. De cette rencontre inattendue naissent des scènes de comédie d'une irrésistible drôlerie qui raviront le public."
Les décors naturels
Beaucoup de scènes ont été tournées en décors naturels à Toronto, Vancouver, Oshawa et Hamilton.
Un premier long métrage
Ce film est le premier long métrage de Paul Hunter, réalisateur de clips et de publicités.
William Scott à contre-emploi
Habitué des teenage-movies américains, Seann William Scott joue ici pour la première fois dans un film d'action.
John Woo producteur
John Woo a été l'initiateur et le producteur de ce film avec Terence Chang.
Karel Roden vieilli pour le rôle
L'acteur tchèque Karel Roden a été vieilli de soixante ans pour interpréter le rôle du méchant Struker.
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Le Grand bleu|Luc Besson|Aventure||3|français, américain|1988|160|||DIV3|||DIV3|1 081 Kbps|512x224|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|48.0 KHz|2|1379||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Patrice Ledoux|Robert Garland Marilyn Goldin Jacques Mayol Marc Perrier Luc Besson|Carlo Varini||||La rivalité de deux enfants, dans la mer, en Grèce, qui se poursuit lorsqu'ils sont adultes. Lequel des deux plongera le plus loin et le plus profond ? Leurs amours, leurs amitiés, avec les humains et avec les dauphins, à la poursuite d'un rêve inaccessible. |Jean-Marc Barr (Jacques Mayol)@Jean Reno (Enzo Molinari)@Rosanna Arquette (Johanna)@Marc Duret (Roberto, le frère d'Enzo)@Jean Bouise (l'Oncle Louis)@Paul Shenar (Docteur Laurence)@Sergio Castellitto (Novelli)@Griffin Dunne (Duffy)@||Secrets de tournage :
Et aux Etats-Unis ?
Aux Etats-Unis, Le Grand Bleu sort sous le titre The Big Blue. Grâce à ce film, Luc Besson voit sa carrière outre-atlantique démarrer sous de beaux auspices. A noter qu'aux Etats-Unis, Nikita sortira sous l'appellation La Femme Nikita alors que Léon deviendra The Professionnal.
Toujours plus de plaisir...
Après Le Grand Bleu, Luc Besson, passionné par le monde aquatique, se lancera dans un autre projet intitulé Atlantis, que l'on peut considérer comme un certain prolongement de son oeuvre culte. Réalisé en 1991, Atlantis est un documentaire musical sur les profondeurs marines.
Une version longue pour Le Grand Bleu
Le Grand Bleu a été un succès public considérable. Devant cet engouement populaire, Luc Besson a sorti en salles une version longue de son film, qui comporte cinquante minutes de plus que l'oeuvre d'origine. A noter l'accroche amusante (et sans doute un peu revancharde de la part de Besson) sur l'affiche de cette version allongée : " N'y allez pas, ça dure trois heures ! "
Deux Prix majeurs pour le film
Au cours des César 1989, Le Grand Bleu est nominé dans huit catégories, dont celles du meilleur film, du meilleur réalisateur (Luc Besson) et du meilleur acteur (Jean-Marc Barr). Il repartira avec deux récompenses : l'Oscar de la meilleure musique de film pour Eric Serra et l'Oscar du meilleur son pour Pierre Befve, François Groult et Gérard Lamps.
Deux accueils bien différents
En 1988, Le Grand Bleu fait l'ouverture du Festival de Cannes. Un souvenir cruel pour Luc Besson. L'accueil réservé au film par la critique est en effet redoutable. Une mésaventure qui blessera le cinéaste et qui l'incitera dès lors à prendre ses distances avec la presse.
Après l'accueil très froid de la critique envers son film, Luc Besson prend une revanche éclatante grâce au public. Le Grand Bleu devient est en effet le film de toute une génération. Un " film culte " qui a attiré près de 9,2 millions de spectateurs français.
Des conditions de tournage épiques
Le tournage du Grand Bleu, qui s'est déroulé en Grèce et au Pérou, a été physiquement très éprouvant, tant pour les comédiens que pour l'équipe technique. Une quinzaine de descentes sous-marines quotidiennes, des conditions climatiques souvent délicates, rien ne leur a été épargné. A noter qu'aucun des acteurs n'a été doublé pour les scènes de plongées et que c'était Luc Besson lui-même qui assurait les entraînements.
Des collaborations placées sous le signe
Le Grand Bleu marque la quatrième collaboration de Luc Besson avec l'acteur Jean Réno. Auparavant, les deux hommes avaient travaillé ensemble sur L'Avant-dernier (court-métrage), mais aussi Le Dernier combat et Subway. Après Le Grand Bleu, Jean Réno restera fidèle au réalisateur en jouant dans Nikita, Léon et Wasabi (dont Besson est producteur).
L'odyssée aquatique du Grand Bleu constitue également la quatrième collaboration de Luc Besson avec le compositeur Eric Serra. Ce dernier avait auparavant signé la musique du court-métrage L'Avant-dernier, du Dernier combat et de Subway. Eric Serra a travaillé sur tous les projets de Luc Besson.
Une histoire tirée d'un fait réel
L'histoire du Grand Bleu est inspirée par la vie de Jacques Mayol, célèbre champion de plongée en apnée incarné par Jean-Marc Barr dans le long métrage. Jacques Mayol a étroitement collaboré a la mise en chantier du film puisqu'il y agissait en tant que conseiller technique.
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The Hudsucker Proxy|Joel Coen|Comédie dramatique||3|américain, britannique, allemand|1994|105|Anglais||DivX|||DIVX|732 Kbps|512x344|WMA2|64.1 Kbps|False|44.1 KHz|2|660||||23.976|27/08/2009 00:00:00|Ethan Coen|Joel Coen Sam Raimi Ethan Coen|Roger Deakins||Pan Européenne Edition||Les membres du conseil d'administration d'un empire industriel décident de nommer un idiot à leur tête afin que les actions chutent et qu'ils puissent les racheter à bas prix. Ce leur sera moins facile qu'il y paraissait. |Tim Robbins (Norville Barnes)@Jennifer Jason Leigh (Amy Archer)@Paul Newman (Sidney J. Mussburger)@Charles Durning (Waring Hudsucker)@Anna Nicole Smith (Za-Za)@John Mahoney (Chef)@Jim True (Clarence "Buzz" Gunderson)@Bill Cobbs (Moses)@Bruce Campbell (Smitty)@Peter Gallagher (Vic Tenetta)@Steve Buscemi (Le barman beatnik)@John Goodman (Le présentateur)@Sam Raimi (Un cerveau de la boite)@Joe Grifasi@Noble Willingham@Anna Nicole Smith@Jon Polito@Richard Schiff@Mike Starr@||||||||||||@@
Game of Death|Robert Clouse Bruce Lee|Arts Martiaux||2|hong-kongais, américain|1978|96|Anglais||DX50|||DX50|826 Kbps|720x304|MPEG-1 Audio layer 3|160 Kbps|False|48.0 KHz|2|690||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Bruce Lee Raymond Chow|Bruce Lee Jan Spears|Godfrey A. Godar||René Chateau||Un champion de kung-fu particulièrement intègre est assassiné par un syndicat du crime pour avoir refusé de les rejoindre. Laissé pour mort, il survit et prépare sa vengeance où il éliminera ses ennemis un par un. |Bruce Lee (Billy Lo)@Colleen Camp (Ann Morris)@Hugh O'Brian (Steiner)@Gig Young (Jim Marshall)@Chuck Norris (Colt - scène tirée de La Fureur du Dragon)@Robert Wall (Carl Miller)@Dean Jagger (Le docteur Land)@Kareem Abdul-Jabbar (Hakim)@James Tien (Charlie Wang)@Roy Chiao (L'oncle de Billy)@Mel Novak (Stick)@Sammo Hung Kam-Bo (Lo Chen)@Sammo Hung Kam-Bo (Lo Chen)@Sammo Hung Kam-Bo (Lo Chen)@Sammo Hung Kam-Bo (Lo Chen)@Sammo Hung Kam-Bo (Lo Chen)@Sammo Hung Kam-Bo (Lo Chen)@Sammo Hung Kam-Bo (Lo Chen)@Sammo Hung Kam-Bo (Lo Chen)@Sammo Hung Kam-Bo (Lo Chen)@Dan Inosanto (Pasqual)@||Secrets de tournage :
Hommage à Bruce Lee
Le costume jaune barré de noir porté par Uma Thurman dans Kill Bill : volume 1 / Kill Bill : volume 2 renvoie directement à celui de Bruce Lee dans Le Jeu de la mort (1978), dernier film du Petit Dragon.
La mort de Bruce Lee
Bruce Lee commence à filmer quelques scènes de ce film mais il interrompt le tournage pour jouer dans Operation dragon aux Etats-Unis. Il décède avant de pouvoir reprendre Le Jeu de la mort terminé six ans plus tard par Robert Clouse.
Une courte apparition
Bruce Lee n'apparaît que dix minutes dans ce film posthume.
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The Day After Tomorrow|Roland Emmerich|Action||3|américain|2004|123|Français||DX50|||DX50|687 Kbps|512x224|MPEG-1 Audio layer 3|32.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|704||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Mark Gordon Roland Emmerich|Roland Emmerich Jeffrey Nachmanoff|Anna Foerster||UFD||Le climatologue Jack Hall avait prédit l'arrivée d'un autre âge de glace, mais n'avait jamais pensé que cela se produirait de son vivant.
Un changement climatique imprévu et violent à l'échelle mondiale entraîne à travers toute la planète de gigantesques ravages : inondations, grêle, tornades et températures d'une magnitude inédite. Jack a peu de temps pour convaincre le Président des Etats-Unis d'évacuer le pays pour sauver des millions de personnes en danger, dont son fils Sam.
A New York où la température est inférieure à - 20° C, Jack entreprend une périlleuse course contre la montre pour sauver son fils. |Dennis Quaid (le professeur Jack Hall)@Jake Gyllenhaal (Sam Hall)@Ian Holm (Terry Rapson)@Arjay Smith (Brian Parks)@Austin Nichols (J.D.)@Emmy Rossum (Laura)@Sela Ward (le Dr. Lucy Hall)@Tamlyn Tomita (Janet)@||Secrets de tournage :
Roland Emmerich revient au film-catastrophe
Avec Le Jour d'après, le réalisateur d'origine allemande Roland Emmerich revient au genre qui lui a apporté ses plus beaux succès : le film-catastrophe. Si avec ce nouvel opus il se penche sur des bouleversement climatiques venant semer la terreur sur la Terre, il avait en 1996 évoqué une invasion extra-terrestre avec Independence Day et, en 1998, confronté New-York à un gigantesque lézard vert dans Godzilla.
Plus qu'un film-catastrophe...
Pour le réalisateur Roland Emmerich, expert dans le film-catastrophe, Le Jour d'après, est certes un film spectaculaire, notion inhérente au genre, mais possède également une dimension humaine. "Aussi amples que soient ses effets, c'est un drame humain qui constitue le pivot de cette histoire", explique le cinéaste. "Jack Hall et son fils Sam sont des personnages sensibles, vulnérables, en proie à des conflits qui rendent encore plus excitant leur affrontement avec les forces de la nature. Le Jour d'après raconte le combat universel de l'Homme contre les éléments. C'est l'histoire héroïque d'une survie et du triomphe de l'esprit."
Une théorie plausible
Pour le producteur Mark Gordon, les événements décrits dans Le Jour d'après sont fictionnels, mais néamoins plausibles : "Nous avons pris la liberté d'anticiper quelque peu la venue d'un Nouvel Age de Glace, mais la théorie selon laquelle le réchauffement de la planète pourrait entraîner des bouleversements climatiques soudains retient de plus en plus l'attention. Personne ne peut prédire les effets ultimes de la pollution au dioxyde de carbone, mais certains experts y voient déjà "la plus vaste expérience scientifique incontrôlable de tous les temps"."
Mark Gordon, dont l'analyse est corroborée par une étude publiée par le Pentagone en 2004 soulignant la possibilité d'un changement climatique soudain provoqué par le réchauffement de la planète, souligne toutefois que "la soudaineté de la catastrophe" dans le film est irréaliste. "En effet, lorsque les scientifiques évoquent un changement climatique "abrupt", ils se réfèrent à une période de cinq à dix ans, et non à quelques semaines, comme dans le film. Mais nous n'avons pas la prétention d'être 100% scientifiques, ni de faire le tour de la question en seulement deux heures. Nous avons seulement voulu offrir au spectateur un super-spectacle qui puisse, éventuellement, l'éclairer sur un problème qui nous concerne tous."
La parole à l'équipe
Chacun des membres de l'équipe du Jour d'après a son petit avis sur le film catastrophe. Pour le réalisateur Roland Emmerich, "lorsque le monde paraît sur le point de s'écrouler, lorsque vous êtes cerné par le danger, vous êtes obligé de procéder dans l'urgence à des choix radicaux. C'est à la fois terrifiant et très exaltant. Voilà pourquoi j'aime ces films."
Pour l'acteur Dennis Quaid, ce genre cinématographique est né de la fascination des gens pour le morbide : "Un incendie ou une collision rassemblent immédiatement les curieux, et chacun de se demander s'il n'y aurait pas là quelqu'un qu'il connaît, puis de se féliciter de ne pas être impliqué dans ce drame, et enfin de s'interroger sur ce qu'il ferait face à une catastrophe. Ces films nous présentent des situations dramatiques qui suscitent des émotions fortes et une intense participation." Enfin, le scénariste Jeffrey Nachmanoff voit le film catastrophe comme "un puissant révélateur humain", alors que le producteur Mark Gordon souligne l'aspect "hautement visuel" du genre.
Conditions extrêmes
Le défi physique relevé par toute l'équipe du Jour d'après a été particulièrement intense. Pour Dennis Quaid, le film s'est apparenté à "un test d'endurance quotidien, une lutte permanente pour la survie ! J'ai tourné plusieurs films à effets spéciaux, mais jamais à cette échelle. Emmitouflés dans nos parkas, protégés du froid intense par quatre ou cinq couches de vêtements polaires, nous avions le plus grand mal à garder les yeux ouverts et à respirer sous l'impact de la neige artificielle, projetée à 150 km/h par des turbines géantes. C'était parfois carrément surréaliste."
D'étranges coïncidences...
Durant le tournage du Jour d'après, de nombreux phénomènes météorologiques extrêmes semèrent le chaos aux quatre coins du globe, comme autant d'étranges coïncidences. Durant la préproduction du film, le centre de la Chine fut victime de violentes chutes de grêle. Le mois suivant, de gigantesques innondations mirent à l'épreuve l'Europe, notamment l'Angleterre. Lorsque le tournage du Jour d'après débuta, des tornades s'abbatirent sur les Etats-Unis. Et coïncidence la plus troublante : la barrière de glace "Larsen B" s'effondra dans l'Antarctique en mars 2002, soit juste quelques semaines après que Roland Emmerich et Jeffrey Nachmanoff eurent rédigé une scène évoquant très précisément cet événement.
Travail numérique et effets spéciaux
Pour les impressionnantes séquences en Antarctique, la production a fait appel au studio d'effets numériques Digital Domain, qui a livré pour l'occasion un programme spécial dédié à la création de paysages ultra-réalistes. Pour les paysages urbains, c'est un procédé de scanning hors-du-commun qui a été réquisitionné pour numériser en détail des édifices de Los Angeles et New York.
En ce qui concerne les perturbations climatiques, des centaines de pains de glace sculptés à la taille requise furent utilisés pour créer la grêle. Pour les innondations, de nombreux techniciens furent à l'oeuvre six semaines durant pour construire le bassin géant nécessaire à la réalisation de cet effet spécial impressionnant.
Le jour d'après primé par l'ONU
Roland Emmerich a été récompensé, ainsi que son équipe, par l'EMA, branche de l'ONU sur l'environnement, pour "le jour d'après" ainsi que pour ses combats écologiques. Le réalisateur et l'actrice principale, Emmy Rossum, avaient notamment en 2005 participé à la Cérémonie de Global Green USA Pre-Oscar Party, grande réunion Hollywoodienne sur l'écologie, la veille des Oscars.
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The Day the Earth Stood Still|Scott Derrickson|Science fiction||2|américain|2008|97|Anglais||XviD|||XVID|879 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|44.1 KHz|2|699||||24.886|28/07/2009 00:00:00|Erwin Stoff Paul Harris Boardman Gregory Goodman|David Scarpa|David Tattersall||20th Century Fox||L'arrivée sur Terre de Klaatu, un extraterrestre d'apparence humaine, provoque de spectaculaires bouleversements. Tandis que les gouvernements et les scientifiques tentent désepérément de percer son mystère, une femme, le docteur Helen Benson, parvient à nouer un contact avec lui et à comprendre le sens de sa mission. Klaatu est là pour sauver la Terre... avec ou sans les humains. |Keanu Reeves (Klaatu)@Jennifer Connelly (Helen Benson)@Kathy Bates (Regina Jackson)@John Cleese (Dr. Barnhardt)@Robert Knepper (le colonel)@Jon Hamm (Dr. Granier)@Jaden Smith (Jacob)@Brandon Jackson (Target Tech)@James Hong (Mr. Wu)@Aaron Douglas (sergent Winter)@Roger R. Cross (général Quinn)@Lorena Gale (la scientifique #2)@Alisen Down (la femme avec l'ordinateur portable)@J.C. MacKenzie (Grossman)@Richard Tillman (un sergent)@Joshua Close (l'ingénieur de la chambre flash)@Hiro Kanagawa (Dr. Ikegawa)@Mousa Kraish (Yusef)@Geoff Meed (l'officier de communications)@Patrick Sabongui (le soldat #1)@David Richmond-Peck (l'opérateur du polygraphe)@Darien Provost (le petit garçon)@Stefanie Samuels (la gardienne)@Tyler McClendon (l'homme avec la tasse de café)@Andrew Wheeler (le garde)@Sunita Prasad (Rouhani)@Serge Houde (le scientifique)@Daniel Bacon (Winslow)@Jared Keeso (un sergent)@Craig Stanghetta (l'homme terne)@George Sharperson (le policier)@Aaron Craven (le technicien)@Juan Riedinger (William)@Leanne Adachi (l'ingénieur de la chambre flash)@Chris Bradford (le marine au poste de contrôle)@Marci T. House (le médecin)@Kevan Kase (le conducteur du camion)@Sandy Colton (le capitaine du corps d'armée)@Shaine Jones (le soldat #3)@Sverrir Björgvinsson (le garde #2)@Shaker Paleja (le chef des médecins)@Kyle Chandler (John Driscoll)@||Secrets de tournage :
Vers l'infini et au-delà
Le long métrage de Scott Derrickson a été envoyé dans l'espace, destination Alpha Centaury, à plus de quatre années-lumière de la Terre.
D'après un classique de la SF
Le Jour où la Terre s'arrêta version de 2008 est le remake du film film homonyme réalisé par Robert Wise en 1951. Inscrit au National Film Registry, ce classique de la SF avait remporté le Golden Globe du "Meilleur film faisant la promotion d'une meilleure compréhension entre les peuples".
Un nouveau message
Bien que cette version présente un point de départ semblable à celui du film original (l'arrivée d'extraterrestres porteurs d'un message pour l'humanité), le message a quelque peu évolué. Dans Le Jour où la Terre s'arrêta de 1951, Klaatu venait avertir les humains des dangers de la bombe atomique. Devant la caméra de Scott Derrickson, cet être venu d'ailleurs vient alerter le monde sur ses mauvaises pratiques vis à vis de l'environnement. Un avertissement en phase avec les préoccupations écologiques du moment...
Un projet vieux de 15 ans
Keanu Reeves était le premier et unique choix de Erwin Stoff pour le rôle de Klaatu. Le producteur (et agent de l'acteur) avait d'ailleurs lancé l'idée d'une adaptation du Jour où la Terre s'arrêta avec Keanu Reeves dès... 1994, au moment de de la sortie de Speed. "Au moment de la sortie de Speed, je me rappelle avoir été dans un bureau d'un producteur de la Fox. Derrière son bureau il y avait une affiche du Jour où la Terre s'arrêta. Et en l'attendant, j'ai eu cette idée... Et je lui ai suggéré de développer un remake avec Keanu Reeves. A l'époque ça semblait être une bonne idée de départ. Mais comme c'est toujours le cas à Hollywood, il a perdu sa place peu après. Il a fallu attendre 15 ans pour qu'un scénario atterrisse sur mon bureau : Le Jour ou la Terre s'arrêta."
Note d'intention de Keanu Reeves
L'interprète de Klaatu déclare : "En racontant cette histoire aujourd'hui, nous avions l'opportunité de tendre un miroir révélateur de notre relation avec la nature. Cette fable spectaculaire nous pousse à considérer l'impact que nous avons sur notre planète. Il est question de notre survie et de celles de toutes les espèces qui peuplent cette terre."
Un vrai style visuel, mais pas à n'importe quel prix
"Nous voulions que le film ait une identité visuelle forte, que ce soit en terme de coloration, de mise en lumière ou de décors, mais nous ne voulions pas perdre l'aspect réaliste pour autant", explique Scott Derrickson. "Le film est expressionniste et stylisé, mais pas au point que peuvent atteindre des oeuvres reposant uniquement sur le graphisme ou le côté "comics"."
Le traitement de l'image
L'une des clés du style visuel du film repose sur le traitement de l'image dans son ensemble. Scott Derrickson a d'ailleurs choisi de tourner sur pellicule et non en numérique haute définition, pour privilégier un certain type de grain et de rendu.
L'apparence de Klaatu
L'un des plus gros défis techniques de l'équipe du film fût sans conteste la recherche de l'apparence non-humaine de Klaatu : et c'est en réfléchissant au corps du personnage que les responsables des effets spéciaux ont fini par décider de représenter Klaatu comme une entité de lumière.
Tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir
Malgré son regard froid sur les dangers qui menaçent l'humanité, Le Jour où la Terre s'arrêta est porteur d'un optimisme fondamental, comme l'explique le producteur Erwin Stoff : "Les gens ont besoin de croire que nous pouvons encore éviter la catastrophe, que nous pouvons reprendre en main notre destinée. Nous racontons une histoire pleine d'espoir."
Famille, je vous aime ?
Alors que la Terre est menacée par une catastrophe imminente, un autre drame se joue également entre Helen Benson (Jennifer Connelly) et son fils Jacob (Jaden Smith) : "la relation entre Klaatu, Helen et Jacob est un moteur fondamental de notre histoire", explique Scott Derrickson. "Il reflète aussi parfaitement la complexité des relations familiales contemporaines."
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The Nanny Diaries|Robert Pulcini Shari Springer Berman|Comédie dramatique||2|américain|2008|104|Anglais||XviD|||XVID|790 Kbps|624x336|MPEG-1 Audio layer 3|130 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Richard N. Gladstein|Robert Pulcini Shari Springer Berman|Terry Stacey||Metro Goldwyn Mayer (MGM)||On ne naît pas baby-sitter, on le devient...Annie Braddock est une jeune femme d'origine modeste, tout juste sortie du collège. Pressée par sa mère d'entrer dans la vie active, elle obtient un poste de nounou dans une famille huppée de Manhattan, les X. Un monde insoupçonné s'ouvre alors à elle, exotique et déroutant, semé de pièges et d'embûches.Car la vie chez les X n'a rien d'un long fleuve tranquille : Madame est une bourgeoise radine, hyperactive et maniacodépressive et Monsieur, un tyran de la plus belle espèce. Par chance, leur fils, Grayer, est un adorable gamin auquel Annie s'attache immédiatement, s'efforçant de lui apporter tout l'amour dont le privent ses parents.Avec un humour et un stoïcisme à toute épreuve, Annie réussit à surmonter toutes les crises, jouant à la perfection son rôle d'esclave corvéable à merci. Mais, côté coeur, quelques surprises l'attendent lorsqu'un bel étudiant de Harvard entreprend de faire sa conquête... |Scarlett Johansson (Annie Braddock)@Paul Giamatti (M. X)@Laura Linney (Mme X)@Nicholas Reese Art (Grayer X)@Chris Evans (II) (Harvard Hottie)@Donna Murphy (Judy Braddock)@Alicia Keys (Lynette)@Nathan Corddry (Calvin)@Cady Huffman (la mère divorcée)@Brande Roderick (Tanya)@Nina Garbiras (Miss Chicago)@Judith Roberts (Milicent)@Alison Wright (Bridget)@Heather Simms (Murnel)@Sakina Jaffrey (Sima)@Julie White (Jane Gould)@Phoebe Jonas (la mère sous anti-dépresseurs)@Joanna Heimbold (la mère glamour)@Marla Sucharetza (la mère charitable)@Allison Sarofim (la mère aux troubles alimentaires)@Tina Benko (une mère)@Kaitlin Hopkins (Bitsy)@Rosa Nino (Maria)@Melisa McGregor (la serveuse)@Ilana Levine (la mère pleurnicharde)@Isabel Keating (la mère paranoïaque)@Patrick Heusinger (Carter)@Aaron Staton (John)@Stephen O'Reilly (Reggie)@Charlie Hewson (Jojo)@Mike Rad (Dude)@||Secrets de tournage :
Inspiré d'un roman
Le Journal d'une baby-sitter est inspiré du roman de Nicola Kraus et d'Emma McLaughlin. Les auteurs ayant travaillé comme baby-sitters pour une trentaine de familles fortunées de Manhattan, de nombreux lecteurs se demandèrent qui se cachait derrière les "X" de Park Avenue. Des personnages que l'on retrouve aussi dans le film...
Un duo inséparable
Le réalisateur Robert Pulcini et la réalisatrice Shari Springer Berman sont mariés et travaillent ensemble depuis leur rencontre à la Columbia University de New York.
Deuxième long métrage pour le cinéma
Le Journal d'une baby-sitter est le second film destiné au grand écran réalisé par le couple de réalisateurs. Leur premier film pour le cinéma étant American Splendor sorti en 2003. Shari Springer Berman et Robert Pulcini ont par aillleurs réalisé des documentaires et des téléfilms.
Une expérience qui compte
Tout comme les auteurs du roman, la co-réalisatrice Shari Springer Berman a, elle aussi, connu des expériences similaires à celles du personnage d'Annie Braddock : "Dès ma sortie du collège, j'ai travaillé pour un couple de scénaristes/producteurs, raconte-t-elle. J'étais logée chez eux, et intimement associée à leur vie quotidienne. Je vivais donc au sein de cette famille des situations très proches de celles d'une nanny. J'avais choisi ce poste pour marquer une pause et ne pas avoir à décider immédiatement de mon avenir. La plupart des jeunes passent par ce genre de phase, et j'ai eu envie de l'évoquer dans le film." D'où la décision des réalisateurs de faire de leur héroïne une toute jeune diplômée d'anthropologie, au lieu d'une étudiante.
Deuxième... !
C'est la seconde fois que Scarlett Johansson et Chris Evans jouent ensemble. Les deux acteurs s'étaient rencontrés sur le tournage de The Perfect Score de Brian Robbins.
Une seconde collaboration
C'est la seconde fois que Paul Giamatti tourne sous la houlette des réalisateurs Shari Springer Berman et Robert Pulcini. L'acteur tenait le premier rôle dans American Splendor en 2003.
Les débuts dans la comédie d'Alicia Keys
Le Journal d'une baby-sitter est le deuxième film dans lequel tourne Alicia Keys. La chanteuse a fait ses premiers pas sur grand écran dans le film d'action Mi$e à prix de Joe Carnahan. Avec Le Journal d'une baby-sitter elle fait ses premiers pas dans la comédie.
Nanny Poppins
La scène où le personnage d'Annie Braddock vole grâce à son parapluie est ouvertement inspirée d'une autre célèbre baby-sitter du cinéma : Mary Poppins. Les réalisateurs avouent également avoir voulu retrouver dans cette scène "l'ambiance féerique de La Mélodie du bonheur".
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El Laberinto del Fauno|Guillermo Del Toro|Fantastique|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain, mexicain, espagnol|2006|119|Espagnol||XviD|||XVID|1 440 Kbps|640x336|AC3|192 Kbps|False|48.0 KHz|2|1400||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Guillermo Del Toro Frida Torresblanco Bertha Navarro Alfonso Cuaron Alvaro Augustin|Guillermo Del Toro|Guillermo Navarro||Picturehouse Entertainment LLC||Espagne, 1944. Fin de la guerre.Carmen, récemment remariée, s'installe avec sa fille Ofélia chez son nouvel époux, le très autoritaire Vidal, capitaine de l'armée franquiste.Alors que la jeune fille se fait difficilement à sa nouvelle vie, elle découvre près de la grande maison familiale un mystérieux labyrinthe. Pan, le gardien des lieux, une étrange créature magique et démoniaque, va lui révéler qu'elle n'est autre que la princesse disparue d'un royaume enchanté.Afin de découvrir la vérité, Ofélia devra accomplir trois dangereuses épreuves, que rien ne l'a préparé à affronter... |Ivana Baquero (Ofelia)@Sergi López (Capitaine Vidal)@Doug Jones (Pan / le Pale Man)@Ariadna Gil (Carmen)@Maribel Verdu (Mercedes)@Alex Angulo (le docteur)@Roger Casamajor (Pedro)@Cesar Bea (Serrano)@Federico Luppi (Casares)@Manolo Solo (Garcés)@||Secrets de tournage :
Présenté à Cannes
Le Labyrinthe de Pan a été présenté en Sélection Officielle en compétition au festival de Cannes 2006. Malgré un accueil favorable, le film n'a pas été récompensé par le Jury présidé par Wong Kar-Wai.
Un projet longuement mûri
Le Labyrinthe de Pan a mûri pendant près de vingt ans dans l'esprit de Guillermo Del Toro, qui avait en tête un film bien différent à l'origine : "À la base, le scénario du Labyrinthe de Pan ressemblait à ma toute première version de L'Echine du diable, et aurait dû être mon tout premier film si j'avais réussi à trouver le budget nécessaire pour le réaliser à l'époque, raconte Guillermo Del Toro. Il y était question de la révolution espagnole et l'histoire parlait d'une jeune femme enceinte qui rejoignait son mari dans une maison restaurée par ce dernier. En visitant la demeure, la future mère découvrait un jardin en forme de labyrinthe, où elle croisait un satyre. Elle faisait l'amour avec la bête qui lui proposait de sacrifier son enfant pour que le labyrinthe puisse fleurir. Si la femme avait accepté, elle aurait vécu pour l'éternité aux côtés du satyre. Même si au final, des ressemblances demeurent, la nouvelle version du Labyrinthe de Pan est malgré tout très différente, mon côté sentimental ayant finalement pris le dessus."
Influences picturales
Parmi les multiples sources d'inspirations qui ont façonné l'univers du Labyrinthe de Pan, Guillermo Del Toro évoque avant tout le peintre Francisco Goya dont le tableau représentant Saturne dévorant son fils a fortement inspiré l'inquiétante créature du "Pale Man". Le dessinateur Arthur Rackham est également présenté comme une forte référence pour le cinéaste.
Le véritable monstre du film
Située quelques années après l'L'Echine du diable, l'histoire du Labyrinthe de Pan aborde elle aussi le thème du fascisme à travers le prisme du fantastique : "À mes yeux, le fascisme est une représentation de l'horreur ultime et c'est en ce sens un concept idéal pour raconter un conte de fées destiné aux adultes, explique Guillermo Del Toro. Car le fascisme est avant tout une forme de perversion de l'innocence, et donc de l'enfance. Pour moi, le fascisme représente en quelque sorte la mort de l'âme car il vous force à faire des choix douloureux et laisse une trace indélébile au plus profond de ceux qui l'ont vécu. C'est d'ailleurs pour cette raison que le véritable ?monstre? du film est le Capitaine Vidal, qui est incarné à l'écran par Sergi Lopez. Un monstre bien réel comparé à ceux qui évoluent dans le labyrinthe. Le fascisme vous consume à petit feu, pas forcément physiquement, mais au moins spirituellement."
Décors
De la maison de Vidal au labyrinthe de Pan en passant par l'antre du "Pale Man", près de trente-quatre décors différents ont été réalisés pour les besoins du film.
Des nouveaux costumes pour Doug Jones
Sous le costume de Pan et du "Pale Man" se cache l'acteur Doug Jones. Il n'est pas inconnu des fans de Guillermo Del Toro puisqu'il avait déjà porté un autre costume, celui de Abe Sapien dans Hellboy.
Sergi Lopez à propos du rôle du Capitaine Vidal
"Quand un scénario et les dialogues sont bien écrits, quand l'histoire nous prend par la main et quand le rôle est bien défini, c'est assez facile de construire le personnage. Nous avons aussi travaillé avec un ami militaire qui nous a donné quelques indications. C'était très agréable de jouer ce personnage. C'était comme de jouer le grand méchant loup dans "Le Petit Chaperon Rouge"."
Un tournage éprouvant
Etalé sur près de douze semaines, le tournage du Labyrinthe de Pan a été très éprouvant pour le réalisateur Guillermo Del Toro qui a avoué avoir perdu plusieurs kilos par semaine.
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The Jungle Book|Wolfgang Reitherman|Animation|Film pour enfants|3|américain|1967|75|Anglais||XviD|||XVID|1 187 Kbps|720x528|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Don A. Duckwall|Larry Clemmons Ralph Wright Ken Anderson Vance Gerry Rudyard Kipling|||Warner Bros. France|Saga : Le Livre de la jungle |La panthère Baghéera découvre dans la jungle un jeune enfant abandonné. Elle décide de le confier à une famille de loups qui l'éleve comme un louveteau. Alors que Mowgli a dix ans, le tigre Shere Kahn approche du territoire des loups. Pour éviter à l'enfant une fin inévitable, les loups l'éloignent et décident de le confier aux hommes d'un village proche. C'est Baghéera qui le conduit. Pendant leur voyage, ils feront de nombreuses rencontres, parfois redoutables. |Claude Bertrand (Baloo l'ours (voix française))@René Arrieu (Baghéera la panthère (voix française))@José Bartel (Louie le roi des singes (voix française))@Jean Martinelli (Sher Khan le tigre / le Colonel Hathi (voix française))@Roger Carel (Kaa le serpent (voix française))@Pascal Bressy (Mowgli (voix française))@Gaston Guez (un éléphant (voix française))@Lucie Douene (la petite fille (voix française))@Germaine Kerjean (Winifred (voix française))@||||||||||||@@
The Jungle Book 2|Steve Trenbirth|Animation||2|américain|2003|72|Anglais||XviD|||XVID|892 Kbps|576x336|AC3|384 Kbps|True|48.0 KHz|6|663||||23.976|06/08/2009 00:00:00|Christopher Chase Mary Thorne|Karl Geurs Carter Crocker David Reynolds Tom Rogers Roger S.H. Schulman Evan Spiliotopoulos|||Buena Vista Pictures|Saga : Le Livre de la jungle |Mowgli vit dans le village des hommes depuis cinq jours, et même s'il aime beaucoup sa nouvelle famille, son ami Baloo lui manque. Quand le jeune garçon veut jouer avec les autres enfants aux jeux qu'il a appris dans la jungle, le danger qu'il leur fait courir alerte son nouveau père. Celui-ci se fâche et lui défend de quitter le village. Malheureux, Mowgli se glisse discrètement au dehors avec l'aide de ce bon vieux Baloo. Mais le garçon ignore que sa nouvelle amie, une petite fille nommée Shanti, s'inquiète pour lui. Surmontant sa peur, celle-ci se lance à sa poursuite dans la jungle.
Les choses se compliquent lorsque Kaa, le serpent hypnotiseur, décide de faire de Shanti son déjeuner, et que Shere Khan, le tigre mangeur d'hommes ennemi de Mowgli, n'attend qu'une occasion pour se venger... La chasse est ouverte ; Mowgli, Shanti et Baloo devront faire front ensemble. |Antoine Dubois (Mowgli (voix française))@Richard Darbois (Baloo (voix française))@Emmanuel Jacomy (Lucky (voix française))@Dick Rivers (Shere Khan (voix française))@Camille Donda (Shanti (voix française))@Gwenvin Sommier (Ranjan (voix française))@Roger Carel (Kaa (voix française))@Vincent Grass (le Colonel Hathi (voix française))@Gabriel Ledoze (Bagheera (voix française))@Saïd Amadis (le père de Ranjan (voix française))@||Secrets de tournage :
Le spécialiste des suites
Le Livre de la jungle 2 est le premier long métrage de Steve Trenbirth. Avant de passer à la mise en scène, il avait travaillé comme directeur de l'animation sur Le Retour de Jafar, Aladdin et le roi des voleurs, Dingo et Max 2 : les sportifs de l'extrême, le Roi lion 2 : l'honneur de la tribu et La Belle et le clochard 2 : l'appel de la rue.
Suite
Le Livre de la jungle 2 est la suite du Le Livre de la jungle réalisé en 1967 par Wolfgang Reitherman. Le film avait connu un immense succès à l'époque, réunissant même plus de 14 millions d'entrées lors de sa sortie française en décembre 1968, le plus grand succès de tous les temps pour un dessin animé. Le producteur Christopher Chase revient sur ses motivations à tourner une suite : "Ces personnages sont si connus que l'envie de les retrouver était irresistible. Plus nous y pensions, plus nous réalisions qu'il était logique que Mowgli se sente bien avec ceux de son espèce mais que les grandes influences de son enfance allaient forcément lui manquer. C'est de cette situation-là que nous sommes partis."
McNeely
C'est Joel McNeely qui a composé la musique du Livre de la jungle 2. Il était l'artiste adéquat pour travailler sur le film, le réalisateur et son équipe souhaitant un son très orienté jazz. Joel McNeely est saxophoniste, formé à ce style de musique depuis de très nombreuses années.
Reprises
L'équipe du Livre de la jungle 2 a tenu à utiliser certaines chansons déjà présentes dans Le Livre de la jungle (1967) pour cette suite afin de rendre hommage à l'original. On retrouve ainsi "Il en faut peu pour être heureux, citée à l'Oscar de la meilleure chanson à l'époque.
Houcine
C'est Houcine, le finaliste de la Star Academy 2002, qui a été choisi pour chanter "Etre un homme comme vous", le générique de fin dans la version française.
Entre classicisme et modernité
Steve Trenbirth et son équipe ont tenu à respecter le style visuel de l'original tout en profitant des avancées technologiques réalisées depuis 1967 : "Nous sommes capables de renforcer la dimension artistique, d'adopter une approche beaucoup plus dynamique pour la caméra. Cela change la façon de mettre en scène, de règler les mouvements, de nous déplacer dans les plans. Pourtant, comme toujours, il faut que l'alliance de ces avancées technologiques et de l'animation traditionnelle soit parfaite et que l'on ne puisse pas distinguer les unes des autres."
Le silence
Les animateurs du Livre de la jungle 2 ont cherché à approfondir la gamme d'expression des personnages animés. Le réalisateur Steve Trenbirth a notamment cherché à travailler les silences : "Ce sont les moments les plus difficiles de l'animation. On doit faire comprendre les joies et les peines des personnages sans faire appel aux mots. Ces moments de non-dits sont souvent les plus puissants. Certains temps forts parmi les plus réussis sont nés de cette émotion du jeu donnée par l'artiste."
Shere Khan
Les animateurs ont choisi de traiter le personnage de Shere Khan de manière singulière. Ce dernier évolue d'abord dans l'ombre avant de passer progressivement à la lumière du jour. Un directeur artistique explique : "nous avons renforcé ses couleurs, l'avons nimbé de lumières rasantes qui le font ressortir sur le décor de la jungle, pour lui donner corps et le rendre plus impressionnant." Les traits du tigre sont également plutôt anguleux, une caractéristique propre à de nombreux méchants des films de Disney. Walt Disney s'était rendu compte que contrairement aux graphismes circulaires, "les angles transmettent implicitement une impression de danger."
Mowgli
Steve Trenbirth explicite son approche du personnage de Mowgli dans Le Livre de la jungle 2: "Nous nous sommes efforcés de faire passer le sentiment que la jungle était toujours présente en lui, qu'il se sent étranger au milieu de ceux de son espèce. Il a certains traits et attitudes découverts dans le film original qui sont vraiment ceux d'un animal de la jungle - cela se voit dans sa façon de bouger, dans sa manière d'utiliser son environnement. Nous avons en quelque sorte pris cela comme assise pour souligner les problèmes qu'il éprouve à s'intégrer."
Haley Joel Osment
C'est Haley Joel Osment qui double Mowgli dans ce deuxième épisode. Le comédien revient sur son travail sur le film : "Mon père m'a toujours dit que jouer, c'était croire, et j'ai préparé le doublage voix de la même façon qu'un rôle classique. Il faut entrer dans le personnage, devenir ce garçon joueur, aventureux, ressentir ce qu'il ressentirait dans telle ou telle situation. Il faut oublier qu'il est dessiné, penser qu'il existe vraiment."
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Huo Yuan Jia (Fearless)|Ronny Yu|Action||3|américain, hong-kongais|2006|90|Mandarin||XviD|||XVID|941 Kbps|528x288|MPEG-1 Audio layer 3|130 Kbps|False|44.1 KHz|2|700||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Ronny Yu William Kong Jet Li Yang Buting|Christine To Chris Chow Bin Wang Li Feng|Hang-Sang Poon||United International Pictures (UIP)||Huo Yuanjia rêve depuis sa plus tendre enfance de se consacrer aux arts martiaux. L'opposition de son père, lutteur réputé, ne fera que renforcer sa détermination : Yuanjia décide d'apprendre les techniques de combat par ses propres moyens et se lance dans un entraînement intensif avec pour partenaire son ami Nong Jinsun... Les années passent, les victoires s'enchaînent, tandis que la vanité et l'arrogance du lutteur deviennent chaque jour plus insupportables. Lorsqu'un de ses jeunes apprentis est blessé par le maître Chin, Yuanjia défie ce dernier et n'hésite pas à le tuer. Cette "victoire" sera fatale aux deux êtres qu'il chérit le plus au monde : sa mère et sa fille. |Jet Li (Huo Yuanjia)@Sing Ngai (Le père de Huo Yuanjia)@Shido Nakamura (Anno Tanaka)@Dong Yong (Nong Jinsun)@Masato Harada (Mita)@Nathan Jones (Hercules O'Brien)@Jon T. Benn (Le businessman)@Anthony De Longis (Le duelliste espagnol)@Mike Leeder (L'arbitre)@Hee Ching Paw (La mère d'Hua Yuan Jia )@Jean-Claude Leuyer (Le boxeur anglais)@John Paisley (Le businessman anglais)@Brandon Rhea (Le lutteur belge)@Sun Li (Moon)@Chen Zhihui (Chin)@Ting Leung (Lai)@Qu Yun (La grand-mère)@Scott Ma (Zhou)@Jacky Heung (Le filleul de Chin)@Philippe Millieret (L'homme d'affaires)@Yi Shixiong (Liu Zhensheng)@Chen Fusheng (Xu Dashan)@Zheng Shiming (Xia Xiang)@Lu Yuhao (Huo Yuanija, enfant)@Zhu Qilong (Nong Jinsun, enfant)@Shang Yapeng (Zhou, enfant)@Wang Qi (Gui)@He Ju (L'idiot du coin)@Xu Ailing (Jade)@He Sirong (La femme de Chin)@Ma Yin (La fille de Chin)@John Benn (Le businessman américain)@Michelle Yeoh (Miss Yang)@||Secrets de tournage :
Un personnage historique
Le personnage de Huo Yuanjia, joué par Jet Li, est une véritable légende en Chine. Selon le réalisateur, Ronny Yu, ce champion d'arts martiaux "est devenu un symbole en Chine pour avoir unifié toutes les écoles d'arts martiaux, pour avoir révélé au pays les vertus de l'esprit sportif, pour avoir rendu espoir à son peuple à une époque où le moral des Chinois était au plus bas.". Il est devenu un héros national et source d'orgueil national, alors que la dynastie Qing déclinait et que les puissances étrangères s'implantaient en Chine, après avoir remporté de nombreuses victoires contre des lutteurs étrangers au cours de combats se déroulant devant un public très nombreux. Huo Yuanjia est également connu pour avoir ouvert une école d'arts martiaux à Shanghai, "I'Ecole de culture physique Jingwu".
Les retrouvailles Jet Li/Yuen Woo Ping
Le Maître d'armes est l'occasion pour deux experts en arts martiaux de collaborer une nouvelle fois ensemble. Jet Li et Yuen Woo Ping ont offert aux fans du genre des fleurons comme les deux premiers volets de la série Il était une fois en Chine, Tai chi master(1993), Fist of legend - La nouvelle fureur de vaincre (1994), Black Mask (1996), Danny the dog (2005) et, donc, Le Maître d'armes, qui est leur septième film en commun. Pour Jet Li, Le Maître d'armes était une occasion privilégiée de retrouver un vieil ami : "Nous avions peu travaillé ensemble durant les vingt dernières années, et sommes maintenant plus sollicités que jamais. Qui sait quand nous aurons l'occasion de travailler à nouveau ensemble? Sur Le Maître d'armes, nous avons filmé chaque combat comme si c'était notre dernier. Le résultat dépassera tout ce que vous avez jamais vu..."
Un casting très professionnel
Le réalisateur Ronny Yu s'est entouré d'un casting international, également très investi dans leurs personnages, puisque la superstar japonaise Shidou Nakamura a tenu à apprendre le chinois pour tenir son rôle et pouvoir pleinement s'y investir, alors qu'il aurait été facile de le doubler. De plus, Sun Li qui interprète Moon, la jeune aveugle, pour se préparer à offert ses services bénévoles à une école pour enfants non-voyants de Shanghai.
Le casting des combattants
Le Maître d'armes réunit une pléiade de lutteurs de réputation mondiale, tels que Somluck Kamsing (médaillé d'or olympique dans la catégorie "poids plume"), Jean-Claude Leuyer (7 fois champion du monde de kickboxing) et la superstar de la World Wrestling All-Stars (championnat du monde de lutte), Nathan Jones. Un rêve pour le chorégraphe des scènes d'action Yuen Wo Ping : "Travailler avec des gens qui savent se battre nous permet d'être plus dur et d'expérimenter plus. Ces gars savent faire des choses qui dépassent les capacités d'un acteur ordinaire. J'essaie de les stimuler de manière à ce qu'ils demandent encore plus de moi."
Les scènes d'action
En introduisant ces figures internationales dans l'univers du wushu, Le Maître d'armes enrichit encore le contenu de ses scènes d'action. "J'ai voulu montrer des choses que le public n'avait encore jamais vues : le choc d'un large sabre chinois et d'une épée espagnole, l'affrontement d'un artiste chinois et d'un Américain deux fois plus corpulent. Nous avons laissé libre cours à notre imagination et exploré toutes les voies en matière de lutte, d'armes, de styles de wushu. Les connaisseurs apprécieront. Ce film leur est dédié", déclare Jet Li. Ces acteurs entraînés et habitués aux combats permit au réalisateur de filmer en plans longs sans recourir aux gros plans et effets de montage ultracourt destinés à masquer les insuffisances de lutteurs novices. "Nous n'avons usé d'aucun expédient", souligne Yuen Woo Ping. "Tout est exposé au regard du spectateur, et chacun verra que ces combats sont authentiques."
Le décor
Ronny Yu et son équipe ont parcouru des centaines de kilomètres avant de trouver le village de la lointaine province de Zhejiang où s'accomplit la rédemption de Yuanija. Ils ont du ensuite construire une route pour les besoins de la production.
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Runaway jury|Gary Fleder|Thriller||3|américain|2004|123|||XVID|||XVID||640x272|Vorbis||False|48.0 KHz|2|700||||23.976|13/08/2009 00:00:00|Arnon Milchan Gary Fleder Christopher Mankiewicz|Brian Koppelman David Levien|Robert Elswit||UFD||Trois ans après l'assassinat de son mari et de onze de ses collègues sous les balles d'un tueur fou, Celeste Wood espère que soient sanctionnés les fabricants d'armes impliqués dans ce tragique fait divers.
Décidé à gagner ce combat, l'avocat de la plaignante, Wendall Rohr est un homme pétri de principes généreux, un modèle de probité et de courtoisie sudiste. Face à lui, le défenseur des armes Vicksburg est en réalité un pantin entre les mains du "consultant en jury" Rankin Fitch, payé pour assurer sa relaxe. Cet homme de terrain aguerri a déployé des moyens humains et techniques considérables pour s'assurer le contrôle du jury.
Un seul juré a échappé à ses investigations : Nick. Alors même que Fitch commence à s'interroger sur le passé et l'identité de ce dernier, une femme mystérieuse offre de lui "livrer" le jury, clés en main, pour dix millions de dollars... |Gene Hackman (Rankin Fitch)@Dustin Hoffman (Wendall Rohr)@John Cusack (Nick Easter)@Rachel Weisz (Marlee)@Nick Searcy (Doyle)@Jennifer Beals (Vanessa Lembeck)@Bruce Davison (Durwood Cable)@Bruce McGill (le juge Harkin)@Jeremy Piven (Lawrence Green)@Stanley Anderson (Garland Jankle)@Cliff Curtis (Frank Herrera)@Nestor Serrano (Janovich)@Leland Orser (Lamb)@Gerry Bamman (Herman Grimes)@Joanna Going (Celeste Wood)@Bill Nunn (Lonnie Shaver)@||Secrets de tournage :
Adapté d'un roman de John Grisham
Le Maître du jeu est l'adaptation cinématographique du roman homonyme de John Grisham, grand spécialiste du thriller juridique. On lui doit les ouvrages La Firme, L'Affaire Pélican, Le Client, L'Héritage de la haine, Le Droit de tuer ?, L'Idéaliste et The Gingerbread man, tous portés à l'écran.
Arnon Milchan, fondateur de Regency Enterprises et producteur du Maître du jeu, a également produit Le Client et Le Droit de tuer ?. A signaler par ailleurs que Gene Hackman a joué dans La Firme et L'Héritage de la haine.
Koppelman et Levien au scénario
Le scénario a été écrit par Brian Koppelman et David Levien, un duo spécialisé dans le thriller. On leur doit les scripts des Joueurs et de Interview with the assassin ainsi que la mise en scène des Hommes de main.
Acteurs et réalisateur pressentis
Avant d'aboutir dans les mains de Gary Fleder, Le Maître du jeu devait être mis en scène par Mike Newell, qui préféra se consacrer à la réalisation du Sourire de Mona Lisa. Will Smith et Naomi Watts devaient par ailleurs tenir les rôles finalement attribués à John Cusack et Rachel Weisz.
Deux partenaires familiers pour Dustin Hoffman
Dustin Hoffman donne la réplique à deux acteurs qui lui sont familiers : Rachel Weisz, sa partenaire de Confidence, et Gene Hackman, qu'il a côtoyé à la fin des années cinquante durant ses études au Pasadena Playhouse.
Cusack / Piven : dixième !
Pour la dixième fois, John Cusack retrouve à l'écran Jeremy Piven qui fut son colocataire pendant quelques années. Ces derniers ont ainsi été partenaires dans One crazy summer (1986), Un monde pour nous (1989), Elvis stories (id.), Les Arnaqueurs (1990), The Player (1992), Bob Roberts (id.), Floundering (1994), Tueurs à gage (1997) et Un amour à New York (2002).
Lieux de tournage et décors
Alors que le roman de John Grisham se situe à Biloxi, dans le Mississippi, les producteurs choisirent de tourner Le Maître du jeu à la Nouvelle-Orléans, dont ils utilisèrent plus de cinquante décors naturels, principalement dans le Quartier Français. Le chef décorateur Nelson Coates supervisa par ailleurs la construction d'un décor modulaire qui permettait à Gary Fleder de tourner sous les angles les plus variés. Le box du jury et la barre des témoins furent en outre conçus comme des éléments mobiles, montés sur des roulettes.
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The Haunted Mansion|Rob Minkoff|Fantastique||2|américain|2004|88|Anglais||DX50|||DX50|975 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|02/08/2009 00:00:00|Don Hahn Andrew Gunn|David Berenbaum|Remi Adefarasin||Buena Vista Pictures||Agent immobilier accro du boulot, Jim Evers traîne sa famille jusqu'à une grande et glaciale demeure qu'il rêve de transformer en un somptueux immeuble en copropriété. Mais à son arrivée, la famille Evers découvre très vite qu'elle n'est pas seule dans la maison...999 fantômes sinistres et grimaçants se manifestent pour venir faire connaissance ! Et ils ne partiront pas tant qu'ils n'auront pas terminé ce qui les retient dans la maison. C'est à Jim qu'il revient de briser la malédiction - et de redécouvrir que sa famille a besoin de lui - avant que la pendule ne sonne son treizième coup ! |Eddie Murphy (Jim Evers)@Jennifer Tilly (Mrs. Leota)@Terence Stamp (Ramsley)@Heather Juergensen (Mrs. Silverman)@Steve Hytner (Mr. Silverman)@Rachael Harris (Mrs. Coleman)@Jim Doughan (Mr. Coleman)@Aree Davis (Megan)@Marsha Thomason (Sara Evers)@Nathaniel Parker (Mr. Gracey)@||Secrets de tournage :
Rires et frissons
Le producteur Don Hahn décrit ce mélange d'angoisse et d'humour que le spectateur devrait éprouver devant le film : "Nous avons tous déjà ressenti ce délicieux frisson. On est devant un écran de cinéma, dans l'obscurité ; la tension monte, quelque chose va surgir, c'est sûr, on le redoute mais on l'espère. Soudain, cette peur qui vous monte à la gorge se transforme en éclat de rire parce qu'un bon gag à contretemps a remplacé la terreur. Bien sûr, il y a d'autres fois où rien ne vient vous rassurer, et vous hurlez de trouille ! Eh bien voilà, c'est exactement ce que nous voulions créer avec ce film. Et pour cela, quoi de plus redoutable que de confronter Eddie Murphy à la fine fleur des fantômes en tous genres", explique-t-il.
Attraction cinématographique
Le Manoir hanté et les 999 fantômes sort en salles quelques mois après un autre film inspiré d'une attraction-vedette des Parcs Disney, Pirates des Caraïbes, la malédiction du Black Pearl.
Les voix du manoir
Avant de jouer dans Le Manoir hanté et les 999 fantômes, une production Disney, la comédienne Jennifer Tilly avait prêté sa voix au personnage de Célia dans le film d'animation produit par Pixar, Monstres & Cie. On l'entend également dans La Ferme se rebelle, dessin animé Disney qui sort en France en octobre 2004. Quant à Eddie Murphy, il double l'âne Donkey dans Shrek, puis de la suite Shrek 2, qui sort en France en juin 2004.
Hahn hanté par Disney
Le producteur de cette nouvelle production Disney, Don Hahn, a grandi près du parc d'attractions Disneyland, dont il s'est inspiré pour son film : "(...) le manoir hanté était l'une de mes attractions préférées. Je me souviens très bien de l'époque qui a précédé son ouverture. J'ai attendu plusieurs semaines que le sportes de ce monde unique s'ouvrent. Je n'oublierai jamais la première fois ! ", se souvient-il.
Du parc à l'écran
On retrouve dans le film des caractéristiques du Manoir hanté, l'attraction de Disneyland et Eurodisney. "Nous savions dès le départ que certains éléments de l'attraction devaient absolument figurer dans le film, comme un hommage. La salle de bal, le corridor et ses portes vivantes, la salle qui s 'agrandit... On y retrouve plusieurs des personnages du cimetière que l'on connait bien", précise le producteur Don Hahn. Grâce à cette attraction, les concepteurs du Manoir hanté et les 999 fantômes disposaient déjà de pistes de travail, comme le fait remarquer Andrew Gunn, l'autre producteur du film : "Les "Imaginieurs" - les ingénieurs Disney - ne se sont pas contentés de concevoir une attraction, ils ont écrit une histoire de dix pages sur la maison : qui était Monsieur Gracey, qu'est-ce qui s'était passé exactement dans sa maison, etc. Ils ont créé ainsi la base, les fondations du film."
Un manoir mi-virtuel mi-réel
D'un point de vue architectural, le manoir du film s'inspire du style des demeures de la Nouvelle-Orléans, en plus imposant. L'extérieur du château et le cimetière adjacent ont été construits sur un ranch de Californie du Sud. Une demi-maison a été édifiée, sur 12 mètres de haut et 40 mètres de long. Le reste de la maison, un décor de 12 mètres de haut représentant les étages supérieurs, a été créé numériquement en postproduction.
Maquillage
Pour le maquillage, le cinéaste a fait appel à Rick Baker, qui reçut en 1982 le tout premier Oscar des meilleurs maquillages pour Le Loup-garou de Londres. Il a travaillé notamment sur La Guerre des étoiles, Greystoke, la legende de Tarzan, et, tout récemment, Le Cercle - the Ring et Hellboy. Il avait déjà collaboré avec Eddie Murphy pour La Famille Foldingue.
Des souris et des fantômes
Mona May, qui a habillé les fantômes du film, a déjà conçu les costumes de Stuart Little 2, le précédent film de Rob Minkoff qui contait les nouvelles aventures de la célèbre souris.
Des tarentules venues d'Amérique du Sud
L'équipe a fait venir 150 tarentules venues d'Amérique du Sud, mais pour peupler le manoir, des dizaines d'araignées en images de synthèse ont été ajoutées.
Têtes de pierre
Deux des visages des "bustes de pierre chanteurs" du film, ceux de Paul Frees et de Thurl Ravenscroft, ont été inspirés par des membres de l'équipe des "Imaginieurs" Disney.
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My Best Friend's Wedding|P.J. Hogan|Comédie||3|américain|1997|100|Français||DX50|||DX50|861 Kbps|672x288|MPEG-1 Audio layer 3|102 Kbps|False|44.1 KHz|2|701|||Région 2 (Ce DVD ne pourra probablement pas être visualisé en dehors de l'Europe. Plus d'informations sur|25.000|08/08/2009 00:00:00|Ronald Bass Jerry Zucker|Ronald Bass|Laszlo Kovacs||Columbia TriStar Films||Julianne et Michael se sont connus étudiants et ont vécu une liaison amoureuse aussi brève que passionnée. Devant les hésitations de Julianne, ils ont décidé de rompre mais de rester amis. Ils conclurent alors un étrange pacte : si à vingt-huit ans aucun des deux ne trouve l'âme soeur, alors ils s'épousent. Mais voilà que quelques mois avant l'échéance, Michael se fiancie avec Kimberly. Julianne aimerait bien tenter d'empêcher le mariage, si elle ne trouvait pas Kimberly si adorable... |Julia Roberts (Julianne Potter)@Dermot Mulroney (Michael O'Neal)@Cameron Diaz (Kimberly Wallace)@Rupert Everett (George Downes)@Philip Bosco (Walter Wallace)@M. Emmet Walsh (Joe O'Neal)@Rachel Griffiths (Samantha Newhouse)@Carrie Preston (Amanda Newhouse)@Paul Giamatti (Richard, le garçon d'étage)@Susan Sullivan (Isabelle Wallace)@Christopher Masterson (Scott O'Neal)@Harry Shearer (Jonathan P E Rice)@||||||||||||@@
The Chronicles of Narnia : The Lion, the Witch and the Wardrobe|Andrew Adamson|Fantastique|Film pour enfants à partir de 6 ans|2|américain|2005|131|Anglais||XviD|||XVID|610 Kbps|608x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|1|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Mark Johnson|Ann Peacock Andrew Adamson Christopher Markus Stephen McFeely|Donald McAlpine||Buena Vista International|Saga : Le Monde de Narnia |Le Monde de Narnia : chapitre 1 conte la lutte entre le bien et le mal qui oppose le magnifique lion Aslan aux forces des ténèbres dans le monde magique de Narnia. Grâce à ses sombres pouvoirs, la Sorcière Blanche a plongé Narnia dans un hiver qui dure depuis un siècle, mais une prédiction révèle que quatre enfants aideront Aslan à rompre la malédiction. Lorsque Lucy, Susan, Edmund et Peter Pevensie, quatre frères et soeurs, découvrent ce monde enchanté en y pénétrant à travers une armoire, tout est en place pour une bataille de proportions épiques... |Georgie Henley (Lucy)@Skandar Keynes (Edmund)@Anna Popplewell (Susan)@William Moseley (Peter)@Tilda Swinton (Jadis, la Reine Blanche)@Rupert Everett (voix VO du Renard)@James McAvoy (Mr. Tumnus, le faune)@Jim Broadbent (le professeur Kirke)@Ray Winstone (voix VO de Mr Castor)@Dawn French (voix VO de Mme Castor)@James Cosmo (le Père Noël)@Kiran Shah (Ginarrbrik)@Judy McIntosh (Mme Pevensie)@Elizabeth Hawthorne (Mme MacReady)@Patrick Kake (Oreius, le chef des centaures d'Aslan)@Shane Rangi (le Général Otman, chef de l'armée de la Sorcière Blanche)@Liam Neeson (voix VO de Aslan le lion)@||Secrets de tournage :
L'adaptation d'un classique littéraire
Le Monde de Narnia : chapitre 1 - le lion, la sorcière et l'armoire magique est l'adaptation, mêlant prises de vues réelles et images de synthèse, de L'Armoire magique, l'un des sept volets de la célèbre saga littéraire Les Chroniques de Narnia créée par C.S. Lewis. Le long-métrage sera suivi de deux suites, elles aussi adaptées d'épisodes de ladite saga.
C.S. Lewis, l'autre Tolkien
L'auteur des Chroniques de Narnia, l'auteur irlandais Clive Staple Lewis, né à Belfast en 1898, est considéré par beaucoup comme le second J.R.R. Tolkien. Ce n'est d'ailleurs pas un hasard si ce spécialiste des mythes et légendes, professeur à Cambridge et détenteur du prestigieux prix littéraire Carnegie, fut l'un des grands amis de l'auteur du Seigneur des Anneaux. Les deux hommes, qui furent Inklings (membres du cercle littéraire d'Oxford du même nom), eurent très vite le même goût du fantastique et des mondes imaginaires.
Un classique de la littérature
Les Chroniques de Narnia est une série classique de sept livres qui, traduits en 29 langues, se sont vendus à plus de 85 millions d'exemplaires dans le monde. Cette saga, la deuxième série de livres la plus vendue au monde après Harry Potter, a débuté avec la publication de L'Armoire Magique en 1950. Six romans ont suivi au rythme d'un par an au cours des six années suivantes, dont le "prequel", Le Neveu du Magicien, et les suites, Le Cheval et son Cavalier, Le Prince Caspian, L'Odyssée du Passeur d'Aur, Le Fauteuil d'Argent, La Dernière Bataille.
De Shrek à Narnia
Avec Le Monde de Narnia : chapitre 1 - le lion, la sorcière et l'armoire magique, le réalisateur Andrew Adamson aborde pour la première fois les prises de vue réelles, puisqu'il avait auparavant signé Shrek et Shrek 2.
Fan de la première heure
Le réalisateur Andrew Adamson est un grand fan des livre de C.S. Lewis depuis l'enfance. "J'ai lu toute la série quand j'avais quelque chose comme huit ou dix ans", raconte-t-il des étoiles dans les yeux. "C'était exactement comme si j'avais vécu dans ce monde, le monde magique de Narnia, pendant un an. Les histoires de Narnia ont leur univers à elles, et ce sont des classiques dans le plus pur sens du terme. Et cela a développé mon imagination. J'ai pensé que ce serait merveilleux de porter ces livres à l'écran, à commencer par "L'Armoire magique", mais ce qui est intéressant, c'est que lorsque j'ai relu ces livres étant devenu adulte, j'ai été surpris de voir combien il y avait dedans peu de choses sur les détails et les personnages. J'ai réalisé alors que le film était une occasion d'ajouter des détails, de développer les choses à partir du livre original, et j'ai aimé cette possibilité, ce défi."
Diriger des enfants
A l'instar d'Harry Potter, les héros du Monde de Narnia sont des enfants. Le réalisateur Andrew Adamson revient sur cette collaboration : "J'étais un peu intimidé à l'idée de diriger des enfants avant la première répétition, mais j'ai découvert que les enfants vous chargent à bloc et vous communiquent leur énergie ? ils en ont tant ! Les diriger s'apparente parfois à un défi, mais nous avons la chance d'avoir des enfants exceptionnels et j'adore travailler avec eux. Je me lance dans une scène avec eux et ils me renvoient ce que je leur donne, et même plus. Et ça, c'est merveilleux."
Le beau-fils de Lewis à la production
L'un des producteurs du long-métrage, Douglas Gresham, n'est autre que le beau-fils de C.S. Lewis, le créateur des Chroniques de Narnia.
Des créatures à foison
Il y a énormément d'espèces différentes de créatures dans Le Monde de Narnia. "C'est le plus grand nombre de créatures jamais réalisées pour un film", explique Howard Berger, créateur des maquillages du film. "Il y en a même plus que dans Le Seigneur des anneaux ! Dans Le Seigneur des anneaux, il y avait deux espèces principales, les Orcs et les Goblins. Dans Le Monde de Narnia, il y a 23 espèces différentes !"
Un tournage au long cours
Le Monde de Narnia : chapitre 1 - le lion, la sorcière et l'armoire magique a été tourné dans les deux îles néo-zélandaises, celle du Nord et celle du Sud, sur une période de cinq mois. Après presque quatre mois de travail en studio à Auckland, l'équipe s'installe dans les superbes lieux choisis à Queenstown, Oamaru et dans la région de Christchurch dans l'île sud, avant de s'établir à Londres et en République Tchèque pour les prises de vues additionnelles. Le tournage s'achève en janvier 2005 avant qu'Andrew Adamson n'entame le processus de postproduction d'un an conduisant à la sortie mondiale du film en décembre 2005.
L'ombre de Michelle Pfeifer
L'actrice Michelle Pfeiffer fut initialement pressentie pour jouer le rôle de la Sorcière, finalement dévolu à Tilda Swinton. L'actrice dut refuser pour cause d'obligations familiales.
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Les contributeursCe film a reçu 14 contributions, pour les secrets de tournage, de: Miamsolo
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Publication du roman
Le Lion, La Sorcière Blanche et L'Armoire Magique, le roman, a été publié pour la première fois en 1950.
45 minutes
Shane Rangi, qui incarne Otmin le Minotaure, avait besoin de 45 minutes pour pouvoir enfiler son costume.
Aslan
Deux ans de travail et 700 plans d'effets visuels ont été nécessaires à la création d'Aslan, le lion.
Effet de surprise
Andrew Adamson, le réalisateur du film, a insisté à ce que George Henley (Lucy Pevensie) ne sache pas à quoi ressemblait Monsieur Tumnus, le faune, avant d'avoir tourné avec lui. La réaction de la petite George est donc complètement authentique lorsqu'elle rencontre le faune pour la première fois.
20000 figurants
Le nombre de figurants qui ont participé à la scène de bataille finale est de 20000.
Budget
Le budget du film est de 150 millions de dollars.
Un costume bien lourd!
Le poids du costume d'Otmin le Minotaure s'élevait à 27 kilogrammes.
Combien de maquilleurs?
100 maquilleurs ont travaillé sur le film.
Durée du tournage
Le tournage a duré 150 jours.
1000 personnes pour les effets spéciaux
Au total, 1000 personnes ont travaillé sur les effets spéciaux du film.
« Préc.
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The Chronicles of Narnia: Prince Caspian|Andrew Adamson|Fantastique|Film pour enfants à partir de 6 ans|3|britannique, américain|2008|105|Anglais||XviD|||XVID|793 Kbps|608x368|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Andrew Adamson Mark Johnson Philip Steuer Perry Moore|Andrew Adamson Christopher Markus Steve McFeeley|Karl Walter Lindenlaub||Walt Disney Pictures|Saga : Le Monde de Narnia |Un an après les incroyables événements du Monde de Narnia - Chapitre 1, les nouveaux rois et reines de Narnia sont de retour dans ce royaume magique. Mais à Narnia, plus de 1000 années se sont écoulées. L'Age d'Or du royaume est depuis longtemps révolu, et ce n'est plus maintenant qu'une légende. Les animaux parlants et les créatures mythiques ont disparu, ils ne sont plus évoqués que comme les héros d'un folklore que l'on perpétue chez les Telmarins, une race d'humains dirigée par le maléfique roi Miraz, qui règne sans pitié sur Narnia. Même si l'on se souvient encore du nom d'Aslan dans la forêt, le puissant lion n'est pas revenu depuis un millier d'années.Les quatre enfants ont été rappelés à Narnia par le Prince Caspian, le jeune héritier du trône des Telmarins. Sa vie est en danger : son oncle Miraz cherche à l'éliminer afin que son propre fils nouveau-né puisse monter sur le trône à sa place. Avec l'aide du gentil Nain rouge, d'une courageuse souris parlante nommée Ripitchip, et du Nain noir aigri et revêche Nikabrik, les Narniens, menés par les puissants rois Peter et Caspian, s'engagent dans une formidable quête à la recherche d'Aslan, afin de sauver Narnia de la tyrannie de Miraz et de rendre sa gloire et sa magie au royaume.... |Georgie Henley (Lucie Pevensie)@Skandar Keynes (Edmund Pevensie)@Anna Popplewell (Susan Pevensie)@William Moseley (Peter Pevensie)@Ben Barnes (Prince Caspian)@Sergio Castellitto (Le Roi Miraz)@Alicia Borrachero (la reine Prunaprismia)@Peter Dinklage (Trompillon)@Warwick Davis (Nikabrik)@Vincent Grass (le Docteur Cornelius)@Shane Rangi (Asterius)@Pierfrancesco Favino (le Général Glozelle)@Liam Neeson (le lion Aslan (voix))@Ken Stott (Chasseur-de-Truffes (voix))@Tilda Swinton (Jadis, la Reine Blanche)@Eddie Izzard (Reepicheep (voix))@Cornell John (Glenstorm)@David Bowles (Lord Gregoire)@Predrag Bjelac (Lord Donnon)@Damian Alcazar (Lord Sopespian)@Simon Andreu (Lord Scythley)@Klára Issová (Hag)@Jirí Krytinár (un nain)@Lejla Abbasová (Windman)@Yemi Akinyemi (Ironhoof)@||Secrets de tournage :
Success Story
La saga de Narnia a été publiée entre 1950 et 1956 et c'est la deuxième série de livres la plus vendue dans le monde. Editée à près de 100 millions d'exemplaires et en 35 langues, la saga de C.S. Lewis est considérée comme l'un des classiques les plus imaginatifs de la littérature. En outre, le premier film a rapporté plus de 745 millions de dollars dans le monde et ce sont près de 100 millions de billets qui ont été vendus, dont 5.6 en France.
Une histoire qui évolue
Andrew Adamson, le réalisateur, a fait évoluer les personnages et le monde du film : "La grande force de ce film est de prolonger l'univers d"jà découvert, de le révéler sous un autre angle, et d'y ajouter une puissance émotionnelle inédite. Les Pevensie voudraient pourtant retrouver le monde qu'ils ont connu dans le premier chapitre, mais Narnia a changé et ils devrontt l'accepter. Je pense qu'avec ce roman, C.S. Lewis voulait parler de la transition entre l'enfance et l'âge adulte et du fait qu'il faut savoir abandonner certaines choses pour grandir".
Le Prince Caspian
C'est Andrew Adamson qui l'avoue : trouver l'interprète du Prince Caspian ne fut pas une mince affaire. "Le casting a été très long. Nous avons cherché en Argentine, en Italie, en France, en Espagne et en Angleterre. C'était un rôle difficile à distribuer parce que je voulais une personne capable de s'intégrer facilement à notre petite famille d'acteurs". Et Ben Barnes (découvert dans Stardust) s'est imposé de lui même lors des entretiens.
Nom de code : opération "Toastie"
Afin d'éviter d'éventuelles fuites de la part d'indélicats, la préparation et le tournage du film ont longtemps été nommés sous le nom de code "Toastie", que l'on pourrait approximativement traduire par "toasté dans un grille pain".
Plus de décors naturels
Le premier volet des aventures de Narnia comptait 60 à 70% d'images réalisées en studio. Pour ce second volume, les proportions sont inversées, puisque il y a beaucoup plus de prises de vues réelles. Le tournage s'est donc étendu sur sept mois, de la Nouvelle-Zélande à la Slovénie, en passant par la Pologne et la République Tchèque.
Parce qu'ils le valent bien...
Les 130 figurants qui interprètent les créatures ont nécessité chaque jour plusieurs heures de maquillage. Howard Berger, le maquilleur (oscarisé pour son travail sur le premier film), a travaillé avec une équipe de 50 personnes et a supervisé 4600 sessions de maquillage tout le long du tournage. A lui seul, l'acteur Warwick Davis passait chaque jour 3 heures et demie au maquillage pour se faire poser les prothèses faciales qui le transformaient en Nikabrik, le nain noir.
Un nombre de costumes inimaginable
C'est Isis Mussenden (Shrek, Shrek 2) qui a supervisé la création des costumes du film, et notamment ceux des Telmarins (l'armée de Miraz) pour lesquels elle s'est inspirée des oeuvres du peintre Le Greco. Les principaux acteurs et actrices ont nécessité pas moins de 1042 éléments de costumes différents, le plus souvent confectionnés à la main.
Warwick Davis déjà vu dans Narnia
L'acteur Warwick Davis (Nikabrik) a interprété pour la BBC les rôles de Reepicheep et Glimfeather dans les téléfilms "Prince Caspian and the Voyage of the Dawn Treader" (1989) et "The Silver Chair" (1990). Ce n'est donc pas son premier voyage dans le monde de Narnia.
En rase campagne
La scène finale du film, que l'on ne dévoilera évidemment pas, a été tournée à près de deux heures de route de la ville de Prague, en rase campagne, dans une clairière et un pré. Lors des repérages, la production loua des terres auprès d'un agriculteur, qui servaient en temps normal à faire paître ses moutons...Pour l'anecdote, elle lui demanda de laisser l'herbe pousser pendant plus de six mois. Par ailleurs, le terrain étant peu facile d'accès car situé en plein dans les bois, l'équipe du film a dû construire une route menant jusqu'à une grande clairière de plusieurs hectares, où elle devait emménager le temps de tourner les scènes.
Le roi Miraz en son château
Selon le créateur des décors Roger Ford, cité en 1995 à l'Oscar des meilleurs décors pour son travail sur Babe, le cochon devenu berger, le château du cruel roi Miraz (incarné par Sergio Castellitto) est fortement inspiré du célèbre château de Pierrefonds, situé en Picardie entre Compiègne et Soissons. Il fut construit au XIV-XVe siècle, aux alentours de 1395, pour s'achever en 1406. Dans le film, le château possède d'inquiétantes gargouilles et des aigles, "dont l'aspect s'inspire fortement du style fasciste des années 30" explique Roger Ford. De même, on y trouve aussi des sculptures de Lions; un clin d'oeil à l'animal qui personnifiait la Grande-Bretagne dans les diverses illustrations depuis le début du XXe siècle et jusqu'à la fin de la Seconde guerre Mondiale (pour rappel, la France était incarnée par un Coq, tandis que l'Allemagne était symbolisée par un aigle). Il a fallu 15 semaines de travail à une équipe de 200 personnes pour le construire.
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Finding Nemo|Andrew Stanton Lee Unkrich|Animation||3|américain|2003|92|Anglais||XviD|||XVID|857 Kbps|576x320|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|639||||24.000|28/07/2009 00:00:00|John Lasseter|Andrew Stanton Bob Peterson David Reynolds|Sharon Calahan||Buena Vista Pictures||Dans les eaux tropicales de la Grande Barrière de corail, un poisson-clown du nom de Marin mène une existence paisible avec son fils unique, Nemo. Redoutant l'océan et ses risques imprévisibles, il fait de son mieux pour protéger son fils. Comme tous les petits poissons de son âge, celui-ci rêve pourtant d'explorer les mystérieux récifs.Lorsque Nemo disparaît, Marin devient malgré lui le héros d'une quête unique et palpitante. Le pauvre papa ignore que son rejeton à écailles a été emmené jusque dans l'aquarium d'un dentiste. Marin ne s'engagera pas seul dans l'aventure : la jolie Dory, un poisson-chirurgien bleu à la mémoire défaillante et au grand coeur, va se révéler d'une aide précieuse. Les deux poissons vont affronter d'innombrables dangers, mais l'optimisme de Dory va pousser Marin à surmonter toutes ses peurs. |Samy Naceri (Crush, la tortue verte (voix française))@David Ginola (Jacques la crevette (voix française))@Kevin Sommier (Nemo le poisson-clown (voix française) )@Edmond van Duren (Dory le poisson chirurgien bleu (voix française))@Dominique Collignon Maurin (Gill l'idole maure (voix française))@Guy Chapelier (Nigel (voix française))@Med Hondo (Boule (voix française))@Nicolas Marié (Bubbles (voix française))@Virginie Mery (Deb & Flo (voix française))@Danielle Douet (Corail (voix française))@Emmanuel Jacomy (Monsieur Raie (voix française))@Patrick Prejean (le dentiste (voix française))@Claire Bouanich (Perle (voix française))@Georges Caudron (Gargouille (voix française))@Camille Tissier (Darla (voix française))@Gwénael Sommier (Titouan (voix française))@Maxime Nivet (Hippo (voix française))@Richard Darbois (Bruce (voix française))@Franck Dubosc (Marin (voix française))@||Secrets de tournage :
Un raz de marée au box-office
Sorti sur les écrans américains le 1er juin 2003, Le Monde de Nemo a engrangé plus de 70 millions de dollars de recettes dès son premier week-end d'exploitation et fait tomber quelques semaines plus tard, un record vieux de presque dix ans et détenu par Le Roi lion, devenant avec plus de 330 millions de dollars le plus grand succès de tous les temps pour un film d'animation.
Nemo contre Neo
Malgré un meilleur démarrage en salles, Matrix reloaded a finalement été dépassé sur la longueur par Le Monde de Nemo qui devient ainsi le plus grand succès de l'année 2003, rentrant par la même occasion dans le club très fermé des dix plus grands succès du box-office américain de tous les temps, juste devant Forrest Gump, au coude à coude avec Le Seigneur des anneaux : les deux tours, et derrière Titanic, La Guerre des étoiles, E.T. l'extraterrestre, Spider-Man et Jurassic Park.
Le monde de Pixar
Après avoir touché au monde des jouets pour Toy Story et Toy Story 2, à l'infiniment petit pour 1001 Pattes et à l'imaginaire des rêves enfantins pour Monstres & Cie, les studios Pixar se sont tournés, avec Le Monde de Nemo vers l'univers sous-marin, où de l'aveu même de John Lasseter, producteur exécutif du film, "jamais l'art de l'animation par ordinateur n'avait été aussi adapté pour raconter ce genre d'histoire".
Une idée qui fait des vagues
Fasciné par l'univers sous-marin et sa richesse visuelle, Andrew Stanton a cherché longtemps comment l'exploiter artististiquement jusqu'à ce que des retrouvailles avec son jeune fils, après de longues séances de travail, servent d'élément déclencheur pour l'écriture du scénario. Pour convaincre John Lasseter que Le Monde de Nemo pouvait être le nouveau projet des studios Pixar, Stanton lui prépara une salle pleine à craquer d'éléments de développement visuel et en fit une présentation complète de plus d'une heure, au terme de laquelle Lasseter lui répondit simplement qu'il avait été convaincu dès que le mot "poisson" avait été prononcé.
Les "courants" d'inspiration
Si Pixar avait jusqu'à présent donné naissance à des jouets, des insectes et des monstres, créer des poissons s'est révélé plus difficile encore. Dans leur démarche de création, les réalisateurs se sont tour à tour inspirés de visites d'aquariums et de conférences données par un ichtyologiste, spécialiste dans l'étude des poissons. N'hésitant pas à effectuer des plongées à Monterey et Hawaï, les cinéastes ont également installé leur propre aquarium chez Pixar, tout en allant chercher l'inspiration dans quelques scènes sous-marines extraites de grands classiques de chez Disney comme Merlin l'enchanteur, La Petite Sirène et ... Bambi, qui par l'attention portée aux mouvements et à l'expressivité des animaux est finalement devenue la référence principale pour créer Le Monde de Nemo.
Il faut trouver la voix
Comme à l'accoutumée, les studios Pixar ont privilégié pour Le Monde de Nemo l'humour et la fantaisie, qui sont notamment perceptibles dans les doublages des personnages. En version originale, ceux-ci ont été réalisés par les comédiens Albert Brooks, Willem Dafoe et Geoffrey Rush entre autres. En France, c'est Franck Dubosc qui prête sa voix à Marin, le père de Nemo, tandis que Kevin Sommier donne la sienne au jeune et intrépide petit poisson. Samy Naceri assure quant à lui le doublage de Crush, une tortue verte plutôt cool.
Des Monty Python à Wallace et Gromit
Dans Le Monde de Nemo, le réalisateur Andrew Stanton s'est amusé à truffer son film de références aux Monty Python ainsi qu'aux Studios Aardman, dont il est un fervent admirateur. Il a ainsi donné à un krill (un crustacé) une réplique fameuse tout droit extraite de Monty Python, sacré Graal et aux mouettes une allure qui les apparentent aux pingouins de Wallace et Gromit.
En souvenir de Spielberg
En 1975, les spectateurs du monde entier font un triomphe au nouveau film de Steven Spielberg, Les Dents de la mer, pour lequel le concepteur de la pieuvre géante de 20.000 lieues sous les mers a conçu trois requins mesurant plus de huit mètres de long et pesant chacun une tonne et demi appelés "Bruce". C'est en hommage à ces faux squales de légende, que les créateurs du Monde de Nemo ont baptisé le grand requin blanc qui croise la route de Marin, le père de Nemo.
Clins d'oeil maison, sans toucher le fond
Une figurine de Buzz l'éclair, héros de Toy Story, étendue sur le sol du cabinet du dentiste ou celle de Boo, issue de Monstres & Cie suspendue dans ce même cabinet, tels sont les quelques clins d'oeil à leurs anciennes créations que les créateurs de Pixar se sont amusés à insérer dans Le Monde de Nemo.
Du côté de la B.Eau.
La Bande Originale du Film Le Monde de Nemo est l'oeuvre de Thomas Newman, qui succède à Randy Newman pour l'illustration musicale d'un film Pixar. Le compositeur qui a débuté aux côtés de John Williams s'était notamment distingué pour ses partitions des films de Sam Mendes, American beauty et Les Sentiers de la perdition. La chanson du générique, Beyond the Sea, interprétée pour l'occasion par Robbie Williams est la variation anglo-saxonne de La Mer de Charles Trénet.
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Le Moustachu|Dominique Chaussois|Comédie||3|français|1987|86|Français||XviD|||XVID|1 023 Kbps|720x576|MPEG-2 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|22.05 KHz|2|694||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Paul Claudon Marie-Christine de Montbrial|Dominique Chaussois|Claude Agostini||||Un homme répondant au nom de Duroc est l'objet d'une vaste manipulation au centre d'un conflit opposant les services secrets et un groupe terroriste. |Jean Rochefort (Duroc)@Grace De Capitani (La fille)@Jean-Claude Brialy (Leroy)@Jean-Louis Trintignant (Le général)@Jean-Claude Leguay (Le jeune homme)@Maxime Leroux (Staub)@Jacques Mathou (Sully)@Marie Mergey (La dame)@||||||||||||@@
The New World|Terrence Malick|Aventure||2|américain|2006|132|Anglais||XviD|||XVID|630 Kbps|640x256|MPEG-1 Audio layer 3|96.4 Kbps|False|44.1 KHz|2|699||||23.976|06/08/2009 00:00:00|Terrence Malick Sarah Green|Terrence Malick|Emmanuel Lubezki||New Line Cinema||En avril 1607, trois bateaux anglais accostent sur la côte orientale du continent nord-américain. Au nom de la Virginia Company, ils viennent établir "Jamestown", un avant-poste économique, religieux et culturel sur ce qu'ils considèrent comme le Nouveau Monde.Même s'ils ne s'en rendent pas compte, le capitaine Newport et ses colons britanniques débarquent au coeur d'un empire indien très sophistiqué dirigé par le puissant chef Powhatan. John Smith, un officier de l'armée, est alors aux fers pour insubordination.Déstabilisés, les Anglais préfèrent combattre plutôt que de s'adapter.En cherchant de l'aide auprès des Indiens, John Smith découvre une jeune femme fascinante. Volontaire et impétueuse, elle se nommée Pocahontas, ce qui signifie "l'espiègle". Très vite, un lien se crée entre elle et Smith. Un lien si puissant qu'il transcende l'amitié ou même l'amour... |Colin Farrell (John Smith)@Christian Bale (John Rolfe)@Q'orianka Kilcher (Pocahontas)@Noah Taylor (Selway)@August Schellenberg (Powhatan)@Wes Studi (Opechancanough)@Ben Chaplin (Jehu Robinson)@Christopher Plummer (Capitaine Christopher Newport)@Arturo Tointigh Adrian (guide)@Jason Aaron Baca (Parker)@Greg Cooper (homme du bateau)@Colin Cox (marin anglais)@Martin Nigel Davey (gentleman londonien)@John Ghaly (soldat anglais)@Jamie Harris (Emery)@David Thewlis (Capitaine Edward Wingfield)@Raoul Trujillo (Tomocomo)@Jeremy Wade (Jeremy)@Will Wallace (William Sentry)@Joe Inscoe (Ackley)@Tayla Kean (Samuel le mousse)@Eddie Marsan (Edward)@Henry Jaderlund (guerrier)@Alex Meraz (un guerrier)@||Secrets de tournage :
Sur les traces des colons
Le film a été tourné en Virginie, le lieu exact qui a accueilli à l'époque le fort de Jamestown que l'on voit dans le film, quasiment à l'endroit où se sont déroulés les évènements décrits dans Le Nouveau Monde.
Fidèle au poste
Il s'agit de la quatrième collaboration de Terrence Malick avec Jack Fisk, qui fut le chef-décorateur de ses trois films précédents. Pour ceprojet, le décorateur dut notamment reconstruire le Fort James, dans une taille cependant 25% plus petite que l'original.
Des costumes à foison
Le département costumes a créé 500 tenues avec une équipe qui ne comptait que 15 personnes.
Lumière naturelle
Le chef-opérateur Emmanuel Lubezki, nominé à l'Oscar pour ce film, a respecté la décision du réalisateur de tourner au maximum en lumière naturelle, sans aucune source artificielle.
Le nouveau John
L'acteur Colin Farrell avait 28 ans au moment du tournage, l'âge exact de son personnage John Smith lorsqu'il a débarqué en Amérique du Nord.
La perle rare
Q'orianka Kilcher, 15 ans, incarne le rôle principal de ce film. La vraie Pocahontas avait probablement entre 12 et 15 ans, âge adulte pour les Indiens de l'époque. La production a mis plusieurs mois avant de trouver l'interprète idéale de Pocahontas, à l'issue de castings lancés à travers les Etast-Unis, le Canada puis l'Europe. La jeune comédienne Q'orianka Kilcher, née d'un père péruvien, sait chanter, danser et jouer de la musique.
De longue haleine
Si la firme Disney a récemment remis la légende de Pocahontas au goût du jour, Terrence Malick a eu l'idée du Nouveau Monde dans les années 70 et a commencé à en écrire le scénario il y a vingt-cinq ans.
Vous prendrez bien un peu d'histoire?
Les premiers immigrants anglais, sur la côte est, furent des aventuriers ou commerçants mandatés par le roi, ainsi que des repris de justice condamnés à l'exil; car le territoire n'avait rien d'un eldorado. Les rigueurs du climat et les tensions avec les Indiens y rendaient la vie très dure. On ne compte pas les expéditions décimées ni les campements disparus en un hiver. En 1603, lors de son accession au trône d'Angleterre, James Stuart (Jacques 1er) entend bien asseoir sa position grâce à la religion anglicane. Les persécutions contre les catholiques et les puritains commencent, et ces derniers, en quête de vie plus conforme à leur croyance, émigrent en masse vers le "Nouveau Monde", constituant le coeur des futures colonies. C'est dans ce contexte que John Smith , en avril 1607, à bord du Susan Constant, arrive dans un territoire qui deviendrait plus tard l'état de Virginie.
John Smith, pionnier du Nouveau Monde
Aventurier aguerri, soldat dans plusieurs guerres, capturé en Transylvanie et vendu comme esclave aux Turcs avant qu'il ne réussisse à s'échapper à travers la Russie et la Pologne, John Smith fut enrôlé par la Virginia Company dans un plan de colonisation de la Virginie. Il avait 28 ans et Pocahontas, 11 ou 12 lors de leur rencontre en 1607. Il raconte avoir été "capturé" par une tribu Algonquin à son arrivée à Jamestown. Sur le point d'être battu à mort (en fait, lors d'un rite cérémonial), il aurait été sauvé par une petite fille... Pocahontas. Les deux devinrent amis, et ambassadeurs de leurs camps respectifs, aidant à cultiver une entente cordiale. Mais la situation entre Anglais et Indiens finit par se déteriorer, les visites de Pocahontas se firent plus rares, et en octobre 1609, John Smith fut gravement bléssé dans l'explosion d'un baril de poudre, qui l'obligea à retourner en Angleterre pour se faire soigner. Après un autre aller-retour au nouveau monde, vers la région du Maine, il fut jugé par la Couronne anglaise trop impétueux pour continuer ses voyages, il passa le reste de sa vie à écrire sur ses expériences passées, avant de mourir en 1631, à 51 ans.
Pocahontas, un destin tragique
John Smith décrit Pocahontas, fille de Powhatan, chef indien, comme une jeune fille joyeuse et vivace, qui avait l'habitude de déambuler nue, et n'hésitait pas à jouer à faire la roue avec les garçons. Elle venait souvent au camp anglais converser avec Smith. A ce que l'on sait, Pocahontas épousa un Indien en 1610, tout en continuant à entretenir des relations fructueuses avec le camp de Jamestown. Ce qui ne l'empêcha pas de se faire capturer par un capitaine anglais avide de rançon. Elle fut emmenée dans le camp d'Henrico, où elle commenca son éducation chrétienne et rencontra celui qui allait devenir son second époux, John Rolfe. Il se marièrent en 1614 après le baptème de Pocahontas, rebaptisée Rebecca. Elle avait 19 ans. Ils s'embarquèrent tout deux sur une expédition en Angleterre destinée à recolter des fonds supplémentaires de la Virginia Company, et impressionner la famille royale avec des récits du Nouveau Monde. Pocahontas retrouva John Smith, qu'elle croyait mort. D'après Smith, elle s'adressa à lui comme à un père, très émue, et regretta qu'il refuse de retourner en Virginie. Touchée par une pneumonie ou la tuberculose, elle eut le temps de donner naissance à un enfant, mais ne survécut pas au voyage du retour. Elle fut enterrée en Angleterre.
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Le Pari|Didier Bourdon Bernard Campan|Comédie||3|français|1997|93|Français||DIVX|||DIVX|969 Kbps|720x416|WMA2|64.1 Kbps|False|44.1 KHz|2|698||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Claude Berri|Didier Bourdon Bernard Campan|Manuel Teran||A.M.L.F||Bernard est professeur dans une banlieue et vit avec Victoria. Didier est un riche pharmacien du XIXe arrondissement de Paris, marié à Murielle, la soeur de Victoria. Tout oppose les deux beaux-freres et ils se détestent. Lors d'un repas chez les parents de leurs femmes respectives, ils font le pari d'arrêter de fumer pendant quinze jours, c'est-à-dire jusqu'à la prochaine réunion de famille. |Didier Bourdon (Didier)@Bernard Campan (Bernard)@Roger Ibanez (Vicente Ramirez)@Hélène Surgère (Madame Ramirez)@Isabelle Ferron (Murielle)@Isabel Otéro (Victoria)@Pascal Légitimus (un invité à la soirée (scène coupée))@Kelly Lawson (Elodie)@Régis Laspalès (Gilbert)@Martine Lang (Madeleine Bricourt)@François Berléand (Docteur Bricourt)@Marie Laurence (Mme de Luynes)@François Du Merle (Hobo)@Philippe Chevalier (l'animateur de groupe)@Jean-Roger Milo (le policier)@Christian Barbier (le présentateur à la télévision)@Nicole Jamet (la femme médecin)@||||||||||||@@
The Godfather|Francis Ford Coppola|Policier|Interdit aux moins de 12 ans|4|américain|1972|168|Anglais||DX50|||DX50|506 Kbps|720x400|MPEG-1 Audio layer 3|64.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Albert S. Ruddy|Francis Ford Coppola Mario Puzo Robert Towne|Gordon Willis||Paramount Pictures|Saga : Le Parrain |En 1945, à New York, les Corleone sont une des cinq familles de la mafia. Don Vito Corleone, "parrain" de cette famille, marie sa fille à un bookmaker. Sollozzo, " parrain " de la famille Tattaglia, propose à Don Vito une association dans le trafic de drogue, mais celui-ci refuse. Sonny, un de ses fils, y est quant à lui favorable.Afin de traiter avec Sonny, Sollozzo tente de faire tuer Don Vito, mais celui-ci en réchappe. Michael, le frère cadet de Sonny, recherche alors les commanditaires de l'attentat et tue Sollozzo et le chef de la police, en représailles.Michael part alors en Sicile, où il épouse Apollonia, mais celle-ci est assassinée à sa place. De retour à New York, Michael épouse Kay Adams et se prépare à devenir le successeur de son père... |Marlon Brando (Don Vito Corleone)@Al Pacino (Michael Corleone)@James Caan (Santino "Sonny" Corleone)@Robert Duvall (Tom Hagen)@Sterling Hayden (Capitaine de police McCluskey)@Richard Castellano (Peter Clemenza)@John Cazale (Fredo Corleone)@Diane Keaton (Kay Adams / Mrs Michael Corleone)@Al Lettieri (Virgil Sollozzo)@Talia Shire (Constanzia )@Richard Conte (Don Emilio Barzini)@Abe Vigoda (Salvadore "Sally" Tessio)@Gianni Russo (Carlo Rizzi)@Rudy Bond (Carmine Cuneo)@Al Martino (Johnny Fontane)@John Marley (Jack Woltz)@Morgana King (Mama Corleone)@Lenny Montana (Luca Brasi)@Salvatore Corsitto (Amerigo Bonasera)@John Martino (Paulie Gatto)@Richard Bright (Al Neri)@Alex Rocco (Moe Greene)@Tony Giorgio (Bruno Tattaglia)@Vito Scotti (Nazorine)@Tere Livrano (Theresa Hagen)@Victor Rendina (Philip Tattaglia)@Jeannie Linero (Lucy Mancini)@Julie Gregg (Sandra Corleone)@Ardell Sheridan (Mrs. Clemenza)@Franco Citti (Cola)@Simonetta Stefanelli (Apollonia Vitelli-Corleone)@Carmine Coppola (La joueuse de piano)@Gian-Carlo Coppola (Un spectateur au baptême)@Angelo Infanti (Fabrizio)@Saro Urzi (Vitelli)@Sofia Coppola (L'enfant baptisé)@Louis Guss (Don Zaluchi)@Tony Lip (Un invité du mariage)@Nick Vallelonga (Un invité du mariage)@Lou Martini Jr (Un invité du mariage)@Tom Rosqui (Rocco Lampone)@Joe Spinell (Willie Cicci )@Ron Gilbert@Randy Jurgensen@Sal Richards@Frank Sivero@||Secrets de tournage :
Le Parrain vu par Coppola
"J'ai toujours pensé Le Parrain comme l'histoire d'un roi et de ses trois fils. Le plus âgé a reçu la passion et l'agressivité, le deuxième, sa douceur et ses gestes enfantins ; et le troisième, sa ruse et son calme."
"C'était dans mon intention de faire un film authentique sur des gangsters italiens, sur comment ils vivaient, comment ils se comportaient, la façon dont ils traitaient leurs familles, célébraient leurs rituels."
Le début de la saga
Le Parrain sera suivi de deux suites, en 1974 (Le Parrain, 2ème partie) et 1990 (Le Parrain, 3e partie).
Un projet délicat
Le roman de Mario Puzo, Le Parrain, était déjà en 1970 un best-seller. La mise en chantier du film a entraîné de nombreuses protestations, par la ligue italo-américaine des droits civils et par de nombreuses personnalités politiques ; tentatives d'intimidation et menaces de bombes sont devenues alors courantes. Des négociations ont alors été engagées avec les protagonistes et un terrain d'entente a été trouvé. Le projet a d'abord été proposé à Sergio Leone, qui l'a refusé, afin d'écrire lui-même son propre film de gangsters, qui verra le jour sous le nom d'Il etait une fois en Amerique (1984) ; d'autres cinéastes ont été pressentis, comme Arthur Penn, Peter Yates ou Costa-Gavras. Francis Ford Coppola et Puzo, les scénaristes, ont décidé dès le départ de ne pas employer les mots de " mafia " et " cosa nostra " dans le film.
Le casting
Le producteur Albert S. Ruddy et Francis Ford Coppola ont décidé d'orienter leur casting vers des acteurs au look " authentique ", tels que James Caan ou Talia Shire. Ruddy et Coppola ont par contre tenu à imposer Marlon Brando dans le rôle de Don Vito Corleone, après avoir envisagé Laurence Olivier, et malgré les réticences de la Paramount : en fait, pour la première fois, l'acteur a accepté de faire des essais, grimé comme pour son rôle dans le film, notamment avec du coton dans les joues, afin de paraître " comme un Bulldog ", selon ses propres dires.
Le choix du personnage de Michael Corleone a été plus difficile : de nombreuses stars ont été envisagées, telles que Warren Beatty, Jack Nicholson, Dustin Hoffman, Robert Redford ou encore Ryan O'Neal avant que le rôle ne revienne à Al Pacino, acteur de théâtre jusqu'alors inconnu.
Sortie en salles et DVD
Le Parrain a été le premier film à dépasser la barre des 100 millions de dollars au box-office américain, totalisant 133 millions $, devenant ainsi un des rares films à plaire simultanément au public et à la critique.
En 1997, pour les 25 ans du film, une ressortie a été programmée dans une vingtaine de salles mais beaucoup se sont plaints du fait que Paramount n'aie pas apporté de soins de restauration à la pellicule.
En 2001 sort une édition spéciale en dvd de la trilogie, particulièrement soignée par le réalisateur, qui comprend 5 disques, dont un de bonus, mais surtout deux pour Le Parrain, 2ème partie, Coppola ayant tenu à ce que ses films soient présentés avec des qualités techniques irréprochables.
Preminger, parrain d'un jour
Le cinéaste Otto Preminger révèle dans ses mémoires qu'il avait été pressenti pour réaliser Le Parrain. Il avait alors songé pour le casting à Frank Sinatra, qu'il avaut déjà fait tourner dans L'Homme au bras d'or en 1955 (un rôle qu'il avait failli confier à... Brando). Preminger raconte : Le Parrain... "Vingt ans après [L'Homme au bras d'or], La Paramount me demanda de réaliser The Godfather. Je pensai alors à Sinatra pour ce rôle et lui fis parvenir le livre. Je proposai même de supprimer le personnage du chanteur que l'on aurait pu croire écrit pour lui. Mais Sinatra ne voulait pas faire le film. Et je n'avais pas envie de le faire sans lui. Ce fut donc le casting à rebours de L'Homme au bras d'or. Cette fois, Brando prenait le rôle..."
Nominations et Oscars
Nommé pour les Oscars : meilleur second rôle (James Caan, Robert Duvall, Al Pacino) ; costumes, réalisateur (Francis Ford Coppola), montage, musique et son. Vainqueur dans la catégorie acteur (Marlon Brando), film, scénario (Francis Ford Coppola et Mario Puzo).
Nommé pour les Golden Globes : acteur (Al Pacino), second rôle (James Caan). Vainqueur dans les catégories de meilleur réalisateur (Francis Ford Coppola), film dramatique, acteur (Marlon Brando), musique (Nino Rota) et scénario (Francis Ford Coppola, Mario Puzo).
Avec l'aide de Robert Towne
Le cinéaste et son scénariste se sont faits aider, pour la scène du patio entre Michael et Vito, par Robert Towne, non crédité au générique, et à qui l'on doit notamment les scénarios de Chinatown (1974) ou encore Mission: impossible (1996).
Le bébé du cinéma
Sofia Coppola, la fille du réalisateur Francis Ford Coppola, fait ses "premiers pas" à l'écran alors qu'elle n'est qu'un bébé. Elle incarne dans Le Parrain le neveu de Michael Corleone dans la scène du baptême.
Collaboration Al Pacino / John Cazale
Grands amis à la ville, Al Pacino et John Cazale se donnèrent à trois reprises la réplique à l'écran. Frères dans les deux premiers volets du Parrain, ils braquent ensemble une banque dans Un après-midi de chien en 1975.
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The Godfather: Part II|Francis Ford Coppola|Policier|Interdit aux moins de 12 ans|4|américain|1975|192|Anglais||DX50|||DX50|441 Kbps|720x400|MPEG-1 Audio layer 3|56.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Francis Ford Coppola|Mario Puzo Francis Ford Coppola|Gordon Willis||Les Acacias|Saga : Le Parrain |Depuis la mort de Don Vito Corleone, son fils Michael règne sur la famille. Amené à négocier avec la mafia juive, il perd alors le soutien d'un de ses lieutenants, Frankie Pentageli. Echappant de justesse à un attentat, Michael tente de retrouver le coupable, soupçonnant Hyman Roth, le chef de la mafia juive.Vito Corleone, immigrant italien, arrive à New York au début du siècle ; très vite, il devient un des caïds du quartier, utilisant la violence comme moyen de régler toutes les affaires. Seul au départ, il bâtit peu à peu un véritable empire, origine de la fortune de la famille des Corleone. |Al Pacino (Michael Corleone)@Robert De Niro (Vito Corleone)@Diane Keaton (Kay Corleone)@Robert Duvall (Tom Hagen)@John Cazale (Frederico )@Talia Shire (Constanzia )@Lee Strasberg (Hyman Roth)@Michael V. Gazzo (Frankie Pentangeli)@G.D. Spradlin (Le sénateur Pat Geary)@Richard Bright (Al Neri)@Gastone Moschin (Don Fanucci )@Tom Rosqui (Rocco Lampone)@Bruno Kirby (Clemenza jeune)@Frank Sivero (Genco Abbandando)@Francesca De Sapio (Mama Corleone jeune)@Morgana King (Mama Corleone)@Marianna Hill (Deanna Dunn-Corleone )@Leopoldo Trieste (Signor Roberto)@Dominic Chianese (Johnny Ola)@Amerigo Tot (Busetta, un garde du corps de Michael Corleone)@Troy Donahue (Merle Johnson)@John Aprea (Sal Tessio jeune)@Joe Spinell (Willie Cicci)@James Caan (Santino "Sonny" Corleone (avec la participation spéciale de l'acteur))@Abe Vigoda (Sal Tessio)@Tere Livrano (Theresa Hagen)@Gianni Russo (Carlo Rizzi)@Maria Carta (La mère de Vito)@Oreste Baldini (Vito Andolini jeune)@Giuseppe Sillato (Don Francesco Ciccio)@Mario Cotone (Don Tommasino)@James Gounaris (Anthony Vito Corleone)@Fay Spain (Mrs. Marcia Roth)@Harry Dean Stanton (Un agent du FBI)@Leslie David Baker (Un agent de FBI)@Carmine Caridi (Carmine Rosato)@Danny Aiello (Tony Rosato)@Carmine Foresta (Un agent de police)@Nick Discenza (Le patron du bar)@William Bowers@Carmen Argenziano@Frank Pesce@Kathleen Beller@Ignazio Pappalardo (Mosca)@Roman Coppola (Santino )@Sofia Coppola (Un enfant sur le bateau dans le port de New York)@John Megna (Hyman Roth jeune)@Gary Kurtz (Un photographe dans la cour)@Connie Mason@||Secrets de tournage :
Un tournage long
Le tournage du film a été long et s'est fini en Italie, pour toute la partie de la jeunesse de Vito Corleone, donc de celle de Robert De Niro. Le comédien, dont le grand-père est italien, a étudié la langue, qu'il ne connaissait que par bribes, grâce à un voyage en Sicile avant les premiers coups de manivelle. C'est sur ce tournage qu'il fit connaissance de Bernardo Bertolucci, avec qui il tournera 1900 (1976).
Le choix de Robert de Niro
Coppola a choisi Robert De Niro pour le rôle de Vito Corleone jeune, alors que le comédien avait été pressenti pour jouer Michael, rôle finalement tenu par Al Pacino. En fait, De Niro remplace Marlon Brando, que Coppola voulait, en le maquillant pour lui donner un air jeune, comme il l'avait maquillé pour lui donner l'air âgé dans le premier film. Le problème est que Brando avait une clause dans son contrat où il refusait quelque suite que ce soit.
Couronné par six oscars
De Niro, pour sa performance, reçut l'oscar du meilleur second rôle, malgré sa prestation en italien ; pour rappel, seuls Sophia Loren, Roberto Benigni et Benicio Del Toro ont reçu également un oscar alors que leurs rôles n'étaient pas en anglais.
En plus de l'oscar pour De Niro, le film reçut ceux de meilleurs film, mise en scène, adaptation, décors et musique.
Michael Corleone vu par Pacino
"Je voulais que les gens aiment Michael, l'aiment dans le sens où je voulais qu'ils le voient, le comprennent, lui et son dilemme, sans leur demander de s'identifier à lui. C'est ce que je recherchais. C'est très difficile à faire et je pense que j'y suis parvenu. J'en suis très fier." (in Al Pacino, a life on the wire, p.111, de Andrew Yule, ed. McDonald & c°, Londres, 1991).
Les nominations
Le film a été nommé aux oscars pour les meilleurs rôle masculin (Al Pacino), second rôle masculin (Michael V. Gazzo, Lee Strasberg), second rôle féminin (Talia Shire) et costumes. Vainqueur dans les catégories d'acteur (Al Pacino), de second rôle masculin (Robert De Niro), décors, réalisateur (Francis Ford Coppola), musique (Carmine Coppola, Nino Rota), film (Francis Ford Coppola, Gray Frederickson, Fred Roos) et scénario (Francis Ford Coppola et Mario Puzo).
Deux fois et demi plus cher que "Le Parrain"
C'est grâce au succès du premier opus que Coppola put mettre en chantier Le Parrain deuxième partie. Le budget passe à 15 millions de dollars, soit deux fois et demi plus que pour le premier.
Le deuxième volet de la trilogie
Le film fait suite au Le Parrain premier du nom et sera suivi par un troisième opus.
Un remontage a été effectué par Francis Ford Coppola lui-même pour la télévision, regroupant les deux films avec quelques scènes en plus, dans les années 1980 ; il en fit de même après avoir réalisé Le Parrain, en 1992.
Clin d'oeil à Corman
On peut voir une apparition de Roger Corman, le producteur et réalisateur, dans le rôle d'un sénateur, forme d'hommage de Francis F. Coppola à celui qui a produit son premier film, Dementia 13.
Robert De Niro et la mafia
Interprète d'Al Capone dans Les Incorruptibles, Robert De Niro poursuit son chemin au coeur du syndicat du crime. Il a ainsi incarné l'apprenti mafieux "Johnny Boy" Civello dans Mean streets (1973), le Parrain Vito Corleone dans sa jeunesse dans Le Parrain, 2e partie (1974), le gangster juif "Noodles" Aaronson dans Il etait une fois en Amerique (1984), l'inoubliable Jimmy Conway des Affranchis (1990), sans oublier le mafieux-rigolo et déprimé Paul Vitti, dans Mafia blues (1999) et Mafia blues 2 - la rechute (2002).
Collaboration Al Pacino / John Cazale
Grands amis à la ville, Al Pacino et John Cazale se donnèrent à trois reprises la réplique à l'écran. Frères dans les deux premiers volets du Parrain, ils braquent ensemble une banque dans Un après-midi de chien en 1975.
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The Godfather, part III|Francis Ford Coppola|Drame||3|américain|1991|163|Anglais||DX50|||DX50|523 Kbps|720x400|MPEG-1 Audio layer 3|64.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Francis Ford Coppola|Francis Ford Coppola Mario Puzo|Gordon Willis||United International Pictures (UIP)|Saga : Le Parrain |Atteignant la soixantaine, Michael Corleone désire à la fois renouer avec les siens et se réhabiliter aux yeux de la société, surtout de l'Eglise. Il arrivera presque a ses fins, mais sa vie passée et ses anciens ennemis le rattraperont plus vite.Michael Corleone est fatigué. Il veut prendre ses distances avec les activités mafieuses de sa famille. Il veut convertir ces activités en affaires légales. Kay, son ex-femme, lui fait même accepter que leur fils devienne un chanteur d'opéra et ne reprenne pas les activités familiales.Pendant ce temps, la fille de Michael, Mary, et son neveu, le fils de Sonny, Vincent, nouent une idylle qui n'est pas la bienvenue dans la famille.Il décide d'aider le Vatican à renflouer ses caisses et reçoit en échange le contrôle d'une entreprise immobilière leur appartenant. Attisant la jalousie de ses pairs, Michael échappe de justesse à un attentat commis par l'un d'eux. Vincent se propose alors pour reprendre les affaires de la famille en main. |Al Pacino (Michael Corleone)@Diane Keaton (Kay Adams)@Andy Garcia (Vincent Mancini)@Talia Shire (Connie Corleone Rizzi)@Eli Wallach (Don Altobello)@Joe Mantegna (Joey Zasa)@George Hamilton (B.J. Harrison)@Bridget Fonda (Grace Hamilton)@Sofia Coppola (Mary Corleone)@Raf Vallone (Cardinal Lamberto)@Franc D'Ambrosio (Anthony Vito Corleone)@Donal Donnelly (Gilday, l'évêque)@Richard Bright (Al Neri)@Helmut Berger (Frederick Keinszig)@Don Novello (Dominic Abbandando)@John Savage (Le père Andrew Hagen)@Franco Citti (Calo)@Mario Donatone (Mosca)@Vittorio Duse (Don Tommasino)@Enzo Robutti (Don Licio Lucchesi)@Michele Russo (Spara)@Al Martino (Johnny Fontane)@Robert Cicchini (Lou Penning)@Rogerio Miranda (Un garde du corps)@Carlos Miranda (Un garde du corps)@Remo Remotti (Camerlengo Cardinal)@Michael Bowen (Masque #2)@Gregory Corso (Magasinier perturbateur)@Vito Antuofermo (Anthony 'The Ant' Squigliaro)@Willie Brown (Un homme politique)@Jeannie Linero (Lucy Mancini)@Tere Livrano (Teresa Hagen)@Carmine Caridi (Albert Volpe)@Don Costello (Frank Romano)@Al Ruscio (Leo Cuneo)@Mickey Knox (Marty Parisi)@Brett Halsey (Douglas Michelson)@John Abineri (Hamilton)@Marino Mase (Lupo)@Dado Ruspoli (Vanni)@Valeria Sabel (Soeur Vincenza)@Paco Reconti (Gesu)@Nicky Blair (Nicky)@Anthony Guidera (Anthony, le garde du corps)@Catherine Scorsese (Une femme dans un café)@Joe Drago (Chef de la sécurité)@Anton Coppola (Un conducteur)@Rick Aviles@Salvatore Billa (L'assassin caché)@Sal Borgese (Le portier)@James Caan (Sonny Corleone ()@Richard Castellano (Peter Clemenza ()@John Cazale (Fredo Corleone ()@Tony Devon (Avocat de la famille Mafia à l'église)@Simonetta Stefanelli (Apollonia Vitelli-Corleone)@Lee Strasberg (Hyman Roth/Suchowski)@F.X. Vitolo (Pasquale)@||||||||||||@@
The English Patient|Anthony Minghella|Comédie dramatique||3|américain|1997|150|||DIV3|||DIV3|616 Kbps|720x416|MPEG-2 Audio layer 3|40.0 Kbps|False|24.0 KHz|2|711||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Saul Zaentz|Anthony Minghella|John Seale||Gaumont Buena Vista International (GBVI)||En 1945, quatre personnes dechirées par la guerre se réfugient dans un monastère abandonné de Toscane pour se guérir de leurs maux. Peu à peu le passé va resurgir et la présence d'un homme mystérieux et méconnaissable, le patient anglais, va bouleverser le destin de ceux qui croisent son chemin. |Ralph Fiennes (Almasy)@Juliette Binoche (Hana)@Willem Dafoe (Caravaggio)@Kristin Scott Thomas (Katharine Clifton)@Naveen Andrews (Kip)@Colin Firth (Geoffrey Clifton)@Julian Wadham (Madox)@Jürgen Prochnow (Major Muller)@Kevin Whately (Hardy)@Clive Merrison (Fenelon-Barnes)@Nino Castelnuovo (D'Agostino)@Hichem Rostom (Fouad)@Torri Higginson (Mary)@Geordie Johnson (Oliver)@Matthew Ferguson (un jeune soldat canadien)@Jason Done@Dominic Mafham@||||||||||||@@
Lighthouse|Simon Hunter|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|1|américain|2000|91|Français||XviD|||XVID|961 Kbps|720x528|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||25.000|27/08/2009 00:00:00|||||CCI||Condamne a perpetuite, Leo Rook, un tueur en serie sans etats d'ame, arrive a s'evader pour enfin echouer dans le phare le plus proche. Ce refuge devient alors un terrible piege mortel pour ceux qui s'y trouvent et pour les quelques naufrages de passage. |James Purefoy@Rachel Shelly@Christopher Adamson@Paul Brooke@Don Warrington@Chris Dunne@||Secrets de tournage :
Escale à Gérardmer
Le phare de l'angoisse a été présenté au Festival de Gérardmer ? Fantastic'Arts 2000
Roy Field, superviseur des effets spéciaux
Son expérience en ce domaine a fait de lui l'une des personnalités les plus influentes du monde des effets spéciaux en Grande-Bretagne. Il a travaillé sur le Superman de Richard Donner et sur les trois autres épisodes de la série ainsi qu'à sa variante féminine, Supergirl de Jeannot Szwarc.
Parmi les autres films auxquels il a apporté sa collaboration : Saturn 3 , Le choc des titans, Outland, Dark crystal, Le sens de la vie et Chasseur blanc, c?ur noir.
Simon Hunter, réalisateur
A 30 ans, Simon Hunter réalise son premier long métrage avec Le phare de l'angoisse. Mais il n'est pas novice en matière de réalisation puisqu'il a déjà tourné plusieurs courts métrages et un documentaire.
Impressionné par Le phare de l'angoisse, le producteur américain Edward Pressman lui a proposé un contrat de deux films à réaliser dans un avenir plus ou moins lointain : The mutant chonicles et The crow 4.
Un projet difficile?
« ? dès la conception du projet », commente Simon Hunter, « il a fallu quatre ans, à mon partenaire Mark Leake et à moi même, pour que Le phare de l'angoisse voit le jour. Nous devions lancer les prises de vues une première fois lorsque, à six semaines de tournage, une sérieuse maladie nous a privés de notre principal investisseur. Pas d'autres choix que d'ajourner. Au niveau du scénario, j'ai essayé de ne pas refaire ce qui a été fait mille fois, mais plutôt tenté d'apporter un peu de sang neuf. Nous avons dû tourner Le phare de l'angoisse en six semaines seulement. Ce qui est très court au vu des cascades, des effets spéciaux, de son caractère extrêmement visuel? »
Simon Hunter à propos de son film
« En fait, Le phare de l'angoisse est né de mon désir d'une intrigue située dans un endroit isolé, dont on ne peut s'enfuir. Curieusement, les scénaristes de films d'horreur s'installent toujours sur des sites vastes avec des possibilités de s'échapper. C'est la notion de piège clos, d'un sentiment de claustrophobie qui me motivait, cet isolement total dans un environnement hostile. Quoi de mieux qu'un îlot où s'élève un phare pour répondre à cette exigence ? »
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Le Pharmacien de garde|Jean Veber|Thriller||2|français|2003|84|Français||DX50|||DX50|925 Kbps|640x368|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|639||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Nicolas Vannier|Jean Veber|Laurent Fleutot||Océan Films||Yan Lazarrec est apparemment un homme paisible. Pharmacien et écologiste, il se bat contre les pollueurs. Derrière la façade de son laboratoire, cet homme devenu fou fabrique en secret des poisons pour les assassiner.François Barrier, un policier trop tendre, mène l'enquête. C'est à l'occasion d'une conférence sur la protection de l'environnement que les deux hommes se rencontrent et sympathisent immédiatement. |Guillaume Depardieu (François Barrier)@Vincent Perez (Yan Lazarrec)@Claire Rolland (Wanda)@Emmanuel Courcol (Jacques Desmoines)@Marc Bertolini (Xavier)@Pascal Légitimus (Tony)@Clara Bellar (Mathilde)@Alice Taglioni (Christine)@Laurent Gamelon (Maurice Battistoni)@Kad Merad (le médecin légiste)@||Secrets de tournage :
Premier film
Après son court métrage La Ballade de Don en 1999, Le Pharmacien de garde est le premier film de Jean Veber. Fils du réalisateur Francis Veber, il raconte que son envie de faire du cinéma a été déclenchée par King Kong (1933) et par son père : "King Kong parce que c'est mon premier grand souvenir de cinéma, et mon père, parce que c'est lui qui m'a emmené voir King Kong."
Méfiez-vous de l'eau qui dort
En choisissant Vincent Perez pour le rôle de Yan Lazarrec, Jean Veber avait en tête l'image d'Anthony Perkins dans Psychose (1960, Alfred Hitchcock) : "j'avais envie de retrouver cette dualité, cette fêlure, avec Vincent qui a ce côté charmant, mais qui peut dans la seconde devenir très inquiétant."
Travail de documentation
Pour l'ordre des Druides sanguinaires duquel se réclame le pharmacien Yan Lazarrec dans le film, Jean Veber s'est intéressé à la Culture Celte et aux Contes et Légendes de Bretagne. Les dessins que l'on peut voir dans le film sont tirés de véritables documents. Mais il a inventé une grande partie de la mythologie de l'histoire.
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The Polar Express|Robert Zemeckis|Animation|Film pour enfants|3|américain|2004|91|Anglais||DX50|||DX50|938 Kbps|480x248|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|698||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Robert Zemeckis Steve Starkey William Teitler Gary Goetzman|William Broyles Jr. Robert Zemeckis|Don Burgess Robert Presley||Warner Bros.||Un jeune garçon qui se met à douter de l'existence du père Noël monte dans un train mystérieux en partance pour le pôle Nord. A mesure que le Pôle Express s'enfonce dans des contrées enchantées, l'aventure est au rendez-vous et les jeunes passagers prennent conscience de l'étendue de leurs dons. |Tom Hanks (le garçon, son père, le chef de train, le vagabond, le Père Noël)@Leslie Harter Zemeckis (la mère)@Eddie Deezen (le garçon qui savait tout)@Nona Gaye (la fille)@Peter Scolari (le garçon solitaire)@Brendan King (le chef patissier)@Michael Jeter (Smokey / Steamer)@Charles Fleischer (le général des elfes)@Steven Tyler (le lieutenant des elfes)@||Secrets de tournage :
L'adaptation d'un conte de Noël
Le Pôle Express est l'adaptation en film d'animation du célèbre conte de Noël éponyme écrit et illustré par l'Américain Chris Van Allsburg (paru en 1985 et édité en France par l'École des Loisirs, sous le titre Boréal-Express). C'est la seconde fois que l'un de ses ouvrages est adapté sur grand écran après Jumanji, en 1995.
Une oeuvre marquante
Robert Zemeckis et Tom Hanks avouent avoir été fortement marqués par l'oeuvre d'origine de Chris Van Allsburg. Le premier, qui lisait le livre à son fils une fois par an, vante son "imagerie, quelque part entre rêve et réalité, qui capte admirablement les mystères et les attentes d'une nuit de Noël." Quant à Tom Hanks, il avoue : "Pendant près de dix ans, de novembre à décembre, j'ai lu le livre à mes enfants quatre fois par semaine, et souvent deux fois de suite ! J'en ai été totalement imprégné."
A la rencontre du Père Noël...
Le Pôle Express nous confronte au mythe du Père Noël. Robert Zemeckis explique : "C'est une histoire où chacun de nous peut se retrouver. Enfants ou adultes, nous sommes nombreux à avoir mis en doute nos croyances et refondé nos convictions. Les plus jeunes prennent ce récit au pied de la lettre, comme un voyage à la rencontre du Père Noël , les adultes y trouvent une métaphore d'une plus vaste portée. L'histoire s'appuie sur une symbolique chrétienne, mais c'est fondamentalement une fable universelle sur la croyance en des choses que nous ne pouvons totalement percevoir ou comprendre."
Robert Zemeckis / Tom Hanks : troisième !
Le Pôle Express marque la troisième collaboration du réalisateur Robert Zemeckis et de l'acteur Tom Hanks après Forrest Gump (1994) et Seul au monde (2000).
La "motion capture" à la rescousse
Pour restituer l'ampleur des paysages imaginés par Chris Van Allsburg (avec leur texture très lumineuse) ainsi que la beauté et la richesse de ses illustrations, ni l'animation traditionnelle, ni des prises de vues réelles n'étaient suffisantes. Robert Zemeckis et le superviseur des effets spéciaux Ken Ralston, qui avaient déjà collaborés ensemble sur Retour vers le futur, décidèrent ainsi de recourir à la technique de la "Performance Capture". Avancée décisive dans la technologie du "motion capture", ce procédé permet de recréer à la perfection les expressions et les gestes des comédiens en infographie. Ainsi, les postures de Tom Hanks, le moindre de ses rictus sont reproduits à l'identiques à l'écran.
Pour Robert Zemeckis, familier de ces innovations spectaculaires qu'il a toujours mises au service de l'histoire (Qui veut la peau de Roger Rabbit ?, Forrest Gump), "la "Performance Capture", ? c'est le nom que nous lui donnâmes ? était LE procédé idéal pour réaliser Le Pôle Express. En fait, sans lui, je pense que j'aurais renoncé à faire le film."
Voix de haute volée au générique
Outre Tom Hanks, qui prête sa voix à pas moins de six personnage, Le Pôle Express accueille à son générique Nona Gaye (fille du chanteur Marvin Gaye, vue à l'affiche de Matrix reloaded et Matrix revolutions) et le chanteur Steven Tyler, leader du groupe de rock Aerosmith qui incarne pour l'occasion un elfe.
Tom Hanks de tous les coups !
Dans Le Pôle Express, Tom Hanks prête sa voix à pas moins de six personnages, mais officie également en tant que producteur exécutif. Il interprète également deux chansons du long-métrage d'animation dans une bande-originale qui mélange entre autres chansons de Noël classiques et contemporaines et standards de Frank Sinatra et Bing Crosby.
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Le Poulpe|Guillaume Nicloux|Policier||3|français|1998|92|Français||DX50|||DX50|888 Kbps|640x288|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|680||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Charles Gassot|Guillaume Nicloux Jean-Bernard Pouy Patrick Raynal|Pascal Gennesseaux||Bac Films||Gabriel Letourneur, alias le Poulpe, accompagne son amie Cheryl à Morsang, petite ville balnéaire de l'ouest de la France ou ses grands-parents reposent, plus exactement reposaient, car leur tombe vient d'être profanée. La police n'a pas l'ombre d'une piste sur les pilleurs du cimetière mais le Poulpe se rend compte très vite que deux des profanateurs ont déjà été assassinés. Pourquoi ces adolescents sans ambition sont-ils devenus des témoins gênants ? |Jean-Pierre Darroussin (Gabriel Lecouvreur, "le Poulpe")@Clotilde Courau (Cheryl)@Julie Delarme (Sandra)@Aristide Demonico (Pedro)@Stéphane Boucher (Le chauffeur de taxi)@James Faulkner (Thomas)@Yves Verhoeven (La Fouine)@Jean-Francois Gallotte (Le patron de bar)@François Levantal (L'agresseur dans le train)@Bruno Lochet (Le gendarme)@Philippe Nahon (Le deuxième patron de bar)@||||||||||||@@
Le Prince du Pacifique|Alain Corneau|Aventure||2|français|2000|96|||XviD|||XVID|898 Kbps|720x304|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|694||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Louis Becker Thierry Lhermitte|Christian Biegalski Pierre Geller Lucia Etxebarria Thierry Lhermitte Alain Corneau|Patrick Blossier||UFD||En 1918, le capitaine Alfred de Morsac, décoré de la Croix de Guerre, débarque à Fuena Poerava, "l'Île aux Perles", un paradis perdu dans l'archipel polynésien, pour former un bataillon de tirailleurs océaniens. Morsac est un de ces héros militaires intrépides, dont le courage et le sens du devoir frôlent l'inconscience.Il découvre d'anciens guerriers, les Hiva, placés sous la coupe de l'ignoble et cupide commandant Lefebvre. Par ailleurs, il se lie d'amitié avec un enfant, Reia, le prince de l'île, qui voit en lui l'homme providentiel qui va libérer, selon une vieille légende tahitienne, son peuple de l'oppression. Moeata, sa mère d'origine française, ne voit au contraire en Morsac qu'un "chien pourri" d'Européen.Devenu indésirable, celui-ci s'enfuit avec Barnabé, escroc au coeur tendre en partance pour vingt ans de bagne... |Thierry Lhermitte (Alfred de Morsac)@Patrick Timsit (Barnabé)@Anituavau Lande (Reia)@Daniel Gimenez-Cacho (le second)@Marie Trintignant (Moeata)@François Berléand (le commandant Lefebvre)@Teiki Stellio (Fidji 1)@Tero Temauri (Fidji 2)@Stanley Wilkes (Jeune homme BSLF)@Arnold Mataurua (Reia adulte)@||Secrets de tournage :
Un tournage en Polynésie française
Une partie du tournage du Prince du Pacifique s'est déroulé en Polynésie française, à Tahiti plus précisément.
Les autres scènes ont été tournées aux studios d'Arpajon (Essonne).
Coproduit par Lhermitte
Thierry Lhermitte assure la coproduction du film, avec Louis Becker.
Le tandem compte à son actif une demi-douzaine de films parmi lesquels Les secrets professionnels du Dr. Apfelglück, Un Indien dans la ville, Les collègues et C'est pas ma faute.
Un scénario collégial
Six scénaristes ont planché sur le script du Prince du Pacifique : Christian Biegalski, Laurent Chalumeau, Eric Collins, Pierre Geller, Thierry Lhermitte, et Alain Corneau.
Corneau retrouve Trintignant
Marie Trintignant joue pour la troisième fois devant la caméra d'Alain Corneau, après Série noire (1979) et Le cousin (1998).
Premiers pas dans la comédie
Alain Corneau réalise avec Le Prince du Pacifique sa première comédie.
Amateur de films de genre, il s'était auparavant essayé au polar (Police Python 357, La menace, Série noire, Le choix des armes, Le môme, Le cousin), au film en costumes (Tous le matins du monde), ou à la chronique adolescente (Le nouveau monde).
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Pride and Glory|Gavin O'Connor|Drame||2|américain|2008|130|Anglais||XviD|||XVID|612 Kbps|624x352|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||23.976|08/08/2009 00:00:00|Greg O'Connor|Gavin O'Connor Joe Carnahan|Declan Quinn||New Line Cinema||Dans la famille Tierney, on est policier de père en fils. Pour ce clan, le code sacré des flics qui consiste à protéger les siens est bien plus qu'un code d'honneur, c'est un code familial. Pourtant, lorsque le scandale se fait plus fort que la loi du silence, chacun va devoir choisir son camp...Quatre policiers sont abattus dans une affaire de drogue, et l'événement fait la une des journaux. Mais quelque chose ne tourne pas rond. Il se pourrait qu'il se soit agi d'un piège. En effet, les trafiquants semblaient prévenus de l'arrivée de la police...Francis Sr., patriarche des Tierney, charge le jeune Ray de résoudre l'énigme. Rapidement, celui-ci se rend compte que l'affaire cache bien plus qu'un simple fait divers. L'appartement où a eu lieu le crime appartient en fait à un baron de la drogue et le meurtre des policiers ressemble étrangement à une vengeance... |Edward Norton (Ray Tierney)@Colin Farrell (Jimmy Egan)@Jon Voight (Francis Tierney Sr.)@Noah Emmerich (Francis Tierney Jr.)@Jennifer Ehle (Abby Tierney)@John Ortiz (Ruben Santiago)@Lake Bell (Megan Egan)@Chris Astoyan (Rob)@Ty Simpkins (Matthew Egan)@Frank Grillo (Eddie Carbone)@Shea Whigham (Kenny Dugan)@Carmen Ejogo (Tasha)@Manny Perez (Coco Dominguez)@Wayne Duvall (Bill Avery)@Ramon Rodríguez (Angel Tezo)@Rick Gonzalez (Eladio Casado)@Maximiliano Hernandez (Carlos Bragon)@Leslie Denniston (Maureen Tierney)@Ryan Simpkins (Shannon Egan)@Carmen LoPorto (Francis Tierney)@Jessica Pimentel (Angelique Dominguez)@Hannah Riggins (Caitlin Tierney)@Lucy Grace Ellis (Bailey Tierney)@Flaco Navaja (Tookie Brackett)@Raquel Jordan (Lisette Madera)@Jose Ramon Rosario (le maire Arthur Caffey)@Christopher Michael Holley (le détective Miller)@Popa Wu (le révérend Farraud)@Nikkole Salter (Trish Mercer)@Sekhar Chandra (le docteur Khomar)@Bill McHugh (Gabriel Lopez Chaplin)@Robert P. Alongi (le Capitaine Lavier)@Jamie McShane (le lieutenant Fricker)@Nicoye Banks (Lonnie Mercer)@Sean Dougherty (Billy Cavanaugh)@Denia Brache (la mère de Dominguez)@||Secrets de tournage :
L'influence d'un père
En tant que fils de policier new-yorkais, le réalisateur et coscénariste du Prix de la loyauté Gavin O'Connor et son frère jumeau, le producteur Greg O'Connor, avaient une approche très concrète de ce que peut signifier l'implication familiale dans une carrière. Ils ont vécu de l'intérieur ce que beaucoup des personnages affrontent dans le film. Gavin O'Connor explique : "Je souhaitais raconter une histoire qui ait pour cadre la police de New York mais qui n'ait pas du tout la même approche que ce qui se fait d'habitude. Je désirais aussi parler de ce qu'est une famille. Mon propre père avait un sens de la loyauté aigu envers ses collègues et sa mission, et j'ai souvent vu devant quels dilemmes cela le plaçait. Plus j'ai grandi, plus j'ai pris la mesure de la difficulté des cas de conscience qu'il a pu rencontrer. A chaque fois, il s'agissait de faire des choix, et il n'y avait pas de demi-mesure possible."
Farrell franchit la frontière
Colin Farrell joue dans Le Prix de la loyauté le beau-frère de Ray, Jimmy Egan, l'homme qui a franchi la mince frontière entre ceux qui combattent le crime et ceux qui le pratiquent. Le comédien commente : "Je n'excuse pas le comportement de mon personnage, mais je peux le comprendre. Il n'est pas surprenant que les policiers finissent par se sentir frustrés par la guerre qu'ils mènent. Ils sont les remparts de la civilisation face à un flot qui ne se tarira jamais. Il y aura toujours des crimes, il y aura toujours de la violence. Et face à cela, il y aura toujours des gens honnêtes beaucoup moins bien payés que ceux qui trafiquent. Les flics risquent leur vie tous les jours et ils ne sont pas souvent récompensés à la mesure de leur mission. Si j'en étais un, je serais probablement énervé de voir quelqu'un que j'ai arrêté la semaine précédente être remis en liberté pour recommencer à faire exactement la même chose. Je crois que c'est ce genre de constatation qui a pu pousser Jimmy à franchir la ligne."
Un conte moral
Pour Edward Norton, qui incarne Ray Tierney, un enquêteur du NYPD qui découvre que sa famille est sans doute impliquée dans une affaire de meurtre, Le Prix de la loyauté est un conte moral. "Tout le film parle de gens confrontés à la nécessité de dire la vérité et à ce que cela coûte", explique-t-il. "Ray doit choisir entre sa loyauté à sa mission et celle à sa famille. Il est écartelé entre son devoir de policier et son devoir envers son clan. Au-delà de tout jugement, c'est une situation fascinante et passionnante à explorer. Où se situe la limite du choix ? A partir de quel moment l'une des loyautés s'efface-t-elle au profit de l'autre ? Quelle douleur est-on prêt à infliger aux siens pour que la vérité triomphe ?"
Une immersion dans le milieu policier
Gavin O'Connor, le réalisateur du Prix de la loyauté, explique avoir "souhaité que chacun des comédiens passe le plus de temps possible avec des policiers proches de leur rôle dans le film. Edward Norton a fréquenté des enquêteurs criminels, Colin Farrell est parti en mission avec les hommes de la brigade de répression du trafic de stupéfiants, et Noah Emmerich était avec des inspecteurs. Notre conseiller technique, Rick Tirelli, mais aussi Tom Pilkington et bien sûr Robert Hopes, nous ont également beaucoup aidés. Ils ont aussi réussi à engager d'anciens policiers pour jouer dans le film." A noter que la plus grande partie des comédiens a ensuite eu accès au centre d'entraînement du NYPD situé dans le Bronx.
Les conseils d'un ancien inspecteur
Afin d'apporter le plus d'authenticité possible au Prix de la loyauté, les frères O'Connor se sont adjoint les services d'un ancien inspecteur, Robert Hopes, qui est ainsi devenu consultant et producteur associé sur le long-métrage.
Un scénariste à part
Joe Carnahan, l'un des scénaristes du Prix de la loyauté, est connu pour avoir réalisé les longs métrages Narc (2003) et Mi$e à prix (2007). Il était par ailleurs engagé pour mettre en scène Mission: Imposible III avant que des différends artistiques avec Tom Cruise ne lui firent abandonner le projet.
Un moment inapproprié
Le tournage du Prix de la loyauté devait à l'origine débuter au mois de février 2002. Mais les attaques terroristes du 11 septembre 2001 retardèrent la mise en chantier du projet. Il ne semblait en effet pas approprié de réaliser un film sur des officiers de police corrompus si près de la tragédie, durant laquelle la police de New York fut saluée pour son courage.
Changements de casting
En 2001, Mark Wahlberg et Hugh Jackman étaient en discussions pour tenir les rôles principaux du Prix de la loyauté. L'acteur Nick Nolte fut de son côté pleinement engagé pour incarner le personnage de Francis Tierney, Sr., mais une blessure au genou l'empêcha d'honorer son contrat.
Une équipe familiale
Le réalisateur Gavin O'Connor et le producteur Greg O'Connor, qui collaborent sur Le Prix de la loyauté, sont frères jumeaux. Greg a aussi produit le premier film de Gavin, Libres comme le vent (2000). Ils ont par ailleurs produit ensemble le film The Slaughter Rule d'Andrew Smith.
Colin Farrell joue les flics
Avec Le Prix de la loyauté, ce n'est pas la première fois que l'acteur irlandais Colin Farrell interprète un rôle de policier. On a en effet pu le voir jouer ce type de rôle dans S.W.A.T., La Recrue ou encore Miami vice.
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« Préc.
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The Nutty Professor|Tom Shadyac|Comédie||2|américain|1996|91|||DX50|||DX50|885 Kbps|704x384|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|672||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Brian Grazer|David Sheffield Barry W. Blaustein Tom Shadyac|Julio Macat||United International Pictures (UIP)|Saga : Foldingue |Sherman Klump, un énorme professeur de chimie dans un collège californien, se désole de sa surcharge pondérale, d'autant plus qu'on vient de lui adjoindre une jeune et sympathique collègue qu'il aimerait bien séduire. Il travaille depuis longtemps à une formule capable de faire fondre les graisses. Devant l'urgence, il n'hésite pas à tester sa découverte sur lui-même. Il se transforme immédiatement en un irrésistible bellâtre, mais il s'aperçoit que son invention n'a pas que des effets bénéfiques. |Eddie Murphy (Professeur Sherman/Buddy Love/Lance perkins/Cletus Klump/Anna Pearl Klump/Ernie Klump Sr.)@James Coburn (Harlan Hartley)@Jada Pinkett (Professeur Carla Purty)@Larry Miller (Dean Richmond)@John Ales (Jason)@David Chappelle (Reggie Warrington)@Patricia Wilson (Grace)@Montell Jordan (Jordan Montell)@Dave Chappelle (Reggie Warrington)@Jamal Mixon (Ernie Jr. "Hercules" Klump)@||||||||||||@@
The Blair Witch Project|Daniel Myrick Eduardo Sanchez|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|1999|79|||DIV3|||DIV3|861 Kbps|352x240|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|562||||29.970|02/08/2009 00:00:00|||Neal L. Fredericks||Mars Distribution|Saga : Blair witch |En octobre 1994, trois jeunes cineastes, Heather Donahue, Joshua Leonard et Michael Williams, disparaissent en randonnee dans la foret de Black Hill au cours d'un reportage sur la sorcellerie. Un an plus tard, on a retrouve le film de leur enquete. Le Projet Blair Witch suit l'itineraire eprouvant des trois cineastes a travers la foret de Black Hills et rend compte des evenements terrifiants qui s'y sont deroules. A ce jour, les trois cineastes sont toujours portes disparus. |Heather Donahue@Michael C. Williams@Joshua Leonard@Bob Griffith@Jim King@Sandra Sanchez@||Secrets de tournage :
Un autre vrai-faux documentaire...
En 1979, Ruggero Deodato a réalisé Cannibal Holocaust, un film, qui comme le titre l'indique, se déroulait dans une tribu de cannibales...
De l'horreur à la comédie
A peine The Blair Witch project sorti, Daniel Myrich et Eduardo Sanchez travaille sur leur second long métrage : Heart of Love... une comédie.
Des références...
Parmi les films de genre dont ils se souviennent, Daniel Myrick et Eduardo Sanchez citent : Shining, L'exorciste, La malédiction, L'enfant du diable.
Daniel Myrick, réalisateur
Originaire de Floride, Daniel Myrick a réalisé parallèlement plusieurs courts métrages indépendants, dont Salvation, le premier volet d'une trilogie réalisée en collaboration avec Eduardo Sanchez et Gregg Hale, ses futurs partenaires du Projet Blair witch.
Myrick a travaillé comme monteur et chef opérateur sur plusieurs films.
Avec Eduardo Sanchez, il développe actuellement plusieurs projets pour le compte d'Haxan Films, distributeur du film.
Eduardo Sanchez, réalisateur
Né à Cuba, Eduardo Sanchez a vécu en Espagne, à Washington et en Floride. Il a étudié l'audiovisuel au Montgomery College dans le Maryland, où il a réalisé Video All, un long métrage tourné en vidéo. Il a écrit et réalisé Gabriel's Dream, tourné en 16mm. C'est alors qu'il a rencontré Daniel Myrick et Gregg Hale (producteur), avec lesquels il a co-réalisé Le projet Blair witch
Un fin différente
Pour Artisan Entertainment, producteur/distributeur, une fin différente a été tournée. Mais Daniel Myrick et Eduardo Sanchez ont eu la totale liberté de choisir celle qu'ils voulaient.
Ils demeurèrent fidèle à leur projet initial.
87 minutes de films...
Cette promenade en forêt aboutit à 18 heures de "rushes".
Après le tournage en octobre 97, les réalisateurs passèrent plus d'un an à monter le film...
Des conditions de tournage très particulières...
Heather Donahue, Joshua Leonard et Michael Williams, qui ont gardé leur nom dans le film, ont été lachés pendant huit jours en pleine forêt, avec très peu d'instructions, dans un univers qu'ils ne connaissaient pas.
Ils étaient équipés de deux caméras, une cinéma 16mm et une vidéo HI8, et d'un système de navigation GPS (Global Positioning Satellite), habituellement utilisé par les pêcheurs et les chasseurs.
Un film pas ordinaire...
Autour du projet se sont greffés des réminiscences du passé, tel le journal de bord qu'Heather a tenu au cours de ces huit jours de terreur passés dans les bois.
On y trouve également diverses pièces à conviction : des photos prises par la police et des actualités des années quarante liées à Blair Witch qui nourrissent la légende du film...
Prix de la Jeunesse
Le projet Blair witch a obtenu le Prix de la Jeunesse lors du 52ème Festival de Cannes 1999.
Le film était présenté à la Quinzaine des Réalisateurs.
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Reign of fire|Rob Bowman|Action||2|américain, irlandais, britannique|2002|97|Anglais||DIV3|||DIV3|1 630 Kbps|712x376|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|1236||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Gary Barber Roger Birnbaum Lili Fini Zanuck|Matt Greenberg Gregg Chabot Zak Penn Kevin Peterka|Adrian Biddle||Buena Vista Pictures||A Londres, en 2008, le jeune Quinn accompagne sa mère sur un chantier. Celle-ci supervise la construction de tunnels pour le nouveau tracé du métro. Lors du creusement, une paroi s'effondre, révélant un gouffre à la profondeur illimitée. La mère de Quinn descend dans le tunnel, mais une immense colonne de feu s'échappe du trou et tue tous ceux qui se trouvent sur son passage. Resté à l'entrée de l'excavation, le garçon assiste, médusé, à ce tragique événement. Un dragon jaillit alors du tunnel.Vingt ans plus tard, les dragons règnent en maîtres sur une planète en ruines où chaque être humain ne représente pour eux qu'un mets de choix. Quinn est chargé de les éliminer et d'assurer la survie de sa petite communauté. Mais le combat semble perdu d'avance. Un jour, Van Zan, un militaire américain, fait son apparition et prétend connaître le moyen de tuer ces créatures cracheuses de feu. |Christian Bale (Quinn)@Matthew McConaughey (Van Zan)@Izabella Scorupco (Alex )@Gerard Butler (Dave Creedy)@Doug Cockle (Goosh )@Alexander Siddig (Ajay )@||Secrets de tournage :
La conception des dragons
Avec le superviseur des effets visuels Richard Hoover et le co-superviseur Dan DeLeeuw, Rob Bowman a mis au point l'apparence des dragons. Le réalisateur voulait absolument que ces monstres paraissent authentiques. Il ne voulait ni dimension romantique, ni licence poétique.
"Nous les avons faits puissants et denses", explique Rob Bowman. "Leurs mouvements sont dictés par leur morphologie plus que par une recherche esthétique. Ils ont des gestes efficaces, ils combinent des caractéristiques reptiliennes et aériennes. Nous les avons élaborés comme pour un documentaire".
L'un des points qui a particulièrement intéressé le cinéaste était la façon dont les dragons crachaient des flammes. "Nous avons imaginé que ces créatures crachaient deux jets d'une sorte de venin qui, en se mélangeant plus loin devant leur museau, s'enflammeraient. Comme les serpents, elles comprimeraient des glandes situées dans leur gueule et pulvériseraient les deux produits qui brûleraient au contact l'un de l'autre".
Cascades assurées par les acteurs
Rob Bowman souhaitait que les comédiens assurent eux-mêmes la plus grande partie des cascades. Christian Bale et Matthew McConaughey ont notamment été entraînés pour effectuer leurs propres scènes de combat. En revanche, ce sont d'anciens membres des forces spéciales SAS qui se sont chargés des sauts et des descentes d'hélicoptère.
Décors construits grandeur nature
Pour la qualité d'image et la liberté de mise en scène, le chef décorateur Wolf Kroeger et son équipe ont construit en grandeur nature deux décors du film, à savoir un quartier entier de Londres en ruines ainsi que le château de la communauté de Quinn, dans les environs de Dublin, en Irlande. Matthew McConaughey se souvient : "D'habitude, ce genre de décor est construit en studio. Le fait qu'il soit construit en vrai, à l'extérieur, a nourri notre jeu, parce qu'il était vraiment facile de se croire dans la scène."
McConaughey travaille son rôle
Pour interpréter le mercenaire américain Van Zan, Matthew McConaughey s'est beaucoup documenté sur des personnages historiques, comme le général Patton par exemple.
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Welcome Home, Roscoe Jenkins|Malcolm D. Lee|Comédie||2|américain|2008|113|Anglais||XVID|||XVID|702 Kbps|592x320|MPEG-1 Audio layer 3|146 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Scott Stuber Mary Parent Charles Castaldi||Greg Gardiner||Universal Pictures||Un animateur, enrichi par le succès de son talk-show, doit revenir dans sa famille, loin des paillettes de la télévision, pour fêter l'anniversaire de mariage de ses parents. Un douloureux retour aux sources l'attend. |Martin Lawrence (Roscoe Jenkins)@James Earl Jones (Papa Jenkins)@Cedric The Entertainer (Clyde)@Joy Bryant (Bianca Kittles)@Nicole Ari Parker (Lucinda)@Mo'Nique (Betty)@Margaret Avery (Mamma Jenkins)@Michael Clarke Duncan (Otis)@Mike Epps (Reggie)@Damani Roberts (Jamaal)@Brooke Lyons (Amy)@Liz Mikel (Ruthie)@Carol Sutton (Melle Pearl)@Deetta West (Melle Addy)@Louis C.K. (Marty)@Brandin Jenkins (Junior)@Krystal Marea Braud (Callie)@Gus Hoffman (Clyde jeune)@Reginald Davis Jr (Roscoe jeune)@Ara Grigsby (Betty jeune)@Samantha Smith (Lucinda jeune)@Erin Cummings (Sally)@Affion Crockett (Dayquan)@Amber Duke (Racquel)@Angie Fox (hôtesse de l'air)@Robin McGee (employé de la compagnie aérienne)@Taylor Polidore (fille simple)@Werner Richmond (le pasteur)@Rich Medina (DJ)@Monyetta Shaw (la fille qui danse avec Clyde)@||Secrets de tournage :
Un air de famille
Malcolm D. Lee, le réalisateur de Welcome home Roscoe Jenkins, n'est autre que le cousin de Spike Lee!
Une grande famille
La plupart des membres de l'équipe du film n'en sont pas à leur premier tournage commun. En effet, Martin Lawrence avait déjà partagé le haut de l'affiche avec Cedric The Entertainer dans Big Mamma et avec Nicole Ari Parker dans Flic de haut vol, tandis que Malcolm D. Lee avait déjà dirigé Mike Epps dans La Fièvre du roller. Quant à Michael Clarke Duncan, il avait déjà collaboré avec Martin Lawrence... en tant que garde du corps de ce dernier!
Louisiana story
Le tournage de Welcome home Roscoe Jenkins s'est déroulé en Louisiane, dans les villes de Minden et Shreveport, qui a servi de doublure à Dry Springs, en Géorgie, où l'action du film est supposée avoir lieu. L'équipe a choisi Shreveport pour son calme et son absence de circulation.
Comédie, drame et vice-versa
Le producteur Scott Stuber s'enchante de ce que Malcolm D. Lee ait distribué des rôles à contre-emploi à ses acteurs : "Ce qui est génial dans le casting, c'est que des gens comme Michael Clarke Duncan, Margaret Avery et James Earl Jones, connus pour leur talent d'acteurs dramatiques, ont pu dans ce film exprimer leur côté comique. Et vive-versa : des acteurs comme Martin Lawrence, Mike Epps, Mo'Nique et Cedric The Entertainer, réputés pour leur humour, ont pu faire ressortir une face plus dramatique de leur jeu. C'est un grand challenge pour eux de faire des choses qu'on ne leur demande pas habituellement de faire."
Un grand acteur
Malcolm D. Lee ne tarit pas d'éloges sur Michael Clarke Duncan : "Il est toujours prêt à apporter une note d'humour. Il improvise souvent plus que le reste des comédiens, et rien que sa taille vous intimide."
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Le Retour du grand blond|Yves Robert|Comédie||3|français|1974|76|||XviD|||XVID|1 136 Kbps|592x368|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Alain Poiré Yves Robert|Francis Veber|René Mathelin||Gaumont||Les deux chefs du réseau d'espionage français, Cambrai et Toulouse, s'opposent pour démontrer si oui ou non le Grand Blond est effectivement un espion. |Pierre Richard (François perrin)@Jean Carmet (Maurice Lefebre)@Jean Rochefort (Colonel Toulouse)@Mireille Darc (Christine)@Jean Bouise (Le ministre )@Henri Guybet (Charmant, un tueur )@Michel Duchaussoy (Capitaine Cambrai )@Paul Le Person (Perrache)@Colette Castel (Paulette Lefebvre )@Andre Bollet@Paul Bonifas@Yves Robert (Le chef d'orchestre )@||||||||||||@@
The Lion King|Roger Allers Rob Minkoff|Animation|Film pour enfants|4|américain|1994|83|Anglais||DivX|||DIVX|1 030 Kbps|560x288|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|44.1 KHz|2|690||||31.249|28/07/2009 00:00:00|Don Hahn|Jim Capobianco Irene Mecchi Linda Woolverton Lorna Cook|||||Le lion Mufasa, roi des animaux, et son épouse Sarabi donnent naissance à Simba, un futur héritier. Mais Scar, le frère de Mufasa, voyant diminuer ses chances d'accéder au trône, incite le lionceau à s'aventurer dans un cimetière des éléphants situé au-delà des frontières du royaume... |Emmanuel Curtil (Simba (voix française))@Jean Reno (Mufasa (voix française))@Jean Piat (Scar (voix française))@Michel Prudhomme (Zazu (voix française))@Marie-Christine Darah (Shenzi (voix française))@Sybile Tureau (Nala (voix française))@Dimitri Rougeul (Simba jeune (voix française))@Morgan Flahault (Nala jeune (voix française))@Med Hondo (Rafiki (voix française))@Jean-Philippe Puymartin (Timon (voix française))@Michel Elias (Pumbaa (voix française))@Michel Mella (Banzai (voix française))@||Secrets de tournage :
Un box-office royal !
Budgété à hauteur de 79,3 millions de dollars, Le Roi Lion occupe le fauteuil de plus gros succès d'animation de tout les temps avec 783,4 millions de dollars de recettes engrangés à travers le monde, soit le onzième plus gros succès de l'histoire du septième art tous genres confondus.
Avec 328,4 millions de dollars de recettes récoltés sur le sol américain, Le Roi Lion est le second plus gros succès d'animation de l'histoire aux Etats-Unis, derrière Le Monde de Nemo et ses 336,4 millions de dollars de gains.
En France, le dessin animé a terminé en tête du box-office de l'année 1994 avec plus de 10 millions d'entrées, loin devant Un indien dans la ville et Quatre mariages et un enterrement, ses poursuivants immédiats.
Un record vidéo
Le Roi Lion est le plus gros succès mondial de l'industrie vidéo, avec plus de 55 millions d'unités vendues en VHS et DVD.
Une bande-originale signée Elton John
C'est Elton John qui a composé les titres chantés de la bande-originale du Roi Lion, parmi lesquels les fameux Hakuna Matata et Circle of life, ce dernier étant arrangé et produit par Hans Zimmer. A noter que le comédien Jeremy Irons pousse la chansonnette sur le morceau Be prepared en compagnie, entre autres, de Whoopi Goldberg.
Une série et un inédit
Après le succès mondial du Roi Lion, Disney a produit deux programmes mettant en vedette certains des personnages du dessin animé : une suite directe, baptisée Le Roi Lion 2, l'honneur de la tribu et uniquement destinée au marché vidéo ; et une série, intitulée Timon et Pumbaa et diffusée entre 1995 et 1998.
Doublage de prestige
Que ce soit en version originale ou en version française, Le Roi Lion a été doublé par de prestigieuses vedettes. Matthew Broderick, Jeremy Irons, Rowan Atkinson et Whoopi Goldberg ont ainsi prêté leur voix à Simba, Scar, Zazu et Shenz dans la version américaine alors que Jean Reno (pour Mufasa) et Jean Piat (pour Scar) ont prêté la leur pour la version hexagonale.
Une ressortie IMAX
Pour Noël 2002, Le Roi Lion a bénéficié d'une nouvelle sortie en salles au format IMAX. A cette occasion, le morceau Circle of life a été présenté dans une nouvelle version et le film a bénéficié de quelques retouches digitales afin de mieux s'adapter aux nouvelles dimensions de l'écran.
Que des animaux...
Le Roi Lion est le seul dessin animé Disney à ne pas mettre en vedette le moindre être humain. Seuls des animaux sont en effet représentés du début à la fin...
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The Lion King II: Simba's Pride (v)|Darrell Rooney Rob LaDuca|Animation||2|américain|1998|77|Anglais||DX50|||DX50|1 146 Kbps|512x408|WMA2|64.1 Kbps|False|44.1 KHz|2|679||||25.000|09/08/2009 00:00:00|Jeannine Roussel|Jonathan Cuba Flip Kobler Cindy Marcus Mark McCorkle Bill Motz Gregory Poirier Bob Roth Robert Schooley Jenny Wingfield|||||Simba et Nala ont maintenant une fille, Kiara. Alors que Timon et Pumba devaient la surveiller, elle réussit à échapper à leur vigilance et rencontre en chemin un jeune lion nommé Kovu. Ce qu'elle ne sait pas, c'est que Kovu est en fait le fils de Zira, une des servantes de Scar. Zira a en fait une idée derrrière la tête: élever Kovu pour qu'il renverse Simba et devienne le Roi de la Terre des Lions.L'amitié entre Kiara et Kovu saura-t-elle dépasser cette guerre des clans? |Matthew Broderick (Simba (voix))@Moira Kelly (Nala (voix))@Michelle Horn (Kiara jeune (voix))@Ryan O'Donohue (Kovu jeune (voix))@Neve Campbell (Kiara adulte (voix))@Jason Marsden (Kovu adulte (voix))@Suzanne Pleshette (Zira (voix))@Nathan Lane (Timon (voix))@Ernie Sabella (Pumbaa (voix))@Andy Dick (Nuka (voix))@Lacey Chabert (Vitani jeune (voix))@Jennifer Lien (Vitani adulte (voix))@Robert Guillaume (Rafiki (voix))@Edward Hibbert (Zazu (voix))@James Earl Jones (Mufasa (voix))@||||||||||||@@
The Lion King 1½ (V)|Bradley Raymond|Animation||2|américain|2004|73|Anglais||DX50|||DX50|1 232 Kbps|576x352|MPEG-1 Audio layer 3|87.7 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||25.000|09/08/2009 00:00:00|George A. Mendoza|Tom Rogers Roger Allers Irene Mecchi Raymond Singer Evan Spiliotopoulos|||||Vous croyez connaître par coeur l'histoire du Roi Lion... vous n'en connaissez même pas la moitié! Timon et Pumba nous la racontent... à leur manière! |Nathan Lane (Timon (voix))@Ernie Sabella (Pumbaa (voix))@Julie Kavner (la mère de Timon (voix))@Jerry Stiller (Oncle Max (voix))@Matthew Broderick (Simba (voix))@Robert Guillaume (Rafiki (voix))@Moira Kelly (Nala (voix))@Whoopi Goldberg (Shenzi (voix))@Cheech Marin (Banzaï (voix))@Jim Cummings (Ed (voix))@Edward Hibbert (Zazu (voix))@Jason Rudofsky (Flinchy (voix))@Matt Weinberg (Simba jeune (voix))@Tony Anselmo (Donald Duck (voix))@||||||||||||@@
The Scorpion King|Chuck Russell|Action||2|américain|2002|84|Anglais||DX50|||DX50|940 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|680||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Stephen Sommers Sean Daniel James Jacks Linda McMahon Vince McMahon|Stephen Sommers Jonathan Hales William Osborne|John R. Leonetti||Universal Pictures|Saga : La Momie |5 000 ans avant Jésus-Christ, la légendaire cité de Gomorrhe est sous la coupe de l'avide Memnon, un tyran maléfique déterminé à éliminer les peuplades nomades du désert. Menacées d'extinction, celles-ci en oublient leurs querelles séculaires et préparent ensemble une riposte. Sachant que leur adversaire s'inspire des visions et des prophéties d'un sorcier, elles engagent un assassin, Maythayus, pour tuer ce dernier.Après s'être introduit dans le camp ennemi, Maythayus découvre que le sorcier est en fait une magnifique jeune femme se nommant Cassandra. Incapable de la tuer, le guerrier s'enfuit avec elle dans le désert. |Dwayne Johnson (Mathayus, le Roi Scorpion)@Kelly Hu (Cassandra )@Michael Clarke Duncan (Balthazar )@Mailon Rivera (Le fauconnier)@Julie Michaels (La fille de Harlem)@Kitana Baker (La femme barbare)@Richard Cetrone (Le garde barbare)@Andrei Sterling (Un bandit de Balthazar)@Steven Brand (Memnon)@Bernard Hill (Philos)@Grant Heslov (Arpid)@Sherri Howard (la Reine Isis)@Peter Facinelli (le Prince Takmet)@Ralph Moeller (Thorak)@||Secrets de tournage :
La conclusion de The Rock
The Rock définit Le Roi Scorpion comme le film d'aventure par excellence. Pour le comédien, le long métrage "réunit tous les ingrédients du cinéma d'aventures : des combats échevelés, des scènes d'amour et de comédie, des effets spéciaux... Je suis fier de l'avoir fait... et soulagé d'y avoir survécu !", déclare-t-il avec passion.
Un tournage dépayansant à domicile
L'action du Roi Scorpion est censée se dérouler au Moyen-Orient. Mais l'équipe du film n'a pas eu besoin de se déplacer à l'autre bout du monde pour effectuer le tournage. Après des repérages minutieux, elle trouva des décors "moyen-orientaux" du plus bel effet aux Etats-Unis, dont certains dans l'enceinte même du studio.
Travailler avec scorpions et cobras !
Le Roi Scorpion, outre The Rock, met également en vedette des scorpions et des cobras ! Le comédien Steven Brand tient à souligner que ceux-ci étaient de véritables spécimens. "J'ai dû plonger ma main dans une jarre, extraire quelques-unes de ces charmantes bestioles et les aligner sur mon bras. (...) Pas vraiment le genre d'animal familier qu'on souhaite avoir chez soi !"
Des lumières ancestrales...
L'action du Roi Scorpion se déroule 5000 ans avant notre ère. L'un des gros challenges du film a été de réinventer les lumières de cette société ancestrale. Le directeur de la photographie John R. Leonetti explique que "les seules sources lumineuses étaient en ce temps le soleil, la lune et le feu. Pour simuler cette dernière, mon chef électricien et moi avons inventé des "roues de feu", composées de deux anneaux sur lesquels étaient montées de petites ampoules réglées par un variateur informatisé. On pouvait ainsi imiter aussi bien la flamme d'une simple bougie que celle d'un immense brasier."
Stephen Sommers : un rôle primordial
Stephen Sommers, le réalisateur de La Momie et du Retour de la momie occupe un rôle de première importance sur Le Roi Scorpion. Pour ce film qui remet en scène l'un des personnage de sa saga à succès, il officie en tant que scénariste et producteur. L'aventure Le roi Scorpion lui permet en outre de travailler à nouveau le comédien The Rock.
The Rock = Schwarzenegger
Pour Jeff Dawn, le chef maquilleur du Roi Scorpion, The Rock possède de nombreuses ressemblances avec un certain comédien répondant au nom de... Arnold Schwarzenegger ! "J'ai fait 19 films avec Arnold", explique-t-il, "et je trouve entre The Rock et lui bien des similitudes. Adulés de millions de fans, ce sont des hommes puissamment motivés, travailleurs, qui ont su créer des personnages charismatiques. Je retrouve dans The Rock un peu du jeune Arnold, et je ne suis pas surpris d'apprendre que ce dernier soutient et apprécie The Rock."
The Rock adulé par ses compagnons de jeu
Quant on évoque The Rock, toute l'équipe du Roi Scorpion est unanime : le comédien-catcheur possède toutes les qualités. Pour le studio Universal, c'est sa prestation dans Le Retour de la momie qui avait fait forte impression, mettant l'accent sur "son charisme et sa présence". Le réalisateur Chuck Russell avoue quant à lui l'avoir remarqué dans le "Saturday Night Live" et avoir été frappé par "son physique, à la fois séduisant et impressionnant".
The Rock : un catcheur sur grand écran
Le rôle principal du Roi Scorpion est tenu par The Rock, alias Dwayne Douglas Johnson, superstar de catch et six fois Champion du monde de lutte. C'est son second rôle sur grand écran après Le Retour de la momie en 2001, où il incarnait d'ailleurs le même personnage.
Par le créateur de "La Momie"
Le scénario de Le Roi Scorpion est signé Stephen Sommers, le réalisateur de La Momie et de Le Retour de la momie.
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The Scorpion King 2: Rise of a Warrior|Russell Mulcahy|Aventure||1|américain|2008|108|Anglais||XviD|||XVID|759 Kbps|624x352|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Patti Jackson Lisa Gooding Stephen Sommers|Russell Mulcahy Randall McCormick|Glynn Speeckaert||UIP|Saga : La Momie |L'ascension fulgurante de Mathayus, jeune guerrier de la tribu de Akadiens, qui va se révolter contre l'oppresseur et devenir le Roi Scorpion... |Michael Copon (Mathayus)@Randy Couture (Sargon)@Karen Shenaz David (Layla)@Pierre Marais (Mathayus jeune)@||||||||||||@@
The Forbidden Kingdom|Rob Minkoff|Action||2|américain|2008|100|Anglais||XviD|||XVID|835 Kbps|640x352|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Casey Silver Ryan Kavanaugh|John Fusco|Peter Pau||TFM Distribution||Fan de kung-fu et de cinéma hong-kongais, Jason Tripitika, 17 ans, rêve souvent du Roi Singe. Il découvre un jour, dans une boutique de Chinatown tenue par le vieux Hop, une longue canne - un "bo" - ornée d'un singe en bronze qui ressemble à celui du personnage de ses rêves. Quelque temps après, une bande de malfaiteurs oblige Jason à s'introduire dans la boutique pour la dévaliser.Hop est abattu d'une balle, mais il a juste le temps de confier la canne à Jason et de lui faire promettre de la restituer à son propriétaire. Paniqué, le garçon s'enfuit et, serrant la canne contre lui, tombe du toit. Quand il reprend connaissance, il se retrouve plongé dans la Chine ancienne, toujours en possession de la canne. Alors qu'il est attaqué par les guerriers de Jade, Lu Yan, un ivrogne, vient à son secours et réussit en quelques mouvements de kung-fu à le débarrasser des agresseurs.Reconnaissant le "bo", Lu Yan explique à Jason qu'il doit libérer le Roi Singe et accomplir la prophétie en lui remettant la canne... |Jet Li (le Roi Singe / le moine silencieux)@Jackie Chan (le moine T'sa-Ho / le vieille homme)@Sing Ngai (Jade le seigneur de la guerre)@Michael Angarano (Jason Williams)@Yifei Liu (Golden Sparrow)@Bingbing Li (Ni Chang)@Morgan Benoit (Lupo)@Bingbing Li (Ni Chang)@Juana Collignon (La fille du sud)@Jack Posobiec (Le sudiste)@Thomas McDonell (Le jeune sudiste)@Zhi Ma Gui (La vieille femme)@Shen Shou He (Le fermier)@Bin Jiang (Jeune villageois)@Shaohua Yang (Le soldat Jade)@Yu Yuan Zeng (L'aubergiste)@Deshun Wang (Empereur Jade)@XiaoLi Liu (Reine mère)@Xiao Dong Mei (La femme de l'aubergiste)@Jason Chong (Lu Yan)@Kathleen LaGue (La mère (voix))@||Secrets de tournage :
Les enfants d'abord
Le réalisateur Rob Minkoff et son producteur du moment Casey Silver collaborent pour la première fois sur un long-métrage. Cependant, leurs univers respectifs auraient pu les rassembler plus tôt. En effet, pendant que l'un préparait la réalisation de Stuart Little , l'autre produisait Babe, le cochon dans la ville il y a neuf ans. Deux univers bien éloignés de Chinatown et du Kung-Fu...pour l'instant.
L'encre sur le berceau
Le film tire son origine d'une histoire (celle du Roi Singe ) que racontait le scénariste John Fusco à son fils au moment du coucher. "Lorsque John Fusco m'a parlé de l'histoire qu'il avait inventée pour son fils, je me suis dit que le film s'interrogerait sur la signification du kung-fu," ajoute Casey Silver. Le scénario s'applique donc à lier l'univers enfantin et le film d'action, ce qui convient de même a un public large.
Une histoire de roi ?
Voir Rob Minkoff, réalisateur du Roi Lion, engagé dans un film d'arts martiaux peut paraître étrange, mais cela ne relève en rien du hasard. La femme du réalisateur, née en Chine, lui a permis de découvrir ce pays et sa culture. Invité à l'université de Pékin pour une conférence sur le cinéma d'animation, Minkoff s'était vu interroger par un étudiant concernant l'éventualité de faire un film sur la légende du Roi Singe. Peu après, il accepta de s'atteler au projet du Royaume interdit suite à sa rencontre avec la production.
Un maître peut en attirer un autre
Dès qu'il a lu le scénario, le producteur du film a eu l'ambition de confier les deux
rôles principaux à Jackie Chan et Jet Li qui n'avaient jamais joués ensemble auparavant. Casey Silver contacte d'abord Li qui connaissait le personnage du Roi Singe et se trouvait ravi de pouvoir le faire découvrir. Chan de son côté avoue qu'il a d'abord été séduit par le projet du Royaume interdit parce que Jet Li y participait. "Cela fait plus de dix ans que j'ai envie de travailler avec Jet Li" remarque-t-il.
Un troisième maître...à la chorégraphie
Pour la mise en scène des combats, la production a fait appel au spécialiste Yuen Woo-Ping. Ce dernier a travaillé sur plusieurs films asiatiques dont Drunken Master avec Jackie Chan , mais aussi sur plusieurs films hollywoodiens tels que Matrix, Tigre et dragon ou encore Kill Bill : Volume 1. Il n'avait pas collaboré avec Chan, son ami d'enfance, depuis plus de vingt ans.
Un quasi inconnu
Avec son casting alléchant, c'est pourtant un quasi inconnu, Michael Angarano, qui tient le rôle principal de Forbidden Kingdom. A 20 ans, ce jeune acteur était jusqu'à présent notamment apparu dans Les Seigneurs de Dogtown (2006), où il incarnait un jeune skateboarder, et dans la saison 6 de 24 heures chrono.
L'entente parfaite
Pendant la toute première séquence de combat opposant Jackie Chan à Jet Li , un évènement étonnant s'est produit. "Avec la plupart des comédiens, il faut de la préparation et de l'entraînement," raconte Jackie Chan . "Mais avec Jet Li , on s'est juste regardés et on a dit simplement 'Allons-y', et on s'est jeté à l'eau. Il voulait sans doute mettre ma rapidité à l'épreuve, comme moi je souhaitais vérifier qu'il était vraiment le meilleur. Tout s'est passé tellement vite pour les deux premières prises qu'on nous a demandé de ralentir, sinon le chef opérateur allait devoir diminuer la vitesse de la caméra."
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The Lord of the Rings: The Fellowship of the Ring|Peter Jackson|Fantastique||3|américain, néo-zélandais|2001|218|Anglais||DX50|||DX50|795 Kbps|592x240|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|1410||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Frances Walsh Peter Jackson Barrie M. Osborne Tim Sanders|Peter Jackson Frances Walsh Philippa Boyens|Andrew Lesnie||New Line Cinema|Saga : Le Seigneur des Anneaux |La trilogie Le Seigneur des anneaux débutera le 19 décembre 2001 avec La Communauté de l'anneau et se poursuivra avec Les Deux tours le 18 décembre 2002 pour s'achever avec Le Retour du roi le 17 décembre 2003.Dans ce chapitre de la trilogie, le jeune et timide Hobbit, Frodon Sacquet, hérite d'un anneau. Bien loin d'être une simple babiole, il s'agit de l'Anneau Unique, un instrument de pouvoir absolu qui permettrait à Sauron, le Seigneur des ténèbres, de régner sur la Terre du Milieu et de réduire en esclavage ses peuples. À moins que Frodon, aidé d'une Compagnie constituée de Hobbits, d'Hommes, d'un Magicien, d'un Nain, et d'un Elfe, ne parvienne à emporter l'Anneau à travers la Terre du Milieu jusqu'à la Crevasse du Destin, lieu où il a été forgé, et à le détruire pour toujours. Un tel périple signifie s'aventurer très loin en Mordor, les terres du Seigneur des ténèbres, où est rassemblée son armée d'Orques maléfiques... La Compagnie doit non seulement combattre les forces extérieures du mal mais aussi les dissensions internes et l'influence corruptrice qu'exerce l'Anneau lui-même.L'issue de l'histoire à venir est intimement liée au sort de la Compagnie. |Elijah Wood (Frodon Sacquet)@Sean Astin (Sam)@Ian McKellen (Gandalf)@Sala Baker (Sauron)@Viggo Mortensen (Aragorn)@Christopher Lee (Saroumane)@Ian Holm (Bilbon Sacquet)@John Rhys-Davies (Gimli)@Sean Bean (Boromir)@Hugo Weaving (Elrond)@Liv Tyler (Arwen)@Cate Blanchett (Galadriel)@Orlando Bloom (Legolas)@Dominic Monaghan (Mary)@Billy Boyd (Pippin)@Marton Csokas (Celeborn)@Andy Serkis (Gollum (voix))@Lawrence Makoare (Lurtz)@Craig Parker (Haldir)@Mark Ferguson (Gil-Galad)@Peter McKenzie (Elendil)@Harry Sinclair (Isildur)@Alan Howard (la voix de l'Anneau)@Sarah McLeod (Rosie)@Billy Jackson (un petit garçon Hobbit)@Katie Jackson (une petite fille Hobbit)@Peter Jackson (un villageois à Bree)@||Secrets de tournage :
Hugo Weaving : de la Matrice à l'Anneau
Interprète de l'agent Smith, l'Australien Hugo Weaving a enchaîné avec une autre franchise fantastique d'envergure, Le Seigneur des anneaux où il incarne Le Seigneur elfe Elrond et où il a croisé de nouveau le producteur Barrie Osborne. Avant de retrouver les plateaux de The Matrix reloaded et The Matrix revolutions... Il a ainsi attaché son nom à deux des plus grandes sagas fantastiques de ce début de siècle.
"Le Seigneur des anneaux" sur grand écran
Comme l'oeuvre littéraire de J.R.R. Tolkien, la saga du Seigneur des anneaux a été divisée en trois volets pour son passage sur grand écran, sous la direction de Peter Jackson. Entamée avec Le Seigneur des anneaux : la communauté de l'anneau en décembre 2001, elle est suivie par Le Seigneur des anneaux : les deux tours en décembre 2002, et Le Seigneur des anneaux : le retour du roi en décembre 2003, les version longues et définitives des films sortant à chaque fois un an plus tard environ, au format DVD. Une autre adaptation avait précédemment vu le jour en 1978 : Le Seigneur des anneaux de Ralph Bakshi, un film d'animation initialement prévu en deux parties, avant qu'un échec commercial ne condamne la deuxième partie du projet. Deux téléfilms animés, The Hobbit en 1978 et The Return of the king en 1980, ont également vu le jour.
La saga des anneaux en chiffres
860 millions de dollars de recettes dans le monde (313 millions de dollars aux Etats-Unis) et 6,8 millions d'entrées-France pour Le Seigneur des anneaux : la communauté de l'anneau
910 millions de dollars de recettes dans le monde (337 millions de dollars aux Etats-Unis) et 6,9 millions d'entrées-France pour Le Seigneur des anneaux : les deux tours
300 millions de dollars de budget pour la trilogie
100 millions de lecteurs dans le monde
12 millions d'anneaux posés à la main pour les cotes de maille
915 000 mètres de pellicule utilisée
90 000 photos de tournage
48 000 pièces d'armes et d'armures fabriquées
20 602 participations de figurants au total
20 000 dollars par costume pour la garde-robe d'Arwen (Liv Tyler)
19 000 costumes
15 000 éléments de costumes
10 000 masques
6 000 m² de surface pour les studios de Weta Workshop
2 400 techniciens au total
2 000 armes
1 600 paires de pieds de Hobbits
800 plans d'effets visuels pour Le Seigneur des anneaux : les deux tours
Jusqu'à 700 acteurs sur certaines scènes
600 plans d'effets visuels pour Le Seigneur des anneaux : la communauté de l'anneau
550 heures de making-of
400 pages de scénario filmées
350 décors construits et plus de 100 lieux de tournage
274 jours de prises de vues principales
Jusqu'à 250 chevaux pour une scène
200 masques d'orques
180 infographistes
159 prothèse de nez pour Gandalf (Ian McKellen)
150 costumes crées pour chaque civilisation
Une équipe technique allant jusqu'à 148 personnes sur certaines scènes
114 rôles parlés
45 techniciens de décors
40 tailleurs, designers, cordonniers, brodeuses et bijoutiers (Département costumes)
30 à 40 costumes par hobbit
30 lieux vierges visités par l'équipe durant le tournage
24h/24 de mise en marche des fours à latex durant 3 ans et demi, 365 jours par an, pour fabriquer tous les masques et prothèses dans les temps
15 mois de tournage
13 nominations aux Oscars et 4 statuettes (Meilleure musique, Meilleurs effets visuels, Meilleurs maquillages et Meilleurs photographie) pour Le Seigneur des anneaux : la communauté de l'anneau
6 nominations aux Oscars et 2 statuettes (Meilleurs effets visuels et Meilleur montage sonore) pour Le Seigneur des anneaux : les deux tours
7 ans de développement
5 équipes de prises de vue
4 versions par épée (une version gros plan avec épée forgée à la main avec poignée sculptée et gravée, une version à l'échelle hobbit ou humaine, une version légère en aluminium, une version en caoutchouc pour les cascades)
4 taille pour l'Anneau Unique (petite taille pour les doublures hobbit, taille normale, taille géante pour les grandes doublures, anneau de 10 cm pour les très gros plans)
3 films tournés simultanément
2 forgerons
1 Anneau, pour les gouverner tous...
Avant-propos de Peter Jackson
Le dossier de presse du Seigneur des anneaux : le retour du roi s'ouvre sur ces mots du cinéaste Peter Jackson :
"J'ai consacré ces sept dernières année de ma vie à écrire, réaliser et produire la Trilogie du Seigneur des anneaux. ce fut une odyssée épuisante, finalement assez proche de celle de nos personnages, Frodon et Sam, avec peu de sommeil, une vie qui n'a plus rien de normal et de nombreux moments où l'on se demande si on arrivera un jour au bout...
Aux deux années de préproduction ont succédé 274 jours de tournage, eux-mêmes suivis par trois ans de post-production. Chaque étape du processus de création apportait son lot de défis, pour lesquels le plus souvent, la solution était à inventer. Régulièrement, une question me revenait : n'aurait-il pas été préférable de faire autre chose que Le Seigneur des anneaux ?
La réponse a toujours été non. D'abord parce que j'ai eu la chance de travailler avec certains des acteurs et des techniciens les plus talentueux que l'on puisse trouver dans le monde. Pendant toutes ces années, chaque jour m'a prouvé que nous partagions une véritable passion pour l'oeuvre de J.R.R. Tolkien. Cet amour nous a donné l'énergie, le courage de tout surmonter ; il nous a poussés à donner le meilleur de nous-mêmes pour ces films. Je serai éternellement reconnaissant à New Line Cinema de m'avoir offert la chance de porter à l'écarn ma vision du Seigneur des anneaux.
Le professeur Tolkien a dit autrefois que 'la marmite de soupe, le choudaron de l'histoire a toujours bouillonné, et qu'y ont été continuellement ajoutés de nouveaux ingrédients, délicats ou moins raffinés'. A présent, je suis heureux de laisser ces films vivre leur vie dans ce monde et devenir ce que cette génération, ou les prochaines, voudront faire d'eux. Que ma contribution soit en fin de compte jugée 'délicate ou moins raffinée' n'est pas essentiel pour moi. désormais, elle existe. La Trilogie ne m'appartient plus, elle est maintenant entre les mains de ceux pour qui ces films ont été faits : les gens qui aiment ces livres et ont toujours aimé le cinéma".
Multiples retours en Terre du Milieu pour l'équipe du film
Dès la préparation du projet, Peter Jackson avait demandé à disposer d'un budget pour retourner certaines scènes entre chaque film de la saga. il pouvait ainsi modifier et améliorer certaines prises de vues des différentes équipes de tournage, et ainsi affiner sa vision de l'histoire et des personnages. on estime ainsi que 20 % du Retour du Roi ont été refilmés par ses soins durant l'année 2003. Ces retours en Terre du Milieu étaient également l'occasion pour les comédiens et les techniciens de retrouver cette équipe devenue presque une famille...
"Approved P.J."
Durant la pré-production, un tampon spécial "Approved P.J." ("Approuvé par Peter Jackson") fut crée, afin d'être appliqué sur les dessins et designs acceptés par le cinéaste. Chaque designer et artiste n'attendait qu'une seul chose : que leur dernière création soit tamponnée "Approved P.J." !
Une distribution française onéreuse
La distribution française de la trilogie réalisée par Peter Jackson a coûté très cher. Metropolitan FilmExport a en effet acquis les droits de distribution des trois films pour la modique somme de 100 millions de francs.
Une cassette pour les gouverner tous...
A l'origine, Elijah Wood n'avait que peu de chance de participer à l'aventure du Seigneur des anneaux : en effet, Peter Jackson souhaitait engager des comédiens britanniques pour incarner les Hobbits. L'acteur, américain, désirait tellement incarner Frodon qu'il travailla en conséquence pour modifier son accent. Et pour convaincre le réalisateur de ses qualités, il lui envoya un bout d'essai, filmé par son ami et cinéaste George Huang, dans lequel, vêtu à la Hobbit, il arpentait les collines dans la peau de Frodon. Des efforts qui portèrent leurs fruits : Peter Jackson avait trouvé son Porteur de l'Anneau.
Jeremy Irons
L'acteur britannique Jeremy Irons aurait pu jouer dans le seigneur des anneaux.
4 Oscars
Ce film a remporté 4 Oscars.
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Les contributeursCe film a reçu 4 contributions, pour les secrets de tournage, de: Xyrons - Miamsolo
Les contributions faites sur cette fiche sont mises à disposition sous un contrat Creative Commons.
Kylie Minogue pour Galadriel
La chanteuse Kylie Minogue a postulé pour avoir le rôle de Galadriel, mais en vain. D'après Elijah Wood, Peter Jackson refusa qu'elle incarne Galadriel car elle était trop petite.
Christopher Lee et Tolkien
Le seul acteur de la saga à avoir rencontré J.R.R. Tolkien (l'auteur des livres du Seigneur des Anneaux) n'est autre que Christopher Lee, qui interprète Saroumane.
L'importance des story-boards
Afin d'entreprendre le tournage simultané de trois films, le travail de préparation en amont de la production fut évidemment essentiel. Peter Jackson et son équipe travaillèrent donc d'arrache-pied sur les story-boards du film durant 4 à 5 ans !
Une aide de George Lucas
Utilisant la technique dite de "Prévisualisation" pour visualiser en amont du tournage les scènes difficiles du film (requérant notamment de nombreux effets visuels), l'équipe de Peter Jackson reçut une aide bienvenue en la personne de George Lucas et son producteur Rick McCallum. Ces derniers les invitèrent même au légendaire Skywalker Ranch afin de partager leurs informations sur cette technologie, et de visionner au passage les premières images de Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones...
Peter Jackson dans le rôle de Bilbon !
Un mois avant le début du tournage, Peter Jackson et quelques collaborateurs répétèrent la scène de dialogue entre Bilbon (Ian Holm) et Gandalf (Ian McKellen) dans le décors de Hobbitebourg, afin de préparer leurs angles de prise de vue. Peter Jackson en personne se glissa dans la peau de Bilbon et livra une très bonne performance, tandis qu'un technicien muni d'un masque incarnait Gandalf. Quant au producteur Rick Porras, il jouait le rôle de Frodon.
Créer Hobbitebourg
Hobbitebourg était essentiel à l'histoire : il devait témoigner du "paradis" pour lequel se bat Frodon. Le village des Hobbits fut donc créer largement en amont du tournage, basé sur les croquis de John Howe et Alan Lee. Les plantes, fleurs, arbres et potagers furent plantés un an avant le début du tournage, pour donner à ce décor naturel une véritable authenticité et un air de vécu.
L'Anneau unique = l'alliance du producteur
Crée par une équipe spéciale de joaillier, l'Anneau unique fut forgé dans quatre tailles différentes : petite taille pour les doublures hobbit, taille normale, taille géante pour les grandes doublures, ainsi qu'une version de 10 centimètres de diamètre pour les très gros plans. Sa forme est notamment basée sur celle de l'Alliance du producteur Rick Porras.
Sean Astin, l'ange gardien d'Elijah Wood
Comme son personnage de Sam dans la trilogie, Sean Astin fut un véritable ange gardien pour Elijah Wood (Frodon). Sans cesse sur le qui-vive concernant la sécurité de son partenaire, il l'aidait à résoudre tous ses problèmes, comme notamment le jour où ce dernier oublia ses clés dans son appartement. Sean Astin prit toute l'opération en main, appelant le serrurier et s'occupant de toutes les démarches à faire, pour que son collègue et ami puissent garder l'esprit tranquille...
1er jour de tournage
Le premier jour de tournage officiel de la trilogie fut celui de la scène de La Communauté de l'anneau où les quatre hobbits doivent se cacher sous une souche pour échapper au sinistre Cavalier noir sur le chemin dans la forêt.
Quand Boromir a le vertige...
Effrayé par la perspective de reprendre l'hélicoptère après un premier voyage mouvementé, Sean Bean, interprète de Boromir dans La Communauté de l'anneau, refusa de remonter dans l'un des appareils nécessaire pour transporter les comédiens sur un lieu de tournage inaccessible. Il prit donc sa voiture et termina le trajet à pied, escaladant deux heures durant les collines pour rejoindre ses partenaires !
« Préc.
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Les contributeursCe film a reçu 4 contributions, pour les secrets de tournage, de: Xyrons - Miamsolo
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Un premier montage de 5 heures pour le premier film
Le premier montage de La Communauté de l'anneau durait environ cinq heures ! Peter Jackson dut donc se résoudre à de nombreuses coupes et sdécida, avec ses collaborateurs, de recentrer l'histoire sur la quête de Frodon. La durée du film fut ainsi réduite à un peu moins de trois heures. Une version longue du film, proposée en DVD, comporte près de trente minutes de scènes supplémentaires.
L'étalonnage numérique
Très tôt, Peter Jackson et ses producteurs décidèrent d'utiliser l'étalonnage numérique sur la trilogie. Cette technique consiste à numériser le film, puis revoir chaque scène et modifier leur éclairage pour obtenir une photo unifiée, et finalement retransposer le long métrage sur pellicule. La trilogie du Seigneur des anneaux mêlant prises de vues réelles, miniatures, images de synthèses et images composites, cette technique était essentielle pour donner à la saga une unité de ton et de couleurs.
Fran Walsh : le cri des spectres
Etonnement, c'est la scénariste et femme de Peter Jackson Fran Walsh qui prête sa voix au cri inhumain des spectres de l'anneau (les cavaliers noirs). Ne parvenant pas à trouver de son assez effrayant, les bruiteurs "jetèrent leur dévolu" sur Fran Walsh sur les conseils de Peter Jackson. Un pari gagnant...
Massive : la vrai magie du "Seigneur des anneaux"
La transposition au cinéma de la trilogie du Seigneur des anneaux n'aurait pas été possible sans un logiciel d'animation capable de transposer à l'écran les gigantesques scènes de batailles imaginées par J.R.R. Tolkien. Ainsi, les techniciens du studio Weta Workshop ont mis au point le logiciel Massive, qui offre à Peter Jackson la possibilité de créer d'innombrables entités numériques, chacune dotée de sa propre personnalité et de sa propre indépendance. En résultent des scènes de combat incroyablement réalistes, où les combattants artificiels ne répètent plus des mouvements préprogrammés mais agissent et réagissent en fonction de leur environnement. Dévoilé dans le prologue du Seigneur des anneaux : la communauté de l'anneau, Massive fut l'un des outils essentiels sur Le Seigneur des anneaux : les deux tours et Le Seigneur des anneaux : le retour du roi, notamment lors de la scène du Gouffre de Helm.
"J'ai mis au point ce programme en l'imaginant comme une vie artificielle, et non en la considérant comme un système d'animation de foule", explique le concepteur du programme Stephen Regelous. "Massive travaille en créant des agents qui possèdent leurs propres caractéristiques aléatoires et ont la capacité de prendre leurs propres décisions dans une situation de foule. Pour que ces agents réagissent naturellement à leur environnement, il fallait qu'ils disposent des même sens que nous, humains, pour l'appréhender. Ils sont donc dotés de la vision, de l'audition, du toucher ?ils entrent en collision avec les autres agents. Ils perçoivent leur environnement. Chaque agent est en outre doté de ses propres traits de caractère : l'agressivité, l'audace, la lâcheté... Il faut y ajouter les paramètres qui définissent quel est leur degré de saleté, leur taille, leur fatigue. Il y a d'innombrables paramètres qui entrent en jeu pour déterminer comment ces agents se comportent. Ce sont des entités uniques".
"Chacun de ces agents a une cerveau, une intelligence artificielle", reprend le directeur technique de Massive Geoff Tobin. "Une partie du cerveau de ces agents décide quelle action à accomplir selon le contexte, l'instant, et l'autre partie transmet des informations sur le type de terrain, les ennemis qui l'environnent, les alliés, les déplacements. D'une certaine manière, ils ne sont pas si différents de vrais figurants !"
Pour Richard Taylor, responsable de Weta, "chacun de ces personnages possède son propre éventail de mouvements militaires, son répertoire d'action. Tous ces éléments ont été intégrés aux personnages. Chaque personnage numérique a été crée dans les moindres détails : il devait donner l'impression de posséder sa propre volonté, sa propre détermination, pour compléter le jeu des acteurs réels. On ne devait absolument pas déceler la différence. (...) Certaines des scènes que l'on voit au Gouffre de Helm défient l'entendement : ces batailles titanesques créées par massive avec des dizaines de milliers de soldats qui s'agitent dans une atmosphère de colère et de mort, et tout cela a été crée numériquement..."
Gollum : plus qu'un personnage numérique
Créer le personnage de Gollum, ancien Hobbit rongé par l'Anneau pour devenir une créature difforme, à la fois menaçante et pathétique, fut l'un des défis de la trilogie du Seigneur des anneaux. Crée via des logiciels d'animation de synthèse de pointe, ce personnage devait avant tout être le plus crédible possible, notamment de par ses nombreuses interactions avec Frodon (Elijah Wood) et Sam (Sean Astin). Une réussite, qui tient pour beaucoup à la performance d'Andy Serkis. Tournant avec les autres acteurs dans un costume bleu/vert/blanc ensuite effacé au montage, il retourna ensuite toutes ses scènes en studio, couvert de capteurs de mouvements, puis les reprit une nouvelle fois derrière le micro pour doubler la créature et numériser ses expressions faciales : de nombreuses heures de travail, qui font de lui l'acteur ayant fourni le plus gros travail sur la trilogie du Seigneur des anneaux !
Outre sa gestuelle, son apport fut essentiel au niveau de la voix de Gollum : "Je me sens lié à ce son sur le plan émotionnel. Pour moi, la voix de Gollum laisse transparaître sa douleur cachée. Ses souvenirs, ses émotions sont prisonniers quelque part dans sa gorge. Rien qu'en faisant sa voix, je suis entré immédiatement dans la dimension physique de Gollum, et j'ai incarné le rôle comme si je jouais réellement à l'image", explique Andy Serkis. Une performance saluée par Peter Jackson-"Gollum est probablement le personnage virtuel le plus ?humain' qui ait jamais vu le jour dans un film. Il est né de l'acteur"-, mais également par le studio New Line qui souhaite obtenir une nomination à l'Oscar du Meilleur second rôle en 2003 ! Une première pour un personnage numérique...
De la moquette pour respecter la nature
Des kilomètres de moquette furent utilisés par l'équipe du film pour ne pas détériorer la nature dans des endroits immaculés et vierges de toute civilisation où furent tournées certaines scènes du film.
Du sang noir pour la censure
Afin d'éviter une classification trop sévère défavorable à la carrière de sa trilogie, Peter Jackson a opté pour une solution efficace : écarter l'idée d'un sang rouge et donner du sang noir aux créatures maléfiques de Sauron et Saroumane (Orcs, Gobelins et autres Uruk-Haï). De sorte que les violents combats des trois films (dont la bataille du Gouffre du Gouffre de Helm du Seigneur des anneaux : les deux tours) soient moins "sanglants" visuellement et ne s'attirent pas les foudres des censeurs...
Le souci du détail
Peter Jackson a parsemé son film de références à l'oeuvre de J.R.R. Tolkien et de petits détails peremttant à la Terre du Milieu d'apparaître plus réaliste. Les passionnés reconnaîtront ainsi les trois Trolls transformés en statues, lors d'une halte d'Aragorn et des Hobbits dans leur fuite vers Fondcombe. Autres clins d'oeil : les chants de Bilbon et Gandalf, la carte du Mont Solitaire de Bilbon (référence au roman Bilbo le hobbit), les présents de Galadriel (capes elfiques, broches et armes) ou encore la grâce des Elfes (Legolas ne s'enfonçant pas dans la neige sur les flancs du Mont Caradhras entre autres).
Modifier les tailles
Pour illustrer à l'écran les différences de taille entre les Hobbits et leurs homologues humains, elfes et magiciens, l'équipe utilisa des perspectives forcées, plaçant les personnages les plus grands près de l'objectif de la caméra pour les faire paraître plus imposants que les semi-hommes. Autres astuces : un système de plates-formes et de poulies permettant aux comédiens de bouger en même temps que la caméra pour maintenir cette perspective forcée, la construction du décor à différentes échelles, l'utilisation d'images composites, de comédiens sur échasses ou de géants et de personnes de petite taille engagés comme doublure et portant pour certains des masques à l'effigie des héros du film...
Sean Connery écarté
Dès l'annonce de la mise en chantier de la trilogie, le nom de Sean Connery a immédiatement été murmuré par de nombreux fans de la saga pour le rôle de Gandalf. Le comédien a d'ailleurs proposé ses services à Peter Jackson en vue d'interpréter le puissant magicien. Le cinéaste repoussa pourtant l'idée, préférant un comédien moins connu. C'est Ian McKellen qui fut jugé le plus apte à capturer l'essence de ce personnage essentiel de la Communauté de l'Anneau.
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Les contributeursCe film a reçu 4 contributions, pour les secrets de tournage, de: Xyrons - Miamsolo
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Elijah Wood et l'Anneau unique
C'est Elijah Wood, interprète du Porteur de l'Anneau Frodon Sacquet, qui a hérité de l'"Anneau unique". Peter Jackson et sa femme et collaboratrice Fran Walsh lui ont remis ce cadeau lors d'une séances d'enregistrement de dialogues additionnels. Plusieurs exemplaires du maléfique artefact étaient bien entendu utilisés lors du tournage de la trilogie, mais le bijou dont a hérité le comédien est l'anneau majoritairement employé sur les plateaux. Un cadeau unique et magique.
Un tatouage sous le signe des Elfes
Afin de marquer la fin d'un tournage marathon et d'immortaliser à jamais une période importante de leur vie, tous les acteurs du Seigneur des anneaux, la communauté de l'anneau se sont livrés à une petite fantaisie corporelle. Chacun s'est en effet tatoué le chiffre "9" sur le corps, avec cependant une particularité propre à l'univers de Tolkien puisqu'il était inscrit en langage Elfe.
La rencontre de Christopher Lee et Tolkien
De tous ceux qui ont participé à l'aventure cinématographique du Seigneur des Anneaux, Christopher Lee est le seul à avoir rencontré l'auteur de la saga J.R.R. Tolkien, avec qui il a pu partager quelques mots. Un privilège pour le comédien qui avoue également avoir acheté la trilogie littéraire dès sa parution en 1954 et 1955.
Un génie qui accouche d'un succès colossal...
C'est en 1892 que naît J.R.R. Tolkien, en Afrique du Sud. Ce britannique exerce d'abord en tant que lexicographe pour un dictionnaire puis devient professeur de langue et de littérature anglaise aux universités de Leeds et d'Oxford. Spécialisé dans les dialectes anglo-saxons, J.R.R. Tolkien est aussi passionné par les langages nordiques et les langues imaginaires. Il sera d'ailleurs le créateur de deux langue complètes : le Quenya et le Sindarin, parlers elfiques que l'ont peut entendre dans le film. C'est en cherchant un cadre historique pour ces langues qu'il invente la Terre du Milieu.
En 1937, il publie Bilbo le Hobbit, premier roman qu'il destine aux enfants. Mais c'est en 1954 et 1955 que J.R.R. Tolkien entre dans la légende avec la publication de la suite de Bilbo, l'immensément long et beaucoup plus sombre Seigneur des Anneaux. Avec ce livre, il entendait doter d'un grand ensemble mythologique son pays, qui en était dépourvu. Les Anglais ne sont d'ailleurs pas des ingrats puisqu'ils ont élu son livre meilleure oeuvre du 20e siècle. Près de 200 millions de lecteurs dans le monde ont vibré à la lecture de ce classique au confluent de la littérature (pour ses procédés narratifs) et du mythe (pour sa façon de parler à l'inconscient collectif à travers des symboles universels).
Un Viggo Mortensen déchaîné!
Le moins que l'on puisse dire est que Viggo Mortensen a pris très à coeur son rôle d'Aragorn dans Le Seigneur des anneaux. Il a lui-même effectué toutes ses cascades et s'est cassé une dent lors d'un coup d'épée malheureux. Pas troublé pour un sou, le comédien a immédiatement demandé de la glue pour recoller sa dent cassée et reprendre le tournage aussi vite que possible ! Autre témoignage de l'importance qu'il accordait au film et de sa méthode pour s'imprégner de son rôle, le comédien ememnait son épée partout avec lui (au restaurant, en voiture...) et dormait même avec ! Il lui est même arrivé de dormir avec son cheval...
Une amitié qui dépasse le cadre du film...
Non contents d'être deux amis inséparables dans Le Seigneur des anneaux, la communauté de l'anneau, où ils incarnent respectivement Frodon et Sam, les comédiens Elijah Wood et Sean Astin sont aujourd'hui, paraît-il, les meilleurs amis du monde en dehors des plateaux. Un parallèle bien sympathique...
3 films en simultanés !
Si Robert Zemeckis avait tourné deux épisodes de la saga Retour vers le futur en même temps, Peter Jackson est le seul cinéaste à avoir tourné trois films de manière simultanée, avec l'aide de pas moins de cinq équipes. C'était selon lui l'unique moyen de mener à terme, au niveau économique, cet ambitieux projet.
Un tournage épuisant
Le tournage de la trilogie a été particulièrement éprouvant pour les comédiens. Certaines des journées de travail pouvaient durer jusqu'à plus de 16 heures et pour les hobbits, la pose des prothèses en latex à leurs pieds durait plus d'une heure. Sean Astin, qui incarne Sam, est ainsi ressorti épuisé du tournage à la fin duquel il a perdu une douzaine de kilos.
Hobbits = "Beatles" ?
Durant le tournage du Seigneur des anneaux, la communauté de l'anneau, Peter Jackson a donné un surnom bien particulier aux quatre acteurs qui incarnent les hobbits. Grand fan des Beatles, il leur a en effet donné à chacun le nom de l'un des membres du groupe ! Pour l'anniversaire de Peter Jackson, les quatres acteurs lui ont rendu la pareille en lui offrant une photo d'eux déguisés en Beatles !
Un Frodon peut en cacher un autre !
C'est Elijah Wood qui le dit : à l'origine, ce n'est pas lui qui devait incarner Frodon, le personnage central de la trilogie sur grand écran, mais Dominic Monaghan. Quand Peter Jackson a visionné la cassette vidéo envoyée par Elijah Wood, la révélation a cependant été immédiate : celui-ci EST Frodon. Dominic Monaghan n'a, lui, pas trop perdu au change, puisqu'il a hérité au final du rôle de Merry, camarade hobbit de Frodon.
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Les contributeursCe film a reçu 4 contributions, pour les secrets de tournage, de: Xyrons - Miamsolo
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Des "caméos" pour Peter Jackson
Peter Jackson a l'habitude de faire une petite apparition clin d'oeil dans chacun de ses films. Ainsi, dans La Communauté de l'anneau, on l'aperçoit furtivement dans le rôle d'un habitant du village de Bree. Dans Les Deux tours, il incarne un soldat défendant le gouffre de Helm lors d'une bataille épique. Saurez-vous le reconnaître ?
Christopher Lee et son rôle...
Le légendaire comédien Christopher Lee incarne le personnage du magicien Saroumane dans la trilogie. Mais à l'origine, il manifestait plutôt l'envie d'incarner l'autre magicien, Gandalf. Les cascades effectuées par ce dernier ont cependant contraints Christopher Lee, trop âgé, a renoncer à son désir initial. Une satisfaction pour Peter Jackson, qui ne voyait que lui pour interpréter Saroumane.
26 minutes pour patienter
L'attente autour de la trilogie étant énorme, la production a souhaité, en amont, proposer un montage de 26 minutes à des journalistes privilégiés, cela afin de mettre intelligemment l'eau à la bouche à la planète cinéma. Ce montage, impressionnant, a été projeté pour la première fois en 2001, lors du Festival du Film de Cannes.
Stuart Townsend évincé
Le comédien irlandais Stuart Townsend ne connaîtra pas la sensation de jouer dans la trilogie. Premier choix de Peter Jackson pour incarner le personnage d'Aragorn, il est rapidement et sans ménagement écarté du projet en raison de "divergences artistiques", selon New Line. C'est Viggo Mortensen qui sera finalement Aragorn, fils d'Arathorn, alias Grand-Pas. Un rôle qui lui fut proposé alors que le tournage avait déjà commencé, et qu'il accepta sans aucune préparation, persuadé par henry, son fils de 12 ans, qu'il devait participer à cette aventure unique...
Peter Jackson : une seconde adaptation
Peter Jackson n'est pas le premier à se lancer dans le pari fou d'adapter la trilogie du Seigneur des Anneaux. Avant lui, en 1978, Ralph Bakshi avait tenté l'expérience, mais sous la forme d'un dessin animé. Le résultat n'avait pas convaincu les puristes, accusant le film d'animation de ne pas véritablement rendre justice à l'oeuvre de Tolkien. A noter que dans ce dessin animé, l'acteur John Hurt prête sa voix au personnage d'Aragorn.
Un couple inséparable
Peter Jackson a toujours travaillé en collaboration avec sa femme. Depuis Meet the Feebles, Frances Walsh, la compagne du néo-zélandais, agit en tant que co-scénariste de tous ses films. Après avoir été productrice exécutive de Fantômes contre fantômes, elle se charge également de co-produire Le Seigneur des anneaux, la communauté de l'anneau. Inséparables, on vous dit...
Parler le language elfique...
Le tournage de la trilogie n'a pas seulement été éprouvant physiquement pour les comédiens. Ceux-ci ont, en plus, été amenés à parler le langage elfique, jamais utilisé oralement. Pour ce faire, ils ont disposé de l'aide d'Andrew Jack, un répétiteur dialectes et langues inventées qui leur a enseigné la phonétique pour donner vie à cette langue bien étrangère pour eux.
Un casting très particulier
Parallèlement au casting des comédiens principaux, déjà loin d'être aisé, la production a du se pencher sur le casting des figurants, qui a demandé énormément d'efforts. Les personnes recherchées devaient en effet correspondre à des profils bien définis, chacun devant correspondre à une civilisation précise du monde de Tolkien (Hobbit, Nain, Elfe...).
La naissance du projet
C'est en 1994 que l'idée vient à Peter Jackson d'adapter Le Seigneur des anneaux, la communauté de l'anneau. Un pari osé qu'il défend bec et ongles : après avoir refusé l'offre de Miramax qui voulait en faire un seul et unique film, le réalisateur présente son projet à la maison de production Fine Line et au distributeur New Line. En leur dévoilant un petit film en images de synthèse basé sur la trilogie, il parvient à les convaincre du potentiel d'un tel défi. C'est le début d'une grande aventure.
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The Lord of the Rings: The Two Towers|Peter Jackson|Fantastique||3|néo-zélandais, américain|2002|225|Anglais||DX50|||DX50|768 Kbps|592x240|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|1410||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Barrie M. Osborne Peter Jackson Frances Walsh|Peter Jackson Philippa Boyens Stephen Sinclair Frances Walsh|Andrew Lesnie||New Line Cinema|Saga : Le Seigneur des Anneaux |Après la mort de Boromir et la disparition de Gandalf, la Communauté s'est scindée en trois. Perdus dans les collines d'Emyn Muil, Frodon et Sam découvrent qu'ils sont suivis par Gollum, une créature versatile corrompue par l'Anneau. Celui-ci promet de conduire les Hobbits jusqu'à la Porte Noire du Mordor. A travers la Terre du Milieu, Aragorn, Legolas et Gimli font route vers le Rohan, le royaume assiégé de Theoden. Cet ancien grand roi, manipulé par l'espion de Saroumane, le sinistre Langue de Serpent, est désormais tombé sous la coupe du malfaisant Magicien. Eowyn, la nièce du Roi, reconnaît en Aragorn un meneur d'hommes. Entretemps, les Hobbits Merry et Pippin, prisonniers des Uruk-hai, se sont échappés et ont découvert dans la mystérieuse Forêt de Fangorn un allié inattendu : Sylvebarbe, gardien des arbres, représentant d'un ancien peuple végétal dont Saroumane a décimé la forêt... |Elijah Wood (Frodon Sacquet)@Sean Astin (Sam Gamegie)@Viggo Mortensen (Aragorn)@Ian McKellen (Gandalf)@Christopher Lee (Saroumane)@Orlando Bloom (Legolas)@John Rhys-Davies (Gimli / la voix de Sylvebarbe)@Liv Tyler (Arwen)@Cate Blanchett (Galadriel)@Hugo Weaving (Elrond)@Bernard Hill (le roi Théoden de Rohan)@Miranda Otto (Eowyn de Rohan)@Karl Urban (Eomer)@Brad Dourif (Grima Langue-de-Serpent)@David Wenham (Faramir )@Andy Serkis (Gollum / Sméagol)@Alan Howard (la voix de l'Anneau)@Craig Parker (Haldir)@Bruce Hopkins (Gamelin)@Sean Bean (Boromir (version longue))@Peter Jackson (un soldat défendant le Gouffre de Helm)@Alan Lee (un réfugié au Gouffre de Helm)@Billy Boyd (Pippin)@Dominic Monaghan (Merry)@John Noble (Denethor (version longue))@||Secrets de tournage :
Hugo Weaving : de la Matrice à l'Anneau
Interprète de l'agent Smith, l'Australien Hugo Weaving a enchaîné avec une autre franchise fantastique d'envergure, Le Seigneur des anneaux où il incarne Le Seigneur elfe Elrond et où il a croisé de nouveau le producteur Barrie Osborne. Avant de retrouver les plateaux de The Matrix reloaded et The Matrix revolutions... Il a ainsi attaché son nom à deux des plus grandes sagas fantastiques de ce début de siècle.
"Le Seigneur des anneaux" sur grand écran
Comme l'oeuvre littéraire de J.R.R. Tolkien, la saga du Seigneur des anneaux a été divisée en trois volets pour son passage sur grand écran, sous la direction de Peter Jackson. Entamée avec Le Seigneur des anneaux : la communauté de l'anneau en décembre 2001, elle est suivie par Le Seigneur des anneaux : les deux tours en décembre 2002, et Le Seigneur des anneaux : le retour du roi en décembre 2003, les version longues et définitives des films sortant à chaque fois un an plus tard environ, au format DVD. Une autre adaptation avait précédemment vu le jour en 1978 : Le Seigneur des anneaux de Ralph Bakshi, un film d'animation initialement prévu en deux parties, avant qu'un échec commercial ne condamne la deuxième partie du projet. Deux téléfilms animés, The Hobbit en 1978 et The Return of the king en 1980, ont également vu le jour.
La saga des anneaux en chiffres
860 millions de dollars de recettes dans le monde (313 millions de dollars aux Etats-Unis) et 6,8 millions d'entrées-France pour Le Seigneur des anneaux : la communauté de l'anneau
910 millions de dollars de recettes dans le monde (337 millions de dollars aux Etats-Unis) et 6,9 millions d'entrées-France pour Le Seigneur des anneaux : les deux tours
300 millions de dollars de budget pour la trilogie
100 millions de lecteurs dans le monde
12 millions d'anneaux posés à la main pour les cotes de maille
915 000 mètres de pellicule utilisée
90 000 photos de tournage
48 000 pièces d'armes et d'armures fabriquées
20 602 participations de figurants au total
20 000 dollars par costume pour la garde-robe d'Arwen (Liv Tyler)
19 000 costumes
15 000 éléments de costumes
10 000 masques
6 000 m² de surface pour les studios de Weta Workshop
2 400 techniciens au total
2 000 armes
1 600 paires de pieds de Hobbits
800 plans d'effets visuels pour Le Seigneur des anneaux : les deux tours
Jusqu'à 700 acteurs sur certaines scènes
600 plans d'effets visuels pour Le Seigneur des anneaux : la communauté de l'anneau
550 heures de making-of
400 pages de scénario filmées
350 décors construits et plus de 100 lieux de tournage
274 jours de prises de vues principales
Jusqu'à 250 chevaux pour une scène
200 masques d'orques
180 infographistes
159 prothèse de nez pour Gandalf (Ian McKellen)
150 costumes crées pour chaque civilisation
Une équipe technique allant jusqu'à 148 personnes sur certaines scènes
114 rôles parlés
45 techniciens de décors
40 tailleurs, designers, cordonniers, brodeuses et bijoutiers (Département costumes)
30 à 40 costumes par hobbit
30 lieux vierges visités par l'équipe durant le tournage
24h/24 de mise en marche des fours à latex durant 3 ans et demi, 365 jours par an, pour fabriquer tous les masques et prothèses dans les temps
15 mois de tournage
13 nominations aux Oscars et 4 statuettes (Meilleure musique, Meilleurs effets visuels, Meilleurs maquillages et Meilleurs photographie) pour Le Seigneur des anneaux : la communauté de l'anneau
6 nominations aux Oscars et 2 statuettes (Meilleurs effets visuels et Meilleur montage sonore) pour Le Seigneur des anneaux : les deux tours
7 ans de développement
5 équipes de prises de vue
4 versions par épée (une version gros plan avec épée forgée à la main avec poignée sculptée et gravée, une version à l'échelle hobbit ou humaine, une version légère en aluminium, une version en caoutchouc pour les cascades)
4 taille pour l'Anneau Unique (petite taille pour les doublures hobbit, taille normale, taille géante pour les grandes doublures, anneau de 10 cm pour les très gros plans)
3 films tournés simultanément
2 forgerons
1 Anneau, pour les gouverner tous...
Avant-propos de Peter Jackson
Le dossier de presse du Seigneur des anneaux : le retour du roi s'ouvre sur ces mots du cinéaste Peter Jackson :
"J'ai consacré ces sept dernières année de ma vie à écrire, réaliser et produire la Trilogie du Seigneur des anneaux. ce fut une odyssée épuisante, finalement assez proche de celle de nos personnages, Frodon et Sam, avec peu de sommeil, une vie qui n'a plus rien de normal et de nombreux moments où l'on se demande si on arrivera un jour au bout...
Aux deux années de préproduction ont succédé 274 jours de tournage, eux-mêmes suivis par trois ans de post-production. Chaque étape du processus de création apportait son lot de défis, pour lesquels le plus souvent, la solution était à inventer. Régulièrement, une question me revenait : n'aurait-il pas été préférable de faire autre chose que Le Seigneur des anneaux ?
La réponse a toujours été non. D'abord parce que j'ai eu la chance de travailler avec certains des acteurs et des techniciens les plus talentueux que l'on puisse trouver dans le monde. Pendant toutes ces années, chaque jour m'a prouvé que nous partagions une véritable passion pour l'oeuvre de J.R.R. Tolkien. Cet amour nous a donné l'énergie, le courage de tout surmonter ; il nous a poussés à donner le meilleur de nous-mêmes pour ces films. Je serai éternellement reconnaissant à New Line Cinema de m'avoir offert la chance de porter à l'écarn ma vision du Seigneur des anneaux.
Le professeur Tolkien a dit autrefois que 'la marmite de soupe, le choudaron de l'histoire a toujours bouillonné, et qu'y ont été continuellement ajoutés de nouveaux ingrédients, délicats ou moins raffinés'. A présent, je suis heureux de laisser ces films vivre leur vie dans ce monde et devenir ce que cette génération, ou les prochaines, voudront faire d'eux. Que ma contribution soit en fin de compte jugée 'délicate ou moins raffinée' n'est pas essentiel pour moi. désormais, elle existe. La Trilogie ne m'appartient plus, elle est maintenant entre les mains de ceux pour qui ces films ont été faits : les gens qui aiment ces livres et ont toujours aimé le cinéma".
Multiples retours en Terre du Milieu pour l'équipe du film
Dès la préparation du projet, Peter Jackson avait demandé à disposer d'un budget pour retourner certaines scènes entre chaque film de la saga. il pouvait ainsi modifier et améliorer certaines prises de vues des différentes équipes de tournage, et ainsi affiner sa vision de l'histoire et des personnages. on estime ainsi que 20 % du Retour du Roi ont été refilmés par ses soins durant l'année 2003. Ces retours en Terre du Milieu étaient également l'occasion pour les comédiens et les techniciens de retrouver cette équipe devenue presque une famille...
"Approved P.J."
Durant la pré-production, un tampon spécial "Approved P.J." ("Approuvé par Peter Jackson") fut crée, afin d'être appliqué sur les dessins et designs acceptés par le cinéaste. Chaque designer et artiste n'attendait qu'une seul chose : que leur dernière création soit tamponnée "Approved P.J." !
Une distribution française onéreuse
La distribution française de la trilogie réalisée par Peter Jackson a coûté très cher. Metropolitan FilmExport a en effet acquis les droits de distribution des trois films pour la modique somme de 100 millions de francs.
Une cassette pour les gouverner tous...
A l'origine, Elijah Wood n'avait que peu de chance de participer à l'aventure du Seigneur des anneaux : en effet, Peter Jackson souhaitait engager des comédiens britanniques pour incarner les Hobbits. L'acteur, américain, désirait tellement incarner Frodon qu'il travailla en conséquence pour modifier son accent. Et pour convaincre le réalisateur de ses qualités, il lui envoya un bout d'essai, filmé par son ami et cinéaste George Huang, dans lequel, vêtu à la Hobbit, il arpentait les collines dans la peau de Frodon. Des efforts qui portèrent leurs fruits : Peter Jackson avait trouvé son Porteur de l'Anneau.
Un acteur prête sa voix
Un des acteurs de la saga prête sa voix à un personnage. En effet, John Rhys-Davies, qui incarne Gimli, prête aussi sa voix à Sylvebarbe, l'Ent qui recueille Merry et Pippin.
L'importance des story-boards
Afin d'entreprendre le tournage simultané de trois films, le travail de préparation en amont de la production fut évidemment essentiel. Peter Jackson et son équipe travaillèrent donc d'arrache-pied sur les story-boards du film durant 4 à 5 ans !
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Une aide de George Lucas
Utilisant la technique dite de "Prévisualisation" pour visualiser en amont du tournage les scènes difficiles du film (requérant notamment de nombreux effets visuels), l'équipe de Peter Jackson reçut une aide bienvenue en la personne de George Lucas et son producteur Rick McCallum. Ces derniers les invitèrent même au légendaire Skywalker Ranch afin de partager leurs informations sur cette technologie, et de visionner au passage les premières images de Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones...
L'Anneau unique = l'alliance du producteur
Crée par une équipe spéciale de joaillier, l'Anneau unique fut forgé dans quatre tailles différentes : petite taille pour les doublures hobbit, taille normale, taille géante pour les grandes doublures, ainsi qu'une version de 10 centimètres de diamètre pour les très gros plans. Sa forme est notamment basée sur celle de l'Alliance du producteur Rick Porras.
Sean Astin, l'ange gardien d'Elijah Wood
Comme son personnage de Sam dans la trilogie, Sean Astin fut un véritable ange gardien pour Elijah Wood (Frodon). Sans cesse sur le qui-vive concernant la sécurité de son partenaire, il l'aidait à résoudre tous ses problèmes, comme notamment le jour où ce dernier oublia ses clés dans son appartement. Sean Astin prit toute l'opération en main, appelant le serrurier et s'occupant de toutes les démarches à faire, pour que son collègue et ami puissent garder l'esprit tranquille...
1er jour de tournage
Le premier jour de tournage officiel de la trilogie fut celui de la scène de La Communauté de l'anneau où les quatre hobbits doivent se cacher sous une souche pour échapper au sinistre Cavalier noir sur le chemin dans la forêt.
L'étalonnage numérique
Très tôt, Peter Jackson et ses producteurs décidèrent d'utiliser l'étalonnage numérique sur la trilogie. Cette technique consiste à numériser le film, puis revoir chaque scène et modifier leur éclairage pour obtenir une photo unifiée, et finalement retransposer le long métrage sur pellicule. La trilogie du Seigneur des anneaux mêlant prises de vues réelles, miniatures, images de synthèses et images composites, cette technique était essentielle pour donner à la saga une unité de ton et de couleurs.
Fran Walsh : le cri des spectres
Etonnement, c'est la scénariste et femme de Peter Jackson Fran Walsh qui prête sa voix au cri inhumain des spectres de l'anneau (les cavaliers noirs). Ne parvenant pas à trouver de son assez effrayant, les bruiteurs "jetèrent leur dévolu" sur Fran Walsh sur les conseils de Peter Jackson. Un pari gagnant...
Massive : la vrai magie du "Seigneur des anneaux"
La transposition au cinéma de la trilogie du Seigneur des anneaux n'aurait pas été possible sans un logiciel d'animation capable de transposer à l'écran les gigantesques scènes de batailles imaginées par J.R.R. Tolkien. Ainsi, les techniciens du studio Weta Workshop ont mis au point le logiciel Massive, qui offre à Peter Jackson la possibilité de créer d'innombrables entités numériques, chacune dotée de sa propre personnalité et de sa propre indépendance. En résultent des scènes de combat incroyablement réalistes, où les combattants artificiels ne répètent plus des mouvements préprogrammés mais agissent et réagissent en fonction de leur environnement. Dévoilé dans le prologue du Seigneur des anneaux : la communauté de l'anneau, Massive fut l'un des outils essentiels sur Le Seigneur des anneaux : les deux tours et Le Seigneur des anneaux : le retour du roi, notamment lors de la scène du Gouffre de Helm.
"J'ai mis au point ce programme en l'imaginant comme une vie artificielle, et non en la considérant comme un système d'animation de foule", explique le concepteur du programme Stephen Regelous. "Massive travaille en créant des agents qui possèdent leurs propres caractéristiques aléatoires et ont la capacité de prendre leurs propres décisions dans une situation de foule. Pour que ces agents réagissent naturellement à leur environnement, il fallait qu'ils disposent des même sens que nous, humains, pour l'appréhender. Ils sont donc dotés de la vision, de l'audition, du toucher ?ils entrent en collision avec les autres agents. Ils perçoivent leur environnement. Chaque agent est en outre doté de ses propres traits de caractère : l'agressivité, l'audace, la lâcheté... Il faut y ajouter les paramètres qui définissent quel est leur degré de saleté, leur taille, leur fatigue. Il y a d'innombrables paramètres qui entrent en jeu pour déterminer comment ces agents se comportent. Ce sont des entités uniques".
"Chacun de ces agents a une cerveau, une intelligence artificielle", reprend le directeur technique de Massive Geoff Tobin. "Une partie du cerveau de ces agents décide quelle action à accomplir selon le contexte, l'instant, et l'autre partie transmet des informations sur le type de terrain, les ennemis qui l'environnent, les alliés, les déplacements. D'une certaine manière, ils ne sont pas si différents de vrais figurants !"
Pour Richard Taylor, responsable de Weta, "chacun de ces personnages possède son propre éventail de mouvements militaires, son répertoire d'action. Tous ces éléments ont été intégrés aux personnages. Chaque personnage numérique a été crée dans les moindres détails : il devait donner l'impression de posséder sa propre volonté, sa propre détermination, pour compléter le jeu des acteurs réels. On ne devait absolument pas déceler la différence. (...) Certaines des scènes que l'on voit au Gouffre de Helm défient l'entendement : ces batailles titanesques créées par massive avec des dizaines de milliers de soldats qui s'agitent dans une atmosphère de colère et de mort, et tout cela a été crée numériquement..."
Gollum : plus qu'un personnage numérique
Créer le personnage de Gollum, ancien Hobbit rongé par l'Anneau pour devenir une créature difforme, à la fois menaçante et pathétique, fut l'un des défis de la trilogie du Seigneur des anneaux. Crée via des logiciels d'animation de synthèse de pointe, ce personnage devait avant tout être le plus crédible possible, notamment de par ses nombreuses interactions avec Frodon (Elijah Wood) et Sam (Sean Astin). Une réussite, qui tient pour beaucoup à la performance d'Andy Serkis. Tournant avec les autres acteurs dans un costume bleu/vert/blanc ensuite effacé au montage, il retourna ensuite toutes ses scènes en studio, couvert de capteurs de mouvements, puis les reprit une nouvelle fois derrière le micro pour doubler la créature et numériser ses expressions faciales : de nombreuses heures de travail, qui font de lui l'acteur ayant fourni le plus gros travail sur la trilogie du Seigneur des anneaux !
Outre sa gestuelle, son apport fut essentiel au niveau de la voix de Gollum : "Je me sens lié à ce son sur le plan émotionnel. Pour moi, la voix de Gollum laisse transparaître sa douleur cachée. Ses souvenirs, ses émotions sont prisonniers quelque part dans sa gorge. Rien qu'en faisant sa voix, je suis entré immédiatement dans la dimension physique de Gollum, et j'ai incarné le rôle comme si je jouais réellement à l'image", explique Andy Serkis. Une performance saluée par Peter Jackson-"Gollum est probablement le personnage virtuel le plus ?humain' qui ait jamais vu le jour dans un film. Il est né de l'acteur"-, mais également par le studio New Line qui souhaite obtenir une nomination à l'Oscar du Meilleur second rôle en 2003 ! Une première pour un personnage numérique...
Helm : tournage épique pour bataille légendaire
"Morceau de bravoure" du Seigneur des anneaux : les deux tours, la bataille du Gouffre de Helm a nécessité pas moins de quatorze semaines de tournage à l'équipe du film, de nuit et sous la pluie. Les prises de vues ont eu lieu dans une carrière transformée proche de Wellington en Nouvelle-Zélande, et mêlent images réelles, images de synthèse, miniatures et maquettes. Au final, la bataille est l'une des plus impressionnantes jamais tournées, et s'étale sur plus de quarante minutes.
Sylvebarbe : l'homme arbre
Matérialiser les Ents, le peuple végétal et gardien de la forêt mêlant caractéristiques humaines et végétales, fut l'un des autres défis de l'équipe des effets spéciaux. Ils choisirent d'illustrer leur chef, le vénérable Sylverbarbe (Treebeard en version originale), en mêlant images de synthèse et modèles animatroniques de 4,50 mètres de hauteur. C'est John Rhys-Davies, déjà interprète du Nain Gimli, qui prête sa voix à ce personnage étrange...
Eric Sainden, responsable de l'animation des Ents, revient sur les difficultés à donner la vie à ces créatures : "La première difficulté des ces personnages est que les arbres ne sont pas des créatures imaginaires : tout le monde sait à quoi ils ressemblent... Les Ents ont été vraiment très difficiles à créer parce qu'il y a énormément d'interaction entre les branches, les feuilles, les racines qui poussent dans le sol même quand ils marchent... Ils interagissent également avec les personnages réels. Il y a des écorces qui bougent, qui s'entrechoquent, sur les joues, les yeux. Les arbres devaient prendre vie". Pour Joe Letteri, également technicien sur les Ents, "Sylverbarbe est une créature fantastique. Le grand défi avec lui a été d'unir le personnage numérique et la maquette réelle sans que l'on puisse dire où finit l'un et où commence l'autre".
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De la moquette pour respecter la nature
Des kilomètres de moquette furent utilisés par l'équipe du film pour ne pas détériorer la nature dans des endroits immaculés et vierges de toute civilisation où furent tournées certaines scènes du film.
Bâtir Edoras
Edoras, la capitale de Rohan, fut l'un des décors majeurs de la trilogie. Erigés au sommet de Mount Sunday, colline de 600 mètres de hauteur à une heure de toute civilisation, cette ville demanda également la construction de routes et pont provisoire, pour transporter hommes et matériel, l'équipe technique et les acteurs étant amené sur les lieux chaque matin et ramenés chaque soir. Ce décor, fortifié pour résister à des vents de 130 kilomètres/heure, demanda six mois de construction et six mois de "déconstruction" pour rendre au paysage son aspect originel.
Un match de cricket pour une bataille
Peter Jackson et son équipe technique se sont rendus à Wellington en février 2002 pour assister à un important match de cricket opposant la Nouvelle-Zélande à l'Angleterre. Le but de la manoeuvre : enregistrer les bruits et autres clameurs de la foule afin de simuler les cris de guerre et sons des Orcs au combat pour la séquence de la bataille du Gouffre de Helm du Seigneur des anneaux : les deux tours. A la mi-temps, les 25 000 spectateurs se sont prêtés au jeu sous la baguette de Peter Jackson, et ont notamment simulé une armée en marche en frappant du pied contre les gradins ou se cognant la poitrine en cadence, avant d'entonner un chant de guerre orc dont les paroles étaient diffusées sur écran géant. Les spectateurs ont ensuite été mis à contribution pour simuler des chuchotements pour les scènes de la forêt de Fangorn.
Du sang noir pour la censure
Afin d'éviter une classification trop sévère défavorable à la carrière de sa trilogie, Peter Jackson a opté pour une solution efficace : écarter l'idée d'un sang rouge et donner du sang noir aux créatures maléfiques de Sauron et Saroumane (Orcs, Gobelins et autres Uruk-Haï). De sorte que les violents combats des trois films (dont la bataille du Gouffre du Gouffre de Helm du Seigneur des anneaux : les deux tours) soient moins "sanglants" visuellement et ne s'attirent pas les foudres des censeurs...
Modifier les tailles
Pour illustrer à l'écran les différences de taille entre les Hobbits et leurs homologues humains, elfes et magiciens, l'équipe utilisa des perspectives forcées, plaçant les personnages les plus grands près de l'objectif de la caméra pour les faire paraître plus imposants que les semi-hommes. Autres astuces : un système de plates-formes et de poulies permettant aux comédiens de bouger en même temps que la caméra pour maintenir cette perspective forcée, la construction du décor à différentes échelles, l'utilisation d'images composites, de comédiens sur échasses ou de géants et de personnes de petite taille engagés comme doublure et portant pour certains des masques à l'effigie des héros du film...
Sean Connery écarté
Dès l'annonce de la mise en chantier de la trilogie, le nom de Sean Connery a immédiatement été murmuré par de nombreux fans de la saga pour le rôle de Gandalf. Le comédien a d'ailleurs proposé ses services à Peter Jackson en vue d'interpréter le puissant magicien. Le cinéaste repoussa pourtant l'idée, préférant un comédien moins connu. C'est Ian McKellen qui fut jugé le plus apte à capturer l'essence de ce personnage essentiel de la Communauté de l'Anneau.
Elijah Wood et l'Anneau unique
C'est Elijah Wood, interprète du Porteur de l'Anneau Frodon Sacquet, qui a hérité de l'"Anneau unique". Peter Jackson et sa femme et collaboratrice Fran Walsh lui ont remis ce cadeau lors d'une séances d'enregistrement de dialogues additionnels. Plusieurs exemplaires du maléfique artefact étaient bien entendu utilisés lors du tournage de la trilogie, mais le bijou dont a hérité le comédien est l'anneau majoritairement employé sur les plateaux. Un cadeau unique et magique.
Un tatouage sous le signe des Elfes
Afin de marquer la fin d'un tournage marathon et d'immortaliser à jamais une période importante de leur vie, tous les acteurs du Seigneur des anneaux, la communauté de l'anneau se sont livrés à une petite fantaisie corporelle. Chacun s'est en effet tatoué le chiffre "9" sur le corps, avec cependant une particularité propre à l'univers de Tolkien puisqu'il était inscrit en langage Elfe.
La rencontre de Christopher Lee et Tolkien
De tous ceux qui ont participé à l'aventure cinématographique du Seigneur des Anneaux, Christopher Lee est le seul à avoir rencontré l'auteur de la saga J.R.R. Tolkien, avec qui il a pu partager quelques mots. Un privilège pour le comédien qui avoue également avoir acheté la trilogie littéraire dès sa parution en 1954 et 1955.
Un génie qui accouche d'un succès colossal...
C'est en 1892 que naît J.R.R. Tolkien, en Afrique du Sud. Ce britannique exerce d'abord en tant que lexicographe pour un dictionnaire puis devient professeur de langue et de littérature anglaise aux universités de Leeds et d'Oxford. Spécialisé dans les dialectes anglo-saxons, J.R.R. Tolkien est aussi passionné par les langages nordiques et les langues imaginaires. Il sera d'ailleurs le créateur de deux langue complètes : le Quenya et le Sindarin, parlers elfiques que l'ont peut entendre dans le film. C'est en cherchant un cadre historique pour ces langues qu'il invente la Terre du Milieu.
En 1937, il publie Bilbo le Hobbit, premier roman qu'il destine aux enfants. Mais c'est en 1954 et 1955 que J.R.R. Tolkien entre dans la légende avec la publication de la suite de Bilbo, l'immensément long et beaucoup plus sombre Seigneur des Anneaux. Avec ce livre, il entendait doter d'un grand ensemble mythologique son pays, qui en était dépourvu. Les Anglais ne sont d'ailleurs pas des ingrats puisqu'ils ont élu son livre meilleure oeuvre du 20e siècle. Près de 200 millions de lecteurs dans le monde ont vibré à la lecture de ce classique au confluent de la littérature (pour ses procédés narratifs) et du mythe (pour sa façon de parler à l'inconscient collectif à travers des symboles universels).
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Un Viggo Mortensen déchaîné!
Le moins que l'on puisse dire est que Viggo Mortensen a pris très à coeur son rôle d'Aragorn dans Le Seigneur des anneaux. Il a lui-même effectué toutes ses cascades et s'est cassé une dent lors d'un coup d'épée malheureux. Pas troublé pour un sou, le comédien a immédiatement demandé de la glue pour recoller sa dent cassée et reprendre le tournage aussi vite que possible ! Autre témoignage de l'importance qu'il accordait au film et de sa méthode pour s'imprégner de son rôle, le comédien ememnait son épée partout avec lui (au restaurant, en voiture...) et dormait même avec ! Il lui est même arrivé de dormir avec son cheval...
Une amitié qui dépasse le cadre du film...
Non contents d'être deux amis inséparables dans Le Seigneur des anneaux, la communauté de l'anneau, où ils incarnent respectivement Frodon et Sam, les comédiens Elijah Wood et Sean Astin sont aujourd'hui, paraît-il, les meilleurs amis du monde en dehors des plateaux. Un parallèle bien sympathique...
3 films en simultanés !
Si Robert Zemeckis avait tourné deux épisodes de la saga Retour vers le futur en même temps, Peter Jackson est le seul cinéaste à avoir tourné trois films de manière simultanée, avec l'aide de pas moins de cinq équipes. C'était selon lui l'unique moyen de mener à terme, au niveau économique, cet ambitieux projet.
Un tournage épuisant
Le tournage de la trilogie a été particulièrement éprouvant pour les comédiens. Certaines des journées de travail pouvaient durer jusqu'à plus de 16 heures et pour les hobbits, la pose des prothèses en latex à leurs pieds durait plus d'une heure. Sean Astin, qui incarne Sam, est ainsi ressorti épuisé du tournage à la fin duquel il a perdu une douzaine de kilos.
Hobbits = "Beatles" ?
Durant le tournage du Seigneur des anneaux, la communauté de l'anneau, Peter Jackson a donné un surnom bien particulier aux quatre acteurs qui incarnent les hobbits. Grand fan des Beatles, il leur a en effet donné à chacun le nom de l'un des membres du groupe ! Pour l'anniversaire de Peter Jackson, les quatres acteurs lui ont rendu la pareille en lui offrant une photo d'eux déguisés en Beatles !
Un Frodon peut en cacher un autre !
C'est Elijah Wood qui le dit : à l'origine, ce n'est pas lui qui devait incarner Frodon, le personnage central de la trilogie sur grand écran, mais Dominic Monaghan. Quand Peter Jackson a visionné la cassette vidéo envoyée par Elijah Wood, la révélation a cependant été immédiate : celui-ci EST Frodon. Dominic Monaghan n'a, lui, pas trop perdu au change, puisqu'il a hérité au final du rôle de Merry, camarade hobbit de Frodon.
Deux projets avortés...
A en croire l'acteur Christopher Lee, Peter Jackson n'est pas le seul à avoir voulu porter la trilogie de J.R.R. Tolkien sur grand écran. Le chanteur Sting et le metteur en scène John Boorman auraient en effet été un temps intéressés par l'aventure.
Des "caméos" pour Peter Jackson
Peter Jackson a l'habitude de faire une petite apparition clin d'oeil dans chacun de ses films. Ainsi, dans La Communauté de l'anneau, on l'aperçoit furtivement dans le rôle d'un habitant du village de Bree. Dans Les Deux tours, il incarne un soldat défendant le gouffre de Helm lors d'une bataille épique. Saurez-vous le reconnaître ?
Christopher Lee et son rôle...
Le légendaire comédien Christopher Lee incarne le personnage du magicien Saroumane dans la trilogie. Mais à l'origine, il manifestait plutôt l'envie d'incarner l'autre magicien, Gandalf. Les cascades effectuées par ce dernier ont cependant contraints Christopher Lee, trop âgé, a renoncer à son désir initial. Une satisfaction pour Peter Jackson, qui ne voyait que lui pour interpréter Saroumane.
Stuart Townsend évincé
Le comédien irlandais Stuart Townsend ne connaîtra pas la sensation de jouer dans la trilogie. Premier choix de Peter Jackson pour incarner le personnage d'Aragorn, il est rapidement et sans ménagement écarté du projet en raison de "divergences artistiques", selon New Line. C'est Viggo Mortensen qui sera finalement Aragorn, fils d'Arathorn, alias Grand-Pas. Un rôle qui lui fut proposé alors que le tournage avait déjà commencé, et qu'il accepta sans aucune préparation, persuadé par henry, son fils de 12 ans, qu'il devait participer à cette aventure unique...
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Un couple inséparable
Peter Jackson a toujours travaillé en collaboration avec sa femme. Depuis Meet the Feebles, Frances Walsh, la compagne du néo-zélandais, agit en tant que co-scénariste de tous ses films. Après avoir été productrice exécutive de Fantômes contre fantômes, elle se charge également de co-produire Le Seigneur des anneaux, la communauté de l'anneau. Inséparables, on vous dit...
Parler le language elfique...
Le tournage de la trilogie n'a pas seulement été éprouvant physiquement pour les comédiens. Ceux-ci ont, en plus, été amenés à parler le langage elfique, jamais utilisé oralement. Pour ce faire, ils ont disposé de l'aide d'Andrew Jack, un répétiteur dialectes et langues inventées qui leur a enseigné la phonétique pour donner vie à cette langue bien étrangère pour eux.
Un casting très particulier
Parallèlement au casting des comédiens principaux, déjà loin d'être aisé, la production a du se pencher sur le casting des figurants, qui a demandé énormément d'efforts. Les personnes recherchées devaient en effet correspondre à des profils bien définis, chacun devant correspondre à une civilisation précise du monde de Tolkien (Hobbit, Nain, Elfe...).
La naissance du projet
C'est en 1994 que l'idée vient à Peter Jackson d'adapter Le Seigneur des anneaux, la communauté de l'anneau. Un pari osé qu'il défend bec et ongles : après avoir refusé l'offre de Miramax qui voulait en faire un seul et unique film, le réalisateur présente son projet à la maison de production Fine Line et au distributeur New Line. En leur dévoilant un petit film en images de synthèse basé sur la trilogie, il parvient à les convaincre du potentiel d'un tel défi. C'est le début d'une grande aventure.
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The Lord of the Rings: The Return of the King|Peter Jackson|Fantastique||4|néo-zélandais, américain|2003|252|Anglais||DX50|||DX50|731 Kbps|576x224|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|1510||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Barrie M. Osborne Peter Jackson Frances Walsh Tim Sanders|Peter Jackson Philippa Boyens Frances Walsh|Andrew Lesnie||New Line Cinema|Saga : Le Seigneur des Anneaux |Les armées de Sauron ont attaqué Minas Tirith, la capitale de Gondor. Jamais ce royaume autrefois puissant n'a eu autant besoin de son roi. Mais Aragorn trouvera-t-il en lui la volonté d'accomplir sa destinée ?
Tandis que Gandalf s'efforce de soutenir les forces brisées de Gondor, Théoden exhorte les guerriers de Rohan à se joindre au combat. Mais malgré leur courage et leur loyauté, les forces des Hommes ne sont pas de taille à lutter contre les innombrables légions d'ennemis qui s'abattent sur le royaume...
Chaque victoire se paye d'immenses sacrifices. Malgré ses pertes, la Communauté se jette dans la bataille pour la vie, ses membres faisant tout pour détourner l'attention de Sauron afin de donner à Frodon une chance d'accomplir sa quête.
Voyageant à travers les terres ennemies, ce dernier doit se reposer sur Sam et Gollum, tandis que l'Anneau continue de le tenter... |Elijah Wood (Frodon Sacquet)@Sean Astin (Sam)@Viggo Mortensen (Aragorn)@Ian McKellen (Gandalf)@Liv Tyler (Arwen)@Orlando Bloom (Legolas)@John Rhys-Davies (Gimli / la voix de Sylverbarbe)@Billy Boyd (Pippin)@Dominic Monaghan (Merry)@Andy Serkis (Gollum / Sméagol)@Bernard Hill (le roi Théoden de Rohan)@Miranda Otto (Eowyn de Rohan)@Karl Urban (Eomer)@Bruce Hopkins (Gamelin)@David Wenham (Faramir)@John Noble (Denethor, Intendant du Gondor)@Hugo Weaving (Elrond)@Cate Blanchett (Galadriel)@Marton Csokas (Celeborn)@Ian Holm (Bilbon Sacquet)@Alan Howard (la voix de l'Anneau)@Lawrence Makoare (Le Roi Sorcier)@Paul Norell (le Roi des Morts)@Sarah McLeod (Rosie)@Alexandra Astin (Elanor Gamgee)@Thomas Robins (Déagol)@Noel Appleby (Everard Proudfoot)@Christopher Lee (Saroumane (version longue))@Brad Dourif (Grima Langue-de-Serpent (version longue))@Bruce Spence (la bouche de Sauron (version longue))@Royd Tolkien (un soldat du Gondor)@Peter Jackson (le chef des corsaires)@Sean Bean (Boromir (scène tirée de 'La Communauté de l'Anneau'))@Harry Sinclair (Isildur (scène tirée de 'La Communauté de l'Anneau))@Richard Taylor@||Secrets de tournage :
Hugo Weaving : de la Matrice à l'Anneau
Interprète de l'agent Smith, l'Australien Hugo Weaving a enchaîné avec une autre franchise fantastique d'envergure, Le Seigneur des anneaux où il incarne Le Seigneur elfe Elrond et où il a croisé de nouveau le producteur Barrie Osborne. Avant de retrouver les plateaux de The Matrix reloaded et The Matrix revolutions... Il a ainsi attaché son nom à deux des plus grandes sagas fantastiques de ce début de siècle.
"Le Seigneur des anneaux" sur grand écran
Comme l'oeuvre littéraire de J.R.R. Tolkien, la saga du Seigneur des anneaux a été divisée en trois volets pour son passage sur grand écran, sous la direction de Peter Jackson. Entamée avec Le Seigneur des anneaux : la communauté de l'anneau en décembre 2001, elle est suivie par Le Seigneur des anneaux : les deux tours en décembre 2002, et Le Seigneur des anneaux : le retour du roi en décembre 2003, les version longues et définitives des films sortant à chaque fois un an plus tard environ, au format DVD. Une autre adaptation avait précédemment vu le jour en 1978 : Le Seigneur des anneaux de Ralph Bakshi, un film d'animation initialement prévu en deux parties, avant qu'un échec commercial ne condamne la deuxième partie du projet. Deux téléfilms animés, The Hobbit en 1978 et The Return of the king en 1980, ont également vu le jour.
La saga des anneaux en chiffres
860 millions de dollars de recettes dans le monde (313 millions de dollars aux Etats-Unis) et 6,8 millions d'entrées-France pour Le Seigneur des anneaux : la communauté de l'anneau
910 millions de dollars de recettes dans le monde (337 millions de dollars aux Etats-Unis) et 6,9 millions d'entrées-France pour Le Seigneur des anneaux : les deux tours
300 millions de dollars de budget pour la trilogie
100 millions de lecteurs dans le monde
12 millions d'anneaux posés à la main pour les cotes de maille
915 000 mètres de pellicule utilisée
90 000 photos de tournage
48 000 pièces d'armes et d'armures fabriquées
20 602 participations de figurants au total
20 000 dollars par costume pour la garde-robe d'Arwen (Liv Tyler)
19 000 costumes
15 000 éléments de costumes
10 000 masques
6 000 m² de surface pour les studios de Weta Workshop
2 400 techniciens au total
2 000 armes
1 600 paires de pieds de Hobbits
800 plans d'effets visuels pour Le Seigneur des anneaux : les deux tours
Jusqu'à 700 acteurs sur certaines scènes
600 plans d'effets visuels pour Le Seigneur des anneaux : la communauté de l'anneau
550 heures de making-of
400 pages de scénario filmées
350 décors construits et plus de 100 lieux de tournage
274 jours de prises de vues principales
Jusqu'à 250 chevaux pour une scène
200 masques d'orques
180 infographistes
159 prothèse de nez pour Gandalf (Ian McKellen)
150 costumes crées pour chaque civilisation
Une équipe technique allant jusqu'à 148 personnes sur certaines scènes
114 rôles parlés
45 techniciens de décors
40 tailleurs, designers, cordonniers, brodeuses et bijoutiers (Département costumes)
30 à 40 costumes par hobbit
30 lieux vierges visités par l'équipe durant le tournage
24h/24 de mise en marche des fours à latex durant 3 ans et demi, 365 jours par an, pour fabriquer tous les masques et prothèses dans les temps
15 mois de tournage
13 nominations aux Oscars et 4 statuettes (Meilleure musique, Meilleurs effets visuels, Meilleurs maquillages et Meilleurs photographie) pour Le Seigneur des anneaux : la communauté de l'anneau
6 nominations aux Oscars et 2 statuettes (Meilleurs effets visuels et Meilleur montage sonore) pour Le Seigneur des anneaux : les deux tours
7 ans de développement
5 équipes de prises de vue
4 versions par épée (une version gros plan avec épée forgée à la main avec poignée sculptée et gravée, une version à l'échelle hobbit ou humaine, une version légère en aluminium, une version en caoutchouc pour les cascades)
4 taille pour l'Anneau Unique (petite taille pour les doublures hobbit, taille normale, taille géante pour les grandes doublures, anneau de 10 cm pour les très gros plans)
3 films tournés simultanément
2 forgerons
1 Anneau, pour les gouverner tous...
Avant-propos de Peter Jackson
Le dossier de presse du Seigneur des anneaux : le retour du roi s'ouvre sur ces mots du cinéaste Peter Jackson :
"J'ai consacré ces sept dernières année de ma vie à écrire, réaliser et produire la Trilogie du Seigneur des anneaux. ce fut une odyssée épuisante, finalement assez proche de celle de nos personnages, Frodon et Sam, avec peu de sommeil, une vie qui n'a plus rien de normal et de nombreux moments où l'on se demande si on arrivera un jour au bout...
Aux deux années de préproduction ont succédé 274 jours de tournage, eux-mêmes suivis par trois ans de post-production. Chaque étape du processus de création apportait son lot de défis, pour lesquels le plus souvent, la solution était à inventer. Régulièrement, une question me revenait : n'aurait-il pas été préférable de faire autre chose que Le Seigneur des anneaux ?
La réponse a toujours été non. D'abord parce que j'ai eu la chance de travailler avec certains des acteurs et des techniciens les plus talentueux que l'on puisse trouver dans le monde. Pendant toutes ces années, chaque jour m'a prouvé que nous partagions une véritable passion pour l'oeuvre de J.R.R. Tolkien. Cet amour nous a donné l'énergie, le courage de tout surmonter ; il nous a poussés à donner le meilleur de nous-mêmes pour ces films. Je serai éternellement reconnaissant à New Line Cinema de m'avoir offert la chance de porter à l'écarn ma vision du Seigneur des anneaux.
Le professeur Tolkien a dit autrefois que 'la marmite de soupe, le choudaron de l'histoire a toujours bouillonné, et qu'y ont été continuellement ajoutés de nouveaux ingrédients, délicats ou moins raffinés'. A présent, je suis heureux de laisser ces films vivre leur vie dans ce monde et devenir ce que cette génération, ou les prochaines, voudront faire d'eux. Que ma contribution soit en fin de compte jugée 'délicate ou moins raffinée' n'est pas essentiel pour moi. désormais, elle existe. La Trilogie ne m'appartient plus, elle est maintenant entre les mains de ceux pour qui ces films ont été faits : les gens qui aiment ces livres et ont toujours aimé le cinéma".
Un descendant de Tolkien à l'écran
Petit-fils de J.R.R. Tolkien, Royd Tolkien, 34 ans, fait une apparition à l'écran dans le rôle d'un chevalier du Gondor.
L'origine de Gollum
La scène d'ouverture du Retour du roi met en scène la créature Gollum sous sa forme de Hobbit -alors prénommé Sméagol- et sa découverte de l'Anneau unique en compagnie de son cousin Déagol. Dirigée par Frances Walsh, scénariste de la saga et épouse de Peter Jackson, cette séquence dévoile le vrai visage d'Andy Serkis, interprète de Gollum jusqu'alors remplacé par le personnage numérique.
Cinq morts pour Saroumane ?
Selon la rumeur, cinq morts différentes auraient été filmées pour le personnage de Saroumane (Christopher Lee). Toutefois, le sombre magicien n'apparaîtra que dans la version longue du Retour du roi, Peter Jackson ayant jugé que ses scènes (d'une durée de 7 minutes tout de même) n'étaient pas forcément nécessaire à la version cinéma de son film, dont la durée excède déjà les trois heures.
Une araignée très attendue
Le combat opposant Sam et Frodon à la monstrueuse araignée Shelob/Arachne était assurément l'une des scènes les plus attendus de la trilogie. Initialement placé dans le second livre de la saga, cette séquence a pourtant éta décalée dans Le Retour du roi au cinéma, afin d'équilibrer les scènes des diférents personnages.
Monstre très attendu par les fans, Shelob/Arachne découle directement de l'arachnophobie de Peter Jackson : "J'avais l'habitude de jouer dans la cave de mes parents quand j'étais plus jeune, là où ces Atrax Robustus (une espèce d'araignée australienne) avaient leurs nids. Chaque fois, je voulais jouer mais j'étais terrifié d'en croiser une et de la toucher par mégarde, ce que j'ai d'ailleurs fait à plusieurs occasions. Donc ma revanche était de baser Shelob sur cette araignée... (...) Ce que je trouve terrifiant chez les araignées, c'est leur façon de bouger rapidement, de se jeter sur quelque chose, de redémarrer puis de s'arrêter. C'est ce que je voulais retranscrire avec Shelob. J'ai donc donné des instructions aux animateurs de Weta pour que le monstre se déplace très rapidement, d'une façon étonnamment rapide pour sa taille. Et les scènes avec Shelob me terrifient véritablement !".
Le retour de Bruce Spence
Relativement peu connu, le comédien australien Bruce Spence fait en 2003 un retour impressionnant sur le devant de la scène, en apparaissant dans Le Seigneur des anneaux : le retour du roi et Matrix revolutions après avoir tourné dans Star wars : épisode 3 durant l'été. Avec la trilogie des Mad Max, l'acteur aura ainsi participé à quatre des plus grandes sagas fantastiques de l'histoire... Il n'apparaît toutefois que dans la version longue du Le Seigneur des anneaux : le retour du roi.
Tel père...
Alexandra Astin, la prpore fille du comédien Sean Astin, incarne sa fille dans le film.
Multiples retours en Terre du Milieu pour l'équipe du film
Dès la préparation du projet, Peter Jackson avait demandé à disposer d'un budget pour retourner certaines scènes entre chaque film de la saga. il pouvait ainsi modifier et améliorer certaines prises de vues des différentes équipes de tournage, et ainsi affiner sa vision de l'histoire et des personnages. on estime ainsi que 20 % du Retour du Roi ont été refilmés par ses soins durant l'année 2003. Ces retours en Terre du Milieu étaient également l'occasion pour les comédiens et les techniciens de retrouver cette équipe devenue presque une famille...
"Approved P.J."
Durant la pré-production, un tampon spécial "Approved P.J." ("Approuvé par Peter Jackson") fut crée, afin d'être appliqué sur les dessins et designs acceptés par le cinéaste. Chaque designer et artiste n'attendait qu'une seul chose : que leur dernière création soit tamponnée "Approved P.J." !
Une distribution française onéreuse
La distribution française de la trilogie réalisée par Peter Jackson a coûté très cher. Metropolitan FilmExport a en effet acquis les droits de distribution des trois films pour la modique somme de 100 millions de francs.
Une cassette pour les gouverner tous...
A l'origine, Elijah Wood n'avait que peu de chance de participer à l'aventure du Seigneur des anneaux : en effet, Peter Jackson souhaitait engager des comédiens britanniques pour incarner les Hobbits. L'acteur, américain, désirait tellement incarner Frodon qu'il travailla en conséquence pour modifier son accent. Et pour convaincre le réalisateur de ses qualités, il lui envoya un bout d'essai, filmé par son ami et cinéaste George Huang, dans lequel, vêtu à la Hobbit, il arpentait les collines dans la peau de Frodon. Des efforts qui portèrent leurs fruits : Peter Jackson avait trouvé son Porteur de l'Anneau.
L'importance des story-boards
Afin d'entreprendre le tournage simultané de trois films, le travail de préparation en amont de la production fut évidemment essentiel. Peter Jackson et son équipe travaillèrent donc d'arrache-pied sur les story-boards du film durant 4 à 5 ans !
Une aide de George Lucas
Utilisant la technique dite de "Prévisualisation" pour visualiser en amont du tournage les scènes difficiles du film (requérant notamment de nombreux effets visuels), l'équipe de Peter Jackson reçut une aide bienvenue en la personne de George Lucas et son producteur Rick McCallum. Ces derniers les invitèrent même au légendaire Skywalker Ranch afin de partager leurs informations sur cette technologie, et de visionner au passage les premières images de Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones...
L'Anneau unique = l'alliance du producteur
Crée par une équipe spéciale de joaillier, l'Anneau unique fut forgé dans quatre tailles différentes : petite taille pour les doublures hobbit, taille normale, taille géante pour les grandes doublures, ainsi qu'une version de 10 centimètres de diamètre pour les très gros plans. Sa forme est notamment basée sur celle de l'Alliance du producteur Rick Porras.
Sean Astin, l'ange gardien d'Elijah Wood
Comme son personnage de Sam dans la trilogie, Sean Astin fut un véritable ange gardien pour Elijah Wood (Frodon). Sans cesse sur le qui-vive concernant la sécurité de son partenaire, il l'aidait à résoudre tous ses problèmes, comme notamment le jour où ce dernier oublia ses clés dans son appartement. Sean Astin prit toute l'opération en main, appelant le serrurier et s'occupant de toutes les démarches à faire, pour que son collègue et ami puissent garder l'esprit tranquille...
1er jour de tournage
Le premier jour de tournage officiel de la trilogie fut celui de la scène de La Communauté de l'anneau où les quatre hobbits doivent se cacher sous une souche pour échapper au sinistre Cavalier noir sur le chemin dans la forêt.
L'étalonnage numérique
Très tôt, Peter Jackson et ses producteurs décidèrent d'utiliser l'étalonnage numérique sur la trilogie. Cette technique consiste à numériser le film, puis revoir chaque scène et modifier leur éclairage pour obtenir une photo unifiée, et finalement retransposer le long métrage sur pellicule. La trilogie du Seigneur des anneaux mêlant prises de vues réelles, miniatures, images de synthèses et images composites, cette technique était essentielle pour donner à la saga une unité de ton et de couleurs.
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Fran Walsh : le cri des spectres
Etonnement, c'est la scénariste et femme de Peter Jackson Fran Walsh qui prête sa voix au cri inhumain des spectres de l'anneau (les cavaliers noirs). Ne parvenant pas à trouver de son assez effrayant, les bruiteurs "jetèrent leur dévolu" sur Fran Walsh sur les conseils de Peter Jackson. Un pari gagnant...
Massive : la vrai magie du "Seigneur des anneaux"
La transposition au cinéma de la trilogie du Seigneur des anneaux n'aurait pas été possible sans un logiciel d'animation capable de transposer à l'écran les gigantesques scènes de batailles imaginées par J.R.R. Tolkien. Ainsi, les techniciens du studio Weta Workshop ont mis au point le logiciel Massive, qui offre à Peter Jackson la possibilité de créer d'innombrables entités numériques, chacune dotée de sa propre personnalité et de sa propre indépendance. En résultent des scènes de combat incroyablement réalistes, où les combattants artificiels ne répètent plus des mouvements préprogrammés mais agissent et réagissent en fonction de leur environnement. Dévoilé dans le prologue du Seigneur des anneaux : la communauté de l'anneau, Massive fut l'un des outils essentiels sur Le Seigneur des anneaux : les deux tours et Le Seigneur des anneaux : le retour du roi, notamment lors de la scène du Gouffre de Helm.
"J'ai mis au point ce programme en l'imaginant comme une vie artificielle, et non en la considérant comme un système d'animation de foule", explique le concepteur du programme Stephen Regelous. "Massive travaille en créant des agents qui possèdent leurs propres caractéristiques aléatoires et ont la capacité de prendre leurs propres décisions dans une situation de foule. Pour que ces agents réagissent naturellement à leur environnement, il fallait qu'ils disposent des même sens que nous, humains, pour l'appréhender. Ils sont donc dotés de la vision, de l'audition, du toucher ?ils entrent en collision avec les autres agents. Ils perçoivent leur environnement. Chaque agent est en outre doté de ses propres traits de caractère : l'agressivité, l'audace, la lâcheté... Il faut y ajouter les paramètres qui définissent quel est leur degré de saleté, leur taille, leur fatigue. Il y a d'innombrables paramètres qui entrent en jeu pour déterminer comment ces agents se comportent. Ce sont des entités uniques".
"Chacun de ces agents a une cerveau, une intelligence artificielle", reprend le directeur technique de Massive Geoff Tobin. "Une partie du cerveau de ces agents décide quelle action à accomplir selon le contexte, l'instant, et l'autre partie transmet des informations sur le type de terrain, les ennemis qui l'environnent, les alliés, les déplacements. D'une certaine manière, ils ne sont pas si différents de vrais figurants !"
Pour Richard Taylor, responsable de Weta, "chacun de ces personnages possède son propre éventail de mouvements militaires, son répertoire d'action. Tous ces éléments ont été intégrés aux personnages. Chaque personnage numérique a été crée dans les moindres détails : il devait donner l'impression de posséder sa propre volonté, sa propre détermination, pour compléter le jeu des acteurs réels. On ne devait absolument pas déceler la différence. (...) Certaines des scènes que l'on voit au Gouffre de Helm défient l'entendement : ces batailles titanesques créées par massive avec des dizaines de milliers de soldats qui s'agitent dans une atmosphère de colère et de mort, et tout cela a été crée numériquement..."
Gollum : plus qu'un personnage numérique
Créer le personnage de Gollum, ancien Hobbit rongé par l'Anneau pour devenir une créature difforme, à la fois menaçante et pathétique, fut l'un des défis de la trilogie du Seigneur des anneaux. Crée via des logiciels d'animation de synthèse de pointe, ce personnage devait avant tout être le plus crédible possible, notamment de par ses nombreuses interactions avec Frodon (Elijah Wood) et Sam (Sean Astin). Une réussite, qui tient pour beaucoup à la performance d'Andy Serkis. Tournant avec les autres acteurs dans un costume bleu/vert/blanc ensuite effacé au montage, il retourna ensuite toutes ses scènes en studio, couvert de capteurs de mouvements, puis les reprit une nouvelle fois derrière le micro pour doubler la créature et numériser ses expressions faciales : de nombreuses heures de travail, qui font de lui l'acteur ayant fourni le plus gros travail sur la trilogie du Seigneur des anneaux !
Outre sa gestuelle, son apport fut essentiel au niveau de la voix de Gollum : "Je me sens lié à ce son sur le plan émotionnel. Pour moi, la voix de Gollum laisse transparaître sa douleur cachée. Ses souvenirs, ses émotions sont prisonniers quelque part dans sa gorge. Rien qu'en faisant sa voix, je suis entré immédiatement dans la dimension physique de Gollum, et j'ai incarné le rôle comme si je jouais réellement à l'image", explique Andy Serkis. Une performance saluée par Peter Jackson-"Gollum est probablement le personnage virtuel le plus ?humain' qui ait jamais vu le jour dans un film. Il est né de l'acteur"-, mais également par le studio New Line qui souhaite obtenir une nomination à l'Oscar du Meilleur second rôle en 2003 ! Une première pour un personnage numérique...
De la moquette pour respecter la nature
Des kilomètres de moquette furent utilisés par l'équipe du film pour ne pas détériorer la nature dans des endroits immaculés et vierges de toute civilisation où furent tournées certaines scènes du film.
Du sang noir pour la censure
Afin d'éviter une classification trop sévère défavorable à la carrière de sa trilogie, Peter Jackson a opté pour une solution efficace : écarter l'idée d'un sang rouge et donner du sang noir aux créatures maléfiques de Sauron et Saroumane (Orcs, Gobelins et autres Uruk-Haï). De sorte que les violents combats des trois films (dont la bataille du Gouffre du Gouffre de Helm du Seigneur des anneaux : les deux tours) soient moins "sanglants" visuellement et ne s'attirent pas les foudres des censeurs...
Modifier les tailles
Pour illustrer à l'écran les différences de taille entre les Hobbits et leurs homologues humains, elfes et magiciens, l'équipe utilisa des perspectives forcées, plaçant les personnages les plus grands près de l'objectif de la caméra pour les faire paraître plus imposants que les semi-hommes. Autres astuces : un système de plates-formes et de poulies permettant aux comédiens de bouger en même temps que la caméra pour maintenir cette perspective forcée, la construction du décor à différentes échelles, l'utilisation d'images composites, de comédiens sur échasses ou de géants et de personnes de petite taille engagés comme doublure et portant pour certains des masques à l'effigie des héros du film...
Sean Connery écarté
Dès l'annonce de la mise en chantier de la trilogie, le nom de Sean Connery a immédiatement été murmuré par de nombreux fans de la saga pour le rôle de Gandalf. Le comédien a d'ailleurs proposé ses services à Peter Jackson en vue d'interpréter le puissant magicien. Le cinéaste repoussa pourtant l'idée, préférant un comédien moins connu. C'est Ian McKellen qui fut jugé le plus apte à capturer l'essence de ce personnage essentiel de la Communauté de l'Anneau.
Elijah Wood et l'Anneau unique
C'est Elijah Wood, interprète du Porteur de l'Anneau Frodon Sacquet, qui a hérité de l'"Anneau unique". Peter Jackson et sa femme et collaboratrice Fran Walsh lui ont remis ce cadeau lors d'une séances d'enregistrement de dialogues additionnels. Plusieurs exemplaires du maléfique artefact étaient bien entendu utilisés lors du tournage de la trilogie, mais le bijou dont a hérité le comédien est l'anneau majoritairement employé sur les plateaux. Un cadeau unique et magique.
Un tatouage sous le signe des Elfes
Afin de marquer la fin d'un tournage marathon et d'immortaliser à jamais une période importante de leur vie, tous les acteurs du Seigneur des anneaux, la communauté de l'anneau se sont livrés à une petite fantaisie corporelle. Chacun s'est en effet tatoué le chiffre "9" sur le corps, avec cependant une particularité propre à l'univers de Tolkien puisqu'il était inscrit en langage Elfe.
La rencontre de Christopher Lee et Tolkien
De tous ceux qui ont participé à l'aventure cinématographique du Seigneur des Anneaux, Christopher Lee est le seul à avoir rencontré l'auteur de la saga J.R.R. Tolkien, avec qui il a pu partager quelques mots. Un privilège pour le comédien qui avoue également avoir acheté la trilogie littéraire dès sa parution en 1954 et 1955.
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Un génie qui accouche d'un succès colossal...
C'est en 1892 que naît J.R.R. Tolkien, en Afrique du Sud. Ce britannique exerce d'abord en tant que lexicographe pour un dictionnaire puis devient professeur de langue et de littérature anglaise aux universités de Leeds et d'Oxford. Spécialisé dans les dialectes anglo-saxons, J.R.R. Tolkien est aussi passionné par les langages nordiques et les langues imaginaires. Il sera d'ailleurs le créateur de deux langue complètes : le Quenya et le Sindarin, parlers elfiques que l'ont peut entendre dans le film. C'est en cherchant un cadre historique pour ces langues qu'il invente la Terre du Milieu.
En 1937, il publie Bilbo le Hobbit, premier roman qu'il destine aux enfants. Mais c'est en 1954 et 1955 que J.R.R. Tolkien entre dans la légende avec la publication de la suite de Bilbo, l'immensément long et beaucoup plus sombre Seigneur des Anneaux. Avec ce livre, il entendait doter d'un grand ensemble mythologique son pays, qui en était dépourvu. Les Anglais ne sont d'ailleurs pas des ingrats puisqu'ils ont élu son livre meilleure oeuvre du 20e siècle. Près de 200 millions de lecteurs dans le monde ont vibré à la lecture de ce classique au confluent de la littérature (pour ses procédés narratifs) et du mythe (pour sa façon de parler à l'inconscient collectif à travers des symboles universels).
Un Viggo Mortensen déchaîné!
Le moins que l'on puisse dire est que Viggo Mortensen a pris très à coeur son rôle d'Aragorn dans Le Seigneur des anneaux. Il a lui-même effectué toutes ses cascades et s'est cassé une dent lors d'un coup d'épée malheureux. Pas troublé pour un sou, le comédien a immédiatement demandé de la glue pour recoller sa dent cassée et reprendre le tournage aussi vite que possible ! Autre témoignage de l'importance qu'il accordait au film et de sa méthode pour s'imprégner de son rôle, le comédien ememnait son épée partout avec lui (au restaurant, en voiture...) et dormait même avec ! Il lui est même arrivé de dormir avec son cheval...
Une amitié qui dépasse le cadre du film...
Non contents d'être deux amis inséparables dans Le Seigneur des anneaux, la communauté de l'anneau, où ils incarnent respectivement Frodon et Sam, les comédiens Elijah Wood et Sean Astin sont aujourd'hui, paraît-il, les meilleurs amis du monde en dehors des plateaux. Un parallèle bien sympathique...
3 films en simultanés !
Si Robert Zemeckis avait tourné deux épisodes de la saga Retour vers le futur en même temps, Peter Jackson est le seul cinéaste à avoir tourné trois films de manière simultanée, avec l'aide de pas moins de cinq équipes. C'était selon lui l'unique moyen de mener à terme, au niveau économique, cet ambitieux projet.
Un tournage épuisant
Le tournage de la trilogie a été particulièrement éprouvant pour les comédiens. Certaines des journées de travail pouvaient durer jusqu'à plus de 16 heures et pour les hobbits, la pose des prothèses en latex à leurs pieds durait plus d'une heure. Sean Astin, qui incarne Sam, est ainsi ressorti épuisé du tournage à la fin duquel il a perdu une douzaine de kilos.
Hobbits = "Beatles" ?
Durant le tournage du Seigneur des anneaux, la communauté de l'anneau, Peter Jackson a donné un surnom bien particulier aux quatre acteurs qui incarnent les hobbits. Grand fan des Beatles, il leur a en effet donné à chacun le nom de l'un des membres du groupe ! Pour l'anniversaire de Peter Jackson, les quatres acteurs lui ont rendu la pareille en lui offrant une photo d'eux déguisés en Beatles !
Un Frodon peut en cacher un autre !
C'est Elijah Wood qui le dit : à l'origine, ce n'est pas lui qui devait incarner Frodon, le personnage central de la trilogie sur grand écran, mais Dominic Monaghan. Quand Peter Jackson a visionné la cassette vidéo envoyée par Elijah Wood, la révélation a cependant été immédiate : celui-ci EST Frodon. Dominic Monaghan n'a, lui, pas trop perdu au change, puisqu'il a hérité au final du rôle de Merry, camarade hobbit de Frodon.
Deux projets avortés...
A en croire l'acteur Christopher Lee, Peter Jackson n'est pas le seul à avoir voulu porter la trilogie de J.R.R. Tolkien sur grand écran. Le chanteur Sting et le metteur en scène John Boorman auraient en effet été un temps intéressés par l'aventure.
Des "caméos" pour Peter Jackson
Peter Jackson a l'habitude de faire une petite apparition clin d'oeil dans chacun de ses films. Ainsi, dans La Communauté de l'anneau, on l'aperçoit furtivement dans le rôle d'un habitant du village de Bree. Dans Les Deux tours, il incarne un soldat défendant le gouffre de Helm lors d'une bataille épique. Saurez-vous le reconnaître ?
Christopher Lee et son rôle...
Le légendaire comédien Christopher Lee incarne le personnage du magicien Saroumane dans la trilogie. Mais à l'origine, il manifestait plutôt l'envie d'incarner l'autre magicien, Gandalf. Les cascades effectuées par ce dernier ont cependant contraints Christopher Lee, trop âgé, a renoncer à son désir initial. Une satisfaction pour Peter Jackson, qui ne voyait que lui pour interpréter Saroumane.
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Peter Jackson : une seconde adaptation
Peter Jackson n'est pas le premier à se lancer dans le pari fou d'adapter la trilogie du Seigneur des Anneaux. Avant lui, en 1978, Ralph Bakshi avait tenté l'expérience, mais sous la forme d'un dessin animé. Le résultat n'avait pas convaincu les puristes, accusant le film d'animation de ne pas véritablement rendre justice à l'oeuvre de Tolkien. A noter que dans ce dessin animé, l'acteur John Hurt prête sa voix au personnage d'Aragorn.
Un couple inséparable
Peter Jackson a toujours travaillé en collaboration avec sa femme. Depuis Meet the Feebles, Frances Walsh, la compagne du néo-zélandais, agit en tant que co-scénariste de tous ses films. Après avoir été productrice exécutive de Fantômes contre fantômes, elle se charge également de co-produire Le Seigneur des anneaux, la communauté de l'anneau. Inséparables, on vous dit...
Parler le language elfique...
Le tournage de la trilogie n'a pas seulement été éprouvant physiquement pour les comédiens. Ceux-ci ont, en plus, été amenés à parler le langage elfique, jamais utilisé oralement. Pour ce faire, ils ont disposé de l'aide d'Andrew Jack, un répétiteur dialectes et langues inventées qui leur a enseigné la phonétique pour donner vie à cette langue bien étrangère pour eux.
Un casting très particulier
Parallèlement au casting des comédiens principaux, déjà loin d'être aisé, la production a du se pencher sur le casting des figurants, qui a demandé énormément d'efforts. Les personnes recherchées devaient en effet correspondre à des profils bien définis, chacun devant correspondre à une civilisation précise du monde de Tolkien (Hobbit, Nain, Elfe...).
La naissance du projet
C'est en 1994 que l'idée vient à Peter Jackson d'adapter Le Seigneur des anneaux, la communauté de l'anneau. Un pari osé qu'il défend bec et ongles : après avoir refusé l'offre de Miramax qui voulait en faire un seul et unique film, le réalisateur présente son projet à la maison de production Fine Line et au distributeur New Line. En leur dévoilant un petit film en images de synthèse basé sur la trilogie, il parvient à les convaincre du potentiel d'un tel défi. C'est le début d'une grande aventure.
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Le Serpent|Eric Barbier|Thriller||3|français|2007|116|Français||XviD|||XVID|710 Kbps|608x320|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|704||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Olivier Delbosc Eric Jehelmann Marc Missonnier Pierre Rambaldi|Eric Barbier Trân Minh Nâm Marie Eynard|Jérôme Robert||Wild Bunch Distribution||Vincent Mandel, photographe et père de famille en instance de divorce, voit sa vie s'effondrer à cause d'une manipulation orchestrée par un ancien camarade de classe, Joseph Plender.Meurtre, enlèvement et chantage vont conduire Vincent dans une véritable descente aux enfers... Il ne lui reste qu'un seul espoir, battre Plender à son propre jeu. |Yvan Attal (Vincent Mandel)@Clovis Cornillac (Joseph Plender)@Minna Haapkyla (Hélène)@Pierre Richard (Cendras)@Simon Abkarian (Sam)@Olga Kurylenko (Sofia)@Veronika Varga (Catherine)@Jean-Claude Bouillon (Max)@Pierre Marzin (Carbona)@Gérald Laroche (Becker)@Abdelhafid Metalsi (un policier au cimetière)@Manon Tournier (Juliette, la fille de Vincent Mandel )@||Secrets de tournage :
Un film tiré d'un roman
Le Serpent est tiré du roman de Ted Lewis, Plender. Eric Barbier avait découvert l'univers de l'auteur dans le roman Get Carter, adapté au cinéma par Mike Hodges, et a eu envie de mettre en scène Plender qui l'a beaucoup touché.
Une réécriture nécessaire
Dans le roman, Ted Lewis prenait ouvertement le parti du bourreau. La difficulté pour le réalisateur Eric Barbier et le scénariste Trân Minh Nâm a été de complètement réhabiliter le héros et de le rendre moins lâche afin que l'intrusion de Plender (le bourreau) dans sa vie ait un sens.
Un questionnement permanent
Pour l'écriture du Serpent, Eric Barbier a travaillé différemment que pour ses films précédents. Il s'est raconté l'histoire du début à la fin en questionnant en permanence les avancées, sans jamais contourner un obstacle, afin de ne rien laisser au hasard. Pour se faire, il revenait constamment aux questions : ?Qu'est-ce qu'on raconte ??, ?Quelle est l'histoire ??, ?Quelle est la dynamique de chaque mouvement ??.
Un héro de composition
Lors de l'écriture du scénario, Eric Barbier avait déjà Yvan Attal à l'esprit pour le rôle de Vincent. L'acteur a tout de suite accepté le rôle et est d'ailleurs à l'origine de la rencontre du réalisateur et de Clovis Cornillac.
Oeil pour oeil, dent pour dent
Eric Barbier et Trân Minh Nâm ont eu l'idée de structurer le film en miroir : tout ce que le méchant fait subir au gentil, le gentil le fait subir au méchant dans la deuxième partie du film. Le réalisateur avoue que cela a pris beaucoup de temps avant de trouver "l'oeil pour l'oeil et la dent pour la dent".
Deux story-boards pour un même film
Pour le film, Marie Eynard et Eric Barbier ont conçu deux types de story-boards : un premier pour les scènes d'action où les dessins étaient très précis car dans ces scènes c'est l'image qui conduit l'histoire et construit la tension, et un second plus malléable, pour les scènes de comédie. Cette préparation d'avant tournage a permis au réalisateur de savoir exactement ce qu'il fallait raconter visuellement pour qu'une scène fonctionne.
Une musique pour chaque personnage
La musique a été travaillée en amont, sur le scénario. La musique est construite à partir des personnages : une structure musicale pour Plender et une structure musicale pour Vincent. La difficulté du compositeur Renaud Barbier, était de trouver une musique qui raconte la folie de Plender, qui crée un malaise quand il s'introduit dans la vie de Vincent. Pour Vincent, Renaud Barbier a trouvé un thème plus classique, plus mélodique qui sert à renforcer son isolement dans le film.
Une histoire derrière l'histoire
Yvan Attal a inventé une histoire à son personnage afin de pouvoir s'identifier à lui et de rendre celui-ci crédible. Son personnage Vincent Mandel, est photographe et a beaucoup voyagé pour son métier, jusqu'au jour où il s'est marié et a dû se stabiliser. Yvan Attal a alors imaginé que Vincent était frustré, comme un acteur qui se rend compte qu'il n'est pas du tout l'acteur qu'il avait rêvé d'être...
Amis à la ville, Ennemis à l'écran
Yvan Attal et Clovis Cornillac se connaissent depuis une quinzaine d'années mais n'avaient encore, jamais eu l'occasion de jouer ensemble. Eric Barbier leur a donc donné cette chance, en leur offrant des rôles ennemis dans Le Serpent.
Des acteurs à contre emploi
Clovis Cornillac, qui tient le rôle du " méchant ", joue habituellement des rôles de héros positifs, c'est d'ailleurs ce qui lui a plu. Jouer un méchant, qui plus est, un méchant aussi négatif que Plender. Yvan Attal, quant à lui, est plus hétéroclite dans ses rôles, mais il avoue lui-même que jouer le rôle du " gentil " l'a, au départ, étonné.
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Troisième pour Pierre Richard et Clovis Cornillac
C'est la troisième fois que Pierre Richard partage l'affiche avec Clovis Cornillac. Les deux hommes, devenus amis, ont déjà tourné ensemble en 2003 dans Mariées mais pas trop de Catherine Corsini, et en 2005 dans Le Cactus de Gérard Bitton.
Depardieu vs Cornillac
Dans le film, Pierre Richard se fait " corriger " par Clovis Cornillac, mais le Grand Blond avec une chaussure noire avoue que ce fut "moins violent que de prendre une baffe de Depardieu dans Les Compères ! "
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The Silence of the Lambs|Jonathan Demme|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 16 ans|4|américain|1991|113|Anglais||XviD|||XVID|750 Kbps|720x368|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Ronald M. Bozman Edward Saxon Kenneth Utt|Ted Tally|Tak Fujimoto||Columbia TriStar Films|Saga : Hannibal Lecter |Clarice Starling, jeune stagiaire du FBI, est désignée pour enquêter sur une série de meurtres épouvantables commis dans le Middle West par un tueur de femmes psychopathe connu sous le nom de Buffalo Bill. |Anthony Hopkins (Dr Hannibal Lecter )@Jodie Foster (Clarice Starling)@Scott Glenn (Jack Crawford)@Ted Levine (Jame 'buffalo bill' Gumb)@Roger Corman (Directeur du FBI)@Chris Isaak (le chef des commandos)@George A. Romero (un agent du FBI à memphis)@Anthony Heald@Brooke Smith@Charles Napier@Diane Baker@Kasi Lemmons@Dan Butler@Ron Vawter@Tracey Walter@Obba Babatundé@||Secrets de tournage :
Rafle aux Oscars
Le Silence des agneaux est le seul film, avec New York-Miami de Frank Capra en 1934 et Vol au-dessus d'un nid de coucou de Milos Forman en 1975, à avoir remporté les 5 oscars majeurs : meilleur film, meilleur réalisateur (Jonathan Demme), meilleur acteur (Anthony Hopkins), meilleure actrice (Jodie Foster) et meilleure adaptation ( Ted Tally), et ce malgré la banqueroute de la maison de production Orion et le manque de budget publicitaire qui en découlait.
A sujet difficile, tournage détendu
Afin de réduire la tension amenée par le sujet du film, les équipes technique et artistique ont tenu à rendre l'atmosphère sur le plateau la plus légère et la plus détendue possible, avec des jeux et des blagues en continu.
Incohérence
La seule incohérence du film, selon les agents du FBI dépêchés auprès de la production, réside dans le fait qu'une stagiaire (Starling) se retrouve sur une mission aussi délicate et dangereuse.
Un long travail de préparation
La préparation du film se fit dans un grand souci de réalisme. En effet, Scott Glenn et Jodie Foster furent mis en relation avec des agents du FBI, et passèrent beaucoup de temps à se familiariser avec les techniques, mais également avec l'état d'esprit de ces personnes. Scott Glenn, alias Jack Crawford, a même visionné des photographies de scènes de crimes. " J'ai perdu un certain degré d'innocence ", dira-t-il plus tard (People magazine du 1er avril 1991). De même, afin de mettre en scène un psychopathe crédible, Demme et son équipe se sont lancés dans de longues recherches, qui ont abouti à la naissance de James " Buffalo Bill " Gumb, un mélange de trois tueurs en série ayant existé : Ed Gein, qui s'habillait avec la peau de ses victimes et se regardait régulièrement dans des miroirs, et qui avait également inspiré le personnage de Norman Bates dans Psychose d'Alfred Hitchcock. Le second était Ted Bundy, un étudiant, qui usait d'un faux plâtre au poignet afin de susciter la pitié des jeunes filles. Enfin, une troisième source d'inspiration est le tueur Gary Michael Heidnick, qui détenait des femmes dans une cave et les séquestrait.
Gene Hackman, Michelle Pfeiffer
C'est Gene Hackman qui à l'origine détenait les droits du film et qui désirait écrire, diriger et jouer dans le film. Quand Jonathan Demme reprit le projet, avec Ted Tally au scénario, il proposa d'abord le rôle de Clarice Starling à Michelle Pfeiffer, avant de s'orienter vers Jodie Foster.
Adapté de Thomas Harris
Le Silence des agneaux est tiré d'un roman de Thomas Harris du même nom et met en scène deux personnages déjà existants dans Le Sixieme Sens de Michael Mann (1986), toujours adapté d'un ouvrage de Harris, Dragon Rouge, à savoir Hannibal Lecter et Jack Crawford. En 2002, Brett Ratner réalise une nouvelle adaptation de ce roman. Pour l'occasion, Anthony Hopkins reprend le rôle du psychiatre cannibale, tandis que Jack Crawford est interprété par Edward Norton.
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The Tuxedo|Kevin Donovan|Action||2|américain|2002|98|||XviD|||XVID|843 Kbps|576x320|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|669||||23.976|02/08/2009 00:00:00|John Hirsch Adam Schroeder John H. Williams|Phil Hay Matt Manfredi Michael Wilson|Stephen F. Windon||Dreamworks Distribution LLC||Jimmy Tong travaille comme chauffeur de taxi dans la grande ville de New York. Un jour, il a pour passager le millionnaire Clark Devlin, également agent secret. Ce dernier engage Jimmy comme chauffeur personnel à une condition : que celui-ci ne touche jamais à son smoking. Cela ne cause aucun problème à Jimmy.Une nuit, alors qu'il reconduit Clark chez lui, tous les deux sont soudainement attaqués. Le riche industriel, gravement blessé, demande à Jimmy de revêtir son smoking. Ce costume truffé de gadgets a été conçu par le gouvernement américain pour ses opérations clandestines et permet à celui qui l'endosse d'être doté d'une force extraordinaire.Dès lors, la mission de Jimmy va être d'empêcher Diedrich Banning, un riche industriel mégalo, de contaminer l'eau du monde entier. Del Blaine, une nouvelle recrue, sera là pour l'épauler. |Jackie Chan (Jimmy Tong )@Jennifer Love Hewitt (Del Blaine )@Jason Isaacs (Clark Devlin )@Boyd Banks (Vic)@Jody Racicot (Kells)@Daniel Kash (Rogers)@Ritchie Coster (Diedrich Banning)@Debi Mazar (Steena)@Larissa Laskin (Angelica)@Peter Stormare (le docteur Simms )@||Secrets de tournage :
Un smoking conçu par Giorgio Armani
Le fameux smoking a été créé par le grand couturier Giorgio Armani, enchanté de travailler avec Jackie Chan. Le costume, de forme classique, est en laine fine avec d'étroits revers de satin, une veste surpiquée, une ceinture de satin, et se porte avec la chemise et le noeud papillon traditionnels.
Jackie Chan raisonnable
En matière de cascades, Jackie Chan se devait de respecter certaines règles de sécurité. Celui-ci déclare à ce sujet : "Je suis fou, mais pas stupide. Lorsque je prépare une scène d'action, je sais jusqu'où aller, de quelle hauteur sauter. Je connais mes possibilités et je ne les outrepasse jamais. Je ne risquerais pas ma vie pour tenter l'impossible".
Love Hewitt, une pro de la danse
Le rapport "maître-élève" du couple Jackie Chan / Jennifer Love Hewitt s'est inversé dans les scènes de danse. C'est elle qui lui a appris à se déhancher sur fond de soul music. L'actrice confie : "Il était littéralement paralysé ! Cela m'a bien amusée, car la danse, contrairement aux cascades, n'a pas de secrets pour moi. Je la pratique depuis l'enfance, et il me revenait donc d'encourager Jackie, de lui dire : "Allez, relax, tu peux y arriver".
Jackie Chan perfectionniste
Jackie Chan est réputé être un acteur perfectionniste. Kevin Donovan se souvient d'un tournage de nuit où il devait bondir et faire une double pirouette tout en dégommant deux "méchants". La scène paraissait ardue et fatigante à jouer, et à la quatrième prise, le réalisateur lui a lancé : "Il va peut-être falloir s'arrêter là, car j'ai peur que tu te fasses mal". Mais Jackie Chan a tenu à continuer... et a enchaîné trente-sept prises ! Il ne s'arrête qu'après avoir donné le maximum de lui-même.
Se dépasser physiquement
Les propriétés du smoking autorisaient Jackie Chan à recourir aux effets spéciaux afin de réaliser des exploits physiques encore plus échevelés que ceux de ses films précédents et de repousser un peu plus les limites de la vraisemblance.
Jackie Chan et ses partenaires Jennifer Love Hewitt et Ritchie Coster commencèrent leur entraînement durant la préproduction et le poursuivirent durant tout le tournage sous la houlette des chefs cascadeurs Nicky Li et Rick Forsayeth. Ceux-ci les guidèrent durant ce long et délicat processus, qui leur permettait d'interpréter avec aisance les multiples combats, cascades et "envols" (réalisés à l'aide de filins d'acier) qui ponctuent le film.
Ritchie Coster fan de Jackie Chan
Ritchie Coster, qui interprète le "méchant" du film, avoue être fan de Jackie Chan : "C'est après l'avoir découvert à l'âge de douze ans que j'ai eu envie de pratiquer les arts martiaux. J'ai fait mon éducation en regardant ses films, sans me douter un instant que j'aurais un jour l'honneur de me battre contre lui."
Des crises de fous rires
Sur le tournage, Jennifer Love Hewitt avait l'art de faire rire constamment son partenaire Jackie Chan. Ce dernier confie : "A "moteur", je la surprenais régulièrement en train de sourire dans mon dos, et il suffisait que nos regards se croisent pour qu'elle pouffe de rire et ruine la prise. Elle n'en était pas moins extrêmement concentrée sur le côté physique du film, et s'entraînait chaque fois qu'elle n'était pas dans une scène."
Un rôle différent pour Love Hewitt
Concernant le personnage de Del Blaine, agent de la CSA, Jennifer Love Hewitt déclare : "Del se démarque nettement de mes rôles antérieurs. Elle ne manque pas d'intelligence, mais elle éprouve de sérieuses difficultés à communiquer et à s'imposer. Le personnage était d'autant plus sympa à jouer que j'avais envie de m'essayer au film d'action, d'exprimer enfin mon côté garçon manqué."
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The Terminal|Steven Spielberg|Comédie||3|américain|2004|121|Anglais||DX50|||DX50|689 Kbps|352x202|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|32.0 KHz|2|690||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Walter F. Parkes Laurie MacDonald Steven Spielberg|Jeff Nathanson Sacha Gervasi|Janusz Kaminski||Dreamworks Distribution LLC||Viktor Navorski est l'un de ces milliers de touristes, venus des quatre coins du monde, qui débarquent chaque jour à l'Aéroport JFK de New York. Mais, à quelques heures de son arrivée, voilà qu'un coup d'État bouleverse sa petite république d'Europe Centrale, mettant celle-ci au ban des nations et faisant de Viktor... un apatride. Les portes de l'Amérique se ferment devant lui, alors même que se bouclent les frontières de son pays : Viktor est bel et bien coincé... |Tom Hanks (Viktor Navorski)@Catherine Zeta-Jones (Amelia Warren)@Stanley Tucci (Frank Dixon)@Chi McBride (Mulroy)@Diego Luna (Enrique Cruz)@Barry Shabaka Henley (Thurman)@Kumar Pallana (Gupta Rajan)@Zoe Saldana (Torres)@Eddie Jones (Salchak)@Jude Ciccolella (Karl Iverson)@Corey Reynolds (Waylin)@Guillermo Diaz (Bobby Alima)@Rini Bell (Nadia)@Stephen Mendel (Steward de 1ère classe)@Valera Nikolaev (Milodragovich)@Michael Nouri (Max)@Ana Maria Quintana (un inspecteur)@Bob Morrisey (un inspecteur)@Sasha Spielberg (Lucy)@||Secrets de tournage :
De l'aéroport Charles-de-Gaulle à Hollywood...
Le Terminal est inspiré de la véritable histoire de Karim Nasser Miran, réfugié iranien installé sans papiers depuis 1988 dans le Terminal 1 de l'aéroport parisien Roissy Charles-de-Gaulle. Parti de Téhéran pour Londres en 1974 à la recherche de sa mère naturelle, il ne put rentrer en territoire britannique après s'être fait voler son passeport et son certificat de réfugié des Nations Unies, et fut déchu de sa nationalité dans les années 80, lorsqu'il revint an Iran. Débuta alors pour lui un long et chaotique voyage en Europe, qui le vit se faire expulser de chaque nouveau pays dans lequel il pensait s'installer, faute de papiers en règle.
Depuis 1988, ce SDF pas comme les autres, plus connu sous le nom de "Sir Alfred", est donc installé, avec l'autorisation des autorités, dans l'enceinte de l'aéroport Charles-de-Gaulle. Toujours sans papiers, il envisage de partir prochainement pour le Canada, après avoir sorti sa biographie "The Terminal man" et touché une belle somme d'argent pour avoir inspiré Le Terminal.
Avant "Le Terminal"...
Le Terminal n'est pas le seul film a s'être inspiré de la vie de Karim Nasser Miran. La comédie Tombés du ciel, avec Jean Rochefort dans le rôle principal, est également basée sur l'expérience hors-du-commun vécue par le réfugié iranien dans l'aéroport Charles-de-Gaulle.
L'Amérique dans un terminal !
Pour le producteur Walter F. Parkes, l'histoire du Terminal "joue sur des rapports humains denses, et le scénario de Sacha a un caractère très intimiste. C'est l'histoire d'un homme qui rencontre une poignée d'individus dans un espace confiné et découvre, à travers eux, la réalité de l'Amérique." Un propos repris par Tom Hanks, pour qui le personnage de "Victor Navorski plonge d'un coup dans le melting-pot américain. Il prend conscience de la diversité culturelle, sociale, ethnique de l'Amérique grâce à l'extraordinaire concentré d'humanité que renferme le terminal."
Un terminal source de vie
Pour le réalisateur Steven Spielberg, qui signe avec Le Terminal sa seconde comédie d'affilée après Arrête-moi si tu peux, il était important de donner au terminal l'image d'un endroit de vie, en perpétuel mouvement. Pour lui, "la vie continue, à un rythme trépidant et ne s'arrête jamais dans ce Terminal où circulent des milliers de gens. A un moment, la caméra part en un long travelling arrière, et Viktor, immobile, se noie dans cette masse humaine. Lui seul reste figé sur place, et bientôt invisible. Il y a donc de l'énergie dans cette histoire : l'attente peut-être stimulante; l'attente peut être divertissante..."
Tom Hanks : passager à temps plein
Tom Hanks, qui s'est engagé sur le projet avant même que Steven Spielberg ne soit attaché à la réalisation, avoue avoir trouvé le scénario du Terminal "d'une qualité exceptionnelle. Tous ceux qui débarquent dans un pays étranger - même lorsqu'ils en parlent la langue - ressentent la même impression de déroute que Viktor. J'ai vécu cela la première fois que j'ai traversé l'Atlantique." Pour le producteur Walter F. Parkes, Tom Hanks était l'acteur idéal pour le rôle : "Si vous examinez sa filmographie, vous y trouverez quelques personnages aux prises avec l'isolement - intellectuel dans le cas de Forrest Gump, matériel dans celui du naufragé de Seul au monde. Je pense que l'idée d'un homme échoué en Amérique, "étranger en terre étrangère", n'était pas pour lui déplaire."
Catherine Zeta-Jones / Spielberg : des "retrouvailles"
Avec Le Terminal, Steven Spielberg dirige pour la première fois l'actrice Catherine Zeta-Jones. Le film marque en quelque sorte leurs retrouvailles puisque c'est le Spielberg-producteur qui offrit à Zeta-Jones le rôle féminin principal du Masque de Zorro en 1998, lançant ainsi véritablement sa carrière hollywoodienne.
Pays inconnu mais langue existante
Dans Le Terminal, le personnage incarné par Tom Hanks est originaire de Krakozie, un Etat d'Europe de l'Est inventé spécialement pour le film. En revanche, il s'exprime dans une langue bien réelle, le bulgare.
Spielberg / Hanks : troisième !
Le Terminal marque la troisième collaboration entre Steven Spielberg et l'acteur Tom Hanks après Il faut sauver le soldat Ryan en 1998 et Arrête-moi si tu peux en 2002. Le film est également l'occasion pour Spielberg de retrouver le compositeur John Williams et le chef monteur Michael Kahn, collaborateurs de longue date.
Une reproduction impressionnante
Pour les besoins du film, le chef décorateur Alex McDowell fut chargé de construire un terminal d'aéroport grandeur nature qui abriterait la quasi-totalité des prises de vues. Il choisit de mixer les styles de divers terminaux internationaux pour aboutir à un complexe au look universel. Plus de 200 artisans et ouvriers furent réquisitionnés pour construire ce bâtiment d'une superficie avoisinant les 20 000 mètres carrés. Un terrain d'aviation, entourant les 3/4 du décor, fut peint pour donner l'impression d'un vrai complexe aéroportuaire à l'extérieur du bâtiment. Enfin, un appel à candidature fut mis en place pour aboutir à la présence de plus de 35 marques commerciales dans l'aéroport.
Une Spielberg à l'écran !
Le réalisateur Steven Spielberg a donné un petit rôle à sa fille Sasha, âgée de quatorze ans, dans Le Terminal. Elle y incarne la petite Lucy.
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Around the World in 80 Days|Frank Coraci|Aventure||2|américain|2004|112|Anglais||DX50|||DX50|726 Kbps|512x256|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||29.970|08/08/2009 00:00:00|Hal Lieberman Bill Badalato|David Titcher David Benulto David Goldstein|Phil Meheux||Pathé Distribution||A Londres, dans les années 1880, Phileas Fogg, un brillant inventeur avide d'être enfin pris au sérieux, lance à Lord Kelvin, le président de la Royal Academy of Science, un challenge : il parle de faire le tour du monde en 80 jours. Kelvin impose ses conditions : en cas de succès, Phileas Fogg lui succédera à la tête de l'Académie ; en cas d'échec, il sera impitoyablement radié... |Jackie Chan (Passepartout)@Steve Coogan (Phileas Fogg)@Cécile de France (Monique)@Jim Broadbent (Lord Kelvin)@Kathy Bates (La reine Victoria)@John Cleese (le sergent de police grisonnant)@Rob Schneider (le clochard)@Arnold Schwarzenegger (le prince Hari)@Luke Wilson (Orville Wright)@Owen Wilson (Wilbur Wright)@Ewen Bremner (l'inspecteur Fix)@Ian McNeice (Lord Kitchener)@Karen Mok (le général Fang)@Michaël Youn (le directeur de la galerie d'art)@Mark Addy (le capitaine du steamer)@Maggie Q (un agent)@||Secrets de tournage :
L'aventure selon Jules Verne
Avec Le Tour du monde en 80 jours, le septième art revient sur l'une des oeuvres du romancier français Jules Verne, dont la carrière a été dédiée en majeure partie au récit d'aventure. Parmi les travaux les plus célèbres de cet écrivain visionnaire, retenons Cinq semaines en ballon (1863), Voyage au centre de la Terre (1864), De la Terre à la Lune (1865), Vingt mille lieues sous les mers (1869), Le Tour du monde en 80 jours (1873), Michel Strogoff (1876) ou encore Les Tribulations d'un chinois en Chine (1879).
Le Tour du Monde sur grand écran
Le Tour du Monde en 80 jours de Frank Coraci est la seconde adaptation sur grand écran de l'oeuvre mythique de Jules Verne, après la version de Michael Anderson réalisée en 1956 et emmenée par l'acteur britannique David Niven dans la peau de Philas Fogg. Parmi les autres récits de Jules Verne adaptés par le septième art, retenons 20.000 lieues sous les mers (1954) avec Kirk Douglas, Michel Strogoff (1956) avec Curd Jurgens, Les Tribulations d'un Chinois en Chine (1965) avec Jean-Paul Belmondo et Le Voyage au centre de la Terre (1959) avec James Mason.
Un spectacle pour petits et grands
La productrice exécutive Phyllis Alia résume Le Tour du Monde en 80 jours : "C'est à la fois une grande aventure, une comédie hilarante, une histoire d'amour, un film d'arts martiaux et une fantaisie de haut vol qui s'adresse aux gosses autant qu'aux adultes. J'aime ce film parce qu'il est magique, qu'il vous fait parcourir de nouveaux pays, découvrir de nouvelles cultures, traverser l'Inde, la Chine et toutes sortes de sites exotiques qu'on ne peut voir que dans les documentaires de National Geographic. Le tout forme un fabuleux spectacle."
Jackie Chan : place au rire !
Si Jackie Chan, interprète de Passepartout dans Le Tour du Monde en 80 jours, fait toujours montre de ses étonnantes acrobaties dans le film, il joue un peu plus que d'habitude sur le registre purement comique. Il explique : "J'aime que le public me considère comme un acteur et un comique, et pas seulement comme une star du cinéma d'action, car je préférerais, comme Robert De Niro, Dustin Hoffman ou Al Pacino, pouvoir jouer jusqu'à 60, 70 ou 80 ans. Je suis fier et heureux d'être dans ce film qui s'adresse à toutes les générations et qui sera vu dans le monde entier."
Un Phileas Fogg "dépoussiéré"
La production du Tour du Monde en 80 jours a souhaité donner au personnage de l'inventeur Phileas Fogg une personnalité tout autre que celle qui lui est attribuée dans le roman de Jules Verne. Steve Coogan (24 hour party people), son interprète dans le film, se réjouit du changement : "Dans le roman, Fogg était sciemment décrit comme un personnage incolore et guindé. Frank Coraci, le réalisateur, l'a transformé en un inventeur passionné, mais très peu sûr de lui-même."
"Première" américaine pour Cécile de France
Avec Le Tour du Monde en 80 jours, la jeune actrice belge Cécile de France, révélée avec L'Auberge espagnole puis Haute tension, connaît sa première expérience dans une grosse production américaine. "C'est un vrai film d'aventures comme ceux que je voyais quand j'étais gosse", s'enthousiasme-t-elle. "Du genre qui me faisait rêver et me donnait l'envie d'être actrice."
Des invités inattendus
Des comédiens font une apparition inattendue dans Le Tour du monde en 80 jours. Le tout frais gouverneur de Californie Arnold Schwarzenegger, pour son dernier rôle avant sa carrière politique, s'est glissé dans le costume du Prince Hari. Le Français Michaël Youn, vedette des 11 commandements, incarne un capitaine de bateau à vapeur. Kathy Bates campe la Reine Victoria. Enfin, les frères Luke et Owen Wilson interprètent les frères Orville et Wilbur Wright.
Un look "rétro-futuriste"
Le chef décorateur Perry Blake et le réalisateur Frank Coraci ont élaboré un langage visuel particulier pour Le Tour du Monde en 80 jours. Perry Blake : "L'imagerie des 50' nous attirait tous deux, parce que c'est une époque où les gens se projetaient en masse dans l'avenir, essayaient d'en cerner les contours et le voyaient peuplé de gadgets, fusées et soucoupes volantes. Nous avons essayé de transposer cela dans le contexte des années 1880."
Un tournage aux quatre coins du globe
Le tournage du Tour du Monde en 80 jours s'est déroulé en deux endroits bien distincts, situés à plusieurs milliers de kilomètres l'un de l'autre : d'abord en Thaïlande, par des températures proches des 50 degrés, puis dans la ville allemande de Berlin. Le pays asiatique fut choisi comme substitut à la Chine et à l'Inde, alors que Berlin "doubla" à la fois Paris et l'Angleterre victorienne.
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The Transporter|Corey Yuen Kwai Louis Leterrier|Action||2|français, américain|2002|87|Anglais||DIV3|||DIV3|961 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|685||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Luc Besson|Luc Besson Robert Kamen|Pierre Morel||EuropaCorp Distribution|Saga : Le Transporteur |Pour les livraisons à haut risque, Franck est toujours là. Comme les autres, il obéit aux trois règles d'or : ne poser aucune question, ne pas ouvrir les colis et ne pas enfreindre les deux premières au risque d'y trouver la mort.Mais cette fois-ci, Franck a ouvert le sac posé dans son coffre et a découvert une jeune femme se nommant Lai. Face à ce cas de conscience et à une sombre affaire de trafic humain, il ne va plus pouvoir fermer les yeux et décide d'aider ce "colis" un peu spécial. |Jason Statham (Franck Martin)@Shu Qi (Lai )@Matt Schulze (Wall Street)@François Berléand (Tarconi )@Didier Saint Melin (Boss)@Alfred Lot (un policier)@Audrey Hamm (la secrétaire)@Christian Gazio (un policier)@Ric Young (Mr Kwai)@Doug Rand (le leader)@||Secrets de tournage :
Un physique à toute épreuve
Pour les scènes de combat, Jason Statham et Corey Yuen n'ont pas eu le temps de mettre en place un programme d'entraînement avant le début du tournage. L'acteur britannique devait donc exploiter sa propre pratique des arts martiaux et se surpasser. Ce dernier avoue en avoir bavé : "Je me suis pris des coups, je suis tombé, je me suis tordu des membres, luxé des articulations, blessé sans arrêt."
Matérialiser les échanges de tir
Afin de renforcer l'impact des échanges de tir, les réalisateurs ont décidé de matérialiser les trajectoires des projectiles. Louis Leterrier explique : "D'habitude, lorsqu'un coup de feu est tiré, on entend un grand "bang" et puis plus rien. Là, les balles frôlent, rasent, pleuvent au sens littéral du terme. Cela permet au spectateur de s'impliquer davantage dans le risque que court le personnage. C'est esthétique et scénaristiquement utile."
Les poursuites en voitures
Le scénario impliquait de nombreuses scènes de poursuites en voitures. L'action de l'une d'entre elles se déroulait sur la chaussée et les trottoirs de la promenade des Anglais à Nice. La production a obtenu une autorisation exceptionnelle pour interdire l'accès à cet endroit touristique. Les autorités leur ont également permis de tourner une scène où les acteurs empruntent la Croisette à Cannes en sens interdit.
Le ballet nocturne des containers dans le port autonome et les scènes des routes de montagne ont été tournés à Marseille et dans l'arrière-pays. Louis Leterrier raconte : "Nous avons pu fermer un tronçon de départementale quatre voies de neuf heures à seize heures pendant quinze jours. Nous devions respecter ces horaires à la lettre sous peine de nous faire interdire le site le lendemain."
Un casting international
Le Transporteur réunit une distribution internationale notamment composée d'un Anglais (Jason Statham), d'une Taïwanaise (Shu Qi), d'un Français (François Berléand) et d'un Américain (Matt Schulze), d'où quelques difficultés linguistiques. Louis Leterrier explique : "Jason ne parlait qu'anglais, François faisait tous les efforts du monde pour parler anglais et Shu Qi avait besoin d'un interprète pour comprendre cette langue ! Chaque instruction devait être expliquée à chacun à sa façon, le plus calmement et le plus rapidement possible. Un vrai cauchemar qui nous a valu quelques fous rires..."
La répartition des tâches
Les deux coréalisateurs, Corey Yuen et Louis Leterrier, avaient des domaines d'action bien définis. Le premier s'occupait des scènes de combat d'arts martiaux, tandis que le second, plus habitué à la direction d'acteurs classique, réalisait les scènes de comédie et les cascades.
Leterrier et Besson inséparables
Louis Leterrier et Luc Besson se connaissent de longue date. Le premier a assisté Luc Besson sur le tournage de Jeanne d'Arc et a travaillé sur des spots publicitaires pour Internet ou L'Oréal, réalisés également par Luc Besson.
Seconde collaboration Yuen / Besson
C'est la deuxième fois que Corey Yuen travaille avec le producteur Luc Besson. Le premier avait en effet supervisé les scènes de combat de Le Baiser mortel du dragon produit par le même Luc Besson.
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The Transporter II|Louis Leterrier Corey Yuen|Action||2|français|2005|83|Anglais||XviD|||XVID|997 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|163 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Steven Chasman Steve Chasman|Luc Besson Robert Mark Kamen|Mitchell Amundsen||EuropaCorp Distribution|Saga : Le Transporteur |A Miami pour dépanner un ami en vacances, Frank Martin doit conduire un enfant à l'école pendant quelques jours. Mais parce que le père du petit est désormais responsable de la lutte antidrogue, il va se retrouver malgré lui impliqué dans un incroyable complot... |Jason Statham (Frank Martin)@Amber Valletta (Audrey Billings)@Alessandro Gassman (Gianni)@Kate Nauta (Lola)@Hunter Clary (Jack Billings)@Jeff Chase (Vasily)@François Berléand (Tarconi)@Jay Amor (un homme de main de Gianni)@Scott Dale (un homme de main de Gianni)@Vincent De Paul (le chef de la sécurité de Billings)@Keith David (Stappleton)@Matthew Modine (Mr. Billings)@Tim Ware (Hoffman)@Vincent Tulli (Un malfrat)@||Secrets de tournage :
On prend les mêmes... (ou presque)
Le Transporteur II est la suite du Transporteur, sorti en 2002. Toujours produit et scénarisé par Luc Besson pour sa société EuropaCorp, il bénéficie cette fois d'un radical changement au niveau du casting et de l'équipe technique puisque, délocalisation aux Etats-Unis oblige, les Français sont majoritairement remplacés par des Américains. En revanche, la réalisation est toujours assurée par Louis Leterrier, secondé pour les scènes d'action par Corey Yuen. Dans la foulée, alors que le Français François Berléand reprend du service dans le rôle de l'inspecteur Tarconi, le rôle féminin principal est tenu cette fois par l'ancien mannequin Amber Valletta et non plus par la Taïwanaise Shu Qi.
A propos du "Transporteur II"
Louis Leterrier commente ainsi le succès du film : "Le studio a tout de suite senti que le public réagissait. Je pense que c'est vraiment le personnage qui a séduit les spectateurs. (...) Ce n'était pas un héros tout-puissant, mais un homme normal, sans gadgets, sans super pouvoirs, un type plutôt sympa qui fait des erreurs, qui n'a pas toujours la réplique idéale quand tout explose autour de lui."
Un tournage cauchemardesque
Selon Louis Leterrier, il était difficile de tourner le film en respectant le budget alors qu'il fallait tenir compte du déplacement aux Etats-Unis. "Nous n'avons eu que soixante jours de tournage, douze heures par jour plus quatre de préparation pour le lendemain. Toute la semaine, nous tournions les scènes de jeu avec l'ensemble du casting ; le week-end, on s'occupait des cascades et Corey tournait les combats pendant que je préparais la suite, le tout sous une chaleur à tomber et une humidité étouffante.
"Le planning de tournage était déjà serré et la météo ne nous a pas simplifié la vie. Jamais autant d'ouragans n'ont frappé la Floride ! Chaque jour, on m'affichait près du moniteur une carte avec la progression des ouragans. Deux (...) ont balayé la région avec des vents de 300 km/h !"
Esprit de famille
En-dehors des habitués (équipe technique, acteurs, réalisateurs) issus du premier épisode, on notera les retrouvailles de Jason Statham avec Jason Flemyng. Tous deux acteurs incontournables du renouveau du polar anglais, il s'étaient retrouvés ensemble à l'affiche des deux premiers films de Guy Ritchie, Arnaques, crimes et botanique (1998) et Snatch (2000), mais aussi dans Carton rouge - Mean Machine, une comédie policière sur le milieu du foot. Flemyng apparaît également dans le film Layer cake, de Matthew Vaughn (le producteur des films de Ritchie).
Calendrier
Le film a été tourné à l'été 2004 mais il ne sort que maintenant, entre autres parce que sa production, gérée par la société de Luc Besson (EuropaCorp), a dû cohabiter avec celle de nombreux autres projets, dont le film de Guy Ritchie ayant pour vedette, une fois encore, Jason Statham : Revolver !
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Transporter 3|Olivier Megaton|Action||2|français|2008|96|Anglais||XVID|||XVID|851 Kbps|704x288|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|684||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Luc Besson|Luc Besson Robert Mark Kamen|Giovanni Fiore Coltellacci||EuropaCorp Distribution|Saga : Le Transporteur |Parce qu'il est le spécialiste incontesté des livraisons à haut risque, Frank Martin se voit contraint, sous la menace, de transporter deux sacs imposants et une jeune Ukrainienne depuis Marseille jusqu'à Odessa. Que contiennent les sacs ? Qui est cette fille? Pourquoi doit-il l'accompagner ? Quels enjeux se cachent derrière cette livraison ? Frank ne sait pas grand-chose, et surtout pas comment il va sortir de ce piège tendu par un adversaire bien plus redoutable que les précédents... |Jason Statham (Frank Martin)@Natalya Rudakova (Valentina)@Robert Knepper (Johnson)@François Berléand (Tarconi )@Jeroen Krabbe (Leonid Vasilev)@Alex Kobold (Aide Leonid Vasilev)@David Atrakchi (Malcom Manville)@Yann Sundberg (Flag)@Eriq Ebouaney (Ice)@David Kammenos (le conducteur au marché)@Silvio Simac (Mighty Joe)@Oscar Relier (le conducteur voyou)@Timo Dierkes (Otto)@Katia Tchenko (la secrétaire de Leonid Vasilev)@Igor Koumpan (un policier ukrainien)@Paul Barrett (le Capitaine)@Michel Neugarten (le conducteur Assassin / Sergueï)@||Secrets de tournage :
Episode 3
Le Transporteur III marque la troisième aventure du désormais célèbre Frank Martin alias Jason Statham, après Le Transporteur (2002) et Le Transporteur II (2005). "La maturité de ce troisième épisode vient de la réelle mise en danger de Frank", explique le réalisateur Olivier Megaton. "Pour la première fois de sa carrière, il se retrouve confronté à un adversaire redoutable, qui met la barre très haut. Pour la première fois également, il tombe amoureux, et il accepte du coup de se laisser mettre en danger. Tant qu'il n'avait pas d'attaches, Frank se limitait à une mécanique froide. Amoureux, il est beaucoup plus faible, il accepte de s'attendrir, et surtout, il se refuse à laisser Valentina sur le bord de la route pour sauver sa peau. Ce nouvel enjeu apporte une dimension supplémentaire au personnage, et avec ces rapports de force triangulaire, on se retrouve vraiment dans les codes d'un grand film d'action".
Nouveau réalisateur
Co-réalisateur du Transporteur et du Transporteur II, le Français Louis Leterrier, occupé par le tournage de L'Incroyable Hulk, laisse ici sa place à un autre Frenchie, Olivier Megaton. Co-réalisteur des deux premiers opus, le bondissant Corey Yuen occupe le poste de chorégraphe des combats sur ce Transporteur III.
Retour au cinéma
Bien qu'il ne soit jamais éloigné des plateaux (il a signé de nombreux clips, pubs, documentaires et courts métrages ainsi que les scènes d'action de Hitman sous la bannière EuropaCorp), Olivier Megaton dirige à nouveau un long métrage, six ans après La Sirène rouge. Egalement à son actif : Exit en 2000. Ce troisième Transporteur est donc son... troisième long métrage.
La saga vue par Olivier Mégaton
"Pour moi, la série se situe entre James Bond et Die Hard, même si sa structure narrative penche plus franchement du côté de la série de John McTiernan : on a affaire à un héros sympathique, naviguant entre humour et sérieux, qui se retrouve régulièrement plongé dans des situations qui le poussent à l'extrême. (...) Le premier opus portait l'héritage de la fin des années 90, avec un héros qui se devait d'être marrant, de balancer beaucoup de vannes. Dans le 2, on se rapprochait d'un scénario à la Man on Fire de Tony Scott, avec des enjeux dramatiques plus forts. Dans le 3, on retrouve vraiment une pure logique à la Die Hard, puisque le héros devient lui-même otage de l'histoire : pour la première fois, il est mis en danger. On peut parler de maturité du personnage -on découvre, ô surprise, que Frank est capable de tomber amoureux- mais aussi dans le traitement du personnage du méchant, qui a pris une dimension incroyable avec Robert Knepper". L'ombre de John McClane plane d'ailleurs de plus en plus nettement sur Jason Statham selon lui : "Selon moi, il est en train de devenir le nouveau Bruce Willis, il a le même charisme. Il a la chance de ne pas avoir besoin de parler : son regard suffit à communiquer les émotions qu'il doit faire passer".
Génétiquement avancée
Signe annonciateur de son recrutement sur Le Transporteur III ? Olivier Megaton réalisait en 2007 le court métrage publicitaire Génétiquement avancée vantant les mérites de l'Audi R8 (le véhicule-fétiche du transporteur Frank Martin dans la saga est une Audi A8).
Signé Besson
Produit sous la bannière EuropaCorp, Le Transporteur III est écrit par Luc Besson et Robert Mark Kamen. Un tandem déjà à l'oeuvre sur Le Cinquième élément (1997), Le Baiser mortel du dragon (2001), Bandidas (2006), Taken (2008) et les trois volets du Transporteur.
Robert Knepper, méchant de service
A l'affiche de Hitman en 2007, Robert Knepper retrouve ici Luc Besson, l'équipe EuropaCorp... et Olivier Megaton, réalisateur des scènes d'action du film de Xavier Gens. Dans Le Transporteur III, il prête ses traits à l'inquiétant Johnson, agent gouvernemental aux méthodes expéditives. "Ce qu'il y a de bluffant avec Robert Knepper, c'est qu'il a, outre un charisme évident, une extrême précision dans la façon de parler, de bouger. Quand on a la chance de travailler avec un acteur de sa trempe, chaque détail est exploité : il a intégré un maximum de tics pour son personnage, jusqu'à en faire ce type d'une dangerosité extrême", explique Olivier Megaton. Un bag guy dont le look (deux mèches blanches au niveau des tempes) lui a été inspiré par... Ernest Hemingway. "C'est la complexité d'un personnage qui m'intéresse. A l'époque où je prenais des cours de comédie, l'un de mes profs avait l'habitude de dire 'on ne joue pas un médecin comme un médecin, pas plus qu'on ne joue un bad guy comme un méchant : le bad guy, on doit le jouer comme un mec bien. Car il trouvera toujours une justification à ses actes. Au fond de lui, il sera toujours persuadé de faire les bons choix'. Effectivement, j'imagine mal un type comme Johnson avoir du mal à se regarder dans le miroir, je l'ai au contraire imaginé comme un patriote convaincu, persuadé qu'en faisant ce qu'il fait -en gros, le sale boulot du gouvernement- il aide son pays et le monde. J'ai même imaginé qu'il avait grandi dans une banlieue typique d'une petite ville américaine, persuadé au fond de lui qu'il n'y moisirait pas toute sa vie. Il est probablement diplômé de Yale ou Harvard, il est d'une grande culture et d'une extrême sophistication. De la même façon que j'avais Poutine en tête pour le personnage de Hitman, pour Johnson, je n'arrêtais pas de penser à une photo que j'avais vue représentant un diplomate américain envoyé par le gouvernement en Irak : à le voir descendre de son avion, on aurait jugé qu'on avait affaire à un businessman ! C'est exactement de cette façon que Johnson apparaît dans le film : extrêmement élégant et plus enclin à parler culture qu'à braquer un flingue sur vous".
L'influence de "Phone Game"
Olivier Megaton a tenu à ce que Robert Knepper s'inspire d'un autre méchant pour son rôle dans Phone Game pour lui indiquer ce vers quoi je voulais qu'il tende : en l'occurrence, la voix de Kiefer Sutherland dans ce film, qui a une façon très onctueuse de parler à Colin Farrell, alors qu'il est en train de foutre sa vie en l'air. Face à un acteur aussi énorme, il y avait danger pour Jason. Je me rappelle le premier jour de tournage, quand ils se sont retrouvés face à face pour la première fois : Jason a tout de suite compris que Knepper mettait la barre très haut, et il a tenu à montrer ce dont il était capable lui aussi".
T-Bag vs. le Transporteur
Inoubliable T-Bag de la série Prison Break, Robert Knepper se souvient de son face à face avec Jason Statham. "Quand je pensais à ce combat, il me paraissait essentiel que pour la première fois, on imagine que Frank puisse être tué. Je voyais l'affrontement de deux gladiateurs, avec le bonus d'une chorégraphie signée Corey Yuen, et donc imprégnée de philosophie orientale. Pour avoir fait du Tai-Chi, qui repose sur l'imitation des animaux, je n'arrêtais pas de penser aux mouvements de la mante religieuse. Nous avons finalement tourné ce combat en deux
jours et je n'ai été doublé que pour un mouvement très précis. C'était aussi épuisant que stimulant : je me suis découvert une énergie incroyable, un second souffle qui m'a donné
la sensation de me retrouver aux Jeux Olympiques !.
Révélation féminine
La transporter-girl de ce troisième opus est russe. Coiffeuse, Natalya Rudakova est repérée par Luc Besson à New York, alors qu'elle marche dans la rue. "Luc Besson m'a abordée, il m'a conseillée de prendre des cours de comédie et après que j'ai suivi son conseil, il m'a fait passer une audition. C'était la première fois de ma vie que je me retrouvais face à une caméra, j'en tremblais !" Une fraîcheur que le réalisateur Olivier Megaton tenait à exploiter dans le cadre du film : "Valentina est l'absolu opposé de Frank, qui n'est que maîtrise alors qu'elle est dans la consommation du plaisir, de l'instant. Tourner avec une débutante, c'est un peu comme diriger un enfant dont il faut réussir à garder la fraîcheur".
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juillet 2008.
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The Black Hole (TV)|Tibor Takacs|Fantastique||1|américain|2006|86|Anglais||XviD|||XVID|989 Kbps|640x352|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|696||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Kenneth M. Badish Boaz Davidson Avi Lerner|David Goodin|David Worth||||A la suite d'une expérience scientifique qui a mal tourné, la ville de Saint-Louis se trouve menacée par la formation d'un trou noir et par la progression d'une entité monstrueuse se nourrissant d'électricité. Le physicien Eric Bryce fait alors figure de sauveur pour empêcher la catastrophe qui se prépare... |Kristy Swanson (Shannon Muir)@Judd Nelson (Eric Bryce)@Robert Giardina (James)@Jennifer Lyn Quackenbush (Elizabeth Williams)@Julia Sinks (Kayley)@James Anthony (Spencer Tolland)@Kevin Beyer (Dr. Hauser)@Dan Buran (Kent)@Tim Snay (Hayes)@Rick Tamblyn (Wagner)@Adrian Rice (Lt. Samson)@Kevin Stroup (Dr. Hans Reinhardt)@||||||||||||@@
Ghost Ship|Steve Beck|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|2003|87|||XviD|||XVID|963 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|136 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||23.976|02/08/2009 00:00:00|Joel Silver Robert Zemeckis Gilbert Adler|Mark Hanlon John Pogue|Gale Tattersall||Warner Bros.||Construit en 1954, le prestigieux paquebot "Antonia Graza" était l'orgueil de l'Italie. Jusqu'à cette nuit tragique de 1962 où la mort s'abattit brutalement sur le navire, fauchant en quelques instants tous ses occupants.
Quarante ans plus tard, Sean Murphy, le capitaine du remorqueur Arctic Warrior, et Maureen Epps, son chef d'équipe, sont contactés par Jack Ferriman, un pilote canadien qui a repéré dans la mer de Béring l'épave du paquebot disparu. Murphy, Epps et leurs hommes n'hésitent pas une seule minute. Ils se sentent prêts à affronter tous les dangers pour réparer l'épave, la ramener à bon port... et la revendre à bon prix. Des phénomènes étranges ne vont pas tarder à se produire. |Julianna Margulies (Maureen Epps)@Ron Eldard (Dodge)@Gabriel Byrne (le capitaine Sean Murphy)@Isaiah Washington (Greer)@Desmond Harrington (Jack Ferriman)@Alex Dimitriades (Santos)@Karl Urban (Munder)@Emily Browning (Katie)@||Secrets de tournage :
Une production Dark Castle
Le Vaisseau de l'angoisse, deuxième réalisation de Steve Beck après 13 fantômes, est la troisième production de la société Dark Castle Entertainment après La Maison de l'horreur et 13 fantômes. Lancée par Robert Zemeckis et Joel Silver, la société de production s'est donnée pour objectif de lancer un film d'horreur à budget réduit tous les ans vers la période d'Halloween.
Pas un remake
Contrairement aux deux précédentes productions Dark Castle, Le Vaisseau de l'angoisse n'est pas le remake d'un film d'horreur des années 50 ou 60. respectivement tournés en 1999 et 2001, La Maison de l'horreur et 13 fantômes étaient tous deux des ré-adaptation d'oeuvres signées William Castle, en l'occurrence La Nuit de tous les mysteres et 13 ghosts.
Inspiré de faits réels
L'aventure du paquebot "Antonia Graza" montré dans le film, qui ressurgit 40 ans après sa disparition, est en partie inspirée de faits réels, comme l'histoire du "Marie-Céleste", un deux-mats parti de la ville américaine de Charleston pour rallier Londres et découvert deux mois après sa mystérieuse disparition au large de Tripoli, intact mais désert.
Un bateau entièrement reconstitué
Refusant le recours aux effets spéciaux numériques pour des raisons de crédibilité, Steve Beck n'a pas non plus voulu tourner sur un véritable navire, craignant l'espace réduit dans ce genre de bâtiment. Le réalisateur et ses équipes ont donc décidé de créer de toute pièce le paquebot "Antonia Graza". Différentes techniques ont ainsi été utilisées, comme le recours au modèle réduit ou la construction en taille réelle de certaines parties du navire comme la proue et le pont. 250 personnes ont par ailleurs été mobilisées pour vieillir le navire avant sa redécouverte quarante ans après sa disparition.
Un mannequin waterproof
Certaines scènes aquatiques s'avérant particulièrement éprouvantes, la production du Vaisseau de l'angoisse a assigné à chaque acteur des doublures. Gabriel Byrne s'est même vu attribué un mannequin grandeur nature qui affichait la particularité d'être... waterproof.
Tournage en Australie
Le Vaisseau de l'angoisse a été en grande partie tourné en Australie, notamment aux Studios Warner Roadshow dans lesquels le producteur Joel Silver avait déjà financé Matrix.
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The Village|M. Night Shyamalan|Fantastique||3|américain|2004|107|Anglais||XviD|||XVID|762 Kbps|512x272|MPEG-1 Audio layer 3|130 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Scott Rudin Sam Mercer M. Night Shyamalan|M. Night Shyamalan|Roger Deakins||Buena Vista International||Une petite communauté isolée vit dans la terrifiante certitude qu'une race de créatures mythiques peuple les bois entourant le village. Cette force maléfique est si menaçante que personne n'ose s'aventurer au-delà des dernières maisons, et encore moins pénétrer dans les bois... Le jeune Lucius Hunt, un garçon entêté, est cependant bien décidé à aller voir ce qui se cache par-delà des limites du village, et son audace menace de changer à jamais l'avenir de tous... |Bryce Dallas Howard (Ivy Walker)@Joaquin Phoenix (Lucius Hunt)@Adrien Brody (Noah Percy)@William Hurt (Edward Walker)@Sigourney Weaver (Alice Hunt)@Brendan Gleeson (August Nicholson)@Cherry Jones (Mrs. Clack)@Jayne Atkinson (Tabitha Walker)@Michael Pitt (Finton Coin)@Celia Weston (Vivian Percy)@Judy Greer (KItty Walker)@M. Night Shyamalan@||Secrets de tournage :
Le choix de Bryce Dallas Howard
Après l'avoir vu dans une pièce de Shakespeare à New York, M. Night Shyamalan a décidé de choisir Bryce Dallas Howard pour le rôle d'Ivy sans même lui faire passer d'audition tant il avait été impressionné. Il explique qu'elle avait "l'enthousiasme contagieux et l'énergie innocente d'Ivy". L'actrice qui n'est autre que la fille de Ron Howard , réalisateur d'Apollo 13 et plus récemment d'Un homme d'exception s'impose comme la véritable révélation du film.
Mauvaise suprise...
Une des scènes clef du film est la déclaration d'amour sous le porche entre Ivy ( Bryce Dallas Howard) et Lucius (Joaquin Phoenix), une scène particulièrement forte et émouvante qui a nécessité de nombreuses prises car M. Night Shyamalan voulait que tout soit parfait. Lorsque la prise lui a semblé convenir, le réalisateur s'est rendu compte au visionnage que Bryce Dallas Howard était floue. Plutôt que de refilmer la séquence entière, il a opté pour une retouche d'images par ordinateur. Chaque image où son visage était flou a ainsi été retravaillée à l'aide d'un logiciel adéquat.
Une expérience inoubliable
Adrien Brody garde un souvenir marquant du tournage du Village. Il était un fan de M. Night Shyamalan et avait déjà auditionné pour Signes, son précédent film. Dans le Village, il interprête Noah, un handicapé mental. Il explique : "Ce personnage est bien différent de ce que j'ai pu jouer jusqu'ici. Je suis vraiment tombé dedans ! J'ai encore plus apprécié que d'habitude. Faire équipe avec Night est une vraie chance. Il a un merveilleux sens de l'humour, et j'ai pu travailler avec un réalisateur de mon âge. Nous avons beaucoup en commun."
Inspiration lointaine
Pour son film, M. Night Shyamalan revendique deux sources d'inspiration pour le moins surprenantes . Dans sa partie dramatique, l'histoire s'inspire des Hauts de hurlevent, le roman d'Emily Bronte publié en 1847. Plus étonnant, le film King Kong (1933) a servi de référence au réalisateur lorsque le récit aborde le thème d'une communauté vivant dans la peur de créatures féroces et prédatrices.
Un stage de formation
Afin de mieux s'immerger et ressentir l'époque et les conditions de vie, les acteurs principaux ont suivi lors de la préproduction un "stage de formation" intensif de trois semaines, une immersion historique dans le passé. Ils ont ainsi découvert les qualités nécessaires à la survie à l'époque.
Plus qu'un décor: un monde
Le décor du film a été construit dans une vallée privée de 80 hectares du Sud-est de la Pennsylvanie. Sa construction a demandé deux mois et demi de travail, 24 heures sur 24. Une semaine avant le début du tournage, le village de la fin du XIX ème siècle était achevé.
Des bois au Village...
A l'origine le film devait s'appeler "Les Bois" mais le titre étant déjà utilisé, le réalisateur a préféré choisir le titre du Village et ainsi focaliser l'attention sur la communauté plus que sur l'environnement inquiétant qui l'entoure.
Le souci du détail
Un soin tout particulier a été apporté aux costumes. On retrouve dans le film des vêtements d'époque. La chef costumière les a dénichés en Italie, en Angleterre et à Los Angeles. Ces éléments authentiques ont été mélangés à des reproductions. Quatre couturières fabriquaient les costumes tandis que trois autres personnes s'occupaient de les vieillir afin de donner l'illusion qu'ils ont été longtemps portés.
Les villageois
Le village est une petite communauté qui se suffit à elle-même et vit en autarcie, il fallait que les figurants représentent une généalogie plausible. Près de 3000 personnes, de 3 à 63 ans se sont présentées au casting organisé dans le sud de la Pennsylvanie. M. Night Shyamalan voulait trouver des gens pouvant avoir une ascendance européenne, hollandaise, anglaise. Il désirait également qu'il y ait une certaine ressemblance dans les familles proches des acteurs principaux. Les chargés de casting ont engagé des frères et des soeurs pour avoir vraiment une notion de famille.
L'origine du film
M. Night Shyamalan , habitué au fantastique aborde avec Le Village, une peur qui est en chacun de nous. Les thèmes abordés sont universels et intemporels : la peur de l'inconnu, les bois...l'impact sur le spectateur n'en est que plus fort.
« Préc.
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Flight of the Phoenix|John Moore|Aventure||2|américain|2005|112|Anglais||XviD|||XVID|728 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|129 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||23.976|28/07/2009 00:00:00|John Davis Bill Aldrich T. Alex Blum Wyck Godfrey|Lukas Heller Scott Frank Edward Burns|Brendan Galvin||Twentieth Century Fox France||Le capitaine Frank Towns, son copilote et mécanicien, prennent à bord de leur avion les ouvriers d'une plateforme pétrolière, menés par Kelly Johnson. En direction de Pékin, ils croisent une tempête de poussière qui provoque le crash de l'engin. Ils se retrouvent alors à des centaines de kilomètres de tout en plein désert de Gobie, en Mongolie.Sans même une radio, les survivants doivent désormais faire face à des conditions de survie très dure : La chaleur intense, les tempêtes, une faible réserve d'eau potable, les "bandits du désert", et bien d'autres encore. La situation semble désespérée jusqu'à ce qu'un passager excentrique, Elliot, redonnent de l'espoir à chacun avec l'idée improbable de reconstruire un avion à partir des débris du crash. |Dennis Quaid (le capitaine Frank Towns)@Jacob Vargas (Sammi)@Giovanni Ribisi (Elliott)@Tony Curran (Rodney)@Tyrese Gibson (AJ)@Bob Brown (Kyle)@Kirk Jones (Jeremy)@Miranda Otto (Kelly Johnson)@Hugh Laurie (Ian)@Scott Michael Campbell (Liddle)@Jared Padalecki (Davis)@Anthony Wong (Le chef des contrebandiers)@Kevork Malikyan (Rady)@Paul Ditchfield (Dr. Gerber)@Kee-Yick Cheng (Un contrebandier)@Martin ( Mako)@Vernon Lehmann (Un contrebandier)@Yi-Ding Wang (Un contrebandier)@||Secrets de tournage :
De l'original au remake
En 1996, le producteur William Aldrich présenta aux dirigeants de la Twentieth Century Fox un projet de remake du Vol du Phénix, réalisé en 1965 par son père Robert Aldrich (et dont les droits étaient la copropriété de Fox et de la société de William Aldrich, The Aldrich Group). En 1997, un accord Fox/Aldrich fut conclu en vue de développer cette nouvelle version, dont l'écriture s'étalerait sur plusieurs années, mobilisant divers scénaristes sous la houlette de William Aldrich.
Le producteur John Davis se joignit ultérieurement à l'équipe et, durant le tournage d'En territoire ennemi, indiqua au réalisateur John Moore qu'il travaillait à ce projet. Le cinéaste, qui voue une "passion maladive" pour les avions, se porta aussitôt candidat.
Le C-119
L'une des "stars" du film est le C-119. Cet avion cargo militaire de 20 tonnes, également appelé "Supertruck", a fait son apparition dans les années 50 et a rendu quantité de services pendant deux décennies avant d'être mis au rebut. La production fit des recherches à travers le monde pour retrouver cet appareil devenu fort rare, et finit par en dénicher trois dans un cimetière d'avions de Tucson, en Arizona, puis un quatrième, confisqué antérieurement par le gouvernement kényan. Il fallut ensuite démonter ces quatre mastodontes pour les expédier
à plusieurs milliers de kilomètres, sur le lieu de tournage, en Namibie.
Tournage en Namibie
Le film fut tourné en près de trois mois dans le désert de Namibie. La production avait besoin d'un vaste terrain inhabité, d'apparence inaccessible. Son choix se porta sur ce pays en raison de la beauté de son désert, de l'aridité de sa vaste mer de sable et de la proximité d'une ville côtière susceptible d'héberger la production.
Pour renforcer l'effet, John Moore souhaita que le site soit totalement dénué de végétation. Afin de préserver l'environnement naturel et sa végétation, le service déco masqua quelque 2 000 plantes et arbres, dont certains spécifiques à l'Afrique. À la fin des prises de vues, l'équipe ne restaura pas seulement le site, mais aussi certaines zones dénaturées par les touristes. Une initiative
que salua le Ministre du Tourisme et de l'Environnement de Namibie.
Tournage éprouvant dans le désert
Le site n'offrait pas que des avantages, car les dunes sont un paysage vivant, instable, qui ne cesse d'évoluer. Un problème de continuité se posa donc en permanence. "Il nous fallut chaque jour redonner au site son profil original, et au premier coup de vent, tout était à refaire !", explique le chef décorateur Patrick Lumb.
Le désert lançait aussi un défi aux comédiens. "Vous pataugez toute la journée dans le sable, vous en recevez sans cesse dans le visage, porté par des vents à 80 km/h. C'est une lutte constante et une épreuve inédite", rapporte Dennis Quaid.
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Jacob's Ladder|Adrian Lyne|Drame||3|américain|1991|108|Anglais||XviD|||XVID|753 Kbps|672x352|MPEG-1 Audio layer 3|135 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Alan Marshall|Bruce Joel Rubin|Jeffrey L. Kimball||||Jacob Singer, un employé des postes new-yorkaises, est assailli par de nombreux cauchemars durant ses journées. Il voit des hommes aux visages déformés et se retrouve dans des lieux qu'il ne connaît pas.Jacob est victime des flashbacks incessants de son premier mariage, de la mort de son fils et de son service au Vietnam. Jours après jours, Jacob s'enfonce dans la folie en essayant de comprendre ce qui lui arrive avec l'aide de Jezebel, son épouse. |Tim Robbins (Jacob Singer)@Elizabeth Pena (Jezebel)@Danny Aiello (Louis)@Matt Craven (Michael)@Pruitt Taylor Vince (Paul)@Jason Alexander (Geary)@Patricia Kalember (Sarah)@Eriq La Salle (Frank)@Ving Rhames (George)@Brian Tarantina (Doug)@Anthony Alessandro (Rod)@Brent Hinkley (Jerry)@S. Epatha Merkerson (Elsa)@Lewis Black (Le docteur de Jacob)@Suzanne Sheperd (Réceptionniste à l'hôpital )@Macaulay Culkin (Gabe)@||||||||||||@@
El Espinazo del diablo|Guillermo Del Toro|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|3|mexicain, espagnol|2002|99|Espagnol||DX50|||DX50|813 Kbps|544x304|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|44.1 KHz|2|666||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Pedro Almodóvar Guillermo Del Toro|Guillermo Del Toro Antonio Trashorras David Munoz|Guillermo Navarro||Mars Distribution||En Espagne, durant la guerre civile, Carlos, un garçon de douze ans dont le père est décédé, débarque à Santa Lucia, un établissement catholique pour orphelins. Il est remis au bons soins de Carmen, la directrice, et du professeur Casares. Mais il doit faire face à l'hostilité de ses camarades et de Jacinto, l'homme à tout faire. Par ailleurs, ce lieu hostile dissimule derrière ses murs deux secrets : l'or de la cause républicaine, et le fantôme d'un enfant qui hante le sous-sol.Carlos aperçoit dès la première nuit cet esprit errant et s'efforce de communiquer avec lui par tous les moyens. Le petit orphelin découvre très vite que ce spectre n'est autre que celui de Santi, un ancien pensionnaire de Santa Lucia disparu dans de mystérieuses circonstances. |Eduardo Noriega (Jacinto)@Federico Luppi (Casares)@Fernando Tielve (Carlos)@Íñigo Garcés (Jaime)@Irene Visedo (Conchita)@Junio Valverde (Santi)@Berta Ojea (Alma)@Francisco Maestre (El Puerco )@José Manuel Lorenzo (Marcelo )@Marisa Paredes (Carmen )@||Secrets de tournage :
Inspirations littéraires
Pour son thriller situé pendant la guerre civile espagnole, Guillermo del Toro a puisé son inspiration dans la littérature gothique anglo-saxone, avec des auteurs tels que M.R. James, Sheridan le Fanu ou Arthur Machen.
Festivals et récompenses
Présenté dans de nombreux festivals à travers le monde (Gérardmer, Paris, Locarno, Edimbourg, Toronto, San Sebastien), L'Echine du diable a été nommé aux Goyas (équivalents espagnols de nos Césars) pour ses effets spéciaux et ses costumes et a remporté le Prix du jury, le Prix de la critique internationale et le Prix du jury jeunes de la région Lorraine lors du Festival "Fantastic'Arts" de Gérardmer en 2002.
Pedro Almodovar producteur
Tourné en Espagne, L'Echine du diable a pu compter sur la présence d'un producteur nommé Pedro Almodovar. Le cinéaste espagnol et son frère Agustin ont permis à Guillermo Del Toro de tourner son film, via leur société de production El Deseo, qui a contribué à lancerla carrière de Alex de la Iglesia en produisant son premier long métrage, Action mutante en 1992.
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The Butterfly Effect|Eric Bress J. Mackye Gruber|Drame|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|2004|118|Anglais||XVID|||XVID|697 Kbps|544x288|MPEG-1 Audio layer 3|113 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||23.976|13/08/2009 00:00:00|Chris Bender J.C. Spink Anthony Rhulen|Eric Bress J. Mackye Gruber|Matthew F. Leonetti||New Line Cinema||Une théorie prétend que si l'on pouvait retourner dans le passé et changer quelques détails de notre vie, tout ce qui en découle serait modifié. On appelle cela "l'effet papillon". Evan Treborn a cette faculté. Fasciné, il va d'abord mettre ce don au service de ceux dont les vies ont été brisées dans leur enfance. Il peut enfin repartir dans le passé et sauver la seule jeune fille qu'il ait jamais aimée.Mais Evan va découvrir que ce pouvoir est aussi puissant qu'incontrôlable. Il va s'apercevoir que s'il change la moindre chose, il change tout. En intervenant sur le passé, il modifie le présent et se voit de plus en plus souvent obligé de réparer les effets indésirables de ses corrections... |Ashton Kutcher (Evan Treborn)@Amy Smart (Kayleigh Miller)@Elden Henson (Lenny Kagan)@William Lee Scott (Tommy Miller)@Eric Stoltz (George Miller)@Melora Walters (Andrea Treborn)@Logan Lerman (Evan Treborn à 7 ans)@Irene Gorovaia (Kayleigh à 13 ans)@John Patrick Amedori (Evan à 13 ans)@Callum Keith Rennie (Jason)@Lorena Gale (Mme Boswell)@Nathaniel DeVeaux (le docteur Redfield)@John Tierney (un prêtre)@Kendall Cross (Mme Kagan)@Ted Friend@Ethan Suplee (Un gothique obèse)@||Secrets de tournage :
De l'écriture à la caméra
Si Eric Bress et J. Mackye Gruber sont d'abord des scénaristes - ils ont notamment coécrit le scénario de Destination finale 2 - ils désiraient tellement défendre l'histoire de L'Effet papillon, qu'ils ont pris la décision de la mettre en scène. Leur producteur Eric Bress précise en effet : "Ils ne souhaitaient toujours pas vendre cette histoire. Elle leur était très personnelle. (...) Logiquement, ils en sont arrivés à la conclusion que personne n'était plus qualifié qu'eux pour la réaliser."
Un scénario mûri de longue date
Eric Bress et J. Mackye Gruber ont débuté l'écriture du projet L'Effet papillon dès 1997. En 6 ans, le script s'est très rapidement fait connaître auprès des producteurs. Chris Bender, le producteur, en témoigne : "Leur histoire a tout de suite intéressé beaucoup de monde. Ils ont reçu beaucoup d'offres d'achat, mais ils répondaient que leur scénario devait encore être peaufiné."
Jouer tous les âges
Le casting a été difficile à mettre en place : les acteurs devaient en effet être capables d'incarner des adolescents et des adultes. Eric Bress, le producteur, précise :"Ils devaient garder leur identité affective malgré les différentes variations de leur destin. Nous avons cherché des comédiens capables d'exprimer différemment une même sensibilité suivant les circonstances."
... et tous les physiques
Elden Henson, l'interprète de Lenny, le meilleur ami de Evan, a du grossir de 15 kilos et immédiatement maigrir. L'expérience l'a fortement marqué : "Ce film est un cas d'école ! Les autres changeaient de costume et de coiffure, moi, suivant mon destin, je changeais aussi de physique ! J'ai dû faire varier mon poids de plus de 15 kilos pendant le tournage. Pour moi, il y a eu deux périodes : celle où je m'empriffrais avec tout ce qui est délicieux et hypercalorique, et l'autre où je regardais mes camarades manger et où je courais tous les matins comme un forcené."
Premier rôle dramatique
Ashton Kutcher trouve dans L'Effet papillon son premier rôle dramatique : "Jusqu'à présent, j'ai surtout fait des comédies. Eric et jonathan m'ont donné l'opportunité de jouer autre chose, dit-il. Evan est un être complexe, multiple mais surtout très humain."
Un tournage canadien
Le tournage a duré huit semaines, principalement à Vancouver et ses environs (Canada) : les prises de vue principales ont été tourné au Riverview Hospital, au campus de l'Université de Colombie Britannique et à l'Ecole élémentaire Edith Cavell. Les scènes de prison ont été effectuées dans l'Etat de Washington, au Monroe Corrective Complex.
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The Butterfly Effect 2|John R. Leonetti|Fantastique||1|américain|2006|88|Anglais||XviD|||XVID|967 Kbps|656x368|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Chris Bender Anthony Rhulen J.C. Spink|Michael D. Weiss|Brian Pearson||||Changer le passé peut avoir des conséquences désastreuses sur l'avenir. La suite de L'Effet papillon. |Eric Lively (Nick Larson)@Erica Durance (Julie Miller)@Dustin Milligan (Trevor Eastman)@Gina Holden (Amanda)@David Lewis (Dave Bristol)@Andrew Airlie (Ron Callahan)@Chris Gauthier (Ted)@||||||||||||@@
L'Empire des loups|Chris Nahon|Policier|Interdit aux moins de 12 ans|2|français|2005|122|Français||XviD|||XVID|654 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Patrice Ledoux||Michel Abramowicz||Gaumont Columbia Tristar Films||Anna Heymes, la trentaine, est l'épouse d'un des plus hauts fonctionnaires du Ministèrede l'Intérieur. Depuis plus d'un mois, elle souffre d'hallucinations terrifiantes et de régulièrescrises d'amnésie, au point de ne plus reconnaître le visage de son propre mari et même decommencer à douter de l'honnêteté de ce dernier.Pendant ce temps, dans le Xe arrondissement, Paul Nerteaux, un capitaine de police acharné, se voit confier une enquête concernant la mort de trois femmes d'origine turque qui travaillaient dans des ateliers clandestins et dont les corps ont été retrouvés atrocement mutilés. Pour l'aider à infiltrer la population turque du quartier, Nerteaux n'a d'autre solution que de faire appel à Jean-Louis Schiffer, un de ses anciens collègues connu pour sa réputation de flic implacable. |Jean Reno (Jean-Louis Schiffer)@Jocelyn Quivrin (Paul Nerteaux)@Arly Jover (Anna Heymes)@Laura Morante (Mathilde Wilcrau)@Philippe Bas (Laurent)@Philippe Du Janerand (le légiste)@Vincent Grass (Marius)@Jean-Michel Tinivelli (Caraccili)@Albert Dray (le lieutenant)@Etienne Chicot (Amien)@Arnaud Duléry (un flic médico-légal)@Elodie Navarre (la fliquette)@||Secrets de tournage :
La genèse du roman
S'inspirant de reportages datant de ses années de journaliste, Jean-Christophe Grangé eut l'idée de mixer deux sujets. L'un sur les nouvelles machines permettant de manipuler le cerveau - ou du moins de localiser les fonctions cérébrales en vue d'en établir une géographie -, celui-ci devenant la carte d'un pays à bombarder, avec la possibilité de viser la partie que l'on souhaite toucher. Dans ce cas précis, la mémoire.
Parallèlement, il avait écrit une série de sujets sur les mafias : sicilienne, chinoise, turque. A propos de cette dernière, il se souvenait d'une branche qui le fascinait et qui s'appelait les Loups gris. Beaucoup plus que de simples criminels, ils sont davantage une secte politisée, avec pour credo le retour vers la Turquie ancestrale. Aimant l'idée de ces types se considérant comme les fils de la louve blanche et débarquant à Paris, il se basa sur ces deux sujets pour écrire le livre en 2001, 2002.
Jean Reno à nouveau chez Grangé
En acceptant de camper le flic Jean-Louis Schiffer dans L'Empire des loups, Jean Reno, alias le commissaire Niemans dans Les Rivières pourpres et Les Rivières pourpres 2 - les anges de l'apocalypse, renoue avec l'univers de Jean-Christophe Grangé. Concernant le rôle de Schiffer, l'acteur déclare : "C'est une tête brûlée, un personnage fantasque, intéressant. Par rapport à Niemans dans Les Rivières pourpres, c'est un mec plus bourru, qui porte davantage de misère sur ses épaules. Schiffer, lui, a le ventre en avant, le cheveu graisseux, la transpiration excessive..."
Le début d'une aventure pour Chris Nahon
Après Le Baiser mortel du dragon, il a fallu un certain temps à Chris Nahon pour retrouver un projet à la hauteur de ses ambitions. De nombreuses choses lui avaient été proposées par des producteurs américains ou français, ainsi que par la maison d'édition Albin Michel, avec laquelle il avait un projet d'adaptation. C'est ainsi qu'il reçut L'Empire des loups. "Je ne connaissais pas grand-chose de Jean-Christophe Grangé, si ce n'est "Les Rivières pourpres", avoue le réalisateur. "Sur l'insistance de mon agent, j'ai lu le roman, et je l'ai avalé en deux jours ! J'ai été absorbé comme jamais je ne l'avais été." Chris Nahon proposa alors le film à Gaumont, qui l'accepta immédiatement.
Le travail d'écriture
Une fois mise en route l'idée d'adapter L'Empire des loups à l'écran, Jean-Christophe Grangé proposa à la société Gaumont de ne pas écrire un scénario, mais de lui fournir un séquencier. L'idée a intéressé le producteur Patrice Ledoux. Mais arrivé en juin 2004, le script n'était pas terminé, et en vue de tenir les délais promis, il devait absolument être bouclé. L'écrivain a donc décidé de s'y investir pleinement pendant un mois et demi, puis a ensuite pris du recul tout en suivant l'évolution du film et en apportant des remarques et modifications.
Olivier Martinez pressenti
Olivier Martinez fut un temps pressenti pour camper le personnage de Paul Nerteaux, mais pris par ses occupations outre-Atlantique, il ne put endosser ce rôle et fut remplacé par Jocelyn Quivrin.
Arly Jover et le personnage d'Anna
Arly Jover avoue avoir un point commun avec le personnage d'Anna qu'elle incarne dans le film : la solitude. Celle-ci s'explique sur son passé : "Je suis partie de chez moi à l'âge de 14 ans. Je suis la cadette d'une fratrie de sept enfants, mais j'ai vécu plus de la moitié de ma vie en apprenant à faire les choses par moi-même (...) Anna, comme moi, s'est faite toute seule. Elle s'en est sortie parce qu'elle a pris des décisions, parce qu'elle a travaillé seule."
Tournage éprouvant en Turquie
Trois mois s'étant écoulés entre le tournage en France et celui en Turquie, beaucoup de membres de l'équipe technique avaient trouvé d'autres projets. Chris Nahon parvint tant bien que mal à assurer la continuité. L'autre difficulté résidait dans la configuration des structures de production turques, très différentes des françaises. Sans compter les pressions politico-mafieuses de ce pays. Le cinéaste confie : "Il a souvent fallu réécrire, s'adapter en fonction des événements, voire enregistrer des séquences que l'on savait inutiles, pour pouvoir avancer dans les autorisations de tournage. J'ai moi-même reçu des menaces... Les Loups gris sont très puissants, et liés de près à l'histoire du génocide arménien et à l'attentat du Pape. Rien ne les arrête. Surtout pas la police, dont beaucoup de membres appartiennent au mouvement !"
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Wake of Death|Philippe Martinez|Action|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|2005|90|Anglais||XviD|||XVID|940 Kbps|576x320|MPEG-1 Audio layer 3|129 Kbps|False|44.1 KHz|2|699||||23.976|06/08/2009 00:00:00|Stéphanie Martinez Alan Latham Luc Campeau Anton Ernst Stefan Jonas|Philippe Martinez|Emmanuel Kadosh||Limelight Distribution||Un ancien membre de la mafia va entrer en guerre contre une triade chinoise après le meurtre odieux et brutal de son épouse. Ce meurtre horrible le hantera jusqu'à ce que justice soit faite... sa justice. |Jean-Claude Van Damme (Ben Archer)@Simon Yam (Sun Quan)@Lisa King (Cynthia)@Valérie Tian (Kim)@Tony Schiena (Tony)@Danny Keogh (Mac Hoggins)@||Secrets de tournage :
Moins axé sur le combat et le karaté
Philippe Martinez avait la conviction, depuis Chasse à l'homme de John Woo, que Jean-Claude Van Damme avait le jeu d'acteur et le charisme suffisants pour passer à un type de rôle différent, moins axé sur le combat pur et le karaté. Il se souvient : "Je le voyais à la fois vulnérable et impitoyable, à la fois humain et gangster. Il s'approchait donc bien du personnage de Ben Archer, gangster repenti, père de famille touchant et meurtri, en quête de vengeance."
Une vision réaliste de la violence
Philippe Martinez affectionne particulièrement l'atmosphère noire et pesante des films qui mélangent action, noirceur, violence et urbanité. Il a volontairement recréé cette ambiance en combinant une direction de la photographie plutôt sombre et une action principalement nocturne. "Je peux vous dire que la violence dans la cité phocéenne et ses alentours peut être bien plus terrible que n'importe quelle scène de cinéma, ajoute-t-il. "La scène de la torture, par exemple, m'a été suggérée par une personne qui a passé une partie de sa vie dans le gangstérisme marseillais !"
Des cascades signées Rémy et Dominique Julienne
Les scènes de cascades et de courses poursuites ont été tournées avec l'équipe de cascadeurs de Rémy et Dominique Julienne. Philippe Martinez s'enthousiasme : "Ils ont réalisé les cascades les plus célèbres du cinéma avec James Bond, Taxi... Non seulement, ce sont des professionnels chevronnés et brillants, mais en plus, leurs valeurs et leur sens de l'honneur sont complètement dans l'esprit et l'atmosphère que je voulais créer pour le film".
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The Entity|Hideo Nakata||||américain|1983|120|Anglais||DX50|||DX50|751 Kbps|640x348|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|763||||25.000|27/08/2009 00:00:00||David DiGilio|||20th Century Fox||Une femme harcelée par uen force surnaturelle se tourne vers un parapsychologue pour l'aider... |Barbara Hershey@Ron Silver@David Labiosa@George Coe@Margaret Blye@Jacqueline Brookes@Richard Brestoff@Michael Alldredge@Raymond Singer@Allan Rich@Natasha Ryan@Melanie Gaffin@Alex Rocco@Sully Boyar@Tom Stern@||||||||||||@@
L'enquête Corse|Alain Berbérian|Comédie||2|français|2004|89|Français||DX50|||DX50|947 Kbps|608x256|MPEG-1 Audio layer 3|133 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Ilan Goldman|Christian Clavier Michel Delgado|Pascal Gennesseaux||Gaumont Columbia Tristar Films||Détective parisien branché s'estimant aussi irrésistible avec les femmes que dans le business, Rémi François alias Jack Palmer a finalement accepté la mission que vient de lui confier un obscur petit notaire de province : retrouver Ange Léoni, un citoyen corse introuvable qui a hérité d'un confortable pactole. Une véritable promenade de santé pour Jack Palmer rompu aux missions infiniment plus délicates.Mais à peine arrivé sur l'île de beauté, la promenade de santé va très vite devenir un parcours du combattant. Mystérieusement observé aux jumelles pendant son enquête, Palmer perd de sa superbe devant le mutisme local, les tournées d'alcool de myrthe, les indépendantistes qui le kidnappent, les gendarmes qui le molestent par erreur, une voiture pulvérisée et l'énigmatique Ange Léoni qui lui donne de mystérieux rendez-vous ratés. |Christian Clavier (Rémi François / Jack Palmer)@Jean Reno (Ange Léoni)@Caterina Murino (Léa)@Didier Flamand (Dargent)@Albert Dray (le capitaine de gendarmerie)@Pierre Salasca (Matéo)@Pido (Figoli)@Alain Maratrat (De Vlaminck)@François Orsoni (Balducci)@Nathanaël Maïni (Doumé)@Guy Cimino (Borgnoli)@Philippe Guerrini (le marseillais)@Elisabeth Kaza (Josepha)@Tzek (Bruno)@Jean-Emmanuel Pagni (Indépendentiste Corse Nationale)@Xavier de Guillebon (Le propriétaire Villa Pinzuts)@Nathalie Krebs (La propriétaire Villa Pinzuts)@Raoul Curet@Olga Sékulic (Gendarmette)@Didier Ferrari (Pierrot, le parton de l'hôtel)@Luc Palun (Indépendantiste Canal Inattendu)@Laurent Barbolosi@Vincent Solignac (Le consul de Belgique)@Michel Delgado@Marc Vade (faux touriste)@Raymond Aquaviva (L'avocat de l'accusation)@Yves Borrini (Le juge)@Francis Coppola (Vieux monsieur rue Pinocchio)@Juliette Poissonnier (Mademoiselle Brêche)@Laurence Colussi (L'hôtesse)@François Berlinghi@Hervé Lassïnce@Eric Debrosse (Jeune flic du Pinocchio)@Juliette Degenne (Léa (voix))@Aurélie Matéo@||Secrets de tournage :
Adapté d'une bande dessinée de Pétillon
L'Enquête corse est adapté de la BD homonyme de Pétillon, dessinateur au Canard Enchaîné et concepteur de l'affiche du film. L'album s'est vendu à plus de 300 000 exemplaires en France et en Corse, il s'agit de la plus grosse vente depuis Astérix en Corse.
Retrouvailles Jean Reno / Christian Clavier
L'Enquête corse marque les retrouvailles de Jean Reno et Christian Clavier, les deux acteurs s'étant déjà donné la réplique dans Opération corned-beef (1991), Les Visiteurs (1993) et ses suites Les Couloirs du temps, les visiteurs 2 (1998) et Les Visiteurs en Amérique (2001). Jean Reno dit à propos de son partenaire : "C'est un vieux camarade, je l'aime beaucoup. Il est fidèle, il a beaucoup de talent, il a aussi beaucoup d'esprit. Nous fonctionnons très bien ensemble".
Un accent corse pour Jean Reno
Jean Reno explique comment il en est venu à attraper l'accent corse pour les besoins du tournage : "J'avais envie que Leoni ait vraiment quelque chose de l'île, mais je ne voulais pas que les Corses tombent de leur fauteuil en entendant son accent. Alors comme lorsqu'on est gamin et que l'on passe ses vacances dans une région à accent, j'ai un peu traîné là-bas et je l'ai attrapé ! Sur place, au milieu des Corses, j'ai essayé de saisir leur musique, et puis je l'ai testée sur place."
Recrutement d'acteurs corses
Pour un maximum d'authenticité, Alain Berberian et Christian Clavier ont engagé des acteurs corses recrutés dans de nombreuses troupes de théâtre de l'île. "Cela a créé une synergie d'acteurs corses autour de nous, a précisé l'acteur. Il y avait Jean, Alain Berberian, moi et.... la Corse et les
Corses !"
Le choix de Caterina Murino
Alain Berberian se souvient comment il est venu à choisir Caterina Murino pour le rôle de Léa : " Pour le personnage de Léa, je voulais une actrice incroyablement belle. J'ai toujours été amoureux de Claudia Cardinale et je rêvais de filmer une belle comédienne italienne ! Caterina Murino correspondait parfaitement. Elle a le charme et l'énergie. Nous l'avons rencontrée lors du casting à Rome. Face à Palmer, elle est aussi séduisante en manipulatrice qu'en jeune femme sous le charme. "
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Léon|Luc Besson|Policier|Interdit aux moins de 12 ans|4|français|1994|105|Anglais||DIV3|||DIV3|672 Kbps|512x272|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|588||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Patrice Ledoux|Luc Besson|Thierry Arbogast||Gaumont Buena Vista International (GBVI)||Un tueur à gages répondant au nom de Léon prend sous son aile Mathilda, une petite fille de douze ans, seule rescapée du massacre de sa famille. Bientôt, Léon va faire de Mathilda une "nettoyeuse", comme lui. Et Mathilda pourra venger son petit frère... |Jean Reno (Léon)@Gary Oldman (Norman Stansfield)@Natalie Portman (Mathilda)@Danny Aiello (Tony)@Peter Appel (Malky)@Willi One Blood (un homme de main)@Don Creech (un homme de main)@Keith A. Glascoe (un homme de main)@Randolph Scott (II) (un homme de main)@Michael Badalucco (le père de Mathilda)@Ellen Greene (la mère de Mathilda)@Elizabeth Regen (la soeur de Mathilda)@Carl J. Matusovich (le frère de Mathilda)@Samy Naceri (Un équipier de la SWAT)@Jean-Hugues Anglade (Un figurant (version longue))@Maïwenn (la fille blonde)@||Secrets de tournage :
L'éclosion d'une star
S'il met Jean Reno en vedette, Léon vaut surtout pour la découverte d'une future star du nom de Natalie Portman, qui incarne Mathilda. Âgée de 12 ans lors du tournage, la jeune actrice épate par son implication et la justesse de son jeu dans un film où la violence est omni-présente. Depuis, Natalie Portman n'a eu de cesse de confirmer son statut d'actrice de premier plan, en alternant films d'auteur (Tout le monde dit I love you de Woody Allen ou Ma mère, moi et ma mère de Wayne Wang) et les grosses productions comme Heat, Mars attacks! et surtout la première trilogie de La Guerre des étoiles, entamée avec La Menace fantôme (1999).
Une version longue
Sorti en France en septembre 1994 dans une version de 110 minutes, Léon se voit doté d'une version longue (ou director's cut) de 130 minutes, soit 20 minutes de plus que son original. Le film ainsi remanié sort en juin 1996 en France.
Exil américain
Filmé aux Etats-Unis et tourné entièrement en anglais, Léon marque un tournant dans la carrière de Luc Besson. Le film lui permet d'asseoir sa réputation aux Etats-Unis (où Nikita avait connu une sortie limitée) et de conserver sa popularité en France, où Léon attire près de 3,5 millions de spectateurs. Par la suite, Luc Besson tournera Le Cinquième élément et Jeanne d'Arc en anglais, bien que ce dernier film rassemble bon nombre d'acteurs français.
Premières traces dans "Nikita"
Léon est directement inspiré de Victor, "nettoyeur" de son état, inventé par Luc Besson dans Nikita. Entre les deux films, le personnage aura changé de prénom et gagné en humanité, passant d'un caractère froid et mystérieux dans Nikita à un fond émouvant et presque enfantin dans Léon.
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One Hundred and One Dalmatians|Clyde Geronimi Hamilton Luske Wolfgang Reitherman|Animation|Film pour enfants|3|américain|1961|76|||DIV3|||DIV3|1 181 Kbps|400x256|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Walt Disney|Bill Peet|||||Pongo et Perdita, deux magnifiques dalmatiens, ont un beau jour quinze bebes chiens. Leur joie et celle de leurs maitres Roger et Anita serait sans ombre si l'infame Cruella, ancienne camarade de classe d'Anita, ne convoitait les chiots pour leur fourrure. Une reussite de la firme Disney qui demanda 750 dessinateurs et techniciens qui travaillerent sur le film pendant pres de trois ans. |Rod Taylor (Pongo (voix))@Betty Lou Gerson (Cruella (voix))@Cat Bauer (Perdita (voix))@Lisa Daniels (Perdita (voix))@Ben Wright (Roger Radcliff (voix))@Lisa Davis (Anita Radcliff (voix))@||||||||||||@@
102 Dalmatians|Kevin Lima|Comédie||2|américain|2001|100|||DIV3|||DIV3|830 Kbps|512x384|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|693||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Edward S. Feldman|Kristen Buckley Brian Regan Bob Tzudiker Noni White|Adrian Biddle||||La thérapie du Dr Pavlov, consistant à maîtriser le comportement de chacun, est tout simplement révolutionnaire. Et pour convaincre le monde entier, quoi de mieux qu'une patiente jugée incurable : Cruella D'Enfer. La méthode semble efficace. Trois ans après avoir kidnappé la quasi-totalité des dalmatiens de Londres, Cruella est devenue la protectrice et la meilleure amie des chiens.Tous s'émerveillent devant ce changement brutal de comportement, sauf son officier de probation, Chloe Simon, qui n'est pas dupe une seule seconde. Elle est encore plus sceptique, lorsque Cruella annonce aux médias qu'elle rachète le Second Chance Dogs Home, un chenil menacé de fermeture. D'ailleurs, la disparition soudaine des chiots de Chloe, les petits enfants de Pongo et Perdy, Loupiot, Domino et Prunelle, laisse présager le retour des problèmes et la fin des illusions. |Glenn Close (Cruella D'Enfer)@Gérard Depardieu (Jean-Pierre Le Pelt)@Ioan Gruffudd (Kevin Sheperd)@Alice Evans (Chloe Simon)@Tim McInnerny (Alonso)@Ben Crompton (Ewan)@Carol MacReady (Agnès)@Ian Richardson (Mr Torte)@Jim Carter (le détective Armstrong)@Ron Cook (Mr Button)@Timothy West (le juge)@David Horovitch (le Dr Pavlov)@Dick Brannick (l'assistant de Pavlov)@Mike Hayley (l'agent de police)@Nicholas Hutchinson (le reporter)@Tim Willcox (le journaliste d'ITN)@Eric Idle (Waddlesworth (voix))@Delphine De Turckheim@||Secrets de tournage :
La suite des 101 Dalmatiens
Cette suite des Les 101 Dalmatiens a été réalisée par Kevin Lima, qui a déjà travaillé pour Disney sur Tarzan. C'est la première fois qu'il dirige des acteurs en chair et en os au lieu de personnages de dessins animés. Glenn Close reprend ici du service en incarnant de nouveau la terrible Cruella.
La carrière américaine de Gérard Depardieu
Depardieu a joué pour la première fois sous la direction d'un réalisateur étranger dans Green card (de l'Australien Peter Weir). Il a ensuite enchaîné 1492 : Christophe Colomb (Ridley Scott), My father, ce héros (Steve Miner), Décroche les étoiles (Nick Cassavetes), Bogus (Norman Jewison), Hamlet (Kenneth Branagh), L'Homme au masque de fer (Randall Wallace), Vatel (Roland Joffé).
Anthony Powell, chef costumier
Collaborateur de Roman Polanki (Tess, Pirates, Frantic, La Neuvième porte), il a notamment travaillé avec Steven Spielberg (Indiana Jones et le temple maudit, Indiana Jones et la dernière croisade, Hook) ou Robert Altman (Buffalo Bill et les Indiens). Lauréat de trois Oscars, Anthony Powell a également conçu les costumes de Papillon de Franklin J. Schaffner.
Glenn Close creuse le personnage
« J'ai eu envie d'explorer encore davantage Cruella. J'ai appris avec Les 101 Dalmatiens que plus j'étais méchante, plus j'étais drôle. Et faire rire est un rouage vital dans le fonctionnement du personnage. Les enfants ont peur de Cruella, mais elle leur permet aussi de rire de leur peur. Elle est comme tous les méchants des contes de fées, qui font découvrir aux enfants le côté sombre de la vie. Les enfants savent que cette noirceur existe, et elle les terrifie. Ils veulent pouvoir la regarder, l'affronter et savoir qu'ils seront secourus. »
Un chiot virtuel et multiple
Prunelle, le chiot au pelage immaculé, est à la fois un animal réel et virtuel. Il participe à certaines scènes sous une forme numérisée, alors que dans d'autres, Prunelle est un vrai dalmatien dont les taches ont été supprimées par infographie.
La croissance d'un chiot de quelques semaines étant très rapide, la production a dû engager une dizaine de spécimens pour tenir le rôle. L'infographie s'est fait fort de gommer les différences qui existaient entre les chiens. La truffe noire et les pigments noirs, attributs caractéristiques de Prunelle, ont parachevé le travail, donnant l'illusion que le quadrupède qui évolue sur l'écran est toujours le même.
101 + 1
Les 102 Dalmatiens est la suite des 101 Dalmatiens, réalisé par Stephen Kerek en 1996. De ce premier volet, seule Glenn Close a conservé son rôle de Cruella De Vil. Ce premier volet s'inspirait du film d'animation des Studios Disney réalisé en 1961.
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Les 11 commandements|François Desagnat Thomas Sorriaux|Comédie||2|français|2004|82|Français||XVID|||XVID|1 043 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Abel Nahmias|Laurent Zeitoun Romain Levy Michaël Youn Vincent Desagnat|David Quesemand||Pathé Distribution||Le monde va mal, les humains ne rigolent plus, la situation est grave. Le Dieu de la blague n'a plus qu'une solution : Michaël Youn et sa bande.Leur mission : accomplir " Les 11 commandements " de la blague pour remettre les peuples sur le droit chemin de la rigolade en repoussant les limites de la connerie. Danser la valse en apesanteur à 15 000 mètres d'altitude, inonder une maison pour la transformer en piscine, jouer au beach volley avec une érection contrôlée, faire du roller sous somnifères... Rien n'arrête Michaël Youn et sa bande, et en plus, ils le font pour de vrai ! |Michaël Youn (Mike)@Vincent Desagnat (Vincent)@Benjamin Morgaine (Ben)@William Geslin (Willy)@Hichem Bonnefoi (Tefa)@Jurij Prette (Yuri)@Jean-Christophe Campan (l'arbitre)@Dieudonné (le Dieu de la blague)@Gad Elmaleh (Gad)@Djibril Cissé (Djibril)@Amélie Mauresmo (Amélie)@Juliette Arnaud (Juliette)@Virginie Tocque (la prof de danse)@Francia Séguy (le chauffeur du Dieu de la blague)@||Secrets de tournage :
La genèse du projet
Avec Les 11 commandements, Michaël Youn et sa bande transposent en France l'univers du programme Jackass, où une bande d'hurluberlus tente les choses les plus osées et dangereuses, en temps réel et sans trucages. Michaël Youn explique la genèse du projet : "J'avais des propositions de rôles pour l'été mais c'était des comédies traditionnelles, et j'ai le temps pour le traditionnel. Je voulais expérimenter autre chose. En plus, j'avais la frustration de plein de conneries du "Morning live" qui nous restaient à faire. Et puis, quand on a vu que les gars de Jackass avaient réussi à amener leur univers de la télé au cinéma, on s'est dit qu'on pouvait aussi y amener notre univers à nous. Une autre forme de divertissement, une alternative aux comédies classiques."
On prend les mêmes...
Les 11 commandements voit le retour de la délirante équipe de La Beuze. François Desagnat et Thomas Sorriaux officient une nouvelle fois à la réalisation, à l'écriture et devant la caméra alors que Michaël Youn rempile dans le rôle-vedette.
Qui sont les conards ?
Pour Les 11 commandements, Michaël Youn s'est entouré d'une bande d'amis avec laquelle il a formé Les Conards. On retrouve dans cette troupe très spéciale Vincent Desagnat et Benjamin Morgaine, acolytes de Youn dans l'émission du Morning live, William Geslin, compositeur de la musique des Bratisla Boys, Hichem Bonnefoi, un producteur de rap rencontré sur le tournage de La Beuze, et Jurij Prette, un ami italien.
Un lourd bilan
Au terme de l'aventure des 11 commandements, Michaël Youn tire le bilan des aventures les plus osées de sa bande. Pour avoir outrepassé les lois et dépassé leurs limites, ils ont ainsi enregistré "7 arrestations, 2 procès, une interdiction préfectorale, une quinzaine de contrôles de police, un tympan perforé, un nez cassé, 2 côtes cassées, 17 points de suture, 2 entorses, 2 épanchements de synovie, une allergie cutanée à l'eau de la Seine, 3 évanouissements et une quinzaine de vomis. Sans compter les 400 000 euros environ versés en dommages et intérêts."
Apparitions
Quelques célébrités ont accepté de prendre part aux drôles de jeux de Michaël Youn et sa bande. Le long-métrage bénéficie ainsi des présences des acteurs Gad Elmaleh et Patrick Timsit, du comique Dieudonné, du footballeur Djibril Cissé, et de la joueuse de tennis Amélie Mauresmo.
Un nouveau tube...
En 2002, le long-métrage La Beuze avait été accompagné du tube Le Frunkp. Un an plus tard, Michaël Youn et sa bande, sous l'appellation Les Conards, ont également composé une chanson pour les besoins des 11 commandements : intitulé Comme des conards, celle-ci est sortis dans le commerce le 20 janvier 2004 et reprend la mélodie du standard américain My Sharona du groupe The Knack.
...et un clip signé Kounen !
C'est le réalisateur Jan Kounen (Dobermann, Blueberry, l'expérience secrète) qui a signé le vidéoclip de la chanson Comme des conards.
Info ou intox ?
Selon Michaël Youn, Les 11 commandements serait l'épisode 3 d'une trilogie dont les deux premiers volets sortiront dans un futur proche : l'épisode 2 Les 11 doigts de la main l'année prochaine, puis l'épisode 1 Le Train sifflera 11 fois un peu plus tard.
Voyage en Russie
Si la grande majorité du tournage des 11 commandements s'est déroulée en France, toute l'équipe a fait un petit détour par Moscou pour les besoins des séquences en apesanteur. Celles-ci ont été filmées dans un centre aéronautique russe.
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The Fantastic Four|Tim Story|Action||2|américain|2005|99|Anglais||XVID|||XVID|824 Kbps|624x256|MPEG-1 Audio layer 3|144 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Avi Arad Michael Barnathan Chris Columbus Bernd Eichinger Ralph Winter|Michael France|||20th Century Fox|Saga : Les 4 Fantastiques |Reed Richards s'apprête à explorer le coeur du cosmos pour percer les mystères de nos origines. A ses côtés : l'astronaute Ben Grimm, son ex-compagne Sue Storm et le pilote casse-cou Jimmy Storm.Au cours de leur mission, la station spatiale s'engouffre dans un nuage de particules radioactives. Les codes génétiques des quatre astronautes en sont altérés à jamais... |Ioan Gruffudd (Reed Richards / Mr. Fantastic)@Jessica Alba (Sue Storm / La femme invisible)@Michael Chiklis (Ben Grimm / La Chose)@Chris Evans (II) (Johnny Storm / La Torche)@Julian McMahon (Fatalis)@Kerry Washington (Alicia Masters)@Maria Menounos (l'infirmière sexy)@Lorena Gale (la vieille femme)@Laurie Holden (Debbie)@Colin Lawrence (le policier sur le pont)@Stan Lee (le postier Willie Lumpkin)@David Parker (Ernie)@David Richmond-Peck (le patron de la galerie)@Hamish Linklater (Leonard)@Kevin McNulty (Jimmy O'Hoolihan)@Michael Kopsa (Ned Cecil)@Andrew Airlie (le docteur)@G. Michael Gray (le petit ami )@Pascale Hutton (la petite amie)@Jason Schombing (l'homme d'affaire)@Jason Diablo (le policier #1)@Colin Lawrence (le policier #2)@Dee Jay Jackson (le chef des pompiers)@Gina Holden (la réceptionniste)@Douglas Weston (le médecin de Victor)@Jennifer Lothrop (reporter pour FX)@Lou Torres (le chauffeur de taxi)@Nicole Munoz (la petite fille)@Lorena Gale (la vieille dame en voiture )@||Secrets de tournage :
Les origines du film
Les Quatre Fantastiques est adapté d'un comic book créé en 1961 par Stan Lee et Jack Kirby pour la firme Marvel. Cette série très innovante signe le début de ce que l'on a appelé "l'âge d'argent de la BD". D'autres bandes-dessinées issues de l'imaginaire de Lee voient ensuite le jour, dont certaines ont depuis été adaptées au cinéma, comme Hulk, Spider-Man ou les X-Men.
Rattrapage
Une première adaptation du comics américain The Fantastic Four avait vu le jour en 1994 mais n'était jamais sortie : le film, tourné très rapidement et avec des acteurs quasi-inconnus, était destiné à rentabiliser l'achat des droits de la BD par le studio. En effet, en cas de dépassement du délai nécessaire à la mise en place du projet, les droits d'adaptation échappaient au studio ! L'équipe du film tourna donc ce dernier sans savoir qu'il ne sortirait jamais... A noter : l'un des producteurs exécutifs du film n'est autre que le vétéran de la série B Roger Corman.
Une histoire de pouvoirs
Le réalisateur Tim Story évoque les supers-pouvoirs des Quatre Fantastiques : "Ces pouvoirs sont réellement le pivot de l'histoire et la source principale du plaisir qu'elle dispense. Quel gamin n'a rêvé d'être invisible, de pouvoir voler dans les airs ou d'être doué d'une force surhumaine ? L'enfant qui est en nous se reconnaît dans ces rêves. Quel plaisir de voir nos personnages découvrir leurs facultés, les intégrer à leur nouvelle vie et, finalement, les mettre au service du bien. On dit souvent que c'est l'argent, c'est le pouvoir; pour les Quatre Fantastiques, les pouvoirs sont LE pouvoir."
Michael Chiklis crève l'écran
Anti-héros de la percutante série , l'acteur d'origine grecque Michael Chicklis a prêté son corps massif à la Chose. Chiklis avait auparavant joué dans des films mineurs et des téléfilms avant de percer récemment grâce à cette série au succès retentissant. C'est l'actrice Jennifer Garner qui l'avait recommandé pour le rôle du personnage mi-homme, mi-amas de pierres. Durant le tournage, il fallait à Chiklis pas moins de trois heures pour enfiler son costume de super-héros !
Le souhait de Stan Lee
Stan Lee, le créateur du comic-book Les Quatre Fantastiques, explique quel genre de super-héros il a voulu mettre en lumière : "J'ai voulu faire de ces personnages des gens réels, habitant l'une ou l'autre de nos villes, partageant nos conditions d'existence ? à ceci près qu'ils disposent de superpouvoirs. "Les Quatre Fantastiques" sont la toute première famille de superhéros de l'histoire des comics. Ils vivent ensemble, ils travaillent ensemble, exactement comme une famille ordinaire. C'est ce trait distinctif qui les a rendus si populaires."
L'euphorie de la découverte
Mark Frost, le scénariste des Quatre Fantastiques, déclare avoir voulu revenir aux sources du comic-book d'origine : "Cette histoire est, à la base, d'une extrême simplicité et j'ai tout de suite pensé qu'il fallait retrouver l'euphorie des premiers fascicules de Stan Lee et Jack Kirby, où les personnages découvrent avec émerveillement leurs superpouvoirs. En retraçant leur itinéraire, nous exposerions du même coup leur mythologie à un public nouveau."
Du petit au grand écran
Le film met en valeur des acteurs découverts sur le petit écran, et plus particulièrement dans des séries TV : outre Michael Chiklis, on compte Jessica Alba, qui a été repérée dans la série avant d'être enfin lancée avec le film Sin City, et Julian McMahon, à l'origine acteur de séries comme , ou le récent et controversé , ici dans le rôle du méchant Docteur Doom !
La valse des réalisateurs
Plusieurs cinéastes, et pas des moindres, ont été pressentis pour réaliser le film, comme Steven Soderbergh, l'auteur de Traffic et d'Ocean's eleven, Chris Columbus (responsable des deux premiers Harry Potter et finalement producteur du film) ou encore Sean Astin : d'ordinaire connu comme acteur (on l'a vu en Hobbitt dans la trilogie du Seigneur des anneaux), il a eu l'occasion de s'essayer à la réalisation, notamment via des épisodes de séries TV. Tim Story, à qui a été confiée la direction du projet, est surtout connu outre-Atlantique pour New York taxi, le remake de notre Taxi hexagonal.
Une fin élastique
Les producteurs ont décidé, alors que le tournage était bouclé, de faire retourner certaines scènes et, surtout, de modifier la fin du film, estimée trop molle et conventionnelle par rapport au rythme imprimé par le reste du film. Ils auraient entre autres été influencés par une vision de dernière minute des Indestructibles, dont les prouesses techniques sont impressionnantes et dont l'un des personnages principaux, Elastigirl, est clairement inspiré par Mr Fantastic, l'homme-élastique.
Le Pont de Brooklyn reconstitué !
L'un des paris les plus difficiles à réaliser pour le tournage des Quatre Fantastiques fut de reconstituer le célèbre Pont de Brooklyn. Le chef décorateur Bill Boes explique : "Nous aurions bien aimé tourner cet épisode-clé à New York même, mais le coût eût été prohibitif. Nous avons donc reconstitué une section du Pont de 70 mètres de long et 11 mètres de large, qui reproduit très fidèlement chaque détail, des réverbères d'époque aux boulons et à la couleur de la peinture. Puis nous avons entouré le plateau de fonds bleus, stationnaires ou mobiles, dont certains faisaient plus de 15 mètres de haut. C'était très important d'aboutir à un décor pleinement convaincant, car c'est sur ce Pont que les Quatre Fantastiques découvrent leurs superpouvoirs et accomplissent leur premier grand exploit."
Le producteur Ralph Winter est pleinement satisfait du résultat : "En combinant les pièces du puzzle ? les images de ce décor, les prises de vues aériennes effectuées à New York et Vancouver et les effets visuels -, nous avons été en mesure de vous donner l'impression que vous êtes réellement au sommet du Pont de Brooklyn, à 70 mètres au-dessus de l'Hudson..."
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4: Rise of the Silver Surfer|Tim Story|Action||2|américain, allemand, britannique|2007|88|Anglais||DX50|||DX50|976 Kbps|576x320|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Avi Arad Bernd Eichinger Ralph Winter|Don Payne Mark Frost John Turman|Larry Blanford||Twentieth Century Fox France|Saga : Les 4 Fantastiques |Alors que le mariage de Mr Fantastic et de la Femme Invisible s'annonce comme l'événement de l'année, un mystérieux Surfer d'Argent surgit de l'espace et provoque d'étranges phénomènes sur la Terre.Rapidement, les 4 Fantastiques vont découvrir le dessein secret de cet être aux pouvoirs surprenants et la menace qu'il fait peser sur notre planète, mais ils vont aussi voir ressurgir leur ennemi juré... Face au danger, amis et ennemis vont devoir unir leurs forces comme jamais... |Ioan Gruffudd (Reed Richards / Mr. Fantastic)@Jessica Alba (Sue Storm / La femme invisible)@Chris Evans (II) (Johnny Storm / La Torche )@Michael Chiklis (Ben Grimm / La Chose)@Doug Jones (le Surfeur d'Argent)@Julian McMahon (Fatalis)@Andre Braugher (le Général Hager)@Kerry Washington (Alicia Masters)@Beau Garrett (Frankie Raye)@Laurence Fishburne (le surfer d'argent (voix))@Gonzalo Menendez (le lieutenant)@Brian Posehn (le pasteur)@Zach Grenier (Mr. Sherman/Rafke)@Kevin McNulty (le portier de l'immeuble Baxter)@Andy Stahl (le tailleur)@Moneca Delain (fille de la soirée #1)@Crystal Lowe (fille de la soirée #2)@Kenneth Welsh (Dr. Jeff Wagner)@Patricia Harras (la réceptionniste)@Michasha Armstrong (le vigile du mariage)@Stan Lee (l'invité refoulé )@Ben Ayres (Un garde)@Chris Calleri (Le DJ du club)@||Secrets de tournage :
Deux volets pour quatre fantastiques
Les 4 Fantastiques et le Surfer d'Argent est le deuxième film consacré aux aventures de l'équipe de super-héros créée par Stan Lee et Jack Kirby. Sorti en 2005, le premier opus Les 4 Fantastiques était l'oeuvre du même réalisateur : Tim Story.
Fantastique Box-office
Si la première aventure des 4 Fantastiques avait fait exploser les entrées en 2005, le second volet est en passe de lui voler la vedette. En tête du box-office américain pour son premier week-end, Les 4 Fantastiques et le Surfer d'Argent a enregistré pas moins de 57,4 millions de dollars (43,1 millions d'euros), alors que le premier film de Tim Story n'avait totalisé "que" 56,1 millions de dollars (41,91 millions d'euros) .
Un mix de plusieurs histoires
C'est le scénariste Don Payne qui a conçu l'histoire des 4 Fantastiques et le Surfer d'Argent. Grand fan des aventures de l'équipe de super-héros, il a souhaité créer un épisode supérieur au premier opus. Pour cela, il n'a pas hésité à ajouter plus de suspense, d'action, d'humour et de tension, le tout en se basant sur la trame des comics d'origine. "Le scénario du film est un mélange d'anciennes aventures des 4 Fantastiques et de nouvelles idées. Nous avons utilisé la première apparition du Surfer d'Argent dans les numéros 48 à 50 du magazine Fantastic Four ainsi que des éléments des numéros 57 à 60 où le Surfer d'Argent rencontre Victor Von Fatalis. Il y a aussi plusieurs détails inspirés de la récente série Ultimate Extinction."
Une évolution héroïque
Ce deuxième épisode annonce une période pleine d'évolution pour les quatre super-héros. "Nous avons mûri et nous assumons mieux notre responsabilité de super-héros." explique Jessica Alba. Certains personnages commencent même à entrevoir le sens du mot "équipe", comme le souligne Chris Evans, l'interprète de Johnny Storm : "Avant, il faisait cavalier seul et voulait voler la vedette aux autres Fantastiques. Mais ici, il se rend compte qu'il faut avoir l'esprit de solidarité et de famille." Si Les 4 Fantastiques sont beaucoup plus mûrs et plus attentifs les uns envers les autres, c'est aussi parce qu'ils savent désormais comment gérer et mieux se servir de leurs pouvoirs... "Seuls, nous avons pas mal de pouvoir, mais ensemble on casse vraiment la baraque. C'est pour montrer que l'union fait la force." affirme Michael Chiklis, alias La Chose.
Un Surfer ressemblant
Le Surfer d'Argent était un personnage très attendu par les fans. De par sa nature même d'entité cosmique, il était difficile de le représenter tout en respectant l'aspect qu'il avait dans les comics. Toutefois, grâce aux progrès technologiques, les images de synthèse se sont chargées de résoudre le problème "Nous nous sommes efforcés de rester le plus fidèle possible au Surfer d'Argent tel qu'on peut le lire dans les comics. Techniquement, ce fut une expérience très intéressante car son personnage a été entièrement créé en images de synthèse. Nous avons donc eu la liberté de lui donner exactement le même aspect que dans les bandes-dessinées. Notre Surfer d'Argent est celui que nous avons tous toujours connu et que nous aimons. Je pense que les fans et tous ceux qui connaissent ce personnage apprécieront beaucoup de le voir vivre et bouger comme ils l'ont toujours vu faire" estime
Tim Story.
Comment animer une entité cosmique ?
Comme le Surfer d'Argent est une entité cosmique, il n'y avait guère que les images de synthèse qui pouvaient lui donner corps. Aucun acteur ne pouvait l'incarner, à moins de trouver une astuce... Ce sont les informaticiens de la société Weta Digital qui se sont empressés de la trouver. Pendant plusieurs semaines avant et pendant le tournage, l'acteur Doug Jones, à la fois mime et contorsionniste, ainsi que Dorian Kingi, sa doublure cascades, ont travaillé avec Terry Notary, un coach gestuel. L'acteur a ainsi reproduit les gestes et mouvements qui ont servi de base pour l'animation du Surfer d'argent, dont les attitudes sont calquées sur les surfeurs. Ce n'est toutefois pas Doug Jones qui prête sa voix au Surfer d'Argent, mais Laurence Fishburne, l'inoubliable Morpheus de la saga Matrix.
Du télépathe au surfer
Avant d'incarner le mystérieux Surfer d'Argent , Doug Jones avait déjà endossé le rôle d'une étrange créature issue d'un comic-book... En 2004, il incarnait en effet Abe Sapien, l'équipier télépathe d'un certain démon nommé Hellboy. Formé à l'art du mime, le comédien s'était ensuite glissé, toujours pour Guillermo Del Toro, dans le costume du "monstre" dans Le Labyrinthe de Pan.
Le Surfeur selon Mr. Fantastic
Mr. Fantastic (Ioan Gruffudd) a beau être, dans l'univers des 4 Fantastiques, l'homme le plus intelligent du monde, il admet que le Surfer d'Argent lui a fait de l'ombre... "Le Surfeur d'Argent est vraiment un personnage très sexy. En fait je suis assez jaloux de lui... Rien que son nom, c'est déjà la classe !"
Le mariage du siècle
Si dans cet épisode les 4 Fantastiques font face à la célébrité, le mariage de Sue et de Red en est la meilleure preuve. Le film montre d'ailleurs à plusieurs reprises l'ampleur de l'évènement qui prend une tournure quasiment historique. Dans l'univers Marvel, cette union entre les deux équipiers est en effet considérée comme le "Mariage du Siècle". Dans la série, il a lieu en 1965, dans le numéro 3 du Fantastic Four King Size Annual.
"S'il y a quelqu'un sur ce toit pour..."
Pour réaliser la scène du mariage, il fallait trouver un endroit aussi impressionnant que spacieux. A l'instar du comic, c'est en effet lors de cet instant solennel que le Surfer d'Argent apparaît pour la première fois. Cette rencontre se devait donc d'être mémorable et montrer la liberté de mouvement de ce nouveau personnage. Au final, le réalisateur a choisi de situer l'action sur le toit d'un immeuble, afin d'avoir un maximum d'espace. Le mariage a donc lieu sur le toit du Metro Parkade, un parking de sept étages dans le centre de Vancouver.
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La Chose améliorée
Dans Le Surfeur d'Argent, La Chose ne fait pas que s'améliorer au niveau humain, elle subit quelques évolutions physiques. Grâce aux innovations réalisées sur les prothèses, le costume porté par l'acteur Michael Chiklis a pu être amélioré au sein du studio Spectral Motion Inc., comme le souligne Bart Mixon, maquilleur-prothésiste sur le plateau : "Je travaillais déjà avec Michael Chiklis sur le premier film et à cette époque, il fallait plusieurs heures pour lui faire enfiler son costume. Sur le second film, ce procéssus a été réduit à 90 minutes. Le visage de La Chose a aussi été modifié suite aux demandes des fans : ses arcades sourcilières sont maintenant plus larges et épaisses, comme dans les comics. Son costume contient aussi plus de morceaux de roches et d'articulations, ce qui lui donne plus de crédibilité en tant que créature rocheuse."
Vole, vole Fantasticar !
Objet mythique dans l'univers des 4 Fantastiques, la Fantasticar fait ici sa première apparition au cinéma. Pour répondre aux attentes des fans, l'engin volant a été conçu conjointement par le designer automobile Tim Flattery, Trevor Cred du département désign de la marque automobile Chrysler, le chef décorateur Kirk M. Petruccelli et le réalisateur Tim Story. Afin de donner l'illusion que le véhicule volait, la majorité des scènes impliquant la Fantasticar furent tournées sur fond vert, dans le studio de Vancouver. Fixé face à des ventilateurs sur une plate-forme mobile, l'engin parvenait donc à simuler les changements de direction et les mouvements rapides lors des scènes d'action et de vol.
Comme un oiseau
Dans l'univers moderne de Red Richards, La Chose, Sue et de Johnny Storm, la Fantasticar n'a pas besoin de simuler ses mouvements et ses performances, comme elle le fait au cinéma. Elle vole haut et montre à chaque sortie ses prouesses. Sorti de l'imagination et créée par Mr. Fantastic, le véhicule est constitué d'éléments hight-tech et est assisté par ordinateur. Elle fait six mètres de long sur trois mètres de large, peut atteindre la vitesse maximum de 900 km/h et même voler à une altitude de 10 000 mètres ! Elle n'a donc rien de commun avec les objets volants du quotidien... Et lorsque les 4 Fantastiques sont menacés, Red Richards a trouvé une parade en or : la Fantasticar se sépare en trois véhicules équipés d'ailes articulées !
Un fan de comics aux commandes...
Pour écrire le scénario du Surfer d'Argent, c'est le scénariste John Turman qui a été choisi. Passionné et grand collectionneur de comics, ce dernier en possède pas moins de 10 000 ! Particulièrement fan du personnage de Hulk, il a réalisé un rêve en devenant coscénariste sur le Hulk d'Ang Lee.
... au sein d'une équipe de super-héros !
Pour ce deuxième opus, l'équipe de production a engagé un éventail de talents très "héroïques". En plus du scénariste John Turman, Le Surfeur d'Argent a accueilli une équipe d'habitués. A la fabrication des costumes, on retrouve ainsi Mary E. Vogt, déjà à l'oeuvre dans Batman, le défi de Tim Burton. Compositeur de la musique des 4 Fantastiques, John Ottman avait auparavant travaillé sur X-Men 2 et Superman Returns, en tant que monteur et compositeur. De son côté, Peter S. Elliot avait monté Daredevil ainsi que Blade 2, alors que William Hoy a été en charge du montage de 300. Quant à Kirk M. Petruccelli, il a été chef-décorateur sur Ghost Rider.
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Les Quatre Saisons d'Espigoule|Christian Philibert|Comédie||3|français|1999|92|||DX50|||DX50|911 Kbps|384x240|MPEG-1 Audio layer 3|129 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Christian Cesbron Christian Pfohl|Christian Philibert Hervé Philibert|Christian Pfohl||||A travers la vie des habitants du petit village d'Espigoule (nom imaginaire), perche sur les collines du Haut-Var, hommage a la Provence, a ses traditions et surtout au parler provencal. |Jean-Marc Ravera (le patron du café)@Roger Lanfranchi (le "mielleux")@Jacques Bastide (le poète)@Alain Passet (le peintre rebelle)@||||||||||||@@
Goodfellas|Martin Scorsese|Policier|Interdit aux moins de 16 ans|4|américain|1990|139|Anglais||DX50|||DX50|557 Kbps|720x416|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|693||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Irwin Winkler|Nicholas Pileggi Martin Scorsese|Michael Ballhaus||Action Cinémas / Théâtre du Temple||Depuis sa plus tendre enfance, Henry Hill, né d'un père irlandais et d'une mère sicilienne, veut devenir gangster et appartenir à la Mafia. Adolescent dans les années cinquante, il commence par travailler pour le compte de Paul Cicero et voue une grande admiration pour Jimmy Conway, qui a fait du détournement de camions sa grande spécialité. Lucide et ambitieux, il contribue au casse des entrepôts de l'aéroport d'Idlewild et épouse Karen, une jeune Juive qu'il trompe régulièrement. Mais son implication dans le trafic de drogue le fera plonger... |Ray Liotta (Henry Hill)@Robert De Niro (Jimmy Conway)@Joe Pesci (Tommy DeVito)@Lorraine Bracco (Karen Hill)@Paul Sorvino (Paul )@Chuck Low (Morrie)@Frank DiLeo (Tuddy Cicero)@Illeana Douglas (Rosie)@Catherine Scorsese (La mère de Tommy)@Suzanne Shepherd (la mère de Karen)@Margo Winkler (Belle, la femme de Morrie)@Christopher Serrone (Henry Hill jeune)@Joe D'Onofrio (Tommy DeVito jeune)@Elaine Kagan (la mère d'Henry Hill)@Beau Starr (le père d'Henry Hill)@Henny Youngman (lui-même)@Anthony Powers (Jimmy "Deux fois")@Vincent Gallo (un des membres de la bande d'Henry)@Peter Hock (le facteur)@Frank Vincent (Billy Bats)@Tony Conforti (Tony)@Frank Sivero (Frankie Carbone)@Tony Darrow (Sonny Bunz)@Mike Starr (Frenchy)@Frank Adonis (Anthony Stabile)@Gina Mastrogiacomo (Janice Rossi)@Debi Mazar (Sandy)@Welker White (Lois Byrd)@Julie Garfield (Mickey Conway)@Kevin Corrigan (Michael Hill)@Charles Scorsese (Vinnie)@Michael Imperioli (Spider)@Robbie Vinton (Bobby Vinton)@John Manca (Nicky)@Joseph Bono (Mikey Franzese)@Samuel L. Jackson (Stacks Edwards)@Marie Michaels (la femme de Frankie Carbone)@Clem Caserta (Joe Buddha)@Tobin Bell (un officier)@||Secrets de tournage :
Robert De Niro et la mafia
Interprète d'Al Capone dans Les Incorruptibles, Robert De Niro poursuit son chemin au coeur du syndicat du crime. Il a ainsi incarné l'apprenti mafieux "Johnny Boy" Civello dans Mean streets (1973), le Parrain Vito Corleone dans sa jeunesse dans Le Parrain, 2e partie (1974), le gangster juif "Noodles" Aaronson dans Il etait une fois en Amerique (1984), l'inoubliable Jimmy Conway des Affranchis (1990), sans oublier le mafieux-rigolo et déprimé Paul Vitti, dans Mafia blues (1999) et Mafia blues 2 - la rechute (2002).
Echange de bons procédés
Dans Les Affranchis, Tommy (Joe Pesci) se charge d'éliminer Billy Bats (Frank Vincent). Dans Casino, c'est au tour de Frank Vincent de participer au meurtre de Joe Pesci.
La peinture de la mère de Tommy
La peinture montrée par la mère de Tommy (Catherine Scorsese) est due en réalité à la mère de Nicholas Pileggi.
Ray Liotta en tête d'affiche
C'est la première fois que Ray Liotta se retrouve en tête d'affiche d'un film qui lui apportera une consécration internationale et le fera davantage connaître du grand public.
Le personnage de Tommy DeVito
Le personnage de Tommy DeVito, interprété par Joe Pesci, n'est pas sans rappeler l'archétype cinématographique du gangster du début des années trente : violent, impulsif, arrogant, possessif et fanfaron. Les acteurs Edward G. Robinson, James Cagney et Paul Muni lui avaient donné ses lettres de noblesse.
Le recours aux "freeze-frames"
Dans Les Affranchis, Martin Scorsese a eu recours à des freeze-frames ("images arrêtées" en français), une manière de rendre hommage au film Jules et Jim dans lequel ce procédé est largement utilisé.
246 fois "fuck" !
Le mot fuck a été prononcé 246 fois dans le film, la plupart du temps par Joe Pesci.
Imperioli dans "Les Sopranos"
Dans Les Affranchis, Michael Imperioli incarne Spider, le jeune homme qui se fait tirer dans le pied par Tommy (Joe Pesci). Dans la série télévisée Les Sopranos (1999), ce sera au tour de son personnage de tirer dans le pied d'un employé de banque qui le fera patienter trop longtemps.
Une référence à George Barnes
La séquence de générique de fin, où Joe Pesci tire avec son pistolet, fait référence à celle où George Barnes en fait de même pour L' Attaque du train rapide (1903).
Basé sur des personnages réels
Les personnages du film ont réellement existé. Le véritable Henry Hill, qui dénonça ses complices en mai 1980, bénéficia du programme de protection des témoins et dirigea par la suite un restaurant italien, appelé The Azores, à Redmond, dans l'Etat de Washington. Après la sortie du film, il dût s'installer ailleurs, dans un lieu tenu secret. Une de ses filles fut d'ailleurs figurante dans la scène du mariage. Tommy DeVito s'appelait en réalité Tommy DeSimone, tandis que le vrai nom de Jimmy était Burke. Ce dernier mourut d'un cancer du poumon en prison en 1996.
Un véritable District Attorney
Dans la scène où Henry et Karen Hill sont sur le point d'accepter le programme de protection des témoins, le District Attorney Edward McDonald a joué son propre rôle.
"You think I'm funny ?"
La fameuse scène You think I'm funny ?, dans laquelle Tommy (Joe Pesci) terrorise Henry (Ray Liotta), a été écrite par Joe Pesci à la demande de Martin Scorsese. Le réalisateur s'est inspiré d'une scène qu'il avait vécu dans sa jeunesse passée à Little Italy.
Le casse historique de la Lufthansa
Le film ainsi que le roman sont basés sur des faits réels, notamment lorsqu'il s'agit du casse historique de la Lufthansa en décembre 1978. Le butin ramassé par les gangsters s'élevait à 6,2 millions de dollars à l'époque (aujourd'hui 16,4 millions de dollars).
Les lieux de tournage
Le film fut tourné en extérieurs dans le Queens, le New Jersey, à Manhattan et Coney Island à Brooklyn. La jeunesse de Henry Hill a été filmée à Astoria, à New York.
Un milieu familier pour Scorsese
Avec Les Affranchis, Martin Scorsese effectue une plongée dans l'univers mafieux. Ce milieu lui est familier, puisqu'il avait réalisé en 1973 Mean streets, un drame dans lequel Robert De Niro et Harvey Keitel interprètent des petites frappes souhaitant rallier les rangs de la pègre.
La genèse du film
En 1986, Martin Scorsese lut Wiseguy, le livre de Nicholas Pileggi, lors du tournage de La Couleur de l'argent. Il entra alors en contact avec le producteur Irwin Winkler, qui détenait les droits d'exploitation du roman. Martin Scorsese débutera le travail d'adaptation après la sortie en salles de New York stories en 1987.
Un Oscar et cinq nominations
En 1991, Joe Pesci remporta l'Oscar du meilleur second rôle masculin pour sa prestation du gangster Tommy De Vito. Le long métrage Les Affranchis fut par ailleurs nommé cinq fois dans les catégories : meilleur film, meilleur scénario, meilleur second rôle féminin pour Lorraine Bracco, meilleur réalisateur et meilleur montage.
Ballhaus / Scorsese : 4e !
Martin Scorsese retrouve ici Michael Ballhaus, son chef opérateur sur After hours (1985), La Couleur de l'argent (1986) et La Dernière tentation du Christ (1988). Leur collaboration se poursuivra avec Le Temps de l'innocence (1993) et Gangs of New York (2002).
1e collaboration Pileggi / Scorsese
C'est la première fois que Martin Scorsese travaille avec le scénariste et écrivain Nicholas Pileggi, qui a signé le roman Wiseguy. Leur collaboration se poursuivra en 1995 avec Casino.
Des producteurs fidèles à Scorsese
Les Affranchis fut produit par Irwin Winkler, le producteur de New York, New York (1977) et Raging Bull (1980), Barbara De Fina, la productrice de La Couleur de l'argent (1986) et de La Dernière tentation du Christ (1989), et Bruce S. Pustin, qui a produit Le Temps de l'innocence (1993) et A tombeau ouvert (1999). Tous ces films ont en commun d'avoir été réalisés par Martin Scorsese.
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Hormis Les Affranchis, Charles Scorsese tourna sous la direction de son fils dans Italianamerican (1974), Raging Bull (1980), La Valse des pantins (1982), After hours (1985), La Couleur de l'argent (1986), Les Nerfs à vif (1991), Le Temps de l'innocence (1993) et Casino (1995). Catherine Scorsese s'illustra quant à elle dans It's not just you, Murray ! (1964), Who's that knocking at my door ? (1968), Mean streets (1973), Italianamerican (1974), La Valse des pantins (1982), Les Nerfs à vif (1991), Le Temps de l'innocence (1993) et Casino (1995). Frank Vincent, pour sa part, a joué dans deux autres films de Martin Scorsese : Raging Bull (1980) et Casino (1995).
2e collaboration Pesci / Scorsese
Les Affranchis donna à Martin Scorsese et Joe Pesci l'occasion de retravailler ensemble après Raging Bull en 1980. Ils collaboreront par la suite sur Casino, long métrage dans lequel Joe Pesci composera un personnage présentant de nombreuses similitudes avec le dangereux Tommy De Vito.
Retrouvailles De Niro / Pesci
Les Affranchis marque les retrouvailles entre Robert De Niro et Joe Pesci. Les deux acteurs ont auparavant été partenaires dans Raging Bull (1980) et Il était une fois en Amérique (1984). Ils se retrouveront par la suite sur le tournage de Il était une fois le Bronx (1993) et Casino (1996).
5e collaboration Scorsese / De Niro
Les Affranchis marque la cinquième collaboration entre Robert De Niro et Martin Scorsese. Tous deux ont déjà travaillé ensemble sur Mean streets (1973), Taxi driver (1976), Raging Bull (1980) et La Valse des pantins (1982). Ils se retrouveront par la suite pour les besoins de Les Nerfs à vif (1992) et Casino (1996).
Saul Bass sorti de sa retraite
Martin Scorsese sortit de sa retraite Saul Bass, ancien dessinateur et cinéaste ayant travaillé pour Alfred Hitchcock et Otto Preminger, pour le faire participer à la conception graphique du générique de Les Affranchis. Le réalisateur engagea à nouveau ses services en 1991 et 1995 pour le faire travailler sur les génériques de Les Nerfs à vif et Casino.
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Con Air|Simon West|Policier|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|1997|110|Anglais||XviD|||XVID|747 Kbps|720x432|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Jerry Bruckheimer|Scott Rosenberg|David Tattersall||||Con Air, c'est la division aeroportée de la police fédérale américaine qui assure le transport des detenus à travers le pays pour comparution devant la cour, urgence médicale ou transfert de prison à prison. Cameron Poe, récemment libéré sur parole, prend place à bord d'un de ces avions pour retrouver sa femme et sa fille, qu'il n'a encore jamais vue. A bord egalement, Cyrus Grissom, surnommé le virus et quelques-uns de ses comparses, qui doivent rejoindre un nouveau quartier de haute sécurité. |Nicolas Cage (Cameron Poe)@John Malkovich (Cyrus Grissom)@John Cusack (Vince Larkin)@Rachel Ticotin (Bishop)@Steve Buscemi (Garland Greene)@Nick Chinlund (Billy Bedlam)@Danny Trejo (Johnny Baca)@Monica Potter (Tricia Poe)@Colm Meaney (agent Duncan Malloy)@Ving Rhames (Nathan 'Diamond Dog' Jones)@Mykelti Williamson (Mike O'Dell)@Dave Chappelle (Joe "Pinball" Parker)@Angela Featherstone (Ginny)@Doug Hutchison (Donald)@Brendan Kelly (Conrad)@Landry Allbright (Casey Poe)@Jesse Borrego (Francisco Cindino)@Don S. Davis@||||||||||||@@
Les Amateurs|Martin Valente|Comédie||2|français|2004|84|Français||XVID|||XVID|915 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|635||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Maurice Bernart Pauline Duhault|Martin Valente|Marie Spencer||Vision Distribution||A 25 ans, Christophe et J-P galèrent joyeusement et sans amertume dans leur cité. Le travail dans un supermarché pour l'un et les petits boulots pour l'autre laissent leurs esprits libres de rêver aux filles : Malika, la soeur de J-P, et Maya, la cousine de Christophe. Amoureux sans scrupules et maladroits à loisirs, il leur faut déployer des trésors d'imagination pour attirer l'attention des deux filles qui ne songent qu'aux études, symbole de liberté et de fêtes. Pas complexés le moins du monde, et pas décidés non plus à paraître ce qu'ils ne sont pas, J-P et Christophe naviguent entre un braquage foireux dont ils sont les témoins incrédules, une représentation de théâtre dont ils sont les spectateurs interdits et un séjour à la campagne dont ils sont les otages perplexes. Et les filles dans tout ça ? Ils verront dès que les événements leur en laisseront le temps. |Lorànt Deutsch (Christophe)@Jalil Lespert (J.P.)@Pascal Légitimus (Jimmy)@François Berléand (M. Meinau)@Barbara Cabrita (Malika)@Loic Corbery (Richard)@Sami Zitouni (Abdel)@Yannis Belal (Rachid)@Philippe Lefebvre (L'inspecteur)@Sara Martins (Maya)@Nathalie Krebs (Mme Meinau)@||Secrets de tournage :
Un court métrage pour point de départ
L'idée du film trouve son origine dans le court métrage de Martin Valente Ta soeur. Il y est question d'une déambulation entre deux garçons qui parlent de leurs histoires de coeur. "Ce qui était important c'était de jouer sur le décalage entre leur discours et ce qu'ils vont faire" ajoute le réalisateur.
Plusieurs étapes dans la phase d'écriture
Martin Valente s'est penché sur l'histoire des Amateurs en prenant d'abord des notes pendant trois semaines. Puis il y a eu un mois d'écriture avant d'arriver à une première version lisible dans laquelle étaient mêlés deux mondes cinématographiques : la comédie de moeurs française très dialoguée et le cinéma d'auteur français dont les enjeux passent toujours par une résolution dans le dialogue. Ce qui intéressait le réalisateur, c'était de traiter ce duo de personnages par ces deux prismes.
Sa vision de la mise en scène
Provenant du théâtre, Martin Valente envisageait son film dans la totalité, ne voulait pas trop découper et filmer les comédiens dans un traditionnel champ contre-champ. Le plan séquence lui a permis de créer son propre découpage dans un même cadre. En cela, le découpage du Goût des autres lui a beaucoup apporté par sa mise en valeur des premiers et seconds plans qui varient à l'intérieur d'un même plan séquence. Il a appliqué cette méthode qui lui a permis d'avoir de la matière au montage.
Retrouvailles Lorant Deutsch / Martin Valente
Lorant Deutsch et Martin Valente se connaissent bien, puis qu'ils ont auparavant collaboré sur les courts métrages Echec et plonge et Ta soeur. Le réalisateur confie à propos de l'acteur : "Tout le monde connaît son incroyable potentiel de comédie. J'ajouterais à cela sa faculté précieuse de transformer les scènes comiques en moments de tendresse et inversement, les scènes de tendresse en autant de moments de comédie. Le rire n'est jamais gratuit avec Lorant. Il me fait penser aux grands acteurs des comédies italiennes des années soixante."
Premier long métrage pour Cabrita et Martins
Les Amateurs constitue la première expérience cinématographique des deux actrices d'origine portugaise Barbara Cabrita et Sara Martins. La première a gagné ses galons de comédienne à la télévision en apparaissant dans les téléfilms Central nuit et Même âge même adresse, tandis que la seconde les a acquis en se produisant au théâtre.
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Les Anges gardiens|Jean-Marie Poiré|Comédie||3|français|1995|106|||DX50|||DX50|770 Kbps|608x256|MPEG-1 Audio layer 3|133 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Alain Terzian Charles Wang|Jean-Marie Poiré Christian Clavier|Christophe Beaucarne||||Un homme d'affaires sans scrupule et un pretre orgueilleux sont aux prises avec les triades de Hong Kong et surtout avec leurs anges gardiens qui tentent de les remettre dans le droit chemin... |Gérard Depardieu (Antoine Carco)@Olivier Achard (Jean-Luc Tarain)@Yves Rénier (Yvon Radmilo)@Eva Grimaldi (Regina Podium)@Alexandre Eskimo (Bao)@Christian Clavier (Père Hervé Tarain)@Julien Courbey (Jérôme)@Eva Herzigova (Tchouk Tchouk Nougat)@Darren Shahlavi (un gangster)@Arielle Séménoff (Jacqueline)@Jean Champion (le grand-père du Père Tarain)@François Morel (Steward du retour)@Philippe Nahon (le chauffeur de taxi)@Francoise Bertin (Mme Albert)@Mouss Diouf (le Noir agressé)@Renée Le Calm (la vieille dame dans l'église)@Jean-Marie Poiré (le photographe)@||||||||||||@@
Les Aristos|Charlotte De Turckheim|Comédie|Film pour enfants à partir de 10 ans|1|français|2006|79|Français||XVID|||XVID|1 094 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Stéphane Marsil|Charlotte De Turckheim Jean-Marie Duprez|Pascal Ridao||TFM Distribution||"Vous devez au Trésor Public la somme de 1 991 753 euros... Et vous n'avez pour tout bien que le Château de Neuville, une bicoque décrépite que vous habitez avec votre nombreuse famille..."Le comte Charles Valerand d'Arbac de Neuville, son épouse Solange, née Poitou Castilla de la Taupinière, ainsi que leurs ascendants et descendants en ligne plus ou moins directe vont tenter l'impossible (à l'exception notable du travail) pour préserver leur château en ruine, symbole d'une existence fragile et néanmoins tenace...Commence alors un voyage initiatique, identitaire et loufoque au centre de la vraie vie... Un banquier aux nerfs fragiles, un huissier aristophobe, des nobles parvenus, des cousins radins, des transports très communs... |Charlotte De Turckheim (la comtesse Solange )@Jacques Weber (le comte Charles Valerand d'Arbac de Neuville)@Vincent Desagnat (Charles Edouard)@Sébastien Cauet (Maître Convert)@Victoria Abril (Duquessa Pilar de Malaga I Benidorm)@Rossy de Palma (Duquessa Maria de Malaga I Benidorm)@Rudi Rosenberg (Charles Antoine)@Hélène de Fougerolles (Marie-Stéphanie Montcougnet)@Catherine Jacob (La Duchesse Marie Claude Saumur Chantilly)@Stéphane Bern (Maitre Convert)@Edith Perret (la vieille comtesse Marthe Ambroisine)@Urbain Cancelier (le Duc Réginald Saumur Chantilly)@Gaëlle Lebert (Marie-Astrid)@Eric Le Roch (Stanislas Montcougnet)@Armelle (Marie Karoline)@Johanna Piaton (Marie-Charlotte)@Julia Piaton (Pauline, la factrice)@Arthur Derancourt (Charles-Eric)@Antoine De Turckheim (Charles-Victor)@Josette Menard (la ménagère)@Jean-Pierre Lazzerini (un conducteur dépôt)@Christine Paolini (la mère de famille)@Philippe Mareuil (l'homme âgé du château)@Laurent Berthet (un usager du métro)@Lolo Zazar (l'employé ANPE)@Mathilde Vitry (une mère aristo)@Olivier Pajot (un père aristo)@Catherine Hosmalin (maîtresse de maison aristo)@Chantal Ladesou (maîtresse de maison aristo)@Eric Naggar (maître de maison aristo)@Jean-Marie Duprez (maître de maison aristo)@Timothée Kempen-Hamel@Evelyne Macko (la Joconde japonaise)@Swann Arlaud@||Secrets de tournage :
Des nouveaux talents réunis !
Si Charlotte s'est entourée d'acteurs confirmés (pour la plupart amis également), elle a aussi fait appel à de nouveaux venus dans le monde du cinéma.
On trouve donc : Sébastien Cauet, doubleur dans Rock academy et voix française de Garfield mais surtout animateur radio et télé tout comme Vincent Desagnat (alcolyte de Michaël Youn) qui pour sa part a déjà participé à 4 long-métrages dont Les 11 commandements. On retrouve également Rudi Rosenberg qui était à l'affiche du premier long-métrage de la réalisatrice Mon pere, ma mere, mes freres et mes soeurs... aux côtés de Victoria Abril, ainsi que Gaëlle Lebert qui participera comme Armelle au film Jean de La Fontaine en 2007 de Daniel Vigne. Urbain Cancelier qui avait tenu de petits rôles dans Un long dimanche de fiançailles, Malabar Princess et Le Fabuleux destin d'Amélie Poulain fait également partie du casting.
Des acteurs confirmés mais aussi des amis de longue date...
Pour son deuxième long-métrage, Charlotte De Turckheim a fait appel à ses amis avec lesquels elle a l'habitude travailler. Ainsi, elle a choisi Jacques Weber son partenaire de jeu dans Rive droite, rive gauche en 1984 et son époux dans A deux minutes près en 1989. Puis, elle a recontacté son amie Victoria Abril, héroïne de son premier long métrage en 1999 : Mon pere, ma mere, mes freres et mes soeurs.... Enfin elle retrouve Catherine Jacob avec qui elle avait partagé l'affiche de Mon père ce héros avec Gérard Depardieu en 1991.
De plus, certains des acteurs du casting Les Aristos avaient aussi tourné des films ensemble comme Hélène De Fougerolles, Jacques Weber et Catherine Jacob qui jouaient dans Que la lumiere soit en 1998.
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Matchstick Men|Ridley Scott|Comédie dramatique||3|américain|2003|116|Anglais||DX50|||DX50|700 Kbps|592x256|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|697||||23.976|06/08/2009 00:00:00|Jack Rapke Sean Bailey Ted Griffin Ridley Scott Steve Starkey|Ted Griffin Nick Griffin|John Mathieson||Warner Bros. France||Deux professionnels de l'arnaque à la petite semaine - Roy, le vétéran du tandem, et Franck, son jeune et ambitieux émule - fourguent à des coûts prohibitifs des "systèmes de filtrage d'eau" bas de gamme, assortis de lots alléchants : voitures, bijoux ou croisières tropicales, que leurs victimes ne collecteront bien sûr jamais.Ces opérations sont juteuses, mais la vie privée de Roy est moins reluisante. Agoraphobe et sujet à des tics obsessionnels compulsifs, il consulte un psy pour continuer à fonctionner.C'est alors qu'il découvre avec horreur qu'il a une fille - une enfant dont il soupçonnait l'existence, mais qu'il n'avait jamais cherché à rencontrer. Pis, Angela, 14 ans, n'a qu'une envie : retrouver son père. L'arrivée impromptue de l'adolescente bouleverse les routines névrotiques de Roy, mais passé le choc initial, celui-ci commence à prendre goût à sa tardive paternité... |Nicolas Cage (Roy Waller)@Sam Rockwell (Frank)@Alison Lohman (Angela)@Bruce McGill (Chuck Frechette)@Bruce Altman (Dr. Klein)@Steve Eastin (Mr. Schaffer)@Beth Grant (la blanchisseuse)@Jenny O'Hara (Mrs. Schaffer)@Nigel Gibbs (Holt)@Tim Kelleher (Bishop)@||Secrets de tournage :
Un anti-héros bourré de TOC
Personnage central des Associés, Roy est un arnaqueur affublé de nombreux troubles obessionnels compulsifs et autres manies qui paralysent son quotidien. "Son comportement prête à rire, mais on voit bien ce qu'il a de frustrant et de pénible. Les rites étranges, les routines hyper-élaborées que Roy s'impose lui coûtent énormément d'efforts et lui compliquent terriblement la vie", explique Nicolas Cage. "Il est agoraphobe", ajoute Ridley Scott, "il ne se sent à l'aise que dans le sanctuaire de sa maison de banlieue ou dans sa voiture, toutes vitres fermées. Ses sous-vêtements et ses chaussettes sont disposés en petits tas bien ordonnés. Il se nourrit presque exclusivement de thon, mangé à même la boîte pour éviter de souiller une assiette..." Mais "dès qu'il prend son téléphone et démarche un pigeon, Roy devient un autre homme. Bien sûr, il éprouve les pires angoisses entre le moment où il sort de chez lui et celui où il monte dans sa voiture, mais, une fois en route, il maîtrise totalement la situation"
"J'ai quelque chose de Roy en moi", confie le cinéaste. "Je peux être d'une propreté aussi maniaque. Lorsque je suis seul à la maison et que j'ai un petit creux, j'hésite à me préparer quoi que ce soit, de crainte de salir la cuisine et de devoir la nettoyer. Ces traits m'ont permis de m'identifier de plus en plus étroitement à Roy, ce qui m'a d'abord surpris, puis franchement amusé" Il était toutefois important de ne pas dénigrer et tourner en ridicule les gens souffrant de ces troubles : "Dans Pour le pire et pour le meilleur, les TOC inspiraient quelques grandes scènes de comédie, mais Jack Nicholson ne se moquait à aucun moment des gens qui souffrent de tels problèmes. Nous nous sommes donnés le même objectif", précise Nicolas Cage. L'humour réside dans la vérité du personnage : lorsque Roy voit une feuille échouer dans sa piscine, il se précipite aussitôt pour l'en sortir. Cette seule vue le rend malade".
Un film aux nombreux titres...
Intitulé Matchstick men outre-Atlantique, le film est passé par de nombreux titres dans l'Hexagone : Les Hommes de paille, Les Imposteurs avant de se voir sobrement intituler Les Associés.
Une comédie et une fable morale
Pour Ridley Scott, Les Associés est une comédie "débordante d'humour de la première à la dernière scène", mais également "une fable très morale, et d'autant plus curieuse qu'elle regorge de personnages peu recommandables. Ces types n'ont pas d'autre ambition que de détrousser leurs semblables. Ce ne sont pas des minables, mais peu s'en faut. Seule circonstance atténuante, de leur point de vue : ils s'attaquent à des combinards aveuglés par l'appât du gain".
Les arnaqueurs vus par Eric Garcia
Auteur du roman Matchstick men à l'origine du film, Eric Garcia reste fasciné par les arnaqueurs comme ceux incarnés par Nicolas Cage et Sam Rockwell : "ils nous fascinent au même degré que les gangsters - tant qu'ils restent du domaine de la fiction. Il y a chez ces hommes quelque chose de mythique qui nous attire, qui nous donne envie de les voir à l'oeuvre. Peut-être est-ce l'idée qu'un peu d'astuce leur suffit, alors que le commun des mortels déploie tant d'efforts pour gagner sa vie. Leur activité nous fait rêver : si, demain, j'étais licencié et criblé de dettes, qu'est-ce qui m'interdirait de tenter ma chance et de monter, moi aussi, des coups tordus ?"
Premier film Warner pour Ridley Scott
Les Associés est la toute première réalisation de Ridley Scott produite sous l'égide des studios Warner Bros.
Pas si jeune que ça...
Crédité de 14 printemps dans Les Associés, la jeune comédienne Alison Lohman était en réalité âgée de... 24 ans au moment du tournage !
Le FBI en renfort
Les scénaristes des Associés ont rencontré deux agents du FBI lors de leur travail de recherche, afin de mieux appréhender le monde méconnu de l'arnaque. "On croit souvent que les petits escrocs ont disparu à la fin des années trente", explique Nick Griffin. "En fait, ils existent encore bel et bien, se livrent toujours aux mêmes combines, mais ont appris à se servir de l'Internet et du télé-marketing".
Sur un air de Hans Zimmer...
Les Associés marque la sixième collaboration entre Ridley Scott et le compositeur Hans Zimmer, après Black rain (1989), Thelma et Louise (1991), Gladiator (2000), Hannibal (2001), et La Chute du faucon noir (2002).
Un producteur dénommé Robert Zemeckis
Célèbre réalisateur de la trilogie Retour vers le futur, Qui veut la peau de Roger Rabbit ? et autres Forrest Gump, Robert Zemeckis a assuré la production éxecutive des Associés. Ce film marque sa première collaboration avec Ridley Scott.
Deux frères au scénario
Basé sur le roman d'Eric Garcia, le scénario des Associés est signé des deux frères Nick Griffin et Ted Griffin. Si le premier fait avec ce film ses grands débuts hollywoodiens, le second avait déjà oeuvré pour les studios Warner sur le script de Ocean's eleven. "Nick est mon aîné", plaisante Ted Griffin. "Mais je pèse dix kilos de plus, ce qui me donne un avantage certain sur lui. Comment avons-nous 'travaillé ensemble' ? En occupant des bureaux séparés et en évitant tout face à face qui aurait pu dégénérer en pugilat fraternel".
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Guilty by association|Po Johns Howard Gibson|Action|||américain|2003|76|Anglais||DX50|||DX50|1 136 Kbps|592x328|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Georgette Hayden|Howard Gibson|Howard Gibson||||Drama, un petit voyou de Washington, vient d'échapper à vingt ans de prison. Alors qu'il est décidé à revenir dans le droit chemin, son vieux copain D-Mo essaie de l'entraîner dans une affaire de trafic de drogue qui s'annonce juteuse. Tous deux replongent alors dans une spirale de violence, auquel le lieutenant de police Redding tente de mettre fin. |Daemon Moore (D-Mo)@Jeff Edward (Drama)@Morgan Freeman (lieutenant Redding)@Bryce Wilson (Kenny)@Jaimie Patton (Nickie)@Queen Pen@Po Johns (l'agent Po / Dumb Donald)@||||||||||||@@
The Rescuers|Art Stevens John Lounsbery Wolfgang Reitherman|Animation|Film pour enfants|3|américain|1977|74|Anglais||DIV3|||DIV3|1 182 Kbps|672x400|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|698||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Ron Miller Wolfgang Reitherman|Ken Anderson Ted Berman|||Buena Vista Pictures||Dans les sous-sols des Nations-Unis à New York un groupe de souris tient conseil. Il s'agit du comité de soutien aux personnes en difficulté. Bianca, déléguée coquette, choisit Bernard tendre souriceau timide et courageux pour voler au secours d'une petite orpheline séquestrée, Penny. |Roger Carel (Bernard (voix française))@Béatrice Delfe (Bianca (voix française))@Perrette Pradier (Medusa (voix française))@Philippe Dumat (Mr. Snoops (voix française))@Francis Lax (l'albatros Orville (voix française))@Aurélia Bruno (Penny (voix française))@||Secrets de tournage :
La mise en scène
Vingt-deuxieme long métrage des Studios Disney mis en scène cette fois par son héritier spirituel Wolfgang Reitherman.
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The Ewok Adventure|John Korty|Science fiction||3|américain|1984|92|Anglais||DX50|||DX50|1 199 Kbps|640x480|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|888||||25.000|13/08/2009 00:00:00|George Lucas|George Lucas Bob Carrau|John Korty|||Saga : Star Wars |Après le crash de leur vaisseau sur la lune forestière d'Endor, une famille est prise en cahsse par un terrible monstre. Parvenus à lui échapper, les deux enfants, Cindel et Mace, vont être aidés par des Ewoks pour libérer leurs parents... |Aubree Miller (Cindel Towani)@Eric Walker (Mace Towani)@Warwick Davis (Wicket)@Fionnula Flanagan (Catarine Towani)@Guy Boyd (Jeremitt Towani)@Tony Cox (Widdle)@Burl Ives (le narrateur)@||||||||||||@@
The Ewok Adventure : the battle for Endor|Jim Wheat Ken Wheat|Science fiction||3|américain|1985|92|Anglais||DX50|||DX50|1 199 Kbps|640x480|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|889||||25.000|06/08/2009 00:00:00|George Lucas|Jim Wheat Ken Wheat George Lucas|Isidore Mankofsky|||Saga : Star Wars |Une armée menée par les sombres Terak et Charal se lance à l'attaque du village des Ewoks. Son frère et ses parents périssant durant l'assaut, Cindel parvient à échapper aux assaillants en compagnie de Wicket. Sur leur route, ils vont croiser un vieil homme qui va les aider à combattre Terak et ses troupes... |Aubree Miller (Cindel Towani)@Warwick Davis (Wicket)@Wilford Brimley (Noa)@Siân Phillips (Charal)@Carel Struycken (Terak)@Paul Gleason (Jeremitt Towani)@Eric Walker (Mace Towani)@Tony Cox (Willy)@Kevin Pollak (voix)@||||||||||||@@
Les Bronzés|Patrice Leconte|Comédie||3|français|1978|92|Français||DIV3|||DIV3|912 Kbps|672x432|MPEG-1 Audio layer 3|64.0 Kbps|False|48.0 KHz|1|787||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Yves Rousset-Rouard|Josiane Balasko Michel Blanc Gérard Jugnot Patrice Leconte Thierry Lhermitte Marie-Anne Chazel|Jean-François Robin||CCFC|Saga : Les Bronzés |Un groupe de vingt personnes arrive extenué dans un club situé en Afrique pour passer quelques jours de repos. Et ils sont bien décidés a rentabiliser au maximum leurs vacances. C'est ainsi que nous suivrons les aventures tragi-comiques de la colérique Nathalie, de Gigi, de Jerôme le sûr-de-lui, Christiane, le malchanceux Jean-Claude, et bien-sûr celles des G.O (gentils organisateurs). Nouvelles rencontres, liaisons momentanées, petits et grands drames seront au programme... |Marie-Anne Chazel (Gigi)@Christian Clavier (Jérôme)@Michel Creton (Bourseault)@Dominique Lavanant (Christiane)@Martin Lamotte (Miguel)@Thierry Lhermitte (Popeye)@Luis Rego (Bobo)@Josiane Balasko (Nathalie)@Michel Blanc (Jean-Claude Dusse)@Gérard Jugnot (Bernard)@Yvon Brexel (le cuisinier)@John R. Pepper (L'italien)@Bruno Moynot (L'homme au slip noir)@Eric Laporte (le chef du village)@||Secrets de tournage :
Un film-manifeste et une oeuvre-culte
L'équipe du Splendid réussit à imposer à la fin des années 70 la formule du café théâtre, à base d'improvisation et d'humour franchouillard (celui-ci s'appuie sur un sens très sûr de l'observation sociologique). En choisissant d'adapter au cinéma sa pièce Amour, coquillages et crustacés, la troupe crée avec la complicité nonchalante de Patrice Leconte une véritable antithèse au comique visuel (à la Louis De Funès) ou troupier alors en vigueur dans la comédie française. La nouveauté de cette approche propulse le film au rang d'oeuvre-culte.
Un succès phénoménal
Avec sa première incursion cinématographique, le Splendid explose la reconnaissance strictement parisienne qui était jusqu'ici la sienne pour faire plus de 2,3 millions d'entrées. Ce succès s'explique certainement par le fait que le public a retrouvé un univers et des personnages proches de lui.
L'origine de la pièce "Amour, coquillages et crustacés"
La troupe du Splendid a passé trois ans à animer les saisons du Club Méditerranée, durant lesquels elle put à loisir étudier les comportements dans ces centres de vacances. Elle en tira sa pièce Amour, coquillages et crustacés, qu'elle joua plus d'un an à guichet fermé.
De la pièce au film
Le film est quant-à lui dû à deux rencontres. D'une part, avec Yves Rousset-Rouard, jeune producteur dont le flair avait déjà été prouvé par la découverte de Sylvia Kristel et le succès d'Emmanuelle, d'autre part, avec Patrice Leconte, alors jeune réalisateur transfuge de la bande-dessinée, dont le premier et unique film (Les WC sont fermés de l'intérieur) n'avait pas été un succès.
Lieux de tournage
Le film fut tourné à Assouindé, à quatre-vingt kilomètres d'Abidjan, en Côte d'Ivoire.
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Les Bronzés font du ski|Patrice Leconte|Comédie||3|français|1979|82|Français||DX50|||DX50|1 045 Kbps|640x368|MPEG-1 Audio layer 3|124 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Yves Rousset-Rouard|Gérard Jugnot Thierry Lhermitte Christian Clavier Patrice Leconte Josiane Balasko Bruno Moynot Marie-Anne Chazel Michel Blanc|Jean-François Robin|||Saga : Les Bronzés |Après le Club méditerranée, la joyeuse troupe d'amis (plus connu sous le nom Des Bronzés) se retrouvent aux sports d'hiver. Ils vivront encore d'autres problèmes sentimentaux, et mésaventures. L'équipe ira même se perdre en montagne. |Michel Blanc (Jean-Claude Dusse)@Marie-Anne Chazel (Gigi)@Christian Clavier (Jérôme)@Thierry Lhermitte (Popeye)@Dominique Lavanant (Christiane)@Bruno Moynot (Gilbert)@Gérard Jugnot (Bernard Morin)@Josiane Balasko (Nathalie Morin)@Maurice Chevit (Marius)@Roland Giraud (Le mari de la bordelaise)@Michel Such (L'occupant du 205)@Eric Laporte (Le cousin)@||Secrets de tournage :
Une suite aux bronzés
Les Bronzés font du ski est la suite des Les Bronzés. On y retrouve le même groupe de personnages, cette fois-ci en vacances au sport d'hiver. L'idée d'une suite est d'abord venue du producteur Yves Rousset-Rouard avant même que le premier soit terminé. D'abord réticents, les comédiens et le cinéaste furent convaincus par l'énorme succès des Bronzés.
Scénario
Contrairement au scénario des Bronzés, celui des Bronzés font du ski n'est pas l'adaptation d'une pièce de théâtre mais une oeuvre originale écrite pour le cinéma. Seuls Christian Clavier, Gérard Jugnot, Thierry Lhermitte et Patrice Leconte participèrent à l'écriture en essayant d'aller vers un humour plus grinçant que le premier.
Coupes
Après un premier montage de 2h10, Patrice Leconte et Noëlle Boisson ont dû couper 40 minutes de film dont une longue partie durant laquelle les personnages étaient perdus dans la montagne et commençaient à songer au canibalisme pour survivre.
Tournage difficile
De l'avis même de Patrice Leconte et d'une partie des comédiens, le tournage des Bronzés font du ski fut plus difficile que celui des Bronzés. Dominique Lavanant par exemple, logée à l'écart, ne se sentit pas intégrée à l'équipe et menaça de rentrer à Paris.
Succès public
Moins important que le succès des Les Bronzés, celui des Bronzés font du ski n'est pas négligeable. Le film a été vu à sa sortie par plus d'un 1,3 millions de spectateurs contre près de 2,2 pour son prédécesseur.
Les Bronzés 3
Un troisième épisode des bronzés autour d'un voyage à New York fut envisagé après le succès des Bronzés font du ski mais l'équipe y renonça pour se consacrer finalement au Père Noël est une ordure.
Patrice Leconte ne fut pas invité à mettre en scène ce nouveau projet car il y eut une petite mésentente entre lui et une partie de l'équipe du Splendid après la publication dans la presse d'un article dans lequel le cinéaste aurait déclaré : "je vaux mieux que Les Bronzés font du ski." Il reconnaît aujourd'hui devoir une grande partie de sa carrière à la troupe de comédiens.
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Les Bronzés 3 amis pour la vie|Patrice Leconte|Comédie||1|français|2006|95|Français||XviD|||XVID|876 Kbps|512x288|MPEG-1 Audio layer 3|132 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Christian Fechner|Michel Blanc Marie-Anne Chazel Thierry Lhermitte Christian Clavier Gérard Jugnot Josiane Balasko|Jean-Marie Dreujou||Warner Bros. France|Saga : Les Bronzés |En 1978, Popeye, Gigi, Jérôme, Bernard, Nathalie et Jean-Claude faisaient connaissance en Côte d'Ivoire dans un club de vacances. Amours, coquillages et crustacés.Un an plus tard, retrouvailles du groupe d'amis à Val d'Isère. Tire-fesses, fartage et pistes verglacées.Après le Club Med et le ski, ils n'ont cessé de se voir, de se perdre de vue, de se retrouver, de se reperdre, de se revoir pour des semaines de vacances volées à une vie civile assommante.Depuis quelques années, ils se retrouvent chaque été, pour une semaine, au Prunus Resort, hôtel de luxe et de bord de mer, dont Popeye s'occupe plus ou moins bien en tant que gérant, et qui appartient à sa femme, Graziella Lespinasse, héritière d'une des plus grosses fortunes italiennes.Que sont devenus les Bronzés 27 ans après ? Réponse hâtive : les mêmes, en pire. |Thierry Lhermitte (Popeye)@Gérard Jugnot (Bernard Morin)@Josiane Balasko (Nathalie Morin)@Michel Blanc (Jean-Claude Dusse)@Christian Clavier (Jérôme)@Marie-Anne Chazel (Gigi)@Ornella Muti (Graziella Lespinasse)@Dominique Lavanant (Christiane)@Bruno Moynot (Jambier)@Martin Lamotte (Miguel)@Caterina Murino (Helena)@Doris Kunstmann (Mme Franken)@Arthur Jugnot (Benjamin)@Eric Naggar (M. Guy)@||Secrets de tournage :
Des retrouvailles attendues !
Film français événement de l'année 2006, cette suite directe - 27 ans après ! - des Bronzés (1978) et des Bronzés font du ski (1979) marque les retrouvailles à l'écran de toute l'équipe du Splendid (Marie-Anne Chazel, Michel Blanc, Gérard Jugnot, Christian Clavier, Thierry Lhermitte et Josiane Balasko). Leur dernière apparition collégiale remonte au film de Michel Blanc, Grosse fatigue, en 1994.
D'Astérix aux Bronzés
Les Bronzés 3 amis pour la vie est né de l'abandon du projet Astérix en Hispanie dans lequel Gérard Jugnot devait diriger ses amis du Splendid. Christian Clavier déclarait dans le numéro 93 du magazine Ciné Live : "Alors que Gérard en écrivait le scénario, je lui ai suggéré l'idée de tous nous retrouver pour des apparitions dans le film. Il trouvait l'idée bonne, mais ça n'a pas plu. Et puis, un jour où j'allais le voir au théâtre, il m'apprend la nouvelle : le film venait de tomber à l'eau. Il était très agacé et triste, la soirée n'était pas très gaie et je lui ai demandé pourquoi on ne ferait pas quelque chose tous ensemble. C'était juste le prétexte d'où tout est parti."
Un scénario écrit à six
Thierry Lhermitte et Christian Clavier ont constitué le noyau dur autour duquel chaque membre de la joyeuse équipe est venu apporter sa propre contribution au scénario. Comme l'explique ce dernier dans une interview accordée au mensuel Ciné Live, "le processus a presque duré six mois, on a fait des réunions pour chercher ce qu'on voulait faire. S'est alors imposée l'idée d'un nouveau Bronzés, et on est parti avec Thierry une petite dizaine de jours en Corse pour écrire un synopsis. Quinze pages qu'on a soumises aux autres. Ils ont tout de suite accroché sur ce qu'étaient devenus ces personnages. C'est alors allé assez vite. On a passé quatre mois intenses sur l'écriture, ceux qui étaient libres venaient, ceux qui pouvaient moins passaient par intermittence."
Chazel et Blanc transformés physiquement
Pour les besoins de ce troisième opus, Marie-Anne Chazel et Michel Blanc ont tous deux accepté une transformation physique liée à l'évolution de leurs rôles. La première a ainsi dû subir la pose d'une énorme prothèse mamaire qui nécessitait trois heures de préparation, tandis le second a dû se soumettre à un programme intensif de musculation afin d'"étoffer" son personnage. Gérard Jugnot a pour sa part consenti à arborer de nouveau sa légendaire moustache des débuts.
A la recherche d'un producteur...
Une fois lancé ce projet lucratif, de nombreux producteurs sont tombés sur l'équipe du Splendid. C'est finalement Christian Fechner qui a remporté la mise auprès de Thierry Lhermitte qui effectuait alors la tournée des "financiers". Dans l'interview accordée au mensuel Ciné Live, Christian Clavier se souvient des propos tenus par le producteur et qui ont convaincu la joyeuse troupe : "Vous le Splendid, vous êtes six, avec Patrice ça fait sept et avec moi ça fait huit."
Tournage en Sardaigne et en région parisienne
Le tournage s'est déroulé de mai à juillet 2005 à l'hôtel paradisiaque Cala di Volpe (littéralement La Baie des Loups) de la Costa Esmeralda, au nord-est de la Sardaigne, et à Grorouvre, dans les Yvelines, pour les intérieurs.
Manque à l'appel Maurice Chevit
Les seconds couteaux Dominique Lavanant, Martin Lamotte et Bruno Moynot font également partie de l'aventure, mais au grand dam de Patrice Leconte, Maurice Chevit, alias le perruquier Marius, n'a pu se joindre à toute l'équipe, trop occupé par ses activités théâtrales.
Patrice Leconte retrouve le compositeur Etienne Perruchon
Pour la bande originale des Bronzés 3 amis pour la vie, Patrice Leconte a fait appel au compositeur Etienne Perruchon, dont la musique symphonique avait baigné son documentaire sans paroles Dogora ouvrons les yeux (2004).
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Ashes of Time|Wong Kar-Wai|Drame||2|hong-kongais, chinois|1996|93|Mandarin||XviD|||XVID|906 Kbps|592x320|MPEG-1 Audio layer 3|127 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Wong Kar-Wai Jeff Lau Jacky Pang Yee Wah|Wong Kar-Wai|Christopher Doyle||ARP Sélection||Depuis que la femme qu'il aimait l'a quitté, Ouyang Feng vit seul dans le désert de l'Ouest, engageant des tueurs à gages experts en arts martiaux pour exécuter des contrats. Son coeur meurtri l'a rendu cynique et sans pitié, mais ses rencontres avec amis, clients et futurs ennemis vont lui faire prendre conscience de sa solitude. |Leslie Cheung (Ouyang Feng)@Brigitte Lin Ching-hsia (Murong Yin / Murong Yang )@Tony Leung Chiu Wai (Duelliste aveugle)@Carina Lau (Fleur de Pêcher)@Tony Leung Ka Fai (Huang Yaoshi)@Charlie Young (La jeune fille)@Jacky Cheung (Hong Qi)@Bai Li (La femme de Hong Qi)@Sing Ngai (Duelliste)@Maggie Cheung (La Femme)@||Secrets de tournage :
L'équipe au complet
Outre l'acolyte Christopher Doyle, la troupe d'acteurs fidèle à Wong Kar-Wai a répondu présente pour le tournage des Cendres du temps. On retrouve bien sûre les partenaires de toujours, Tony Leung Chiu Wai et Maggie Cheung, mais aussi Leslie Cheung qui a également participé à Nos années sauvages et Happy Together. Brigitte Lin était, elle, de la partie Chungking Express. On a pu apercevoir Charlie Young dans Les Anges déchus et Carina Lau dans 2046 et Nos années sauvages. Dans ce dernier film, Jacky Cheung était également présent, ainsi que dans As Tears Go By, le premier long métrage de Wong Kar-Wai.
Un tournage compliqué
Le tournage des Cendres du temps a duré presque deux ans. Le budget a été considérablement dépassé et le film a été un échec commercial car le public s'attendait à un film classique d'arts martiaux. Les acteurs et l'équipe du film devaient faire sans arrêt des aller-retour entre la Chine et Hong-Kong et le tournage éprouvant dans le désert a fini d'épuiser physiquement et nerveusement les acteurs et les techniciens.
WKW change de registre et de méthode
Les Cendres du temps est très différent de l'univers habituel dans lequel baigne les créations du cinéaste chinois Wong Kar-Wai. Sa méthode de travail à, elle aussi, été bouleversée durant cette expérience. Il s'est d'ailleurs exprimé à ce sujet : "Il y a également une différence majeure entre Les Cendres du temps et mes autres films. En général, je pars d'un début d'intrigue ou de quelques personnages, et je comprend peu à peu quelle direction prend l'histoire et comment elle se termine au cours du tournage. Pour ce film, en revanche, je savais comment les personnages allaient finir, et je ne pouvais rien y faire. J'en ai retiré un certain fatalisme. Maintenant que le film est achevé et que je repense au tournage, je me surprend à me souvenir d'un passage du Canon Bouddhique que je souhaite utiliser en avant-propos du film : "L'étendard est immobile. Pas un souffle de vent. C'est le coeur de l'homme qui est en tourment !""
Christopher Doyle s'exprime
Le grand directeur de la photographie Christopher Doyle, auquel on doit notamment la lumière de In the Mood for Love et 2046, s'est exprimé au sujet de son expérience sur Les Cendres du temps : "Je n'aurais pas pu signer la photo du Chemin de la liberté si je n'avais pas éclairé Les Cendres du temps, et je n'aurais pas pu participer à Hero si je n'avais pas éclairé Les Cendres du temps et Le Chemin de la liberté. Les difficultés propres à un tournage dans le désert - l'immensité de l'espace, la particularité de la lumière et la manière dont elle captive le regard, la nécessité de se montrer patient, les décisions qu'il faut prendre dans un tel contexte - m'ont préparé aux défis des tournages ultérieurs." Et à propos de Leslie Cheung et de la ressortie du film : "Je suis très heureux de pouvoir rendre hommage à Leslie. Il me manque tellement. Mais la croyance occidentale selon laquelle il a été immortalisé grâce à ses films est erronée. Cela ne correspond pas à la manière de voir les choses en Asie. Il s'agit plus d'une réincarnation que d'une immortalisation. Je crois que c'est là tout le sens de Redux."
Chungking Express
C'est lors d'une pause durant le tournage des Cendres du temps que Wong Kar-Wai a tourné Chungking Express. A l'opposé du tournage fleuve des Cendres du temps, celui-ci a été tourné et monté en moins de trois mois et avait notamment pour but de parvenir à financer la fin du tournage du film de sabre qui avait considérablement dépassé son budget initial.
Le "Jianghu"
Le Jianghu ("fleuves et lacs") est la dénomination de l'univers parallèle dans lequel se déroulent les romans ainsi que les films d'arts martiaux. Si ce monde à des points communs avec le notre, il s'en différencie également à de nombreux égards. Les personnages y sont, en général, plus grands ou plus petits et disposent de pouvoirs surhumains qui leurs permettent de contrôler leur qi, c'est-à-dire leur énergie vitale. Les individus établissent eux-mêmes leur propre code moral et la frontière entre les sexes est beaucoup moins distincte que dans le monde réel. La différence majeure vient du fait que l'univers du Jianghu n'obéit plus forcément aux lois de la physique telles que nous les connaissons. A l'occasion, les individus peuvent même voler. Le genre du Jianghu remonte au moins à la dynastie des Ming (1368-1644) et perdure toujours aujourd'hui. Depuis quelques années, c'est un genre qui est revenu sur le devant de la scène et a été modernisé grâce à des cinéaste comme Wong Kar-Wai, Ang Lee, Zhang Yimou et Tsui Hark.
Le film dans les festivals
Le film a remporté 3 Prix sur 5 nominations aux Hong Kong Film Awards de 1994 : Prix de la meilleure direction artistique (William Chang), de la meilleure photographie (Christopher Doyle) et des meilleurs costumes et meilleur maquillage (William Chang). Il a également remporté le Prix de la meilleure photographie et du meilleur montage aux Golden Horse Award de Taiwan (1994). Au Festival de Venise 1994, Christopher Doyle a encore été récompensé du Prix de la meilleure photographie.
Redux ?
Il y avait de nombreuses versions différentes des Cendres du temps qui circulaient à travers le monde, sans avoir toutes étaient approuvées par Wong Kar-Wai. C'est ainsi que le cinéaste et ses collaborateurs ont décidés de reprendre le montage du film afin d'en établir la version définitive.
Des gens normaux...
Wong Kar-Wai explique qu'il a souhaité s'éloigner quelque peu du genre traditionnel qu'induisent les arts martiaux. "Au lieu de représenter mes personnages comme des héros surdimensionnés, j'ai voulu les traiter comme des gens normaux, avant justement qu'ils ne deviennent des héros..."
Rectifier le tir
Avec Les Cendres du temps Redux, Wong Kar-Wai a enfin pu exprimer ce qu'il avait souhaité en réalisant son film qui disposait d'un budget trop faible pour mener à bien son entreprise de l'époque. "Nous avons créé Jet Stone Films en 1992 et Les Cendres du temps est le premier film que nous avons produit," explique le cinéaste, "j'ai toujours regretté que nos moyens limités, à l'époque, ne nous aient pas permis d'obtenir la qualité technique que le film exigeait. Aujourd'hui, 15 ans plus tard, je veux rectifier le tir."
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Les Chevaliers du ciel|Gérard Pirès|Action||3|français|2005|96|Français||XviD|||XVID|886 Kbps|608x256|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Laurent Brochant Nicolas Altmayer Eric Altmayer|Gilles Malençon|Pascal Lebègue||Pathé Distribution||Salon aéronautique de Farnborough, Angleterre. Alors qu'il était en pleine démonstration, un Mirage 2000 a disparu au-dessus de la Mer du Nord. Les capitaines Antoine Marchelli et Sébastien Vallois sont immédiatement envoyés en patrouille pour retrouver l'avion.Ils ne tardent pas à apercevoir le 2000 : il vole dissimulé sous un Airbus de Qatar Airways. Le pilote du Mirage les a repérés, il s'est placé en position de combat. Marchelli et Vallois reçoivent l'ordre d'abandonner la poursuite sans délai. Trop tard ! Le 2000 est sur le point d'abattre Vallois. Marchelli va devoir l'éliminer pour protéger son équipier.Cet incident est le prélude d'une gigantesque manipulation. A la clé, le détournement d'un avion de chasse français à des fins terroristes. Une manipulation dont le dernier acte se jouera un 14 juillet dans le ciel de Paris, au dessus des Champs-Elysées. |Benoît Magimel (Antoine Marchelli)@Clovis Cornillac (Sébastien Vallois)@Alice Taglioni (Capitaine Estelle "Pitbull" Kass)@Géraldine Pailhas (Maëlle Coste)@Philippe Torreton (Bertrand)@Jean-Baptiste Puech ("Ipod")@Christophe Reymond ("Stan")@Fiona Curzon (Mrs. Redgrave)@Jean-Michel Tinivelli (Colonel Farje)@Frederic Van Den Driessche (Général Hardouin)@Eric Poulain (Capitaine Kléber)@Pierre Poirot (De Sèze)@Peter Hudson (Général Buchanan)@Cédric Chevalme (Bandit)@Simon Buret (Jackpot)@||Secrets de tournage :
Inspiré de la BD de Charlier et Uderzo
Les Chevaliers du ciel est une très libre adaptation des aventures de Tanguy et Laverdure, deux pilotes de chasse créés par les dessinateurs Jean-Michel Charlier et Albert Uderzo, et apparus dans le premier numéro du journal Pilote en 1959. Le succès de la bande dessinée fut tel qu'une série télévisée, baptisée Les Chevaliers du ciel, vit le jour en 1967 avec Jacques Santi dans le rôle de Tanguy et Christian Marin dans celui de Laverdure.
Dans le film, ces deux personnages sont remplacés par les capitaines Marchelli
et Vallois. Clovis Cornillac s'en explique : "Je crois que Gérard n'était pas très chaud pour adapter les personnages de l'époque, le côté un peu Pompidou, un peu vieillot... Depuis l'époque de "Tanguy et Laverdure", le métier de pilote a évolué, la technique a évolué, les enjeux et les menaces ont changé... Il semblait logique que Tanguy et Laverdure aient changé eux aussi."
La motivation de Girard Pirès
Pour Gérard Pirès, trois raisons motivaient son envie de réaliser ce film : le fait de traiter l'aviation en images, l'occasion de travailler avec des comédiens de qualité, et l'idée de faire un film où le jeu a une importance
capitale. "Il y avait un petit côté "challenge" avec Top gun qui n'était pas pour me déplaire", ajoute le cinéaste.
Un casting hétéroclite
Ce film bénéficie d'un casting trois étoiles, composé d'acteurs aux horizons
différents : Benoît Magimel, "un comédien assez "intérieur", à la nature réservée mais qui avait une vision très analytique de ce qu'il faisait" selon Gérard Pirès ; Clovis Cornillac "qui est un boulimique du tournage" ; Géraldine Pailhas "qu'on n'a pas l'habitude de voir dans ce genre de film" ; idem pour Philippe Torreton, "qui voulait
depuis longtemps faire un film "entertainment" alors qu'on ne lui en avait jamais proposé" ; enfin Alice Taglioni, que le cinéaste a rencontrée quand elle était au théâtre. Le hasard a fait qu'elle avait beaucoup d'affinités avec le milieu de l'aéronautique, son frère étant pilote d'hélicoptère.
Un défi technologique
Avant même l'écriture du scénario, Les Chevaliers du ciel apparaissait comme un véritable défi lancé par Gérard Pirès et accepté d'emblée par la production : tenter de réaliser un film résolument moderne sans recourir aux effets spéciaux numériques et aux reconstitutions en 3-D, des prises de vue réelles capturant des scènes aériennes spectaculaires jamais montrées au cinéma.
Spécialement conçu à cet effet, un bidon de kérosène a servi de support d'intégration pour quatre caméras 35mm montées sur Mirage 2000, et susceptibles de filmer simultanément jusqu'à 50 000 pieds d'altitude et à la vitesse du son. Afin de recréer pour les comédiens les conditions de vol réelles en cockpit, un habitacle de Mirage 2000 a été entièrement
reconstruit sur nacelle télescopique avec caméras intégrées.
Avec le soutien du Ministère de la Défense et de l'Armée de l'Air
Ce défi a été relevé avec le soutien exceptionnel du Ministère de la Défense et de l'Armée de l'Air française. Un soutien d'envergure : 12 semaines de tournage aérien durant lesquelles l'équipe put participer à plusieurs vols au-dessus du centre de Paris et à plusieurs dizaines de missions Mirage 2000 en compagnie des meilleurs pilotes de chasse des bases d'Orange et de Djibouti.
Un 14 juillet pour "Les Chevaliers du ciel"
Les Chevaliers du ciel ne chôment pas le 14 juillet. L'équipe du film a en effet profité du traditionnel défilé militaire sur les Champs Elysées en 2004 pour tourner certaines scènes. Dix caméras ont été placées le long de la fameuse avenue parisienne, quatre caméras ont été fixées sous un chasseur-bombardier Mirage 2000 et d'autres sur des hélicoptères. Gérard Pirès a également filmé les répétitions des Mirage, Transall, Alphajet et autres aéronefs qui survolaient les Champs Elysées.
Des vues aériennes rapportées par Eric Magnan
Le chef opérateur Eric Magnan était chargé de rapporter les images aériennes du film. Gérard Pirès se souvient : "Les premières prises de vue étaient très encourageantes, c'est-à-dire pas à 100% de ce que j'espérais pour le film. Je trouvais qu'il y avait juste un peu de mou, que c'était encore un peu trop contemplatif, un peu loin et les pilotes un peu timides ! Cela s'est rapidement corrigé, même hyper corrigé. J'ai impliqué Eric Magnan dans le tournage parce que je ne pouvais pas tout faire, qu'il est extraordinairement compétent et a une vision très synthétique. Nous avons collaboré comme deux techniciens très proches peuvent le faire, et cela s'est très bien passé."
Du voile gris aux G négatifs...
Clovis Cornillac se souvient des différentes phases par lesquelles il est passé durant son premier vol : "J'ai eu ce qu'on appelle le "voile gris", qui survient autour de 7G. On se retrouve écrasé dans le siège, on voit tout en noir et blanc, et après... on a très mal ! Mais il y a pire ! Ce sont les G négatifs, qui correspondent à une manoeuvre de l'avion, où le pilote pousse fortement sur le manche. Tout va vers l'avant, tout le corps semble vouloir sortir de lui-même par le haut. En gros, le cerveau pousse sur les yeux !"
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Les Choristes|Christophe Barratier|Comédie dramatique||3|français, suisse, allemand|2004|92|Français||XVID|||XVID|909 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|140 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Jacques Perrin Arthur Cohn Nicolas Mauvernay|Christophe Barratier Philippe Lopes-Curval|Carlo Varini||Pathé Distribution||En 1948, Clément Mathieu, professeur de musique sans emploi accepte un poste de surveillant dans un internat de rééducation pour mineurs ; le système répressif appliqué par le directeur, Rachin, bouleverse Mathieu. En initiant ces enfants difficiles à la musique et au chant choral, Mathieu parviendra à transformer leur quotidien. |Gérard Jugnot (Clément Mathieu)@François Berléand (Rachin)@Jacques Perrin (Pierre Morhange adulte)@Jean-Baptiste Maunier (Pierre Morhange enfant)@Kad Merad (Chabert)@Didier Flamand (Pépinot adulte)@Marie Bunel (Violette Morhange)@Jean-Paul Bonnaire (le Père Maxence)@Paul Chariéras (Régent)@Carole Weiss (La Comtesse)@Philippe Du Janerand (Monsieur Langlois)@Erick Desmarestz (Le docteur Dervaux)@Maxence Perrin (Pépinot)@Gégory Gatignol (Mondain)@Thomas Blumenthal (Corbin)@Cyril Bernicot (Le Querrec)@Simon Fargeot (Boniface)@Théodule Carré-Cassaigne (Leclerc)@Armen Godel (Le médecin)@Colette Dupanloup (La cuisinière)@Steve Gadler (Assistant Pierre Morhange)@Fabrice Dubusset (Carpentier)@Marielle Coubaillon (Madame Rachin)@||Secrets de tournage :
Des rossignols aux choristes...
L'histoire des Choristes est inspirée de celle de La Cage aux rossignols, un film que Jean Dréville a réalisé en 1945. Le réalisateur des Choristes l'a volontiers rappelé :"Ces deux thèmes, l'enfance et la musique, (...) m'ont logiquement amené à me souvenir de La Cage aux rossignols. J'avais vu ce film à sept ou huit ans en 1970-71, sur une des deux chaînes de télévision de l'époque. Il m'avait profondément touché. (...) J'en ai surtout retenu deux choses : l'émotion que font naître les voix d'enfants et ce personnage du musicien raté qui s'efforce malgré tout de changer l'univers de ceux qui l'entourent."
Gérard Jugnot et Noël-Noël
Gérard Jugnot et Christophe Barratier ont en commun une même admiration pour le vieux cinéma français, et, comme le précise Gérard Jugnot pour "tous ces acteurs qu'on appelait 'Les Excentriques', dont Noël-Noël, pour lequel j'ai une admiration sans borne." Noël-Noël a justement interprété le rôle de Clément Mathieu -rôle que Gérard Jugnot tient aujourd'hui dans les Choristes- dans La Cage aux rossignols.
Entrer dans la peau du personnage
Pour devenir Clément Mathieu, Gérard Jugnot a une méthode toute personnelle : "Je me suis accroché à des détails concernant son allure physique : porter de vieilles chaussures, ne jamais changer de costume, garder la même petite veste élimée".
Un réalisateur mélomane
Si Christophe Barratier porte une attention particulière à la musique -il a notamment composé deux thèmes pour la bande originale du film-, c'est parce qu'il a une formation de musicien. La réalisation des Choristes lui a permis d'allier son amour de la musique et sa passion du cinéma - il travaille depuis 1991 chez Galatée Films.
Musique pré-enregistrée ?
Christophe Barratier et Bruno Coulais ont préparé la musique en septembre 2000, soit 9 mois avant le tournage. Le compositeur en témoigne : "Les chants ont été enregistrés préalablement au tournage, repris partiellement ensuite et enfin soutenus par une orchestration complémentaire. La musique était le sujet du film. Il fallait rendre visible les progrès du choeur à travers le film et composer une musique simple et sans prétention en jouant davantage sur l'émotion que sur la recherche stylistique."
Enfance en 1949...
C'est volontairement que le réalisateur, Christophe Barratier a transposé l'histoire de ce musicien désabusé en 1949, dans l'immédiate après-guerre : "Situer le film cette année-là n'est pas anodin. Après-guerre se sont constitués les fameux centres de réinsertion communément appelés maisons de correction. A la même époque s'est créée la Protection Judiciaire de la Jeunesse (PJJ), qui a conféré aux enfants un statut juridique de celui des adultes."
Un décor inhospitalier
Pour "incarner" l'école austère où se déroule l'histoire des Choristes, il fallait trouver un décor sombre. Le réalisateur a immédiatement écarté les bâtiments typiques de l'école républicaine "à la Jules Ferry" : "Je voulais au contraire une bâtisse exagérément grande, démesurément lourde, inhospitalière, afin de restituer cette sensation que peut avoir un enfant pour qui tout est plus grand, plus impressionnant que la réalité." Cette sensation d'isolement dans un espace immense est renforcé par l'utilisation du format scope, "pour signifier l'isolement et l'écrasement des petites silhouettes d'enfants au coeur de ce décor."
Un acteur-choriste
La recherche de l'interprète de Pierre Morhange a été fastidieuse. Christophe Barratier tenait en effet à ce que le comédien choisi soit également un chanteur. Le compositeur Bruno Coulais, qui l'accompagnait, raconte la découverte de Jean-Baptiste Maunier : "Ce jour-là, nous sommes à Lyon, (...) pour rendre visite aux petits Chanteurs de Saint-Marc. Alors que nous gravissons l'escalier du collège, nous parvient l'écho d'un air de Purcell dominé par une incroyable voix de soprano... Voix que nous identifions bientôt : c'est celle d'un jeune garçon de douze ans, au physique de jeune premier. (...) Ce sera lui. La chorale est excellente. Ce sera elle."
Une équipe de jeunes premiers
Christophe Barratier a tenu à ce que les jeunes enfants des Choristes ne soient pas des acteurs professionnels. Il a donc mené son casting sur place, dans les alentours de Clermont-Ferrand. Sur les 2000 enfants qu'il a rencontré, il en a retenu une quarantaine, qui, pour les besoins du film, sont retournés à l'école... en plein été, et surtout, en pleine canicule !
Tourner avec des enfants
Gérard Jugnot a déjà donné la réplique à des enfants, notamment dans Scout toujours ou dans Monsieur Batignole, deux films qu'il a réalisé. Dans Les Choristes, il fait face à 40 apprentis comédiens : "J'ai fait beaucoup de films avec des enfants. Ce sont eux qui vous guident. Les personnages se trouvent par rapport à ceux que l'on a en face. Là, je me suis retrouvé dans une classe en pleine canicule face à quarante mômes très sympathiques mais épuisants car toujours sur l'énergie."
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The Spiderwick Chronicles|Mark Waters|Fantastique|Film pour enfants à partir de 6 ans|3|américain|2008|91|Anglais||DX50|||DX50|930 Kbps|608x256|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Mark Canton Albie Hecht Ellen Goldsmith-Vein Kathleen Kennedy Larry J. Franco Karey Kirkpatrick Frank Marshall|John Sayles David Berenbaum Karey Kirkpatrick|Caleb Deschanel||Paramount Pictures||Après son divorce, Helen Grace a dû quitter New York avec ses jumeaux, Jared et Simon, et sa fille, Mallory, pour trouver refuge dans l'ancienne résidence de son grand-oncle, l'éminent naturaliste Arthur Spiderwick. Une nouvelle vie commence pour les Grace dans cette bâtisse isolée, un rien sinistre, où les trois enfants ne tardent pas à faire d'étranges rencontres. Après avoir mis à jour la cachette d'un espiègle farfadet, Jared découvre au grenier un somptueux ouvrage, rédigé par Arthur Spiderwick et orné d'illustrations d'animaux fantastiques de toutes espèces : Le Guide Arthur Spiderwick du monde merveilleux qui vous entoure. Bravant les avertissements solennels de son ancêtre, Jared ouvre le précieux livre, qui lui dévoile un univers merveilleux, peuplé de gobelins, de fées, de trolls, de sylphes délicats, d'oiseaux exotiques et de porcins voraces. Mais un ogre maléfique du nom de Mulgarath hante aussi ce Monde Invisible qu'il souhaite contrôler. Pour cela, il doit s'emparer du Guide. Prêt à tout pour parvenir à ses fins, le rusé Mulgarath tend un piège diabolique aux trois enfants, puis se lance avec sa meute hurlante à l'assaut de la Résidence... |Freddie Highmore (Jared / Simon)@Sarah Bolger (Mallory)@Mary-Louise Parker (Helen (la mère))@Nick Nolte (Mulgrath (voix))@Martin Short (Chafouin (voix))@Joan Plowright (Tante Lucinda)@Izabella Miko (le chef des elfes)@Andrew McCarthy (Richard (le père))@David Strathairn (Arthur Spiderwick)@Seth Rogen (Tête de lard (voix))@Jordy Benattar (Lucinda, jeune)@Tod Fennell (le collaborateur d'Helen)@Mariah Inger (l'infirmière)@Jeremy Lavalley (le chauffeur du camion)@Lise Durocher-Viens (Mrs. Spiderwick)@Tyler Patrick Jones (extra)@Kyle Switzer (extra)@||Secrets de tournage :
Adaptation
À l'origine du film, on trouve une série de cinq romans illustrés, cosignés par l'écrivain-dessinateur Tony DiTerlizzi et la romancière Holly Black.
Après "Jurassic Park" et "Starship Troopers"
C'est la célèbre équipe d'Industrial Light and Magic qui s'est chargée des effets spéciaux avec à sa tête Phil Tippett qui a connu la consécration en travaillant sur Jurassic Park ou encore Starship Troopers. Un technicien de pointe pour des effets spéciaux de pointe : les deux studios ont dû réaliser pas moins de 600 effets visuels. Les artistes ont trouvé la meilleure des sources d'inspiration dans les dessins de Tony DiTerlizzi pour son Grand Guide, qu'ils s'appliquèrent à traduire en trois dimensions, en passant par les étapes classiques : dessin, maquette en terre glaise, modèle numérique, motion capture et animation.
Tournage
Le tournage des Chroniques de Spiderwick s'est déroulé à partir de septembre 2006 à Montréal au Quebec.
Soumis à l'approbation des enfants
Lorsque le producteur et coscénariste Karey Kirkpatrick fut contacté pour adapter le cycle Spiderwick, il commença par lire les cinq livres à ses enfants afin de jauger leurs réactions. Il raconte : "Cette lecture les enchanta autant que l'idée que je pouvais être associé au projet. Comme eux, j'ai été fasciné par l'idée que nous sommes entourés de choses invisibles ou que nous refusons de voir. C'est à partir de là que je me suis intéressé aux éléments fantastiques de la saga et, surtout, à sa dimension humaine."
Le guide, objet de toutes les convoitises
"Le Guide Arthur Spiderwick du monde merveilleux qui vous entoure est l'accessoire vedette du film", indique la chef accessoiriste Claire Alary. C'est pourquoi l'équipe de décoration a apporté un soin tout particulier à son élaboration. Se conformant aux indications de James D. Bissell , ils ont concocté ce guide richement illustré en s'inspirant de publications et journaux intimes du début du vingtième siècle et inventèrent même une police pour imprimer les observations et annotations d'Arthur Spiderwick.
La résidence Spiderwick
Pour imaginer la maison du film, le chef décorateur James D. Bissell prit pour référence les créations du designer William Morris et du mouvement des Arts Appliqués de la fin des années 1800, où abondent les motifs organiques. Il explique la création de la résidence : "La maison, que nous avons construite dans un parc des environs de Montréal, a quatre niveaux, dont un rez-de-chaussée entièrement équipé, avec un foyer, un salon, une grande bibliothèque et un escalier. Nous avons également construit une tour offrant une vue panoramique sur la forêt environnante, ce qui nous permettait de faire aller et venir les enfants de l'intérieur à l'extérieur. Une réplique du rez-de-chaussée fut ensuite construite en studio pour l'assaut final de Mulgarath."
Les créatures du monde invisible
Pour Les chroniques de Spiderwick, les scénaristes ont dû imaginer plein de créatures merveilleuses et imaginaires, parmi lesquelles farfadets, gobelins, sylphes... Mais le vrai héros du film, c'est l'ogre Mulgarath. Le co-scénariste Karey Kirkpatrick raconte comment est né le personnage : "Mulgarath est un être maudit, qui aspire à plus de puissance, mais en est réduit à vivre au milieu de gobelins imbéciles et craintifs. En s'emparant des secrets du Livre, il deviendrait la créature la plus redoutable et la plus maléfique du Monde Invisible. Nous sommes partis du mythe de Lucifer, l'ange déchu."
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The Condemned|Scott Wiper|Action||2|américain|2007|106|Anglais||XviD|||XVID|765 Kbps|592x320|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|685||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Joel Simon|Scott Wiper Rob Hedden|Ross Emery||Lions Gate Films Inc.||Engagé par un producteur de télévision en quête de sensations fortes, un condamné à mort va devoir affronter neufs concurrents sur une île déserte... |Steve Austin (Jack Conrad)@Vinnie Jones (Ewan McStarley)@Nathan Jones (le russe)@Rick Hoffman (Goldman)@Madeleine West (Sarah)@Manu Bennett (Paco)@Tory Mussett (Julie)@Andy McPhee (Nazi)@Sam Healy (Bella)@Robert Mammone (Ian Breckel)@Angie Milliken (Donna Sereno)@Masa Yamaguchi (Saiga)@Luke Pegler (Baxter)@Emelia Burns (Yasantwa)@Dasi Ruz (Rosa)@||Secrets de tournage :
Tout en muscles
Un des personnages principaux du film, est interprété par Vinnie Jones, ancien footballeur reconvertit au cinéma. C'est Guy Ritchie, qui remarque le physique imposant de cet acteur britannique et qui le fait tourner dans Arnaques, crimes et botanique et Snatch. Il reçoit par ailleurs pour ce dernier, le People's Choice Award de la chaîne de cinémas Odéon et le prix du meilleur jeune espoir du Variety Club of Great Britain et du magazine Empire. Il figure également dans les films d'action 60 secondes chrono et Opération Espadon. Dans The condemned, il joue aux côtés du très musclé Steve Austin, qui interprète le rôle d'un condamné à mort qui doit se battre pour survivre.
Interdiction
Le film a été interdit lors de sa sortie en salle aux Etats-Unis aux mineurs de moins de 17 ans non accompagnés, en raison des scènes violentes et du language employé.
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Les Dalton|Philippe Haim|Comédie||1|français|2004|85|Français||XviD|||XVID|1 005 Kbps|640x280|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Saïd Ben Saïd Yves Marmion|Eric Judor Ramzy Bedia Michel Hazanavicius Philippe Haim|David Carretero||UFD|Saga : Lucky Luke |Quand les Dalton, les bandits les plus foireux du Far West, décident de dévaliser une banque pour faire plaisir à leur mère, leurs ennuis ne font que commencer. Après une évasion de prison, les quatre frères traversent la frontière mexicaine en quête d'un sombrero magique qui leur permettra d'arriver à leurs fins. Mais le parcours est semé d'embûches et Lucky Luke est à leurs trousses... |Eric Judor (Joe Dalton)@Ramzy Bedia (Averell Dalton)@Saïd Serrari (Jack Dalton)@Romain Berger (William Dalton)@Til Schweiger (Lucky Luke)@Marthe Villalonga (Ma Dalton)@Javivi (El Tarlo)@Sylvie Joly (Ma Billy)@Ginette Garcin (Ma James)@Marie-Pierre Casey (Ma Cassidy)@Elie Semoun (Doxey)@Michel Muller (le directeur de banque)@Jean Benguigui (le chef du village mexicain)@Kad Merad (le prisonnier mexicain)@Jean Dujardin (le cow-boy vanneur)@Darry Cowl (Old Timer)@||Secrets de tournage :
Tagada, Tagada, les voilà...
Les personnages des Dalton, les bandits les plus dangereux et les plus crétins du Far-West, sont issus de l'imagination du scénariste français René Goscinny, qui en fit les ennemis récurrents de Lucky Luke dans toutes les aventures de ce dernier en bande-dessinée. C'est logiquement le belge Maurice de Bévère, plus connu sous le pseudonyme Morris et dessinateur attitré des aventures de Lucky Luke, qui croqua sur planches Joe, Jack, William et Averell Dalton, cousins d'autres redoutables criminels, Bob, Grat, Bill et Emmet Dalton.
Les Dalton au cinéma...
Les Dalton de Philippe Haim n'est pas le premier long-métrage à donner aux quatre plus dangereux criminels du Far-West les honneurs du grand écran. Ils sont apparus dans trois dessins animés exploités en salle, Daisy Town (1971), La Ballade des Dalton (1981) et Lucky Luke, les Dalton en cavale (1983). Ils étaient également du Lucky Luke réalisé et interprété par Terence Hill en 1991.
... et ailleurs
Les frères Dalton sont également apparus dans les trois séries de dessins animés mettant en vedette Lucky Luke et créées spécialement pour la télévision. Joe, Jack, William et Averell ont également été les héros d'une chanson de Joe Dassin composée en 1967 et intitulée Les Dalton. "Tagada, tagada, voilà les Dalton..."
Philippe Haim réalise son rêve
Pour le réalisateur Philippe Haim, transposer les frères Dalton de la BD au grand écran était un rêve. "Ce sont les personnages idéaux pour une comédie", s'enthousiasme-t-il. "Colériques, malhonnêtes et stupides : c'est parfait ! Ils me touchent vraiment. Cest quatres frères bêtes et méchants, dont la maman Ma est une vraie desperado et qui veut faire d'eux des bandits, c'est formidable. (...) Pour moi, le projet était l'occasion de retrouver l'émerveillement qui était le mien avec le mythe de Lucky Luke et de le faire vivre au cinéma. A mon sens, Les Dalton s'adresse d'abord aux enfants et à cette petite part d'enfance qui sommeille en tous ceux qui ont grandi."
Le challenge de l'adaptation
Adapter les personnages des Dalton pour le grand écran représentait un gros défi pour le réalisateur Philippe Haim et son équipe. "Ce n'est jamais simple, surtout lorsqu'il s'agit d'un monument comme la BD de Morris", explique le cinéaste. "Nous connaissons tous ses personnages, ils font partie de notre inconscient collectif. Il s'agissait de transposer un monde figé sur page, assez épuré, en quelque chose de vivant et de dynamique, mais sans en perdre l'identité. (...) L'enjeu pour moi était d'offrir un spectacle familial qui ne trahisse jamais la BD. Elle est intemporelle, parce que l'immense authenticité de ces personnages fonctionne toujours."
Eric et Ramzy se la jouent bandits
Pour Philippe Haim, Les Dalton permettait à Eric et Ramzy de jouer des personnages déjà existants et non pas de jouer leurs propres rôles. Il explique : "Même s'ils avaient déjà fait des films, ils n'avaient jusqu'à présent surtout joué qu'Eric et Ramzy ! Et c'est un des challenges auxquels j'ai eu à faire face : pour la premire fois, ils devaient se donner pour un rôle. Sans complètement faire oublier ce qu'ils sont, ils ont du devenir Joe et Averell."
"Je veillais sans cesse à ce que leur folie serve leur histoire et l'univers du film. Eric a appris à trépigner comme Joe, il a créé une hystérie particulière qui rappelle les attitudes de Joe dans la BD. Ramzy, lui, était un Averell naturel, je lui rappelais simplement la part enfantine qu'il y a chez ce personnage lunaire... Ils ont réussi à faire vivre Joe et Averell tels qu'on les aime, en leur apportant cet humour qui n'appartient qu'à eux."
Un casting hétéroclite !
Outre Eric et Ramzy dans le rôle des frères Joe et Averell Dalton, le casting réunit comédiens peu connus (Saïd Serrari, vu dans Samouraïs, en Jack Dalton; le novice Romain Berger en William Dalton), comédiens expérimentés (Marthe Villalonga en Ma Dalton, Darry Cowl, Jean Benguigui) et acteurs plus connus pour leurs dons comiques (Elie Semoun, Jean Dujardin, Kad). Sans oublier l'acteur allemand Til Schweiger, aperçu au générique de Driven, qui prête sa silhouette à celui qui tire plus vite que son ombre : un certain Lucky Luke.
Rantanplan : un aboiement numérique !
Pour donner vie à Rantanplan, le chien le plus stupide du Far-West, Philippe Haim a vu pas moins de 4000 photos de chiens pour finalement porter son dévoulu sur un animal qui n'existait qu'en Allemagne. Une fois rapatrié, le chien a été dressé durant trois semaines. L'équipe des effets spéciaux a ensuite eu l'idée, pour que le Rantanplan cinématographique soit le plus fidèle - dans sa bêtise - au Rantanplan de la BD, de ne garder que le corps de l'animal et de créer numériquement sa tête.
"Plancher" sur le film...
La préparation du long-métrage s'est effectué de longs mois en amont. Le réalisateur Philippe Haim s'est ainsi replongé dans les bandes dessinées mettant en vedette les personnages des Dalton afin de saisir ce qui faisait la particularité des quatre frères, constituant pour l'occasion des dossiers spécifiques sur chacun des bandits. Il a ensuite sélectionné les lieux les plus récurrents des BD pour les transposer sur grand écran, tels la maison de Ma Dalton, le fort ou la ville western. Il a enfin testé de nombreux looks (barbes, coiffures) pour que les Dalton cinématographiques soient fidèles aux Dalton de Morris.
Des moyens énormes
5000 dessins storyboardés ont été mis sur papier pour restituer l'univers des Dalton, alors que des centaines de vêtements et des tonnes de décors ont été acheminés sur les différents lieux de tournage du long-métrage. Philippe Haïm explique : "Des mois avant le tournage, nous avons commencé à faire exister le monde des Dalton. Tout en s'inspirant des codes du Far-West que nous connaissons tous, nous y avons mêlé l'esprit et les teintes de la BD, et nous avons patiné le tout pour lui donner du vécu. La première fois que j'ai vu les décors, particulièrement ceux en extérieurs en Espagne, je suis resté cloué sur place,. Là, je me suis dit que la BD prenait vraiment vie..."
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Jaws|Steven Spielberg|Action||3|américain|1975|118|Anglais||DX50|||DX50|687 Kbps|624x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|08/08/2009 00:00:00|David Brown|Carl Gottlieb Peter Benchley|Bill Butler||CIC|Saga : Les Dents de la mer |A quelques jours du début de la saison estivale, les habitants de la petite station balnéaire d'Amity sont mis en émoi par la découverte sur le littoral du corps atrocement mutilé d'une jeune vacancière. Pour Martin Brody, le chef de la police, il ne fait aucun doute que la jeune fille a été victime d'un requin. Il décide alors d'interdire l'accès des plages mais se heurte à l'hostilité du maire uniquement intéressé par l'afflux des touristes. Pendant ce temps, le requin continue à semer la terreur le long des côtes et à dévorer les baigneurs... |Roy Scheider (Martin Brody)@Robert Shaw (Quint)@Richard Dreyfuss (Matt Hooper)@Lorraine Gary (Ellen Brody)@Murray Hamilton (Larry Vaughn)@Carl Gottlieb (Ben Meadows)@Jeffrey Kramer (le député Leonard Hendricks)@Steven Spielberg (voix (non crédité))@Steven Spielberg (voix (non crédité))@Peter Benchley (interviewer télé)@chris rebello (michael brody)@susan backlinie (chrissie (1er victime))@jay mello (sean brody)@||Secrets de tournage :
Spielberg et Benchley en caméos
Peter Benchley et Steven Spielberg effectuèrent chacun un caméo dans le film. Le premier apparaît en journaliste, tandis qu'on peut entendre la voix du second lorsqu'Ellen Brody (Lorraine Gary) tente de communiquer par radio avec son mari.
Une reconnaissance touristique
La station balnéaire qui servit de décor au film était la petite ville de Martha's Vineyard, dans le Massachusetts. Après la sortie de Les Dents de la mer, 15 000 vacanciers affluèrent en période estivale sur ce site.
La tragédie de Jersey Beach
Certaines scènes de massacres (celles concernant un surfer, un chien et un jeune garçon) dans Les Dents de la mer présentent quelques simitudes avec l'attaque des requins survenue à Jersey Beach en 1916.
Un peu de censure
La scène originale où le jeune Alex Kintner se fait dévorer par le requin a été remaniée afin que le film ne subisse pas d'interdiction.
Le chien de Steven Spielberg
Le chien de Martin Brody, alias Roy Scheider à l'écran, était en fait le véritable chien de Steven Spielberg.
Les prises de vues sous-marines
De nombreuses prises de vues sous-marines furent effectuées à Seal Rocks, en Australie.
La tragédie de l'USS Indianapolis
Dans le bateau, Quint (Robert Shaw) évoque un fait tragique qui a réellement existé : le massacre d'une partie de l'équipage de l'USS Indianapolis par des requins durant le naufrage du navire en 1945 au sud de l'Océan Pacifique. Depuis la sortie du film, de nombreuses campagnes ont été menées pour réhabiliter le capitaine McVeigh, tenu pour responsable de cette catastrophe.
Acteurs pressentis pour Quint
Concernant le personnage du baroudeur Quint, Steven Spielberg pensa d'abord aux acteurs Lee Marvin, Jon Voight et Sterling Hayden, mais ces derniers refusèrent tour à tour ce rôle, qui fut finalement attribué à Robert Shaw.
Le choix des acteurs
Steven Spielberg s'opposa à Richard D. Zanuck dans le choix de l'acteur qui allait jouer le rôle de Martin Brody. Le producteur proposa Charlton Heston et Paul Newman mais Steven Spielberg porta son dévolu sur Roy Scheider, ce dernier étant peu connu du grand public. En choisissant des acteurs dont la popularité restait à faire comme Richard Dreyfuss (dont le rôle de Matt Hooper devait d'abord être attribué à Jeff Bridges), le réalisateur souhaitait que le spectateur ne soit pas en mesure de prévoir qui allait survivre au requin.
Un scénario maintes fois réécrit
Le scénario a été réécrit en grande partie durant le tournage par Carl Gottlieb et Steven Spielberg après être passé tour à tour entre les mains de John Milius, futur réalisateur de Conan le barbare, du dramaturge Howard O. Sackler et du romancier Peter Benchley.
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Un tournage éprouvant
Pour son deuxième long métrage, Steven Spielberg connut un tournage difficile du à divers problèmes : de mauvaises conditions climatiques, une durée de tournage dépassant de loin les prévisions du plan, une multiplication du budget par trois et une grève annoncée des acteurs qui obligea le réalisateur à filmer les premières scènes avant que le requin et le scénario ne soient terminés.
La mode des films catastrophe
Le succès de Les Dents de la mer peut notamment s'expliquer par l'engouement du public pour les films catastrophe de l'époque : L' Aventure du Poséidon (1972), Tremblement de terre (1973) ou encore La Tour infernale (1974).
Richard Dreyfuss doublé par un nain
Dans la scène où Richard Dreyfuss se retrouve dans la cage, celui-ci est doublé par un nain pour rendre le requin qui attaque les barreaux plus imposant.
La conception des faux requins
Bob Mattey, le créateur de la pieuvre géante dans 20 000 lieues sous les mers, conçut trois requins animatroniques en polyuréthane. Appelés "Bruce", ces faux squales mesuraient plus de huit mètres de long et pesaient chacun une tonne et demi. Compte tenu des difficultés de fonctionnement, Steven Spielberg fut contraint de montrer le moins possible l'animal et d'avoir recours à des contre-plongées épousant son point de vue.
Un énorme succès au box-office US
En trois mois d'exploitation, Les Dents de la mer totalisa plus de 67 millions d'entrées aux Etats-Unis et détrôna ainsi Le Parrain à la tête des plus gros succès cinématographiques. Il resta à cette place jusqu'en 1977.
Adaptation d'un roman de Benchley
Les Dents de la mer est en fait l'adaptation cinématographique de Jaws, un best-seller de Peter Benchley, ancien journaliste du Washington Post et de Newsweek. Dès la publication du roman, les producteurs Richard D. Zanuck et David Brown en achetèrent les droits d'exploitation. Jaws s'est vendu à cinq millions et demi d'exemplaires.
Spielberg / Verna Fields : 2e !
Grâce à Les Dents de la mer, Steven Spielberg travaille pour une deuxième fois avec Verna Fields, la chef monteuse de Sugarland express (1974).
Trois Oscars
Les Dents de la mer remporta trois Oscars en 1976 : celui du meilleur montage, de la meilleure musique et du meilleur son.
Lorraine Gary fidèle à la saga
Lorraine Gary, l'épouse de Roy Scheider dans Les Dents de la mer, tournera à nouveau sous la direction de Steven Spielberg dans 1941 (1979). L'actrice reprendra son rôle d'Ellen Brody dans Les Dents de la mer 2 (1978) et Les Dents de la mer 4 : la revanche (1987).
Spielberg retrouve John Williams
Les Dents de la mer donna l'occasion à Steven Spielberg de retravailler avec John Williams, le compositeur de Sugarland express. Leur collaboration fructueuse se poursuivra notamment avec Rencontres du 3e type (1977), 1941 (1979), E.T. l'extraterrestre (1982), L' Empire du soleil (1987), Indiana Jones et la Dernière Croisade (1989), Jurassic Park (1993), La Liste de Schindler (id.), Il faut sauver le soldat Ryan (1998) et Minority report (2002).
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Jaws 2|Jeannot Szwarc|Epouvante-horreur||2|américain|1978|111|Anglais||DX50|||DX50|729 Kbps|720x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|693||||25.000|08/08/2009 00:00:00||Carl Gottlieb|Michael C. Butler||Universal Pictures|Saga : Les Dents de la mer |Plusieurs disparitions ont lieu aux alentours de la station balnéaire Amity. A la découverte d'un orque échoué et déchiqueté, Martin Brody, le chef de la police, est convaincu qu'il a de nouveau affaire à un requin... |Roy Scheider (Martin Brody)@Lorraine Gary (Ellen Brody)@Murray Hamilton (Larry Vaughn)@||Secrets de tournage :
Un titre dévalorisant
Le titre du film n'a pas été directement traduit de l'anglais "Jaws 2" pour des questions de sonorités. En effet, dit rapidement le titre "Les dents de la mer 2" prête évidemment à confusion.
Jaws 2 a donc été distribué sous l'intitulé : "Les dents de la mer, deuxième partie"
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Les contributeursCe film a reçu 1 contribution, pour les secrets de tournage, de: jangofett71 (site web)
Les contributions faites sur cette fiche sont mises à disposition sous un contrat Creative Commons.
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Jaws 3-D|Joe Alves|Epouvante-horreur||1||1983|93|||DX50|||DX50|925 Kbps|720x416|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|692||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Rupert Hitzig|Carl Gottlieb Michael Kane Richard Matheson|Chris J. Condon||CIC|Saga : Les Dents de la mer |Michael Brody et Sean Brody, les deux fils du chef de la police Martin Brody de la ville plaisancière d'Amytiville, ont bien grandis. Après que leur père ait affronté deux foix la terreur des mers, le Grand Requin Blanc, une espèce animale mangeuse d'hommes de plus de sept mètres de long, ils se sont installés en Floride où ils travaillent pour un célèbre parc aquatique englouti dans la mer, dirigé par Calvin Bouchard.Peu de temps après l'ouverture du parc, l'équipe récupère dans les fonds marins un bébé requin, qui meurt sur les tables du laboratoire scientifique du parc.La mère du requin veut récupérer son petit, et elle sait qu'il se trouve quelque part dans le parc. Celle-ci décide donc de passer à l'attaque et de détruire le Sea World... |Dennis Quaid (Mike Brody)@Bess Armstrong (Kathryn Morgan)@Simon MacCorkindale (Philip FitzRoyce)@Louis Gossett Jr. (Calvin Bouchard)@John Putch (Sean Brody)@Lea Thompson (Kelly Ann Bukowski)@Barbara Eden (La personne effrayée dans le tunnel)@||||||||||||@@
Jaws : The revenge|Joseph Sargent|Aventure||1|américain|1987|86|||DX50|||DX50|978 Kbps|720x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|691||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Joseph Sargent|Michael De Guzman|John McPherson|||Saga : Les Dents de la mer |Ellen, la femme du chef Brody, décide de suivre son fils aux caraïbes, un spécialiste de la faune sous-marine. Malheureusement, un grand requin blanc va encore semer la terreur. Cette fois, Ellen va surmonter ses peurs, et montrer au monstre de quel bois elle se chauffe. |Lorraine Gary (Ellen Brody)@Lance Guest (Michael)@Mario Van Peebles (Jake)@Michael Caine (Hoagie)@William E. Marks (Lenny)@Melvin Van Peebles (Mr Witherspoon)@Karen Young@Lynn Whitfield@Mitchell Anderson@Elden Henson@||||||||||||@@
Gli Ultimi Giorni di Pompei|Sergio Leone Mario Bonnard|Péplum||2|italien|1959|93|Italien||DX50|||DX50|864 Kbps|720x416|MPEG-1 Audio layer 3|160 Kbps|False|44.1 KHz|2|689||||25.000|08/08/2009 00:00:00||Sergio Leone|||||En 79 après Jésus-Christ, la population de Pompei est terrorisé par des groupes armés qui se font passer pour des chrétiens. Craignant la colère de Rome, les autorités exigent que ceux-ci soient arrêtés, torturés et jetés aux lions. Le centurion Glaucus, dont le père a été tué par l´une de ces bandes, jure de se venger. Il découvrira la conspiration visant à discréditer les croyants ... |Steve Reeves (Glaucus)@Fernando Rey (Arbacès)@Christine Kaufman (Ione)@Barbara Carrol (Nydia)@||Secrets de tournage :
Leone en remplacement
Les Derniers Jours de Pompei était au départ un film réalisé par Mario Bonnard. Ce dernier tombé malade fut cependant remplacé par l'un de ses trois assistants, également co-scénariste, Sergio Leone, qui s'était par ailleurs distingué la même année en tournant la légendaire scène de course de chars dans le Ben-Hur de William Wyler. Avant de se tourner vers le western, genre totalement différent qui lui assurera la célébrité, Leone réalisera deux ans plus tard son premier film, Le Colosse de Rhodes, un nouveau péplum.
Incident de tournage
Outre le départ prématuré de son réalisateur, Mario Bonnard, Les Derniers Jours de Pompei ont connu quelques désagréments de tournage, parmi lesquels une blessure à l'épaule contractée par son acteur principal, Steve Reeves, tombé de son char et qui dut mettre un terme définitif à sa pratique du culturisme.
Une nouvelle mouture
Le drame qui a touché la cité de Pompéi, ensevelie par le Vésuve en 79 après Jésus-Christ, a inspiré de nombreux films. Le premier est un court métrage muet datant de 1908 signé Luigi Maggi. Réalisateurs du fameux King Kong, Ernest B. Schoedsack et Merian C. Cooper ont eux aussi tourné leur version du célèbre évènement en 1935. A sa sortie, le film de Mario Bonnard et Sergio Leone a remporté un important succès en salles et notamment en France, où il a été vu par près de 2, 5 millions de spectateurs.
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Les Deux mondes|Daniel Cohen|Comédie||2|français|2007|99|Français||XviD|||XVID|819 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|156 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Mathieu Kassovitz Benoît Jaubert|Daniel Cohen Jean-Marc Culiersi|Laurent Dailland||Gaumont Distribution||Dans un monde parallèle, au village de Bégamini, une tribu opprimée fait des incantations au ciel afin qu'un sauveur vienne les libérer du joug de Zotan, le tyran cannibale.A Paris, dans le monde normal... Rémy Bassano est un petit restaurateur d'oeuvres d'art timide, discret et sans histoires. Il est marié à Lucile avec qui il a deux enfants.Un jour, Rémy retrouve son atelier innondé, il perd alors son travail et sa femme Lucile lui annonce brutalement qu'elle le quitte pour un autre. Il court chercher du réconfort chez ses parents et alors qu'il est en train de servir le café à ses nombreux frères et soeurs, il est aspiré dans le sol, traverse le temps et se retrouve à Bégamini.Là, dans leur étrange village, les Bégaminiens l'accueillent comme le libérateur qu'ils espèrent depuis toujours. A partir de ce moment là, Rémy se trouve embarqué dans une aventure haletante... |Benoît Poelvoorde (Rémy Bassano)@Florence Loiret-Caille (Omi)@Augustin Legrand (Zotan / Kerté)@Michel Duchaussoy (Mutr Van Kimé)@Natacha Lindinger (Lucile)@Daniel Cohen (Rimé Kiel)@Pascal Elso (Serge Vitali)@Arly Jover (Delphine)@Mathias Mlekuz (Bali)@Zofia Moreno (Cara)@Catherine Mouchet (la libraire)@Stefano Accorsi (Antoine Geller)@Baptiste Jaubert (Théo)@Nova Louna Castano (Lisa)@Thibault Vinçon (le jeune frère de Rémy)@Husky Kihal (l'homme qui distribue des prospectus)@Laurent Labasse@Henri Payet@Catherine Ferran@Michelle Goddet@Jean-Marc Culiersi@Michael Vander-Meiren@Gilles Masson@Bernard Waver@Serge Larivière@Audrey Fleurot@Nora Arnezeder (Lyri )@Marisa Fischer@Nicolas Bienvenu@Jean-Pierre Granet@Marie Parouty@Jean-Claude Dirand@Philippe Suner@Frédéric Constant@Dominique Hulin@Nicolas Bridet@Ali Karamoko@Stéphane Jourdier@Philippe Manesse@Anton Vorster@Guillaume Guenot@Bernard Quere@Vincent Gaeta@Raphaël Janvier@Serge Noël@Nina Morato@Agnès Akopian@Christine Kay@Philippe Guinet@Valérie de Monza@Pierre Tourette@Olivier Girardot@David Wilson@Vincent Urbain@Jessica Anstey@Philippe Gaudry@Thierry Nenez@Romain Verley@Jane Villenet@||Secrets de tournage :
Genèse du projet
"L'origine des Deux mondes, comme l'explique le réalisateur Daniel Cohen, c'est une réflexion sur le potentiel caché de chacun. Je crois qu'il existe une différence entre ce qu'on pense être capable de faire de sa vie, ce qu'on en fait réellement et ce que les autres voient en nous. Nous avons souvent le sentiment d'être sous estimés ou sous utilisés dans notre travail par les autres. C'est un thème universel. Alors, à partir de cette idée, j'ai commencé à écrire un scénario où Rémy Bassano, un type sans histoires, se retrouve projeté dans un autre monde."
La production des "Deux mondes"
Benoît Jaubert raconte comme le projet des Deux mondes est arrivé chez MNP : "D'abord j'ai aimé le premier film de Daniel, Une vie de prince. Ensuite je l'ai rencontré et je lui ai proposé de réaliser le remake d'un film américain. Il a demandé à réfléchir et quand nous nous sommes revus, il m'a parlé d'un film très cher qu'il voulait réaliser, l'histoire d'un type happé dans un autre monde, deux films en un... c'était Les Deux mondes. Me parler de ce projet était une manière de décliner ma proposition de remake. Comme j'ai trouvé l'histoire géniale, j'ai signé un développement, avec Daniel, pour l'écriture du scénario. Des mois ont passé, j'ai changé de société, je me suis associé avec Mathieu Kassovitz, chez MNP. Là, j'ai revu Daniel qui nous a fait lire son scénario. Mathieu et moi l'avons trouvé fin drôle et intelligent, alors on a dit : on fonce ! C'est ainsi que l'aventure a démarré avec sur le chemin, une association décisive et capitale, celle de la Gaumont."
Dessinateur avant d'être réalisateur
Le réalisateur Daniel Cohen raisonne et élabore ses films tel un dessinateur. Il s'en explique : "Je dessine depuis l'âge de huit ans, c'est une véritable passion qui ne m'a jamais lâché. Enfant, je racontais déjà des histoires puisque je faisais des petites bandes dessinées. Chez moi, aujourd'hui encore, tout passe par le dessin, ça me sert à m'exprimer, à expliquer mes idées à mes collaborateurs. De même, quand j'écris un scénario, je pense comme un dessinateur, dans le sens où j'essaye toujours de reproduire les situations et les images que j'invente en me demandant si ça ressemble vraiment à ce que j'ai en tête."
La création du 2ème Monde
Pour le réalisateur Daniel Cohen, la difficulté était d'imaginer un monde qui soit identifiable, sans être daté. Un monde suffisamment familier pour qu'on le comprenne et assez étrange pour qu'on se sente ailleurs. "Très vite, raconte-t-il, j'ai pensé à un monde qui ressemblerait à l'époque mérovingienne où l'on connaîtrait le métal fondu, le principe de fabrication des bâtiments et les armes. Enfin pour que le destin de Bassano bascule véritablement, il fallait que ses connaissances, c'est-à-dire les technologies de notre monde actuel, puissent avoir une incidence forte sur la vie des habitants du 2ème Monde. C'est tout cela qui a déterminé le niveau de développement de ce monde."
Une langue inventée pour le film : le Bégaménien
Pour son deuxième long métrage, le réalisateur Daniel Cohen a littéralement inventé une langue avec ses propres codes : le Bégaménien. Celle-ci est utilisée dans l'autre monde au début du film. "J'ai écrit le Bégaménien, raconte-t-il, on l'a répété avec les acteurs et je l'ai même traduit. En effet, contrairement à ce qu'on peut imaginer, c'est un langage très précis. Après, dans un souci de compréhension du spectateur, je me suis amusé à dessiner les traductions des dialogues du début du film."
Le cinéaste est même allé jusqu'à enregistrer une chanson en Bégaménien. "C'était incroyable de voir 16 choristes chanter dans cette langue totalement imaginaire, explique-t-il. Mais cette chanson n'est qu'une petite partie de la musique du film. J'ai eu la chance que Richard Harvey, qui a composé des musiques pour Da Vinci code ou encore Harry Potter, compose les musiques de mon film. Il a créé une musique symphonique avec au beau milieu, comme venu de nulle part, des sons produits par des instruments ethniques. C'était un travail très intéressant. Puis nous avons enregistré la musique dans les Studios d'Abbey road, à Londres. Ces 87 musiciens et 16 choristes, dans ce lieu, resteront un des grands souvenirs de la fabrication de ce film."
Un film à gros moyens
Comme l'explique le réalisateur Daniel Cohen, il y 150 plans truqués dans le film. "C'est beaucoup. On peut dire que c'est un vrai film à effets spéciaux. Une grande partie du 2ème Monde existe grâce à ces technologies. En fait, aujourd'hui, il est possible de réaliser toutes les folies qu'on a en tête. On peut tout inventer ... si le producteur est d'accord !"
Et Benoît Jaubert de poursuivre : "On avait établi un premier devis à 20 M? et on a terminé à 18. Nous voulions que le deuxième monde soit crédible, or avec ces ambitions, cela signifiait de grosses sommes d'argent. Nous avons tourné une grande partie du film en Afrique du Sud, où certains coûts étaient amoindris, nous avons été très rigoureux sur la création des décors, le nombre d'effets spéciaux. Daniel et moi avons toujours travaillé en confiance. J'ai aimé mettre des moyens au service de ce film, car son réalisateur est un travailleur acharné qui ne laisse rien au hasard. Il a cru dans son projet et il s'est donné les moyens d'y croire."
Le choix de Benoît Poelvoorde
Le réalisateur Daniel Cohen n'avait pas d'acteur en tête lorsqu'il a écrit le scénario. Ce n'est qu'après que Benoît Poelvoorde ait accepté le rôle qu'il a fait du "sur mesure" pour lui. "Le rôle de Rémy Bassano est difficile, car le film est un mélange de genres, raconte-t-il. C'est un film d'aventure qui peut devenir un film très intime, puis subitement reprendre une tournure burlesque. Je trouve que Benoît est un comédien drôle, burlesque, émouvant, touchant. Et s'il est possible de faire coexister toutes ces humeurs dans le film, c'est vraiment grâce à lui. Benoît a tout ça en lui, il est constitué de toutes ces folies."
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Practical Magic|Griffin Dunne|Fantastique||2|américain|1999|99|Anglais||DIVX|||DIVX|871 Kbps|720x320|WMA2|64.1 Kbps|False|44.1 KHz|2|675||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Denise Di Novi|Robin Swicord Akiva Goldsman Adam Brooks|Andrew Dunn||Warner Bros. France||Elevees par leurs tantes excentriques, Jet et Frances, dans une antique residence, Sally et Gillian Owens se sont toujours senties differentes. En ce lieu propice a la magie et a la sorcellerie, elles ont appris les rites etranges que leurs ancetres se transmettaient. Mais jalousees, enviees et redoutees, Sally et Gillian ont ete rejetees. La premiere a tente de mener une vie normale, mais n'a pu dejouer la malediction qui pesait sur elle. La seconde a accepte sa difference et sa rencontre avec le satanique Jimmy va declencher des forces qui la depassent. |Sandra Bullock (Sally Owens)@Nicole Kidman (Gillian Owens)@Stockard Channing (Tante Frances Owens)@Dianne Wiest (Tante Jet Owens)@Goran Visnjic (Jimmy Angelov)@Aidan Quinn (Gary Hallet)@Evan Rachel Wood (Kylie Owens)@Alexandra Artrip (Antonia Owens)@Mark Feuerstein (Michael)@Camilla Belle (Sally)@Chloe Webb (Carla)@Lucinda Jenney (Sara (adulte))@Herta Ware@||Secrets de tournage :
Alice Hoffman, à propos de l'adaptation de son livre :
"Le résultat est éblouissant ! En pénétrant dans ce décor, je n'ai pas retrouvé mon propre monde imaginaire, mais j'ai découvert le regard d'une autre sur ce monde, et me suis sentie transportée dans un univers magique et pourtant parfaitement réel. "
Goran Visnjic, le "satanique Jimmy"
D'origine croate, Goran Visnjic est né sur les bords de l'Adriatique et a fait ses études à l'Académie d'Art Dramatique de Zagreb.
Acteur dans trois films croates, il s'est fait connaître à l'étranger dans Welcome To Sarajevo, de Michael Winterbottom, et Le Pacificateur, de Mimi Leder, avec George Clooney.
Alice Hoffman, romancière et scénariste
Practical Magic est l'adaptation d'un roman écrit par Alice Hoffman, auteur de nombreux romans à succès et de livres pour la jeunesse. En 1983, elle a écrit le scénario de Follow Your Dreams, réalisé par Robert Mandel, avec Kathleen Quinlan, Dianne Wiest et David Keith. Le film a également été distribué sous le titre de... Independance Day !
Quelques films avec sorcières...
Les Sorcières d'Eastwick (George Miller - 1987), The Witches (Nicolas Roeg - 1990), The Blue Bird (George Cukor - 1976), Les Sorcières de Salem (Raymond Rouleau - 1957), Un Amour de Sorcière (René Manzor - 1997)
Quelques sorcières au Cinéma...
Cher, Susan Sarandon, Michelle Pfeiffer (Les Sorcières d'Eastwick), Anjelica Huston (The Witches), Elizabeth Taylor (The Blue Bird)... sans oublier, Vanessa Paradis (Un Amour de Sorcière).
Griffin Dunne réalisateur
Vedette et producteur de After Hours (de Martin Scorsese), Griffin Dunne est passé à la réalisation en 1996. Après Duke Of Groove, un court métrage, il a dirigé Meg Ryan et Matthew Broderick dans Addicted To Love(1997).Practical Magic est son deuxième long métrage en tant que réalisateur.
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Ghosts of the Abyss|James Cameron|Documentaire||2|américain|2003|58|Anglais||DX50|||DX50|1 520 Kbps|720x416|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|689||||25.000|02/08/2009 00:00:00|James Cameron Chuck Comisky Janace Tashjian||Vince Pace||UFD||En 1995, alors qu'il préparait son film Titanic, James Cameron effectua une plongée sur l'épave du plus luxueux paquebot du monde, engloutie par plus de 4 000 mètres de profondeur.
La vision de cet immense vaisseau le bouleversa. Le naufrage n'était plus pour lui un mythe, mais une réalité tangible, effrayante, fascinante. Pendant quelques précieuses minutes, à bord d'un batiscaphe expérimental, il put longer les ponts et la coque du géant des mers qui sombra lors de son voyage inaugural dans la nuit du 14 avril 1912, au sud de Terre-Neuve. Plus de 1 500 personnes disparurent dans la catastrophe.
En remontant à la surface, James Cameron n'était plus tout à fait le même. |James Cameron (lui-même)@Bill Paxton (lui-même)@||Secrets de tournage :
Le Titanic, six ans après
Filmé en juin 2001, Les Fantômes du Titanic a permis au réalisateur James Cameron de retrouver la célèbre épave six ans après sa première plongée sous les eaux de l'Atlantique pour préparer son Titanic. Le documentaire débarque sur les écrans français en septembre 2003, soit près de cinq ans et demi après la sortie phénoménale du film aux onze Oscars, en janvier 1998 en France.
Un spécialiste de la plongée
James Cameron est un véritable passionné de plongée, sport qu'il pratique régulièrement. De Piranha 2 - Les Tueurs volants aux Fantômes du Titanic, la filmographie du réalisateur est fortement influencée par cette passion, avec Abyss et Titanic comme exemples les plus frappants. Avant Les Fantômes du Titanic, James Cameron avait déjà réalisé un autre documentaire sous-marin intitulé Expedition : Bismarck, consacré à l'épave du Bismarck, navire de guerre allemand coulé en 1941.
Bill Paxton, le compagnon
Narrateur sur Les Fantômes du Titanic et à ce titre membre de l'expédition sous-marine entreprise en juin 2001, Bill Paxton est un fidèle de James Cameron depuis un petit rôle en 1984 dans Terminator à son interprétation de l'aventurier Brock Lovett dans Titanic.
Un documentaire en relief
Dans l'esprit de James Cameron, la plongée effectuée en juin 2001 vers le Titanic devait avant tout être destinée au public : "Pour permettre aux spectateurs d'être au plus proche de l'émotion de la découverte, nous avons souhaité présenter le film en grand format et en relief", explique-t-il. "Même si cela compliquait singulièrement le tournage, c'était le seul moyen de présenter le paquebot et son incroyable atmosphère dans toute leur dimension."
Technologie révolutionnaire
Présenter Les Fantômes du Titanic "en grand format et en relief", comme le souhaitait James Cameron, a nécessité l'élaboration d'outils de tournages révolutionnaires. Une charge dévolue à Mike Cameron, le frère du cinéaste, qui a dû concevoir des optiques parallèles baptisées "Jake" et "Elwood" pour rendre le relief, mettre au point des techniques de téléguidages sophistiquées et créer des mécanismes capables de résister à la pression de l'eau. La fabrication de tous ces instruments à nécessité deux ans.
Une équipe solide
Pour cette nouvelle plongée en direction du Titanic, James Cameron s'est entouré de professionnels du sujet. Le réalisateur et son équipe ont ainsi embarqué à bord du navire russe Keldysh, déjà à l'écran en 1997 dans Titanic, équipé de deux sous-marins Mir capables de plonger à grande profondeur. Outre les scientifiques du Keldish, James Cameron était également entouré de la microbiologiste Lori Johnston, du Professeur Charles R. Pellegrino, microbiologiste et historien, et des historiens Ken Marschall et Don Lynch, tous deux experts du Titanic.
Une épave en danger
Selon James Cameron, "les biologistes sont formels : les micro-organismes rongent les structures du navire. Il est probable que d'ici 2020 ou 2030, le Titanic s'effondrera sur lui-même, engloutissant définitivement les secrets qu'il renferme encore."
Présenté à Cannes
Les Fantômes du Titanic a été présenté hors compétition au 53e Festival de Cannes en mai 2003. Pour l'occasion, des lunettes spéciales 3-D avaient été distribuées à l'entrée du Palais. Le film est également présenté hors-compétition au festival de Deauville 2003.
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The Heartbreak Kid|Peter Farrelly Bobby Farrelly|Comédie||2|américain|2007|110|Anglais||DX50|||DX50|746 Kbps|528x224|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Bradley Thomas Ted Field|Peter Farrelly Bobby Farrelly Scot Armstrong Leslie Dixon|Matthew F. Leonetti||Paramount Pictures||Eddie est un velléitaire qui cherche depuis des années la femme parfaite. Persuadé d'avoir trouvé celle-ci sous les traits de la belle et très sensuelle Lila, il décide de mettre fin à un célibat prolongé, et l'épouse quelques semaines seulement après leur rencontre, avec les vifs encouragements de son père et de son meilleur ami.Mais la lune de miel au soleil du Mexique tourne au cauchemar, car Lila ne tarde pas à révéler sa vraie nature - terrifiante ! - et comprend qu'il a épousé... l'erreur de sa vie.Au bord de la crise de nerfs, le malheureux reprend espoir à la vue de la douce et belle Miranda, et s'enflamme une fois de plus, convaincu d'avoir découvert l'âme soeur. Problème : comment faire sa conquête tout en tenant Lila à l'écart ? |Ben Stiller (Eddie)@Michelle Monaghan (Miranda)@Malin Akerman (Lila)@Jerry Stiller (Doc)@Carlos Mencia (Oncle Tito)@Stephanie Courtney (Gayla)@Nicol Paone (l'hôtesse)@Kathy Lamkin (la mère de Lila)@Rob Corddry (Mac)@Ali Hillis (Jodi)@Leslie Easterbrook (la mère de Jodi)@Joel Bryant (Michael)@Amy Sloan (Deborah)@E.E. Bell (le père de la touriste)@Lorna Scott (la mère de la touriste)@Miranda May (la fille touriste)@Lauren Bowles (Tammy)@Johnny Sneed (Cal)@Dean Norris (le père de la mariée)@Betsy Rue (Mimi)@Natalie Carter (II) (La petite fille lors du mariage)@David Hodges (un invité au mariage)@Donn Andrew Simmons (un invité du mariage)@Scott Updegrave (un invité au mariage)@Roy Jenkins (Buzz)@Michael Kromka (un jumeau)@Nicholas Kromka (un jumeau)@Danny R. McBride (Martin)@Brian Vowell (le conducteur du camion)@Mishon Ratliff@Alejandro Patino@Kayla Kleevage@Brad Newman@Jeff Bredt (un invité au mariage)@David Pearl (le petit copain)@Gato Scatena (le surfeur)@Eva Longoria (Consuela (Caméo))@||Secrets de tournage :
Un remake
Les Femmes de ses rêves est le remake du film homonyme (The Heartbreak Kid), réalisé en 1972 par Elaine May. Dans cette comédie, c'était Charles Grodin qui incarnait le rôle du marié, tenu aujourd'hui par Ben Stiller. Quant à Michelle Monaghan, elle remplace la belle Cybill Shepherd dans le rôle de l'élue rencontrée lors de la fameuse lune de miel. Concernant la mariée déchaînée interprétée par Malin Akerman, elle était jouée dans le film original par Jeannie Berlin.
Stiller/Farrelly : une histoire de femmes
C'est la deuxième fois que Ben Stiller est dirigé par Peter et Bobby Farrelly. Leur première collaboration date de 1998, avec Mary à tout prix où le comédien incarnait déjà la figure de celui qui souffre, autant mentalement que physiquement, par amour.
Gwyneth Paltrow pressentie
C'est d'abord Gwyneth Paltrow qui fut pressentie pour le rôle de la mariée déjantée, avant que Malin Akerman ne soit choisie. Avant Gwyneth Paltrow, une autre actrice avait été à deux doigts de jouer dans Les Femmes de ses rêves. En 2005, alors que le projet n'était pas encore entre les mains des frères Farrelly, Jason Bateman avait été approché pour interpréter le rôle du marié et Amy Poehler, celui de son épouse.
Une comédie sexuelle adulte
Les Femmes de ses rêves est le premier film des frères Farrelly à avoir été classé "R" aux Etats-Unis depuis Fous d'Irène, sorti en 2000. Les frères avaient l'ambition de réaliser " une authentique comédie sexuelle adulte ". Cette remarque reste cependant circonscrite aux moeurs américaines. Comme Fous d'Irène, le film n'est victime d'aucune restriction en Europe.
Présenté à Deauville
Les Femmes de ses rêves a été présenté en 2007 au festival du film américain de Deauville.
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Brothers Grimm|Terry Gilliam|Fantastique||2|américain, britannique|2005|118|Français||XviD|||XVID|721 Kbps|640x336|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|700||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Charles Roven Daniel Bobker|Ehren Kruger|Newton Thomas Sigel||Metropolitan FilmExport||A l'aube du XIXe siècle, les frères Grimm étaient connus dans toutes les campagnes pour être les seuls capables de vaincre les esprits maléfiques et les créatures en tous genres qui épouvantaient les villages. Leur lucrative entreprise cachait cependant un petit secret : Jacob et Will se contentaient de combattre les monstres diaboliques que leurs complices animaient grâce à d'ingénieux trucages et d'impressionnantes mises en scène...Lorsque les autorités les obligent à se rendre à Marbaden, l'enjeu est tout autre. Le hameau vit dans la terreur absolue depuis que ses petites filles sont enlevées les unes après les autres. Cette fois, les frères Grimm n'ont pas affaire à une illusion. Avec la très belle Angelika, ils vont découvrir que la forêt lugubre renferme un terrible secret, un monde de magie et de sortilèges peuplé des plus incroyables créatures... |Matt Damon (Wilhelm Grimm)@Heath Ledger (Jacob Grimm)@Monica Bellucci (La Reine du miroir)@Jonathan Pryce (Le général Delatombe)@Lena Headey (Angelika)@Peter Stormare (Cavaldi)@Roger Ashton-Griffiths (le maire)@Petr Ratimec (Wilhelm enfant)@Jeremy Robson (Jacob enfant)@Barbara Lukesova (Mme Grimm)@Anna Rust (la petite soeur Grimm)@Harry Gilliam (le garçon à l'écurie)@Richard Ridings (Bunst)@Alena Jakobova (le petit chaperon rouge)@Tomas Hanak (l'homme des bois)@Josef Vajnar (l'évêque)@Petr Vresk (le Roi)@||Secrets de tournage :
Une histoire imaginaire des frères Grimm
"Les contes de fées sont exactement le genre d'univers que j'aime, explique Terry Gilliam, une rencontre avec l'imaginaire et l'extraordinaire. C'est pour cela que j'ai voulu faire Les Frères Grimm".
Dès le départ, le réalisateur a choisi de dépasser les éléments connus de la vie des frères conteurs et de s'affranchir des faits pour créer une aventure inspirée par leurs histoires intelligentes, effrayantes et passionnantes. En hommage à la richesse et au côté macabre de l'héritage des Grimm, Terry Gilliam a également décidé de mélanger l'action et des éléments empruntés à leurs contes les plus populaires. Il explique : "Le Petit Chaperon rouge, Hansel et Gretel, Rapunzel... il y a tout au long du film de multiples références aux contes que le public connaît le mieux. Les Grimm en ont écrit en fait plus de deux cents, mais nous avons voulu rendre hommage à ceux qui parlent le plus à l'imagination des gens."
Choc des cultures
Les frères Grimm vivaient à une époque tumultueuse, celle de l'Allemagne du XIXe siècle, un temps où les superstitions et les mythes se heurtaient au rationalisme et aux idées modernes. Les armées de Napoléon avaient amené avec elles des convictions basées sur la raison du Siècle des Lumières. Le choc entre ces convictions et un mode de vie basé sur les mythes et les légendes anciennes fut terrible. C'est ce conflit que Terry Gilliam a voulu retranscrire à l'écran.
Le réalisateur souligne : "Ce qui m'intéressait, c'était le conflit entre les croyances fantastiques et les idées des Lumières - une époque particulièrement rigide parce qu'elle ne croyait plus en rien de mystérieux ni de merveilleux. Nous avons intégré cette dimension à l'histoire. Et le conflit existe encore aujourd'hui..."
Le choix des comédiens
Pour les deux rôles principaux, Terry Gilliam souhaitait deux acteurs capables de le surprendre. "Matt Damon et Heath Ledger sont évidemment les piliers sur lesquels repose l'histoire, note-t-il, mais je pensais au départ que Matt jouerait Jacob, parce qu'il a un caractère plus introspectif et plus sensible, et que Heath jouerait Will, parce que c'est lui en général qui joue les héros qui foncent dans le tas. Mais à notre première rencontre, Matt a dit qu'il voulait jouer Will. Je n'étais pas très sûr, mais ensuite Heath est venu me voir pour me dire qu'il aimerait jouer Jacob... C'est là que j'ai réalisé que c'était la meilleure chose à faire, parce que j'aime confier aux acteurs des rôles dans lesquels on n'est pas habitué à les voir, tout retourner sens dessus-dessous."
Jonathan Pryce retrouve Terry Gilliam
Les Frères Grimm marque la troisième collaboration de l'acteur gallois Jonathan Pryce avec le réalisateur Terry Gilliam, les deux hommes ayant déjà travaillé ensemble sur Brazil (1985) et Les Aventures du baron de Munchausen (1989).
Il est ici le général Delatombe, le gouverneur français qui règne sur la région allemande dans laquelle vivent les frères Grimm. A son incarnation du puissant, cruel et ignoble officier français, Jonathan Pryce a apporté sa théâtralité. "Je crois que ce qu'aime Terry en faisant appel à des acteurs comme Peter Stormare et moi, qui venons du théâtre, c'est que nous n'avons pas peur d'en faire beaucoup ! Nous avons confiance en Terry, nous savons qu'il nous ramènera vers lui si nous passons les bornes. Mais ses deux instructions principales sur ce film ont toujours été "plus drôle et plus sombre !"."
Robin Williams pressenti
Robin Williams était initialement pressenti pour incarner l'Italien Cavaldi, mais le rôle fut finalement dévolu à Peter Stormare.
La création d'un univers visuel
Pour créer un style visuel qui unisse un réalisme impressionnant et un aspect fantastique et effrayant, Terry Gilliam a décidé de tourner à Prague et dans la campagne de la République tchèque. Pour la construction du village enchanté de Marbaden, ce dernier a fait appel à Guy Hendrix Dyas, chef décorateur de X-Men 2. Tous deux ont développé une esthétique visuelle inspirée de l'imagerie fantastique noyée d'ombres de l'expressionnisme du XIXe siècle et des gravures à l'encre en noir et blanc, illustrant les livres de contes.
La tâche était colossale. Il a fallu construire toute une ville allemande du XIXe siècle, avec son église, sa boulangerie, ses ponts, ses écuries et ses ruelles, et une forêt enchantée avec rochers, ruisseau et arbres menaçants. Ceci a nécessité plusieurs semaines de travail intense dans le backlot des studios de Barrandov. Se tournant vers les méthodes de construction traditionnelles, les deux hommes ont eu recours à des maçons, charpentiers, couvreurs en chaume, et sculpteurs sur bois pour ajouter au sentiment d'authenticité des décors.
En dehors des studios, la production a tourné dans plusieurs endroits de la République tchèque, notamment au château de Krivoklat dans le centre de la Bohème, une tour royale imposante du XIIe siècle considérée comme l'un des plus anciens et des plus importants châteaux de ce pays sur le plan historique. L'équipe a aussi tourné dans les villes fortifiées de Kacina, Kutna Hora et Ledec.
Présenté à Venise
Les Frères Grimm a été présenté en compétition au Festival de Venise 2005.
Retour aux "Amours enchantées"
Terry Gilliam n'est pas le premier réalisateur à s'être penché sur le destin des frères Grimm. En 1962, Henry Levin et George Pal avaient en effet retracé leur histoire à travers trois de leurs contes dans Les Amours enchantées.
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Les Gaous|Igor SK|Comédie||2|français|2004|91|Français||XVID|||XVID|892 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|163 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Jean-Marie Poiré John Hardy|Jean-Marie Poiré|||Océan Films||Deux petits gars de Dordogne très délire, sans un rond et des rêves plein la tête, croisent un couple de jeunes parisiens en week-end. Un d'eux tombe raide dingue de la fille. Du coup, le petit ami déclenche une bagarre générale et s'enfuit avec elle... Nos deux gaous partent à Paris à leur recherche. Dans la grande ville, ils vont tout tenter et aller au bout de leurs rêves.
Des lascars du 93 vont leur servir de guides, ils vont passer des nuits blanches dans des fêtes déjantées, faire de nouvelles rencontres, s'imprégner de sons nouveaux et de cultures nouvelles qui se croisent sans jamais se blesser. Vont-ils trouver le grand Amour dans ce souk urbain ? |Richard Bohringer (Francois Bricard)@Matthias Van Khache (Maurice)@Hervé Laffïnsse (Benoît)@Maréva Galanter (Pénélope)@Stephane Soo Mongo (Samir)@Martial Odone (Mohamed)@Elise Perrier (Julie)@Régis Laspalès@Ticky Holgado@Virginie Lemoine@Joel Cantona@Cyrielle Clair@Philippe Chevallier@Jean-Marie Bigard@Stanislas Crevillen (Philippe Bricard)@Vincent Moscato (Gérard)@Joel Cantona (Le policier en civil)@Marie-France Santon (Mme Poncey)@Jacques Collard (Le producteur)@Olga Sékulic (Une invitée à la fête)@Laurent Lafitte (Bertrand)@Max Boublil (Spirale)@||Secrets de tournage :
Qu'est-ce qu'un gaou ?
Un gaou est une expression d'origine africaine qui signifie un villageois naïf, crédule, qui débarque en ville, sans un rond, un type qui n'est pas à la mode.
Un voyage en Dordogne
Afin de donner un maximum d'authenticité à son film, Igor SK a passé du temps avec les jeunes de Dordogne pour s'imprégner de leur quotidien, de leur humour et de leurs espérances. Il a visité des dizaines d'exploitations et en a choisi une qui se consacrait à l'élevage d'oies et de vaches laitières.
Avec la participation de Jean-Marie Bigard
Jean-Marie Bigard a fait l'amitié à Igor SK d'incarner un personnage cul de jatte, ce dernier étant lui-même très impliqué dans la cause des handicapés avec son association "Les Petits Bouchons" qui finance l'achat de fauteuils roulants.
Richaud Valls cascadeur
L'acteur Richaud Valls a effectué ses propres cascades : celle où il prend un pot de peinture sur le pare brise, explose une barrière et écrase son coupé sport dans les lames d'une moissonneuse batteuse, ainsi que celle où il se fracasse contre une porte avec un vase sur la tête.
Une bande son très rock
Journaliste dans un fanzine rock et co-fondateur du label alternatif Out Of Nowhere, Igor SK souhaitait une bande son très rock pour Les Gaous. Barclay a financé l'enregistrement du titre Sales gosses par de jeunes musiciens du collectif Hardcore Nu metal Nowhere. EMI a ouvert au réalisateur l'accès au catalogue des titres groove, trance et rap. Grâce à Universal, ce dernier a également pu accéder aux morceaux musicaux des groupes de pop punk Something Corporate, A, American Hi Fi.
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The Knockaround guys|David Levien Brian Koppelman|Policier|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|2003|91|Anglais||DIV3|||DIV3|773 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|162 Kbps|False|48.0 KHz|2|621||||23.976|06/08/2009 00:00:00|Lawrence Bender|David Levien Brian Koppelman|Tom Richmond||New Line Cinema||Matty est chargé de faire parvenir une valise remplie de dollars à l'autre bout du continent pour rembourser une dette de son père, le très respecté parrain new-yorkais Benny Chains. Il fait appel à son ami Johnny Marbles, propriétaire d'un avion.
Ce dernier s'envole avec le sac et fait escale dans un petit village du Montana pour faire le plein d'essence. N'ayant pas d'argent sur lui, il se voit contraint de payer avec des coupures de cent dollars. Lorsque Johnny s'apprête à reprendre la voie des airs, il découvre que le sac a disparu. Affolé, il appelle Matty pour l'informer de la situation.
Quelques heures plus tard, Matty, Taylor et Andrew débarquent dans le village en question. Fils d'hommes influents, ils sont bien décidés à récupérer le sac et à ne pas repartir les mains vides. |Vin Diesel (Taylor Reese)@Seth Green (Johnny Marbles)@Barry Pepper (Matt)@Andrew Davoli (Andrew Scarpa)@John Malkovich (Teddy Deserve)@Dennis Hopper (Benny Chains)@Kris Lemche (Decker)@Dov Tiefenbach (Teeze)@Kevin Gage (Brucker)@Tom Noonan (le shérif Decker)@||Secrets de tournage :
Un rôle de mafieux différent
Dans le rôle de Benny Chains, le caïd patriarche, les réalisateurs ont tout de suite pensé à Dennis Hopper. L'acteur explique : " J'ai joué beaucoup de mafieux, dans tellement de films et de tant de façons... Pourtant, le scénario de Brian et David avait quelque chose de différent, à la fois par le contexte de l'histoire, son ton particulier et la façon remarquable qu'ils ont d'écrire leurs personnages. "
Seth Green pilote un avion
Pour son rôle, Seth Green a dû apprendre à piloter un avion. Il se souvient : " Cela n'a pas été simple. Heureusement que l'instructeur était juste à côté de moi et qu'il me conseillait. Pendant les prises, il m'a souvent sauvé la mise. L'équipe de tournage n'était pas toujours rassurée. J'ai bien failli écraser l'appareil alors que j'étais supposé le poser... "
Les lieux de tournage
Le tournage a débuté durant l'automne 2000. Sur cinq semaines, les réalisateurs ont filmé essentiellement au Canada. Toute l'équipe s'est d'abord rendue dans la province de l'Alberta, à une centaine de kilomètres au nord-est de Calgary, dans la bourgade de Drumheller, censée représenter Wibaux. Après trois semaines sur place, comédiens et techniciens se sont envolés vers Brooklyn et Coney Island avant de rejoindre Toronto pour le reste des prises de vues.
Un mélange des genres
Selon les réalisateurs, Les Hommes de main se situe à mi-chemin entre le film de gangsters et le western. La première partie est régie par les règles du "milieu" alors que la seconde emprunte aux codes du Far West.
Hors des sentiers battus
Les Hommes de main présente une image de la mafia totalement inédite. David Levien explique : "Nous sommes évidemment fans de films comme Les Affranchis ou Le Parrain. Mais Les Hommes de main n'est pas un film de plus sur le milieu, c'est avant tout l'histoire de quatre jeunes issus de la mafia qui cherchent leur voie et vont devoir payer le prix pour la trouver."
Un premier long métrage
Les Hommes de main est le premier long métrage de Brian Koppelman et David Levien en tant que réalisateurs. Ces derniers, habitués aux films de gangsters, avaient auparavant écrit le scénario de Les Joueurs.
L'engagement de John Malkovich
John Malkovich a été le premier acteur à avoir donné son accord sur le projet. Celui-ci raconte : "J'avais déjà tourné dans Les Joueurs que Brian et David avaient écrit. J'aimais leur style, la finesse de leurs personnages. Ils possèdent le don d'apporter de l'épaisseur humaine à des rôles dont on pourrait craindre une simple caricature. Je leur avais dit que je serais là s'ils avaient un projet. Lorsque j'ai reçu le scénario de Les Hommes de main, je n'ai pas été déçu, j'ai même été emballé. J'ai tout de suite accepté d'interpréter l'oncle de Matty."
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The Incredibles|Brad Bird|Animation||3|américain|2004|115|Anglais||XVID|||XVID|748 Kbps|720x400|MPEG-1 Audio layer 3|87.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||23.976|06/08/2009 00:00:00|John Walker|Brad Bird|||Buena Vista International||Bob Paar était jadis l'un des plus grands super-héros de la planète. Tout le monde connaissait "Mr. Indestructible", le héros qui, chaque jour, sauvait des centaines de vies et combattait le mal. Mais aujourd'hui, Mr. Indestructible est un petit expert en assurances qui n'affronte plus que l'ennui et un tour de taille en constante augmentation.Contraint de raccrocher son super costume quinze ans plus tôt à la suite d'une série delois ineptes, Bob et sa femme, Hélène, ex-Elastigirl, sont rentrés dans le rang et s'efforcent de mener une vie normale avec leurs trois enfants.Rongeant son frein, rêvant de repasser à l'action, Bob bondit sur l'occasion lorsqu'une mystérieuse convocation l'appelle sur une île lointaine pour une mission top-secret. Il va découvrir que derrière cette alléchante proposition, se cache un génie malfaisant avide devengeance et de destruction. |Bruno Salomone (Syndrome (voix française))@Amanda Lear (Edna Mode (voix française))@Lorie (Violette Parr (voix française))@Patrick Poivre d'Arvor (le narrateur (voix française))@Marc Alfos (Bob Parr / M. Indestructible (voix française))@Déborah Perret (Helen Parr / Elastigirl (voix française))@Thierry Desroses (Lucius Best / Frozone (voix française))@Simon Koukissa (Flèche Parr (voix française))@Téo Echelard (Jack-Jack Parr (voix française))@Juliette Degenne (Mirage (voix française))@Pascal Massix (Le principal (voix française))@||Secrets de tournage :
Pixar s'"humanise" !
Après les jouets de Toy Story, les fourmis de 1001 Pattes, les monstres de Monstres & Cie et les poissons du Monde de Nemo, Les Indestructibles est le premier film d'animation Pixar à mettre en vedettes des humains.
Un film sur les super-héros et sur la famille
Le réalisateur Brad Bird voit d'abord Les Indestructibles comme "l'histoire d'une famille dont chaque membre apprend à équilibrer sa vie personnelle et l'amour qu'il porte aux autres. C'est aussi une comédie sur des super-héros qui découvrent leur côté humain plus ordinaire. Au fil de l'écriture, j'ai eu envie de créer un monde riche de culture populaire, avec des gadgets d'espions, des super-pouvoirs tirés tout droit d'une B.D., des méchants abominables qui utilisent des machines extraordinaires, mais en même temps, je voulais écrire une histoire qui parle vraiment de la famille. J'ai mis beaucoup de moi dans cette histoire. Le fait d'être un mari, un père, la peur de vieillir, l'importance de la famille... Tout cela y est présent."
Voix célèbres
Dans la version originale, de nombreuses vedettes hollywoodiennes prêtent leurs voix aux Indestructibles, parmi lesquelles Samuel L. Jackson, Jason Lee et Holly Hunter. Dans le version française, des personnalités venant d'horizons très différents ont participé à l'aventure : la chanteuse Lorie, l'animatrice Amanda Lear, le présentateur du JT Patrick Poivre d'Arvor et l'acteur et comique Bruno Salomone.
Un challenge technique
Pour Les Indestructibles, les équipes Pixar ont franchi un cap sur le plan technique, le film d'animation étant particulièrement complexe sur le plan logistique avec près d'une centaine de décors différents créés pour l'occasion. De plus, le film soulignant l'humanité des personnages, Brad Bird a demandé à ce que les humains en images de synthèse soient les plus expressifs possibles, avec une peau, des cheveux et des vêtements dont on puisse retrouver la mobilité naturelle à l'écran.
Les super-héros en salle d'essayage
Les costumes des Indestructibles ont demandé une importante masse de travail, 150 tenues différentes ayant été conçues et réalisées pour tous les personnages, principaux ou secondaires. La difficulté de créer ces vêtements fait dire avec humour au réalisateur Brad Bird qu'"il est bien plus facile de faire exploser une planète en images de synthèse que de faire qu'un personnage en attrape un autre par sa chemise !"
"Rétrofuturisme"
Le réalisateur Brad Bird a souhaité très rapidement inclure l'action des Indestructibles dans un univers à la fois futuriste et nostalgique. Il explique : "J'ai pensé à l'univers du film un peu comme le futur que l'on imaginait dans les années 60. (...) Nous avons eu envie de placer notre histoire dans cette sorte d'anticipation imaginaire, c'est du "rétrofuturisme". On y découvre la vie que nous aurions aujourd'hui si les visions des années 60 s'étaient avérées justes."
Du jazz pour les super-héros
La musique des Indestructibles est signée du jeune compositeur Michael Giacchino, à qui l'on doit notamment la musique de la série télévisée Alias. Pour le long-métrage d'animation Pixar, il a fait appel à un orchestre de 100 musiciens et, à la demande du réalisateur Brad Bird, a composé une musique très cuivrée, rythmique et influencée par le jazz des thrillers des années 60.
Le retour d'Elastigirl
Elastigirl, l'une des vedettes des Indestructibles, existait déjà avant le long-métrage d'animation Pixar. Elle était l'héroïne du comic-book Doom Patrol, publié entre 1963 et 1968 (et repris dans une série télévisée lancée en juin 2004), dans lequel elle pouvait changer de taille à loisir (à la différence des Indestructibles, où tout son corps est élastique).
Un Pixar corsé
Les Indestructibles est le premier film du studio d'animation Pixar a recevoir une classification supérieure à G aux Etats-Unis (classement tous publics). Il est crédité d'une classification PG, qui met en garde contre certains éléments pouvant être inadaptés aux enfants.
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The Departed|Martin Scorsese|Policier||3|américain|2006|145|Anglais||DX50|||DX50|1 205 Kbps|704x288|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|1393||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Brad Grey Brad Pitt Graham King Gianni Nunnari|William Monahan|Michael Ballhaus||TFM Distribution||A Boston, une lutte sans merci oppose la police à la pègre irlandaise.Pour mettre fin au règne du parrain Frank Costello, la police infiltre son gang avec "un bleu" issu des bas quartiers, Billy Costigan.Tandis que Billy s'efforce de gagner la confiance du malfrat vieillissant, Colin Sullivan entre dans la police au sein de l'Unité des Enquêtes Spéciales, chargée d'éliminer Costello. Mais Colin fonctionne en "sous-marin" et informe Costello des opérations qui se trament contre lui.Risquant à tout moment d'être démasqués, Billy et Colin sont contraints de mener une double vie qui leur fait perdre leurs repères et leur identité.Traquenards et contre-offensives s'enchaînent jusqu'au jour où chaque camp réalise qu'il héberge une taupe. Une course contre la montre s'engage entre les deux hommes avec un seul objectif : découvrir l'identité de l'autre sous peine d'y laisser sa peau... |Leonardo DiCaprio (Billy Costigan)@Matt Damon (Colin Sullivan)@Jack Nicholson (Frank Costello)@Mark Wahlberg (Dignam)@Martin Sheen (Oliver Queenan)@Anthony Anderson (Brown)@Vera Farmiga (Madeleine)@Ray Winstone (Mr. French)@Alec Baldwin (Ellerby)@Conor Donovan (Colin adolescent)@Douglas J. Aguirre (un garde de la police de New York)@Andrew Aninsman (un inspecteur des narcotiques infiltré)@Michael Byron (un homme de main de Costello)@Elizabeth Dings (une journaliste)@Steve Flynn (un inspecteur)@Steve Lord (l'instructeur des armes à feu)@Robert N. Anderson (un élève)@Vincent Bivona (un élève)@Kevin W. Burns (l'élève Moss)@Robert Kar Yun Chan (le chef de la Triade)@David Conley (un voyou irlandais)@Greg Connolly (un policier infiltré)@Derrick Costa (l'officier Doorley)@Peter Crafts (Jimmy le buveur)@Zachary Pauliks (Billy adolescent)@Robert Wahlberg (l'agent du FBI Joyce)@Lyman Chen (Robert Yan)@Kevin Corrigan (Sean)@Kristen Dalton (Gwen)@Shay Duffin (Jimmy)@Tom Kemp (William Costigan senior)@Amanda Lynch (Carmen)@Tracey Paleo (Darleen)@James Badge Dale (Barrigan)@David O'Hara (Fitzy)@Mark Rolston (Delahunt)@Thomas B. Duffy (le Gouverneur)@Dick Hughes (l'Oncle Edward)@J.C. MacKenzie (l'agent immobilier)@Mary Klug (la tante de Billy)@Peg Saurman Holzemer (Kennefick)@Gurdeep Singh (le propriétaire pakistanais)@||Secrets de tournage :
Inspiré d''"Infernal affairs"
Les Infiltrés est l'adaptation hollywoodienne du long métrage hongkongais Infernal affairs d'Andrew Lau. Dans l'oeuvre originale, l'action se déroule à Hong-Kong, Tony Leung Chiu Wai jouant un policier infiltré dans les triades, alors qu'Andy Lau interprète un truand devenu policier. Martin Scorsese a transposé l'action de ce thriller dans la mafia irlandaise de Boston, Leonardo DiCaprio reprenant le rôle de Tony Leung Chiu Wai et Matt Damon celui d'Andy Lau.
Les "Affairs" de Scorsese...
Le réalisateur Martin Scorsese évoque Infernal affairs, dont est inspiré Les Infiltrés : "Infernal affairs est un très bon exemple de ce que j'aime dans le cinéma de Hong-Kong. Les Infiltrés n'est pas, pour autant, un remake de ce film. Il s'inspire de l'intrigue originale, mais l'univers qu'a imaginé William Monahan est très différent. J'ai mis un certain temps à lire ce script, parce que j'ai tout de suite commencé à visualiser l'action, à m'imprégner de l'histoire et des protagonistes. J'ai été frappé, notamment, par l'approche des personnages et de leur vision du monde. Ce traitement sans compromis m'a séduit et donné envie de réaliser le film."
L'adaptation d'un brûlot hongkongais
Le scénariste William Monahan évoque le travail d'adaptation qu'il a effectué à partir du long métrage hongkongais Infernal affairs : "Je n'ai pas souhaité voir Infernal affairs avant de transposer cette histoire, et c'est à partir d'une traduction du scénario chinois que j'ai travaillé. Sa ligne directrice, d'une grande ingéniosité, m'a permis de créer de nouveaux personnages. J'aimais beaucoup la duplicité des deux protagonistes originaux, mais mon scénario met d'abord l'accent sur les drames qui adviennent lorsqu'un homme s'écarte de la route que lui trace la vie."
Les retrouvailles Scorsese/DiCaprio
Les Infiltrés marque la troisième collaboration entre Martin Scorsese, le réalisateur de Taxi Driver, et Leonardo DiCaprio, l'acteur de Titanic. Leur relation a débuté en 2003 avec le drame historique Gangs of New York, puis s'est poursuivie deux ans plus tard avec Aviator, le biopic sur Howard Hughes.
DiCaprio : la "corruption de certains systèmes"
Leonardo DiCaprio, qui travaille pour la troisième fois avec Martin Scorsese, note : "Les Infiltrés ne ressemble à aucun des "films de gangsters" de Martin. Son contexte est totalement distinct, au moins pour trois raisons : parce qu'il y est question de la pègre irlandaise, de la police et de la corruption, et parce que Boston constitue un tout autre environnement que New York. Cette histoire parle finalement de l'Amérique et de la corruption de certains systèmes à l'échelle d'une nation."
Nicholson et Scorsese : la rencontre de deux géants
Aussi étonnant que cela puisse paraître, Jack Nicholson, l'une des vedettes des Infiltrés, n'avait jamais joué sous la direction de Martin Scorsese auparavant. Le cinéaste raconte : "Nous nous connaissons depuis plus de trente ans. Cela ne s'était encore jamais traduit au cinéma, et j'étais curieux de savoir si Jack serait tenté par ce rôle. Mon attente a été récompensée : nous nous sommes vraiment éclatés sur ce film." Le producteur Graham King pousruit : "La première fois que Martin a mentionné Jack pour ce rôle, j'ai cru que nous délirions tous les deux, mais le rêve est devenu réalité, et Jack a hissé ce personnage à un niveau dont lui seul a le secret. Le film regorge de ses touches caractéristiques, qui sont tout bonnement formidables."
L'ombre de De Niro
Robert De Niro, fidèle complice de Martin Scorsese, aurait dû jouer dans Les Infiltrés. L'acteur aurait du incarner le personnage de Frank Costello, finalement campé par Jack Nicholson. C'est son engagement à la réalisation de The Good Shepherd qui empêcha De Niro de s'illustrer sur le plateau des Infiltrés. A noter par ailleurs que Leonardo DiCaprio, qui devait jouer dans The Good Shepherd (et dans lequel s'illustre... Matt Damon !) a effectué le chemin inverse pour figurer au casting des Infiltrés.
Brad Pitt à la production
Les Infiltrés bénéficie de la présence du comédien Brad Pitt à la production, via sa compagnie Plan B, fondée avec sa compagne Jennifer Aniston. Un Brad Pitt qui devait, à l'origine du projet, incarner le personnage de Collin Sullivan, finalement dévolu à Matt Damon.
Une inconnue privilégiée
A l'origine, Martin Scorsese voulait confier le rôle féminin principal des Infiltrés à une actrice de renom. Kate Winslet et Hilary Swank furent ainsi pressenties. Mais au fur et à mesure de la production, le cinéaste décida plutôt de se tourner vers une actrice moins connue : c'est Vera Farmiga, vue notamment aux génériques de 15 minutes et Un crime dans la tête, qui fut choisie.
Un conseiller technique de renom
Les Infiltrés a pu bénéficier du soutien quotidien de Tom Duffy, conseiller technique sur toute la préparation du film. Cet Américain fit partie, durant de nombreuses années, de l'Unité des Enquêtes Spéciales du Massachusetts, dédiée à la lutte contre la criminalité organisée. Retraité après trois décennies de bons et loyaux services, il se révéla, à l'occasion de son premier tournage, une irremplaçable mine d'informations. De son côté, Duffy put apprécier la minutie de Martin Scorsese. Il raconte au sujet du cinéaste : "Son exigence de vérité, son souci du détail juste m'ont impressionné. Nous avons fait ensemble un gros effort pour que tout soit authentique, tant en ce qui concerne les procédures et opérations policières que la psychologie des agents. Je trouve le film étonnamment réaliste."
« Préc.
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Les Insoumis|Claude-Michel Rome|Policier||2|français|2008|94|Français||XviD|||XVID|900 Kbps|576x320|MPEG-1 Audio layer 3|129 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Philippe Rousselet Etienne Comar|Claude-Michel Rome Olivier Dazat|Jean-Marc Fabre||SND||Drieu est un policier en fin de parcours usé, brisé, grillé. Ce mystérieux Capitaine de la B.R.B se retrouve muté dans un improbable commissariat de province promis à une démolition dans les six mois, au coeur d'une ville industrielle perdue au bout de l'Etang de Berre, entre pollution et canicule.Ici, le Commissaire Vasseur et son équipe Jean Ba - Wazeme - Katiha, sont démobilisés. Plus personne n'y croit. Laxisme et désillusion sont de règle, ce qui arrange les "affaires" de la pègre locale rendue insaisissable et toute puissante.Entre l'envie d'en finir avec lui-même et celle de se battre pour sa propre survie, Drieu choisit de s'accrocher comme à une bouée à la Main Courante du Commissariat, cet épais recueil des PV et des interventions de la police urbaine.Délits minables et dépôts sans espoir de plaignants, la Main Courante est un échantillon de la misère humaine et du mal de vivre d'un monde à la dérive. Tout y paraît insignifiant... Et pourtant... |Richard Berry (Drieu)@Zabou Breitman (Commissaire Vasseur)@Pascal Elbé (Jean-Ba)@Aïssa Maïga (Kathia)@Bernard Blancan (Pierre Wazemme)@Moussa Maaskri (Manu)@Gérald Laroche (Abel Vargas)@Aure Atika (Marianne)@Eric Godon (Johan Pauwels)@||Secrets de tournage :
Inspiré d'un fait divers
Le projet des Insoumis est d'abord né dans la tête d'Olivier Dazat, le scénariste du film, qui s'est inspiré d'un fait divers survenu en Belgique. Des policiers, que l'on avait surnommés "les tueurs du Brabant", se sont eux-mêmes mis à braquer des supermarchés, pour créer un électrochoc dans l'opinion, de la confusion et favoriser un coup d'Etat. Claude-Michel Rome évoque la suite : La mécanique de cette histoire d'inspecteur qui se retrouve muté dans une zone de non-droit, économiquement sinistrée, avec des policiers totalement démotivés, fonctionnait très bien. Je suis arrivé sur le projet parce que mon agent a fait circuler le film que j'avais réalisé autour de la traque de Francis Heaulme, Dans la tête du tueur. Après l'avoir vu, Etienne Comar et Philippe Rousselet ont pensé qu'il pourrait être utile que je lise le scénario d'Olivier, qui ne les satisfaisait pas en l'état. A la base, je suis scénariste, et j'ai rencontré Olivier pour discuter avec lui d'une adaptation qui ne serait pas qu'une mécanique policière, mais parlerait aussi du rapport humain intime entre deux hommes."
Tournage à risque (s)
De l'aveu de Claude-Michel Rome, la scène de l'assaut fut la plus éprouvante à filmer : la comédienne Guilaine Londez se blessa dès la première séquence. Il poursuit : "il y a eu quatre mille explosions, plus toutes les balles tirées ! Tous les techniciens avaient des casques antibruit, mais pas les comédiens... Dès le départ, la déco était impactée et dès qu'un comédien bougeait le moindre accessoire, il y avait des fils et ils avaient peur que cela leur explose dans la main. Tout était dangereux et cela a engendré un vrai stress sur le tournage."
De vieux amis
Bien que ce soir la première fois qu'ils collaborent ensemble, Claude-Michel Rome et Zabou Breitman se connaissent depuis fort longtemps. ils se sont en effet rencontrés il y a 25 ans, au Cours Simon. Claude-Michel Rome y était alors étudiant, et faisait déjà un peu de mise en scène.
Du petit au grand écran
Connu pour avoir réalisé le téléfilm Dans la tête du tueur, sur l'odyssée meurtrière de Francis Heaulme (surnommé "le routard du crime"), et les sagas de l'été Zodiaque et Le Maître du Zodiaque, le metteur en scène Claude-Michel Rome est resté dans le domaine du polar avec Les Insoumis, son premier long métrage.
Hommage à Paul Frankeur
Le personnage de Pierre Wazemme, incarné à l'écran par Bernard Blancan, est en fait inspiré des rôles qu'a souvent joué Paul Frankeur chez Gilles Grangier; "le flic fatigué, qui a de la gueule, qui picole" explique Claude-Michel Rome. Le cinéaste fait notamment référence au Désordre et la nuit (1958), dans lequel Jean Gabin et Danielle Darrieux tiennent la vedette.
Breitmann / Berry : cinquième !
Les Insoumis marque la cinquième collaboration entre Zabou Breitman et Richard Berry. Ils jouent ensemble pour la première fois en 1986 dans Suivez mon regard, puis dans le grand succès de Diane Kurys, La Baule-les-Pins, en 1990. On les retrouve dans le dyptique d'Henri Verneuil : 588, rue Paradis et Mayrig.
La femme est un homme comme les autres
Au départ, le personnage du Commissaire Vasseur, incarné à l'écran par Zabou Breitman, devait être un homme, avant que Claude-Michel Rome ne change d'avis. L'actrice explique : "le commissaire Vasseur était au départ un monsieur. Mais tout en gardant le même personnage, " lui " avait été remplacé par " elle ", ce qui permettait d'introduire une femme dans cet univers de mecs ! Le scénario m'a paru musclé et j'ai aimé le côté commissariat de quartier, avec ce personnage atypique qui débarque, sans qu'on en sache grand-chose au départ. Tous les personnages sont complexes et confrontés à des choses qui les dépassent. C'est à la fois très beau et très humain. Je trouve toujours très intéressant de remanier un scénar, et ce changement de sexe du personnage permettait de désaxer juste suffisamment pour obtenir quelque chose de non-conventionnel mais de plus réaliste. Allant encore un peu plus loin, Claude Michel m'a proposé qu'elle soit enceinte et son idée m'a paru intéressante. Il m'a ensuite envoyé une nouvelle version du scénario en me promettant une surprise à la fin. Et il y a effectivement une grosse surprise !"
A propos du scénariste
Scénariste du film, Olivier Dazat a surtout beaucoup oeuvré dans le registre des comédies. Il a ainsi débuté en 1991 en signant le script d'On peut toujours rêver, réalisé par Pierre Richard. On lui doit également ceux de Faussaires (1994), qui réunissait le tandem Jean-Marc Barr / Gérard Jugnot; Le Vélo de Ghislain Lambert (2001), ou encore Podium en 2004. Plus récemment, il a co-écrit aux côtés de Thomas Langmann et Franck Magnier le scénario d'Astérix aux Jeux Olympiques.
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Rounders|John Dahl|Comédie dramatique||3|américain|1999|115|Anglais||XVID|||XVID|704 Kbps|704x288|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|696||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Ted Demme Joel Stillerman|David Levien Brian Koppelman|Jean-Yves Escoffier||Bac Films||As du poker, Mike McDermott perd toute ses économies en une seule nuit. Ce revers de fortune le décide à tourner le dos au jeu. Encouragé par sa femme Jo il se remet à ses études de droit et se tourne vers la réussite sociale. Mais quand Worm, son vieil ami, sort de prison, Mike doit définitivement choisir. Pour le sauver, par fidélité, il va être obligé de replonger. Retrouver le goût des cartes, jouer gros, fréquenter les rounders, les implacables joueurs de poker professionnels... |Matt Damon (Mike McDermott)@Edward Norton (Lester Murphy)@Gretchen Mol (Jo)@John Malkovich (Teddy KGB)@John Turturro (Joey Kinish)@Martin Landau (Abe Petrovsky)@Famke Janssen (Petra)@Goran Visnjic (Maurice)@Melina Kanakaredes (Barbara)@Josh Mostel (Zagosh)@Kohl Sudduth (Wagner)@Michael Rispoli (Grama)@Mal Z. Lawrence (Irving)@||Secrets de tournage :
Scream 2 plutôt que Les Joueurs
Neve Campbell a refusé un rôle dans Les Joueurs car elle s'était engagé par contrat à jouer dans Scream 2, dont les dates de tournages n'étaient pas encore fixées.
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The Langoliers|Tom Holland|Fantastique||4|américain|1995|180|Anglais||H264|||H264|455 Kbps|640x408|AC3|80.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Mitchell Galin David R. Kappes Richard P. Rubinstein|Tom Holland|||||Dans un avion, des passagers endormis découvrent à leur réveil qu'ils sont plus ou moins seuls à bord, ceux qui étaient éveillés ayant mystérieusement disparu, pilotes compris. Il semblerait même que, à terre, tout le monde ait également disparu... |Patricia Wettig (Laurel Stevenson)@Dean Stockwell (Bob Jenkins)@David Morse (Cpt. Brian Engle)@Mark Lindsay Chapman (Nick Hopewell)@Frankie Faison (Don Gaffney)@Baxter Harris (Rudy Warwick)@Kimber Riddle (Bethany Simms)@Christopher Collet (Albert Kaussner)@Kate Maberly (Dinah Catherine Bellman)@Bronson Pinchot (Craig Toomey)@Tom Holland (Harker)@Julie Arnold Lisnet (Tante Vicky)@David Forrester (Danny Keene)@Stephen King (Tom Holby)@David Kelly (le petit garçon)@Chris Hendrie (Roger Toomy)@||||||||||||@@
Looney Tunes: Back in Action|Joe Dante|Animation|Film pour enfants|3|américain|2003|84|Anglais||DIVX|||DIVX|1 080 Kbps|576x256|MPEG-1 Audio layer 3|54.2 Kbps|False|44.1 KHz|1|693||||29.970|09/08/2009 00:00:00|Bernie Goldmann Paula Weinstein|Larry Doyle Glenn Ficarra John Requa Roger S.H. Schulman|Dean Cundey||Warner Bros.||Bugs Bunny travaille avec son collègue Daffy Duck pour la Warner. Mais le canard décide de partir, ne supportant plus le traitement de faveur réservé au lapin. Il est bientôt rejoint par D.J. Drake, un vigile apprenti-cascadeur licencié le même jour. Ce dernier découvre au même moment que son père disparu, ancienne star de cinéma, était un agent secret à la recherche du mythique Diamant du Singe Bleu et kidnappé par le sombre Mr. Chairman.
D.J. décide de reprendre la quête de son illustre paternel et de retrouver sa trace, aidé par Daffy. Convaincus de l'efficacité de son tandem avec Bugs Bunny, les dirigeants du studio décident alors de récupérer leur star animée coûte que coûte, et lancent Bugs Bunny et la jeune productrice Kate Houghton à leur poursuite, de l'enfer hollywoodien à la jungle africaine en passant par Paris, Las Vegas et la mystérieuse Zone 52... |Brendan Fraser (D.J. Drake / lui-même / la voix de Taz)@Jenna Elfman (Kate Houghton)@Timothy Dalton (Damian Drake)@Heather Locklear (Dusty Tails)@Steve Martin (Mr. Chairman, président de la société ACME)@Joan Cusack (Mère)@Joe Alaskey (Bugs Bunny / Daffy Duck / Beaky Buzzard/ Sylvestre/ Maman Ours (voix))@Bob Bergen (Porky (voix))@Lionel D. Carson (Bobby)@Bill Goldberg (le garde du corps de Mr. Chairman)@Roger Corman (un réalisateur)@Robert Picardo (le vice-président Rethorical Questions)@Mary Woronov (le vice-président Bad Ideas)@Ron Perlman (le vice-président Never Learning)@Marc Lawrence (le vice-président Stating the Obvious)@Vernon Wells (le vice-président Child Labor)@Bill McKinney (le vice-président Nitpicking)@George Murdock (le vice-président Unfairly Promoted)@Leo Rossi (le vice-président Clawing Way to Top)@Jeff Bennett (Yosemite Sam / Foghorn Leghorn /Nasty Canasta (voix))@Billy West (Elmer Fudd / Peter Lorre (voix))@Eric Goldberg (Titi / Marvin le martien / Speedy Gonzalez (voix))@Bruce Lanoil (Pépé le putois (voix))@June Foray (la grand-mère (voix))@Frank Welker (Scooby-Doo (voix))@Casey Kasem (Sammy (voix))@Mel Blanc (Gremlin Car (voix))@Dick Miller (un policier)@||Secrets de tournage :
Quand les Toons se la jouent live...
Les Looney Tunes passent à l'action n'est pas le premier film où personnages animés et humains se donnent la réplique. Parmi les quelques films du genre, on retiendra Qui veut la peau de Roger Rabbit ? (1988), Cool world (1994), Space Jam (1996), Les Aventures de Rocky et Bullwinkle (2000) ou Monkeybone (2001), sans oublier les classiques Mary Poppins (1964) et Peter et Elliot le dragon (1977).
Brendan Fraser dans la peau de Taz...
Héros humain des Looney Tunes passent à l'action, Brendan Fraser a participé doublement à l'aventure, en prêtant sa voix (et ses grognements) au diable de Tasmanie, Taz.
Une première...
Les Looney Tunes passent à l'action est le tout premier film dans lequel les Looney Tunes sont inclus dans un environnement entièrement réel tout au long du métrage. Ainsi, certaines scènes de Qui veut la peau de Roger Rabbit ? et la grande majorité des séquences de Space Jam mettaient bien évidemment en scène des humains en interaction avec les Toons, mais dans des univers animés (Toonville pour le premier, le monde toonesque et le terrain de basket pour le second).
"Il n'y a pas eu de rencontre entre mondes réel et animé aussi complexe depuis Qui veut la peau de Roger Rabbit ?", explique le réalisateur Joe Dante. "Le film ne met pas seulement en scène quelques personnages filmés sur fond bleu et incriusté dans un film : c'est vraiment un film d'action live avec Bugs Bunny et Daffy Duck en vedettes".
Brendan Fraser, fan N°1 des Looney Toons
"J'ai une vraie gratitude pour les créateurs des petits cartoons mettant en scène les Looney Tunes. Que j'en sois conscient ou pas à l'époque, ils m'ont initié à la musique classique, au timing comique, à l'art de la blague et du bon mot, tout ça dans un court métrages animé. Ils étaient toujours en phase avec le quotidien et l'actualité, politique et culturelle... Les cartoons sont facilement abordables par les enfants, tout en conservant des gags et un humour assez sophistiqués susceptible de plaire aux adultes. Ils m'ont amusé d'une façon qu'aucun film d'animation n'a encore réussi à reproduire. Jusqu'à maintenant, bien sûr..."
Donner vie aux Toons
Le processus technique pour donner vie aux Toons dans un monde live était l'un des défis majeurs du film. Après avoir étudié de façon précise la gestuelle et le débit des personnages animés, deux experts marionnettistes, Bruce Lanoil et Dave Barclay, étaient tout d'abord chargés de donner la réplique aux comédiens humains du film, imitant également les voix des Looney. La scène était ensuite mise en boîte en quatre étapes : répétition avec les acteurs et les marionnettes, tournage avec les marionnettes, tournage sans les marionnettes et enfin tournage de la séquence pour la lumière. Au final, le film regroupe le travail d'une équipe de 500 dessinateurs et compte quelque 1 200 plans d'effets visuels.
Dean Cundey, spécialiste des amis imaginaires
Directeur de la photographie sur Les Looney Tunes passent à l'action, Dean Cundey est un habitué dans la mise en scène de personnages imaginaires, rajoutés durant la post-production : parmi ses travaux, on retiendra Qui veut la peau de Roger Rabbit ?, Jurassic Park, Casper, Flubber, ainsi que l'adaptation de Garfield.
Brendan Fraser habitué de l'animation
Partenaire de Bugs Bunny et Daffy Duck dans Les Looney Tunes passent à l'action, Brendan Fraser avait déjà donné la réplique à un personnage animé et imaginaire dans le déjanté Monkeybone, en 2001.
Les Toons reviennent en force !
Pour leur retour sur grand écran, les Toons reviennent en nombre avec entre autres Porki Pig, Yosemite Sam, Bip Bip, le Coyote, le Diable de Tasmanie, Elmer Fudd ou Marvin le Martien, emmenés par le tandem star Bugs Bunny / Daffy Duck. Lancés en 1930 par le producteur Leon Schlesinger dans des courts métrages animés destinés à être diffusés au cinéma avant les films, les Looney Toons sont rapidement devenus des personnages cultes à travers le monde. Soixante-dix ans plus tard, le succès est toujours au rendez-vous. Mais de façon surprenante, Les Looney Tunes passent à l'action est seulement le troisième long métrage dans lequel ils tiennent un rôle majeur, après Qui veut la peau de Roger Rabbit ? (1988) et Space Jam (1996).
Célébrant ce retour en force, une nouvelle série de courts Looney Tunes sera distribuée par Warner Bros. au cours de l'année 2004 avant certaines des productions du studio.
Dixième collaboration pour Joe Dante et Jerry Goldsmith
Une véritable relation de confiance lie Joe Dante au compositeur Jerry Goldsmith. Les Looney Tunes passent à l'action marquent ainsi leur dixième collaboration, après la série télévisée Amazing stories et les films La Quatrième Dimension, Gremlins, Explorers, L'Aventure interieure, Les Banlieusards, Gremlins 2, la nouvelle génération, Panic sur Florida Beach, Small Soldiers. Soit tous les longs métrages du cinéaste, post-Hurlements.
Steve Martin à l'origine de son personnage
Interprète du démoniaque Mr. Chairman, président de la société ACME Corporation, Steve Martin a eu les mains entièrement libre de la part de la production pour créer son personnage et son look.
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« Préc.
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Shade|Damian Nieman|Thriller||3|américain|2004|91|||XviD|||XVID|964 Kbps|720x304|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Ted Hartley David Schnepp Chris Hammond Carl Mazzocone|Damian Nieman|Anthony B. Richmond||Metropolitan FilmExport||Dans l'univers aussi secret qu'enfumé des clubs de jeu de Los Angeles, les cartes sont autant d'armes à double tranchant. Vernon est l'un des meilleurs dans la partie. Solitaire, expert en manipulation, il sait que le fait de gagner ne dépend pas vraiment du hasard. Miller et la jolie Tiffany ne sont pas des débutants, eux non plus... Ces trois joueurs vont s'associer pour faire la peau au maître, The Dean. Personne ne lui a jamais rien pris sur un tapis vert... |Sylvester Stallone (The Dean)@Thandie Newton (Tiffany)@Gabriel Byrne (Charlie Miller)@Stuart Townsend (Vernon)@Bo Hopkins (Scarne)@Melanie Griffith (Eve)@Jamie Foxx (Jennings)@Dina Merrill (Dina)@R. Paul Wilson (Mr. Andrews)@Damian Nieman (Jackie)@Michelle Mersereau@George Tovar (Paulie)@Joe Nicolo (Ritchie)@Earl Nelson (Earl)@Brian Gillis (Ricky)@||Secrets de tournage :
Damian Nieman, un expert des cartes
Avant d'être réalisateur, Damian Nieman est d'abord un expert dans l'art de manipuler les cartes. Etudiant à la Loyola Marymount University, il se perfectionna dans ce domaine en fréquentant le club privé Magic Castle. C'est lui-même qui enseigna à Sylvester Stallone et Stuart Townsend l'art de manier les cartes et d'arnaquer leurs adversaires.
Lieux de tournage
Le tournage s'est déroulé dans des endroits très différents allant de restaurants abandonnés dans le quartier de Chinatown à Los Angeles à de superbes suites et bureaux du Beverly Hilton Hotel de Merv Griffin. Parmi les autres lieux de tournage figure notamment le club Magic Castle de Hollywood.
Des spécialistes de la magie et des tours de cartes
Chaque jour, sur le plateau, étaient présents des spécialistes de la magie et des tours de cartes. Plusieurs d'entre eux, comme Charlie Miller et Max Malini, font d'ailleurs une apparition devant la caméra. A la fin du tournage, les acteurs comme les techniciens avaient appris certains de leurs tours.
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Les Mille et une nuits|John Rawlins|Aventure|||américain|1942|85|||DX50|||DX50|232 Mbps|576x432|MPEG-1 Audio layer 3|192 Kbps|False|44.1 KHz|2|798||||25.000|28/07/2009 00:00:00|||||||Kamar al-Shaman blesse son jeune frere, le calife Harun al-Rashid, lors de sa tentative de prendre le trone de Bagdad. En fuite, ce dernier se refugie dans la troupe de la belle Scheherazade, fort convoitee. Il est pris sous la protection d'un jeune acrobate, Ali Ben Ali. Mais la petite troupe, composee entre autres de Sindbad de retour de ses voyages et d'Aladin en manque de lampe magique, est vendue par le vizir Nadan. Les membres de la troupe deviennent ses esclaves. |Maria Montez@Sabu (II)@John Hall@||||||||||||@@
The Birds|Alfred Hitchcock|Thriller|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain, britannique|1963|114|Anglais||DivX|||DIVX|754 Kbps|576x432|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Alfred Hitchcock|Ed McBain|Robert Burks||CIC||Melanie, jeune femme quelque peu superficielle, rencontre chez un marchand d'oiseaux un brillant et séduisant avocat qui recherche des inséparables. Par jeu, Melanie achète les oiseaux et les apporte a Bodega Bay. Dés son arrivée, elle est blessée au front par une mouette... |Tippi Hedren (Melanie Daniels)@Rod Taylor (Mitch Brenner)@Suzanne Pleshette (Annie Hayworth)@Jessica Tandy (Lydia Brenner)@Veronica Cartwright (Cathy Brenner)@Darlene Conley (la serveuse)@Ethel Griffies (Mrs. Bundy)@Charles McGraw (Un client du bar)@Rodney Taylor@Joe Mantell@Malcolm Atterbury@||Secrets de tournage :
Adaptation d'une nouvelle
Les Oiseaux s'inspire d'une nouvelle de la célèbre romancière anglaise Daphné Du Maurier qui avait pour cadre la Cornouailles, mais aussi de plusieurs faits divers qui s'étaient produits aux Etats-Unis . C'est la troisième fois qu' Alfred Hitchcock met en scène une oeuvre de l'écrivain, après La Taverne de la Jamaique (1939) et Rebecca (1940).
Caméo
Comme toujours, Hitchcock apparaît dans son film. Ici, on le voit sortir d'une boutique au moment où l'actrice principale, Tippi Hedren, y entre. A noter qu'il tient en laisse deux chiens qui ne sont autres que les vrais chiens du réalisateur, Geoffrey et Stanley.
Histoire de prénoms
Les prénoms féminins ont toujours eu une grande importance pour Alfred Hitchcock. Ainsi, avec Marion, prénom du personnage féminin de Psychose, et Mélanie, prénom du rôle tenu par Tippi Hedren dans Les Oiseaux, il composera le prénom Marnie, héroïne de Pas de printemps pour Marnie (1964).
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Les contributeursCe film a reçu 1 contribution, pour les secrets de tournage, de: Eldacar
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Les Parrains|Frédéric Forestier|Comédie||3|français|2005|96|Français||XviD|||XVID|862 Kbps|576x320|MPEG-1 Audio layer 3|135 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Philippe Rousselet|Olivier Dazat Alexandre de La Patellière Matthieu Delaporte Claude Simeoni Laurent Chalumeau|Vincent Mathias||ARP Sélection||Lucien, Henri et Gérard. Trois copains éparpillés à travers le monde.Après un casse foireux, Max, leur pote s'est fait pincer. C'était il y a 20 ans.Aujourd'hui, pour fêter la prescription, Max leur révèle enfin où il a planqué le magot. Mais avant de toucher leur part, ils devront décider si Rémy, son fils, est digne de toucher la sienne... |Gérard Lanvin (Serge)@Gérard Darmon (Henri)@Jacques Villeret (Lucien)@Pascal Reneric (Rémy & Max)@Hélène Seuzaret (Nathalie)@Anna Galiena (Laura)@Eric Thomas (Maître Gatin)@Firmine Richard (Claudia)@Gerard Chaillou (Monsieur de Rochambeau)@Pierre Poirot (Maraval)@Claude Brasseur (la voix de Max)@Florence Muller (Christiane)@Pierre Zaoui (le moustachu)@Patrick Ronchin (le convoyeur)@Louis Marie Audubert (l'agent du poste de contrôle)@Alexia Rhodier (l'hôtesse de la bijouterie)@Jan Hammenecker (Client Ostende)@||Secrets de tournage :
Gérard Lanvin en terrain connu
Gérard Lanvin retrouve ici trois amis avec qui il a déjà collaboré professionnellement : le réalisateur Frédéric Forestier qui l'a dirigé dans Le Boulet en 2002, Jacques Villeret qui a été son partenaire dans Bête mais discipliné et Les Frères pétard, ainsi que Gérard Darmon, rencontré sur le tournage de 3 zéros.
Une idée de Gérard Lanvin
L'idée du film est venue de Gérard Lanvin et d'un ami à lui, Claude Simeoni. Elle a été revue et corrigée jusqu'à ce qu'un producteur, Philippe Rousselet, s'y intéresse.
Comme l'explique l'acteur, "le but, c'était de faire un film sur des voyous "à l'ancienne" avec une parole, un comportement qui correspondait à une époque, alors qu'aujourd'hui, il y a beaucoup de gens sans éducation, sans principe, qui deviennent des voyous au sens vraiment nullissime du terme. Donc on a voulu faire un film qui parle de gens de cette tradition-là."
Un scénario passé de main en main
Claude Simeoni, Laurent Chalumeau, Olivier Dazat, Mathieu Delaporte et Alexandre de La Patellière... Tous ont participé à l'écriture du scénario. Pour Gérard Lanvin, ce sont "des gens qui ont eu l'intelligence de dire : "Moi, j'ai tout donné, maintenant j'ai pas assez de recul, on peut peut-être rencontrer deux autres dialoguistes et scénaristes...""
Comment Frédéric Forestier dirige ses acteurs ?
Pour Gérard Lanvin, "Frédéric Forestier est quelqu'un qui met les acteurs dans un cadre et qui, après les avoir vu jouer, les corrige (...) On n'arrive pas en demandant ce qu'on doit faire, on arrive en imposant ce qu'on a voulu faire, explique le comédien. Si ça fonctionne bien, Frédéric nous met dans des places et il fait autour ce qu'il faut pour nous rendre meilleurs. Si on est un peu perdu, fatigué, déconcentré, il est toujours là pour nous remettre d'équerre et corriger s'il y a une erreur de jugement sur le ton. Mais au départ, il nous laisse toute notre liberté de jeu."
Préparation au rôle pour Jacques Villeret
Pour camper le personnage de Lucien, Jacques Villeret s'est laissé glisser vers la nostalgie. "J'avais déjà joué un voyou mais un vrai, qui faisait peur et tuait, dans le film de Daniel Duval qui s'appelait Effraction, explique le comédien. J'ai fait appel à des souvenirs là-dessus mais avec le confort du léger décalage, puisque dans ce film c'était un type qui tuait pour sauver sa peau, après un casse en solitaire, et ça finissait mal. Tandis que Lucien, il rentre chez lui, il retourne dans ses pantoufles, chez sa Doudou."
Les films de référence pour Frédéric Forestier
A l'époque du tournage, Frédéric Forestier avait en tête de nombreux films de référence comme Les Tontons flingueurs, Le Clan des Siciliens, L'Aventure c'est l'aventure ou plus récemment Ocean's eleven. "Tous ces films ont un petit peu imprégné la manière dont j'ai traité le mien, à la fois par la modernité des outils dont on dispose aujourd'hui pour filmer, faire des mouvements de caméra, enchaîner les séquences pour dynamiser le récit, et puis parce qu'ils m'ont rappelé mes jubilations de spectateur."
Le look du film
Frédéric Forestier a décidé de tourner Les Parrains en cinémascope, car il souhaitait faire un film où "visuellement on aurait une image toujours bien composée, sans légèreté dans le cadrage, sans choses aléatoires, sauf exception dans les scènes de casse". "J'avais vraiment envie de ça pour avoir cette finesse et cette élégance des films qui reposent sur une préparation méticuleuse d'un casse, d'une exécution...", ajoute-t-il.
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Les Poupées russes|Cédric Klapisch|Comédie||3|français|2005|123|Français||XviD|||XVID|684 Kbps|576x320|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|698||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Bruno Levy Matthew Justice|Cédric Klapisch|Dominique Colin||Mars Distribution|Saga : L'Auberge espagnole |Xavier a 30 ans. Il a réalisé son rêve d'enfance, il est devenu écrivain, mais il semble quand même un peu perdu. Il a quelques problèmes avec sa banquière. Il a également des réticences à se fixer avec une fille et enchaîne les aventures amoureuses avec inconséquence. Xavier est contraint de continuer son travail à Londres, puis à Saint-Pétersbourg. Ces nouveaux voyages lui permettront peut-être de réconcilier le travail, l'amour et l'écriture. |Romain Duris (Xavier)@Audrey Tautou (Martine)@Cécile de France (Isabelle)@Kelly Reilly (Wendy)@Kevin Bishop (William)@Aïssa Maïga (Kassia)@Olivier Saladin (Gérard)@Zinedine Soualem (M. Boubaker )@Evguenya Obraztsova (Natacha)@Irene Montala (Neus)@Gary Love (Edward)@Lucy Gordon (Celia Shelton)@Pierre Gérald (Le grand-père)@Nicolas Briançon (Le réalisateur de la série)@Carole Franck (Productrice TV)@Frédérique Bel (Barbara (actrice sitcom))@Pierre Cassignard (Platane)@Hélène Medigue (Mme Vanpeteguem)@Robert Plagnol (L'auteur de la série)@Julien Guéris (Jean-Edouard)@Laura Weissbecker (Odile)@Sophie Barbe (Caroline (1ère petite amie d'Isabelle))@Julie Durand (Juliette (2ème petite amie d'Isabelle))@Catherine Lebegue (La copine "cogneuse")@Fatiha Cheriguene (La nounou du grand-père)@Jake Canuso (Miguel)@Federico D'Anna (Alessandro)@Barnaby Metschurat (Tobias)@Christian Pagh (Lars)@Cristina Brondo (Soledad)@Amin Djakliou (Lucas)@Bernard Haller (Michel Hermann, l'éditeur)@Agathe Robilliard (Journaliste "prune")@Annette Faure (Journaliste Cosmo)@Anne Steffens (La copine de Xavier (n°1))@Stéphanie Ricco (La copine de Xavier (n°2))@Isabelle Joly (La copine de Xavier (n°3))@Cédric Klapisch (L'homme du train)@||Secrets de tournage :
La suite de "L'Auberge espagnole"
Les Poupées russes est la suite de L'Auberge espagnole sorti en 2002. Pourtant, à l'époque, Cédric Klapisch avait annoncé qu'il ne réaliserait pas de suite aux aventures du jeune Xavier, que de tourner une suite partirait du simple plaisir à retrouver les acteurs et que plaisir signifie "pas de souffrance" et "pas de souffrance" égal "pas de qualité". Les comédiens qui avaient participé au premier film ont répondu présent à l'appel de ce second opus. Le spectateur retrouve ainsi Romain Duris, Cécile de France, Audrey Tautou, Kelly Reilly, et les autres.
Cinquième collaboration pour Cédric Klapisch et Romain Duris
Les Poupées russes marque les retrouvailles du réalisateur et son acteur fétiche. Quatre ans après L'Auberge espagnole, Romain Duris explique le lien qui l'unit à Cédric Klapisch : "Cédric a voulu qu'on regarde ensemble les films de François Truffaut parce que les gens lui disaient que notre alliance ressemblait à celle entre Truffaut et Jean-Pierre Léaud." De fait, à travers Le Péril jeune, Chacun cherche son chat, L'Auberge espagnole, les spectateurs ont pu voir Romain Duris "grandir" progressivement, comme ce fut le cas pour Antoine Doinel, le héros récurrent de l'oeuvre du cinéaste, de Les 400 coups (1959) à L' Amour en fuite (1979).
La genése du scénario
Cédric Klapisch raconte que la trame du scénario lui est apparue à Saint-Petersbourg alors qu'il était en promotion pour L'Auberge espagnole. " C'était la troisième fois que j'y allais et je suis vraiment tombé amoureux de cette ville. Avec Bruno Levy, on s'est dit que s'il devait y avoir une suite, ce serait bien qu'elle se passe ici. Et puis parallélement on est tombé sur un événement qui a beaucoup marqué le film. On a vu les coulisses d'un mariage dans un restaurant où le marié était complétement bourré dans les toilettes pendant que sa femme en robe de marié l'attendait devant la porte. Avec Bruno, on s'est dit que ça pouvait être drôle que le mariage de William [le personnages anglais du film] se mariait en Russie. Et tout s'est enchaîné..."
Rêver et arrêter de rêver
Dans L'Auberge espagnole il y a "ce moment de vie important en fin d'études où l'on se dit que ce n'est pas parce qu'on fait des études dans un sens qu'il faut vivre ensuite dans le sens où l'on a été. Il y a une sorte de sauvetage de la vie dans le fait de vivre son rêve [...] alors que là, je me suis dit qu'il fallait faire le contraire dans Les poupées russes. En fait il y deux attitudes dans la vie : rêver et arrêter de rêver. Devenir grand c'est aussi arrêter de rêver. Par contre, c'est important de ne pas abandonner le rêve intégralement parce que sinon, on devient vieux avant l'âge, mais en même temps, il faut savoir ne pas vivre que dans un monde impossible.", raconte Cédric Klapisch. Et Romain Duris d'ajouter : Moi, je ne veux pas croire qu'il y ait de la désillusion. Il [Xavier] a du talent mais ce n'est pas encore le moment où il va se sentir un grand écrivain talentueux."
Le "grand amour" n'existe plus !
C'est ce que semble penser le réalisateur, qui ne croit plus à l'amour romantique : "L'idée de l'amour unique n'est pas la même qu'au moment de la littérature romantique et, du coup, c'est difficile d'être romantique en pouvant accepter l'idée qu'on a eu différentes histoires d'amour dans sa vie. [...] Donc, le vrac de Xavier au début du film est représentatif de tous ces gens qui cherchent la bonne personne. Peu d'entre eux la trouve du permier coup... Finalement le film de Truffaut qui m'a le plus inspiré pour Les Poupées russes, c'est L'Homme qui aimait les femmes. Il a vraiment réussi à montrer un homme qui peut passer d'une femme à une autre sans être ni un macho, ni un Don Juan, en tout cas pas dans une problématique de conquête. Mais Xavier c'est encore autre chose...".
De la caricature
Le réalisateur explique : "J'ai fait un travail sur la notion de caricature. C'est présent avec la façon dont la sitcom est traitée. C'est quelque chose avec laquelle je fleurte depuis mes premiers films, où j'essaie de voir pourquoi caricaturer ou grossir le trait n'est pas forcément quelque chose de négatif. Jacques Tati m'a mis un peu sur cette voie, puis Pedro Almodovar. Comment des gens comme eux qui font de la caricature quelque chose d'extrêment sophistiqué et pas du tout problématique ? Almodovar arrive à trouver une finesse dans la caricature que je trouve impressionnante. [...] Dans L'Auberge espagnole, la problématique était de savoir comment j'allais pouvoir parler d'un Italien, d'un Allemand, d'une Belge ou d'un Français en grossissant le trait sans être raciste. Là, je me suis dit qu'il fallait allait plus loin. Le fait de raconter une histoire d'amour n'est intéressant que si cela est achétypal. Le but ultime c'est d'arriver à être nuancé dans ce language-là. Il faut atteindre une sorte d'épure en grossissant le trait."
Et pourquoi pas un numéro 3 ?
"L'Auberge espagnole a un début et une fin et je n'étais pas sûr d'aller au-delà de cette fin. Maintenant, j'ai dépassé ce syndrome et pourquoi pas dans dix ans faire une suite en utilisant à fond le plaisir de voir le temps qui passe. Donc, j'attends que le temps passe pour repenser à cette question !", affirme Cédric Klapisch.
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Les Rivières Pourpres|Mathieu Kassovitz|Thriller|Interdit aux moins de 12 ans|3|français|2000|98|Français||DIV3|||DIV3|859 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|119 Kbps|False|44.1 KHz|2|695||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Alain Goldman|Mathieu Kassovitz Jean-Christophe Grangé|Thierry Arbogast||Gaumont Buena Vista International (GBVI)|Saga : Les Rivières pourpres |Le même jour, à trois cents kilomètres de distance, deux flics se voient confier deux affaires singulières.Le commissaire Pierre Niémans, homme d'expérience et ex-gloire de l'anti-gang, possède un instinct sans faille mais cache de douloureuses angoisses. Il se rend à Guernon, une ville universitaire des Alpes, sur les lieux d'un meurtre avec mutilation.Max Kerkérian, ex-voleur de voitures vif et solitaire, a intégré les rangs de la police par amour de la nuit et du danger. Il enquête à Sarzac sur la profanation d'une tombe, celle d'une enfant disparue en 1982.Bientôt, les deux enquêtes se rejoignent et les meurtres se multiplient.La vérité dépassera l'imagination des deux policiers et les emmènera en haute altitude, aux portes de la mort et de la glace. |Jean Reno (Le commissaire Pierre Niemans)@Vincent Cassel (Le lieutenant Max Kerkérian)@Nadia Farès (Fanny Fereira)@Christophe Rossignon (Le policier dans la gare)@Vincent Tulli (Le technicien ordinateur)@Karim Belkhadra (Le capitaine Dahmane)@Didier Flamand (Le directeur de la fac)@Philippe Nahon (Le patron de la station de service)@François Levantal (Docteur en pathologie)@Robert Gendreu (Le gardien du cimetière)@Dominique Bettenfeld (le policier de la bibliothèque)@Dominique Sanda (Soeur Andrée)@Jean-Pierre Cassel (Le docteur Bernard Chernezé)@Francine Bergé (La directrice de l'école)@Nicolas Koretzky (Le policier à l'ordinateur)@Nicky Naude (Un skinhead)@Sami Zitouni (Un jeune à Sarzac)@Tonio Descanvelle (Un policier de Sarzac)@Olivier Morel (Philippe Sertys)@Christophe Bernard (Un skinhead)@Laurent Lafitte (Hubert, le fils du directeur)@Vincent Skimenti (Un policier)@Laurent Avare (Rémy Caillois)@Olivier Rousset (Un policier de Sarzac)@Françoise Loreau (La nonne)@Slim Zitouni (Un jeune à Sarzac)@Alexis Robin (L'enfant avec son chien)@Alain Guerillot (Le patron du café)@||Secrets de tournage :
Thierry Arbogast, directeur de la photographie
Chef opérateur de Luc Besson (Nikita, Léon, Le cinquième élément), d'André Téchiné (J'embrasse pas, Ma saison préférée) et d'Eric Barbier (Le brasier, Toreros), Thierry Arbogast a notamment participé au Hussard sur le toit (Jean-Paul Rappeneau, 1995), à Ridicule (Patrice Leconte, 1996) et à She's so lovely (Nick Cassavetes, 1997).
Il a également collaboré à Une histoire de vent (Joris Ivens, 1988) et à Génial, mes parents divorcent ! (Patrick Braoudé, 1991).
Un casting parfait pour Grangé
« Je suis comme tout le monde, j'ai été marqué en profondeur par cette scène devant la glace dans La haine, où Vincent Cassel interroge son reflet : « C'est à moi que tu parles ? » Je me souviens quand Mathieu m'a parlé de son choix, j'étais aux anges. Nous savions déjà que Jean acceptait de jouer le rôle de Niémans et voilà que Vincent montait lui aussi dans le bateau. Pour moi, c'était le casting rêvé (?). Pour Nadia, c'est exactement la même chose. Elle est l'incarnation parfaite du personnage de Fanny. »
Cassel et Kassovitz
Après Métisse (1993) et La haine (1995), Mathieu Kassovitz dirige Vincent Cassel pour la troisième fois.
Les deux comédiens ont déjà partagé l'affiche des deux premiers longs métrages de Mathieu Kassovitz, ainsi que du Plaisir (et ses petits tracas) (Nicolas Boukhrief, 1998).
En 2000, ils apparaissent ensemble au générique de Birthday girl de Jez Butterworth.
Un travail en tandem pour Kassovitz
« Travailler avec l'auteur du livre, de l'idée originale, ça n'est pas évident. Et j'avoue que j'ai eu un peu peur parce que c'est difficile, quand on écrit un bouquin de 400 pages, de le résumer à 120 pages de scénario, arriver à mettre en 1h30 ce qui normalement prendrait 5 heures de film, il faut sabrer des choses et là, on tape dans l'ego de l'auteur.
Heureusement Jean-Christophe (Grangé) était vraiment complètement à la disposition du film et était le premier à me dire : « Donne des coups de pied dans le bouquin, on s'en fout, changeons les trucs, changeons ce qu'il faut pour le film soit le film. Il faut le faire vivre complètement, indépendamment du bouquin qui est très fourni, très dense. Ca doit être un film court, tendu ».
C'était un véritable plaisir de travailler avec lui parce qu'il a eu l'intelligence de se lancer dans le film en oubliant le livre et a accepté de changer des choses. »
Adapté de Grangé
Les rivières pourpres est l'adaptation du best-seller homonyme de Jean-Christophe Grangé. Son premier roman «Le vol des cigognes» va également être transposé à l'écran. Le projet, initié par le producteur des Rivières pourpres Alain Goldman, en est actuellement au stade de l'écriture.
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Les Rivières pourpres 2 - les anges de l'apocalypse|Olivier Dahan|Policier|Interdit aux moins de 12 ans|2|français, italien, britannique|2004|95|Français||XVID|||XVID|889 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|127 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Alain Goldman|Luc Besson|Alex Lamarque||EuropaCorp Distribution|Saga : Les Rivières pourpres |Pour le commissaire Pierre Niemans, l'homme retrouvé emmuré dans un monastère de Lorraine n'est pas une victime comme les autres. Les signes ésotériques gravés autour de lui et l'étrange rituel de son sacrifice annoncent bien autre chose...Lorsque Reda, jeune capitaine de la police, découvre l'exact sosie du Christ à demi mort au pied d'une église, il croit d'abord avoir sauvé un illuminé. Mais rapidement, il va s'apercevoir que cette affaire est liée à celle de Niemans, dont il fut l'élève à l'école de police... |Jean Reno (commissaire Pierre Niemans)@Benoît Magimel (capitaine Reda)@Camille Natta (Marie)@Christopher Lee (Emerich)@Johnny Hallyday (l'ermite)@Gabrielle Lazure (la femme de Philippe)@Serge Riaboukine (Père Vincent)@Augustin Legrand ("Jésus")@André Penvern (Père Dominique)@Francis Renaud (un flic)@David Saracino (un flic)@Eriq Ebouaney (un flic)@Jo Prestia (Emilio)@Cyril Raffaelli (un prêtre tueur)@Mylène Jampanoï (Pénélope)@Eric Chevallier (Mathieu)@Nikita Samaha (une infirmière)@Jean-Francois Gallotte (le directeur du supermarché)@Frederic Merlo (le chirurgien)@Olivier Brocheriou (Barthélémy)@Gilles Treton (Le policier en faction)@Idit Cebula (La mère de Kevin)@Wilfred Benaiche (Le prêtre apôtre)@Victor Garrivier (Le vieux gardien)@Ludovic Schoendoerffer (Assistant scène de crime)@Nicolas Simon (Un policier)@Michaël Abiteboul (Un policier)@Frédéric Maranber (Le chef de chantier)@Frédéric Maranber (Le chef de chantier)@Thierry Liagre (Le barman)@Fosco Perinti (Un homme en costume)@Enrico Di Giovanni (Un italien)@Christophe Lavalle (Un ouvrier de la Ligne Maginot)@Marc Henry (Le jeune moine)@Thierry Der'ven (Le commandant)@||Secrets de tournage :
Une trilogie Les Rivières pourpres
Les Rivières pourpres 2 s'inscrit dans une trilogie amorcée en 2000 avec Les Rivières pourpres, adapté du roman de Jean-Christophe Grangé et réalisé par Mathieu Kassovitz, et qui s'achèvera avec Les Rivières pourpres 3 : les armes de l'ombre que mettra en scène Florent Emilio Siri.
Le producteur Alain Goldman se souvient de la manière dont lui est venue l'idée d'une suite : "J'ai songé à ce qui s'était passé avec Alien. Quatre films, quatre visions d'un univers commun. Ridley Scott, James Cameron, David Fincher et Jean-Pierre Jeunet s'étaient succédé pour offrir leur version à travers une base commune. Cette démarche m'a inspiré".
Grangé en panne d'inspiration et Besson à la rescousse
L'écrivain Jean-Christophe Grangé a très tôt été associé au projet par Alain Goldman qui lui a proposé de concevoir une intrigue. Pourtant, après plusieurs mois, tout en étant heureux de voir se prolonger quelque chose qu'il avait créé, il ne trouvait rien à écrire sur le sujet.
Au même moment, le producteur rencontrait Luc Besson au Festival de Cannes et lui confiait que Jean-Christophe Grangé ne parvenait pas écrire un deuxième opus. Trois semaines plus tard, Luc, qui avait fait des recherches sur la ligne Maginot et sur Lothaire, l'a recontacté pour lui raconter une histoire jugée excellente par le producteur. Ce dernier l'a alors engagé pour être scénariste sur le projet et Luc Besson a par la suite accepté de devenir également le distributeur du film à travers sa société EuropaCorp.
Changement de registre pour Olivier Dahan
Après avoir abordé les thèmes de l'enfance et de l'abandon à travers ses précédents films (Dejà mort, Le Petit Poucet et La Vie promise), Olivier Dahan avait l'impression d'avoir achevé un cycle et souhaitait changer radicalement de registre. Ce lui-ci se souvient : "Au moment où on m'a proposé Les Rivières pourpres 2, m'impliquer dans un projet que je n'avais pas écrit et dont je n'étais pas l'instigateur me tentait. L'idée d'aborder un second chapitre aussi".
2e collaboration Magimel / Dahan
Les Rivières pourpres 2 marque la seconde collaboration d'Olivier Dahan avec Benoît Magimel, qu'il avait dirigé dans Dejà mort en 1998. Ce dernier prend la place de Vincent Cassel dans ce deuxième volet de la saga, mais n'interprète pas le même personnage : Benoît Magimel incarne en effet le capitaine de police Reda, tandis que Vincent Cassel tient le rôle de Max Kerkérian, ancien malfrat ayant rejoint les rangs de la police.
Préparation physique intensive pour Magimel
Pour incarner au mieux le jeune capitaine de police, Benoît Magimel a retravaillé avec Alain Filas, cascadeur sur Nid de guêpes. Ce dernier l'a entraîné à être un flic, notamment dans le maniement d'une paire de menottes et d'un revolver. Deux mois de préparation physique ont été nécessaires et Benoît Magimel a même eu l'occasion de participer à quelques patrouilles dans Paris.
Lieux de tournage et décors
Les Rivières pourpres 2 a été tourné pour la plupart du temps sur les lieux mêmes de l'action, à savoir en Lorraine, sur la ligne Maginot. Mais l'équipe de production a également filmé certaines scènes dans le Fort de Fermont et dans un monastère d'Auvergne complètement redécoré à l'occasion. Les séquences se déroulant dans le commissariat ont quant à elles été tournées dans un grand bâtiment un peu Art Déco, situé à la frontière luxembourgeoise.
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Surf's Up|Ash Brannon Chris Buck|Animation|Film pour enfants à partir de 6 ans|3|américain|2007|82|Anglais||XviD|||XVID|1 053 Kbps|672x352|MPEG-1 Audio layer 3|88.2 Kbps|False|44.1 KHz|2|678||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Christopher Jenkins|Christian Darren Don Rhymer Ash Brannon Chris Buck Christopher Jenkins|Andres Martinez||Sony Pictures||Sur sa banquise, le jeune Cody rêve de devenir le champion du monde des surfeurs. Il espère qu'en intégrant le monde prestigieux de la compétition, il trouvera enfin le respect et l'admiration qu'il n'a jamais eus. Accompagné d'une équipe de reportage qui filme son incroyable aventure, Cody quitte son univers glacial pour rejoindre le paradis ensoleillé de l'île de Pin Goo où va se dérouler la compétition.Sa rencontre avec un vieux surfeur surnommé "Geek" va changer son destin et donner un vrai sens à sa quête. Le jeune intrépide qui n'était venu que pour remporter une médaille va gagner bien davantage... |Pierre Richard (Big Z)@Omar Sy (Chicken Joe)@Emmanuel Garijo (Cody Maverick)@Nelson Monfort (le commentateur des épreuves de surf)@Barbara Tessier (Lani Aliikai)@Luc Florian (Reggie Belafonte)@Yoann Sover (Mikey Abromowitz)@Gilles Morvan (Le Broyeur)@Evelyne Grandjean (Edna Maverick)@Pascal Casanova (Glen Maverick)@||Secrets de tournage :
Les Rois de l'animation
Les deux réalisateurs, Ash Brannon et Chris Buck, ont déjà fait leur preuve dans le monde de l'animation. Ash Brannon a, en effet, longtemps travaillé pour les Studios Pixar et a coréalisé Toy Story 2 tandis que Chris Buck s'est fait connaître auprès du public en réalisant Tarzan (Disney, 1999).
En direct de Pin Goo
Pour la version française, c'est le célèbre journaliste sportif Nelson Monfort qui interprète le rôle du commentateur du championnat de surf de Pin Goo.
Les Rois de la glisse... Les vrais
De véritables surfeurs professionnels sont venus épauler l'équipe du film comme
Kelly Slater (huit fois champion du monde de surf) et Rob Machado. En plus de prêter leur voix à des personnages inspirés d'eux en version originale, ils ont conseillé les animateurs sur plusieurs aspects du film comme le comportement des surfeurs face aux vagues.
Un style = Un surfeur
Pour créer les personnages, les animateurs se sont inspirés de véritables surfeurs. Ainsi, c'est Kelly Slater qui a servi de modèle pour Cody, Sunny Garcia, quant à lui, inspiré Le Broyeur et le style de Big Z vient du légendaire surfeur de vagues géantes et concepteur de planche Greg Noll. Pour Chicken Joe, les animateurs avouent s'être inspirés du film La Fièvre du roller qui plonge le spectateur dans l'époque du "roller disco".
Doublage improvisé
Habituellement, le doublage sonore des dessins animés se déroule de façon plutôt sauvage : les acteurs vont et viennent librement, enregistrant leur voix dans des cabines isolées, jamais les mêmes jours. Avec Les Rois de la glisse, rien de tel : pour une fois, les acteurs ont travaillé ensemble sur le film. Pour coller à l'aspect "documentaire" du film, les acteurs ont même dû improviser une bonne partie de leurs dialogues.
Lauryn Hill pousse la chansonnette
La célèbre chanteuse soul et hip-hop Lauryn Hill a enregistré un morceau pour les besoins du film. Liza Richardson, qui a supervisé la musique du film, confie : "Je crois qu'elle s'est un peu retrouvée dans l'histoire de Big Z. Comme lui, elle a connu le succès, s'est retirée pour faire le point et puis est revenue avec encore plus d'énergie."
Rayon de soleil musical
La musique du film est signée Mychael Danna. Il s'est fait connaître auprès du grand public en composant la bande-originale de Little Miss Sunshine.
Concours de grimace
Le travail d'un animateur reserve de nombreuses surprises. Peter Nash raconte d'ailleurs sa méthode de travail : "Je me suis filmé en train de réciter le texte en essayant plusieurs expressions faciales. Il n'est pas nécessaire d'être un bon acteur pour cela, par contre il faut recommencer de nombreuses fois pour trouver ce que vous pourrez utiliser."
Une touche de féminité
Comment souvent dans les films d'animation, ce sont les personnages féminins qui sont les plus compliqués à créer. Les Rois de la glisse n'échappe pas à la règle comme l'explique Sylvain Deboissy, designer des personnages : "Le personnage le plus difficile à concevoir aura peut-être été Lani, la séduisante sauveteuse. Elle est à la fois intelligente, forte et très féminine. Sa silhouette est beaucoup plus longiligne que celle des autres manchots et ses yeux devaient être très expressifs."
Une bande de manchots
L'équipe du film s'est demandée ce que les manchots pouvaient construire malgré leur absence de main. Elle en est rapidement arrivée à la conclusion suivante : pratique rien ! Ce qui explique l'absence de véritables maisons et autres batiments... La seule exception que l'on voit dans le film est le bar de la plage fait à partir d'un squelette de requin.
« Préc.
Un frère bien utile
Jon Heder, qui prête sa voix à Chicken Joe dans la version originale du film, connaissait déjà bien le monde de l'animation puisque son frère travaillait déjà depuis quelques années chez Sony Pictures Imageworks.
Rajoutez des pingouins
Un film supplémentaires sur les pingouins ? Les Rois de la glisse était en gestation depuis des années, bien avant Happy Feet et La Marche de l'empereur. A propos de ces animaux qui, décidément, squattent nos écrans, Shia LaBeouf affirme : "C'est le plus humain de tous les oiseaux. Les pingouins se tiennent debout et s'organisent en micro sociétés. Ils ont même des expressions quasi humaines. C'est assez amusant." C'est ensuite Jeff Bridges qui nous explique la vraie raison de cette popularité imbattable : "Ils prennent le pouvoir. Bientôt, il n'y aura plus que des films avec des pingouins !"
Les Rois de la technique
Pour renforcer l'aspect réaliste du film, l'équipe a réalisé plusieurs passages ressemblant à des images d'archives. Pour y parvenir, Imageworks a retravaillé les images pour leur donner l'apparence de films en noir et blanc datant des années 20, la couleur un peu pâle des films des années 50 et 60, le format 8 mm 2: des années 70, le 16 mm des années 80 et divers aspects jusqu'à notre époque actuelle. L'équipe voulait également retrouver le grain de la caméra vidéo Sony DXC-M3A, le modèle préféré des journalistes dans les années 80. La caméra n'étant plus fabriquée depuis 1989, le superviseur de la composition d'image James Williams en a acheté une d'occasion sur site d'enchères en ligne E-Bay.
« Préc.
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Three Kings|David O. Russell|Aventure||3|américain|2000|112|Anglais||DIV3|||DIV3|632 Kbps|416x208|MPEG-1 Audio layer 3|160 Kbps|False|48.0 KHz|2|641||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Paul Junger Witt Edward McDonnell Charles Roven|David O. Russell John Ridley|Newton Thomas Sigel||Warner Bros. France||Quatre soldats, Archi, un béret vert, Troy Barlow, un jeune idéaliste, Elgin et Conrad Vig, déçus et frustrés par l'aboutissement de la Guerre du Golfe, cette guerre high-tech aux allures de jeu vidéo, décident de prendre une petite revanche. Ils concluent qu'ils méritent bien une petite compensation et montent hâtivement une expédition secrète en vue de récupérer une partie des lingots volés par Saddam Hussein au Koweit. Au cours de leur étrange périple dans le désert irakien, les quatre aventuriers découvrent pour la première fois le vrai visage de la guerre. |George Clooney (Archie Gates)@Mark Wahlberg (Troy Barlow )@Ice Cube (le sergent-chef Elgin)@Nora Dunn (Adriana Cruz )@Mykelti Williamson (le colonel Horn )@Jamie Kennedy (Walter Wogaman )@Spike Jonze (Conrad Vig )@Cliff Curtis (Amir Abdullah )@Saïd Taghmaoui (le capitaine Saïd)@Holt McCallany (Capitaine Doug Van Meter)@Marsha Horan (la femme d'Amir)@Judy Greer (Cathy Daitch)@Christopher Lohr (Teebaux)@Jon Sklaroff (Paco)@Liz Stauber (Debbie Barlow)@||Secrets de tournage :
Mercedès, véhicule de remplacement
Leurs jeeps étant détruites par des tirs de mortier, les soldats américains, incarnés par George Clooney, Ice Cube, Mark Wahlberg et Spike Jonze achètent, grâce aux lingots d'or qu'ils possèdent, des voitures de luxe à des Koweïtiens. La production du film n'a pas lésiné sur les moyens, puisque parmi ces véhicules de remplacement figure une Mercedes W 126 noire, celle que conduira Spike Jonze et qui explosera quelques minutes plus tard sous les tirs des militaires irakiens.
Catherine Hardwicke, chef décoratrice, se confesse :
" Nous disposions, bien sûr, de quantité de vidéos fournies par CNN, mais elles ne nous renseignaient pas sur le style et l'apparence des villages locaux. Quant aux archives des bibliothèques d'architecture, elles étaient datées et de peu d'utilité. Nous avons donc infiltré deux "espions" en Irak, qui nous ont ramené des photos et avons également fait appel aux collections particulières de nos conseillers irakiens et de certains de nos figurants. "
L'Irak en Amérique ?
Le tournage en Irak étant exclu, l'équipe du film a choisi de rester sur le continent américain. Elle s'est tout d'abord installée pendant trois semaines dans les dunes d'El Centro en Californie, avant de déménager pour le désert de Mexicali (Mexique).
Le village irakien que l'on voit dans le film a été reconstitué dans une vieille mine abandonnée de Casa Grande en Arizona.
David O'Russell, le metteur en scène, à propos de la vraisemblance du film :
" Dans ce film, presque tout est vrai. Saddam a effectivement volé au Koweït des lingots d'or qu'il a mis fort longtemps à restituer. On s'est alors aperçu qu'une partie de ce trésor s'était volatilisée. Par ailleurs, de nombreux soldats américains, accueillis en héros à leur retour, sont restés sur la touche durant la Guerre du Golfe. Et certains regrettaient amèrement qu'on ait laissé Saddam au pouvoir et libre de se venger de son peuple. "
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The Simpsons Movie|David Silverman|Animation||3|américain|2007|86|Anglais||XviD|||XVID|932 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|163 Kbps|False|44.1 KHz|2|687||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Richard Sakai Mike Scully Dan Greaney Ron Hauge David Mirkin Mike Reiss Max Pross Tom Gammill Jeff Westbrook Richard Raynis Bonnie Pietila Denise Sirkot|Matt Groening James L. Brooks Jon Vitti Mike Scully Al Jean Ian Maxtone-Graham David Mirkin Mike Reiss Matt Selman George Meyer John Swartzwelder|||Twentieth Century Fox France||Lorsqu'Homer pollue gravement le lac de Springfield, une agence de protection de l'environnement décide de mettre la ville en quarantaine en l'isolant sous un énorme dôme. Les Springfieldiens, fous de rage, sont bien décidés à lyncher le coupable. Devant cette vague d'animosité, les Simpson n'ont d'autre choix que de fuir et de s'exiler en Alaska. |Philippe Peythieu (Homer Simpson / Grand-père Simpson / Otto (voix française))@Véronique Augereau (Marge Simpson (voix française))@Joëlle Guigui (Bart Simpson (voix française))@Aurélia Bruno (Lisa Simpson / Milhouse (voix française))@Pierre Laurent (Apu / Barney / Ned Flanders / Smithers (voix française))@Gilbert Levy (Moe (voix française))@Michel Modo (Montgomery Burns / Krusty le Clown (voix française))@Regine Teyssot (Todd Flanders (voix française))@||Secrets de tournage :
La longue vie des Simpson
La série télévisée créée par Matt Groening bénéficie d'une longévité exceptionnelle : dix-huit saisons au compteur depuis la diffusion du premier épisode, en décembre 1989. L'adaptation cinématographique, Les Simpson - le film représente une suite logique que le créateur de la série a toujours souhaitée, et fait écho à un anniversaire très particulier : le 400e épisode, diffusé aux Etats-Unis en mai 2007.
Les voix françaises
Pour la sortie du film Les Simpson, la Fox a veillé à ce que les doubleurs français de la série reprennent leurs rôles respectifs. On retrouve donc Philippe Peythieu qui prête sa voix à Homer, Véronique Augereau dans la peau de Marge, Jöelle Guigui dans celle de Bart, et Aurélia Bruno qui fait Lisa.
Une intrigue jalousement gardée
Bien qu'on en connaisse les grandes lignes, l'intrigue du film a été jalousement gardée par les créateurs Matt Groening et Al Jean, désireux de conserver une part de mystère et de suspense jusqu'à la sortie officielle en salles.
Une équipe qui gagne
L'équipe qui a travaillé sur Les Simpson - le film est la même qui fabrique depuis 1989 les épisodes de la série télévisée, dont David Silverman, le réalisateur, qui faisait déjà partie de l'aventure à l'époque du "Tracey Ullman Show". Mais tous les scénaristes de la série n'ont pas participé à l'écriture du film : tandis qu'une équipe s'occupait des épisodes de la saison en cours, une autre s'attelait au script, tout en intégrant des idées proposées par la première équipe. Cette continuité artistique offre au film une cohérence à tous les niveaux - esthétique et scénaristique.
Des doubleurs aux mille voix
Derrière les voix des membres de la famille Simpson se cachent des doubleurs de talent, dont ce n'est pas là l'unique métier. Philippe Peythieu, qui incarne Homer, outre le doubleur régulier de Danny DeVito, est aussi intervenant en expression et communication à l'université Paris VII, lecteur au centre national Georges Pompidou, et s'investit dans la formation professionnelle. Véronique Augereau, qui fait la voix de Marge, est également comédienne de théâtre et prête son timbre à des actrices comme Jamie Lee Curtis, Linda Hamilton ou Rene Russo.
Un producteur très éclectique
Le producteur exécutif du film Les Simpson - le film (et de la série animée) est également un touche-à-tout de l'art : couronné par trois Oscars et dix-sept Emmy Awards, James L. Brooks a été successivement scénariste et producteur pour la télévision et pour le grand écran, réalisateur (avec, récemment, Pour le pire et pour le meilleur qui a rapporté à Jack Nicholson et Helen Hunt l'Oscar de la meilleure interprétation), ainsi que producteur et metteur en scène de théâtre.
Al Jean, le second larron
Producteur exécutif aux côtés de Matt Groening, Al Jean travaille sur Les Simpson depuis le début de la série en 1989 et a participé à plus de trois cent cinquante épisodes. Il en a écrit ou coécrit plusieurs, dont Ste Lisa Blues, Il était une fois Homer et Marge, Simpson Horror II & III, Mon pote Michael Jackson, Simpsoncalifragilisticexpiala(annoyed grunt)cious, Homer perd la boule, La vengeance du clown, La garderie d'Homer et HOMR.
Vraie-fausse 2-D
Les Simpson - le film profite d'une évolution technique jusque là inédite dans la série : bien que majoritairement animé dans une classique 2-D, certains plans bénéficient d'un traitement en 3-D, à l'image de certains décors ou objets. La différence n'est pas gênante mais se remarque à l'oeil nu. C'est un mélange technique que Matt Groening a déjà utilisé pour sa série Futurama.
Bart fait encore des siennes
Avant même sa sortie, Les Simpson - le film a provoqué un mini-scandale aux Etats-Unis lorsque le créateur de la série, Matt Groening, a dévoilé que, dans une séquence du film, Bart apparaît brièvement dans son plus simple appareil. Le long-métrage a tout de même échappé à l'interdiction aux moins de 16 ans, mais cette révélation a mis en émoi les ligues puritaines américaines ainsi que la commission de contrôle cinématographique. Ce n'est pourtant pas grand chose à côté de ce que Bart, l'enfant terrible et trash de la famille Simpson, fait subir à ses amis et parents tout au long des quelques quatre cents épisodes que compte la série...
Première à Springfield
La sortie américaine des Simpson - le film, fin juillet, devait être précédée d'une projection en avant-première à Springfield, en référence à la ville dans laquelle évolue la famille Simpson. Mais puisqu'il existe plus de deux cents Springfield aux Etats-Unis, depuis l'Oregon jusqu'au Massachusetts, la Fox avait lancé un concours pour déterminer celle qui accueillerait la projection parmi seize finalistes. C'est finalement le Springfield du Vermont qui a remporté la palme de la ville la plus "simpsonable".
« Préc.
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The Tommyknockers|John Powers|Epouvante-horreur||3|américain, néo-zélandais|1993|114|Anglais||DX50|||DX50|762 Kbps|500x374|MPEG-1 Audio layer 3|80.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|698||||31.514|27/08/2009 00:00:00|Jayne Bieber Jane Scott|Lawrence D. Cohen|Dan Burstall||||Lors d'une promenade en forêt, une jeune femme fait une étrange découverte. Elle trébuche sur ce qu'elle croit être un simple morceau de métal, mais qui se révèle être un vaisseau spatial enseveli. Une trouvaille va provoquer certains changements dans son entourage... |Jimmy Smits (Jim 'Gard' Gardner)@Marg Helgenberger (Roberta 'Bobbi' Anderson)@John Ashton (Butch Duggan)@Allyce Beasley (Becka Paulson)@Robert Carradine (Bryant Brown)@Joanna Cassidy (Ruth Merrill)@Annie Corley (Marie Brown)@Cliff De Young (Joe Paulson)@Traci Lords (Nancy Voss)@E.G. Marshall (Ev Hillman)@Yvonne Lawley (Mabel Noyes)@Bill Johnson (Elt Barker)@Peter Rowley (Benton Rhodes)@John Sumner (M. Arberg)@Elizabeth Hawthorne (Patricia McCardle)@||||||||||||@@
Les Trois frères|Bernard Campan Didier Bourdon|Comédie||4|français|1995|104|Français||DivX|||DIVX|846 Kbps|608x352|WMA2|64.1 Kbps|False|44.1 KHz|2|688||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Claude Berri Patrick Bordier Segolene Fleury-Slimane Alexandra Lederman Paul Lederman|Didier Bourdon Bernard Campan Michel Lengliney|Alain Choquart||AMLF||Le même jour, trois hommes découvrent qu'ils sont frères et héritent de 300 millions. Mais dix jours plus tard, l'héritage est détourné... et la galère commence pour trois frères qui n'ont que faire d'être frères. |Pascal Légitimus (Pascal Latour)@Didier Bourdon (Didier Latour)@Bernard Campan (Bernard Latour)@Anne Jacquemin (Marie)@Antoine du Merle (Michael)@Marine Jolivet (Christine)@Claude Berri (le président du tribunal)@Bernard Farcy (Steven)@Elie Semoun (Brice)@Yolande Moreau (La patronne du PMU)@Annick Alane (Geneviève)@Michel Berto (Le greffier)@Benjamin Lemaire (un écolier)@Sabine Tingry (La femme du film porno)@Igor Czaplejewicz (L'homme du film porno)@||Secrets de tournage :
Une idée qui date de 1994...
C'est juste après Les Trois Freres, leur premier long métrage, que Les Inconnus ont eu l'idée de faire un film sur le thème des Rois Mages. Pour ceux qui s'en souviennent, la scène finale des Trois frères met en scène le trio dans une cantine scolaire où l'un des cuisiniers appelle Pascal Legitimus Balthazar. C'est donc de là qu'a germé l'idée des Les Rois mages. Six ans après et quelques projets parallèles, l'aventure prendra forme...
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The Three Days of the Condor|Sydney Pollack|Thriller||3|américain|1975|112|||DX50|||DX50|723 Kbps|720x288|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|693||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Stanley Schneider|Lorenzo Semple Jr. David Rayfield|Owen Roizman||Les Acacias||Un romancier sans succès met à jour un réseau d'espions au sein même de la CIA... |Robert Redford (Joe Turner)@Faye Dunaway (Kathy Hale)@Max von Sydow (Joubert)@Cliff Robertson (Higgins)@John Houseman (M. Wabash)@Tina Chen (Janice)@Addison Powell (Atwood)@Carlin Glynn@||Secrets de tournage :
Adapté d'un roman de James Grady
Les Trois jours du Condor est l'adaptation cinématographique du roman de James Grady Six days of the Condor. Les scénaristes David Rayfield et Lorenzo Semple Jr. remanièrent le script pour conférer à l'intrigue un aspect plus politique.
Un climat de paranoïa
Les Trois jours du Condor s'inscrit dans la même mouvance que le thriller A cause d'un assassinat, dont le scénariste est également Lorenzo Semple Jr., et la Palme d'Or Conversation secrète, où Gene Hackman interprète un spécialiste de la filature. Ces films reflètent le climat de paranoïa de l'époque, provoqué par le scandale du Watergate et la méfiance des citoyens américains envers leurs institutions.
Redford / Pollack : une fructueuse collaboration
Sydney Pollack dirigea Robert Redford à sept reprises : dans Propriété interdite (1966), Jeremiah Johnson (1972), Nos plus belles années (1973), Les Trois jours du Condor (1975), Le Cavalier électrique (1979), Out of Africa (1985) et Havana (1990).
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Les Visiteurs|Jean-Marie Poiré|Comédie||3|français|1993|102|Français||DIVX|||DIVX|756 Kbps|512x296|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|652||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Alain Terzian|Jean-Marie Poiré Christian Clavier|Jean-Yves Le Mener|||Saga : Les Visiteurs |Comment en l'an de grace 1112 le comte de Montmirail et son fidele ecuyer, Jacquouille la Fripouille, vont se retrouver propulses en l'an 1992 apres avoir bu une potion magique fabriquee par l'enchanteur Eusaebius leur permettant de se defaire d'un terrible sort. |Jean Reno (Le comte Godefroy de Montmirail)@Christian Clavier (Jacquouille / Jacquart)@Valérie Lemercier (Béatrice de Montmirail / Frénégonde de Pouille)@Marie-Anne Chazel (Ginette la clocharde)@Christian Bujeau (Jean-Pierre)@Isabelle Nanty (Fabienne Morlot)@Didier Bénureau (Intern Beauvin)@Didier Bénureau (L'interne)@François Lalande (Le curé)@Frédéric Baptiste (Freddy)@Pierre Vial (Eusebius/Monsieur Ferdinand)@Jean-Paul Muel (Marechal des Logis Gibon)@Jean-Marie Poiré (Un villageois (non crédité))@Jean-Marie Poiré (Un villageois (non crédité))@Gérard Séty (Egard Bernay)@Didier Pain (Louis VI le Gros)@Tara Gano (La sorcière)@Michel Peyrelon (Edouard Bernay)@Theophile Moussa Sowie (Le postier)@Anna Gaylor (La mère de Godfroid de Mont-Mirail)@Pierre Aussedat (Sergent chef Morlet)@Gérard Vives (Un infirmier (non crédité))@Claire Magnin (La vieille femme qui rajeunit)@Eric Averlant (Frère Raoul)@Arielle Séménoff (Jacqueline)@Jean-Pierre Clami (Le directeur du restaurant)@Dominique Delguste (Un infirmier (non crédité))@David Gabison (Le maître d'hôtel)@Thierry Liagre (Le cuisinier du restaurant)@Jean-Luc Caron (Ganelon)@Paul Bandey (Henri 1er roi d'Angleterre)@Patrick Burgel (Le duc de Pouille)@||Secrets de tournage :
Autour du film
Le château d'Ermenonville a servi de décor pour le château de Montmirail à l'époque actuelle et le Château de Beynac pour l'époque médiévale.
Récompenses et nominations
César de la meilleure actrice dans un second rôle - Valérie Lemercier
Nomination au César du meilleur film
Nomination au César du meilleur réalisateur - Jean-Marie Poiré
Nomination au César du meilleur scénario original ou adaptation - Christian Clavier et Jean-Marie Poiré
Nomination au César du meilleur acteur - Christian Clavier
Nomination au César du meilleur acteur - Jean Reno
L'aventure continue...
Devant le succès énorme des Visiteurs, toute cette fine équipe ne pouvait décemment pas en rester là. C'est ainsi qu'une suite verra le jour en 1998, intitulée Les Visiteurs 2 : Les Couloirs du temps. Enfin en 2000, un remake américain dont l'action se déroule à New York sort en salle sous le nom Les Visiteurs en Amérique. On retrouve la même équipe agrémentée de quelques petits nouveaux, comme par exemple Malcolm McDowell, le héros d'Orange mécanique.
Des répliques cultes...
Les Visiteurs regorge de répliques désormais cultes telles que " Okaaayyy ! ", " Qu'est-ce que c'est que ce binnnzzzz ! " ou encore " C'est diiinnngue ! ". Longtemps les cours de récré auront résonné de ces expressions gravées dans le patrimoine des comédies françaises.
Un couple à l'écran
Les Visiteurs met en vedettes Christian Clavier et Marie-Anne Chazel, qui ont la particularité d'être unis à la ville. Les deux comédiens, inséparables, avaient déjà évolué ensemble dans de nombreux longs métrages comme Les Bronzés, Le Père Noël est une ordure, Tranches de vie ou Mes Meilleurs copains.
Valérie Lemercier récompensée
La comédienne Valérie Lemercier a reçu le César du Meilleur second rôle féminin en 1994 pour sa double-interprétation de Béatrice (dans le présent) et de Frénégonde (au Moyen-âge). Les Visiteurs avait été nommé dans 7 catégories dont celles du Meilleur film, du Meilleur réalisateur et du Meilleur acteur (Clavier et Reno étant ici tous deux nommés).
Un énorme succès au box-office
Les Visiteurs ont décroché la timbale du box-office national. Deuxième plus gros succès du cinéma français derrière La Grande vadrouille, le film a rassemblé plus de 13,7 millions de spectateurs. Un score plus que flatteur qui en fait l'une des comédies les plus populaires de l'hexagone.
D'heureuses retrouvailles
Le film est l'occasion pour le réalisateur Jean-Marie Poiré et les acteurs Jean Réno, Christian Clavier et Valérie Lemercier d'être à nouveau tous réunis après une première collaboration, deux ans plus tôt, sur L'Opération Corned-beef. Mais Christian Clavier connaît depuis longtemps Jean-Marie Poiré, avec lequel il a déjà tourné dans, notamment, Le Père Noël est une ordure et Papy fait de la résistance.
L'origine du projet
La naissance des Visiteurs résulte d'une situation pour le moins cocasse. C'est alors d'un déménagement en 1990 que l'idée de faire le film est venue au réalisateur Jean-Marie Poiré. Celui-ci retrouva un petit texte qu'il avait écrit durant sa scolarité et dans lequel on pouvait déjà déceler les bases de ce qui allait devenir l'un des plus gros succès du cinéma français.
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Les contributeursCe film a reçu 2 contributions, pour les secrets de tournage, de: Viggo90
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Les visiteurs 2 : Les couloirs du temps|Jean-Marie Poiré|Comédie||2|français|1998|112|Français||DX50|||DX50|774 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|82.3 Kbps|False|32.0 KHz|2|697||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Alain Terzian|Jean-Marie Poiré Christian Clavier|Christophe Beaucarne|||Saga : Les Visiteurs |Un coup de théâtre interrompt les préparatifs du mariage de Godefroy de Montmirail et de Frenegonde de Pouille. On vient de dérober au duc, le père de Frenegonde, la dentelette de Sainte-Rolande, relique sacrée qui assure fecondité aux femmes de la famille de Pouille ainsi que tous ses bijoux. Ce sont Jacquouille et Ginette qui ont fait ce larcin et sont partis dans le présent. Il ne reste plus qu'une solution à Godefroy s'il veut réaliser son mariage et assurer sa descendance : repartir dans le présent, recupérer les bijoux, la dentelette et Jacquouille la fripouille. |Jean Reno (Le comte Godefroy de Montmirail)@Christian Clavier (Jacquouille / Jacquart)@Muriel Robin (Béatrice/Frénégonde)@Marie-Anne Chazel (Ginette)@Philippe Nahon (Le gérant du supermarché)@Claire Nadeau (Claire)@Christian Bujeau (Jean-Pierre)@Olga Sékulic (Hilda)@Olivier Claverie (Le médecin)@Philippe Morier-Genoud (Frère Ponce)@Michèle Garcia (Madame Frangin)@Jonathan Reyes@Jacques François (le mari de Gisèle)@Sylvie Joly (Gisèle)@Armelle (Pétronille)@Marie Guillard (Philippine de Montmirail)@Pierre Vial (Eusebius/Monsieur Ferdinand)@Philippe Morier-Genoud (Frère Ponce)@Jean-Paul Muel (Marechal des Logis Gibon)@Jacques Mathou (Monsieur Lumeau-Péricard)@Jean-Marie Poiré (Lui-même (dans les crédits de fin - non crédité))@Jean-Marie Poiré (Lui-même (dans les crédits de fin - non crédité))@Candide Sanchez (Paulo)@Didier Bénureau (Dr Bovin)@Francois Gamard (La garagiste Pochard)@Christian Pereira (Capitaine Batardet)@Michel Cremades (Le chanteur Lucien Remoux)@Theophile Moussa Sowie (Le postier)@Laurence Badie (Odette)@Laurent Gendron (Le pompiste)@Louba Guertchikoff (La maman d'Odette)@Franck-Olivier Bonnet (Boniface)@Philippe Beglia (Duc de Luigny)@Elisabeth Margoni (Madame Lumeau-Péricard)@Eric Averlant (Frère Raoul)@Olivier Claverie (Le médecin)@Roger Dumas (Maître Valoche)@Jérôme Hardelay (Le fils de béatrice)@Arielle Séménoff (Jacqueline)@Damien Ferrette (Le soldat de l'an II)@Josette Menard (La maman de Dany)@David Gabison (Le maître d'hôtel)@Jean-Marc Huber (Un moine (non crédité))@Jean-Luc Caron (Ganelon)@David Talbot (Le noble froussard)@Patrick Burgel (Duc Fulbert)@Cédéric Deruytère (Un garçon au supermarché (non crédité))@Frédéric Baptiste (Freddy)@||Secrets de tournage :
Une suite, tout de suite...
La fin des Visiteurs était assez ouverte pour envisager une suite. Le premier épisode étant un franc succès, 14 millions d'entrées en salles, Christian Clavier et Jean-Marie Poiré conçoivent assez rapidement une suite. Mais Valérie Lemercier, qui tient l'un des rôles principaux, avait déjà exprimé le souhait, pendant la promotion du premier opus, de ne pas poursuivre l'aventure au cas où une suite serait mise en chantier. C'est la principale raison qui a repoussé le premier tour de manivelle. Muriel Robin reprendra finalement le rôle.
Une grosse production à la française
Le budget des Visiteurs 2 est l'un des plus gros jamais réuni en France : 140 millions de francs en tout, contre 50 millions pour le premier volet des aventures de Godefroy et Jacquouille. Au passage, les deux vedettes du film ont empoché chacun dix millions de francs.
Une autre grande partie du budget a été investie dans les décors. Les scènes se déroulant au Moyen-Age ont été tournées en Dordogne, au Château de Beynac et les autres scènes, en région parisienne et aux Studios d'Epinay.
Le trio infernal
Les Visiteurs 2 marque la troisième collaboration entre Christian Clavier et Jean Reno. Les deux acolytes avaient partagé l'affiche des Visiteurs et de L'Opération corned-beef. Entre 1989 (Mes meilleurs copains) et 1998 (Les Anges gardiens), Clavier et le réalisateur Jean-Marie Poiré ont collaboré à huit reprises. Clavier et Poiré ont également co-signé plusieurs scénarii dont celui des Visiteurs 2, qu'ils ont coproduit. Depuis, le comédien a retrouvé le cinéaste pour Les Visiteurs en Amérique.
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Just Visiting|Jean-Marie Poiré|Comédie||1|américain, français|2001|89|Anglais||DIV3|||DIV3|921 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|657||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Patrice Ledoux Ricardo Mestres|Christian Clavier Jean-Marie Poiré John Hughes|Ueli Steiger||Gaumont Buena Vista International (GBVI)|Saga : Les Visiteurs |Durant la guerre de cent ans, le duc français Thibault de Malfète s'apprête à épouser Rosaline, la fille du roi de Grande-Bretagne. Cependant, Earl de Warrick a l'intention de s'opposer au mariage. Une sorcière lui a concocté une potion à offrir au duc Thibault.
Celui-ci, ne soupçonnant pas la traîtrise, l'ingurgite. Aussitôt victime d'hallucinations, il tue accidentellement sa bien-aimée. Un geste irréversible qui lui vaut la peine de mort. Le duc Thibault est toutefois sauvé par son fidèle serviteur, André le Pâté, et le magicien anglais. Celui-ci leur prépare un breuvage qui leur permettra de remonter le temps et ainsi de pouvoir empêcher la mort de Rosaline. Mais il oublie d'inclure dans la potion un élément crucial et les deux hommes se retrouvent plongés dans les couloirs du temps.
Les deux lascars aboutissent en l'an 2000 à Chicago, dans une chambre reconstruite dans un grand musée à l'occasion d'une exposition sur le Moyen-Âge. Cet événement culturel a été organisé par la conservatrice Julia Malfète qui n'est autre que la descendante de Rosaline et constitue la clé de leur retour chez eux. |Jean Reno (Thibault)@Christian Clavier (André)@Christina Applegate (Rosalind/Julia)@Matthew Ross (Hunter)@Tara Reid (Angélique)@Brigdgette Wilson-Sampras (Amber)@William Bookston (Peasant)@Lorenzo Clemons (Chef de police)@Ric Sarabia (Moine)@Kim Suyun (Danseuse)@Lou Meza (Stiff)@Peter Janosi@Mark Finney (Danseur)@Jennifre' DuMont (Patron du restaurant)@Malcolm McDowell (Le mage)@Kelly Trznadel@Gina Alexander@||Secrets de tournage :
Clavier joue en anglais? et avec le trac
« Je me suis appuyé sur les conseils d'une coach, Mme Klier, une femme remarquable qui s'était déjà occupée de Juliette Binoche avec la réussite que l'on sait. Ensemble, nous avons beaucoup travaillé. Mais lorsque je me suis retrouvé le premier jour à devoir me lancer et ce au milieu d'une équipe de deux cents personnes ne me connaissant pas le moins du monde, n'ayant pas vu Les Visiteurs et encore moins Les Couloirs du temps, l'expression ressentie fut aussi excitante que terrifiante. Extraordinaire. J'avais le trac dicté par une envie de convaincre. Je me retrouvais dans une insécurité que j'avais oubliée, confrontée à une peur régénérante. Il me fallait apprendre à connaître l'autre, à s'apprivoiser. J'avais l'impression de redémarrer, comme au début du Splendid. »
Mais qui est Jean-Marie Gaubert ?
Pour signer la réalisation, Jean-Marie Poiré a utilisé un pseudonyme, Jean-Marie Gaubert.
De Jacquouille à André
En immigrant aux Etats-Unis, les personnages interprétés par Christian Clavier et Jean Reno ont changé de patronymes, Jacquouille devenant André le Pâté et Comte Godefroy de Montmirail le Comte Thibault de Malfete.
John Hughes initiateur du projet et co-scénariste
Dans l'avion qui l'emmenait en Europe, John Hughes a vu Les Visiteurs. Le film lui ayant plu, il contacta, en arrivant à Paris, Gaumont pour négocier avec Christian Clavier et Jean-Marie Poiré, les auteurs du scénario original, et proposa de produire le film avec Disney en partenariat avec Gaumont. Le film était alors lancé.
Le producteur et scénariste de Maman, j'ai raté l'avion (Chris Colombus) a également co-signé le scénario.
2 + 1
Si Les Visiteurs en Amérique est le troisième volet des aventures de Jacquouille la Fripouille et du Comte Godefroy de Montmirail, il s'agit du premier film de la saga tourné en anglais.
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The Curious Case of Benjamin Button|David Fincher|Drame||3|américain|2009|162|Anglais||XviD|||XVID|492 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Frank Marshall Cean Chaffin Kathleen Kennedy|Eric Roth|Claudio Miranda||Paramount Pictures||"Curieux destin que le mien..." Ainsi commence l'étrange histoire de Benjamin Button, cet homme qui naquit à 80 ans et vécut sa vie à l'envers, sans pouvoir arrêter le cours du temps. Situé à La Nouvelle-Orléans et adapté d'une nouvelle de F. Scott Fitzgerald, le film suit ses tribulations de 1918 à nos jours. L'étrange histoire de Benjamin Button : l'histoire d'un homme hors du commun. Ses rencontres et ses découvertes, ses amours, ses joies et ses drames. Et ce qui survivra toujours à l'emprise du temps... |Brad Pitt (Benjamin Button)@Cate Blanchett (Daisy)@Julia Ormond (Caroline)@Taraji P. Henson (Queenie)@Jason Flemyng (Thomas Button)@Tilda Swinton (Elizabeth Abbott)@Jared Harris (Capitaine Mike)@Elias Koteas (Monsieur Gâteau)@Elle Fanning (Daisy à 7 ans)@Madisen Beaty (Daisy à 10 ans)@Mahershalalhashbaz Ali (Tizzy)@Peter Donald Badalamenti II (Benjamin Button 1928-1931)@Robert Towers (Benjamin Button 1932-1934)@Tom Everett (Benjamin Button 1935-1937)@Patrick Holland (Benjamin Button à 36 ans)@Spencer Daniels (Benjamin Button à 12 ans)@Chandler Canterbury (Benjamin Button à 8 ans)@Charles Henry Wyson (Benjamin à 6 ans)@Katta Hules (Caroline à 12 ans)@Libby Foster (Caroline jeune)@Shiloh Jolie-Pitt (Caroline bébé)@Deneen Tyler (la fille de Queenie à 40 ans)@Devyn A. Tyler (la fille de Queenie)@Devyn Tyler (la fille de Queenie à 14 ans)@Christopher Maxwell (Rick Brody)@Joshua DesRoches (Vic Brody)@Joel Bissonnette (David Hernandez)@Ed Metzger (Theodore Roosevelt)@Josh Stewart (Pleasant Curtis)@Faune Chambers (Dorothy Baker)@Earl Maddox (l'homme à la gare)@Emma Degerstedt (danseuse)@David Jensen (médecin)@Lance E. Nichols (le prêcheur)@Eve Brent@Megan Brown (la femme qui embrasse Benjamin)@Bianca Chiminello (la meilleure amie de Daisy)@Henry Robin (invité au dîner)@Eric West (chanteur)@Louis Herthum (homme à la fête de Caroline)@Ted Manson (Mr. Daws)@Wilbur T. Fitzgerald (journaliste télé)@Donna DuPlantier (Blanche Devereux)@Henry Pelitire (chômeur)@Jacob Tolano (Martin Gateau)@Brianna Womick (danseuse)@Joanna Sayler (Mrs. Button)@Walter Delmar (danseur)@Naima Imani Lett (Madame)@Rus Blackwell (Robert Williams)@Aliane Baquerot (danseuse de l'Opéra de Paris)@Michael Wozniak (officier pendant la 1ère Guerre Mondiale)@Jeanne Bourgeois (Judith, la mère de Daisy)@Dewayne Bateman (membre de la famille)@Myrton Running wolf (Dennis Smith)@Jacob Wood (Martin Gâteau)@David Paterson (Walter Abbott)@Emily Howe (infirmière française)@Lauri Christi@Geraldine Glenn (membre de la famille)@Allison Robin (invitée au dîner)@Joe Fontana (Clites)@Garrett Forbes (danseur)@Craig Sawyer@Cameron Cash (danseur)@Jody Thompson (policier en 1919)@Louis Dupuy (chauffeur de taxi)@Brett Beoubay (policier en 1918)@Victoria Goulet (barmaid)@Zuri Goldman (Guy Gadbois)@Paula Gray (Sybil Wagner)@Malerie Grady (danseuse)@Jason McLaughlin@Aaron Jennings Hartnell@Mitchell Falk (Français dans la barque)@Cynthia LeBlanc (cliente du restaurant)@Danny Vinson (le prêtre)@David Jensen (le médecin accoucheur)@Joeanna Sayler (Caroline Button)@Fiona Hale (Mrs. Hollister)@Patrick Thomas O'Brien (Dr. Rose)@Marion Zinser (Mrs. Horton)@Danny Nelson (le Général Winston)@Paula Gray (Sybil Wagner)@Lance Nichols (le prédicateur)@Rampai Mohadi (Ngunda Oti)@Troi Bechet (Filamena Gilea)@Phyllis Somerville (Grandma Fuller)@Ted Manson (Mr. Daws)@Clay Cullen (Mr. Daws jeune)@Edith Ivey (Mrs. Maple)@Sonya Leslie (l'infirmière de Daisy)@Yasmine Abriel (la prostituée avec Benjamin)@Don Creech (Prentiss Mayes)@Richmond Arquette (John Grimm)@Josh Stewart (Pleasant Curtis)@Ilia Volok (l'interprète russe)@Taren Cunningham (Elizabeth Abbott jeune)@Myrton Running wolf (Dennis Smith)@Stephen Monroe Taylor (un marin)@Adrian Armas (David)@Wilbur Fitzgerald (le reporter TV)@Ashley Nolan (la doctoresse)@Louis Herthum (un homme à la réception de Caroline)@Rus Blackwell (Robert Williams)@Joel Bissonnette (David Hernandez)@Jessica Cropper (une danseuse)@Katherine Crockett (une danseuse)@||Secrets de tournage :
Un budget !
Le budget de l'Etrange histoire de Benjamin Button s'élève à 150 millions de dollars, en raison de la longueur importante du film et des effets spéciaux coûteux.
Les réalisateurs éventuels
Le réalisateur du film Dans la peau de John Malkovich, Spike Jonze, fut pressentie pendant un moment pour mettre en scène L'Etrange histoire de Benjamin Button. De même en 1998, il fut question du metteur en scène Ron Howard, avec John Travolta dans le rôle titre.
Deux acteurs pour interpréter Button ?
Pour régler les problèmes techniques liés au veillissement de Brad Pitt, il avait été suggéré de changer d'acteur et de prendre Robert Redford pour interpréter Benjamin Button vieux.
Le système caméra Contour !
Pour transformer le visage de Brad Pitt, David Fincher a utilisé une technique très récente, un système caméra nommé "Contour", développée par la firme Apple en 2006 et plus précisément par l'ingénieur Steve Perlman. Il s'agit d'appliquer une poudre phosphorescente qui est invisible à la lumière sur le visage de l'acteur, puis à l'aide d'un système d'éclairage et de plusieurs caméras synchronisées, les ordinateurs se chargent de capter en 3D le visage de l'acteur.
Le maquillage
Le vieillissement progressif de Benjamin Button est assuré à la fois par les maquillages spéciaux de Greg Cannom et les effets visuels, supervisés par Eric Barba, collaborateur de longue date de Fincher. Pour assurer son rôle, Brad Pitt a nécessité cinq heure de maquillage par jour.
Un long tournage!
En raison de la complexité des effets spéciaux, le tournage de L'étrange histoire de Benjamin Button a duré 150 jours.
Et de trois
L'Etrange histoire de Benjamin Button marque la troisième collaboration entre Brad Pitt et le réalisateur David Fincher, après les films cultes Seven (1996) et Fight Club (1999).
L'adaptation d'une nouvelle
L'Etrange histoire de Benjamin Button est adapté d'une nouvelle de Francis Scott Fitzgerald, elle-même inspirée d'une pensée de Mark Twain : "La vie serait bien plus heureuse si nous naissions à 80 ans et nous approchions graduellement de nos 18 ans".
Une adaptation difficile
Adapter la nouvelle de Francis Scott Fitzgerald a été jugé trop ambitieux durant une quarantaine d'années. Pour cette raison, sa réalisation semblait relever du fantasme, jusqu'au jour où les producteurs Kathleen Kennedy et Frank Marshall s'en sont emparés.
L'ouragan Katrina
L'Etrange histoire de Benjamin Button a été tournée dans divers extérieurs, dont Montréal, les Caraïbes et La Nouvelle-Orléans, ville natale du personnage, à peine remise du désastre Katrina. "Nous avions décidé d'y tourner avant l'ouragan, et il y eut une période d'incertitude durant laquelle nous nous sommes demandés si nous y arriverions. Mais, deux jours après la catastrophe, la ville nous appela, nous encourageant vivement à persister. Le soutien inconditionnel de la municipalité et de la population, l'extraordinaire talent de nos acteurs et techniciens ont permis d'aplanir les problèmes logistiques. L'expertise de David dans les moindres facettes de la réalisation d'un film a permis à chacun de se faire une idée claire de la situation. Le tournage s'est donc déroulé sans accroc." raconte la productrice Kathleen Kennedy. L'Etrange histoire de Benjamin Button est le second film, après Déjà vu, à tourner à la Nouvelle-Orléans, depuis l'ouragan Katrina.
« Préc.
Levi's habille Benjamin Button
L'équipe de L'Etrange histoire de Benjamin Button a beaucoup travaillé avec la marque de jean's Levi's pour obtenir des vêtements correspondants aux périodes traversées dans le film.
« Préc.
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Letters from a Killer|David Carson|Drame|||G.-B./Etats-unis|1998|98|||DX50|||DX50|885 Kbps|640x336|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|32.0 KHz|2|698||||25.000|06/08/2009 00:00:00|||||||Injustement condamné pour le meurtre de sa femme, Race Darnell attend depuis sept ans son exécution dans les couloirs de la mort d'un pénitencier de l'Utah. Pour supporter cette incarcération, il correspond avec quatre femmes. Chacune ignore l'existence des trois autres. Toutes l'aiment et sont prêtes à vivre avec lui s'il retrouve la liberté.
Justement et contre toute attente, l'avocat de Race découvre que le procès de son client était truqué et parvient à prouver son innocence. Il sort enfin de prison, mais il quitte un enfer pour un autre... |||||||||||||@@
Awakenings|Penny Marshall|Drame||3|américain|1991|115|Anglais||DivX|||DIVX|674 Kbps|512x272|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|643||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Lawrence Lasker Walter F. Parkes|Steven Zaillian|Miroslav Ondricek||Columbia Pictures||L'histoire d'un jeune chercheur qui se voit confier un groupe de malades chroniques atteints de troubles psychiques profonds, derniers rescapes d'une epidemie d'encephalite. Il va peu a peu les ramener a la vie grace a un nouveau remede et s'occupe plus particulierement de l'un d'entre eux, Leonard Lowe. |Robert De Niro (Leonard Lowe)@Robin Williams (Dr Malcolm Sayer)@Penelope Ann Miller (Paula)@Julie Kavner (Eleanor Costello)@Max von Sydow (Docteur Peter Ingham)@Vin Diesel (un employé de l'hôpital)@James Medina@John Heard (Dr Kaufman)@Alice Drummond (Lucy)@Peter Stormare (un spécialiste en neurologie)@||||||||||||@@
The Exorcism of Emily Rose|Scott Derrickson|Thriller|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|2005|117|Anglais||XviD|||XVID|695 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Paul Harris Boardman Beau Flynn Gary Lucchesi Tom Rosenberg Tripp Vinson|Paul Harris Boardman Scott Derrickson|Tom Stern||Screen Gems Inc.||Lorsque Emily Rose quitte sa province, c'est pour aller étudier à l'université. Une nuit, seule dans sa chambre d'étudiante, elle est la proie d'hallucinations et d'une rencontre surnaturelle qui la laissera épouvantée. Convaincue qu'elle est harcelée par les forces démoniaques, Emily sombre peu à peu, victime de symptômes de plus en plus spectaculaires. Perdue et terrifiée, Emily demande au prêtre de sa paroisse, le père Richard Moore, de l'exorciser...
Au terme du combat contre sa possession, la jeune fille trouve la mort. Accusé d'homicide par imprudence, le père Moore se retrouve au coeur d'un procès qui va ébranler les convictions de tous. Défendu par Erin Bruner, une célèbre avocate qui ne croit pas au surnaturel, Moore n'a plus l'ambition d'être innocenté, il veut simplement que tout le monde sache ce qui est réellement arrivé à Emily... |Laura Linney (Erin Bruner)@Tom Wilkinson (le Père Moore)@Campbell Scott (Ethan Thomas)@Jennifer Carpenter (Emily Rose)@Joshua Close (Jason)@Kenneth Welsh (Dr. Mueller)@Duncan Fraser (Dr. Cartwright)@J.R. Bourne (Ray)@Mary Beth Hurt (le juge Brewster)@Henry Czerny (Dr. Briggs)@Shohreh Aghdashloo (Dr. Adani)@Steve Archer (l'homme dans le bar)@Colm Feore (Karl Gunderson)@Mary Black (Dr Vogel)@Julian Christopher (Le district attorney)@||Secrets de tournage :
Note d'intention
Scott Derrickson, réalisateur et coscénariste du film, explique ses intentions : "Dans L'Exorcisme d'Emily Rose, les flash-back permettent de faire resurgir les différents points de vue. Le public peut se faire sa propre opinion. Je souhaitais aussi faire un film qui pousse les gens à se demander ce qu'ils croient à propos du mal, à propos des démons. Inévitablement, en posant de telles questions, on finit par s'interroger sur Dieu, la morale, la nature de la mémoire et la vérité..."
Inspirée d'une histoire vraie
Le film s'inspire fidèlement du cas réel de la jeune Emily Rose et du procès du père Moore. Scott Derrickson et Paul Harris Boardman faisaient des recherches pour un scénario destiné au producteur Jerry Bruckheimer lorsqu'ils ont découvert cette histoire grâce à un officier de police de la ville de New York spécialisé dans les phénomènes paranormaux.
Paul Harris Boardman raconte : 'Le policier nous a fait écouter une cassette audio extraite d'un authentique exorcisme, et c'était à vous glacer le sang. Il nous a donné des éléments sur l'histoire qui étaient tout simplement fascinants."
Jennifer Carpenter recommandée sur les conseils de Laura Linney
Scott Derrickson n'avait aucune idée de l'actrice qui allait incarner Emily Rose, jusqu'à ce que Laura Linney lui suggère de faire passer une audition à Jennifer Carpenter. Toutes deux avaient joué ensemble La Chasse aux sorcières à Broadway, et Laura Linney se souvenait de Jennifer comme de l'une des jeunes actrices les plus douées qu'elle ait rencontrées.
Le réalisateur se souvient : "L'audition de Jennifer a modifié toute mon approche du film. Quand j'ai vu ce dont elle était capable, les sons qu'elle émettait et la façon dont elle faisait bouger son corps, j'ai su que je n'aurais pas besoin d'effets spéciaux. Elle était à la fois hors d'elle et d'une maîtrise parfaite, c'en était effrayant."
Préparation au rôle
Jennifer Carpenter s'est préparée à son rôle comme l'aurait fait un athlète, afin d'être prête à faire absolument tout ce que voudrait le réalisateur, physiquement ou mentalement, et d'être capable d'aller jusqu'où il le voudrait. Elle a ainsi lu plusieurs livres sur la possession et l'exorcisme et a fait des recherches sur l'épilepsie. "J'ai essayé de regarder tout cela avec du recul et de ne pas laisser entrer en ligne de compte mon point de vue personnel", ajoute l'actrice.
Loin du gothique...
Le scénariste-réalisateur a donné au chef décorateur David Brisbin des photos des toiles de Francis Bacon très proches de ce qu'il souhaitait pour son film, à la fois en termes de couleurs et d'émotions. "Ce ne sont pas des couleurs que l'on associe généralement au macabre, souligne Scott Derrickson, mais elles sont utilisées d'une manière profondément perturbante. L'importance du contraste, le jeu entre la lumière et l'ombre est essentiel."
David Brisbin explique : "En général, je n'aime pas l'idée de caractériser les personnages ou la psychologie par la couleur. Cependant, le film de Scott est très fort, et le sujet particulier. Cela prenait aussi un sens en regard des peintures de Bacon. La palette de couleurs de L'Exorcisme d'Emily Rose se divise en plusieurs zones. L'orange représente la terreur, le rouge bordeaux le questionnement et le blanc l'espoir."
Les références cinématographiques données par le cinéaste pour définir le style visuel allaient de Dario Argento à Ingmar Bergman. David Brisbin précise : "Scott s'est efforcé de contourner, de déformer les genres. Il a choisi des références qui n'appartiennent pas à l'horreur, il était important pour lui de dresser le portrait d'un monde réel. Nous nous sommes tenus délibérément éloignés du gothique, sauf dans les moments les plus traditionnels liés à la foi, comme la scène dans la chapelle."
Dans un souci de réalisme
Les effets visuels ont été conçus uniquement pour renforcer la réalité, sans aller au-delà. Michael Shelton, superviseur des effets visuels, explique : "En tant que créateur d'effets, je cherche à maintenir un haut degré de réalisme. On voit beaucoup de créatures dans les films à effets, mais ce n'était pas le propos ici. La difficulté était de présenter des effets crédibles, pour que le public se sente déstabilisé mais pas déconnecté de la réalité."
Le procédé du "tracking make-up"
Les effets ont été employés de manière innovante dans des situations qui nécessitent normalement l'utilisation de maquillages spéciaux avec prothèses. La technique numérique du tracking make-up a offert aux artistes un meilleur contrôle et une plus grande liberté de création. Michael Shelton, superviseur des effets visuels, précise : "Nous ne sommes ainsi plus limités par la structure osseuse, les défauts d'aspect ou les restrictions d'éclairage."
La création des maquillages en tracking commence par la création de modèles 3D de la tête des acteurs. Shelton explique : "Une fois la séquence tournée, nous vérifions les angles, les mouvements et la lumière, puis nous passons à l'animation de la tête 3D pour recopier précisément ce que fait l'acteur. Ensuite, nous "posons" le maquillage numérique sur la tête 3D, nous calculons uniquement le maquillage puis l'intégrons à l'image filmée par la caméra.
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The Exorcist|William Friedkin|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|1974|126|Anglais||DX50|||DX50|657 Kbps|720x400|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|694||||25.000|28/07/2009 00:00:00|William Peter Blatty|William Peter Blatty|Billy Williams||Warner Bros. France|Saga : L'Exorciste |En Irak, le Père Merrin est profondément troublé par la découverte d'une figurine du démon Pazuzu et les visions macabres qui s'ensuivent.Parallèlement, à Washington, la maison de l'actrice Chris MacNeil est troublée par des phénomènes étranges : celle-ci est réveillée par des grattements mystérieux provenant du grenier, tandis que sa fille Regan se plaint que son lit bouge.Quelques jours plus tard, une réception organisée par Chris est troublée par l'arrivée de Regan, qui profère des menaces de mort à l'encontre du réalisateur Burke Dennings. Les crises se font de plus en plus fréquentes. En proie à des spasmes violents, l'adolescente devient méconnaissable.Chris fait appel à un exorciste. L'Eglise autorise le Père Damien Karras à officier en compagnie du Père Merrin. Une dramatique épreuve de force s'engage alors pour libérer Regan. |Ellen Burstyn (Chris MacNeil)@Max von Sydow (Le Père Merrin)@Lee J. Cobb (le lieutenant Kinderman)@Jason Miller (le Père Damien Karras)@Linda Blair (Regan)@Kitty Winn (Sharon)@Jack MacGowran (Burke Dennings)@Rudolf Schündler (Karl)@William O'Malley (Le Père Dyer)@Barton Heyman (Le Dr. Klein)@Peter Masterson (Le directeur de la clinique)@Rudolph Schündler (Karl)@Gina Petrushka (Willie)@Robert Symonds (Le Dr. Tanney)@Arthur Storch (Le psychiatre)@Thomas Bermingham (Le président de l'université)@Vasiliki Mallaros (La mère de Damien Karras)@Titos Vandis (L'oncle de Damien Karras)@Wallace Rooney (L'évêque)@Ron Faber (L'assistant réalisateur)@Donna Mitchell (Mary Jo Perrin)@Roy Cooper (Le doyen des jésuites)@Robert Gerringer (Le sénateur)@Mercedes McCambridge (La voix du démon)@Mary Boylan (Patiente)@Eileen Dietz (La mère du prêtre)@Yvonne Jones (L'infirmière)@John Nicola (Le prêtre)@Vincent Russell (Mendiant dans le métro)@||Secrets de tournage :
Une saga en quatre épisodes
Basée sur l'oeuvre de William Peter Blatty, la saga de L'Exorciste comprend quatre épisodes réalisés par un réalisateur différent à chaque fois : L'Exorciste (1973) de William Friedkin avec Max von Sydow, L'Hérétique (1977) de John Boorman avec Richard Burton, L'Exorciste, la suite (1990) de William Peter Blatty avec George C. Scott et Exorcist : the beginning (2004) de Renny Harlin avec Stellan Skarsgard.
Director's cut en 2001
L'exorciste remporta en 1973 l'Oscar du Meilleur Scénario et celui du Meilleur Son. Ce grand succès de l'épouvante, signé William Friedkin, ressort en 2001 dans sa version director's cut. Onze minutes ont été rajoutées au montage initial, dont le la fameuse scène dite de la marche de l'araignée.
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Exorcist II : The Heretic|John Boorman|Epouvante-horreur||1|américain|1978|112|Anglais||DX50|||DX50|750 Kbps|720x400|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|693||||25.000|28/07/2009 00:00:00|John Boorman|William Peter Blatty|William A. Fraker||Warner Bros. France|Saga : L'Exorciste |Le père Lamont enquête sur la mort mystérieuse du père Merrin, survenue à la suite d'un exorcisme, et va devoir combattre le démon Pazuzu que la jeune Regan a toujours en elle. |Linda Blair (Regan MacNeil)@Richard Burton (le père Lamont)@Louise Fletcher (le Dr. Gene Tuskin)@Max von Sydow (le père Merrin)@Kitty Winn (Sharon Spencer)@James Earl Jones (Older Kokumo)@Ned Beatty (Edwards)@Joey Lauren Adams (Linda Tuskin)@||Secrets de tournage :
Une saga en quatre épisodes
Basée sur l'oeuvre de William Peter Blatty, la saga de L'Exorciste comprend quatre épisodes réalisés par un réalisateur différent à chaque fois : L'Exorciste (1973) de William Friedkin avec Max von Sydow, L'Hérétique (1977) de John Boorman avec Richard Burton, L'Exorciste, la suite (1990) de William Peter Blatty avec George C. Scott et Exorcist : the beginning (2004) de Renny Harlin avec Stellan Skarsgard.
Convaincre Max Von Sydow
Max von Sydow ayant eu une piètre opinion de L'Exorciste, John Boorman a dû déployer des trésors d'ingéniosité pour le convaincre de jouer dans cette suite.
Un double pour Linda Blair
Traumatisée par la vision qu'elle avait d'elle dans L'Exorciste, Linda Blair refusa d'être de nouveau maquillée pendant les scènes d'exorcisme. C'est donc un double qui joua les séquences où Regan est possédée.
Un tournage éprouvant
Le tournage de L'Hérétique ne s'est pas fait sans difficultés : John Boorman s'est retrouvé à diriger des centaines de sauterelles importées de Californie et qu'il a fallu maintenir en vie à tout prix. Pour conférer un maximum d'authenticité au film, Louise Fletcher et Linda Blair ont par ailleurs dû se soumettre à de longues séances d'hypnose. A cela s'ajoute la grave maladie, appelée San Joaquin Valley Fever, contractée par le réalisateur au contact du sable importé d'Afrique, et qui provoqua la suspension du tournage pendant cinq semaines.
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The Neverending story|Wolfgang Petersen|Fantastique|Film pour enfants|3|ouest-allemand|1984|93|Anglais||DX50|||DX50|655 Kbps|576x320|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|532||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Bernd Eichinger Dieter Geissler Bernd Schaefers|Wolfgang Petersen Herman Weigel|Jost Vacano||Warner Bros.||Bastien, dix ans, est un passionné de romans d'aventures. Un jour, il dérobe un ouvrage merveilleux peuplé d'extraordinaires créatures. Il s'enfonce fébrilement dans l'univers fantastique de ce livre qui le fascine. |Barret Oliver (Bastien)@Noah Hathaway (Atreyu)@Moses Gunn (Cairon)@Tami Stronach (la petite impératrice)@Patricia Hayes (Urgl)@Sydney Bromley (Engywook)@Gerald Mc Raney (le père de Bastien)@Thomas Hill (M. Coreander, le libraire)@Gerald McRaney@||||||||||||@@
The Neverinding Story II next Chapter|George Miller (II)|Fantastique|Film pour enfants|2|américain, allemand|1991|84|Anglais||DX50|||DX50|926 Kbps|720x320|MPEG-1 Audio layer 3|224 Kbps|False|48.0 KHz|2|702||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Dieter Geissler|Karin Howard|Dave Connell||Warner Bros.||Bastien doit à nouveau surmonter des difficultés à l'école et dans ses rapports avec son père. Une fois de plus il cherche refuge et consolation dans l'Histoire sans fin, un livre précieusement conservé par l'antiquaire Coreander. Bastien est transporté au pays fantastique où il retrouve ses vieux amis et la petite impératrice. Mais il y a aussi les méchants, la cruelle sorcière et ses séïdes qui veulent détruire le monde de l'imagination. |Jonathan Brandis (Bastien)@Kenny Morrison (Atreyu)@Clarissa Burt (Xayide)@Martin Umbach (Nimbly, l'oiseau)@Alexandra Johnes (la petite impératrice)@John Wesley Shipp (Barney, le père de Bastien)@Thomas Hill (M. Coreander, le libraire)@Helena Mitchell (la mère de Bastien)@Christopher Burton (Tri Face)@||||||||||||@@
The Man in the Iron Mask|Randall Wallace|Aventure||3|américain, britannique|1998|125|Anglais||DivX|||DIVX|728 Kbps|640x360|WMA2|64.1 Kbps|False|44.1 KHz|2|699||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Russell Smith Randall Wallace|Randall Wallace|Peter Suschitzky||United International Pictures (UIP)||1660. Les célèbres mousquetaires se sont séparés. Athos s'est retiré sur ses terres et consacre son temps à l'éducation de son fils Raoul ; Aramis est devenu général des jésuites ; Porthos se languit en attendant l'occasion de ferrailler. Seul d'Artagnan est resté fidele au roi qui l'a fait capitaine des mousquetaires. Le roi va les réunir à nouveau mais sans le vouloir. Il s'est amouraché de la fiancée de Raoul, le fils d'Athos, et pour se débarrasser de ce rival, il l'envoie au front, le condamnant à une mort certaine. Athos jure alors de venger son fils. |Leonardo DiCaprio (Louis XIV/ Philippe)@Jeremy Irons (Aramis)@John Malkovich (Athos)@Gérard Depardieu (Porthos)@Gabriel Byrne (D'Artagnan)@Judith Godrèche (Christine Bellefort)@Peter Sarsgaard (Raoul )@Brigitte Auber (La Suivante de la Reine Mère)@Hugh Laurie (un conseiller du roi)@Léonor Varela (la dame du bal)@Edward Atterton (Lieutenant André)@David Lowe (un conseiller du roi)@Matthew Jocelyn (l'assassin)@Brigitte Boucher (Madame Rotund)@Anne Parillaud (Reine mère Anne)@Karine Belly (Wench)@Emmanuel Guttierez (King's Friend)@Christian Erickson (Ballroom Guard)@François Montagut (Blond Musketeer)@Jean-Pol Brissart (Monk)@Michael Hofland (Ruffian)@Laura Fraser (Bedroom Beauty)@Emmanuel Patron (Fortress Guard)@Michael Morris (Bastille Gate Guard)@Olivier Hemon (Fortress Head Guard)@Joe Sheridan (Fortress Keeper)@Vincent Nemeth (Customer)@Cécile Auclert (Serving Woman)@||||||||||||@@
Bicentennial man|Chris Columbus|Fantastique|||allemand, américain|2000|126|||DX50|||DX50|844 Kbps|512x296|MPEG-1 Audio layer 3|64.0 Kbps|False|44.1 KHz|1|826||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Michael Barnathan Chris Columbus Gail Katz Laurence Mark Neal Miller Wolfgang Petersen Mark Radcliffe|Nicholas Kazan|Phil Meheux||Columbia TriStar Films||En ce début de XXIe siecle, la robotique a fait d'importants progrès. La famille Martin peut ainsi faire l'acquisition d'un robot domestique, le NDR-114, concu pour effectuer toutes les tâches ménagères. Les enfants réagissent chacun différemment à la présence d'un nouveau venu, surnommé Andrew. Grace, l'ainée, le considère comme une boite de conserve et lui ordonne de sauter du premier étage. Apres cet incident, Andrew fait preuve de créativité et developpe des sentiments. M. Martin décide de le traiter désormais comme un être humain à part entière. |Robin Williams (Andrew Martin)@Wendy Crewson (Ma'am)@Kiersten Warren (Galatea)@Oliver Platt (Rupert Burns)@Sam Neill (Richard Martin)@Embeth Davidtz (Amanda Martin)@Hallie Kate Eisenberg (Amanda à 7 ans)@Angela Landis (Grace Martin)@Lindze Letherman (Grace Martin à 9 ans)@John Michael Higgins (Bill Feingold)@Bradley Whitford (Lloyd Charney)@||Secrets de tournage :
Chris Columbus, réalisateur :
Outre le célèbre diptyque (Maman, j'ai raté l'avion - 1990 - et Maman, j'ai encore raté l'avion - 1992), Chris Columbus a mis en scène Nuit de Folie (1987), Heartbreak Hotel (1988), Ta Mère ou Moi (1991), et Ma Meilleure Ennemie (1998).
L'homme Bicentenaire marque la troisième collaboration de Chris Columbus avec Robin Williams. Ils avaient auparavant travaillé ensemble sur Madame Doubtfire (1993), Neuf Mois Aussi (1995).
En 2000, les deux hommes se retrouvent pour L'Interprète.
Oliver Platt (Rupert Burns) :
Les premières apparitions d'Oliver Platt sur grand écrand remontent à la fin des années 80 (Working Girl de Mike Nichols et Veuve mais pas trop de Jonathan Demme en 1988).
Il a ensuite confirmé avec L'Expérience Interdite (Joel Schumacher, 1990), Proposition Indécente (Adrian Lyne, 1993), Benny & Joon (Jeremiah S. Chechik, id.), Les Trois Mousquetaires (Stephen Herek, id) et Funny Bones (Peter Chelsom, 1995).
En 1996, Oliver Platt a retrouvé Joel Schumacher pour Le Droit de Tuer ?. En 1998, il a joué dans La Courtisane (Marshall Herskovitz), Docteur Dolittle (Betty Thomas) et Bulworth de Warren Beatty.
Embeth Davidtz (Little Miss / Portia) :
Les spectateurs français ont notamment pu apprécier cette comédienne dans L'Armée des Ténèbres (Sam Raimi, 1992), La Liste de Schindler (Steven Spielberg, 1993), Meurtre à Alcatraz (Marc Rocco, 1995) et Matilda (Danny de Vito, 1996).
Embeth Davidtz a donné la réplique à Denzel Washington (Le Témoin du Mal, Gregory Hoblit, 1997) et Kenneth Brannagh (The Gingerbread Man, Robert Altman, 1998).
En 2000, elle est à l'affiche de Mansfield Park (Patricia Rozema), d'après le roman de Jane Austin.
Sam Neill (Sir Martin) :
Dirigé par Philip Noyce (Calme Blanc, 1989), John Mc Tiernan (A La Poursuite d'Octobre Rouge, 1990), John Carpenter (Les Aventures de l'Homme Invisible, 1992), Steven Spielberg (Jurassic Park, 1993), Jane Campion (La Leçon de Piano/b>, id.), ou encore Robert Redford (L'Homme qui Murmurait à l'oreille des Chevaux, 1998), Sam Neill a également joué sous la direction de metteurs en scène européens, comme Andrzej Zulawski (Possession, 1981), Robert Enrico (La Révolution Française, 1989) et Wim Wenders (Jusqu'au Bout du Monde, 1990).
Isaac Asimov, auteur :
L'Homme Bicentenaire est la libre adaptation d'une nouvelle d'Asimov et d'un roman, « The Positronic Man, co-écrit par Asimov et Robert Silverberg.
Homme de science (doctorat en biochimie), romancier, nouvelliste de génie, Isaac Asimov (1920 ? 1992) a acquis une notoriété mondiale grâce à deux cycles romanesques, « Fondation » et « Les Robots », qui ont révolutionné le monde de la science-fiction.
Un costume encombrant :
Le costume que porte Robin Williams dans L'Homme Bicentenaire se compose de 250 éléments pesant au total près de 50 Kilos.
Un dispositif de contrôle à distance a été employé pour rendre expressif le visage du robot.
Robin Williams motivé :
« Ce qui m'a attiré, c'est la manière dont l'histoire aborde l'intelligence artificielle et le comportement humain. Il y a des milliers de robots similaires à celui que j'incarne, mais celui-ci a quelque chose de spécial? une curiosité, une aptitude à la fascination. »
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The Horse Whisperer|Robert Redford|Romance||3|américain|1998|162|Anglais||DivX|||DIVX|502 Kbps|512x224|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Robert Redford Patrick Markey|Eric Roth Richard LaGravenese|Robert Richardson||||Profondement marquée par un accident qui a couté la vie à sa meilleure amie et causé d'irréparables lésions à son cheval, Grace MacLean, jeune fille de quatorze ans, vit repliée sur elle-même renonçant à lutter contre l'infirmité. Sa mère, Annie, refuse de s'avouer vaincue. Fermement décidée à sauver à la fois sa fille et l'animal, dont les destins sont liés, elle se lance à la recherche d'un dompteur de chevaux capable de guérir l'animal de sa peur. Elle retrouve ainsi au coeur du Montana la piste d'un légendaire "Horse Whisperer", spécialiste du dressage par la douceur... |Robert Redford (Tom Booker)@Kristin Scott Thomas (Annie MacLean)@Scarlett Johansson (Grace MacLean)@Sam Neill (Robert MacLean)@Dianne Wiest (Diane Cooper)@Chris Cooper (Frank Booker)@Cherry Jones (Liz Hammond)@Kate Bosworth (Judith)@Jeanette Nolan (Ellen Booker)@Jessalyn Gilsig (Lucy, l'assistante d'Annie)@Joelle Carter@Ty Hillman (Joe Booker)@Steve Frye (Hank)@Stephen Pearlman (David Gottschalk)@||||||||||||@@
L'Honneur du dragon|Prachya Pinkaew|Arts Martiaux||2|thaïlandais|2006|86|Thaï||XviD|||XVID|996 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|126 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Prachya Pinkaew Sukanya Wongsathapat|Prachya Pinkaew Napalee Piyaros Thongdee Joe Wannapin Kongdej Jaturonrassamee|Nuttawut Kittikun||TFM Distribution||Quand il était petit, Kham n'avait que son père et ses éléphants pour toute famille.A l'approche du Festival de l'eau de Songkran, le père de Kahm est convaincu que son éléphant bien-aimé est suffisamment princier pour déambuler dans les jardins du roi. Il rend visite au chef du village qui le persuade de faire examiner soigneusement son éléphant afin de vérifier s'il satisfait à l'ensemble des critères. Il s'agit en réalité d'une ruse destinée à subtiliser l'éléphant... Une bagarre s'engage alors au cours de laquelle Kham apprend que ses chers éléphants sont voués à être envoyés en... Australie.Voyageant hors de son pays pour la première fois de sa vie, Kham se rend à Sydney à la recherche des éléphants, désormais aux mains de Madame Rose, une impitoyable chef de gang particulièrement férue de créatures en voie de disparition... |Tony Jaa (Kham)@Petchtai Wongkamlao (Le sergent Mark)@Bongkuch Kongmalai (Pla)@Amonphan Gongtragan (Goong)@Jing Xing (Madame Rose)@Nathan Jones (TK)@Johnny Nguyen (Johnny)@Damian de Montemas (Vincent)@David Asavanond (L'agent Rick)@Lateef Crowder (L'adepte de Capoeira)@Jon Foo (L'adepte du Wu Shu)@Sotorn Rungruaeng (Le père de Kham)@Winai Poonpermponsiri (Le voyant)@Nutdanai Kong (Kham à 9 ans)@||Secrets de tournage :
Le retour du phénomène Tony Jaa !
Elevé au rang de star des arts martiaux après Ong-Bak, Tony Jaa confirme ses talents athlétiques dans L'Honneur du dragon Tom-Yum-Goong. Comme pour son premier film, il est aussi le chorégraphe des scènes de combats, avec Panna Rittikrai, le réalisateur de Born to fight.
Tom-yum-goong ?
Tom-Yum-Goong est à l'origine un célèbre potage thaïlandais. Considéré comme un grand classique de la gastronomie thaïlandaise, il se déguste avec des crevettes et de la citronnelle. Dans le film, Tom-Yum-Goong désigne le restaurant que tient Madame Rose (Jing Xing) à Sydney.
Clin d'oeil à Jackie Chan
Ce n'est pas Jackie Chan qui apparaît dans le film mais un simple sosie. La star des arts martiaux se voit ainsi rendre un bel hommage de la part de Tony Jaa pour qui il est une véritable idole.
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Lilo & Stitch|Dean Deblois Chris Sanders|Animation||3|américain|2002|83|Anglais||DIV3|||DIV3|1 036 Kbps|576x342|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|692||||24.017|28/07/2009 00:00:00|Clark Spencer|Chris Sanders|||Buena Vista Pictures||A l'autre bout de l'univers, un savant quelque peu dérangé a donné naissance à Stitch, la créature la plus intelligente et la plus destructrice qui ait jamais existé. Conscientes de son exceptionnel potentiel dévastateur, les autorités de sa planète s'apprêtent à l'arrêter, mais le petit monstre prend la poudre d'escampette à bord de son vaisseau spatial.
Stitch échoue sur Terre, en plein Pacifique, sur l'île d'Hawaii. Le petit alien est bientôt recueilli par Lilo, une adorable fillette de six ans qui le prend pour un chien abandonné. Celle-ci, élevée par sa grande soeur depuis la disparition de ses parents, croit enfin avoir trouvé le compagnon de jeu et l'ami qu'elle espérait. Stitch tente de dissimuler sa véritable nature, mais ceux de son monde sont déjà sur ses traces, prêts à tout pour l'éliminer. |Daveigh Chase (Lilo (voix))@Chris Sanders (Stitch (voix))@Jason Scott Lee (David Kawena (voix))@Tia Carrere (Nani (voix))@Ving Rhames (Cobra Bubbles (voix))@David Ogden Stiers (Jumba (voix))@||Secrets de tournage :
Retour à l'aquarelle
Entièrement produit par les studios d'animation Disney de Floride, Lilo & Stich marque le grand retour de l'aquarelle dans l'animation. Largement utilisé dans les premiers Disney tels que Blanche-neige et les sept nains, Bambi ou Dumbo, l'aquarelle a progressivement été remplacée par la gouache et la peinture à l'huile. Ce retour aux sources n'a cependant pas empêché les quelques 300 artistes chargés de l'animation de recourir aux techniques les plus sophistiqués, comme les images de synthèse.
Bandes-annonces détournées
Extra-terrestre impertinent, Stich, le premier héros Disney à ne pas être totalement positif, s'est amusé à détourner quelques-unes des plus célèbres bandes-annonces de la firme aux grandes oreilles. La Belle et la bête, Aladdin, La Petite Sirène et Le Roi lion ont ainsi successivement été malmenés par Stich dans une campagne promotionnelle pour le moins débridée.
Elvis en fond musical
Dès le début de la production de Lilo & Stich, l'idée d'y inclure des chansons d'Elvis Presley s'est fait jour. Six interprétations du King sont ainsi présentes dans le film, en référence notamment à la bande-son de Sous le ciel bleu de Hawaii interprétée par Elvis et longtemps restée N°1 dans les charts américains.
Les personnages au premier plan
De l'aveu même de ses réalisateurs, Lilo & Stich devait marquer le retour au premier plan des personnages, à l'heure où l'animation par ordinateur prend son envol. Chris Sanders et Dean Deblois ont ainsi analysé bon nombre de classiques Disney comme Bambi ou Dumbo. "Nous y cherchions la simplicité et la chaleur", explique Chris Sanders.
Hawaï grâce aux vacances
D'abord désireux de situer l'action de son film dans le Kansas, Chris Sanders, le co-réalisateur de Lilo & Stich, se décida à mener son extra-terrestre à Hawaï alors qu'il y passait lui-même des vacances.
Un projet de 17 ans
L'idée de Lilo & Stich est née dans la tête de son co-réalisateur Chris Sanders il n'y a pas moins de 17 ans, alors que ce dernier était encore étudiant. En 1997, Chris Sanders réécrit son histoire, qu'il situe alors dans le Kansas, avec un extra-terrestre qui n'est entouré que d'animaux. Ce n'est que lorsque Thomas Schumacher devient président de la branche animation de Disney que celui-ci propose d'entourer Stich d'humains et non d'animaux. Le scénario prend alors sa forme définitive.
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Lilo & Stitch 2 : Stitch Has a Glitch (v)|Michael Labash Anthony Leondis|Animation||3|américain|2005|65|Anglais||DX50|||DX50|1 078 Kbps|720x400|AC3|384 Kbps|True|48.0 KHz|6|687||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Christopher Chase|Michael Labash Anthony Leondis Eddie Guzelian Alexa Junge|||||Lilo se lance dans un concours de danse hawaïenne, une discipline dont sa mère était championne. Mais son manque de talent et les moqueries de ses camarades vont rendre les choses bien difficiles. De son côté, Stitch est très inquiet. Il fait de terribles cauchemars qui le révèlent sous ses plus mauvais côtés et son niveau de gentillesse baisse dangereusement. Nos deux amis devront unir toutes leurs forces pour se sortir de ces mauvais pas mais heureusement l'esprit d'Elvis veille sur eux. |Dakota Fanning (Lilo (voix))@Chris Sanders (Stitch (voix))@Tia Carrere (Nani (voix))@Holliston Coleman (Aleka (voix))@Jillian Henry (Elena (voix))@Jason Scott Lee (David Kawena (voix))@Kevin McDonald (Pleakley (voix))@Liliana Mumy (Myrtle (voix))@David Ogden Stiers (Dr. Jumba Jookiba (voix))@William J. Caparella (voix additionnelles)@||||||||||||@@
Carlito's way, the beginning|Michael Bregman|Drame||1|américain|2004|89|Anglais||DX50|||DX50|958 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00||Michael Bregman|Adam Holender||||Le parcours du gangster porto-ricain Carlito Brigante des années 40 aux années 70. |Jay Hernandez (Carlito Brigante)@Luis Guzman (Nacho Reyes)@Burt Young (Artie Bottolota Sr.)@Sean Combs (Hollywood Nicky)@Mario Van Peebles (Earl)@Michael Kelly (Rocco)@Giancarlo Esposito (Little Jeff)@Jaclyn DeSantis (Leticia)@Mtume Gant (Reggie)@Domenick Lombardozzi (Artie Jr.)@Juan Carlos Hernandez (Sigfredo)@Eric Nieves (Chucho)@Jaime Tirelli (La mère de Leticia)@Nelson Vasquez (Manny Sanchez)@Casper Martinez (Colorado)@Chuck Zito (Buck)@Mary Hammett (La femme d'Artie Jr.)@||||||||||||@@
L'Incruste, fallait pas le laisser entrer !|Corentin Julius Alexandre Castagnetti|Comédie||2|français|2004|85|Français||XVID|||XVID|992 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|130 Kbps|False|48.0 KHz|2|692||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Christian Fechner|Alexandre Castagnetti Corentin Julius|Laurent Machuel||Warner Bros. France||Paul vit de petits délits en tous genres. Bavard, malin, il parvient à s'"incruster" au domicile d'Alexandre, un musicien, prétextant des liens avec les propriétaires de l'appartement. Tous deux se retrouveront plongés dans une série de mésaventures au cours desquelles ils croiseront la route de la belle Cécilia. |Frédéric Diefenthal (Alexandre)@Titoff (Paul)@Zoé Félix (Cécilia)@Agnès Soral (Josiane)@Zinedine Soualem (Mickey)@Féodor Atkine (le père d'Alexandre)@Patrick Mille (Christophe)@Philippe Maymat (Zoran)@Sacha Bourdo (Marco)@Brigitte Bemol (Céline)@Frédérique Bel (la copine de Céline)@Gwendoline Hamon (l'ex d'Alexandre)@Stéphane Debac (Sandra)@||Secrets de tournage :
Deux ingénieurs télécom
Les deux réalisateurs Corentin Julius et Alexandre Castagnetti sont d'anciens ingénieurs télécom. Diplômés de la même école, ils ont créé une petite société de production grâce à laquelle ils ont pu mettre en scène deux courts métrages : Arrêts de jeu et Alloween.
La genèse du projet
C'est après avoir vu les courts Arrêts de jeu et Alloween que le producteur Jean-Michel Stazzu incita les deux réalisateurs à réfléchir sur une idée de long. Ces derniers ont alors planché pendant un an sur le scénario de ce qui allait devenir L'Incruste en étroite collaboration avec le producteur. Une fois l'intrigue rédigée, Jean-Michel Stazzu proposa en novembre 2002 le sujet à Christian Fechner qui s'engagea aussitôt à produire le film.
Les personnages du scénario original
Dans la première ébauche de scénario, Paul, "l'incrusteur", devait avoir dix ou quinze ans de plus qu'Alexandre, la quarantaine, pour apparaître comme un vieux routard de la combine face à son hôte qui devait passer pour un jeune naïf et avoir 25 ans. Finalement, après leur rencontre avec Frédéric Diefenthal, Alexandre Castagnetti et Corentin Julius optèrent pour un rééquilibrage des âges entre les deux personnages.
Changement de titre
Avant de s'intituler L'Incruste, cette comédie s'appelait Faux-frères. C'est la productrice associée Alexandra Fechner, fille de Christian Fechner, qui suggéra ce nouveau titre.
Sources d'inspiration
Dans la phase d'élaboration du scénario, les deux cinéastes se sont inspirés des comédies Marche à l'ombre de Michel Blanc et Viens chez moi, j'habite chez une copine de Patrice Leconte. Ils ont également tenté de restituer dans leur film la gentillesse de ton propre à Pierre Salvadori, le réalisateur des Apprentis.
Pour le personnage de Paul, Alexandre Castagnetti avoue "avoir eu en tête Vittorio Gassman ou Alberto Sordi, leur côté pathétique, avec un mélange tragi-comique".
L'ingénieur du son Paul Lainé
L'ingénieur du son Paul Lainé n'en est pas à son coup d'essai, puisqu'il a notamment travaillé sur les comédies populaires La Soupe aux choux et Les Bronzés.
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Little Big Man|Arthur Penn|Western||3|américain|1970|139|||DX50|||DX50|566 Kbps|512x288|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|701||||23.976|08/08/2009 00:00:00|Stuart Millar|Calder Willingham|Harry Stradling Jr.||S.N. Prodis||L'histoire d'un visage pâle partagé entre ses origines et sa famille d'adoption, indienne. |Dustin Hoffman (Jack Crabb)@Faye Dunaway (Mde Pendrake)@Martin Balsam (M. Merriweather)@Chef Dan George (Lodge skins)@Richard Mulligan (Général Custer)@Jeff Corey (Hickok)@Kelly Jean Peters (Olga Crabb)@Carole Androsky@Alan Howard@Richard Boone@William Hickey@M. Emmet Walsh@||Secrets de tournage :
Nouveau western
Plus de dix ans après Le Gaucher, son premier film, Arthur Penn réalise de nouveau un western avec ce Little big man qui présente l'originalité de donner une large place au point de vue des Indiens. Il reviendra à ce genre en 1976 avec Missouri Breaks, qui réunit Marlon Brando et Jack Nicholson.
Un chef Indien en haut de l'affiche
Chef Dan George, qui joue le rôle du père adoptif de Dustin Hoffman, est un authentique chef Indien issu de la Colombie britannique, à Vancouver, au Canada. Né en 1899, Te-Wah-No dut changer son nom à l'âge de cinq ans pour aller à l'école. Après avoir été chauffeur de bus ou encore docker, il devient comédien pour une série télévisée. Pour sa composition dans Little big man, Dan George est nommé dans la catégorie Meilleur Second Rôle aux Oscars et aux Golden Globes. On le retrouvera en 1976 dans Josey Wales hors la loi de Clint Eastwood. Devenu comédien, mais aussi écrivain, il ne cessera de défendre la cause des Indiens, jusqu'à sa disparition en 1981.
L'irrésistible ascension de Hoffman
Little big man est en 1970 un des premiers grands rôles de Dustin Hoffman, qui en quelques années, est devenu l'un des comédiens les plus populaires de sa génération. Il tourne ce film trois ans après Le Laureat, qui le révèle, et un an après Macadam cowboy. Après le film d'Arthur Penn, on retrouve rapidement le comédien dans deux nouveaux succès, Papillon en 1973 et Lenny en 1974.
Brando pressenti
Le rôle du chef Lodge Skins, l'un des héros de Little Big Man, avait été proposé à Marlon Brando, qui a refusé.
Un projet reporté
Le scénario de Little Big Man, tourné en 1970, était prêt six ans plus tôt, mais le coût du film a été jugé trop élevé par les Studios, ce qui en a retardé la réalisation. Le fait que l'histoire fasse la part belle aux Indiens aurait également eu un effet dissuasif. Arthur Penn a donc tourné Bonnie and Clyde puis Alice's Restaurant, avant de pouvoir mettre en scène cette adaptation du roman de Thomas Berger.
Le scénariste
Si le film est adapté d'un livre de Thomas Berger, le scénario est signé Calder Willingham. Celui-ci a collaboré avec Stanley Kubrick sur le script des Les Sentiers de la gloire, ainsi que sur Spartacus, même s'il n'est pas crédité pour ce film. Il coécrit aussi le scénario de La Vengeance aux deux visages, un film que devait réaliser Kubrick mais qui a finalement été tourné par Marlon Brando. Après Little big man, Willingham, qui est par ailleurs écrivain, sera scénariste pour un autre grand succès de Dustin Hoffman, Le Laureat de Mike Nichols.
Passé / présent
Sorti en pleine guerre du Vietnam, Little Big Man a été vu comme un film traitant indirectement de cette actualité. Le comportement du Général Custer et de ses troupes lors de la bataille de Litlle Big Horn en 1876, remportée par les Indiens a été mis en parallèle avec l'engagement contesté des Américains au Vietnam un siècle plus tard.
Retrouvailles
Trois ans après Bonnie and Clyde, Faye Dunaway tourne de nouveau sous la direction d'Arthur Penn.
Performance
Dans le film, le personnage de Jack Crabb a 121 ans, et fait le récit de sa vie. C'est toujours Dustin Hoffman qui joue ce rôle, que Crabb soit adolescent ou vieillard.
Le cri
Afin que sa voix paraisse celle d'un homme de 120 ans, Dustin Hoffman a crié à pleins poumons dans sa loge pendant une heure.
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Little Man|Keenen Ivory Wayans|Comédie||2|américain|2006|96|Anglais||XVID|||XVID|856 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|32.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|693||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Rick Alvarez Lee R. Mayes Keenen Ivory Wayans Marlon Wayans Shawn Wayans|Keenen Ivory Wayans Shawn Wayans Marlon Wayans|Steven Bernstein||Revolution Studios||Calvin Sims est un voleur aussi petit que redoutable. Sa taille de bébé lui a permis d'accomplir les coups les plus incroyables, mais ne l'a jamais empêché de se faire respecter en prison... Tout juste libéré sur parole, Calvin est décidé à se retirer après un dernier vol, mais les choses se compliquent sévèrement. Pour échapper à la police, il n'a pas d'autre choix que de cacher l'énorme diamant qu'il vient de subtiliser dans le sac d'une jeune inconnue, Vanessa.Récupérer le précieux joyau va s'avérer beaucoup plus difficile que de le voler. Grâce à sa petite taille, Calvin se fait passer pour un enfant abandonné... et le voilà qui atterrit chez Vanessa et Darryl, un jeune couple qui hésitait justement à avoir un enfant. Emus et touchés par la détresse de celui qu'ils prennent pour un petit être innocent, ils vont avoir l'occasion de tester le rôle de parents... |Marlon Wayans (Calvin Sims)@Shawn Wayans (Darryl Edwards)@Kerry Washington (Vanessa Edwards)@John Witherspoon (Pops)@Tracy Morgan (Percy)@Lochlyn Munro (Greg)@Chazz Palminteri (Walken)@Molly Shannon (Soccer Mom)@Brittany Daniel (Brittany)@Fred Stoller (Richard)@Alex Borstein (Janet)@Linden Porco ("Corps" de Calvin)@Moneca Delain (Une serveuse)@Rob Schneider@||Secrets de tournage :
Les frangins Wayans se retrouvent
The Little Man est le quatrième long métrage, après Scary Movie, sa suite Scary Movie 2 et F.B.I. Fausses Blondes Infiltrées, dans lequel Keenen Ivory Wayans dirige ses deux frères Marlon et Shawn Wayans. Comme pour ces précédents films, il est question d'humour potache et de situations insensées servies par une technologie sophistiquée.
Genèse du projet
L'idée de ce film est venue à l'esprit de Keenen Ivory Wayans, lorsque celui-ci, en revenant de son vidéoclub, a remarqué la jaquette d'un film d'horreur de seconde zone qui s'appelait Le Bébé-éprouvette du cauchemar. "L'idée m'a fait rire, confie le réalisateur, et je me suis tout de suite mis à imaginer ce que pourrait donner une expérience in vitro qui tournerait mal..."
Shawn Wayans ajoute : "Ce genre d'idée tordue a toujours un bel avenir chez nous. C'est le type de point de départ qui nous excite vraiment et nous emmène loin !"
Keenen reprend : "On a tout de suite imaginé ce voleur au corps d'enfant, une sorte de paradoxe vivant associant l'innocence du corps à la ruse de l'esprit ! Nous imaginions les scènes les plus dingues, ce simple concept offrait un potentiel incroyable de situations et d'humour."
Marlon Wayans miniaturisé
Le personnage de Calvin a résulté du jeu physique d'un acteur de neuf ans, Linden Porco, sur lequel a été recollé informatiquement le visage de Marlon Wayans.
Keenen Ivory Wayans explique : "Nous avons réalisé tout le film avec Linden et ensuite, Marlon a rejoué toutes les expressions en studio devant un fond vert. La postproduction du film a en fait débuté dès que nous avons comencé à tourner. Pour la partie corporelle, Linden a accompli un travail remarquable, il ne devait pas seulement bouger comme un enfant mais comme un adulte qui se fait passer pour un enfant. Il a en plus assumé beaucoup de scènes physiques. Ensuite, Marlon reprenait le relais pour le visage et c'était un autre exploit. Il devait raccorder et servir l'intrigue, dire le texte. Il y avait plusieurs éléments distincts à assembler pour obtenir le jeu d'un seul personnage."
Le producteur Rick Alvarez commente : "Chaque plan était soigneusement calibré au niveau de la lumière, des angles de prise de vue et de la focale pour que son visage soit raccord avec le plan dans lequel il devait être incrusté. Il devait ensuite donner toute l'intensité de son jeu comme s'il avait été sur le plateau principal."
Chazz Palminteri s'autoparodiant en mafieux
Dans le rôle du boss de la mafia, on retrouve un Chazz Palminteri qui revisite quelques-uns des personnages de caïd qui l'ont rendu célèbre : Sonny dans Il était une fois le Bronx, Cheech dans Coups de feu sur Broadway ou encore le boss Primo Sidone dans Mafia blues.
Kerry Washington enthousiaste
Kerry Washington incarne Vanessa, la compagne de Darryl. C'est une jeune femme qui a beaucoup de succès dans son travail et qui n'est pas encore prête à faire une pause dans sa carrière pour se consacrer à un enfant.
La comédienne confie : "J'ai la réputation d'être une actrice sérieuse et lorsqu'on m'a proposé ce rôle dans un film des frères Wayans, j'ai tout de suite accepté. J'aime leur délire, leur chaleur humaine. Avec eux, l'émotion n'est jamais loin du fou rire et ils ont un talent unique pour imaginer les situations les plus tordantes ! Nous avons énormément travaillé parce qu'ils ne laissent rien au hasard, mais tout se fait dans une ambiance incroyablement légère."
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Little Miss Sunshine|Jonathan Dayton Valerie Faris|Comédie||3|américain|2006|98|Anglais||XVID|||XVID|852 Kbps|640x256|MPEG-1 Audio layer 3|127 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Albert Berger David T. Friendly Peter Saraf Marc Turtletaub Ron Yerxa|Michael Arndt|Tim Suhrstedt||Fox Searchlight Pictures||L'histoire des Hoover. Le père, Richard, tente désespérément de vendre son "Parcours vers le succès en 9 étapes". La mère, Sheryl, tente de dissimuler les travers de son frère, spécialiste suicidaire de Proust fraîchement sorti de l'hôpital après avoir été congédié par son amant.Les enfants Hoover ne sont pas non plus dépourvus de rêves improbables : la fille de 7 ans, Olive, se rêve en reine de beauté, tandis que son frère Dwayne a fait voeu de silence jusqu'à son entrée à l'Air Force Academy.Quand Olive décroche une invitation à concourir pour le titre très sélectif de Little Miss Sunshine en Californie, toute la famille décide de faire corps derrière elle. Les voilà donc entassés dans leur break Volkswagen rouillé : ils mettent le cap vers l'Ouest et entament un voyage tragi-comique de trois jours qui les mettra aux prises avec des événements inattendus... |Greg Kinnear (Richard)@Toni Collette (Sheryl)@Steve Carell (Frank)@Abigail Breslin (Olive)@Alan Arkin (Grand-père)@Paul Dano (Dwayne)@Alissa Anderegg (Sally Kirkwood)@Cassandra Ashe (Princesse/Papillon)@Jerry Giles (employé des pompes funèbres)@Beth Grant (Nancy Jenkins)@Lindsey Jordan (Jaime LaGrange)@Lauren Shiohama (Miss Californie)@Marc Turtletaub (premier médecin)@Julio Oscar Mechoso (mécanicien)@Steven Christopher Parker (premier adolescent)@John Walcutt (deuxième médecin)@Dean Norris (agent de police McCleary)@Jill Talley (Cindy)@Justin Shilton (Josh)@Bryan Cranston (Stan Grossman)@Paula Newsome (Linda)@Mary Lynn Rajskub (l'assistante)@||Secrets de tournage :
Festivals
Présenté dans le cadre du Festival de Sundance 2005, Little Miss Sunshine est aussi en compétition officielle du 32ème Festival du Film Américain de Deauville.
Premier film
Little Miss Sunshine est le premier film réalisé par le tandem Jonathan Dayton / Valerie Faris. Epoux à la ville, les cinéastes affichent tous deux un riche passé dans l'univers du vidéoclip et de la musique : ils ont notamment travaillé avec les groupes R.E.M, Red Hot Chili Peppers, The Smashing Pumpkins ou encore Macy Gray et Oasis.
Débuts sur grand écran
Little Miss Sunshine offre à Alissa Anderegg son premier rôle conséquent au cinéma. Auparavant, elle a été aperçue dans Les Mots retrouvés, où elle incarnait l'une des jeunes filles passant un concours d'orthographe. Abigail Breslin incarne pour sa part la plus jeune des filles de la famille, celle pour laquelle tout le monde fait le déplacement en Californie afin qu'elle participe à son concours de beauté. Après être apparue dans un film sorti directement en vidéo aux Etats-Unis en 2005 (Animal Wow : Dogs Wow Dogs), l'actrice fait ici ses premiers pas sur grand écran.
Des débuts difficiles
Le projet Little Miss Sunshine a mis cinq ans avant de voir vraiment le jour. Le problème majeur venait du financement du projet : ainsi, il n'a pas été évident pour la production de rassembler les 8 millions de dollars nécessaires à sa mise en chantier.
Retrouvailles
Après Fast Food Nation de Richard Linklater, présenté en compétition lors du 59e Festival de Cannes, Little Miss Sunshine permet à Greg Kinnear et Paul Dano de tourner à nouveau ensemble.
Changement de registre
Après 40 ans, toujours puceau, où il incarnait un quarantenaire en mal de relations amoureuses, Steve Carell change quelque peu de registre. Pour Little Miss Sunshine, l'acteur prend les traits d'un homosexuel dépressif : un rôle grave et surprenant pour l'un des spécialistes de la comédie made in USA.
Coup de foudre
La concrétisation du projet Little Miss Sunshine, de la pré-production à la sortie en salle, aura mis au total 5 ans. La production a été immédiatement emballée par le scénario de Michael Arndt. David T. Friendly déclare ainsi : "Il ne m'est arrivé qu'une autre fois dans ma vie d'avoir une réaction si instinctive à un projet de film. Tout me disait qu'il fallait que je fasse ce film. C'est très rare de découvrir un film qui vous fasse rire et pleurer d'une seconde à l'autre."
Un film de vacances
Mettant en scène le périple d'une famille en route vers la Californie pour participer à un concours de beauté, Little Miss Sunshine de Jonathan Dayton et Valerie Faris illustre le concept de film de vacances comme le précise Albert Berger : "C'est le film des vacances en famille revisité, mais d'une manière plus fraîche, plus sombre, mais aussi avec beaucoup plus de franchise sur la façon dont les membres d'une famille dialoguent entre eux et s'aiment."
Un casting rapide
Le choix de casting était primordiale pour la réussite de Little Miss Sunshine, afin de rendre réel et hilarant le dysfonctionnement de la famille Hoover. Les réalisateurs Jonathan Dayton et Valerie Faris se sont alors mis à la recherche de ces 6 acteurs qui pourraient constituer cette famille unie malgré tout. Les six acteurs convoîtés ont tout de suite accepté de participer à cette aventure, de cette manière Steve Carell, Toni Collette, Greg Kinnear ou encore Alan Arkin partagent l'affiche de ce film.
Record de l'année 2008
Projeté au Festival du film de Sundance, le film a rencontré un vif succès, à tel point que Focus Features (qui a distribué notamment Le Secret de Brokeback Mountain et Shaun of the Dead) a remporté l'enchère posée sur les droits pour 10 millions de dollars, faisant de Hamlet 2 le film le plus chèrement acquis en 2008 pendant ce festival. Il ne bat cependant pas le record absolu détenu par Little Miss Sunshine en 2006, remporté pour 10,6 millions de dollars.
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Eagle Eye|D.J. Caruso|Thriller||3|américain|2008|117|Anglais||XVID|||XVID|670 Kbps|592x320|MPEG-1 Audio layer 3|144 Kbps|False|48.0 KHz|2|694||||23.976|13/08/2009 00:00:00|Alex Kurtzman Roberto Orci Edward McDonnell Pat Crowley|Daniel McDermott Hillary Seitz Travis Wright John Glenn (II)|Dariusz Wolski||Paramount Pictures||Jerry et Rachel ne se connaissent pas, mais un cauchemar leur a donné rendez-vous. Parce que quelqu'un l'a fait passer pour un terroriste et qu'il est désormais recherché par toutes les polices, Jerry n'a pas d'autre choix que d'obéir à la mystérieuse voix qui contrôle chacun de ses faits et gestes. Rachel est elle aussi obligée d'obéir, sinon ce sera son fils, Sam, qui le paiera de sa vie.Dans une course contre la montre où la manipulation et l'hypertechnologie sont reines, les deux jeunes gens doivent accomplir tout ce que la voix leur demande, quels que soient les risques. S'ils veulent survivre au piège, ils vont devoir à la fois échapper à leurs poursuivants et percer le secret de ceux qui mènent ce jeu infernal... |Shia LaBeouf (Jerry Shaw)@Michelle Monaghan (Rachel Holloman)@Rosario Dawson (Zoe Perez)@Billy Bob Thornton (Agent Thomas Morgan)@Ethan Embry (Agent Toby Grant)@William Sadler (William Shaw)@Eric Christian Olsen (Craig)@Cameron Boyce (Sam Holloman)@Michael Chiklis (Callister, le secrétaire de la Défense)@Madylin Sweeten (Becky)@Anthony Mackie (Major William Bowman)@Lynn Cohen (Mme Wierzbowski)@Brenda Goodbread (la porte-parole de la Maison Blanche)@Angelina Lyubomirova (Cliente de l'ATM)@Stacey Scowley (Barmaid)@Anthony Azizi (Turan)@Madison Mason (Le Président)@Gary Houston (Médecin légiste)@Jay Disney (Propriétaire de la Mercedes)@Tommy Bartlett (Conducteur du train)@Lorenzo Eduardo (Kwame)@Michael Bretten (Voyageur contrarié à l'aéroport)@Jor'don Hodges (Passager du train)@Michael Maize (Sergent en chef)@Jeff Albertson (Officier de la police de Chicago)@Don Kress (Homme d'affaire)@Fahim Fazli (Al Kohei)@Eiko Nijo (Guide japonaise)@Kent Shocknek (Présentateur du journal télévisé)@Manny Perry (Transporteur de la Brinks)@Dariush Kashani (Sergent Rourke)@Tony Flores (Chef de l'équipe Swat)@James Huang (Officier de l'armée Intel)@Lu Johnson (Le Sénateur)@Neil Ironfield (Enfant invité à la fête)@Ali Olomi (Combattant)@Peggy Roeder (Médecin légiste)@Jarod Einsohn (Technicien)@Charles Carroll (M Miller)@Joseph Mazurk (Avocat à l'ATM)@Sean Kinney (Chef de l'équipe JTAC)@David Hill (Le Préseident de l'administration)@McKay Stewart (Pilote du F-16)@Brad Newman (Agent du FBI)@Peter James (Officier Gaither)@G. Larry Butler (Senateur Stanton)@Michael Daniel Cassady (Membre du personnel de la Maison Blanche)@Dean Cudworth (Agent de police du capitole)@Andrew Rowe (Agent de police du capitole)@Steve Barrons (Membre de l'équipe JTAC)@||Secrets de tournage :
Caruso, cinquième !
L'Oeil du mal est le cinquième long métrage pour le cinéma de D.J. Caruso. Il a déjà réalisé Salton sea (2002), Taking lives, destins violés (2004), Two for the Money (2006) et Paranoiak (2007).
Tournage intense
Bien que l'histoire de L'Oeil du mal se déroule sur deux petits jours, le film nous entraîne dans une multitude de décors. Et c'est pour cette raison que l'équipe de tournage a tourné près de 200 scènes dans 100 lieux différents, en l'espace de 77 jours.
Retrouvailles
Ce n'est pas la première fois que D.J. Caruso dirige Shia LaBeouf : il l'avait déjà choisi pour son film Paranoiak en 2007. A son sujet, le réalisateur déclare : "La première fois que je l'ai vu, il n'était pas attirant. Mais plus je passais du temps avec lui, et plus il devenait attirant. Tout est dans son esprit, son intuition, son timing. 99% du temps, ce qu'il fait lui vient naturellement."
Spielberg et LaBeouf
Le film est inspiré d'une idée de Steven Spielberg, qui, à l'instar de D.J. Caruso, a un faible pour Shia LaBeouf : celui-ci figure dans deux de ses productions, Paranoiak et Transformers, puis tourne sous sa direction dans Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal...
Des intentions claires
Le scénariste de L'Oeil du mal, Alex Kurtzman raconte qu'avec ce film, Steven Spielberg "voulait terrifier les gens au point de leur faire éteindre leur portable et leur Blackberry à la sortie du film, un peu comme en 1975 lorsque personne n'osait plus aller se baigner après avoir vu Les Dents de la mer."
Un constant souci de réalisme
Pour ce film, D.J. Caruso a privilégié, tant que faire se peut, les effets spéciaux "réels", comme il l'explique : "Je voulais que l'action soit réaliste parce que j'adore les vieilles poursuites en voitures des années 70 où tout est bien réel. J'aime filmer de vrais accidents et de vraies explosions, je voulais donc éviter le plus possible les images crées par ordinateur." C'est ainsi que, pour la scène où une grue percute un immeuble, un décor a été crée afin d'être détruit par une véritable grue, et que le cinéaste cite la poursuite en voiture de French Connection comme l'une de ses principales sources d'inspiration.
Cascades en famille
Les coordinateurs des cascades Gregg et Brian Smrz font partie d'une famille de cascadeurs, qui officie depuis près de 30 ans. Eux-mêmes ont notamment à leur actif les cascades de Jurassic Park, Minority Report, X-Men 2 ou encore Transformers.
Michelle, ma belle (air connu)
La belle Michelle Monaghan a fait du chemin depuis son apparition remarquée dans Kiss Kiss Bang Bang. Depuis, elle enchaîne les films au sein desquels elle tient le premier rôle féminin. Elle a fait flancher le coeur de Ben Stiller dans la comédie des frères Farrelly Les Femmes de ses rêves, on a pu la voir dans le drame de Ben Affleck Gone Baby Gone, dans la romance Le Témoin amoureux et donc dans le thriller de D.J. Caruso, L'Oeil du mal.
Détail honorifique
Consultant sur le film, Tom Knowles, un ex-agent du FBI, a eu l'honneur de voir sa plaque mise au milieu des éléments qui décorent le bureau de Thomas Morgan, joué par Billy Bob Thornton.
Version IMAX
En plus de sa sortie sur écrans classiques, L'Oeil du mal devrait connaître une adaptation en format IMAX. Contrairement à la version IMAX de The Dark Knight, Le Chevalier Noir, les scènes n'ont pas été directement tournées avec une caméra IMAX, mais connaîtront un travail de retouche afin de s'adapter à ce format.
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Les contributeursCe film a reçu 4 contributions, pour les secrets de tournage, de: rotchyo (site web)
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Operation Corned-beef|Jean-Marie Poiré|Comédie||3|français|1991|102|||DivX|||DIVX|803 Kbps|496x208|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|667||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Alain Terzian|Jean-Marie Poiré Christian Clavier|Jean-Yves Le Mener||||Pour Squale, agent secret, as de la DGSE, il s'agit de demanteler un reseau international de trafic d'armes et de demasquer un traitre au plus haut niveau de l'Etat francais. Pour arriver a ses fins il va manipuler un honnete citoyen, Jean-Jacques Granianski, psychologue d'entreprise, Francais moyen type qui va resister au super-agent secret de facon inattendue. |Jean Reno (Le capitaine Philippe Boulier alias le Squale)@Christian Clavier (Jean-Jacques Granianski)@Valérie Lemercier (Marie-Laurence)@Jacques François (Général Masse)@Isabelle Renauld (Isabelle Fournier)@Jacques Dacqmine (Général Moulin)@Marc de Jonge (Consul Burger)@Raymond Gérome (Ghislain Chauffereau)@Philippe Laudenbach (Le ministre de l'Intérieur)@Jean-Marie Cornille (Froment)@Jacques Sereys (Le ministre de la défense)@Stéphane Boucher (René)@Didier Gustin (La voix du président de la République)@Francis Coffinet (Georges Favart)@Mireille Rufel (L'aspirant Garcia)@André Schmit (Zargas)@||Secrets de tournage :
Un casting présidentiel !
Une des scènes de L'Opération Corned-beef met en vedette le Président de la République, toujours filmé de dos. Pour trouver un parfait sosie de l'homme le plus important de l'Etat, en l'occurrence ici François Mitterrand, Jean-Marie Poiré s'est livré à un bien curieux exercice : un casting de crânes !
Valérie Lemercier se révèle !
Le film donne l'occasion à Valérie Lemercier d'obtenir son premier rôle d'importance sur grand écran. Si la jeune femme avait effectué ses véritables premiers pas d'actrice dans le Milou en mai de Louis Malle, son rôle de Marie-Laurence dans L'Opération Corned-beef aura véritablement lancé sa carrière cinématographique, placée depuis sous le signe de la comédie.
Le début d'une belle collaboration
L'Opération Corned-beef marque la première collaboration d'un trio formé de Jean-Marie Poiré, Jean Réno et Christian Clavier. Les trois hommes se retrouveront deux ans plus tard pour Les Visiteurs, puis pour la suite (Les Visiteurs 2 : Les Couloirs du temps) et le remake américain (Les Visiteurs en Amérique).
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Lord of War|Andrew Niccol|Drame|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain, français|2006|117|Anglais||DX50|||DX50|732 Kbps|576x224|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Nicolas Cage Andreas Grosch Andrew Niccol Chris Roberts Philippe Rousselet Norm Golightly Teri-Lin Robertson|Andrew Niccol|Amir M. Mokri||Lions Gate Films Inc.||Né en Ukraine avant l'effondrement du bloc soviétique, Yuri arrive aux Etats-Unis avec ses parents. Il se fait passer pour un émigrant juif...Audacieux et fin négociateur, il se fait une place dans le trafic d'armes. Les énormes sommes d'argent qu'il gagne lui permettent aussi de conquérir celle qui l'a toujours fasciné, la belle Ava.Parallèlement à cette vie de mari et de père idéal, Yuri devient l'un des plus gros vendeurs d'armes clandestins du monde. Utilisant ses relations à l'Est, il multiplie les coups toujours plusrisqués, mais parvient chaque fois à échapper à Jack Valentine, l'agent d'Interpol qui le pourchasse.Des luxueux immeubles new-yorkais aux palais des dictateurs africains, Yuri joue de plus en plus gros. Convaincu de sa chance, il poursuit sa double vie explosive, jusqu'à ce que le destin et sa conscience le rattrapent... |Nicolas Cage (Yuri Orlov)@Ethan Hawke (Jack Valentine)@Jared Leto (Vitaly Orlov)@Bridget Moynahan (Ava Fontaine)@Eamonn Walker (Andre Baptiste)@Ian Holm (Simeon Weisz)@Sammi Rotibi (Andre Baptiste Jr)@Steve J. Termath (Agent du FBI Chris Durant)@Nalu Tripician (Nicolai)@Patrick. Jr Walton (Agent du FBI /Ukraine Major)@Shake Tukhmanyan (Irina Orlov)@Jean-Pierre Nshanian (Anatoly Orlov)@Jasper Lenz (Gregor)@Kobus Marx (Boris)@Tanya Finch (Ingrid)@Stephan De Abreu (Liev)@Lize Jooste (Natasha)@Danie Struwig (Agent d'Interpol Ryan)@Annelene Terblanche (Angel)@Tayo Oyekoya (Lieutenant liberian)@Kutcha (Agent d'Interpol Maxwell)@Konstantin Egorov (Aleksei)@Vadim Dobrin (Leonid)@Hlomla Dandala (pilote d'Interpol)@Steve Ruge (agent A.T.F. Callahan )@||Secrets de tournage :
Qui est Yuri ?
Andrew Niccol avoue s'être inspiré de cinq trafiquants d'armes bien réels pour créer son personnage de Yuri Orlov. Pour sa documentation, Niccol s'est entretenu avec de nombreuses personnes exerçant cette profession peu commune, communiquant essentiellement par emails, ce genre de personnes étant bien évidemment difficilement approchables.
Une somme d'événements réels
"Presque tous les événements du film ont un précédent réel. Des hélicoptères militaires ont bien été vendus comme des engins destinés à des interventions de secours, des trafiquants d'armes ont bien changé les noms et paramètres d'enregistrement de leurs navires une fois en mer, un célèbre trafiquant d'armes a été libéré des prisons américaines après des pressions mystérieuses, des stocks d'armements militaires soviétiques ont été pillés après la chute de l'URSS... Tout cela est avéré." déclare Andrew Niccol.
Andrew Niccol, trafiquant d'armes ?
Pour le tournage du film Lord of war, Andrew Niccol, qui avait besoin d'armes, décida d'acheter 3.000 Kalashnikovs réelles, moins chères que des armes factices. Après le tournage, il revendit toutes les armes, même s'il ne fit pas bénéfice dans cette vente se déclarant alors lui-même comme un "piètre vendeur d'armes"
Pour d'autres scènes, il prit contact avec de réels trafiquants. Ceux-ci lui fournirent, en plus d'armes à feu, 50 Tanks russes T-72. "En fait, je suis allé en République Tchèque et ai trouvé un type qui possède, à titre privé, 100 tanks T-72 russes. Cela ne lui a posé aucun problème de me les louer (...) Quand un type vous dit 'je peux te livrer 50 tanks' et 'je te les apporte mardi à 9h du matin' vous êtes sûr de les y trouver tous parfaitement allignés'" explique Andrew Niccol. "Ici, c'était même moins cher d'utiliser de vrais tanks plutôt que de les recréer en images de synthèse".
Niccol dut néanmoins avertir l'OTAN du tournage pour éviter l'éventualité que les images satellites puissent faire croire à la préparation d'une guerre.
Le trafic d'armes en chiffres
En 2005, il y a plus de 630 millions d'armes à feu en circulation dans le monde. Les chiffres de Lord of war, déjà alarmants, sont donc en dessous de la vérité car ils datent déjà de plusieurs années (époque à laquelle le script fut écrit). Il n'y a pas une arme pour douze personnes sur la planète mais presque une pour dix !
80 à 90 % des ventes d'armes à feu dans le monde sont régis par les gouvernements.
Dans un tiers des états de la planète, les dépenses d'armement des gouvernements dépassent leurs dépenses sanitaires.
Chaque minute dans le monde une personne meurt à cause d'une arme à feu.
Dans cette minute, ce sont plus de 15 armes qui sont produites.
Au cours des conflits armés, des centaines de milliers de femmes et de fillettes ont été violées sous la menace d'une arme au Rwanda, en Ex-Yougoslavie, au Congo, au Soudan, en Colombie.
En 2001, les Etats-Unis arrivaient en tête des ventes d'armes aux pays en développement, (6.956 millions de dollars contre 12.997 millions en 2000). Venaient ensuite la Russie (5.700 millions de dollars contre 8.319 millions), la Chine (600 millions contre 624 millions) et la France (400 millions de dollars contre 2.184 millions). En cinquième place arrive... la Grande-Bretagne ce qui réunit donc les cinq membres permanents de l'O.N.U. La vente de ces armes répresentant un montant supérieur à l'aide qui est versée à ces mêmes pays en développement.
Génèse du projet
Après avoir traité de la manipulation génétique dans Bienvenue à Gattaca et de la réalité virtuelle dans Simone, Andrew Niccol passe à la tragi-comédie réaliste avec l'univers du trafic d'armes dans Lord of war. "On voit beaucoup d'armes dans le film. Le cinéma gravite autour d'elles mais n'explore jamais le sujet. (...) Tout ce qu'il y a dans le scénario est vrai, assure Andrew Niccol qui s'est beaucoup documenté. Il est très difficile de parler à des marchands d'armes. Grâce à un ami, j'ai pu comuniquer avec l'un d'entre par e-mail. Yuri le personnage interprété par Nicolas Cage, est un composite de cinq véritables trafiquants."
Producteurs frileux
Après avoir prospecté sans succès outre-Atlantique auprès des studios, Andrew Niccol a rencontré le producteur français Philippe Rousselet (Les films de la Suane) en 2002. "Le scénario circulait aux Etats-Unis juste avant le début de la guerre en Irak. Pas le meilleur moment pour un film sur un trafiquant d'armes qui fournit les gouvernements, notamment américain" explique Rousselet. Niccol, lui déplore le rejet des patrons des studios dès que l'on traite d'un antihéros : "Que le héros du film soit immoral ne veut pas dire que le film l'est. Ils ont du mal à comprendre ça."
Hésitations...
Nicolas Cage qui incarne Yuri, un trafiquant d'armes peu recommandable avoue avoir hésité avant d'accepter le rôle d'antihéros aussi détestable qu'attirant. "Peu de réalisateurs ont les couilles qu'à Andrew Niccol. Il écrit ce que tout le monde sait sans jamais oser en parler. Cela dit, à la première lecture du scénario, je n'étais pas sûr de vouloir trimballer Yuri avec moi pendant des semaines. Mais la route vers l'enfer est pavée de bonnes intentions, et je me suis dit que le diable devait être quelqu'un de très sympa."
French touch
Philippe Rousselet, fils d'André Rousselet fondateur de Canal +, fait ses grands débuts aux Etats-Unis avec Lord of war. Déjà producteur de Papa ou de Blanche, il s'est démené pendant plus d'un an pour trouver les 50 millions de Dollars du budget obtenus via des fonds européens, en majeure partie allemands.
Philippe Rousselet et Andrew Niccol se sont associés pour créer leur société de production : Entertainment Manufacturing Compagny.
Changement de casting
Dans un premier temps, c'est Monica Bellucci qui devait incarner la femme de Nicolas Cage dans le film, mais sa grossesse avancée l'a forcé à abandonner le rôle. Finalement, c'est Bridget Moynahan qui a été retenu. Donald Sutherland et Jeffrey Wright devaient également figurer au casting.
Mauvaises habitudes...
Jared Leto retouve ses mauvaises habitudes de Requiem for a dream. Dans Lord of war, il incarne Vitaly, le petit frère Nicolas Cage, paumé et complètement accro à la drogue.
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« Préc.
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Lucky Luke|Terence Hill|Western||2|américain, italien|1991|91|Anglais||XviD|||XVID|931 Kbps|640x480|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Lucio Bompani|Lori Hill|Carlo Tafani|||Saga : Lucky Luke |Cow-boy solitaire, Lucky Luke débarque dans petite ville du far-west avec son cheval pour y mettre de l'ordre... |Terence Hill (Lucky Luke)@Ron Carey (Joe Dalton)@Bo Gray (Jack Dalton)@Dominic Barto (William Dalton)@Fritz Sperberg (Averell Dalton)@Nancy Morgan (Lotta Legs)@Roger Miller (le narrateur / la voix de Jolly Jumper)@||||||||||||@@
Bewitched|Nora Ephron|Comédie||1|américain|2005|85|Anglais||DX50|||DX50|1 006 Kbps|480x240|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|699||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Penny Marshall Lucy Fisher Douglas Wick Nora Ephron|Delia Ephron Nora Ephron Adam McKay|John Lindley||Columbia Pictures||Isabel, sublime sorcière déterminée à vivre sans sorcellerie, part à Hollywood afin de trouver l'amour parmi les mortels. Là-bas, elle rencontre Jack, un acteur qui la persuade de jouer à ses côtés dans le remake de la célèbre série Ma sorcière bien aimée. Nos deux héros vont tomber amoureux, et provoquer malgré eux une collision entre leurs deux univers. |Nicole Kidman (Isabel Bigelow / Samantha Stevens)@Will Ferrell (Jack Wyatt / Darrin Stephens)@Shirley MacLaine (Iris Smythson / Endora)@Michael Caine (Nigel Bigelow)@Jason Schwartzman (Richie)@Kristin Chenoweth (Maria Kelly)@Heather Burns (Nina Johnson)@Sally Upland (Maria Kelly)@Jim Turner (Larry)@Stephen Colbert (Stu Robison)@David Alan Grier (Jim Fields)@Steve Carell (Arthur)@Mo Rocca (E! Reporter)@Kate Walsh (Serveuse sexy)@||Secrets de tournage :
Série culte
Ma sorcière bien aimée est l'adaptation de la homonyme ( en version originale), créée en 1964 par Sol Saks. Durant 8 saisons et 252 épisodes de 26 minutes, le show conta les aventures de Samantha, une gentille sorcière qui utilise ses pouvoirs en remuant son nez et qui essaye tant bien que mal de perdre l'habitude d'utiliser sa magie afin de mener une vie (presque) normale aux côtés de son mari mortel, Jean-Pierre Stevens. Et ce au grand dam de sa mère, la maléfique Endora, qui souhaiterait voir ce mariage se terminer dans les plus brefs délais... Aux côtés de la sorcière Elizabeth Montgomery, on retrouvait Dick York et Dick Sargent (tous deux interprètes de Jean-Pierre, respectivement de 1964 à 1969 et de 1969 à 1972) et Agnes Moorehead (Endora).
Nicole Kidman, la sorcière parfaite
Le producteur Douglas Wick explique : "Nous avons toujours vu le film comme une histoire d'amour entre une femme d'un autre monde, et l'homme le plus terrien qui soit. La beauté statuesque de Nicole Kidman lui donne cette aspect presque magique. Son charisme en tant qu'actrice la rend crédible en femme dotée de pouvoirs surnaturels. Et puis en bonus, il y a le nez de Nicole et son incroyable ressemblance avec celui d'Elizabeth Montgomery".
Un hommage à la série
"Nous savions dès le départ que nous ne souhaitions pas bêtement reprendre le style années 60 de la série", explique la productrice Lucy Fisher. "L'idée n'était pas de faire un simple remake de Ma Sorcière bien aimée avec de grandes stars. Cela aurait démontré un réel manque d'ambition en terme de créativité. Ce que nous voulions faire au contraire, c'était rendre un hommage à l'essence de la série, dans un contecte plus moderne. Nora Ephron est parvenue à reprendre dans le film tout ce qui fait que les gens aiment la série, tout en orientant l'histoire dans une nouvelle direction".
L'essence de la série
"Delia et moi avons vu ou revu de nombreux épisodes de la série, afin de déterminer comment nous pourrions en faire un film", explique la réalisatrice Nora Ephron. "Ce qui rend la série si contemporaine, malgré le fait que c'est un show assez vieux, c'est qu'elle traite de la balance du pouvoir entre l'homme et la femme, ce qui reste un thème très actuel. Bien sûr, certains éléments étaient liés à l'époque, Samantha ne travaillant pas et utilisant ses pouvoirs pour les tâches ménagères par exemple. Mais au fond, la série traitait toujours d'un couple avec une relation très forte, ceci parce que Samantha était également un personnage très fort humainement parlant".
Deux soeurs au scénario
Le scénario de Ma sorcière bien aimée est signé par les soeurs Nora et Delia Ephron. Cette dernière a participé à l'écriture de quatre autres réalisations de son aînée : Ma vie est une comédie, Mixed Nuts, Michael et Vous avez un message.
Nicole Kidman l'ensorceleuse
Avec Ma sorcière bien aimée, c'est la deuxième fois que Nicole Kidman se glisse dans la peau d'une sorcière. En 1999, elle était ainsi l'une des deux Ensorceleuses de Griffin Dunne. En 2005, elle a également failli prêter ses traits à la sorcière blanche du Monde de Narnia.
Cameron Diaz en sorcière, Jim Carrey en Jean-Pierre ?
Avant que Nicole Kidman et Will Ferrell ne soit retenu pour camper le couple-vedette de Ma sorcière bien aimée, le projet était passé entre les mains de grands comédiens. Gwyneth Paltrow, Jennifer Aniston, Alicia Silverstone et surtout Cameron Diaz ont ainsi failli être retenues pour agiter leur nez magique, alors que Jim Carrey et Mike Myers ont été approchés pour le rôle de Jean-Pierre (Darrin en version originale). Pour les producteurs Doug Wick et Lucy Fisher, Will Ferrell est "le parfait représentant de l'humanité", et Nicole Kidman "la parfaite représentante des êtres magiques".
Interdiction de bouger le nez !
Selon certaines rumeurs, la production aurait demandé à Nicole Kidman de ne pas bouger son nez en public avant la sortie du film, afin de garder la surprise pour les spectateurs.
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Ma vie en rose|Alain Berliner|Comédie dramatique||3|britannique, belge, français|1997|89|Français||XviD|||XVID|960 Kbps|576x320|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Carole Scotta|Chris Vander Stappen Alain Berliner|Yves Cape||Haut et Court||Evocation de la différence à travers l'histoire de Ludovic, garçonnet persuadé d'être une petite fille. |Jean-Philippe Ecoffey (Pierre Fabre)@Hélène Vincent (Elisabeth)@Michèle Laroque (Hanna Fabre)@Georges du Fresne (Ludovic Fabre)@Daniel Hanssens (Albert)@Laurence Bibot (Lisette)@Jean-Francois Gallotte (Thierry)@Caroline Baehr (Monique)@Julien Riviere (Jérome)@Grégory Diallo (Thom Fabre)@||||||||||||@@
Madagascar|Eric Darnell Tom McGrath|Animation|Film pour enfants à partir de 6 ans|2|américain|2005|85|Anglais||XviD|||XVID|997 Kbps|640x352|MPEG-1 Audio layer 3|130 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|27/08/2009 00:00:00|Teresa Cheng Mireille Soria|Mark Burton Billy Frolick Eric Darnell Tom McGrath|||Dreamworks Distribution LLC|Saga : Madagascar |Lorsqu'un lion, un zèbre, une girafe, un hippopotame et une poignée de pingouins psychotiques fuient leur zoo new-yorkais pour secourir l'un des leurs, l'aventure s'écrit avec un grand A. Et lorsque le destin les réunit sur l'île de Madagascar, ils doivent apprendre en formation accélérée les rudiments de la vie à l'air libre. |José Garcia (Alex (voix française))@Anthony Kavanagh (Marty (voix française))@Jean-Paul Rouve (Melman (voix française))@Marina Foïs (Gloria (voix française))@||Secrets de tournage :
La genèse du projet
La mise en chantier de Madagascar fait suite à l'avortement d'un projet précédemment mené par les réalisateurs Tom McGrath et Eric Darnell et la productrice Mireille Soria. Ces derniers travaillaient à l'élaboration d'une parodie animée de Quatre garçons dans le vent, le film des Beatles, où les vedettes seraient... quatre pingouins rockeurs ! L'obtention des droits musicaux représentant énormément de difficultés, le trio ne laissa pas échapper l'occasion de travailler à nouveau ensemble sur un projet. Ce fut Madagascar, qu'ils mirent en chantier avec l'aide des scénaristes Mark Burton et Billy Frolick. Et comme s'ils avaient voulu prendre une revanche sur le destin, ils inclurent, aux côtés des animaux vedettes de Madagascar, de drôles de personnages : quatre pingouins !
Pourquoi Madagascar ?
Le réalisateur Eric Darnell explique pourquoi les animaux du zoo new-yorkais fuient la mégalopole pour l'île de Madagascar : "Il nous fallait un lieu qui soit aussi différent que possible de Manhattan. Nos héros sont originaires d'Afrique, mais chacun connaît de vue l'intérieur de ce continent qui a largement perdu de son exotisme. Madagascar est une île sans pareille, abritant une faune et une flore uniques au monde. C'est un décor fabuleux qui stimulait notre imagination et nous fournissait la jungle sauvage dont nous avions besoin."
Un hommage aux "anciens" !
Madagascar, s'il bénéficie des techniques les plus avancées de l'animation informatique et est ainsi fortement ancré dans l'époque présente, possède cependant un pied dans le passé en rendant hommage à des figures légendaires telles que Chuck Jones et Tex Avery ou en ayant une ambiance cartoon propre aux anciens dessins animés. Le réalisateur Tom McGrath explique : "Nous avons puisé notre inspiration dans certaines des meilleures productions des années 1930 et 1940. Nous voulions que notre film possède le même genre d'humour délirant et burlesque." Et Eric Darnell, co-réalisateur, de poursuivre : "Les personnages de Madagascar sont extrêmement stylisés et tout sauf réalistes, ce qui autorisait une grande fantaisie en matière de look et de gestuelle. Ils évoluent dans un univers de cartoon et sont largement inspirés du 2D, en dépit du fait qu'ils sont créés dans le monde en 3D de l'ordinateur."
Un casting vocal de haut vol...
Dans la version originale de Madagascar, les voix sont assurées par Ben Stiller (le lion), Chris Rock (le zèbre), David Schwimmer (la girafe), Jada Pinkett (l'hippopotame), Sacha Baron Cohen (Julien) et Cedric The Entertainer (Maurice). Dans la version française, ce sont José Garcia (le lion), Anthony Kavanagh (le zèbre), Jean-Paul Rouve (la girafe) et Marina Foïs (l'hippopotame) qui se prêtent au jeu.
... et des réalisateurs qui se prennent au jeu !
La voix d'un des pingouins de Madagascar est assurée par le réalisateur Tom McGrath lui-même. Preuve que les cinéastes d'animation se prêtent volontiers à l'exercice vocal, la voix du chimpanzé intello est quant à elle signée Conrad Vernon, le réalisateur de Shrek 2 !
Quatre animaux graphiquement complémentaires
La création graphique des quatre héros de Madagascar, qui appelait selon le réalisateur Tom McGrath "un environnement légèrement farfelu, pas ouvertement caricatural, mais juste un peu fou-fou", s'appuya dans un premier temps sur les formes élémentaires du lion, du zèbre, de l'hippopotame et de la girafe. Le réalisateur Eric Darnell explique : "Ces animaux se complètent à merveille. Il y a le grand échalas, le bibendum, celui à la coiffure bouffante, celui à la coupe Iroquois. Le tout forme un ensemble extrêmement harmonieux." Et la chef décoratrice Kendal Cronkhite-Shaindlin de poursuivre : "Ils s'imbriquent comme les fragments d'un puzzle. Le lion Alex est un triangle posé sur une pointe; l'hippopotame Gloria, un cercle; la girafe Melman, un long, long trait; le zèbre Marty, un cylindre. Ils diffèrent par leurs silhouettes, mais ils résultent de l'application des mêmes principes esthétiques, à savoir des proportions délibéréments exagérées, des formes anguleuses et une grande précision dans les détails."
Les visages de "Shrek" comme point de départ
Pour les visages des quatre héros de Madagascar, sources de nombreux gags, l'équipe technique a pris pour exemple le film d'animation Shrek. Rex Grignon, le directeur de l'animation des personnages, explique avec enthousiasme : "Nous sommes partis du système d'animation faciale de Shrek et avons recherché les contrôles qui renforceraient la malléabilité d'un visage et nous permettraient de changer toute la structure d'une tête, l'axe d'un regard, le volume d'une narine... Nous avons mis le paquet, nous avons franchi allégrement toutes les limites. Un vrai bonheur !"
Un studio très animé !
Madagascar est le nouveau film d'animation des studios DreamWorks, qui avaient auparavant donné naissance à Shrek, Shrek 2 et Gang de requins.
Un hippopotame très demandé !
Pour prêter sa voix au personnage de l'hippopotame Gloria, la production a eu plusieurs artistes en tête, parmi lesquels Madonna, Jennifer Lopez et Gwen Stefani. Au final, c'est Jada Pinkett, madame Will Smith à la ville, qui a obtenu le "rôle".
Echange de compositeurs
C'est le célèbre compositeur Hans Zimmer (Rain Man, Thelma et Louise, Le Roi Lion, Gladiator, Batman begins) qui signe la bande-originale de Madagascar. Il a remplacé au pied levé Harry Gregson-Williams, initialement titulaire du poste mais qui est finalement parti signer la musique de l'épopée historique Kingdom of Heaven de Ridley Scott.
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Madagascar: Escape 2 Africa|Eric Darnell Tom McGrath|Animation|Film pour enfants à partir de 6 ans|3|américain|2008|89|Anglais||XviD|||XVID|949 Kbps|592x320|MPEG-1 Audio layer 3|129 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||23.976|27/08/2009 00:00:00|Mireille Soria Mark Swift|Etan Cohen Eric Darnell Tom McGrath|||Paramount Pictures|Saga : Madagascar |Toutes les adorables créatures de Madagascar sont de retour : le lion Alex, le zèbre Marty, la girafe Melman, l'hippopotame Gloria, le Roi Julien, Maurice et les pingouins... aucun ne manque à l'appel.Après s'être échoué sur les rivages lointains de Madagascar, nos New-yorkais ont concocté un plan dément - si dément qu'il pourrait bien réussir ! Avec une discipline quasi militaire, les pingouins ont rafistolé une épave d'avion, et au terme d'un vol chaotique à souhait, l'improbable équipage a pu rallier les vastes plaines d'Afrique.Les anciens pensionnaires du zoo de Central Park rencontrent alors pour la première fois leurs familles respectives dans leur habitat naturel. Une occasion unique de renouer avec ses racines, mais aussi de mesurer le gouffre qui sépare la nature de la civilisation, le "continent noir" de la "jungle de béton".De nouvelles aventures, encore plus palpitantes, attendent nos amis sur la terre de leurs ancêtres, mais le souvenir de New York reste présent en chacun d'eux. N'est-ce pas là que doit finalement se jouer leur avenir ? |José Garcia (Alex (voix française))@Anthony Kavanagh (Marty (voix française))@Jean-Paul Rouve (Melman (voix française))@Marina Foïs (Gloria (voix française))@Michaël Youn (King Julian (voix française))@Marc Alfos (Maurice (voix française))@Emmanuel Garijo (Mortie (voix française))@Jean-Paul Pitolin (Zuba (voix française))@Serge Faliu (Makunga (voix française))@Géraldine Asselin (la mère d'Alex (voix française))@Doudou Masta (Moto Moto (voix française))@Maria Tamar (Nana / Tata (voix française))@Xavier Fagnon (Skipper / Commandant (voix française))@Gilles Morvan (Kowalski (voix française))@Thierry Wermuth (Private / Soldat (voix française))@Patrick Floersheim (Mason (voix française))@||Secrets de tournage :
Le retour des animaux de "Madagascar"
Le film d'animation Madagascar 2 est la suite de Madagascar, réalisé en 2005. Cette deuxième aventure ne marque en rien la fin de l'histoire, puisque Jeffrey Katzenberg, PDG de la section animation de DreamWorks, envisage de produire un troisième volet. Ce dernier a déclaré qu'il tenait vraiment à ce que Marty le Zèbre, Melman la girafe, Alex le Lion et Gloria l'hippopotame mettent fin à leur épopée dans la ville de New York : "Il y a au moins un chapitre de plus après Madagascar 2. Nous souhaiterions voir les personnages revenir à New York."
La recette d'un succès
Le réalisateur/scénariste Eric Darnell donne la recette gagnant de Madagascar, qui avait rapporté plus de 500 millions de dollars de recettes à travers le monde : "Madagascar a plus parcequ'il réunissait des personnages plaisants et divertissants auxquels les gens pouvaient s'identifier. Les problèmes de nos héros, leurs carences, leurs angoisses ne vous empêchaient pas de sympathiser avec eux et de souhaiter leur réussite."
Quelque(s) chose(s) en plus
Pour le scénariste Tom McGrath, Madagascar 2 est meilleur que Madagascar sur de nombreux points : "Ce film est plus ample, plus drôle, plus abouti. Je pense aussi que le public s'y retrouvera, grâce à une histoire et des situations proches de la vie, qui le feront rire mais lui feront aussi ressentir des émotions plus fortes."
Des voix US de renom
Tous les acteurs qui ont prêté leurs voix dand Madagascar sont de retour pour Madagascar 2, mais ce n'est pas sans un peu de nouveauté... Du coté anglo-saxon, on peut saluer l'arrivée de Bernie Mac er Alec Baldwin, deux lions de la même famille qu'Alex, ainsi que celle de Sacha Baron Cohen. Ils rejoignent Chris Rock, Ben Stiller, David Schwimmer et Jada Pinkett.
Le casting vocal français
Concernant les voix françaises, le comédien Michaël Youn fait son entrée en doublant le King Julian. Il rejoint Jean-Paul Rouve, José Garcia, Anthony Kavanagh et Marina Foïs, tous déjà présents sur Madagascar.
Disparition d'une voix
L'acteur Bernie Mac, qui prête sa voix au père d'Alex dans le film, est décédé le 9 août dernier des suites d'une pneumonie. La star afro-américiane, qui a notamment fait partie du gang de Clooney dans Ocean's Eleven, signe avec Madagascar 2 l'une de ses toutes dernières prestations. Le film est dédié à sa mémoire.
Clin(s) d'oeil
Les spectateurs attentifs noteront quelques sympathiques références tout au long de Madagascar 2, comme l'apparition d'un requin (clin d'oeil aux Dents de la mer de Steven Spielberg, cofondateur de DreamWorks) ou une intrigue "lionesque" entre Alex, son père et son oncle perfide et avide de pouvoir. Une référence au Scar de Le Roi Lion ? Pas étonnant quand on sait que Jeffrey Katzenberg est à l'origine des deux films d'animation...
Recréer l'Afrique
Après l'île de Madagascar dans Madagascar, les équipes techniques ont cette fois travaillé pour recréer l'Afrique à l'écran. Ils se sont beaucoup documenté en visionnant des films, en consultant des livres, des photos, des sites internet. Le réalisateur Eric Darnell explique : "C'était utile, mais encore insuffisant. Jeffrey Katzenberg nous a expliqué que nous devions nous rendre sur place. C'est ainsi qu'on s'aperçoit que l'Afrique ne ressemble à rien d'autre au monde. Nous sommes partis en safari avec les principaux chefs de services et avons passé ensemble plusieurs jours dans la savane et sous la même tente. Une xpérience fabuleuse, irremplaçable, qui nous a étroitement soudés et donné à vivre des moments inoubliables."
Un Black Eyed Peas à Madagascar
L'un des compositeurs de la musique de Madagascar 2 (et la voix VO de Moto Moto) est Will.I.Am, le chanteur du célèbre groupe Black Eyed Peas. La formation américaine a vendu à ce jour 18 millions d'albums à travers le monde, obtenant trois Grammy sur dix nominations.
Avant-première au Grand Rex
Avant sa sortie nationale, Madagascar 2 est projeté en avant-première et en exclusivité au cinéma parisien Le Grand Rex, du 19 novembre au 2 décembre. Le film d'animation y est précédé du spectacle La Féérie des eaux, Madagascar 2.
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Mrs. Doubtfire|Chris Columbus|Comédie||3|américain|1994|125|Anglais||DX50|||DX50|645 Kbps|512x384|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|696||||23.976|08/08/2009 00:00:00|Mark Radcliffe Marsha Garces Williams Robin Williams|Leslie Dixon Randi Mayem Singer|Donald McAlpine||||Privé, à la suite de son divorce, de ses trois enfants qu'il adore, Daniel Hillard, doubleur de dessins animés, met en oeuvre tous ses talents d'acteur et d'imitateur et se transforme en respectable gouvernante irlandaise. Lorsque Mme Doubtfire se presente dans la famille Hillard, elle est acceptée a l'unanimité. |Robin Williams (Daniel Hillard / Madame Iphagenia Doubtfire)@Robert Prosky (Jonathan Lundy)@Harvey Fierstein (Oncle Frank Hillard)@Sally Field (Miranda Hillard)@Pierce Brosnan (Stuart 'Stu' Dunmeyer )@Polly Holliday (Gloria)@Lisa Jakub (Lydia Hillard)@Matthew Lawrence (Chris Hillard)@Mara Wilson (Natalie Hillard)@Anne Haney (Madame Sellner)@Scott Capurro (Jack)@Sydney Walker (le chauffeur de bus)@Martin Mull (Justin Gregory)@Paul Guilfoyle@||Secrets de tournage :
A l'origine, un roman...
Madame Doubtfire est l'adaptation d'un roman écrit par Anne Fine et intitulé Alias Madame Doubtfire. "L'idée de base du roman "Alias Madame Doubtfire" m'avait plu et le personnage de Daniel me séduisait par sa personnalité très contrastée, son attachement exclusif à ses enfants, sa jalousie féroce, son humour et sa chaleur", se souvient la productrice Marsha Garces Williams.
Chris Columbus : une triple motivation
Trois raisons ont poussé le réalisateur Chris Columbus à se lancer dans l'aventure Madame Doubtfire. "La première est qu'il est rare de trouver un scénario de comédie dont les prémisses fonctionnent aussi bien. La deuxième est qu'il m'offrait l'occasion de travailler avec Robin que je considère comme un génie. Enfin, c'était une chance de m'essayer à un registre comique plus adulte et plus sophistiqué", explique le cinéaste.
Pas seulement un film comique
Robin Williams n'a pas seulement été attiré par le potentiel comique de Madame Doubtfire. Pour lui, l'histoire " constituait un biais intéressant pour évoquer le sort des enfants de divorcés, la façon dont ceux-ci sont, fréquemment, pris en otages et ballottés d'un parent à l'autre. C'est cela que j'ai eu envie de montrer à travers la curieuse aventure de Madame Doubtfire."
Robin Williams vu par son réalisateur
Au sujet de Robin Williams, Chris Columbus ne tarit pas d'éloges. "Robin est un acteur providentiel, qui se donne à 150%", s'exclame-t-il. "Je n'ai jamais vu un comédien, une superstar, travailler plus dur. Il peut tourner des heures et des heures sans jamais se fatiguer. Il ne quitte jamais le plateau, et pousse chacun à donner le maximum."
Un look bien particulier
Le look de Madame Doubtfire a nécessité une attention toute particulière de la part de l'équipe du film. Le réalisateur Chris Columbus se souvient, amusé, avoir "d'abord essayé une approche légère : du rouge à lèvres et un simple maquillage. Mais on reconnaissait instantanément Robin. Ensuite, on a essayé des faux nez : pas plus convaincant ! Alors, on a décidé de lui refaire tout le visage. Après que nous ayons consulté quelque 500 photos de femmes, Greg Cannom trouva le portrait d'une vieille dame anglaise qui représentait vraiment la Mamie idéale."
Robin Williams à la production
Madame Doubtfire est le premier long métrage produit par Blue Wolf Productions, la société de production commune de Robin Williams et de son épouse et collaboratrice Marsha Garces Williams.
Un film récompensé
Madame Doubtfire a remporté l'Oscar du Meilleur maquillage en 1994. La même année, le film a reçu deux Golden Globes : celui de la Meilleure comédie et celui du Meilleur acteur, pour Robin Williams.
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Mais qui a tué Pamela Rose ?|Eric Lartigau|Comédie||3|français|2003|88|Français||XVID|||XVID|988 Kbps|720x304|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Jean-Baptiste Dupont Cyril Colbeau-Justin Franck Chorot|Kad Merad Olivier Baroux Julien Rappeneau|Régis Blondeau||||Agents du FBI, Bullit et Riper enquêtent sur le meurtre de la jeune strip-teaseuse Pamela Rose, retrouvée assassinée dans une chambre d'hôtel à Bornsville, une petite ville américaine sans histoires. Tout les oppose et pourtant ils doivent faire équipe : Bullit est un homme de terrain aux méthodes peu banales, tandis que Riper est un instructeur consciencieux, prêt à assurer sa première enquête.Confrontés à une police locale plutôt hostile, ces deux agents maladroits et déjantés vont devoir arrêter le ou les meurtriers. Au fil de leurs recherches, Bullit et Riper font la connaissance de Ginger, la meilleure amie de Pamela Rose. Ils s'aperçoivent rapidement qu'elle en sait plus que ce qu'elle veut en dire... |Kad Merad (Bullit)@Olivier Baroux (Riper)@Gérard Darmon (Phil Canon)@Jean-Paul Rouve (le shérif Marley)@Bénédicte Loyen (Ginger)@Lionel Abelanski (Thomas Filbee)@François Cluzet (Gibson)@Virginie Ledoyen (la femme de ménage)@Alain Chabat (Peter Mc Gray)@Julie Bataille (Pamela Rose)@Manuel le Lièvre (Luke Ribisi)@Greg Germain (Johnson)@Jean-Noël Brouté (le médecin légiste)@Marina Foïs (la cliente de la pharmacie)@Jacques Frantz (le récitant à la fin du film (voix))@Thierry Frémont (Mike)@Jean-Claude Leguay (le chef démineur)@Xavier Letourneur (le capitaine Donuts)@Joseph Malerba (le pharmacien)@Aurélie Matéo@Maurice Barthélémy (L'homme sur le panneau publicitaire du centre de déminage)@||Secrets de tournage :
D'après...
Le film est issu d'une série de sketchs des deux comiques Kad et Olivier. Ils avaient inventé les personnages de ces deux policiers il y a dix ans, quand ils improvisaient les aventures de Bullit et Riper à la radio. Ces deux "héros" ont fait ensuite l'objet d'un feuilleton quotidien de cinq minutes sur la chaîne Comédie !. Cette série compte quelque deux cents épisodes.
Références
Mais qui a tué Pamela Rose ? baigne évidemment des ambiances de séries et films policiers américains. Les références à X-Files, Starsky et Hutch, Twin Peaks, Seven, Psychose ou autres Silence des agneaux sont donc légion dans le film.
Peu de fous rires au final
Alors que beaucoup pensent que le tournage s'est déroulé dans un fou rire permanent, le réalisateur Eric Lartigau revient sur ce point : "Les gens pensent que Kad et Olivier partent dans tous les sens et font tout le temps les andouilles. Ce n'est absolument pas le cas. Cette constatation risque d'en décevoir beaucoup, mais ils sont très sérieux, professionnels, connaissent leur texte sur le bout des ongles, sont très précis - à tel point qu'ils en sont drôles. Il y a eu des fous rires bien entendu, mais pas tant que ça."
Thierry Fremont coupé
La scène où Thierry Frémont apparaissait dans Mais qui a tué Pamela Rose ? a finalement dû être coupée au montage. Eric Lartigau explique : "J'ai essayé de couper la scène en deux, puis en trois, de la mettre devant, derrière, au générique... Ca ne fonctionnait nulle part (...). Je lui présente encore mes excuses."
La référence d'Eric Lartigau
Le réalisateur de Mais qui a tué Pamela Rose ?, Eric Lartigau, parle de ses références comiques : "Une bonne comédie, c'est un rythme impeccable et de la bonne rigolade justifiée et surtout sincère. Parmi ceux qui m'ont donné envie de faire de la comédie, il y a surtout Louis De Funès qui, pour moi, est le roi du rire par sa sincérité : il en fait des caisses, mais reste honnête".
Le déguisement de Gérard Darmon
Gérard Darmon s'est inspiré du look de l'animateur radio américain Howard Stern pour façonner son accoutrement dans Mais qui a tué Pamela Rose ?.
Le choix d'Eric Lartigau
Conseillé par Dominique Farrugia (alors patron de la chaîne Comédie !) auprès du duo Kad et Olivier, le réalisateur Eric Lartigau pense que les deux comiques l'ont choisi en raison de la publicité Ariel, qui mettait en scène la lutte de Christine Bravo contre les fameuses "bouloches".
Changement de titre
Bullitt et Riper était le premier titre donné au film, avant qu'il ne s'intitule Bullitt et riper : le film. Mais qui a tué Pamela Rose ? a fini par s'imposer.
Le scénario
Kad et Olivier ont vendu le scénario de Mais, qui a tué Pamela Rose ? aux producteurs sans gags, juste avec l'intrigue criminelle : "Ils savaient ce qu'on valait en tant qu'humoristes, mais il fallait qu'on leur prouve qu'on était capable d'écrire une intrigue. Et on les a convaincus. Après, Kad et moi on s'est mis sur le scénario pendant sept mois, huit heures par jour...". (Ciné Live).
Des apparitions sympathiques
Créditées au générique mais dont la présence à l'écran n'excède pas la minute, de nombreuses personnalités font de petites apparitions sympathiques dans Mais, qui a tué Pamela Rose ?. On retrouve ainsi Virginie Ledoyen dans le rôle d'une femme de ménage d'origine hispanique, Marina Foïs en cliente furtive ou encore Alain Chabat dans une scène mémorable où il interprète un chanteur de country.
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Maléfique|Eric Valette|Fantastique||2|français|2003|86|Français||DIVX|||DIVX|966 Kbps|640x352|MPEG-1 Audio layer 3|118 Kbps|False|44.1 KHz|2|675||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Marc Missonnier Olivier Delbosc|Alexandre Charlot Franck Magnier|Jean-Marc Bouzou||Mars Distribution||Quatre détenus partagent la même cellule. Ils découvrent un jour, derrière une pierre descellée, le journal d'un prisonnier enfermé au début du siècle. Ce recueil contient des formules magiques qui permettraient de s'évader. Mais après cette trouvaille, des phénomènes étranges se produisent... |Clovis Cornillac (Marcus)@Dimitri Rataud (Pâquerette)@Philippe Laudenbach (Lassalle)@Gérald Laroche (Carrère)@Paul-Alexandre Bardela (Hugo Carrère)@Boris Lutz (Danvers jeune)@Alain Bouzigues@Didier Bénureau (Picus)@Geoffrey Carey (Danvers)@Yves Arnaud (le directeur de la prison)@||Secrets de tournage :
La "Bee movies" connection
Maléfique a été produit par la société française Bee Movies, spécialisée dans les projets de fantastique à l'hexagonal avec notamment Un jeu d'enfants de Laurent Tuel (2001) et Bloody Mallory de Julien Magnat (2001).
La bande des Guignols
Produit de commande, Maléfique est le fruit de la collaboration entre trois ex-membres des Guignols de l'info : le réalisateur Eric Valette, metteur en scène de nombreuses séquences de l'émission phare de Canal + et les scénaristes Franck Magnier et Alexandre Charlot, auteur des Guignols pendant respectivement cinq et quatre ans.
Un prix à Gérardmer
Présenté en compétition officielle lors du 10e Festival "Fantastic'Arts" de Gérardmer en janvier 2003, Maléfique en est reparti avec le Prix du jury, partagé avec The Gathering de Lewis Gilbert.
Pression pour Eric Valette
Pour son metteur en scène Eric Valette, tourner Maléfique n'a pas été sans pression. "Il y a un vrai défi à vouloir faire du cinéma de genre en France : les récentes tentatives sont disparates et inégales", avoue le réalisateur. "(...) C'est un domaine encore en défrichage, à chaque nouvel essai de film de genre français, on est attendu au tournant. Non seulement par les amateurs du registre qui sont extrêmement exigeants et particulièrement durs quand le résultat ne les satisfait pas, par la presse spécialisée mais aussi par le grand public qui nourrit ces dernières années une attente vis à vis de ce type de film".
Un comédien connu
Eric Valette a pu compter sur la collaboration de Gérald Laroche, avec qui il avait déjà tourné deux courts métrages, dans le rôle de Carrère. C'est par ailleurs par l'intermédiaire de Gérard Laroche que le rôle de Marcus a été confié à Clovis Cornillac. Les deux hommes avaient déjà partagé l'affiche du téléfilm Les Vilains de Xavier Durringer en 1999.
Documentation diverse
Pour se documenter sur l'univers carcéral dans lequel se déroule l'intégralité de l'intrigue de Maléfique, les scénaristes Franck Magnier et Alexandre Charlot ont directement interrogé un gardien de prison et lu le livre controversé de Véronique Vasseur. "Le type qui s'ampute pour s'échapper par petits bouts, les avaleurs ou la présence de transsexuels pas complètement opérés ne sont pas des trucs qu'on a inventés, mais font partie de la réalité de la vie carcérale", témoigne Alexandre Charlot.
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Home Alone|Chris Columbus|Comédie||3|américain|1990|98|Anglais||DX50|||DX50|880 Kbps|720x544|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||25.000|02/08/2009 00:00:00|John Hughes|John Hughes|Julio Macat||UFD|Saga : Maman, j'ai raté l'avion |La famille McCallister a decidé de passer les fêtes de Noel à Paris. Seulement Kate et Peter McCallister s'aperçoivent dans l'avion qu'il leur manque le plus jeune de leurs enfants, Kevin, âgé de 9 ans. D'abord désespéré, Kevin reprend vite les choses en main et s'organise pour vivre le mieux possible. Quand deux cambrioleurs choisissent sa maison pour commettre leurs méfaits. |Macaulay Culkin (Kevin McCallister)@Joe Pesci (Harry Lime)@John Heard (Peter McCallister)@Catherine O'Hara (Kate McCallister)@Daniel Stern (Marv Merchants)@Roberts Blossom (Marley)@Kieran Culkin (Fuller McCallister)@Hope Davis (l'agent français)@Angela Goethals (Linnie)@Devin Ratray (Buzz)@Gerry Bamman (Oncle Frank)@John Candy@||Secrets de tournage :
Deux suites
Maman j'ai raté l'avion a engendré deux suites mais la seconde étant plus un remake qu'une suite. Maman, j'ai encore raté l'avion suit les nouvelles aventures de Kevin MacAllister perdu cette fois dans les rues de New York et Maman, je m'occupe des mechants suit des personnages nouveaux dans une histoire différente mais reposant sur le même principe que Maman, j'ai raté l'avion.
Une idée dérivée d'un précédent film
L'idée de Maman j'ai raté l'avion est venue à John Hughes sur le tournage de Uncle Buck, réalisé un an auparavant. Dans ce film, Macaulay Culkin interroge une soi-disant baby-sitter par le trou de la boîte aux lettres.
Très rentable
Maman j'ai raté l'avion a le meilleur ratio coût/chiffre d'affaire de tous les temps. En effet, le film n'a coûté que 15 millions de dollars et en a rapporté 533 dans le monde.
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Home Alone 2|Chris Columbus|Comédie||3|américain|1992|115|Anglais||DX50|||DX50|717 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|32.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|02/08/2009 00:00:00|John Hughes|John Hughes|Julio Macat||20th Century Fox|Saga : Maman, j'ai raté l'avion |Après Paris, c'est à Miami que la tribu McCallister décide de passer les fêtes de Noël. A l'aube du jour J, toute la famille est sur le pied de guerre et file a l'aéroport en prenant bien garde de ne pas oublier Kevin. Mais celui-ci s'éclipse pour acheter des piles pour son walkman, il ne retrouve plus les siens et s'embarque par mégarde pour New York... |Tim Curry (Monsieur Hector)@Macaulay Culkin (Kevin McCallister)@Joe Pesci (Harry Lime)@John Heard (Peter McCallister)@Daniel Stern (Marv Merchants)@Rob Schneider (Cedrick)@Catherine O'Hara (Kate McCallister)@Ally Sheedy (Hôtesse de l'aéroport de NY)@Kieran Culkin (Fuller McCallister )@Devin Ratray (Buzz McCallister)@Chris Columbus (l'homme dans le magasin de jouets)@Brenda Fricker (Pigeon Lady)@Dana Ivey (Desk Clerk)@Rip Taylor (1st Celeb)@Donald Trump (Himself)@||Secrets de tournage :
Le plus gros chèque
Macaulay Culkin fut payé 8 millions de dollars pour reprendre son rôle de Kevin McAllister dans la suite de Maman, j'ai raté l'avion : Maman, j'ai encore raté l'avion. C'est le plus gros cachet reçu par un acteur de moins de 12 ans.
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Mamma Mia !|Phyllida Lloyd|Comédie musicale||3|américain|2008|107|Anglais||XviD|||XVID|765 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|32.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Judy Craymer|Catherine Johnson ( II )|Haris Zambarloukos||Universal Pictures||C'est en 1999, sur la ravissante île grecque de Kalokairi que l'aventure romantique commence, dans un hôtel méditerranéen isolé, la villa Donna, tenu par Donna, sa fille Sophie et le fiancé de Sophie, Sky. Juste à temps pour son mariage prochain, Sophie poste nerveusement trois invitations destinées à trois hommes bien différents dont elle pense que l'un d'eux est son père. De trois points du globe, trois hommes s'apprêtent à retourner sur l'île - et vers la femme - qui les avait enchantés 20 ans auparavant. |Meryl Streep (Donna)@Amanda Seyfried (Sophie)@Pierce Brosnan (Sam Carmichael)@Colin Firth (Harry Bright)@Stellan Skarsgard (Bill)@Julie Walters (Rosie)@Christine Baranski (Tanya)@Ashley Lilley (Ali)@Rachel McDowall (Lisa)@Dominic Cooper (Sky)@Juan Pablo Di Pace (Petros)@Dylan Turner (Stag)@Hemi Yeroham (Dimitri)@Mia Soteriou (Arina)@||Secrets de tournage :
De la scène à l'écran
Mamma mia! est l'adaptation de la comédie musicale homonyme écrite par Catherine Johnson basée sur les chansons du groupe ABBA. La première de Mamma Mia! eut lieu à Londres le 6 avril 1999. En 2007, le nombre de personne ayant vu le spectacle dépassait les 30 millions et elle a été présentée dans 170 villes en huit langues. Il semble donc naturel que Hollywood se soit pencher sur cette comédie musicale à succès. Pour l'adaptation cinématographique, on retrouve le trio de femmes à l'origine du spectacle, l'auteur Catherine Johnson, la réalisatrice Phyllida Lloyd et la productrice Judy Craymer.
Un projet qui date des années 80
Dès les années 80, la productrice Judy Craymer a commencé à travailler avec Benny Andersson et Björn Ulvaeus sur leur premier projet post-ABBA. La productrice fut immédiatement inspirée par la théâtralité des chansons du groupe et souhaitait créer un spectacle musicale avec les chansons d'ABBA, mais dans un contexte nouveau.
Une date porte-bonheur
Le spectacle Mamma Mia ! débuta le 6 avril 1999 au PrinceEdward Theatre de Londres. A la même date, 25 ans plus tôt, ABBA remportait le concours Eurovision de la Chanson. En 2005, la comédie musicale reçut 5 nominations aux Tony Awards et célébra sa millième représentation en juin, à Las Vegas.
Une adaptation attendue
Au vu du succès de la comédie musicale, plusieurs compagnies furent intéressées par l'adaptation du spectacle sur grand écran, mais la productrice Judy Craymer n'était pas pressée. Il lui semblait qu'il y avait encore beaucoup de chemin à parcourir sur scène. Mais en 2003, après que le spectacle ait été joué en Europe, en Amérique, en Australie et en Asie, la productrice su que le moment était venu. Elle s'associa alors à Playtone, la société de Tom Hanks et Gary Goetzman.
Deux registres pour un même groupe
Judy Craymer contacta ensuite la scénariste Catherine Johnson en lui faisant remarquer que les chansons d'ABBA s'inscrivaient dans deux registres bien différents. Le premier étant un registre plutôt jeune et joyeux avec des titres comme "Honey, Honey" ou "Dancing Queen," et le second étant un registre plus mature, réfléchi et affectif avec "The Winner Takes It All" ou "Knowing Me, Knowing you.". L'idée de deux histoires parallèles a alors fait son chemin...
Quand les acteurs chantent...
Benny Andersson tenait absolument à ce que chaque acteur interprète ses chansons. Ainsi, pour obtenir le meilleur des acteurs Phyllida Lloyd eut recours à différentes options : pré-enregistrer les voix afin que les acteurs puissent chanter en playback sur leur propre voix pendant le tournage, ou laisser les acteurs chanter en live pendant le tournage des scènes. Les acteurs ont apprécié cette flexibilité. Meryl Streep avoue que "Travailler à l'enregistrement des chansons avec Benny et Björn était très intéressant mais je l'ai fait avant de vraiment savoir qui mon personnage était et quelle était sa voix. J'ai réalisé, en chantant live sur le tournage, que ma voix avait évolué et c'était formidable d'avoir la possibilité de chanter live. L'énergie et l'aspect physique des scènes dictent la façon dont la chanson doit être interprétée d'une manière qu'il est impossible de savoir à l'avance en studio."
Trois hommes et une réalisatrice
La réalisatrice Phyllida Lloyd, déclare à propos de Pierce Brosnan, Colin Firth et Stellan Skarsgard : "Trois hommes avec une chaleur et un humour incroyables, et une compréhension intrinsèque de ce que Mamma Mia ! demande. Chacun d'eux a le talent nécessaire pour nous amener dans un voyage extraordinaire, d'un point de leur vie où ils sont un peu coincés, un peu perdus, à leur libération où ils se lâchent totalement sur cette île magique".
Après les studios, la plage...
Le tournage de Mamma Mia débuta au mois de juin 2007 sur le plateau 007 des Studios Pinewood. Le décor créé par la chef décoratrice Maria Djurkolvic offrit à Catherine Johnson, Phyllida Lloyd et Judy Craymer la chance d'agrandir le travail qu'elles avaient déjà accompli sur scène. Maria Djurkolvic affirme s'être basée sur le scénario plus que sur le spectacle pour créer les décors. "Sur scène, le décor s'apparente plus à un monde irréel. À l'écran (...) il fallait créer un univers réaliste." Après neuf semaines de dur labeur en studio, le tournage commença en Grèce, d'abord sur l'île de Skiathos durant 5 jours, ensuite sur Skopelos pendant 2 semaines et enfin à Damouhari sur le continent pour 5 jours.
Troisième !
Bien que Mamma Mia ! soit la première véritable comédie musicale dans laquelle Meryl Streep joue, l'actrice avait déjà poussé la chansonnette devant la camèra à deux reprises. Dans Bons baisers d'Hollywood en 1990 et dans The Last Show en 2006.
Meryl Streep dans le rôle de Donna
Meryl Streep avait vu la comédie musicale à New York et fut immédiatement attirée par l'humanité du personnage de Donna et par la musique. L'actrice affirme: "Les chansons sont intemporelles. Elles entrent en vous. Quand j'ai commencé à les apprendre, je me suis rendue compte que je les connaissais toutes. Elles sont terriblement accrocheuses avec de formidables mélodies". Mais Meryl Streep ne cache pas qu'elle fut également attirée par le fait que Mamma Mia ! était le travail de trois femmes (Judy Craymer, Catherine Johnson et Phyllida Lloyd) et que le rôle était difficile et physique, puisqu'elle devrait chanter tout en faisant des cascades.
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Man on Fire|Tony Scott|Thriller|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|2004|141|Anglais||XviD|||XVID|558 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|702||||23.976|06/08/2009 00:00:00|Arnon Milchan Tony Scott Lucas Foster|Brian Helgeland|Paul Cameron||UFD||Le Mexique est en proie à une vague d'enlèvements sans précédent. Face au danger, certaines familles aisées engagent des gardes du corps pour assurer la protection rapprochée de leurs enfants.C'est dans ce contexte lourd de menaces que débarque à Mexico l'ancien agent de la CIA John Creasy. Appelé par son vieil ami Rayburn, ce dernier se voit proposer un job inattendu : bodyguard de la petite Pita Ramos, fille de l'industriel Samuel Ramos.La fillette, précoce, pleine de curiosité et de vitalité, insupporte John par ses questions personnelles. Pourtant, au fil des jours, Pita parvient à percer ses défenses. Après bien des années, celui-ci retrouve le goût de vivre.C'est alors que Pita est kidnappée. Bien que grièvement blessé, Creasy se lance à la poursuite des ravisseurs. Inflexible, il remonte la piste, se jurant de retrouver sa protégée. |Denzel Washington (John Creasy)@Dakota Fanning (Pita Ramos)@Christopher Walken (Rayburn)@Giancarlo Giannini (Manzano)@Radha Mitchell (Lisa Ramos)@Marc Anthony (Samuel Ramos)@Rachel Ticotin (Mariana)@Mickey Rourke (Jordan)@Mario Zaragoza (Jorge Ramirez)@Heriberto Del Castillo (Bruno)@||Secrets de tournage :
Retrouvailles Tony Scott / Denzel Washington
Man on fire marque les retrouvailles de Tony Scott et Denzel Washington qui avaient déjà collaboré en 1995 sur USS Alabama.
Adapté d'un roman d'A. J. Quinnell
Ce film est adapté du roman L'Homme de feu d'A. J. Quinnell. A.J. Quinnell est le nom de plume d'un écrivain dont l'identité n'a jamais été révélée. Son héros, l'agent de la CIA John Creasy, apparaît également dans les ouvrages The Perfect kill, The Blue ring et Message from hell.
La genèse du projet
C'est en 1980 que Arnon Milchan, fondateur et propriétaire de Regency Enterprises, acheta les droits du roman d'A. J. Quinnell et proposa à Tony Scott de le porter à l'écran. En dépit de son enthousiasme, ce dernier ne put donner suite et décida peu de temps après de tourner son premier grand succès, Top gun.
Au début du nouveau millénaire, le producteur Lucas Foster s'associa avec Regency pour développer une nouvelle version de Man on fire. Le scénariste Brian Helgeland rédigea un nouveau script, et en 2003, le cinéaste donna son accord pour réaliser le film.
Une action transposée au Mexique
L'action des premières moutures de Brian Helgeland se déroulait, comme dans le roman de A. J. Quinnell, en Italie. Mais le producteur Lucas Foster et Tony Scott avaient deux objections majeures à cet égard : la Mafia est un sujet éculé et les enlèvements ont pratiquement cessé en Italie depuis l'instauration de nouvelles lois. Les recherches s'orientèrent alors vers le Brésil, le Guatemala et finalement le Mexique, où les kidnappings restent monnaie courante.
Denzel Washington et Dakota Fanning se préparent
Avant les prises de vues, Dakota Fanning perfectionna pendant plusieurs mois ses talents de nageuse. Elle prit également des leçons d'espagnol et des cours de piano, tout en fréquentant assidûment ses futurs "parents", Marc Anthony et Radha Mitchell, pour former avec eux une famille parfaitement crédible.
De son côté, Denzel Washington s'entraîna à évoluer, penser et réagir à la manière d'un garde du corps sous la tutelle du conseiller technique et expert en protection rapprochée Don Rosche.
Christopher Walken en a marre des méchants
Christopher Walken était initialement pressenti pour interpréter l'avocat marron Jordan Kalfus. Mais à sa demande, Tony Scott lui confia le rôle de Rayburn, le vieil ami de John Creasy.
L'acteur s'explique : "J'avais dit à Tony que je voulais changer d'emploi et que j'en avais ma claque de jouer les méchants !" Et Scott de s'en féliciter : "Chris arriverait à rendre excitante la lecture de l'annuaire. Il a enrichi Rayburn de quantité de nuances".
Tournage à Mexico
Pour conférer à Man on fire l'ambiance oppressante et l'impression réaliste souhaitées, l'équipe travailla principalement en décors naturels. Tourner à Mexico posa quantité de problèmes pratiques. Il fallut faire circuler chaque jour dans les rues étroites et encombrées de la ville plus de cinquante véhicules transportant acteurs, techniciens et matériel. En outre, les grèves générales sont un risque quasi permanent et la bureaucratie est d'une extrême lourdeur, chacun des 17 arrondissements de Mexico constituant un fief en soi.
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Rovdyr|Patrik Syversen|Epouvante-horreur||2|norvégien|2008|75|Norvégien||XVID|||XVID|1 083 Kbps|704x320|AC3|192 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Torleif Hauge|Patrik Syversen Nini Bull Robsahm|Håvard Andre Byrkjeland||Euforia Film||Eté 1974. Quatre amis partent pour un week-end de détente dans les bois. En chemin, ils sontattaqués par des hommes armés qui les assomment un par un. Ils se réveillent esseulés en plein coeur de la forêt et entendent le son d'un cor de chasse... |Henriette Bruusgaard (Camilla)@Lasse Valdal (Roger)@Kristina Leganger Aaserud (Jenta)@Janne Beate Bones (Renate)@Jørn Bjørn Fuller Gee (Jørgen)@Gudmund Groven (Epoux 2)@Trym Hagen (Garçon)@Kristofer Hivju (Epoux)@Jorunn Kjellsby (Femme)@Jeppe Laursen (Chasseur 2)@Nini Bull Robsahm (Mia)@Martin Slaatto (Homme)@Helge Sveen (Chasseur 1)@Erlend Vetleseter (Chasseur 3)@||||||||||||@@
Deception|Marcel Langenegger|Thriller||2|américain|2008|107|Anglais||XviD|||XVID|765 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Hugh Jackman Robbie Brenner David L. Bushell Christopher Eberts John Palermo Arnold Rifkin Marjorie Shik|Mark Bomback|Dante Spinotti||SND||Pas d'amis, pas de copine, il ne se passe rien dans la vie de Jonathan. Sa vie se résume à son travail de comptable dans une grosse société new-yorkaise... Jusqu'au jour où il sympathise avec un avocat, Wyatt, qui l'inscrit sur la "Liste", un club de rencontres sulfureux peuplé de jeunes femmes superbes et... disponibles. Mais Jonathan est tombé dans un engrenage fatal : la liste n'est qu'un piège diabolique destiné à le forcer à commettre le plus gros braquage du siècle... |Hugh Jackman (Wyatt)@Ewan McGregor (Jonathan)@Michelle Williams (S.)@Maggie Q (Tina)@Robert "Toshi" Kar Yun Chan (L'escroc)@Natasha Henstridge (Simone Wilkinson)@Lynn Cohen (La mère supérieure)@Malcolm Goodwin (Cabbie)@Daisy Bates (un invité)@Danny Burstein (Le contrôleur)@Zoe Perry (Une secrétaire)@Nadine Campeau (La belle femme)@Aya Cash (Une secrétaire)@Wayne Chang (Un client du restaurant)@Joey Chanlin (Le serveur )@Holly Cruikshank (La danseuse)@Brother Eden Douglas (Le détective)@Pamela Fischer (La passagère en première classe)@Ramon Flowers (Un avocat)@Andrew Ginsburg (Un avocat)@Frank Girardeau (Mr. Lumin)@Javier Godino (Le directeur de la banque)@Lisa Gay Hamilton (Inspecteur Russo)@Emelie Jeffries (L'examinatrice médicale)@Christine Kan (La joueuse de tennis)@Fady Kerko (Le conducteur de métro)@Heland Lee (Le gigolo)@Kenneth Lee (Le patron du restaurant)@Joseph Melendez (Le directeur de la banque)@Karolina Muller (Serveuse)@Chandler Parker (L'officier de police)@Charlotte Rampling (Wall Street Belle)@Christina Prostano (La cliente du bar)@Richard Short (Le réceptionniste)@Brian Slaten (L'officier)@Paul Sparks (Le détective Ed Burk)@Sonny Vellozzi (Le caissier de banque)@||Secrets de tournage :
Le premier film produit par Hugh Jackman
Fondateur de Seed Productions, l'acteur et producteur Hugh Jackman a choisi Manipulation pour être le premier film produit par sa société. Il y incarne Wyatt, un juriste qui se lie d'amitié avec Jonathan et le sort de son isolement. Le comédien-producteur déclare : "Il y avait quelque chose de très rafraîchissant dans le scénario, de très nouveau. C'était intelligent, sexy, et l'histoire vous faisait découvrir des choses qu'on ne voit jamais. Beaucoup de thrillers sont un peu ridicules parce qu'ils racontent des choses qui ne pourraient jamais arriver dans la réalité. Ce n'est pas le cas avec Manipulation : l'histoire et le monde que nous fait découvrir le film sont tout à fait plausibles. Quand on regarde autour de nous, on s'aperçoit que malgré les téléphones portables, les PDAs et tous les moyens de communication modernes, les gens se sentent aujourd'hui de plus en plus seuls et isolés, exactement comme Jonathan. C'est un personnage auquel nous pouvons tous nous identifier, et c'est ce qui rend son histoire encore plus terrifiante."
Ewan McGregor vu par Marcel Langenegger
Pour le réalisateur Marcel Langenegger, "Ewan McGregor est un acteur incroyablement juste et expressif. Dans beaucoup de scènes, son personnage ne faisait rien. Il était assis à attendre un coup de fil ou à travailler sur son ordinateur. J'étais un peu inquiet à l'idée de devoir trouver un acteur capable de transmettre quelque chose dans ces scènes sans même dire un mot. Mais dès le premier jour, Ewan a été capable d'interpréter Jonathan exactement comme je l'avais imaginé. Pour moi, c'était fantastique. C'est un acteur d'une subtilité exceptionnelle."
Hugh Jackman vu par Marcel Langenegger
Pour le réalisateur Marcel Langenegger, "Hugh Jackman possède une grande présence physique, avec quelque chose de très sain, de très masculin. Son répertoire est très large, il peut pratiquement tout jouer. Dès le premier jour de tournage, il était Wyatt, c'était très impressionnant. Il sait aussi s'adapter très rapidement. Je me souviens d'une scène où pour le diriger, je lui ai dit que Wyatt considérait Jonathan comme un insecte insignifiant, un cafard. Dès que la caméra s'est mise à tourner, il a exploité cette idée et a complètement transformé la scène. C'était une expérience merveilleuse de travailler avec lui. J'ai le sentiment que rien ne lui est impossible."
Le choix de Michelle Williams
Le réalisateur Marcel Langenegger se souvient de sa première rencontre avec l'actrice Michelle Williams : "J'ai su que était S. dès que je l'ai rencontrée. Quand elle s'est assise en face de moi, j'ai immédiatement été frappé par son naturel et sa fragilité apparente, mais aussi par l'énergie qui se dégageait d'elle. S. était un rôle très délicat. Bien qu'elle ressemble au cliché de la femme fatale qui est mêlée d'une façon ou d'une autre à l'intrigue de tous les thrillers, je voulais lui donner une profondeur et une tonalité qu'on ne s'attend pas à rencontrer chez un tel personnage. En cela, la vulnérabilité de Michelle Williams était parfaite parce qu'en quelques scènes seulement, elle justifiait la manipulation et les violences que subit S. L'engager a été une tout autre histoire. Pour la convaincre, j'ai fini par lui chanter une chanson du groupe Jane's Addiction qui me faisait penser à S. Les paroles étaient "Jane says she's never been in love. She only knows when someone wants her." ("Jane dit qu'elle n'a jamais été amoureuse. Elle sait seulement quand quelqu'un la désire.") Je lui ai dit : "C'est ton rôle. Tu rencontres Jonathan pour la première fois et tu te sens comme une adolescente qui vient de découvrir l'amour. C'est pour cela que ton personnage est si difficile, merveilleux et beau à la fois." Et finalement, elle a accepté."
Tournage à New York
Ayant débuté le 13 octobre 2006, le tournage s'est essentiellement déroulé à New York, bien que certaines scènes aient également été filmées à Madrid autour de la Plaza Mayor et du Paseo Del Prada. Marcel Langenegger précise : "C'est compliqué de tourner à New York, mais aucune autre ville au monde ne peut la remplacer. Je tenais donc à ce qu'on la voie dans le film. En faisant les repérages pour trouver des lieux de tournage comme des bureaux ou des chambres, j'ai essayé de trouver des endroits qui offraient de grandes vues sur la ville, un peu comme dans les tableaux d'Edward Hopper où un personnage esseulé et enfermé regarde un paysage à l'extérieur. J'ai aussi cherché des extérieurs depuis lesquels on pouvait voir Jonathan seul dans son bureau de verre au milieu de Manhattan pour montrer à quel point il est isolé."
Michelle Williams raconte : "La plupart des scènes du film ont été tournées en nocturne. C'est une chose que j'adore parce que l'ambiance est toujours très spéciale la nuit. Etre dehors dans les rues ou le métro de New York alors que tout le monde dort autour de vous est extrêmement romantique."
Recours à la Panavision Genesis
Marcel Langenegger souhaitait créer un espace et une atmosphère agréables autour de la caméra pour faciliter son travail et celui des acteurs. Pour y parvenir, il fallait que la caméra soit très discrète, presque invisible, de façon à travailler sans se soucier d'elle. C'est pour cette raison qu'il a choisi d'utiliser la caméra Panavision Genesis. Malgré tous ses avantages, cela n'a pas été une décision facile à prendre. "Avec Dante Spinotti, le directeur de la photo, nous avons eu un vrai débat qui opposait la pellicule au numérique, se souvient le cinéaste. Je voulais tourner sur film et lui en numérique. Maintenant j'en rigole, mais c'était un véritable conflit d'intérêts !"
Dante Spinotti explique : "Nous avons divisé le film en deux parties, le jour et la nuit. Les scènes de jour étaient filmées sur pellicule, et celles de nuit avec la Genesis. Même si vers la fin nous avons filmé quelques scènes de jour avec la Genesis, nous avons procédé de cette façon pendant tout le tournage (...) Avec une caméra et une pellicule classique, quand on tourne une scène nocturne, le décor est très éclairé, et pour les acteurs et l'équipe technique on se croirait de jour, même si au final l'image donnera l'impression d'avoir été filmée la nuit. La Genesis présentait l'avantage d'être très sensible à la lumière, ce qui nous permettait de travailler avec très peu d'éclairage et d'obtenir une image plus lisible que celle d'une pellicule dans les mêmes conditions. Grâce à cela, nous pouvions filmer sans modifier les décors ou ajouter des éclairages, ce qui rend l'image beaucoup plus naturelle et authentique. Avec la Genesis, nous avons pu explorer et saisir les moindres détails du monde nocturne et ténébreux qui est au centre du film."
Initialement intitulé "The Tourist"
En VO, Manipulation s'est initialement intitulé The Tourist.
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Mariages !|Valérie Guignabodet|Comédie||2|français|2004|97|Français||XVID|||XVID|864 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|130 Kbps|False|44.1 KHz|2|699||||25.000|09/08/2009 00:00:00|Philippe Godeau|Valérie Guignabodet|Pierre Aïm||Pan Européenne Edition|Saga : Mariages ! / Divorces |Ils ont 25 ans et se marient aujourd'hui.Ils ont 35 ans, se sont unis il y a dix ans et se déchirent aujourd'hui.Ils ont 45 ans, se sont déchirés il y a dix ans et tentent aujourd'hui de se réconcilier...Trois mariages dans un mariage, trois couples durant les 24 heures d'une noce quelque peu perturbée par les doutes et les crises de chacun."Qu'il est formidable d'aimer", chante courageusement le curé, à l'heure où un mariage sur trois se termine en divorce...Un sur trois : d'accord, mais lequel ? |Jean Dujardin (Alex)@Mathilde Seigner (Valentine)@Antoine Duléry (Hugo)@Miou-Miou (Gabrielle)@Lio (Micky)@Didier Bezace (Pierre)@Chloé Lambert (Johanna)@Alexis Loret (Benjamin)@Catherine Allegret (Chantal, la mère de Ben)@Michel Dussarat (Roberta)@Michel Lagueyrie (Jacques Dupré)@Beata Nilska (Ingrid)@Marianne Groves (la cousine de Ben)@Frédéric Maranber (le cousin de Ben)@Gilles Gaston-Dreyfus (le curé)@Simon Astier (Nicolas)@Claire Johnston (la tante anglaise)@||Secrets de tournage :
Les acteurs à la noce
La réalisatrice donne des précisions concernant la brillante distribution de son film : "J'ai vite pensé à Jean (Dujardin) et Mathilde (Seigner). Je pense que Jean est la grande star masculine de ces prochaines années. Il a lu et m'a répondu en deux heures. Mathilde (...) j'ai mis sept mois à la joindre... mais deux heures après, elle disait oui ! A la fin du casting, on s'est rendu compte que tous ceux qui faisaient le film avaient répondu en moins de 24 heures (...) Ils se sont tous investis de façon merveilleuse : Miou-Miou, par exemple, est venue spontanément chez Celestina Agostino aux essayages de la robe de la mariée et a tellement pris les choses en main que tout le monde a cru qu'elle mariait vraiment sa fille."
Une seconde de lucidité...
Valérie Guignabodet revient sur les circonstances dans lesquelles elle a eu l'idée de Mariages ! : "Bizarrement, il est né à une seconde très précise, alors que j'assistais à un mariage à un moment de ma vie où je n'y croyais plus, une seconde de profonde lucidité et de tristesse effroyable, car il n'y a rien de plus triste que de voir des gens prier et de ne plus avoir la foi, rien de plus triste que de voir des gens qu'on aime se promettre un amour éternel et d'être convaincu qu'ils finiront comme tous les autres... De là sont nés les personnages de Valentine et Alex dont les doutes contaminent les couples autour d'eux, révèlent les tensions et les hypocrisies."
Le cinéma côté Dujardin
Jean Dujardin, la vedette de Mariages !, le deuxième long-métrage de Valérie Guignabodet, est également à l'affiche du Convoyeur, qui sort aussi en avril 2004, et dans lequel il a pour partenaire Albert Dupontel, qui était le héros du précedent film réalisé par Guignabodet, Monique. Dans Mariages !, Dujardin retrouve son complice de Toutes les filles sont folles, Antoine Duléry.
Elles et Lio
Avec Mariages !, l'actrice Lio tourne de nouveau sous la direction d'une femme. Les réalisatrices sont en effet nombreuses à avoir fait appel à cette comédienne au fort tempérament : Chantal Akerman (Golden Eighties), Catherine Breillat (Sale comme un ange), Jeanne Labrune (Sans un cri), Diane Kurys (Après l'amour), Marion Vernoux (Personne ne m'aime), ou encore Delphine Gleize (Carnages).
Le mariage, vu par la cinéaste
Pour donner son point de vue sur le mariage, Valérie Guignabodet a recours à une comparaison d'ordre religieux : "Le mariage est un peu à l'amour ce que la messe est à la foi : dans le fond les raisons d'y aller sont profondes et sublimes. Dans les faits, ce n'est pas aussi clair que ça..." La réalisatrice a elle-même été "pratiquante" : "J'ai vécu dix-sept ans avec le père de ma fille, auquel le film est dédié, et nous nous sommes mariés à mi-parcours."
Retrouvailles
C'est la deuxième fois que Miou-Miou tourne aux côtés de Mathilde Seigner après Nettoyage à sec d'Anne Fontaine, dans lequel le duo ambigu que Seigner forme avec Stanislas Merhar trouble le couple Miou-Miou-Charles Berling
Casse-tête
Un grand nombre de personnages évoluent dans Mariages !, ce qui a demandé beaucoup de travail durant le tournage. Valérie Guignabodet se souvient : Je ne sais (...) toujours pas comment on a réussi à tourner tout ça en sept semaines ! Dans la moitié des scènes, j'avais douze comédiens principaux, vingt secondaires, quatre-vingt figurants à caser dans le décor et dans le cadre, à faire vivre au son. Il fallait chorégraphier les actions principales au premier plan, des actions secondaires aux deuxième, troisième, quatrième plans... Il fallait être suffisament dirigiste pour mener le gros bateau et à la fois suffisamment souple pour laisser rentrer la vie dans le film."
Le mariage de la variété et du cinéma
La musique de Mariages ! est signée Fabrice Aboulker. S'il a peu écrit pour le cinéma, Aboulker est connu pour avoir composé plusieurs tubes de la variété française des années 80 et 90, en particulier les succès de Marc Lavoine, d'Elle a les yeux revolver à Qu'est-ce que t'es belle.
Le making-of d'un insider
Pendant le tournage, c'est un des acteurs du film, Alexis Loret, qui a réalisé le making-of du film.
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Married Life|Ira Sachs|Comédie dramatique||2|américain, canadien|2008|90|Anglais||XviD|||XVID|934 Kbps|608x336|MPEG-1 Audio layer 3|131 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Ira Sachs Steve Golin Sidney Kimmel Jawal Nga|Ira Sachs Oren Moverman|Peter Deming||Sony Pictures Releasing France||Après des années d'une vie de couple heureuse et tranquille, Harry décide de tuer sa femme Pat, car il va la quitter mais préfère la voir morte plutôt que de la rendre malheureuse. Il est en effet tombé éperdument amoureux de la charmante Kay. Mais Richard, son meilleur ami, espère lui aussi la conquérir... Pendant que Harry tente maladroitement de mettre à exécution ses plans désastreux pour assassiner son épouse, Kay et Richard affrontent leurs propres problèmes. Tous trois espèrent assouvir leurs rêves de passion mais se heurtent à leurs propres limites... |Pierce Brosnan (Richard)@Chris Cooper (Harry Allen)@Patricia Clarkson (Pat Allen)@Rachel McAdams (Kay)@David Richmond-Peck (Tom)@David Wenham (John O'Brien)@Carrie Fleming (L'opératrice)@Timothy Webber (Alvin Walters)@Erin Boyes (Becky)@Terence Kelly (Dr. Anderson)@Annabel Kershaw (Miss Jones)@Sheila Paterson (Mme Walsh)@Anna Williams (La copine d'O'Brien)@Malcolm Boddington (L'homme élégant)@Rebecca Codling (L'employée du magasin de photo)@Pauline Crawford (L'infirmière)@Dolores Drake (La preneuse de ticket)@Ty Olsson (Un policier)@Sean Tyson (Un policier)@Alex Stevens (Celui qui joue aux charades)@Suzanne Ristic (Celle qui joue aux charades)@||Secrets de tournage :
Note d'intention
Avec Married Life, Ira Sachs n'a pas souhaité faire un film destiné aux passionnés de cinéma. "J'ai voulu faire un film, précise-t-il, qui traite avec honnêteté et légèreté des difficultés du mariage et de la vie intime. L'intrigue, aussi extrême soit-elle, permettait de le faire à la fois directement et sous forme de métaphore."
Quand le réalisateur a commencé à travailler avec son coscénariste Oren Moverman, tous deux sont tombés d'accord sur le ton pétillant à insuffler au film. Ira Sachs explique : "Dès la première scène, nous signalons au spectateur qu'il y a une part de dérision dans tout ce qui va suivre. Je voulais que les gens ne prennent pas tout au premier degré, sans pour autant nier la nature dramatique de ce qui se déroule entre les personnages. Je souhaitais que le public savoure le récit sans tomber dans la prise de tête. C'est comme ces vieux films que j'ai adorés quand j'étais gosse : c'est un film de cinéma, une histoire imaginaire, et pourtant d'une certaine façon, cette histoire est pour moi bien réelle et vraiment personnelle."
D'après l'oeuvre de John Bingham
Pour élaborer son scénario, Ira Sachs a étudié quantité de romans populaires et de livres policiers. Jusqu'à ce qu'il découvre l'ouvrage de John Bingham, Cinq tours jusqu'au paradis. Maître du polar britannique, John Bingham fut à la fois un auteur et un espion. John Le Carré basa d'ailleurs le personnage de Smiley sur John Bingham, son ami et mentor au MI5, les services secrets britanniques. Le réalisateur se souvient : "C'était exactement ce que je cherchais - une histoire exceptionnelle traitant de la complexité des relations à long terme. J'ai pensé que cette aventure pourrait être un moyen très intéressant d'explorer l'intimité d'un couple et la distance qui peut s'immiscer entre deux êtres qui partagent le même lit depuis si longtemps."
Au coeur des années 40
Situer l'action dans le contexte des années 1940 accroît le contraste entre divertissement et réalisme dramatique. Ira Sachs déclare : "Les gens ont une perception très codée des années 50, du style et de la culture de cette époque. Les années 40 et l'après-guerre offraient davantage de possibilités." Afin de porter au mieux l'univers des années 40 à l'écran à travers les costumes et les décors, le réalisateur et son équipe ont pris leurs distances avec le kitsch des années 40 - pas de larges épaulettes, pas d'éclairages tendance " néo-noir ", pas de rouges à lèvres voyants - et ont opté pour une sensibilité plus moderne. Pour retrouver le côté glamour des années 40, ils ont fouillé chaque magasin spécialisé en accessoires et en costumes de New York et de Los Angeles.
Le choix de Pierce Brosnan
Ira Sachs considère Richard, l'ami d'Harry, comme le personnage le plus drôle du film : "Il est intelligent, il a du charme et possède un sens de l'humour assez redoutable. Si le film avait vraiment été tourné dans les années 40, le rôle de Richard aurait parfaitement convenu à Cary Grant. Pierce Brosnan apporte au personnage une légèreté et une énergie malicieuse, tout en laissant transparaître une certaine vulnérabilité. Pierce fait de Richard un goujat, c'est vrai, mais un goujat que l'on peut aimer."
Rachel McAdams vue par Ira Sachs
Pour le rôle de Kay, Ira Sachs souhaitait une actrice dont on ne doute pas une seconde qu'elle puisse étourdir Harry et Richard. Il explique : "Toute l'histoire tourne autour de Kay. Elle est la lumière des deux hommes. Lorsque Kay entre dans le restaurant au début du film, le spectateur n'a aucune peine à croire que les deux hommes puissent immédiatement tomber sous son charme. Il est évident que Rachel McAdams possède un grand pouvoir de séduction, mais plus important encore, elle dégage un certain mystère, un "je ne sais quoi" d'inaccessible qui subjugue. Elle est à la fois touchante et compatissante, avec une certaine retenue. Avec elle, on sent qu'il se passe toujours quelque chose au-delà des apparences."
Tournage en Colombie britannique
Married Life s'est déroulé du 21 juillet au 27 octobre 2006 au Canada, en Colombie britannique - les villes de Burnaby et Vancouver ainsi que le Queen's Park - plus exactement.
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The Texas Chainsaw Massacre 2|Tobe Hooper|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|1986|100|Anglais||DivX|||DIVX|808 Kbps|640x352|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|676||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Menahem Golan Yoram Globus|Tobe Hooper Kim Henkel L.M. Kit Carson|Richard Kooris|||Saga : Massacre à la tronçonneuse |Au Texas, deux jeunes gens sont retrouvés morts dans leur voiture, massacrés à coups de tronçonneuse. La police tente de faire passer cette affaire pour un banal accident d'automobile. Mais, les victimes étant en contact téléphonique avec une animatrice de radio au moment du crime, celle-ci a pu en enregistrer la "bande-son"... |Dennis Hopper (Lieutenant 'Lefty' Enright )@Caroline Williams (Vantia 'Stretch' Brock)@Jim Siedow (cuisinier)@Bill Moseley (Chop Top)@Bill Johnson (II) (Leatherface)@Ken Evert (Grandpa)@Harlan Jordan (Patrolman)@Kirk Sisco (Detective)@||||||||||||@@
|Interdit aux moins de 12 ans|2|Etats-unis|1989|82|Anglais||DX50|||DX50|1 040 Kbps|704x368|MPEG-1 Audio layer 3|32.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|695||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Robert Engelman|David J. Schow|James L. Carter|||Saga : Massacre à la tronçonneuse |Perdus sur une petite route du Texas, Michelle et Ryan sont poursuivis par un fou armé d'une tronçonneuse. Le cauchemar ne fait que commencer... |R. A. Mihailoff (Leatherface)@David Cloud (Scott)@Beth DePatie (Gina)@Tom Everett (Alfredo)@Ken Foree (Benny)@William Butler (Ryan)@Viggo Mortensen (Tex)@Miriam Byrd-Nethery (la mère)@Duane Whitaker (Kim)@Michael Shamus Wiles (l'officier du poste de contrôle)@Jennifer Banko (la fillette)@Kate Hodge (Michelle)@Toni Hudson (Sara)@Joe Unger (Tinker)@||||||||||||@@
The Return of the Texas Chainsaw Massacre|Kim Henkel|Epouvante-horreur||1|américain|1994|83|Anglais||DX50|||DX50|1 029 Kbps|640x368|WMA2|64.1 Kbps|False|44.1 KHz|2|657||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Kim Henkel Robert Kuhn|Kim Henkel Tobe Hooper|Levie Isaacks|||Saga : Massacre à la tronçonneuse |Un groupe d'adolescents est pris en chasse par une famille de dangereux psychopathes... |Matthew McConaughey (Vilmer)@Renée Zellweger (Jenny)@Robert Jacks (Leatherface)@Tonie Perensky (Darla)@Joe Stevens (W.E)@Lisa Marie Newmyer (Heather)@John Harrison (Sean)@Tyler Cone (Barry)@James Gale (Rothman)@Lisa Caraveo (Brenda)@||||||||||||@@
The Texas Chainsaw Massacre|Marcus Nispel|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 16 ans|3|américain|2004|92|Anglais||DX50|||DX50|973 Kbps|576x312|MPEG-1 Audio layer 3|57.2 Kbps|False|44.1 KHz|1|691||||29.970|28/07/2009 00:00:00|Michael Fliess Brad Fuller Andrew Form Michael Bay|Scott Kosar Tobe Hooper Kim Henkel|Daniel Pearl||Metropolitan FilmExport|Saga : Massacre à la tronçonneuse (le remake) |En 1973, lors d'une perquisition à la ferme de Thomas Hewitt, ancien employé de l'abattoir de Travis County, au Texas, la police découvrait les restes de 33 êtres humains. Cette effroyable trouvaille mit en émoi la population locale. Arborant les grotesques masques de chair de ses victimes et brandissant une tronçonneuse, le tueur fut macabrement surnommé Leatherface. Les autorités locales abattirent un homme portant un masque de cuir, mettant ainsi fin à l'affaire, mais au cours des années suivantes, plusieurs personnes accusèrent la police d'avoir bâclé l'enquête et d'avoir tué un innocent en toute connaissance de cause. Pour la première fois, la seule victime ayant survécu au massacre brise le silence et raconte ce qui est vraiment arrivé cette nuit-là, sur une route déserte du Texas, à cinq personnes qui sans le savoir, roulaient vers leur pire cauchemar... |Jessica Biel (Erin)@Eric Balfour (Kemper)@Jonathan Tucker (Morgan)@Erica Leerhsen (Pepper)@Mike Vogel (Andy)@R. Lee Ermey (le shérif Hoyt)@David Dorfman (Jedidiah)@Lauren German (l'auto-stoppeuse)@Terrence Evans (le vieux Monty)@Andrew Bryniarski (Thomas Hewitt / Leatherface)@Marietta Marich (Luda May)@Heather Kafka (Henrietta)@Kathy Lamkin (la dame dans la caravane)@John Larroquette (le narrateur)@||Secrets de tournage :
Le remake d'un classique de la peur
Massacre à la tronçonneuse est le remake du long-métrage éponyme réalisé en 1974 par Tobe Hooper et considéré comme un classique du film d'horreur. Réalisé pour à peine 150 000 dollars, le Massacre à la tronçonneuse premier du nom rapporta plus de 100 millions de dollars de recettes à travers le monde et consacra le personnage de Leatherface comme l'un des plus célèbres monstres du septième art.
D'après une histoire vraie
Massacre à la tronçonneuse est inspiré de faits réels. Le 20 août 1973, la police du Texas fit une macabre découverte dans la ferme de Thomas Hewitt, ancien employé d'abattoir : les restes de 33 victimes humaines. D'horribles crimes perpétrés par un sinistre individu arborant les masques de chair de ses victimes et toujours muni d'une tronçonneuse, auquel fut donné le surnom de Leatherface...
Michael Bay à la production
Massacre à la tronçonneuse est la première production de la société Platinum Dunes, fondée par le cinéaste Michael Bay (Bad Boys, Armageddon, Pearl Harbor). Ce dernier, qui fut un temps pressenti pour réaliser lui-même le film, explique avoir voulu "retrouver l'esprit pionnier du chef-d'oeuvre de Tobe Hooper en lui donnant un nouvel élan." Son partenaire Andrew Form argumente le choix d'un tel projet : "Une grande partie du jeune public n'a jamais vu le film original. Ils ignorent de quoi ils se privent ! C'est une des émotions les plus puissantes que l'on puisse avoir dans une salle obscure."
Dynamiser le remake
Le producteur Brad Fuller explique : "Il fallait garder garder l'essence du premier film tout en lui insufflant un rythme et un traitement plus actuels, plus dynamiques. Nous voulions que le film soit un thriller psychologique, que la terreur ne soit pas uniquement viscérale. Il fallait pour cela asseoir les éléments d'horreur sur des bases authentiques, en commençant par des personnages réels qui basculent dans une situation qui les dépasse."
Marcus Nispel, du clip au long-métrage
Réalisateur renommé de vidéoclips, Marcus Nispel signe avec Massacre à la tronçonneuse son premier long-métrage. Outre le bonheur de se pencher sur le remake d'un classique du septième art (il apporta de nombreuses et étranges photos tirées de magazines pour créer un style propre à la nouvelle version), le cinéaste d'origine allemande était également très enthousiaste à l'idée de collaborer avec Michael Bay. "C'était une opportunité unique de travailler avec quelqu'un qui a changé Hollywood en unissant le meilleur de la pub et du cinéma", déclare-t-il. "Les films publicitaires sont comme des sprints et les longs métrages comme des marathons, et Michael m'a permis d'utiliser les meilleurs sprinters et les meilleurs marathoniens pour constituer mon équipe !"
Le narrateur et le directeur photo de retour...
John Larroquette, qui assurait la narration du premier film, a accepté de reprendre son "rôle" pour le Massacre à la tronçonneuse nouvelle version. Idem pour le chef opérateur Daniel Pearl, responsable de la photographie des deux versions.
Une suite en chantier
Devant le succès remporté au box-office américain par ce Massacre à la tronçonneuse nouvelle version, une suite a immédiatement été mise en chantier par la production.
Un tournage authentique
Le tournage de Massacre à la tronçonneuse s'est étalé sur une période de 39 jours à Austin, au Texas, et dans sa grande banlieue. La majeure partie du film a été tournée dans la ville où fut filmée la version originale de Tobe Hooper, non loin de la véritable ferme de Thomas Hewitt. Michael Bay explique : "Le Texas est visuellement très marqué. C'est un univers qui véhicule ses propres codes. A certains endroits, on dirait que le temps s'est arrêté. C'est aussi une région très photogénique, avec des ciels magnifiques."
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The Texas Chainsaw Massacre : The Beginning|Jonathan Liebesman|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 16 ans|2|américain|2007|94|Anglais||XviD|||XVID|864 Kbps|608x336|MPEG-1 Audio layer 3|160 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Michael Bay Mike Fleiss Andrew Form Brad Fuller Bradley Fuller|David J. Schow Sheldon Turner|Lukas Ettlin||New Line Cinema|Saga : Massacre à la tronçonneuse (le remake) |1969, en pleine guerre du Vietnam. Dean a été tiré au sort pour partir se battre et son frère aîné, tout juste rentré du front, est prêt à y retourner pour le protéger. Avant l'échéance fatidique, les deux frères et leurs petites amies, Bailey et Chrissie, se retrouvent en virée au Texas, décidés à prendre du bon temps.Lorsqu'un motard les agresse, leur vie bascule. Pris en chasse, ils tentent de s'enfuir, mais la course finit en accident. Chrissie est éjectée du véhicule. De loin, elle assiste à la tentative de vol du motard sur les siens et à l'arrivée salvatrice du shérif Hoyt.Pourtant, elle ne tarde pas à découvrir que derrière ce sauveur se cache un bourreau. Celui qui était censé venir en aide à ses amis va les conduire droit en enfer. Les autres membres de la terrifiante famille Hewitt n'habitent pas loin. Face à l'horreur, Chrissie est le dernier espoir de ceux qu'elle aime. |Jordana Brewster (Chrissie)@R. Lee Ermey (Shérif Hoyt)@Andrew Bryniarski (Leatherface)@Kathy Lamkin (la femme buvant du thé)@Chris Reid (le barman)@Nicole Lin Taylor (la jeune fille sur sa moto)@Lew Temple (Shérif Winston)@Taylor Handley (Dean)@Diora Baird ( Bailey )@Matthew Bomer (Eric)@Cyia Batten (Alex)@L.A. Calkins (Sloane)@Tim de Zarn (Ed)@Terrence Evans (Old Monty)@Marietta Marich (Luda May)@Marcus H. Nelson (Lackey)@Lee Tergesen (Holden)@||Secrets de tournage :
Le prequel du remake
Compte tenu du succès remporté aux Etats-Unis par le remake de Massacre à la tronçonneuse durant l'automne 2003, les producteurs Mike Fleiss et Michael Bay, dirigeants de la société Platinum Dunes, n'ont pas tardé à envisager une suite à ce film d'horreur. Finalement, cette "suite" donna lieu à un prequel dont l'action se déroule quelques années précédant les atrocités commises par Leatherface et sa terrifiante famille.
Le scénariste du remake d'"Amityville" à la rescousse
C'est à Sheldon Turner, le scénariste avec lequel Michael Bay, Andrew Form et Brad Fuller avaient travaillé sur leur second projet, le remake d'Amityville, la maison du diable, que les producteurs ont confié le soin d'écrire l'histoire. Sheldon Turner explique : "Tout l'intérêt était d'imaginer ce qui avait pu conduire ces gens à devenir ainsi. Quel était leur parcours ? A quoi avaient-ils été confrontés pour en arriver là ? Comment Monty s'était-il fait doublement amputer ? Pourquoi Hoyt n'avait-il plus de dents et surtout pourquoi était-il devenu shérif ? Et bien sûr, pourquoi Leatherface agit-il ainsi et quel secret se cache sous son horrible masque ?" Sur ces bases, le projet prit aussitôt une autre ampleur, au point que Mike Fleiss, Kim Henkel et surtout Tobe Hooper lui-même s'investirent dans la production.
Changement de réalisateur et d'actrice
Ce n'est finalement pas Michael Bay qui se chargea de réaliser ce prequel - comme il en était question au départ - mais Jonathan Liebesman, cinéaste de Nuits de terreur, qui remplaça Marcus Nispel derrière la caméra. Quant au rôle de l'héroïne sexy, Jessica Biel laissa sa place à la non moins séduisante Jordana Brewster.
Le retour de R. Lee Erney
Le premier comédien engagé sur le film fut R. Lee Ermey, l'interprète de Hoyt. Il représentait le trait d'union humain le plus fort avec le film précédent, dans lequel il avait déjà interprété ce rôle. Jonathan Liebesman confie : "Lee apporte une dimension viscérale à son personnage. Il en fait quelqu'un de malsain, d'intense et c'est ce qui le rend passionnant. Il existe un mystère derrière cet homme et Lee incarne cela à la perfection." Et l'acteur d'ajouter : "Hoyt est un pervers maniaque aux tendances criminelles. Une fois cela dit, il faut encore composer l'homme et ne pas le réduire à ses travers. Hoyt est de loin le personnage le plus désaxé que j'aie jamais eu à jouer et j'ai pu l'explorer encore davantage. C'est lui qui manipule Thomas et va contribuer à faire de lui ce qu'il est..."
Mystère levé sur le masque de "Leatherface"
Le film nous donne l'occasion de découvrir ce qui se cache sous le masque de Leatherface et pourquoi il se dissimule ainsi. C'est le célèbre studio de maquillage KNB qui a conçu le masque mais pour cela, il fallait lui inventer une histoire. Le producteur Andrew Form explique : "Nous découvrons pourquoi Thomas va devenir Leatherface et on les voit évoluer, lui et son masque, jusqu'à l'image que nous connaissons tous."
Réunion de groupe
Sur le film de 2003, les producteurs avaient pu vérifier l'utilité d'organiser des rencontres avant le tournage entre des comédiens censés jouer un groupe. Ils ont répété l'expérience en allant plus loin. Michael Bay se souvient : "Quelques semaines avant le début des prises de vues qui ont démarré en octobre 2005, nous avons fait en sorte que l'équipe passe beaucoup de temps ensemble. C'est un atout inestimable pour le jeu, qui permet à chacun de mieux connaître l'autre et de jouer vraiment avec un lien authentique." Point fort de cette approche originale, toute l'équipe de comédiens s'est longuement rendue sur le décor qui allait à nouveau servir après avoir été utilisé sur le film de Marcus Nispel.
Décors et style visuel
La production a de nouveau eu recours à cette vieille ferme, bâtie en 1854 et abandonnée depuis les années 60, qui n'avait pas bougé depuis le précédent tournage. C'est au chef décorateur Marco Rubeo qu'a été confié le soin de créer l'environnement du film. Il raconte : "Nous devions être cohérents avec le film de 2003 tout en ayant une approche différente d'un point de vue visuel. Jonathan Liebesman avait sa propre vision des choses. Nous devions aussi rajeunir tous les décors déjà vus puisque l'action de ce film se déroule quelques années plus tôt."
Le réalisateur, le chef décorateur et le directeur de la photographie, Lukas Ettlin, ont collaboré étroitement pour définir le style du film. Jonathan Liebesman explique : "J'ai choisi une approche de réalisation assez concrète, proche du documentaire. Pour l'ambiance, nos couleurs de base étaient le blanc, le bleu et le rouge. Tout est parti de l'idée d'un drapeau américain aux couleurs désaturées. Nous avons aussi incorporé des éléments ou des images qui tirent sur le sépia pour donner l'impression que le temps a passé sur ce village et cette famille."
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The Matrix|Larry Wachowski Andy Wachowski|Fantastique||3|américain|1999|130|Anglais||XviD|||XVID|584 Kbps|720x288|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|647||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Joel Silver|Andy Wachowski Larry Wachowski|Bill Pope||Warner Bros. France|Saga : Matrix |Programmeur anonyme dans un service administratif le jour, Thomas Anderson devient Neo la nuit venue. Sous ce pseudonyme, il est l'un des pirates les plus recherchés du cyber-espace. A cheval entre deux mondes, Neo est assailli par d'étranges songes et des messages cryptés provenant d'un certain Morpheus. Celui-ci l'exhorte à aller au-delà des apparences et à trouver la réponse à la question qui hante constamment ses pensées : qu'est-ce que la Matrice ? Nul ne le sait, et aucun homme n'est encore parvenu à en percer les defenses. Mais Morpheus est persuadé que Neo est l'Elu, le libérateur mythique de l'humanité annoncé selon la prophétie. Ensemble, ils se lancent dans une lutte sans retour contre la Matrice et ses terribles agents... |Keanu Reeves (Thomas A. Anderson/Neo)@Laurence Fishburne (Morpheus)@Carrie-Anne Moss (Trinity)@Hugo Weaving (Agent Smith)@Joe Pantoliano (Cypher)@Gloria Foster (L'Oracle)@Marcus Chong (Tank)@Julian Arahanga (Apoc)@Matt Doran (Mouse)@Belinda McClory (Switch)@Anthony Ray Parker (Dozer)@Paul Goddard (l'agent Brown)@Robert Taylor (III) (l'agent Jones)@David Aston (Rhineheart)@Marc Gray (Choi)@Ada Nicodemou (Dujour)@Deni Gordon (La prêtresse)@Rowan Witt (Le garçon à la cuillère)@Fiona Johnson (La femme en rouge)@||Secrets de tournage :
La saga "Matrix"
Matrix est le premier épisode de la saga cyber-futuriste des frères Larry et Andy Wachowski. Il est suivi par la compilation de courts métrages animés The Animatrix (neuf au total, disponibles en DVD à partir du mois de juin 2003), et Matrix reloaded / Matrix revolutions, respectivement sortis en mai et novembre 2003. L'univers est également décliné en jeu vidéo, dans Enter the Matrix qui propose une heure de scène sinédites, et un jeu multijoueur dans la Matrice attendu dans les bacs en 2004.
Keanu Reeves, interprète de Néo
"Le premier film traite de la naissance, le second de la vie, et le troisième de la mort..."
Hugo Weaving : de la Matrice à l'Anneau
Interprète de l'agent Smith, l'Australien Hugo Weaving a enchaîné avec une autre franchise fantastique d'envergure, Le Seigneur des anneaux où il incarne Le Seigneur elfe Elrond et où il a croisé de nouveau le producteur Barrie Osborne. Avant de retrouver les plateaux de The Matrix reloaded et The Matrix revolutions... Il a ainsi attaché son nom à deux des plus grandes sagas fantastiques de ce début de siècle.
Qu'est-ce que la Matrice ?
"Nous avons commencé à écrire Matrix en partant de l'idée que toutes les choses que nous croyons réelles, que tous les objets qui nous entourent, sont en fait élaborés par un univers électronique : la Matrice", expliquent les frères Larry et Andy Wachowski. "Tout au long de leur histoire, les hommes ont cherché à approfondir le sens de la vie, à aller au-delà des apparences, ce qui les conduits à d'étonnantes révélations. Dans ce film, nous avons voulu raconter l'aventure d'un petit groupe de rebelles qui passe de l'autre côté du miroir et prend conscience du pouvoir de la Matrice. Cette découverte amorce le récit au lieu d'en constituer le terme, comme il est de règle dans les contes initiatiques".
Des chiffres et des noms
Les noms des principaux personnages de Matrix n'ont pas été choisis au hasard, et ont chacun une réelle signification : Neo est ainsi l'anagramme de One (L'Elu) et vit dans l'appartement 101, Morpheus renvoie au Dieu des songes Morphée, Trinity représente la Trinité Mère/Femme/Guerrière et vit au N° 303, alors que Cypher rappelle indubitablement Lucifer. Quant à l'agent Smith, qui est à la fois partout et nulle part, il est tout simplement affublé du patronyme le plus usité aux Etats-Unis...
Les références de "Matrix"
Oeuvre dense, Matrix fait bien évidemment appel à de nombreuses références et cultures diverses. On y retrouve ainsi des éléments littéraires (le conte initiatique, Alice au Pays des merveilles), philosophiques (La Caverne de Platon, l'oeuvre de Baudrillard) et mythologiques (la thématique de l'Elu, l'Oracle...), mais également tirés des comic-books, de l'animation japonaise (Akira, Ghost in the Shell) et du jeu vidéo (le film est construit sur une série de choix : se faire arrêter ou fuir, prendre la pilule bleue ou la rouge, partir sauver Morpheus ou le laisser)... Autant d'éléments qui font de Matrix une oeuvre hybride, à la frontière du cinéma, de la bande dessinée, du conte et du jeu vidéo.
Quatre Oscars
Quatre nominations... et autant d'Oscars au final pour Matrix en 2000 ! Plébiscité pour ses effets spéciaux, le film a remporté la statuette du Meilleur montage, des Meilleurs effets visuels, des Meilleurs effets sonores et du Meilleur son.
La Matrice et le box-office
Succès surprise, Matrix a récolté plus de 171 millions de dollars sur le sol américain, et plus de 456 millions de dollars de recettes dans le monde, devenant ainsi le plus gros succès des studios Warner Bros. (dépassé ensuite par la saga Harry Potter). En France, plus de 7,7 millions de spectateurs se sont connectés à la Matrice.
Matrix bis pour Trinity
Coïncidence amusante, Carrie-Anne Moss (Trinity) avait participé à une série télévisée intitulée Matrix en 1993. Ce show dramatique flirtant avec le fantastique mettait également en scène un monde parallèle, dans lequel se retrouvait plongé un tueur à gages entre la vie et la mort...
Schwarzy en Matrix
Commando devait à l'origine s'intituler Matrix en référence au personnage principal interprété par Arnold Schwarzenegger, John Matrix. Finalement, ce titre n'a pas été retenu par Joel Silver, mais il connaîtra son heure de gloire douze ans plus tard...
« Préc.
"Les deux frères sont imprégnés de culture BD", explique le responsable des effets visuels John Gaeta. "Ils connaissent bien la technique d'animation japonaise que nous souhaitions transposer dans ce film, avec des acteurs vivants. Celle-ci consiste à décomposer l'action en une suite d'éléments, manipulés de façon à conférer au mouvement un maximum d'impact visuel". Pour le producteur Joel Silver, "cela rappelle les films d'action japonais comme Akira, sauf qu'ici, nous travaillons sur des personnages vivants et ouvrons un champ inédit aux techniques d'effets visuels classiques".
Pour l'anecdote, c'est le Français Michel Gondry qui a utilisé pour la première fois cette technique, dans ses spots publicitaires et clips musicaux.
De "Dark City" à "Matrix"
Certains décors de Dark City ont été réutilisés dans Matrix : il s'agit principalement des sombres toits d'immeubles sur lesquels Trinity tente d'échapper aux agents.
Des combats intenses
Spectaculaires et intenses, les combats de Matrix ont réservé de durs moments et quelques blessures et contusions aux vedettes du film. Ainsi, allergique à la poussière, Laurence Fishburne dut subir un véritable calvaire lors de son affrontement avec Hugo Weaving dans un décor poussiéreux. Durant le même combat, ce dernier termina la séquence avec deux côtes cassées et le poignet quasiment fêlé.
Deux transfuges de "Hartley coeurs à vif"
Seconds rôles dans Matrix, Ada Nicodemou (Dujour) et Deni Gordon (la prêtresse) ont toutes deux participé à la célèbre série télévisée australienne Hartley coeurs à vif (Heartbreak High).
Retrouvailles pour Pantoliano et les Wachowski
Matrix marque la seconde collaboration des frères Larry et Andy Wachowski avec Joe Pantoliano (Cypher), qu'ils avaient tous deux dirigés dans Bound en 1996.
Rumeurs de casting
De nombreuses rumeurs circulèrent autour de ce projet mystérieux : Brad Pitt, Ewan McGregor et Will Smith furent ainsi annoncés dans le rôle de Neo (Keanu Reeves), et Val Kilmer dans celui de Morpheus (Laurence Fishburne). Côté féminin, Jada Pinkett Smith aurait un temps été attendue dans le rôle de Trinity, finalement confié à Carrie-Anne Moss. La comédienne rejoindra toutefois l'aventure Matrix dans The Matrix reloaded et The Matrix revolutions, dans le rôle de Niobi.
Six mois d'entraînement
Afin de maîtriser à la perfection de multiples techniques de combat et le déplacement à l'aide de câbles (pour les nombreuses cascades du film), les comédiens principaux (Keanu Reeves, Laurence Fishburne, Carrie-Anne Moss, Hugo Weaving) durent subir un entraînement drastique aux arts martiaux, qui s'étala sur six mois (d'octobre 1997 à mars 1998) en amont du tournage sous la direction de Yuen Woo Ping. Blessé au cou, Keanu Reeves dut tout de même s'entraîner au même rythme que ses partenaires et suivre ces cours avec une minerve !
Tournage en Australie
Matrix a entièrement été tourné (durant 25 semaines soit 118 jours) en Australie, à Sydney. Toutefois, la ville a été rendu "anonyme" et difficilement identifiable, afin d'en faire une cité "universelle" qui pourrait aussi bien être américaine qu'australienne, japonaise ou européenne.
Le film a également inauguré la délocalisation des tournages américains vers l'Australie, où de nombreux studios ont été construits pour accueillir des tournages d'envergure tels Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones en 2000/2001.
Un long travail d'écriture
La mise en forme de Matrix aura pris plus de cinq ans aux frères Larry et Andy Wachowski. Réalisant en même temps leur premier film, le sulfureux Bound (1996), les deux hommes ont passé énormément de temps à peaufiner l'écriture du scénario pour le rendre accessible au plus large public possible, puis à développer les story-boards nécessaires aux scènes d'action insensées de leur projet.
Une oeuvre culte
Dès sa sortie, Matrix est devenu une oeuvre-culte, marquant de façon indéniable le cinéma d'action. Ainsi, au-delà de l'engouement des fans, les effets visuels du film ont été repris (L'Art de la guerre, Charlie et ses drôles de dames ou encore Blade 2), ou parodiés à de nombreuses reprises (Scary movie).
« Préc.
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The Matrix Reloaded|Andy Wachowski Larry Wachowski|Science fiction||3|américain|2003|132|Anglais||DX50|||DX50|591 Kbps|720x400|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|694||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Joel Silver Grant Hill|Andy Wachowski Larry Wachowski|Bill Pope||Warner Bros.|Saga : Matrix |Neo apprend à mieux contrôler ses dons naturels, alors même que Sion s'apprête à tomber sous l'assaut de l'Armée des Machines. D'ici quelques heures, 250 000 Sentinelles programmées pour anéantir notre espèce envahiront la dernière enclave humaine de la Terre.Mais Morpheus galvanise les citoyens de Sion en leur rappelant la Parole de l'Oracle : il est encore temps pour l'Elu d'arrêter la guerre contre les Machines. Tous les espoirs se reportent dès lors sur Neo. Au long de sa périlleuse plongée au sein de la Matrix et de sa propre destinée, ce dernier sera confronté à une résistance croissante, une vérité encore plus aveuglante, un choix encore plus douloureux que tout ce qu'il avait jamais imaginé. |Keanu Reeves (Thomas A. Anderson/Neo )@Laurence Fishburne (Morpheus )@Carrie-Anne Moss (Trinity )@Hugo Weaving (L'agent Smith)@Jada Pinkett (Niobe )@Lambert Wilson (le Mérovingien)@Monica Bellucci (Persephone)@Nona Gaye (Zee)@Harold Perrineau (Link)@Anthony Wong (Ghost)@Harry J. Lennix (Lock )@Clayton Watson (Le Kid)@Christine Anu (Lazarus)@Rupert Reid (le lieutenant de Lock)@Nathaniel Lees (Mifune)@Steve Bastoni (Soren)@Ian Bliss (Bane)@Anthony Zerbe (le conseiller Hamann)@Gloria Foster (L'Oracle)@Sing Ngai (Seraph)@Randall Duk Kim (Le maître des clés)@Matt McColm (L'agent Thompson)@Daniel Bernhardt (L'agent Johnson)@David Kilde (L'agent Jackson)@Adrian Rayment (Jumeau 1)@Neil Rayment (Jumeau 2 )@Helmut Bakaitis (L'Architecte)@||Secrets de tournage :
La saga "Matrix"
Matrix est le premier épisode de la saga cyber-futuriste des frères Larry et Andy Wachowski. Il est suivi par la compilation de courts métrages animés The Animatrix (neuf au total, disponibles en DVD à partir du mois de juin 2003), et Matrix reloaded / Matrix revolutions, respectivement sortis en mai et novembre 2003. L'univers est également décliné en jeu vidéo, dans Enter the Matrix qui propose une heure de scène sinédites, et un jeu multijoueur dans la Matrice attendu dans les bacs en 2004.
Keanu Reeves, interprète de Néo
"Le premier film traite de la naissance, le second de la vie, et le troisième de la mort..."
Recyclage humanitaire
Une fois le tournage terminé, les rondins utilisés pour les décors de la scène de l'autoroute de Matrix reloaded furent envoyés au Mexique pour servir à la construction d'une centaine de maison destinées à des familles à revenus modestes.
Hugo Weaving : de la Matrice à l'Anneau
Interprète de l'agent Smith, l'Australien Hugo Weaving a enchaîné avec une autre franchise fantastique d'envergure, Le Seigneur des anneaux où il incarne Le Seigneur elfe Elrond et où il a croisé de nouveau le producteur Barrie Osborne. Avant de retrouver les plateaux de The Matrix reloaded et The Matrix revolutions... Il a ainsi attaché son nom à deux des plus grandes sagas fantastiques de ce début de siècle.
Un budget multiplié par 4 !
Le budget de Matrix reloaded / Matrix revolutions est estimé entre 250 et 300 millions de dollars, contre 65 millions de dollars pour Matrix. A titre de comparaison, la scène d'action finale de la trilogie, d'une durée de 17 minutes, a coûté à elle-seule deux tiers du budget de Matrix !
Tournages simultanés
Projets d'envergure, Matrix reloaded / Matrix revolutions ont été tournés simultanément entre mars 2001 et août 2002, durant 270 jours ! Le tournage s'est achevé le 21 août, soit le jour de l'anniversaire de Carrie-Anne Moss (Trinity). Parallèlement aux films, les acteurs ont également tourné de nombreuses scènes pour le jeu vidéo Enter the Matrix, qui offrira aux joueurs près d'une heure de scènes exclusives au logiciel...
150 décors
Pour les deux films, l'équipe de décorateurs dut s'atteler à la construction de 150 décors, contre seulement 40 dans le premier Matrix. La difficulté majeure venait du fait que les décors devait être sans cesse modifiés, afin de souligner la destruction des différents lieux traversés par l'histoire (Zion notamment).
Une nouvelle révolution
Copiés ou repris depuis la sortie du premier opus, les effets spéciaux "à la Matrix" se devaient d'aller toujours plus loin et d'offrir toujours plus aux spectateurs dans ces nouveaux épisodes. Aussi, déterminés à ne plus être imités, les frères Larry et Andy Wachowski ont demandé aux équipes d'effets visuels des scènes encore jamais vues, et surtout impossible à refaire par la suite, faute de temps et d'argent. Matrix reloaded et Matrix revolutions comportent donc à eux-deux plus de 2 500 effets (contre 412 pour Matrix), dont un combat opposant Keanu Reeves à Hugo Weaving répliqué en cent exemplaires (!), ou une poursuite sur une autoroute qui devrait redéfinir, selon le producteur Joel Silver, la scène d'action au cinéma...
Pour les nombreuses scènes d'action du film (les combats ou le siège de Zion par exemple), l'équipe de John Gaeta dû soumettre les comédiens à de nombreuses séances de motion capture, durant lesquelles leurs visages, cheveux, expressions et silhouettes furent scannés dans le moindre détail grâce à cinq puissantes caméras haute définition Sony HDW 900, pour un total s'imposant comme le plus gros poids de données jamais enregistré pour un film... et pour la majorité des jeux vidéo ! "Travailler en motion capture était une expérience nouvelle pour moi" déclare responsable des combats Yuen Woo Ping. "Cette formidable technologie nous a permis d'effectuer quantité de mouvements parfaitement impossibles dans la vie, de renforcer le dynamisme des combats, la puissance et la beauté de la gestuelle".
Un entraînement intensif
Afin de préparer le long tournage (270 jours !) et les incroyables scènes d'action des deux films, les principaux comédiens ont subi un entraînement intensif de cinq mois. Keanu Reeves explique : "J'ai trouvé l'entraînement trois fois plus dur que sur le premier film. Les éléments kung-fu et le travail au filin du personnage de Neo sont nettement plus sophistiqués. Et plus j'en faisais, plus on m'en demandait ! Quand je réussissais un truc, ils en exigeaient trois, quatre, six ! On s'éclatait tous, mais cela représentait quand même un boulot astreignant et douloureux. J'ai souvent fini mes journées dans une baignoire remplie de glaçons. Dans ces cas-là, la glace est votre meilleure amie..."
Six mois d'entraînement... pour un coup de pied !
Carrie-Anne Moss a reçu un entraînement spécial de six mois (!) pour un coup de pied spécial, le Scorpion Kick (avec lequel elle frappe son adversaire via un coup de pied donné par dessus le dos, tel le dard d'un scorpion), qu'elle utilise au début de Matrix reloaded et dans une scène de Matrix revolutions.
Un scénario secret
Forcément plus que secret, le scénario de Matrix reloaded / Matrix revolutions n'a été révélé aux comédiens qu'au tout dernier moment, soit quelques semaines avant le tournage, chaque exemplaire du script portant en filigrane le nom de son propriétaire, afin de pouvoir pister d'éventuels pirates...
On ne change pas une équipe qui gagne...
Pour Matrix reloaded / Matrix revolutions, la grande majorité de l'équipe du premier Matrix a fait son grand retour, des comédiens Keanu Reeves, Laurence Fishburne et Carrie-Anne Moss, aux réalisateurs et scénaristes Larry et Andy Wachowski, en passant par le producteur Joel Silver, le compositeur Don Davis, le responsable des effets visuels John Gaeta, le directeur de la photographie Bill Pope, ou le chorégraphe et expert en arts martiaux Yuen Woo Ping...
Les petits nouveaux
De nouveaux personnages font leur apparition dans Matrix reloaded / Matrix revolutions. Parmi ceux-ci, on retiendra Niobe (Jada Pinkett), Ghost (Anthony Wong), Zee (Nona Gaye), les agents Thompson et Johnson (Matt McColm et Daniel Bernhardt), les Virii (les jumeaux Rayment et Neil Rayment), sans oublier le couple Merovingian / Persephone, interprété par les "Français" Lambert Wilson / Monica Bellucci.
Un tournage endeuillé
Deux décès tragiques ont endeuillé le tournage de Matrix reloaded / Matrix revolutions. Le 25 août 2001, la chanteuse et comédienne Aaliyah était tuée à l'âge de 22 ans dans le crash de son avion aux Bahamas. Un mois plus tard, le 29 septembre, c'était au tour de Gloria Foster de disparaître, victime du diabète. Si cette dernière avait pu tourner ses scènes en tant qu'Oracle dans Matrix reloaded (mais pas Matrix revolutions où elle est remplacée par Mary Alice), le rôle d'Aaliyah (Zee), nouvelle venue dans l'univers Matrix, a été redistribué à l'actrice Nona Gaye.
Deux "frenchies" dans la Matrice...
Matrix reloaded et Matrix revolutions ont fait appel à deux comédiens "français", ou du moins européens : Lambert Wilson et Monica Bellucci, qui interprètent le couple Merovingian / Persephone, seigneurs de la Matrice.
Qu'est-ce que la Matrice ?
"Nous avons commencé à écrire Matrix en partant de l'idée que toutes les choses que nous croyons réelles, que tous les objets qui nous entourent, sont en fait élaborés par un univers électronique : la Matrice", expliquent les frères Larry et Andy Wachowski. "Tout au long de leur histoire, les hommes ont cherché à approfondir le sens de la vie, à aller au-delà des apparences, ce qui les conduits à d'étonnantes révélations. Dans ce film, nous avons voulu raconter l'aventure d'un petit groupe de rebelles qui passe de l'autre côté du miroir et prend conscience du pouvoir de la Matrice. Cette découverte amorce le récit au lieu d'en constituer le terme, comme il est de règle dans les contes initiatiques".
Des chiffres et des noms
Les noms des principaux personnages de Matrix n'ont pas été choisis au hasard, et ont chacun une réelle signification : Neo est ainsi l'anagramme de One (L'Elu) et vit dans l'appartement 101, Morpheus renvoie au Dieu des songes Morphée, Trinity représente la Trinité Mère/Femme/Guerrière et vit au N° 303, alors que Cypher rappelle indubitablement Lucifer. Quant à l'agent Smith, qui est à la fois partout et nulle part, il est tout simplement affublé du patronyme le plus usité aux Etats-Unis...
Les références de "Matrix"
Oeuvre dense, Matrix fait bien évidemment appel à de nombreuses références et cultures diverses. On y retrouve ainsi des éléments littéraires (le conte initiatique, Alice au Pays des merveilles), philosophiques (La Caverne de Platon, l'oeuvre de Baudrillard) et mythologiques (la thématique de l'Elu, l'Oracle...), mais également tirés des comic-books, de l'animation japonaise (Akira, Ghost in the Shell) et du jeu vidéo (le film est construit sur une série de choix : se faire arrêter ou fuir, prendre la pilule bleue ou la rouge, partir sauver Morpheus ou le laisser)... Autant d'éléments qui font de Matrix une oeuvre hybride, à la frontière du cinéma, de la bande dessinée, du conte et du jeu vidéo.
Une autoroute pour les besoins du film !
Pour l'une des scènes majeures de Matrix reloaded, mettant en scène une poursuite sur une autoroute, l'équipe a construit une véritable route, pour les seuls besoins du film ! En effet, ne trouvant pas de véritable autoroute pouvant accueillir le tournage de cette scène d'action intense et essentielle, les frères Larry et Andy Wachowski ont fait construire leur propre autoroute sur une ancienne base navale californienne. Longue de 2 miles, elle a demandé sept semaines de travail, pour un coût estimé au moins à 2,5 millions de dollars... La scène a nécéssité 45 jours de tournage (!) pour 26 minutes à l'écran...
Qu'est-ce que Animatrix ?
Afin d'explorer plus loin encore l'univers de la Matrice, un programme regroupant neuf courts métrages animés faisant appel à tous les styles d'animation (traditionnelle, manga, images de synthèses...) a été élaboré par les studios Warner. Réalisé par les plus grands noms de l'animation japonaise et écrit notamment par Larry et Andy Wachowski, The Animatrix est édité en DVD à partir de juin 2003, entre les sorties en salles de Matrix reloaded / Matrix revolutions.
« Préc.
« Préc.
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The Matrix Revolutions|Andy Wachowski Larry Wachowski|Science fiction||2|américain|2003|115|Anglais||DX50|||DX50|735 Kbps|640x344|MPEG-1 Audio layer 3|60.7 Kbps|False|44.1 KHz|1|668||||24.899|02/08/2009 00:00:00|Joel Silver Grant Hill|Andy Wachowski Larry Wachowski|Bill Pope||Warner Bros. France|Saga : Matrix |La longue quête de liberté des rebelles culmine en une bataille finale explosive. Tandis que l'armée des Machines sème la désolation sur Zion, ses citoyens organisent une défense acharnée. Mais pourront-ils retenir les nuées implacables des Sentinelles en attendant que Neo s'approprie l'ensemble de ses pouvoirs et mette fin à la guerre ?L'agent Smith est quant à lui parvenu à prendre possession de l'esprit de Bane, l'un des membres de l'équipage de l'aéroglisseur. De plus en plus puissant, il est désormais incontrôlable et n'obéit plus aux Machines : il menace de détruire leur empire ainsi que le monde réel et la Matrice... |Keanu Reeves (Thomas A. Anderson/Neo )@Laurence Fishburne (Morpheus )@Carrie-Anne Moss (Trinity )@Hugo Weaving (L'agent Smith)@Jada Pinkett (Niobe )@Harold Perrineau (Link)@Nona Gaye (Zee)@Clayton Watson (Le Kid)@Harry J. Lennix (Lock )@Anthony Zerbe (Le conseiller Hamman)@Nathaniel Lees (Mifune)@Ian Bliss (Bane)@David Roberts (Roland)@Anthony Wong (Ghost)@Rachel Blackman (Charra)@Lachy Hulme (Sparks)@Mary Alice (l'Oracle)@Sing Ngai (Séraph)@Helmut Bakaitis (L'Architecte)@Lambert Wilson (le Merovingien)@Monica Bellucci (Persephone)@Bruce Spence (Le Contrôleur)@Bernard White (Rama-Kandra)@Tanveer K. Atwal (Sati)@Tharini Mudaliar (Kamala)@Kevin M. Richardson (Deus Ex Machina)@Henry Blasingame (Deus Ex Machina (voix))@John Gaeta (un opérateur APU)@Geoffrey Darrow (un opérateur APU)@Essie Davis (Maggie)@Genevieve O'Reilly (Officier Wirtz)@Gina Torres (Cas)@Chris Kirby (Mauser)@Peter Lamb (Colt)@Robert Mammone (AK)@Rupert Reid (Le lieutenant de Lock)@||Secrets de tournage :
La saga "Matrix"
Matrix est le premier épisode de la saga cyber-futuriste des frères Larry et Andy Wachowski. Il est suivi par la compilation de courts métrages animés The Animatrix (neuf au total, disponibles en DVD à partir du mois de juin 2003), et Matrix reloaded / Matrix revolutions, respectivement sortis en mai et novembre 2003. L'univers est également décliné en jeu vidéo, dans Enter the Matrix qui propose une heure de scène sinédites, et un jeu multijoueur dans la Matrice attendu dans les bacs en 2004.
Keanu Reeves, interprète de Néo
"Le premier film traite de la naissance, le second de la vie, et le troisième de la mort..."
Sortie mondiale... à la minute près !
Matrix revolutions est le premier film de l'histoire à bénéficier d'une sortie mondiale simultanée, à la minute près. Lancé dans une cinquantaine de contrées, le film sort le 5 novembre au même moment partout dans le monde, soit à 6 heures du matin à Los Angeles, 9 heures à New York, 14 heures à Londres, 15h00 à Paris, 17h00 à Moscou et 23h00 à Tokyo. Du jamais vu !
Hugo Weaving : de la Matrice à l'Anneau
Interprète de l'agent Smith, l'Australien Hugo Weaving a enchaîné avec une autre franchise fantastique d'envergure, Le Seigneur des anneaux où il incarne Le Seigneur elfe Elrond et où il a croisé de nouveau le producteur Barrie Osborne. Avant de retrouver les plateaux de The Matrix reloaded et The Matrix revolutions... Il a ainsi attaché son nom à deux des plus grandes sagas fantastiques de ce début de siècle.
L'évolution de l'Agent Smith
"Dans Matrix, Smith était un personnage extrêmement rigide, chargé d'une mission précise", explique son interprète Hugo Weaving . "Mais au fil de son parcours, il se met à éprouver des sentiments humains, comme la colère ou la jalousie. Il développe un odorat, il commence à comprendre vaguement la nature humaine. Et ça l'ennuie profondément, car il prend cela pour une faiblesse. Dans Matrix reloaded, il en vient à accepter ces puissants sentiments, et sans doute, à les apprécier. Son ego s'est affirmé, Smith s'est, littéralement, libéré. Dans Matrix revolutions, son ego n'a plus de limite : il ne veut plus seulement se libérer de la Matrice, mais carrément devenir le maître du monde. Je l'ai toujours trouvé drôle. L'humour propre au caractère de Larry et Andy se s'est retrouvé dans le personnage dès Matrix et je suis ravi qu'ils aient encore accentué ce côté humoristique dans Matrix reloaded et Matrix revolutions."
Un nouvel Oracle
A la suite du décès de Gloria Foster (survenu alors qu'elle venait tout juste de terminer sa scène sur Matrix reloaded), les frères Wachowski ont été contraints de recruter une autre comédienne, Mary Alice, pour Matrix revolutions, offrant une nouvelle apaprence au personnage de l'Oracle. Une métamorphose auquel ils avaient initialement songé lors de l'écriture du scénario, et qui leur a donc été finalement imposé par le destin. Pour l'anecdote les deux comédiennes s'étaient donné la réplique en 1995 à Broadway dans la pièce Having our say. Mary Alice avait également joué aux côtés de Laurence Fishburne qui, âgé de dix ans, campait son fils dans une pièce de théâtre new-yorkaise.
Un budget multiplié par 4 !
Le budget de Matrix reloaded / Matrix revolutions est estimé entre 250 et 300 millions de dollars, contre 65 millions de dollars pour Matrix. A titre de comparaison, la scène d'action finale de la trilogie, d'une durée de 17 minutes, a coûté à elle-seule deux tiers du budget de Matrix !
Tournages simultanés
Projets d'envergure, Matrix reloaded / Matrix revolutions ont été tournés simultanément entre mars 2001 et août 2002, durant 270 jours ! Le tournage s'est achevé le 21 août, soit le jour de l'anniversaire de Carrie-Anne Moss (Trinity). Parallèlement aux films, les acteurs ont également tourné de nombreuses scènes pour le jeu vidéo Enter the Matrix, qui offrira aux joueurs près d'une heure de scènes exclusives au logiciel...
150 décors
Pour les deux films, l'équipe de décorateurs dut s'atteler à la construction de 150 décors, contre seulement 40 dans le premier Matrix. La difficulté majeure venait du fait que les décors devait être sans cesse modifiés, afin de souligner la destruction des différents lieux traversés par l'histoire (Zion notamment).
Une nouvelle révolution
Copiés ou repris depuis la sortie du premier opus, les effets spéciaux "à la Matrix" se devaient d'aller toujours plus loin et d'offrir toujours plus aux spectateurs dans ces nouveaux épisodes. Aussi, déterminés à ne plus être imités, les frères Larry et Andy Wachowski ont demandé aux équipes d'effets visuels des scènes encore jamais vues, et surtout impossible à refaire par la suite, faute de temps et d'argent. Matrix reloaded et Matrix revolutions comportent donc à eux-deux plus de 2 500 effets (contre 412 pour Matrix), dont un combat opposant Keanu Reeves à Hugo Weaving répliqué en cent exemplaires (!), ou une poursuite sur une autoroute qui devrait redéfinir, selon le producteur Joel Silver, la scène d'action au cinéma...
Pour les nombreuses scènes d'action du film (les combats ou le siège de Zion par exemple), l'équipe de John Gaeta dû soumettre les comédiens à de nombreuses séances de motion capture, durant lesquelles leurs visages, cheveux, expressions et silhouettes furent scannés dans le moindre détail grâce à cinq puissantes caméras haute définition Sony HDW 900, pour un total s'imposant comme le plus gros poids de données jamais enregistré pour un film... et pour la majorité des jeux vidéo ! "Travailler en motion capture était une expérience nouvelle pour moi" déclare responsable des combats Yuen Woo Ping. "Cette formidable technologie nous a permis d'effectuer quantité de mouvements parfaitement impossibles dans la vie, de renforcer le dynamisme des combats, la puissance et la beauté de la gestuelle".
Du Burly Brawl au Super Burly Brawl
Révolutionnant les scènes de combat dans Matrix reloaded avec le combat opposant Neo à 100 répliques de l'Agent Smith (surnommée le Burly Brawl), l'équipe a souhaité faire encore plus fort sur Matrix revolutions avec le combat final opposant Neo à Smith, sous une pluie diluvienne et devant un auditoire composé... d'agents Smith ! Pour le producteur Joel Silver, "la séquence du "Super Burly Brawl" me fait penser à un combat de bande dessinée entre deux super-héros déchaînés ? sauf que c'est la première fois qu'on assiste à une telle scène en prises de vues réelles !"
Ce combat épique se déroulant dans une rue inondée, dans le ciel zébré d'éclairs, dans un building désaffecté et dans un cratère, demanda ainsi deux mois de tournage et un énorme travail de pré et de post-production. Pour simuler les nombreux agents Smith témoins de ce duel au sommet, l'équipe utilisa plusieurs techniques, multipliant les copies virtuelles du comédien Hugo Weaving ou utilisant des mannequins à son effigie, commandés par des marionnettistes eux-mêmes affublés du costume, de la perruque (182 au total) et du visage de l'acteur !
De nombreux procédés techniques révolutionnaires furent également utilisés, comme les Tuning Forks, simulant l'apesanteur tout en combattant, ou encore les Twisty Belts permettant d'effectuer des rotations avec fluidité. Sans oublier un dispositif diffusant une pluie spéciale aux gouttes plus grosses que d'ordinaire, afin d'offrir à la scène un rendu unique. Hugo Weaving se souvient : "la pluie était si battante qu'il était difficile de parler distinctement sans avoir de l'eau vous ruisselant dessus. On ne s'entendait pas parler et, du coup, c'était presque impossible de trouver le ton juste car je n'avais pas la moindre idée de ce que ça pouvait donner. Toutes mes doublures étaient là avec leurs cheveux impeccablement mis malgré la pluie. Mais moi, même avec des quantités industrielles de laque, j'avais les cheveux dans le visage. Je me suis donc résolu à porter moi aussi une perruque de mes propres cheveux ! Et je me rends compte maintenant à quel point je me suis dégarni : en règle générale, quand je me regarde dans la glace, je me dis que ça peut aller. Mais quand je regardais tous mes doubles sur les côtés, quelle angoisse !"
Construire les robots APU
Les robots APU (Armored Personal Unit), qui résistent vaillament aux sentinelles lors de l'attaque de Zion, sont le fruit d'un travail intensif faisant appel à toutes les technologies. Ainsi, un premier modèle grandeur nature fut construit, puis scanné et dupliqué et animé virtuellement. Les comédiens, filmés sur fond vert, étaient ensuite ajoutés dans le harnais de commande, avant intégration des APU au décor final. "Je crois bien qu'au moins 1 000 éléments ont servi à la construction des APU" explique le chef-décorateur Owen Paterson. "Plusieurs équipes ont dû collaborer pour mettre au point cette machinerie d'une grande sophistication".
Un entraînement intensif
Afin de préparer le long tournage (270 jours !) et les incroyables scènes d'action des deux films, les principaux comédiens ont subi un entraînement intensif de cinq mois. Keanu Reeves explique : "J'ai trouvé l'entraînement trois fois plus dur que sur le premier film. Les éléments kung-fu et le travail au filin du personnage de Neo sont nettement plus sophistiqués. Et plus j'en faisais, plus on m'en demandait ! Quand je réussissais un truc, ils en exigeaient trois, quatre, six ! On s'éclatait tous, mais cela représentait quand même un boulot astreignant et douloureux. J'ai souvent fini mes journées dans une baignoire remplie de glaçons. Dans ces cas-là, la glace est votre meilleure amie..."
Six mois d'entraînement... pour un coup de pied !
Carrie-Anne Moss a reçu un entraînement spécial de six mois (!) pour un coup de pied spécial, le Scorpion Kick (avec lequel elle frappe son adversaire via un coup de pied donné par dessus le dos, tel le dard d'un scorpion), qu'elle utilise au début de Matrix reloaded et dans une scène de Matrix revolutions.
Keanu Reeves combat à l'aveugle
Pour son combat contre Bane à l'intérieur du Logos, Keanu Reeves devait quasiment se déplacer et se battre à l'aveuglette, son maquillage obstruant son champ de vision !
Un scénario secret
Forcément plus que secret, le scénario de Matrix reloaded / Matrix revolutions n'a été révélé aux comédiens qu'au tout dernier moment, soit quelques semaines avant le tournage, chaque exemplaire du script portant en filigrane le nom de son propriétaire, afin de pouvoir pister d'éventuels pirates...
On ne change pas une équipe qui gagne...
Pour Matrix reloaded / Matrix revolutions, la grande majorité de l'équipe du premier Matrix a fait son grand retour, des comédiens Keanu Reeves, Laurence Fishburne et Carrie-Anne Moss, aux réalisateurs et scénaristes Larry et Andy Wachowski, en passant par le producteur Joel Silver, le compositeur Don Davis, le responsable des effets visuels John Gaeta, le directeur de la photographie Bill Pope, ou le chorégraphe et expert en arts martiaux Yuen Woo Ping...
Les petits nouveaux
De nouveaux personnages font leur apparition dans Matrix reloaded / Matrix revolutions. Parmi ceux-ci, on retiendra Niobe (Jada Pinkett), Ghost (Anthony Wong), Zee (Nona Gaye), les agents Thompson et Johnson (Matt McColm et Daniel Bernhardt), les Virii (les jumeaux Rayment et Neil Rayment), sans oublier le couple Merovingian / Persephone, interprété par les "Français" Lambert Wilson / Monica Bellucci.
Un tournage endeuillé
Deux décès tragiques ont endeuillé le tournage de Matrix reloaded / Matrix revolutions. Le 25 août 2001, la chanteuse et comédienne Aaliyah était tuée à l'âge de 22 ans dans le crash de son avion aux Bahamas. Un mois plus tard, le 29 septembre, c'était au tour de Gloria Foster de disparaître, victime du diabète. Si cette dernière avait pu tourner ses scènes en tant qu'Oracle dans Matrix reloaded (mais pas Matrix revolutions où elle est remplacée par Mary Alice), le rôle d'Aaliyah (Zee), nouvelle venue dans l'univers Matrix, a été redistribué à l'actrice Nona Gaye.
Deux "frenchies" dans la Matrice...
Matrix reloaded et Matrix revolutions ont fait appel à deux comédiens "français", ou du moins européens : Lambert Wilson et Monica Bellucci, qui interprètent le couple Merovingian / Persephone, seigneurs de la Matrice.
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Des chiffres et des noms
Les noms des principaux personnages de Matrix n'ont pas été choisis au hasard, et ont chacun une réelle signification : Neo est ainsi l'anagramme de One (L'Elu) et vit dans l'appartement 101, Morpheus renvoie au Dieu des songes Morphée, Trinity représente la Trinité Mère/Femme/Guerrière et vit au N° 303, alors que Cypher rappelle indubitablement Lucifer. Quant à l'agent Smith, qui est à la fois partout et nulle part, il est tout simplement affublé du patronyme le plus usité aux Etats-Unis...
Les références de "Matrix"
Oeuvre dense, Matrix fait bien évidemment appel à de nombreuses références et cultures diverses. On y retrouve ainsi des éléments littéraires (le conte initiatique, Alice au Pays des merveilles), philosophiques (La Caverne de Platon, l'oeuvre de Baudrillard) et mythologiques (la thématique de l'Elu, l'Oracle...), mais également tirés des comic-books, de l'animation japonaise (Akira, Ghost in the Shell) et du jeu vidéo (le film est construit sur une série de choix : se faire arrêter ou fuir, prendre la pilule bleue ou la rouge, partir sauver Morpheus ou le laisser)... Autant d'éléments qui font de Matrix une oeuvre hybride, à la frontière du cinéma, de la bande dessinée, du conte et du jeu vidéo.
Qu'est-ce que Animatrix ?
Afin d'explorer plus loin encore l'univers de la Matrice, un programme regroupant neuf courts métrages animés faisant appel à tous les styles d'animation (traditionnelle, manga, images de synthèses...) a été élaboré par les studios Warner. Réalisé par les plus grands noms de l'animation japonaise et écrit notamment par Larry et Andy Wachowski, The Animatrix est édité en DVD à partir de juin 2003, entre les sorties en salles de Matrix reloaded / Matrix revolutions.
Sortie IMAX dès le 5 novembre
Contrairement à Matrix reloaded qui avait été distribué dans les salles américaines IMAX le 6 juin (soit trois semaines après sa sortie), Matrix revolutions bénéficie d'une sortie siultanée dans les cinémas américains "normaux" et IMAX, ces derniers offrant une qualité de son et d'images incomparables.
Clin d'oeil au premier Matrix
Dans la scène du "Club Hell", Carrie-Anne Moss effectue son célèbre coup de pied dit "Double Eagle", figure inoubliable de la scène douverture de Matrix en 1999.
Apparitions clins d'oeil
Le superviseur des effets visuels John Gaeta et l'illustrateur Geoffrey Darrow font une apparition à l'écran comme opérateurs APU lors du siège de Zion.
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Mauvais esprit|Patrick Alessandrin|Comédie||2|français|2003|85|Français||XviD|||XVID|999 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Manuel Munz Aïssa Djabri Farid Lahouassa|Laurent Chouchan|Javier Aguirresarobe||Pathé Distribution||Vincent Poirel dirige une multinationale du BTP. Il a tout obtenu dans la vie sauf un enfant. Sa société est retenue pour construire un stade olympique. Le projet original apporté par son architecte est en fait celui de Simon Variot, imaginé durant ses études.
Quand Simon découvre le chantier, il se rend au siège social de Porel mais se fait renverser par Porel lui-même. Simon meurt... et ressuscite dans le corps du bébé de Porel. Ce dernier ne comprend pas pourquoi son enfant lui voue une haine incommensurable... |Thierry Lhermitte (Vincent Porel)@Ophélie Winter (Chrystèle Porel)@Maria Pacôme (Belle-maman)@Leonor Watling (Leonor)@François Levantal (Freddy)@Michel Muller (Simon Variot)@Clémentine Célarié (Béatrice Copy)@Emmanuel Vieilly@||Secrets de tournage :
La genèse du projet
Après le succès de 15 août, le réalisateur Patrick Alessandrin avait besoin d'enchaîner sur un autre projet et de se replonger dans un sujet très rapidement. C'est au Japon qu'il a rencontré Manuel Munz, le producteur de Bon plan et de Ni pour, ni contre (bien au contraire), qui lui a proposé le scénario de Mauvais esprit.
Faire travailler les bébés
La grande difficulté du film a été de confier un véritable rôle à un bébé présent durant 45 minutes à l'écran. Le problème a été résolu en travaillant avec un story-board, en ayant recours à quelques effets spéciaux et en préparant les bébés qui ont été choisis au cours d'un casting qui a duré six mois.
Plusieurs bébés pour un même personnage
Pour le personnage du bébé, Patrick Alessandrin a fait appel à plusieurs enfants. Ce dernier explique : "Entre la naissance et neuf mois, un bébé grandit vite, donc il a fallu passer par différents enfants. En revanche, pour les gros plans, c'est toujours le même bébé que l'on voit à l'écran."
Une crèche comptant entre dix et quatorze bébés était installée en permanence près du plateau du tournage. Un personnel qualifié, composé de pédiatres et de coachs spécialisés, s'occupait d'eux. Il fallait également compter avec la présence des parents.
Tournage en Espagne
Au départ, Patrick Alessandrin souhaitait tourner en France puisque le film est censé se dérouler à Paris, mais compte tenu de la législation française, il était impossible de faire jouer le bébé plus d'une heure par jour. Toute l'équipe s'est donc déplacée à Madrid, en Espagne, où la loi permet de travailler avec des bébés pendant quatre heures.
Retrouvailles Thierry Lhermitte / Clémentine Célarié
Mauvais esprit marque les retrouvailles de Thierry Lhermitte avec Clémentine Célarié. Tous deux ont auparavant été partenaires sur La Vengeance d'une blonde (1994) et Les Soeurs Soleil (1997).
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Max Payne|John Moore|Action|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|2008|91|Anglais||XVID|||XVID|936 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|700||||24.244|28/07/2009 00:00:00|Julie Yorn Scott Faye John Moore|Beau Thorne Shawn Ryan Thomas H. Fenton|Jonathan Sela||20th Century Fox||Max Payne est un flic déterminé à retrouver ceux qui ont brutalement assassiné sa famille et son partenaire. Obsédé par sa quête de vengeance, il laisse son enquête l'entrainer dans un voyage cauchemardesque dans les bas-fonds de l'underground new-yorkais. Tandis que le mystère s'épaissit, Max va devoir affronter de puissants ennemis mais aussi ses propres démons. |Mark Wahlberg (Max Payne)@Mila Kunis (Mona Sax)@Beau Bridges (BB Hensley)@Chris O'Donnell (Jason Colvin)@Ludacris (Jim Bravura)@Donal Logue (Alex Balder)@Joel Gordon (Owen Green)@Kate Burton (Nicole Horne)@Rico Simonini (Detective Amerini)@Ted Atherton (Detective Shipman)@Marianthi Evans (Michelle Payne)@Amaury Nolasco (Jack Lupino)@Olga Kurylenko (Natasha)@Conrad Pla (Capitaine Bowen)@Nelly Furtado (Christa Balder)@Stephen R. Hart (le propriétaire du magasin de tatouages)@Philip Williams (sergent Adams)@Warren Belle (un détective)@Katie Odegaard (Jackie la réceptionniste)@Gouchy Boy (le portier)@Tig Fong (le chef de la sécurité chez Aesir)@Janice Nguyen (une détective)@Sergei Nikolich (Anton)@||Secrets de tournage :
Transition jeu vidéo/film
Max Payne est l'adaptation du jeu vidéo éponyme sorti en 2001. Ce jeu, permettant au joueur d'incarner un flic violent en quête de vengeance, innovait grâce à l'introduction du "bullet-time" dans le gameplay et de séquences oniriques. Fort de transitions déclinées sous forme de superbes bandes dessinées et d'un univers à part, le jeu à été gratifié d'une suite, The Fall of Max Payne en 2003. Vendus à près de 7 millions d'exemplaires à travers le monde, les jeux connaissent un succès planétaire. D'où l'adaptation cinématographique. Le film s'inspire donc des deux jeux, dont il reprend les personnages (Bravura, Mona Sax, Jack Lupino, etc.) et reproduit l'atmosphère mi-rêve mi-réalité très sombre des opus vidéo-ludiques.
Sur les rails depuis 2001
L'adaptation des aventures du flic taciturne étaient déjà d'actualité...en 2001, au moment de la sortie du premier volet ! Les plus attentifs avaient sans doute repéré au début du manuel du jeu, dans les notes d'intentions, que Remedy était à cette époque en pourparlers avec Dimension Film. Mais c'est finalement la Twentieth Century Fox qui récupéra le projet.
Premier scénario
Max Payne est le premier scénario de Beau Thorne. "Je me suis appuyé sur l'histoire et les cinématiques du jeu vidéo pour définir la base du film" explique-t-il. Et il ajoute : "le jeu est très cinématographique sur le plan visuel, son action ressemble beaucoup à celles d'un film, mais il faut entre huit et douze heures pour le terminer; il fallait donc condenser et supprimer certains éléments pour l'adapter au cinéma. J'ai fait le tour de tout ce qu'il y avait à découvrir dans le jeu et j'ai ensuite essayé de simplifier et d'alléger l'intrigue. Le défi était de rester fidèle au jeu tout en lui donnant une nouvelle dimension pour en faire un thriller bien ficelé".
John Moore met son grain de sel
Afin de convaincre les aficionados du jeu de "lâcher leurs manettes de jeu" selon les propres termes de John Moore, le réalisateur s'est décidé à tourner le film le plus souvent en caméra subjective, un peu à la manière de la vue à la première personne dans un FPS (First Person Shooter). "Cela donne le sentiment d'être dans la peau de Max Payne" poursuit-il le cinéaste, "et de cogner soi-même les méchants !".
Les lieux de tournage
Le tournage de Max Payne a commencé le 3 mars 2008. Il a duré 50 jours et s'est déroulé dans de nombreux quartiers des affaires en passant par les quais. Plusieurs décors naturels ont été utilisés deux fois par les cinéastes : un entrepôt de denrées alimentaires a par exemple servi de décor pour le repaire de Mona, une arrière salle de la boutique d'un tatoueur, et la fête durant laquelle Max rencontre Mona pour la première fois. Une verrerie abandonnée à Hamilton a quant à elle servi de décor pour les intérieurs de le Ragna Rok.
Déluges de balles
L'un des plus gros défis pour le chef décorateur Daniel T. Dorrance a été la construction du décor des bureaux du QG de la société Aesir Corp., où se déroule une des scènes d'action clés du film, dans laquelle s'abat un véritable déluge de balles. Huit semaines de travail ont été nécessaires pour construire et habiller ce décor gigantesque sur un plateau des Cinespace Studios, au Canada. L'équipe des effets spéciaux a ensuite passé une semaine entière à truffer le décor de petites charges explosives pour simuler les impacts de balles. Le tournage de cette scène de fusillade a duré une semaine. Une longueur s'expliquant par la nécessité de remplacer entre chaque prise de vue majeure quelques 1280 micro charges censées simuler les impacts de balles ! Une équipe de 15 pyrotechniciens faisait alors apparition sur le plateau à la fin de chaque journée de tournage, pour refaire intégralement le câblage électrique des micro-charges pour la journée suivante. Au total, ce ne sont pas moins de 5000 micro-charges qui furent utilisées, ainsi que 1000 capsules de sang explosives et cartouches pré-impactées pour simuler les impacts de balles.
Une machine à tuer
C'est Amaury Nolasco qui prête ses traits au terrifiant et psychopathe Jack Lupino, un ancien soldat reconverti dans le trafic de drogue depuis sa base, le Ragna Rok. Si l'acteur a souvent fait de petits rôles au cinéma avec sa stature impressionnante (notamment dans 2 Fast 2 Furious, Au bout de la nuit ou encore Transformers), il reste encore peu connu sur grand écran. Très loin en tout cas du rôle de Fernando Sucre, le sympathique évadé de prison dans la série culte Prison Break.
Flic (dépressif) et voyou
Une coïncidence assez amusante : c'est Marco Beltrami (cité à l'Oscar de la Meilleure musique pour 3h10 pour Yuma) qui compose la musique de Max Payne. Mais le compositeur a également signé la bande originale d'un certain...Mesrine : L'Ennemi public n°1, le diptyque de Jean-Francois Richet avec Vincent Cassel.
Bullet-Time
Pour donner plus d'intensité et de style à l'action, John Moore a reproduit dans certaines scènes les ralentis et l'effet bullett-time que les joueurs peuvent activer pendant les fusillades dans le jeu vidéo. John Moore raconte : "comme je ne voulais pas imiter les superbes ralentis et les bullett-time de John Woo ou des frères Wachowski dans la trilogie Matrix, nous avons mis au point une nouvelle technique avec la caméra numérique Phantom qui permet de filmer 1000 images/sec. Le résultat est très impressionnant !"
Une préparation intensive
Afin d'être la plus crédible possible dans son rôle de Mona Sax, Mila Kunis a dû suivre un entraînement très intensif au combat à mains nues, aux arts martiaux et au maniement des armes. C'est la première fois que l'actrice manipule des armes à feu. L'intéressée confie d'ailleurs être devenue une excellente tireuse !
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De même, les sortes de créatures ailées que l'on peut voir dans le film sont appelés les Valkyries (Ce sont des divinités mineures représentées sous formes de vierges guerrières. Selon la légende, elles accompagnent les âmes des héros vers le Valhalla où elles attendent le Ragnarök pour combattre au côté de Odin).
Une approche originale
Mark Wahlberg qui incarne Max payne à l'écran, a avoué n'avoir jamais joué au jeu vidéo. L'acteur a donc eu une approche différente de son personnage, principalement à travers le script. Et il ajoute : "en dehors de la dimension purement physique, Max Payne est un des rôles les plus complexes que j'ai joués. C'est un personnage très adulte, subtil et complexe, guidé par ses émotions. C'est un homme brisé, une coquille vide, qui a eu autrefois une vie qui le comblait. [...] Max est un personnage sombre, impassible et obsédé par la vengeance, mais il y a en lui une profondeur surprenante. Il est envahi par la tristesse et la rage, et je pense que les spectateurs comprendront pourquoi il va si loin dans sa quête".
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The Game Plan|Andy Fickman|Comédie|Film pour enfants à partir de 10 ans|2|américain|2008|109|Anglais||XVID|||XVID|723 Kbps|624x256|MPEG-1 Audio layer 3|156 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Mark Ciardi Gordon Gray|Audrey Wells Kathryn Price Nichole Millard|Greg Gardiner||Buena Vista Pictures||Joe Kingman, robuste quarterback, star de l'équipe de Boston, est bien décidé à remporter le championnat. Véritable "célibattant", Kingman vit le rêve ultime : il est riche, célèbre et de toutes les fêtes. Mais son rêve s'écroule soudain quand il découvre qu'il a une fille de 8 ans. Alors qu'il vit le moment le plus important de sa carrière, il lui faut concilier ses cocktails VIP, ses entraînements et ses rendez-vous amoureux avec les cours de danse classique, les contes de fées et les poupées de sa fille. La perplexité gagne aussi sa méga attachée de presse, l'intraitable Stella, dépourvue de toute fibre parentale. Malgré les mésaventures hilarantes de son nouveau statut de père, Joe découvre que l'argent, la publicité et les hordes de fans en délire ne font pas le bonheur. L'amour d'une seule petite fan est la seule chose qui compte. |Dwayne Johnson (Joe Kingman)@Kyra Sedgwick (Stella Peck)@Madison Pettis (Peyton James)@Roselyn Sanchez (Monique)@Christine Lakin (Nichole)@Madison Pettis (Peyton James)@Brian J. White (Webber)@Morris Chestnut (Sanders)@Kate Nauta (Tatianna)@Lauren Storm (Cindy)@Paige Turco (Karen James)@Robert Torti (Samuel Blake)@Gordon Clapp (Maddox l'entraîneur)@Elizabeth Chambers (Kathryn)@Steve Flynn (le pédiatre)@Hayes MacArthur (Cooper)@John Fiore (le mari)@Jamal Duff (Clarence Monroe)@Jackie Flynn (Larry le portier)@Eric Ogbogu (Drake)@Brian Currie (Bo l'entraîneur)@Fionna Gallagher (Dr. Converse)@Jack Eastland (Le médecin des urgences)@Rachel Harker (Mrs. Jensen)@Ed Berliner (L'attaché de presse des Rebels)@Armen Garo (Le taxi)@Roger Dillingham Jr. (le paparazzi)@||Secrets de tournage :
Bye Bye The Rock !
Selon les propres termes de Dwayne Johnson, Maxi Papa devrait être le dernier film dans lequel il se fait encore créditer sous le pseudonyme de "The Rock".
Autant en emporte la danse
L'actrice Roselyn Sanchez, que l'on peut notamment aperçevoir dans la série FBI : portés disparus, possède une vraie formation de danseuse. Elle a donc tout naturellement travaillé une chorégraphie complète pour son rôle; et pas question d'être doublée !
Les Bostons Rebels
Sanders, le reçeveur vétéran de l'équipe de Joe Kingman, est incarné par Morris Chestnut, qui s'est fait connaître en interprétant un jeune lycéen essayant de s'en sortir grâce à ses capacités de footballeur dans Boyz'n the Hood, la loi de la rue de John Singleton. L'acteur a passé une audition avec le coach de football Mark Ellis pour s'assurer qu'il avait les capacités sportives. La production a par ailleurs fait appel à Brian White, ancien joueur de la NFL dans l'équipe des New England Patriots. Il incarne dans le film le coureur de l'équipe, Weber. Fils de Jojo White, légendaire joueur des Boston Celtics, Brian White a été joueur de crosse pour les Boston Blazers avant de devenir acteur. Autre (ex) joueur professionnel prêtant son concours pour le film : Jamal Duff, qui incarne Monroe, a été ancien Lineman des mythique New Ork Giants et Washington Redskins.
Les dents longues
Milieu réputé très macho, le monde des agents sportifs ne laisse que peu de place aux femmes. Kathryn Price, qui incarne l'impitoyable Stella, évoque son personnage : "nous avons vu Stella comme une femme prête à tout. Elle défend son client bec et ongles, et a encore moins la fibre maternelle que Joe n'a la fibre paternelle... C'était à la fois un personnage amusant et une femme assez peu ordinaire au cinéma.?
Coach à plein temps
Outre son travail de coordinateur et de coach pour le football dans Maxi papa, Mark Ellis n'en est pas à son coup d'essai. Il a en effet exercé ses talents sur des films tournant autour de ce sport : L'Enfer du dimanche d' Oliver Stone en 1999; Rêve de champion en 2002; Invincible, ou encore Mi-temps au mitard.
Elvis n'est pas mort !
C'est Dwayne Johnson qui a suggéré que le personnage principal du film porte le nom de "Kingman", alias "Le King". Un hommage à peine voilé à un certain...Elvis ! "Trois artistes m'ont inspiré dans ma vie" explique l'acteur; "Elvis Presley, Willie Nelson et Sam Cooke". Et d'ajouter : "J'ai pensé qu'être fan d'Elvis ajouterait de la profondeur au personnage. C'était l'occasion de s'amuser, de chanter et pourquoi pas, de faire une ou deux imitations...?
Authenticité
Afin de renforcer le souci d'authenticité, l'équipe du film a obtenu l'autorisation de tourner au sein du prestigieux Gillette Stadium, antre des New England Patriots, trois fois vainqueurs du Super Bowl.
The Rock aime le football US
Si The Rock incarne une star du football US dans Maxi papa, ce milieu sportif n'est pas si éloigné que cela pour lui : il en a en effet pratiqué à très haut niveau pendant dix ans, lorsqu'il était chez Les Hurricanes de Miami. Pour la petite histoire aussi, son personnage, Joe Kingman, souffre dans le film d'une blessure d'un déboîtement de l'épaule. Une blessure dont Dwayne Johnson à également souffert alors qu'il jouait un match de fin de saison, en tant que défenseur. C'est toutefois une grave blessure au dos qui a mis fin à sa carrière de footballeur professionnel; il s'est alors dirigé vers le catch.
De la jungle au terrain de foot
Andy Fickman a commencé sa carrière au sein de l'industrie du cinéma en 1997, en tant que producteur associé d'Anaconda. Après une teen-comédie inédite en France (Who's your daddy ?), il réalise en 2006 une autre comédie : She's the Man. The Game Plan est son troisième film.
Trio d'amis
Andy Fickman, le directeur de la photographie Greg Gardiner (qui a entre-autre signé la photographie de MIIB) et le monteur Michael Jablow, ont déjà travaillé ensemble à deux reprises. En 2003 d'abord sur le tournage de Who's your daddy ? ; et en 2006 pour She's the Man.
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Memoirs of a Geisha|Rob Marshall|Drame||3|américain|2006|145|Anglais||XVID|||XVID|556 Kbps|672x272|MPEG-1 Audio layer 3|108 Kbps|False|48.0 KHz|2|702||||23.976|08/08/2009 00:00:00|Amy Pascal|Robin Swicord Doug Wright|Dion Beebe||Columbia Pictures||Quelques années avant la Seconde Guerre mondiale, Chiyo, une petite fille japonaise, est arrachée à sa famille pauvre pour aller travailler comme servante dans une maison de geishas.
En grandissant, elle se plie avec docilité à l'initiation difficile qui fera d'elle une vraie geisha. Elle triomphe des pièges que lui tend sa rivale, la fourbe Hatsumomo et devient, après des années de travail, la légendaire geisha Sayuri.
Très belle, épanouie dans son art, Sayuri fascine les hommes les plus puissants. Mais celle qui n'a plus le droit d'aimer reste hantée par l'amour qu'elle porte, en secret, au seul homme qu'elle ne peut atteindre... |Zhang Ziyi (Sayuri)@Gong Li (Hatsumomo)@Michelle Yeoh (Mameha)@Ken Watanabe (le président)@Koji Yakusho (Nobu)@Kaori Momoi (O-Kami)@Youki Kudoh (O-Kabo)@Kenneth Tsang (le général)@Paul Adelstein (Lieutenant Hutchins)@Brannon Bates (un soldat)@Michael Chen (le chauffeur)@Tsai Chin (la tante)@Chad Cleven (le GI saoul)@Craig H. Davidson (le pêcheur japonais)@Cameron Duncan (l'officier saoul)@Suzuka Ohgo (Chiyo)@Zoe Weizenbaum (O-Kabo enfant)@||Secrets de tournage :
Adapté d'un best-seller d'Arthur Golden
Projet de longue date, Mémoires d'une geisha est l'adaptation du best-seller homonyme d'Arthur Golden. C'est Steven Spielberg qui acquit en 1998 les droits du roman pour le transposer à l'écran.
Actrices pressenties
Julyana Soelistyo et Maggie Cheung figuraient parmi les actrices pressenties pour incarner respectivement O-Kabo et Mameha.
La valse des réalisateurs
Le projet est passé entre les mains de Steven Spielberg, qui avait acquis les droits du roman, Brett Ratner, Spike Jonze et Kimberly Peirce avant de voir le jour sous la direction de Rob Marshall.
Musique composée par John Williams
John Williams qui avait composé la bande son des trois premiers volets d'Harry Potter a refusé de faire Harry Potter et la coupe de feu pour se consacrer à la musique de Mémoires d'une geisha pour laquelle il a reçu un Golden Globe.
La légende de la geisha
Les geishas existent depuis plusieurs siècles au Japon. Leur nom vient du mot "gei" qui signifie "art" en japonais. Ni épouses ni prostitués, ces femmes hautement respectées dans la société gagnaient leur vie en divertissant des hommes puissants par leur beauté, leur élégance et leurs dons artistiques. Les hommes étaient prêts à payer cher pour devenir leur "danna", leur maître. A la fois danseuses, chanteuses et musiciennes, les geisha maîtrisent l'art de la conversation et se rendent dans les soirées données dans les maisons de thé. Elles existent encore aujourd'hui mais dans une proportion beaucoup plus faible.
Maîtriser l'art de la geisha en six semaines
Les geishas avaient une manière très élégante de se tenir et de se comporter qu'elles apprenaient dès leur plus jeune âge. Elles maîtrisaient à la perfection la danse et la pratique d'un instrument à trois cordes, le shamishen. Afin d'aider les actrices à acquérir ces pratiques, le réalisateur Rob Marshall a mis en place six semaines de formation intensive à Los Angeles avec une équipe d'experts. Durant leur apprentissage, les actrices ont dû s'habituer à porter un kimono, pris des cours de danse et de musique. Pour les encadrer, Rob Marshall a fait appel à Liza Dalby, la seule occidentale à avoir vécu et travaillé comme geisha au Japon, qui avait collaboré avec Arthur Golden pour l'écriture de son roman.
La confection des kimonos
Le kimono est le costume traditionnel de la geisha. Colleen Atwood , la costumière a confectionné à la main 250 kimonos pour les besoins de Mémoires d'une geisha.
Un sumo devenu présentateur
Le sumo qui a remporte le combat dans Mémoires d'une geisha n'est autre que le professionnel Mainoumi, qui avait atteint le grade de Champion junior. Il s'est retité des championnats en novembre 1999 et est actuellement présentateur pour la chaîne NHK.
Des pousse-pousses recyclés
Les pousse-pousses de Mémoires d'une geisha avaient déjà été utilisés dans Le Dernier samouraï d'Edward Zwick (2003). Une décoration a été ajoutée pour qu'ils ressemblent à la période des années 30.
Un maquillage traditionnel
Noriko Watanabe a respecté le maquillage traditionnel des geishas, avec la peau pâle, les cheveux noirs et et la bouche rouge. Le fond de teint blanc, porté par les geishas lors des grandes occasions et par les Maiko (apprentie geisha) lors des sorties en public était appliqué sur le visage, le cou, le haut du dos et les mains. Une équipe de 65 techniciens a été formée pour reproduire le maquillage de l'époque.
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Men in Black|Barry Sonnenfeld|Science fiction||3|américain|1997|93|Anglais||DIV3|||DIV3|807 Kbps|640x480|MPEG-1 Audio layer 3|224 Kbps|False|48.0 KHz|2|695||||25.000|09/08/2009 00:00:00|Laurie McDonald Walter F. Parkes|Ed Solomon|Donald Peterman||Columbia TriStar|Saga : Men in Black |Chargés de protéger la Terre de toute infraction extraterrestre et de réguler l'immigration intergalactique sur notre planète, les Men in black ou MIB opèrent dans le plus grand secret. Vêtus de costumes sombres et équipés des toutes dernières technologies, ils passent inaperçus aux yeux des humains dont ils effacent régulièrement la mémoire récente : la présence d'aliens sur notre sol doit rester secrète.Récemment séparé de son vieux partenaire, retourné à la vie civile sans aucun souvenir de sa vie d'homme en noir, K, le plus expérimenté des agents du MIB décide de former J, un jeune policier. Ensemble, ils vont afronter une nouvelle menace : Edgar le cafard... |Will Smith (Officier James Edwards / l'agent J)@Tommy Lee Jones (l'agent K)@Vincent D'Onofrio (Edgar)@Linda Fiorentino (Docteur Laurel Weaver / l'agent L)@Rip Torn (Z)@Tony Shalhoub (Jeebs)@Tim Blaney (la voix de Frank le chien)@Mike Nussbaum (Gentile Rosenberg )@Fredric Lehne (INS Agent Janus )@Richard Hamilton (MiB Agent D )@Verne Troyer (un alien)@David Cross@||Secrets de tournage :
Adapté d'un comic-book
Les aventures des Men in Black sont issues d'un comic-book, créé et écrit par Lowell Cunningham aux éditions Malibu Comic. C'est en 1992 que les producteurs Walter F. Parkes et Laurie MacDonald découvrent cette histoire d'agents gouvernementaux chargés de réguler l'activité extraterrestres sur terre. Sombre et violente, la bande dessinée sera remaniée pour traiter l'histoire sur le ton de la comédie parodique.
Après le succès du film (250 millions de dollars aux Etats-Unis, 587 millions de dollars dans le monde et 5,7 millions d'entrées en France), les enquêtes surnaturelles des hommes en noir ont été déclinées en série télévisée animée et en jeu vidéo. Un second film, MIIB voit le jour en 2002, et pourrait être suivi d'un troisième volet.
K et J : Tommy Lee Jones et Will Smith
Interprètes des deux hommes en noirs K et J, Tommy Lee Jones et Will Smith reviennent sur leurs personnages respectifs.
"Les hommes en noir ne sont pas censés avoir des rapports humains conventionnels, ils n'ont ni femme ni famille, parce qu'ils sont supposés vivre dans un total anonymat", explique Tommy Lee Jones. "Nous gardons secret tout ce qui concerne nos ?affaires' avec les extraterrestres, rien ne doit filtrer auprès de la population, parce que les gens seraient incapables d'affronter la réalité. Si après avoir cru pendant deux millénaires qu'il était le sommet et l'aboutissement, l'homme découvrait qu'il n'est qu'une créature biologique parmi des centaines d'autres souvent plus fortes que lui, il paniquerait complètement. Les MIB ont conscience de cela. Ce savoir leur impose une vie solitaire, d'une façon 'mélodramatico-BDesque'. Mais c'est aussi une vie exceptionnelle".
Pour Will Smith, "J est quelqu'un qui aime la vie et adore faire de nouvelles expériences. Il est aussi persuadé d'être l'homme le plus intelligent du monde, et pour lui, devenir MIB est aussi un honneur. S'adapter à cette nouvelle réalité le motive au plus haut point, et le désir qui l'avait poussé à devenir policier - protéger et servir - le pousse maintenant à rejoindre cette espèce de 'police suprême'".
New York : ville idéale pour les aliens
Le réalisateur Barry Sonnenfeld a choisi de situer le lieu de l'action dans sa ville natale de New York pour une raison bien précise : elle est à ses yeux comme une ville alien ! "J'ai le sentiment que si des extraterrestres débarquent un jour sur notre planète, c'est là-bas qu'ils se sentiront le mieux : ils pourront se fondre dans la population de la ville, au milieu de gens qui ressemblent eux-mêmes à des extraterrestres ? qui en sont même probablement... Ce qui est formidable avec New York, c'est que lorsqu'on s'y promène, on découvre des bâtiments, des choses dont on ne comprend pas pourquoi elles sont là. On peut facilement en rire, exactement comme on peut prendre certains de ses habitants pour des extraterrestres".
L'univers rétro-futuriste des MIB
Concepteur des décors du film, Bo Welch s'est inspiré de l'architecture des années soixante et de la vision du futur qu'en avaient les gens à l'époque. Pour rendre crédible l'existence des hommes en noir, il convenait de créer un monde parallèle pourtant ancré dans la réalité quotidienne. "Ce qui était intéressant dans ce film, c'est la façon dont il est ancré dans la réalité. L'univers des MIB existe dans notre univers quotidien, en marge. La situation que traversent les héros n'est pas anormale, c'est leur routine. Notre monde continue d'être ce qu'il semble être pendant qu'en secret les MIB agissent. C'est leur travail. C'est très terre-à-terre et j'ai adoré concevoir les décors en gardant cela à l'esprit".
Rick Baker aux maquillages
Expert en maquillages et effets spéciaux, Rick Baker a conçu les différentes créatures du film. Pour Edgar le cafard, dont le costume humain se détériore au fur et à mesure du film, il imposait au comédien Vincent D'Onofrio jusqu'à six heures de maquillage quotidien !
Des aliens célèbres...
Un plan du film présente les extraterrestres actuellement sous surveillance vidéo des hommes en noir. Parmi eux, on peut reconnaître Steven Spielberg (producteur exécutif de Men in Black), Barry Sonnenfeld (réalisateur du film) et sa fille Chloe (qui fera une apparition dans Men in black 2), Sylvester Stallone ou encore George Lucas. Michael Jackson est également présenté comme un alien.
Les vrais hommes en noir
Personnages importants de la mythologie ufologique, les hommes en noirs reviennent dans de nombreux témoignages autour d'apparitions d'ovnis. Toujours vêtus de costumes sombres démodés, portant des lunettes noires, ils viendraient interroger (et accessoirement effrayer) ces témoins dans les jours suivant la rencontre extraterrestre, afin qu'ils gardent le silence. Leur origine et leur employeur restent inconnus. Mythe ou réalité : le mystère reste entier...
Ce qui fait dire à Barry Sonnenfeld : "Ce qu'il y a d'étonnant avec ce film, c'est que finalement quand on y réfléchit, il y a assez peu de chances pour que nous soyons seuls dans l'univers. Il y a encore moins de chances que nous soyons les plus évolués, il est complètement possible que des extraterrestres soient déjà venus, et pourquoi ne seraient-ils pas restés ? Je n'arrive pas à croire que personne ne soit au courant. Si ça se trouve, cette agence existe. Que vont penser les MIB et les extraterrestres de notre film ?"
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Men in Black II|Barry Sonnenfeld|Science fiction||2|américain|2002|84|Anglais||XviD|||XVID|1 045 Kbps|720x384|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Walter F. Parkes Laurie MacDonald|Robert Gordon Barry Fanaro|Greg Gardiner||Columbia Pictures|Saga : Men in Black |En quatre années passées à protéger la Terre de toutes sortes d'invasion extraterrestre, l'agent J, qui travaille secrètement au quartier général des Men in black, n'a toujours pas trouvé de partenaire avec qui faire équipe. A la suite d'un crime étrange impliquant des extraterrestres, l'agence découvre l'existence d'un redoutable complot menaçant notre planète. Serleena, une maléfique séductrice qui a pris l'apparence d'un top-model en lingerie fine, est prête à tout pour accomplir son sinistre dessein. J a absolument besoin des services de K, son ancien partenaire qui n'a plus aucun souvenir des MIB et travaille dorénavant à la Poste. J va devoir par tous les moyens le faire sortir de sa retraite. |Will Smith (l'agent J)@Tommy Lee Jones (l'agent K)@Rip Torn (Z)@Lara Flynn Boyle (Serleena)@Johnny Knoxville (Scrad / Charlie)@Rosario Dawson (Laura Vasquez)@Patrick Warburton (l'agent T)@Tony Shalhoub (Jeebs )@Jack Kehler (Ben)@Tim Blaney (la voix de Frank le chien)@Michael Jackson (l'agent M)@Rick Baker (l'agent MIB au contrôle des passeports)@Barry Sonnenfeld (le père à la mémoire effacée)@Peter Graves (lui-même)@David Cross (Newton)@||Secrets de tournage :
Back in black
Men in black 2 est le second volet de la saga des hommes en noir. Sorti en 1997 sur les écrans, Men in Black suivait les aventures des agents K et J confrontés à un redoutable alien : Edgar le cafard.
Un phénomène de société
A la sortie du premier film, les Men in black ont créé un véritable phénomène de société. De l'aveu du producteur Walter F. Parkes "le hit du film, interprété par Will Smith, passait partout. A la Une des magazines, toutes les stars posaient en costume noir et Ray-Ban. L'esthétisme du film est très rapidement devenue une référence, une partie de la culture populaire dont le public a pris possession". Un retour à ne pas rater donc, comme l'explique la productrice Laurie MacDonald : "nous avions tous envie de voir revenir les agents K et J dans de nouvelles péripéties. Il nous fallait une bonne histoire pour ne pas décevoir. Nous avons pris le temps de bien faire les choses, et de nous amuser !".
Les hommes en noir et le 11 septembre
Le scénario de Men in black 2 a dû être retouché après les attentats terroristes du 11 septembre 2001. En effet, l'histoire prévoyait un affrontement final au World Trade Center de New York. Après les attaques sur les tours jumelles, l'équipe du film dut remanier quelque peu le script afin de situer la séquence au sommet du Chrysler Building. Ironiquement, cet édifice fut envisagé comme lieu de l'action dans la première version du script, avant que Barry Sonnenfeld ne la modifie pour la situer au World Trade Center.
La dynamique du duo
Pour l'équipe du film, le film fonctionne avant tout sur le duo J / K, Will Smith / Tommy Lee Jones, reconstitué après quelque temps dans le film. Le réalisateur Barry Sonnenfeld explique : "Les deux premières semaines, nous avons tourné à New York avec le personnage de Will. Puis enfin, à la gare centrale, nous avons filmé la première scène avec le duo. Nous avons fini très tard, en pleine nuit. Nous étions tous fatigués mais heureux. Will s'est tourné vers moi, un large sourire lui a illuminé le visage et il m'a dit : 'J n'existe pas sans K. Il n'y a pas de Laurel sans Hardy'".
J et K : Will Smith et Tommy Lee Jones
"J'adore l'Agent J", explique Will Smith. "Il est cool, il fait preuve de recul dans toutes les situations. Il a gagné en maturité, peut-être à cause des responsabilités. Il n'oublie pas pour autant ce qu'il est, un gars plein de bon sens face à une situation complètement dingue. Il garde ce côté décontracté, un peu mode, jeune et curieux de tout. Depuis qu'il travaille à l'agence, il comprend mieux le monde. Il sait pourquoi, régulièrement, des choses étranges se produisent. Ce que l'on nomme concours de circonstances est souvent le résultat d'une activité extraterrestre. Un Men in black sait ce genre de choses. C'est un métier solitaire. J a fait équipe avec le meilleur agent qui soit, mais s'est retrouvé seul. Il en souffre. Sa rencontre avec Laura va tout remettre en cause (...)"
Pour Tommy Lee Jones, l'agent K, devenu employé des postes après que sa mémoire ait été effacée "est un bon chef de bureau, il prend son travail à coeur. Les gens du coin l'aiment bien. On devine cependant qu'il n'est pas vraiment heureux. Comme si quelque part, son subconscient n'avait pas oublié l'excitation des missions et la passion de son ancien métier. La clé de notre duo repose sur un mélange explosif. Je suis calme, cynique et plus âgé, et Will démarre au quart de tour. Le contraste entre les deux personnalités provoque un décalage souvent cocasse. Will fait les vannes, il bouge, et moi je reste comme un monolithe. C'est l'expérience face à la jeunesse ? sauf que cette fois, les choses vont quelque peu s'inverser..."
Lara Flynn Boyle remplace Famke Janssen
La comédienne Famke Janssen devait initialement incarner l'impitoyable Serleena, la méchante et sexy alien de MIIB. Toutefois, après quelques jours de tournage, elle dut abandonner son rôle pour problèmes familiaux. Elle fut remplacée au pied levé par Lara Flynn Boyle, vue dans Happiness et la série Twin Peaks notamment.
Rosario Dawson, nouvelle woman in black
Nouvelle venue dans le monde des hommes en noir, Rosario Dawson remplace Linda Fiorentino dans le coeur de l'agent J (Will Smith). Héroïne du premier opus, cette dernière devait participer à Men in black 2 lors d'une courte scène, mais renonça finalement au projet.
Double rôle pour Johnny Knoxville
Créateur de la série polémique Jackass sur MTV, Johnny Knoxville interprète un double rôle dans Men in black 2 : celui de Scrad / Charlie, un alien à deux têtes qui demanda au comédien un travail ardu. Le réalisateur Barry Sonnenfeld explique : "c'est à la fois une performance d'acteur et un exploit technique. Johnny Jouait l'un des visages puis, plus tard, devant un fond bleu, interprétait le second, complètement différemment. Les deux étaient ensuite assemblés en post-production".
Michael Jackson in black
Pris pour cible d'une blague à la fin du premier Men in Black (il y était présenté comme un extraterrestre), Michael Jackson a participé à Men in black 2. Le Roi de la pop y incarne un postulant homme en noir lors d'une courte apparition clin d'oeil. Il a d'ores et déjà annoncé qu'il reprendrait ce petit rôle dans un futur Men in black 3.
Frank le roquet
Vedette de ce second opus, le roquet parlant Frank est une combinaison de prises de vues réelles et d'images de synthèses. Le cabot est doublé en version originale par Tim Blaney. C'est le même chien que celui présent dans Men in Black qui reprend le rôle, maquillé toutefois pour cacher ses poils gris (il est plus vieux de 7 ans...).
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Apparitions clin d'oeil
Plusieurs apparitions surprises émaillent Men in black 2 : les plus attentifs reconnaîtront Michael Jackson, le maquilleur Rick Baker en MIB contrôleur de passeport, le réalisateur Barry Sonnenfeld en père de famille, sa fille Chloé dans la scène de la poste, et Peter Graves, inoubliable Jim Phelps de la série Mission : impossible, ici dans son propre rôle en présentateur d'une émission "paranormale".
Un tournage en deux parties
Prévoyant la grève des acteurs hollywoodiens (qui n'eut finalement pas lieu), l'équipe de production avait établi un planning de tournage en deux parties. S'arrêtant en juin, les prises de vues reprirent au mois de septembre. Entre-temps, l'équipe des effets spéciaux entama son travail de post-production, offrant aux comédiens et aux réalisateurs un premier aperçu des (nombreux) effets du film.
Clin d'oeil à Steven Spielberg
Producteur exécutif du film, Steven Spielberg aurait dû faire l'objet d'une blague dans Men in Black. Un clin d'oeil coupé malheureusement au montage, qui sera réitéré dans Men in black 2. Regardant un show télévisé des plus kitsch présentant un atterrissage extraterrestre en carton-pâte, Will Smith lâche une réplique inoubliable : "C'est du Spielberg..."
Rick Baker aux maquillages
Comme pour le premier opus, les maquillages de Men in black 2 sont signés Rick Baker. Parmi ses nombreuses créations pour ces nouvelles aventures, un couple d'alien oiseaux (issus de l'un de ses croquis datant de... trente ans !).
Expert en effets spéciaux, Rick Baker a signé, entre autres, les maquillages de La Guerre des étoiles, Greystoke, la legende de Tarzan, Gorilles dans la brume, Le Professeur Foldingue, La Famille Foldingue, Le Grinch, La Planète des singes et des prochains The Incredible Hulk et Hellboy. C'est sa troisième collaboration avec Tommy Lee Jones, après MIB Men in Black et Batman Forever.
Danny Elfman à la baguette
Figure emblématique des compositeurs du cinéma fantastique et auteur du "score" de Men in Black, Danny Elfman signe la musique de Men in black 2. Collaborateur privilégié de Tim Burton, on lui doit les bandes originales de Batman, Batman, le défi, Mars Attacks!, Sleepy Hollow, la légende du cavalier sans tête et La Planète des singes. Il a également composé les musiques de Spider-Man, Spy Kids ou Mission : impossible et travaille actuellement sur celles de Red Dragon et Terminator 3 : Rise of the machines.
Nouveau tube pour Will Smith
Comme pour le premier volet, Will Smith, également rappeur et compositeur, a signé le tube majeur de Men in black 2 : Nod ya head - Black suits comin.
Les MIB sur le Tour de France !
Première dans l'histoire de la Grande Boucle, un film est associé à la caravane publicitaire du Tour de France. Lancés le 6 juillet sur les routes, trois véhicules (deux Cadillac et un pick-up) aux couleurs de Men in black 2, conduites par des hommes en noir et chargées d'aliens en tous genres accompagnent le Tour, jusqu'à l'arrivée sur les Champs-Élysées le 28 juillet. Une opération marketing supervisée par Frank le roquet...
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Body of Lies|Ridley Scott|Thriller||3|américain|2008|128|Anglais||XVID|||XVID|624 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||23.976|13/08/2009 00:00:00|Donald De Line Ridley Scott|William Monahan|Alexander Witt||Warner Bros.||Ancien journaliste blessé pendant la guerre en Irak, Roger Ferris est recruté par la CIA pour traquer un terroriste basé en Jordanie. Afin d'infiltrer son réseau, Ferris devra s'assurer le soutien du très roué vétéran de la CIA Ed Hoffman et du chef des renseignements jordaniens, peut-être trop serviable pour être honnête. Bien que ces deux là soient censés être ses alliés, Ferris s'interroge : jusqu'où peut-il leur faire confiance sans mettre toute son opération - et sa vie - en danger ? |Leonardo DiCaprio (Roger Ferris)@Russell Crowe (Ed Hoffman)@Mark Strong (Hani Salaam)@Golshifteh Farahani (Aïsha)@Ali Suliman (Omar Sadiki)@Oscar Isaac (Bassam)@Vince Colosimo (Skip)@Michael Gaston (Holiday)@Clara Khoury (La femme de Bassam)@Mehdi Nebbou (Nizar)@Ali Khalil (Zayed Ibishi)@Lubna Azabal@Ali Suliman (Omar Sadiki)@Bijan Daneshmand (Ambassadeur)@Jennifer Rouse (Supporter)@Omar Berdouni (Lieutenant Al-Saleen)@Janan Ferdosi (Prince des EAU)@Allen Lidkey (Infirmier)@Alexander Von Roon (Chef de la police hollandaise)@Michael James Faradie (Sergent Daniels)@Zef Balbona (Adolescent pakistanais)@Jamil Khoury (Marwan)@Larry Carter (Agent de la CIA)@Alon Abutbul@Matt Gulbranson (Capitaine Leaderman)@Vasanth Santosham (Artisan Sikh)@Shredi Jabarin (Jihadiste)@Terry Ward (Hooligan de Manchester)@Sami Samir (Chauffeur Syrien)@Alexander Rajic (Habitant de Manchester)@Quentin Mare (Technicien du Predator)@Travis McHenry (SAS Commando)@Dino A. Muminovic (Turc)@||Secrets de tournage :
13 ans après...
Avant Mensonges d'Etat, Leonardo DiCaprio et Russell Crowe s'étaient déjà croisés sur un plateau. Encore méconnus du grand public, ils avaient joué aux cowboys sur le Mort ou vif de Sam Raimi en 1995...
Et de quatre !
Mensonges d'Etat marque la quatrième collaboration de Ridley Scott avec son acteur-fétiche Russell Crowe. Une collaboration entamée en 2000 avec Gladiator, qui s'est poursuivie sur Une grande année (2007), American Gangster (2007) et Mensonges d'Etat donc. En attendant Nottingham. Le scénariste William Monahan, pour sa part, avait travaillé avec le cinéaste sur Kingdom of Heaven et sur le projet Tripoli.
La Scorsese-team s'infiltre...
Deux transfuges des Infiltrés sont au générique de Mensonges d'Etat, et pas n'importe lesquels : Leonardo DiCaprio et le scénariste William Monahan, Oscarisé pour son travail sur le film de Martin Scorsese.
Un assistant bien informé
L'ancien assistant de Ridley Scott sur La Chute du faucon noir, Terry Needham a filmé plusieurs reportages télévisés pour l'armée américaine lors de la guerre en Irak. Son expérience dans la région ne serait pas étrangère à l'adaptation du livre par Ridley Scott
Un Français au générique
Mehdi Nebbou, frère du réalisateur Safy Nebbou (L'Empreinte de l'ange, Le Cou de la girafe), est au générique de Mensonges d'Etat, sa deuxième expérience hollywoodienne après Munich. Fin 2008, il plonge au coeur d'un autre thriller d'espionnage : Secret défense de Philippe Haim.
En région connue
Plusieurs acteurs du film ont déjà tourné dans des métrages se passant dans la région. Par exemple, Lubna Azabal et Ali Suliman se sont rencontrés sur le tournage du film israélo-palestinien Paradise Now. Par ailleurs, Clara Khoury a tourné dans Le Mariage de Rana, un jour ordinaire à Jérusalem.
Pietro Scalia au montage
A l'oeuvre sur A armes égales, Gladiator, Hannibal, La Chute du faucon noir et American Gangster, le monteur Pietro Scalia collabore pour la sixième fois avec Ridley Scott sur Mensonges d'Etat. Il avait remporté l'Oscar en 2002 pour son travail sur La Chute du faucon noir.
Une nouvelle donne musicale
Initialement fidèle à Hans Zimmer, qui avait signé le légendaire thème de Gladiator, Ridley Scott semble avoir trouvé un nouveau compositeur de talent en la personne de Marc Streitenfeld. Il collabore avec lui pour la troisième fois de suite.
Tournage international
Mensonges d'Etat a été tourné entre les Etats-Unis, l'Europe et le Maroc. Au regard du sujet, forcément sensible, un tournage à Dubaï et aux Emirats Arabes Unis, initialement demandé par Ridley Scott, n'a finalement pas été autorisé par les autorités locales.
Adapté d'un roman
Mensonges d'Etat est adapté du roman éponyme (Body of Lies) du journaliste du Washington Post David Ignatius , publié en 2007 et salué pour sa description des méthodes des services d'espionnage américains...
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Mes copines|Sylvie Ayme|Comédie||2|français|2006|96|Français||XviD|||XVID|875 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|131 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Eric Juherian Christophe Cervoni Mathias Rubin|Joanne Giger|Yves Dahan||Pathé Distribution||Quatre copines rêvent de remporter le Défi danse. Leur idée folle pour se distinguer des concurrentes : substituer la sensualité à la prouesse technique. Pour arriver à leurs fins, les voilà donc parties à la découverte du plaisir ! Et si le succès passait d'abord par l'épanouissement personnel... |Stéphanie Sokolinski (Manon)@Djena Tsimba (Djena)@Anne-Sophie Franck (Marie)@Léa Seydoux (Aurore)@Nicolas Gob (Pierre)@Serge Riaboukine (le père de Manon)@Patrick Braoudé (le proviseur Doisneau)@Thierry René (le père de Djena)@Rossy de Palma (la mère de Marie)@Xavier Hosten (Cédric)@Nicolas Jouxtel (le petit frère de Manon)@Isabelle Paternotte (la mère de Manon)@Sophie Frison (Leslie)@Jasmine Garcia (Chloé)@Malika Ben Jelloun (Lou)@Thomas Ancora (Eric)@Sara Martins (Shaheen)@Caroline Veyt (Juliette)@Jean-Michel Noirey (le père de Marie)@Julien Beramis (Navin)@Véronique Biefnot (la mère d'Aurore)@Odile Matthieu (la prof d'éco)@Isabelle Defosse (la prof de maths)@Sofiane Guerrab (Alexandre)@Jean-Yves Berteloot (le père d'Aurore)@Xavier Dujardin (le présentateur du spectacle)@Serge Vandevelde (le DJ)@Marie-Charlotte Leclaire (la vendeuse)@Philippe Du Janerand (le serveur du café)@Jean-François Sieuw (l'homme du vestiaire)@Basil Jadoul (Vincent Chamblard)@Nancy Eissaoui (Magali)@||Secrets de tournage :
L'éveil des sens
La réalisatrice Sylvie Ayme explique le message qu'elle a voulu transmettre avec Mes Copines : "A l'approche des 16 ans, la sexualité focalise énormément l'attention des garçons et des filles. Elle est souvent la première des libertés adultes qu'ils peuvent s'octroyer et, à travers cette merveilleuse découverte, se confronter à leur propre identité. Le point de vue féminin est le parti pris du film et les interrogations de nos quatre héroïnes sont celles de toute adolescente : Que dois-je penser de ma sexualité ? Qu'est-ce qu'un orgasme ? Comment avoir un orgasme ? Et que me dit ma sexualité de moi-même, de ma relation à l'amour, à ma famille, à mon enfance ?"
Un souffle de fraîcheur
Avec Mes copines, la réalisatrice Sylvie Ayme a souhaité un film "frais, vif, rapide, incisif, mobile et sincère, afin qu'il colle au vent de liberté qui emporte les prémices amoureuses. J'ai essayé d'éviter toute vulgarité, toute "érotisation" des scènes d'amour pour privilégier le côté comique des situations. L'engouement, la joie de vivre et la légèreté sont les maîtres mots de l'esprit du film."
Le mystère féminin
Avec Mes Copines, l'idée était de dévoiler le quotidien authentique des adolescentes. Sylvie Ayme explique que ses héroïnes "parlent sans détour de ce qu'elles vivent, avec la spontanaité et le naturel de leur âge. L'enjeu du film était de faire exister l'authenticité des situations et la vérité de celles qui les vivent, au-delà des mots dont elles se parent parfois pour se protéger et qui contredisent leurs sentiments plus profonds. C'est bien le mystère "féminin"..."
Un casting fastidieux
Afin de trouver les quatre "copines", la production s'est livré à un fastidieux travail de casting, étudiant les CV de plus de... 4000 jeunes filles ! La réalisatrice de Mes copines explique : "Nous ne cherchions pas seulement quatre tempéraments, nous voulions ausi une harmonie dans le groupe. Nos quatre comédiennes avaient donc des caractères différents, c'est ce qui fait la force du groupe. J'ai senti une vraie complicité entre elles dans leur jeu."
Qui sont ces copines ?
Mes copines est, pour chacune des quatre héroïnes, la première expérience de grande envergure sur grand écran. Stéphanie Sokolinski, qui incarne Manon, s'est notamment illustré dans L'Escalier, la série Commissaire Valence et sera bientôt à l'affiche des Irréductibles et de Dans les cordes. Léa Seydoux, qui joue Aurore, débute au cinéma avec Mes copines et sera prochainement à l'affiche du Vellini de Catherine Breillat. Anne-Sophie Franck, qui interprète Marie, a fait de la publicité et est à l'affiche de La Jungle. Quant à Djena Tsimba, le personnage de Djena, elle s'est illustré dans les séries Madame le Proviseur et Navarro.
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Mes stars et moi|Laetitia Colombani|Comédie||2|français|2008|83|Français||XVID|||XVID|1 027 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|130 Kbps|False|48.0 KHz|2|696||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Christophe Rossignon|Laetitia Colombani|Jean-Marie Dreujou||StudioCanal||Passionné par les actrices, Robert est sans doute le fan le plus collant du cinéma français. Agent de service la nuit dans une grande agence artistique, il consacre toutes ses journées à "ses" stars, qu'il suit sans relâche, et dont il n'hésite pas à se mêler de la vie. Réunies sur un même tournage, ses trois actrices préférées découvrent un jour qu'elles ont le même problème... avec le même fan. Elles vont alors décider de s'unir pour lui régler son compte : elles étaient ses idoles... elles vont devenir son pire cauchemar ! |Kad Merad (Robert Pelage)@Catherine Deneuve (Solange Duvivier )@Emmanuelle Béart (Isabelle Serenna)@Mélanie Bernier (Violette Duval)@Maria de Medeiros (Adeline)@Juliette Lamboley (Lucie )@Rufus (Victor)@Scali Delpeyrat (Durand)@Dominique Besnehard (Dominique Bhe )@Jean-Pierre Martins (Bruno)@Laetitia Colombani (La psy-chat-naliste)@Jean-Chrétien Sibertin-Blanc (Le Docteur Mulot)@Antoine Duléry (Lieutenant Bart)@Patrice Leconte (Patrice Leduc)@Benoît Pétré (L'assistant d'Isabelle Serena)@Frédérique Bel (Une maquilleuse)@Nicolas Briançon (Le responsable du casting)@Christophe Rossignon (Le serveur)@Arno Chevrier (Le régisseur)@Alban Casterman (Le stagiaire régie)@Bass Dhem (le buraliste)@Pierre Zéni (L'animateur TV)@Valérie Moreau@Marie Caldéra@Caroline Maillard (Anita)@Mika Tard (Assistante casting)@Chloé Belhomme@Jill Gagé (Jeune femme casting)@Guillaume Colombani (L'assistant mise en scène)@Josette Stain@Patrick Guérineau@Charles Gassot@Jean Becker@Clément Boulland (Un paparazzi)@||Secrets de tournage :
Genèse du projet
Ce sont deux anecdotes qui ont donné à Laetitia Colombani l'idée du scénario. Pour la première, la réalisatrice était en tournée au Japon pour promouvoir son film A la folie, pas du tout. C'est là qu'elle rencontra une jeune comédienne japonaise qui était harcelée par un fan qui s'en prenait aussi à d'autres très grandes stars. "Quelque temps plus tard, à Los Angeles, je suis allée chez CAA, l'une des plus grandes agences de représentation, dont je suis sortie tard, se souvient la cinéaste. L'immense bâtiment était sur le point de fermer et j'ai croisé un agent d'entretien. Il allait se retrouver seul au milieu de ces bureaux déserts, remplis d'adresses, de contrats, de scénarios destinés aux plus grandes stars du monde. J'ai pensé à l'utilisation qu'il pourrait en faire... C'est ainsi qu'est née l'idée de l'univers du fan confronté à celui des actrices dans une comédie dont le thème serait l'obsession."
Le choix de Kad Merad
Pour le rôle de Robert, Laetitia Colombani porta son dévolu sur Kad Merad après le succès de Je vais bien, ne t'en fais pas. "Je le découvrais capable de passer de beaucoup de loufoquerie à une grande sobriété très introvertie, et cela m'a intriguée, se souvient la réalisatrice. Et de poursuivre sur sa rencontre avec le comédien : "Christophe Rossignon, qui avait produit le film de Philippe Lioret et produisait le mien, l'a appelé un soir pour lui proposer le scénario. Kad l'a lu immédiatement et a rappelé dès le lendemain matin pour accepter le rôle. Je l'ai rencontré pendant deux heures et sa manière de parler du personnage, de l'incarner déjà m'a convaincue qu'il était Robert ? Monsieur Tout-le-monde avec un grain de folie mais aussi beaucoup d'émotion. C'est son humanité qui permet au public de s'identifier à lui. Robert est le fil rouge du film. Malgré tout ce que ce fan commet - détruire la voiture d'un journaliste, provoquer la rupture d'une actrice avec son fiancé... - on devait sentir qu'il n'était pas vraiment dangereux. Au fond, il est dans son monde, et même s'il va loin, on doit être avec lui. Avec une très grande sincérité, Kad défend parfaitement ce personnage qui aurait pu, sans lui, devenir pathétique, inquiétant ou malsain."
Convaincre Catherine Deneuve
Catherine Deneuve a lu une première fois le scénario mais l'a refusé, parce qu'il lui semblait que l'évolution des actrices devait être mieux différenciée. Dans la version qu'elle avait lue, les actrices n'apprenaient rien de Robert alors qu'il apprenait beaucoup d'elles. Elle a donc poussée Laetitia Colombani vers une réflexion plus approfondie qui l'a d'ailleurs amenée à réduire le nombre initial de quatre actrices à trois et à entrer plus profondément dans la vie de chacune. La cinéaste s'est remise à l'écriture pendant six mois, au bout desquels le producteur Christophe Rossignon et elle lui ont demandé de bien vouloir relire ce scénario. C'est là qu'elle a accepté le rôle.
...et Emmanuelle Béart
Laetitia Colombani avait depuis longtemps envie de travailler avec Emmanuelle Béart, "cette actrice magnifique, à la sensibilité à fleur de peau, d'une intensité incroyable à l'écran". "Je ne l'avais jamais vue dans une comédie, mais j'étais sûre qu'elle avait un éclat, quelque chose de pétillant, une luminosité que je voulais montrer, confie la cinéaste. J'ai retravaillé son rôle pour lui donner plus d'humanité, montrer qu'elle avait des problèmes de coeur comme tout un chacun. Son personnage est au faîte de sa gloire et il lui est difficile de rencontrer l'homme qui pourrait satisfaire son désir de maternité. Ce rôle est d'ailleurs en partie inspiré par l'engagement d'Emmanuelle vis-à-vis des enfants, notamment en tant qu'ambassadrice de l'Unicef."
Un trio d'actrices complété par Mélanie Bernier
Pour le rôle de Violette Duval, Laetitia Colombani recherchait une très jeune comédienne qui puisse apporter fraîcheur, ingénuité, spontanéité et naïveté. "En admiration devant les deux autres, elle se retrouve au milieu des conflits, précise la cinéaste. Elle devait être suffisamment jeune pour être nouvelle dans l'univers des castings et se voir dépasser par d'autres personnes plus connues. C'est l'ingénue Agnès de "L'Ecole des Femmes" qui, révélée par ce film, deviendra elle aussi une actrice très connue. Il était également important de montrer que Robert, ce fan admiratif des grandes actrices, possède un flair et mise sur elles, grâce à une intuition juste. J'avais vu Mélanie Bernier dans la série "Vénus et Apollon", dans "Marie Besnard, l'empoisonneuse" et Sa Majesté Minor de Jean-Jacques Annaud. Elle est d'une beauté lumineuse et son énergie est très communicative."
Débuts d'acteur pour Patrice Leconte
Parmi les seconds rôles, on découvre Patrice Leconte faisant ses premiers pas d'acteur. Laetitia Colombani explique comment lui est venue l'idée de faire jouer ce cinéaste : "Je connais bien Patrice Leconte, car, après avoir vu mon premier film en salle, avec une élégance qui lui ressemble, il m'avait appelée pour me féliciter. Cette démarche vraiment généreuse m'avait touchée et c'est naturellement vers lui que je me suis tournée pour le rôle du célèbre réalisateur. J'adore ses films et il est d'une générosité et d'une humanité rares. Il n'était jamais apparu à l'écran. Il l'a fait pour moi en me disant que c'était le début et la fin de sa carrière d'acteur !"
Acteurs pressentis
Avant que Kad Merad n'accepte de jouer le personnage de Robert, le rôle avait été proposé à Jean Dujardin qui l'a finalement décliné. Sophie Marceau et Monica Bellucci étaient pour leur part pressenties pour camper deux des trois comédiennes dont est épris ce fan.
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Mesrine : L'Instinct de mort|Jean-Francois Richet|Policier||3|français, canadien, italien|2008|109|Français||XviD|||XVID|764 Kbps|624x336|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|704||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Thomas Langmann|Abdel Raouf Dafri|Robert Gantz||Pathé Distribution|Saga : Jacques Mesrine |Des années 60 à Paris au début des années 70 au Canada, le parcours criminel hors norme d'un petit voyou de Clichy nommé Jacques Mesrine. |Vincent Cassel (Jacques Mesrine)@Cécile de France (Jeanne Schneider)@Gérard Depardieu (Guido)@Gilles Lellouche (Paul)@Roy Dupuis (Jean-Paul Mercier)@Elena Anaya (Sofia)@Michel Duchaussoy (Le père de Mesrine)@Myriam Boyer (La mère de Mesrine)@Florence Thomassin (Sarah)@Abdelhafid Metalsi (Ahmed, le proxénète)@Gilbert Sicotte (Le milliardaire)@Deano Clavet (Roger André)@Ludivine Sagnier (Sylvia)@Mustapha Abourachid (Le harki)@Sophiane Benrezzak (Fellagah)@Farid Fedjer (Fellagah)@Gil Geisweiller (L'officier français)@Leïla Bekhti (La fille du fellagha (scène de l'interrogatoire))@Dorothée Brière (Suzon)@Michelle Brûlé (La propriétaire cambriolage)@Yves-Marc Gilbert (Le propriétaire cambriolage )@Ibars Valverde (Maria, la jeune fille brune du dancing )@Merce Llorens (La jeune fille blonde du dancing)@Sabri Lahmer (Gégé)@Manuela Gourary (Mado)@Affif Ben Badra (Le client énervé)@Frankye Pain (Lulu)@Emmanuelle Carlier (La sage-femme)@François Hautesserre (Le complice du Neubourg)@Jean-Claude Leguay (Tabacoff)@Louison Blivet (Sabrina 5 ans)@Guilhem Pellegrin (Le notaire)@Caroline Ferrus (Maggy)@Arnaud Henriet (Le portier du Cercle de Jeux)@Angelo Aybar (Le patron du Cercle de Jeux)@Jeff Boudreault (L'officier de l' Immigration)@Benoît Theberge (Le valet du milliardaire )@Sylvain Savard (Le jardinier du milliardaire)@Dominique Loiseau (Le tueur)@Bill Anderson (Le policier de l'Arizona)@Christian Bordeleau (Un journaliste de l'aéroport)@Christine Bellier (Une journaliste de l'aéroport )@Benoît Lavoisier (Un journaliste de l'aéroport)@Guy Thauvette (Le directeur de l'USC)@Jean-Loup Yale (Thibault Mailloche)@Christine Beaulieu (Lizon)@Luc-Martial Dagenais (Le directeur de banque)@Danielle Lépine (L'avocate)@Monique Gosselin (La gardienne de prison)@Laurent Imbault (Un garde-forestier)@Paul Stewart (IV) (Un garde-forestier )@||Secrets de tournage :
Un même dyptique, deux films différents
Inspiré des deux autobiographies de Jacques Mesrine, L'Instinct de mort et Coupable d'être innocent, le dyptique Mesrine se compose de deux volets : L'Instinct de mort et L'Ennemi public n°1, deux films très différents selon Vincent Cassel. "Même si les deux opus respectent la chronologie de la vie de Mesrine, on sentait bien, déjà pendant le tournage, qu'ils seraient différents l'un de l'autre, confie le comédien. D'abord on change d'époque : les années 50 et 60 ne ressemblent en rien aux années 70 : ce ne sont pas les mêmes voitures, les mêmes looks, les mêmes musiques, et surtout pas les mêmes mentalités. Les deux films développent deux thèmes qui se complètent l'un l'autre. Si L'Instinct de mort raconte l'histoire d'un jeune qui se cherche puis se trouve, L'Ennemi public n°1 raconte celle d'un homme qui sait où ses choix de vie l'emmènent et qui y va malgré tout. Le premier est un film noir. Le second en revanche serait plus un thriller psychologique, la paranoïa d'un type qui sait intuitivement comment tout cela va finir."
Note d'intention de Thomas Langmann
"Pour moi, Jacques Mesrine est le dernier gangster français, raconte le producteur Thomas Langmann. Déclaré ennemi public n°1 de son vivant, il était placé régulièrement en tête des personnalités qui faisaient l'événement. Sa mort en plein Paris, abattu par la police, a fini de construire sa légende. Près de trente ans après sa disparition, le mythe de Jacques Mesrine est resté intact. Le cinéma ne pouvait passer à côté d'un personnage aussi fort ; l'ambiguïté de l'homme et les multiples perceptions qu'on en garde fascinent aujourd'hui encore. Nous avons été nombreux à rêver de porter sa vie à l'écran. Il n'était pas question d'en faire un modèle ou un héros, mais de montrer le personnage dans toute sa complexité, y compris ses aspects les plus sombres. Derrière l'"icône", c'est le parcours d'un homme, un biopic où se mêlent action et émotion."
Vincent Cassel s'engage, se désengage et se réengage
C'est en 2001, à la sortie de Sur mes lèvres de Jacques Audiard, que le producteur Thomas Langmann contacta Vincent Cassel pour lui soumettre l'idée d'un film sur Mesrine. L'acteur accepta dans un premier temps de jouer le rôle-titre, mais il changea par la suite d'avis, trouvant la première ébauche de scénario trop manichéenne. "Faire un film sur un héros qui n'en est pas un était intéressant, mais à condition de le traiter comme il se doit, raconte le comédien. J'ai dû alors me désengager du projet. Plus tard, j'ai pourtant rappelé Thomas en lui disant que s'il repartait sur de nouvelles bases j'étais toujours là. Tout ça s'est passé sur plusieurs années. Après pas mal de noms qui ont circulé, il m'a finalement parlé de Jean-Francois Richet au moment de la sortie d'Assaut sur le central 13. Puis il a eu l'idée d' pour le scénario. A ce moment-là je pensais encore qu'il ne fallait faire qu'un seul film. C'est Abdel Raouf Dafri qui m'a convaincu d'un scénario en deux parties. Il avait réussi à trouver le ton qui dévoilait toute la noirceur et les paradoxes du personnage. C'est là que j'ai donné mon accord pour deux films."
Schroeder, Magimel et Elbaz sur les rangs...
Durant la période où Vincent Cassel s'est retiré du projet, Benoît Magimel et Vincent Elbaz ont successivement montré leur intérêt pour jouer le rôle principal de ce biopic, dont la réalisation devait être confiée à l'époque à Barbet Schroeder.
Le regard de Vincent Cassel sur Jacques Mesrine
"Un homme qui s'affirme aussi fort est souvent une source d'inspiration pour les gens "normaux", ceux qui n'osent pas, commente Vincent Cassel. Il est un produit de son époque avec une lucidité incroyable sur ce qu'il est et sur ce qu'il génère autour de lui. En cela, il est assez fascinant. Il y a des moments où Mesrine commet des actes impardonnables, sauvages, d'autres où il a fait preuve d'une bravoure et d'une invention exceptionnelles. Ce sont justement ces contradictions qui font sa richesse. Certains vont le trouver antipathique et abject, d'autres vont apprécier qu'il aille au bout de lui-même en assumant tout et vont s'identifier. Aujourd'hui, après neuf mois de tournage, j'ai toujours du mal à le juger."
Altercation avec l'agent de Benoît Magimel
Parmi les nombreux rebondissements que connut le développement du projet, citons cette altercation qui opposa le 25 novembre 2004 le producteur Thomas Langmann à l'agent de Benoît Magimel, alors pressenti dans le rôle de Mesrine. Le premier fractura le nez de l'agent en lui donnant un coup de tête, à la suite d'un différend sur le refus de l'acteur de participer aux deux films consacrés à la vie du célèbre criminel. Après cet incident survenu dans les locaux de l'agence Intertalent, l'agent de Benoît Magimel, François Samuelson, eut un arrêt de travail de neuf jours et déposa une plainte. Selon Thomas Langmann, l'annonce du refus de Benoît Magimel d'incarner l'ex-ennemi public numéro un dans un communiqué de presse, sans l'en informer au préalable, l'avait mis dans une position très inconfortable vis à vis des partenaires financiers avec lesquels il était en discussion.
20 kilos pour le rôle
Pour jouer Jacques Mesrine, Vincent Cassel n'a pas hésité à prendre 20 kilos. "Je ne me rendais pas compte à quel point cela changerait la donne, explique le comédien. On ne joue pas pareil avec 20 kilos de plus. Ce n'est plus la même manière de bouger, de se déplacer, de respirer et même de parler. Tout est différent. Ces 20 kilos ne se voient pas seulement à l'image, ils s'entendent au son. J'ai pris ce poids en quatre mois et l'ai perdu en neuf durant le tournage. Nous avons tourné à l'envers, car je savais que je ne pourrais pas grossir en travaillant. Le stress du plateau a tendance à me faire maigrir. C'est la dernière fois que je fais subir un tel ascenseur pondéral à mon organisme !"
Jean-François Richet vu par Vincent Cassel
Pour Vincent Cassel, "la force de Jean-Francois est de savoir ce qu'il veut tout en restant ouvert à ce qui se passe autour de lui." "Si quelqu'un lui fait une proposition, il prend toujours le temps de voir ce qu'il peut en faire, commente l'acteur. Sur neuf mois de tournage, il n'y a pas eu la moindre tension entre nous. Il a de l'expérience, une vraie culture cinéma, il est curieux de tout, il est sûr de sa technique et, étant également monteur, il conserve toujours le recul nécessaire pour voir l'ensemble. Je l'ai vu évoluer pendant le film, se densifier, en tant que réalisateur et en tant qu'homme. C'est un vrai plaisir dans le travail."
Neuf mois de tournage
Le tournage du dyptique s'est déroulé de mai 2007 à janvier 2008. Durant cette période, Jean-Francois Richet planta ses caméras dans plusieurs pays : en France, au Canada, en Espagne et aux Etats-Unis. "C'est le tournage le plus long que j'aie connu : neuf mois d'affilée, commente Vincent Cassel. Un vrai marathon ! Ma première crainte était de m'essouffler, de ne pas arriver à tenir jusqu'au bout avec la même intensité. Mais le film a mis si longtemps à se faire que ça m'a permis d'"infuser", d'avoir le temps de m'approprier cette histoire..."
Prise de poids pour Samuel Le Bihan
Samuel Le Bihan a pris 20 kilos comme Vincent Cassel pour incarner le malfrat Michel Ardouin. "Pour ce rôle, explique Jean-Francois Richet, il fallait un acteur qui résiste en face de Mesrine. Samuel est à fond. Il tente tout s'il fait confiance au réalisateur. Je me souviens que nous sommes montés tous les deux dans une voiture lancée à pleine vitesse qui percute une estafette de police. Il était au volant, moi à la caméra. Je me souviens encore du choc et du regard de l'équipe et de la production. On est sortis indemnes, secoués, le plan dans la boîte."
« Préc.
D'autres versions de Mesrine
La vie de Jacques Mesrine a déjà été portée à l'écran à travers Mesrine (1983) d'André Génovès, avec Nicolas Silberg dans le rôle-titre, et le téléfilm La Chasse à l'homme (2006) d'Arnaud Sélignac avec Serge Riaboukine dans la peau du célèbre gangster.
« Préc.
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Mesrine : L'Ennemi public n°1|Jean-Francois Richet|Policier||3|français|2008|126|Français||XviD|||XVID|638 Kbps|704x320|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|702||||29.970|28/07/2009 00:00:00|Thomas Langmann|Abdel Raouf Dafri|Robert Gantz||Pathé Distribution|Saga : Jacques Mesrine |Les spectaculaires actions criminelles de Jacques Mesrine que les médias introniseront "Ennemi public n°1" et que toutes les polices de France traqueront sans répit jusqu'à sa mort. |Vincent Cassel (Jacques Mesrine)@Ludivine Sagnier (Sylvia Jeanjacquot)@Mathieu Amalric (François Besse)@Gérard Lanvin (Charlie Bauer)@Samuel Le Bihan (Michel Ardouin)@Olivier Gourmet (Le Commissaire Robert Broussard)@Michel Duchaussoy (Le père de Mesrine)@Anne Consigny (L'avocate de Mesrine)@Georges Wilson (Henri Lelièvre)@Alain Fromager (Jacques Tillier)@Laure Marsac (La journaliste)@Arsène Mosca (Jojo, un policier)@Christophe Vandevelde (Gégé, un policier)@Luc Thuillier (Le Commissaire OCRB)@Pascal Elso (Le Commissaire SRPJ)@Serge Biavan (Inspecteur SRPJ)@Isabelle Vitari (La caissière)@Michael Vander-Meiren (Un Gendarme Compiègne)@David Seigneur (Gendarme Compiègne)@Alain Doutey (Le Président Tribunal Compiègne)@Joseph Malerba (Robert)@Pascal Doucet-Bon (Le Journaliste Compiègne )@Emmanuel Vieilly (L'Inspecteur Cimetière)@Myriam Boyer (La mère de Mesrine)@Pascal Liger (Le boxeur)@Gérard Jarrier (Le Gardien de la paix arrestation )@David Bursztein (Le tireur d'élite gradé )@Héléna Soubeyrand (La copine arrestation)@Fabrice de la Villeherve (Le gardien chef )@Jean-Luc Muscat (Gardien Santé )@Vincent Jouan (Gardien Santé )@Eric Boucher (Gardien Santé )@Bernard Rosseli (Gardien Santé )@Philippe Le Dem (Gardien Santé )@Erik Forcinal (Gardien avocat)@Fanny Sidney (Sabrina 16 ans)@Alain Rimoux (L'Avocat Général )@Olivier Pajot (Le Président Assises Paris)@Olivier Barthelemy (Le prisonnier évadé)@Rachel Suissa (Princesse Annie)@Clémence Thioly (Princesse Christiane)@Xavier Le Tourneur (Le Brigadier Chef Deauville )@Yan Brian (Le Directeur du Casino)@Hervé Laudière (Le fermier)@Françoise Le Plenier (La fermière)@Antoine (II) (Un enfant)@Floriane (II) (Une enfant)@Jérôme Boyer (Gendarme/barrage)@Jean-Pierre Dantan (Gendarme/barrage )@Clément Sasseville (Le vendeur journaux Londres)@Martial Courcier (Le complice enlèvement )@Frédéric Constant (Le fils du milliardaire)@Nicolas Woirion (Le policier BMW rançon)@Bertrand Constant (Le vendeur BMW)@Erica Rivolier (La femme de Charlie)@Albert Goldberg (Le chauffeur Saviem)@||Secrets de tournage :
Un même dyptique, deux films différents
Inspiré des deux autobiographies de Jacques Mesrine, L'Instinct de mort et Coupable d'être innocent, le dyptique Mesrine se compose de deux volets : L'Instinct de mort et L'Ennemi public n°1, deux films très différents selon Vincent Cassel. "Même si les deux opus respectent la chronologie de la vie de Mesrine, on sentait bien, déjà pendant le tournage, qu'ils seraient différents l'un de l'autre, confie le comédien. D'abord on change d'époque : les années 50 et 60 ne ressemblent en rien aux années 70 : ce ne sont pas les mêmes voitures, les mêmes looks, les mêmes musiques, et surtout pas les mêmes mentalités. Les deux films développent deux thèmes qui se complètent l'un l'autre. Si L'Instinct de mort raconte l'histoire d'un jeune qui se cherche puis se trouve, L'Ennemi public n°1 raconte celle d'un homme qui sait où ses choix de vie l'emmènent et qui y va malgré tout. Le premier est un film noir. Le second en revanche serait plus un thriller psychologique, la paranoïa d'un type qui sait intuitivement comment tout cela va finir."
Note d'intention de Thomas Langmann
"Pour moi, Jacques Mesrine est le dernier gangster français, raconte le producteur Thomas Langmann. Déclaré ennemi public n°1 de son vivant, il était placé régulièrement en tête des personnalités qui faisaient l'événement. Sa mort en plein Paris, abattu par la police, a fini de construire sa légende. Près de trente ans après sa disparition, le mythe de Jacques Mesrine est resté intact. Le cinéma ne pouvait passer à côté d'un personnage aussi fort ; l'ambiguïté de l'homme et les multiples perceptions qu'on en garde fascinent aujourd'hui encore. Nous avons été nombreux à rêver de porter sa vie à l'écran. Il n'était pas question d'en faire un modèle ou un héros, mais de montrer le personnage dans toute sa complexité, y compris ses aspects les plus sombres. Derrière l'"icône", c'est le parcours d'un homme, un biopic où se mêlent action et émotion."
Vincent Cassel s'engage, se désengage et se réengage
C'est en 2001, à la sortie de Sur mes lèvres de Jacques Audiard, que le producteur Thomas Langmann contacta Vincent Cassel pour lui soumettre l'idée d'un film sur Mesrine. L'acteur accepta dans un premier temps de jouer le rôle-titre, mais il changea par la suite d'avis, trouvant la première ébauche de scénario trop manichéenne. "Faire un film sur un héros qui n'en est pas un était intéressant, mais à condition de le traiter comme il se doit, raconte le comédien. J'ai dû alors me désengager du projet. Plus tard, j'ai pourtant rappelé Thomas en lui disant que s'il repartait sur de nouvelles bases j'étais toujours là. Tout ça s'est passé sur plusieurs années. Après pas mal de noms qui ont circulé, il m'a finalement parlé de Jean-Francois Richet au moment de la sortie d'Assaut sur le central 13. Puis il a eu l'idée d' pour le scénario. A ce moment-là je pensais encore qu'il ne fallait faire qu'un seul film. C'est Abdel Raouf Dafri qui m'a convaincu d'un scénario en deux parties. Il avait réussi à trouver le ton qui dévoilait toute la noirceur et les paradoxes du personnage. C'est là que j'ai donné mon accord pour deux films."
Schroeder, Magimel et Elbaz sur les rangs...
Durant la période où Vincent Cassel s'est retiré du projet, Benoît Magimel et Vincent Elbaz ont successivement montré leur intérêt pour jouer le rôle principal de ce biopic, dont la réalisation devait être confiée à l'époque à Barbet Schroeder.
Altercation avec l'agent de Benoît Magimel
Parmi les nombreux rebondissements que connut le développement du projet, citons cette altercation qui opposa le 25 novembre 2004 le producteur Thomas Langmann à l'agent de Benoît Magimel, alors pressenti dans le rôle de Mesrine. Le premier fractura le nez de l'agent en lui donnant un coup de tête, à la suite d'un différend sur le refus de l'acteur de participer aux deux films consacrés à la vie du célèbre criminel. Après cet incident survenu dans les locaux de l'agence Intertalent, l'agent de Benoît Magimel, François Samuelson, eut un arrêt de travail de neuf jours et déposa une plainte. Selon Thomas Langmann, l'annonce du refus de Benoît Magimel d'incarner l'ex-ennemi public numéro un dans un communiqué de presse, sans l'en informer au préalable, l'avait mis dans une position très inconfortable vis à vis des partenaires financiers avec lesquels il était en discussion.
Le regard de Vincent Cassel sur Jacques Mesrine
"Un homme qui s'affirme aussi fort est souvent une source d'inspiration pour les gens "normaux", ceux qui n'osent pas, commente Vincent Cassel. Il est un produit de son époque avec une lucidité incroyable sur ce qu'il est et sur ce qu'il génère autour de lui. En cela, il est assez fascinant. Il y a des moments où Mesrine commet des actes impardonnables, sauvages, d'autres où il a fait preuve d'une bravoure et d'une invention exceptionnelles. Ce sont justement ces contradictions qui font sa richesse. Certains vont le trouver antipathique et abject, d'autres vont apprécier qu'il aille au bout de lui-même en assumant tout et vont s'identifier. Aujourd'hui, après neuf mois de tournage, j'ai toujours du mal à le juger."
Jean-François Richet vu par Vincent Cassel
Pour Vincent Cassel, "la force de Jean-Francois est de savoir ce qu'il veut tout en restant ouvert à ce qui se passe autour de lui." "Si quelqu'un lui fait une proposition, il prend toujours le temps de voir ce qu'il peut en faire, commente l'acteur. Sur neuf mois de tournage, il n'y a pas eu la moindre tension entre nous. Il a de l'expérience, une vraie culture cinéma, il est curieux de tout, il est sûr de sa technique et, étant également monteur, il conserve toujours le recul nécessaire pour voir l'ensemble. Je l'ai vu évoluer pendant le film, se densifier, en tant que réalisateur et en tant qu'homme. C'est un vrai plaisir dans le travail."
20 kilos pour le rôle
Pour jouer Jacques Mesrine, Vincent Cassel n'a pas hésité à prendre 20 kilos. "Je ne me rendais pas compte à quel point cela changerait la donne, explique le comédien. On ne joue pas pareil avec 20 kilos de plus. Ce n'est plus la même manière de bouger, de se déplacer, de respirer et même de parler. Tout est différent. Ces 20 kilos ne se voient pas seulement à l'image, ils s'entendent au son. J'ai pris ce poids en quatre mois et l'ai perdu en neuf durant le tournage. Nous avons tourné à l'envers, car je savais que je ne pourrais pas grossir en travaillant. Le stress du plateau a tendance à me faire maigrir. C'est la dernière fois que je fais subir un tel ascenseur pondéral à mon organisme !"
Prise de poids pour Samuel Le Bihan
Samuel Le Bihan a pris 20 kilos comme Vincent Cassel pour incarner le malfrat Michel Ardouin. "Pour ce rôle, explique Jean-Francois Richet, il fallait un acteur qui résiste en face de Mesrine. Samuel est à fond. Il tente tout s'il fait confiance au réalisateur. Je me souviens que nous sommes montés tous les deux dans une voiture lancée à pleine vitesse qui percute une estafette de police. Il était au volant, moi à la caméra. Je me souviens encore du choc et du regard de l'équipe et de la production. On est sortis indemnes, secoués, le plan dans la boîte."
Neuf mois de tournage
Le tournage du dyptique s'est déroulé de mai 2007 à janvier 2008. Durant cette période, Jean-Francois Richet planta ses caméras dans plusieurs pays : en France, au Canada, en Espagne et aux Etats-Unis. "C'est le tournage le plus long que j'aie connu : neuf mois d'affilée, commente Vincent Cassel. Un vrai marathon ! Ma première crainte était de m'essouffler, de ne pas arriver à tenir jusqu'au bout avec la même intensité. Mais le film a mis si longtemps à se faire que ça m'a permis d'"infuser", d'avoir le temps de m'approprier cette histoire..."
« Préc.
D'autres versions de Mesrine
La vie de Jacques Mesrine a déjà été portée à l'écran à travers Mesrine (1983) d'André Génovès, avec Nicolas Silberg dans le rôle-titre, et le téléfilm La Chasse à l'homme (2006) d'Arnaud Sélignac avec Serge Riaboukine dans la peau du célèbre gangster.
« Préc.
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A Perfect Murder|Andrew Davis|Policier||2|américain|1998|103|Anglais||XviD|||XVID|773 Kbps|720x400|MPEG-1 Audio layer 3|160 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Anne Kopelson Arnold Kopelson Peter MacGregor-Scott Christopher Mankiewicz|Patrick Smith Kelly|Dariusz Wolski||Warner Bros. France||Une des figures les plus influentes de la finance americaine, Steven Taylor, ambitieux, possessif et secret, a des raisons de s'inquiéter. Sa très jolie jeune femme, lasse d'être traitée en potiche, file l'amour le plus romantique avec un peintre, David Shaw. Une fois convaincu de l'infidelité de sa femme, Taylor mène une enquête sur son rival et découvre des éléments troublants: un changement d'identité, des délits multiples et une ancienne liaison, conclue par une mort violente. Steven concoit alors une vengeance diabolique en obligeant Shaw à tuer son épouse. |Michael Douglas (Steven Taylor)@Gwyneth Paltrow (Emily Bradford Taylor)@Viggo Mortensen (David Shaw)@Sarita Choudhury (Raquel Martinez)@David Suchet (Mohamed Karaman)@Michael P. Moran (Bobby Fain)@David Eigenberg@Novella Nelson (Alice Wills)@Constance Towers (Sandra Bradford)@Will Lyman (Jason Gates)@Maeve McGuire (Ann Gates)@Stephen Singer@||||||||||||@@
My Bloody Valentine|Patrick Lussier|Epouvante-horreur||2|américain|2009|101|Anglais||XVID|||XVID|828 Kbps|624x336|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|692||||23.976|13/08/2009 00:00:00|Jack L. Murray|Todd Farmer Zane Smith|Brian Pearson||Metropolitan FilmExport||La petite ville minière de Harmony est secouée par un terrible drame : à cause d'une erreur du débutant Tom Hanniger, cinq mineurs trouvent la mort, et Harry Warden, le seul à en avoir réchappé, est plongé dans le coma. Son désir de vengeance l'amène pourtant à se réveiller au bout d'un an, le jour de la Saint-Valentin, et il tue vingt-deux personnes avant d'être lui-même abattu... Dix ans plus tard, Tom Hanniger revient dans la ville de Harmony, toujours hanté par son erreur aux conséquences dramatiques. Retrouvant son ancien amour Sarah, désormais mariée à son ami Axel devenu chef de la police, il espère pouvoir tirer un trait sur ce passé douloureux. Mais le passé est tenace et, alors que les meurtres se multiplient dans la ville, il devient évident que Harry Warden est de retour pour achever sa vengeance... |Jensen Ackles (Tom)@Jaime King (Sarah Palmer)@Kerr Smith (Axel Palmer)@Edi Gathegi (Député Martin)@Andrew Larson (Noah Palmer)@Kevin Tighe (Ben Foley)@Marc Macaulay (Riggs)@Tom Atkins (Burke)@Betsy Rue (Irene)@Selene Luna (Inn Keeper)@Brandi Engel (Straggler)@Megan Boone (Megan)@Todd Farmer (Frank)@Richard John Walters (Harry Warden)@Nicole Leigh Belle (Infirmière)@Michael McKeen (Jason)@Jillian O'Neil (Infirmière traumatisée)@Liam Rhodes (Michael)@Denise Dal Vera (Infirmière)@William Kania (Murdock)@Annie Kitral (Réceptionniste)@||Secrets de tournage :
De 1981 à 2009
Meurtres à la St Valentin 3D est le remake de Meurtres à la saint Valentin (1981) de George Mihalka, avec Paul Kelman, Neil Affleck et Lori Hallier.
L'horreur en 3 dimensions !
Meurtres à la St Valentin 3D a été adapté en 3 dimensions. Cette technologie a été mise au service de nombreux films d'épouvante comme Destination Finale 4, Piranha 3-D, La Nuit des morts-vivants 3D, La Fin de Freddy, l'ultime cauchemar, Les Dents de la mer 3, Amityville 3-D, Vendredi 13 - 3e partie : Meurtres en trois dimensions, De la chair pour Frankenstein, Du sang pour Dracula...
A la pointe de la technologie
La technique 3D utilisée sur Meurtres à la St Valentin 3D a été optimisée par un format nouveau : la Haute Définition 4K. Tandis que la HD standard enregistre des images de 2000 pixels, la HD 4K monte jusqu'à 4000 pixels. Cette caméra, à la pointe de la technologie, est plus légère et plus maniable et permet à l'équipe de visionner une scène en 3D tout de suite après l'avoir tournée. Un avantage qu'explique le directeur-photo Max Penner : "L'instantanéité du procédé permettait de juger tout de suite du rendu et de ce qu'il fallait modifier."
Les pionniers de la 3D
Lorsque Patrick Lussier a décidé de faire son film en 3D, le réalisateur s'est entouré des pionniers de la 3D, tel que Max Penner, expert du film.en relief Une grande partie de l'équipement a été conçu exclusivement pour Meurtres à la St Valentin 3D et par Howard Smith, l'un des cadreurs du film.
La nouvelle ère de la 3D
L'utilisation de la 3D, en plus d'être très novatrice, apporte à un film d'épouvante une dimension encore plus effrayante pour le spectateur, confinés dans une impression de claustrophobie. La peur se fait alors de plus en plus sentir et les spectateurs ont réellement ce sentiment de "prise au piège".
Un projet ambitieux
Lorsque Patrick Lussier est contacté pour réaliser le remake en 3D de Meurtres à la saint Valentin, le metteur en scène est en proie à quelques hésitations. Patrick Lussier trouve l'idée un peu "déconcertante", selon ses propres termes, de livrer sa version d'un film considéré comme culte au Canada. Mais à la lecture du scénario, il s'est très vite rendu compte du potentiel novateur du film.
Enfant de la télé
Enfant de la télévision, l'acteur Jensen Ackles (interprète de Tom Hanniger) a fait ses armes dans plusieurs séries américaines. Héros de la série Supernatural, il a également fait quelques apparitions dans Des jours et des vies, Dark Angel, Dawson ou plus récemment Smallville.
Formé par Wes Craven
Patrick Lussier a très longtemps travaillé avec Wes Craven, sur Red Eye / sous haute pression, Cursed, Freddy sort de la nuit ou encore la Saga Scream. C'est auprès du maitre de l'horreur que le cinéaste a fait ses armes en tant que monteur, et appris les astuces d'un bon film d'horreur. Astuces qu'il dévoile ainsi : "Tous les films de Wes reposent sur les personnages. Quand vous laissez l'histoire et les personnages passer au premier plan, l'horreur naît spontanément des événements. Pas besoin de répandre des litres de sang sur l'écran."
Retrouvailles
Jensen Ackles et Kerr Smith n'en sont pas à leur première collaboration : ils avaient déjà partagé le plateau de la série Dawson, en 2003.
Un lieu de tournage
Une grande partie du tournage s'est déroulé dans une mine laissée à l'abandon depuis de nombreuses années. Si ce décor semblait idéal pour l'intrigue, l'équipe du film a vite déchanté. Lieu humide et boueux, la mine ne laissait entrevoir aucune luminosité. De plus, certains membres de l'équipe ne pouvait même pas se tenir debout tant le plafond était bas. Des conditions de tournage qui auront permis au réalisateur de faire passer au mieux cette ambiance oppressante.
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The Quest|Jason A. Carbone Mike Fleiss|Documentaire||1|américain|2003|76|Anglais||XviD|||XVID|1 141 Kbps|576x320|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|695||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Mike Fleiss||Alan Pierce||Universal Pictures||Un groupe de jeunes étudiants décide de partir au Mexique fêter le Spring break comme il se doit : délires, alcool et sexe ! |Eddie Macsalka@Hans Swolfs@Kyle Beard@||||||||||||@@
Smokin' Aces|Joe Carnahan|Action|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain, britannique, français|2007|108|Anglais||XviD|||XVID|764 Kbps|624x256|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|06/08/2009 00:00:00|Tim Bevan Joe Carnahan Liza Chasin Eric Fellner|Joe Carnahan|Mauro Fiore||Universal Pictures||Stanley Locke, directeur adjoint du FBI, envoie ses meilleurs agents, Richard Messner et Donald Carruthers, à Lake Tahoe. Ils ont pour mission de retrouver Buddy "Aces" Israel, un magicien louche de Las Vegas, et de le protéger de Primo Sparazza, un gros bonnet de la Mafia dont on dit qu'il a fait assassiner plus de 130 personnes. Buddy a en effet promis de donner à la justice des preuves contre Sparazza afin de sauver sa propre peau, et la Mafia offre un million de dollars pour le faire disparaître. Peu importe qui fait le boulot, du moment qu'il est abattu rapidement. Attirés par l'argent, mercenaires, assassins et tueurs à gages de tous horizons débarquent à Lake Tahoe. |Ryan Reynolds (Richard Messner)@Ray Liotta (Donald Carruthers)@Ben Affleck (Jack Dupree)@Andy Garcia (Stanley Locke)@Jeremy Piven (Buddy Israel)@Jason Bateman (Rip Reed)@Alicia Keys (Georgia Sykes)@Peter Berg (Pete Deeks)@Brian Bloom (l'agent Baker)@Nestor Carbonell (Pasqual Acosta)@Common (Monsieur Ivy)@Kevin Durand (Jeeves Tremor)@David Goldsmith (le propriétaire du club de Strip Tease)@Scott Halberstadt (l'employé boutonneux du Casino)@Martin Henderson (Hollis Elmore)@Taraji P. Henson (Sharice Watters)@Natascha Hopkins (la Call girl)@Maury Sterling (Lester Tremor)@David Proval (Victor Padiche dit 'Baby Buzz')@Joseph Ruskin (Primo Sparazza)@Rizwan Manji (la deuxième victime)@Christopher Murray (le gendarme)@Chris Pine (Darwin Tremor)@Patrick St. Esprit (Moustache)@Al Woodley (l'agent du FBI)@Zach Cumer (Warren)@Matthew Fox (Bill)@Clare Carey (Laverne)@Marianne Muellerleile (Margie Turlock)@R. Paul Wilson (le magicien)@P. David Miller (un agent du FBI)@Ken Rudulph@Joe Carnahan (cameo)@Michael Murphy (Shériff Badger)@Joel Edgerton (Hugo Croop)@Joe Drago (Un agent du FBI)@Wayne Newton (Lui-même (non crédité))@Alex Rocco (Serna)@Vladimir Kulich (Le Suédois)@Tommy Flanagan (Lazlo Soot)@George Fisher (McGarey)@Marianne Muellerleile (Margie Turlock)@Ken Rudulph (Un membre de l'unité CS)@Curtis Armstrong (Morris Mecklen)@Davenia McFadden (Loretta Wyman)@Lorna Scott (La récéptionniste de l'hôtel)@Scott Bloom (Un agent du FBI)@Jeff Habberstad (Top Coated Gunman)@P. David Miller (Un agent du FBI (non crédité))@James Henderson (Un agent du FBI (non crédité))@Mike Falkow (Freeman Heller)@Sheryl Chambers (Une journaliste (non créditée))@Christopher Michael Holley (Beanie)@Steve Florian (Un membre de la sécurité)@Lonnie Moore (Gary)@Janet Edwards (La prosituée nue)@John Alston (Un journaliste)@Darrell Geer (Un agent du FBI (non crédité))@Suzanna Stover (Une prostituée)@Robert Weir (Un membre de la sécurité)@Stefanie Cruz (Une journaliste)@||Secrets de tournage :
Buddy movie
Joe Carnahan explique comment lui est venue l'idée du personnage de Buddy, magicien des plus troubles : "Buddy le magicien est né de ma fascination pour deux choses : le Las Vegas clinquant des années 60 et 70 et les liens troubles de Frank Sinatra avec la Mafia. J'ai commencé à réfléchir à ce scénario en 1993. J'étais encore à l'université et j'étais fasciné par Sinatra et les rumeurs qui couraient sur son compte. Je me suis demandé alors : "Et si Sinatra avait décidé un jour d'utiliser son statut de star et son pouvoir pour devenir un patron de la Mafia ?" Je suis sûr qu'il aurait été là aussi un personnage fascinant. Je crois qu'il aurait fini par traquer les pourris et qu'il aurait foutu tout le monde en l'air ! C'est en partant de cette idée que j'ai construit le personnage de Buddy, qui est devenu ensuite l'un de ces magiciens-comédiens comme on en trouve à Las Vegas."
Primé à Cognac
Présenté au 25e Festival du film policier de Cognac en 2007, Mi$e à prix, trosiième long métrage de Joe Carnahan, y a remporté le Prix de la critique ainsi que le Prix du jury (présidé par Claude Lelouch) -ex aequo avec Jindabyne. En 2002, son précédent polar, le très remarqué Narc, avait décroché à Cognac le Prix Spécial Police, remis par un jury de flics.
Comme un roman
La base de ce film peuplé de personnages extravagants est un scénario particulièrement touffu. Le cinéaste a d'abord soumis les 30 premières pages du script à la productrice Liza Chasin qui, emballée, les a envoyées au producteur Eric Fellner à Londres. "J'ai adoré !", raconte celui-ci. "Nous avons donc engagé Joe Carnahan pour qu'il développe son scénario. Un an plus tard, nous recevions un fantastique scénario de 186 pages. C'était énorme pour un script, mais c'était dense, avec des personnages bourrées de vie, des situations folles et une histoire extraordinaire. C'était toujours aussi génial, mais c'était un vrai roman, pas un film..." Le réalisateur s'est alors remis au travail, pour finalement livrer un scénario de 135 pages. Le producteur exécutif Robert Graf explique : "Le nombre de pages a toujours été élevé pour le scénario, parce que Joe a tendance à écrire comme un romancier."
Troisième pour Ray Liotta et Joe Carnahan
C'est la troisième collaboration de Ray Liotta et Joe Carnahan. Ray Liotta avait déjà tourné sous la houlette du réalisateur pour le court métrage Ticker en 2002 et dans Narc en 2003.
... et Duprée
Parmi les acteurs qui ont accepter d'incarner des doux-dingues... et de toucher pour cela un cachet modeste ("S'il avait fallu les payer à leur tarif habituel, on n'aurait jamais pu faire ce film !", confesse le réalisateur), Ben Affleck (aliasJack Dupree) n'est pas le moins fameux. "Je salue sa créativité et son intégrité", clame la star. "Il trace sa voie et ne cherche pas à suivre une tendance. Certains scénaristes et réali, lauréat du Prix d'interprétation à Venise en 2006 pour Hollywoodland. "Plusieurs réalisateurs écrivent d'une seule et même voix qui prend plusieurs visages, mais lui possède réellement plusieurs voix distinctes, toutes étranges et intéressantes. Il a le sens du dialogue, vif, noir, précis, tranchant, et son scénario nous a tous inspirés."
Magic Keys
Mi$e à prix marque les débuts à l'écran de la diva soul Alicia Keys. Née à New York en 1981, elle se révèle dès l'adolescence une pianiste et une chanteuse très douée. Son premier album, Songs in a minor, fait un carton dans le monde entier. Depuis, elle est devenue l'une des valeurs sûres du r'n'b. Après le film de Joe Carnahan, elle a donné la réplique à Scarlett Johansson dans The Nanny Diaries.
Jérémy fait illusion
Jeremy Piven parle de la préparation qu'a nécéssité son rôle d'illusionniste : "Je voulais absolument que l'on voie que c'était bien moi qui faisais cela. Je me suis entraîné pour acquérir la dextérité nécessaire avec un expert en la matière, l'Ecossais R. Paul Wilson." L'acteur s'est donc produit dans un club de magie, face à un vrai public, sous le nom de Buddy Israel : "Réussir à faire les choses comme il faut -même pour une soirée- vous donne une énorme confiance en vous. Réussir le tour, voir l'expression des spectateurs... Je ne défierais pas Paul ni David Copperfield, c'est sûr, mais je m'en suis assez bien tiré !"
Common people
Le bras droit de Buddy est interprété par le fameux rappeur Common. Ce musicien originaire de Chicago s'est fait connaître au milieu des années 90 à travers des morceaux mêlant hip hop et jazz. Il a notamment collaboré avec The Roots et Kanye West. On peut le voir à l'oeuvre dans le documentaire de Michel Gondry Block Party, mais Mi$e à prix marque ses vrais débuts au cinéma. Depuis, il a tourné dans The Night watchman et Wanted. Notons que Common interprète la chanson du générique de fin de Mi$e à prix : Take your cards right.
C'est du lourd
Mise à prix contient d'impressionnantes scènes de fusillades. Joe Carnahan lui-même en a encore des frissons : "Ce fusil était un vrai monstre. Quand nous avons tiré depuis la chambre d'hôtel à travers la fenêtre, ça a fait tomber de la poussière du plafond ! Nous tirions des balles à blanc à pleine charge, et les tirs avaient une telle puissance qu'on le sentait dans tout le corps. Taraji (P. Henson) a tiré une quarantaine de balles, et à la fin de la journée, elle était épuisée ! Ce flingue a été conçu pour tirer à travers le blindage de tanks, et il a une portée de 3 km...
Hey Joe !
La réalisateur fait un cameo dans son film. Pendant que Dupree-Ben Affleck parle de Buddy "Aces" Israel, on aperçoit furtivement le barbu Joe Carnahan, portant bonnet et lunettes, et sortant d'un camion une arme à la main.
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« Préc.
j'ai écrit le scénario en pensant au casino Horizon. Je connaissais également le Caesars, qui s'appelle le Nomad dans mon histoire, de l'autre côté de la rue." Joe Carnahan n'est pas le seul à être familier de cet endroit : Frank Sinatra et le Rat Pack s'y retrouvaient et Francis Ford Coppola y a tourné Le Parrain 2. Précisons qu'une partie de ce lac se situe dans le Nevada, un Etat qui autorise les jeux d'argent.
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Miami Vice|Michael Mann|Policier||2|américain, allemand|2006|126|Anglais||DX50|||DX50|666 Kbps|544x224|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Michael Mann Pieter Jan Brugge|Michael Mann|Dion Beebe||Universal Pictures||Miami... Deux agents fédéraux et la famille d'un informateur ont été sauvagement exécutés. Une nouvelle enquête commence pour Sonny Crockett et son coéquipier Ricardo Tubbs, avec une certitude : la fuite qui a permis ce massacre en règle provenait des sommets de la hiérarchie... Les deux inspecteurs découvrent rapidement que les tueurs étaient au service de la Fraternité Aryenne, organisation suprématiste liée à un réseau de trafiquants internationaux doté d'un système de protection ultra-sophistiqué. Poursuivant leurs investigations, les deux partenaires prennent contact avec l'administratricefinancière du cartel, Isabella, une sinocubaine aussi experte en investissements et transferts de fonds qu'en blanchiment d'argent. La séduisante Isabella offre contre toute attente à Sonny une chance d'exorciser ses démons... |Colin Farrell (James "Sonny" Crockett)@Jamie Foxx (Ricardo "Rico" Tubbs)@Gong Li (Isabella)@Luis Tosar (Arcángel de Jesús Montoya)@Naomie Harris (Trudy Joplin)@John Ortiz (Jose Yero)@Justin Theroux (le détective Larry Zito)@Isaach de Bankolé (Neptune)@Jay Amor (Garde du corps)@Buddy Dolan (Sergent du Swat)@John Hawkes (Alonzo)@Barry Shabaka Henley (Le lieutenant Martin Castillo)@Ciarán Hinds (L'agent Fujima du FBI)@Domenick Lombardozzi (Le détective Stan Switek)@Elizabeth Rodriguez (La détective Gina Calabrese)@Mario Ernesto Sanchez (El Tiburon)@John Tomlinson (Le pilote d'un hors-bors)@Tom Towles (Coleman)@Chris Astoyan (l'Agent Perry)@Ana Cristina de Oliveira (La barmaid)@Frankie Jay Allison (Frère aryen n°2)@Tony Curran (Frère aryen n°2)@Stephan Jones (Frère aryen aux cheveux bruns)@Don Frye (Frère aryen aux cheveux longs)@Maxim Danilov (Agent russe du FBI n°1)@Pavel Lychnikoff (Agent russe du FBI n°2)@Everlayn Borges (La fille cubaine)@Juanita Billue (La fille jamaïquenne)@Marc Macaulay (Le superviseur du trafic aérien)@Patrick Michael Buckley (Le controleur du trafic aérien)@Mike Pniewski (Le docteur des Urgences)@Vivienne Sendaydiego (La docteur des Urgences)@Richard Katanga (Le capitaine des Paramilitaires haïtiens)@Dexter Fletcher (Un paramilitaire haïtien)@Oleg Taktarov (Russe de la sécurité)@Eddie Marsan (Nicholas)@Eboni Y. Nichols (Danseuse)@Julia Yarbough (Elle-même)@Kenny Acevedo (Un agent du FBI)@||Secrets de tournage :
L'adaptation d'une série culte
Miami Vice - Deux flics à Miami est l'adaptation cinématographique de la série télévisée Deux flics à Miami, programme culte des années 80. En 1984, Anthony Yerkovich crée Miami Vice, programme policier qui fera date dans l'histoire des séries télévisées américaines. Produit par Michael Mann, Deux flics à Miami (titre VF) sera décliné en cinq saisons sur NBC, couvrant au total plus d'une centaine d'épisodes de 52 minutes. Le public français devra attendre 1986 pour découvrir les enquêtes floridiennes des policiers James Crockett et Ricardo Tubbs, membres de la brigade des stup' respectivement incarnés par Don Johnson et Philip Michael Thomas. Ou la cohabitation explosive d'un riche agent originaire de la ville côtière et d'un New-Yorkais désireux de venger son frère assassiné.
Encadrée par un générique de légende (qui ne connaît pas le thème musical de Jan Hammer ?), la série révolutionne les codes du genre. L'image devient plus importante que l'histoire, chaque épisode étant filmé de manière très stylisée.
Plus fidèle à la vision du réalisateur que la série
L'actualisation de l'action de cette série des années 80 et son passage au grand écran ont permis au réalisateur d'aller plus loin dans le contenu, d'explorer plus en détail les personnages qu'il avait minutieusement développés pour montrer les nejeux dramatiques, les dangers et le glamour des missions. Michael Mann le dit lui-même : "Un film interdit aux moins de 17 ans peut montrer bien plus de choses que la télévision. Nous nous sentions toujours un peu bridés au temps de la série, alors qu'aujourd'hui, nous pouvons restituer à nos personnages toute leur sensualité et faire exister à l'écran les couples Crockett/Isabella et Tubbs/Trudy."
Une genèse mouvementée
De nombreux problèmes sont venus agrémenter le tournage de Miami Vice - Deux flics à Miami, qui se déroula au deuxième semestre 2005. Parmi ceux-ci, l'irruption d'un inconnu sur le plateau, en République Dominicaine, avec un pistolet à la main, qui entraîna une fusillade. Autre souci à la fin de l'année, quand Colin Farrell dut être hospitalisé pour épuisement et dépendance à un médicament.
Un entraînement rigoureux...
Comme toujours lors d'un de ses films, Michael Mann exige de ses comédiens une préparation physique et mentale rigoureuse. Pour devenir les policiers Sonny Crockett et Ricardo Tubbs, Colin Farrell et Jamie Foxx se soumirent à trois mois d'entraînement à Miami avec une escouade de policiers locaux et fédéraux. Session de tirs (des séances de deux heures, quatre fois par semaine), maniement des armes, mise en situation... toutes les étapes que traversent un policier ont été abordées par les différents acteurs.
... qui aurait pu déraper
Lors de son entraînement, Colin Farrell dut accompagner des "taupes" lors d'une transaction entre dealers. Il devait intervenir après la phase la plus délicate de la transaction là où il ne risquait rien. Mais un autre scénario s'est déroulé, un des dealers (qui était, en fait, un authentique agent fédéral) a agressé l'acteur pour tester ses réactions : "Prouve-moi que tu n'es pas un flic! Enlève ta chemise et montre-moi que tu ne caches pas un micro!". L'acteur a failli craquer, mais "a réagi comme il fallait sauvant du même coup la situation", selon l'agent fédéral. Cet épisode a d'ailleurs influencé l'acteur lors d'une scène du film.
L'utilisation du numérique
Comme pour son précédent film, Collateral, Michael Mann a décidé de tourner en HD (Haute Définition) avec une nouvelle caméra numérique ultraperfectionnée, la Thomson Viper. Il s'est entouré de son chef opérateur, Dion Beebe, déjà présent sur le thriller nocturne se déroulant à Los Angeles. "Avec la HD, précise le réalisateur, on peut capter des nuances que la pellicule n'attrape pas...". Une technique innovante, surtout lors des tournages de nuit, comme les affectionne le cinéaste.
Michael Mann de retour à Miami
Près de deux décennies après avoir produit la série policière Deux flics à Miami et révolutionné les codes du genre, Michael Mann, qui s'est imposé depuis comme l'un des grands spécialistes du polar (Heat),
Collateral), tente le pari de transposer lui-même cet univers très particulier au cinéma.
Retrouvailles à Miami
Miami Vice - Deux flics à Miami marque la troisième collaboration du réalisateur Michael Mann avec l'acteur Jamie Foxx, après Ali (2001) et Collateral (2004). Il lui donne le rôle du flic Ricardo Tubbs, après l'avoir dirigé conseiller du boxeur Will Smith/Mohammed Ali et chauffeur de taxi piégé par le tueur à gages Tom Cruise.
Le refus de Jan Hammer...
Jan Hammer, l'auteur du célèbre thème musical de la série Deux flics à Miami, fut sollicité par la production de l'adaptation cinématographique pour composer une nouvelle partition. Le compositeur refusa cette offre.
... et celui de Edward James Olmos
Edward James Olmos, qui incarnait le personnage de Castillo dans la série Deux flics à Miami, s'est vu offrir la possibilité de reprendre son rôle sur grand écran, option qu'il déclina.
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Michael Collins|Neil Jordan|Historique||3|américain, britannique, irlandais|1997|127|Anglais||XVID|||XVID|627 Kbps|480x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Stephen Woolley|Neil Jordan|Chris Menges||Warner Bros. France||Epopée de la lutte pour l'indépendance de l'Irlande au début du siècle. La puissante Angleterre a toujours connu la contestation de la part de sa plus proche colonie, l'Irlande. Pendant 700 ans, les révoltes ont été jugulées. Mais en 1916, une rébellion éclate à Dublin, qui changera le cours de l'histoire. L'artisan de cette révolte, un homme de l'ombre voué à son pays, s'appelait Michael Collins. |Liam Neeson (Michael Collins)@Julia Roberts (Kitty Kiernan)@Aidan Quinn (Harry Boland)@Alan Rickman (Eaman De Valera)@Stephen Rea (Ned Broy)@Ian Hart (Joe O'Reilly)@Brendan Gleeson (Liam Tobin)@Charles Dance (Soames)@Jonathan Rhys-Meyers (L'assassin de Michael Collins)@||||||||||||@@
Michel Vaillant|Louis-Pascal Couvelaire|Aventure||2|français|2003|94|Français||DX50|||DX50|895 Kbps|352x288|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|698||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Pierre-Ange Le Pogam|Luc Besson Gilles Malençon|Michel Abramowicz||EuropaCorp Distribution||Michel Vaillant est un pilote automobile virtuose, champion incontesté dans les rallyes et les circuits du monde entier. Ses succès et ceux de son équipe, l'Ecurie Vaillante, provoquent autant l'admiration que la jalousie de ceux qui se mesurent à eux...
Ruth Wong est le manager de l'équipe Leader. Elle sait jouer de son caractère et de ses charmes, et n'a de cesse de venger la mémoire de son père, le fameux Leader. Prête à tout pour gagner, elle va déployer des trésors d'imagination pour détruire les Vaillant.
Michel, concentré, est au volant de sa Vaillante bleue n°10. A ses côtés : Steve Warson, son ami, fabuleux pilote américain, dans la Vaillante n°8. Ils sont sur la grille de départ des 24 Heures du Mans. Juste devant eux, deux voitures rouges monstrueusement agressives, deux pilotes Leader, Bob Cramer et Dan Hawkins... |Sagamore Stévenin (Michel Vaillant)@Aurélie Matéo@Peter Youngblood Hills (Steve Warson)@Diane Kruger (Julie Wood)@Jean-Pierre Cassel (Henri Vaillant)@Béatrice Agenin (Elisabeth Vaillant)@Philippe Bas (Jean-Pierre Vaillant)@Pierre Lellouche (José)@Lisa Barbuscia (Ruth)@Jeanne Mauran (Odessa)@François Levantal (Cramer)@Stéphane Metzger (Hawkins)@Agathe de La Boulaye (Gabrielle Spangenberg)@||Secrets de tournage :
Adapté d'une bande dessinée
Michel Vaillant est l'adapatation cinématographique de la célèbre bande dessinée homonyme. Le personnage du pilote automobile a été créé en février 1957 par le dessinateur Jean Graton et a fait sa première apparition dans le magazine Tintin.
La genèse du projet
Le projet est né en 1999 en même temps qu'EuropaCorp, la société de production de Luc Besson. Philippe Graton, le fils de Jean Graton, avait contacté ce dernier quelques semaines auparavant pour lui proposer d'adapter au cinéma Michel Vaillant. Le producteur Pierre Ange Le Pogam se souvient : "Ce sujet cadrait tout à fait avec notre ligne, mais nous le souhaitions différent de ce qui avait pu être fait sur l'univers automobile. Il ne s'agissait pas pour nous de filmer une course, mais d'offrir au public une aventure humaine puisée au coeur d'un univers authentique. Nous voulions aborder le monde de la course d'une manière originale, et l'univers de Vaillant apportait la possibilité de ce décalage".
L'écriture du scénario
Durant l'hiver 2001, le scénariste Gilles Malençon et le réalisateur Louis-Pascal Couvelaire ont rédigé une ébauche du scénario, que le premier a ensuite travaillée en collaboration avec Luc Besson. Avant de commencer l'écriture du synopsis, Gilles et Louis-Pascal ont relu les 70 albums pour voir s'il était possible de tirer un scénario de l'un d'eux, mais aucun ne présentait une trame suffisamment dense pour devenir un véritable script.
L'idée n'était pas de faire une adaptation pure et dure de la bande dessinée mais de l'adapter. Les deux hommes ont gardé pour le film l'aspect manichéen des ouvrages tout en lui conférant un côté plus poétique. Ils ont également développé le rapport de Michel Vaillant à la nature.
Retrouvailles Stévenin / Couvelaire
Michel Vaillant marque la seconde collaboration de Jean-François Stévenin avec Louis-Pascal Couvelaire, les deux hommes ayant auparavant travaillé ensemble sur Sueurs en 2002.
Benoît Magimel pressenti
Avant que Sagamore Stévenin n'endosse la panoplie du coureur automobile Michel Vaillant, c'est Benoît Magimel qui était le premier pressenti pour le rôle.
Participer aux 24 Heures du Mans
La production souhaitait intégrer l'action de Michel Vaillant à un événement aussi important que les 24 Heures du Mans dans le milieu de la course automobile. C'est la société L'Automobile Club de l'Ouest qui a accueilli la demande de participation de l'équipe du film. Celle-ci a dû se soumettre aux mêmes conditions que les concurrents, à savoir s'inscrire, équiper deux écuries et réussir les épreuves de qualification.
Durant l'hiver 2001 débuta l'écriture du scénario. Au même moment, il a fallu trouver une écurie capable de jouer le jeu. La production a finalement jeté son dévolu sur les DAMS qui n'avait alors aucun engagement. Elle a également dû se procurer des prototypes de 700 à 750 CV, disponibles, sans aucun enjeu sportif dans l'année, ayant les qualités spécifiques pour être sélectionnés au Mans et capables de réaliser les mêmes temps que les meilleurs bolides participant à la course.
Les qualifications au Mans ont eu lieu en mars 2002 et la fameuse course était planifiée les 15 et 16 juin de la même année.
Une préparation au rôle
Pour se préparer au rôle de Michel Vaillant, Sagamore Stévenin a rencontré des coureurs automobiles, assisté à un Grand Prix et a également été le copilote de Michel Neugarten pendant des essais sur le circuit de Dijon.
Lieux de tournage
Après Le Mans et les scènes complémentaires qui y ont été filmées sur le circuit privatisé en août 2002, le tournage s'est poursuivi près de Chantilly, au circuit du Mas du Clos, mais également au Canada et dans les Alpes, à proximité du lac du Mont-Cenis.
Un bolide pour filmer un autre bolide
L'équipe du film a eu recours à une voiture travelling unique en son genre, capable de poursuivre les engins les plus rapides en portant une caméra 35 mm. A la base, c'est une Mercedes 500E capable de monter jusqu'à 210 km/h et à l'intérieur de laquelle ont été installés un écran de contrôle vidéo, des manivelles pour le cadre et une tête télécommandée. Le cadreur y est ainsi placé et ne risque plus sa vie en filmant en débord sur un plateau à l'extérieur.
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Midnight Express|Alan Parker|Drame|Interdit aux moins de 16 ans|3|britannique|1978|113|Anglais||DIV3|||DIV3|787 Kbps|512x288|WMA2|64.1 Kbps|False|44.1 KHz|2|698||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Alan Marshall David Puttnam|Oliver Stone|Michael Seresin||Columbia Films||Billy Hayes est arrêté à Istanbul pour avoir sur lui quelques grammes de hashisch. Condamné à perpétuité, il est enfermé dans des geôles d'une extrême inhumanité. |Brad Davis (Billy Hayes)@Irene Miracle (Susan)@Bo Hopkins (Tex)@Paolo Bonacelli (Rifki)@Paul Smith (Hamidou)@Randy Quaid (Jimmy Booth)@Norbert Weisser (Erich)@John Hurt (Max)@Mike Kellin (Mr. Hayes)@Franco Diogene (Yesil)@Michael Ensign (Stanley Daniels)@Gigi Ballista (Le juge)@||Secrets de tournage :
Disco Express
La bande originale, signée Giorgio Moroder, est reconnue comme l'une des premières utilisations de musique électronique au cinéma.
Elle lui a d'ailleurs valu l'oscar de la meilleure musique originale aux Academy Awards de 1979.
Plates excuses du scénariste
Lors d'une visite en Turquie en 2004, le scénariste Oliver Stone s'est publiquement excusé pour avoir "surdramatisé" la mise-en-scène qu'il avait écrite.
Conséquences du film
A la suite de la projection du film devant un parterre de journalistes du monde entier à l'occasion du festival de Cannes, les Etats-Unis et la Turquie sont entrés en négociation, quarante-trois jours plus tard, pour l'échange de prisonniers.
L'express de minuit
Le "Midnight Express" est le terme employé par les prisonniers turcs pour désigner l'évasion.
Prison maltaise
Comme il était impossible de tourner en Turquie, le décorateur a utilisé le fort de Saint-Elmo, situé à Malte, pour représenter la prison turque de Sagmalcilar.
Une histoire vraie
Le scénario est inspiré de l'aventure vécue par le jeune étudiant Billy Hayes qui a été arrêté à l'aéroport d'Istambul, en juin 1970, pour avoir tenté de faire passer en fraude cinq livre de haschisch. Condamné à vie, il est parvenu a s'évader en 1975.
Billy Hayes et William Hoffer ont fait de cette histoire le livre "Midnight Express" sur lequel est fidèlement fondé le scénario d'Oliver Stone...à l'exception de certains détails dont les circonstances de l'évasion qui sont différentes dans le roman et dans le film.
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Les contributeursCe film a reçu 6 contributions, pour les secrets de tournage, de: KlingKlang
Les contributions faites sur cette fiche sont mises à disposition sous un contrat Creative Commons.
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It Could Happen to You|Andrew Bergman|Comédie||2||1994|97|||DIV3|||DIV3|843 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|149 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Mike Lobell|Jane Anderson|Caleb Deschanel||TriStar Pictures||New York. Charlie Lang n'a d'autre ambition dans la vie que d'être un bon flic et un chic type. Muriel, son épouse, est coiffeuse. Lasse de son existence étriquée, elle entretient des rêves de réussite sociale en jouant à la loterie. Un jour, dans une cafétéria, Charlie fait la connaissance d'une jolie serveuse, Yvonne, acculée à la ruine par les frasques de son mari. A court de monnaie, il lui propose en guise de pourboire de partager ses gains à la loterie si ses numéros sortent. Quand il apprend qu'il vient de gagner 4 millions de dollars, il entend tenir sa promesse. Mais c'est compter sans Muriel. |Nicolas Cage (Charlie Lang)@Bridget Fonda (Yvonne Biasi)@Rosie Perez (Muriel Lang)@Wendell Pierce (Bo Williams)@Isaac Hayes (Angel)@Seymour Cassel (Jack Gross)@Stanley Tucci (Eddie Biasi)@J.E. Freeman (Sal Bontempo)@Red Buttons (Walter Zakuto)@Richard Jenkins (C. Vernon Hale)@Charles Busch (Timothy)@Claudia Shear (cliente de Muriel)@Vincent Pastore@||||||||||||@@
Million Dollar Baby|Clint Eastwood|Drame||3|américain|2005|130|Anglais||XVID|||XVID|609 Kbps|576x432|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Clint Eastwood Paul Haggis Tom Rosenberg Albert S. Ruddy|Paul Haggis|Tom Stern||Warner Bros.||Rejeté depuis longtemps par sa fille, l'entraîneur Frankie Dunn s'est replié sur lui-même et vit dans un désert affectif, en évitant toute relation qui pourrait accroître sa douleur et sa culpabilité.Le jour où Maggie Fitzgerald, 31 ans, pousse la porte de son gymnase à la recherche d'un coach, elle n'amène pas seulement avec elle sa jeunesse et sa force, mais aussi unehistoire jalonnée d'épreuves et une exigence, vitale et urgente : monter sur le ring, entraînée par Frankie, et enfin concrétiser le rêve d'une vie.Après avoir repoussé plusieurs fois sa demande, Frankie se laisse convaincre par l'inflexible détermination de la jeune femme. Une relation mouvementée, tour à tour stimulante et exaspérante, se noue entre eux, au fil de laquelle Maggie et l'entraîneur se découvrent une communauté d'esprit et une complicité inattendues... |Clint Eastwood (Frankie Dunn)@Morgan Freeman (Eddie Scrap-Iron Dupris)@Hilary Swank (Maggie Fitzgerald)@Jude Ciccolella (Hogan)@Ned Eisenberg (Sally Mendoza)@Marcus Chait (J.D. Fitzgerald)@Anthony Mackie (Shawrelle Berry)@Michael Peña (Omar)@Bruce McVittie (Mickey Mack)@Margo Martindale (Earline Fitzgerald)@Jay Baruchel (Danger Barch)@Benito Martinez (l'entraîneur de Billie)@||Secrets de tournage :
4 Oscars et 3 nominations !
Onze ans après Impitoyable, Clint Eastwood a de nouveau triomphé lors de la 77e cérémonie des Oscars, se retrouvant pour la seconde fois de sa carrière récompensé par l'Oscar du Meilleur réalisateur. Million dollar baby a pour sa part été sacré Meilleur film par l'Académie, tandis que Hilary Swank, déjà auréolée d'un Oscar pour sa prestation dans Boys don't cry, et Morgan Freeman ont respectivement remporté la fameuse statuette en or dans les catégories Meilleure actrice et Meilleur second rôle masculin.
Freeman / Eastwood : deuxième !
Morgan Freeman collabore pour la seconde fois avec Clint Eastwood. Il avait prêté ses traits au personnage de Ned, le compagnon de route et d'arme de William Munny, dans le western crépusculaire Impitoyable.
Un entraîneur anonyme
Le film est inspiré de diverses nouvelles semi-autobiographiques écrites par un certain F.X. Toole. Il s'agit en réalité de Jerry Boyd, un ancien soigneur professionnel qui a longuement fréquenté le monde de la boxe et en a capté les codes et les coutumes, l'esprit et le langage.
Un entraînement intensif de trois mois
Hilary Swank n'eut pas plus de trois mois pour se préparer au rôle de Maggie. L'actrice travailla ainsi avec Hector Roca au Gleason's Gym de Broadway. Classé parmi les meilleurs entraîneurs mondiaux par l'International Boxing Digest, ce dernier a coaché de nombreux champions du
monde, dont Iran Barkley, Arturo Gatti, Regilio Tuur et Buddy McGirt.
La comédienne a également eu droit à de longues séances quotidiennes de musculation sous le contrôle de l'entraîneur et haltérophile Grant Roberts. Durant cette période, Hilary Swank eut notamment pour sparring-partner la quadruple championne du monde Lucia Rijker.
Avec l'aide du chef décorateur vétéran Henry Bumstead
Pour le choix des décors, Clint Eastwood s'est adjoint les services du chef décorateur Henry Bumstead, un vétéran de 89 ans qui travailla sur plusieurs films d'Alfred Hitchcock et remporta un Oscar pour L'Arnaque de George Roy Hill. C'est après de longues recherches qu'Henry Bumstead a découvert les photos d'un entrepôt désaffecté du centre ville de Los Angeles dont il a pensé qu'il ferait un formidable ?Hit Pit?. Clint s'est alors rendu sur place et a approuvé son choix.
Côté extérieurs
Les extérieurs ont été tournés dans divers quartiers et banlieues de Los Angeles, notamment sur la promenade de Venice et sur Hollywood Boulevard. Les matchs ont, quant à eux, été filmés au Grand Olympic Auditorium.
Sandra Bullock intéressée
Sandra Bullock s'est montrée un temps intéressée pour développer ce projet et en interpréter l'héroïne. Mais elle s'est rapidement désengagée lorsque Clint Eastwood a jeté son dévolu sur le recueil de nouvelles de F.X. Toole.
Warner traîne les pieds
Les studios Warner Bros. avec lesquels Clint Eastwood est lié depuis plus d'une trentaine d'années se sont engagés tardivement sur le projet, ne le trouvant pas assez rentable financièrement. Les principaux fonds nécessaires à la production de Million dollar baby proviennent des sociétés Lakeshore Entertainment et Malposo, à l'initiative du film.
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Minority Report|Steven Spielberg|Science fiction||3|américain|2002|145|Anglais||DX50|||DX50|532 Kbps|640x368|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||23.976|27/08/2009 00:00:00|Bonnie Curtis Gerald R. Molen Jan de Bont Tom Cruise Walter F. Parkes Paula Wagner|Scott Frank Jon Cohen|Janusz Kaminski||UFD||A Washington, en 2054, la société du futur a éradiqué le meurtre en se dotant du système de prévention / détection / répression le plus sophistiqué du monde. Dissimulés au coeur du Ministère de la Justice, trois extra-lucides captent les signes précurseurs des violences homicides et en adressent les images à leur contrôleur, John Anderton, le chef de la "Précrime" devenu justicier après la disparition tragique de son fils. Celui-ci n'a alors plus qu'à lancer son escouade aux trousses du "coupable"...Mais un jour se produit l'impensable : l'ordinateur lui renvoie sa propre image. D'ici 36 heures, Anderton aura assassiné un parfait étranger. Devenu la cible de ses propres troupes, Anderton prend la fuite. Son seul espoir pour déjouer le complot : dénicher sa future victime ; sa seule arme : les visions parcellaires, énigmatiques, de la plus fragile des Pré-Cogs : Agatha. |Tom Cruise (l'agent John Anderton)@Kathryn Morris (Lara Anderton )@Colin Farrell (Ed Witwer )@Samantha Morton (Agatha )@Max von Sydow (Lamar Burgess )@Peter Stormare (Eye Surgeon )@Blake Bashoff (Pre-Crime P.S.A. )@Spencer Treat Clark (Sean Anderton )@Joel Gretsch (Donald Doobin )@Steve Harris (Jad )@Patrick Kilpatrick (Knott )@Daniel London (Wally )@William Mapother (Hotel Clerk )@Lois Smith (Dr. Iris Hineman )@Jessica Capshaw (Evanna )@Eugene Osment (Un technicien)@Tim Blake Nelson (Gideon )@Mike Binder (Leo Crow )@Cameron Crowe (Un passager du bus)@Cameron Diaz (Passager dans le métro)@Jessica Harper (Anne Lively)@Anna Maria Horsford (Casey)@Ann Ryerson (Dr. Katherine James)@Arye Gross (Howard Marks)@Dominic Scott Kay (Sean enfant)@Caroline Lagerfelt (Greta Van Eyck)@Jason Antoon (Rufus Riley)@Klea Scott (Un policier)@Ashley Crow (Sarah Marks)@Elizabeth Anne Smith (Une technicienne)@Fiona Hale (Une vieille femme)@Dude Walker (Un journaliste)@Frank Grillo (Un policier)@Katy Boyer (Une mère)@Karina Logue (Une technicienne)@Bonnie Morgan (Le contortionniste)@Jim Rash (Un technicien)@Kirk B.R. Woller (Un policier)@Clement E. Blake (Un mari)@Andrew Sandler (Le fils de Mark)@Adrianna Kamosa (Un enfant)@Billy Morts (Foley)@Bertel Lawrence (John Doe)@Richard Coca (Un policier)@Neal McDonough (Fletcher)@Neal McDonough (Fletcher)@Victor Raider-Wexler (Général Nash)@Radmar Agana Jao (Un technicien)@Victoria Kelleher (Une technicienne)@Pamela Roberts (Une femme violente)@Stephen Ramsey (Jucket)@Tom Choi (Paymen)@David W. Paris (Pilote d'hélicoptère)@Drakeel Burns (Un journaliste)@Danny Lopes (Un homme)@Elizabeth Kamosa (Un enfant)@Erica Ford (Une employée)@Kari Gordon (Un enfant)@George D. Wallard (Pollard)@Matthew Dickman (Dashiell)@Laurel Kamosa (Un enfant)@Jerry Perchesky (Le grand-père)@Michael Dickman (Arthur)@Michael Dickman (Arthur)@Raquel Gordon (Un enfant)@Nadia Awakowsky (Journaliste)@Vanessa Cedotal (Une femme)@Tom Whitenight (Price)@Sarah Simmons (La secrétaire de Lamar Burgess)@||Secrets de tournage :
Tom Cruise à l'initiative du projet
C'est Tom Cruise qui se trouve directement lié à la naissance de Minority Report. Durant le tourange de Eyes wide shut, le comédien tomba sur la nouvelle de l'auteur Philip K. Dick et, après lecture, décida immédiatement d'en faire part à Steven Spielberg en vue d'une adaptation cinématographique. On connaît la suite...
Un nouveau défi pour Steven Spielberg
Le réalisateur Steven Spielberg voit Minority Report comme une nouvelle étape dans sa carrière. "Je suis à une période de ma vie où je souhaite expérimenter, relever des défis, aborder avec mes équipes des sujets nouveaux", confie-t-il. "Minority Report est un mystère, une énigme autour d'un crime futur, un film qui vous embarque dans une aventure humaine : l'histoire d'un personnage marqué par une tragédie et qui tente de retrouver son équilibre."
Une rencontre prévue de longue date
Steven Spielberg et Tom Cruise envisageaient depuis longtemps de collaborer ensemble. Les deux hommes s'étaient rencontrés en 1983, à l'époque de Risky business et étaient depuis en quête d'un projet commun. Minority Report fut l'occasion rêvée, même si le tournage du film a d'abord été décalé de deux ans : quand la décision de mettre en chantier Minority Report a été validée, Cruise et Spielberg travaillaient en effet respectivement sur M: I - 2 et A.I. Intelligence artificielle.
Un projet très complexe
La productrice Bonnie Curtis n'hésite pas à affirmer que Minority Report peut être considéré a certains égards comme "le film le plus compliqué de toute la carrière de Steven Spielberg." A titre d'exemple, le projet nécessita pas moins de 481 plans d'effets spéciaux, un nombre qui n'avait pas été atteint chez Spielberg depuis Rencontres du 3e type.
Un environnement réaliste
Steven Spielberg a souhaité que le public voie en Minority Report "une extension du monde actuel", comme le définit le chef décorateur Alex McDowell. Spielberg lui-même explique avoir voulu que "cet environnement, très touffu, très détaillé, soit perçu comme une évidence, qu'on finisse par l'oublier pour concentrer toute son attention sur le mystère."
John Underkoffler, professeur au M.I.T. (Massachussets Institute of Technology) et consultant sur le long métrage, déclare quant à lui que "le monde de Minority Report est plus réaliste, plus âpre, plus nuancé que celui que nous présentent si souvent les utopistes. Il constitue une toile de fond passionnante."
Une photo sombre pour un film noir...
La photographie de Minority Report tient une place primordiale dans le film. Steven Spielberg se rappelle des premières indications données à Janusz Kaminski, son fidèle directeur de la photographie depuis La Liste de Schindler. "J'ai expliqué à Janusz que ce serait mon film le plus ténébreux, avec une image granuleuse, froide, ancrée dans l'univers âpre et brutal du film noir. Tout le contraire de la chaude atmosphère d'A.I. Intelligence artificielle".
Tom Cruise : un cascadeur né !
Tom Cruise est réputé pour vouloir, le plus souvent possible, effectuer les cascades de ses films lui-même, même les plus dangereuses. Steven Spielberg se souvient : "Le jour où je suis allé le voir sur le plateau de M: I - 2, Tom exécutait une chute de trente mètres au bout d'un filin d'acier...sans matelas de protection. J'ai demandé à John Woo : "Comment peux-tu lui laisser faire ça ?". Et John m'a répondu : "Essaye de l'en dissuader !" Et de poursuivre : "J'ai donc conclu un accord avec Tom : "C'est moi qui déterminerai quelles cascades tu peux faire, et on s'en tiendra à mes décisions." Mais, finalement, c'est lui qui a fait l'essentiel du travail."
ILM au premier plan
Le studio ILM (Industrial Light and Magic), qui avait déjà joué un rôle prépondérant dans de précédents films de Steven Spielberg, a cette fois-ci une nouvelle fois occupé le devant de la scène. Les équipes ont ainsi du créer de nombreuses images de synthèses, comme pour l'impressionnante scène dans laquelle Tom Cruise évolue dans un paysage autoroutier futuriste. "Le seul élément physique réel de cette scène est Tom, que l'on voit bondir hors de son véhicule et s'échapper en sautant sur les toits de voitures", explique Scott Frankel, Superviseur compositions. "Tout ce qui l'entoure : les véhicules, l'immense paysage urbain avec ses centaines d'immeubles, ses fumées, etc..., est en images de synthèse."
John Williams : une partition " en noir et blanc "
Steven Spielberg et le compositeur John Williams collaborent ensemble de longue date. Pour Minority Report, Williams a néanmoins changé sa manière de travailler, écrivant pour l'occasion ce que Spielberg décrit lui-même comme "sa première partition en noir et blanc". Le réalisateur poursuit ainsi : "Alors que toutes ses partitions antérieures étaient, selon moi, "en couleur", celle-ci est plus expérimentale. On la ressent davantage qu'on ne l'entend."
Des araignées audibles
L'une des scènes les plus saissisantes de Minority Report est celle au cours de laquelle de nombreuses araignées mécaniques poursuivent le héros John Anderton. C'est une équipe de chercheurs de l'Université de Cornell qui est parvenu à restituer les sons produits par ces arachnides, sons inaudibles chez l'homme. Gary Rydstrom, sound designer du film, explique que cette équipe a "réalisé de magnifiques enregistrements d'araignées en mouvement ou occupées à leurs divers rituels. Ces sons, bien que naturels, ont un caractère étrangement mécanique, qui évoque parfois le ronflement d'un petit moteur. La nature se révèle, une fois de plus, une fascinante et épuisante sonothèque..."
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« Préc.
Par ailleurs, les scènes où apparaissait le jeune acteur d'Arlington Road, Spencer Treat Clark, n'ont pas été retenu au montage final.
Les apparitions
Alors que Steven Spielberg faisait une brève apparition dans le film de Cameron Crowe avec Tom Cruise, Vanilla sky, c'est au tour de Cameron Crowe de lui renvoyer la pareille en apparaissant dans le film de Steven Spielberg. On peut voir le réalisateur de Jerry Maguire dans le rôle d'un des passagers du bus.
Au casting de Vanilla sky, Cameron Diaz fait également une courte apparition dans Minority report : elle est une des passagères du métro.
Le tank de la pensée
Pendant la préparation du film, Steven Spielberg a rassemblé seize spécialistes du futur pour définir au mieux ce que sera 2054. Il raconte : "j'ai pensé que ce serait une bonne idée de rassembler dans une même pièce les plus grands spécialistes en technologie, environnement, lutte contre le crime, médecine, santé, services sociaux, transports, informatique et d'autres domaines afin de discuter de ce que sera le future dans 50 ans."
Il a ainsi convié dans un hôtel de Santa Monica des scientifiques du M.I.T. tels que John Underkoffler mais également des urbanistes, des architectes, des inventeurs ou des écrivains tels que l'auteur de "Generation X", Douglas Coupland.
Les références à Kubrick
Depuis A.I. Intelligence artificielle, on connaît l'amitié de Steven Spielberg et de Stanley Kubrick. Ainsi, ce dernier film était à l'origine un projet de Kubrick mais que Spielberg décida de réaliser à la mort de celui-ci.
Mais, l'admiration que Spielberg porte à Kubrick ne s'arrête pas là car, dans Minority report, Spielberg multiplie les références aux films du réalisateur d'Orange mécanique :
Le personnage de Max von Sydow est nommé Burgess comme l'auteur du roman Orange mécanique, Anthony Burgess, que Kubrick adapta au cinéma en 1971.
Quand l'agent Anderton interprété par Tom Cruise subit une opération des yeux, ils sont maintenus par des attaches très proches de celles utilisées sur Alex dans Orange mécanique. Le personnage d'Anderton est d'ailleurs assez proche de celui d'Alex, héros d'Orange mécanique. Comme lui, il est accroc aux drogues et aime la musique classique.
Après la séquence du premier meurtre, un gros plan de l'oeil d'Agatha, interprété par Samantha Morton, apparaît brusquement. Kubrick avait utilisé un plan et un montage similaire dans 2001 : l'odyssée de l'espace après les explosions de lumières.
« Préc.
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Misery|Rob Reiner|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|1991|103|Anglais||DIV3|||DIV3|842 Kbps|512x272|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Rob Reiner Andrew Scheinman|William Goldman|Barry Sonnenfeld||UGC Ph||Paul Sheldon, romancier et créateur du personnage de Misery dont il a écrit la saga est satisfait. Il vient enfin de faire mourir son héroïne et peut passer à autre chose. Il quitte l'hôtel de montagne où il a l'habitude d'écrire et prend la route de New York. Pris dans un violent blizzard, sa voiture dérape dans la neige et tombe dans un ravin. Paul Sheldon doit son salut à Annie Wilkes, infirmière retraitée qui vit dans un chalet isolé. Annie est justement une supporter inconditionnelle de la belle Misery. |James Caan (Paul Sheldon)@Kathy Bates (Annie Wilkes)@Rob Reiner (le pilote d'hélicoptère)@Lauren Bacall (Marcia Sindell / Paul Sheldon's Publicist)@Frances Sternhagen (la député Virginia Mac Cain)@Richard Farnsworth (J. T. Mac Cain)@Graham Jarvis (Libby, le gestionnaire de Silver Creek Lodge)@Jerry Potter (Pete)@||Secrets de tournage :
Double récompense pour Kathy Bates
Pour sa performance dans le rôle d'Annie Wilkes, Kathy Bates reçut non seulement l'Oscar mais aussi le Golden Globe de la meilleure actrice en 1991.
Une coupe franchement hilarante
Au montage final, une scène fut jugée inappropriée et fut donc coupée. Phénomène classique de violence jugée excessive ? Au contraire : en l'occurrence, c'était par crainte qu'elle ne déclenche l'hilarité que le réalisateur Bob Reiner la rejeta ! On y voyait en effet Annie Wilkes tuer un jeune officier de police en lui roulant dessus avec une tondeuse...
Kathy Bates, qui joue le rôle, fut paraît-il très déçue de cette décision.
Un caméo de J. T. Walsh
J.T. Walsh (qui joua, entres autres, dans Good Morning Vietnam) fait une brève apparition dans Misery dans le rôle d'un garde forestier.
Clin d'oeil pour initiés
Une des répliques de Misery mentionne "le type qui est devenu fou dans un hôtel pas loin d'ici". Il s'agit d'une référence à l'intrigue d'un autre roman de Stephen King, Shining, lui aussi adapté en film (Stanley Kubrick, 1980).
Souci de réalisme
Pour mieux cerner le personnage d'Annie Wilkes (incarné par Kathy Bates), le scénariste William Goldman s'inspira des cas de deux véritables meurtrières : Janine Jones, une infirmière ayant assassiné des personnes qu'elle gardait, et Diane Downs, une mère s'en étant pris à ses propres enfants.
Adapté d'un roman
Misery est tiré du roman éponyme de Stephen King. Auteur prolifique à l'origine de très nombreux best-sellers, celui-ci est aussi un des auteurs dont les oeuvres ont été les plus adaptées au cinéma. Misery était ainsi le 17ème de ses romans à être transposé au grand écran !
En ce qui concerne Rob Reiner, il s'agissait de sa deuxième tentative en la matière. Il avait en effet déjà réalisé Stand by me en 1987, tiré du roman Le Corps (The Body, 1982). Stephen King ayant affirmé qu'il s'agissait de la plus fascinante adaptation d'une de ses oeuvres, on comprend que le cinéaste ait décidé de renouveller l'expérience.
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Miss Congeniality|Donald Petrie|Comédie||3|américain|2001|105|||DIV3|||DIV3|821 Kbps|640x480|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Sandra Bullock|Katie Ford Caryn Lucas|Laszlo Kovacs||Warner Bros. France|Saga : Miss Congeniality |L'agent Gracie Hart travaille dans un commando d'élite du FBI. Véritable garçon manqué, elle ne possède pas une seule robe, ne sait pas se maquiller, ne tient pas plus de cinq secondes sur des talons aiguilles, aime se bagarrer et boire un verre avec ses "potes".
Mignonne comme elle est, elle pourrait participer à des concours de beauté, si seulement elle avait une once de féminité. Et c'est justement ce que le Bureau recherche en ce moment : un agent pour inflitrer le concours de Miss USA. Un terroriste, dénommé "Le Citoyen", menace en effet de faire exploser une bombe le jour du palmarès, et le FBI se doit de le neutraliser au plus tôt.
La seule personne pouvant accomplir une telle mission n'est autre que Gracie. De toute urgence, Victor Melling, relooker, est engagé par la police fédérale pour transformer la belle en Miss New Jersey. Un défi à toute épreuve, puisque Gracie refuse de se comporter comme un mannequin, de surveiller son alimentation et sa tenue vestimentaire. |Sandra Bullock (Grace "Gracie" Hart)@Michael Caine (Victor Melling)@Benjamin Bratt (Eric Matthews)@Heather Burns (Cheryl "Rhode Island")@Melissa De Sousa (Karen "New York")@Steve Monroe (Frank Tobin)@Wendy Raquel Robinson (Lesllie "California")@Diedre Quinn (Mary Jo "Texas")@Asia De Marcos (Hawaii)@Ken Thomas (Agent Harris)@Gabriel Folse (Agent Grant)@Christopher Shea (Agent Jensen)@Mary Ashleigh Green (Gracie jeune)@Cody Linley (le petit dur)@Eric Ian Goldberg (Alan)@Daniel Tucker Kamin (Krashow)@Konstantin Selivanov (Ivan)@Mona Lee (la serveuse russe)@Sergei Levtsuk (un des gardes du corps russes)@Johnny Caan (un des gardes du corps russe)@Debbie Nelson (l'animatrice du concours)@Don Cass (le metteur en scène)@Laurie Guzda (l'assistante du metteur en scène)@Jimmy Graham (l'agent de sécurité en coulisse)@Ruperto Reyes, Jr. (un agent de sécurité)@Bernadette Nason (une femme)@Stephen Bruton (le barman)@Jessica Holcomb (Beth)@Jennifer Gareis (Tina)@Cassandra L. Small (la policière du Starbucks)@Marco Perella (le type au Starbucks)@Cynthia Dorn (le juge des éliminatoires)@Catenya McHenry (la journaliste)@Paige Bishop (la dentiste)@Lucien Douglas (le coiffeur)@Georgia Foy (Miss USA)@Leeanne Locken (Miss Nebraska )@Pei-San Brown (Miss Alaska)@Isamari White (Miss Floride)@Kimberly Crawford (Miss Maine)@Jamie Drake Stephens (Miss Maryland)@Dyan Conner (Miss Massachusetts)@Kelly Bright (Miss Minnesota)@Dee Dee Adams (Miss Missouri)@Shana McClendon (Miss Nevada)@Janie Terrazas (Miss Nouveau-Mexique)@Holy Mills (Miss Ohio)@Angela Vandewalle (Miss Oregon)@Tarah Bartley (Miss Caroline du Sud)@Farah White (Miss Tenessee)@Miller Summyr (Miss Utah)@Jessica Hale (Miss Vermont)@Pam Green (Miss Washington)@Scott Grossman (le chorégraphe)@William Shatner (Stan Fields)@Ernie Hudson (McDonald)@John DiResta (Agent Clonsky)@Candice Bergen (Kathy Morningside)@Jack Gill (chef cascadeur)@||Secrets de tournage :
Donald Petrie à propos de Scott Grossman, le conseiller technique :
« Chorégraphe de tous les grands concours de beauté américains, Scott a obtenu des résultats spectaculaires avec nos filles, à qui il a donné le look d'authentiques professionnelles»
L'une des plus grosses difficultés de Scott Grossman fut de rendre Sandra Bullock? maladroite.
Susie De Santo, Sandra Bullock et Michelle Pfeiffer :
Susie De Santo a déjà collaboré avec Sandra Bullock sur le film de Forest Whitaker,Ainsi va la vie. Mais elle a également créé les costumes de trois films avec Michelle Pfeiffer : Apparences de Robert Zemeckis, Un beau jour de Michael Hoffman et Aussi profond que l'océan d'Ulu Grosbard.
Susie De Santo a d'autre part travaillé sur Ruby (John Mackenzie), Belles de l'Ouest (Jonathan Kaplan) et Mrs Tingle (Kevin Williamson).
De Susie De Santo, chef costumière :
« Après avoir réuni une vaste documentation sur les concours de Miss, j'ai eu la chance de trouver des modèles uniques de robes du soir très contrastés et d'une grande élégance.
La transformation de Gracie se reflète à travers une sélection de robes de plus en plus glamour. Sandra est éblouissante dans la dernière création de cette série, une robe ornée de perles, créée originellement pour une finaliste du concours Miss Amérique. Cette fille, que tout le monde donnait gagnante, décida au dernier moment de porter une autre toilette, et en fut cruellement punie puisqu'elle obtint ce jour-là les plus mauvaises notes de toute sa carrière ! »
William Shatner (Stan Fields) :
Il a été pendant trios décennies " seul maître après Dieu " du vaisseau spatial " Enterprise " qu'il pilota successivement dans la série " Star Trek " et dans sept films de la saga Star Trek.
John Diresta (Clonsky)
On l'a vu au cinéma dans Gloria de Sidney Lumet, Mickey les yeux bleus de Kelly Makin et dans 15 minutes de John Herzfeld.
Avant de faire de la télévision et du cinéma, John Diresta était un ancien policier new-yorkais.
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Miss Congeniality 2: Armed and Fabulous|John Pasquin|Comédie||2|américain|2005|113|Anglais||XVID|||XVID|721 Kbps|512x224|MPEG-1 Audio layer 3|130 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||23.976|08/08/2009 00:00:00|Sandra Bullock|Katie Ford Caryn Lucas Marc Lawrence (II)|Peter Menzies Jr.||Warner Bros.|Saga : Miss Congeniality |Après avoir brillamment sauvé le concours de Miss USA, Gracie Hart prend goût à la célébrité et quitte son poste d'agent pour devenir l'égérie du FBI. Mais lorsque sa meilleure amie du concours, Cheryl Frazier, et le présentateur, Stan Fields, sont kidnappés à Las Vegas, elle reprend du service pour les sauver. |Sandra Bullock (Gracie Hart)@Regina King (Sam Fuller)@Enrique Murciano (Jeff Foreman)@William Shatner (Stan Fields)@Diedrich Bader (Joel Myers)@Heather Burns (Cheryl Frasier)@Treat Williams (Walter Collins)@Ernie Hudson (McDonald)@Abraham Benrubi (Lou Steele)@Elisabeth Rohm (Janet)@Vic Chao (Hills)@Brian Shortall (Rob Okun)@||Secrets de tournage :
La suite de "Miss détective"
Miss FBI : divinement armée n'est autre que la suite de la comédie policière Miss détective, qui, lors de sa sortie en 2001, avait généré plus de 100 millions de dollars de recettes aux Etats-Unis et séduit près de 300 000 spectateurs en France. Ce deuxième volet donne l'occasion à Sandra Bullock de collaborer une nouvelle fois avec Marc Lawrence, le scénariste et réalisateur de L'Amour sans préavis.
John Pasquin aux commandes
Sandra Bullock et le scénariste Martin Lawrence confièrent la réalisation de Miss FBI : divinement armée à John Pasquin. Venu du théâtre, celui-ci a contribué au succès de certaines séries populaires comme La Loi de Los Angeles, Papa bricole ! et Génération pub. De lui, Lawrence déclare : "Il est réceptif aux acteurs, à la motivation et à la vérité d'une scène. Des qualités auxquelles s'ajoutent une totale maîtrise de la caméra et de grandes facultés d'invention visuelle."
Tournage à Las Vegas
Désireuse de "tirer avantage de la musique, des lumières et de l'énergise particulière à Las Vegas", l'équipe tourna notamment dans deux des hôtels les plus cotés du Strip : le Venitian et le Treasure Island. Une partie du film se déroule également dans le centre-ville de Las Vegas, à proximité des casinos Four Queens, Golden Nugget et Fremont. La production se rendit par ailleurs à une trentaine de kilomètres de Las Vegas, près de la petite ville de Jean, dans le Nevada, et explora les environs de la capitale mondiale du jeu. L'équipe travailla ensuite plusieurs semaines à Los Angeles avant d'achever les prises de vues à New York, ville d'origine de Gracie.
Une plongée chez les pirates
La plus grande scène d'action du film a pour décor l'attraction outdoor des "Sirènes" de l'hôtel Treasure Island. Ce numéro à effets spéciaux illustre une féroce bataille navale dans un lagon exotique avec, en guise de finale, le naufrage du vaisseau pirate vaincu. Une partie de la scène fut tournée sur place, mais les plans subaquatiques furent réalisés dans le bassin du plateau 16 des studios Warner Bros, l'un des plus profonds du monde qui servit au tournage en 1957 du Vieil homme et la mer avec Spencer Tracy. Long de 33 mètres et large de 31, il offrait à l'équipe toute latitude pour y installer une réplique du vaisseau pirate ainsi que le système hydraulique commandant celui-ci.
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Half Past Dead|Don Michael Paul|Action||2|américain|2003|98|Anglais||DIV3|||DIV3|850 Kbps|544x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||23.976|06/08/2009 00:00:00|Steven Seagal Andrew Stevens Elie Samaha|Don Michael Paul|Michael Slovis||Columbia Pictures||Alcatraz vient de rouvrir. C'est aujourd'hui une prison de très haute sécurité, bénéficiant des toutes dernières techniques de surveillance. Alors que Sascha, un agent du FBI, s'y trouve enfermé pour une mission secrète, un commando prend d'assaut le célèbre pénitencier afin de faire libérer Lester, un détenu condamné à mort. Ce dernier est en fait le seul à connaître l'endroit où est cachée une somme de plus de deux cent millions de dollars. Sascha va avoir fort à faire face à cette bande de criminels extrêmement dangereux et organisés. |Steven Seagal (Sascha Petrosevitch)@Morris Chestnut (Donny Johnson / Prospecteur Un)@Ja Rule (Nick Frazier)@Nia Peeples (Prospecteur Six)@Tony Plana (El Fuego)@Kurupt (Twitch)@Michael "Bear" Taliferro (Little Joe)@||Secrets de tournage :
La reconstitution d'Alcatraz
Don Michael Paul souhaitait reconstituer Alcatraz en prison du futur. Ce dernier a procédé à des recherches sur l'évolution des techniques de surveillance dans le milieu carcéral. C'est en Allemagne, près de Berlin, que toute l'équipe a tourné les scènes intérieures censées représenter le nouveau complexe d'Alcatraz. Le réalisateur explique : "Nous avons eu la chance de découvrir une prison abandonnée. Avec les explosions, les fusillades, les cascades et même l'hélicoptère qui éventre les structures du toit, nous n'avons rien épargné aux bâtiments."
Un rôle proche de Steven Seagal
Steven Seagal commente son personnage de Sascha Petrosevitch : "Parmi tous les rôles que j'ai interprétés, certains me ressemblent plus que d'autres. Celui est assez proche de moi. Sascha n'est pas un héros invincible, c'est un homme blessé, qui n'a plus que son travail et son désir de vengeance pour tenir."
Nia Peeples à l'entraînement
Nia Peeples s'est entraînée pendant plusieurs mois au Wushu, une discipline des arts martiaux. Elle se souvient : "Il m'a fallu acquérir une confiance physique suffisante pour accomplir les nombreuses cascades".
Xin Xin Xiong à la chorégraphie
C'est le spécialiste hong-kongais Xin Xin Xiong qui a chorégraphié tous les combats. Don Michael Paul commente en souriant : "Le voir travailler avec Steven était fascinant. Ces deux-là se comprenaient parfaitement en se tapant !"
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Half Past Dead 2|Art Camacho|Action||3|américain|2007|88|Anglais||DX50|||DX50|967 Kbps|560x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|William B. Steakley|D. Kyle Johnson|Ken Blakey||||Burk et Twitch sont deux taulards incarcérés dans une prison particulièrement violente où règne une terrible guerre des gangs. Lorsqu'une émeute éclate, ils décident de s'allier. Ils découvrent bientôt que celui qui a déclenché l'émeute détient en otage Cherise, la fiancée de Twitch, et Ellie, la fille de Burk... |Bill Goldberg (Burk)@Kurupt (Twitch)@Angell Conwell (Cherise)@Robert Madrid (Cortez)@Joe Perez (Lewis)@Alona Tal (Ellie)@Morocco Omari (J.T.)@Jack Conley (Wallace)@Robert LaSardo (Rivera)@Kale Browne (le gouverneur)@Noelle Evans (Amy)@Robert Torti (Assistant)@Stogie Kenyatta (Angel)@Tony Plana (Warden El Fuego)@Ken Weiler@||||||||||||@@
Mission to Mars|Brian De Palma|Science fiction||2|américain|2000|113|Anglais||DIV3|||DIV3|758 Kbps|720x480|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||23.976|13/08/2009 00:00:00|Tom Jacobson|Jim Thomas John Thomas Graham Yost Lowell Cannon|Stephen H. Burum||Pathé Distribution||2020. La NASA envoie pour la première fois une équipe d'astronautes sur Mars. Mais peu de temps après leur arrivée, ils sont confrontés à un phénomène surnaturel d'une puissance terrifiante et toutes les communications sont coupées. Une deuxième mission est envoyée à leur recherche... |Gary Sinise (Jim McConnell)@Tim Robbins (Woodrow 'Woody' Blake)@Don Cheadle (Luke Graham)@Jerry O'Connell (Phil Ohlmyer)@Connie Nielsen (Terri Fisher)@Kim Delaney (Maggie McConnell)@Peter Outerbridge (Sergei Kirov)@Kavan Smith (Nicholas Willis)@Jill Teed (Renée)@Elise Neal (Debra Graham)@Marilyn Norry (Louise)@Lynda Boyd (une femme de cosmonaute)@Patricia Harras (une femme de cosmonaute)@Robert Bailey Jr. (Bobby Graham)@Jody Thompson (un jolie fille)@Lucia Walters (une jolie fille)@Sugith Varughese (une jolie fille)@Carlo Rota (un ambassadeur)@Armin Mueller-Stahl (Ramier Beck)@Dmitry Chepovetsky (Le technicien)@Tracy Waterhouse (La technicienne en larme)@Chantal Conlin (Maggie, jeune)@Bill Timoney (La voix de l'ordinateur)@||Secrets de tournage :
John Knoll, superviseur effets visuels :
Il a supervisé les effets spéciaux visuels de Star Trek : premier contact, La guerre des étoiles, Mission : impossible, Star Trek Générations et Star Wars : episode one
Mission to Mars à Cannes
Le film a été présenté, dans la Sélection officielle, hors compétition, à l'occasion du 53ème Festival de Cannes.
Une bien longue sortie dans l'espace?
La scène où les astronautes effectuent une sortie dans l'espace, associe effets numériques et personnages suspendus dans les airs à l'aide de filins. Elle a nécessité 4 semaines de tournage !
Composée de 170 plans, cette séquence a été tournée "live" sur un fond bleu; les filins et les harnais des comédiens ont été effacés, grâce à la palette graphique, par une équipe de... 25 retoucheurs.
Le sol martien
Le paysage martien reconstruit pour les besoins du film mesure 23 hectares. Il repose sur un soubassement sableux sculpté au bulldozer et recouvert d'une couche de ciment enduite de peinture latex rouge.
Mars à Vancouver
Les intérieurs ? comprenant la salle de contrôle, le vaisseau Mars Recovery, l'habitat martien et les décors spatiaux ? furent construits aux Bridge Studios. Le paysage martien fut aménagé aux Fraser Sans Dunes de Richmond, une banlieue de Vancouver. Une autre partie des paysages martiens fut filmée en Jordanie et sur l'île de Lanzarote (Canaries).
L'aide de la Nasa
La production a travaillé pendant plus d'un an avec la National Aeronautics and Space Administration (NASA).
Pour le producteur Sam Mercer, producteur exécutif : « La NASA intervint d'abord dans le développement du scénario, puis sur les recherches, les décors, le contexte scientifique et le « message » du film, qui reçut leur approbation. »
L'équipe du film a notamment bénéficié de l'aide des anciens astronautes Story Musgrave (vétéran de l'Agence et recordman des sorties dans l'espace) et du Dr Joe Allen (qui a avait déjà apporté ses conseils sur Armageddon).
Brian de Palma, à propos du film :
« C'est une belle et une grande aventure. Je n'avais jamais tourné de film de S.F., et celui-ci posait des problèmes inédits, notamment en raison de son contexte. Je me suis efforcé de contourner les clichés du genre afin de proposer une orientation et un look nouveau. »
Marqué par un classique des années 50, Destination lune, Brian de Palma souhaitait une approche réaliste : « C'était l'un des premiers films de science-fiction à incorporer des données précises et authentiques. Son haut degré de réalisme m'avait beaucoup impressionné. C'est dans la même optique que nous avons traité Mission to Mars. Le film est d'autant plus excitant qu'il fait vrai. Tous les événements auxquels sont confrontées les équipes de Mars 1 et Mars 2 sont conformes aux paramètres physiques du lieu. »
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Mission : Impossible|Brian De Palma|Espionnage||3|américain|1996|105|Français||DX50|||DX50|776 Kbps|720x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|693||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Tom Cruise Paula Wagner|David Koepp Robert Towne Steven Zaillian|Stephen H. Burum||United International Pictures (UIP)|Saga : Mission : impossible |Les membres d'un commando de la CIA sont envoyés à Prague avec pour mission d'appréhender, lors d'une réception dans l'ambassade américaine, un espion ennemi qui s'apprête à dérober une disquette contenant la liste secrète des agents en Europe centrale. Seulement ils ignorent que la CIA, persuadée que le commando est infiltré par une taupe, a envoyé une seconde équipe sur place... |Tom Cruise (Ethan Hunt)@Jean Reno (Franz Krieger)@Henry Czerny (Eugene Kittridge)@Jon Voight (Jim Phelps)@Ving Rhames (Luther Stickell)@Kristin Scott Thomas (Sarah Davies)@Vanessa Redgrave (Max)@Emmanuelle Béart (Claire Phelps)@Dale Dye (Frank Barnes)@Marcel Iures (Alexander Golitsyn)@Ion Caramitru (Zozimov)@Ingeborga Dapkunaite (Hannah Williams)@Marek Vasut@Nathan Osgood (un technicien)@John McLaughlin (l'intervieweur)@Rolf Saxon (Donloe, l'analyste de la CIA)@Andreas Wisniewski (le compagnon de Max)@Ricco Ross (un garde)@Mark Houghton (un garde)@Annabel Mullion (l'hôtesse de l'air)@Garrick Hagon (un reporter de CNN)@Olegar Fedoro (un agent)@David Schneider (II) (un ingénieur)@Michael Rogers@Emilio Estevez (Jack Harmen)@||||||||||||@@
Mission: Impossible 2|John Woo|Policier||2|américain|2000|121|Anglais||DIV3|||DIV3|607 Kbps|512x288|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|648||||24.000|02/08/2009 00:00:00|Tom Cruise Paula Wagner|Robert Towne Ronard D. Moor Brannon Braga|Jeffrey L. Kimball||United International Pictures (UIP)|Saga : Mission : impossible |Votre mission, monsieur Hunt, si vous décidez de l'accepter, sera de récupérer un virus génétiquement modifié, baptisé Chimera. Sean Ambrose, qui fut votre élève avant de devenir votre ennemi juré, s'est emparé de l'antidote et se terre dans un laboratoire secret de Sydney. Son ex-maitresse, Nyah Hall, pourrait s'avérer utile dans vos tentatives d'infiltration de ce QG hautement protégé. Comme toujours, si vous ou l'un de vos équipiers étiez capturés ou tués, le département d'Etat nierait avoir eu connaissance de vos agissements. Ce résumé s'autodétruira dans cinq secondes. |Tom Cruise (Ethan Hunt)@Dougray Scott (Sean Ambrose)@Thandie Newton (Nyah Nordoff-Hall)@Ving Rhames (Luther Stickel)@Richard Roxburgh (Hugh Stamp)@John Polson (Billy Baird)@Brendan Gleeson (John C. McCloy)@Rade Serbedzija (Dr. Nekhorvich)@William Mapother (Wallis)@Dominic Purcell (Ulrich)@Anthony Hopkins (Commandant de mission Swanbeck)@||Secrets de tournage :
Hans Zimmer, compositeur
Hans Zimmer a collaboré avec Barry Levinson (Rain Man en 1988, Toys en 1992), Ridley Scott (Black Rain en 1989), Tony Scott (Jours de tonnerre en 1990, True romance en 1993, USS Alabama en 1995, The fan en 1996), John Badham (Comme un oiseau sur la branche en 1990, Nom de code : Nina en 1993, Drop zone en 1994), ou encore Peter Weir (Green card en 1990).
Hans Zimmer a également signé le score de La ligne rouge (Terrence Malick, 1999).
En 2000, il retrouve Ridley Scott pour Gladiator.
John Woo se renouvelle
« J'essaie de me renouveler à chaque film, et ce projet était l'occasion idéale d'aborder un territoire inédit. La dimension humaine était, à mes yeux, primordiale dans cette histoire. Je voulais que Mission : Impossible 2 soit aussi riche sur le plan dramatique qu'émotionnel et qu'il dégage un vrai charme. »
Robert Towne, scénariste
Scénariste pour Roman Polanski (Chinatown en 1974), Sydney Pollack (Yakuza en 1975, La firme en 1993) et Hal Ashby (La dernière corvée en 1973, Shampoo en 1975, Huit millions de façons de mourir en 1986), Robert Towne a également signé les scénarii de Greystoke, la légende de Tarzan (Hugh Hudson, 1984) et de The two Jakes (Jack Nicholson, 1990).
Avant d'écrire le script de Mission : Impossible 2, il avait écrit celui de Mission : Impossible de Brian de Palma (1996).
Robert Towne est également metteur en scène. Il a réalisé Personnal Best en 1984 et Tequila sunrise en 1988.
Paula Wagner, la productrice, évoque Luther, incarné Ving Rhames
« C'est un autre genre de dichotomie qui est ici à l'?uvre, et qui rend si intéressant le personnage de Luther. Le physique imposant de Ving vous fait attendre un certain type d'individu, et vous découvrez derrière cette façade impressionnante un homme au c?ur d'or et un génie de l'informatique. Le public adore ça ! »
John Woo en tremble encore...
L'une des scènes les plus impressionnantes de Mission : Impossible 2 présente Tom Cruise au-dessus du vide. John Woo, revenant sur cette séquence à haut risque, avoue avoir «encore la chair de poule. Tom était suspendu à cette falaise à plusieurs centaines de mètres de haut, traqué par un hélicoptère dont les pales le frôlaient. Mais il ne s'est pas contenté d'une prise, il a exigé qu'on refasse la scène encore et encore jusqu'à ce qu'elle soit parfaite. Mais je comprends et j'admire son perfectionnisme.»
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Mission: Impossible III|J.J. Abrams|Action||3|américain|2006|120|Anglais||DX50|||DX50|710 Kbps|528x224|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Tom Cruise Paula Wagner|J.J. Abrams Alex Kurtzman Roberto Orci|Daniel Mindel||Paramount Pictures|Saga : Mission : impossible |Ethan espérait avoir tourné une page en quittant le service actif de la Force Mission Impossible pour un poste de formateur ; pouvoir enfin mener une vie "normale", se consacrer tout entier à sa ravissante épouse, Julia...Mais lorsque Lindsey, la plus brillante recrue de l'IMF "tombe" à Berlin, Ethan se sent moralement obligé de lui porter secours. Assisté de ses fidèles coéquipiers Luther, Zhen et Declan, il infiltre le repaire du trafiquant Owen Davian et arrache la jeune femme des mains d'une quinzaine de ses sbires. Trop tard : quelques instants plus tard, une mini-capsule de magnésium explose dans la tête de Lindsey, la tuant sur le coup. Davian avait tout prévu...Pour Ethan, c'est bien plus qu'un ratage - c'est une faillite personnelle dont il lui faut au plus vite se racheter... |Tom Cruise (Ethan Hunt)@Ving Rhames (Luther Stickell)@Philip Seymour Hoffman (Owen Davian)@Billy Crudup (John Musgrave)@Michelle Monaghan (Julia)@Jonathan Rhys-Meyers (Declan)@Keri Russell (Lindsey Farris)@Maggie Q (Zhen)@Simon Pegg (Benji Dunn)@Laurence Fishburne (Theodore Brassel)@Sasha Alexander (Melissa)@Greg Grunberg (Kevin)@Sabra Williams (Annie)@José Zuniga (Pete)@Bahar Soomekh (le traducteur de Davian)@Michael Berry (le kidnappeur de Julia)@Jeff Chase (le garde du corps de Davian)@Bellamy Young (Rachael)@Carla Gallo (Beth)@Eddie Marsan (Brownway)@Paul Keeley (Ken)@Aaron Paul (Rick)@Tracy Middendorf (Ashley)@Jane Daly (la mère de Julia)@Bruce French (le ministre)@Ellen Bry (la mère de Lindsey)@Patrick Pankhurst (le père de Lindsey)@Tony Guma (Jim)@James Shanklin@Anne Betancourt (l'infirmière Sally)@Paolo Bonacelli (Monseigneur)@David Waters (l'officier IMF)@Francesco De Vito (le prêtre)@Michael Kehoe (l'employé de l'hôpital)@Timothy Omundson (l'agent IMF)@William Francis McGuire (le chef de la sécurité d'IMF)@Michelle Arthur@Kathryn Fiore@Colleen Crozier@Sean O'Bryan@Niccolo Senni (Garde du Vatican)@Giorgio Marchesi (Garde du Vatican)@Rose Rollins (Ellie)@||Secrets de tournage :
Troisième mission pour l'agent Hunt
M : i : III est le troisième long-métrage adapté de la célèbre série télévisée Mission : impossible après Mission : impossible (1996, Brian De Palma) et Mission : impossible 2 (2000, John Woo). Pour la troisième fois, Tom Cruise, initiateur de la saga sur grand écran, endosse la panoplie de l'agent Ethan Hunt.
Valse des réalisateurs
Pour la saga Mission : impossible, l'acteur et producteur Tom Cruise a souvent dit qu'il désirait un cinéaste au style cinématographique fort et différent pour chaque volet. Après Brian De Palma et John Woo pour les deux premiers épisodes, le troisième élu a mis un certain temps à se dessiner. David Fincher (Seven, Fight club) fut le premier attaché au projet, mais se désista en raison d'un désaccord artistique. Joe Carnahan (Narc) fut ensuite choisi, mais se retira également pour les mêmes raisons. J.J. Abrams, connu pour avoir notamment créé la série Lost, est alors désigné réalisateur de M : i : III en août 2004... et le restera !
J.J. Abrams : du petit au grand écran
M : i : III est le premier long-métrage du jeune réalisateur J.J. Abrams, âgé d'à peine quarante ans. Avant de prendre les commandes de cette troisième mission, Abrams était surtout connu pour être le créateur de trois séries télévisées à succès : Felicity, Alias et Lost, les disparus. C'est d'ailleurs en voyant certains épisodes de cette dernière que Tom Cruise, enthousiasmé, lui demanda de réaliser M : i : III.
Un record pour un novice
M : i : III est dôté d'un budget de 150 millions de dollars. Soit le plus gros budget jamais alloué à un réalisateur novice, en l'occurence J.J. Abrams.
Un casting au long cours
Avant la distribution définitive, de nombreux noms ont circulé pour le casting de M : i : III : Carrie-Anne Moss (rôle supprimé), Kelly Brook, Kenneth Branagh (remplacé par Philip Seymour Hoffman), Scarlett Johansson (remplacée par Keri Russell) ou encore Ricky Gervais (remplacé par Simon Pegg) furent ainsi, un temps, pressentis pour faire partie de l'aventure. Leur non-participation fut la conséquence du retard pris par le tournage, de changements de scripts ou de raisons personnelles. C'est d'ailleurs pour cette dernière raison que Thandie Newton décida de ne pas reprendre son rôle de Nyah Nordoff Hall, tenu dans Mission : impossible 2.
L'ombre de "Star Trek"
La majeure partie du tournage de M : i : III s'est déroulé dans un studio très particulier de la Paramount : celui-ci n'avait été utilisé, jusque-là, que pour tourner les épisodes de la série Star Trek, et ce durant 18 ans.
Refus allemand
Une scène de M : i : III devait être tournée dans l'enceinte du Bundestag, le Parlement allemand, à Berlin. Tom Cruise mis tout son poids de mégastar et de producteur pour obtenir l'autorisation de filmer dans le bâtiment. Mais malgré toute sa volonté, les autorités allemandes ne donnèrent pas leur feu vert.
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The Longest yard|Peter Segal|Comédie||2|américain|2005|113|Anglais||XviD|||XVID|730 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|703||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Jack Giarraputo|Albert S. Ruddy Tracy Keenan Wynn Sheldon Turner|Dean Semler||Columbia TriStar||Lorsque Paul Crewe, star du football américain, se retrouve en prison pour fraude sur les matchs, il ne veut plus rien avoir à faire avec ce sport. Mais les gardiens l'obligent à monter une équipe avec les autres détenus. D'un groupe de hors-la-loi disparate, Crewe doit faire une équipe capable d'affronter les gardiens décidés à en découdre...
Avec l'aide de Nate et Caretaker, Crewe promet à ses "joueurs" l'occasion de prendre leur revanche sur ceux qui leur pourrissent la vie tous les jours. Chaque camp va tout donner pour préparer la rencontre historique qui sera aussi l'occasion de régler définitivement les comptes... |Adam Sandler (Paul Crewe)@Chris Rock (Caretaker)@Burt Reynolds (Nate Scarborough)@Nicholas Turturro (Brucie)@William Fichtner (le capitaine Knauer)@James Cromwell (Le surveillant Hazen)@Walter Williamson (Errol Dandridge)@Edward Bunker (Skitchy Rivers)@Bill Goldberg (Battle)@Terry Crews (Cheeseburger Eddy)@Bob Sapp (Switowski)@Michael Irvin (Deacon Moss)@Dalip Singh (Turley)@Lobo Sebastian (Torres)@Joey Diaz (Big Tony)@Steve Reevis (Baby Face Bob)@David Patrick Kelly (Unger)@Tracy Morgan (Miss. Tucker)@Rob Schneider (Punky)@Bill Romanovski (Le surveillant Lambert)@Nelly (Megget)@Courteney Cox (Lena)@||Secrets de tournage :
Remake de "Plein la gueule"
Mi-temps au mitard n'est autre que le remake de la comédie Plein la gueule, réalisée par Robert Aldrich en 1974. Burt Reynolds, présent au générique de cette nouvelle version, tenait le rôle principal de l'original.
Parole d'initié
Contacté pour tenir le rôle de l'entraîneur Nate Scarborough, Burt Reynolds confie : " Je trouvais leur approche vraiment bonne, elle apportait quelque chose de neuf et je ne voulais pas me contenter d'un petit rôle en clin d'oeil. Je suis heureux et flatté que trente ans plus tard, le film ne soit pas oublié et qu'il renaisse avec autant d'énergie et de talent. Ceux qui connaissaient l'original vont être vraiment contents et les autres vont découvrir une histoire fantastique ! "
Robert Aldrich retrouvé !
Après ce Mi-temps au mitard, Le Vol du Phénix a lui aussi fait les frais d'un remake, réalisé par John Moore avec Dennis Quaid reprenant un rôle autrefois tenu par James Stewart.
Et de 3 !
C'est la troisième collaboration de Peter Segal et Adam Sandler, après Amour et amnésie et Self control.
Et de... 13 !
Mi-temps au mitard est le treizième long-métrage produit par Adam Sandler à travers sa société Happy Madison Productions. En 2005, la société en totalise 20.
Un consultant poids lourd
Pour s'assurer que les scènes de football paraissent vraies, la production a fait appel à un ancien quarterback de la NFL, coordinateur de football très connu : Mark Ellis a travaillé entre autres sur Coach Carter, Friday Night Lights et L'Enfer du dimanche. Il a préparé les acteurs pour obtenir le maximum de réalisme tout en respectant la sécurité.
Jouons un peu: le football américain, késaco ?
A savoir: le ballon mesure exactement un foot (un pied, 30 cm) d'où le nom de football. Les deux équipes s'affrontent sur un terrain de 100 yards (91 mètres), divisés en 12 zones dont deux Zones d'extrêmité, utilisées avec les buts pour marquer les points. D'une durée officielle d'une heure, une partie peut aller jusqu'à 2h30 à cause des nombreux arrêts de jeu. Une équipe est composée de groupes d'attaque, de défense, et d'un groupe spécial.
Le groupe d'attaque : il comprend un quaterback, chargé de passer la balle à un runningback ou a un wide receiver. Viennent ensuite les joueurs on the line, chargés de protéger le quaterback et l'aider à percer les défenses adverses. Le groupe de défense est composé de defensive backs et de linebackers, chargés d'intercepter les passes, et de defensive lines, au front contre la ligne offensive adverse. L'équipe spéciale intervient seulement pour les coups d'envoi: le kicker tente de faire passer la balle dans les buts, et le punter envoie le ballon aussi loin qu'il le peut. Comment marquer? Par le touchdown (6 points) un joueur arrive jusqu'à la zone d'extrêmité adverse. Le Field Goal (3 pts) : on envoie la balle dans les but adverses. Safety (2 points) : on plaque l'adversaire dans sa zone d'extrêmité. Pour marquer un touchdown, il est necessaire d'avancer d'au moins 10 yards. Ceci étant assez rare, l'équipe a 4 essais. Si elle n'a pas atteint dix yards en 4 tentatives, le ballon revient au camp adverse, d'où les nombreuses interruptions de jeu. Voilà pour les bases !
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Meet the Fockers|Jay Roach|Comédie||3|américain|2005|110|Anglais||XviD|||XVID|742 Kbps|720x384|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Robert De Niro Jay Roach Jane Rosenthal|James Herzfeld Tim Rasmussen Vince DiMeglio|John Schwartzman||Universal Pictures|Saga : Mon beau-père |Greg Focker est un brave infirmier qui accumule les déboires, les maladresses et les faux-pas. Soucieux de plaire à tout le monde et de faire oublier son nom grotesque, sa première entrevue avec ses futurs beaux-parents Jack et Dina Byrnes fut un concentré exemplaire de tout ce qu'il ne faut pas faire dans de telles circonstances. Entre-temps, les choses se sont arrangées, et Greg a même réussi à amadouer le terrifiant Jack et à intégrer son cercle de confiance.Pam et lui peuvent donc envisager le mariage, mais il reste à organiser une réunion entre les Byrnes et les Focker. Un paisible week-end en Floride dans la propriété de Bernie et Roz Focker -lui fervent libéral, elle sexologue militante- permettra enfin aux deux familles de lier connaissance. Un ultime examen de passage, qui ne devrait pas poser de problème... |Robert De Niro (Jack Byrnes)@Ben Stiller (Greg Focker / Gaylord N. Furniker (vf))@Teri Polo (Pamela Martha Byrnes Focker / Furniker (vf))@Blythe Danner (Dina Byrnes)@Dustin Hoffman (Bernie Focker / Furniker (vf))@Barbra Streisand (Roz Focker / Furniker (vf))@Alanna Ubach (Isabel)@Ray Santiago (Jorge Villalobos)@Tim Blake Nelson (le policier Le Flore)@Owen Wilson (Kevin Rawley)@||Secrets de tournage :
La suite d'un énorme succès
Le phénoménal succès de Mon beau-père et moi, qui généra plus de 300 millions de dollars au box-office international, donna très vite l'idée d'une suite aux producteurs Jane Rosenthal, Robert De Niro et Jay Roach. Pour Jane Rosenthal, "le premier film avait reçu un accueil si enthousiaste qu'il n'était vraiment pas facile de trouver une histoire conforme à nos attentes. Car l'objectif, pour nous tous, était maintenant de placer la barre encore plus haut, de trouver la meilleure intrigue possible. La solution ? Introduire ces fameux "parents indignes", qui avaient eu la mauvaise idée d'engendrer
un Gaylord Focker !"
De Niro / Hoffman, troisième
Après Sleepers et Des hommes d'influence, tous deux réalisés par Barry Levinson, les deux acteurs partagent l'affiche pour la troisième fois à l'occasion de cette suite de Mon beau-père et moi. En revanche, aucun d'entre eux n'avait jusqu'ici tourné avec Barbra Streisand.
Ben et Barbra
Ben Stiller voulait absolument que Barbra Streisand interprète le rôle de Roz Focker, la mère de son personnage. Il parvint finalement à sortir de sa retraite la comédienne qui n'avait plus tourné depuis Leçons de séduction en 1997 et ce par choix.
Celle-ci raconte : "J'avais opté pour un mode de vie relax et ne voulais plus être obligée de me lever à 5 heures du matin. Mais Jay s'est montré très persuasif et parfaitement
adorable. C'est toujours sympa de s'entendre dire qu'on est l'unique interprète possible d'un rôle. Ben m'a appelée d'Europe en insistant pour que je joue sa mère. Je me suis donc résignée de bon coeur à être debout aux aurores, comme jadis. La suite m'apprit que c'était une excellente décision. Le tournage fut une merveilleuse aventure."
Dustin Hoffman et Barbra Streisand amis de longue date
Dustin Hoffman et Barbra Streisand se connaissaient depuis quarante ans mais n'avaient jamais tourné ensemble. La comédienne raconte : "Nous avions suivi le même cours d'art dramatique et à l'époque, Dustin sortait avec ma compagne de chambrée. Il payait ses études en travaillant comme gardien de l'école, tandis que je faisais du babysitting pour mon prof. Ç'a été très amusant de jouer avec lui parce que nous aimons tous deux improviser."
Lieux de tournage
Les extérieurs ont été tournés au barrage de Sepulveda, dans la vallée de San Fernando ; dans le parc de loisirs de Long Beach ; dans le centre commercial Paseo Coronado de Pasadena ; dans le Queen Anne Cottage, fleuron du jardin botanique du comté de Los Angeles, réaménagé par le chef décorateur Rusty Smith pour servir de résidence à la famille Focker.
Mrs. "Boob"
L'actrice Teri Polo, qui incarne Pamela Byrnes, a la langue qui fourche. Après qu'elle a accidentellement appelé Barbra Streisand "Boob", l'expression a fini par devenir le sobriquet officiel de cette dernière sur le tournage.
D'un uniforme à l'autre
On retrouve dans ce film l'acteur Tim Blake Nelson, alias Delmar, l'un des trois évadés de O'Brother. Egalement réalisateur (Othello 2003, The Grey zone), il interprète ici le rôle secondaire de l'officier LeFlore.
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My boss's daughter|David Zucker|Comédie||2|américain|2004|82|||DX50|||DX50|1 072 Kbps|544x288|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|693||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Gil Netter John L. Jacobs|David Dorfman (II)|Martin McGrath||Dimension Films||Tom, un jeune employé de bureau, se voit confier la garde de la maison de son employeur, avec le secret espoir de séduire Lisa, la fille de ce dernier. Mais celle-ci est partie assister à un concert avec son petit ami.
Pour ajouter au malheur de Tom, la demeure est rapidement envahie par des invités inattendus, dont une secrétaire virée et Kevin, le fils du patron poursuivi par des dealers locaux. |Ashton Kutcher (Tom Stansfield)@Tara Reid (Lisa Taylor)@Terence Stamp (Jack Taylor)@Andy Richter (Red Taylor)@Jeffrey Tambor (Ken)@Michael Madsen (T.J.)@Jon Abrahams (Paul)@David Koechner (Speed)@Carmen Electra (Tina)@Kenan Thompson (Hans)@Patrick Cranshaw (le vieil homme)@Molly Shannon (Audrey Bennett)@Tyler Labine (Spike)@Angela Little (Sheryl)@Ron Selmour (Darryl)@||Secrets de tournage :
Un as de la parodie aux commandes
C'est David Zucker, expert dans le genre de la parodie (l'un des "Z" du trio "ZAZ", il a notamment réalisé Y a-t-il un pilote dans l'avion ?, Y a-t-il un flic pour sauver la reine ? ou encore Scary movie 3), qui est aux commandes de Mon boss, sa fille et moi. Pour une fois, le cinéaste s'est écarté de son domaine de prédilection : "Le script m'a fait rire aux éclats. Ce n'est pas une parodie, contrairement à mes films antérieurs, mais une histoire "vraie", qui pourrait arriver à quelqu'un de très malchanceux - une comédie loufoque contemporaine où les malentendus s'enchaînent et prennent une tournure catastrophique."
Deux valeurs montantes...
Mon Boss, sa fille et moi met en vedette deux jeunes stars montantes d'Hollywood : Ashton Kutcher et Tara Reid. Le premier, révélé grâce à la série comique That 70's show, s'est ensuite familiarisé dans le registre du rire et de l'absurde, s'illustrant aux génériques d'Eh mec, elle est où ma caisse ? et Pour le meilleur et pour le rire, mais s'essayant également au fantastique avec L'Effet papillon. La seconde s'est révélée avec la saga adolescente American pie.
...et une valeur sûre
Pour entourer Ashton Kutcher et Tara Reid, la production a fait appel à l'expérimenté acteur britannique Terence Stamp (Superman I, L'Anglais). Aussi impressionnant et inquiétant que peut être Stamp, il fut immédiatement conquis par l'humour de Mon boss, ma fille et moi et s'amusa à jouer avec son image austère et peu facile au premier abord.
"Le script m'a fait hurler de rire", déclare Terence Stamp. "Il est impossible d'aborder rationnellement le personnage de Jack Taylor, parce que c'est un fou furieux. Un grand homme d'affaires, soit, mais également un obsessionnel, un maniaque de la propreté qui parsème son jardin de pièges à loups pour empêcher les gosses du voisin de s'y aventurer. J'ai décidé très tôt de jouer Taylor avec un sérieux imperturbable. J'aime particulièrement ces comédies où l'acteur ne semble pas réaliser l'absurdité de la situation. J'ai donc choisi d'aborder Jack comme si c'était... Hamlet !"
Des seconds rôles de haute volée
Les seconds rôles de Mon boss, sa fille et moi sont de grands noms du divertissement américain. Figurent ainsi au générique Michael Madsen (Reservoir dogs, Kill Bill), acteur fétiche de Quentin Tarantino, ainsi que la sculpturale Carmen Electra (la série Alerte à Malibu, Starsky et Hutch).
Des deux côtés de la barrière
Le jeune Ashton Kutcher, vedette de Mon Boss, sa fille et moi, est également co-producteur du long-métrage.
Cary Grant comme référence
Pour créer son personnage de Tom, l'acteur Ashton Kutcher s'est inspiré des screwball comedies des années 30 et 40, notamment celles avec Cary Grant. Il a ainsi visionné nombre de comédies de ce dernier : "Cela m'intéressait de voir ses réactions dans des films comme L'Impossible Monsieur Bébé où il est entraîné malgré lui dans un incroyable cauchemar."
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The Whole nine yards|Jonathan Lynn|Comédie||3|américain, canadien|2000|98|Anglais||DIV3|||DIV3|841 Kbps|720x416|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|691||||23.976|13/08/2009 00:00:00|Allan Kaufman (II) David Willis (I)|Mitchell Kapner|David Franco||UFD|Saga : Mon voisin le tueur |Nicholas "Oz" Oseransky est un paisible dentiste de Montréal, dont la vie a tourné au cauchemar. Endetté, coincé entre une épouse acariatre, Sophie, et une belle-mère guere plus avenante, il est prêt a tout pour recouvrer la liberté. Oz manque de s'evanouir en decouvrant que son nouveau voisin n'est autre que Jimmy Tudeski, dit Jimmy la Tulipe, l'ancien éxécuteur du gang Gogolack, libéré pour avoir balancé son chef a la police. Sophie oblige son mari a aller dénoncer Tudeski a Janni Gogolack. Celui-ci tient en otage la femme du tueur, dont Oz tombe amoureux. |Bruce Willis (Jimmy Tudeski)@Matthew Perry (Nicholas "Oz" Oseransky)@Rosanna Arquette (Sophie Oseransky)@Natasha Henstridge (Cynthia Tudeski)@Michael Clarke Duncan (Frankie Figs)@Amanda Peet (Jill St. Claire)@Kevin Pollak (Janni Pytor Gogolak)@Rumer Willis@||Secrets de tournage :
Tournage à Montréal :
"Montréal nous offrait sa merveilleuse architecture et quantité de décors naturels peu connus." souligne David Snyder, le chef décorateur." Nous avons même trouvé dans sa banlieue deux maisons voisines qui répondaient parfaitement à nos besoins, ainsi que la résidence Gogolack, censément située sur les berges du Lac Michigan."
Matthew Perry (Nicholas « Oz » Oseransky) :
Héros de la série télé ?Friends?, Matthew Perry a effectué ses débuts au cinéma en 1988, dans A night in the life of Jimmy Reardon de William Richert.
On a pu le voir également dans Getting In de Doug Liman, Coup de foudre et conséquences,de Andy Tennant, ou, Three to tangode Damon Santostefano
Mickael Clarke Duncan (Frankie Figs) :
Il a été LA révélation de La Ligne Verte de Frank Darabont, dans lequel son rôle de géant naïf lui a valu une citation à l'Oscar et le Screen Actors Guild Award.
Au cinéma, on a pu le voir dans Bulworth de Warren Beatty, Armageddon de Micahel Bay, The player's club d'Ice Cube etUne nuit au Roxbury de John Fortenberry.
Natasha Henstridge (Cynthia) :
D'origine canadienne, Natasha Henstridge s'est révélée au cinéma avec La Mutante de Roger Donaldson (1995). Depuis, on a pu la voir dans Maximum Risk, de Rigo Lam, et It Had To Be You, de Steven Feder, ou La Mutante II, de Peter Medak.
Jonathan Lynn, réalisateur
Scénariste, comédien, auteur et metteur en scène, Jonathan Lynn a notamment réalisé Mon cousin Vinny, qui a valut l'Oscar à Marisa Tomei, Greedy, avec Kirk Douglas, et Sergent Bilko avec Steve Martin.
C'est en 1985 qu'il réalise son premier long métrage, Clue dont il a également écrit le scénario.
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The Whole Ten Yards|Howard Deutch|Comédie||2|américain|2004|98|Anglais||XviD|||XVID|844 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||23.976|06/08/2009 00:00:00|Allan Kaufman (II) Arnold Rifkin Elie Samaha Andrew Stevens David Willis (I)|Mitchell Kapner|Neil Roach||Warner Bros. France|Saga : Mon voisin le tueur |Grâce à son ex-voisin, Nicholas " Oz " Oseransky, qui lui a fourni un dossier dentaire bidouillé, Jimmy " La Tulipe " Tudeski, tueur à gages rangé des voitures, passe désormais ses journées à jouer les fées du logis et les parfaits cordons bleus en compagnie de son épouse Jill, qui se figure être une meurtrière professionnelle sans avoir jamais fait mouche. Et voilà qu'une vieille connaissance ressurgit inopportunément sur leur pas de porte : il s'agit de Oz, qui les supplie de l'aider à arracher sa femme Cynthia à des gangsters hongrois. Ensemble, il leur faudra surmonter mille obstacles afin de défaire ces malfaisants mafieux. |Bruce Willis (Jimmy Tudeski)@Matthew Perry (Nicholas Oseransky)@Natasha Henstridge (Cynthia Oseransky)@Amanda Peet (Jill St. Claire)@Kevin Pollak (Lazlo Gogolak)@Frank Collison (Strabo)@Johnny Messner (Zevo)@Tallulah Willis (Buttercup Scout)@||Secrets de tournage :
La suite de Mon voisin le tueur
Par amitié pour Matthew Perry et par plaisir de renouer avec la comédie, Bruce Willis accepta de reprendre son rôle de tueur pas comme les autres pour cette suite de Mon voisin le tueur. Le tournage débuta le 4 octobre 2002 à Los Angeles.
La fille de Bruce Willis au casting
Tallulah Willis, qui n'est autre que la fille de Bruce Willis et Demi Moore, fait une petite apparition dans le film.
Le logo de Cheyenne Entreprises comme tatouage
Le tatouage qu'arbore Jimmy La Tulipe dans son dos est le logo de Cheyenne Entreprises, la société de production de Bruce Willis ici partie prenante.
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Money Train|Joseph Ruben|Policier||2|américain|1996|105|Anglais||DX50|||DX50|939 Kbps|720x416|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|790||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Tracy Barone|Doug Richardson David Loughery|John Lindley||Columbia TriStar Films||John Powell et Charlie Kaylor sont agents de la securite dans le metro de New York. Leur methode est simple. Pour reduire les vols a la tire, ils prennent l'apparence des plus faibles pour induire les delinquants en erreur et les prendre en flagrant delit. |Wesley Snipes (John)@Woody Harrelson (Charlie)@Jennifer Lopez (Grace Santiago)@Robert Blake (Donald Patterson)@Chris Cooper (Torch)@Joe Grifasi (Riley)@Scott Sowers (Mr. Brown)@Skipp Sudduth (Kowalski)@Vincent Laresca (le voleur du métro 1)@Nelson Vasquez (le voleur du métro 2)@Vincent Patrick (Frank)@Aida Turturro (la femme sur la plate-forme 1)@Alvaleta Guess (la femme sur la plate-forme 2)@Vincent Pastore (le cambrioleur 1)@Enrico Colantoni@Bill Nunn@Larry Gilliard Jr.@||||||||||||@@
Monster House|Gil Kenan|Animation||2|américain|2006|90|Anglais||XviD|||XVID|982 Kbps|720x404|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|32.0 KHz|2|704||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Jack Rapke Steve Starkey|Gil Kenan Rob Schrab Dan Harmon Pamela Pettler|Xavier Pérez Grobet||Sony Pictures||D.J. Walters, un petit garçon de 12 ans est doté d'une imagination débordante. C'est pourquoi personne ne le prend au sérieux lorsqu'il fait part de ses craintes au sujet de son horrible voisin qui terrorise tous les enfants du quartier. Il est en effet persuadé que celui-ci est responsable de la disparition mystérieuse de sa femme. Il a également remarqué d'autres phénomènes inquiétants se déroulant dans la maison de ce dernier. Ce que personne ne sait, c'est que D.J. n'invente rien et que cela va empirer. |Mitchel Musso (DJ (voix))@Sam Lerner (Chowder (voix))@Spencer Locke (Jenny (voix))@Steve Buscemi (Nebbercracker (voix))@Nick Cannon (Officier Lister (voix))@Matthew Fahey (Ryan (voix))@Maggie Gyllenhaal (Zee (voix))@Jon Heder (Skull (voix))@Kevin James (Officier Landers (voix))@Jason Lee (Bones (voix))@Kathleen Turner (Constance (voix))@Catherine O'Hara (Maman (voix))@Fred Willard (Papa (voix))@Ryan Newman (Eliza (voix))@Erik Walker (Cameron (voix))@Woody Schultz (auxiliaire médical n°1 (voix))@Ian McConnel (auxiliaire médical n°2 (voix))@Marc Musso (voix additionnelles)@||Secrets de tournage :
Premier film
Monster House est le premier long-métrage du réalisateur Gil Kenan. Diplômé de UCLA (Université de Los Angeles), il a fait ses premières armes avec le court-métrage d'animation The Lark. "Quand j'ai vu The Lark, je me suis dit : "Ça y est, nous tenons notre réalisateur." Je sentais que Gil serait parfait", précise Robert Zemeckis. "Lorsque nous avons parlé du projet, il avait une vision si nette et novatrice que j'ai tout de suite su que mon instinct ne m'avait pas trompé. Il avait parfaitement saisi la notion d'humour et d'épouvante et comment l'équilibre des deux rendrait cette histoire spéciale.
Collaboration
Monster House marque la dixième collaboration du prolifique tandem Steven Spielberg / Robert Zemeckis (la trilogie Retour vers le futur, Qui veut la peau de Roger Rabbit ?, Seul au monde...) Pour ce projet, qui marque leur première collaboration "animée", ils partagent tous deux la casquette de producteur exécutif.
Un nouveau dans l'animation
Premier film Sony Pictures Animation, Monster House marque les grands débuts du studio, nouveau venu sur un marché de l'animation américaine dominé par Disney/Pixar, DreamWorks Animation et Fox/Blue Sky Studios. Outre Monster House, Sony Pictures Animation dévoile un autre long métrage en 2006 : Les Rebelles de la forêt, du trio Jill Culton, Anthony Stacchi et Roger Allers.
Sony et le numérique
Sony Pictures Imageworks Inc., qui s'est occupé des effets visuels de Monster House, est un studio numérique couronné aux Oscars se consacrant à la recherche artistique en matière d'effets visuels et d'animation par ordinateur. Le studio a été nommé aux Oscars pour son travail sur Le Monde de Narnia : chapitre 1 - le lion, la sorcière blanche et l'armoire magique d'Andrew Adamson entre autre, et en a remporté un pour Spider-Man 2 de Sam Raimi.
Un film d'horreur pour enfants
Jack Rapke, le producteur de Monster House, précise que "Monster House sera pour le public une expérience puissante, un tour en montagnes russes, visuellement différent de tout ce qu'on a pu voir jusqu'ici sur le grand écran. Nous avons créé quelque chose de complètement nouveau : un film d'horreur pour les enfants." Le scénariste Rob Schrab précise qu'avec son partenaire Dan Harmon "[nous] avons écrit le film que nous avions envie de voir, un film pour enfants qui ne les traite pas comme des bébés et qui n'a pas peur de leur fiche la trouille ! J'aimerais vraiment que Monster House ouvre la voie à plus d'histoires de monstres faites en pensant aux enfants ..."
Motion Capture
Après Le Pôle Express, Monster House est le deuxième film entièrement réalisé à l'aide de la "Performance Capture". Procédé permettant de recréer à la perfection les expressions et les gestes des comédiens en infographie. Robert Zemeckis, qui a développé cette technique à travers ses différents films, coiffe ici la casquette de producteur exécutif et laisse la réalisation à Gil Kenan. Le processus de capture de mouvement a cependant dû être affiné pour Monster House.
Tournage
Monster House a été tourné en grande partie dans la chronologie imposé par le scénario et selon un planning restreint : "Un tournage de 42 jours est plutôt rapide, particulièrement comparé à la plupart des films en prises de vues réelles dont le tournage s'étend souvent sur une durée de plus d'une centaine de jours, explique le producteur exécutif Jason Clark. Et nous travaillions avec des enfants, dont la journée de travail est plus courte que celle d'un adulte. Nos journées étaient vraiment courtes."
Les voix de Monster House
Les personnages de Monster House se sont vus gratifier de grands noms du cinéma américain pour leur donner de la voix. C'est ainsi le deuxième film d'animation pour lequel Steve Buscemi et Catherine O'Hara prêtent leurs voix, après avoir participé respectivement à Monstres & Cie et Chicken Little. Par contre Maggie Gyllenhaal, Jon Heder et Kathleen Turner réalisent ici leur première expérience dans le milieu du doublage de personnages animés.
Maison hantée
C'est en partant de l'idée que les enfants ont toujours été fasciné par les fameuses maisons hantées dont l'entrée leur était interdite, que la société de production de Robert Zemeckis, ImageMovers, a été attirée par le scénario de Dan Harmon et Rob Schrab mettant en scène une maison vivante : "Nous avons tout de suite trouvé que c'était une idée géniale, abordée sous un jour particulièrement original".
Anthropomorphisation
L'un des objectifs principaux de Monster House a été d'"anthropomorphiser" la maison en lui donnant des expressions et des attitudes proches de celles des humains. Créer son apparence visuelle a donc été un processus minutieux. Chris Appelhans, responsable de la conception d'image sur le film, précise : "Il a fallu concevoir une maison qui donne la chair de poule à regarder mais qui ne soit quand même pas trop effrayante, sinon le public n'aurait pas accepté qu'elle passe inaperçue dans le quartier. Au départ, c'est une vieille maison comme il en existe beaucoup. Mais quand la lumière change, elle paraît soudain monstrueuse et menaçante." Le producteur Steve Starkey ajoute : "La maison a été conçue avec deux yeux et une bouche, ce qui a permis aux animateurs de reproduire des expressions humaines".
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Monsters, Inc.|Pete Docter David Silverman Lee Unkrich|Animation||4|américain|2002|88|Anglais||DX50|||DX50|999 Kbps|624x368|MPEG-1 Audio layer 3|94.5 Kbps|False|44.1 KHz|2|699||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Darla K. Anderson|Robert L. Baird Dan Gerson Pete Docter Rhett Reese Andrew Stanton|||Walt Disney Pictures||Monstropolis est une petite ville peuplée de monstres dont la principale source d'énergie provient des cris des enfants. Monstres & Cie est la plus grande usine de traitement de cris de la ville. Grâce au nombre impressionnant de portes de placards dont dispose l'usine, une équipe de monstres d'élite pénètre dans le monde des humains pour terrifier durant la nuit les enfants et récolter leurs hurlements.Le Terreur d'élite le plus réputé de Monstres & Cie s'appelle Jacques Sullivent, alias Sulli. C'est un monstre cornu de 2m40 de haut à la fourrure bleu-vert tachetée de violet. Une nuit, alors qu'il se trouve à l'"Etage de la Terreur", il s'aperçoit qu'une porte de placard n'a pas été fermée correctement. Pour vérifier que tout est en place, il l'ouvre, permettant sans le vouloir à Bouh, une petite fille, de pénétrer dans son monde. |Billy Crystal (Mike Wazowski (voix))@John Goodman (James P. Sullivan (voix))@James Coburn (Henry J. Waternoose (voix))@Mary Gibbs (Boo (voix))@Steve Buscemi (Randall Boggs (voix))@Jennifer Tilly (Celia (voix))@John Ratzenberger (le Yéti (voix))@Frank Oz (Fungus (voix))@Steve Susskind (le manager (voix))@Bonnie Hunt (Flint (voix))@Dan Gerson (Smitty (voix))@Jeff Pidgeon (Bile (voix))@Samuel Lord Black (George Sanderson (voix))@||Secrets de tournage :
La "Monstres et Cie" en chiffres
Dans le film des studios Pixar, la société "Monstres & Cie" affichent des chiffres impressionnants. Ainsi, plus de 6,2 millions de portes permettent d'atteindre les chambres des enfants, pour 1,825 million de cris récoltés en 2001 dans 2,3 millions de villes réparties dans 253 pays où les petits sont effrayés par 230 équipes composées chacune d'une terreur d'élite de son attaché de stress, le tout pour 53000 containers d'énergie remplis chaque mois. Enfin, sachez que 200 agents du CDA (Centre de Détection Anti-enfant) veillent à éviter tout collusion entre le monde des enfants et celui des monstres.
Nouveaux studios
Coïncidant avec le 15ème anniversaire des studios Pixar, Monstres & Cie a été réalisé dans les nouveaux studios Pixar d'Emeryville, situés près de Berkeley, en Californie. Les 20 205 m2 des studios ont accueilli près de 600 techniciens, ce depuis novembre 2000.
Informatique surpuissante
Avec ses nombreuses innovations technologiques, Monstres & Cie a nécessité l'utilisation d'outils informatiques surpuissants. L'ensemble de l'animation a ainsi mobilisé 2,5 millions de "rendermarks", une unité de puissance de calcul. A titre de comparaison, Toy Story 2 n'a mobilisé "que" 1,1 million de "rendermarks".
22 décors créés
Aventure trépidante, Monstres & Cie a nécessité la création de pas moins de 22 décors différents, des recoins de la ville de Monstropolis aux chambres des enfants, en passant par la fameuse salle des portes, où sont censées défiler pas moins de 5,6 millions de portes menant aux chambres des petits.
Titre proposé par un vétéran
Après de multiples développements, le principe d'une société peuplée uniquement de monstres qui effraient les enfants afin de subvenir à leurs besoins énergétiques est adopté. Le titre du film est, pour sa part, l'oeuvre de Joe Grant, co-scénariste de Dumbo, directeur du scénario de Fantasia, alors âgé de 93 ans.
Nouveaux outils
Sans cesse plus évoluées, les réalisations signées Pixar nécessitent la création de nouveaux instruments informatiques pour chaque long métrage. Monstres & Cie n'échappe pas à la règle. Difficulté principale du film, les quelque 3 millions de poils du monstre Sulli ont été dotés d'une fluidité et d'une ombre propre grâce à de nouveaux programmes. Parmi les autres innovations, la création d'un logiciel capable de créer de la fumée et du brouillard, d'un autre pour les effets de lumières provenant des lampes et de nouveaux outils de contrôle des mouvements des personnages baptisés "avatars". Enfin, les héros du film se sont vus assigner chacun une personne désignée "expert de personnage" responsable uniquement du développement de leur personnalité.
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Mortal Kombat|Paul W.S. Anderson|Action||2|américain|1995|95|||DX50|||DX50|849 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|676||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Lawrence Kasanoff Lauri Apelian|Kevin Droney|John R. Leonetti||Metropolitan FilmExport||Lord Rayden fait équipe avec un guerrier, un maître en arts martiaux et une belle détective pour remporter le tournoi Mortal Kombat. S'ils échouent, ce sera la fin de l'Humanité. |Christophe Lambert (Lord Rayden)@Robin Shou (Liu Kang)@Linden Ashby (Johnny Cage)@Cary-Hiroyuki Tagawa (Shang Tsung)@Bridgette Wilson (Sonya Blade)@Talisa Soto (la Princesse Kitana)@Trevor Goddard (Kano)@Chris Casamassa (Scorpion)@Tom Woodruff Jr. (Goro)@Frank Welker (Shao Kahn)@Gregory McKinney (Jax Briggs)@Gerald Okamura (Un guerrier)@||||||||||||@@
Mortal Kombat: Annihilation|John R. Leonetti|Aventure||1|américain|1997|91|||DX50|||DX50|940 Kbps|640x368|MPEG-1/2 L3|131 Kbps|False|48.0 KHz|2|705||||25.000|28/07/2009 00:00:00|||||Metropolitan FilmExport||A peine revenus sur la Terre, victorieux du Mortal Kombat, les guerriers humains reunis par Rayden, le dieu du tonnerre et des eclairs, dechantent: le ciel se dechire et de sombres creatures en descendent. A leur tete, l'empereur d'Outremonde, Shao-Kahn lui-meme. |Robin Shou@Brian Thompson@Sandra Hess@Lynn Red Williams@Irina Pantaeva@Talisa Soto@James Remar (Rayden)@||||||||||||@@
Vacancy|Nimrod Antal|Thriller|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|2007|81|Anglais||XviD|||XVID|871 Kbps|528x288|MPEG-1 Audio layer 3|320 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Hal Lieberman|Mark L. Smith|Andrzej Sekula||Screen Gems Inc.||En panne de voiture, David et Amy, un jeune couple au bord du divorce, se retrouvent obligés de passer la nuit dans un motel miteux éloigné de tout. Par hasard, ils découvrent des cassettes vidéo montrant plusieurs meurtres commis dans la chambre qu'ils occupent. Terrifiés par la réalité des scènes, David et Amy comprennent que s'ils ne font rien, ils seront très bientôt les stars du prochain film...Face à l'horreur et aux cinéastes maniaques du motel, David et Amy ne peuvent compter que l'un sur l'autre pour survivre à ce qui risque fort d'être leur dernière nuit... |Kate Beckinsale (Amy Fox)@Luke Wilson (David Fox)@Frank Whaley (Mason)@Andrew Fiscella (une victime du snuff movie)@Dale Waddington Horowitz (une victime du snuff movie)@Kym Stys (une victime du snuff movie )@Ethan Embry (le mécanicien)@Scott G. Anderson (le tueur)@Mark Casella (le routier)@David Doty (l'agent de police)@Norm Compton (une victime du snuff movie)@Caryn Mower (une victime du snuff movie )@Meegan Godfrey (une victime du snuff movie )@Ernest Misko (une victime du snuff movie )@Bryan Ross (une victime du snuff movie )@Chevon Hicks (une victime du snuff movie )@||Secrets de tournage :
Genèse du projet
Il s'est écoulé huit ans entre le moment où le scénariste Mark L. Smith a eu l'idée de cette histoire et celui où le film est sorti sur les écrans. Ce dernier se souvient : "Tout a commencé alors que nous roulions avec ma femme sur des routes perdues du Nouveau-Mexique. J'avais été frappé par ces petits motels que l'on croise régulièrement en bord de route et qui semblent tourner sans jamais avoir de clients. Je me demandais comment ils faisaient pour tenir au bout du monde, rester ouverts et où ils trouvaient l'argent pour continuer. Ces interrogations ont été à l'origine de l'histoire de Motel."
Un film de commande pour Nimrod Antal
C'est le producteur Hal Lieberman qui proposa Nimrod Antal, un jeune Américain qui venait de terminer en Hongrie son premier film, Kontroll, Prix de la Jeunesse au Festival de Cannes 2004, pour la réalisation de Motel. Hal Lieberman explique : "Kontroll était absolument brillant et très bien réalisé. Ce film a montré que Nimrod Antal savait non seulement ce qu'il faisait avec la caméra, mais qu'il était aussi tout à fait capable de créer une ambiance et un ton passionnants dans un environnement très restreint. Son idée avec Motel était de raconter avec force et réalisme l'histoire de deux personnes en difficulté."
Changement de registre pour Luke Wilson
Plus connu pour ses rôles dans des comédies comme La Revanche d'une blonde de Robert Luketic et Ma super ex d'Ivan Reitman, Luke Wilson fait ici face à un changement complet de registre. L'acteur se souvient : "C'est un des films les plus physiques que j'ai pu faire. Dès le début du tournage, je me suis demandé si j'allais pouvoir tenir le rythme pendant quarante ou cinquante jours... Aucun film ne m'avait autant épuisé. Malgré cela, l'expérience a été très positive. Même si c'était bien moins épuisant que de travailler dans une mine de charbon, c'était quand même très éprouvant."
Sarah Jessica Parker pressentie
Le rôle d'Amy devait au départ être joué par Sarah Jessica Parker, mais l'actrice popularisée par la série Sex & the City préféra se désister au profit de Kate Beckinsale, dont c'est ici la première incursion dans le domaine du film d'horreur.
Frank Whaley dans le rôle du méchant
Gérant sadique du motel et assassin vidéaste, Mason est le troisième personnage majeur du film. Pour ce rôle important, les cinéastes ont choisi le comédien Frank Whaley, que l'on a pu voir dans Hoffa, Swimming with Sharks ou encore Pulp Fiction.
Nimrod Antal explique : "Le choix de l'acteur qui allait jouer ce rôle était crucial pour que cette histoire fonctionne. Le film aurait pu perdre toute son énergie sans un comédien crédible capable d'apporter une certaine étrangeté à son personnage. Mason est un homme assez normal au premier abord. Même s'il est un peu bizarre, il est impossible d'avoir le moindre soupçon sur ce qu'il est en réalité."
Frank Whaley se souvient : "Nous avons beaucoup travaillé avec Nimrod pour approfondir Mason. Plutôt que de le rendre effrayant, nous en avons fait un personnage jovial et à peu près normal afin d'endormir la méfiance du spectateur et de faire durer le suspense. Même s'il est très accueillant au début, rien d'étrange ne transparaît dans son comportement. David et Amy le prennent juste pour un personnage un peu excentrique. Ils n'imaginent pas un seul instant ce qui les attend."
Un motel et une station-service entièrement reconstruits
La recherche d'un motel aussi délabré que le Pinewood Motel dans un environnement rural et boisé se révéla difficile. Après avoir cherché dans tout le sud de la Californie, la production changea son approche du problème. Le producteur Hal Lieberman explique : "Nous avons fini par construire le motel afin de coller parfaitement à ce que nous avions en tête. Les gens de chez Sony nous ont gentiment donné le plateau 15, un des plus grands du monde, et nous ont laissé construire à l'intérieur le motel et la station-service."
Quelques cascades impressionnantes
Motel met également en scène quelques cascades impressionnantes comme un accident de voiture dans lequel un des tueurs est écrasé contre un mur du motel. Grâce à l'ingéniosité du coordinateur des cascades Lance Gilbert, cette scène a pu être filmée sans aucun trucage numérique.
Ce dernier raconte : "Nous nous sommes servis d'un nouveau système qui utilise des câbles et des treuils gérés par informatique. La traction réalisée par cet ensemble peut être réglée au millimètre près. Cela permet de tourner des scènes très impressionnantes "en vrai" dans lesquelles les acteurs peuvent véritablement ressentir toute la violence d'un choc avec une voiture, sans pour autant être réduits en bouillie."
Présente dans la voiture au cours de cette cascade, l'actrice Kate Beckinsale se souvient : "Les cascadeurs m'avaient prévenue que la collision allait être très impressionnante. Je dois dire que j'étais assez paniquée. Je pensais que cela allait être l'expérience la plus effrayante de toute ma vie. Heureusement, tout s'est parfaitement déroulé. J'ai par contre du mal à imaginer ce que cela a dû être pour le cascadeur qui était percuté par la voiture..."
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Vacancy 2: The First Cut|Eric Bross|Epouvante-horreur||2|américain|2008|85|Anglais||XVID|||XVID|988 Kbps|640x352|MPEG-1 Audio layer 3|142 Kbps|False|48.0 KHz|2|702||||23.976|13/08/2009 00:00:00|Hal Lieberman|Mark L. Smith|Horacio Marquínez||||Trois jeunes gens s'arrêtent à un motel pour y passer la nuit, ignorant tout des intentions néfastes des employés. |Trevor Wright (Caleb)@Agnes Bruckner (Jessica)@David Moscow (Gordon)@Gwendoline Yeo (Bride)@Beau Billingslea (Otis)@Brian Klugman (Reece)@Arjay Smith (Tanner)@Christopher Allen Nelson (Sherif)@Joe Reegan (Jack)@Lola Davidson (une prostituée)@Scott Anderson (Smith)@||||||||||||@@
Moulin Rouge|Baz Luhrmann|Comédie musicale||3|américain|2001|122|Anglais||XVID|||XVID|654 Kbps|720x400|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Fred Baron Martin Brown Baz Luhrmann|Baz Luhrmann Craig Pearce|Donald McAlpine||UFD||A la fin du XIXe siècle, dans le Paris de la Belle Epoque, Christian, un jeune poète désargenté, s'installe dans le quartier de Montmartre. Il découvre un univers où se mêlent sexe, drogue et french cancan, mais se rebelle contre ce milieu décadent en menant une vie de bohème.
Christian rêve d'écrire une grande pièce, et le peintre Henri de Toulouse-Lautrec est prêt à lui donner sa chance. Celui-ci a besoin d'un spectacle grandiose pour le Moulin Rouge et le poète est embauché pour rédiger le livret de la revue. C'est là qu'il tombe amoureux de la courtisane Satine, la star du prodigieux cabaret.... |Nicole Kidman (Satine)@John Leguizamo (Toulouse-Lautrec)@Ewan McGregor (Christian)@Jim Broadbent (Zidler)@Richard Roxburgh (Le duc de Monroth)@Kylie Minogue (La fée verte)@Christine Anu (Arabia)@Natalie Jackson Mendoza (China Doll)@Caroline O'Connor (Nini Jambes-en-l'air)@David Wenham (Audrey)@Garry McDonald (II) (le docteur)@Jacek Koman (l'argentin narcoleptique)@Linal Haft (Warner)@||Secrets de tournage :
La conception des décors par Catherine Martin
" Nous commençons toujours par un recréation académique précise, puis nous la modifions et l'adaptons aux besoins de l'histoire. Le travail consiste à manipuler et réinterpréter des éléments du temps jadis pour les rendre lisibles au spectateur contemporain et lui ouvrir ainsi une voix d'accès à un univers révolu. Baz nous a demandé de créer un monde, d'inventer un style d'artificialité réaliste ; de recréer un Paris où pourrait aisément se déployer un comédie musicale de son cru ; un lieu où l'on accepterait volontiers que des personnages se mettent soudain à chanter. "
Cette approche résolument iconoclaste et baroque a également présidé à l'élaboration de la bande originale ainsi qu'à la conception 400 costumes et 85 perruques d'un film qui se veut un hommage à L' Ange bleu de Josef von Sternberg, Gilda de Charles Vidor et Cabaret de Bob Fosse.
Le mythe d'Orphée revisité
Baz Luhrmann avoue s'être inspiré du mythe d'Orphée pour écrire le scénario du film avec son co-scénariste Craig Pearce. Orphée, poète légendaire capable de charmer par sa seule voix, ne put ramener sa femme Eurydice d'entre les morts pour s'être retourné vers elle alors que ce geste était proscrit. Le cinéaste explique ainsi le mythe : "c'est l'allégorie du passage à l'âge adulte et du renoncement à l'idéalisme ; la prise de conscience que nous ne contrôlons pas notre destinée ; que les êtres chers meurent, que les relations amoureuses ne sont pas éternelles." Il ajoute que "dans le mythe orphique, cette prise de conscience peut, soit nous anéantir, soir nous régénérer et nous aider à mûrir."
Et en plus ils chantent !
Les comédiens ont interprété eux-mêmes les chansons du film devant la caméra de Baz Luhrmann au cours des répétitions qui ont précédé le tournage. Les pistes musicales ainsi enregistrées ont ensuite été traitées à l'aide de procédés numériques. Lors du tournage, les comédiens ont eu le choix, ils pouvaient soit chanter en play-back soit interpréter à nouveau les chansons, une option qui laissait plus de latitude aux acteurs, libres de suivre l'inspiration du moment.
McGregor dit enfin "oui" à Luhrmann
Ewan McGregor avait déjà été pressenti pour tourner dans un film de Baz Luhrmann, puisque celui-ci lui avait proposé de tenir le rôle de Mercutio dans Romeo + Juliette (1996). Et comme le destin fait bien les choses, quatre ans plus tard Luhrmann réussit finalement à faire chanter McGregor... dans son Moulin Rouge
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Luhrmann de retour au Moulin Rouge
Avant de se faire un nom en tant que réalisateur et scénariste de cinéma, Baz Luhrmann était déjà connu pour ses talents de metteur en scène d'opéra. Ainsi, on peut remarquer dans son dernier film Moulin Rouge un certain nombre d'auto-références, notamment la scène de danse indienne, directement reprise de sa mise en scène du Songe d'une nuit d'été, sans oublier le cadre, lui-même, puisque Luhrmann avait choisi de situer l'action de La Bohème dans le fameux Moulin Rouge parisien...
Un tournage périlleux
Nicole Kidman s'étant foulée la cheville lors des répétitions de la scène de la balançoire, le tournage du film a dû être interrompu deux semaines au mois de novembre 1999.
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Mr. and Mrs. Smith|Doug Liman|Action||2|américain|2005|107|Anglais||XVID|||XVID|769 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|698||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Arnon Milchan Akiva Goldsman Lucas Foster Eric McLeod|Simon Kinberg|Bojan Bazelli||SND||Mr et Mrs Smith forment un couple tout ce qu'il y a de plus banal. Pourtant, Mr Smith est exécuteur pour une organisation secrète et Mrs Smith tueuse à gage vendant ses services aux plus offrants. Ignorant chacun les activités de leur cher et tendre, ils vont pourtant se retrouver en compétition sur un même "contrat". Comme quoi une scène de ménage au fusil mitrailleur c'est quand même plus fun qu'avec la vaisselle de Maman... |Brad Pitt (John Smith)@Angelina Jolie (Jane Smith)@Vince Vaughn (Eddie)@Adam Brody (Benjamin Danz)@Kerry Washington (Jasmine)@Keith David (Father)@Chris Weitz (Martin Coleman)@Michelle Monaghan (Gwen)@Stephanie March (Julie - Associée#1)@Jennifer Morrison (Jade - Associée #2)@Theresa Barrera (Janet - Associée #3)@Perrey Reeves (Jessie - Associée #4)@Elijah Alexander (Marco Racin)@||Secrets de tournage :
Origine du projet
Le scénariste Simon Kinberg a rédigé la première version de son script pour son memoire de maîtrise à l'université de Columbia. Passionné de films hong-kongais, violents mais esthétiques, il lui vient l'idée de faire un film d'action. A la recherche d'une trame, il dîne un jour avec des amis en thérapie conjugale qui lui donnent le déclic : son histoire doit se baser sur un couple à la dérive. Il contacte Akiva Goldsman, producteur et scénariste réputé, qui va l'aider à la vendre. Après quelques temps, Summit Entertainment et Regency Enterprises ont acquis les droits d'exploitation.
Inspirations
L'histoire de Mr. and Mrs. Smith est librement inspirée de True Lies, où Arnold Schwarzenegger cachait ses activités d'espion à sa femme, interprétée par Jamie Lee Curtis. Ce film était lui-même un remake du film de Claude Zidi, La Totale, avec Thierry Lhermitte et Miou-Miou, jouant ce couple peu ordinaire. On peut également y voir un soupçon de la Guerre des Roses où Danny DeVito avait réuni devant sa caméra le couple le plus glamour des années 80 : Michael Douglas et Kathleen Turner, incarnant des époux qui se déchiraient, entre autres, pour garder leur demeure victorienne. Enfin Joies matrimoniales est également le titre d'un film d'Alfred Hitchcock mettant en scène Carole Lombard.
Mr Smith et Miss Kidman ?
D'autres couples potentiels ont été sérieusement envisagés avant de trouver le duo définitif. La production a contacté Will Smith, Nicole Kidman, tous deux croulant déjà sous les propositions diverses d'Hollywood. Les producteurs ont également pensé à Catherine Zeta-Jones, et plus étonnant, Johnny Depp, très courtisé depuis sa nomination aux Oscars. Après plusieurs négociatons, le choix s'arrêta donc sur Brad Pitt et Angelina Jolie. Pour le meilleur et pour le pire.
Brad Pitt indécis
Quand il a su que Nicole Kidman pourrait faire partie du projet, Brad Pitt donna son accord immédiatement, enthousiaste à l'idée de travailler avec l'actrice australienne. Mais lorsque celle-ci se retira du projet, il fit de même jusqu'à ce que le nom d'Angelina Jolie soit avancé, ce qui lui redonna envie d'accepter le rôle.
Apprendre à devenir espion
Angelina Jolie et Brad Pitt furent formés par les cascadeurs Mic Rodgers, Tim Trella et le conseiller technique Mark Stefanich. Pour assurer la crédibilité du film, des cours intensifs leur étaient dispensés chaque semaine. Formés comme à l'école de police pour les entraînements spéciaux et les tactiques anti-terroristes, les acteurs ont découvert la difficulté des scènes d'action en équipe. L'actrice se souvient : "(...)Je n'avais pas de partenaire dans mes précédents films et il s'agit d'un travail très différent. Vous devez apprendre à bouger en tandem avec des fusils chargés, se croiser, s'introduire dans des habitations (...) c'était dément, mais nous avons ainsi appris à nous faire confiance".
Scandale en plein tournage
C'est lors du tournage de Mr. and Mrs. Smith, que le scandale arriva. Une rumeur persistante gâcha l'ambiance sur le plateau, jusque-là très bonne. Des techniciens auraient fait part à la presse de l'intimité grandissante qu'affichaient les deux interprètes, et ce dès les premières prises. Ceux-ci se défendirent, mais les tabloïds se déchaînèrent, ce qui coûta au sex-symbol d'Hollywood son mariage avec Jennifer Aniston. Depuis la fin du tournage, Brad Pitt et Angelina Jolie semblent très proches mais, dans l'interview donnée au magazine Ciné Live, paru au mois de juin 2005, les journalistes ont dû signer un document légal selon lequel ils n'écriront rien sur la relation qui les unit, quelle qu'elle soit... une précaution justifiée par le nombre de démentis publiés par leurs agents.
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Mulan|Tony Bancroft Barry Cook|Animation||3|américain|1998|84|Anglais||XVID|||XVID|1 024 Kbps|688x416|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Pam Coats|Rita Hsiao Chris Sanders Philip LaZebnik Raymond Singer Eugenia Bostick-Singer Lorna Cook|||||Mulan est une belle jeune fille qui vit dans un village chinois. Malgré son amour et son respect pour sa famille, son mépris des conventions l'éloigne des rôles dévolus aux filles devouées. Quand son pays est envahi par les Huns, Mulan, n'écoutant que son courage, s'engage à la place de son père dans le but de lui sauver la vie. Elle va devenir, avec l'aide d'un dragon en quète de réhabilitation, un guerrier hors du commun. |Valérie Karsenti (Mulan (voix française))@José Garcia (Mushu (voix française))@Richard Darbois (Shan-Yu (voix française))@Renaud Marx (Shang (voix française))@Michel Ruhl (Fa Zhou (voix française))@Bernard Dheran (l'Empereur (voix française))@||||||||||||@@
Mulan II (V)|Darrell Rooney Lynne Southerland|Animation||2|américain|2004|75|Anglais||XviD|||XVID|1 159 Kbps|704x432|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Jennifer Blohm|Michael Lucker Chris Parker Roger S.H. Schulman|||||Alors que Mulan et Shang préparent activement leur mariage, l'empereur de Chine les convoque afin de leur confier une mission de la plus haute importance. Les futurs mariés doivent escorter trois princesses venant des provinces lointaines et les conduire jusqu'à leurs fiancés qui habitent à l'autre bout du pays. Ces mariages sont de la plus haute importance puisqu'ils doivent sceller une alliance entre d'anciens ennemis jurés, et ainsi protéger la Chine d'une nouvelle invasion mongole. |Valérie Karsenti (Mulan (voix française))@José Garcia (Mushu (voix française))@||||||||||||@@
Naked Weapon|Cheng Xiaodong|Action||2|hong-kongais|2002|88|Chinois||DX50|||DX50|972 Kbps|624x352|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Jing Wong|Jing Wong|Sung Fai Choi||Deal||Des jeunes filles sont enlevées partout dans le monde. La responsable de ses enlèvements n'est autre que Madame Ho. Celle-ci souhaite faire de ces filles des tueuses professionnelles. Après plusieurs années d'entraînement, Charlène, Katherine et Jing sont à la hauteur des attentes de leur professeur, et démarrent leur série d'assassinat. En mission, à Hong Kong, les jeunes femmes croisent le chemin de Jackie Chen, un agent de la CIA qui traque Madame Ho depuis de nombreuses années... |Maggie Q (Charlène Ching)@Anya Daniel Wu (Katherine)@Jewell Lee (Jing)@Almen Wong (Madame Ho)@Marit Thoresen (Fiona Birch)@Daniel Wu (Jack Chen)@Augustin Aguerreberry (le professeur)@Kai Yan Kwok (Katherine enfant)@Renee Nichole Rommeswinkel (Charlène Ching enfant)@Mo Ka Lai (Jing enfant)@Monica Lo (l'étudiante)@Benny Lai (le Chef tatoué Yakuza)@Pei-Pei Cheng (Faye Ching)@Dennis Chan (M. Chan)@Andrew Wei Lin (Ryuichi)@Matthew Sturgess (le 1er garde du corps dans l'hôtel)@||||||||||||@@
Nanny McPhee|Kirk Jones (II)|Fantastique|Film pour enfants|3|britannique|2006|97|Anglais||XviD|||XVID|859 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|135 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Lindsay Doran Eric Fellner Debra Hayward|Emma Thompson|Henry Braham||Universal Pictures||Depuis la disparition de son épouse, M. Brown a bien du mal avec ses sept enfants. De l¹aîné à la petite dernière, tous font de la maisonnée un véritable enfer. Entre son travail qui l'accapare et cette horrible Tante Adélaïde qui le menace de lui retirer son indispensable aide financière s'il ne se remarie pas dans les plus brefs délais, M. Brown en est réduit à espérer un miracle. Et il va voir débarquer Nanny McPhee...
Aussi effrayante qu'énigmatique, ce petit bout de femme est là pour remettre tout le monde au pas, mais les enfants ne sont pas décidés à se laisser faire ! Lorsque Tante Adélaïde décide d'arracher une des filles du foyer, il est temps de réagir, et pour la première fois, Nanny et ceux qui la voient de moins en moins comme une ennemie vont faire équipe... |Emma Thompson (Nanny McPhee)@Colin Firth (Mr. Cedric Brown)@Angela Lansbury (Grande tante Adelaide)@Kelly MacDonald (Evangeline)@Celia Imrie (Mrs. Quickly)@Derek Jacobi (Mr. Wheen)@Imelda Staunton (Mrs. Blatherwick)@Thomas Sangster (Simon Brown)@Celia Bannerman (Nounou egyptienne)@Eliza Bennett (Eliza Brown)@Elizabeth Berrington (Letitia)@Raphael Coleman (Eric Brown)@Holly Gibbs (Christianna Brown)@Adam Godley (Mr. Oliphant)@Sam Honywood (Sebastien Brown)@Phyllida Law (Vicomptesse Cumbermere)@Eleanor McCready (Mrs. Ada Wheen)@||Secrets de tournage :
Adapté de l'oeuvre de Christianna Brand
Nanny McPhee est adapté de la série de livres Chère Mathilda, signée par Christianna Brand. Le long-métrage est plus exactement la synthèse de trois livres, parus en France sous les titres Chère Mathilda, Chère Mathilda s'en va-t-en ville et Chère Mathilda aux bains de mer.
La genèse du projet
Nanny McPhee est né d'une fructueuse collaboration entre Emma Thompson et la productrice Lindsay Doran. Les deux femmes, qui ont travaillé ensemble sur Dead again ou encore Raison et sentiments, cherchaient un nouveau projet sur lequel elles s'investiraient pleinement. Lorsqu'elles repensèrent à la série de livres Chère Mathilda dont elles avaient évoquer le potentiel cinématographique en... 1997, elles décidèrent sans tarder de s'atteler à la mise en chantier du long-métrage.
Histoire d'un titre
L'un des premiers ajustements qu'ont effectué Emma Thompson et Lindsay Doran dans la phase d'écriture a été de changer le nom de l'héroïne. Nurse Matilda est ainsi devenu Nanny McPhee. Deux raisons à ce changement : à l'époque où se déroule l'action du livre, on employait le mot "nurse", alors qu'aujourd'hui, c'est plutôt "nanny"; le livre Matilda de Roald Dahl et son adaptation au cinéma pouvaient prêter à confusion. Enfin, le nom McPhee a été trouvé par Phyllida Law, la mère d'Emma Thompson.
Les souvenirs d'Emma Thompson
Emma Thompson, qui incarne Nanny McPhee, raconte ce qui lui a toujours plus dans les livres de Christianna Brand : "J'ai trouvé ces livres sur mon étagère - ils se transmettent dans ma famille depuis longtemps - et jeme suis souvenu les avoir adorés, le texte comme les illustrations. C'étaient des livres malins, pleins d'humour noir et d'ironie, mais avec aussi quelque chose de très chaleureux. Ils offraient l'avantage rare d'aborder des problèmes humains à travers des aventures merveilleuses. Ils étaient à la fois des contes de fées, des fables riches d'enseignement et de drôles d'aventures..."
Un attrait universel
Pour Emma Thompson et la productrice Lindsay Doran, les personnages de Nanny McPhee, leurs relations et les situations avaient un attrait universel. "Quels parents n'ont pas rêvé d'avoir quelqu'un qui puisse, d'un coup de baguette magique, faire de leurs enfants d'adorables gamins ?", questionnent-elles en choeur ? "Et quels enfants ne voudraient pas que quelqu'un ayant des pouvoirs magiques vienne chez eux, même s'ils commencent par être les victimes de cette magie ? Ce doit être génial d'avoir avec vous quelqu'un qui puisse faire danser un âne d'un coup de baguette... Comment résister à l'idée de voeux qui s'accomplissent ?"
A la recherche du livre perdu...
Pour adapter la série de livres Chère Mathilda, la productrice Lindsay Doran dut se mettre à la recherche de certains exemplaires totalement épuisés. Après avoir trouvé trois des livres de la série dans une bibliothèque publique, elle put alors en acheter les droits.
Double casquette
Sur Nanny McPhee, Emma Thompson occupe à la fois les fonctions d'actrice et de scénariste. Une double présence au générique d'un long-métrage qu'elle goûte une nouvelle fois, dix ans après Raison et sentiments.
Emma Thompson / Colin Firth : deuxième !
Nanny McPhee marque la seconde collaboration entre Emma Thompson et Colin Firth. Les deux acteurs britanniques figuraient déjà au générique commun de Love actually, en 2003.
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National security|Dennis Dugan|Comédie||2|américain|2003|84|Anglais||XVID|||XVID|829 Kbps|720x384|MPEG-1 Audio layer 3|224 Kbps|False|48.0 KHz|2|645||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Michael Green Robert F. Newmyer Jeffrey Silver|Jay Scherick David Ronn|Oliver Wood||Columbia Pictures||Earl aurait pu faire un excellent policier, mais son indiscipline et ses méthodes hasardeuses lui ont valu un renvoi définitif. Hank, lui, vient d'être mis à pied à cause de Earl qui l'a accusé d'abus de pouvoir et de harcèlement.
Les deux hommes aux caractères diamétralement opposés se retrouvent bientôt employés dans une société de vigiles, National security. Un braquage va les mettre sur la piste de dangereux criminels. Un duo aussi étonnant que redoutable se met en place... |Martin Lawrence (Earl Montgomery)@Steve Zahn (Hank Rafferty)@Mari Morrow (Lola)@Colm Feore (le détective Frank McDuff)@Bill Duke (le lieutenant Washington)@Eric Roberts (Nash)@Robinne Lee (Denise)@Timothy Busfield (Charlie Reed)@Matt McCoy (Robert Barton)@Brett Cullen (Heston)@||Secrets de tournage :
Tous sauf des héros...
Pour le réalisateur Dennis Dugan, National security constitue "un mélange de genres, à la fois un thriller policier et une comédie. J'aime le fait que les deux personnages principaux soient autre chose que des héros parfaits. Ce ne sont pas les meilleurs dans leur catégorie, ils ne sont pas des dieux du stade, ils sont normaux mais poussés dans leurs derniers retranchements. Les spectateurs ne vont pas admirer les improbables exploits de deux superflics à qui rien ne résiste, ils vont partager la joyeuse aventure de deux types aussi attachants que dingues qui ne sont pas décidés à lâcher le morceau !"
Dennis Dugan découvre l'action
National security marque la première expérience de film d'action pour le réalisateur Dennis Dugan, qui n'avait jusqu'alors signé que des comédies pures comme Big Daddy ou Diablesse. Intégrer une bonne dose d'adrénaline dans une comédie s'est avéré très enrichissant pour Dugan qui explique : "L'action et la comédie sont deux genres qui reposent essentiellement sur le tempo. Il faut doser les ingrédients, secouer le tout et filmer. Pour les scènes de jeu, l'adéquation entre les différents acteurs est promordiale. Dans notre cas, nous devions en plus synchroniser ce rythme avec l'action."
Martin Lawrence : expert en "buddy movie"
National security est l'exemple même du "buddy-movie", film policier réunissant deux héros que tout oppose à priori mais qui finissent par devenir les meilleurs amis du monde pour se défaire de leurs ennemis. Si Steve Zahn se distingue pour la première fois dans ce genre de films, Martin Lawrence en est en revanche un habitué. Ce dernier a ainsi évolué dans des "buddy-movies" tels que Bad Boys, Flic de haut vol ou encore Rien a perdre.
L'imprévisible Martin Lawrence
De l'avis général, le comédien Martin Lawrence, vedette de National security, est un personnage extraordinaire. Très doux et humain dans la réalité, il est une vraie tornade dès lors qu'il se trouve devant une caméra ou un public. Le réalisateur Dennis Dugan acquiesce dans ce sens et explique qu'une fois proncé le mot "action", Martin Lawrence "est capable de tout, il peut vous jouer n'importe quel texte en faisant les pires acrobaties. Le filmer est toujours une aventure, il déborde l'écran !" Interrogé sur le film, le comédien ne cache pas son enthousiasme, déclarant avoir été attiré par "l'équilibre entre l'action et la pure comédie. Même en pleine course-poursuite ou au milieu d'une fusillade, l'histoire personnelle des personnages continue d'évoluer."
Steve Zahn comme un enfant
Le comédien Steve Zahn était particulièrement ravi de jouer dans sa première comédie d'action. "J'étais comme un gamin", raconte-t-il. "J'attendais avec impatience les scènes de poursuite, les fusillades. Je me suis rendu compte qu'en fait, cela demande énormément de travail et de discipline. Heureusement, il y avait Martin, il met de la folie et de la joie dans tout !"
Mike Grasso, un haut fonctionnaire de la police en retraite était chargé de conseiller les deux acteurs principaux sur leurs rôles. Concernant Steve Zahn, il déclare : "Il voulait tout savoir, comment on tient son arme, quelles sont les procédures d'arrestation, comment on doit réagir en cas d'attaque à main armée, et même comment on communique par radio. Il voulait camper un personnage authentique. Il a beaucoup travaillé, mais je crois que comme Hank, il aurait fait un flic assez original !"
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Never Back Down|Jeff Wadlow|Action||3|américain|2008|112|Anglais||XVID|||XVID|693 Kbps|624x256|MPEG-1 Audio layer 3|162 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||23.976|06/08/2009 00:00:00|Craig Baumgarten David Zelon|Chris Hauty|Lukas Ettlin||SND||Nouveau venu à Orlando, Jake, jeune garçon au passé trouble, est humilié aux poings par Ryan, gros dur du campus qui appartient à une ligue de combats illégaux. Un ami le présente alors à un coach charismatique qui va lui enseigner une discipline mélangeant divers arts martiaux... |Sean Faris (Jake Tyler)@Djimon Hounsou (Jean Roqua)@Amber Heard (Baja Miller)@Cam Gigandet (Ryan McCarthy)@Evan Peters (Max Cooperman)@Leslie Hope (Margot Tyler)@Wyatt Smith (Charlie Tyler)@Affion Crockett (Beatdown DJ Swagga)@Neil Brown Jr (Aaron)@Steven Crowley (Ben Costigan)@Tilky Jones (Eric)@Tom Nowicki (Monsieur Lloyd)@Lauren Leech (Jenny)@David Zelon (le père de Ryan)@Cameron Francis (le médecin des urgences)@David J. Perez (Miles Dupree)@Steve Zurk (le père de Jake)@Ryan Watson (Mintz)@Joop Katana (Camin)@Frank Santore III (Taylor)@Joseph Cortez (Lopez)@Craig Raboteau (Nyah)@Daniel Lovette (Himoff)@Tony Fuh (Stackwell)@Jonathan Eusebio (Dak Ho)@Peter Allende (Villa)@Remington Reed (Kline)@||Secrets de tournage :
Un message derrière la violence
Pour Sean Faris, l'acteur principal de Never back down, le film ne fait pas l'apologie de la violence. "Il y a une vraie leçon à tirer de l'histoire de mon personnage", explique-t-il. "Au début, Jake est plein de colère, il déteste tout le monde et veut détruire tout ce qui est une menace pour lui. En prenant de l'assurance, il va décider de continuer son entraînement non seulement parce qu'il lui offre l'occasion d'évacuer sa frustration, mais aussi parce qu'il lui permet de pleinement se réaliser. Il ne se bat pas pour aligner les victoires, mais pour avancer dans la vie. C'est un message qui compte énormément."
Dans les coulisses d'un sport extrême
Never back down dévoile les coulisses du MMA (Mixed Martial Arts ou Arts Martiaux Mélangés), un sport de combat extrême très populaire aux Etats-Unis, où presque tous les coups sont permis. L'histoire du MMA, qui s'est imposé comme le sport de combat le plus spectaculaire de ces dernières années, remonte aux années 20, lorsque la famille Gracie organisait des combats de vale tudo (littéralement "tout est permis" en portugais) au Brésil. Se pratiquant autrefois sans règles et considéré comme très dangereux, le combat libre est devenu un sport à part entière très encadré et réglementé. Combinant le jiu-jitsu, le catch, le muay-thaï, le karaté, le sambo, le judo et d'autres arts martiaux, les combattants du MMA utilisent la lutte et des coups de pied et de poings pour battre leur adversaire et impressionner les spectateurs par leur maîtrise de nombreuses techniques de combat.
Au coeur des combats
Le réalisateur Jeff Wadlow explique que ce qui l'a attiré dans Never back down étaient de rentrer au coeur de l'univers du MMA : "Le projet m'intéressait beaucoup parce qu'il me donnait l'opportunité de filmer des combats comme on ne l'avait jamais fait. Les combats de MMA sont très impressionnants parce qu'ils mélangent plusieurs techniques, c'est très spectaculaire. Ce sport est aujourd'hui très populaire dans notre pays, bien plus que la boxe. Bien que quelques films s'y soient un peu intéressés, aucun n'a jamais montré le MMA de l'intérieur et placé le spectateur au coeur du combat. Je voulais révéler ce monde dans ses moindres détails, comme l'entraînement des combattants, les tactiques qu'ils emploient. Mon objectif était de donner au spectateur l'impression de participer lui-même aux combats."
Un entraînement intensif avec les meilleurs
Avant le début du tournage, les acteurs ont subi un entraînement rigoureux sous la direction des coordinateurs des combats et des cascades Damon Caro et Jonathan Eusebio, qui ont travaillé sur des films de très grande envergure, demandant nombre de scènes physiques, comme 300, La Mort dans la peau, La Vengeance dans la peau, Die Hard 4 - retour en enfer ou encore Spider-Man 3.
Sept kilos de muscles en plus !
Pour donner plus de "poids" à son rôle, l'acteur Sean Faris, le jeune héros de Never beack down, a suivi une préparation physique intense, à raison de sept heures par jour, six jours par semaine. Il a ainsi gagné presque sept kilos de muscles.
Djimon Hounsou en vétéran des arts martiaux
L'acteur Djimon Hounsou, qui a étudié les arts martiaux et la boxe pendant sa jeunesse en France, incarne un vétéran des arts martiaux dans Never back down. Il raconte : "J'ai fait sept ans de kung-fu et cinq ans de boxe, cela m'a beaucoup aidé mais je me suis quand même entraîné pour le film. J'ai passé deux ou trois semaines avec les cascadeurs avant le début du tournage. Pour être franc, la pratique du MMA a été pour moi un peu douloureuse, j'ai découvert des muscles que je ne connaissais pas, mais c'était très amusant ! Et puis un rôle comme celui de Roqua qui est censé tout savoir vous met toujours un peu la pression, c'est une chose que j'aime bien." L'acteur délivre ensuite un message de sagesse aux amateurs d'arts martiaux : "Comme lui, je pense qu'il faut avant tout être responsable pour pratiquer les arts martiaux parce que c'est un sport qui peut être très dangereux. Que ce soit le kung-fu, le karaté ou le MMA, il devrait y avoir une loi qui interdit les combats en dehors des salles de sport parce que les arts martiaux ne doivent pas être utilisés à tort."
Un producteur redoutable
Les coordinateurs des cascades de Never back down n'étaient pas les seuls spécialistes des arts martiaux sur le plateau puisque le producteur David Zelon a pratiqué pendant deux ans le krav maga, un art martial israélien redoutable.
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San ging chaat goo si|Benny Chan|Policier||3|chinois, hong-kongais|2005|118|Mandarin||XviD|||XVID|690 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Benny Chan Jackie Chan Solon So Barbie Tung|Alan Yuen|Anthony Pun||Metropolitan FilmExport|Saga : Police Story |Légende vivante de la police de Hong Kong, l'inspecteur Wing sombre dans le désespoir et l'alcool quand son équipe est entièrement décimée par le Gang des Cinq, dirigé par Joe. Un jeune officier parvient alors à le convaincre de réintégrer les rangs de la police et de retrouver les malfrats... |Jackie Chan (l'Inspecteur Wing)@Nicholas Tse (Fung)@Charlene Choi (Sa Sa)@Charlie Young (Ka Yee)@Daniel Wu (Joe)@Wong Chieh (Sam)@Terence Yin (Fire)@Chun Sun (le père de Joe)@Winnie Leung (Female hostage)@Eric Kwok (Male hostage)@||Secrets de tournage :
Retrouvailles
Ce n'est pas la première fois que Jackie Chan se retrouve dirigé par le réalisateur Benny Chan, puisque ce dernier avait déjà été choisi pour assister son quasi-homonyme à la mise en scène de Who Am I ? (l'un des plus gros succès de Jackie Chan à Hong-Kong).
Faux-frères
Bien que le titre retenu pour l'exploitation occidentale du film soit New police story, il ne s'agit pas du tout d'un nouveau segment de la saga policière Police Story qui fit la réputation de Jackie Chan, et dont ce dernier réalisa autrefois les deux premiers épisodes (les deux autres étant l'oeuvre du spécialiste du film d'action hong-kongais Stanley Tong).
Un jeune qui monte
A peine âgé de 25 ans, proche collaborateur de Jackie Chan (il apparaît par exemple dans Le Médaillon), le prolifique Nicholas Tse se voit offrir ici un rôle important. On se souvient de lui pour avoir tenu la vedette du thriller musclé de Tsui Hark, Time and tide (dans lequel il campait un barman dépassé par les événements). Il avait également obtenu le premier rôle d'un précédent film de Benny Chan intitulé Gen-X Cops (inédit en France).
Danger
Jackie Chan a tenu à filmer lui-même une scène d'explosion particulièrement spectaculaire (et dangereuse) mettant en scène l'accident d'une voiture de police. Lorsqu'elle celle-ci vint s'écraser tout près de l'équipe, cette dernière commença à s'enfuir, essayant de protéger le réalisateur de la séquence. Chan cria alors "Ne courez pas !" et continua de filmer !
Karaoké
La chanson du générique, September Storm, est chantée par Jackie Chan lui-même !
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Taxi|Tim Story|Comédie||1|américain, français|2005|95|Anglais||DX50|||DX50|885 Kbps|656x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Luc Besson|Thomas Lennon Luc Besson Ben Garent Tina Gordon Chism|Vance Burberry||Twentieth Century Fox France||Belle Williams est la reine des taxis de New York. Aux commandes de son véhicule customisé et super-boosté, elle traverse la ville telle une fusée, ignorant feux rouges, embouteillages, tôles froissées et sirènes de police. Mais ce n'est encore qu'une étape, car Belle songe depuis longtemps à devenir pilote de course. Un rêve à portée de main, que va fâcheusement contrecarrer le policier Andy Washburn... Washburn est un flic un peu trop zélé, qui n'a qu'un défaut - rédhibitoire : une totale inaptitude à la conduite. |Queen Latifah (Belle)@Jimmy Fallon (Washburn)@Jennifer Esposito (Lieutenant Marta Robbins)@Gisele Bundchen (Vanessa)@Christian Kane (Agent Mullins)@Henry Simmons (Jesse)@Ana Cristina De Oliceira (Redhead)@Ann-Margret (la mère de Washburn)@Boris McGiver (Franklin)@Joe Lisi (Monsieur Scalia)@Bryna Weiss (Madame Scalia)@Nashawn Kearse (Un flic)@Patton Oswalt@Mario Roberts (dealer)@John Rothman (l'homme d'affaire)@Rick Overton@GQ@Adrian Martinez (le brésilien)@||Secrets de tournage :
Un "Taxi" made in hollywood...
Taxi N.Y.C. est le remake américain du Taxi français réalisé en 1998 par Gérard Pirès. Le jeune Jimmy Fallon , révélé par le programme comique Saturday night live, reprend le rôle du policier incarné à l'origine par Frédéric Diefenthal. Quant au personnage du chauffeur de taxi rendu célèbre par Samy Naceri, il est, dans la version américaine, incarné par... une femme, en la personne de Queen Latifah (Chicago).
Luc Besson reprend le volant
Luc Besson, scénariste et producteur de la saga Taxi, officie également en tant que scénariste et producteur du remake hollywoodien, via sa société Europa Corp.
De la Canebière à la Grosse Pomme...
Si l'action du Taxi français avait pour cadre la ville de Marseille, les péripéties automobiles de Taxi N.Y.C. se déroulent principalement dans les rues du quartier new-yorkais de Manhattan.
Fallon première
L'humoriste Jimmy Fallon, après avoir co-écrit les sketches et co-présenté le show Saturday Night Live, joue ici son premier rôle au cinéma. Il suit les pas de comédiens comme Eddie Murphy, Mike Myers ou Will Ferrell.
Jimmy Fallon est fan de...
L'humoriste et acteur Jimmy Fallon est très sensible à l'humour de Queen Latifah. Il affirme au sujet de sa partenaire : "Queen Latifah a présenté le show (Saturday Night Live ndlr), c'était la première fois que je la rencontrais et elle était sympa avec tout le monde. Elle "a" la comédie en elle et elle le sait (...) J'ai su que je devais retravailler avec elle tout de suite et d'ailleurs, pendant les répétitions, ça a tout de suite fait tilt".
Le choix de Latifah
L'actrice Queen Latifah a été enchantée de jouer dans une production Luc Besson aussi excitante : "Je joue un rôle prévu pour un homme, je conduis, j'ai un petit copain mignon et je m'éclate en jouant la comédie (...) Le travail semble être un jeu". Elle est en plus fan de course automobile depuis sa tendre enfance.
Fou de Gisèle
Luc Besson a beaucoup insisté pour que Gisele Bundchen fasse partie du projet. Malgré un emploi du temps chargé, la mannequin brésilienne franchit le pas et accepte son premier rôle au cinéma.
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Next|Lee Tamahori|Action||2|américain|2007|95|Anglais||XviD|||XVID|886 Kbps|624x256|MPEG-1 Audio layer 3|32.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Nicolas Cage Todd Garner Norm Golightly Graham King Arne Schmidt|Gary Goldman Jonathan Hensleigh Paul Bernbaum|David Tattersall||Paramount Pictures||Cris Johnson "Frank Cadillac" est le seul homme sur terre capable de visualiser deux minutes de son futur et de changer le cours des évènements. Il n'hésite pas à utiliser son pouvoir extrasensoriel en se faisant passer pour magicien ou médium dans un hôtel minable de Las Vegas pour arrondir ses fins de mois.Alors que la sécurité des hôtels commence à soupçonner ses méthodes, l'agent du FBI Callie Ferris sait qu'il représente son unique chance d'empêcher une attaque terroriste imminente.Très vite, Cris se retrouve devant un choix cornélien : sauver celle qu'il aime... ou le reste du monde. Sa réponse est quelque part... dans le futur proche. |Nicolas Cage (Cris Johnson)@Julianne Moore (Callie Ferris)@Jessica Biel (Liz)@Nicolas Pajon (Mr. Green)@Jessica Barth (Michelle)@Charles Chun (Davis)@Laetitia Danielle (Miss Brown)@Paul Rae (Flagman)@Peter Falk (Irv)@Thomas Kretschmann (Mr. Smith)@Michael Trucco (Kendal)@Jim Beaver (Eric Wisdom)@José Zuniga (Roybal)@Enzo Cilenti (Mr. Jones)@Tory Kittles (Cavanaugh)@Patricia Prata (Assistant)@Sergej Trifunovic (Mr. White)@Edith Fields (La vieille femme au casino)@Lisa Joyner (Elle-même)@Bonita Friedericy (La caissière)@Dean Cudworth (Le sniper)@Jason Butler Harner (Jeff Baines)@Miranda Frigon (La serveuse)@Richard Kay (L'homme saoul)@Christopher Logan (Le petit ami de Blonde)@Jeff Michael (Lui-même)@Jon Hughes (Emcee)@Michael Runyard (Le garde de sécurité)@John T. Scanlon (Le pilote de l'hélicoptère)@||Secrets de tournage :
Adapté de la nouvelle de Philip K. Dick "L'Homme doré"
Tout est parti d'une rencontre, celle de Jason Koornick, créateur et animateur du site Internet officiel de Philip K. Dick, avec Gary Goldman, le scénariste de Total Recall. Koornick fit une proposition très intéressante à ce dernier : en échange de l'animation du site, la Fondation Philip K. Dick s'engageait à céder à Gary Goldman les droits d'adaptation d'une nouvelle de son choix de l'écrivain. Les deux hommes unifièrent leurs efforts, Gary Goldman connaissant d'avance le montant prohibitif des droits de l'oeuvre de Philip K. Dick et Koornick étant bien conscient des difficultés d'adaptation. D'un commun accord, ils portèrent leur dévolu sur la nouvelle L'Homme doré.
Du futur au présent
Alors que la nouvelle se déroule dans le futur, Gary Goldman a décidé de situer le film à l'époque actuelle. "La science-fiction se déroule dans le futur et met en jeu des technologies révolutionnaires et des extra-terrestres. Next, lui se situe dans notre monde quotidien", confirme le scénariste.
Un prof de danse comme coach
La production a fait appel à un professeur de danse contemporaine pour la chorégraphie des combats et les cascades : Scott Grossman a ainsi été chargé de l'entraînement de Nicolas Cage sur le tournage. "Je me suis dit que Cris devait avoir son propre style dans sa manière de se déplacer puisqu'il est capable de prédire l'avenir : par exemple, il peut esquiver les coups, explique l'acteur. Ca m'a fait penser à un style new age très zen. Et je me suis senti d'autant plus à l'aise que ma mère était danseuse contemporaine", rappelle-t-il.
Retrouvailles Todd Garner / Nicolas Cage
Next marque les retrouvailles du producteur Todd Garner avec Nicolas Cage, un acteur dont il a produit deux de ses films : Les Ailes de l'enfer et 60 secondes chrono. "Nicolas Cage n'est pas seulement un formidable héros de film d'action, confie le producteur. C'est aussi un type qui force la sympathie. Il a un tel charisme et il est tellement expressif qu'il n'a pas besoin de beaucoup parler."
Nicolas Cage, comédien... et producteur
Outre sa participation comme comédien, Nicolas Cage a également endossé la casquette de producteur - un double rôle auquel il est de plus en plus habitué (Lord of war, The Wicker Man). "J'assure de plus en plus ces deux fonctions, ce qui me facilite les choses pour faire valoir mes idées", explique-t-il. C'est lui qui, par exemple, a souhaité faire de Cris Johnson un magicien : "j'ai pensé que mon personnage serait ainsi plus vraisemblable. Car un type qui naît avec ce genre de don a toutes les chances de se faire ostraciser et d'être vu comme un monstre ou un extra-terrestre. Il ferait sans doute peur aux gens. Alors je me suis dit qu'il souhaiterait sans doute dissimuler ses pouvoirs : la meilleure manière reste encore de se cacher en plein jour, et de se faire passer pour magicien à Las Vegas."
Julianne Moore de nouveau agent du FBI
Bien qu'elle ait interprété l'agent du FBI Clarice Starling dans Hannibal, Julianne Moore a envisagé le personnage de Ferris différement. "Au fond, je campe l'empêcheuse de tourner en rond, ajoute-t-elle. C'est amusant, parce que je n'avais pas à me soucier d'apparaître sympathique. Ferris est aux antipodes de Cris : elle essaie de le convaincre de coopérer avec l'Etat pour désamorcer la menace des terroristes de faire exploser une bombe à Los Angeles, et elle cherche à lui faire comprendre que la vie de millions de gens compte plus que sa petite existence à lui."
Le personnage de Jessica Biel
La production a confié le rôle de Liz Cooper, enseignante exerçant en milieu défavorisé, à Jessica Biel. La comédienne décrit son personnage comme une "jeune fille en détresse". "C'était agréable d'interpréter une fille normale, sans avoir à subir d'entraînement physique intensif. Mon personnage est une simple prof menant une vie normale, jusqu'au jour où elle se retrouve à fuir la police parce qu'elle est tombée amoureuse d'un type qui peut prédire l'avenir !"
Lieux de tournage
Le tournage a débuté au printemps 2006 au Casino Morongo de Cabazon en Californie. La production a ensuite pris ses quartiers à Big Bear et à Lake Arrowhead pour les extérieurs du Cliffhanger Motel et les scènes de montagne. Après trois semaines de tournage dans les montagnes californiennes, l'équipe s'est établie au port de Los Angeles, situé à Long Beach. Il s'agissait du tournage de la séquence où les terroristes, les forces spéciales d'intervention et les agents du FBI s'affrontent dans un déferlement de coups de feu sur le port et un énorme cargo.
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Ni pour, ni contre (bien au contraire)|Cédric Klapisch|Policier||3|français|2003|108|Français||XVID|||XVID|790 Kbps|720x304|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Aïssa Djabri Farid Lahouassa Manuel Munz|Santiago Amigorena Cédric Klapisch Alexis Galmot|Bruno Delbonnel||Bac Films||Caty, une jeune fille de 27 ans, travaille depuis quelques années comme caméraman pour le journal télévisé. Elle fait bientôt la rencontre d'une bande de malfrats qui ont besoin de quelqu'un pour filmer leur prochain braquage. Elle accepte leur proposition et découvre la vie de ces charismatiques gangsters.
Tentée par leur vie de pacha, Caty devient leur complice, quitte à risquer la prison. Elle accepte même de participer à un dernier gros coup avec la bande : l'attaque d'un dépôt de transfert où sont garés des fourgons blindés remplis d'argent. Caty aura pour mission de séduire le patron du dépôt. |Marie Gillain (Cathy)@Vincent Elbaz (Jean)@Zinedine Soualem (Mouss)@Robert Plagnol@Dimitri Storoge (Loulou)@Simon Abkarian (Lecarpe)@Natacha Lindinger (Caprice)@Jocelyn Lagarrigue (Gilles)@Pierre-Ange Le Pogam (Le directeur du dépôt)@Lydia Andreï (une escort-girl)@Diane Kruger (La call-girl du directeur)@Thierry Levaret (Le vigile)@Michaël Abiteboul (Bernard)@Thierry Flamand (Un journaliste)@Cédric Klapisch (Un journaliste)@||Secrets de tournage :
L'ombre de L'Auberge espagnole
Ni pour ni contre (bien au contraire) aurait dû être réalisé après Peut-être. Mais le tournage de son film policier ayant été retardé de quatre mois, Cédric Klapish profita de l'intervalle pour achever l'écriture et le tournage de L'Auberge espagnole, énorme succès français de l'année 2002. Ce dernier s'est donc fait beaucoup plus vite, alors que l'écriture de Ni pour ni contre (bien au contraire) aura pris deux ans.
Le metteur en scène a enchaîné les deux tournages, pour ensuite assurer les montages successifs des deux films. Il explique : "Depuis le début, ces deux films sont liés et j'ai cherché sciemment à cultiver leur différence".
Le choix de Marie Gillain
Marie Gillain ne s'est pas vue proposer directement le rôle féminin principal de Ni pour ni contre (bien au contraire), elle a eu à passer par le jeu du casting et de l'audition. Cédric Klapisch explique son choix : "Aucune des autres candidates n'arrivait aussi bien à garder sa séduction et sa fragilité en jouant une dure".
Une équipe soudée
Cédric Klapisch a une nouvelle fois pu compter sur une équipe fidèle qui le suit régulièrement sur les tournages. La société de production Vertigo est en effet régulièrement attachée aux diffrents projets du réalisateur, depuis Le Péril jeune en 1995, Chacun cherche son chat en 1996 et Peut-être en 1999. Le péril jeune, Peut-être et Ni pour ni contre (bien au contraire) ont en outre tous été écrit par le trio Cédric Klapisch / Santiago Amigorena / Alexis Galmot. Enfin figurent au casting Zinedine Soualem et Simon Abkarian, deux acteurs présents auprès de Klapisch depuis ses débuts avec le court métrage Ce qui me meut (1989).
Vincent Elbaz chez Klapisch
Ni pour ni contre (bien au contraire) est la troisième incursion du comédien Vincent Elbaz dans l'univers de Cédric Klapisch. Il avait auparavant joué dans Le Péril jeune en 1995 et Peut-être en 1999.
Dury / Klapisch : troisième !
Le compositeur Loïk Dury assure la bande originale d'un film de Cédric Klapisch pour la troisième fois. Il avait auparavant collaboré avec le réalisateur pour ses deux derniers films, Peut-être et L'Auberge espagnole.
Une deuxième pour Gillain et Elbaz
Ni pour ni contre (bien au contraire) marque la deuxième collaboration à l'écran des comédiens Marie Gillain et Vincent Elbaz. Les deux acteurs s'étaient donné la réplique à l'occasion du tournage de la comédie Absolument fabuleux de Gabriel Aghion en 2001.
Une aide précieuse
Cédric Klapisch a bénéficié lors de la phase de documentation de l'aide d'un policier de la brigade de répression du grand banditisme, ainsi que des "conseils" de Frank Henry, un célèbre braqueur, que le réalisateur a pu rencontrer grâce à un journaliste.
Pourquoi un policier ?
Cédric Klapisch, qui traîne aux Etats-Unis la réputation de réalisateur de comédies romantiques, a tenu à réaliser un film policier dans les règles du genre. Il explique : "Depuis longtemps j'avais envie de faire un film policier, de retrouver la tradition du film noir et du film de gangsters et de l'actualiser. J'avais aussi envie de changer cette étiquette "sympa" qu'on accolle à mes films tout simplement parce que je ne m'y identifie pas complètement".
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City Hunter - The Secret Service|Kenji Kodama|Animation|||Japon|1995|86|||DX50|||DX50|1 008 Kbps|416x304|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|688||||25.000|08/08/2009 00:00:00|||||||Nicky Larson est un agent spécialisé dans la protection très rapprochée..! Il est le pire cauchemar des assassins, des caïd de la mafia et autres criminels qui sèment la zizanie dans Tokyo. Mais Nicky a un point faible : les femmes. Lorsqu'il rencontre une demoiselle, il ne peut s'empêcher de perdre son sang-froid, au grand dam de Laura, sa partenaire de travail... |||||||||||||@@
Nochnoy Dozor|Timur Bekmambetov|Fantastique|Interdit aux moins de 12 ans|2|russe|2005|109|Russe||XviD|||XVID|751 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|125 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Anatoli Maksimov Konstantin Ernst|Timur Bekmambetov Sergei Lukyanenko|Sergei Trofimov||Fox Searchlight Pictures|Saga : Night Watch |En 1342, en Russie, une trêve est conclue mettant fin au conflit permanent entre les Forces du Bien et les Forces du Mal. De nos jours, à Moscou, le Bien et le Mal disposent, pour maintenir cette paix, d'individus aux capacités surnaturelles, "les Autres" qui assurent la sécurité de leurs congénères et condamnent tout abus de la part du camp opposé. Mais une ancienne prophétie menace ce traité précaire : la crainte qu'un "Autre" bascule dans le camp opposé et fasse ainsi replonger le monde dans le chaos des hostilités... |Konstantin Khabensky (Anton Gorodetsky)@Vladimir Menshov (Geser)@Valeri Zolotukhin (le père de Kostya)@Mariya Poroshina (Svetlana)@Galina Tyunina (la sorcière Olga)@Yuri Kutsenko (Yuri Kutsenko)@Aleksei Chadov (Kostya, le jeune vampire)@Zhanna Friske (Alisa Donnikova)@Ilya Lagutenko (Andrei le vampire)@||Secrets de tournage :
Un succès de librairie
Le film est l'adaptation de trois romans récents du Russe Sergei Lukyanenko inspirés par la tradition de l'heroic fantasy et intitulés Night Watch, Day Watch et Dusk Watch. Chaque roman s'est vendu à un demi-million d'exemplaires. Depuis la sortie de Night watch en juillet 2004, deux millions et demi d'exemplaires de la trilogie se sont écoulés. Konstantin Ernst s'avère être non seulement le détenteur de Channel One Russia, le plus grand réseau télévisuel du pays, mais aussi l'un des producteurs de cinéma les plus influents. Quand on lui présente le projet, avant tout décrit comme un ouvrage au potentiel commercial immense, Ernst surmonte son attirance modérée pour le fantastique et se trouve conquis par le projet. Il contacte alors le producteur Anatoli Maksimov et le réalisateur Timur Bekmambetov pour les sonder sur une possible collaboration. Le tournage débute neuf mois après.
L'adaptation
L'univers de Night watch est principalement adapté du premier roman de la trilogie de Lukyanenko. Le réalisateur, Bekmambetov, explique : "Les deux premiers films sont fondés sur les péripéties du premier opus. Mais nous les avons rendues un peu plus dramatiques." Un des changements notables du scénario par rapport au roman concerne la relation subsidiaire père-fils touchant Anton. "Nous avons ajouté cette idée pour rendre l'atmosphère plus dramatique. La culpabilité paternelle d'Anton, la perte de Yegor, les problèmes de conscience qui l'accompagnent et qu'il tente de résoudre donnent une dimension très russe au personnage."
Un tournage épique
Les producteurs avaient préalablement souhaité adapter les romans en quatre épisodes d'une heure et planifiaient de les diffuser sous la forme d'une mini-série TV. Les premiers rushes visionnés, le potentiel du projet s'est rapidement révélé incompatible avec le petit écran. Passant du 16 au 35 mm, ils décident d'adapter l'ensemble pour le grand.
Bekmambetov a tourné Night watch et une grande partie de Day Watch en 90 jours, s'écoulant de la fin de l'année 2002 au début 2003. Le tournage s'est déroulé dans plus de 200 lieux moscovites, dont l'intérieur de la Tour Ostankino et les environs de l'impressionnant bâtiment des communications situé au nord-ouest de la capitale. Le réalisateur explique : "Le récit se déroule entièrement autour de la Tour Ostankino. Le mot "Ostankino" signifie "vestiges". Parce qu'elle est chargée d'une aura presque mystique, Sergei Lukyanenko a voulu que son roman s'implante et s'enracine dans cette zone. Et puis Sergei vient du Kazakhstan ; il a vécu à Moscou uniquement dans le quartier de cette tour : c'est le seul endroit qu'il connaissait de la capitale."
Comment choisir les acteurs ?
Pour donner vie aux équipes de Watchers, Bekmambetov a utilisé une approche originale durant le casting. "En général je sépare les acteurs en deux groupes : il y a des acteurs qui ressemblent à des acteurs et des acteurs qui ressemblent simplement à des gens comme vous et moi. Les premiers sont les Day Watchers parce qu'ils sont cools, très originaux, très "hype" et très fiers. Les autres sont les Night Watchers. C'est ma manière de choisir : par exemple Mariya Poroshina, qui joue Svetlana, la "porteuse de poisse" a plus, selon moi, le physique d'une banale fille russe alors qu'Alisa, la Day Watcher est une pop star russe connue."
Bande-originale
La bande originale du film est une compilation de chansons russes. L'une d'elles, "Temnye i svetlye", est interprétée par Zhanna Friske, qui joue également le rôle d'Alisa. Notons que, outre la musique originale de Yuri Poteyenko, le réalisateur a également utilisé des extraits de la partition écrite par Hans Zimmer pour le film de Ridley Scott, Gladiator (2000). Timur Bekmambetov, le réalisateur, est d'ailleurs fréquemment considéré dans son pays comme le Ridley Scott russe (entre autres parce que, styliste fameux, il a lui aussi commencé en signant des clips vidéo et des spots de publicité)...
Oscars
Le film a été sélectionné pour les Oscars 2005 au titre de meilleur film étranger, pour la Russie.
Relance
Devant le succès du film en Russie (il a même devancé Le Seigneur des anneaux au box-office national), une suite a été mise en chantier, avec la même équipe devant et derrière la caméra. Elle est actuellement au stade de la post-production et sortira sur nos écrans en 2006.
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Dnevnoy Dozor: Mel Sudbi|Timur Bekmambetov|Fantastique||2|russe|2008|132|Russe||XviD|||XVID|608 Kbps|560x240|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|44.1 KHz|2|700||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Konstantin Ernst Anatoli Maksimov|Timur Bekmambetov Alexander Talal|Sergei Trofimov||Fox Searchlight Pictures|Saga : Night Watch |Moscou, de nos jours. Dans une cage d'escalier d'un immeuble ordinaire, une jeune femme est assassinée de sang-froid, mais on ne relève aucune trace de violence sur son corps.On découvre assez rapidement que cette femme était une "Autre de l'Ombre" et qu'elle était membre de Day Watch, une organisation secrète dirigée par un sombre et puissant sorcier dénommé Zavoulon. La trêve fragile, qu'avaient conclue la Lumière et l'Ombre et qui s'est maintenue pendant des siècles, est brisée - les "Autres de la Lumière" étant les principaux suspects.Guesser, le commandant de Night Watch, rassemble immédiatement ses troupes, un meurtre étant un événement grave et ses conséquences pouvant conduire à une guerre ouverte entre les forces de la Lumière et celles de l'Ombre. Night Watch doit réagir, mais Guesser doit préalablement découvrir où chacun des "Autres de la Lumière" se trouvait au moment du meurtre. Il s'avère que seul Anton Gorodetski n'a pas d'alibi à fournir...Anton continue de combattre les forces du mal. Alors qu'il tente de retrouver son fils, une nouvelle menace, plus terrifiante encore que ses combats passés, se fait jour... |Konstantin Khabensky (Anton)@Mariya Poroshina (Svetlana)@Vladimir Menshov (Geser)@Galina Tyunina (Olga)@Viktor Verzhbitsky (Zavulon)@Zhanna Friske (Alisa)@Dmitry Martynov (Yegor)@Valeri Zolotukhin (le père de Kostya)@Aleksei Chadov (Kostya)@Nurzhuman Ikhtymbayev (Zoar)@Aleksei Maklakov (Semyon)@Aleksandr Samojlenko (Bear)@Yuri Kutsenko (Ignat)@Irina Yakovleva (Galina Rogova)@Yegor Dronov (Tolik)@Nikolai Olyalin (L'inquisiteur)@Rimma Markova (la sorcière Darya)@Sergei Trofimov (le secrétaire de Zavulon)@Mariya Mironova (la mère de Yegor)@||Secrets de tournage :
Le deuxième volet d'une trilogie à succès
Day watch est le second volet de la trilogie fantastique russe inaugurée en 2004 par Nightwatch et qui se clôturera avec Dusk watch. Une trilogie adaptée des romans de Sergei Lukyanenko. Le premier film avait remporté un énorme succès au box-office national, devançant même Le Seigneur des anneaux : la communauté de l'anneau. Cette suite a fait encore plus fort en attirant près de 7.2 millions de spectateurs en Russie, amassant plus de 30 millions de dollars de recettes en Russie.
Dans le clair-obscur
L'idée de l'Obscurité dans laquelle les personnages ne cessent d'aller et venir était déjà présente dans les livres de Sergei Lukyanenko. "l'idée était que l'Obscurité était une sorte de monde parallèle dans lequel seuls les Autres pouvaient pénétrer et où ils pouvaient survivre" explique Timur Bekmambetov. "Nous avons eu un problème au moment du tournage, car bien que ce soit facile de comprendre le concept, ca l'est moins de le montrer. Il fallait donc que nous décidions : pourquoi ces gens devaient-ils d'abord aller dans l'Obscurité ? Juste pour montrer qu'ils sont différents ? Donc pour créer cet effet dramatique, il fallait que nous fassions en sorte qu'il soit capital pour les personnages d'y aller."
Le crépuscule comme champ de bataille
Né au Kazakhstan et psychiatre de formation, Sergei Lukyanenko a publié ses livres au tournant des années 90, parmi lesquels "Le labyrinthe des reflets"; "Night Watch" ou "Les faux miroirs", qui lui ont apporté la notoriété. "Cela faisait longtemps que je voulais écrire un conte fantastique, mais les gnomes et les elfes ne m'intéressaient pas" explique le romancier à propos de son travail sur Nightwatch et Day watch; avant de poursuivre : "Comment décrire la magie si nous ne pouvons pas observer ses manifestations dans la vie courante ? C'est là qu'est née l'idée du Crépuscule comme champ de batailles de mages vivant parmi nous, mais dont les comptes se règlent au Crépuscule afin de ne pas inquiéter le commun des mortels. Puis j'ai imaginé une organisation, Nightwatch, qui contrôlerait ces mages. Au tout début, je pensais qu'elle contrôlerai tous les mages sans distinction. C'est alors que m'est venue l'idée d'une organisation antagoniste, Day Watch. Je ne suis pas sûr que ce soit juste; peut-être eût-il mieux valu qu'ils travaillent ensemble et qu'ils fassent ensemble le ménage dans leurs rangs. Mais c'est trop tard..."
De la Russie aux USA
C'est le succès de Nightwatch qui a attiré l'attention des studios de la Fox sur le prodige Timur Bekmambetov, avant de lui confier en 2007 la réalisation de Wanted : choisis ton destin, dans lequel Angelina Jolie incarne une tueuse à gages prenant sous son aile James McAvoy, avec la complicité de Morgan Freeman. Le réalisateur signe ainsi son premier film aux Etats-Unis.
Un tournage à la fête
La scène de la fête a été assez complexe à filmer. Elle a necessité quatre heures de tournage, et une quinzaine de caméras; soit une pour chaque séquence. Timur Bekmambetov a demandé l'aide d'un réalisateur de la TV russe pour contrôler les caméras.
Le sens de la fête
Un des moments forts du film est la scène de la fête, quand le fils d'Anton devient un adulte. L'équipe du film avait pour l'occasion invité de très nombreux artistes, notamment issus de la Pop Culture, pour renforcer la crédibilité de cette fête. Timur Bekmambetov raconte : "les gens aiment les célébrités, les masses populaires surtout. Ils sont la source d'énergie de ces célébrités; elles tirent leur énergie de leurs fans. C'est la même chose avec les politiciens. Il y avait justement un communiste à cette fête, un grand chauve. Et Konstantin s'est approché de lui et s'est mis à chanter un chant communiste. Il n'en connaissait pas les paroles ! C'est donc une sorte de faux monde et on s'est dit que ce monde serait parfait pour la scène de la fête. Les célébrités et les politiciens sont vraiment sombres; c'est dans leur nature. L'ombre veut dire la liberté. Ils sont vraiment libres."
Deux en un
Nightwatch et Day Watch ont quasiment été tournés ensemble, sur une période de 90 jours.
Une oeuvre fantastique ?
Pour le réalisateur du film, Timur Bekmambetov, Day Watch n'appartient pas au genre fantastique. Il s'explique : "je pense que c'est un film très réaliste. Simplement, il arrive quelque chose d'irréel. Je n'aime pas le terme "fantastique" parce que je ne le comprends pas; cela ne m'intéresse pas. Ce qui m'intéresse vraiment dans ces deux films, c'est ce qui arrive au personnage principal Anton, que joue Konstantin Khabensky, parce que lui est un véritable être humain. Toute personne a deux facettes; l'une lumineuse l'autre sombre. Et quand vous êtes confronté à un problème qu'a Anton avec son fils dans le film, ce problème devient capital car tout votre monde s'écroule. [...] Ce n'est pas une métaphore de la souffrance des hommes : c'est la souffrance des hommes".
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Cheng shi lie ren|Jing Wong|Comédie||2|hong-kongais, japonais, américain|1992|94|Chinois||DX50|||DX50|893 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|126 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Chua Lam|Jing Wong|||||Le détective privé Ryo Saeba et son assistante enquête sur la disparition de la fille d'un grand magnat de la presse. Ses investigations l'emmènent sur un navire pris en otage par de sauvages criminels. |Jackie Chan (Ryo Saeba)@Joey Wong (Kaori)@Leon Lai (Tramp Kao Ta)@Mike Abbott (Mike)@Gary Daniels (Kim (Ken))@Kumiko Goto (Shizuko Imamura)@Richard Norton (Col. MacDonald)@Chingmy Yau Suk-Ching (Saeko)@Michael Wong (Makimura)@||||||||||||@@
Nikita|Luc Besson|Policier||3|italien, français|1990|108|Français||DivX|||DIVX|782 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|115 Kbps|False|44.1 KHz|2|706||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Patrice Ledoux|Luc Besson|Thierry Arbogast||Gaumont||Le braquage d'une pharmacie par une bande de junkies en manque de drogue tourne mal : une fusillade cause la mort de plusieurs personnes dont un policier, abbatu par la jeune Nikita. Condamnée à la prison à perpétuité, celle-ci fait bientôt la rencontre de Bob, un homme mystérieux qui contraint la jeune femme à travailler secrètement pour le gouvernement.Après quelques rébellions lors d'un entraînement intensif de plusieurs années, Nikita devient un agent hautement qualifié des services secrets, capable désormais selon Bob d'évoluer seule à l'extérieur. Celui-ci espère d'ailleurs s'en assurer lors d'une terrible mise à l'épreuve, dans laquelle Nikita doit éliminer un pilier de la mafia asiatique au beau milieu d'un restaurant bondé... |Anne Parillaud (Nikita)@Tchéky Karyo (Bob)@Jean-Hugues Anglade (Marco)@Jeanne Moreau (Amande)@Jean Reno (Victor le nettoyeur)@Jean Bouise (L'attaché de l'ambassade)@Roland Blanche (Le flic de l'interrogatoire)@Mia Frye (La femme au briquet)@Jacques Boudet (Le pharmacien)@Marc Duret@||Secrets de tournage :
5 millions de dollars
Nikita fut le premier film français à dépasser la barre des cinq millions de dollars de recettes aux Etats-Unis.
Première avec Thierry Arbogast
Nikita marque la première rencontre entre Luc Besson et le directeur de la photographie Thierry Arbogast. Une collaboration qui marque le début d'un long travail commun, Thierry Arbogast signant par la suite la photographie de Léon, du Le Cinquième élément, de Jeanne d'Arc, tous mis en scène par Luc Besson, ainsi que celle de The Dancer et du Le Baiser mortel du dragon, deux productions Besson.
Genèse d'un projet
Luc Besson raconte que le projet Nikita est né un jour où il écoutait la chanson "Nikita" d'Elton John dans un avion avec son baladeur. De là lui est venu l'idée de faire un film sur une fille portant ce prénom...
Remake américain
Sorti en avril 1991 aux Etats-Unis, Nikita est l'objet d'un remake hollywoodien en 1993. Réalisé par John Badham, Nom de code : Nina reprend l'intrigue de Nikita presque plan par plan, avec Bridget Fonda dans le rôle d'Anne Parillaud. Gabriel Byrne, Dermot Mulroney, Anne Bancroft, Harvey Keitel et Michael Rapaport apparaissent également au casting de ce remake.
Nikita a par ailleurs fait l'objet d'une déclinaison sous forme de série télévisée outre-Atlantique, avec Peta Wilson dans le rôle principal.
Les Césars 1991
Important succès en salle en 1990 (plus de 3,5 millions d'entrées), Nikita est naturellement présent à la cérémonie des Césars 1991. Le film cumule neuf nominations : Meilleur film, Meilleur réalisateur (Luc Besson), Meilleure actrice (Anne Parillaud), Meilleur espoir masculin (Marc Duret), Meilleure photographie (Thierry Arbogast), Meilleur montage, Meilleure musique (Eric Serra), Meilleur décor, Meilleur son. Battu notamment par Cyrano de Bergerac, le film n'emportera finalement que la statuette de la Meilleure actrice, récompensant une Anne Parillaud en larmes.
Une fin alternative
Luc Besson avait imaginé une autre fin, bien plus violente, pour Nikita. Après l'échec catastrophique de sa mission, Nikita demandait au chef des services secrets sa liberté, qu'il lui accordait. Mais au moment de s'enfuir vivre sa vie auprès de Marco, celle-ci tombait dans un piège tendu par les services gouvernementaux et voyait son fiancé mourir dans ses bras. Après une vengeance explosive, Nikita repartait seule dans les rues de Paris. Mais Luc Besson s'est résigné à une fin plus sage puisque, ayant filmé de manière chronologique, il constata qu'une forte relation s'était développée entre les trois personnages Nikita / Marco / Bob et qu'il était plus intéressant de terminer sur une confrontation tendue entre les deux hommes de la vie de Nikita. Une décision qui soulagea les producteurs du film, craignant le dépassement de budget que cette scène finale initiale aurait causé.
Jean Bouise
Nikita fut le dernier long métrage de l'acteur Jean Bouise, décédé peu avant la sortie du film. On peut d'ailleurs lire une dédicace spéciale ("A Jean Bouise") pour le comédien pendant le générique.
Le grand secret
Luc Besson a tenu à ce que Nikita soit entouré du plus grand secret. Ainsi, très peu d'informations sur le film circulèrent avant sa sortie en salles, en février 1990.
Jean Reno chez Besson
Acteur fétiche de l'univers Besson, Jean Reno se retrouvait à l'occasion du tournage de Nikita pour la cinquième fois sous sa direction. Ils avaient auparavant collaboré sur le court métrage L' Avant dernier en 1981, suivi de Le Dernier Combat (1983), Subway (1985), Le Grand Bleu (1988) et enfin Léon en 1994. En tant que producteur, Luc Besson retrouve Jean Reno sur les tournages de Les Truffes en 1995, puis Wasabi (2001) et Les Rivières pourpres 2 - les anges de l'apocalypse (2003).
Et Léon apparaît
Nikita introduit pour la première fois le personnage de Victor, qui se définit lui-même comme un "nettoyeur" et dont Léon du même Besson sera le prolongement direct. Apparaissant dans une séquence mi-terrifiante, mi-hilarante, Victor, personnage silencieux et mystérieux, utilise des méthodes plutôt radicales pour se débarrasser d'un corps gênant et ainsi "nettoyer" une scène de crime.
« Préc.
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3 ninjas|Jon Turteltaub|Aventure||3|américain|1993|90|Anglais||DX50|||DX50|949 Kbps|352x256|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Martha Chang Shunji Hirano James Kang|Edward Emanuel|Richard Michalak||||Les trois enfants de Sam Douglas, agent du FBI, sont kidnappés par le redoutable Hugo Snyder, notoire trafiquant d'armes. Mais c'est sans compter sur les ressources des jeunes gens, initiés par leur grand-père a l'art guerrier des Ninjas. |Michael Treanor (Rocky)@Max Elliott Slade (Colt)@Chad Power (Tum Tum)@Victor Wong (le grand-père)@Rand Kingsley (Snyder)@Alan McRae (Sam Douglas)@||||||||||||@@
Nitro|Alex Desrochers|Action|||canadien|2007|105|Français||XviD|||XVID|805 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|28/07/2009 00:00:00||Alain Desrochers|||||Max mène une vie rangée, avec Alice et leur fils Théo. Jusqu’à ce qu’Alice se retrouve à l’hôpital, mourante, dans l’attente d’un nouveau cœur qui ne vient pas. Max promet à Théo de la sauver. Mais pour cela, il doit trouver un cœur. Et vite. Devant l’urgence de la situation, Max décide de renouer avec son passé trouble. Sa décision aura des répercussions insoupçonnées sur sa vie.|Guillaume Lemay-Thivierge (Max)@Lucie Laurier (Morgane)@||||||||||||@@
Nos jours heureux|Eric Toledano Olivier Nakache|Comédie||3|français|2006|97|Français||XviD|||XVID|863 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|129 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Nicolas Duval Bruno Chiche|Olivier Nakache Eric Toledano|Rémy Chevrin||SND||Vincent Rousseau dirige pour la première fois une colonie de vacances et se retrouve plongé pendant trois semaines dans l'univers des colos avec petites histoires et gros soucis à la clef! Vincent se retrouve alors confronté à la vie mouvementée du camp, de ses animateurs plus ou moins professionnels et des ados pas toujours évidents à gérer... |Jean-Paul Rouve (Vincent)@Marilou Berry (Nadine)@Omar Sy (Joseph)@Lannick Gautry (Daniel)@Julie Fournier (Lisa)@Guillaume Cyr (Truman)@Joséphine de Meaux (Caroline)@Jacques Boudet (Albert)@Jean Benguigui (Mimoun)@Catherine Hosmalin (Christine)@Arthur Mazet (Guillaume)@Jérémy Denisty (Timoty)@Johanna Ansart (Léa)@Yannis Belal (Youssef)@Martin Jobert (Benoît)@Arthur de Donno (Steve)@Cindy Colpaert (Camille)@Ilona Bachelier (Charlotte)@Idit Cebula (Madame Marciano)@Jean-Michel Lahmi (Monsieur Pichavent)@Farida Ouchani (Madame Gedaui)@Josette Menard (Madame Joyadet)@Michel Winogradoff (Monsieur Joyadet)@Joël Pyrène (Achille)@Jean-Pierre Mesnard (Gendarme 1)@Pascal Guerin (Gendarme 2)@Yvon Martin (Le pompier)@Francois Toumarkine (Médecin 1)@Olivier Nakache (Médecin 2)@Serge Pierre-Gaudou (Guide Musée)@Charlotte Ledoux (Monitrice équitation)@Eric Toledano (Pizzaïolo)@Lise Lametrie (Monique Vannier)@Jean-Yves Roan (Gilbert Michaud)@Olivier Rosemberg (Animateur Ces jours heureux 2006)@Lionel Abelanski (Le conducteur de train)@||Secrets de tournage :
Un tournage aux allures de colonie de vacances
La fiction a souvent dépassé la réalité sur le tournage de Nos jours heureux. L'équipe du film a fini par elle même ressembler à une colonie de vacances. Des comédiens à la technique, tous ont pris l'allure d'animateurs, jouant au ballon ou expliquant aux enfants le fonctionnement des machines. Même Jean-Paul Rouve, qui enfant avait toujours refusé de participer à une colonie, a déclaré "au final, ce que nous avons vécu sur le tournage ressemble assez à ce que décrit le film, et c'est un excellent souvenir". Un tournage léger et ludique !
Retrouvailles
Nos jours heureux est le deuxième long-métrage de Olivier Nakache et Eric Toledano. Leur premier film Je préfère qu'on reste amis... mettait déjà en scène l'acteur Jean-Paul Rouve qui tient le rôle principal de Nos jours heureux.
Ces jours heureux
Les scénaristes et réalisateurs Eric Toledano et Olivier Nakache se sont rencontrés dans une association qui s'occupait de faire partir des enfants en vacances. Tous deux passionnés de cinéma, ils ont choisi comme sujet pour leur premier court-métrage une colonie de vacances. Ce premier film intitulé Ces Jours heureux a inspiré leur long-métrage Nos jours heureux.
Trois Prix pour "Nos jours heureux"
Nos jours heureux a remporté le Prix du Public et le Prix du Jury Jeunes au Festival International du Film de Comédie de l'Alpe d'Huez 2006 ainsi que le Prix du Public au Festival City of Lights de Los Angeles 2006.
Un prix pour Caroline
Joséphine de Meaux qui interprète la monitrice Caroline dans Nos jours heureux a remporté pour ce rôle le Prix de la Meilleur actrice au Festival International du Film de Comédie de l'Alpe Duez 2006.
Souvenirs, souvenirs
Pour écrire Nos jours heureux, Eric Toledano et Olivier Nakache se sont basés sur leurs souvenirs en tant qu'animateurs de colonies de vacances. Le château dans lequel ils ont tourné le film a d'ailleurs été le lieu d'une de leurs colonies il y a dix ans.
Retrouvailles (2)
Omar Sy et Catherine Hosmalin figurent à la fois au générique du court-métrage Ces Jours heureux et du long-métrage Nos jours heureux, tous deux réalisés par Eric Toledano et Olivier Nakache. Omar Sy interprète le même personnage dans les deux films.
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Over the Hedge|Tim Johnson Karey Kirkpatrick|Animation|Film pour enfants|3|américain|2006|75|Anglais||XviD|||XVID|1 167 Kbps|608x368|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|702||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Bonnie Arnold|Len Blum Lorne Cameron David Hoselton Karey Kirkpatrick|||DreamWorks Pictures||Le printemps est de retour ; la tortue Verne et ses amis sortent d'un long sommeil hivernal. Mais, entre-temps, ô surprise, une grande "chose" verte a poussé à l'orée du bois et envahi leur domaine. Surgit alors le raton laveur RJ, jamais à court de combines et d'explications. Il s'agit, leur dit-il, d'une HAIE, destinée à protéger le domaine enchanté du "Bien-être", habité par les Humains, ces créatures d'un genre particulier qui vivent pour manger, au lieu de manger pour vivre.Le pusillanime Verne, qui se méfie de RJ (et le jalouse un peu), se convainc que lui et sa famille doivent rester de ce côté-ci de la haie - on n'est jamais mieux que sous sa carapace. Mais l'habile RJ persuade les hôtes du bois qu'"ailleurs l'herbe est plus verte", et qu'ils n'ont rien à craindre de leurs nouveaux voisins. Commence alors une grande aventure dans cet étrange univers qu'on appelle "Banlieue". |Clovis Cornillac (Riton le raton-laveur (voix française))@Laurent Gerra (Verne la tortue (voix française))@Jenifer (Violette l'opossum (voix française))@Jérôme Pauwels (Zamy l'écureuil (voix française))@Jean-Pierre Moulin (Ozzie l'opossum (voix française))@Marie-Christine Darah (Stella le putois (voix française))@Michel Vigne (Vincent l'ours (voix française))@Marc Alfos (Vévé la Verdure (voix française))@Brigitte Virtudes (Gladys, présidente de l'association des résidents (voix française))@Marie Vincent (Penny le hérisson (voix française))@Jean-loup Horwitz (Lou le hérisson (voix française))@Emmanuel Curtil (Chaâh le chat tigré (voix française))@Gwenvin Sommier (Grignoton (voix française))@Lewis Weill (Piccolo (voix française))@Camille Timmermann (Pico (voix française))@Camille Donda (Shelby (voix française))@Stéphane Pouplard (le policier (voix française))@Florentin Crouzet (Timmy (voix française))@Pierre Casanova (Skeeter (voix française))@Xavier Fagnon (le Dr Dennis (voix française))@||Secrets de tournage :
Présenté à Cannes
Nos Voisins, les hommes a été présenté hors compétition lors du Festival de Cannes 2006.
Du comic au film
Nos Voisins, les hommes est un film d'animation adapté de la bande-dessinée créée par Michael Fry et T. Lewis. Trois tomes sont déjà disponibles et relatent les aventures de Riton, le raton laveur, Verne, la tortue et de leurs amis qui revendiquent leur territoire face aux humains qui ont envahi la banlieue. La BD publiée depuis juin 1995 a réjoui ses millions de lecteurs par ses remarques acides sur l'homme et ses étranges habitudes. Le scénariste, Karey Kirkpatrick souligne : "Les héros de la bande sont deux inséparables amis: une tortue et un raton laveur, qui scrutent notre société et la jugent avec un humour pince-sans-rire ravageur. C'est du comique d'observation à l'état pur, inscrit dans une perspective totalement originale."
Adaptation
Les deux auteurs de la BD, Michael Fry et T. Lewis ont été étroitement liés au développement du film. Karey Kirkpatrick précise : "Nous aurions été stupides de ne pas profiter de leur apport incomparable." Cependant, le second réalisateur Tim Johnson précise la différence essentielle résidant entre la BD et le film : "Notre histoire s'arrête là où commence la BD. Nous montrons comment deux êtres aussi dissemblables que Verne et Riton ont pu se rencontrer et former ce "drôle de couple". Cela nous a permis d'aborder les personnages sous un angle nouveau, tout en restant proches de l'univers de Michael et T."
Animer une BD
Comme le souligne Tim Johnson : "Passer des créatures linéaires, merveilleusement épurées, de T. Lewis aux animaux infographiques en relief, richement texturés, du film constituait une opération délicate. C'était un énorme défi de capter des personnalités conçues pour un monde bidimensionnel en noir et blanc et de les faire exister dans un monde tridimensionnel en couleurs sans en trahir l'essence." T. Lewis, après avoir vu le résultat de cette animation, confesse : "Les couleurs, la richesse et la beauté de Nos Voisins, les hommes m'ont estomaqué. J'ai eu l'impression d'entrer dans un autre monde, comme Dorothy lorsqu'elle ouvre la porte de sa petite maison du Kansas et pénètre dans l'univers rutilant du Pays d'Oz."
Politiquement correct
Au-delà de l'aspect critique de ces personnages, Nos Voisins, les hommes a aussi un aspect spirituel. La bande-dessinée a ainsi remporté le Religious Communicators Council's 1998 Wilbur Award pour son message sur le respect de la religion et des valeurs morales. Riton et Verne méditent au cours de leurs aventures sur les origines de l'humanité, la plausibilité de la réincarnation, ainsi que sur leur question préférée : "Dieu est-il une tortue ou un raton laveur?"
La voix de Riton
A l'origine du projet, l'acteur Jim Carrey était pressenti pour prêter sa voix à Riton (R.J en VO), le raton laveur plein de malice. C'est finalement, Bruce Willis qui a été retenu par la production.
Riton est Bruce Willis
Riton, le raton laveur malin de Nos Voisins, les hommes ne pouvait trouver meilleure incarnation qu'en la personne de Bruce Willis selon les deux réalisateurs : "Riton est une charmante crapule. Bruce Willis sait prendre un ton voyou avec le sourire en coin de quelqu'un qui prend plaisir à vous mener en bateau." L'acteur ajoute : "Riton est l'équivalent de David Addison (le personnage qu'il jouait dans Clair de Lune). Il a récupéré au fil des ans quantités d'objets humains qu'il transporte dans un grand sac... à malices."
A propos de Verne
Tim Johnson parle du leader de la petite bande, Verne la tortue : "C'est un pragmatique casanier, ultra précautionneux, doté d'un naturel chaleureux. Très attaché aux siens, Verne redoute toute espèce de changement dans sa vie." C'est l'acteur Garry Shandling qui prète sa voix à ce personnage, Karey Kirkpatrick explique ce choix : "Garry investit dans ce rôle tout l'humour à froid qu'on attend de lui, tout en faisant de Verne le pivot émotionnel du film. Il a trouvé le moyen d'évoluer constamment sur la corde raide, en conciliant rire et émotion."
L'écureuil Zamy
Steve Carell, qui prête sa voix à l'écureuil survitaminé Zamy, souligne à propos de son personnage : "(...) c'est quelqu'un qui a du mal à se concentrer et qui s'attache impulsivement à tout ce qu'il découvre, qu'il s'agisse de nourriture ou d'un nouvel ami. La vie lui apparaît comme une merveilleuse aventure. Il s'y donne à fond, en quatrième vitesse." Tim Johnson ajoute : "il est constamment en mouvement. Il nous a même fallu inventer des effets spéciaux pour faire vibrer l'air sur son passage, tant il se déplace vite. Mais c'est surtout la voix de Steve et le dynamisme de son interprétation qui nous ont conduits à peaufiner le design et l'animation du frétillant Zamy."
Animer des animaux
La plupart des animaux de Nos Voisins, les hommes possèdent des fourrures et chaque pelage a ses propres caractéristiques. Il a donc été nécessaire au studio Dreamworks de créer une fourrure totalement animée pour que le rendu à l'écran soit parfaitement réaliste. Ce système fourrure est alors une extension du système perruque mis en place dans Shrek 2 et Madagascar. Après avoir défini les mouvements et l'animation des fourrures, il a fallu les "éclairer" minutieusement afin de leur donner le relief et la profondeur voulus suivant la situation dans laquelle se trouve l'animal. Pour finir, les expressions facials ont elles aussi demandé beaucoup d'attention. Le visage des animaux étant dissimulé sous une épaisse fourrure, l'animation devait être amplifier pour rendre perceptible chaque émotion ou expression.
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The Notebook|Nick Cassavetes|Drame||4|américain|2004|118|Anglais||DX50|||DX50|686 Kbps|720x400|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|695||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Mark Johnson Lynn Harris|Jeremy Leven Nick Cassavetes Jan Sardi|Robert Fraisse||New Line Cinema||Atteinte de la maladie d'Alzheimer, Allie vit en maison de retraite. Chaque jour, Noah lui lit le même livre. Il s'agit du carnet où Allie a consigné sa propre histoire, lorsqu'elle a appris sa maladie. Pour ne pas oublier ses sentiments, elle a écrit, et Noah, inlassablement, lui relit ses propres mots.
A travers eux, on la découvre dans les années trente, éperdument amoureuse d'un jeune homme, Noah, que sa mère fera tout pour éloigner d'elle, sa situation n'étant pas jugée assez bonne.
Après des années de séparation, à la fin de la Seconde Guerre mondiale, Allie s'apprête à épouser un avocat. Lorsque, par le journal, elle apprend le retour de Noah, l'envie lui prend de le revoir. Echappant à une vie de convenance, les deux jeunes gens se retrouvent et découvrent que leur amour est resté intact. Ils passeront le reste de leur vie ensemble, jusqu'à ce que la mémoire les sépare. |Ryan Gosling (Noah Calhoun)@Rachel McAdams (Allie Hamilton)@James Garner (Duke)@Gena Rowlands (Allie Calhoun)@James Marsden (Lon Hammond)@Joan Allen (Anne Hamilton)@Sam Shepard (Frank Calhoun)@David Thornton (John Hamilton )@Kevin Connolly (Fin)@Rebecca Koon (La tante Georgia)@Deborah Hobart (La tante Kitty)@Starletta DuPois (L'infirmière Esther)@Jennifer Echols (L'infirmière Selma)@Kweli Leapart (Willa la bonne)@Ed Grady (Harry)@Cullen Moss (Bodee)@Traci Dinwiddie (Veronica)@Riley Novak (Edmond)@Heather Wahlquist (Sara Tuffington)@Andrew Schaff (Matthew Jamison III)@James Middleton (Aaron)@Jamie Brown (Martha Shaw)@Paul Johansson (l'ex-petit ami de la mère d'Allie)@||Secrets de tournage :
Un fils sous influence
N'oublie jamais est le quatrième long-métrage réalisé par Nick Cassavetes, fils du cinéaste-culte John Cassavetes et de l'égérie de celui-ci, Gena Rowlands. L'actrice décrit ainsi son réalisateur de fils : "Nick a le même amour authentique des acteurs qu'avait son père. Il est un peu plus à cheval sur sa direction, il aime à diriger au plus près ses comédiens. Il sait créer un climat propice au jeu, et il a un oeil excellent."
Se souvenir des belles choses
Le réalisateur évoque le thème de la mémoire, qui est au centre de son film : "La mémoire est une chose passionnante. Comment les souvenirs forgent-ils les êtres humains ? C'est différent pour chacun d'entre nous, et cela dépend d'où vous en êtes dans votre vie (...) C'est terrible pour les gens qui ont la maladie d'Alzheimer parce que cela ne leur retire pas seulement leurs souvenirs ou leur expérience, mais tout ce qu'ils possèdent. Le passé est la chose la plus précieuse que l'on puisse perdre dans une vie."
Un carnet passé entre plusieurs mains
Dans les années 90, N'oublie jamais était un projet de Steven Spielberg, qui avait songé pour le rôle principal à Tom Cruise. Après le forfait du très occupé réalisateur-producteur, l'Irlandais Jim Sheridan et le Néo-zéandais Martin Campbell étaient sur les rangs pour adapter le best-seller de Nicholas Sparks. Ashley Judd était alors pressentie pour incarner Allie.
L'amour...
Le réalisateur Nick Cassavetes précise ses intentions : "De bien des façons, N'oublie jamais est un portrait de l'amour en soi. C'est difficile. C'est fort. Cela peut vous rendre fou de douleur par moments. Mais dans la nature même de l'amour, ou de ce que nous aimons appeler ainsi, il y a sa capacité à perdurer. Ce que je fais avec ce film, c'est dire que je crois à l'amour, au grand amour, je crois qu'il est possible d'aimer démesurément, et que cela peut marcher..."
Inoubliables
Autour des jeunes Ryan Gosling et Rachel McAdams, on retrouve à l'affiche de N'oublie jamais plusieurs légendes du cinéma américain : l'acteur et réalisateur Sam Shepard, vu notamment dans L'Etoffe des heros, James Garner, interprète de La Grande évasion de John Sturges ou encore Victor Victoria, sans oublier Gena Rowlands, dont les rôles dans les films de son époux John Cassavetes, de Gloria à Opening night, ont marqué la mémoire des cinéphiles.
Family life
Après avoir été longtemps dirigée par son mari, Gena Rowlands tourne, pour la troisième fois, sous la direction de son fils : "Ca ne me paraît pas si étonnant de travailler en famille, parce que son père et moi avons fait beaucoup de films ensemble", se souvient-elle. "A la maison, quand les enfants étaient petits, ils jouaient entre les caméras, sautaient par-dessus l'équipement qui traînait toujours aux quatre coins de la maison. Cela leur a permis de ne pas avoir une admiration béate du cinéma, mais au contraire de le désacraliser pour développer un amour véritable."
Britney Spears oubliée
Britney Spears avait été pressentie pour incarner le rôle d'Allie, finalement tenu par Rachel McAdams.
Carnets et romans
N'oublie jamais est l'adaptation des Pages de notre amour, un best-seller de Nicholas Sparks. Deux mélodrames avaient déjà été tirés de l'oeuvre romanesque de ce jeune auteur américain : Le Temps d'un automne d'Adam Shankman et Une bouteille à la mer de Luis Mandoki.
On dirait le Sud
N'oublie jamais a été entièrement tourné en Caroline du Sud, dans les villes de Charleston et Georgetown et dans leurs environs : "Nick disait que c'était différent là-bas, alors je suis allée voir. Il y a effectivement une atmosphère particulière, les gens sont différents. L'éducation l'était aussi dans les années quarante, particulièrement pour les débutantes. Etant canadienne [tout comme son partenaire dans le film Ryan Gosling], j'ai ressenti naturellement ce besoin de l'immerger dans l'ambiance afin de mieux ressentir. Ce parfum du Sud a eu un très fort impact sur moi", reconnaît Rachel McAdams. "Je ne suis pas superstitieux, mais j'ai toujours éprouvé quelque chose de spécial en pénétrant dans le Sud. Cet extraordinaire passé est l'un des grands piliers de la littérature du Sud. Les auteurs n'ont pas à inventer quoi que ce soit : c'est un univers en soi...", affirme pour sa part Sam Shepard."
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We Were Soldiers|Randall Wallace|Guerre|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain, allemand|2002|132|Anglais||DX50|||DX50|624 Kbps|512x224|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|691||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Randall Wallace Bruce Davey|Joe Galloway|Dean Semler||Paramount Pictures||Le dimanche 14 novembre 1965, à 10h48, au Viêt-nam, le lieutenant-colonel Harold C. Moore, instructeur à Fort Benning, et 400 soldats américains sont parachutés sur la zone dit d'X-Ray, dans la vallée de Ia Drang. Celle-ci, surnommée Vallée de la Mort par les Vietnamiens, est contrôlée par les forces ennemies.Homme de parole, Moore avance le premier sur le champ de bataille. Lui et ses hommes se retrouvent rapidement encerclés par plus de 2 000 militaires du Viêt-Cong. |Mel Gibson (le lieutenant-colonel Harold C. Moore)@Madeleine Stowe (Julie Moore)@Greg Kinnear (le commandant Bruce Crandall)@Sam Elliott (l'adjudant-chef Basil Plumley)@Chris Klein (le sous-lieutenant Jack Geoghegan)@Barry Pepper (Joe Galloway )@Mike White (SFC Haffner )@Jsu Garcia (Le capitaine Haffner)@Dan Beene (Le chauffeur de taxi)@Keri Russell (Barbara Geoghegan)@||Secrets de tournage :
Dans la peau des personnages
Pour interpréter leur rôle, les acteurs sont entrés en contact avec la famille des soldats ainsi, Ryan Phillippe passa du temps avec James Bradley , auteur de l'oeuvre originale et fils du "Doc Bradley" (rôle de Ryan Phillippe): "C'était un peu étrange de me présenter à lui comme l'interprète de son père, mais il m'a reçu très chaleureusement et a trouvé que j'étais un bon choix.".
"C'est un homme honnête, simple et direct. Il ne prétend pas être autre chose que ce qu'il est. J'ai fait tout mon possible pour interpréter de la façon la plus honnête et la plus complète ce type remarquable."
Sur le plan technique, le principal challenge de l'acteur fut d'assimiler les techniques de base médicales : "J'ai appris à faire un tourniquet, à mettre en place un bandage ou des attelles. Plusieurs générations d'hommes ont fait la guerre au sein de ma famille. Mon père s'est battu au Vietnam, ainsi que mon oncle, et mes deux grands-pères ont fait la Deuxième Guerre. C'est une énorme responsabilité et un honneur de pouvoir leur témoigner mon respect."
Quant à Jesse Bradford qui interprète Gagnon, il explique: "Son fils et moi avons longuement évoqué sa personnalité. Je pense que Gagnon avait certaines failles, mais aussi qu'il était un héros à sa manière, très conscient de l'importance de cette contribution à l'effort de guerre. J'ai essayé de privilégier ses bons côtés."
"Mike Strank (soldat) avait 25 ans au moment d'Iwo Jima", complète Ryan Phillippe. "Les autres gars n'en avaient que 18 ou 19. Strank était donc un vétéran aguerri. Détail amusant : Barry Pepper, fort de ses expériences martiales sur Il faut sauver le soldat Ryan et Nous étions soldats, a joué le même rôle auprès de nous et s'est tout naturellement chargé de notre formation."
11 caméras pour une bataille
Dans un souci de réalisme, Randall Wallace et Dean Semler, respectivement réalisateur et directeur de la photographie de Nous étions soldats, ont multiplié les angles de prises de vue pendant le tournage des séquences de batailles. Pas moins de 11 objectifs étaient parfois utilisés pour une même scène, certains portés à l'épaule par des caméramen placés au coeur de l'action, d'autres installés sur les hélicoptères survolant la bataille.
Entraînement à Fort Benning
Les acteurs de Nous étions soldats n'y ont pas coupé, puisqu'ils ont suivi un stage intensif à la base de Fort Benning, le même qui celui imposé aux soldats qui livrèrent la bataille de Ia Drang, sujet du film, en 1965.
Une même philosophie
De l'aveu même de son réalisateur, Nous étions soldats possède le même message que Braveheart, le film qui révéla Randall Wallace, alors scénariste, au monde : "Ecoutez votre coeur car même s'ils vous l'arrachent, ils ne pourront rien contre vous".
Une option achetée personnellement
Après avoir découvert le livre We were soldiers once... and young au début des années 90, Randall Wallace décide quelques années plus tard d'acheter une première option sur les droits du livre avec son argent personnel, sans qu'aucun acteur ou société de distribution ne soit encore impliqué.
Basé sur des faits réels
Nous étions soldats est basé sur l'histoire vraie de la bataille de Ia Drang, première véritable confrontation de la Guerre du Vietnam, survenue le 14 novembre 1965. Le film de Randall Wallace s'inspire plus précisément du livre We were soldiers once... and young co-écrit par le lieutenant-colonel Harold G. Moore, qui commandait les troupes à Ia Drang, et Joseph L. Galloway, journaliste de guerre qui suivait les troupes de Hal Moore. Tous deux ont étroitement collaboré à la réalisation du film.
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O Brother, Where Art Thou?|Joel Coen|Comédie||3|américain, français, britannique|2000|102|Anglais||DX50|||DX50|848 Kbps|688x304|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Ethan Coen|Ethan Coen Joel Coen|Roger Deakins||Bac Films||Dans le Mississippi profond, pendant la Grande Depression. Trois prisonniers enchainés s'évadent du bagne : Ulysses Everett McGill, le gentil et simple Delmar et l'éternel râleur Pete. Ils tentent l'aventure de leur vie pour retrouver leur liberté et leur maison. N'ayant rien à perdre et unis par leurs chaînes, ils entreprennent un voyage semé d'embuches et riche en personnages hauts en couleur. Mais ils devront redoubler d'inventivité pour échapper au mysterieux et rusé shérif Cooley, lancé à leur poursuite... |George Clooney (Ulysses Everett McGill)@John Turturro (Pete)@Tim Blake Nelson (Delmar)@John Goodman (Big Dan Teague)@Wayne Duvall (Homer Stokes)@Ray McKinnon (Vernon T. Waldrip)@Daniel von Bargen (Sheriff Cooley)@J.R. Horne (Pappy's Staff)@Del Pentecost (Junior O'Daniel)@Brian Reddy (Pappy's Staff)@Chris Thomas King (Tommy Johnson)@Holly Hunter (Penny Wharvey)@Charles Durning (Pappy O'Daniel)@Michael Badalucco (George "Babyface" Nelson)@||Secrets de tournage :
Quelques gouttes de réalité
Certains personnages que rencontrent les trois héros de O'Brother ont réellement existé. Ainsi, George «Babyface» Nelson, incarné par Michael Badalucco, était-il un gangster extrêmement dangereux des années 30. Mais le personnage décrit dans le film n'a que peu de points communs avec son modèle. Comme le confesse Michael Badalucco, «ce qu'il devient dans l'esprit des frères Coen est très différent de ce qu'on a pu voir dans le vieux films policiers.»
Tommy Johnson, le personnage qu'interprète Chris Thomas King, était l'un des bluesmen les plus célèbres de l'époque. Le comédien réunissait les qualités d'acteur, de musicien et de chanteur indispensables pour rendre son personnage crédible.
Chris Thomas King, qui dut apprendre la technique de jeu des musiciens de l'époque, s'estime chanceux d'avoir décroché le rôle et avoue qu'«il y a dû avoir une intervention divine ou quelque chose comme ça ! Il fallait qu'ils aient drôlement confiance en moi pour me donner le rôle.»
Tim Blake Nelson (Delmar)
Dirigé notamment par Hal Hartley (Amateur en 1994) et Mike Newell (Donnie Brasco en 1997), Tim Blake Nelson a joué dans La ligne rouge (Terrence Malick, 1999).
Tim Blake est également réalisateur. Il a mis en scène trois longs métrages, tous inédits en France.
Joel Coen écrit en musique
« Dès le début de l'écriture, la musique a occupé une place très importante, qui n'a cessé d'augmenter. Il y a très peu de scènes dans le film sans élément musical. »
Une B.O. composite
L'action de O'Brother se déroule dans le Deep South, région où le musique la plus populaire est le "bluegrass", une forme traditionnelle de blues. La bande-originale traduit cette ambiance musicale à travers des enregistrements originaux des années 30 et des titres de l'époque réenregistrées. De plus, une chanson a spécialement été composée pour les besoins du film.
Et de quatre !
O'Brother marque la quatrième collaboration entre John Turturro et Joel Coen. Le comédien était auparavant apparu aux génériques de Miller's crossing (1990), Barton Fink (1991) et The big Lebowski (1998).
Les yeux fermés
George Clonney, enthousiaste à l'idée de jouer sous la direction des frères Coen, a accepté le projet sans même lire le scénario. La lecture du script n'a fait que confirmer ses a priori favorables.
Adapté de Homère
O' Brother se présente comme la libre adaptation de «L'Odyssée» de Homère dans le Deep South des années 30.
Joel Coen ironise : «Ce projet est né il y environ 3000 ans, depuis qu'Homère a commencé à en parler ici et là.» avant de reconnaître qu'«il s'agit d'un sujet très américain, comme tous nos sujets. Il est inséré dans une époque e une région précises. Mais, en même temps, il se fonde sur une histoire universelle, connue de tous.»
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Ocean's Eleven|Steven Soderbergh|Policier||3|australien, américain|2002|116|Anglais||DivX|||DIVX|650 Kbps|480x208|MPEG-2 Audio layer 3|56.0 Kbps|False|24.0 KHz|2|593||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Jerry Weintraub|Ted Griffin|Steven Soderbergh||Warner Bros.|Saga : Danny Ocean |Après deux ans passés dans la prison du New Jersey, Danny Ocean retrouve la liberté et s'apprête à monter un coup qui semble impossible à réaliser : cambrioler dans le même temps les casinos Bellagio, Mirage et MGM Grand, avec une jolie somme de 150 millions de dollars à la clé. Il souhaite également récupérer Tess, sa bien-aimée que lui a volée Terry Benedict, le propriétaire de ces trois somptueux établissements de jeux de Las Vegas.Pour ce faire, Danny et son ami Rusty Ryan composent une équipe de dix malfrats maîtres dans leur spécialité. Parmi eux figurent Linus Caldwell, le pickpocket le plus agile qui soit ; Roscoe Means, un expert en explosifs ; Ruben Tishkoff, qui connaît les systèmes de sécurité des casinos sur le bout des doigts ; les frères Virgil et Turk Malloy, capables de revêtir plusieurs identités ; ou encore Yen, véritable contorsionniste et acrobate. |George Clooney (Danny Ocean )@Brad Pitt (Rusty Ryan)@Julia Roberts (Tess Ocean )@Matt Damon (Linus Caldwell )@Andy Garcia (Terry Benedict)@Don Cheadle (Basher Tarr)@Casey Affleck (Virgil Malloy )@Scott Caan (Turk Malloy )@Elliott Gould (Reuben Tischkoff )@Carl Reiner (Saul Bloom )@Bernie Mac (Frank Catton)@Eddie Jemison (Livingston Dell)@Shaobo Qin (Yen)@Jerry Weintraub (High Roller)@Shane West (lui-même)@Barry Watson (lui-même)@Holly Marie Combs (elle-même)@Joshua Jackson (lui-même)@Henry Silva (lui-même)@Topher Grace (lui-même)@Scott L. Schwartz (Bruiser)@||Secrets de tournage :
Brad Pitt, le sex symbol boulimique
Dans Ocean's eleven, le personnage de Brad Pitt, Rusty Ryan, ne cesse de se goinfrer tout au long du film.
C'est le sex symbol lui-même qui a donné l'idée de ce trait de caractère comique à Steven Soderbergh, un jour où, affamé, il lui parlait la bouche pleine.
"Rien ne va plus" pour Clooney
Cadre oblige, pendant le tournage d'Ocean's eleven, le temps libre des acteurs a été facilement meublé par les tables de jeu.
Si la palme du plus chanceux n'a toujours pas été attribuée (Matt Damon et Brad Pitt n'osant la revendiquer), celle du plus gros "looser" revient sans conteste à George Clooney : 25 mises de suite perdues au blackjack.
Un remake par Soderbergh
En 2001, Steven Soderbergh réalise un remake de L' Inconnu de Las Vegas
de Lewis Milestone, intitulé Ocean's eleven, avec George Clooney dans le rôle de Danny Ocean jadis incarné par Frank Sinatra.
Soderbergh, l'Attila des casinos
Dans Ocean's eleven, Steven Soderbergh prend le contre-pied de Traffic.
Si dans le premier il privilégie les extérieurs, le deuxième se déroule presque exclusivement à l'intérieur du casino Bellagio de Las Vegas.
Obtenir l'accord des hôtels-casinos ne fut pas chose facile pour le réalisateur, les équipes de cinéma n'étant tolérées en ces lieux qu'entre minuit et 6 heures du matin. Mais, le producteur du film, Jerry Weintraub, parvint à dénouer la situation grâce à son expérience et à sa connaissance du milieu du jeu.
Ainsi pendant cinq semaines, les techniciens de Soderbergh ont occupé le plus bel hôtel de Las Vegas, investissant en permanence 25 à 30% de la surface du casino. Les VIP's ont même eu la surprise de devoir un jour se garer à l'étage très plébien et peu chic du sous-sol, leur parking réservé étant réquisitionné pour le tournage d'une scène d'extérieur.
Les fontaines et jets d'eau du parc furent également arrêtés, puis ce fut le tour des serres et des jardins botaniques fermés le temps d'une scène. Enfin, la réception et les salons particuliers réservés aux flambeurs patentés durent être évacués pour cause de tournage.
Quant au travail sur les décors, les éléments apportés par Philip Messina et son équipe ont littéralement conquis le Bellagio qui en a tenu compte dans le nouveau design de l'hôtel.
Cependant, il est à noter que tous les décors du film ne sont pas exclusivement ceux du Bellagio. Ainsi, la suite Mirador a été construite en studio, mais l'effet de réel a bluffé jusqu'au technicien du tournage puisque l'un d'eux s'est surpris à vouloir téléphoner en cuisine pour passer une commande.
Des stars-braqueurs à revenu réduit
Depuis le commencement du projet Ocean's eleven, Steven Soderbergh envisageait de réitérer l'exploit de Traffic, et de réunir à nouveau une pléiade de stars à l'écran.
D'emblée, il choisit George Clooney pour incarner le rôle principal de Danny Ocean. L'acteur s'investit aussitôt dans la pré-production, épaulant le réalisateur dans ses démarches auprès des autres vedettes. Il parviendra ainsi, non seulement à obtenir le casting souhaité mais également à alléger le budget puisqu'il renoncera à son cachet habituel, donnant par la même l'exemple à ses futurs camarades braqueurs.
La collaboration inédite de Tiffany
Le personnage sophistiqué de Tess Ocean nécessitait une garde-robe sobre mais d'exception.
Ainsi, Jeffrey Kurland (qui habille ici pour la cinquième fois l'actrice après : Tout le monde dit I Love You, Le Mariage de mon meilleur ami, Erin Brockovich, seule contre tous, et Couple de stars), a choisi de parer Julia Roberts de sublimes bijoux prêtés par Tiffany & Co.
C'est une grande première pour Steven Soderbergh, qui refusait jusque alors de faire des placements de produits, mais aussi pour le bijoutier new-yorkais qui n'avait encore jamais accepté de prêter ses créations.
Des hommages très discrets
On peut noter l'hommage que rend Jim Jarmusch, dans son néo-western ultra stylisé, Dead Man, à une des grandes figures du genre, en prénommant ses deux shériffs nigauds respectivement Lee et Marvin (Lee Marvin).
Steven Soderbergh, quant à lui, s'est souvenu de ses classiques, et à appeler les frères Malloy de Ocean's eleven (Scott Caan, Casey Affleck), Virgil et Turk, en référence au personnage de Virgil "Turk" Sollozzo dans le Le Parrain.
Le gang Affleck chez Soderbergh
Dans la famille Affleck, Steven Soderbergh a embauché Casey dans un rôle de truand (Virgil Malloy), mais si l'on tend l'oreille, on peut également distinguer off dans la VO, la voix de Ben, prétendument celle de l'un des deux vigiles que les frères Malloy croise à l'entrée du casino.
Matt Damon accro aux lunettes ?
On peut se poser la question en voyant qu'il porte chez Steven Soderbergh la même paire de lunettes que chez Anthony Minghella (Le Talentueux M. Ripley).
Quand le casino casse... vraiment
Parmi les clins d'oeil que Steven Soderbergh fait à L' Inconnu de Las Vegas de Lewis Milestone, on peut noter la présence à l'écran du Desert Inn, casino de Las Vegas ayant servi de décor à la version de 1960.
Cependant, l'immeuble ayant été détruit début 2001, c'est au spectacle de sa démolition que le spectateur est invité à assister dans le remake (Ocean's eleven).
« Préc.
De Friends à Steven Soderbergh
Pour Ocean's eleven, Steven Soderbergh a pioché quelques têtes d'affiche au sein de la famille Friends.
On peut, ainsi, noter au générique du film quelques unes des guest stars de la célèbre série télé : Brad Pitt par exemple (également mari à la ville de Jennifer Aniston), ou encore Julia Roberts, ex paranoïaque et vengeresse de Matthew Perry dans l'un des épisodes de la série, sans oublier, Elliott Gould, alias Jake Gellar, père à l'écran de Courteney Cox et David Schwimmer.
Mais il n'y a pas que les "stars" de Friends qui viennent chez Soderbergh faire leur cinéma. En effet, au début du film, lors de la partie de poker, les adversaires de Brad Pitt ne sont autres que Shane West (Once and again sur M6), Holly Marie Combs (Charmed sur M6), Joshua Jackson (Dawson sur TF1), Topher Grace (That's 70s Show sur France 2) et Barry Watson (7 à la maison sur TF1) dans leurs propres rôles. A la fin de la partie après une défaite "collégiale" de ces jeunes stars, George Clooney a même la perfidie d'ajouter un dernier sarcasme à leur intention : "Ca fait quoi de passer de la télé au cinéma" !
Les habitués de Soderbergh
Pur son 11ème film, le réalisateur retrouve trois comédiens avec lesquels il a déjà travaillé : George Clooney pour Hors d'atteinte, Julia Roberts pour Erin Brockovich, seule contre tous, mais la palme revient à Don Cheadle qui totalise trois collaborations avec Steven Soderbergh (Hors d'atteinte, Traffic et Ocean's eleven).
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Ocean's Twelve|Steven Soderbergh|Comédie||2|américain|2004|118|Anglais||DX50|||DX50|686 Kbps|480x240|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|697||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Jerry Weintraub|George Nolfi|Steven Soderbergh||Warner Bros.|Saga : Danny Ocean |Trois ans ont passé depuis le braquage historique du casino Bellagio de Las Vegas. Depuis, Danny Ocean et ses associés se sont dispersés dans la nature avec l'intention de mener une existence honnête.
Remarié à Tess, ce dernier joue "profil bas" jusqu'au jour où l'un de ses anciens complices la balance à Terry Benedict. Le propriétaire du Bellagio n'y va pas par quatre chemins : la bande doit, sous peine de mort, lui restituer le magot.
Et ce n'est qu'un début, car quelqu'un d'autre s'intéresse de très près aux agissements passé et présents de la bande des onze... |George Clooney (Danny Ocean)@Brad Pitt (Rusty Ryan)@Matt Damon (Linus Caldwell)@Catherine Zeta-Jones (Isabel Lahiri)@Andy Garcia (Terry Benedict)@Don Cheadle (Basher Tarr)@Bernie Mac (Frank Catton)@Julia Roberts (Tess Ocean)@Casey Affleck (Virgil Malloy)@Scott Caan (Turk Malloy)@Vincent Cassel (François Toulour)@Eddie Jemison (Livingston Dell)@Carl Reiner (Saul Bloom)@Elliott Gould (Reuben Tishkoff)@Shaobo Qin (Yen)@Jerry Weintraub (businessman américain)@Robbie Coltrane (Matsui)@Jeroen Krabbe (Van der Woude)@Eddie Izzard (Roman Nagel)@Johan Widerberg (Johan)@Jeroen Willems (Paul)@Mattia Sbragia (Commissario Giordano)@Cherry Jones ("Molly Star" / Madame Caldwell)@Bruce Willis (lui-même)@Albert Finney (La Marque)@||Secrets de tournage :
11 + 1 = 12 !
Ocean's 12 est la suite d'Ocean's eleven (2001, remake du L'Inconnu de Las Vegas porté par Frank Sinatra et Dean Martin). Le gang de braqueurs bénéficie à nouveau de la réalisation de Steven Soderbergh. Les onze héros du premier film sont tous de retour pour cette nouvelle aventure, rejoints par une mystérieuse douzième personne...
L'origine d'un retour
L'idée de donner naissance à une suite d'Ocean's eleven germa dans l'esprit du réalisateur Steven Soderbergh lors de la tournée promotionnelle de ce premier film, lorsque toute l'équipe fit un court séjour à Rome. Immédiatement tombé amoureux de la capitale italienne, il pensa à une suite dont l'action se déroulerait sur le Vieux continent. Lorsqu'il revint à Los Angeles, Steven Soderbergh et le producteur Jerry Weintraub trouvèrent une nouvelle source d'inspiration pour ce qui allait devenir Ocean's 12 : un scénario de George Nolfi intitulé Honor Among Thieves, l'histoire d'une opposition entre deux voleurs, l'un américain et l'autre européen, que le cinéaste asiatique John Woo eut un temps envie de porter à l'écran. Finalement, le script fut remanié pour se fondre dans l'histoire d'Ocean's 12. Les braqueurs pouvaient enfin être de retour...
Zeta-Jones rejoint la bande
L'actrice Catherine Zeta-Jones est l'une des nouvelles têtes d'Ocean's 12. Sa participation au long-métrage lui permet de collaborer à nouveau avec Steven Soderbergh, quatre ans après Traffic. Elle en profite également pour retrouver George Clooney, son partenaire dans Intolérable cruauté.
La petite famille de Soderbergh
Certains des braqueurs d'Ocean's eleven et Ocean's 12 sont des fidèles du cinéma de Steven Soderbergh. Le cinéaste collabore ainsi plus ou moins régulièrement avec George Clooney (Hors d'atteinte, Solaris), Julia Roberts (Erin Brockovich, Full frontal), Catherine Zeta-Jones (Traffic) ou Don Cheadle (Hors d'atteinte, Traffic).
Clooney et sa bande
Pour George Clooney, retrouver ses camarades braqueurs fut un réel plaisir : "Nous formons un groupe de gens désireux de travailler ensemble le plus souvent possible. Nous partageons la même philosophie à propos de notre métier, à savoir que nous serions vraiment stupides de ne pas y prendre du plaisir et de ne pas mesurer nos privilèges. (...) Je suis heureux de voir qu'il n'y a pas la moindre rivalité au sein de notre groupe, que nul ne demande à avoir davantage de texte, ne réclame de "meilleures" répliques, ni n'essaie de voler la vedette aux autres."
Vincent Cassel débarque à Hollywood...
Ocean's 12 marque la première expérience du Français Vincent Cassel à Hollywood, où il se glisse sous les traits de François Toulour, l'homme de main d'Andy Garcia. Une tentative de l'autre côté de l'Atlantique qui aura visiblement porté ses fruits : l'acteur a signé, dans la foulée du tournage, pour figurer au générique du thriller Derailed, aux côtés de Jennifer Aniston et Clive Owen.
... et séduit les braqueurs !
Vincent Cassel a fait l'unanimité sur le tournage d'Ocean's 12, comme l'explique Steven Soderbergh, qui lui a proposé un rôle dans le film lors du Festival de Cannes 2003 : "Je suivais le travail de Vincent depuis quelque temps déjà, et je le trouvais vraiment passionnant. Dès que nous avons commencé l'écriture, j'ai dit à tout le monde que c'était lui que je voulais pour Toulour. J'avais le sentiment qu'il trouverait vite sa place dans cet ensemble et qu'il n'aurait aucun mal à bosser avce nous. Cela s'est confirmé. Tout le monde s'est instantanément attaché à Vincent et a apprécié son humour et son intelligence."
Tournage euro-américain...
Si le tournage d'Ocean's eleven s'est exclusivement effectué sur le sol américain, celui d'Ocean's 12 s'est déroulé non seulement aux Etats-Unis (Los Angeles, Las Vegas), mais également en Europe. Sur le Vieux Continent, les braqueurs se sont installés aux Pays-Bas, en Italie, à Monte-Carlo (notamment dans l'enceinte du casino de la ville) et à Paris, où certains d'entre eux, dont Brad Pitt, George Clooney et Matt Damon, ont notamment foulé les quais de notre chère Gare du Nord ou arpenté les couloirs de la vénérable Sorbonne.
... un peu mouvementé
Le tournage d'Ocean's 12 connut un petit contre-temps aux Pays-Bas lorsque le train Thalys, utilisé pour les besoins du film, heurta accidentellement une barre de fer sur la voie et fut contraint de s'arrêter. Plusieurs heures furent nécessaires pour la réparation.
La petite revanche de Bruce Willis
L'acteur Bruce Willis est au générique d'Ocean's 12, effectuant une petite apparition dans son propre rôle. Comme si Steven Soderbergh avait voulu lui adresser un petit clin d'oeil : Willis avait en effet été engagé pour Ocean's eleven, mais dut se retirer de l'aventure en raison d'un emploi du temps incompatible.
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Ocean's Thirteen|Steven Soderbergh|Policier||2|américain|2007|117|Anglais||XviD|||XVID|695 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Jerry Weintraub|Brian Koppelman David Levien|Steven Soderbergh||Warner Bros.|Saga : Danny Ocean |Douce vengeance sous le ciel de Las Vegas... Danny Ocean et sa bande ne pouvaient avoir qu'un seul motif pour tenter leur braquage le plus audiacieux à ce jour : sauver un des leurs. Mais la chance ne suffit pas toujours lorsque l'on veut faire sauter "The Bank"... Le cruel propriétaire de casino Willy Bank ne s'attendait pas à une telle riposte lorsqu'il trahit en envoya l'ami et mentor de Danny, Reuben Tishkoff. Mauvais, très mauvais calcul, car Danny rameute ses fidèles complices pour infliger à Bank un châtiment exemplaire le soir de l'inauguration de son nouveau casino, The Bank. |George Clooney (Danny Ocean)@Brad Pitt (Rusty Ryan)@Matt Damon (Linus Caldwell / Lenny Pepperidge)@Al Pacino (Willie Banks)@Andy Garcia (Terry Benedict)@Don Cheadle (Basher Tarr / Fender Roads)@Bernie Mac (Frank Catton)@Casey Affleck (Virgil Malloy)@Scott Caan (Turk Malloy)@Eddie Jemison (Livingston Dell)@Shaobo Qin (Yen / Mr. Weng)@Carl Reiner (Saul Bloom / Kensington Chubb)@Elliott Gould (Reuben Tishkoff)@Vincent Cassel (François Toulour)@Ellen Barkin (Abigail Sponder)@Eddie Izzard (Roman Nagel)@Luis Chavez (Nestor)@Michael Mantell (le docteur Stan)@Olga Sosnovska (Debbie)@Armen Weitzman (Eugene)@Michael Miranda (Randall)@Jerry Weintraub (Denny Shields)@Bob Einstein (l'agent Caldwell)@Julian Sands (Greco Montgomery)@Michael Harney (le croupier au blackjack)@James DuMont (le responsable de la sécurité)@Scott L. Schwartz (Bruiser)@Noureen DeWulf (Hôtesse Nuff Said)@David Paymer (le chroniqueur blousé)@Ray Xifo (le maître d'hôtel de Reuben)@Adam Lazarre-White (un jeune cadre)@Maggie Rowe (la fleuriste)@Kris Kane (la serveuse congédiée)@Soledad St. Hilaire (la femme de chambre)@Ivar Brogger (Shuffle Royale VP)@Alex Procopio (le polygraphe)@Steven Lambert (l'escroc à la roulette)@Don McManus (Neil (un croupier))@Jon Wellner (le crieur de journaux)@Mesan Richardson (un membre du personnel)@Adrian Neil (le maître d'hôtel)@Oprah Winfrey (elle-même)@Angel Oquendo (un vigile (Ortega))@Bernie Yuman (lui-même)@Wayne Pére (l'artificier)@Joe Chrest (le manager de Fender Roads)@Tim Conlon (un adjoint de l'agent Caldwell)@Moira Squier (un adjoint de l'agent Caldwell)@Steve Hai (l'assistant de Mr. Weng)@Michi Yamato (l'arbitre du concours de chant)@Bayanbat Davaadalai (lui-même)@Byambajav Ulambayar (lui-même)@Ren Urano (l'arbitre du match de sumo)@Musashimaru (lui-même)@Akebono (lui-même)@Robert Douglas Purcell (le superviseur des machines à sous)@Ashlee Vingle (une fille Carthwheel)@Andrea Tiede (une fille Carthwheel)@Austin Priester (le vrai Fender Roads)@Margaret Travolta (la secrétaire de Bank)@Jacquie Barnbrook (le gagnant aux machines à sous)@Tommy Hinkley (le croupier à la roulette)@Michael S. Meldman (lui-même)@Jorge Luis Abreu (le régisseur)@Diana Donaldson (la secrétaire de Benedict)@Shae Wilson (le contrôleur)@||Secrets de tournage :
Un troisième braquage
Ocean's 13 est le troisième volet de la saga Ocean's entamée en 2001 avec Ocean's Eleven (remake de L'Inconnu de Las Vegas, 1960) et poursuivie en 2004 avec Ocean's Twelve. Toute la bande originale des braqueurs est de retour, George Clooney, Brad Pitt et Matt Damon en tête, Steven Soderbergh étant une nouvelle fois derrière la caméra.
Le dernier braquage de la saga ?
Lors du festival d'Edimbourg, Steven Soderbergh a déclaré que George Clooney et lui voulaient finir la saga en beauté, Ocean's Twelve leur semblant trop compliqué pour une conclusion : "Nous avons fait Ocean's 13 car nous pensions pouvoir le faire mieux que Ocean's Twelve." Clooney relate que Soderbergh désirait d'ailleurs initialement appeler le dernier opus de la trilogie Ocean's: The One We Should Have Made Last Time (littéralement : Ocean's : le film que nous aurions dû faire au départ). Quant à Steven Soderbergh lui-même, il déclarait avec humour : "Si vous posez la question à Jerry (Weintraub, le producteur), il vous dira qu'il y en aura une vingtaine. Mais il va falloir passer le flambeau à la prochaine génération, parce que, très bientôt, nous aurons besoin de poches pour colostomie et de fauteuils roulants". Lors de la conférence de presse qui s'est tenue à Cannes, Matt Damon a quant à lui annoncé qu'il laissait la porte ouverte à un quatrième volet de la saga Ocean's. "C'est assez triste de se dire que cette bande ne fera pas d'autre film. J'espère qu'on en fera un quatrième tous ensemble !"
Des acteurs unis mais débordés
Le réalisateur et les acteurs d'Ocean's 13 avouent avoir souhaité faire ce troisième volet pour avoir la possibilité de se retrouver et de jouer à nouveau ensemble. Steven Soderbergh explique qu'Ocean's 13 est "en grande partie motivé par notre désir de travailler à nouveau tous ensemble. Je dis bien "tous" car sinon le jeu n'en vaudrait pas la chandelle". George Clooney, alias Danny Ocean, ajoute "Nous formons un groupe de gens désireux de travailler ensemble le plus souvent possible. Nous partageons la même philosophie à propos de notre métier, à savoir que nous serions vraiment stupides de ne pas y prendre du plaisir et de ne pas mesurer nos privilèges. Cependant c'est assez incroyable d'avoir réussi à concilier les plannings de tant d'acteurs passablement occupés." C'est le producteur Jerry Weintraub qui a réussi, tant bien que mal, à réunir les 13 acteurs le temps du tournage. Celui-ci précise : "Une production de cette ampleur doit être planifiée longtemps à l'avance si l'on veut obtenir le concours de chacun. C'est pour cela que je les ai prévenus un par un que nous tournerions durant l'été 2006, et ai demandé des assurances quant à leur disponibilité".
Le lieu du crime
L'histoire d'Ocean's 13 se déroule de nouveau à Las Vegas, les plans extérieurs ont été réalisés sur place mais l'essentiel du film a été tourné dans les studios de la Warner, compte tenu de l'impossibilité d'occuper un nouveau casino à temps plein. Steven Soderbergh précise "Il nous aurait fallu deux fois plus de temps si nous avions tout filmé en décors naturels. J'avais besoin d'un environnement parfaitement contrôlé et c'était une démarche logique de tourner cette partie en studio. J'ai donc demandé à Philip Messina (le chef d'corateur) un décor somptueux, légèrement dément, qui refléterait la vision et la personnalité de son propriétaire et concepteur Willy Bank." Philip Messina a pris cette demande comme un défi. Celui-ci explique "Je me suis dit que je n'aurais peut-être jamais plus l'occasion de concevoir et bâtir un décor à cette échelle pharaonique. J'ai choisi une inspiration pseudo-asiatique, très audacieuse, car à Vegas, le spectacle, la fantaisie et l'ostentation sont de mise."
Al Pacino dans le rôle du pigeon
Steven Soderbergh était à la recherche d'un acteur pour incarner le personnage de Willy Bank, le "pigeon" de ce troisième braquage. Le producteur Jerry Weintraub a alors eu l'idée de proposer le rôle à Al Pacino avec qui il avait déjà travaillé en 1980 pour le film de William Friedkin, La Chasse - Cruising. Le producteur précise "C'est un merveilleux acteur et un ami de longue date, qui avait une place toute désignée dans ce film." Steven Soderbergh ajoute "Tous les réalisateurs de ma génération admirent Al Pacino et aimeraient travailler avec lui. Le rôle de Willy Bank demandait quelqu'un qui "dégage" assez pour inquiéter nos gars. La liste est très courte." Al Pacino, quant à lui, avoue avoir adoré jouer ce personnage très mégalo. L'acteur ajoute "travailler avec Steven a été une merveilleuse expérience. Il sait donner vie à une scène, créer une ambiance propice, vous procurer un sentiment de confort qui vous aide à vous libérer en tant qu'acteur."
Un acteur soucieux...
Lors du tournage d'Ocean's 13, Al Pacino se souciait de sa côte d'amour auprès du gang de Clooney & Cie, et a donc demandé à Jerry Weintraub ce que ses jeuens partenaires pensaient de lui. Le producteur rétorqua "C'est très facile de te répondre. Toi qu'est ce que tu pensais de Marlon Brando quand tu as tourné Le Parrain ? C'est ce qu'ils pensent de toi ! " Et Brad Pitt d'ajouter : "Al a fait grimper notre respectabilité... et nous avons fait descendre la sienne en flèche !"
Ellen Barkin : la revanche
Ellen Barkin qui joue le rôle d'Abigail Sponder dans Ocean's 13 apparaissait déjà dans une scène du précédent opus de la saga, mais avait dû être coupée au montage. Steven Soderbergh précise "Je lui devais une revanche ! Cet épisode d'Ocean's Twelve où elle donnait déjà la réplique à Matt, dégageait une telle sensualité que nous avons vite su qui devait jouer Abigail."
Des airs du "Parrain"
Ocean's 13 adresse quelques clins d'oeil à une autre trilogie, celle du Parrain. En effet, le film marque d'abord les retrouvailles d'Al Pacino et Andy Garcia depuis Le Parrain, 3e partie en 1990. D'autre part, on repère des similitudes dans les noms de personnages : dans ce dernier volet de la saga Ocean's, Virgil et Turk Malloy s'élèvent contre Willie Banks interprété par Al Pacino tandis que dans Le Parrain, Michael Corleone (Al Pacino) exécute Virgil Sollazzo alias The Turk. Rappelons également que Scott Caan, qui interprète Turk dans Ocean's 13, est le fils de James Caan qui incarnait Sony Corleone dans Le Parrain.
French clin d'oeil
Topher Grace, qui avait fait une apparition dans chacun des deux premiers volets de la saga Ocean's, n'a pas pu réitérer son cameo pour Ocean's 13 en raison du tournage simultané de Spider-Man 3. En revanche, Vincent Cassel, qui incarnait François Toulour dans Ocean's Twelve, est de nouveau présent dans ce dernier opus.
Des as de l'écriture
Les producteurs d'Ocean's 13 ont confié l'écriture du film au duo de scénaristes Brian Koppelman / David Levien. Les deux hommes sont à l'origine du scénario du film de poker de John Dahl, Les Joueurs, dans lequel Matt Damon donnait la réplique à Edward Norton. Ocean's 13 marquera donc leur second film se déroulant dans l'univers du jeu. Steven Soderbergh précise, "Je connaissais Brian Koppelman et David Levien de réputation grâce à des amis communs. En outre j'aimais beaucoup Les Joueurs. Peu de gens sont capables de s'introduire dans ce milieu très particulier, d'en capter le langage et l'humour. Brian et David y étaient arrivés du premier coup."
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Oliver Twist|Roman Polanski|Aventure||3|britannique, français, tchèque, italien|2005|130|Anglais||XviD|||XVID|616 Kbps|656x272|MPEG-1 Audio layer 3|123 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Alain Sarde Robert Benmussa Roman Polanski|Ronald Harwood|Pawel Edelman||Pathé Distribution||Dans un orphelinat de l'Angleterre victorienne, Oliver Twist survit au milieu de ses compagnons d'infortune. Mal nourri, exploité, il est placé dans une entreprise de pompes funèbres où, là encore, il ne connaît que privations et mauvais traitements. Oliver endure tout, jusqu'au jour où une provocation de trop le pousse à s'enfuir vers Londres.
Épuisé, affamé, il est recueilli par une bande de jeunes voleurs qui travaillent pour le vieux Fagin. Entre Dodger, Bill, Nancy et les autres, Oliver découvre un monde cruel où seules comptent la ruse et la force.
Arrêté pour une tentative de vol qu'il n'a pas commis sur la personne de Mr. Brownlow, Oliver ne trahit pas sa bande et s'attire la bienveillance du brave homme. Mais Fagin et Bill ne tardent pas à remettre la main sur lui et l'obligent à participer au cambriolage de la demeure de son bienfaiteur... |Barney Clark (Oliver Twist)@Ben Kingsley (Fagin)@Jamie Foreman (Bill Sykes)@Leanne Rowe (Nancy)@Lewis Chase (Charley Bates)@Edward Hardwicke (Monsieur Brownlow)@Jeremy Swift (Monsieur Bumble)@Mark Strong (Toby Crackit)@Harry Eden (the Artful Dodger)@Frances Cuka (Madame Bedwin)@Chris Overton (Noah Claypole)@Michael Heath (Monsieur Sowerberry)@Gillian Hanna (Madame Sowerberry)@Alun Armstrong (Mr. Fang)@James Babson (Pavel Dvorak)@Paul Brooke (Mr. Grimwig)@Jake Curran (Barney)@Peter Copley (assistant du maître d'atelier)@Ian McNeice (membre de la chambre du gouverneur)@Liz Smith (vieille dame de la petite maison)@||Secrets de tournage :
Adapté de Dickens
Oliver Twist est l'adaptation cinématographique du célèbre roman de Charles Dickens. L'auteur britannique publia ce chef d'oeuvre de la littérature en 1837.
Sur une idée de sa femme...
C'est Emmanuelle Seigner, la compagne de Roman Polanski, qui a suggéré au cinéaste de réaliser une nouvelle version cinématographique d'Oliver Twist. Polanski, qui souhaitait mettre en scène un film pour ses enfants après le difficile Pianiste, explique : "Il m'a été difficile de choisir ce que j'allais tourner après Le Pianiste. Je souhaitais réaliser un film pour mes enfants parce qu'ils s'intéressaient à mon travail et que les sujets que j'avais traités jusqu'alors ne leur parlaient pas vraiment. Je leur lis des histoires chaque soir avant qu'ils ne s'endorment, et je sais ce qui les fait rêver. J'ai donc réflechi à une histoire qui pourrait les séduire, les captiver."
Oliver Twist selon Polanski
Roman Polanski explique ce qui l'a attiré dans l'histoire d'Oliver Twist : "Oliver Twist comporte plusieurs niveaux de lecture. C'est à la fois un parcours initiatique, l'apprentissage de la vie, une saga romanesque se déroulant au coeur d'une époque fascinante où le pire côtoyait le meilleur. Comme dans tous ses romans, Dickens y mêle humour et tristesse. Je suis particulièrement réceptif à son sens de l'ironie, son goût du second degré très britannique. Les enfants aiment beaucoup cela aussi. Pour moi, le côté sombre d'Oliver Twist n'a jamais été un problème vis-à-vis des plus jeunes. C'est une part inhérente à tous les contes, qu'ils soient de Perrault ou des frères Grimm, et les enfants adorent !"
Un Oliver Twist parmi des centaines d'enfants
Après un gigantesque casting de plusieurs centaines d'enfants à travers toute l'Angleterre, Celestia Fox propose un groupe de cinq enfants dont le jeune Barney Clark qui n'a fait que de discrètes apparitions dans de petits films. Roman Polanski explique : "Je voulais un enfant émouvant au premier coup d'oeil. L'audition enregistrée de Barney m'a immédiatement paru la plus intéressante..."
Etonante transformation pour Sir Ben Kingsley
Roman Polanski se souvient : "Pour le choix de Fagin, je me suis d'abord demandé quel acteur lui correspondait le mieux physiquement. J'ai tout de suite pensé à Ben Kingsley, dont le talent à se transformer physiquement jusque dans les attitudes est incroyable..." Ben Kingsley (Oscar du meilleur acteur pour Gandhi de Richard Attenborough) retrouve Polanski 11 ans après leur collaboration dans La Jeune Fille et la Mort. Il succède alors à Alec Guinness, Ron Moody, George C. Scott ou encore Richard Dreyfuss dans ce rôle.
Prague, nouveau bureau de Roman Polanski ?
Roman Polanski se joint à nouveau à Allan Starski, chef décorateur de Le Pianiste (Oscarisé pour La Liste de Schindler de Steven Spielberg). Les décors de Oliver Twist furent tournés majoritairement en République Tchèque, les Studios Barrandov de Prague possèdant la plus grande zone de décors extérieurs d'Europe. Des quartiers entiers de Londres furent reconstitués dans ces studios non seulement de l'extérieur mais aussi de l'intérieur.
Roman Polanski semble s'y sentir à l'aise puisqu'il a déclaré vouloir y tourner son prochain film.
Oliver Twist et le grand écran
Les aventures du jeune pickpocket créées par Charles Dickens ont été portées de nombreuses fois sur grand écran. Le Oliver Twist de David Lean (1947) reste la version la plus célèbre. A noter également la comédie musicale Oliver ! (1968) de Carol Reed et le téléfilm de Clive Donner (1982).
Le scénariste du "Pianiste"
Pour Oliver Twist, Roman Polanski s'est adjoint les services du scénariste Ronald Harwood, qui avait déjà officié sur son multi-oscarisé Pianiste.
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Are We There Yet?|Brian Levant|Comédie||2|américain|2005|94|Anglais||XviD|||XVID|899 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|129 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Matt Alvarez Ice Cube Dan Kolsrud|Steven Gary Banks Claudia Grazioso J. David Stem David N. Weiss|Thomas E. Ackerman||Sony Pictures Entertainment||Célibataire et séducteur invétéré, Nick rêve de décrocher un rendez-vous avec Suzanne, une très jolie divorcée. De son côté, la jeune femme, prisonnière de son travail à Vancouver, ne souhaite qu'une chose : voir ses enfants, restés à Portland, dans l'Oregon. Prêt à tout pour conquérir la belle, Nick lui propose de réaliser son voeu le plus cher : il part chercher Kevin, 7 ans, et Lindsey, 11 ans, pour les lui ramener... |Ice Cube (Nick Persons)@Nia Long (Suzanne Kingston)@Aleisha Allen (Lindsey Kingston)@Philip Bolden (Kevin Kingston)@Jay Mohr (Marty)@M.C. Gainey (Al Buck)@C. Ernst Harth (Ernst)@Nichelle Nichols (Madame Mable)@Henry Simmons (Karl)@Kenyan Lewis (le joueur de basket)@Jerry Hardin (le pharmacien/clown)@||Secrets de tournage :
Ice Cube sur tous les fronts
L'acteur Ice Cube, grande figure du rap américain, est la vedette de cette comédie à l'origine prévue pour Adam Sandler. Il y officie également en tant que producteur et c'est à ce titre qu'il a choisi Nia Long pour partenaire. Ils avaient déjà joué ensemble il y a presque quinze ans, dans Boyz'n the Hood, la loi de la rue.
Star outre-Atlantique
Peu connu en France mais extrêmement populaire aux Etats-Unis, Jay Mohr a démarré à la télévision américaine, où il officie encore parfois. Il a entre autres oeuvré comme commentateur sur la chaîne des sports ESPN et a participé aux sketches de l'émission Saturday Night Live, avant de se lancer dans le cinéma en 1996, généralement dans des rôles de types un peu fourbes. On l'a vu entre autres dans les comédies Jerry Maguire (où il jouait le patron de Tom Cruise), Small Soldiers ou encore Simone, avec Al Pacino.
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Ong-Bak : The Thai Warrior|Prachya Pinkaew|Arts Martiaux|Interdit aux moins de 12 ans|3|thaïlandais|2004|98|||DX50|||DX50|869 Kbps|720x352|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|692||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Prachya Pinkaew|Suphachai Sittiaumponpan Sukanya Vongsthapat|Nuttawut Kittikun||EuropaCorp Distribution|Saga : Ong-Bak |Nong Pradu, un village paisible niché dans une vallée boisée de Thaïlande, est en deuil après le vol de son Bouddha sacré : Ong-Bak. Ting, entraîné secrètement au Muay Thai, art ancien de boxe thaï, se désigne pour aller le récupérer dans la fournaise de Bangkok. |Tony Jaa (Ting)@Petchtai Wongkamlao (George)@Pumwaree Yodkamol (Muay Lek)@Rungrawee Borrijindakul (Ngek)@Chetwut Waxharakun (Peng)@Wannakit Siriput (Don)@Sukhaaw Phongwilal (Khim Tuan)@Chattapong Pantanaunkul (Sming)@||Secrets de tournage :
La genèse du projet
Ong-Bak est né de la rencontre entre Panna Rithikrai, star du film d'action thaï, et Tony Jaa, étoile montante des arts martiaux. Le premier devient rapidement le mentor et le professeur du second. Une collaboration intense qui ne tarde pas à porter ses fuits : ensemble, ils parviennent à créer une nouvelle forme de cinéma d'action basée sur la discipline sportive du Muay Thaï. Lorsqu'en 1999, les deux hommes font la connaissance du réalisateur Prachya Pinkaew, ils décident de mettre en chantier Ong-Bak, avec l'objectif avéré de donner naissance à un film à la gloire des arts martiaux thaïlandais.
Une préparation épuisante
L'acteur Tony Jaa s'est préparé durant quatre ans pour les besoins de Ong-Bak. Quatre années durant lesquelles le jeune homme s'est surtout attarder à la pratique du Muay Thaï Boran, une forme ancienne et beaucoup plus violente que le Muay Thaï moderne. Tellement violente qu'il faillit d'ailleurs plusieurs fois abandonner. Mais il persévéra, à raison de huit heures d'entraînement par jour !
La parole à Tony Jaa
"L'apprentissage du Muay Thaï est très éprouvant. Il faut savoir tomber, se relever, utiliser ses genoux, ramper, glisser, rouler, savoir enchaîner tous ces mouvements par coeur et pouvoir les appliquer ensuite. (...) L'objectif principal était que la star du film reste le Muay Thaï. Nous voulions un spectacle fort, qui repousse les limites de ce qui a déjà été présenté. C'est pour cela que nous avons tous autant travaillé."
Risque maximum
Toutes les cascades de Ong-Bak ont été réalisées sans effets spéciaux ni protections, ce qui donne au long-métrage une authenticité rare. Tout ce qui est visible à l'écran est réel. L'acteur Tony Jaa, perfectionniste dans l'âme et décidé à ne pas tricher avec l'art martial qu'il défend et met en valeur, a tenu à faire ses cascades sans la protection de quelque câble qui soit. Résultat : il faillit se noyer dans une rivière, se fit une grave entorse au pied et se brula les sourcils, les cils et le nez lors d'une séquence dans une station-service. Ce qui ne l'empêcha pas, dans ce dernier cas, d'enchaîner deux scènes supplémentaires pour boucler la scène !
Box-office record en Thaïlande
Ong-Bak, sorti en janvier 2003 en Thaïlande, est le plus gros succès du cinéma thaï. Preuve de ce succès énorme, il a notamment cumulé plus de deux millions d'euros dans la seule ville de Bangkok en seulement deux semaines d'exploitation.
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Open Water|Chris Kentis|Drame||2||2004|79|||XVID|||XVID|1 091 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|702||||23.976|13/08/2009 00:00:00|Laura Lau|Chris Kentis|Laura Lau||Metropolitan FilmExport||Susan et Daniel sont venus aux Bahamas pour se détendre, et ils en ont bien besoin. Adeptes de la plongée, ils s'inscrivent pour une sortie sur la barrière de corail. Parce que le bateau est trop plein, parce que l'équipage ne fait pas vraiment attention, ils se retrouvent seuls, perdus au large, dans des eaux infestées de requins... |Blanchard Ryan (Susan)@Daniel Travis (Daniel)@Saul Stein (Seth)@Estelle Lau (Estelle)@||Secrets de tournage :
Un film de couple
Pour son deuxième film, Chris Kentis a occupé les postes de scénariste, réalisateur, directeur de la photographie et de monteur. Sa femme Laura Lau est productrice, codirectrice de la photographie sur Open Water.
Inspiré de faits réels
Le film s'inspire de l'histoire vraie d'un couple de plongeurs abandonnés par erreur au beau mileu de l'océan sur la Grande Barrière de Corail en Australie.
Des requins bien réels
Chris Kentis et Laura Lau ont collaboré avec des experts pour le film. Les requins étaient habitués à la présence humaine. Le couple avoue d'ailleurs que : "Les requins, pour la plupart des requins gris ou requins dagsit et taureaux, mesuraient de 2 m à 3.50 m, et il y en avait entre 40 et 50. Il y a eu quand même pas mal de rencontres imprévues avec certains de ces animaux."
Un tournage éprouvant
Tourné en conditions naturelles, sans effets spéciaux ni images de synthèse, Open water : en eaux profondes a été un tournage difficile. Les acteurs ont passé plus de 120 heures dans l'eau à plus de dix kilomètres des côtes au milieu de vrais requins.
Le choix de l'eau
L'eau est un personnage à part entière dans le film, omniprésent, magnifique, terrifiant et toujours changeant. Pour Chris Kentis "bien que l'être humain adore jouer ou se prélasser au bord de la mer, l'eau ne constitue pas son élément. Il y est faible, fragile. Sa perception des choses n'est pas adaptée à l'élément aquatique. L'homme n'est plus au sommet de la chaine alimentaire."
La nature généreuse ...
Bien que le tournage est souvent été éprouvant, "la plupart du temps la nature à été de notre côté. Par exemple, les jours où nous avions décidé de touner la scène des méduses...Elles ont surgi de nulle part. Et c'est la seule fois où nous en avons vu de tout le tournage ! Les méduses sont arrivées le bon jour, au bon moment...un cadeau du ciel - enfin, de la mer !" Chris Kentis
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Enter the Dragon|Robert Clouse|Arts Martiaux|Interdit aux moins de 12 ans|3|chinois, américain|1973|98|Anglais||XviD|||XVID|889 Kbps|480x208|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|32.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Paul M. Heller Bruce Lee Fred Weintraub Leonard Ho|Michael Allin|Gil Hubbs||Warner-Columbia Film||Une compétition d'arts martiaux est organisée par un mystérieux Han, derrière lequel se cache un redoutable trafiquant de drogue. Lee, agent de renseignements occidental et spécialiste de kung-fu, tente de démanteler l'organisation criminelle. |Bruce Lee (Lee)@John Saxon (Roper)@Jim Kelly (Williams)@Kien Shih (Han)@Ahna Capri (Tania)@Robert Wall (Oharra )@Angela Mao (Su Lin )@Bolo Yeung (Bolo )@Betty Chung (Mei Ling)@Peter Archer (Parsons)@Jackie Chan (Un des hommes du combat final)@Sammo Hung Kam-Bo (Combattant Shaolin)@Chuck Norris (Messager)@Tony Liu (Un participant du tournoi)@||Secrets de tournage :
Une sortie posthume
Opération dragon est sorti à Hong-Kong un mois après la mort de Bruce Lee survenue le 20 juillet 1973.
De nombreux pastiches
La Fureur du Dragon et Opération Dragon engendrèrent toute une flopée de pastiches aux noms dérivés des titres américains (chronologiquement, Enter the Dragon et Return of the Dragon) : citons entres autres Exit the Dragon, Enter the Tiger (1976), Return of the Kung Fu Dragon (1976), Enter the fat Dragon (1978), Re-enter the Dragon (1979), Enter Another Dragon (1981) ou encore, plus récemment, Enter the Black Dragon (1997).
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Ordinary Decent Criminal|Thaddeus O'Sullivan|Policier||3|américain, allemand, irlandais|2000|90|||DIV3|||div3|868 Kbps|640x368|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|648||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Jonathan Cavendish|Gerard Stembridge|Andrew Dunn||Pyramide||Michael Lynch est un homme affable, moqueur, séduisant et un bon père de famille. C'est aussi un escroc et un maître du cambriolage. Ses actions ne passent pas inaperçues car il défie les autorités dès qu'il le peut, gagnant ainsi les faveurs de la population de Dublin. Il réussit si bien que ce qui, au départ, était une partie de rigolade, se transforme en un jeu plus dangereux. Lynch commence à accorder plus d'importance à son image qu'à l'argent et la police est bien décidée à l'abattre. |Kevin Spacey (Michael Lynch)@Linda Fiorentino (Christine Lynch)@Peter Mullan (Stevie)@Stephen Dillane (Noel Quigley)@Helen Baxendale (Lisa)@David Hayman (Tony Brady)@Patrick Malahide (Commissaire Daly)@Colin Farrell (Alec)@Vincent Regan (Shay Kirby)@Christoph Waltz (Peter)@||Secrets de tournage :
Festival de Cognac
Ordinary Decent Criminal a été présenté, en compétition, lors du 18ème Festival du Film Policier de Cognac (2000).
Thaddeus O'Sullivan, réalisateur
Né à Dublin, il a étudié le graphisme à la Ealing School of Art, dans l'ouest de Londres, et a obtenu un diplôme en cinéma et télévision au Royal College of Art.
A la fin des années 70, il travaille comme directeur de la photographie, réalise des films publicitaires et met en scène des pièces de théâtre.
C'est en 1990 qu'il réalise son premier film December Bride, qui décroche de nombreuses récompenses internationales, dont le Felix, prix spécial du jury de l'European Film Academy.
En 1995, Thaddeus O'Sullivan réalise Nothing Personal, avec Ian Hart, John Lynch et James Frain, qui remporte un succès critique. Le film a obtenu le Prix du public au Festival de Cherbourg.
Martin Cahill chez John Boorman
La vie et la mort de Martin Cahill ont été transposées à l'écran dans le film de John Boorman The General, Prix de la Mise en Scène au 51e Festival de Cannes.
Le personnage de Martin Cahill était interprété par Brendan Gleeson (Lake Placid, Mission Impossible 2)
D'après un personnage réel
Le réalisateur Thaddeus O'Sullivan, le producteur Jonathan Cavendish et le scénariste Gerry Stembridge se sont inspirés du personnage de Martin Cahill, célèbre gangster irlandais abattu par l'IRA le 18 août 1994.
« Nous nous sommes vite rendu compte que la biographie d'une seule personne nous limitait » souligne Jonathan Cavendish. « Aussi avons-nous décidé de mélanger certains éléments de la vie de Cahill à des traits appartenant à la vie d'autres gangsters irlandais et d'en faire une ?uvre de fiction. Cela nous a permis d'exploiter une profusion d'idées et de faire un film divertissant. »
Gerard McSorley (Harrison) :
Neil Jordan a fait appel à lui pour jouer dans Angel, Michael Collins, Butcher Boy. Il a été l'interprète de Au nom du père et The Boxer, deux films de Jim Sheridan, autre réalisateur irlandais.
Gerard McSorley a également joué dans Braveheart, Le baiser du serpent et Le voyage de Felicia
Kevin Spacey (Michael Lynch) à propos de son personnage :
« J'avais vu Nothing Personal de Thaddeus O'Sullivan et j'avais trouvé ça plutôt épatant. Je m'étais retrouvé dans un monde que je ne connaissais pas, celui de l'Irlande du Nord et de ses problèmes. Le scénario de Ordinary decent criminal allait parfaitement dans la direction que j'essayais de prendre en tant qu'acteur. J'ai trouvé le personnage de Michael Lynch fascinant : d'un côté, il s'insurge contre tous les aspects de l'ordre établi, de l'autre, il a un sens aigu du devoir, de la loyauté et de la fidélité envers sa famille. Cette dualité m'intéresse. J'aime jouer des personnages dont le public ne sait pas quoi penser. »
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OSS 117, Le Caire nid d'espions|Michel Hazanavicius|Comédie||3|français|2006|91|Français||XVID|||XVID|905 Kbps|624x256|MPEG-1 Audio layer 3|144 Kbps|False|48.0 KHz|2|696||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Eric Altmayer Nicolas Altmayer|Jean-François Halin|Guillaume Schiffman||Gaumont Columbia Tristar Films|Saga : OSS 117 (Jean Dujardin) |Égypte, 1955, le Caire est un véritable nid d'espions.Tout le monde se méfie de tout le monde, tout le monde complote contre tout le monde : Anglais, Français, Soviétiques, la famille du Roi déchu Farouk qui veut retrouver son trône, les Aigles de Kheops, secte religieuse qui veut prendre le pouvoir. Le Président de la République Française, Monsieur René Coty, envoie son arme maîtresse mettre de l'ordre dans cette pétaudière au bord du chaos : Hubert Bonisseur de la Bath, dit OSS 117. |Jean Dujardin (Hubert Bonisseur de la Bath, OSS 117)@Bérénice Bejo (Larmina El Akmar Betouche)@Aure Atika (la princesse Al Tarouk)@Philippe Lefebvre (Jack Jefferson)@Richard Sammel (Moeller)@Abdallah Moundy (Slimane)@Constantin Alexandrov (Setine)@Saïd Amadis (le porte-parole égyptien)@Laurent Bateau (Gardenborough)@Claude Brosset (Armand Lesignac)@François Damiens (Raymond Pelletier)@Youssef Hamid (Imam)@Khalid Maadour (le suiveur)@Arsène Mosca (Loktar)@Eric Prat (Plantieux)@Alain Khouani (le réceptionniste)@Bernard Nissile (l'homme de l'aéroport)@Choukri Gtari@Hafid F. Benamar@Jean-Marie Paris (Khalid)@Marc Bodnar (le patron du bistrot )@Michael Hofland (Colonel Herman Von Umprling)@Lionel Vitrant (Un homme frappé par OSS 117 (non crédité))@Mouloud Ikhaddelene (Le sbire de la princesse)@Diego Dieng (Le garçon d'étage)@Jean-François Halin (Rubecht)@||Secrets de tournage :
Une oeuvre d'espionnage culte
OSS 117, Le Caire nid d'espions est adapté des romans d'espionnage OSS 117 écrits par Jean Bruce, parus entre 1949 et 1963.
Le 8e OSS sur grand écran... mais très différent !
OSS 117, Le Caire nid d'espions marque la huitième apparition de l'agent OSS 117 sur grand écran, après OSS 117 n'est pas mort (1956), OSS 117 se déchaîne (1963), Banco à Bangkok pour OSS 117 (1964), Furia à Bahia pour OSS 117 (1965), Atout coeur à Tokyo pour OSS 117 (1966), Pas de roses pour OSS 117 (1968) et OSS 117 prend des vacances (1970). Différence notable, les sept premiers films adoptaient un ton tout à fait classique de film d'espionnage, alors que le film emmené par Jean Dujardin est ouvertement parodique.
Décaler une série B très 50's
L'idée d'OSS 117, Le Caire nid d'espions est venue du producteur Nicolas Altmeyer, producteur du film avec son frère Altmayer. Il se souvient : Tout a commencé par la découverte de quelques vieux romans "OSS 117" dans la bibliothèque de nos parents. Les couvertures aux dessins stylisés très colorés, ces scènes d'action un peu désuètes et ce look années cinquante, ont réveillé une foule de souvenirs en moi. A ces images s'ajoutaient les films de l'époque. Nous avons eu l'idée de transposer cet univers dans le cinéma d'aujourd'hui. Ces séries B ont plus de quarante ans et même si elles sont démodées, elle ont aussi un charme et un humour qu'elles n'avaient pas à l'époque. Il nous a semblé qu'il suffirait de les décaler légèrement, de pousser vers la comédie pour obtenir quelque chose d'intéressant. A cette envie s'ajoutait la nostalgie du Technicolor, des premiers James Bond, et des films d'Hitchcock."
Détourner les codes des romans d'origine
Pour le scénariste Jean-François Halin, les romans OSS 117 de Jean Bruce "contiennent tout ce qui fut la France des années cinquante, la quatrième République, la fin de l'empire colonial, un rapport à la femme assez macho, assez misogyne mais aussi une certaine condescendance vis-à-vis des peuples colonisés. Ces éléments ne sont certainement pas le reflet de la personnalité de Jean Bruce, mais l'expression d'une époque. Je pense que Jean Bruce aurait le recul nécessaire pour rire de ce film. Il n'était pas pensable de redonner vie à son oeuvre en respectant son premier degré original, notre monde a trop changé ! Alors j'ai tout repris et tout accentué pour montrer aussi que beaucoup de ce qui fait notre société aujourd'hui est issu de ce temps-là."
OSS Dujardin
L'arrivée de Jean Dujardin dans le smoking de l'agent OSS 117 s'est faite très naturellement. "Au moment de l'écriture, je ne savais pas qui incarnerait OSS", explique le scénariste Jean-François Halin. "Nous souhaitions juste qu'il soit drôle et beau, avec un physique à la Sean Connery ! J'avais vu Jean dans "Un gars, une fille" et au cinéma dans Toutes les filles sont folles dans lequel il est très bon. D'un seul coup, je me suis mis à écrire pour lui." Le réalisateur Michel Hazanavicius est quant à lui très enthousiaste au sujet de leur collaboration : "Lui et moi avons tout de suite senti que nous allions nous régaler ! J'ai très vite pris conscience de sa puissance de jeu. Pour moi, c'est une vraie rencontre. Nous avons travaillé dans une confiance mutuelle absolue. J'adorais le voir aller regarder au combo entre les prises, voir son oeil pétiller. (...) C'est un acteur fabuleux, précis, charismatique. Il habille le plan, sa présence structure l'image et il travaille tous les aspects de son jeu. (...) De plus, il est l'un des seuls en France sur le créneau un peu déserté du beau mec viril. Il est un des rares à pouvoir incarner les héros."
Dujardin parle de son rôle
Pour Jean Dujardin, incarner l'agent OSS 117 a été une aventure unique. Il raconte : Il y a deux rôles que tout acteur rêve de jouer : un cow-boy et un agent secret ! On m'a proposé OSS 117 bien avant le tournage de Brice de Nice. Le culte du héros est si peu répandu en France qu'en rencontrer un est une vraie chance ! Il y avait en plus une réelle finesse d'écriture et l'envie de détourner sans parodier. En tant que comédien, c'était l'occasion de créer un personnage de composition comme je les adore. Dix mois en costard, les cheveux noir corbeau, à travailler sa façon de parler pour retrouver la musique un peu chantante des doublages français de l'époque, la gestuelle, le look, la façon de marcher, c'est un régal !"
Un agent très spécial
Le scénariste Jean-François Halin et le réalisateur Michel Hazanavicius décrivent leur agent OSS 117. Pour le premier, "le personnage est traité au premier degré. Il est doué pour beaucoup de choses mais il n'a aucune intuition. Même s'il est franchement misogyne, heureusement pour lui, les femmes sont là pour l'aider à penser ! Lui reste convaincu qu'il est seul maître à bord et qu'elles rêvent toutes de coucher avec lui..." Quant au second, il avance que leur OSS 117 "est ancré dans son époque, il est misogyne, colonialiste, homophobe... C'est une sorte de synthèse ! Tout ce qui n'est pas français, blanc, masculin et de son âge, lui est inférieur ! Evidemment, tout le discours du film, si tant est qu'il y en ait un, c'est d'en rire !" Et Halin de conclure : "OSS 117 est tout sauf méchant. Sa bonne foi totale lui donne un côté enfantin. Cela le dédouane, mais Larmina et Slimane ont un rôle absolument essentiel dans la compréhension du personnage. Ils sont garants du positionnement du film. Ils permettent de voir que le film se moque du personnage et ne doit surtout pas être pris au premier degré."
Un OSS 117 pour tous
Pour le scénariste Jean-François Halin, OSS 117, Le Caire nid d'espions possède plusieurs niveaux de lecture : On peut voir le film comme un film d'espionnage, un film d'époque, une comédie d'action, une comédie de dialogues, le tout avec un regard décalé et un peu ironique sur ce temps-là. Sans aucune prétention, je trouvais également intéressant d'aborder certaines questions très actuelles sous un angle léger. L'idée n'était pas de rire de quelqu'un, mais avec tout le monde. Notre volonté à tous était de faire un film frais, du vrai cinoche qui vous amuse et vous emmène dans une Egypte digne de Tintin ou de Blake et Mortimer."
Un petit air de Canal +
OSS 117, Le Caire nid d'espions possède un petit goût de chaîne cryptée. Le réalisateur et dialoguiste Michel Hazanavicius a fait ses armes sur Canal +, travaillant avec les Nuls et réalisant notamment les films de détournement Le Grand détournement ou la classe américaine et Derrick contre Superman. Quant au scénariste Jean-François Halin, il est l'une des plumes les plus célèbres de la chaîne cryptée, avec à son actif l'émission Nulle Part Ailleurs, 7 jours au Groland et surtout Les Guignols de l'info, durant la période du célèbre trio Halin-Gaccio-Delépine (1990-1996).
Des références pour un nouveau OSS
Le producteur Nicolas Altmayer a promis à Martin Bruce, la fille du créateur des romans OSS 117, qu'OSS 117, Le Caire nid d'espions serait plus proche du Magnifique de Philippe de Broca que d'Austin Powers. Pour Altmayer, "l'idée était de mélanger l'atmosphère des classiques de l'époque avec l'humour du magazine Pilote, celui de Marcel Gotlib, Goscinny..."
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Les contributeursCe film a reçu 2 contributions, pour les secrets de tournage, de: Miamsolo
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Hostage|Florent Emilio Siri|Action|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|2005|106|Anglais||DX50|||DX50|810 Kbps|480x208|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Arnold Rifkin Bruce Willis Mark Gordon Bob Yari|Doug Richardson|Giovanni Fiore Coltellacci||Miramax Films||Parce qu'il a été incapable d'empêcher le meurtre d'une jeune femme et de son enfant, Jeff Talley, ex-policier de Los Angeles spécialiste des négociations en cas d'enlèvement, a tout quitté pour devenir chef du bureau de police d'une ville reculée. Il ne pouvait pas prévoir que trois petits malfrats allaient prendre en otage la famille d'un expert comptable bien moins banal qu'il n'y paraît...Conscients des enjeux, les mystérieux commanditaires de ce comptable de plus en plus louche kidnappent la femme et la fille de Talley pour le contraindre à réendosser le rôle qu'il ne voulait surtout plus jamais jouer. Face au cauchemar qui recommence, il n'a pas le droit à l'erreur. |Bruce Willis (Jeff Talley)@Kevin Pollak (Walter Smith)@Ben Foster (Mars)@Jonathan Tucker (Dennis Kelly)@Marshall Allman (Kevin Kelly)@Michelle Horn (Jennifer Smith)@Jimmy Bennett (Tommy Smith)@Serena Scott Thomas (Jane Talley)@Rumer Willis (Amanda Talley)@Robert Knepper (Wil Bechler)@||Secrets de tournage :
L'adaptation d'un roman
Otage est l'adaptation du roman Otages de la peur de Robert Crais. Ce dernier a d'ailleurs participé à l'écriture du scénario du film en compagnie de Doug Richardson .
Un Français à Hollywood
A l'instar de Jean-François Richet avec Assaut sur le central 13, Florent Emilio Siri, le réalisateur de Nid de guêpes, tente ici sa chance à Hollywood en jouant la carte de l'action. Il est le deuxième Français à diriger Bruce Willis dans une grosse production après Luc Besson pour Le Cinquième élément en 1997.
Le film selon Siri
Pour le réalisateur français Florent Emilio Siri, l'histoire d'Otage "vous implique sur le plan psychologique, tout en jouant sur le registre des films noirs classiques et des situations de prise d'otages. C'est un avant tout un thriller psychologique centré sur les personnages, une histoire réaliste et contemporaine, l'éprouvant parcours d'un homme à la recherche de lui-même. Pour tous, particulièrement pour Jeff Talley (le personnage de Bruce Willis), il s'agit de lutter contre ses propres fantômes."
Et Bruce Willis appela Florent Siri...
La présence de Florent Emilio Siri aux commandes du long-métrage est principalement due à l'insistance de Bruce Willis lui-même. Celui-ci, après avoir vu et avoir été très impressionné par Nid de guêpes, insista pour rencontrer le Français et lui confier la réalisation d'Otage. Siri se souvient : "Mon agent américain m'a dit que Bruce Willis allait m'appeler. J'ai été très surpris, et je lui ai dit : "C'est génial... mais t'es sûr que c'est bien Bruce Willis ?" (...) Pour nous, Européens, il est une icône, une star absolue. Le nouveau John Wayne. Mais pour moi, c'est avant tout un formidable acteur. Travailler avec lui est une expérience incomparable, c'est comme jouer d'un Stradivarius..."
La carte "Nid de guêpes"
Nid de guêpes, le précédent long-métrage de Florent Emilio Siri, a sans aucun doute largement penché dans la balance à l'heure de choisir un réalisateur pour Otage. Si Bruce Willis, fervent admirateur du film, insista lui-même pour embaucher le Français, l'impact ressenti à la vision de Nid de guêpes était le même du côté de la production. Le producteur David Wally explique ainsi : "Toute l'équipe de Cheyenne avait vu Nid de guêpes et nous nous sommes dit tout de suite que Florent serait parfait. (...) Il a une sensibilité, un style qui le place à part, et qui apporte au film quelque chose d'inédit. C'est un authentique visionnaire et un cinéaste vraiment singulier." Même son de cloche chez le producteur Mark Gordon, pour qui Nid de guêpes "alliait une histoire fantastique, originale, et un style visuel remarquable, idéal pour Otage."
Le travail de réécriture
Florent Emilio Siri, en collaboration avec le scénariste Doug Richardson, s'est appliqué à apporter quelques modifications par rapport au roman de Robert Crais. Ainsi, les trois voyous d'Otage sont plus jeunes que dans le récit d'origine et les références à la Mafia sont éliminées. Le scénario du film dresse un portrait de la jeune génération actuelle et, surtout, se concentre sur la personnalité de Jeff Talley, le négociateur spécialiste des prises d'otages incarné par Bruce Willis, sans pour autant appauvrir les autres personnages principaux.
Un expert du SWAT en renfort
Afin de s'assurer de l'authenticité des procédures et de la psychologie utilisées dans les négociations avec les preneurs d'otages, les producteurs d'Otage ont fait appel à un expert du SWAT en tant que consultant technique sur le film. Peter Weireter, membre de l'unité d'intervention d'élite SWAT de la police de Los Angeles durant 22 ans, est ainsi intervenu à la fois en amont, lors de l'écriture du scénario, mais également en aval, directement sur le tournage pour donner des consignes lors des scènes de négociation.
Quand tombe la nuit...
Otage se déroule en temps réel, élément qui renforce la tension selon Florent Emilio Siri. De plus, la majeure partie du film, à l'instar de Nid de guêpes, se déroule en un lieu unique et en pleine nuit. Un tournage dans l'obscurité apprécié par le réalisateur : "Cela aide à concentrer l'action sur les personnages. Ils sont plus mystérieux. On ne voit que les visages dans la nuit. Au plan technique, on peut tout contrôler, la lumière, la disposition dans l'image et ce que vous avez à dire. (...) Ce film pourrait se dérouler n'importe quand, n'importe où. La nuit donne l'impression de se trouver hors du temps. " Le producteur exécutif Hawk Koch rajoute, sur l'ambiance créée par le réalisateur : "L'attachement que porte Florent Emilio Siri aux films noirs des années 40 et 50 se prêtait parfaitement à Otage. Florent a mêlé cette passion avec celle qu'il éprouve pour les thrillers d'action, et il a combiné le tout au style visuel des clips vidéo du XXIe siècle. Le résultat est vibrant, spectaculaire."
Paul McGuigan pressenti à la réalisation
Paul McGuigan, le réalisateur de Gangster n° 1 et de Rencontre à Wicker Park était initialement pressenti pour mettre en scène Otage. C'est finalement le Français Florent Emilio Siri qui hérita du poste.
Bruce Willis et son voisin
Avec Otage, Bruce Willis retrouve Kevin Pollak, acteur à qui il avait donné la réplique en 2000 dans la comédie policière Mon voisin le tueur puis en 2004 dans la suite Mon voisin le tueur 2.
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Outlander|Howard McCain|Aventure||2|américain|2008|114|Anglais||XviD|||XVID|1 159 Kbps|640x272|AC3|448 Kbps|True|48.0 KHz|6|1409||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Chris Roberts|Howard McCain Dirk Blackman|Pierre Gill||Wild Side||Sous le règne des Vikings, un homme venu de l'espace - Kainan - s'écrase sur la Terre, apportant avec lui une créature terrifiante, un prédateur extraterrestre connu sous le nom de Moorwen. Alors que la bête plonge les environs dans le chaos, les vikings, d'abord suspicieux envers ce mystérieux étranger, s'associent bientôt à Kainan pour en venir à bout. Lui seul pourra les mener à la victoire... |Jim Caviezel (Kainan)@Sophia Myles (Freya)@Jack Huston (Wulfric)@Ron Perlman (Gunnar)@John Hurt (Rothgar)@Aidan Devine (Einar)@Cliff Saunders (Boromir)@Patrick Stevenson (Unferth)@Bailey Maughan (Erick)@John Nelles (Donal)@James Preston Rogers (Bjorn)@Scott Owen (Aethril)@Petra Prazak (Mara)@Owen Pattison (Galen, son of Kainen)@Matt Cooke (Captain)@Katie Bergin (Sonia)@Todd Godin (lars)@Mauralea Austin (Jona)@Matthew Amyotte (Arn)@John Beale (Edmund)@Ted Ludzik (Olaf)@James Binkley (Leader)@Liam McNamara (Finn)@Bryan Renfro (Grey-haired Warrior)@Jon K. Loverin (Sheepherder)@Andrew Albert (Drunken Reveler #1)@Brian Heighton (Trader)@Danny Lima (Slave)@Glenn Wadman (Waling Man)@Simon Northwood (Warrior #1)@Todd Schroeder (Warrior #2)@Martha Irving (Weeping Woman)@Bartlett Lovett (Stabbed Sentry)@Tess McCain (Viking Girl)@Drakaina (Kitchen wench)@Michael Ray Fox (Alien Warrior)@Allyson Haas (Villager)@Ricardo Hoyos (Jon)@Amy Kerr (Bored Kitchen Wench)@Mark A. Owen (Raider)@Todd Sandomirsky (Shishkebob)@Colette Stevenson ((voice))@Steven Wendland (Viking Warrior)@||Secrets de tournage :
Inspirations
Que ce soit au cinéma (Predator ou The Thing), à la télévision (l'épisode "L'Arène" de la 1ère saison de Star Trek) ou en ufologie (la théorie des Anciens Astronautes d'Erich von Däniken), les références de Outlander sont évidentes. Mais la plus importante est sans doute littéraire et mythologique, le film s'inspirant clairement de la légende de Beowulf. Un conte que le réalisateur Howard McCain découvrit à l'université et rêva d'adapter au cinéma... avec la plus grande difficulté. Jusqu'à son approche radicalement SF : remplacer le troll Grendel par un extraterrestre. "Peut-être qu'une créature extraterrestre a pu atterrir sur Terre au temps des Vikings ? Notre sentiment était que si jamais la légende de Beowulf était fondée sur la moindre parcelle de vérité, c'était réellement l'explication la plus plausible, la source du mythe." explique t-il. Et son scénariste Dirk Blackman d'ajouter : "Tout le monde sait qu'il n'y avait pas de monstres durant l'ère des Vikings. Mais si un extraterrestre humanoïde venu d'ailleurs amène une féroce créature alien sur Terre et doit unir ses forces avec les Vikings pour combattre ce monstre, vous avez les origines de Beowulf. En d'autres termes, nous avons tout simplement décidé d'écrire La véritable histoire de Beowulf."
Un monstre made in Tatopoulos
Le Moorwen, créature alien du film, est l'oeuvre du Français Patrick Tatopoulos, déjà à l'oeuvre sur les créatures de Pitch Black, Independence Day, Godzilla ou Underworld. "Utiliser la réalité de l'âge des Vikings comme point de départ pour imaginer la créature était la bonne option : nous nous sommes d'abord inspirés des légendes de dragons des Vikings pour rompre avec l'habitude des créatures du cinéma tendant à toutes être anthropomorphiques ? deux bras, deux jambes ou pattes et se tenant debout. (...) Le Moorwen (dont le nom est dérivé de celui des Morlocks, les créatures photosensibles de La Machine à explorer le temps de H.G. Wells) est un animal qui peut courir, nager et grimper aux arbres, mais tout ça beaucoup plus rapidement qu'un humain, car il se déplace sur quatre pattes, sauf quand il frappe, cette fois sur deux pattes." le réalisateur Howard McCain ajoute : "Chaque monstre depuis le Alien de H.R Giger est jaugé et imaginé, même inconsciemment, à l'aune de cet illustre design. Ce sont tous de phalliques machines à tuer et l'emphase est toujours mise sur la morphologie : la biologie, ce qu'elle provoque et comment l'animal a évolué. Ce sont tous de strictes machines à tuer, rien de plus. Le Moorwen va au-delà d'un simple design de créature : la "personnalité" qui s'en dégage fait qu'on a presque de l'empathie pour lui, à l'instar de King Kong ou du monstre de Frankenstein. Par ailleurs, le Moorwen devait pouvoir s'intégrer logiquement dans l'environnement et le monde des Vikings, de la même manière que l'Alien bio-mécanique de Giger s'intègre parfaitement dans le monde de conduits et de gaines électriques d'un vaisseau spatial. Il devait donc être animal, d'une autre planète, mais pourtant ressembler malgré tout à quelque chose qui aurait pu inspirer la sculpture de la figure de proue d'un drakkar."
Retrouvailles
Après Outlander, Howard McCain a retrouvé Patrick Tatopoulos sur Underworld 3 : le soulèvement des Lycans, première réalisation de ce dernier (Howard McCain y ouccpe le poste de scénariste).
Premier long métrage
Première réalisation pour le cinéma de Howard McCain après quelques productions télé, Outlander devait initialement être réalisé par Renny Harlin.
A propos de Jim Caviezel
Howard McCain revient sur le choix de Jim Caviezel en héros. "Il était impératif que l'interprète de Kainan rassemble les qualités du héros classique des films d'action et d'aventures des années 50 : un guerrier solitaire et dur en proie à des tourments moraux intérieurs. Au lieu de nous tourner vers les candidats évidents pour un film d'action/science-fiction, il était essentiel au contraire de trouver quelqu'un capable d'induire cette mélancolie silencieuse, issue des évènements qui ont eu lieu avant le début de l'histoire du film". Avant Jim Caviezel, Karl Urban, Sean Bean et Thomas Jane avaient étaient envisagés dans le rôle.
Retrouvailles (bis)
Père et fils (adoptif) dans Hellboy, John Hurt (Rothgar) et Ron Perlman (Gunnar) se retrouvent dans Outlander, dans le rôle de deux Vikings. "Quel plaisir de retrouver John Hurt après avoir travaillé ensemble sur Hellboy ! (...) Gunnar est certainement parmi mes rôles l'un de mes personnages préférés -féroce et craint. Et quel succès : on parle de moi pendant plus de 62 pages de script jusqu'à ce que j'apparaisse enfin. Et dès que mon personnage n'est plus là, ils continuent pourtant à parler de moi jusqu'à la fin du film !" Et John Hurt d'ajouter : "Outlander était franchement tentant, d'autant plus qu'il s'agissait pour moi de l'opportunité d'enfin jouer un Viking, à l'âge de 67 ans ! (...) Rothgar croie sincèrement qu'un roi est au service de son peuple, d'où sa diplomatie, et son but dans le film est de transmettre ce qu'il peut de cette philosophie au jeune Wulfric avant qu'il devienne roi à son tour."
Ne pas confondre...
Outlander (2008) et le film britannique Outlanders sorti quelques temps auparavant.
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Passe-passe|Tonie Marshall|Comédie||2|français|2008|88|Français||XviD|||XVID|958 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|132 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Olivier Bomsel Alain Peyrollaz|Tonie Marshall|Christophe Offenstein||Warner Bros. France||Une sortie d'autoroute manquée et voilà Darry Marzouki, prestidigitateur au chômage, croisant la route d'Irène Montier Duval, une belle bourgeoise, le sac Hermès rempli de billets de banque. Par amour, elle a servi d'intermédiaire dans une vente d'armes entre un ministre français et la Corée. L'affaire s'est ébruitée. Le ministre veut lui faire porter le chapeau. En fuite, elle propose à Darry de le payer pour qu'il la conduise à Genève dans sa belle BMW.Le hic, c'est que la BMW n'est pas à Darry. Il l'a volée sur un coup de tête à son beau-frère, petite frappe un tantinet irritable, qui promet de l'étriper s'il ne la rend pas. Ne pouvant accepter la proposition d'Irène, Darry s'invente une identité d'altermondialiste se rendant à Locarno pour un sommet. Irène, qui rêve de changer d'air, se prend au jeu. Ils ont peu en commun. Ils passeront trois jours ensemble. Trois jours inoubliables... A leurs trousses, des Coréens, la DST, un ministre et le beau frère... Au bout de chemin, l'amour pour l'un, la liberté pour l'autre. |Nathalie Baye (Irène Montier Duval)@Edouard Baer (Darry Marzouki)@Guy Marchand (Pierre Delage)@Mélanie Bernier (Sonia Yacovlev)@Joey Starr (Max)@Maurice Bénichou (Serge)@Bulle Ogier (Madeleine)@Sandrine Le Berre (Carine)@Michel Vuillermoz (Sacha Lombard)@Lauriane Escaffre (Diane)@||Secrets de tournage :
La passe de quatre
Passe-passe marque la quatrième collaboration de Nathalie Baye avec Tonie Marshall. La comédienne fut d'abord l'un des quatre Enfants de salaud en 1996, puis l'une des esthéticiennes de Vénus beauté (institut), film à succès qui relança sa carrière en 1999 et enfin -pour un rôle beaucoup plus bref- une redoutable businesswoman dans France boutique (2003).
Détours de "Passe-passe"
La réalisatrice précise ses intentions : "(...) j'avais envie de m'essayer à une comédie sophistiquée, d'exploiter les ressorts classiques d'une rencontre entre deux personnes que tout oppose (...) A priori tout les oppose, mais en fait, tous les deux sont un peu paumés, chacun l'exprime à sa manière : lui est introverti, un peu sombre ; elle est autoritaire et donneuse de leçon : Le dépressif et l'emmerdeuse. Ce qui m'intéressait, dans leur opposition, c'était qu'elle soit plutôt libérale, et lui plutôt pas grand-chose, mais de gauche (...) Au fond, j'avais envie de raconter l'histoire de deux adultes qui n'ont pas trouvé leur place dans la vie, comme ça arrive à beaucoup de gens (...) Trouver sa place, ce n'est pas forcément en rapport avec le travail, avec l'amour ; c'est une sensation, celle d'être au bon endroit, au bon moment. Et dans notre époque confuse et âpre, dans notre monde de concurrence, d'urgence, cette sensation d'évidence est plus difficile à atteindre que jamais. Passe-passe est une comédie sentimentale (...) C'est aussi un road-movie qui traverse la politique, le luxe, la gastronomie, la maladie... Sous couvert de fantaisie, le film touche à des choses sérieuses, parfois graves."
Marshall, me revoilà !
Nathalie Baye parle de sa relation privilégiée avec Tonie Marshall : "Elle est quasiment la première à m'avoir proposée des personnages loufoques, fantasques, imprévisibles, décalés... Sans doute, est-ce dans cet échange-là qu'on se complète bien. On me voit souvent comme quelqu'un de carré, d'effi cace, de déterminé. J'ai ce côté-là mais je suis aussi le contraire. Et ça, Tonie l'a très bien senti. Peut-être aussi parce que, par certains côtés, je lui rappelle un peu Micheline [Presle, sa mère]. Comme elle, par exemple, il m'arrive fréquemment de dire un mot à la place d'un autre (...) Elle perçoit chez moi des choses que peu de gens voient, ça lui donne une ouverture, ça nourrit sa fantaisie, ça débride son imagination. Et, en plus, elle me fait confiance pour jouer ça..."
Venues de Vénus
La mère d'Edouard Baer est interprétée par celle qui fut la patronne du Vénus beauté (institut) Bulle Ogier. Mélanie Bernier, qui campe une jeune femme victime du syndrome de la Tourette, était quant à elle une employée de ce salon... mais dans sa version série, diffusée sur Arte en 2005.
Deux en un
La cinéaste revient sur les deux images qu'elle avait à l'esprit en se lançant dans l'écriture de Passe-passe : "La première, c'est celle d'un sac Hermès plein de billets abandonné au bord de la route en rase campagne et alors qu'un conducteur, intrigué, s'arrête, une femme sort du champ de blé, récupère son sac et monte dans la voiture. La deuxième, c'est le visage d'un homme où se lit un profond désespoir : sa mère qu'il aime énormément vient d'être emmenée dans une institution où, à cause de son état de santé - je ne sais si à l'époque, j'avais déjà pensé à un Alzheimer - il a été contraint de la placer. Très vite, ces deux hommes n'ont plus fait qu'un dans ma tête..."
Tandem
Edouard Baer parle de ce qui l'a séduit dans cette histoire : "J'ai beaucoup aimé ce qui est le moteur du film : c'est le mec mou qui tient le volant et la fille énergique qui est sa passagère. Habituellement, surtout dans les " buddy movies ", c'est le contraire : le mec énergique est au volant et le mou est traîné. Là, c'est le mou qui est sans arrêt poussé par l'autre ? d'autant qu'elle a ce sac plein de billets qui est une carotte extraordinaire, un instrument de pouvoir magnifique ! (...) Ce qui est intéressant, c'est la manière dont leurs rapports s'inversent, lorsque, lui, tout à coup, parce qu'il est poussé à bout, parce qu'il en a marre, parce qu'il prend à coeur son histoire à elle, prend le taureau par les cornes, alors qu'elle s'effondre petit à petit, qu'elle n'arrive plus à tenir, à y croire encore... De voir Nathalie jouer ces moments-là, c'était bouleversant..."
La piste Elf
Dans Passe-passe, le personnage d' Irène Montier Duval, une femme qui, par amour pour un ministre, a servi d'intermédiaire dans une vente d'armes entre la France et un pays d'Asie, n'est pas sans rappeler Christine Deviers-Joncourt, l'autoproclamée "Putain de la République" -même si les points communs entre la réalité de l'affaire et le film de Tonie Marshall s'arrêtent là... Reste que l'affaire Elf aura décidément fait fantasmer nombre de réalisateurs français... Citons Claude Chabrol, auteur de L'Ivresse du pouvoir (2006) avec Isabelle Huppert dans le rôle d'une juge inspirée par Eva Joly, ou Lucas Belvaux, réalisateur des Prédateurs (2007), un téléfilm en deux parties qui revient de façon très détaillée sur le dossier Elf.
Un trait de Cowl
A travers ce film, Tonie Marshall rend hommage à Darry Cowl. "Quand j'ai écrit le scénario, Darry était vivant et je voulais qu'il joue dans le film", explique-t-elle.""Quand j'avais 18 ans, j'ai en effet joué une pièce avec Darry, Duo sur Canapé. Il m'a fait la cour comme personne ne me l'a jamais faite ! (...) J'avais écrit une scène où le personnage d' Edouard le retrouvait, l'amenait à Bulle dans la maison de retraite. Et elle qui ne se souvient plus de rien le reconnaissait (...) Édouard s'en allait ému d'avoir ressuscité la mémoire chez elle (...) Je lui ai envoyé le scénario et il m'a rappelée en me disant que le rôle était vraiment mince. Je lui ai dit que c'était un clin d'oeil, il m'a laissé des messages drôles ? d'ailleurs le premier que j'ai reçu, c'est le soir où je suis allée voir le spectacle d'Édouard, Luigi Pizzoti, étrange coïncidence. On était en janvier 2006, il est mort un mois après. Je me suis demandé comment j'allais faire. Et puis, j'ai eu l'idée de me servir d'une photo de lui. J'ai appelé Rolande, sa femme, qui m'a donné une très belle photo, et voilà..."
Ca tourne ! (à l'orage)
La cinéaste revient sur les conditions climatiques particulièrement défavorables auxquelles l'équipe a dû faire face : "On a eu une météo vraiment atroce. J'ai le sentiment qu'on a passé les trois quarts du tournage couvert de sacs poubelles autour de la voiture. Comme c'est une comédie, j'avais envie qu'il y ait un peu de soleil, de beaux plans de voiture dans des paysages lumineux, mais tout était plombé. On a pourtant tourné du mois d'avril au mois de juin. Pour les séquences de la fin du film, j'avais fait des repérages à Locarno ? c'est là que je faisais se réunir les altermondialistes et se retrouver tous les personnages. C'était luxueux et sublime comme dans les James Bond. Eh bien, on a quitté Lyon où il avait plu absolument tous les jours, et quand on est arrivés à Locarno, alors qu'il n'avait pas plu depuis huit mois, on a affronté une vraie tempête ! Et la loge maquillage a pris feu ! Edouard circulait en vélo en disant : " I am Terry Gilliam, don't worry ! don't worry ! "."
A Starr is born
Pour incarner le volcanique Max, Tonie Marshall a fait appel à une grande figure du rap français : Joey Starr, moitié du groupe mythique NTM. C'est son premier vrai rôle, même si on avait déjà pu l'apercevoir dans Old school et dans les comédies La Tour Montparnasse infernale et RRRrrrr !!!. Juste avant Passe-passe, il avait tourné dans Le Bal des actrices de Maïwenn. Bruno Salomone avait, un temps, été envisagé pour jouer le rôle de Max.
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Pathfinder|Marcus Nispel|Aventure|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|2007|107|Anglais||XviD|||XVID|761 Kbps|624x256|MPEG-1 Audio layer 3|137 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Mike Medavoy Arnold Messer Marcus Nispel|Laeta Kalogridis|Daniel Pearl||20th Century Fox||Plus de cinq siècles avant que Christophe Colomb ne découvre officiellement l'Amérique, un drakkar viking aborda les côtes de ce continent sauvage. Entre les barbares du nord et les Indiens natifs, le choc fut effroyable, et seul un enfant viking survécut. Adopté par la tribu des Indiens Wampanoag, le jeune homme blanc désormais connu sous le nom de Ghost grandit et devint un redoutable guerrier.Quinze ans plus tard, alors que Ghost essaie encore d'oublier son passé, les Vikings reviennent, anéantissent sa tribu et mettent en péril la femme qu'il aime, Starfire. A nouveau seul rescapé et assoiffé de vengeance, Ghost va devoir mener le plus difficile des combats. Guidé par le Pathfinder, un puissant shaman qui voit en lui le futur meneur de son peuple, il va se lancer dans la plus spectaculaire des aventures... |Karl Urban (Ghost)@Jay Tavare (Black Wing)@Moon Bloodgood (StarFire)@Clancy Brown (Gunnar)@Nathaniel Arcand (Wind in Tree)@Russell Means@Nicole Munoz (la soeur indienne)@Michelle Thrush (la Mère Indienne)@Wayne Charles Baker (le Père indien)@Hannah Jeffery (l'enfant Indien)@Erica Jones (la petite fille (voix))@Jon Kralt (Tracker)@Kevin Loring (Jester)@Ralf Moeller (Ulfar)@Zoe Raye (la fille (voix))@Gubbi Sigurdsson (les voix vikings (voix))@||Secrets de tournage :
Inspiré d'un fait historique réel
L'histoire de Pathfinder puise aux sources d'un fait historique réel. A l'aide de leurs drakkars, les Vikings naviguèrent au-delà du Groënland jusqu'à Terre Neuve, dont ils longèrent la côte. En explorant plus avant les terres, ils firent la rencontre d'un peuple primitif appellé les Beathuk. Des fouilles archéologiques récemment menées sur le camp de la ville de L'Anse Aux Meadows sur la côte ouest de Terre-Neuve, au Canada, ont mis au jour un large site d'occupation, ouvert depuis aux touristes. Marcus Nispel ajoute : "j'ai tout de suite été captivé par le potentiel de ce contexte historique. Confronter les Vikings et les Indiens promettait bien plus que des grandes batailles. C'est la rencontre de deux cultures emblématiques et à travers ce choc, le destin d'un homme se dessine avec énormément d'enjeux. Face à l'affrontement des peuples, c'est un drame intérieur qui se joue."
Les costumes
Les costumes des Vikings mêlent le cuir, le métal et la fourrure, pesant chacun plus de 13 kilos. Les épaulières ont été renforcées par des épaulettes de hockeyeurs, afin de leur donner un air plus imposant et menaçant.
Tournage au grand air
Le film a été tourné en extérieur dans la région boisée et sauvage de la Colombie Britannique, durant 53 jours. Soucieux d'authenticité, le cinéaste Marcus Nispel a en effet souhaité tourner un maximum en plein air, ne consacrant que deux jours de tournage en intérieur. Il explique: "Le tournage a été difficile mais c'était nécessaire pour capter l'essence sauvage d'une nature millénaire. Cela a aussi permis aux acteurs d'avoir un lien concret avec leurs personnages. Le climat est finalement un acteur du film. Je pense que lorsque les comédiens transpirent ou tremblent de froid, ils cessent de jouer et deviennent leurs personnages. Ils deviennent des Indiens et des Vikings, et c'est à ce moment-là que l'histoire commence".
Au plus près du personnage
Marcus Nispel a demandé à Clancy Brown et Ralf Moeller de ne s'exprimer qu'en Islandais durant tout le tournage, afin qu'ils s'imprègnent au maximum de leurs personnages respectifs et de leurs univers.
Une certaine liberté avec la réalité
Bien que dans le film, les Vikings portent des casques dotés d'énormes cornes, rendant leurs aspects bien plus effrayant, la réalité est toute autre. Jamais ils n'ont portés de tels casques; cette fantaisie étant un choix artistique de la part de Marcus Nispel visant à conforter l'imaginaire collectif que l'on a des Vikings.
Adapté d'un comics culte
Outre son inspiration historique, Pathfinder est aussi une adaptation d'un comics scénarisé par Laeta Kalogridis, illustré par Christopher Shyer, et publié en 2006 sous la houlette de Dark Horse.
Un acteur militant
Russell Means, qui tient le rôle de Pathfinder, est connu pour ses activités militantes et est l'un des premiers leaders de l'American Indian Movement (AIM), un puissant lobby qui s'implique entre-autre dans tous les domaines du spectacle. Né dans la réserve de Pine Ridge, dans le Dakota du Sud, en 1939, Means est le fils d'un Sioux Oglala et d'une Sioux Yankton. Outre ses nombreuses participations à des documentaires consacrés aux peuples indiens et des chansons, il a également tenu des rôles dans Le Dernier des Mohicans de Michael Mann en 1992, ou encore dans Tueurs nés d' Oliver Stone.
Le précédent passeur
Pathfinder le sang du guerrier est le remake du film norvégien Le Passeur de Nils Gaup, sorti en 1987, et cité à l'Oscar du Meilleur film étranger. Dans le film original, le héros n'appartient pas à deux races, mais est témoin du massacre de sa famille par les Vikings et veut les venger à l'aide d'autres villageois.
Le Seigneur des Vikings
Après avoir été révélé dans Le Seigneur des anneaux : les deux tours en Eomer, cavalier du Rohan, Karl Urban a enchainé les seconds rôles de tueur au sang froid dans des films d'actions: soldat au service d'un Roi malfaisant dans Les Chroniques de Riddick, militaire au sein d'un commando dans Doom, c'est ici son premier grand rôle au cinéma. Il interprète un homme aux origines vikings mais élévé par des indiens qui va se retrouver au centre du conflit entre les deux tribus.
Le dernier Viking
Initialement, c'était Ken Watanabe, interprète du général japonais Katsumoto dans Le Dernier samouraï, qui devait jouer le rôle principal de Pathfinder le sang du guerrier, obtenu finalement par l'acteur Néo-zélandais Karl Urban.
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Les contributeursCe film a reçu 1 contribution, pour les secrets de tournage, de: Miamsolo
Les contributions faites sur cette fiche sont mises à disposition sous un contrat Creative Commons.
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Paycheck|John Woo|Science fiction||2|américain|2004|118|Anglais||DX50|||DX50|727 Kbps|512x224|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|704||||23.976|08/08/2009 00:00:00|John Davis Michael Hackett John Woo Terence Chang|Dean Georgaris|Jeffrey L. Kimball||Paramount Pictures||L'ingénieur Michael Jennings travaille sur des projets top-secrets, commandités par des sociétés de haute technologie. A l'issue de chaque mission, sa mémoire est "effacée" par contrat pour l'empêcher de divulguer la moindre information confidentielle. Puis un chèque substantiel lui est remis.Mais cette fois, l'enveloppe ne contient aucun argent, que des objets hétéroclites : à en croire l'employeur, Jennings aurai renoncé par avance à ses honoraires habituels. Celui-ci découvre que ces objets sont autant d'indices relatifs à son passé - un passé "remis à zéro" dont sa mémoire n'a gardé que d'infimes traces. Un seul espoir pour percer ce mystère : la femme avec qui il travaille et qu'il aime depuis trois ans : Rachel.Une course contre la montre s'engage. Jennings n'a que quelques heures pour recomposer le puzzle de sa vie et échapper à la vengeance de son implacable employeur. |Ben Affleck (Michael Jennings)@Uma Thurman (Rachel Porter)@Aaron Eckhart (Rethrick)@Paul Giamatti (Shorty)@Colm Feore (Wolfe)@Joe Morton (l'agent Dodge)@Michael C. Hall (L'agent Klein)@Peter Friedman (Le ministre de la justice Brown)@Kathryn Morris (Rita Dunne)@Ivana Milicevic (Maya-Rachel)@Fulvio Cecere (L'agent Funam)@John Cassini (L'agent Mitchell)@Dee Jay Jackson (Le gardien)@Kendall Cross (Le scientifique)@Catherine Lough Haggquist (La scientifique)@Steve Wright (Le pilote d'hélicoptère)@Craig Hosking (Le pilote d'hélicoptère du FBI)@Christopher Kennedy (Stevens)@Callum Keith Rennie (Jude)@Michelle Harrison (Jane)@Claudette Mink (Sara Rethrick)@Serge Houde (Dekker)@Darryl Scheelar@Roger Haskett@Emily Holmes (Betsy)@Krista Allen@Barclay Hope@Peter Shinkoda@David Lewis@Robert Clark@Craig March (le portier)@Chelah Horsdal (la jeune mère)@||Secrets de tournage :
Adapté de l'oeuvre de Philip K. Dick
Paycheck est adapté du roman homonyme de Philip K. Dick. Au cours de ces vingt dernières années, cet auteur de science-fiction a captivé et inspiré plusieurs grands réalisateurs parmi lesquels Ridley Scott (Blade runner), Paul Verhoeven (Total recall), Steven Spielberg (Minority report), Gary Fleder (Impostor) et Christian Duguay (Planète hurlante).
Brett Ratner et Matt Damon pressentis
Brett Ratner avait un temps été pressenti pour réaliser Paycheck, mais ce dernier a finalement préféré se consacrer à la réalisation de After the sunset. De même, le rôle de Michael Jennings devait d'abord être attribué à Matt Damon. Ben Affleck incarne finalement le héros du film.
La construction des décors
Dans les studios de Vancouver, le chef décorateur William Sandell construisit l'appartement de Rachel, les bureaux et salles d'interrogatoire du FBI, le bureau de Rethrick et le vaste laboratoire de Jennings. Il releva également le défi de construire en trois semaines un tunnel de métro de plus de 82 mètres de long qui contribuerait au réalisme et à l'impact des scènes de poursuite.
Une garde-robe discrètement futuriste
Se conformant aux indications de John Woo, la chef costumière Erica Edell Phillips dessina une garde-robe discrètement futuriste, ancrée dans l'esthétique actuelle. Taillés dans des étoffes résistantes, les vêtements étaient conçus pour endurer de nombreuses cascades et pouvoir dissimuler harnais et rembourrages protecteurs.
Comme Ben Affleck passe l'essentiel du film dans le même costume gris, Erica Edell Phillips en fit fabriquer 47 identiques, d'un design élégant et classique.
La spectaculaire fuite à moto
La scène de la fuite à moto dans les rues de Vancouver fut minutieusement préparée sur story-board par le réalisateur de seconde équipe Brian Smrz. Ce dernier utilisa plusieurs dispositifs télécommandés dernier cri, dont le "descendeur" qui, d'un simple geste, permet de jeter dans le vide une caméra arrimée à un filin. Des câbles furent également fixés sur toute la longueur d'un pâté de maisons afin de réaliser des travellings latéraux au-dessus des toits.
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Pearl Harbor|Michael Bay|Guerre||3|américain|2001|169|Anglais||DivX|||DIVX|496 Kbps|640x272|WMA2|64.1 Kbps|False|44.1 KHz|2|684||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Michael Bay Jerry Bruckheimer|Randall Wallace|John Schwartzman||Gaumont Buena Vista International (GBVI)||Amis depuis la plus tendre enfance, Rafe McCawley et Danny Walker sont deux brillants pilotes de l'armée de l'air américaine. La Seconde Guerre mondiale a commencé, mais les Etats-Unis n'ont pas encore engagé les hostilités. Rafe succombe bientôt au charme d'Evelyn Johnson, une jeune infirmière. C'est le coup de foudre. Mais ce dernier part combattre aux côtés des Britanniques. Evelyn et Danny sont, quant à eux, transférés sur la base américaine de Pearl Harbor.La paisible existence de ces deux jeunes gens bascule lorsqu'ils apprennent la mort de Rafe. Evelyn partage son chagrin avec Danny et un amour naît de leurs confidences. Rafe est pourtant vivant. En cette journée du 7 décembre 1941, les retrouvailles et les explications vont devoir être reportées à plus tard : au même moment, près de 200 bombardiers japonais surgissent dans le ciel de Hawaï pour une attaque surprise. |Ben Affleck (Rafe McCawley)@Josh Hartnett (Danny Walker)@Kate Beckinsale (Evelyn Johnson)@William Lee Scott (Billy)@Alec Baldwin (Doolittle)@Jaime King (Betty)@Jon Voight (le président Roosevelt)@Cuba Gooding Jr. (Doris 'Dorie' Miller)@Scott Wilson (le général Marshall)@Peter Firth (le capitaine du West Virginia)@Tom Sizemore (Earl)@Mako (l'amiral Yamamoto)@Cary-Hiroyuki Tagawa (Genda)@Colm Feore (l'amiral Kimmel)@Dan Aykroyd (le capitaine Thurman)@Greg Zola (Anthony R. Fusco)@Ewen Bremner (Lieutenant Red Winkle)@Catherine Kellner (Barbara)@Jennifer Garner (Sandra)@Michael Shannon (Gooz)@Matthew Davis (Joe)@John Fujioka (Nishikura)@Reiley McClendon (Danny jeune)@Jesse James (Rafe jeune)@William Fichtner (le père de Danny)@Steve Rankin (le père de Rafe)@Graham Beckel (l'amiral)@Howard Mungo (George)@Tomas Arana (le vice-amiral)@Sara Rue (Martha)@Brian Haley (le capitaine d'entrainement)@David Hornsby (un aviateur)@Randy Oglesby (l'analyste stratégique)@Wu Ping (un officier japonais)@Stan Cahill (le lieutenant du Pentagone)@Kevin Wensing (l'arbitre)@Tom Everett (l'aide présidentiel)@Beth Grant (la secrétaire maternelle)@Kang Sung (l'auditeur)@Raphael Sbarge (l'aide de Kimmel)@Marty Belafsky (Louie, le marin)@Yuji Okumoto (le pilote japonais rusé du bombardier)@Josh Green (Ellis, le soldat au radar)@Ian Bohen (le soldat au radar #2)@Michael Milhoan (un commandant)@Marco Gould (un marin)@Andrew Bryniarski (Joe le boxeur)@Nicholas Downs (le marin terrifié)@Greg Baine (un jeune marin)@Tim Choate (le docteur de la Navy)@John Diehl (le vieux docteur)@Joe Kelly (l'infirmier militaire)@Ron Harper (un ministre)@Ted McGinley (le major de l'armée de l'air)@Madison Mason (un officier du Hornet)@Kim Coates (Jack Richards)@Andrew Baley (l'opérateur radio du Hornet)@Paul Francis (le co-pilote de Doolittle)@Scott Wiper (un artilleur)@Eric Christian Olsen (un artilleur)@Rod Biermann (un navigateur)@Noriaki Kamata (un soldat japonais)@Garreth Saito (un soldat japonais)@Eiji Inoue (un soldat japonais)@Precious Chong (le directeur de la maison de repos)@Jeff Wadlow (un envoyé sur les lignes)@Will Gill Jr. (le conducteur du train)@Seth Sakai (un touriste japonais)@Curtis Andersen (le dactylo de 18 ans)@Blaine Pate (un planton)@John Pyper-Ferguson (l'officier naval à l'hôpital)@Michael Shamus Wiles (le capitaine du Hornet)@Hank Harris (le jeune patrouilleur)@Brett Pedigo (un envoyé sur les lignes)@Toru Tanaka Jr. (le videur Samoan)@Sean Gunn (un marin)@Joshua Ackerman (le marin blessé #1)@David Kaufman (le jeune docteur nerveux)@L.L. Ginter (le capitaine Low)@Joshua Aaron Gulledge (Buster)@Guy Torry (Teeny Mayfield)@Leland Orser (le major Jackson)@Peter James Smith (l'auditeur de la mission)@Mark Noon (un militaire)@Pat Healy@Thomas Wilson Brown (un jeune aviateur)@Chad Morgan (une infirmière de Pearl Harbour)@Larry Wegger (le conducteur du taxi)@James Saito (l'aide japonais #1)@Angel Sing (l'aide japonais #2)@Tak Kubota (l'aide japonais #3)@Robert Jayne (le marin bronzé)@Vic Chao (un docteur japonais)@Michael Gradilone (le marin hurlant)@Frederick Koehler (le marin blessé #2)@John Padget (l'aumônier de l'hôpital)@Ben Easter (le marin de Baja #1)@Cory Tucker (le marin de Baja #2)@Abe Sylvia (le marin de Baja #3)@Jason Liggett (le marin de Baja #4)@Mark Panasuk (le marin de Baja #5)@Bret Roberts (le marin de Baja #6)@John Howry (un lieutenant)@Rufus Dorsey (l'amie de Dorie)@Patrice Martinez (le pêcheur français)@Rodney Bursiel (le marin au chien)@Rob McCabe (un marin)@Jake Klinshaw (Danny bébé #1)@Brandon Lozano (Danny bébé #2)@Seiki Moriguchi (Agaki, l'officier des communications)@Glenn Morshower (l'officier au drapeau)@Brian Falk (le timonier #1)@Estevan Gonzalo (un marin)@Christopher Stroop (le timonier #2)@Sean Faris (un artilleur)@Vincent J. Inghilterra (le prêtre)@David De Vos (un aide-soignant)@Geoffrey Gould (un patient (chez le dentiste))@James Holzier (Louie)@Jack Truman (un conducteur de train)@Mark Weiler (un messager naval)@Gary Weeks@Jeremy Denzlinger (un marin)@Ant Grimley (un officier de la RAF)@Robert C. Nelson (un officier)@Leway Shih (un mécanicien japonais)@Lijay Shih (un pilote japonais)@James Yeung (un marin japonais)@Tony Curran (Ian MacFarlane )@||Secrets de tournage :
Michael Bay présente Pearl Harbor :
«C'est le projet le plus ambitieux et le plus captivant sur lequel il m'ait été donné de travailler. La réalisation de Pearl Harbor aura été une vraie aventure. Filmer des combats aériens, des bombardements d'une puissance aussi exceptionnelle restera forcément gravé dans la mémoire de l'équipe. Mais al richesse des sentiments et la qualité des interprètes offrent une autre dimension au film. Certaines scènes intimistes ont été aussi impressionnantes à filmer que les séquences d'action.
Peral Harbor (?) c'est l'émouvante aventure de trois jeunes gens précipités dans un des épisodes les plus puissants de l'Histoire. »
Josh Hartnett (Danny Walker)
Il a débuté au cinéma dans Halloween, 20 ans après de S.Miner. On a pu le voir dans The faculty de R.Rodriguez et Virgin suicides de S.Coppola.
Tournage
Pearl Harbor a été tourné sur le lieu de l'attaque à Hawaï, ainsi qu'à Los Angeles, San
Francisco et au Mexique (dans le bassin spécialement aménagé pour le tournage de Titanic).
Un autre casting?
Ils furent pressentis pour le film : Kevin Costner (Jimmy Doolittle), Gene Hackman (Franklin D.Roosevelt), Charlize Theron (Evelyn).
Un conseiller technique acteur
Conseiller technique sur Pearl Harbor, Harry Humphries a déjà exercé cette fonction sur Armageddon, Les ailes de l'enfer, A armes égales,Rock.
Harry Humphries a également tenu de petits rôles dans Armageddon, A armes égales et Rock.
Du Yang Tse à Pearl Harbor
Le comédien Mako, qui interprète l'amiral Isoroku Yamamoto, s'est fait connaître en 1966 dans le rôle de de Po-Han, le mécano de La canonnière du Yang Tse de Robert Wise, qui lui a valu de remporter le Golden Globe pour son interprétation et une nomination à l'Oscar.
Parmi ses rôles importants au cinéma :
Tucker de Francis Ford Coppola, Soleil Levant de Philip Kaufman et Sept ans au Tibet de Jean-Jacques Annaud.
Pearl Harbor au cinéma
Parmi les films qui ont traité, de près ou de loin, l'attaque japonaise sur Pearl harbor :Tant qu'il y a aura des hommes de Fred Zinnemann (1953), Première victoire d'Otto Preminger (1965), Tora ! Tora ! Tora ! de Richard Fleischer, Kinji Fukasaku et Toshio Masuda, 1941 de Steven Spielberg, Nimitz, retour vers l'enfer de Don Taylor (1980).
Dès 1943, John Ford et Gregg Toland réalisèrent un documentaire sur le sujet (December 7th).
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Jersey Girl|Kevin Smith|Comédie||3|américain|2004|98|Anglais||DX50|||DX50|893 Kbps|608x256|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Scott Mosier|Kevin Smith|Vilmos Zsigmond||Miramax Films||A Manhattan, Ollie Trinke était un publiciste branché qui avait tout pour être heureux jusqu'à la mort soudaine de sa femme. Seul avec un bébé sur les bras, Ollie craque. Congédié sans cérémonie, le voilà obligé de s'éloigner de New York et d'aller loger chez son père, dans la banlieue du New Jersey où il avait passé toute sa jeunesse.
Désormais, il se contente d'assurer le quotidien, sacrifiant son temps et son énergie à un boulot ingrat et sans avenir. Seule consolation : sa petite fille, Gertie, qu'il adore et qui croit avoir déniché le paradis dans le New Jersey.
Un jour, en louant pour la millième fois le film favori de la fillette, Ollie fait la connaissance de Maya. Belle, intelligente, et douée d'une forte personnalité, elle ne tarde pas à entrer dans sa vie et à l'inviter à un sérieux examen de conscience... |Ben Affleck (Ollie Trinke)@Liv Tyler (Maya)@Jason Biggs (Arthur)@Raquel Castro (Gertie, à 8 ans)@George Carlin (Bart Trinke)@Will Smith (lui-même)@Jennifer Lopez (Gertrude Steiney)@Matt Damon (fils de pub 1)@Jason Lee (fils de pub 2)@Stephen Root (Greenie)@Mike Starr (Block)@Jennifer Schwalback (Susan)@Matthew Cloran (Anthony)@Charles Gilbert (Sweeney Todd)@Paulie Litowsky (Bryan)@||Secrets de tournage :
Un film autobiographique sur la paternité
Père et fille est basé sur la propre expérience du réalisateur Kevin Smith en tant que père. Celui-ci explique : "Ce film est mon plus personnel. Il est né d'une histoire d'amour que je partage maintenant depuis six ans avec ma femme et mon enfant, et de celle que j'ai vécue pendant trente-trois ans avec mon père, récemment disparu. C'est un film sur les pères, fait par un père qui continue à apprendre les ficelles du métier. Un hommage à mon propre père, qui fit de la paternité un art et dont je n'ai pu vraiment apprécier toutes les qualités qu'en devenant père à mon tour."
Le début d'un nouveau cycle...
Père et fille marque le début d'un nouveau cycle de longs métrages pour Kevin Smith. Après cinq films au cours desquels il a laissé libre cours à sa passion pour la pop culture, cinq films au ton délibérément juvénile et provocateur, le cinéaste débute un nouveau chapitre de sa carrière, plus adulte, plus mature. Ce changement se manifeste notamment par l'absence, au générique de Père et fille, du duo composé de Jay et Silent Bob, figures récurrentes de ses précédents films.
Kevin Smith et Ben Affleck : cinquième !
Père et fille marque la cinquième collaboration du réalisateur Kevin Smith avec l'acteur Ben Affleck. Les deux hommes ont déjà travaillé ensemble sur Les Glandeurs (1995), Méprise multiple (1997), Dogma (1999) et Jay & Bob contre-attaquent (2001).
Ben Affleck et Jennifer Lopez séduits
L'acteur Ben Affleck ne cache pas sa satisfaction d'avoir participé à l'aventure Père et fille : "C'est un beau script, très classique à sa façon, qui m'a plu dès les premières pages. Visant un public plus large que les autres films de Kevin Smith, Père et fille est imprégné d'une sensibilité et d'une vision du monde qui n'appartiennent qu'à lui. Moi qui ai déjà travaillé plusieurs fois avec Kevin, j'ai eu à la fois le sentiment de poursuivre notre dialogue et de vivre une expérience inédite, de faire un saut dans l'inconnu en compagnie d'un vieil ami." Jennifer Lopez, de son côté, vante la "façon très personnelle de capter la vie" que possède Kevin Smith, précisant avoir été particulièrement heureuse de jouer un rôle se démarquant radicalement de ce que les gens attendent d'elle.
L'ombre de Bruce Willis
L'acteur Bruce Willis était initialement pressenti pour tenir la vedette de Père et fille. Mais un accord ne put être trouvé entre lui et la production.
Histoires de casting
C'est Joey Lauren Adams qui devait à l'origine tenir le rôle de Jennifer Lopez. Kevin Smith porta finalement son dévolu sur cette dernière, estimant que réunir une nouvelle fois Ben Affleck et Joey Lauren Adams, sept ans après son Méprise multiple, pourrait porter préjudice à Père et fille. Quant au personnage d'Arthur Bankman, tenu par Jason Biggs, il devait à l'origine être incarné par Jason Mewes, fidèle acolyte de Kevin Smith (le Jay du duo Jay & Silent Bob, figures récurrentes de ses films). Ce sont ses problèmes de drogue qui l'empêchèrent de participer à l'aventure.
Jennifer Lopez censurée !
Le rôle de Gertrude Steiney, tenu par Jennifer Lopez, devait initialement être plus important. Mais l'échec cuisant d'Amours troubles au box-office, production mettant également en vedette le couple Lopez/Affleck, amena les producteurs à couper la majeure partie des scènes de l'actrice et à l'exclure des différentes bandes-annonces et affiches du film. De peur que le public fasse l'amalgame entre les deux longs métrages...
Un tournage retardé
Le tournage de Père et fille, qui devait débuter à la fin 2001, n'a finalement été lancé qu'à l'été 2002. Un retard du à l'engagement de Ben Affleck avec la Fox pour le long-métrage Daredevil.
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License to Wed|Ken Kwapis|Comédie||2|américain|2007|90|Anglais||XviD|||XVID|934 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|132 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Mike Medavoy Arnold Messer Nick Osborne Robert Simonds|Kim Barker Vince DiMeglio Tim Rasmussen|John Bailey||Warner Bros.||Un mariage, ça se prépare ; et parfois, ça se mérite...Fiancés depuis quelques mois, Ben Murphy et Sadie Jones ont hâte de se marier. Sadie a déjà choisi le lieu : l'église St. Augustin de Chicago, où ses parents s'unirent trente ans plus tôt. Un gage... Le Révérend Frank, booké pour deux ans, finit par trouver un créneau : la noce pourrait avoir lieu dans... trois semaines. À prendre ou à laisser. Folle de joie, Sadie accepte et obtient sans peine l'accord de Ben, qui ne pense déjà plus que "Caraïbes", "palmiers", "sable fin" et "nuits d'amour".En échange, le Révérend impose au couple son fameux cours d'initiation prénuptiale, condition sine qua non d'un long et heureux mariage. Une "petite" formalité que les tourtereaux acceptent les yeux fermés, sans se douter un instant des infernales épreuves que le saint homme leur réserve... |Robin Williams (Le Révérend Frank)@Mandy Moore (Sadie Jones)@John Krasinski (Ben Murphy)@Eric Christian Olsen (Carlisle)@Christine Taylor (Lindsey Jones)@Josh Flitter (l'enfant de choeur)@DeRay Davis (Joel)@Peter Strauss (Monsieur Jones)@Grace Zabriskie (Mamie Jones)@Roxanne Hart (Madame Jones)@Mindy Kaling (Shelly)@Angela Kinsey (Judith (l'employée de la bijouterie))@Rachael Harris (Janine)@Brian Baumgartner (Jim)@Jess Rosenthal (l'employé de la bijouterie)@Val Almendarez (le client)@Nicole Randall Johnson (Louise)@Tashana Haye (Sarah)@Sarah Kate Johnson (Laurie)@Travis Flory (Manny)@David Quinlan (le futur père)@Cynthia Ettinger (la vendeuse de Macy's)@Gillian Skupa (la femme de la cabine d'essayage)@Poncho Hodges (le vigile de Macy's)@Ruben Garfias (le coach)@Kelsey Harper (la petite amie de Carlisle)@Irene Karas (la parturiante)@Derek Green (le médecin)@Christine Cannon (le médecin accoucheur)@Anelia Dyoulgerova (la danseuse du ventre)@Grant Gershon (le chef des choeurs de St. Augustine)@||Secrets de tournage :
La rude préparation du mariage
Permis de mariage traite du besoin ressenti par un nombre croissant de couples de se préparer aux challenges du mariage, et évoque plus précisément les "cours" spécifiques créés dans cette optique. Le producteur Nick Osborne explique : "Ces cours prénuptiaux sont très populaires depuis quelque temps. On y apprend à communiquer d'égal à égal, à gérer son budget, à entretenir l'amour, etc... Le Révérend Frank a une approche radicale de ces questions : pour limiter le nombre des divorces, il écarte froidement les couples qui risquent de capoter. Mieux vaut une bonne rupture avant le mariage qu'après !"
Robin Williams : un drôle de révérend !
L'acteur Robin Williams retrouve avec Permis de mariage l'univers de la comédie qui a fait sa gloire et dont il s'était un peu écarté ces dernières années. L'Américain explique avoir été "principalement attiré par les personnages et par la sincérité de ce Révérend qui tente d'aider les couples en les plaçant dans des situations dont ils n'ont pas idée ou qu'ils ne rencontreront qu'après quelques années de mariage - c'est-à-dire trop tard. Ceux qui passent son redoutable "examen" ont une chance de connaître un bonheur durable."
2007 : le retour du Robin Williams comique
Après un intermède dramatique entre 2001 et 2004 (Photo obsession, Insomnia, Final cut), l'acteur Robin Williams revient en 2007 à la comédie, le genre qui a fait sa gloire auprès du grand public, avec Camping car, La Nuit au musée et Permis de mariage.
Les révélations Mandy Moore et John Krasinsky
Permis de mariage permet au grand public de mieux connaître Mandy Moore et John Krasinski, le couple vedette du long métrage dont l'objectif est de réussir au mieux son mariage. La jeune actrice, d'abord vedette de la chanson aux Etats-Unis, est rapidement devenue l'une des égéries du public américain. En 2002, elle "explose" sur grand écran avec son interprétation de jeune étudiante romantique à la maladie incurable dans Le Temps d'un automne, puis apparaît notamment aux génériques de Saved ! et American Dreamz. John Krasinski, quant à lui, est apparu dans les films Jarhead - la fin de l'innocence, The Holiday et Dreamgirls mais s'est surtout révélé sur petit écran dans la série The Office avec son interprétation de Jim Halpert.
Rencontrer son idole...
L'acteur John Krasinski a vécu un grand moment avec l'expérience Permis de mariage, puisque le film lui a permis de donner la réplique à l'idole de son enfance, Robin Williams. Il raconte : "Jeune, je lui avais envoyé une lettre de fan pour recevoir sa photo. Je ne manquais aucun de ses films, j'adorais le voir bien avant de songer à devenir acteur. Pouvoir jouer face à lui avait un côté surréaliste. Et j'ai découvert que l'homme est encore plus drôle et plus enthousiaste dans la vie qu'à l'écran..."
Un rôle familial
Les parents de John Krasinski dans le film sont incarnés par... ses véritables parents à la ville !
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Pete's Dragon|Don Chaffey|Animation||3|américain|1978|101|Anglais||DIV3|||DIV3|873 Kbps|448x336|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|713||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Ron Miller Jerome Courtland|S.S. Field Seton I. Miller Malcolm Marmorstein|Frank V. Phillips||Buena Vista Pictures||Au début du 20e siècle, Pete, un orphelin de neuf ans, vit d'incroyables aventures avec son compagnon, le dragon Elliot. Ils doivent affronter le terrible Docteur Terminus... |Helen Reddy (Nora)@Jim Dale (Docteur Terminus)@Mickey Rooney (Lampie)@Red Buttons (Hoagy)@Shelley Winters (Lena Gogan)@Sean Marshall (Pete)@Jane Kean (Madame Taylor)@Jim Backus (Le Maire)@Charles Tyner (Merle)@Jeff Conaway (Willie)@Gary Morgan (Grover)@Cal Bartlett (Paul)@Charlie Callas (Elliot (voix))@||||||||||||@@
Peter Pan|P.J. Hogan|Fantastique||3|américain|2004|113|Anglais||DX50|||DX50|727 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Patrick McCormick Douglas Wick Amy Pascal Lucy Fisher|Michael Goldenberg P.J. Hogan|Donald McAlpine||Universal Pictures||Chaque soir, Wendy émerveille ses jeunes frères avec ses fantastiques récits épiques, jusqu'au jour où son père décrète qu'elle est désormais trop grande pour partager leur chambre...Ce que les adultes ignorent, c'est qu'un autre garçon, Peter Pan, se passionne lui aussi pour les histoires de Wendy. Il vient de loin pour les écouter. Sa soudaine apparition va marquer le début d'aventures aussi fabuleuses qu'exaltantes...A travers le ciel étoilé, Peter, les enfants et la minuscule fée Clochette prennent le chemin d'un endroit où le rêve est roi : le Pays Imaginaire...Là-bas, Wendy et ses frères découvrent les Garçons Perdus et leur repaire souterrain. Mais le danger rôde et l'infâme Capitaine Crochet est prêt à tout pour remporter le combat qui, depuis longtemps, l'oppose à Peter... |Jeremy Sumpter (Peter Pan)@Jason Isaacs (Le Capitaine crochet / Mr Darling)@Ludivine Sagnier (La fée Clochette)@Rachel Hurd-Wood (Wendy Darling)@Lynn Redgrave (Tante Millicent)@Richard Briers (Mouche)@Olivia Williams (Mrs. Darling)@Geoffrey Palmer (Sir Edward Quiller Couch)@Harry Newell (John Darling)@Freddie Popplewell (Michael Darling)@Theodore Chester (Slightly Soiled)@Rupert Simonian (Tootles)@George Mackay (Curly)@Harry Eden (Nibs)@Patrick Gooch (jumeau # 1)@Lachlan Gooch (jumeau # 2)@Carsen Gray (Tiger Lily)@Don Battee (le pirate géant)@Saffron Burrows (la voix de la narratrice)@Maggie Dence (Lady Quiller Couch)@Kerry Walker (Miss Fulsom)@Mathew Waters (Le messager)@Frank Whitten (Starkey)@Bruce Spence (Cookson)@Daniel Wyllie (Alf Mason)@Brian Carbee (Albino)@Frank Gallacher (Fogarty)@Bill Kerr (Le guide)@||Secrets de tournage :
Une Fée Clochette en images de synthèse
Avant que Ludivine Sagnier ne signe pour incarner la Fée Clochette, il était question que ce personnage soit créé en images de synthèse.
Gouttes d'eau sur la Fée Clochette
C'est en voyant Gouttes d'eau sur pierres brûlantes à la télévision que P.J. Hogan a pensé à engager Ludivine Sagnier pour jouer le rôle de la Fée Clochette.
Jason Isaacs pour deux personnages
Pour le rôle du méchant, P.J. Hogan a respecté la tradition née lors de la toute première production de la pièce, il y a un siècle, en choisissant le même acteur, Jason Isaacs, pour jouer à la fois le Capitaine Crochet et Mr. Darling.
Everett pressenti
Rupert Everett était pressenti pour jouer le rôle du Capitaine Crochet.
A la recherche de Wendy
La recherche de l'actrice qui allait jouer Wendy s'est déroulée sur trois continents. Des centaines de jeunes filles ont été auditionnées lors de castings libres aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne et en Australie avant de découvrir Rachel Hurd Wood, qui n'avait jamais joué et vit à Home Counties, non loin de Londres.
Le réalisateur explique : " Il nous fallait une toute jeune fille de douze ans qui corresponde à l'époque de la pièce et du livre, qui ait de la dignité, de la profondeur et une vraie finesse d'esprit. Nous recherchions plus une vérité émotionnelle qu'une expérience professionnelle. "
Le maniement de l'épée
Quatre mois avant le début du tournage, Jeremy Sumpter a passé quatre heures par jour à pratiquer l'escrime. Jason Isaacs, lui, est arrivé sur le projet avec une expérience préalable de de cette discipline sportive. Il confie : " J'avais déjà pratiqué l'escrime sur quelques films (The Patriot, le chemin de la liberté), et j'en étais très fier... jusqu'à ce que j'apprenne que j'allais devoir combattre avec la main gauche, puisque Crochet porte son crochet à la droite ! "
Apprendre à voler
Pour interpréter Peter Pan, Jeremy Sumpter devait " apprendre à voler ". Celui-ci devait s'entraîner à être parfaitement rectiligne dans son harnais. Pour cela, il a passé des mois à se muscler le dos et a également fait du trapèze afin d'éprouver la sensation de se trouver en l'air et de tomber. Aucune doublure ne fut utilisée durant le tournage.
La construction des décors
Au début, un tournage en extérieur a été envisagé, mais étant donné qu'une grande partie de l'histoire se déroule la nuit, et que les horaires de travail des enfants sont très sévèrement réglementés, les producteurs ont finalement décidé de construire les décors aux Warner Roadshow Studios de Gold Coast, dans le Queensland, en Australie. Le seul décor qui a été construit en extérieur a été celui des rues de Londres. Le Jolly Roger, le bateau de Crochet, a lui aussi été construit en studio, sur un plateau hydraulique pour simuler le mouvement qu'il aurait eu en mer. Il mesurait 26 m de long.
L'élaboration des costumes
Pour les costumes, le cinéaste australien a fait appel à sa compatriote Janet Patterson, connue pour son travail sur La Leçon de piano.
Les costumes de Peter Pan devaient allier l'esthétique, l'authenticité et l'aspect pratique. Comme les décors, ils devaient souligner le contraste entre l'austérité du Londres édouardien et l'atmosphère libératrice du Pays Imaginaire.
Janet Patterson s'est approvisionnée en velours, soie et satin, en robes et souliers du début du XXe siècle, et aussi en élégants pyjamas. Elle s'est également procuré les maillots de bain que portent les pirates sous leurs loques, sans oublier des dizaines de bonnets pour Nana.
La chef costumière s'est rendue à Londres et Paris pour les tissus et garnitures, en Italie pour les chaussures et les chapeaux, et au Pakistan pour les broderies. Toutes les chaussettes ont été tricotées en Angleterre.
Fille ou garçon?
C'est un jeune acteur, Jeremy Sumpter, 14 ans, qui incarne Peter Pan. P.J. Hogan est en cela fidèle au livre de J.M. Barrie. Pourtant, dans les précédentes adaptations de l'oeuvre (qu'il s'agisse de cinéma, de télévision ou de théâtre), le personnage de Peter Pan était traditionnellement interprété par une femme. C'est notamment le cas de la version cinématographique réalisée en 1924 par Herbert Brenon avec dans le rôle-titre Betty Bronson. Mia Farrow a également joué ce rôle en 1976 pour le petit écran. Dans la dernière adaptation en date, Hook ou la revanche du Capitaine Crochet, de Steven Spielberg, Peter Pan a certes les traits virils de Robin Williams, mais le personnage est devenu adulte...
« Préc.
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Return to Never Land|Robin Budd|Animation||3|américain|2002|72|Anglais||DIV3|||DIV3|1 111 Kbps|576x352|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|647||||23.976|02/08/2009 00:00:00|Christopher Chase Michelle Robinson Dan Rounds|Temple Mathews|||GBVI||Pour son grand retour au cinéma, au cours d'un voyage magique, Peter Pan nous emmène à nouveau dans l'endroit où l'on ne grandit jamais, le pays imaginaire. Bien que les années aient passé depuis notre dernière visite, ce monde merveilleux n'a pas changé. Peter Pan est toujours là avec la Fée Clochette, les Enfants Perdus et le méchant Capitaine Crochet, mais Wendy est retournée en Angleterre et a des enfants maintenant.
C'est la deuxième guerre mondiale à Londres et Wendy essaie de les réconforter en racontant des histoires de l'endroit magnifique qu'elle a jadis connu. Danny , le plus jeune, raffole de ses contes pour s'endormir tandis que Jane, agée de 12 ans, n'y croit pas du tout… jusqu'au jour où elle est capturée par le Capitaine Crochet et emmenée au pays imaginaire !
Crochet, la prenant pour Wendy, pense se servir de Jane comme appât pour capturer Peter Pan… |Harriet Owen@Blayne Weaver@Corey Burton@Jeff Bennett@Kath Soucie@Andrew McDonough@Roger Rees@Spencer Breslin@Bradley Pierce@Quinn Beswick@||Secrets de tournage :
Une suite en 2002
Dans la lignée des grands classiques Disney, Peter Pan s'est vu doté d'une suite. Intitulée Peter Pan, retour au Pays Imaginaire, celle-ci a connu une carrière en salles en 2002 contrairement à bon nombre d'autres séquelles, sorties directement sur le marché vidéo.
De la vidéo au cinéma...
Initialement dédié au marché de la vidéo comme de nombreuses suites de dessins animés estampillés Disney, Peter Pan, retour au pays imaginaire a séduit les dirigeants du studio par sa qualité. Convaincus du potentiel du film, ces derniers ont finalement décidés de le distribuer en salles.
Un réalisateur conquis d'avance
Le réalisateur Robin Budd est un grand fan du dessin animé d'origine Peter Pan. Se retrouver à la tête de la suite du chef d'oeuvre Disney représentait donc un rêve. "J'ai accepté ce projet parce que j'ai toujours aimé Peter Pan", explique-t-il. "C'est une merveilleuse histoire sur un monde que l'on ne peut voir que si l'on y croit. Et le héros est un garçon qui refuse de grandir - c'est non seulement une belle idée, mais dont je me sens proche."
Le co-réalisateur Donovan Cook ne tarit pas d'éloge au sujet de Robin Budd. "Robin a une remarquable capacité à visualiser une idée et à expérimenter de nouvelles pistes pour susciter le rire ou l'émotion. Il plonge au coeur des personnages, il a même parfois interprété pour nous le Capitaine Crochet. Ce fut une merveilleuse expérience."
L'ombre d'un dessin animé de légende
Toute l'équipe de Peter Pan, retour au Pays Imaginaire avait une grande pression sur les épaules : s'attaquer à la suite d'un des chefs-d'oeuvre des studios Disney était en effet très intimidant. "C'était terrifiant", se souvient le réalisateur Robin Budd. "Plus nous analysions l'original, plus nous réalisions combien l'apparente simplicité de la direction artistique était trompeuse. Recréer cette simplicité était bien plus difficile que nous l'avions cru au départ, il a fallu d'immenses efforts de la part de toute l'équipe." Une équipe qui a tenu à garder un équilibre fragile entre hommage au dessin animé d'origine et nouvelles aventures pour les héros.
La magie du dessin animé d'origine...
Pour donner vie à Peter Pan, retour au Pays Imaginaire, toute l'équipe du film s'est plongé avec émerveillement dans les nombreux documents relatifs au dessin animé d'origine, Peter Pan, réalisé en 1953. Esquisses, dessins finalisés, autant de sources d'inspiration qui ont grandement aidé les animateurs de cette suite. Le réalisateur Robin Budd se souvient de sa rencontre avec les documents d'origine : "Je suis un mordu de l'animation, et j'étais au paradis ! C'était comme un matin de Noël : pouvoir voir comment les "Nine old men" (animateurs à l'origine des plus grands classiques Disney dans les années quarante et cinquante) ont vraiment abordé et traité ces personnages..."
Une musique millimétrée
La musique occupe une place prépondérante dans Peter Pan, retour au Pays Imaginaire. Le compositeur Joel McNeely a tenu a être très attentif aux détails. "L'approximation en animation est très faible" explique-t-il. "Entre 4 et 6 centièmes de seconde, l'oeil humain repère le décalage... La marge de tolérance est très étroite. En animation, la musique commente constamment l'action à l'écran, et c'est donc un travail vraiment détaillé qu'il faut accomplir."
Un grand groupe au service d'une légende
C'est le groupe américain They Might Be Giants, très populaire outre-atlantique, qui a composé la chanson de l'une des scènes principales de Peter Pan, retour au Pays Imaginaire.
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Prime|Ben Younger|Comédie||2|américain|2006|105|Anglais||XviD|||XVID|773 Kbps|608x320|MPEG-1 Audio layer 3|136 Kbps|False|48.0 KHz|2|696||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Jennifer Todd Suzanne Todd|Ben Younger|William Rexer||SND||Une psy de 60 ans apprend qu'une de ses patientes de 40 ans sort avec un jeune homme de 20 ans. Jusque-là, rien à redire, jusqu'au jour où... la psy en question réalise que le jeune homme est... son propre fils !
Arrivera-t-elle à rester objective et professionnelle en apprenant des détails sur la vie privée de son fils ? |Uma Thurman (Rafi Gardet)@Meryl Streep (Lisa Metzger )@Bryan Greenberg (David Bloomberg )@Jon Abrahams (Morris)@Jerry Adler (Sam)@Doris Belack (Blanch)@Aubrey Dollar (Michelle)@Ato Essandoh (Damien)@Zak Orth (Randall)@Annie Parisse (Katherine)@John Rothman (Jack Bloomberg)@Alex Webb (Le gérant de la galerie)@||Secrets de tournage :
Genèse du projet
Il aura fallu huit ans à Ben Younger pour écrire le scénario de Petites confidences (à ma psy). S'il a eu l'idée de cette comédie avant de faire son premier film, Les Initiés, en 2000, il ne se sentait pas encore prêt à l'époque pour la développer pleinement.
Il explique : "Je n'aurais pas été capable de l'écrire aussi justement que maintenant. Le sujet et le traitement nécessitaient une maturité, un recul que je n'avais pas encore. C'est une histoire qui repose essentiellement sur les personnages, bien plus que Les Initiés, et je me sentais moins à l'aise. Ce n'est vraiment que dans les trois dernières années qu'elle a trouvé son épaisseur et que je me suis senti prêt."
"Petites confidences (à ma psy)" vu par Ben Younger
Pour Ben Younger, Petites confidences (à ma psy) "parle de ce qui se passe lorsque deux personnes tombent amoureuses, puis réalisent qu'être ensemble est bien plus difficile que ce qu'elles pensaient. C'est aussi l'histoire d'un franchissement d'étape pour une femme de 50 ans qui se découvre incapable de donner à son propre fils les conseils impartiaux qu'elle donne à ses patients."
Le réalisateur souligne : "Petites confidences (à ma psy) porte également sur les nouvelles questions que se posent les femmes d'aujourd'hui : est-ce que je veux être amoureuse, ou est-ce que je veux un partenaire ? est-ce que je veux des enfants ? est-ce que j'ai vraiment besoin de me marier, ou est-ce que j'ai juste besoin de trouver un père pour avoir un enfant ? Ce sont des questions que les générations précédentes n'avaient pas à se poser. Les options pour devenir mère ne sont plus aussi simples qu'avant."
Sandra Bullock pressentie
Sandra Bullock avait été choisie pour interpréter Rafi, mais elle souhaitait que Ben Younger change plusieurs éléments du scénario. Face au refus de ce dernier, l'actrice s'est retirée du projet. C'est finalement Uma Thurman qui l'a remplacée deux semaines avant que ne débute le tournage.
Bryan Greenberg se met dans l'ambiance
A la demande de Ben Younger, Bryan Greenberg s'est installé à New York plusieurs mois avant le début du tournage pour se préparer. "Ben m'a dit qu'il fallait que je vienne vivre à New York, explique l'acteur. Il voulait que je me balade avec lui, avec sa famille, que je lise le New Yorker et que je peigne ! Mais il ne m'emmenait pas avec lui dans ses déplacements, il préférait que je prenne le métro pour être dans l'ambiance !"
Préférence aux acteurs new-yorkais
Afin de créer un milieu new-yorkais crédible, Ben Younger a choisi des acteurs new-yorkais pour ses seconds rôles. Katherine et Morris, les deux meilleurs amis de Rafi et de David, sont joués par Annie Parisse et Jon Abrahams. "Ils ont fait un travail remarquable comme partenaires de Uma et Bryan, et ils ont vraiment donné corps à l'atmosphère new-yorkaise du film", souligne le réalisateur.
Tournage en décors réels
Mis à part les scènes de thérapie, réalisées en studio, Ben Younger voulait tourner le plus possible en décors réels. Un grand nombre des lieux de tournage étaient déjà précisés dans son scénario, plusieurs mois avant le début de la production. L'équipe s'est ainsi rendue de Chelsea Piers dans le Bronx à Greenpoint et Brooklyn (dans le vieil appartement de Younger) en passant par des endroits comme Dean & Deluca ou Magnolia Bakery.
Une équipe fidèle
Ayant travaillé pendant plusieurs années à New York comme machiniste pour le cinéma et la publicité, Ben Younger a fait appel à plusieurs de ses anciens collègues pour constituer son équipe. "Je n'ai pas vraiment l'impression d'être à la tête et de tout diriger, confie-t-il, j'ai plutôt le sentiment que tous ceux qui ont travaillé sur ce film se le sont approprié, et c'est le mieux qui puisse arriver. J'ai vraiment eu le sentiment qu'on était une famille."
De projet en projet, le cinéaste aime en effet s'entourer des mêmes collaborateurs. Outre Jennifer et Suzanne Todd, les productrices de son premier film Les Initiés, le chef décorateur Mark Ricker a créé les décors d'un court métrage réalisé par Ben Younger il y a dix ans. Et le directeur de la photo William Rexer a éclairé tous les spots publicitaires réalisés par le cinéaste depuis cinq ans.
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Phantoms|Joe Chappelle|Thriller||2|américain|1998|88|Anglais||DIVX|||DIVX|907 Kbps|488x280|WMA2|64.1 Kbps|False|44.1 KHz|2|616||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Laurie Borg|Dean R. Koontz|Richard Clabaugh||||Une force obscure sévit dans la paisible ville de Snowfield. Un groupe de jeunes gens va se mettre sur son chemin. |Ben Affleck (Bryce Hammond)@Peter O'Toole (Timothy Flyte)@Rose McGowan (Lisa Pailey)@Joanna Going (Jennifer Pailey)@Liev Schreiber (Stuart Wargle)@Nicky Katt (Steve Shanning)@Clifton Powell (Leland Copperfield)@Michael DeLorenzo (Velazquez)@Bo Hopkins (Agent Hawthorne)@Judith Drake (Hilda)@Robert Knepper (un agent du FBI)@||||||||||||@@
Phone Booth|Joel Schumacher|Thriller||3|américain|2003|77|||DIV3|||DIV3|1 075 Kbps|608x256|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|675||||25.000|02/08/2009 00:00:00|David Zucker Gil Netter|Larry Cohen|Matthew Libatique||UFD||Stu Shepard, un attaché de presse, passe devant une cabine publique. Le téléphone sonne, Stu répond à l'appel. Une voix qu'il ne connaît pas l'informe qu'il est mort s'il raccroche le combiné. Le point lumineux d'un rayon infrarouge sur son torse prouve que le mystérieux interlocuteur ne bluffe pas...Un terrible incident ayant éclaté à quelques mètres de la cabine, la police arrive sur les lieux, flanquée de tireurs d'élite. Tous pensent que Stu, et non son invisible interlocuteur téléphonique, en est l'auteur. L'officier responsable, le capitaine Ramey, tente de convaincre Stu de sortir de la cabine... |Colin Farrell (Stu Shepard)@Forest Whitaker (le capitaine Ramey)@Katie Holmes (Pamela McFadden)@Kiefer Sutherland (l'homme au bout du fil)@Radha Mitchell (Kelly Shepard)@Richard T. Jones (le brigadier Cole)@Paula Jai Parker (Felicia)@Arian Waring Ash (Corky)@Tia Texada (Asia)@John Enos III (Leon)@Keith Nobbs (Adam)@||Secrets de tournage :
Schumacher retrouve ses acteurs
Phone game marque les retrouvailles de son réalisateur Joel Schumacher avec Colin Farrell, révélé trois ans plus tôt par Tigerland du même Schumacher. Retrouvailles également avec Kiefer Sutherland, déjà à l'affiche de trois précédents films du metteur en scène : Generation perdue en 1987, L'Experience interdite en 1990 et Le Droit de tuer ? en 1996.
Un scénario de longue date
L'histoire d'un homme menacé dans une cabine téléphonique ne date pas d'hier pour Larry Cohen, scénariste de Phone game et par ailleurs réalisateur du célèbre film d'horreur Le monstre est vivant. Larry Cohen avait déjà proposé l'idée à Alfred Hitchcock dans les années 60, alors qu'il n'était encore qu'au début de sa carrière. Mais les deux hommes ne réussirent pas à trouver de raison valable pour qu'un homme en menace un autre enfermé dans une cabine téléphonique. Ce n'est que dans les années 90 que Larry Cohen est revenu vers son idée, avant que toute l'intrigue ne se mette en place trois ans avant le tournage du film.
Inspiré d'un court métrage
Phone game est l'adaptation du court métrage d'un étudiant en cinéma de l'Université de New York : End of the line, réalisé en 1996 par Paul Hough.
Une histoire new-yorkaise
Pour Larry Cohen, scénariste de Phone Game, l'intrigue du film "est organiquement new-yorkaise. Cette frénésie n'existe que là-bas. Je voulais Manhattan, une métropole grouillante de monde. Plus ça grouillait et mieux c'était. On y semble à portée de secours, mais celui-ci reste inaccessible."
New York à Los Angeles
Le tournage de Phone Game s'est limité à 12 jours, un délai extrêmement court : 10 jours pour les scénes se déroulant à l'intérieur de la cabine et deux autres pour les extérieurs. L'équipe du film n'a passé qu'une seule journée de tournage à New York, afin de filmer Colin Farrell dans Times Square. Le reste des prises de vue s'est déroulé à Los Angeles, organisation logistique oblige. Un pâté de maison entier a ainsi été transformé en 53e rue de Big Apple en plein centre ville, alors qu'un système complexe de projecteurs, pôles de lumière et d'immeubles recouverts de panneaux réflecteurs devait restituer la lumière spécifique de New York et figurer les différentes heures de la journée.
Le multi-caméra
Pour augmenter l'interaction entre les différents personnages de Phone Game, Joel Schumacher a opté pour un tournage en ordre chronologique (l'histoire est filmée dans l'ordre du scénario) et a surtout fait appel à un système de multi-caméras 35 millimètres. Certaines scènes ont ainsi été tournées avec quatre caméras braquées sur quatre protagonistes différents. Cette technique a cependant nécessité le port par les acteurs de discrètes oreillettes afin que ceux-ci ne loupent pas leur dialogue.
Sur les rangs
Avant que le rôle n'échoit à Colin Farrell, Will Smith puis Jim Carrey s'étaient intéressés au projet Phone game de Joel Schumacher.
Sortie repoussée
D'abord annoncé en novembre 2002 aux Etats-Unis, Phone Game et son sniper ont été repoussés à une date ultérieure alors qu'un tireur semait la panique dans Washington DC et sa région. Le film est finalement sorti en avril 2003 outre-Atlantique et en août 2003 dans les salles hexagonales.
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One hour photo|Mark Romanek|Thriller||3|américain|2002|95|||XviD|||XVID|880 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|135 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||23.976|02/08/2009 00:00:00|Christine Vachon Pamela Koffler Stan Wlodkowski|Mark Romanek|Jeff Cronenweth||UFD||Sy Parrish est un homme effacé et timide qui dirige depuis des années le laboratoire photo de SavMart, une grande surface. Il vit seul, adore son métier et fait preuve de perfectionnisme dans sa manière de développer les négatifs.
Des centaines de photographies, sur lesquelles figure la famille Yorkin, tapissent les murs de son logement. Depuis des années, les Yorkin viennent en effet porter leurs pellicules à SavMart. Ces derniers symbolisent la famille de banlieue parfaite et Sy ne peut s'empêcher de suivre leur évolution à travers les doubles de leurs photos.
Mais un jour, Bill Owens, le directeur de la grande surface, le met à la porte. Sy ne tarde pas à trouver une série de clichés montrant Will Yorkin pris en flagrant délit d'adultère. Consterné par le comportement de ce père de famille, il décide d'agir. |Robin Williams (Sy Parrish)@Connie Nielsen (Nina Yorkin)@Michael Vartan (Will Yorkin)@Dylan Smith (Jake Yorkin)@Gary Cole (Bill Owens)@Eriq La Salle (l'inpecteur Van Der Zee)@Erin Daniels (Maya Burson)@Clark Gregg (L'inspecteur Paul Outerbridge)@Paul Hansen Kim (Yoshi)@Lee Garlington (La serveuse)@Marion Calvert (Mrs. Von Unwerth)@||Secrets de tournage :
L'équipe habituée des films sombres
On retrouve dans les différents noms de l'équipe technique de Photo Obsession des habitués de plusieurs longs métrages inquiétants. Le directeur de la photographie Jeff Cronenweth a par exemple travaillé sur Fight club, et il avait été chef opérateur de deuxième équipe sur les thrillers The Game et Seven de David Fincher. Le chef décorateur Tom Foden avait créé l'univers baroque de The Cell, le chef monteur Jeffrey Ford avait travaillé sur The Yards. Quant à la costumière Arianne Phillips, elle a habillé entre autres Winona Ryder et Angelina Jolie dans Une vie volée et Brandon Lee dans The Crow.
La tournée des festivals
Diffusé en première mondiale en janvier 2002 lors du festival international du film de Sundance, Photo Obsession a également été présenté dans la sélection officielle du festival du film américain de Deauville en 2002, où il a obtenu trois prix : le prix du jury (ex-aequo avec Long Island Expressway (L.I.E.)), le prix Journal du dimanche du public et le prix des lecteurs de Première. Le film faisait partie de la sélection officielle du festival de Locarno cette même année.
Un célèbre réalisateur de clips
Avec Photo obsession, Mark Romanek signe son second long métrage. Mais il est également le réalisateur de nombreux clips, maintes fois primés et très remarqués en raison de leur esthétique futuriste et alambiquée, comme par exemple le clip Scream du duo Janet Jackson / Michael Jackson (une vidéo en noir et blanc dans un vaisseau spatial), les clips Rain et Bedtime Story de Madonna, mais également des clips pour Lenny Kravitz, David Bowie, le groupe de rock industriel Nine Inch Nails...
Un monde aseptisé
Pour créer l'ambiance totalement aseptisé du magasin SavMart dans lequel évolue le personnage de Robin Williams, le réalisateur Mark Romanek, a fait appel au chef décorateur Tom Foden, déjà responsable des décors esthétisants du thriller The Cell. Robin Williams décrit cet univers : "Le SavMart est, comme nombre de grandes surfaces, un lieu d'abondance quasi surréaliste, un gigantesque amoncellement de produits de consommation qui paraît écraser notre personnage, coincé derrière son petit comptoir. Les murs sont d'un blanc laiteux, les lumières brillantes, omniprésentes, et Sy se fond dans le décor, se noie dans cette blancheur stérile."
Robin Williams et les Parrish
L'acteur Robin Williams aime porter le nom de Parrish dans ses films : il se nomme Seymour Parrish dans Photo obsession tandis qu'en 1995, dans le film d'aventures Jumanji, son personnage s'appelle Alan Parrish.
Le choix de Robin Williams
La productrice Pamela Koffler explique comment s'est imposé le choix de l'acteur Robin Williams pour Photo obsession : "Nous avions besoin d'une vraie star pour exploiter pleinement le potentiel du sujet, d'un acteur charismatique prêt à jouer un rôle radicalement différent de ses précédents". Mark Romanek a également été séduit par le comédien : "Dès notre première rencontre, nous nous sommes retrouvés sur la même longueur d'onde. Et j'ai tout de suite su que Robin serait un atout majeur". Robin Williams a quant à lui été emballé par le personnage de Sy Parrish : "Pour commencer, je dois dire que je suis ravi qu'on m'ait proposé le rôle ! J'entends souvent dire que je ne joue que des braves gens. Or Sy, sans être foncièrement méchant, a une face d'ombre. Il se comporte de façon étrange, et parfois inquiétante. C'est tentant de se glisser dans la peau d'un personnage aussi fascinant."
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Under siege 2 : Dark Territory|Geoff Murphy|Action||2|américain|1995|95|Anglais||DX50|||DX50|889 Kbps|544x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Doug Metzger|Richard Hatem|Robbie Greenberg||Warner Bros. France|Saga : Under Siege |Ancien Marine, le cuistot Casey Ryback, qui office à bord d'un train, va sauver Washington d'un bombardement par satellite. |Steven Seagal (Casey Ryback)@Katherine Heigl (Sarah Ryback)@Morris Chestnut (Bobby Zachs)@Eric Bogosian@Peter Greene@Brenda Bakke@Jonathan Banks@Nick Mancuso@Dale Dye@Kurtwood Smith@||||||||||||@@
Striking Distance|Rowdy Herrington|Policier|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|1994|97|Anglais||XVID|||XVID|891 Kbps|720x384|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||25.000|09/08/2009 00:00:00|Hunt Lowry Arnon Milchan Tony Thomopoulos|Rowdy Herrington Marty Kaplan|Mac Ahlberg||Columbia TriStar Films||Tom Hardy et son père, tous deux dans la police, repèrent un soir un serial killer qui accumule les victimes. La poursuite se termine mal et le père de Tom est tué. Tom declare alors que le tueur fait partie de la police. |Dennis Farina (Le Capitaine Nick Detillo)@Bruce Willis (Le Sergent Tom Hardy)@Sarah Jessica Parker (Jo Christman/Detective Emily Harper)@Tom Sizemore (Danny Detillo)@Robert Pastorelli (Le Sergent Jimmy Detillo)@Brion James (Detective Eddie Eiler)@Timothy Busfield (Tony Sacco)@John Mahoney (Le Lieutenant Vincent Hardy)@||||||||||||@@
Under Siege|Andrew Davis|Aventure||2|français, américain|1993|94|Anglais||DX50|||DX50|800 Kbps|720x320|MPEG-1 Audio layer 3|224 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Arnon Milchan Steven Reuther Steven Seagal Joel Chernoff|J.F. Lawton|Frank Tidy||Warner Bros. France|Saga : Under Siege |L'USS "Missouri", navire de guerre, fleuron de la marine américaine, entreprend son dernier voyage. A l'issue de la commémoration du cinquantenaire de Pearl Harbor, le cuirasse met le cap sur San Francisco où il doit être désarmé. A son bord, le capitaine Addams assure le commandement entouré, entre autres, par Casey Ryback, le cuisinier, dont seul le capitaine connaît les hauts faits d'arme. Une nuit, un hélicoptère se pose sur le pont du navire avec un groupe de musiciens pour fêter l'anniversaire du capitaine. En fait il s'agit de trafiquants d'armes... |Steven Seagal (Casey Ryback )@Damian Chapa (Tackman )@Tommy Lee Jones (William Stranix)@Troy Evans (Granger )@Patrick O'Neal (Capitaine Adams)@Gary Busey (Commandant Krill)@Erika Eleniak (Jordan Tate)@Nick Mancuso (Tom Breaker)@David McKnight (Flicker)@Lee Hinton (Cue Ball)@George Bush (lui-même)@Barbara Bush (elle-même)@Dick Cheney (lui-même)@Bernie Casey (Commandant Harris)@Colm Meaney (Doumer)@Dale Dye (Capitaine Garza)@||||||||||||@@
Pinocchio|Hamilton Luske Ben Sharpsteen|Animation||3|américain|1940|84|Anglais||DX50|||DX50|1 033 Kbps|512x368|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|703||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Walt Disney|Aurelius Battaglia William Cottrell|||||Aidé de la Fée Bleue, Gepetto parvient à insuffler la vie à sa dernière marionnette qu'il nomme Pinocchio. |Marc Lesserre (Pinocchio (voix française) )@Teddy Bilis (Geppetto (voix française))@Roger Carel (Jiminy (voix française))@Evelyne Selena (la fée bleue (voix française) )@Michel Roux (Grand coquin (voix française))@||Secrets de tournage :
Les origines de l'histoire
L'histoire de la marionnette amenée à la vie grâce aux pouvoirs de la Fée Bleue remonte à plus de 125 ans, trouvant sa source d'inspiration à Florence, en Italie. Tout commence en 1881, lorsqu'un ancien journaliste nommé Carlo Lorenzini -qui prendra par la suite pour nom de plume Carlo Collodi-, décide d'écrire une série d'histoires naïves pour un magazine pour enfants, afin de rembourser une sombre dette de jeu. Après 15 aventures et autant de remboursements, fatigué de son personnage, Collodi décidé de le tuer par pendaison. Mais le public, comme son éditeur, refusent sa mort. Aussi l'auteur est-il bientôt contraint de créer la Fée Bleue, afin de ressuciter le petit pantin de bois et de le protéger jusqu'à sa dernière aventure, en janvier 1883. Lors de celle-ci, la marionnette devient un véritable petit garçon. Sorties regroupées au sein d'un même livre quelques mois plus tard, "Les aventures de Pinocchio" devenaient un véritable best-seller.
Deuxième long métrage d'animation Disney
Pinocchio est le deuxième long métrage après Blanche-Neige et les sept nains réalisé deux ans plus tôt.
L'esprit Disney
Les nouvelles de Carlo Collodi comprenaient toute une série d'escroqueries, d'enlèvements et de meurtres, forcément incompatibles avec l'esprit familial véhiculé par Disney. Pour l'historien du cinéma Russell Merritt, "le personnage original de Pinocchio relève d'une étrange alchimie composée de cruauté et de méchanceté jamais récompensées, d'un refus systématique d'un quelconque apprentissage de la vie et d'irrépréssibles accès de colère dès lors qu'on ne le laisse plus faire ce qu'il veut. C'est un enfant non désiré et doué d'une malice extrême. Disney corrigea tout ceci pour en faire un personnage à la fois aimant et aimé, mais aimé pour lui-même et non pour ce qu'il pourrait être ou ne pas être."
Parmi les autres libertés prises par rapport au récit original par l'équipe de Disney figure l'attribution d'un rôle à part entière à Jiminy. Dans les nouvelles de Carlo Collodi, ce personnage n'est qu'une figure passagère qui n'apparaît que dans un seul chapitre, pour délivrer tout un chapelet de sermons. La réponse de Pinocchio est radicale : elle se solde par un violent coup de marteau asséné sur la tête du grillon !
Acclamé par la critique
Pinocchio fut acclamé par la critique et jugé comme un chef-d'oeuvre. Il remporta d'ailleurs deux Oscars : celui de la Meilleure musique, pour récompenser le travail de Leigh Harline, Paul J. Smith et Ned Washington; et l'Oscar de la Meilleure chanson, la légendaire "When You Wish Upon a Star". Pour la petite histoire, Pinocchio est le premier dessin animé à remporter deux Oscars dans des catégories de compétition. Deux ans auparavant, Blanche-Neige et les sept nains en remporta également un, mais à titre honorifique. En 2004, cette dernière a d'ailleurs été classée par l'AFI (American Film Institute) au 7e rang des plus grandes chansons de films de tous les temps. C'est le plus haut rang jamais atteint dans la liste des films réalisés par Disney depuis sa création et récompensés pour leurs chansons. En juin 2008, l'AFI a classé le film au 2e rang des dix plus grands films d'animation.
Un lourd investissement
Pinocchio coûta presque le double de Blanche-Neige et les sept nains. Un lourd investissement, l'effet de ces dépenses se fit sentir alors que le studio était soumis à des pressions financières. Le marché européen avait été perdu par Disney.
Les malheurs de la guerre
En raison de la Seconde guerre mondiale, Pinocchio ne sortit pas en Allemagne, ni au Japon, avant les années cinquante. En 1951, lorsque le film fut diffusé en Allemagne, il fut doublé par des acteurs inconnus, exception faite d'Horst Buchholz, qui fera une carrière prolifique à la TV allemande et au cinéma. En 1971, lors de la ressortie de Pinocchio, il fut à nouveau redoublé, à l'instar de Dumbo et de Bambi. Les doublages originaux de ces films ont malheureusement été perdus depuis.
Une avancé technique
Non seulement l'histoire de Pinocchio était claire et succinte, mais les techniques du studio avaient fait d'immenses progrès, même si Blanche-Neige et les sept nains ne remontait qu'à un peu plus de deux ans. Quelques chiffres parlent d'eux-même et donnent une idée de l'ampleur du projet : 750 artistes, 80 musiciens, 1500 nuances de couleurs (évidémment toutes réalisées à la main !), et près d'un million d'esquisses ! L'équipe travailla d'arrache-pied pendant 18 mois pour trouver les traits finaux de Pinocchio.
La recherche graphique
Le graphisme définitif de Pinocchio réclama de longues heures de travail acharné. Sous l'impulsion de Joe Grant, le travail commença en 1937 avec un Pinocchio longiligne et maladroit. Walt Disney trouva cette version trop exubérante et manquant d'intérêt. L'été 1938, une nouvelle vision du personnage vit le jour. On y découvrait un pantin doté de larges mains en bois. Un modèle en dur fut créé à partir de ces esquisses, afin d'"être photographié aux côtés de Christian Rub, le comédien qui servit de modèle et prêta sa voix au vieux Gepetto. En fin d'année, les directeurs de l'animation Fred Moore et Frank Thomas s'attelèrent une nouvelle fois à redessiner Pinocchio. Chacun apportait sa touche personnelle : pour Moore, ce furent l'innocence, les proportions humaines et le remplacement des larges mains par de plsu esthétiques gants à trois doigts. Frank Thomas en revanche se tourna davantage vers les expressions faciales, arrivant à en trouver près de 60 différentes. Enfin, ce n'est qu'en février 1939 que le directeur de l'animation Milt Kahl mit au point le graphisme définitif du personnage : un petit garçon potelé et naïf, avec sur sa tête un chapeau tyrolien.
Deux longs métrages en un an
La même année, Fantasia sort sur les écrans (première le 13 novembre 1940 à Brodway) mais connaît un succès relatif vu l'importance des moyens mis en oeuvre, notamment le coût que représentait l'orchestre symphonique.
Un dessin animé réalisé entre deux studios
Pinocchio est réalisé en grande partie dans le premier studio Disney, et reçut à Burbank (deuxième studio Disney) sa touche finale. Il fut projeté lors d'une première, à New York, le 7 février 1940.
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Pinocchio|Roberto Benigni|Fantastique||2|italien|2003|106|Italien||XviD|||XVID|766 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|129 Kbps|False|48.0 KHz|2|689||||23.976|02/08/2009 00:00:00|Gianluigi Braschi Elda Ferri Nicoletta Braschi|Roberto Benigni Vincenzo Cerami|Dante Spinotti||Miramax Films||Un pantin de bois nommé Pinocchio, créé par Gepetto, un vieux menuisier toscan, s'anime par la magie de la Fée Bleue. Devenu un vrai petit garcon, il fait l'apprentissage de la vie.Au lieu d'aller à l'école, Pinocchio se rend au théâtre de marionnettes de Mangiafuoco. Sans le savoir, il s'apprête à vivre de grandes aventures, à découvrir de merveilleux endroits comme le Pays des Jouets, et à rencontrer de drôles de personnages comme Lucignolo, un adolescent déluré, ou encore un chat et un renard, deux fripouilles qui vont lui donner du fil à retordre... |Roberto Benigni (Pinocchio)@Nicoletta Braschi (la Fée Bleue)@Carlo Giuffrè (Geppetto)@Mino Bellei (Medoro)@Kim Rossi Stuart (Lucignolo)@Alessandro Bergonzoni (le directeur du cirque)@Corrado Pani (Giudice)@Vincenzo Cerami (l'homme à la moustache)@Peppe Barra (Cricket)@Max Cavallari (le chat)@Bruno Arena (le renard)@Luis Molteni (Omino di burro)@Giorgio Ariani (l'hôte des Gambero Rosso)@Tommaso Bianco (Pulcinella)@Franco Iavarone (Mangiafuoco)@Giorgio Noe (le garçon)@James Belushi (fermier (voix anglaise))@John Cleese (Cricket (voix anglaise))@Glenn Close (la Fée Bleue (voix anglaise))@Sandro Dori (propriétaire de Medoro (voix anglaise))@Giacomo Gonnella (carabinier (voix anglaise))@Topher Grace (Lucignolo (voix anglaise))@Eddie Griffin (le chat (voix anglaise))@Eric Idle (Medoro (voix anglaise))@Kevin James (Mangiafuoco (voix anglaise))@Queen Latifah (Dove (voix anglaise))@Cheech Marin (le renard (voix anglaise))@Breckin Meyer (Pinocchio (voix anglaise))@Regis Philbin (le directeur du cirque (voix anglaise))@David Suchet (Geppetto (voix anglaise))@||Secrets de tournage :
La naissance du mythe Pinocchio
Le personnage de Pinocchio a été créé en 1883 par l'écrivain italien Carlo Collodi. Originaire de Florence, journaliste de formation, Collodi aurait donné naissance à Pinocchio afin, dit-on, d'éponger de nombreuses dettes. Dès sa parution, le récit du petit pantin de bois dont le nez s'allonge dès qu'il ment devient une fable universelle. Un mythe est né.
Pinocchio sur grand écran
Le Pinocchio de Roberto Benigni n'est pas la première adaptation cinématographique de l'oeuvre de Carlo Collodi. Parmi les versions les plus célèbres, notons le dessin animé Pinocchio de Luske Hamilton et Ben Sharpsteen en 1940, ainsi que Les Aventures de Pinocchio, réalisé par Luigi Comencini en 1972. Plus récemment, deux nouvelles adaptations ont vu le jour : Pinocchio de Steve Barron, en 1996, et Pinocchio et Gepetto de Michael Anderson, en 1999.
Une histoire cruelle...
Résumant l'histoire de Pinocchio, Roberto Benigni la décrit à la fois comme "un roman, un récit, un conte de fée, et nous vivons chaque jour comme dans un conte de fées, nous vivons sur une étoile. Pinocchio est une histoire cruelle, comme toutes les histoires sur l'humanité, elle fait pleurer, elle n'est pas triste mais cruelle, elle n'est pas mélancolique mais bouleversante, sans le vouloir véritablement. C'est une histoire qui réveille nos craines d'enfant !"
Des signes qui ne trompent pas
Une multitude de petits signes du destin ont convaincu Roberto Benigni de réaliser Pinocchio. Avec son enthousiasme légendaire, l'Italien raconte : "Quand j'étais petit, ma maman me disait toujours : "Si tu dis des mensonges, ton nez s'allongera comme celui de Pinocchio et puis Dante Alighieri t'enverra en enfer !" Puis un jour, je vis par hasard la statue de Dante Alighieri sur une place, et avec le nez qu'il avait, j'ai pensé que Pinocchio, c'était lui. Encore un signe..."
Autres signes du destin révélateurs selon Benigni : son lieu de naissance en Toscane, à quelques kilomètres seulement d'où est né Pinocchio, ou encore la comparaison physique que de nombreuses personnes établissent entre le cinéaste et le pantin de bois, notamment Federico Fellini, qui surnommait Benigni "Pinocchieto" (petit Pinnochio).
Une histoire qui nous appartient à tous
Pour Roberto Benigni, l'histoire de Pinocchio fait partie du patrimoine de chacun. "Ce sont comme les choses qui arrivent sans vraiment arriver, qui se produisent sans se produire, qui nous accompagnent depuis toujours", explique le réalisateur transalpin. "Quelqu'un se réveille un matin et se dit "c'est une évidence", et il a l'idée de réaliser Pinocchio. C'est naturel. Un matin, je me suis senti comme ça, c'est l'un de ces chemins que l'on prend sans demander d'indications."
Les célèbres associés de Benigni
Pinocchio bénéficie du soutien de nombreux grands techniciens du septième art. Il est d'abord le cinquième film de Roberto Benigni (sur six réalisations) dont l'écriture a été confiée à Vincenzo Cerami. Parmi les personnes ayant travaillé sur Pinocchio, retenons notamment, pour la musique, Nicola Piovani (déjà à l'oeuvre sur La vie est belle), la costumière Danilo Donati (fidèle de Pier Paolo Pasolini et de Federico Fellini) ou encore le directeur de la photographie Dante Spinotti, dont la carrière internationale l'a amené à travailler sur des productions comme Heat, L.A. Confidential ou le récent Dragon Rouge.
Le désir de Fellini
Avant qu'il ne prenne seul les commandes de son Pinocchio, Roberto Benigni avait effectué des essais pour le cinéaste Federico Fellini. Ce dernier, décédé en 1993, souhaitait en effet ardemment adapter lui-même sur grand écran l'histoire du petit pantin de bois. Avec Pinocchio, Benigni réalise donc le rêve de son vieil ami Fellini, avec lequel il avait tourné La Voce della luna en 1989.
Benigni et sa femme
Avec Pinocchio, Roberto Benigni collabore à nouveau avec sa compagne Nicoletta Braschi. Rencontrée en 1983 sur le tournage de Tu mi Turbi, elle officie depuis régulièrement en tant que productrice et actrice des films de son époux.
Un budget amorti
Doté d'un budget très lourd avoisinant les 40 millions d'euros, Pinocchio est quasiment rentré sur ses frais, et ce uniquement grâce aux recettes du film sur le territoire italien. La fable de Roberto Benigni y a en effet déjà rapporté plus de 35 millions d'euros.
Démarrage historique au box-office
Pinocchio est tout simplement le plus gros démarrage réalisé par un long métrage en Italie. Sorti le vendredi 11 octobre sur 940 copies, la fable de Roberto Benigni a rapporté un peu plus de 9,5 millions d'euros de recettes pour son premier week-end d'exploitation. Le film détrône Le Seigneur des anneaux : les deux tours, qui détenait le précédent record avec près de 6,8 millions d'euros sur la même période.
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Piranha|Joe Dante|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|1978|89|Anglais||DX50|||DX50|996 Kbps|720x368|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|709||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Jon Davison|John Sayles Richard Robinson|Jamie Anderson||||Un nouvelle espèce de piranhas créée par l'armée, capable de vivre en eau douce et en eau salée, est accidentellement relâchée dans un fleuve durant l'été. Le carnage commence... |Keenan Wynn (Jack)@Bradford Dillman (Paul Grogan)@Heather Menzies (Maggie McKeown)@Kevin McCarthy (le docteur Robert Hoak)@Dick Miller (Buck Gardner)@Barbara Steele (le docteur Mengers)@Joe Dante@John Sayles@Paul Bartel@||||||||||||@@
Piranha II - The Spawning|James Cameron|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|1|américain|1981|90|Anglais||DX50|||DX50|956 Kbps|720x576|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|689||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Jeff Schechtman Chako Van Leeuwen|H.A. Milton|Roberto d'Ettorre Piazzoli||||Lors d'une plongée, un élève de la monitrice Anne Kimbrough meurt, devoré par un piranha. Quelques heures plus tard, une femme de service est tuée par un piranha volant sortant du ventre du cadavre. Anne décide alors de mener l'enquête. |Lance Henriksen (Steve Kimbrough)@Tricia O'Neil (Anne Kimbrough)@Steve Marachuk (Tyler Sherman)@Ricky Paull Goldin (Chris Kimbrough)@Ted Richert (Raoul)@Leslie Graves (Allison Dumont)@Carole Davis (Jai)@Connie Lynn Hadden (Loretta)@Arnie Ross (Mal)@Tracey Berg (Beverly)@||Secrets de tournage :
Le retour des monstres aquatiques
Piranha 2 : les Tueurs volants est la suite de Piranhas, réalisé en 1978 par l'Américain Joe Dante, l'un des spécialistes du cinéma fantastique.
Les débuts de James Cameron...
Piranha 2 - Les Tueurs volants marque les débuts de James Cameron en tant que réalisateur. Seulement trois ans plus tard, l'Américain accède à la reconnaissance internationale en signant le film de science-fiction Terminator, avec Arnold Schwarzenegger en vedette. Il confirme ensuite dans le genre fantastique avec Aliens le retour, Abyss et Terminator 2 : le jugement dernier, puis se lance dans le film d'action avec True Lies (1994) et l'épopée historico-romanesque avec Titanic (1997), qu'il complète cinq ans plus tard avec le documentaire Les Fantômes du Titanic.
Outre ses fonctions de réalisateur, James Cameron est également l'un des scénaristes et producteurs américains les plus renommés du septième art.
...ou presque !
Bien qu'il soit crédité comme réalisateur au générique de Piranha 2 - Les Tueurs volants, James Cameron n'aurait pas participer à la version définitive du film. Il aurait effectivement tourné le long métrage, mais le producteur Ovidio G. Assonitis, insatisfait du résultat, ne l'aurait pas impliqué dans le montage. Au final, Piranha 2 - Les Tueurs volants aurait donc été tourné par Cameron, mais monté par Assonitis.
Un Prix à Porto
Piranha 2 - Les Tueurs volants s'est vu décerner en 1983 le Prix du Meilleur Film lors du Festival International du Film Fantastique de Porto.
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Pirates of the Caribbean : the Curse of the Black Pearl|Gore Verbinski|Aventure||3|américain|2003|137|Anglais||XviD|||XVID|580 Kbps|720x352|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|677||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Brigham Taylor Jerry Bruckheimer|Jay Wolpert Stuart Beattie Terry Rossio Ted Elliott|||Buena Vista Pictures|Saga : Pirates des Caraïbes |Dans la mer des Caraïbes, au XVIIe siècle, Jack Sparrow, flibustier gentleman, voit sa vie idylle basculer le jour où son ennemi, le perfide capitaine Barbossa, lui vole son bateau, le Black Pearl, puis attaque la ville de Port Royal, enlevant au passage la très belle fille du gouverneur, Elizabeth Swann. L'ami d'enfance de celle-ci, Will Turner, se joint à Jack pour se lancer aux trousses du capitaine.
Mais Will ignore qu'une malédiction frappe Barbossa et ses pirates. Lorsque la lune brille, ils se transforment en morts-vivants. Leur terrible sort ne prendra fin que le jour où le fabuleux trésor qu'ils ont amassé sera restitué... |Johnny Depp (Jack Sparrow)@Geoffrey Rush (le capitaine Barbossa)@Orlando Bloom (Will Turner)@Keira Knightley (Elizabeth Swann)@Lee Arenberg (Pintel)@Brye Cooper (Mallot)@Mackenzie Crook (Ragetti)@Michael Berry (Twigg)@Damian O'Hare (Lt. Gillette)@Angus Barnett (Mullroy)@David Bailie (Cotton)@Isaac C. Singleton (Bo'sun)@Kevin McNally (Joshamee Gibbs)@Jack Davenport (Commodore Norrington)@Jonathan Pryce (le gouverneur Swann)@||Secrets de tournage :
Une attraction pour origine
Pirates des Caraïbes : la malédiction du Black Pearl s'inspire d'une des attractions principales des parcs à thèmes Disney : Pirates des Caraïbes. Le film semble lancer une nouvelle mode, Phantom Manor, autre attraction Disney, faisant également l'objet d'une adaptation cinématographique avec le film Le Manoir hanté, porté par Eddie Murphy et réalisé par Rob Minkoff.
A l'inverse de ce nouveau phénomène, de nombreux films ont inspiré les parcs Disney qui en ont fait des attractions à succès. Parmi celles-ci, Chéri, j'ai rétréci le public (inspiré de Cherie, j'ai rétreci les gosses) et Star Tour (inspiré de La Guerre des étoiles)...
La piraterie selon Verbinski
Gore Verbinski a immédiatement été séduit à l'idée de mettre en chantier un film de pirates. Selon lui, "la piraterie est un monde de liberté, de grands espaces et de mystères. Les sentiments y sont exacerbés, rebelles. Les pirates sont apparus à une époque d'oppression, où l'on pouvait être pendu pour le vol d'un simple morceau de pain. Dans ces conditions, qu'avaient-ils à perdre ? Pour moi, ce film parle de hors-la-loi qui ont un code d'honneur, d'hommes libres qui n'obéissent qu'à leur conscience et à aucun autre pouvoir. Aucun des personnages n'a voulu devenir pirate, la vie a fait d'eux ce qu'ils sont. Pour mener leur existence et obtenir ce qu'ils veulent, ils ont choisi un autre chemin."
Un réalisateur touche-à-tout
Pirates de Caraïbes : la malédiction du Black Pearl est le quatrième long-métrage de Gore Verbinski. Avec ce film de pirates à grand spectacle, l'Américain prouve qu'il est définitivement à l'aise dans tous les registres, aussi différents soient-ils. Après la comédie burlesque La Souris en 1997, Verbinski s'essaye à la comédie d'action avec Le Mexicain, puis signe en 2003 le film d'horreur Le Cercle - the Ring, remake de Ring. Entre-temps, il sera venu prêter main forte à Simon Wells pour la réalisation de La Machine à explorer le temps - Time machine.
Le producteur Jerry Bruckheimer explique : "Le projet Pirates des Caraïbes : la malédiction du Black Pearl était parfait pour Gore parce qu'il valorise son humour et son grand sens de la narration. Il est aussi familier des effets visuels. Quelle que soit la contrainte technique, il ne perd jamais son histoire de vue. C'est un conteur avant tout. Il était comme un gamin avec ce projet, très pro dans le travail et complètement surexcité."
Les pirates au cinéma
Pirates des Caraïbes : la malédiction du Black Pearl est une nouvelle preuve de l'attachement que porte le septième art aux pirates et autres princes de la flibuste. Dans les années 20, le film muet Le Pirate noir avec Douglas Fairbanks, lance une mode qui se poursuit ensuite au fil des décennies avec Le Capitaine Blood (1935), Le Cygne noir (1942), L'Aigle des mers (1940), qui posent les bases du genre de façon définitive, puis Le Corsaire rouge (1952) de Robert Siodmak, où le film de pirates se teinte d'humour, sans oublier les nombreuses adaptations de L'Ile au trésor de Robert Louis Stevenson (celle de Victor Fleming, celle de Byron Haskin, ou le dessin animé estampillé Disney).
Dans les années 60, le genre devient mineur, récupéré par le cinéma italien qui le mue en série Z (Surcouf, le tigre des sept mers, 1966). Les années 70 ne parviennent pas à ressusciter le film de pirates, qui nécessite souvent un budget élevé, et il faut attendre le Pirates (1986) de Roman Polanski et L'Ile aux pirates (1995) de Renny Harlin pour que le septième art s'y intéresse à nouveau, avec plus ou moins de succès. Si le film de Polanski fait recette, celui de Harlin est proche du fiasco. La renaissance du film de pirates est laborieuse. En 2003, Pirates des Caraïbes : la malédiction du Black Pearl tente à son tour de lui redonner ses lettres de noblesse, en y incluant une touche de surnaturel...
Jack Sparrow : un pirate déjanté !
C'est Johnny Depp qui incarne l'imprévisible et excentrique pirate Jack Sparrow, à la fois voyou, paresseux, gredin, drôle, charmeur, romantique, loyal et dôté d'un grand coeur. Le personnage et l'histoire ont immédiatement séduit Johnny Depp. "Qui refuserait de jouer un pirate ?", s'interroge-t-il. "Quand j'ai lu le scénario, j'ai été heureusement surpris : cela allait plus loin encore que ce que j'avais imaginé ; il y avait en plus beaucoup d'humour et assez de place pour que les acteurs puissent construire leurs personnages."
Pirates des Caraïbes : la malédiction du Black Pearl a été l'occasion pour Johnny Depp de participer à une superproduction hollywoodienne estampillée Disney, lui qui est d'ordinaire plus familier des films indépendants. Là encore, la surprise a été de taille pour l'Américain, qui "ne croyais pas que l'on pouvait faire des blockbusters avec un esprit d'artisan et une qualité relationnelle pareille."
Des références surprenantes !
Afin de créer le personnage excentrique de Jack Sparrow, Johnny Depp a eu de nombreuses sources d'inspiration : Keith Richards, le guitariste des Rolling Stones, le personnage animé Pépé le Putois, ou encore les rastas modernes. "Après tout, les pirates étaient un peu les rock stars de leur époque !", résume l'acteur.
Choc de générations
Pirates des Caraïbes : la malédiction du Black Pearl met en vedette un quatuor de comédiens issus de générations différentes. Johnny Depp et Geoffrey Rush sont les deux plus expérimentés du lot, Orlando Bloom et Keira Knightley faisant figure de petits nouveaux au côté de ces deux grandes vedettes du septième art. Orlando Bloom a accédé à la reconnaissance internationale grâce à son interprétation de l'Elfe Legolas dans la trilogie du Seigneur des anneaux : la communauté de l'anneau. Quant à Keira Knightley, après un rôle dans Star wars : épisode 1 - La Menace fantôme, elle s'est notamment illustrée dans la comédie footballistique Joue-la comme Beckham.
Un petit goût d'ogre vert
Les deux scénaristes de Pirates des Caraïbes : la malédiction du Black Pearl ont été les collaborateurs idéaux pour apporter l'aspect surnaturel et déjanté du long-métrage. Ted Elliott et Terry Rossio sont en effet à l'origine du scénario de Shrek, le film d'animation délirant des studios DramWorks.
Des effets spéciaux saisissants
Les effets spéciaux de Pirates des Caraïbes : la malédiction du Black Pearl, qui voient les pirates se transformer en effrayants squelettes à la lumière de la lune, ont été signés par ILM (Industrial Light and Magic), la société de Georges Lucas désormais reconnue internationalement dans le domaine.
L'habit fait le pirate
Le réalisateur Gore Verbinski a souhaité apporter un maximum d'authenticité à l'apparence des pirates du film. "Je ne voulais pas qu'ils ressemblent à ce qui a déjà été vu", explique-t-il. "Pas de crochet à la place d'une main, pas de bandeau sur l'oeil, ni de maillot rayé. A l'époque, les gens ne vivaient pas vieux. Les bateaux coulaient, il n'y avait quasiment pas de médecine ni d'hygiène personnelle. C'était assez répugnant ! Nous ne voulions pas de pirate d'opérette avec des dents bien blanches. Nous les avons d'ailleurs bien servis à ce niveau !"
Pour le film, 400 perruques et postiches ont spécialement été créés pour l'occasion. En outre, l'acteur Orlando Bloom a dû subir la pose d'extensions capillaires.
« Préc.
Des animaux turbulents
Quelques animaux évoluent aux côtés des comédiens de Pirates des Caraïbes : la malédiction du Black Pearl. Le singe principal du film, compagnon du Capitaine Barbossa, a du passer de longues heures avec Geoffrey Rush pour s'habituer à l'acteur. Il a également du assister à sa métamorphose en Barbossa afin de passer outre la "supercherie" des maquillages.
Le perroquet de Cotton, le pirate muet, a quant a lui été interprété par trois volatiles différents. L'un d'eux s'est montré particulièrement turbulent, s'attaquant régulièrement au lobe de l'oreille de l'acteur !
D'un titre à l'autre...
Le titre du long-métrage de Gore Verbinski était à l'origine Pirates des Caraïbes, mais celui qui a finalement été adopté par la production est Pirates des Caraïbes : la malédiction du Black Pearl. La raison : ce nouveau titre facilite l'appelation d'éventuelles suites en cas de succès au box-office.
Au feu !
Le 10 septembre 2002, un incendie est survenu sur le plateau de Pirates des Caraïbes : la malédiction du Black Pearl. Personne n'a été blessé mais les dommages matériels se sont élévés à 350 000 dollars.
« Préc.
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Pirates of the Caribbean : Dead Man's Chest|Gore Verbinski|Aventure||3|américain|2006|140|Anglais||XviD|||XVID|558 Kbps|608x256|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Jerry Bruckheimer|Ted Elliott Terry Rossio|Dariusz Wolski||Buena Vista International|Saga : Pirates des Caraïbes |Dans ce nouvel opus de l'aventure Pirates des Caraïbes, le toujours aussi excentrique pirate Jack Sparrow est confronté subitement à son passé. Treize ans auparavant, Jack signait un pacte avec Davey Jones, le maître des sept mers, dont l'esprit maléfique n'a d'égal que son apparence tentaculaire. En échange de son âme, ce dernier lui promettait le commandement du mythique Black Pearl...Aujourd'hui, Jones vient donc récupérer sa dette. Mais donner son âme à Jones est sans issue, il n'y a pas de rédemption possible, c'est devenir comme tous les membres de son équipage maudit, un fantôme au physique aussi repoussant que terrifiant. Pour éviter ce sort funeste auquel Jack ne tient pas vraiment, il n'a qu'une solution : retrouver le coffre maudit de Jones où sont cachés les âmes emprisonnées... |Johnny Depp (Jack Sparrow)@Orlando Bloom (Will Turner)@Keira Knightley (Elizabeth Swann)@Stellan Skarsgard (Bill Turner)@Naomie Harris (Tia Dalma)@Alex Norton (Capitaine Sam Bellamy)@Jack Davenport (Norrington)@Bill Nighy (Davy Jones)@Jonathan Pryce (Gouverneur Weatherby Swann)@Kevin McNally (Joshamee Gibbs)@Mackenzie Crook (Ragetti)@Tom Hollander (Lord Cutler Beckett)@Lee Arenberg (Pintel)@Anthony Patricio (Cannibal)@Clive Ashborn (Koleniko)@Lauren Maher (Scarlett)@Geoffrey Rush (Barbossa)@Claudia Adams (Madame)@Hayati Akbas (Un garde turc)@David Bailie (Cotton)@Martin Klebba (Marty)@Robert Alonzo (Cannibal)@Vanessa Branch (Giselle)@||Secrets de tournage :
Le succès des pirates
S'inspirant de l'attraction du parc à thèmes, Disneyland en Floride, le film Pirates des Caraïbes, la malédiction du Black Pearl a été un véritable succès international, rapportant dans le monde plus de 653 millions de dollars. Il a obtenu cinq nominations aux Oscars, dont celui du meilleur acteur pour Johnny Depp. Hommage aux anciens films de pirates, le film s'aventure ici sur de nouveaux territoires en l'enrichissant d'un humour plein d'irrévérence, grâce à la création originale du capitaine Jack Sparrow. Pourtant, rien ne laissait présager un tel succès, le producteur Jerry Bruckheimer se souvient : "Les attentes étaient limitées pour le premier Pirates des Caraïbes. Beaucoup de gens pensaient que nous faisions un film sur l'attraction pour les très jeunes. Pire encore, le genre était mort au cinéma depuis quarante ans, et chaque tentative pour le faire revivre avait échoué. Mais lorsque le film est sorti, il a crée la surprise !"
Devant cet engouement, l'équipe du film et Disney ont donc décidé de faire non pas une suite, mais une trilogie sur les aventures du capitaine Jack Sparrow.
2 films en 1
Le tournage de Pirates des Caraïbes, le secret du coffre maudit a été tourné coup sur coup avec le dernier opus de la trilogie de Gore Verbinski, Pirates des Caraïbes 3. Les acteurs ont ainsi tourné deux films en un. Répondant ainsi à une logique économique de la part des studios, afin de tirer pleinement parti des lieux de tournage, des décors et de la disponibilité des stars.
Tournage
Le tournage de Pirates des Caraïbes, le secret du coffre maudit s'est déroulé sur plus d'un an entre les îles des Caraïbes et les Bahamas. Ce-dernier a été entrecoupé par le tournage de certaines scènes de Pirates des Caraïbes 3 qui se déroulait parallèlement.
La mythologie des pirates
Le film Pirates des Caraïbes, le secret du coffre maudit se nourrit essentiellement des mythes pirates, tournant autour des trésors et des mystères de la mer. On y croise ainsi un personnage surnaturel, Davy Jones, et le légendaire monstre marin, Kraken, connu dans les légendes depuis le 12ème siècle. Le scénariste Ted Elliott précise : "Il existe énormément d'histoires surnaturelles liées à la mer et personne ne les avait jamais reliées à un grand film de pirates ou à un film de cape et d'épée. Nous y faisions allusion dans le premier film, par une réplique dans laquelle Will parle de se retrouver dans les griffes de Davy Jones. Dans Pirates des Caraïbes, le secret du coffre maudit, nous avons décidé d'explorer ce Davy Jones, de découvrir qui il est. Nous avons aussi intégré une autre légende des mers très connue, celle du vaisseau fantôme, le Hollandais Volant, et nous avons combiné les deux."
La Compagnie anglaise des Indes Orientales
Seul élément historique inséré dans le scénario de Ted Elliott et Terry Rossio, la Compagnie anglaise des Indes Orientales était l'une des plus grandes puissances économiques et politiques de l'époque. Cette dernière était utilisée comme outil de domination impérialiste, économique et politique de 1600 à sa dissolution en 1858. En plus d'avoir la mainmise sur l'Inde, ses comptoirs s'étendaient jusqu'aux confins du Golfe Persique, de l'Asie du Sud-Est et de l'Asie Orientale. La Compagnie était réputée pour ces activités incroyablement avides et inhumaines. Cette réalité est ici utilisée comme un tremplin pour l'humour et la fantaisie présentent dans le film : "Ce que l'on aime chez les pirates, c'est qu'ils incarnent la liberté. Et la Compagnie des Indes Orientales, en tant que corporation multinationale géante, représente la fin de la liberté individuelle. Ils définisssent le monde comme ils veulent qu'il soit, et ils cherchent à se débarrasser de beaucoup de gens. Plus ils dominent, moins il y a de place pour des hommes comme le capitaine Jack Sparrow."
Costumes
C'est la costumière Penny Rose qui s'est occupée de créer les différents look vestimentaire, que ce soit ceux des stars ou ceux des figurants, elle n'a rien laissé au hasard. Plus de 8 000 costumes ont ainsi été assemblés pour les deux nouveaux opus de Pirates des Caraïbes.
Décors
Entre décors naturels et artificiels aux proportions gigantesques, le chef décorateur Rick Heinrichs a pu libérer toute son imagination. Avec son équipe, ils ont ainsi conçu une vaste gamme de décors, allant d'un grand marécage prenant place dans les studios de Burbank, jusqu'au Black Pearl et le précieux coffre maudit, ainsi que de nombreux autres bateaux. Johnny Depp souligne : "Rick Heinrichs se dépasse en permanence. Il a accompli une tâche monumentale. Ma première réaction quand je découvrais la plupart des décors était d'en demander les plans, parce que j'avais envie de reconstruire ces fantastiques univers pour pouvoir y vivre ! Rick est un artiste d'un grand talent, et nous avons eu une chance extraordinaire de l'avoir avec nous."
Le Black Pearl
Pour Pirates des Caraïbes, le secret du coffre maudit, le navire le Black Pearl a été complètement reconstruit. Cette mise en oeuvre a eu lieu en Alabama au sein des chantiers navals de Bayou La Batre. Rick Heinrichs explique : "L'importance des bateaux était telle que nous avions un mini-département décoration uniquement voué à leur création. Nous avions les meilleurs experts, dont certains avaient déjà travaillé sur des films comme Master and commander : de l'autre côté du monde. Nous nous sommes aidés de la technologie visuelle. Tous nos bateaux ont été modélisés informatiquement, ce qui nous permettait de transférer les fichiers entre les architectes maritimes et les ingénieurs, qui nous disaient ce qui serait stable, ce qui risquait de ne pas l'être, ce qui supporterait les vitesses recherchées... La difficulté était de parvenir à un certain style visuel, tout en respectant les contraintes techniques et pratiques."
Effets visuels
Gore Verbinski a tenu à ce que tous les éléments les plus incroyables prenant place dans Pirates des Caraïbes, le secret du coffre maudit paraissent le plus vrais possible. C'est John Knoll qui a supervisé tout comme pour le premier opus les nombreux effets visuels nécessaires au film : "Gore a une vraie vision et il a aussi de très solides connaissances techniques. Il arrive toujours avec des idées précises sur la manière dont il veut procéder. Avec les scénaristes, il a réussi à aller bien au-delà d'une simple suite, à apporter d'extraordinaires idées nouvelles."
Un pirate aimé de tous
Le capitaine Jack Sparrow incarné par Johnny Depp est devenu, à travers Pirates des Caraïbes, la malédiction du Black Pearl, le pirate le plus aimé du cinéma, au grand étonnement de l'acteur : "J'ai été complètement dépassé par la manière dont le capitaine Jack Sparrow s'est installé dans le coeur des gens. Je suis toujours sous le choc ! On m'a offert la possibilité de faire quelque chose de ce personnage à ma manière ; j'avais des idées précises sur qui il était et ce à quoi il devait ressembler. Beaucoup de gens m'ont pris pour un dingue à l'époque... Pourtant j'étais décidé à y aller à fond, et c'est comme ça que j'ai réellement trouvé le personnage. J'ai essayé de faire en sorte que le capitaine Jack plaise aussi bien aux jeunes enfants qu'aux adultes les plus endurcis intellectuellement !"
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Will et Elizabeth
Pour Pirates des Caraïbes, le secret du coffre maudit, les personnages de Will et Elizabeth ont été développés et évoluent au cours de ces nouvelles aventures. Orlando Bloom et Keira Knightley, les interprètes de ces personnages en parlent : "Je voulais que Will s'éloigne un peu de ce jeune premier sérieux, honnête et droit qu'il était, que l'on découvre une facette plus noire." Keira Knightley ajoute : "Dans ce nouveau film, les personnages ont évolué. (...) Elizabeth devient une femme qui a une mission, et cela reteinte ses relations avec Will et avec Jack Sparrow. Tout cela évolue vers quelque chose de très intéressant."
Davy Jones
Pour incarner le méchant de l'histoire, c'est l'acteur britannique Bill Nighy qui prend les traits de Davy Jones mi-homme mi-créature marine dans Pirates des Caraïbes, le secret du coffre maudit. Connu pour sa capacité à se transformer selon ses rôles, il fallait qu'il parvienne à faire passer l'humanité du personnage malgré ses allures de monstre : "Davy Jones est un être profondément blessé et solitaire. (...) Jouer un personnage qui est physiquement modifié et enrichi informatiquement par la suite demande de faire appel à son imagination, mais après tout, c'est la base du métier de comédien ! Evidemment, ce n'est pas tous les jours qu'on joue un personnage qui a des tentacules qui lui sortent du menton..."
De plus, l'aspect physique du personnage a été un véritable défi, puisque Bill Nighy a joué en portant une combinaison grise couverte de capteurs ainsi qu'une casquette assortie. Ces capteurs ont ainsi permis aux informaticiens d'Industrial Light and Magic d'enrichir numériquement le personnage avec tous les détails imaginés par Gore Verbinski.
Le père de Jack
Alors que Johnny Depp se targuait d'avoir pris exemple sur le look et l'attitude de Keith Richards pour faire exister le capitaine Jack Sparrow. Ce dernier était alors censé faire une apparition dans Pirates des Caraïbes, le secret du coffre maudit, en clin d'oeil à cette déclaration. Il devait ainsi y incarner le père de Jack Sparrow. Cependant, au vu de son engagement avec les Rolling Stones pour leur nouvelle tournée mondiale, il n'a pu se libérer, mais fera partie de l'aventure Pirates des Caraïbes 3.
Problème de cheveux
A son arrivée sur le tournage de Pirates des Caraïbes, le secret du coffre maudit, Keira Knightley avait encore les cheveux courts, coupés à la garçonne suite à sa prestation dans le film Domino. Afin de retrouver la longue et soyeuse chevelure d'Elizabeth Swann, la jeune actrice a dû porter des extensions.
Bilan
Afin de célébrer le dernier jour de tournage aux Caraïbes, l'équipe de Pirates des Caraïbes, le secret du coffre maudit s'est rassemblée dans la tente de la cantine au camp de base de Grand Bahama. Gore Verbinski, Jerry Bruckheimer et le reste de l'équipe de production ont tenu un petit discours faisant le bilan de cette aventure :
Le coordinateur des déplacements a réservé plus de 10 000 billets aller simple, sans compter les vols charters.
475 téléphones cellulaires ont été distribués à la Dominique.
550 tonneaux ont été fabriqués par les décorateurs.
178 barils de fluide à fumée ont été utilisés par le département des effets spéciaux.
Plus de 6000 piles ont été utilisées par le département son.
Au plus fort du tournage, plus de 200 talkies-walkies étaient en fonction sur le plateau, entre les différents départements.
Entre le gréement des bateaux, la marine, la décoration et les accessoires, la production a utilisé plus de 141 km de cordes.
Entre la première équipe, la deuxième et les équipes prises de vues additionnelles, 539 km de pellicule ont été tournés... Assez pour relier Los Angeles à Sacramento, ou Paris à Mulhouse.
La cantine a servi plus de 200 000 repas.
Les épées
300 épées ont dû être fabriquées pour les besoins du film.
L'Umshoko
Le langage que parlent les cannibales dans le film est... totalement inventé. La production a baptisé cette langue l'Umshoko.
Le Hollandais Volant
Le navire de Davy Jones, le Hollandais Volant, a été construit par 450 personnes.
Un chien différent
Le chien qui aidait Jack Sparrow à sortir de sa cellule dans le premier opus est de retour dans cette suite. Mais l'animal du premier film a été remplacé par un autre chien, qui a été pomponné pour ressembler au précédent chien.
Un maquillage tenace
Stellan Skarsgård, qui incarne Bill Turner, avait besoin d'une heure et demie pour qu'on lui enlève son maquillage. S'il avait voulu enlever lui-même son maquillage, il se serait arraché la peau en tirant sur les prothèses.
« Préc.
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Pirates of the Caribbean : At World's End|Gore Verbinski|Aventure||3|américain|2007|161|Anglais||XviD|||XVID|468 Kbps|672x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Jerry Bruckheimer|Ted Elliott Terry Rossio|Dariusz Wolski||Buena Vista International|Saga : Pirates des Caraïbes |L'âge d'or de la piraterie touche à sa fin. Même le terrifiant Vaisseau Fantôme et son capitaine maudit Davy Jones servent à présent Lord Cutler Beckett et la Compagnie anglaise des Indes Orientales. L'invincible Hollandais Volant écume désormais les sept mers, massacrant sans pitié pirates de tous bords et sabordant leurs navires.Will Turner, Elizabeth Swann et le capitaine Barbossa n'ont qu'une seule chance de résister à Beckett et à son armada destructrice : ils doivent rassembler les Neuf Seigneurs de la Cour des Frères, mais l'un des membres les plus éminents, le capitaine Jack Sparrow, manque à l'appel.Will, Elizabeth et Barbossa, secondés par Tia Dalma, Pintel et Ragetti, doivent faire voile vers des mers orientales inconnues, pour affronter un pirate chinois, le capitaine Sao Feng, et s'emparer des cartes qui les conduiront au-delà des limites du monde connu, là où Jack est retenu... |Johnny Depp (Jack Sparrow)@Orlando Bloom (Will Turner)@Keira Knightley (Elizabeth Swann)@Chow Yun-Fat (le capitaine Sao Feng)@Geoffrey Rush (Barbossa)@Stellan Skarsgard (Bill Turner)@Bill Nighy (Davy Jones)@Lee Arenberg (Pintel)@Kevin McNally (Joshamee Gibbs)@Reggie Lee (Tai Huang)@Keith Richards (le capitaine Teague Sparrow)@Jonathan Pryce (le Gouverneur Weatherby Swann)@Tom Hollander (Lord Cutler Beckett)@Jack Davenport (James Norrington)@Mackenzie Crook (Ragetti)@Martin Klebba (Marty)@Greg Ellis (le lieutenant Groves)@Reggie Lee (Tai Huang)@David Bailie (Cotton)@Naomie Harris (Tia Dalma)@David Schofield (Mercer)@Lauren Maher (Scarlett)@Dermot Keaney (Maccus / Hollandais Volant)@Clive Ashborn (Koleniko / Hollandais Volant)@Winston Ellis (Palifico / Hollandais Volant)@Christopher Adamson (Jimmy Legs / Hollandais Volant)@Andy Beckwith (Clacker / Hollandais Volant)@Jonathan Linsley (Ogilvey / Hollandais Volant)@Ghassan Massoud (le capitaine Ammand)@Hakeem Kae-Kazim (le capitaine Jocard)@Dominic Scott Kay (Will Turner jeune)@Vanessa Branch (Giselle)@Marshall Manesh (Sumbhajee)@Angus Barnett (Mullroy)@Giles New (Murtogg)@Takayo Fischer (Maîtresse Ching)@Marcel Iures (le capitaine Chevalle)@Sergio Calderón (le capitaine Vallenueva)@James Lancaster (l'agent EITC)@Toru Tanaka Jr. (le pirate tatoué)@Albert Lee (le pirate aux bains)@Tyler Tuione (l'employé aux chaudières)@Larry Leong (Steng)@Omid Djalili (Askay / Pusasn)@Brendyn Bell (le mousse)@Ho-Kwan Tse (Hadras)@Bob Elmore (le bourreau)@Kimo Keoke (un pirate)@Rick Mali (un pirate)@David Prak (un pirate)@Lawrence Cummings (un pirate chantant au gibet)@Chris M. Allport (un pirate chantant au gibet)@Jim Raycroft (un pirate chantant au gibet)@Robert Hovencamp (un pirate chantant au gibet)@Geoffrey Alch (un pirate chantant au gibet)@Ned Wertimer (un pirate chantant au gibet)@Humberto Fernandez Tristan (l'adjoint de Vallenueva)@Matthew Wolf (l'officier de l'Endeavor)@Christopher S. Capp (la voix du Perroquet)@Jonathan Limbo (un pirate)@||Secrets de tournage :
La suite d'un succès
Pirates des Caraïbes, jusqu'au bout du monde est la suite de Pirates des Caraïbes, le secret du coffre maudit qui avait attiré près de 6,5 millions de spectateurs en France au moment de sa sortie. Véritable succès international, il est devenu l'un des rares films à avoir engrangé plus d'un milliard de dollars de recette à travers le monde (il partage ce record avec Titanic de James Cameron (1,83 milliards $) et Le Seigneur des anneaux : le retour du roi de Peter Jackson (1,13 milliards $)).
Un effrayant succès
Devant l'incroyable succès des deux premiers opus de la saga le producteur Jerry Bruckheimer confie : " Un tel succès est finalement assez effrayant. On ne réalise jamais vraiment. Lorsque nous avions initié le projet, personne ne pouvait prévoir qu'un film de pirates inspiré par une attraction allait rencontrer un tel écho dans le public. Pour le second film, c'était tout aussi surprenant car dans le métier, tout le monde sait qu'une suite fait toujours 20 à 30% de moins que le premier film. Mais non, Pirates des Caraïbes, le secret du coffre maudit a fait presque le double de Pirates des Caraïbes, la malédiction du Black Pearl." Un succès retentissant donc qui surprend même le producteur le plus côté du moment à Hollywood.
Un troisième méchant
Chaque film de la saga Pirates des Caraïbes voit l'apparition d'un nouveau méchant. Dans les deux premiers opus, les capitaines Barbossa (Geoffrey Rush) et Davy Jones (Bill Nighy) avaient tour à tour défié Jack Sparrow et sa bande. Cette fois-ci, c'est Chow Yun-Fat qui prête ses traits au méchant du film, le capitaine Sao Feng.
Un tournage en plusieurs temps
Afin de profiter des décors, des lieux de tournage et de la disponibilité des stars, plusieurs scènes de Pirates des Caraïbes, jusqu'au bout du monde ont été réalisées pendant le tournage de Pirates des Caraïbes, le secret du coffre maudit, permettant ainsi à la production de faire de larges économies. Le tournage des premières scènes spécifiques à Pirates des Caraïbes, jusqu'au bout du monde a débuté le 31 août 2005 avec l'arrivée de Chow Yun-Fat dans le rôle du capitaine Sao Feng. Les scènes ont été tournées sur le plateau 2 des studios Disney, dans les décors créés par Rick Heinrichs représentant la cabine du pirate asiatique à l'intérieur de son navire, "l'Impératrice". Deux jours plus tard se tournait une des plus belles scènes de Jusqu'au bout du monde, dans une gigantesque et originale recréation de Singapour au XVIIIe siècle.
Après trois semaines de tournage sur le décor de Singapour, l'équipe a mis le cap aux Bahamas à la fin du mois de septembre 2005 pour continuer le tournage du secret du coffre maudit.
Le tournage du troisième volet des aventures de Jack Sparrow a repris à la fin de celui du second opus.
La fin d'une saga ?
Si Pirates des Caraïbes, jusqu'au bout du monde marque la fin d'une trilogie, Walt Disney Pictures semble avoir déjà mis en chantier un nouveau film issu de la franchise pour l'été 2009. Côté casting, Johnny Depp a affirmé qu'il n'était pas contre reprendre le rôle de Jack Sparrow. Le réalisateur Gore Verbinski, quant à lui, a exprimé son désir de ne pas continuer la saga dans le futur.
Les acteurs à propos de leurs personnages
Johnny Depp - Jack Sparrow : " Je suis toujours aussi impressionné par le succès de ces films. Voir comment les gens à travers le monde se sont emparés des films et du personnage du capitaine Sparrow est incroyable. Peu de gens ont vécu cette expérience. Je suis sidéré de voir tous ces gamins habillés comme lui et en train de jouer et de parler comme il le fait. C'est réellement fascinant ! "
Orlando Bloom - Will Turner : " Je crois que le troisième film révèle la vraie nature des personnages et pour moi, c'était très excitant de reprendre mon rôle sans être certain des directions qu'il allait prendre. Will Turner devient vraiment plus redoutable. Dans Jusqu'au bout du monde, Will rejoint pour de bon les pirates qu'il détestait tant dans le premier film afin de continuer sa quête. "
Keira Knightley ? Elizabeth : " Elizabeth est un personnage très important pour l'histoire, j'ai beaucoup aimé jouer une femme aussi forte, intéressante et qui n'a pas peur du combat. " Jerry Bruckheimer précise : " Depuis le premier film, Keira Knightley a eu le temps de devenir une femme et son personnage a aussi beaucoup évolué. Au début, ce n'est que la petite fille gâtée d'un riche gouverneur, mais au fil de l'histoire elle devient une jeune femme qui refuse les conventions et se montre aussi courageuse et forte au combat que Will et Jack. "
Geoffrey Rush - Barbossa : " Dans Jusqu'au bout du monde, Barbossa évolue beaucoup, le vrai rôle de mon personnage est de s'assurer que le mode de vie romantique de la Confrérie des pirates et vagabonds des mers survit face à la Compagnie anglaise des Indes orientales. Pour cela il va devoir manipuler ceux qui l'entourent et utiliser les compétences qu'on lui connaît : trahir les gens et les forcer à faire ce qu'ils ne veulent pas. C'est sa façon d'agir ! "
Bill Nighy - Davy Jones : " Davy Jones est maintenant au service de la Compagnie anglaise des Indes orientales et de Lord Cutler Beckett. C'est d'ailleurs certainement la première fois qu'il est au service de quelqu'un. Pour le coup, il perd beaucoup de sa liberté de seigneur des mers. Dans Jusqu'au bout du monde, on peut voir comment l'amour et la trahison ont brisé sa vie. Tout ce qu'il veut, c'est Calypso, et être libéré de sa douleur amoureuse."
Chow Yun-Fat - le Capitaine Sao Feng : " Dans ce monde de pirates, la trahison était une chose tout à fait naturelle. Sao Feng est un pirate un peu spécial, pour lui tout est une question de business et il n'y a ni bien ni mal dans la piraterie. Ce n'est ni un héros ni un monstre. D'une certaine façon, c'est d'ailleurs ce qu'étaient tous les pirates. "
Keith Richards : le père de Jack Sparrow
Dès le début de la saga Pirates des Caraïbes , Johnny Depp s'est targué d'avoir pris exemple sur le look et l'attitude de Keith Richards pour faire exister le capitaine Jack Sparrow. Le célèbre guitariste des Rolling Stones était alors censé faire une apparition dans Pirates des Caraïbes, le secret du coffre maudit, en clin d'oeil à cette déclaration. Il devait ainsi y incarner le père de Jack Sparrow. Cependant, au vu de son engagement avec son groupe pour leur nouvelle tournée mondiale, il n'avait pas pu participer au tournage. Il s'est toutefois libéré pour le dernier opus, pour le plus grand bonheur des fans.
Pourquoi aimons-nous les Pirates ?
Les cinéastes avaient conscience qu'après avoir passionnés le public avec les deux premiers opus, les spectateurs attendaient encore plus du troisième. Le producteur exécutif, Mike Stenson explique : " Nous voulions remercier les fans en leur offrant une histoire qui soit un combat épique entre la liberté et le conformisme. La question fondamentale du film est : Pourquoi aimons-nous tant les pirates ? Beaucoup d'entre nous voulaient devenir des pirates quand ils étaient jeunes. Nos aventures imaginaires s'accompagnaient de rêves de liberté. En grandissant, nous avons dû faire des compromis et accepter de vivre en conformité avec le monde. Mais une part de pirate est restée vivante en chacun de nous, c'est pour cela qu'autant de gens se précipitent au cinéma pour explorer cette part cachée et plus flamboyante d'eux-mêmes pendant deux bonnes heures. C'est ce que les gens adorent dans ces films. "
Ce qui plaît dans les films de pirates est donc le fait que ces films nous rapprochent de nos rêves d'enfants, aller au cinéma voir Pirates des Caraïbes est une manière de retourner en enfance le temps d'un film, retrouver ses envies de liberté, de batailles épiques, d'aventures,... C'est en quelque sorte une façon de redevenir enfant et de jouer aux pirates.
Un phénomène culturel grâce aux équipes du film
Pour le producteur exécutif Bruce Hendricks, " l'aspect le plus satisfaisant du succès des films Pirates des Caraïbes est qu'ils sont devenus un phénomène culturel dont les gens se sont emparés avec passion. Jerry Bruckheimer, Gore Verbinski, Ted Elliott, Terry Rossio et Johnny Depp ont changé l'approche du film de pirates, qui était tombé en désuétude. "
Mais si la saga est un tel succès c'est, selon Jerry Bruckheimer, principalement dû à l'énorme travail réalisé par toute l'équipe des films, aussi bien devant que derrière la caméra. Le producteur observe : " Cela commence par le travail d'écriture de Ted Elliott et Terry Rossio. Tous les deux ont fait un travail brillant en créant de nouveaux personnages et de nouveaux lieux pour l'histoire. Ensuite, il faut ajouter un réalisateur talentueux comme Gore Verbinski, capable de passionner le public dans le premier film et de recommencer dans le second. Pour que tout cela fonctionne, vous prenez des acteurs comme Johnny Depp, Keira Knightley, Orlando Bloom et Geoffrey Rush pour jouer tout l'engagement, l'humour, le romantisme et la malice des personnages que Verbinski, Elliott et Rossio ont créés. Cette mise en place demande déjà un gros travail. Mais il faut qu'en coulisse les équipes techniques soient également excellentes, et ce fut le cas pour la saga. "
Si Pirates des Caraïbes s'est transformé en phénomène culturel c'est en grande partie grâce au travail et au perfectionnisme des équipes des trois films, ce travail couplé au désir du public de voir des films de pirates, à fini de faire de la saga un phénomène culturel.
Des scénaristes omniprésents...
Comme sur les deux premiers films, les scénaristes Ted Elliott et Terry Rossio étaient constamment présents sur le tournage de Pirates des Caraïbes, jusqu'au bout du monde. Jerry Bruckheimer explique que la présence des deux hommes sur le plateau pour travailler avec le réalisateur et les acteurs a été déterminante. " Ecrire un scénario est un processus vivant qui ne s'arrête pas au tournage, et un vrai travail d'artisan. Dans les années 30 et 40, Hollywood a essayé d'engager des journalistes, des romanciers, mais la plupart ont échoué parce qu'un scénario est une forme d'écriture vraiment particulière. Ted Elliott et Terry Rossio ont un véritable amour pour les films, ils connaissent toutes les ficelles du métier. Ils savent ce qui fait un bon personnage, car c'est une chose qu'ils ont étudiée et qu'ils pratiquent depuis des années. Et surtout, ils insufflent une grande fraîcheur à tout ce qu'ils font. Avec Pirates des Caraïbes, ils ont réussi à remettre au goût du jour les conventions du film de pirates, jugées vieillottes. Avec Gore Verbinski, ils ont tout simplement réinventé le genre. "
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... jusqu'au bout du monde
Pour le troisième volet, Pirates des Caraïbes, jusqu'au bout du monde, Jerry Bruckheimer et Gore Verbinski ont encouragé les scénaristes Ted Elliott et Terry Rossio à pousser l'histoire encore plus loin, à l'instar du titre du troisième opus, " jusqu'au bout du monde ". Ted Elliott précise " Nous voulions que les trois films constituent un tout homogène, tout en ayant chacun leur identité et leurs enjeux. Le plus important était de satisfaire le public et de répondre aux attentes des spectateurs. "
Terry Rossio ajoute : " Jusqu'au bout du monde évoque la nature profonde des êtres et la lutte pour la liberté. Pour nous, tous les films de pirates parlent de morale et d'ambiguïté. Même la personne la plus vertueuse peut se retrouver pirate, et entrer en résistance n'est pas forcément un signe de malhonnêteté. Du point de vue de chaque personnage, c'est une transformation qu'il faut savoir assumer. C'est aussi une nouvelle vie qui n'est pas toujours confortable et qui oblige à faire de vrais choix. Sous cet angle, tous les personnages du film traversent un moment difficile à un moment ou un autre de l'histoire. "
La Compagnie anglaise des Indes Orientales
Seul élément historique inséré dans le scénario de Ted Elliott et Terry Rossio, la Compagnie anglaise des Indes Orientales était l'une des plus grandes puissances économiques et politiques de l'époque. Cette dernière était utilisée comme outil de domination impérialiste, économique et politique de 1600 à sa dissolution en 1858. En plus d'avoir la mainmise sur l'Inde, ses comptoirs s'étendaient jusqu'aux confins du Golfe Persique, de l'Asie du Sud-Est et de l'Asie Orientale. La Compagnie était réputée pour ces activités incroyablement avides et inhumaines. Cette réalité est ici utilisée comme un tremplin pour l'humour et la fantaisie présentent dans le film : "Ce que l'on aime chez les pirates, c'est qu'ils incarnent la liberté. Et la Compagnie des Indes Orientales, en tant que corporation multinationale géante, représente la fin de la liberté individuelle. Ils définissent le monde comme ils veulent qu'il soit, et ils cherchent à se débarrasser de beaucoup de gens. Plus ils dominent, moins il y a de place pour des hommes comme le capitaine Jack Sparrow."
Johnny Depp, l'homme aux 100 visages
Pour Jerry Bruckheimer, " Johnny Depp est vraiment surprenant, c'est un acteur sans équivalent. Il est capable de créer des personnages mémorables tout en touchant les spectateurs. Le capitaine Jack Sparrow ne ressemblait à rien de ce qu'avait pu voir le public au cinéma auparavant. Personne d'autre que Johnny n'aurait pu imaginer un pirate à moitié saoul et titubant tout en étant si flamboyant et si intelligent qu'il arrive à rouler tout le monde ! Johnny a ce talent, et sur tous les films ! " A chacun de ses films Johnny Depp s'empare totalement du personnage qu'il incarne. Il donne vie à Edward dans Edward aux mains d'argent, s'approprie le personnage de Willy Wonka dans Charlie et la chocolaterie, se change en James M. Barrie dans Neverland et devient Jack Sparrow dans Pirates des Caraïbes, aujourd'hui le pirate le plus célèbre... Le producteur ajoute " Johnny parvient toujours à créer des personnages inoubliables sans que l'on puisse vraiment comprendre comment il fait. C'est magique ! "
Une atmosphère intime
Stellan Skarsgard, qui incarne à l'écran Bill le Bottier, le père de Will Turner explique que le tournage de Pirates des Caraïbes, jusqu'au bout du monde était assez surprenant pour lui " Avec une aussi grosse production, je m'attendais à ce que l'ambiance soit très différente des films indépendants dans lesquels j'ai joué. Mais ce n'était pas le cas. Autour de la caméra régnait vraiment une atmosphère très intime. Gore Verbinski ne s'intéresse pas seulement aux aspects techniques, il travaille aussi beaucoup avec les comédiens. C'est une des raisons qui font que j'ai voulu travailler avec lui. "
Une maquilleuse réputée
La chef maquilleuse de la saga Pirates des Caraïbes , Ve Neill, est l'une des maquilleuses les plus réputées d'Hollywood. Elle a d'ailleurs été nommée avec le chef coiffeur Martin Samuel aux Oscars pour le meilleur maquillage dans Pirates des Caraïbes, la malédiction du Black Pearl. Ve Neill et Martin Samuel ont également remporté un BAFTA Award pour les meilleurs maquillages et les meilleurs coiffures pour leur travail sur ce film. Ils ont à nouveau fait équipe sur Pirates des Caraïbes, le secret du coffre maudit, et ont été nommés au BAFTA Award. En 30 ans de carrière, Ve Neill a remporté trois Oscars, deux Emmy Awards, deux Saturn Awards, le BAFTA Award et le Makeup Artist of the Year décerné par la Foreign Press Association. De plus, la maquilleuse cumule un total de 18 citations à des prix internationaux.
Près de 8 000 costumes
C'est la costumière Penny Rose qui s'est occupée de créer les différents looks vestimentaires. Que ce soit ceux des stars ou ceux des figurants, elle n'a rien laissé au hasard. Plus de 8 000 costumes ont ainsi été assemblés pour les deux derniers opus de la saga.
Un décès durant le tournage
Durant le tournage, un évènement tragique a eu lieu. En effet, Richard Snell, le responsable des maquillages spéciaux est décédé dans sa chambre d'hôtel. Il aurait succombé 0 une crise cardiaque à l'âge de 50 ans.
Différents scénarios
Il y a eu 8 versions différentes du scénario pour cet ultime chapitre de la saga.
Singapour en studio
Toutes les scènes se déroulant à Singapour dans le film ont été tournées en studios aux USA.
Un bâteau en ... caoutchouc!
Le bateau pirate de Sao Feng a été principalement fabriqué en caoutchouc. Le fait qu'ils aient construit la majeure partie du navire en cette matière est dû au fait que de nombreuses cascades devaient être tournées. C'était simplement pour ne pas qu'il y ait de blessés.
« Préc.
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Red Planet|Anthony Hoffman|Science fiction||2|américain|2000|106|||DIV3|||DIV3|779 Kbps|640x360|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|673||||23.976|06/08/2009 00:00:00|Bruce Berman Mark Canton Jorge Saralegui|Chuck Pfarrer Jonathan Lemkin|Peter Suschitzky||Warner Bros. France||En 2050, la Terre se meurt, victime de la déforestation, de la pollution et de la surpopulation. Seule solution : coloniser une autre planète. La NASA envoie sur place un vaisseau Mars One. Cette exploration sans difficulté apparente tourne rapidement au cauchemar... |Val Kilmer (Gallagher)@Carrie-Anne Moss (commandant Kate Bowman)@Benjamin Bratt (Ted Santen)@Tom Sizemore (Dr. Quinn Burchenal)@Simon Baker (Chip Pettengill)@Terence Stamp (Chantilas)@||Secrets de tournage :
Un tournage éprouvant
Le tournage de Planète rouge, en Australie (intérieurs et extérieurs) et en Jordanie (extérieurs uniquement), a constitué une épreuve pour les acteurs comme pour les techniciens. La température extérieur (plus de 40°C) accablait des comédiens déjà obligés d'endosser des costumes particulièrement mal adaptés à la chaleur. Comme le confie Tom Sizemore, «les premiers jours furent d'autant plus pénibles que nous devions nous habituer au port de nos combinaisons spatiales. L'avantage, c'est que nous avons tout de suite été dans le coup, pour ne pas dire dans le bain : nous vivions pleinement nos rôles de naufragés. En outre, face à ces conditions extrêmes, toute l'équipe s'est immédiatement soudée comme une grande famille».
Des collaborateurs expérimentés
Pour sa première réalisation Anthony Hoffman s'est adjoint les services de quelques spécialistes du film d'anticipation. Il a ainsi recruté le directeur de la photographie Peter Suschitzky (L'empire contre-attaque), le chef décorateur Owen Paterson (Matrix), et Kym Barrett, la chef costumière de Matrix et Des rois du désert.
Tom Sizemore (Dr. Quinn Burchenal)
Les spectateurs français ont pu apprécier Tom Sizemore chez Kateryn Bigelow (Blue Steel en 1990, Point Break en 1991 et Strange Days en 1995), ou chez Tony Scott (True Romance en 1993 et Ennemi d'Etat en 1998).
Il a également participé à Wyatt Earp (Lawrence Kasdan, 1994), Tueurs Nés (Oliver Stone, 1994), Heat (Michael Mann, 1995), Relic (Peter Hyams, 1997), Il Faut Sauver le Soldat Ryan (Steven Spielberg, 1998) et A tombeau ouvert (Martin Scorsese, 2000).
Anthony Hoffman, réalisateur
Talentueux réalisateur de spots publicitaires, ce diplômé de l'American Film Institute (AFI) réalise avec Planète rouge son premier long métrage.
Le producteur Mark Canton définit le film
« Planète rouge soulève un certain nombre de questions actuelles, ou qui deviendront rapidement incontournables : supposons que l'homme n'ait pas fait tout le nécessaire pour assurer sa survie sur Terre ? Qu'il lui faille impérativement chercher son salut dans l'espace, et plus précisément sur Mars ? Et que la « planète rouge » se révèle bien différente de l'image que nous en avons ? L'intrigue met ainsi en jeu des concepts philosophiques, théologiques, religieux et scientifiques et incite à débattre de leur valeur. »
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Platoon|Oliver Stone|Guerre|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|1987|114|Anglais||DIVX|||DIVX|700 Kbps|512x296|MPEG-1 Audio layer 3|64.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|634||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Arnold Kopelson|Oliver Stone|Robert Richardson|||Saga : Trilogie du Viêtnam |Septembre 1967: Chris Taylor, dix-neuf ans, rejoint la compagnie Bravo du 25ème régiment d'infanterie, près de la frontière cambodgienne. Chris, issu d'une famille bourgeoise s'est engagé volontairement et, plein d'idéal entend bien servir son pays. Mais la réalité est tout autre et ses illusions vont tomber les unes après les autres. Il sera également temoin de la rivalité sanglante qui oppose deux officiers qu'il admire. "J'ai eu l'idée de "Platoon" en décembre 1969 à mon retour du front. Mais personne ne voulut produire ce script "trop dur, trop noir et deprimant". |Charlie Sheen (Narrateur / Soldat Chris Taylor)@Tom Berenger (Sergent Bob Barnes)@Willem Dafoe (Sergent Elias)@Forest Whitaker (Big Harold)@Francesco Quinn (Rhah)@John C. McGinley (Sergent Red O'Neill)@Richard Edson (Sal)@Kevin Dillon (Bunny)@Reggie Johnson (Junior)@Johnny Depp (Lerner)@Oliver Stone (Un soldat)@Mark Moses (Lieutenant Wolf)@Chris Pedersen (Crawford)@Tony Todd (Warren)@David Neidorf (Tex)@Keith David (King)@Dale Dye (capitaine Harris)@||Secrets de tournage :
Les prix
Platoon a reçu une multitude de prix, dont 4 oscars, 3 Golden Globes et l'ours d'argent à Berlin.
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Pocahontas|Mike Gabriel Eric Goldberg|Animation|Film pour enfants|3|américain|1995|77|Anglais||DIV3|||DIV3|1 115 Kbps|640x368|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|697||||25.000|13/08/2009 00:00:00|James Pentecost|Carl Binder Susannah Grant Philip LaZebnik|||GBVI||En l'an 1607, La belle Pocahontas aura-t-elle le pouvoir d'éviter la guerre entre les colons anglais et son peuple, les Powhatan, et de sauvegarder ainsi ses amours avec le fringant aventurier John Smith, qui accompagne les colons ? |Mathilda May (Pocahontas (voix française))@Michel Papineschi (John Smith (voix française))@Annie Cordy (Grand-mère Feuillage (voix française))@Raymond Gérome (Ratcliffe (voix française))@Elie Semoun (Wiggins (voix française))@Michel Bardinet (Powhatan (voix française))@Bruno Choel (Thomas (voix française))@Laura Mayne (Pocahontas (chansons))@||Secrets de tournage :
Mel Gibson est un chanteur
Dans la version originale, c'est réellement Mel Gibson qui chante, alors que le personnage de Pocahontas est doublé pour les chansons par Judy Kuhn.
La réalité historique
L'élaboration de Pocahontas commence en 1990, avec Mike Gabriel et, plus tard, Eric Goldberg, créateur du génie dans Aladdin.
Quelques modifications de l'Histoire ont été nécessaires, car Pocahontas, la vraie, a rencontré John Smith à 12 ans, alors que celui-ci en avait plus de quarante. Elle mourut de la tuberculose en 1617, après avoir été la coqueluche de la cour.
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Pocahontas II: Journey to a New World (V)|Bradley Raymond Tom Ellery||||américain||70|Français, Anglais||DIV3|||DIV3|1 165 Kbps|576x416|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|653||||25.000|06/08/2009 00:00:00|||||||A bord du navire qui l'emmene vers l'Angleterre, Pocahontas ne se doute pas des aventures qui l'attendent. Escortee par le gentleman John Rolfe, son immense garde du corps Uti et trois petits passagers clandestins, Meeko, Percy et Flit, Pocahontas se lance dans une importante mission de paix. |Irene Bedard@Judy Kuhn@Billy Zane@David Ogden Stiers@Jean Stapleton@||||||||||||@@
Podium|Yann Moix|Comédie||3|français|2004|89|Français||XVID|||XVID|946 Kbps|720x304|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|677||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Olivier Delbosc Marc Missonnier|Yann Moix Olivier Dazat Arthur Emmanuel Pierre|||Mars Distribution||Nom : Bernard Frédéric. Profession : Claude François, chanteur à succès des années 70. Oui son métier, c'est d'être Claude François à la place de lui ; le meilleur de sa génération ; Il est son sosie chantant et dansant avec quatre choristes.Son ambition, au grand dam de sa femme Véro, est de gagner le concours de la Nuit des sosies, diffusée en prime time sur une grande chaîne. Pris entre son désir de gloire et l'amour réel pour sa femme, tenaillé entre son chanteur idole et Véro, il lui faudra choisir. |Benoît Poelvoorde (Bernard Frédéric)@Jean-Paul Rouve (Couscous)@Julie Depardieu (Véro)@Dominique Besnehard (Docteur Dandieu)@Marie Guillard (Vanessa)@Anne Marivin (Anne)@Odile Vuillemin (Odile)@Nadège Beausson-Diagne (Nadège)@Nicolas Jouxtel (Sébastien)@Olivier Mag (Claude David)@Evelyne Thomas (elle-même)@Victor Loukianenko (Le fan de Claude François)@||Secrets de tournage :
Histoire d'un titre
Le titre Podium est une référence directe au magazine du même nom racheté par Claude Francois en 1972. Un magazine qui, comme Salut les copains, se propose d'initier la jeunesse aux chansons les plus populaires de l'époque.
Inspiré d'un roman à succès
Podium reprend le sujet du roman éponyme de Yann Moix (2002, Editions Grasset), qui a tenu dès le départ à assurer lui-même la réalisation du long-métrage. Le long-métrage "n'est pas une adaptation du roman, c'est le même sujet, mais pas la même histoire", comme tient à le préciser l'intéressé.
Le scénario de Podium a été écrit avant le roman. Yann Moix souhaitait en effet d'abord réaliser un long-métrage puis l'adapter sous forme de roman. Des difficultés financières l'empêchèrent de mettre en oeuvre cette résolution initiale.
Benoît Poelvoorde à l'origine de tout
Sans Benoît Poelvoorde, Podium et le roman du même nom n'auraient jamais existé. Le scénario de Podium, dont l'écriture a débuté en 1998, a été mis en oeuvre par Yann Moix spécialement pour l'acteur belge. "Il a été écrit à la virgule près pour lui", explique le réalisateur. "Pour être sûr qu'il accepte de le faire, j'ai écrit le roman, histoire d'iguiser sa curiosité et son envie. C'est un peu tordu, mais c'est la genèse exacte. Je ne pouvais pas faire ce film sans lui et je ne voulais pas que quelqu'un d'autre le réalise à ma place."
"Podium" : un film sur les idoles...
Avec Podium, le réalisateur Yann Moix a souhaité "faire un film sur une idole. Je me suis rendu compte que l'idole devait avoir trois qualités pour accéder à ce statut : être très populaire, être mort, et être mort jeune, si possible dans des circonstances dramatiques. C'est comme ça que naissent les mythes. C'est ainsi que les gens finissent par prendre l'idole pour un Dieu.".
...et la dépendance
Pour Yann Moix, Podium, en plus d'aborder le thème de l'idolatrie, s'attache à mettre en lumière le phénomène de dépendance. "C'est un film sur la dépendance et la dépendance comporte toujours une dimension tragique", explique-t-il. "Cette dépendance est pathétique et attachante grâce à Benoît Poelvoorde, qu'on ne peut jamais complètement détester dans le film malgré sa mysoginie et son égoïsme. On est tous dépendants de quelques chose : alcool, sexe, drogue, boulot. Lui c'est un Cloclo et c'est un mec passionné, un Don Quichotte en habit de lumière loué à l'heure. Il n'a pas besoin d'ennemi dans l'histopire, il est lui-même son propre ennemi."
La relation Benoît Poelvoorde / Yann Moix
Benoît Poelvoorde et le réalisateur Yann Moix se sont rencontrés lorsque le comédien tournait Le Vélo de Ghislain Lambert. C'est une passion commune, l'écrivain Léon Bloy, qui a créé l'étincelle entre eux deux, une étincelle indispensable pour lancer le projet Podium. En guise de clin d'oeil, un dossier Léon Bloy est d'ailleurs déposé sur le bureau de Bernard Frédéric dans l'une des scènes du film.
Yann Moix est très fier que l'acteur belge lui ait accordé sa confiance : "C'est le genre d'acteur à refuser un Spielberg pour un court-métrage en Belgique. (...) Ce type-là déclenche une ambiance de tournage extraordinaire. Sa présence déconnante, sa générosité et son sens inépuisable de l'improvisation comblent tout le monde, des techniciens aux acteurs." Des compliments que Poelvoorde retourne au réalisateur : "Sa première qualité, c'est son intelligence. Il a en plus un rapport encyclopédique à la réalité qui me fascine. Epuiser un sujet, tout connaître, tout savoir, comme pour Cloclo et le monde des sosies. Podium est nourri de cette saine ambition. L'autre immense qualité de Yann, c'est son écoute."
Benoît Poelvoorde et son personnage
Benoît Poelvoorde a été particulièrement touché par la richesse et les nuances de son personnage. "Il a des failles, des fêlures énormes, évidentes, et une folie qui m'amusait et me ressemble par certains côtés", explique-t-il. "Quand j'ai lu la première version du scénario, je m'y suis tellement attaché que j'ai demandé à Yann de ne pas le laisser mourir, contrairement à ce qui se passe dans le livre, mais de lui laisser une chance. La rédemption de Bernard est bouleversante, même si elle participe d'une prise de conscience simple et basique, mais après tout, la vie est simple et basique : aimer, ne pas aimer, se cacher ou s'abandonner."
Devenir un Cloclo en six mois
Pour devenir Bernard Frédéric, le sosie de Claude Francois, Benoît Poelvoorde a passé trois mois aux côtés de la chorégraphe Mia Frye (qui fait d'ailleurs une brève apparition dans le film) pour apprendre à danser. Il a également du prendre des courts des chants trois mois durant. Et à en croire Yann Moix, ce double apprentissage représentait un pari fou : "Il venait de loin : zéro en danse, le niveau mariole de boîte de nuit, guère mieux en chant, mais il a un don. Sa femme, Coralie, a pleuré lorsqu'il a interprété "Le Chanteur malheureux"."
A la rencontre des Cloclos et autres Sardous !
Afin de se documenter, le réalisateur Yann Moix a rencontré de nombreux sosies de stars. Des sosies de Claude Francois, bien sûr, mais également des sosies de Michel Sardou, Johnny Hallyday, Sylvie Vartan ou Elvis Presley. Et il en rapporte des observations particulièrement croustillantes comme lorsqu'il raconte que lors du tournage de la séquence des sosies, "les Sardous ont fait une table entre eux, de même que les Elvis et les Johnnys. Entre eux, il se jalousent et sont rivaux, mais confrontés à d'autres corporations, les Sardous s'unissent. Inouï !"
Six costumes et une allergie
Le personnage incarné par Benoît Poelvoorde possède six costumes, dont un bleu à perles, un métallique à paillettes, un rouge et un recouvert d'ampoules de Noël. Porter ces habits de lumières n'a pas été une épreuve pour le comédien. En revanche, Poelvoorde a subi un véritable calvaire en portant la perruque de Claude Francois. Au contact de la colle utilisée pour maintenir la perruque, le comédien développa une allergie, à tel point qu'à la fin du tournage, son visage était ainsi à moitié mauve.
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Jean-Paul Rouve "miraculé"
Jean-Paul Rouve a bien failli ne jamais figurer au générique de Podium. Le membre des Robins des Bois n'avait en effet pas du tout les faveurs du réalisateur Yann Moix, celui-ci ne se sentant aucune affinité avec la troupe comique. C'est finalement au terme d'une rencontre un peu forcée par leur agent commun et de quelques heures d'essais que Moix se trouva devant l'évidence : Jean-Paul Rouve était le seul à pouvoir se glisser sous les traits de Couscous, le sosie de Michel Polnareff.
Retrouvailles
Podium marque les retrouvailles du réalisateur Yann Moix avec l'actrice Julie Depardieu, qu'il avait déjà dirigé en 2001 dans son court-métrage Grand oral.
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Police Academy|Hugh Wilson|Comédie||2|américain|1984|92|||DX50|||DX50|937 Kbps|720x416|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|692||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Paul Maslansky|Hugh Wilson Neal Israel Pat Proft|Michael D. Margulies|||Saga : Police Academy |Un groupe de jeunes incompétents intègre la Police Academy. Gags à gogo. |Kim Cattrall (Cadet Karen Thompson)@Steve Guttenberg (Cadet Carey Mahoney)@G.W. Bailey (Lieutenant Thaddeus Harris)@Bubba Smith (Cadet Moses Hightower)@Donovan Scott (Cadet Leslie Barbara)@George Gaynes (Commandant Eric Lassard)@Andrew Rubin (Cadet George Martin)@David Graf (Cadet Eugene Tackleberry)@Michael Winslow (Cadet Larvell Jones)@Ted Ross (Capitaine Reed)@||||||||||||@@
Police Academy 2 : Their First Assignment|Jerry Paris|Comédie||2|américain|1985|83|||DX50|||DX50|1 067 Kbps|544x416|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|698||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Paul Maslansky|Neal Israel Pat Proft Barry W. Blaustein David Sheffield|James Crabe|||Saga : Police Academy |Nettoyer le quartier le plus mal famé du monde quand on est les plus mauvais policiers de la terre : où est le problème ? Carey, allergique à l'uniforme et à la discipline, sait se montrer courageux et va assumer cette mission suicide avec toute sa bande de flics incapables... |Steve Guttenberg (L'officier Carey Mahoney)@Bubba Smith (L'officier Moses Hightower)@David Graf (L'officier Eugene Tackleberry)@Michael Winslow (L'officier Larvell Jones)@Bruce Mahler (L'officier Douglas Fackler)@Colleen Camp (Le sergeant Kathleen Kirkland)@Howard Hesseman (Le capitaine "Pete"Lassard)@Art Metrano (Lieutenant Mauser)@George Gaynes (Le commandant Eric Lassard)@Bob Goldthwait (Zed)@Julie Brown (Chloe)@Peter Van Norden (Le sergeant Vinnie Schtulman)@Tim Kazurinsky (Sweetchuck)@Ed Herlihy (Dooley)@Jackie Joseph (Mrs. Kirkland)@||||||||||||@@
Police Academy 3 : Back in Training|Jerry Paris|Comédie||2|américain|1986|83|||DIVX|||DIVX|1 028 Kbps|576x320|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||23.976|08/08/2009 00:00:00|Paul Maslansky|Gene Quintano|Robert Saad|||Saga : Police Academy |Notre incomparable groupe de flics de choc, après avoir "bavuré" une partie de la ville, retourne à l'école... mais cette fois-ci comme instructeurs de jeunes recrues... |Steve Guttenberg (Le sergent Carey Mahoney)@Bubba Smith (Le sergent Moses Hightower)@David Graf (Le sergent Eugene Tackleberry)@Michael Winslow (Le sergent Larvell Jones)@Marion Ramsey (Sergent Laverne Hooks)@Art Metrano (Commandant Mauser)@Tim Kazurinsky (Cadet Sweetchuck)@Bob Goldthwait (Cadet Zed)@George Gaynes (Commandant Eric Lassard)@Shawn Weatherly (Cadet Karen Adams)@Bruce Mahler (Sergent Douglas Fackler)@Ed Nelson (Le gouverneur Neilson)@||||||||||||@@
Police Academy 4: Citizens on Patrol|Jim Drake|Comédie||2|américain|1987|87|||XVID|||XVID|981 Kbps|512x384|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||23.976|08/08/2009 00:00:00|Paul Maslansky|Gene Quintano|Robert Saad|||Saga : Police Academy |Les temps sont durs pour les jeunes recrues de l'Académie de Police de New York. Le commandant Lassard s'apprête à prendre sa retraite bien méritée. Avant de laisser sa place à un autre, il decide de lancer un étrange programme d'autodéfense baptisé "Citoyens en patrouille". |Steve Guttenberg (Carey Mahoney )@Michael Winslow (Larvell Jones )@David Graf (Eugene Tackleberry )@Sharon Stone (Officier Claire Mattson )@Bubba Smith (Sergent Moses Hightower)@Tim Kazurinsky (l'officier Sweetchuck)@Leslie Easterbrook (Lieutenant Debbie Callahan)@Marion Ramsey (Sergent Laverne Hooks)@Lance Kinsey (Lieutenant Proctor)@G.W. Bailey (le capitaine Thaddeus Harris)@Bob Goldthwait (l'officier Zed)@George Gaynes (le commandant Eric Lassard)@||||||||||||@@
Police Academy 5 : Assignment : Miami Beach|Alan Myerson|Comédie||1|américain|1988|89|||XVID|||XVID|950 Kbps|512x384|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|08/08/2009 00:00:00|Paul Maslansky|Stephen Curwick Neal Israel Pat Proft|James Pergola|||Saga : Police Academy |Le commandant Lassard, qui atteint cette année l'âge de la retraite, vient d'être désigné comme le meilleur chef d'académie de la décénie. Et c'est à Miami, à l'occasion d'un congrès de policiers, qu'il a décidé de fêter son départ. Il a d'ailleurs invité quelques uns de ses élèves à l'accompagner en Floride. Mais son adjoint, l'ignoble Harris, qui rêve depuis longtemps de prendre la tête de la fameuse Police Academy, est aussi du voyage. Il a en effet l'intention de se faire remarquer par le gratin de la police américaine... |Bubba Smith (Sergent Moses Hightower)@David Graf (sergent Eugene Tackleberry)@Michael Winslow (Sergent Larvell Jones)@Marion Ramsey (Sergent Laverne Hooks)@Janet Jones (Kate)@Lance Kinsey (Lieutenant Proctor)@Matt McCoy (Sergent Nick Lassard)@G.W. Bailey (Capitaine Thaddeus Harris)@George Gaynes (Commandant Eric Lassard)@Rene Auberjonois (Tony)@James Hampton (Le maire de Miami)@Jerry Lazarus (Sugar)@Archie Hahn (Mouse)@Tab Thacker (Officier Thomas "House" Conklin)@Dan Barrows (Bob)@Ruben Rabasa (Julio)@||||||||||||@@
Police Academy 6 : City Under Siege|Peter Bonerz|Comédie||1|américain|1989|83|||XviD|||XVID|1 027 Kbps|576x320|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|02/08/2009 00:00:00|Paul Maslansky|Neal Israel Pat Proft Stephen Curwick|Charles Rosher Jr.|||Saga : Police Academy |Los Angeles... Enfin une ville à la démesure des flics les plus allumés des Etats-Unis ! En effet, pour les célèbres diplômés de la Police Academy, ordre est donné de démanteler un gang de débiles profonds qui ont entrepris de mettre la Cité des Anges à sac. Mais paradoxalement, les valeureux policiers échouent lamentablement dans leur chasse aux affreux et ratent toutes les missions de façon dramatique. De plus, ils croient vraiment toucher le fond quand leur bien aimé commandant est accusé de recel de bijoux volés ... |Bubba Smith (Lieutenant Moses Hightower)@David Graf (Sergent Eugene Tackleberry)@Michael Winslow (Sergent Larvell Jones)@Marion Ramsey (Sergent Laverne Hooks)@Lance Kinsey (Lieutenant Proctor)@Matt McCoy (Sergent Nick Lassard)@Bruce Mahler (Sergent Douglas Fackler)@G.W. Bailey (Capitaine Thaddeus Harris)@George Gaynes (Commandant Eric Lassard)@Kenneth Mars (Le maire)@Gerrit Graham (Ace)@||||||||||||@@
Police Academy 7 : Mission to Moscow|Alan Metter|Comédie||1|américain|1994|82|||XVID|||XVID|1 031 Kbps|576x320|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|692||||23.976|13/08/2009 00:00:00|Paul Maslansky|Neal Israel Pat Proft Randolph Davis Michele S. Chodos|Ian Jones|||Saga : Police Academy |Les flics les plus gaffeurs du monde sont à Moscou ! Leur mission : aider les russes à éliminer un redoutable parrain de la mafia. Et c'est le début d'une avalanche de catastrophes qui vont faire trembler le kremlin sur ses bases... |George Gaynes (Commandant Eric Lassard)@Michael Winslow (Sergent Larvell Jones)@David Graf (Sergent Eugene Tackleberry)@G.W. Bailey (Capitaine Thaddeus Harris)@Christopher Lee (Commandant Alexandrei Nikolaivich Rakov)@Ron Perlman (Konstantine Konali)@Claire Forlani (Katrina)@Charlie Schlatter (Cadet Kyle Connors)@Richard Israel (Adam Sharp)@Gregg Berger (Lieutenant Talinsky)@||||||||||||@@
Police Python 357|Alain Corneau|Policier||3|français|1977|120|Français||DX50|||DX50|899 Kbps|512x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|1|897||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Albina de Boisrouvray|Alain Corneau Daniel Boulanger|Etienne Becker||Les Films de La Boétie||Orléans. Meurtrier de sa maîtresse après qu'il ait appris sa liaison avec l'inspecteur Ferrot, le commissaire Ganay confie l'enquête à ce dernier. Tous les indices se retournent bientôt contre l'inspecteur Ferrot... |Yves Montand (L'inspecteur Marc Ferrot)@François Périer (Le commissaire Ganay )@Simone Signoret (Thérèse Ganay )@Stefania Sandrelli (Sylvia Leopardi )@Mathieu Carrière (L'inspecteur Ménard)@Serge Marquand (Le rouquin)@Vadim Glowna (L'inspecteur Abadie)@Franz Sauer@Michel Ruhl@Malvina Penne@||Secrets de tournage :
Corneau est-il l'héritier de Melville ?
Police Python 357 (1976) et La Menace(1977) sont deux films noirs "à la française", qui marquent le renouveau de ce genre en France. Alain Corneau prend donc la succession de Jean-Pierre Melville comme spécialiste du film noir. C'est le soin apporté à la photographie, aux choix des acteurs, et aux scénarios, qui lui permettent de s'affirmer comme un des maîtres du film policier.
Un parallèle évident
Il n'est pas difficile d'établir un parallèle entre Alain Corneau et Jean-Pierre Melville dans la carrière de François Périer. Celui-ci, après avoir joué les jeunes premiers (Premier Bal, La Tentation de Barbizon), devient un héros plus mûr chez Melville, commissaire de police ou tenancier de boîtes de nuit (Le Samouraï, Le Cercle rouge). Il n'est donc pas étonnant que le digne successeur de Melville, Alain Corneau l'utilise pour jouer un rôle similaire dans Police Python 357.
Dernière scène
Dans la dernière demi-heure de Police Python 357, le rôle interprété par Yves Montand est pratiquement muet (on retrouve d'ailleurs une fin similaire dans La Menace ), cette enquête contre soi-même aboutit à une dépersonnalisation plutôt inquiétante, et la dernière scène, d'une rare violence, en donne une vision apocalyptique.
Une question d'image
Pour Police Python 357, le réalisateur Alain Corneau avait besoin d'images douces en contraste avec la violence du sujet, c'est pourquoi, il fit appel à Etienne Becker plutôt qu'à
Pierre-William Glenn, qui avait fait la photo de France, societe anonyme.
Lieu de tournage
Le tournage se déroule entièrement à Orléans, ville dans laquelle le réalisateur Alain Corneau a passé son enfance, et qu'il trouve représentative de la grande bourgeoisie.
Scénario
Alain Corneau écrit pendant près de deux ans avec la collaboration de
Daniel Boulanger le scénario de Police Python 357, il est écrit en pensant précisément à Simone Signoret et Yves Montand.
Prolongement mécanique
Alain Corneau définit son film comme la perte d'identité d'un homme qui va peu à peu s'identifier à son arme pour en devenir le prolongement mécanique.
Python 357
Le titre du film vient du colt porté par Yves Montand, arme qui équipait alors la police américaine
Succès
Lors de la sortie en salle de Police Python 357 en 1976, le film réalise un total de 1 464 582 entrées, en France, et prend la vingtième place au top 20 du nombre d'entrées de l'année.
Rencontre
Il s'agit là du quatrième film dans lequel sont réunis Yves Montand et Simone Signoret (mariés ensemble depuis 1952), après Les Sorcieres de Salem (Raymond Rouleau, 1956), Compartiment tueurs (Costa-Gavras, 1965), Paris brûle-t-il ? (René Clément, 1966) et L'Aveu (Costa-Gavras, 1969) dans lequel Alain Corneau est premier assistant réalisateur.
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Poltergay|Eric Lavaine|Comédie||2|français|2006|90|Français||XVID|||XVID|945 Kbps|624x256|MPEG-1 Audio layer 3|129 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Vincent Roget François Cornuau Fabio Conversi|Eric Lavaine Héctor Cabello Reyes|Vincent Mathias||TFM Distribution||Beaux, jeunes et amoureux... Marc et Emma sont les nouveaux propriétaires d'une maisoninhabitée depuis trente ans. Ils ignorent que la cave de la maison a abrité, il y a bienlongtemps, une boîte de nuit gay.Le 29 avril 1979 à 2 heures du matin, suite à un incident électrique avec la machine à mousse, en pleine fête disco, la boîte a été dévastée. Parmi les danseurs, cinq corps n'ont jamais été retrouvés.Aujourd'hui, la maison est hantée par cinq fantômes fêtards, taquins et gays. Marc les voit. Emma ne les voit pas. Les "visions" de Marc vont précipiter le départ d'Emma.Marc se retrouve seul avec ses interrogations. Touchés par cet homme à la dérive, les fantômes vont l'aider à reconquérir Emma. |Clovis Cornillac (Marc)@Julie Depardieu (Emma)@Michel Duchaussoy (De Sorgue)@Lionel Abelanski (Salopette)@Philippe Duquesne (Michel)@Jean-Michel Lahmi (Gilles)@Alain Fromager (David)@Gilles Gaston-Dreyfus (Bertrand)@Héctor Cabello Reyes (le psy)@Anne Caillon (Valérie)@Georges Gay (Ivan)@Christian Pereira (le beau-père)@Gérard Loussine (le flic n°1)@Stephan Wojtowicz (le flic n°2)@Christophe Guybet (le dragueur)@Thierry Heckendorn (Mr Tranier)@Stefano Cassetti (Vittorio)@Michel Modo (Le patron du bar)@Dave (Lui-même)@||Secrets de tournage :
La phrase d'Henri Langlois...
Le synopsis de Poltergay qui allie fantôme et homosexualité fait référence à une phrase d'Henri Langlois parue dans un numéro des Cahiers du cinéma datant d'avril 1964. Henri Langlois un pionnier de la conservation et de la restauration de films, il fonde en 1936 avec Georges Franju et Jean Mitry la Cinémathèque française, à la fois salle de cinéma et musée du septième art. A l'époque, il a déclaré dans le mensuel en faisant état des forces et des faiblesses du cinéma français : "... en établissant un état objectif des forces et faiblesses de notre industrie cinématographique nationale (...) force est de constater que le cinéma français manque cruellement de films ayant pour sujet les maisons hantées par des fantômes homosexuels".
A l'école de l'humour Canal +...
Eric Lavaine, le réalisateur, et son co-scénariste Héctor Cabello Reyes se sont rencontrés dans les bureaux de la chaîne Canal+. Pendant que le scénariste Héctor Cabello Reyes intégrait l'équipe de Nulle Part Ailleurs, le réalisateur Eric Lavaine, en place depuis 10 ans sur la chaîne, écrivait de très nombreux sketchs pour "Les Guignols de l'info" et "Les Robins des Bois". Scénariste pour quelques sitcoms de la chaîne cryptée, comme "H", dont il est également le directeur artistique, et "Le 17" (avec les deux robins des bois Maurice Barthélémy et Jean-Paul Rouve), il passe aussi derrière la caméra pour cette série racontant les aventures d'un commissariat de police. Il collabore une nouvelle fois avec Maurice Barthélémy en créant et en écrivant quelques épisodes du programme court "Faut-il".
Sur un air de disco...
La musique participe directement à l'ambiance du film. Entre les codes musicaux du film d'épouvante (musiques angoissantes, montée de cordes...) lors des scènes d'installation et l'utilisation de standards du disco des années 70, la musique "structure et donne un sens au récit", dixit Eric Lavaine. Les fantômes étant restés "bloqués en 1979, l'équipe du film a réussi à négocier un standard représentatif de l'époque : "Rasputin" de Boney M. La touche disco qui s'entend tout au long du film est renforcé par la version un peu plus lente de "Born to be alive" (le tube de Patrick Hernandez) chantée par Julie Depardieu. Cette chanson, selon le metteur en scène, "illustre parfaitement la tristesse et le désarroi de Marc au moment où il se retrouve seul, sans sa femme, sans travail et en proie à ses visions".
Retrouvailles Julie Depardieu/Clovis Cornillac
Les deux acteurs en vogue de la nouvelle génération participent pour la seconde fois au même tournage. La première fois, c'était en 2004 pour Un long dimanche de fiançailles réalisé par le Jean-Pierre Jeunet. Contrairement au film d'Eric Lavaine, les deux acteurs ne partagaient aucune scène en commun. Clovis Cornillac dans l'adaptation du roman de Sébastien Japrisot jouait le soldat bourru, Benoît Notre Dame, alors que Julie Depardieu interprétait le rôle de Véronique Passavant.
Une équipe soudée
Poltergay est une étape de plus dans la collaboration entre le réalisateur Eric Lavaine et les producteurs François Cornuau et Vincent Roget. François Cornuau a déjà travaillé avec Eric Lavaine sur le programme court diffusé sur canal+, "Faut-il". Le trio s'apprête à retravailler ensemble puisque le duo de producteurs est actuellement en charge de la prochaine comédie du réalisateur intitulée Protéger et servir.
Une maison hantée et cherchée...
Les repérages pour trouver la maison providentielle furent "longs et fastidieux, selon les propres termes d'Eric Lavaine. Devant l'inefficacité de ses recherches, il commençait à envisager un tournage en studio, avant de trouver "LA maison...". La batisse qui a accueilli l'équipe de tournage est située dans le forêt proche de Cergy-Pontoise. Le réalisateur l'a découverte alors qu'il roulait sur l'A1.
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Population 436 (V)|Michelle Maxwell MacLaren|Epouvante-horreur||1|américain, canadien|2006|88|Anglais||DX50|||DX50|968 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00||Michael Kingston|||||Steve Kady est chargé du recensement dans un village isolé où le temps semble avoir été figé. Steve découvre alors que la population du village n'a jamais, et ne doit surtout pas, dépasser les 436 habitants. |Jeremy Sisto (Steve Kady)@David Ames (Ronald Greaver)@Leigh Enns (Kathy Most)@Fred Durst (le Député Bobby Caine)@David Fox (Dr Harold James Greaver)@Peter Jordan (le Ministre Hiller)@Charlotte Sullivan (Courtney Lovett)@R.H. Thomson (Shérif Colcutt)@||||||||||||@@
Poseidon|Wolfgang Petersen|Aventure||2|américain|2006|97|Anglais||XviD|||XVID|864 Kbps|640x256|MPEG-1 Audio layer 3|121 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Mike Fleiss Akiva Goldsman Duncan Henderson Wolfgang Petersen|Mark Protosevich|John Seale||Warner Bros.||Une nuit de Saint Sylvestre festive a commencé au milieu de l'Atlantique Nord, sur le luxueux navire de croisière Poséidon. De nombreux passagers se sont rassemblés dans l'opulente salle de bal pour fêter dignement l'événement avec le capitaine Bradford.Pendant ce temps, le second scrute avec inquiétude l'horizon du haut de la passerelle. La menace surgit en quelques secondes, sous la forme d'une vague géante de plus de 30 mètres de haut, fonçant à toute allure sur le navire. Le second redresse la barre pour éviter un choc frontal, mais il est déjà trop tard.La muraille d'eau se fracasse avec une violence inouïe sur le paquebot qu'elle retourne, quille en l'air. Quelques centaines de rescapés se retrouvent dans la salle de bal, encore intacte quoique située sous la ligne de flottaison... |Josh Lucas (John Dylan)@Kurt Russell (Robert Ramsey)@Jacinda Barrett (Maggie James)@Richard Dreyfuss (Richard Nelson)@Jimmy Bennett (Conor James)@Emmy Rossum (Jennifer Ramsey)@Mike Vogel (Christian)@Mia Maestro (Elena Gonzalez)@Andre Braugher (Capitaine Michael Bradford)@Kevin Dillon (Lucky Larry)@Freddy Rodriguez (Marco Valentin)@Kirk B.R. Woller (l'officier Reynolds)@Gabriel Jarret (l'officier Chapman)@Kelly McNair (Emily)@Stacy Ferguson (Gloria)@David Reivers (John)@Gordon Thomson (Jay)@Jan Munroe (Nick)@Caroline Lagerfelt (Mary)@Jesse Henecke (le responsable de la sécurité)@Valerie Azlynn (une passagère)@Carrie Frymer (une passagère)@Vincent DePaul (Un passager)@Beverly Overstreet (Un passager)@||Secrets de tournage :
Le remake d'un classique
Poséidon est le remake de L'Aventure du Poséidon, un classique du film d'aventure réalisé en 1972 par Ronald Neame, avec Gene Hackman et Ernest Borgnine à l'affiche.
Wolfgang Petersen, réalisateur marin
Avec Poséidon, le réalisateur allemand Wolfgang Petersen, spécialisé dans les grosses productions (Troie, Air Force One, Dans la ligne de mire), confirme son goût pour les films dont l'action se déroule en milieu marin, après Le Bateau (1981), et En pleine tempête (2000).
Un remake novateur
Bien que Poséidon soit le remake de L'Aventure du Poséidon, le réalisateur Wolfgang Petersen ne s'est pas contenté de reprendre les mêmes éléments du film original mais a apporté à ce nouveau volet un contenu plus personnel : "Nous avons repris l'idée d'un navire de croisière retourné par une vague géante durant la nuit de La Saint Sylvestre. Sur ces prémices nous avons construit un tout autre scénario, peuplé de personnages contemporains et originaux. Le film raconte leur histoire. Il est le récit de leurs expériences colelctives et individuelles, de leur odyssée à travers ce navire en perdition."
Un film sur les réactions humaines avant tout
Même si Poséidon reste un film à grand spectacle, le réalisateur Wolfgang Petersen voulait avant tout retranscrire la peur des victimes face à une telle situation : "Ils montrent vos réactions, vos comportements, vos efforts, vos visages, sur lesquels je veux lire toutes les émotions humaines qu'on peut ressentir au cours d'un tel drame."
Tournage californien
Le tournage de Poséidon s'est déroulé dans les studios de la Warner Bros. à Burbank, en Californie. C'est dans ces studios que furent récréés tous les intérieurs du navire.
Emmy Rossum : catastrophe sur catastrophe !
Poséidon est le second film-catastrophe porté par la toute jeune actrice américaine Emmy Rossum, âgée d'à peine vingt ans, après Le Jour d'après de Roland Emmerich (2004).
Des acteurs cascadeurs
Le tournage était périlleux. Malgré les nombreuses cascades du film et le danger qu'elles pouvaient représenter, la plupart des acteurs ont effectué eux-mêmes ces performances. L'acteur Josh Lucas a dû subir un rude entraînement pendant ses heures de repos : " Aujourd'hui, je trouve cela plutôt comique. On aurait dit qu'une journée entière dans l'eau ne me suffisait pas, et qu'il fallait encore piquer une tête dans la piscine pour savoir combien de temps je pouvais rester en apnée !"
Une Black Eyes Peas au générique
L'Américaine Stacy Ferguson, la chanteuse du group Black Eyed Peas, figure au générique de Poséidon, se voyant ainsi offrir son premier rôle important sur grand écran. Celle qui incarne le personnage de Gloria dans ce film catastrophe a toujours voulu entamer une carrière d'actrice. Avant d'opérer sur scène, la jeune femme s'était notamment illustrée dans les séries télévisées California dreams et Mariés, deux enfants.
Un bâteau en image de synthèse
Pour mener à bien les nombreuses scènes spectaculaires de Poséidon, l'équipe de tournage a eu recours à la technologie numérique. En effet, selon le producteur Duncan Henderson, "Tourner à bord d'un vrai paquebot aurait posé davantage de problèmes et aurait imposé à Wolfgang (le réalisateur) des limites insupportables." Ainsi, la création d'un paquebot entier en images de synthèse semblait être la solution idéale : aucune limite n'était alors imposée ! C'est ainsi que grâce aux effets numériques et au studio ILM qui avait travaillé pour un autre film "aquatique" : En pleine tempête, il a été alors de faire submerger un paquebot de 20 étages transportant plus de 4000 passagers !
Une révolution numérique
La plupart des scènes spectaculaires ont été tournées avec des effets numériques. Mais afin que les effets désastreux du naufrage soit crédibles, il a fallu travailler le rendu de l'eau et la modélisation des éléments solides. A cet effet, une équipe de 100 personnes ont mis au point pendant une année entière un programme baptisé "computational fluid dynamics". Mais ce logiciel s'est avéré si puissant qu'il a fallut s'équiper de nouvelles machines. Mais selon Kim Libreri, infographiste du film, l'investissement matériel a été porteur "Le résultat final n'a rien à voira vec l'infographie traditionnelle. Nous ne vous offrons pas le simple "rendu" d'une vague de 50 mètres de haut, mais l'intéraction de phénomènes d'une puissance explosive qui vont submerger le vaisseau (...) Nous vous montrons pour la première fois de gerbes d'eau éclatant sur des objets, les recouvrants, refluant et se reformant de la manière la plus naturelle et la plus réaliste qui soit."
« Préc.
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Possession|Joel Bergvall Simon Sandquist|Epouvante-horreur|||américain|2006|102|Anglais||DIV3|||DIV3|818 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Doug Davison Guy East Roy Lee Nigel Sinclair Bob Yari|Michael Petroni|Gregory Middleton||Yari Film Group Releasing||La vie de Jess est bouleversée après l'accident de voiture dont sont victimes son frère Ryan et son beau-frère Roman. Plongés dans un profond coma, ils semblent avoir peu de chance de s'en sortir. Lorsque Roman se réveille, il prétend être le mari de Jess... |Sarah Michelle Gellar (Jessica)@Lee Pace (Roman)@Michael Landes (Ryan)@Chelah Horsdal (Miranda)@Dhirendra (Dr.Rajan)@William B. Davis (L'hypnotiseur)@Tuva Novotny@Paul Jarrett@Suzanne Bastien@Joel Bergvall@Michael Jonsson@Mark Louie@Jörgen Sandell@||Secrets de tournage :
Gellar, l'art du remake
Possession est le remake du film coréen Jungdok, réalisé en 2002 par Park Young-hoon. L'héroïne de Buffy, tueuse de vampires est une habituée des remakes puisqu'on l'a vue dans The Grudge et The Grudge 2, signés par Takashi Shimizu, réalisateur japonais des films originaux. Elle a également tourné dans Sexe intentions, une nouvelle -et très libre- adaptation des Liaisons dangereuses.
Décroche
Le titre de travail du film était Addicted.
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Predator|John McTiernan|Fantastique||3|américain|1987|102|Anglais||DivX|||DIVX|767 Kbps|720x412|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|661||||25.000|28/07/2009 00:00:00|John Davis Lawrence Gordon Joel Silver|Jim Thomas John Thomas|Donald McAlpine|||Saga : Predator |Parti à la recherche d'une équipe de conseillers militaires américains dans la forêt équatorienne, un commando de mercenaires dirigé par Dutch Schaefer est attaqué par un ennemi invisible et indestructible. |Arnold Schwarzenegger (Major Alan 'Dutch' Schaefer)@Carl Weathers (Dillon)@Jesse Ventura (Blain)@Sonny Landham (Billy Sole)@Shane Black (Hawkins)@Elpidia Carillo (Anna)@Bill Duke (le sergent Mac Eliot )@Kevin Peter Hall (Predator)@R.G. Armstrong (le général Phillips)@Jean-Claude Van Damme (Predator (remplacé))@||||||||||||@@
Predator 2|Stephen Hopkins|Science fiction|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|1991|102|Anglais||DivX|||DIVX|840 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|32.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|702||||25.000|28/07/2009 00:00:00|John Davis Lawrence Gordon Joel Silver|Jim Thomas John Thomas|Peter Levy|||Saga : Predator |Los Angeles 1997. Le détective Mike Harrigan et son équipe luttent contre toutes sortes de trafiquants. Bientôt, un tueur invisible et invulnérable décime leurs rangs. Mike mène son enquête et découvre que Los Angeles est devenue le terrain de chasse d'un prédateur venu d'un autre monde... |Kevin Peter Hall (Predator)@Danny Glover (Lieutenant Mike Harrigan)@Gary Busey (Peter Keyes)@Rubén Blades (Danny)@Maria Conchita Alonso (Leona)@Adam Baldwin (Garber)@Bill Paxton (Jerry Lambert)@Kent McCord (Le Capitaine B. Pilgrim)@Morton Downey Jr. (Tony Pope)@Steve Kahan (Le Sergent)@||||||||||||@@
Premonition|Mennan Yapo|Drame||2|américain|2007|92|Anglais||DX50|||DX50|921 Kbps|608x256|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Ashok Amritraj Jennifer Gibgot Jon Jashni Sunil Perkash Adam Shankman|Bill Kelly|Torsten Lippstock||Metro Goldwyn Mayer (MGM)||Linda Hanson a tout pour être heureuse : un mari aimant, deux filles adorables, une maison de rêve... Mais un jour, tout s'effondre : Linda est avertie que son mari, Jim, est mort dans un accident de la circulation. Le lendemain matin, à son réveil, Linda constate que Jim est bien vivant. Ce n'était donc qu'un banal cauchemar...Mais voilà que ce mauvais rêve, loin de se dissiper, revient la hanter, jour après jour, sans cesse changeant, et toujours plus perturbant. Certains matins, Linda se retrouve veuve ; d'autres fois, c'est aux côtés d'un Jim en pleine forme qu'elle s'éveille. Quel sens donner à ces prémonitions ?Privée de ses repères habituels, ballottée entre des émotions contradictoires, et craignant de sombrer dans la folie, Linda résiste de toutes ses forces à une tragédie imminente. Un seul but désormais : arrêter la ronde infernale du Temps pour tenter de sauver son mariage, son bonheur, son avenir... |Sandra Bullock (Linda Quinn Hanson)@Julian McMahon (Jim Hanson)@Nia Long (Annie)@Kate Nelligan (Joanne)@Courtney Taylor Burness (Bridgette Hanson)@Shyann McClure (Megan Hanson)@Amber Valletta (Claire)@Peter Stormare (le Docteur Norman Roth)@Marc Macaulay (le shérif Reilly)@Irene Ziegler (Madame Quinn)@Marcus Lyle Brown (Bob)@Mark Famiglietti (Doug Caruthers)@Mike Coe (le neveu de Jim)@Jason Douglas (le médecin des urgences)@Jude Ciccolella (le père Kennedy)@||Secrets de tournage :
Les prémonitions de Sandra Bullock
Pour l'actrice Sandra Bullock, Prémonitions "est un film qui génère l'angoisse, par son sujet, par ses ambiances et par certaines touches qui rendent inquiétantes des situations ordinaires. J'ai aimé ce script dès les premières pages."
Sandra Bullock paranormale
Avec Prémonitions, l'actrice Sandra Bullock se retrouve à nouveau dans un univers paranormal après La Disparue (1993), Les Ensorceleuses (1998) et Entre deux rives (2006).
Un thriller psychologique
Le producteur Ashok Armitraj définit Premonitions comme "un grand film à rebondissements." Pour lui, le scénario représentait "une occasion rare d'associer drame personnel, suspense et paradoxe temporel, mais aussi d'impliquer le spectateur sans recourir aux procédés classiques du thriller. Les films qui nous tiennent réellement en haleine n'ont nul besoin de violences ou d'effusions de sang. Les plus prenants sont ceux qui s'appuient sur un ressort psychologique fort."
Nouvelle prémonition pour McMahon
C'est Julian McMahon, le héros de la série Nip/Tuck, qui incarne le rôle masculin principal de Prémonitions. Celui qui a déjà connu l'univers des films fantastiques en jouant le terrible Fatalis des 4 Fantastiques a déjà été précisément confronté à l'expérience de la prémonition : c'était dans la série Charmed, où il tombait amoureux de la sorcière Alyssa Milano, dôtée de ce pouvoir.
Un cinéaste allemand aux commandes
Le producteur Ashok Armitraj souhaitait pour Prémonitions "un réalisateur qui aborde le sujet sous un angle original et en fasse plus qu'un thriller." Pour transcender les limites et conventions d'un film de genre, il fallait selon lui à la fois un bon directeur d'acteurs et un réalisateur sachant évoluer aux frontières du réel, de l'onirisme et du fantastique. Après avoir rencontré plus de 35 cinéastes, les producteurs choisirent l'Allemand Mennan Yapo, réalisateur du thriller Soundless. Ashok Armitraj se souvient : "Ce film onirique et inventif nous a profondément impressionnés. Il correspondait au look et à l'ambiance que nous souhaitions pour Prémonitions."
Un film peut en cacher un autre...
A noter que Prémonitions n'a aucun lien avec le Premonitions réalisé par Neil Jordan en 1999, avec Annette Bening en vedette.
Un tournage différé
Le tournage de Prémonitions aurait dû se dérouler à la Nouvelle-Orléans. Mais le passage de l'ouragan Katrina obligea les producteurs à le différer de plusieurs mois.
Retour vers le futur...
Prémonitions a été écrit par Bill Kelly, l'auteur du scénario de Première sortie, un film qui jouait déjà sur les espaces temporels avec un homme enfermé dans un bunker dans les années 60 et qui se réveillait 40 ans plus tard.
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Head of State|Chris Rock|Comédie||2|américain|2003|95|Anglais||XviD|||XVID|881 Kbps|592x320|MPEG-1/2 L3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|696||||23.976|27/08/2009 00:00:00|Ali LeRoi Chris Rock Michael Rotenberg|Chris Rock Ali LeRoi|Donald E. Thorin||Dreamworks Distribution LLC||Lorsque le candidat démocrate aux élections présidentielles décède en pleine campagne, son parti lui trouve comme remplaçant un dénommé Mays Gilliam. Cet étrange individu est entouré de Mitch, son frère aîné ; de Kim, son ancienne compagne intéressée qui se voit déjà First Lady ; de Martin Geller, son directeur de campagne ; de Lisa Clark, une femme qui croit réellement en lui ; et de Debra Lassiter, qui lui sert de conseiller. |Chris Rock (Mays Gilliam)@Bernie Mac (Mitch Gilliam)@Lynn Whitfield (Debra Lassiter)@Dylan Baker (Martin Geller)@Nick Searcy (Le vice Président Brian Lewis)@Robin Givens (Kim)@Tamala Jones (Lisa Clark)@James Rebhorn (Sénateur Bill Arnot)@Keith David (Bernard Cooper)@Nate Dogg@||Secrets de tournage :
Première réalisation pour Chris Rock
Président par accident marque la première réalisation du comédien Chris Rock. Celui-ci cumule les fonctions puisqu'il apparaît également devant la caméra et a co-écrit son film.
Un projet mûrement réfléchi
S'il ne pensait pas forcément la réaliser, Chris Rock avait déjà depuis longtemps l'idée d'une comédie sur un candidat à l'élection présidentielle américaine. "Nous avons déjà tous vu des films avec un Président noir", déclare le néo-réalisateur. "Je ne voulais pas d'un film sur un Président noir, mais plutôt d'un film sur un homme noir qui se trouve être candidat à l'élection présidentielle."
Entouré d'amis
Pour ses premiers pas en tant que metteur en scène, Chris Rock a pris le soin de s'entourer de collaborateurs fidèles. Ainsi le scénariste Ali LeRoi avait-il déjà travaillé avec le comique américain sur Les Pieds sur terre, alors que Bernie Mac, qui incarne le frère du candidat dans Président par accident a été accueilli à plusieurs reprises sur les plateaux du célèbre talk show animé par Chris Rock.
Direction Washington
Pour s'imprégner de l'atmosphère régnant dans les milieux politiques américains, Chris Rock et son scénariste Ali LeRoi ont déménagé pendant quelques semaines de New York à Washington. L'équipe du film a par ailleurs passé une semaine dans la capitale fédérale pour tourner certains extérieurs dans les monuments de la ville.
Nate Dogg narrateur
Le célèbre rappeur américain Nate Dogg assure dans Président par accident un rôle bien spécifique. Présent à l'écran, le musicien est en fait le "narrateur musical" du film.
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Prête-moi ta main|Eric Lartigau|Comédie||3|français|2006|85|Français||XviD|||XVID|1 005 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|129 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Alain Chabat Amandine Billot Christine Rouxel|Laurent Zeitoun Philippe Mechelen Laurent Tirard Grégoire Vigneron Alain Chabat|Régis Blondeau||Mars Distribution||La vie est facile pour Luis, 43 ans, célibataire heureux, épanoui dans son métier, aimé, choyé, couvé par sa mère et ses cinq soeurs. Cela aurait pu durer toute une vie, mais voilà...Lassées de le materner, celles-ci décident qu'il est temps pour lui de se marier. Le plus vite possible ! Cerné par sa famille qui ne pense plus qu'à ça, il élabore un plan : trouver la femme parfaite qui va se faire passer pour sa fiancée et qui va lâchement l'abandonner le jour du mariage. Après ça, plus personne n'osera même prononcer le mot mariage devant lui. Mais comment trouver cette perle rare ? Luis ne voit qu'une solution : la louer !Et justement, Emma, la soeur de son meilleur ami et collègue, vient d'arriver à Paris et cherche du travail. Ça y est, le plan est en route. Au bout, la liberté pour Luis. Les plans, c'est bien sur le papier. Mais dans la vie, ça peut s'emballer...En avant-programme dans certaines salles : le court métrage Big family de Cyril Cohen |Alain Chabat (Luis)@Charlotte Gainsbourg (Emma)@Bernadette Lafont (Geneviève)@Wladimir Yordanoff (Francis Bertatoff)@Grégoire Oestermann (Pierre-Yves)@Véronique Barrault (Catherine)@Marie-Armelle Deguy (Axelle)@Katia Lewkowicz (Carole)@Louise Monot (Maxine)@Luce Mouchel (Marie)@Christiane Millet (Françoise Messier-Lalande)@Aïssa Maïga (Kirsten Hansen)@Tatiana Gousseff (Francine Lebrun)@Alix de Konopka (Sandrine Bourrague)@Eric Debrosse (François, beau-frère 1 )@Fred Bianconi (Gérard, beau-frère 2)@Christophe Kourotchkine (Gaël)@Virginie Bordes (Annick, la serveuse de bistrot)@Meriem Serbah (la patronne du bistrot)@Patrick Bordier (Hercule Costa)@Zachary Pons (Sandro, 4 ans)@Aurélie Boquien (Jacynthe)@Arnaud Maillard (le traiteur)@Denis Maréchal (le médecin à l'hôpital)@Anne Marivin (la vendeuse de Carabosse)@Anne-Hélène Pfaff (l'hôtesse 'Un Des Sens')@Olivier Rosemberg (le coursier de la mairie)@Mathilda Brissy (Inès)@Ornela Berçon (Clémence)@Laura Jurie (Mélanie)@Amandine de Monartoff (Eva)@Marina Distinguin (Vanessa)@Elisa Distinguin (Agnès)@Pauline de Monartoff (Alice)@Charlotte Fornaro (Pénélope)@Lola Berçon (Lucille)@Lou-Ann Castelli (Aurore)@Marline Brun (Manon)@Eva Le Bouche (Simone)@Philippe Guiraud (un beau-frère)@Philippe Fléchaire (un beau-frère)@Lazare Lartigau (Sandro bébé)@Flore Gautherie (doublure flashback de Carole)@Christian Yvart (Monsieur le maire)@Lybert Ramade (l'homme pacsable)@Céline Bansart (fille restau 1)@Olivia Jerkovic (fille restau 2)@Yaëlle Karp (fille restau 3)@Christine Mus (fille restau 4)@Pénélope Perderau (fille restau 5)@||Secrets de tournage :
La genèse du projet
C'est Alain Chabat qui a eu l'idée de ce film (un homme décide de "louer" une femme afin de la faire passer pour sa future épouse), environ cinq ans avec sa mise en oeuvre effective. Lorsque, en 2005, Christine Rouxel vient prêter main forte à l'Ex-Nul au sein de Chez Wam, la société de production de celui-ci, elle lui demande sur quel projet il souhaite travailler. Chabat propose alors de se lancer dans la mise en route de Prête-moi ta main. A l'époque, le projet s'intitulait, de façon plus provocatrice, Rent à wife. Notons qu'un autre titre avait également été envisagé : L'amour est un bouquet de violettes -en référence à la profession de Luis ("nez" pour un créateur de parfum) et plus particulièrement à une conversation entre Luis et Emma. Ajoutons que dans la première version du scénario, le film penchait plus vers le côté "comédie pure", et peu à peu est apparue la dimension de "comédie romantique".
Ils se connurent et firent beaucoup de films ensemble
Alain Chabat et Charlotte Gainsbourg, couple central de Prête-moi ta main, avaient déjà eu à deux reprises l'occasion de se donner la réplique, tout d'abord, le temps d'une scène, dans Ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants d'Yvan Attal en 2004, puis dans La Science des rêves, la comédie onirico-romantique de Michel Gondry.
Charlotte ouvre les vannes
Peu habituée aux comédies, même si on pu la voir dans ce registre chez Danièle Thompson (La Bûche) ou bien sûr Yvan Attal (Ma femme est une actrice et Ils se marièrent...), Charlotte Gainsbourg confie, interviewée par AlloCiné : "J'étais inquiète avant de tourner, parce que je voyais que c'était une franche comédie. Il y avait des vannes, des répliques qui étaient là pour faire rire. Je me demandais s'il fallait jouer différemment, s'il fallait que je me préoccupe du rythme... Eric et Alain m'ont rassurée en me disant que je pouvais jouer comme je voulais, sans me soucier de ça. Et je pense que le rythme découle des scènes, ce n'est pas un rythme de jeu, quelque chose qu'on doit plaquer, ça vient naturellement."
Producteur, scénariste, acteur... mais pas réalisateur
Initialement, Alain Chabat ne devait pas jouer le rôle principal du film. "En fait, je devais produire et co-écrire, et c'est Eric Lartigau, le réalisateur, qui m'a proposé le rôle. Au départ, le personnage avait une trentaine d'années, et Eric a pensé que ce serait plus marrant si on le vieillissait un peu. Du coup, il m'a proposé le rôle" , explique-t-il lors d'une interview accordée à AlloCiné. Il ajoute : "Je n'ai jamais pensé à le réaliser. On a tout de suite cherché un metteur en scène. Eric, j'adore sa façon de raconter les histoires, et d'entrer dans l'univers de quelqu'un d'autre, comme avec Kad et O par exemple pour Mais qui a tué Pamela Rose ? et Un ticket pour l'espace. Il vient de la télé, il a fait des choses très différentes, il a travaillé pour les Guignols, il a tâté de la sitcom avec H... Je le connaissais un tout petit peu et je me suis dit que ça lui plairait."
Je t'aime, je te manipule...
Le point du départ du film peut sembler cynique, et les personnages peuvent apparaître comme d'impitoyables calculateurs, mais les scénaristes ont tenu à apporter une bonne dose de tendresse à cette histoire : "C'est vrai que ces personnages essaient de manipuler, mais... c'est pas ça ! Ca vaut pour Luis, mais aussi pour Emma, qui n'est pas vénale, qui a un autre enjeu à défendre. De même, Geneviève et les cinq soeurs ne peuvent pas s'empêcher de phagocyter Luis, mais il y a aussi beaucoup d'amour", précise Alain Chabat. Le réalisateur ne dit pas autre chose : "Ils n'hésitent pas à entreprendre des combinaisons improbables pour arriver à leurs fins, mais en définitive, Geneviève, par exemple, essaie de propulser son fils, de le sortir de son marasme. Si elle le provoque comme ça, c'est qu'il y a une raison. Il est englué dans une situation qu'il a lui-même créée, ce n'est pas sa famille qui la lui a imposée." Et, en dépit des vacheries envoyées entre membres d'une même famille dans le film, le message de Prête-moi ta main serait plutôt, selon Eric Lartigau : "Vive les familles nombreuses, où ça parle, où ça se chevauche, ça crie, ça pleure, ça gueule, ça rit... C'est la vie, il y a de l'échange !"
Gainsbourg-Lafont, 20 ans après
Future belle-mère de Charlotte Gainsbourg dans Prête-moi ta main, Bernadette Lafont incarnait Leone, la nounou et confidente de la petite Charlotte, héroïne de L'Effrontée de Claude Miller, le film qui avait révélé la comédienne en 1985 et lui avait valu un César du Meilleur espoir (son aînée décrochant le César du Meilleur second rôle). Les deux actrices ne s'étaient jamais revues depuis. Interrogée par Allociné, Charlotte Gainsbourg confie : "C'était le premier rôle magique que j'ai eu, le premier souvenir de tournage magique, dont elle faisait entièrement partie. Donc c'était très émouvant pour moi de la retrouver". Bernadette Lafont ajoute : "Dans Prête-moi ta main, Geneviève veut marier son fils, ok, mais en même temps, elle a un coup de foudre pour Emma dès la première apparition. Ce n'était pas difficile à jouer pour moi, parce que j'avais adoré cette petite jeune fille bouleversante dans L'Effrontée, c'était presque un bébé, elle avait 14 ans. En plus, dans le film, on avait une relation particulière, parce qu'elle avait perdu sa mère. Donc cette fois, je n'avais pas besoin de chercher des choses pour l'aimer, puisque c'était le cas !"
Emma, l'effrontée
Loin de l'image de jeune femme pure et douce que certains peuvent avoir d'elle, Charlotte Gainsbourg interprète Emma, un personnage au comportement parfois provocateur et au vocabulaire pas toujours châtié... "Il y a beaucoup de plaisir à dire des horreurs. J'aime beaucoup la grossièreté, donc il y avait un énorme plaisir à faire ce genre de scène, confesse, au micro d'Allociné, l'actrice, qui a par ailleurs participé à la création du look d'Emma. "J'ai pris une grande part dans la construction du personnage, dans tout le côté vestimentaire : avec la costumière, on était plutôt sur la même longueur d'ondes. J'ai proposé pas mal de choses, je trouvais ça très marrant d'imaginer une garde-robe et une silhouette à ce personnage."
Ainsi fait Lafont
Interrogée par AlloCiné, Bernadette Lafont parle des femmes qui l'ont inspirée pour composer son personnage : "Il y a forcément les grands modèles italiens : Magnani, Sophia Loren, et puis le fait d'avoir été moi-même enfant dans le Sud, élevée à Nîmes. A l'époque, il y avait des familles comme ça, avec des femmes qui ne sortaient pas, et qui étaient des maîtresses-femmes chez elles ! "
King of comedy
Certains acteurs déclarent que tourner une comédie n'est pas forcément une partie de plaisir. Qu'en pense Alain Chabat, héros de Prête-moi ta main mais aussi réalisateur de Didier et Astérix et Obélix : mission Cléopâtre ? Interrogé par Allociné, il répond : "Je trouve que les comédies, c'est assez marrant à tourner . Pour moi, une comédie, ça se joue comme un Pialat. Les personnages qui sont dans le film ne savent pas qu'ils sont dans une comédie, ils sont dans la vraie vie, et ils on des problèmes, des drames... Donc, pour moi, que je joue Papa, Gazon maudit, Le Cousin ou La Cité de la peur, c'est un peu la même chose (...) avec juste ce petit truc bizarre dans la comédie, qui consiste à se demander : est-ce qu'on a le bon timing, est-ce que c'est marrant, est-ce que ça passe ?"
Prête-moi ton stylo
Laurent Tirard, le réalisateur de Mensonges et trahisons et plus si affinités... et Molière ou le comédien malgré lui, ainsi que son co-scénariste Grégoire Vigneron, ont participé à l'écriture du script de Prête-moi ta main. En dehors d'Alain Chabat, les autres scénaristes sont Philippe Mechelen et Laurent Zeitoun, qui fut le complice d'un autre ex-Nul, Dominique Farrugia, pour la rédaction du livre humoristique La Stratégie de l'échec.
« Préc.
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Pretty Woman|Garry Marshall|Comédie||3|américain|1990|114|Anglais||DIVX|||DIVX|713 Kbps|720x416|WMA2|64.1 Kbps|False|44.1 KHz|2|645||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Arnon Milchan Steven Reuther|J.F. Lawton|Charles Minsky||Warner Bros. France||Edward Lewis, homme d'affaires performant, rencontre par hasard Vivian Ward, beaute fatale qui arpente chaque nuit les trottoirs d'Hollywood Boulevard. La jeune femme ne fera qu'une bouchee du brillant PDG. |Richard Gere (Edward Lewis)@Julia Roberts (Vivian Ward)@Ralph Bellamy (James )@Jason Alexander (Philip Stuckey)@Laura San Giacomo (Kit De Luca)@Alex Hyde-White (David Morse)@Hank Azaria (Le détective)@Amy Yasbeck (Elizabeth Stuckey)@Hector Elizondo (Barney Thompson)@Larry Miller (Mr. Hollister)@Andrea Parker (Doublure de Julia Roberts)@||Secrets de tournage :
Gary Marshall et Hector Elizondo inséparables
Garry Marshall a dirigé Hector Elizondo à quatorze reprises, dans Young doctors in love (1982), Le Kid de la plage (1984), Rien en commun (1986), Overboard (1987), Au fil de la vie (1988), Pretty woman (1990), Frankie & Johnny (1991), Exit to Eden (1994), Dear God (1996), The Other sister (1999), Just married (ou presque) (id.), Princesse malgré elle (2001), Un mariage de princesse (2004) et Raising Helen (id.).
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Raging Inferno|Rainer Matsutani|Action|||Allemagne|2007|96|||XviD|||XVID|877 Kbps|576x320|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||25.000|27/08/2009 00:00:00|||||||Tom a quitté la corps des pompiers depuis la mort de son meilleur copain lors d'un incendie. Il s'est reconverti en chauffeur de taxi. Mais un jour, il apprend que le restaurant panoramique situé au dernier étage de la tour de la télévision de Berlin est la proie des flammes. Il décide de se rendre immédiatement sur les lieux du sinistre d'autant plus que, parmi le personnel du bâtiment, figure son ex-fiancée. Arrivé sur place, il tente de se mêler aux sauveteurs mais le commandant des pompiers, qui est aussi le père de son copain défunt, refuse catégoriquement: il le tient pour responsable de la mort de son fils... |Stephan Luca@||||||||||||@@
Timeline|Richard Donner|Fantastique||2|américain|2004|107|||DX50|||DX50|843 Kbps|572x304|MPEG-1 Audio layer 3|59.2 Kbps|False|44.1 KHz|1|701||||29.970|28/07/2009 00:00:00|Richard Donner Lauren Shuler Donner Jim Van Wyck|George Nolfi Jeff Maguire|Caleb Deschanel||Paramount Pictures||L'archéologue Edward Johnston et son équipe travaillent depuis plusieurs mois dans la vallée de la Dordogne, sur le site de l'ancien village médiéval de Castelgard. Mais Johnston regagne les Etats-Unis pour un entretien avec son sponsor, Robert Doniger, patron de l'International Technology Corporation. Il confie le chantier à son adjoint, entouré de son fils et de trois étudiants.Poursuivant les fouilles, l'équipe fait deux découvertes stupéfiantes : une lentille bifocale de conception récente et une lettre datant de 1357 et renfermant un appel à l'aide du professeur Johnston. Insistant pour tester lui-même l'invention, Johnston s'est téléporté au beau milieu d'une sanglante guerre franco-anglaise. Son salut repose désormais sur le courage et le dévouement de ses étudiants. Accepteront-ils de devenir à leur tour "prisonniers du temps" et d'affronter les pires violences ? |Paul Walker (Chris Hughes)@Gerard Butler (Andre Marek)@Neal McDonough (le docteur John Gordon)@Ethan Embry (David Stern )@Frances O'Connor (Kate Ericson)@David Thewlis (Robert Doniger )@Anna Friel (Lady Claire)@Lambert Wilson (Lord Arnaut)@Marton Csokas (De Kere )@Billy Connolly (le professeur Edward Johnston )@Matt Craven (Steven Kramer)@Michael Sheen (Lord Oliver)@||Secrets de tournage :
Adapté de l'oeuvre de Michael Crichton
Prisonniers du temps est l'adaptation cinématographique du roman homonyme de Michael Crichton, auteur de nombreux best-sellers portés à l'écran parmi lesquels Morts suspectes, Jurassic Park ou encore Le 13ème guerrier.
Paul Walker en tête d'affiche
Les producteurs décidèrent d'emblée que l'histoire se suffisait à elle-même et que la présence d'une superstar ne ferait que l'alourdir. Lauren Shuler Donner explique : "Le film tient ici la vedette, ce qui ne nous a pas dissuadés de rechercher les meilleurs interprètes et les plus
aptes à servir le projet".
Le principal objectif du couple Donner fut de réunir un ensemble homogène de haut niveau, l'interprète le plus "reconnaissable" de tous étant Paul Walker. Pour Richard Donner, "Paul possède les qualités d'un
Steve McQueen ou d'un Mel Gibson, tout en ayant son propre style. Il s'intéresse réellement à tous les aspects de la création cinématographique et c'est un bonheur de l'avoir à ses côtés".
Lambert Wilson à l'international
En interprétant Lord Arnaut dans cette grosse production hollywoodienne, Lambert Wilson confirme le tournant que prend sa carrière vers l'international. Sur 2003 - 2004, l'acteur d'origine britannique apparaît également dans les deux volets de la saga Matrix (Matrix reloaded et Matrix revolutions) et dans le spin-off Catwoman, dont Halle Berry joue le rôle-titre.
Entraînement et maniement d'armes
En vue des scènes d'action du film, Paul Walker, Gerard Butler, Anna Friel, Michael Sheen,
Lambert Wilson et Marton Csokas suivirent un entraînement méthodique et diversifié, adapté aux spécificités de leurs personnages : escalade pour O'Connor, équitation pour Friel, Wilson et Csokas, maniement du sabre pour Sheen et Csokas.
La conception des décors
Après avoir prospecté le continent nord-américain, les producteurs choisirent pour base
principale de tournage Montréal. C'est là que le chef décorateur Dan Dorrance et le conseiller visuel Tom Sanders ont fait revivre la France du XIVe siècle.
Dorrance visita plusieurs châteaux en Angleterre, en Allemagne et en France et consulta une multitude d'ouvrages de référence avant de baser sa création sur un château de la vallée de la Dordogne. La structure fut édifiée en treize semaines sur un champ des environs de Montréal. Ensuite, à la demande de Richard Donner, Dorrance et ses collaborateurs s'attaquèrent à la construction en dur et à
l'échelle humaine de la forteresse de La Roque.
L'apport de la Compagnie Médiévale
Pour les scènes de bataille, Richard Donner et son équipe ont fait appel à la "Compagnie Médiévale", un groupe de passionnés et d'érudits de Montréal qui consacre ses week-ends à recréer les joutes, les combats à l'arme blanche et les concours de tirs à l'arc du Moyen-Âge. Cette Compagnie Médiévale a fourni le "noyau dur" des deux armées, qu'ont complété des figurants et des cascadeurs disposés à certains points stratégiques.
Les scènes de combat les plus élaborées mobilisèrent jusqu'à plus de 300 participants armés de masses, de sabres, d'épées, d'arcs et de flèches incendiaires.
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The Gravedancers|Mike Mendez|Epouvante-horreur||2|américain|2006|95|Anglais||XviD|||XVID|892 Kbps|720x388|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|702||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Al Corley Lawrence Elmer Fuhrmann Jr. Bill McCutchen Eugene Musso Bart Rosenblatt|Brad Keene Chris Skinner|David A. Armstrong||||Un cimetière maudit, des esprits maléfiques, une soif de vengeance. Trois jeunes se rendent une nuit dans un cimetière lugubre et isolé, pour se recueillir sur la tombe de leur ami Devin, mort dans un accident de voiture, et noyer leurs souvenirs dans l'alcool. Leur agitation et leurs cris réveillent alors les sinistres occupants des lieux, bien décidés à leur faire payer de leurs vies leurs profanations. |Dominic Purcell (Harris McKay)@Josie Maran (Kira Hayden)@Clare Kramer (Allison Mitchell)@Marcus Thomas (Sid Vance)@Tchéky Karyo (Vincent Cochet)@Megahn Perry (Frances Culpepper)@Martha Holland (Emma)@Oakley Stevenson (la femme hantée)@Samantha MacIvor (l'infirmière Jenny)@Jim McKeny (le docteur)@Bob McHone (le prêtre)@||||||||||||@@
Mindhunters|Renny Harlin|Thriller|Interdit aux moins de 12 ans|3|britannique, américain|2005|101|Anglais||XviD|||XVID|787 Kbps|592x320|MPEG-1 Audio layer 3|160 Kbps|False|48.0 KHz|2|696||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Jeffrey Silver Scott Strauss Robert F. Newmyer Cary Brokaw|Wayne Kramer Kevin Brodbin|Robert Gantz||Dimension Films||Sept jeunes agents parmi les plus prometteurs du FBI n'ont plus qu'un ultime test à passer pour devenir des profileurs psychologiques. Jake Harris, chargé de leur entraînement, n'est pas un agent comme les autres. La dernière épreuve qu'il leur a concocté va se révéler plus vraie que nature, au risque de leur coûter la vie...Isolés sur une île, coupés du monde, les jeunes agents vont rapidement découvrir qu'un véritable serial killer se cache parmi eux. |Val Kilmer (Harris)@Christian Slater (J.D. Reston)@LL Cool J (Gabe Jensen)@Eion Bailey (Bobby Whitman)@Clifton Collins Jr. (Vince Sherman)@Will Kemp (Rafe Perry )@Jonny Lee Miller (Lucas Halpern)@Kathryn Morris (Sara Moore)@Patricia Velasquez (Nicole Willis)@Cassandra Bell (Jen)@||Secrets de tournage :
Retrouvailles Renny Harlin / LL Cool J
Mindhunters marque les retrouvailles de Renny Harlin avec LL Cool J, le premier ayant dirigé le second dans Peur bleue en 1999.
Préparation au rôle pour LL Cool J
Pour préparer son rôle, LL Cool J a perdu 18 kg et a passé beaucoup de temps avec des inspecteurs de la brigade des homicides de Philadelphie. "J'ai appris énormément de choses avec eux, raconte-t-il. J'ai découvert la façon dont ils fonctionnent, leur état d'esprit, leur façon de voir la vie, ce qu'il faut pour affronter ce genre de crimes chaque jour."
3e collaboration Slater / Kilmer
Avec Mindhunters, Val Kilmer et Christian Slater se donnent pour la troisième fois la réplique à l'écran. Les deux comédiens ont auparavant été partenaires dans True romance (1993) et Hard cash (2001).
Gerard Butler pressenti au casting
Gerard Butler était initialement pressenti pour jouer le rôle de la recrue Lucas Halpern, mais il dut laisser sa place à Jonny Lee Miller, car à la même période il devait tourner Prisonniers du temps sous la direction de Richard Donner.
Rencontre avec des profilers
La production s'est assurée de l'authenticité du scénario dans les moindres détails, notamment pour tout ce qui concerne l'équipe de profilers du FBI. Le producteur Jeffrey Silver raconte : "Nous avons rencontré plusieurs profilers psychologiques, dont l'ancien directeur de l'Académie du FBI, Jim Greenleaf. Il l'a dirigée pendant quatre ans. Nous sommes allés à Quantico et nous avons appris avec les étudiants."
Une semaine d'entraînement
Après une lecture complète du scénario ensemble, les acteurs ont suivi une semaine d'entraînement pour apprendre comment bouger, comment recueillir des preuves et comment tirer comme des agents du FBI. Kathryn Morris raconte : "C'était à la base un entraînement de S.W.A.T.. Ils étaient incroyablement précis sur la manière d'utiliser les armes, sur la manière dont on entre dans une pièce, dont on la sécurise. Des vies sont en jeu, la vôtre, souvent en plus de celle de quelqu'un d'autre, et il faut beaucoup de détermination et de sang-froid pour assumer ce genre de situation."
Tournage en Hollande
L'équipe du film a tourné tous les décors en Hollande, sur les plages de sable balayées par les vents, dans des lieux à l'architecture inhabituelle, puis tous les éléments ont ensuite été intégrés pour représenter un seul et même lieu, l'île, grâce aux effets visuels. Le bâtiment qui figure l'Académie du FBI a été découvert à La Haye. C'est à Kootwijk, dans une ancienne station de diffusion radio art déco, qu'a été installée la base de l'équipe sur Oneiga Island.
Une fausse ville à créer
Pour créer la fausse ville "Crimetown", lieu d'entraînement du FBI, la production a trouvé un véritable camp d'entraînement dans la ville de Osendrecht. Renny Harlin raconte : "Je n'en ai pas cru mes yeux quand nous sommes arrivés là-bas. C'est une ville de béton qui ressemble à une ville industrielle allemande et qui a été construite pour que l'armée et la police de toute l'Europe viennent s'entraîner et pratiquer leurs méthodes de combat urbain. C'était une découverte d'une valeur inestimable pour notre film."
Après avoir obtenu l'autorisation d'y tourner, le chef décorateur Charles Wood a décoré l'endroit pour qu'il ressemble à celui qu'utilise le FBI dans la réalité.
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Psycho|Alfred Hitchcock|Thriller|Interdit aux moins de 12 ans|4|américain|1960|103|Anglais||DX50|||DX50|833 Kbps|608x384|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Alfred Hitchcock|Joseph Stefano|John L. Russell||Action Cinémas / Théâtre du Temple|Saga : Psychose |Marion Crane en a assez de ne pouvoir mener sa vie comme elle l'entend. Son travail ne la passionne plus, son amant ne peut l'épouser car il doit verser une énorme pension alimentaire le laissant sans le sou... Mais un beau jour, son patron lui demande de déposer 40 000 dollars à la banque. La tentation est trop grande, et Marion s'enfuit avec l'argent.Très vite la panique commence à se faire sentir. Partagée entre l'angoisse de se faire prendre et l'excitation de mener une nouvelle vie, Marion roule vers une destination qu'elle n'atteindra jamais. La pluie est battante, la jeune femme s'arrête près d'un motel, tenu par un sympathique gérant nommé Norman Bates, mais qui doit supporter le caractère possessif de sa mère.Après un copieux repas avec Norman, Marion prend toutes ses précautions afin de dissimuler l'argent. Pour se délasser de cette journée, elle prend une douche... |Anthony Perkins (Norman Bates)@John Gavin (Sam Loomis)@Vera Miles (Lila Crane)@Martin Balsam (Détective Milton Arbogast)@Janet Leigh (Marion Crane)@John McIntire (Shérif Al Chambers)@Simon Oakland (Dr. Richmond)@Vaughn Taylor (George Lowery)@Frank Albertson (Tom Cassidy)@Lurene Tuttle (Eliza Chambers)@Patricia Hitchcock (Caroline)@John Anderson (Charlie)@Mort Mills (Le policier en patrouille)@Alfred Hitchcock (L'homme au chapeau de cowboy)@Jeanette Nolan (La voix de Norma Bates)@||Secrets de tournage :
Robert Bloch
Robert Bloch, écrivain plébiscité dans le monde de l'horreur, a été souvent adapté au cinéma. Outre Psychose, ses oeuvres sont à l'origine de Crâne maléfique (1965), Le Jardin des tortures (1967) ou encore L'Asile (1972). Très critiqué pour le racolage dont le livre faisait preuve (dans son roman, la scène de la douche était beaucoup plus explicitement érotique), Robert Bloch aimait à rappeler qu'il conservait toujours dans son portefeuille une note d'attention d'Hitchcock lui-même, qui disait : "Je n'ai rien changé à Psycho".
Vera Miles, pas une inconnue pour Hitchcock
L'actrice Vera Miles n'était pas une inconnue dans le monde d'Hitchcock. Elle avait en effet participé au premier des 265 épisodes de la série Alfred Hitchcock présente en 1955, intitulé "Revenge". Mais sa grossesse l'empêchera de tenir le premier rôle de Sueurs froides, pour lequel elle était prédestinée. La série Hitchcock présente révèlera bien d'autres talents, notamment Robert Altman.
Une scène d'étude
La scène de la douche de Psychose est actuellement la scène la plus étudiée par les étudiants en cinéma du monde entier.
Une astuce d'Hitchcock
Comment Alfred Hitchcock a-t-il filmé la chute dans l'escalier du détective Arbogast lors de son attaque ? Il a tout d'abord filmé l'escalier en le descendant sans aucun acteur, puis le comédien qui joue Arbogast n'a plus eu qu'à s'assoir sur une chaise devant un écran projetant le défilement de l'escalier en arrière plan. Martin Balsam n'avait plus qu'agiter des bras pendant que les pieds de sa chaise étaient secoués par des techniciens.
Petite visite du maître
Dans la bande-annonce de Psychose, on pouvait voir Alfred Hitchcock présenter aux spectateurs la maison de Norman Bates. Au cours de la visite, il montrait les différents endroits de la maison où risquait de se dérouler de macabres évènements...
Juste une comédie...
Pendant la période de promotion du film, et même bien après son exploitation en salles, Alfred Hitchcock aimait à parler de Psychose comme "juste une comédie macabre". Selon son propre aveu, son film le plus terrifiant était Les Oiseaux (citation qu'on pouvait retrouver sur l'affiche française du film).
Janet Leigh : "Non aux douches !"
Entretien du mythe ou traumtisme profond ? Quoi qu'il en soit, Janet Leigh avoue bien volontiers dans ses différentes interviews ne plus pouvoir prendre de douche depuis qu'elle a joué dans Psychose.
Pas d'Oscars
Bien que Psychose se verra nominé quatre fois aux Oscars, dans les catégories Meilleur photographie, Meilleurs décors, Meilleur réalisateur et Meilleure actrice dans un second rôle (Janet Leigh), il n'en remporta malheureusement aucun. Janet Leigh put se consoler avec le Golden Globe de la Meilleure actrice dans un second rôle qu'elle avait remporté deux mois plus tôt.
Une référence du film d'épouvante
Psychose est devenu une référence dans le domaine du film d'épouvante. La fameuse scène de la douche a par exemple été souvent imitée, comme dans Pulsions de Brian De Palma. On retrouve le nom de "Loomis" dans Halloween, La Nuit des masques (le Dr. Loomis, Donald Pleasence), ainsi que dans Scream : Billy Loomis, interprété par Skeet Ulrich. Ce personnage y reprend d'ailleurs l'une des phrases prononcée par Norman Bates : "We all go a little mad sometimes" ("On finit tous par devenir un peu fou de temps en temps").
Un remake curieux
Le film Psychose d'Alfred Hitchcock fit l'objet en 1998 d'un remake curieux : Psycho de Gus Van Sant. Celui-ci reprenait en effet plan par plan son célèbre original, la seule différence notable étant l'ajout de la couleur. Gus Van Sant respecta par exemple les erreurs commises par Hitchcock, l'apparition caméo du cinéaste en apparaissant à sa place... Les différences tiennent à la prise de vue de la scène d'ouverture, les quelques bruits de masturbation de Norman Bates rajoutées, ou encore le changement de couleur du soutien-gorge de Marion Crane, qui de noir passe à vert, la couleur de la trahison. Interprété par Anne Heche, Vince Vaughn, Julianne Moore, William H. Macy et Viggo Mortensen, le film ne remportera pas le même succès que son prédécesseur.
Adaptation
Le film Psychose est basé sur un roman de Robert Bloch. Alfred Hitchcock en acquit les droits de façon anonyme pour la somme de 9 000 dollars, puis ensuite se chargea d'acheter le plus de copies possibles du livre en circulation afin d'éviter que ne se dévoile trop tôt l'électrochoc de l'effet de surprise de la trame dramatique.
Le plan-séquence d'ouverture
Alfred Hitchcock souhaitait à l'origine que son film s'ouvre sur un long plan-séquence de six kilomètres au dessus de la ville jusqu'à la chambre d'hôtel de Marion Crane. Mais les technologies de l'époque ne permirent pas la réalisation d'une telle prise de vue. Gus Van Sant réalisa cette séquence d'ouverture dans le remake qu'il signa en 1998.
Un projet en chasse un autre
Alfred Hitchcock se lança dans la production de Psychose après avoir abandonné l'idée de mettre en scène un film intitulé No Bail for the judge, qui aurait réuni le cinéaste et Audrey Hepburn.
Une idée volée à Clouzot
Alfred Hitchcock a repris l'idée de Henri-Georges Clouzot (pour Les Diaboliques) de fermer les salles projetant Psychose aux retardataires. La star du film (Janet Leigh) disparaissant dès le premier tiers du film (chose impensable à l'époque), Hitchcock désirait vraiment que la narration dramatique de l'histoire et son suspense soient respectés.
Economies, économies...
Afin de faire des économies de temps et d'argent, Alfred Hitchcock fit appel à l'équipe technique de ses deux célèbres séries, The Alfred Hitchcock hour et Alfred Hitchcock presents : le directeur de photographie John L. Russell, le compositeur Bernard Herrmann, son fidèle monteur George Tomasini...
La fille d'Hitchcock
Dans Psychose, on peut apercevoir à l'écran les débuts d'une actrice tout à fait spéciale : Patricia Hitchcock, la fille du cinéaste, qui joue le personnage de Caroline. Mais la jeune femme n'a jamais vraiment continué dans cette voie, préférant conserver et restaurer l'oeuvre cinématographique de son père.
Un énorme succès
Psychose ne coûta que 800 000 dollars, et en remporta plus de 40 millions. Le film permit à son réalisateur de devenir riche, puisque Alfred Hitchcock, alors investisseur financier principal, remporta plus de 2,5 millions de dollars.
Le meurtre du détective
Lors de la scène du meurtre du détective Arbogast, Alfred Hitchcock s'est servi d'une doublure (pour Anthony Perkins) un peu spéciale, nommée Mitzi. La jeune femme avait en effet la particularité d'être naine.
Une pose obligatoire
La pose que prend Janet Leigh après avoir été poignardée a été imposée par Alfred Hitchcock. En effet, il était impossible pour l'époque que les spectateurs aperçoivent à l'écran les seins de la comédienne. La scène a été répétée avec une modèle nue, afin d'obtenir plus de réalisme lors de la chute sur le sol.
Histoire de prénoms
Les prénoms féminins ont toujours eu une grande importance pour Alfred Hitchcock. Ainsi, avec Marion, prénom du personnage féminin de Psychose, et Mélanie, prénom du rôle tenu par Tippi Hedren dans Les Oiseaux, il composera le prénom Marnie, héroïne de Pas de printemps pour Marnie (1964).
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Un rôle très prisé
Plusieurs actrices ont été envisagées afin d'incarner le rôle de Marion Crane. En effet, puisque le personnage était censé disparaître au premier tiers du film, Alfred Hitchcock voulait absolument engager une vedette, encore une fois afin de surprendre et déstabiliser son public. Le cinéaste a donc pensé à Eva Marie Saint, Piper Laurie, Lana Turner, Shirley Jones, Hope Lange ou encore Martha Hyer. Mais c'est finalement Janet Leigh qui deviendra la victime de l'un des meurtres les plus terrifiants de l'histoire du cinéma.
Des décors toujours présents
Les décors utilisés pour tourner Psychose, à savoir la maison de Norman Bates et le motel, existent toujours. Ils font aujourd'hui l'objet d'une attraction des Studios Universal à Los Angeles, et peuvent en conséquence être visités.
Des suites, un téléfilm...
Le succès de Psychose a engendré le tournage de deux suites cinématographiques, dans lesquelles Anthony Perkins reprit le rôle de Norman Bates : Psychose II (1983) de Richard Franklin et Psychose III (1986) d'Anthony Perkins lui-même. Les décors du film original seront réutilisés. Un téléfilm, intitulé Psycho IV, verra également le jour, retraçant la genèse de Norman Bates, avec Henry Thomas (le petit Elliott d'E.T. l'extraterrestre) dans le rôle du jeune serial-killer.
Histoire vraie ?
Alfred Hitchcock aimait à le rappeler : Psychose est basé sur des faits réels, d'après l'histoire d'Ed Gein, reconnu coupable en 1957 d'avoir tué deux femmes dans le Wisconsin. Il avait conservé la tête de ses victimes et avait fait des abat-jour et des sièges avec la peau des corps, tout en préservant intacte la chambre de sa mère, décédée douze ans auparavant. C'est sa personnalité qui est à l'origine du personnage de Norman Bates.
Le caméo d'Hitchcock
Dans tous ses films, Alfred Hitchcock tient à faire une petite apparition clin d'oeil aux spectateurs. Psychose ne déroge pas à la règle, car le cinéaste peut être vu en train d'arborer un chapeau de cowboy dès la quatrième minute du film, hors du bureau de Marion Crane.
Une scène célèbre prévue silencieuse
Alfred Hitchcock voulait tourner à l'origine la scène de la douche dans le silence le plus total, ne laissant que les hurlements de Janet Leigh se confondre avec le son du couteau pénétrant la chair. C'est le compositeur Bernard Herrmann qui l'en dissuada en lui présentant la partition musicale qu'il avait préparé pour la scène. Dès la première écoute, Hitchcock changea d'avis.
Herrmann et Hitchcock, sixième !
Bernard Herrmann composait pour la sixième fois la musique originale d'un long-métrage d'Alfred Hitchcock. Outre les séries The Alfred Hitchcock Hour et Alfred Hitchcock présente, Bernard Herrmann a assuré les partitions musicales des films Mais qui a tué Harry ? (1955), Le Faux Coupable (1956), L'Homme qui en savait trop (1956), Sueurs froides (1958), La Mort aux trousses (1959), Psychose (1960) et enfin Pas de printemps pour Marnie (1964).
Musique à cordes
La musique de Bernard Herrmann lors de la séquence d'ouverture n'a nécessité l'utilisation que d'instruments à cordes, dont les sonorités stridentes sur un tempo rapide amplifiait l'angoisse du spectateur. Le point culminant de cette angoisse musicale reste la sonorité répétée lorsque Marion Crane est poignardée dans sa douche, partition musicale qui reste la référence de l'horreur au cinéma, et réutilisée à l'infini depuis.
En noir et blanc
Alfred Hitchcock a tenu à filmer Psychose en noir et blanc car il pensait que le film deviendrait vite plus gore qu'angoissant si il était en couleurs.
Le bruit de la chair
Afin d'imiter le bruit du couteau pénétrant la chair de Marion Crane dans la scène de la douche, Alfred Hitchcock a enregistré le bruit d'un couteau planté dans un melon.
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Psycho II|Richard Franklin|Epouvante-horreur||2|américain|2|108|Anglais||DX50|||DX50|756 Kbps|720x544|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|693||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Hilton A. Green|Tom Holland|||Universal Pictures|Saga : Psychose |Après 22 ans passés dans un asile psychiatrique, Norman Bates retrouve enfin sa liberté et rentre au motel familial. Il fait la connaissance de Mary Loomis, une jeune femme assez troublante juste avant de se retrouver dans la même situation que 22 ans plus tôt. Mais alors qu'il s'apprête à assassiner Maureen, il l'empêche de se suicider et tombe amoureux d'elle. Et si Mme Bates était encore vivante ? Et si Norman retrouvait sa folie ? Et si quelqu'un le faisait passer pour fou ? |Anthony Perkins (Norman Bates)@Vera Miles (Lila Crane-Loomis )@Meg Tilly ( Mary Samuels/Mary Loomis )@Robert Loggia (Docteur Raymond)@||||||||||||@@
Psycho III|Anthony Perkins|Epouvante-horreur||2|américain|2|88|Anglais||XviD|||XVID|964 Kbps|720x384|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|703||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Hilton A. Green|Charles Edward Pogue|||Universal Pictures|Saga : Psychose |Toujours dans son "Motel", Norman Bates semble redevenu normal et tente d'aider une jeune femme assez troublée, mais l'ombre de sa mère plane encore. |Anthony Perkins (Norman Bates)@Diana Scarwid (Maureen Coyle )@||||||||||||@@
Psycho IV : The Beginning|Mick Garris|Epouvante-horreur||2|américain|1990|92|||XviD|||XVID|900 Kbps|720x568|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|686||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Les Mayfield George Zaloom|Robert Bloch Joseph Stefano|Rodney Charters|||Saga : Psychose |Norman Bates, apparemment réhabilité, participe à une émission de radio, tard la nuit. L'animateur l'encourage à partager ses opinions sur le parricide notamment. Norman Bates va "se raconter" : comment vivre auprès d'une mère veuve schizophrène quand on est encore qu'un jeune garçon. Cela va t-il raviver ses instincts de meurtre? |Anthony Perkins (Norman Bates)@Henry Thomas (Norman Bates jeune)@Olivia Hussey (Norma Bates)@CCH Pounder (Fran Ambrose)@Warren Frost (Le docteur Leo Richmond)@Donna Mitchell (Connie Bates)@Thomas Schuster (Chet Rudolph)@Sharen Camille (Holly)@John Landis (Mike)@||||||||||||@@
Public access|Bryan Singer|Thriller||2|américain|1993|82|Anglais||DX50|||DX50|967 Kbps|720x544|MPEG-1 Audio layer 3|192 Kbps|False|48.0 KHz|2|690||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Kenneth Kokin|Bryan Singer Christopher McQuarrie Michael Feit Dougan|Bruce Douglas Johnson||||La petite ville de Brewster voit sa tranquillité perturbée par l'arrivée de Whiley Pritcher, créateur d'une émission télévisée locale censé déterrer les secrets de la ville. |Ron Marquette (Whiley Pritcher)@Burt Williams (Bob Hodges)@Leigh Hunt (L'invitée d'Intersect)@John Renshaw (L'invité de Jock Talk)@Jennifer McManus (La réceptionniste)@||||||||||||@@
Pulp Fiction|Quentin Tarantino|Policier|Interdit aux moins de 12 ans|4|américain|1994|153|Anglais||DIV3|||DIV3|529 Kbps|720x320|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|694||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Lawrence Bender|Quentin Tarantino Roger Avary|Andrzej Sekula||Bac Films||L'odyssée sanglante et burlesque de petits malfrats dans la jungle de Hollywood à travers trois histoires qui s'entremêlent. |John Travolta (Vincent Vega)@Samuel L. Jackson (Jules Winnfield)@Uma Thurman (Mia Wallace)@Bruce Willis (Butch Coolidge)@Harvey Keitel (Winston Wolfe)@Ving Rhames (Marsellus Wallace)@Steve Buscemi (Buddy Holly)@Quentin Tarantino (Jimmie Dimmick)@Rosanna Arquette (Jody)@Tim Roth (Pumpkin (Ringo))@Amanda Plummer (Honey Bunny (Yolanda))@Maria de Medeiros (Fabienne)@Christopher Walken (Le capitaine Koons)@Eric Stoltz (Lance)@Bronagh Gallagher (Trudi)@Peter Greene (Zed)@Burr Steers (Roger)@Frank Whaley@Alexis Arquette@Paul Calderon@Kathy Griffin@Dick Miller@Julia Sweeney@Lawrence Bender@Angela Jones (Esmeralda Villalobos)@||Secrets de tournage :
La boucle est bouclée
Lors de la scène d'ouverture, avec Pumpkin et Honney Bunny en train de discuter et de braquer ensuite le bar, on peut aperçevoir de dos lors d'un plan Vincent Vega en T-shirt / caleçon, qui s'en va aux toilettes (comme à la fin) !
Clin d'oeil à Russ Meyer, l'un de ses modèles.
Lorque Butch tente de sortir du bazar où il est retenu avec Marselle, sa conscience le rappelle à l'ordre.
Il regarde alors le mur de la boutique, s'empare d'une tronçonneuse puis finalement choisi le katana pour sauver Marsellus.
Cette scène n'est pas sans rappeler l'adoration de Tarantino pour Meyer. En effet, dans son film de 1976,MEGAVIXENS, le réalisateur décédé montrait le policier Homer Johnson qui, pour délivrer Margot et Sweet Lil'Alice du bûcheron fou, choississait une tronçonneuse au mur du bar.
Signature
Quentin Tarantino utilise ses petites signatures que l'on retrouve dans ses autres films en nous offrant le plan du coffre, les marques de cigarette Red Apple et de cérales Fruit Brut, ou bien encore les "dessins aériens" d'Uma Thurman.
Quentin Tarantino a tout en mains.
Lorsque Bruce Willis sort du magasin où il s'est fait piéger avec Marsellus Wallace, il tient à la main les clefs d'un Chopper. La caméra filme alors les clefs du Chopper, appartenant à Zed, en gros plan. Mais elles ne sont pas dans la main de Bruce Willis comme on pourrait le croire, mais dans celles de Quentin Tarantino. En effet, c'est la main de ce dernier que nous voyons à l'écran.
Jackie Brown dans Pulp Fiction
L'actrice Pam Grier, qui deviendra l'actrice principale de Jackie Brown, a passé une audition pour le rôle de Jody. Malgré une bonne lecture, Quentin Tarantino décida d'engager Rosanna Arquette.
Robert Rodriguez sur Pulp Fiction
Quand Quentin Tarantino apparaît à l'écran dans la troisième histoire "The Bonnie Situation", c'est le réalisateur Robert Rodriguez, rencontré en 1992 et réalisateur de Desperado, Sin City et Planet Terror, qui se tenait derrière la caméra.
Lawrence Bender en producteur-serveur
Lors de l'arrivée de Vincent Vega et Mia Wallace dans le restaurant "Jack Rabitt Slim's", nous pouvons apercevoir un serveur habillé en Zorro qui va servir une table dans le fond de la salle. Sous le coustume se trouve Lawrence Bender, producteur de tous les films de Quentin Tarantino excepté "Death Proof".
Mr. Pink en serveur dans Pulp Fiction
L'homme qui vient prendre les commandes de Vincent Vega et Mia Wallace dans le restaurant "Jack Rabbit Slim's" n'est autre que Steve Buscemi, qui jouait le rôle de Mr. Pink, un an auparavant, dans "Reservoir Dogs" de Quentin Tarantino.
Travolta à la place de Madsen
A l'origine, Michael Madsen devait interpréter le rôle de Vincent Vega dans Pulp Fiction de Quentin Tarantino, mais les répétitions de Wyatt Earp de Lawrence Kasdan s'éternisant, le comédien fut contraint de renoncer au profit de John Travolta.
Ecrit pour Tim Roth et Amanda Plummer
La partie de Pulp Fiction intitulée "Honey Bunny" et "Pumpkin" a été spécialement écrite pour les acteurs Amanda Plummer et Tim Roth.
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Les contributeursCe film a reçu 8 contributions, pour les secrets de tournage, de: justcarlota - Vibago - m0uvee
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Pulsions|Izabella Pruska-Oldenhof|Thriller|Interdit aux moins de 16 ans|3|américain|1981|100|Anglais||XviD|||XVID|864 Kbps|720x304|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||25.000|28/07/2009 00:00:00|George Litto|Brian De Palma|Ralf D. Bode||Carlotta Films||Etats-Unis, 1980. Kate Miller souffre de pulsions sexuelles incontrôlables. Non satisfaite par son mari, elle est suivie par un psychiatre, Robert Elliot, qu'elle tente de séduire, sans succès. Kate charme un inconnu dans un musée. Ils passent la nuit ensemble. Le lendemain matin, elle est atrocement assassinée à coup de rasoirs par une femme blonde portant des lunettes noires. Liz Blake, une call girl de luxe, est témoin de la scène et décide d'aider dans son enquête Peter, le fils de Kate.
|Michael Caine (Dr Robert Elliott)@Angie Dickinson (Kate Miller)@Nancy Allen (Liz Blake)@Keith Gordon (Peter Miller)@Dennis Franz (le détective Marino)@David Margulies (Dr Levy)@Ken Baker (Warren Lockman)@Susanna Clemm (Betty Luce)@Mark Margolis (un patient à l'hôpital Bellevue)@Brandon Maggart (Cleveland Sam)@Amalie Collier (la femme de ménage)@Mary Davenport (la femme au restaurant)@Anneka Di Lorenzo (l'infirmière)@Norman Evans (Ted)@Bill Randolph (Chase Cabbie)@Samm-Art Williams (le flic dans le métro)@Erika Katz (la fille dans l'ascenseur)@William Finley (la voix de Bobbi)@||Secrets de tournage :
Un hommage à Hitchcock
Avec Pulsions, Brian De Palma rendit un hommage évident à Alfred Hitchcock, déclarant avoir voulu "tourner un film dans lequel, à l'instar de Psychose, on s'attache à décrire soigneusement un personnage qu'on tue ensuite".
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Push|Paul McGuigan|Science fiction||2|américain|2009|111|Anglais||XVID|||XVID|739 Kbps|624x352|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|694||||23.976|13/08/2009 00:00:00|William Vince Bruce Davey Glenn Williamson|David Bourla|Peter Sova||SND||Depuis quelques années, on assiste à l'apparition de pouvoirs psychiques chez certains adolescents. Télékinésie, prévision du futur ou contrôle mental, ces facultés deviennent un enjeu pour la sécurité nationale. Traqués par le gouvernement, quelques survivants se réfugient à Hong Kong et décident d'unir leurs forces pour s'opposer définitivement aux militaires qui veulent exploiter leurs pouvoirs. |Dakota Fanning (Cassie Holmes)@Camilla Belle (Kira Hudson)@Chris Evans (II) (Nick Gant)@Djimon Hounsou (Henry Carver)@Cliff Curtis (Hook Waters)@Maggie Siff (Teresa Stowe)@Colin Ford (Nick Gant (jeune))@Joel Gretsch (le père de Nick)@Neil Jackson (Victor Budarin)@Nate Mooney@Scott Michael Campbell (Agent Holden)@Corey Stoll (Agent Mack)@Hal Yamanouchi (le père)@||Secrets de tournage :
Evolution(s)
Dans la lignée de la saga des X-Men ou de la série télévisée Heroes, Push met en scène des humains dotés de pouvoirs surnaturels dans le monde réel. Appelés les "élus", ils se divisent dans le film de Paul McGuigan en différentes catégories : les télétransporteurs, les voyants, les manipulateurs, les guérisseurs, les renifleurs, les Ombres, les sanguinaires, les caméléons et les faiseurs d'oubli.
Chris Evans et la SF
L'acteur Chris Evans, qui interprète Nick Gant dans Push, n'est pas à sa première expérience cinématographique dans le genre de la science fiction. Paul McGuigan avait remarqué sa prestation dans le Sunshine de Danny Boyle, où un vaisseau spatial était envoyé vers le Soleil afin de le sauver de sa propre extinction. "J'ai été impressionné par sa prestation," souligne le réalisateur. "Il rend ses personnages très crédibles, bien qu'il soit très beau garçon, et j'apprécie beaucoup ça chez lui." Chris Evans interprête également le personnage de Johnny Storm, alias la Torche, dans la saga des 4 Fantastiques.
De Push à Indiana Jones...
L'idée de départ de Push - une mystérieuse agence fédérale menant des expériences sur des individus ordinaires, doués de facultés extraordinaires - a piqué la curiosité du réalisateur Paul McGuigan et l'a poussé à faire des recherches sur Internet. "J'ai tapé 'Expériences liées aux pouvoirs télépathiques'," explique-t-il. "J'ai alors découvert des choses incroyables : en 1949, à l'aube de la guerre froide, les gens se mettaient à faire des expériences pour comprendre tout ce dont le cerveau humain est capable".
McGuigan apprend que dans l'immédiat d'après-guerre, l'idée d'utiliser des médiums pour collecter des renseignements sensibles a fait son chemin au sein des gouvernements américain et soviétique. Dans Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal, le personnage d'Irina Spalko (Cate Blanchett) est issu de ce type de recherches sur la télépathie par l'Union Soviétique.
Un Casablanca nommé Hong Kong
Paul McGuigan explique le choix de la ville de Hong Kong comme décor principal pour son film : "On avait comme référence Humphrey Bogart dans Casablanca. Dans les années 30-40, la ville de Casablanca était un repaire de voyous de tous genres. C'était le lieu idéal pour se planquer car tout le monde pouvait y aller. On pouvait se planquer là-bas sans que personne ne vous trouve jamais. Il fallait qu'on déniche notre Casablanca."
Il poursuit : "On s'est dit que, pour que quelqu'un se fonde dans la masse, le meilleur endroit était Hong Kong car c'est une ville qui grouille de monde. Si quelqu'un cherchait à échapper à une agence fédérale, il n'y aurait pas de meilleur endroit pour préserver son anonymat."
Effets "moins" spéciaux
Le réalisateur Paul McGuigan explique son choix de limiter l'usage d'effets spéciaux numériques : "Je ne voulais pas tourner un film sur fond vert ou bleu. Je voulais qu'on tourne le film pour de vrai, avec une caméra. On apprend beaucoup des grands cinéastes du passé. Ils ne disposaient pas des effets infographiques, mais faisaient appel à leur imagination. Au bout du compte, on n'a utilisé le fond vert que pour les scènes de poursuites en voiture à Hong Kong parce que la circulation y est très dense.
Le metteur en scène poursuit : "Nous avons utilisé des effets spéciaux impressionnants, mais pour moi, ce n'est pas là l'essentiel. Il s'agit certes d'un film d'action, mais nous avons surtout travaillé les personnages, bien plus que dans la plupart des films du genre."
Le Projet Stargate
Le milieu redoutable de l'espionnage télépathique dépeint dans Push n'est pas seulement le fruit de l'imagination fertile des producteurs : il s'inspire d'authenthiques expériences menées par le gouvernement américain sur des médiums dans un but militaire. On peut, par exemple, citer le Projet Stagate, financé par l'armée américaine, destiné à exploiter le potentiel militaire des phénomènes médiumniques. Des télépathes ayant participé au programme ont ainsi fait état d'évènements paranormaux époustouflants - qu'il s'agisse de médiums ayant localisé des installations militaires - en s'appuyant sur des coordonnées imprécises - ou des lieux de catastrophes aériennes, ou d'autres encore ayant prédit les dates de lancement de sous-marins et de navires ennemis.
Tournage "façon guérilla"
Il a fallu que l'équipe américaine apprenne à travailler de manière moins organisée qu'à son habitude, ce qui n'a pas toujours été facile. Loin des plateaux très réglementés aux Etats-Unis, la production a dû s'acclimater à l'animation incessante des rues de Hong Kong. "Ce n'était pas une production énorme, indique de producteur Glenn Williamson, mas ce n'était pas facile de tourner à Hong Kong sans se faire remarquer."
Au bout du compte, McGuigan a décidé de ne pas s'en tenir aux règles habituelles, mais adopter ce qu'il appelle une méthode de tournage "façon guérilla". La seule manière de nous en sortir a consisté à dissimuler les caméras dans le car-régie et de tourner à travers de petits trous," explique le réalisateur. "Les acteurs jouaient leur scène dans la rue, mais on ne pouvait tourner qu'une seule prise. Impossible d'avoir recours au montage car l'arrière-plan ne cessait de changer."
Note d'intention
Glenn Williamson, l'un des producteurs du film, s'exprime au sujet de Push : "Le personnage de Dakota Fanning voit des images de l'avenir. Ce sont des images qui sont essentielles pour le déroulement de l'intrigue, mais elles ne sont pas d'une précision absolue et peuvent s'avérer trompeuses, comme les souvenirs. Cette idée nous a permis de montrer ce que les personnages peuvent faire, mais aussi quelles sont leurs limites. Si nous allons au cinéma, c'est notamment parce que nous aimons être transportés dans un monde différent du nôtre, qu'il s'agisse d'un univers totalement imaginaire ou d'une réalité légèrement fantasmatique. On voulait que le monde de Push soit proche du nôtre, mais qu'il s'inscrive dans un style visuel sophistiqué. Du coup, c'est notre monde sans l'être tout à fait non plus."
Comic-book prequel
Wildstorm, une filiale de DC Comics, produit une mini-série de comic-books expliquant les évènements antérieurs à ceux racontés dans le film Push. Cette mini-série est écrite par Marc Bernardin et Adam Freeman et bénéficie de la patte graphique de Bruno Redondo.
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I Now Pronounce You Chuck and Larry|Dennis Dugan|Comédie||2|américain|2007|115|Anglais||XviD|||XVID|705 Kbps|640x336|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|696||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Michael Bostick Jack Giarraputo Tom Shadyac Adam Sandler James D. Brubaker|Alexander Payne Barry Fanaro Jim Taylor|Dean Semler||Universal Pictures||Chuck Levine et son copain Larry Valentine font honneur à la confrérie des sapeurs pompiers de Brooklyn par leur bravoure et leur sens du devoir. Rien n'arrête ces solides gaillards, liés par une amitié et une solidarité à toute épreuve. Larry, veuf, n'a qu'un but dans la vie : la protection et l'éducation de ses deux jeunes enfants ; Chuck, cavaleur impénitent, n'a qu'une ambition : continuer à mener sa vie de célibataire endurci.Ayant sauvé la vie de Chuck au cours d'une intervention à haut risque, Larry sait qu'il peut tout exiger de lui. Cela tombe bien, car il a un grand service à lui demander... Sachant qu'il est interdit à un parent seul de souscrire une assurance-vie pour ses enfants, Larry aurait besoin de se marier en toute hâte. Mais un mariage blanc demande une confiance aveugle entre partenaires. Chuck est le seul à répondre à ce critère : ne voudrait-il pas cosignerl'assurance à titre de... compagnon de Larry. Facile, assure ce dernier. Et personne n'en saura rien.Mais lorsque le bureaucrate Clint Fitzer se mêle de vérifier le statut des deux prétendus pacsés, l'affaire éclate au grand jour et fait la "une" de tous les journaux...Nibars ou Pétards, à toi de jouer ! |Adam Sandler (Chuck Ford)@Kevin James (Larry Allensworth)@Jessica Biel (Alex McDonough)@Dan Aykroyd (Capitaine P. Tucker)@Steve Buscemi (Clinton Fitzer)@Candace Kita (l'Asiatique)@Richard Chamberlain (Banks)@Nicholas Turturro (Tony)@Jim Ford (un criminel)@John Boyd (un criminel)@Cole Morgen (Eric)@Shelby Adamowsky (Tori Valentine)@Dante Henderson (un danseur)@Ving Rhames (Duncan)@Gary Valentine (Karl)@Rob Corddry (Jim)@Jonathan Loughran (David Nootzie)@Peter Dante (Tony Paroni)@J.D. Donaruma (J.D.)@Michael Buscemi (Higgy)@Cole Morgen (Eric Valentine)@Shelby Adamowsky (Tori Valentine)@Brad Grunberg (Bernie)@Rebecca O'Donahue (Darla)@Rob Schneider (le pasteur asiatique)@Dennis Dugan (Le chauffeur de taxi)@Dave Matthews (Vendeur gay)@||Secrets de tournage :
Dennis Dugan / Adam Sandler : quatrième !
Le réalisateur Dennis Dugan est un familier d'Adam Sandler et du producteur Jack Giarraputo. Il a déjà réalisé pour leur société de production Happy Madison Happy Gilmore, Big Daddy - deux films dans lesquels a joué Adam Sandler - et The Benchwarmers. "C'est le quatrième film que nous faisons ensemble en dix ans, explique le réalisateur. Autant dire que nous nous connaissons bien. Lorsque vous travaillez avec Adam, vous découvrez vite que ce n'est pas un acteur qui se fait plaisir en produisant, mais un vrai créateur, qui écrit, produit, développe, travaille au montage, à la musique, etc."
Deux frangins au casting
Deux des coéquipiers du "couple" sont interprétés par le comique Gary Valentine et Michael Buscemi, ces deux acteurs n'étant autres que les frères respectifs de Kevin James et Steve Buscemi, également présents au casting.
De Saturday Night Live aux sapeurs pompiers
Plusieurs anciens de Saturday Night Live et divers amis font de brèves apparitions dans le film, tels Rachel Dratch, Robert Smiger, David Spade, Rob Schneider, Dave Matthews et Lance Bass. Les producteurs ont également engagé quantité de vrais sapeurs pompiers : "On en avait besoin, notamment pour conduire les véhicules qui ne sont guère aisés à manoeuvrer, et nous avons jugé utile de nous entourer de pros."
Une équipe technique habituée aux facéties d'Adam Sandler
L'équipe technique comprend de nombreux collaborateurs plus ou moins réguliers d'Adam Sandler, dont le chef opérateur Dean Semler, la chef costumière Ellen Lutter, le chef décorateur Perry Andelin Blake et le chef monteur Jeff Gourson, qui étaient déjà au générique des deux précédentes productions Happy Madison : Click et Mi-temps au mitard.
Place à l'improvisation...
Dennis Dugan, qui fut lui-même comédien, encouragea ses acteurs à improviser. Adam Sandler et Kevin James ne s'en privèrent pas, ajoutant de nombreuses plaisanteries de leur cru au texte de Barry Fanaro, Alexander Payne et Jim Taylor. "Lorsque vous avez sous la main les meilleurs acteurs, vous seriez vraiment bêtes de vous priver d'une part de leur talent, confie le réalisateur. Ces types sont réellement drôles, et si une réplique fait mouche, qui se soucie de l'auteur ?"
Entraînement au métier de sapeur pompier
Durant la phase de préparation, Adam Sandler, Kevin James et leurs partenaires s'initièrent avec les sapeurs pompiers d'El Camino à quelques facettes de ce métier multiforme : techniques de recherche et sauvetage, de lutte contre l'incendie, de maniement des ustensiles et accessoires... Le conseiller technique du film, Terry Quinn, pompier new-yorkais qui supervise aussi la série Rescue Me, les héros du 11 septembre, se rendit à Los Angeles pour préparer les comédiens et leur faire partager le quotidien des hommes du FDNY. Terry Quinn apprit aux "bleus" comment revêtir leur tenue, mettre leur casque, ajuster leur masque à air comprimé, embarquer et descendre rapidement d'un véhicule, monter à l'échelle, se servir du matériel de survie, et bien d'autres techniques indispensables. Au cours d'un exercice de simulation, Adam Sandler et Peter Dante furent même autorisés à pénétrer dans une fournaise artificielle et à utiliser leurs extincteurs sous la conduite de Terry Quinn.
Une caserne de rêve
La production découvrit la caserne idéale dans Prospect Heights, à Brooklyn. Bâtie en 1912, l'Engine 280/Ladder 132 et sa réplique constituent les décors vedettes du film. "Nous souhaitions que cette caserne fasse partie intégrante de l'histoire, et avons sillonné Brooklyn pendant plusieurs semaines avant de choisir celle-ci, indique Dennis Dugan. Durant cette période, j'ai photographié quantité de bâtiments et me suis entretenu avec maints représentants de cette confrérie adepte d'un réjouissant humour noir."
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First Blood|Ted Kotcheff|Action|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|1983|89|Anglais||XVID|||XVID|878 Kbps|720x304|MPEG-1 Audio layer 3|192 Kbps|False|48.0 KHz|2|694||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Buzz Feitshans|David Kozoll William Sackheim Sylvester Stallone|Andrew Laszlo|||Saga : Rambo |John Rambo est un héros de la Guerre du Vietnam errant de ville en ville à la recherche de ses anciens compagnons d'armes.Alors qu'il s'apprête à traverser une petite ville pour s'y restaurer, le Shérif Will Teasle l'arrête pour vagabondage. Emprisonné et maltraité par des policiers abusifs, Rambo devient fou furieux et s'enfuit dans les bois après avoir blessé de nombreux agents.Traqué comme une bête, l'ex-soldat est contraint de tuer un policier en légitime défense. Dès lors, la police locale et la garde nationale déploient des moyens considérables pour retrouver le fugitif. Le Colonel Trautman, son mentor, intervient et essaie de dissuader les deux camps de s'entre-tuer pendant que Rambo, acculé et blessé, rentre en guerre contre les autorités. |Sylvester Stallone (John Rambo)@Richard Crenna (Colonel Samuel Trautman)@Brian Dennehy (Shérif Will Teasle)@Bill McKinney (Capt. Dave Kern State Police)@Jack Starrett (Député Arthur Gault)@Michael Talbott (Balford)@Chris Mulkey (Ward)@John McLiam (Orval)@Alf Humphreys (Lester)@David Caruso (Mitch)@David Crowley (Shingleton)@Don MacKay (Preston)@Charles A. Tamburro (Pilote d'hélicoptère)@David Petersen (Soldat de la garde nationale)@Craig Huston (Opérateur radio)@Bruce Greenwood (Gardien #5)@||Secrets de tournage :
David Morrell
C'est le roman de David Morrell, First Blood, qui a inspiré le film Rambo. Absent du générique du second volet, Rambo II : La Mission, l'écrivain a en revanche co-écrit le scénario de Rambo III.
Stallone scénariste
Sylvester Stallone a co-écrit les scénarii des trois volets de la saga Rambo.
Jerry Goldsmith
Jerry Goldsmith a composé la musique des trois volets de Rambo.
Changements de casting
Dans Rambo, Sylvester Stallone joue le rôle de John Rambo et Richard Crenna celui du colonel Trautman. A l'origine, c'était Steve McQueen qui devait interpréter John Rambo, et Kirk Douglas le Colonel Trautman.
Les débuts de David Caruso
David Caruso apparaît au cinéma en 1980 dans Terreur extraterrestre. Il en est donc encore à ses débuts d'acteur quand il interprète le député Mitch dans Rambo.
Lieux de tournage
Rambo a été tourné en Colombie Britannique (Canada) et plus particulièrement dans le Golden Ears Park, la ville de Hope et Pitt Lake.
Un sujet osé
En 1980, une dizaine d'années après la fin de la guerre du Viêtnam, Rambo ose parler de ses effets désastreux sur les vétérans. Voyage au bout de l'enfer (1978, Michael Cimino) et Apocalypse Now (1979, Francis Ford Coppola) avaient déjà soulevé de vives réactions en abordant la guerre du Viêtnam sous ses aspects les plus inavouables.
Blessure
Sylvester Stallone s'est blessé sur le tournage de Rambo. En exécutant lui-même une cascade consistant à sauter d'une falaise dans les arbres, l'acteur s'est cassé trois côtes. L'acteur ne s'est pas blessé en vain, puisque la scène, jugée bonne, est dans le film.
Slogan
Lors de la sortie de Rambo en France, le slogan de l'affiche disait : "Cette fois, il se bat pour sa propre vie."
Box-Office
Rambo a comptabilisé 3 039 138 spectateurs français en 1983.
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Rambo : First Blood Part II|George Pan Cosmatos|Action||3|américain|1985|91|Anglais||XVID|||XVID|953 Kbps|720x288|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Buzz Feitshans|Kevin Jarre Sylvester Stallone James Cameron|Jack Cardiff|||Saga : Rambo |John Rambo purge une peine de prison lorsque le Colonel Trautman lui donne la possibilité de sortir pour une mission délicate : avoir la preuve qu'il reste bel et bien des prisonniers américains au Vietnam.Supposé n'être qu'un observateur, Rambo désobéit aux ordres et tente de sauver un prisonnier. Murdock, le responsable de la mission, décide alors de l'abandonner en territoire ennemi, Rambo, seul, sans armes et face à l'ennemi, prépare sa vengeance et son retour au pays. |Sylvester Stallone (John Rambo)@Richard Crenna (Colonel Samuel Trautman)@Charles Napier (Murdock)@Steven Berkoff (Lt. Colonel Podovsky)@Julia Nickson-Soul (Co Bao)@Martin Kove (Ericson)@George Cheung (Tay)@Andy Wood (Banks)@William Ghent (Capitaine Vinh)@Voyo Goric (Sergent Yushin)@Dana Lee (Kish)@Bagan Coleman (Capitaine du bateau)@Don Collins (Prisonnier de guerre # 1)@Christopher Grant (Prisonnier de guerre # 2)@||Secrets de tournage :
David Morrell
C'est le roman de David Morrell, First Blood, qui a inspiré le film Rambo. Absent du générique du second volet, Rambo II : La Mission, l'écrivain a en revanche co-écrit le scénario de Rambo III.
Stallone scénariste
Sylvester Stallone a co-écrit les scénarii des trois volets de la saga Rambo.
Jerry Goldsmith
Jerry Goldsmith a composé la musique des trois volets de Rambo.
Cameron au scénario...
C'est James Cameron, le réalisateur entre autres d'Abyss et de Titanic, qui a co-écrit le scénario de Rambo II : La Mission juste après avoir réalisé Terminator en 1984.
George P. Cosmatos
Un an après Rambo II : La Mission (1985), George Pan Cosmatos retrouve Sylvester Stallone pour Cobra (1986).
Erreurs de tournage
Le trou dans le pare-brise de l'hélicoptère qu'utilise Rambo n'apparaît qu'au moment où il tire avec le lance-roquettes.
Rambo utilise un lance-roquettes de type LAW avec une gâchette sur le dessus de l'appareil. Pourtant, dans le gros plan qui suit, il presse la détente d'une autre arme, le RPG (Rocket Propelled Grenade), avec une gâchette en dessous...Le plan suivant, Rambo tient à nouveau le LAW.
Dans cette même scène, Rambo devrait mourir brûlé car tirer au lance-roquettes depuis la cabine d'un hélicoptère provoque une explosion.
Lieux de tournage
Le tournage de Rambo II : La Mission s'est déroulé au Mexique. La scène de la chute d'eau a été tournée à Acapulco.
Slogan
On peut lire sur l'affiche française de Rambo II : La Mission le slogan suivant : ""Aucun homme, aucune loi, aucune guerre ne peuvent l'arrêter."
Box-Office
Le film a rapporté plus de 300 millions de $ à travers le monde. Rambo II : La Mission a été pendant plus de 10 ans le plus gros démarrage en région parisienne avec plus de 80,000 spectateurs sur la seule journée du mercredi. Il est aussi le deuxième plus gros succès de l'année 1985 avec 5,851,030 spectateurs français.
Nomination et récompenses
En 1986, Rambo II : La Mission obtient une nomination aux Oscars et plusieurs prix aux Razzie awards.
Nomination à l'Oscar des meilleurs effets sonores (Fred J. Brown).
Razzie award du plus mauvais acteur (Sylvester Stallone).
Razzie award de la plus mauvaise musique de film (Jerry Goldsmith).
Razzie award du plus mauvais film (Buzz Feitshans).
Razzie award du plus mauvais scénario (James Cameron, Kevin Jarre et Sylvester Stallone Sylvester Stallone).
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Rapid Fire|Dwight H. Little|Action||2|américain|1992|91|||DX50|||DX50|918 Kbps|720x368|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|691||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Robert Lawrence|Cindy Cirile|Ric Waite||||Jake Lo, un séduisant étudiant féru en arts martiaux, va être le témoin de l'assassinat d'un trafiquant de drogue asiatique par le mafiosi Serrano, gros bonnet du trafic d'heroïne à Los Angeles. Jake va bientôt être traqué par le FBI et les hommes de main de Serrano. |Brandon Lee (Jake Lo )@Powers Boothe (Mace Ryan )@Nick Mancuso (Antonio Serrano )@Raymond J. Barry (l'agent Frank Stewart )@||||||||||||@@
Ratatouille|Brad Bird|Animation|Film pour enfants à partir de 6 ans|4|américain|2007|102|Anglais||XviD|||XVID|782 Kbps|640x288|MPEG-1 Audio layer 3|159 Kbps|False|44.1 KHz|2|697||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Brad Lewis|Brad Bird|Sharon Calahan||Buena Vista International||Rémy est un jeune rat qui rêve de devenir un grand chef français. Ni l'opposition de sa famille, ni le fait d'être un rongeur dans une profession qui les déteste ne le démotivent. Rémy est prêt à tout pour vivre sa passion de la cuisine... et le fait d'habiter dans les égouts du restaurant ultra coté de la star des fourneaux, Auguste Gusteau, va lui en donner l'occasion ! Malgré le danger et les pièges, la tentation est grande de s'aventurer dans cet univers interdit.Ecartelé entre son rêve et sa condition, Rémy va découvrir le vrai sens de l'aventure, de l'amitié, de la famille... et comprendre qu'il doit trouver le courage d'être ce qu'il est : un rat qui veut être un grand chef... |Guillaume Lebon (Remy (voix))@Thierry Ragueneau (Linguini (voix))@Camille (Colette (voix))@Jean-Pierre Marielle (Auguste Gusteau (voix))@Pierre-François Martin-Laval (Emile (voix))@Michel Dodane (Django (voix))@Julien Kramer (Skinner (voix))@Bernard Tiphaine (Ego (voix))@Guy Savoy ((voix))@Cyril Lignac ((voix))@||Secrets de tournage :
Genèse
C'est Jan Pinkava qui est à l'origine de l'histoire et des personnages de Ratatouille. Il avait en effet déjà fait des dessins et des esquisses bien avant que Brad Bird ne soit associé au projet. Le scénariste explique : "Les gens veulent toujours savoir d'où viennent les idées. La vérité est qu'un jour, je me tenais dans la cuisine avec ma femme, et que tout-à-coup j'ai eu cette idée : et si un rat voulait devenir un chef de cuisine ? Lorsque vous vous mettez à raconter cela aux gens, tout le monde rit. C'est vraiment une idée complètement folle !"
Casting de choix pour voix sur mesure
Lauréate de deux Victoires de la Musique, la chanteuse Camille, révélation de la chanson française en 2006 grâce à son (deuxième) album "Le Fil", interprète la chanson-phare du film, intitulée "Le festin". La chanteuse prête aussi sa voix à Colette, la collègue de cuisine de Linguini. Pixar a même poussé le perfectionnisme jusqu'à demander aux (véritables ceux-là) chefs de cuisine français Guy Savoy et Cyril Lignac de prêter leurs voix pour les besoins du film.
Golden Globes 2008 : "Ratatouille primé"
Le film a été récompensé par le Golden Globe 2008 du Meilleur film d'animation.
Brad Bird / Pixar : deuxième !
Ratatouille marque la seconde collaboration entre Brad Bird et les studios créés par John Lasseter. Le précédent film de Brad Bird, Les Indestructibles, a fait un triomphe en salle, amassant près de 300 millions de dollars de recettes dans le monde. Le film a également remporté deux Oscars en 2005 : celui du Meilleur montage sonore, et surtout celui du Meilleur film d'animation.
Une réalisation au poil
Le pelage d'un rat compte habituellement près de 500 000 poils. Malgré la puissance des machines actuelles, il est encore impossible de les animer un par un. Les équipes de Pixar ont donc choisi d'animer "seulement" 30 000 poils clés dont dépend tout le reste du pelage.
Coup de chance
Dans la version originale, Rémy est doublé par le comédien Patton Oswalt. C'est en entendant un de ses sketchs radiophoniques où il parlait de nourriture que Brad Bird a décidé de lui confier la voix du jeune rat.
Face de rat
L'articulation faciale est un point clé pour donner vie aux personnages du film. Brad Bird et son équipe ont ainsi créé près de 160 contrôles d'animation différents pour Remy : "Cela ouvrait des possibilités formidables, explique Brad Bird mais l'une des principales difficultés restait que le visage d'un rat ne se filme pas forcément bien sous tous les angles. Leur long museau peut cacher la bouche s'ils baissent la tête, par exemple. Nous avons beaucoup travaillé cela, nous avons fait quantité d'essais afin d'être sûrs que le public allait connaître de mieux en mieux Rémy à travers ses attitudes et ses expressions."
Souci du détail
Dans la version originale, la plupart des personnages ont un accent français, ce qui implique des mouvements de lèvre bien différents de ceux de la langue de Shakespeare. Pour les retranscrire efficacement, les artistes de Pixar se sont ainsi inspirés de célébrités françaises comme Brigitte Bardot, Serge Gainsbourg ou même Charles de Gaulle.
Paris sera toujours Paris
Paris, où se situe l'action du film, est un personnage à part entière qu'il a fallu traiter comme tel. Pendant la préparation du film, l'équipe de Pixar a ainsi pris près de 4 500 clichés de la capitale pour servir de référence. Ils se sont également rendus dans les égouts, sur les bords du canal Saint-Martin, en haut de la Samaritaine, au sommet de la Tour Eiffel et ont également parcouru les rues de la ville en moto.
Atmosphère, atmosphère...
La directrice de la photographie Sharon Calahan a voulu donner au film une atmosphère d'octobre idéal en France : "Quand nous sommes allés à Paris, il y avait du soleil, mais la lumière était argentée et diffuse, tout paraissait doux, chaleureux et accueillant. Je voulais retrouver cela dans notre film. Le film n'est pas éclairé avec une lumière fortement colorée et des ombres franches comme c'est le cas d'ordinaire, parce que je voulais vraiment célébrer cette couleur particulière que l'on ne trouve qu'à Paris."
Dur métier...
Une partie des recherches que Brad Bird et ses collègues ont du faire consistait à manger dans certains des plus grands restaurants parisiens... Ils ont ainsi dîné au Procope, à la Tour d'Argent, chez Hélène Darroze, chez Taillevent et Chez Michel. : "Nous craignions un peu d'y laisser la santé : tant de délices en si peu de temps... Mais nous avons beaucoup appris, et cela a enrichi le film" raconte le réalisateur.
Cuisine équipée
La cuisine du restaurant Gusteau est un des lieux clés de Ratatouille. La chef décoratrice a ainsi dû y apporter une attention toute particulière : "La conception visuelle de la cuisine a évolué sur environ deux ans, explique-t-elle. Nous avons visité un grand nombre de cuisines en France et en avons retiré des éléments très précis. Notre cuisine est un peu plus ouverte - la plupart des vraies cuisines sont une série de petites pièces reliées entre elles, et cela n'aurait pas fonctionné au plan cinématographique. Mais nous avons conservé la séparation des zones : boulangerie, préparation des poissons, des viandes, préparations froides..."
Cours de cuisine
Pour se préparer à la réalisation du film, 43 membres de l'équipe technique (peintres, décorateurs, directeurs techniques et animateurs) ont suivi des cours de cuisine !
La cuisine de Pixar
Afin de rendre les aliments aussi réalistes et alléchants que possible, l'équipe de Pixar a préparé près de 270 plats dans une vraie cuisine qu'ils ont ensuite pris en photo avant de les recréer sur ordinateur.
Fenêtre sur cuisine
Pour certaines scènes où l'on observe l'action depuis les toits ou à travers des fenêtres, Brad Bird avoue s'être inspiré de la mise en scène de Fenêtre sur cour d'Alfred Hitchcock.
Musicien attitré
Pour créer les musiques du film Brad Bird s'est entouré de son fidèle compositeur, Michael Giacchino, qui avait déjà mis en musique Les Indestructibles.
Défilé de mode
La garde robe des personnages de Ratatouille est la plus complexe jamais réalisée pour un film en images de synthèse. Au total près de 190 costumes différents ont été créés.
Gain de temps...
Fait amusant : les personnages humains de Ratatouille ne possèdent pas d'orteils. Cette décision a été prise afin de gagner du temps dans la création et l'animation des modèles.
Un vrai dératiseur
La boutique du dératiseur que l'on voit dans le film s'inspire d'une vraie boutique de dératisation située à Paris, dans le quartier des Halles : Les Etablissements Julien Aurouze spécialisée dans la destruction des animaux nuisibles.
Clins d'oeil ludiques
Les noms de nombreux produits et éléments du décor viennent de l'équipe même de Pixar. On trouve ainsi L'Huile d'olive Lewis en référence au producteur Brad Lewis ou Le Sel de mer DeVan, baptisé d'après le chef animateur David DeVan. A vous de trouver les autres ! A noter que le vin Lasseter Cabernet Sauvignon que l'on aperçoit dans le film est un véritable vin que John Lasseter, réalisateur de Cars, produit lui-même dans la Sonoma Valley aux Etats-Unis.
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Ray|Taylor Hackford|Biopic||3|américain|2005|152|Anglais||DX50|||DX50|537 Kbps|640x336|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|699||||23.976|02/08/2009 00:00:00|Taylor Hackford Howard Baldwin Stuart Benjamin|Jimmy White|Pawel Edelman||Universal Pictures||Ray Charles, c'est d'abord un mythe : cinq décennies de succès, une carrière musicale exceptionnellement riche, féconde et diverse, émaillée de dizaines de classiques qui ont fait le tour du monde et inspiré des générations de jeunes artistes. Mais derrière cette image légendaire se profile l'histoire émouvante, méconnue, d'une vie, l'itinéraire d'un homme qui réussit à surmonter ses handicaps et ses drames personnels. |Jamie Foxx (Ray Charles)@Kerry Washington (Della Bea Robinson)@Regina King (Margie Hendricks)@Clifton Powell (Jeff Brown)@Harry J. Lennix (Joe Adams)@Bokeem Woodbine (Fathead Newman)@Aunjanue Ellis (Mary Ann Fisher)@Sharron Warren (Aretha Robinson)@C.J. Sanders (Ray Charles (jeune))@Curtis Armstrong (Ahmet Ertegun)@Richard Schiff (Jerry Wexler)@Larenz Tate (Quincy Jones)@Terrence Howard (Gossie McKee)@David Krumholtz (Monsieur Shaw)@Wendell Pierce (Wilbur Brassfield)@Chris Thomas King (Lowell Fulsom)@Warwick Davis (Oberon)@||Secrets de tournage :
Une légende sur grand écran
Le long-métrage Ray revient sur la vie du célèbre crooner Ray Charles. Surnommé "The Genius", ce pionnier du rythm'n' blues et de la soul music, aveugle depuis l'âge de 7 ans, composa quelques-unes des chansons les plus mémorables de la musique noire américaine, dont I got a woman (son premier succès), What'd I say, Georgia on my mind, Unchain my heart ou encore I can't stop loving you. Au cinéma, son timbre de voix rauque a fait merveille sur la bande originale de Dans la chaleur de la nuit, dont il chante le thème principal. A l'écran, il s'est illustré dans Ballad in blue, où il tenait le rôle autobiographique d'un pianiste de jazz. Il est également apparu dans The Blues brothers, le film culte de John Landis. Ray Charles est décédé le 10 juin 2004 à Beverly Hills, en Californie, des suites des complications d'une maladie du foie. Il était âgé de 73 ans.
Un projet de longue date
Taylor Hackford, grand passionné de musique, rêvait depuis longtemps de se pencher sur le destin hors-du-commun de Ray Charles. Ainsi, c'est dès 1987 qu'il acquit les droits d'adaptation à l'écran de la vie du Genius. Il effectua ensuite une série d'entretiens avec l'artiste lui-même, afin de poser les bases du scénario.
Avec la bénédiction de "The Genius"...
Ray a été mis en chantier avec l'accord de Ray Charles lui-même, qui fut un observateur attentif d'une grande partie de la production du film - il insista pour qu'on lui procure le script en braille. Quelques mois avant sa disparition, il déclarait ainsi à propos de Ray : "Taylor Hackford s'est solidement documenté et il a bien couvert ma vie. J'aimerais que les gens comprennent les épreuves que j'ai endurées dans ma jeunesse et toutes les choses qui me sont arrivées au fil des ans. J'ai vécu des choses merveilleuses, mais aussi des expériences dramatiques. Je voudrais que les gens comprennent qu'on peut s'en relever lorsqu'on y met assez de force et de détermination. En d'autres termes : gardez le cap, n'abandonnez pas, même après avoir encaissé des coups."
La complexité d'un génie
Le réalisateur Taylor Hackford a cherché, avec Ray, a montrer la complexité du génie qu'était Ray Charles, traitant aussi bien son succès musical que les fêlures de son passé ou ses problèmes avec la drogue et les femmes. Il explique : "Ray Charles a parcouru un fabuleux itinéraire. J'ai cherché dans ce film à représenter la complexité de ce génie, avec ses qualités et ses défauts. Ray possédait un immense courage et un talent exceptionnel, mais sa vie fut hantée par des drames horribles. Nous avons tenté de dépeindre l'évolution d'un artiste au long d'une période culturellement très riche et novatrice. J'espère prouver que Ray Charlesest bien plus qu'un musicien du passé. Il influença une puissante révolution culturelle qui se poursuit aujourd'hui encore."
Sentir ce que ressentait Ray...
Pour se glisser dans la peau de Ray Charles de manière confondante, l'acteur Jamie Foxx (L'Enfer du dimanche, Collateral) dut s'approprier la gestuelle très particulière de l'artiste, s'imprégner de soul, de jazz et de blues et, surtout, se "familiariser" avec la cecité de l'artiste. Pour ce faire, il se força, tous les jours du tournage, à garder les yeux clos douze heures de suite, de manière à éprouver toutes les sensations d'un aveugle. Il suivit également des cours à l'Institut Braille. Il raconte : "Au départ, ce fut une source d'intense frustration et même de colère. Puis, j'ai constaté que cela renforçait ma sensibilité acoustique et me faisait percevoir quantité de sons qui échappent au commun des mortels. Le but n'était pas d'imiter Ray Charles, mais de capter, par touches successives, une petite part de sa personnalité, jusqu'à ce que tout le côté physique de l'interprétation soit en place."
Le piano dans la peau
Jamie Foxx facilita le choix de la production, puisqu'il pratique le piano depuis l'âge de trois ans, ayant même dirigé une petite formation dans son église texane. Il eut la confirmation que ses aptitudes au piano étaient correctes pour le rôle lorsque Ray Charles lui-même l'invita à jouer en duo un morceau de Thelonious Monk et qu'il applaudit sa performance !
Taylor Hackford : un réalisateur qui swingue !
Avec Ray, le réalisateur américain Taylor Hackford (Officier et gentleman, L'Associé du diable) confirme son affection pour l'univers musical. En 1980, son premier long-métrage, intitulé Le Temps du rock'n'roll, se plonge déjà dans les arcanes de ce milieu en s'intéressant au destin du promoteur et producteur de rock Bob Marucci. En 1987, il signe le documentaire Chuck Berry Hail ! Hail ! Rock'n'Roll !, qui revient notamment sur le concert du soixantième anniversaire de Chuck Berry, au Fox Theater de St. Louis. La même année, il persiste et signe en produisant La Bamba.
Le compliment du maître...
Ray Charles eut des mots très flatteurs pour Jamie Foxx. Dans une interview donnée peu avant sa disparition, il déclarait : "J'ai peine à mesurer ma chance. Plusieurs personnes après l'avoir vu dans le film m'ont dit : "Ray Charles, ce type est incroyable. Il s'est glissé dans ta peau, il marche comme toi, il fait tout comme toi !" Dès mes premiers contacts avec lui, j'ai su que c'était un homme merveilleux et quelqu'un de phénoménal."
Des seconds rôles historiques
Ray met en vedette des seconds rôles qui incarnent autant de personnages majeurs de l'histoire de la musique noire américaine : les producteurs Ahmet Ertegun et Jerry Wexler, du label Atlantic Records, le producteur et musicien Quincy Jones, le guitariste Gossie McKee ou encore l'imprésario Milt Shaw.
Craig Armstrong à la baguette
Si Ray vibre évidemment au son des chansons de Ray Charles, il bénéficie également de la partition originale d'un compositeur de renom en la personne de Craig Armstrong (arrangeur de Madonna et Massive Attack, compositeur de la BO de Moulin Rouge).
« Préc.
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Red Eye|Wes Craven|Thriller|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|2005|81|Anglais||DX50|||DX50|1 062 Kbps|672x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Chris Bender Marianne Maddalena|Carl Ellsworth|Robert D. Yeoman||DreamWorks SKG||Lisa Reisert a une peur bleue de l'avion, mais l'horreur qui l'attend sur ce vol de nuit pour Miami n'a rien à voir avec sa phobie.Alors qu'elle prend place dans l'engin, elle est agréablement surprise de retrouver Jackson, le charmant jeune homme avec qui elle a pris un verre avant l'embarquement.Cependant, quelques instants après le décollage, ce dernier tombe le masque et révèle la vraie raison de sa présence à bord : il participe à un complot visant à tuer le secrétaire adjoint à la sécurité nationale...et Lisa est la clef de son succès. Si elle refuse de coopérer, son propre père sera éliminé par un tueur qui n'attend qu'un appel de Jackson. |Rachel McAdams (Lisa Reisert)@Cillian Murphy (Jackson Rippner)@Brian Cox (Joe Reisert)@Brittany Oaks (Rebecca)@Tina Anderson (la mère de Rebecca)@Jayma Mays (Cynthia)@Kyle Gallner (Kevin)@Wes Craven (un passager de l'avion (non crédité))@Carl Ellsworth (un passager de l'avion (non crédité))@Tom Elkins (le pilote)@Laura Johnson (La blonde)@Max Kasch (Le garçon aux écouteurs)@Angela Paton (La brave dame)@Suzie Plakson (L'hôtesse senior)@Jack Scalia (Charles Keefe)@||Secrets de tournage :
Wes Craven sort de l'horreur
Maître du film d'horreur, légendaire réalisateur des Griffes de la nuit et de la trilogie Scream, Wes Craven
emprunte cette fois la voie du thriller pour tenir son public en haleine. Le cinéaste s'explique : " Red eye / sous haute pression est un suspense psychologique.
Cela n'a plus rien à voir avec l'horreur. Personne, dans ce film, ne brandit un couteau de boucher ou n'arbore de masque... hormis celui qui a choisi de se présenter sous une apparence trompeuse. Et il est vrai qu'on ne sait jamais à côté de qui l'on va se retrouver dans un avion..."
"Phone game" comme source d'inspiration
Scénariste issu de la télévision, et notamment des séries Xena la guerrière et Buffy contre les vampires, Carl Ellsworth puisa une partie de son inspiration dans le thriller Phone game, où le héros passe la quasi-totalité du film à l'intérieur d'une cabine téléphonique, sous la menace d'un tireur embusqué.
L'auteur raconte : "Dans Phone game, il y avait encore une certaine distance physique entre la victime et son bourreau. Je me suis demandé s'il était possible de réduire celle-ci, et j'ai eu l'idée d'installer la protagoniste et le méchant côte à côte, dans un espace clos, pour faire monter l'angoisse de scène en scène."
Wes Craven très occupé
Le scénario de Carl Ellsworth parvint à la productrice Marianne Maddalena, associée de longue date de Wes Craven. Celle-ci trouva le script "formidable", pour reprendre ses propres termes, car il correspondait exactement à ses attentes : un gentil petit
thriller, tendu à l'extrême. Mais, à l'époque, Wes était à bout de forces, car occupé à la fois au tournage de Cursed et aux préparatifs de son mariage. Trop absorbé pour se lancer dans ce projet, il n'en a pas moins pris le temps de lire le scénario, qu'il a finalement adoré.
Cillian l'Etrangleur
L'Irlandais Cillian Murphy adopta un accent 100% américain pour interpréter Jackson Rippner ? un patronyme
qui n'est pas sans rappeler un certain Jack the Ripper, alias Jack l'Etrangleur.
La tournée des aéroports
Les prises de vues ont débuté à l'aéroport international d'Ontario, situé à quelque 100 km à
l'est de Los Angeles. Le chef décorateur Bruce Alan Miller et son équipe ont habillé et réaménagé le terminal
principal à l'image de celui de l'aéroport international de Dallas, point de départ de l'histoire.
Compte tenu des nouvelles normes de sécurité, aucun grand aéroport n'aurait accueilli
une équipe complète. "Il était interdit de tourner au-delà des checkpoints de la plupart des autres aéroports. Après des négociations laborieuses, Ontario nous a accordé la marge de manoeuvre nécessaire", explique Miller.
L'équipe tourna également au terminal Tom Brady de l'aéroport international de Los Angeles, ainsi qu'à celui de Miami, théâtre de la grande poursuite finale.
La reconstitution d'un Boeing 767
Pour les intérieurs de l'avion, Bruce Alan Miller étudia différents modèles avant de se fixer sur le Boeing 767. "Dans l'impossibilité de louer l'un de ces appareils, nous avons emprunté des éléments à
divers avions et les avons assemblés et adaptés à nos besoins. Les sièges, les compartiments
à bagages, les éclairages, le coin restauration sont ainsi à l'image exacte du 767."
Cette réplique était démontable, de manière à donner toute liberté à Wes Craven et à son chef opérateur Robert D. Yeoman dans le choix des angles et des envolées de caméra.
Pour les turbulences
Pour produire les diverses turbulences qui émaillent le vol Fresh Air 1019 Dallas-Miami, l'équipe d'effets spéciaux installa le décor sur une plate-forme de 8 m x 35, munie de vérins hydrauliques et reposant sur une cinquantaine de gros airbags gonflés et dégonflés à un
rythme plus ou moins rapide en fonction de l'intensité des perturbations.
L'origine du titre
Le titre Red eye ("Oeil rouge") fait référence à la nature du vol qu'opère l'avion dans le film, à savoir un vol qui dure toute la nuit.
Les collaborateurs de l'ombre
Wes Craven a offert un rôle à deux de ses collaborateurs habituels, mais d'ordinaire liés à des domaines plus "techniques". Ainsi Tom Elkins, assistant monteur sur ce film et sur Cursed, incarne le pilote de l'avion, tandis que Tina Anderson, co-productrice de Scream 2, Scream 3 et La Musique de mon coeur, films tous signés Wes Craven, s'est vue confier le rôle de la mère de Rebecca.
Caméos
Le réalisateur Wes Craven et le scénariste Carl Ellsworth apparaissent dans le film, dans les rôles (muets) de deux passagers de l'avion.
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Red Water|Charles Robert Carner|Thriller|||Etats-unis|2003|88|Français, Anglais, Allemand||XVID|||XVID|962 Kbps|720x544|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|677||||25.000|09/08/2009 00:00:00|||||||Des recherches pétrolières sont effectuées dans un lac de pêche et de baignade dans le Bayou en Louisiane. Soudainement, un énorme requin tueur vient perturber les eaux tranquilles du Mississipi et l'on découvre qu'il s'agit d'une espèce très dangereuse nommée « bulldog » et capable de survivre en eau douce. Malgré le danger, l'équipe de recherches pétrolières (quatre personnes dont John Sanders, ancien foreur qui a accepté d'aider son ex-femme biologiste Kelli) obtient de franchir la limite autorisée. Sur place, ils découvrent une embarcation dont ils comprendront plus tard qu'ils s'agit de truands venus récupérer un butin caché au fond de l'eau. Pris en otages, l'équipe doit alors se protéger de ses agresseurs et du requin assoiffé de sang et de chaire humaine... |Lou Diamond Philipps@Kristy Swanson@Coolio@Jaimz Woolvett@Rob Boltin@||||||||||||@@
Wicker Park|Paul McGuigan|Drame||3|américain|2005|110|Anglais||XVID|||XVID|779 Kbps|608x256|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|698||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Tom Rosenberg Gary Lucchesi Andre Lamal|Brandon Boyce Gilles Mimouni|Peter Sova||Metro Goldwyn Mayer (MGM)||Entre Matthew et Lisa, le coup de foudre est immédiat et absolu : plus rien ne compte alors à leurs yeux que leur passion dévorante. Mais, un jour, Lisa disparaît mystérieusement, sans laisser de traces ni d'explications...
Deux ans plus tard, alors qu'il a enfin trouvé la force de surmonter sa douleur et s'apprête à épouser une autre femme, Matthew croit apercevoir Lisa dans un bar. Hanté par cette réapparition et par le souvenir intact du grand amour de sa vie, Matthew n'a plus qu'une obsession : retrouver Lisa...à tout prix ! |Josh Hartnett (Matthew)@Diane Kruger (Lisa)@Rose Byrne (Alex)@Matthew Lillard (Luke)@Jessica Paré (Rebecca)@Christopher Cousins (Daniel)@Vlasta Vrana (le bijoutier)@Mark Camacho (le serveur)@Marcel Jeannin (le directeur du théâtre)@||Secrets de tournage :
Le remake de L'Appartement
Wicker Park est le remake américain de L'Appartement de Gilles Mimouni. Josh Hartnett reprend ici le rôle dévolu à Vincent Cassel dans la version originale, Diane Kruger celui de Monica Bellucci et Rose Byrne celui de Romane Bohringer.
Acteurs pressentis pour le rôle de Matthew
Nombreux sont les acteurs qui se sont bousculés pour interpréter le personnage principal de Wicker Park : Freddie Prinze Jr., Brendan Fraser et plus concrètement Paul Walker, qui se désista du projet pour cause d'incompatibilité d'emploi du temps avec le tournage de 2 fast 2 furious.
Changement de réalisateur
Joel Schumacher a un temps été intéressé par ce projet de remake, mais il laissa rapidement la place à Danny Cannon, auquel succéda bientôt Paul McGuigan qui venait d'abandonner la réalisation de Hostage.
Un Josh Hartnett très impliqué
Paul McGuigan, qui dirigera par la suite Josh Hartnett dans le polar Lucky Slevin, confie au sujet de l'acteur : "Je connaissais bien son répertoire. On le connaît surtout pour son physique de jeune premier. On oublie que c'est aussi un acteur talentueux et consciencieux. Il m'a posé mille et une questions sur le film. Il voulait tout savoir, jusqu'à la musique que nous allions utiliser. Il ne se limitait pas aux questions qu'un acteur se croit obligé de poser. C'était très stimulant pour moi !"
Diane Kruger à Hollywood
Pour le rôle de Lisa, les producteurs se sont tournés vers Diane Kruger, qui allait par la suite incarner la reine Hélène de Sparte dans Troie. "Nous venions de terminer Michel Vaillant, produit par Luc Besson, quand Tom Rosenberg est venu voir Luc à Paris", raconte Diane Kruger. "Il lui a parlé de ses difficultés à trouver une actrice pour le rôle de Lisa. Luc lui a suggéré mon nom. C'est juste un heureux hasard."
Le producteur Gary Lucchesi se souvient : "Nous avons ainsi reçu une audition filmée par le mari de Diane, l'acteur et réalisateur Guillaume Canet. C'était excellent ! Alors Tom et moi, nous l'avons fait venir à New York pour la rencontrer puis à Montréal pour l'auditionner. Nous avions enfin notre Lisa !"
Tournage à Montréal
Bien que censé se dérouler à Chicago, le film a en grande partie été tourné à Montréal. L'hiver, particulièrement rigoureux, était parfaitement cohérent avec le cadre de l'histoire. Paul McGuigan souhaitait des décors qui reflètent la jeunesse et l'énergie des personnages. Il s'est entouré d'une équipe avec qui il avait déjà travaillé sur plusieurs projets pour reconstituer à Montréal les immeubles et lieux publics du film, notamment le fameux parc qui donne son nom au quartier qui l'entoure.
Le chef décorateur Richard Bridgland a recréé dans une banlieue québécoise l'atmosphère originale des boutiques et cafés branchés de Wicker Park. Il a également reconstitué l'intérieur du grand restaurant où Matthew croit voir Lisa.
Les scènes qui ont pour cadre le Drake Hotel ont été filmées à Chicago même. Pour plus d'authenticité, l'équipe a effectué des prises de vue sous le métro aérien de la ville et dans la rue principale du quartier de Wicker Park.
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Rent|Chris Columbus|Comédie musicale||3|américain|2006|129|Anglais||XviD|||XVID|624 Kbps|640x480|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|702||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Michael Barnathan Chris Columbus Robert De Niro Mark Radcliffe Jane Rosenthal|Steve Chbosky Chris Columbus|Stephen Goldblatt||Sony Pictures Entertainment||Deux amis, Mark et Roger, partagent un appartement à New York. Mark, vidéaste, filme sans cesse son entourage, tandis que Roger, atteint du sida, rêve d'écrire une dernière chanson avant que la maladie de l'emporte. Sa rencontre avec Mimi, jeune toxicomane séropositive, changera sa vie. Se sachant condamnés, les deux amoureux connaîtront un amour aussi fiévreux qu'éphémère. |Rosario Dawson (Mimi Marquez)@Taye Diggs (Benjamin "Benny" Coffin III)@Wilson Jermaine Heredia (Angel Schunard)@Jesse L. Martin (Thomas B. "Tom" Collins)@Adam Pascal (Roger Davis)@Anthony Rapp (Mark Cohen)@Tracie Thoms (Joanne Jefferson)@Idina Menzel (Maureen Johnson)@Heather Barberie (Pam)@Megan Biolchini (l'étudiant)@Chandler Bolt (le punk)@Jordi Caballero (Tango)@Doug Campbell (Anthony Rapp)@Darryl Chan (Thug)@Ken Clark (Mugger)@Chris Columbus (le conducteur furieux)@||Secrets de tournage :
De Broadway au cinéma
Rent est une adaptation cinématographique de la comédie musicale homonyme de Jonathan Larson, inspirée elle-même de l'opéra de Giacomo Puccini, La Bohème. Créé en 1996 à New York, ce spectacle a connu un succès phénoménal sur les planches de Broadway et acquis rapidement le statut d'oeuvre-culte.
On ne change pas une équipe qui gagne...
Taye Diggs, Wilson Jermaine Heredia, Jesse L. Martin, Idina Menzel, Adam Pascal et Anthony Rapp reprennent tous les rôles qu'ils avaient tenus sur les planches à Broadway en 1996.
Deux nouvelles recrues : Rosario Dawson et Tracie Thoms
Aux côtés des "anciens" sont venues se greffer deux nouvelles recrues : Rosario Dawson et Tracie Thoms. C'est notamment pour son passé de "squatteuse" et ses talents de chanteuse sur le morceau Without you que la première a été prise, tandis que la seconde a dû faire ses preuves en chant et en comédie face à une vingtaine d'autres candidates.
En hommage à Jonathan Larson
Jonathan Larson, à qui l'on doit le spectacle à Broadway, est malheureusement décédé d'une rupture d'anévrisme à l'aorte quelques jours avant la première de sa pièce. C'est donc avec une pensée émue pour lui que tous les comédiens se sont lancés dans la concrétisation de ce film.
L'actrice Idina Menzel confie pour sa part : "La mort de Jonathan a créé un lien très fort entre nous. Nous nous sommes tous engagés dans une mission pour défendre son histoire et sa musique. Cela nous a empêchés d'être égoïstes, de nous soucier de choses plus personnelles comme notre carrière. C'était lui qui comptait ; ce qui était important, c'était de faire entendre ce qu'il avait à dire."
Spike Lee pressenti à la réalisation
Spike Lee fut un temps pressenti derrière la caméra. Sam Mendes, Rob Marshall et Baz Luhrmann auraient par ailleurs convoité le poste de réalisateur sur ce projet.
Question de droits et de financement
Enthousiasmés par le spectacle Rent qu'ils avaient vu à Broadway peu de temps après les débuts de la comédie musicale, Chris Columbus et ses associés au sein de 1492 Pictures, Michael Barnathan et Mark Radcliffe, ont tenté pendant plusieurs années d'obtenir les droits du projet, sur lequel Jane Rosenthal et Robert De Niro avaient posé une option à travers Tribeca Productions. Finalement, en 2004, ils ont pu s'associer à Tribeca et s'assurer le financement du projet grâce à la compagnie Revolution Studios. C'est après avoir franchi ses étapes que le cinéaste rencontra la soeur de Jonathan Larson, Julie, et son père, Al Larson, pour monter la partie à proprement dit artistique du film.
Un parfum de nostalgie...
Pas évident, si l'on considère ses films précédents (Madame Doubtfire, Harry Potter à l'école des sorciers), de trouver quels sont les liens de Chris Columbus avec Rent. Et pourtant... Le réalisateur s'explique : "J'ai vécu à New York pendant dix-sept ans dans les années 80, l'époque où se déroule "Rent". J'ai habité dans un loft, j'ai connu beaucoup des expériences que traversent les personnages. Nous étions très pauvres et avons vécu sur la 26e rue à Manhattan pendant trois ans. Je sais très exactement ce que traversent Mark et Roger pour l'avoir moi-même vécu. C'était pour moi l'occasion de revenir à une époque très importante de ma vie avec l'expérience que j'ai maintenant."
Pour une musique plus rock
Pour la musique du film, Chris Columbus voulait un son plus rock que celui de la comédie musicale. Rob Cavallo a donc travaillé dans cette direction avec cinq musiciens de rock - une batterie, une basse, deux guitares et un clavier. Ils ont enregistré les nouveaux arrangements aux El Dorado Studios à Los Angeles.
Keith Young, un chorégraphe chevronné
Les chorégraphies ont été réglées par Keith Young, un chorégraphe chevronné. Celui-ci raconte : "J'ai commencé par me rendre à New York pour voir la comédie musicale. En fait, j'y suis allé plusieurs fois, jusqu'à être certain d'avoir tout saisi parfaitement et d'être capable de transcrire l'essence du spectacle qu'avait créé Larson. J'ai travaillé avec un groupe principal de huit danseurs et danseuses, peaufinant chaque danse, puis j'ai montré cela à Chris pour l'utiliser comme point de départ. Cela nous a permis d'en parler, d'explorer et de développer à partir d'une base précise."
Tournage à New York
La majorité des extérieurs ont été tournés à New York. Le chef décorateur Howard Cummings a commencé par prendre des photos de tous les quartiers de Manhattan afin de trouver le style visuel idéal pour chaque scène. Parmi les autres extérieurs à New York figurent d'autres zones de l'East Village, East Side Community High School, le Flatiron District au coeur de Manhattan, le Williamsburg Bridge et une station de métro à Brooklyn.
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Replicant|Ringo Lam|Action||3|américain|2001|95|Anglais||XVID|||XVID|881 Kbps|720x400|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||25.000|13/08/2009 00:00:00|John Thompson David Dadon Danny Lerner William Vance|Lawrence David Riggins Les Weldon|Mike Southon||Metropolitan FilmExport||Depuis longtemps, Garrotte, un tueur en série au look grunge, surnommé "La Torche", hante les jours et les nuits de Jake Riley, un inspecteur de police qui s'est juré de l'arrêter. Autrefois idéaliste et large d'esprit, Jake en a suffisamment appris sur la nature humaine pour devenir cynique, cachant ses désillusions sous un humour caustique. Les victimes de cet assassin sanguinaire et insaisissable ne cessent de s'accumuler et l'enquête de Jake ne progresse toujours pas, même si Garrotte l'a choisi pour confident et l'appelle à chaque nouveau crime.
Ecoeuré, Jake est sur le point de prendre sa retraite au moment où le département des services secrets du gouvernement lui demande de se joindre à un projet visant à arrêter son grand ennemi. La NSA crée en effet un Replicant, c'est-à-dire un clone génétique, issu de l'ADN de Garrotte, et dont la croissance a été accélérée afin qu'il atteigne l'âge biologique du tueur. Ce double parfait permettra à Jake de retrouver le meurtrier en question.
Il est doté de pouvoirs télépathiques, mais il lui manque toute l'expérience de la vie. Tandis que l'officier de police gère les émotions et les souvenirs de ce clone naïf et juvénile, il développe avec lui une relation étrange. |Jean-Claude Van Damme (La torche humaine alias Garrotte / Le Replicant)@Michael Rooker (Jake Riley)@Catherine Dent (Angie)@Lana Parrilla (Marci)@Josh Green (Murphy)@Oliver Macready (Slick)@Nick Swarts (Jake)@Mark Phelan (Gray)@David Carpenter (le technicien)@Leslie Carter (Emma)@||||||||||||@@
Baiohazâdo: Dijenerêshon|Makoto Kamiya|Animation||3|japonais|2008|96|Anglais||XviD|||XVID|883 Kbps|848x476|MPEG-1 Audio layer 3|32.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Jun Takeuchi Kobayashi Kobayashi|Shotaro Suga|||||Sept ans après la destruction de Raccoon City, une attaque lancée par des zombies sème la terreur à l'aéroport de Harvardville. Les agents secrets Leon S. Kennedy et Claire Redfield arrivent sur les lieux, fins prêts à affronter les zombies déchaînés. |Alyson Court (Claire Redfield (voix))@Paul Mercier (Leon S. Kennedy (voix))@Laura Bailey (Angela Miller (voix))@Roger Craig Smith (Curtis Miller (voix))@Alyson Court (Claire Redfield (voix originale))@Paul Mercier (Leon S. Kennedy (voix originale))@||||||||||||@@
Resident Evil|Paul W.S. Anderson|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|2|allemand, britannique, américain|2002|93|Anglais||DIV3|||DIV3|890 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|141 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Paul W.S. Anderson Jeremy Bolt Samuel Hadida Bernd Eichinger|Paul W.S. Anderson|David Johnson||Metropolitan FilmExport|Saga : Resident Evil |Dans un immense laboratoire souterrain, ont lieu des recherches ultras secrètes, supervisées par des centaines de scientifiques. Lorsque l'alarme retentit, tout le monde croit à une simple simulation d'évacuation. Mais bientôt, l'horreur les rattrape. Un virus hautement mortel se propage à un rythme effréné dans les couloirs : en quelques minutes, il met fin à toute vie humaine. Au même moment, Alice se réveille dans un somptueux manoir. Ignorant comment elle a pu atterrir là, elle fait la rencontre de Matt, un policier. Avant même qu'ils n'aient pu trouver une explication logique à ces phénomènes étranges, un groupe d'intervention militaire, les S.T.A.R.S, débarque de nulle part et les oblige à les suivre. Ces derniers ont reçu l'ordre d'infiltrer le laboratoire et de neutraliser la Red Queen, le super-ordinateur devenu fou que l'on tient pour responsable du désastre. |Milla Jovovich (Alice/Janus Prospero/Marsha Thompson)@Eric Mabius (Matt )@Michelle Rodriguez (Rain Ocampo)@James Purefoy (Spencer Parks)@Liz May Brice (Medecin)@Colin Salmon (One)@Martin Crewes (Kaplan)@Anna Bolt (Dr. Green)@Heike Makatsch (Lisa)@Jeremy Bolt (un zombie)@Jason Isaacs (William Birkin)@Stephen Billington (M. White)@Joseph May (Dr. Blue)@Ryan McCluskey (M. Grey)@Michaela Dicker (la reine rouge)@||Secrets de tournage :
Jovovich, fan de la première heure
Milla Jovovich est, elle aussi, une grande fan du jeu original. Elle avoue même avoir passé des heures entières à y jouer avec son frère, tout en voulant en produire une version cinéma, bien avant que le projet ne soit lancé.
Alice au pays des zombies
Paul Anderson explique que le concept de Resident evil est très proche de deux de ses romans préférés, Alice au pays des merveilles et A travers le miroir de Lewis Carroll, car dans les deux cas une heroïne découvre un univers souterrain et mystérieux. En hommage, le réalisateur a choisi d'appeler son personnage principal de son film 'Alice', et le super-ordinateur 'Reine Rouge'. De même, dans le jeu, on retrouve un monstre du nom de 'Bandersnatch' prénommé ainsi en référence à un poème extrait d'A travers le miroir.
Un concept revisité
Paul Anderson, le réalisateur de Resident evil et grand admirateur du jeu original, se sentait concerné par l'impact qu'aurait son film sur les nombreux joueurs qui allaient le voir, il voulait donc créer la surprise et les sensations fortes en introduisant de nouveaux personnages, différents de ceux présents dans Resident Evil. C'est la raison pour laquelle Jill Valentine, personnage récurrent et emblématique de la saga, n'est pas au rendez-vous du film. "Tous savent déjà qu'elle ne va pas mourir, confie le réalisateur, puisqu'elle revient dans les autres épisodes du jeu".
Resident Evil, un concept fructueux
Les 4 épisodes qui constituent la saga du jeu Resident Evil (créé par Shinji Mikami et concue par Yoshiki Okamoto pour Capcom, la compagnie japonaise responsable des jeux Street Fighter) ont été vendus à plus de 16 millions d'exemplaires de par le monde, et ont rapportés la somme faramineuse, pour un jeu, de 600 millions de dollars.
Nemesis
Le troisième épisode du jeu introduit le monstrueux personnage de Nemesis, or dans le film Resident evil, il est aussi question d'un projet 'Nemesis' auquel prend malencontreusement part Matt, l'un des héros interprété par Eric Mabius.
Paul Anderson, spécialiste du jeu vidéo
Paul Anderson est également le réalisateur d'un autre film adapté d'un jeu vidéo très violent : Mortal Kombat avec Christophe Lambert.
Lieux de tournages
Les lieux du tournage de Resident evil sont multiples : Berlin (Allemagne), Londres (Royaume-Uni), et Potsdam, Brandenburg (Allemagne). Ajoutons que certaines scènes ont étés tournées dans la station du métro Berlinois Reichstag qui n'ouvrira ses portes au public qu'en 2004.
Resident Evil, le jeu
Le film était très attendu par les fans de jeux vidéos. En effet, c'est du jeu Resident Evil, sorti tout d'abord sur Playstation il y a quelques années, que s'inspire le long métrage de Paul Anderson. Révolutionnaire dans le fond et la forme, il a tout simplement contribué à redonner un sang neuf à l'industrie du jeu vidéo en associant une ambiance démoniaque et glauque à un nouveau concept d'aventure/action.
Dans le jeu, deux agents d'un groupe d'intervention appelé S.T.A.R.S. viennent enquêter sur les ravages d'un virus militaire dans une petite ville des Etats Unis. Ils sont très vite rattrapés par un complot mystérieux... Le jeu original a engendré plusieurs suites : Resident Evil 2, Resident Evil 3: Nemesis, Resident Evil: Code Veronica, ou le jeu de tir Resident Evil: Survivor. Notons enfin qu'au Japon, son pays d'origine, le jeu s'appelle Bio Hazard.
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Resident Evil: Apocalypse|Alexander Witt|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|2|français, britannique, américain, allemand|2004|86|Anglais||DX50|||DX50|998 Kbps|640x288|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Paul W.S. Anderson Jeremy Bolt Samuel Hadida Bernd Eichinger Don Carmody|Paul W.S. Anderson|Derek Rogers||Metropolitan FilmExport|Saga : Resident Evil |Alice a survécu à l'effroyable cauchemar qui a dévasté le complexe scientifique ultrasecret d'Umbrella Corporation, mais elle n'est pas la seule à en être ressortie...Un virus mortel s'est abattu sur la ville de Raccoon et rien ne semble pouvoir lui échapper. Avec un groupe de survivants, Alice, dont le métabolisme a mystérieusement été modifié, doit affronter le pire. Certes, elle a gagné de nouveaux pouvoirs, elle est plus puissante, ses sens sont surmultipliés et sa dextérité est hallucinante, mais ça ne sera pas forcément suffisant... Elle est rejointe dans son combat par Jill Valentine, un ancien membre des forces spéciales d'Umbrella.Ensemble, elles vont tenter de résoudre les énigmes et faire face à une force maléfique, un ennemi absolu lancé sur leurs traces. Son nom ? Némésis. Son but ? Eliminer toute vie. Cette fois, s'échapper ne suffira pas. Il va falloir affronter... |Milla Jovovich (Alice Prospero)@Sienna Guillory (Jill Valentine)@Oded Fehr (Carlos Olivieira)@Thomas Kretschmann (le major Cain)@Jared Harris (Dr. Charles Ashford)@Sandrine Holt (Terri Morales)@Sophie Vavasseur (Angie Ashford)@Mike Epps (L.J.)@Emily Bergl (Claire Redfield)@Zack Ward (Nicholai Sokolov)@Razaaq Adoti (Peyton Wells)@Matthew G. Taylor (Nemesis)@Geoffrey Pounsett (Mackenzie)@Dave Nichols (capitaine Henderson)@Iain Glen (Dr. Isaacs)@||Secrets de tournage :
Resident Evil, la suite
Après le succès de Resident evil, voici sa suite ! Milla Jovovich se retrouve une nouvelle fois dans la peau d'Alice Prospero pour lutter contre les zombies et autres monstres envahissant la planête. Les producteurs annoncent plus d'action pour cette nouvelle adaptation de la série des jeux vidéos.
Un monstre à visage humain ?
Le monstre "Nemesis" devait être terrifiant tout en véhiculant certaines expressions humaines. Sous cet amas de chair et de ligaments à vif, la trace de ce qu'avait été l'humain d'origine devait rester perceptible. Pour arriver à cela, Paul Jones a créé un crâne articulé en fibre de verre moulé sur la tête de Matthew G. Taylor. Beaucoup d'appendices ont été ajoutés, tous contrôlés par des servomoteurs noyés dans le silicone. En portant le masque complètement couvrant, l'acteur ne conservait le contrôle que de l'ouverture de sa bouche.
Une véritable guerrière
Pour le rôle, Milla Jovovich a suivi un entraînement intensif et très poussé.
Paul Anderson confie : " Milla Jovovich a passé quatre mois complets à devenir experte de tout ! Elle peut se battre avec n'importe quoi. Chaque jour, son coach lui apprenait de nouvelles techniques et elle en voulait encore ! Elle s'est donnée à fond au rôle. "
L'actrice a notamment étudié la Capoeira, une discipline de combat brésilienne très spectaculaire. C'est le maître Amen Santo qui est venu lui enseigner cet art qui fait aussi appel à des bâtons. Elle a également subi un entraînement intensif pour le maniement des armes avec Phil Spangenberger qui a entre autres, formé Mel Gibson et Will Smith.
Milla Jovovich conclut : " Je dois avoir une âme de guerrière ! J'aime me sentir puissante. "
Une mutante dans le casting ?
A l'origine c'est Natasha Henstridge célèbre pour son rôle dans La Mutante qui devait tenir le rôle de Jill Valentine dans Resident evil : apocalypse, mais c'est finalement Sienna Guillory vu dans Love actually qui l'a remplacé au dernier moment.
Similitudes avec le jeu vidéo
Le personnage de Nemesis est aussi le sous-titre du troisième volet de la série de jeux vidéos Resident Evil. Autre similitude : Jill Valentine porte l'exacte réplique de la tenue du personnage dans le troisième épisode du jeu vidéo.
Nemesis
Le monstre Nemesis a bénéficié d'un grand travail de la part de ses créateurs. Son costume a été fabriqué à partir de cuir et de métal. Sa peau a été travaillée avec de la silicone. Afin de lui donner une taille impressionnante, le monstre porte des plateformes en fer sous ses bottes. Son visage sans nez et son maquillage ont été élaborés par Paul Jones, un spécialiste du genre qui avait déjà travaillé sur le tournage de La Fiancee de Chucky et de Ginger snaps.
Raccoon City à Toronto !
Ce nouvel opus a principalement été tourné au Canada, à Toronto et autour d'Hamilton. L'architecture de la Mairie de Toronto a fortement impressionné le réalisateur et son équipe technique qui en ont fait un bâtiment important dans le film.
Une BO explosive !
De nombreux groupes phares de la scène actuelle avaient déjà contribué à la musique du premier opus.
Resident Evil : Apocalypse comporte dans sa bande originale des titres de HIM, The Cure, Slipknot, Lacuna Coil, A Perfect Circle, Devildriver, Rammstein, Deftones, Massive Attack ou encore Rob Zombie...
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Resident Evil: Extinction|Russell Mulcahy|Action|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|2007|87|Anglais||XviD|||XVID|977 Kbps|672x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Paul W.S. Anderson Jeremy Bolt Robert Kulzer Bernd Eichinger|Paul W.S. Anderson|David Johnson||Metropolitan FilmExport|Saga : Resident Evil |Le virus expérimental mis au point par la toute-puissante Umbrella Corporation a détruit l'humanité, transformant la population du monde en zombies avides de chair humaine. Fuyant les villes, Carlos, L.J., Claire, K-Mart, Nurse Betty et quelques survivants ont pris la route dans un convoi armé, espérant retrouver d'autres humains non infectés et gagner l'Alaska, leur dernier espoir d'une terre préservée. Ils sont accompagnés dans l'ombre par Alice, une jeune femme sur laquelle Umbrella a mené autrefois de terribles expériences biogéniques qui, en modifiant son ADN, lui ont apporté des capacités surhumaines. Depuis le laboratoire d'Umbrella, le Dr. Isaacs les surveille. Il est prêt à tout pour retrouver celle qui représente l'accomplissement ultime des recherches de la firme, la seule personne qui rende possible la mise au point d'un remède : Alice. S'ils veulent avoir une chance, les survivants doivent échapper à la fois aux morts-vivants qui infestent le pays et à Umbrella Corporation.Pour Alice et ses compagnons d'infortune, le combat ne fait que commencer... |Milla Jovovich (Alice Prospero)@Mike Epps (L.J.)@Ali Larter (Claire Redfield)@Oded Fehr (Carlos Olivieira)@Iain Glen (William Birkin)@Spencer Locke (K-Mart)@Ashanti (Nurse Betty)@Gary Hudson (un capitaine d'Umbrella)@John Eric Bentley (un technicien d'Umbrella)@Christopher Egan (Mikey)@Ramon Franco (Runt)@Matthew Marsden (Capitaine Alexandre Slater)@Jason O'Mara (Albert Wesker)@Linden Ashby (Chase)@Christopher Egan (Mikey)@Rusty Joiner (Eddie)@Rick Cramer (hockeyeur mort-vivant)@Peter O'Meara (envoyé britannique)@Ramon Franco (Runt)@Geoff Meed (un malade)@Kirk B.R. Woller (scientifique)@Chris Durand@Valorie Hubbard (Femme Poupée)@William Abadie (envoyé)@Connor McCoy (jeune garçon)@Shane Woodson (Piggy)@Jamie Patrick Millar (Evan)@James Tumminia (technicien de labo)@||Secrets de tournage :
La saga Resident Evil
Resident Evil: Extinction est la troisième adaptation sur grand écran de la série de jeux video créé par Capcom en 1997. Paul Anderson dit en avoir fini en bouclant sa trilogie, mais des rumeurs circulent déjà quand à un quatrième épisode. La série de jeux vidéos, après une chute d'audience en milieu de parcours, est revenu sur le devant de la scène avec un quatrième épisode encensé par les critiques et les joueurs. Un cinquième numéro est déjà en préparation.
Milla Jovovich en action
Paul Anderson est très impressionné par le travail de Milla Jovovich . D'après lui, la réussite des scènes d'action reposent en grande partie sur la volonté et la capacité de son actrice à faire croire à l'incroyable. Une actrice qui se donne à 100 % : Paul Anderson estime même qu'elle pourrait facilement passer d'actrice à cascadeur, du jour au lendemain.
Et pour finir, le désert
Pour conclure sa trilogie, Paul Anderson, ici scénariste, a décidé de prendre le parti de l'originalité : après l'ambiance claustrophobique du premier volet et les nuits angoissantes du second, place au grand jour ! Les héros évoluent maintenant dans un désert post-apocalyptique de premier choix. Un défi pour l'équipe du film, qui a tourné sous le soleil de plomb du désert mexicain. Afin de créer une ambiance jamais vue pour un film de zombie, Paul Anderson a fait appel à Eugenio Caballero, directeur artistique récompensé d'un Oscar pour son travail sur Le Labyrinthe de Pan. Il a ici créé une vision apocalyptique d'un Las Vegas enseveli sous les sables...
Des troupeaux de zombies
Même si ils ne sont pas les seuls ennemies de Milla Jovovich dans Resident Evil: Extinction, les zombies restent malgré tout les héros de la trilogie horrifique. Et pour l'occasion, la petite famille s'agrandie. Hormis l'arrivée attendue par les fans du célébre Tyran, on notera l'arivée du successeur au classique Zombie, le Super Zombie : créé pour soigner les zombies (c'est raté...), ce nouveau monstre est comme à l'habitude plus méchant, plus intelligent, et plus rapide que son prédecesseur.
Tous ces atouts n'empêcheront pas les vraies stars de la saga de briller : après avoir raté l'pisode 2, les chiens zombies sont de retour ! Alors que les dobermans avaient une sérieuse tendance à être les principaux candidats à la mutation, ce sont cette fois ci les malinois belges qui auront l'honneur de devenir hideux et bête et méchant.
Retrouvailles
Paul Anderson rêvait de travailler à nouveau avec Linden Ashby, et lui a donc écrit un rôle sur mesure dans Resident Evil: Extinction. Linden Ashby interprétait l'énigmatique Johnny Cage dans le premier film de Paul Anderson, le culte Mortal Kombat.
Un film de second plan
Les décorateurs se sont amusés à insérer dans le décor des Oeufs de Pâques, à savoir des références cachées au jeux vidéo. Des jarres, normalement remplies d'eau ou d'huile, ont par exemple été remplies de "Plante Verte", le célèbre item guérisseur de la saga.
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Resurrection|Russell Mulcahy|Policier|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|2000|102|||DivX|||DIVX|774 Kbps|576x320|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|666||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Christophe Lambert Howard Baldwin Patrick D. Choi Nile Niami|Brad Mirman Christophe Lambert|Jonathan Freeman||Lolistar||Quand l'inspecteur John Prudhomme et son coequipier decouvrent, gisant dans un bain de sang, ampute d'un bras, le cadavre d'un homme sur lequel on a grave un message et des chiffres romains, ils pensent immediatement que la victime est la premiere d'une longue liste. Dans les jours qui suivent, le tueur en serie parseme Chicago de cadavres consciencieusement mutiles. Prudhomme comprend bientot qu'il ne lui reste que trois semaines pour empecher ce maniaque de mener a bien son projet: reconstituer le corps du Christ pour le jour de Paques, le jour de la Resurrection. |Christophe Lambert (John Prudhomme)@Mike Anscombe (News Anchor)@Jeff J. J. Authors (Paramedic)@Patrick Chilvers (Officier)@David Cronenberg (Père Rousell)@Jayne Eastwood (Dolores Koontz)@Barbara Tyson (Sara Prudhomme)@Robert Joy (Demus)@Rick Fox (Détective Scholfield)@Chaz Thorne (David Elkins)@||Secrets de tournage :
Russell Mulcahy évoque des conditions de tournage :
" On a réalisé le tournage à Toronto, puis tourné à Chicago pendant une journée, pour quelques plans d'extérieurs. C'est la politique du Hollywood des années 90 ! (...) Vous savez, filmer au Canada, aux Etats-Unis, en Angleterre ou en Australie, c'est pareil, pour peu que les gens parlent anglais ! "
Leland Orser, "Andrew Hollinsworth" :
Le public français ne fait que l'apercevoir dans Seven de David Fincher (1995), Independence Day de Roland Emmerich (1996), ou Il Faut Sauver Le Soldat Ryan (1998) de Steven Spielberg.
Ce même public a dû attendre 1997 et Alien : Resurrection pour prendre conscience du talent de Leland Orser.
Il collabore par la suite à Very Bad Things(1998).
En 2000, il participe à Bone Collector de Philip Noyce.
David Cronenberg, l'invité surprise :
Depuis Série noire pour Nuit Blanche de John Landis (1985), le metteur en scène canadien a pris l'habitude d'apparaître dans les films de ses confrères (et amis pour la plupart). Ainsi, le public a pu notamment l'apprécier dans Prête à Tout de Gus Van Sant, Mesures d'Urgence de Michael Apted, ou Last Night de Don McKellar.
Russell Mulcahy, réalisateur :
Cet Australien est déjà un réalisateur réputé pour la qualité de ses clips vidéos (notamment pour Elton John, les Rolling Stones, ou encore Queen), lorsqu'il signe en 1983 la mise en scène de son premier long métrage, Razorback.
Il réalise ensuite Highlander (1985), Highlander II (1989), Ricochet (1991), Blue Ice (1992) et L'Affaire Karen Mc Coy (1993).
Resurrection marque le retour de Mulcahy sur le devant de la scène. Sa dernière réalisation pour le cinéma remontait en effet à 1995. Il s'agissait de Silent Trigger (inédit en France).
L'ambition de Russell Mulcahy :
" Sortir de la norme, choquer. C'était ma "lecture" de ce scénario. J'avais envie de filmer "Resurrection" comme on filmerait un cauchemar ! Je pense que les gens aiment avoir des frissons avec un thriller, de même qu'ils adorent rire avec une comédie. L'important, c'est que les films ne laissent pas les spectateurs indifférents ! "
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Back to the Future|Robert Zemeckis|Science fiction||4|américain|1985|106|Anglais||DX50|||DX50|782 Kbps|512x288|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|702||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Neil Canton Bob Gale|Robert Zemeckis Bob Gale|Dean Cundey||CIC|Saga : Retour vers le futur |1985. Le jeune Marty McFly mène une existence anonyme auprès de sa petite amie Jennifer, seulement troublée par sa famille en crise et un proviseur qui serait ravi de l'expulser du lycée. Ami de l'excentrique professeur Emmett Brown, il l'accompagne un soir tester sa nouvelle expérience : le voyage dans le temps via une DeLorean modifiée. La démonstration tourne mal : des trafiquants d'armes débarquent et assassinent le scientifique. Marty se réfugie dans la voiture et se retrouve transporté en 1955. Là, il empêche malgré lui la rencontre de ses parents, et doit tout faire pour les remettre ensemble, sous peine de ne pouvoir exister... |Michael J. Fox (Marty McFly )@Christopher Lloyd (Dr. Emmett L. 'Doc' Brown)@Lea Thompson (Lorraine Baines-McFly )@Crispin Glover (George McFly )@Thomas F. Wilson (Biff Tannen )@Claudia Wells (II) (Jennifer Parker)@Marc McClure (Dave McFly)@Wendie Jo Sperber (Linda McFly)@George DiCenzo (Sam Baines)@Frances Lee McCain (Stella Baines)@Jason Hervey (Milton Baines)@Maia Brewton (Sally Baines)@James Tolkan (Mr. Strickland)@Billy Zane (Match )@J.J. Cohen (Skinhead)@Casey Siemaszko (3-D)@Donald Fullilove (Goldie Wilson)@Harry Waters Jr. (Marvin Berry)@Lisa Freeman (Babs)@Kristen Kauffman (Betty)@Elsa Raven (la femme de l'horloge)@Will Hare (Pa Peabody)@Ivy Bethune (Ma Peabody)@Jason Marin (Sherman Peabody)@Katherine Britton (la fille Peabody)@Courtney Gains (Dixon)@Norman Alden (Lou)@Huey Lewis (le juge du concours de rock du lycée)@||Secrets de tournage :
La saga "Retour vers le futur"
Réalisé en 1985, Retour vers le futur est le premier épisode de cette saga inter-temporelle de Robert Zemeckis. Il sera suivi par Retour vers le futur II (1989) et Retour vers le futur III (1990).
Pas de "Retour vers le futur IV"
Pourtant espéré depuis de nombreuses années par les fans, un quatrième épisode estampillé Retour vers le futur ne verra finalement pas le jour. C'est Steven Spielberg lui-même qui a mis un point final à ce débat.
L'idée originale...
L'idée de Retour vers le futur est venue à Robert Zemeckis et Bob Gale alors qu'ils se demandaient comment aurait pu se dérouler leur rencontre avec leurs propres parents. A partir de ce point de départ, ils imaginent les aventures temporelles de Marty McFly. Aventures qui passeront par diverses modifications... Ainsi, par exemple, le voyage dans le temps devait initialement se faire via un réfrigérateur modifié. L'idée fut rapidement abandonnée, les auteurs craignant que les enfants n'essayent de s'enfermer à leurs tours dans leur frigos ...
Michael J. Fox remplace Eric Stoltz
Initialement attaché au film dans le rôle de Marty McFly, Eric Stoltz sera remplacé par Michael J. Fox après quelques jours de tournage : jugé trop vieux, il ne faisait pas assez "adolescent" pour le rôle. Envisagé dès l'origine du projet dans le rôle principal, Michael J. Fox n'avait pu y prendre part, tenu par ses engagements sur la série Family Ties. Il pourra finalement participer à l'aventure Retour vers le futur, le planning de tournage étant fixé en fonction de celui de la série. Une fin heureuse pour le comédien, qui deviendra une véritable star internationale grâce au film de Robert Zemeckis...
Emmett "Doc" Brown, un nom prédestiné
Le prénom du personnage de Emmett "Doc" Brow, l'inventeur de la machine à voyager dans le temps interprété par Christopher Lloyd, est judicieusement choisi. Il correspond au mot "time" ("temps"), mis à l'envers et décomposé en deux syllabes ("Em-It").
Robert Zemeckis retrouve ses comédiens
Outre la saga Retour vers le futur, Robert Zemeckis collaborera à nouveau avec ses deux vedettes : en 1988, il dirige à nouveau Christopher Lloyd dans Qui veut la peau de Roger Rabbit ?, puis en 1996, il produit Fantômes contre fantômes avec Michael J. Fox.
Doubles rôles
La majorité des comédiens de Retour vers le futur se sont vus confier un "double rôle", à savoir celui de leur personnage en 1985 et celui de leur personnage plus jeune en 1955. Lea Thompson et Crispin Glover, interprètes des parents de Marty McFly, et Thomas F. Wilson (Biff Tannen) durent ainsi subir de longues séquences de maquillage afin d'être vieillis pour paraître largement plus vieux que Michael J. Fox. Pourtant, Lea Thompson, née en 1961, a le même âge que son "fils", alors que Crispin Glover est de trois ans son cadet !
Premier rôle pour Billy Zane
Vu dans Calme blanc et Titanic notamment, Billy Zane fait ici ses débuts à l'écran, dans le rôle de Match, l'un des voyous du gang de Biff Tannen.
D'un Lloyd à l'autre
La scène dans laquelle "Doc" (Christopher Lloyd) se retrouve accroché à l'une des aiguilles de l'horloge de l'hôtel de ville dans Retour vers le futur renvoie au film muet Monte là-dessus (1923), dans lequel Harold Lloyd se retrouvait dans la même position. Une image également reprise dans le générique de Retour vers le futur, à travers une photo noir et blanc où un homme est suspendu à une horloge.
Une apparition de Huey Lewis
Auteur de certains morceaux musicaux du film (dont le tube Power of love), le célèbre chanteur Huey Lewis fait une apparition au début du film : il interprète le juge du concours de rock, qui trouve la musique de Marty McFly (en réalité son propre tube), "trop assourdissante" !
Quand Marty McFly invente le rock...
Lors de la scène du bal de promotion en 1955, Michael J. Fox (Marty McFly) joue et interprète Johnny B. Goode à la guitare. L'un des musiciens, prénommé Marvin Berry, appelle alors son cousin Chuck (Berry, auteur du véritable Johnny B. Goode en 1958) pour lui faire écouter le morceau et lui conseiller d'utiliser ce nouveau son. L'histoire fera le reste...
"Marty" de Delbert Mann, Oscar 1956
Hasard, coïncidence ou implication de Marty McFly, le film Marty, réalisé en 1955 par Delbert Mann, fut couronné par quatre Oscars l'année suivante, dont celui du Meilleur film.
Changements temporels...
Outre l'histoire principale de la famille McFly, les observateurs les plus attentifs s'amuseront à dénicher tous les petits détails du film ayant subi des modifications entre 1955 et 1985 : changements des titres de journaux, de décors, voire même de destins pour certains personnages. Ainsi, le maire de Hill Valley en 1995 (Red Thomas), deviendra en 1985 le SDF (Red) que Marty croise sur un banc...
De Calvin Klein à Pierre Cardin
En 1955, la future mère de Marty McFly, ignorant son identité, l'appelle Calvin Klein, en se basant sur le nom inscrit sur ses sous-vêtements. Ce nom sera modifié pour diverses versions internationales, le nom de Calvin Klein étant alors peu connu du public. En France, Michael J. Fox sera rebaptisé Pierre Cardin.
La DeLorean : nouvelle machine à voyager dans le temps
La machine à voyager dans le temps de la saga Retour vers le futur est une DeLorean modifiée. Cette voiture, désormais entrée dans la légende du septième art, se distingue notamment par ses portes papillons et sa carrosserie en acier inoxydable non peint.
Créée en 1976, la DeLorean est l'aboutissement du rêve de John Zachary DeLorean, ancien vice-président du groupe Général Motor Company (de 1972 à 1973) qui démissionna rapidement afin de fonder sa propre société automobile et sa propre marque. Il trouvera une oreille favorable en Irlande. En 1981, après plusieurs années de développement et de recherche de partenaires financiers, les premiers modèles voient le jour. Mais les ventes ne sont pas au rendez-vous et la production stagne pendant deux ans. En 1983, John Z. DeLorean est accusé (à tort, il sera innocenté par la suite) de trafic de drogue et de mauvaise utilisation de fonds publics et la DeLorean Motors Company sombrera dans la faillite. A ce jour, seulement 9 000 véhicules (environ) sont sortis des usines DeLorean.
Le tandem Zemeckis / Spielberg
La saga Retour vers le futur marque les retrouvailles du tandem Robert Zemeckis / Steven Spielberg. Leur première collaboration remonte à 1978 avec la comédie Crazy day, écrite et mise en scène par Zemeckis et produite par Spielberg, qui sera suivie par La Grosse magouille en 1980. La même année, Robert Zemeckis signe le scénario de 1941. En 1985, Steven Spielberg produit la série Amazing stories pour laquelle Robert Zemeckis signera un épisode, avant d'enchaîner sur Retour vers le futur dont il produira également les deux suites. Enfin, Steven Spielberg supervise la production de Qui veut la peau de Roger Rabbit ? que réalise Robert Zemeckis en 1988.
Kennedy / Marshall / Spielberg : un trio prolifique
L'équipe de production formée par Kathleen Kennedy, Frank Marshall et Steven Spielberg s'avère être l'une des plus prolifiques d'Hollywood. Ensemble, ils ont produit une vingtaine de films, dont Poltergeist, Gremlins et sa suite, Les Goonies, L'Empire du soleil, La Couleur pourpre, la trilogie Retour vers le futur, Qui veut la peau de Roger Rabbit ? ou encore Arachnophobie. Kathleen Kennedy et Frank Marshall ont également produit plusieurs films de Steven Spielberg, dont Indiana Jones et le Temple maudit, Pour toujours et Hook ou la revanche du Capitaine Crochet.
Clin d'oeil à Steven Spielberg
Un petit clin d'oeil à Steven Spielberg, producteur exécutif de la saga Retour vers le futur, est présent lors d'une scène en 1955. Dans un plan, un cinéma propose à l'affiche les films A boy's life (titre de travail de E.T. l'extraterrestre ) et Watch the skies (titre original de Rencontres du 3e type).
Hommage à "La Machine à explorer le temps"
Le générique de début de Retour vers le futur (une succession de plans d'horloges et de montres) est un hommage appuyé à La Machine à explorer le temps (1960) de George Pal, qui débute de la même façon.
Un voyage dans le temps très lucratif
Produit pour 19 millions de dollars, Retour vers le futur sera un énorme succès. Le film rapporte 210 millions de dollars sur le sol américain et 140 millions de dollars au niveau international. Au final (hors exploitation vidéo), le film aura engrangé près de 350 millions de dollars, soit plus de dix-neuf fois son budget !
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Une saga devenue une attraction
Fort de son succès, la saga Retour vers le futur a été déclinée en attraction dans le parc des studios Universal, à Los Angeles. Créée en 1991 et intitulée Back to the future... The Ride, cette attraction emmène les visiteurs dans un voyage à travers diverses époques, à la poursuite de Biff Tannen. Christopher Lloyd (?Doc?) et Thomas F. Wilson (Biff) ont participé à l'aventure. Les décors de la saga, dont l'imposante horloge de l'hôtel de ville sont également ouverts aux visites au sein des studios.
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Back to the Future Part II|Robert Zemeckis|Science fiction||4|américain|1989|98|||DX50|||DX50|854 Kbps|544x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Neil Canton Bob Gale|Robert Zemeckis Bob Gale|Dean Cundey||United International Pictures (UIP)|Saga : Retour vers le futur |Lors de son premier voyage en 1985, Marty a commis quelques erreurs. L'avenir qu'il s'était tracé n'est pas si rose, et son rejeton est tombé sous la coupe du voyou Griff Tannen, qui veut régner sur la ville. En compagnie de son ami Emmett "Doc" Brown et de sa fiancée Jennifer, Marty va devoir entreprendre un voyage vers le futur, pour tenter de donner un peu plus de moralité à son héritier. Un voyage aux conséquences dramatiques... |Michael J. Fox (Marty McFly / Marty McFly Jr. / Marlene McFly)@Christopher Lloyd (Dr. Emmett L. 'Doc' Brown)@Lea Thompson (Lorraine Baines-McFly-Tannen)@Thomas F. Wilson (Biff Tannen / Griff Tannen / Grand-mère Tannen)@Elisabeth Shue (Jennifer Parker )@James Tolkan (Mr. Strickland)@Jeffrey Weissman (George McFly)@Billy Zane (Match)@J.J. Cohen (Skinhead)@Casey Siemaszko (3-D)@Charles Fleischer (Terry)@Donald Fullilove (Goldie Wilson)@Jason Scott Lee (Whitey)@Elijah Wood (Mickey)@Flea (Needles)@Lisa Freeman (Babs)@Crispin Glover (George McFly)@Joe Flaherty@||Secrets de tournage :
La saga "Retour vers le futur"
Réalisé en 1989, Retour vers le futur 2 est le second épisode de la trilogie. Il était précédé de Retour vers le futur (1985) et sera suivi par Retour vers le futur III (1990).
Pas de "Retour vers le futur IV"
Pourtant espéré depuis de nombreuses années par les fans, un quatrième épisode estampillé Retour vers le futur ne verra finalement pas le jour. C'est Steven Spielberg lui-même qui a mis un point final à ce débat.
"Retour vers le futur II et III" : tournage simultané
Retour vers le futur 2 et Retour vers le futur III furent pensés comme deux parties d'un même film, et furent tournés simultanément afin de sortir sur les écrans à quelques mois d'intervalle, le second opus se terminant sur un "cliffhanger" ("à suivre"). Le tournage s'avéra épuisant pour Robert Zemeckis, qui filmait le troisième volet le jour et montait le second la nuit.
Une bande-annonce pour "Retour vers le futur III"
Les deux films ayant été tournés simultanément, la bande-annonce de Retour vers le futur III était diffusée à la fin de Retour vers le futur 2, donnant rendez-vous aux spectateurs dès l'année suivante pour la suite des aventures de Marty McFly.
Robert Zemeckis retrouve ses comédiens
Outre la saga Retour vers le futur, Robert Zemeckis collaborera à nouveau avec ses deux vedettes : en 1988, il dirige à nouveau Christopher Lloyd dans Qui veut la peau de Roger Rabbit ?, puis produit Fantômes contre fantômes avec Michael J. Fox en 1996.
Crispin Glover remplacé
Interprète de George McFly (le père de Marty) dans le premier film, Crispin Glover fut remplacé par Jeffrey Weissman dans ce second opus, ce dernier étant maquillé pour lui ressembler au maximum. Plusieurs explications ont été avancées pour expliquer cette absence : pour certains, le comédien aurait refusé l'idée d'une suite ; pour d'autres, il était mentalement instable. Crispin Glover participa cependant au film, via des scènes du premier opus réutilisées par la production. Cette décision conduisit d'ailleurs à un procès, l'acteur reprochant au studio l'utilisation de son image sans sa permission : un accord fut finalement trouvé, et conduisit la SAG (le syndicat des acteurs américains) à adopter de nouvelles lois sur la réutilisation du travail des comédiens.
Elisabeth Shue remplace Claudia Wells
Pour d'obscures raisons, Claudia Wells, qui interprétait Jennifer Parker dans le premier opus, cède sa place à Elisabeth Shue pour Retour vers le futur II et Retour vers le futur III. Conséquence, la première scène de ce second volet, reprenant la fin de Retour vers le futur, sera entièrement retournée avec un souci du détail tel qu'il est quasiment impossible de déceler les différences entre les deux versions (exception faite d'Elisabeth Shue bien entendu).
Rôles multiples
De nombreux acteurs principaux du film se sont vus confier plusieurs rôles, et durent ainsi subir de longues heures de maquillage. Michael J. Fox interprète Marty McFly jeune et âgé, son fils Marty McFly Jr. et sa fille Marlene McFly. Lea Thompson passe pour sa part successivement de Lorraine McFly à Lorraine Baines à Lorraine Tannen, alors que Thomas F. Wilson prête ses traits à Biff et Griff Tannen, et sa voix à la grand-mère Tannen.
Premier rôle pour Elijah Wood
Interprète de Frodon Sacquet dans la trilogie du Seigneur des anneaux , Elijah Wood faisait sa première apparition à l'écran dans Retour vers le futur II. Il incarne un jeune joueur de jeu vidéo dans le bar en 2015.
Apparition du doubleur de Roger Rabbit
Charles Fleischer, la voix américaine du lapin star de Qui veut la peau de Roger Rabbit ? (également mis en scène par Robert Zemeckis), fait une courte apparition dans le film.
« Préc.
Retourner la scène du bal
Marty McFly retournant vers 1955 à la poursuite de l'almanach, la scène du bal de promotion du premier film dut être entièrement reconstituée : les décors furent reconstruits à l'identique, et les mêmes figurants furent recontactés par la production. Au final, à quelques erreurs près, les scènes des deux films sont identiques en tous points.
Dans le tunnel vers ToonTown...
Le tunnel utilisé pour filmer la scène où Marty McFly tente de subtiliser l'almanach à Biff Tannen dans sa voiture est celui conduisant vers la ville des Toons (ToonTown) dans Qui veut la peau de Roger Rabbit ? (réalisé par Robert Zemeckis un an plus tôt).
Clin d'oeil à Steven Spielberg
Deux clins d'oeil à Steven Spielberg, producteur exécutif du film, apparaissent dans ce second opus. Ainsi, le cinéma de Hill Valley diffuse un Dents de la mer 19 (Jaws 19) holographique, réalisé par Max Spielberg (le véritable fils du cinéaste !). Plus tard dans le film, dans une vitrine d'antiquités, Marty découvre notamment un jeu vidéo Les Dents de la mer (ainsi qu'une peluche de Roger Rabbit).
Le tandem Zemeckis / Spielberg
La saga Retour vers le futur marque les retrouvailles du tandem Robert Zemeckis / Steven Spielberg. Leur première collaboration remonte à 1978 avec la comédie Crazy day, écrite et mise en scène par Zemeckis et produite par Spielberg, qui sera suivie par La Grosse magouille en 1980. La même année, Robert Zemeckis signe le scénario de 1941. En 1985, Steven Spielberg produit la série Amazing stories pour laquelle Robert Zemeckis signera un épisode, avant d'enchaîner sur Retour vers le futur dont il produira également les deux suites. Enfin, Steven Spielberg supervise la production de Qui veut la peau de Roger Rabbit ? que réalise Robert Zemeckis en 1988.
Kennedy / Marshall / Spielberg : un trio prolifique
L'équipe de production formée par Kathleen Kennedy, Frank Marshall et Steven Spielberg s'avère être l'une des plus prolifiques d'Hollywood. Ensemble, ils ont produit une vingtaine de films, dont Poltergeist, Gremlins et sa suite, Les Goonies, L'Empire du soleil, La Couleur pourpre, la trilogie Retour vers le futur, Qui veut la peau de Roger Rabbit ? ou encore Arachnophobie. Kathleen Kennedy et Frank Marshall ont également produit plusieurs films de Steven Spielberg, dont Indiana Jones et le Temple maudit, Pour toujours et Hook ou la revanche du Capitaine Crochet.
La DeLorean : nouvelle machine à voyager dans le temps
La machine à voyager dans le temps de la saga Retour vers le futur est une DeLorean modifiée. Cette voiture, désormais entrées dans la légende du septième art, se distingue notamment par ses portes papillons et sa carrosserie en acier inoxydable non peint.
Créée en 1976, la DeLorean est l'aboutissement du rêve de John Zachary DeLorean, ancien vice-président du groupe Général Motor Company (de 1972 à 1973) qui démissionna rapidement afin de fonder sa propre société automobile et sa propre marque. Il trouvera une oreille favorable en Irlande. En 1981, après plusieurs années de développement et de recherche de partenaires financiers, les premiers modèles voient le jour. Mais les ventes ne sont pas au rendez-vous et la production stagne pendant deux ans. En 1983, John Z. DeLorean est accusé (à tort, il sera innocenté par la suite) de trafic de drogue et de mauvaise utilisation de fonds publics et la DeLorean Motors Company est mise en faillite. A ce jour, seulement quelques 9 000 véhicules sont sorties des usines DeLorean.
Le succès toujours au rendez-vous...
Après l'incroyable succès du premier opus, Retour vers le futur II, produit pour 40 millions de dollars, s'annonçait comme un hit majeur. Si ses recettes seront en-deçà de celles de Retour vers le futur, elles atteindront tout de même 118 millions de dollars sur le sol américain et un peu plus de 332 millions de dollars dans le monde.
Une saga devenue une attraction
Fort de son succès, la saga Retour vers le futur a été déclinée en attraction dans le parc des studios Universal, à Los Angeles. Créée en 1991 et intitulée Back to the future... The Ride, cette attraction emmène les visiteurs dans un voyage à travers diverses époques, à la poursuite de Biff Tannen. Christopher Lloyd (?Doc?) et Thomas F. Wilson (Biff) ont participé à l'aventure. Les décors du film, dont l'imposante horloge de l'hôtel de ville sont également ouverts aux visites au sein des studios.
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Back to the Future Part III|Robert Zemeckis|Science fiction||3|américain|1990|106|||DX50|||DX50|783 Kbps|512x288|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Neil Canton Bob Gale|Robert Zemeckis Bob Gale|Dean Cundey||United International Pictures (UIP)|Saga : Retour vers le futur |Après son voyage mouvementé entre passé, présent et futur, Marty McFly apprend par une lettre vieille de cent ans que son vieil ami Emmett "Doc" Brown se serait crashé en 1880 au volant de sa DeLorean, restant ainsi prisonnier du far-west, sous la menace de Buford "Molosse" Tannen qui s'est juré de le tuer. Il n'a que cinq jours pour retrouver Doc et le ramener vivant vers le présent... |Michael J. Fox (Marty McFly / Clint Eastwood / Seamus McFly)@Christopher Lloyd (Dr. Emmett L. 'Doc' Brown)@Thomas F. Wilson (Biff Tannen / Buford 'Molosse' Tannen)@Mary Steenburgen (Clara Clayton )@Lea Thompson (Lorraine McFly / Maggie McFly)@Elisabeth Shue (Jennifer Parker )@James Tolkan (Marshall Strickland )@Matt Clark (Chester, le tenancier)@Hugh Gillin (le maire Hubert)@Marc McClure (Dave McFly)@Wendie Jo Sperber (Linda McFly)@Jeffrey Weissman (George McFly)@Flea (Needles)@J.J. Cohen (l'un des membres du gang de Needles)@Kaleb Henley (Strickland Jr.)@Todd Cameron (Jules Brown)@Dannel Evans (Verne Brown)@Richard Dysart@Pat Buttram@Harry Carey Jr.@Dub Taylor@Dean Cundey@||Secrets de tournage :
Hommage à Leone par Zemeckis
L'arrivée de Michael J. Fox dans la gare de Hill Valley en 1885 est filmée de la même façon, de l'aveu de Robert Zemeckis, que l'arrivée de Jill (Claudia Cardinale) à la gare dans Il était une fois dans l'Ouest.
La saga "Retour vers le futur"
Réalisé en 1990, Retour vers le futur 3 est le dernier chapitre des aventures de Marty McFly. Il était précédé de Retour vers le futur (1985) et Retour vers le futur II (1989).
Pas de "Retour vers le futur IV" !
Pourtant espéré depuis de nombreuses années par les fans, un quatrième épisode estampillé Retour vers le futur ne verra finalement pas le jour. C'est Steven Spielberg lui-même qui a mis un point final à ce débat.
"Retour vers le futur II et III" : tournage simultané
Retour vers le futur II et Retour vers le futur 3 furent pensés comme deux parties d'un même film, et furent tournés simultanément afin de sortir sur les écrans à peu d'intervalles, le second opus se terminant sur un "cliffhanger" ("à suivre"). Le tournage s'avéra épuisant pour Robert Zemeckis, qui filmait le troisième volet le jour et montait le second la nuit.
Robert Zemeckis retrouve ses comédiens
Outre la saga Retour vers le futur, Robert Zemeckis collaborera à nouveau avec ses deux vedettes : en 1988, il dirige à nouveau Christopher Lloyd dans Qui veut la peau de Roger Rabbit ?, puis en 1996, il produit Fantômes contre fantômes avec Michael J. Fox.
Crispin Glover remplacé
Interprète de George McFly (le père de Marty) dans le premier film, Crispin Glover fut remplacé par Jeffrey Weissman dans ce second opus, qui sera maquillé pour lui ressembler au maximum. Plusieurs explications ont été avancées pour expliquer cette absence : pour certains, le comédien aurait refusé l'idée d'une suite ; pour d'autres, il était mentalement instable. Crispin Glover participa cependant au film, via des scènes du premier opus réutilisées par la production. Cette décision conduisit d'ailleurs à un procès, l'acteur reprochant au studio l'utilisation de son image sans sa permission : un accord fut finalement trouvé, et conduisit la SAG (le syndicat des acteurs américains) à adopter de nouvelles lois sur la réutilisation du travail des comédiens.
Elisabeth Shue remplace Claudia Wells
Pour d'obscures raisons, Claudia Wells, qui interprétait Jennifer Parker dans le premier opus, cède sa place à Elisabeth Shue pour Retour vers le futur II et Retour vers le futur III. Conséquence, la première scène de ce second volet, reprenant la fin de Retour vers le futur, sera entièrement retournée avec un souci du détail tel qu'il est quasiment impossible de déceler les différences entre les deux versions (exception faite d'Elisabeth Shue bien entendu).
Nouveau voyage dans le temps pour Mary Steenburgen
Interprète de Clara, l'amour de "Doc", Mary Steenburgen fait ici son second voyage dans le temps : elle était l'héroïne de C'était demain en 1979, dans lequel H.G. Wells (Malcolm McDowell) se lançait à la poursuite de Jack l'Eventreur à travers le temps.
Multiples rôles
Comme dans Retour vers le futur II, les acteurs principaux interprètent plusieurs rôles inter-générations. Michael J. Fox campe ainsi Marty McFly et Seamus McFly, Thomas F. Wilson incarne Biff Tannen et son ancêtre Buford "Molosse" Tannen, alors que Lea Thompson se glisse dans le costume de Lorraine McFly et Maggie McFly.
Une photo... du directeur photo
Dean Cundey, directeur de la photographie sur la saga Retour vers le futur fait une courte apparition dans Retour vers le futur 3. Il incarne le photographe prenant le cliché de Marty et "Doc" devant l'horloge de l'hôtel de ville en 1885.
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Flea, un musicien au cinéma
Autre apparition, celle de Michael Balzary alias Flea, bassiste des Red Hot Chili Peppers, qui interprète Needles. Il apparaît également dans Retour vers le futur II, en patron de Michael J. Fox en 2015. Depuis, il a tourné notamment dans My Own Private Idaho et Psycho.
Clin d'oeil à Clint Eastwood
Plusieurs clins d'oeil sont adressés à Clint Eastwood dans Retour vers le futur III. Michael J. Fox se fait appeler ainsi au far-west, et lors de son duel face à Buford Tannen, il dissimulera une plaque en fonte sous son poncho pour se protéger (un subterfuge utilisé par Clint Eastwood dans Pour une poignee de dollars).
La DeLorean : nouvelle machine à voyager dans le temps
La machine à voyager dans le temps de la saga Retour vers le futur est une DeLorean modifiée. Cette voiture, désormais entrées dans la légende du septième art, se distingue notamment par ses portes papillons et sa carrosserie en acier inoxydable non peint.
Créée en 1976, la DeLorean est l'aboutissement du rêve de John Zachary DeLorean, ancien vice-président du groupe Général Motor Company (de 1972 à 1973) qui démissionna rapidement afin de fonder sa propre société automobile et sa propre marque. Il trouvera une oreille favorable en Irlande. En 1981, après plusieurs années de développement et de recherche de partenaires financiers, les premiers modèles voient le jour. Mais les ventes ne sont pas au rendez-vous et la production stagne pendant deux ans. En 1983, John Z. DeLorean est accusé (à tort, il sera innocenté par la suite) de trafic de drogue et de mauvaise utilisation de fonds publics et la DeLorean Motors Company est mise en faillite. A ce jour, seulement quelques 9 000 véhicules sont sorties des usines DeLorean.
Le tandem Zemeckis / Spielberg
La saga Retour vers le futur marque les retrouvailles du tandem Robert Zemeckis / Steven Spielberg. Leur première collaboration remonte à 1978 avec la comédie Crazy day, écrite et mise en scène par Zemeckis et produite par Spielberg, qui sera suivie par La Grosse magouille en 1980. La même année, Robert Zemeckis signe le scénario de 1941. En 1985, Steven Spielberg produit la série Amazing stories pour laquelle Robert Zemeckis signera un épisode, avant d'enchaîner sur Retour vers le futur dont il produira également les deux suites. Enfin, Steven Spielberg supervise la production de Qui veut la peau de Roger Rabbit ? que réalise Robert Zemeckis en 1988.
Kennedy / Marshall / Spielberg : un trio prolifique
L'équipe de production formée par Kathleen Kennedy, Frank Marshall et Steven Spielberg s'avère être l'une des plus prolifiques d'Hollywood. Ensemble, ils ont produit une vingtaine de films, dont Poltergeist, Gremlins et sa suite, Les Goonies, L'Empire du soleil, La Couleur pourpre, la trilogie Retour vers le futur, Qui veut la peau de Roger Rabbit ? ou encore Arachnophobie. Kathleen Kennedy et Frank Marshall ont également produit plusieurs films de Steven Spielberg, dont Indiana Jones et le Temple maudit, Pour toujours et Hook ou la revanche du Capitaine Crochet.
Une trilogie lucrative
Moins rentable que ses deux prédécesseurs, Retour vers le futur III rapportera néanmoins 83 millions de dollars sur le sol américain et 243 millions de dollars dans le monde.
Une saga devenue une attraction
Fort de son succès, la saga Retour vers le futur a été déclinée en attraction dans le parc des studios Universal, à Los Angeles. Créée en 1991 et intitulée Back to the future... The Ride, cette attraction emmène les visiteurs dans un voyage à travers diverses époques, à la poursuite de Biff Tannen. Christopher Lloyd ("Doc") et Thomas F. Wilson (Biff) ont participé à l'aventure. Les décors du film, dont l'imposante horloge de l'hôtel de ville sont également ouverts aux visites au sein des studios.
Décliné en série TV
La saga Retour vers le futur fut adaptée en série télévisée animée entre 1991 et 1993. Le show suivait les aventures de ?Doc? Brown et sa famille à travers le temps, en compagnie de Marty McFly. Mary Steenburgen (Clara) et Thomas F. Wilson (Tannen) participeront vocalement au programme, alors que Christopher Lloyd (?Doc?) y fera de courtes apparitions en chair et en os.
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Get Rich or Die Tryin'|Jim Sheridan|Drame|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|2006|116|Anglais||DivX|||DIVX|708 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|703||||23.976|06/08/2009 00:00:00|Dr. Dre Jimmy Iovine Chris Lighty Heather Perry Jim Sheridan Paul Rosenberg|Terence Winter|Declan Quinn||Paramount Pictures||Un rêve habite Marcus depuis toujours : devenir rappeur. Mais lorsque sa mère est assassinée, l'adolescent perd brutalement ses repères et plonge dans le crime. Devenu dealer par nécessité, il se voit rapidement entraîné dans une spirale infernale, avec pour seuls garde-fous sa grand-mère, sa petite amie Charlene et son loyal ami Bama. Sa vie dès lors se partage entre le crime et l'écriture, à laquelle il consacre la même énergie désespérée. Cet enfer durera encore plusieurs années, jusqu'à ce qu'un drame lui fasse frôler la mort et l'oblige à un choix radical... |Curtis "50 Cent" Jackson (Marcus)@Adewale Akinnuoye-Agbaje (Majestic)@Omar Benson Miller (Keryl)@Tory Kittles (Justice)@Terrence Howard (Bama)@Joy Bryant (Charlene)@Walter Alza (Raoul)@Benz Antoine (Ray Wilmore)@Tig Fong@Ashley Walters (Antwan)@Marc John Jefferies (Young Marcus)@Viola Davis (Grandma)@Sullivan Walker (Grandpa)@Serena Reeder (Katrina)@Bill Duke (Levar)@Mpho Koaho (Junebug)@Russell Hornsby (Odell)@Joseph Pierre (Uncle Deuce)@Ryan Allen (Uncle Ray)@||Secrets de tournage :
Get rich or die tryin'
Le titre du film fait référence à l'album homonyme de 50 Cent qui s'est écoulé à plus de 7 millions d'exemplaires à travers le monde. Pour devenir une star de l'écran, Curtis "50 Cent " Jackson a dû revivre et rejouer certains des événements les plus traumatisants de sa vie, entre autres : la mort de sa mère, les violences et les dangers d'une carrière de dealer, et l'attaque qui le laissa pour mort devant la maison de ses grands-parents. "Réussir ou mourir est un collage inspiré de ma vie (...) Ce n'est pas exactement mon histoire, mais on y retrouve des incidents proches de ceux qui ont émaillé mon existence." nous raconte 50 Cent. Le film a été tourné en extérieurs naturels dans le Bronx, et ses intérieurs filmés en studio à Toronto.
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Pitch Black|David Twohy|Science fiction||3|américain|2000|99|Anglais||DIV3|||DIV3|627 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|144 Kbps|False|44.1 KHz|2|555||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Tom Engelman|David Twohy Jim Wheat Ken Wheat|David Eggby||United International Pictures (UIP)|Saga : Riddick |Un vaisseau spatial transportant une quarantaine de civils est percuté par une météorite et se crashe sur une planète inconnue. Les membres de l'équipage périssent dans l'accident, à l'exception de Fry, une jeune pilote, et de quelques survivants. Parmi eux, un imam et ses disciples, un antiquaire, une géologue, une adolescente, le chasseur de Johns et Riddick, un criminel endurci en cours de transfert vers sa prison. Alors que le petit groupe tente de s'organiser sous un climat aride de jour perpétuel dominé par trois soleils, ils découvrent qu'une éclipse va bientôt frapper la planète, permettant à de monstrueuses créatures nocturnes de se mettre en chasse... |Vin Diesel (Richard B. Riddick)@Radha Mitchell (Carolyn Fry)@Cole Hauser (William J. Johns)@Keith David (Imam Abu al-Walid)@Rhiana Griffith (Jack)@Lewis Fitz-Gerald (Paris P. Ogilvie)@Claudia Black (Shazza)@John Moore (John 'Zeke' Ezekiel)@Simon Burke (Greg Owens)@Les Chantery (Suleiman)@Sam Sari (Hassan)@Firass Dirani (Ali)@Vic Wilson (le capitaine Tom Mitchell)@Ric Anderson (le survivant du crash)@Ken Twohy (un voyageur)@||Secrets de tournage :
La révélation Vin Diesel
Pitch black est le film qui révéla Vin Diesel. Après des débuts dans le cinéma indépendant, le comédien, devenu depuis la nouvelle star musclée d'Hollywood, était jusque-là apparu dans Il faut sauver le soldat Ryan et avait prêté sa voix au Géant de fer.
Une saga multimédia
Pitch Black a initié une saga SF basée autour du personnage de Riddick. Le film est suivi par Les Chroniques de Riddick : sorti en 2004, le long métrage est le premier volet d'une trilogie basée sur le personnage de Riddick, Les Chroniques de Riddick et ses futures suites étant à Pitch Black ce que Le Seigneur des anneaux est à Bilbo le Hobbit. Outre le grand écran, la saga se décline également en DVD via le film d'animation Dark fury, dont l'intrigue fait le lien entre Pitch Black et Les Chroniques de Riddick, et en jeu vidéo à travers The Chronicles of Riddick : Escape from Butcher Bay qui revient sur l'évasion de Riddick, bien avant les événements relatés dans Pitch Black.
Note d'intention
"Pitch Black repose sur une idée que je trouvais fascinante parce qu'elle nous plonge au coeur de l'enfance et de nos phobies nocturnes", explique le producteur Tom Engelman. "Je me souviens très bien de ma première frayeur, lorsque j'avais cinq ans. Je me suis réveillé dans le noir, dans une pièce étrange que je ne connaissais pas... j'étais terrifié. Je suis tombé du lit et j'ai couru à travers la maison en hurlant, poursuivi par toutes sortes de monstres et de démons. Lorsque j'ai lu le scénario la première fois, j'ai retrouvé cette peur lointaine que nous avons presque tous connue".
La mort de Riddick ?
Une fin alternative aurait été tournée, dans laquelle le personnage de Riddick succombait sous les attaques des créatures. Face à ce personnage très porteur, les producteurs décidèrent finalement d'adopter une fin permettant son retour.
Director's cut
Ressortie en DVD en 2004 à l'occasion de la sortie des Chroniques de Riddick, Pitch black est disponible dans une version Director's cut rallongée de deux minutes.
Des monstres signés Tatopoulos
Les créatures du film, croisements improbables entre un requin-marteau et un ptérodactyle,
sont l'oeuvre du Français Patrick Tatopoulos, designer sur Independence Day, Godzilla, Underworld ou I, robot. Du propre aveu de John Cox, chargé de la création des monstres : "Je n'ai jamais rien vu de plus terrifiant que ces créatures ! Elles mesurent 2,40 mètres de haut, avec des bras longs de 1,20 mètre et des ailes de 2,40 mètres d'envergure. Mais la tête est probablement la plus effrayante avec son énorme gueule, prête à tout dévorer".
Des lentilles un peu trop collantes
Le premier jour de tournage fut déstabilisant pour Vin Diesel. Ainsi, le comédien ne put retirer les lentilles spéciales qu'il portait pour simuler le regard phosphorescent de Riddick. L'équipe tournant dans un coin reculé d'Australie, un ophtalmologiste dut être transporté d'urgence de la ville la plus proche.... située à trois heures d'avion.
Sur les traces de Mad Max
Pitch black a été tourné dans la région Coober Pedy dans le sud de l'Australie, là où furent notamment filmés Mad Max au-delà du Dôme du Tonnerre et Planète rouge.
Clin d'oeil familial
Assistant de son père sur le tournage, Ken Twohy fait une courte apparition dans le film, en voyageur tué durant le crash du vaisseau.
Succès-surprise
Sorti dans un quasi-anonymat, Pitch black créa toutefois une belle surprise au box-office : produit pour 23 millions de dollars, le film rapporta plus de 53 millions de dollars dans le monde. Mais c'est surtout en vidéo que le film de David Twohy devint un petit phénomène, permettant au cinéaste et à Vin Diesel de mettre en chantier Les Chroniques de Riddick.
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The Chronicles of Riddick|David Twohy|Science fiction||2|américain|2004|109|Anglais||DX50|||DX50|775 Kbps|480x360|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|44.1 KHz|2|699||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Scott Kroopf Vin Diesel|David Twohy David Hayter Akiva Goldsman Ken Wheat Jim Wheat|Hugh Johnson||Universal Pictures|Saga : Riddick |Une lourde menace pèse sur l'univers. Planète après planète, les féroces Necrommongers étendent leur empire, ne laissant aux populations conquises qu'une alternative : se convertir ou mourir. Et c'est ainsi que le plus improbable sauveur de la galaxie est tiré de son exil et appelé à la rescousse... |Vin Diesel (Richard B. Riddick)@Thandie Newton (Dame Vaako)@Karl Urban (Vaako)@Colm Feore (Lord Marshal)@Linus Roache (Le Purificateur)@Keith David (Imam)@Judi Dench (Aereon)@Alexa Davalos (Jack / Kyra)@Nick Chinlund (Toombs)@Yorick Van Wageningen (Le Gouverneur)@Mark Gibbon (Irgun)@Roger R. Cross (Toal)@Terry Chen (le pilote mercenaire)@Christina Cox (Eve Logan)@Alexander Kalugin (le directeur de la prison)@Kim Hawthorne (Lajjun)@Alexis Llewellyn (Ziza)@||Secrets de tournage :
"Pitch Black", épisode 2
Les Chroniques de Riddick est la suite de Pitch Black, série B de science-fiction qui avait révélé Vin Diesel durant l'été 2000.
Une saga multimédia
Les Chroniques de Riddick est le premier volet d'une trilogie basée sur le personnage de Riddick, Pitch Black apparaissant dès lors comme une aventure dérivée du antihéros nyctalope : selon Vin Diesel, Les Chroniques de Riddick et ses futures suites seront ainsi à Pitch Black ce que Le Seigneur des anneaux est à Bilbo le Hobbit. Outre le grand écran, la saga se décline également en DVD via le film d'animation Dark fury, dont l'intrigue fait le lien entre Pitch Black et Les Chroniques de Riddick, et en jeu vidéo à travers The Chronicles of Riddick : Escape from Butcher Bay qui revient sur l'évasion de Riddick, bien avant les événements relatés dans Pitch Black.
Le rêve de Vin Diesel
Les Chroniques de Riddick est la seule suite que Vin Diesel ait accepté de tourner. Il a ainsi préféré retrouver le sombre personnage qui le révéla, en déclinant 2 fast 2 furious et XXX : state of the union. Preuve de son attachement au projet, le comédien est également producteur du film.
"Vin est un homme étonnant", témoigne le comédien Karl Urban, qui incarne le Necromonger Vaako. "Lors de notre première rencontre, il n'a fait que parler du film pendant cinq heures ! Il est extraordinairement focalisé ?pas seulement sur son propre rôle, mais sur l'ensemble de la distribution. Il veut que chaque personnage soit mis en valeur et que leurs relations soient solides et cohérentes. Il désire aussi que le film puisse être vu et revu. Les Chroniques de Riddick est un film de David Twohy, mais c'est le rêve de Vin Diesel".
Riddick
"Totalement rejeté par la société, dépeint comme un tueur et une bête sauvage, Riddick est un exclu", explique Vin Diesel. "Froidement amoral, il a tout d'une crapule. C'est pourtant sur lui que les naufragés de Pitch Black devront compter pour leur survie. De tels hommes acquièrent parfois un statut de héros chez les amateurs de science-fiction". "Durant la première demi-heure de Pitch Black, Riddick ne dit pas un mot. Cela renforce encore son charisme", ajoute le réalisateur David Twohy. "Et lorsqu'il parle, c'est avec parcimonie, en choisissant chaque mot. Dans Pitch Black, il passait de tueur à antihéros, un statut qui est encore le sien au début de ce nouveau film. Les Chroniques de Riddick nous donne une chance de mieux le comprendre, de découvrir qu'il n'est pas un homme perdu dans le vaste univers, qu'il n'est plus un loup solitaire".
Un nouvel univers
"Nous avions envisagé une suite des aventures de Riddick bien avant la sortie de Pitch Black", explique le le réalisateur David Twohy. "Connaissant le piège classique des suites ?la répétition-, j'ai dit ?Proposons de l'inattendu, ne retournons pas sur cette planète aride, oublions les monstres. Passons de l'horreur au film d'action et d'aventures futuriste". "Le scénario de David nous a époustouflé", ajoute le producteur Scott Kroopf. "Nous avons tous compris que nous tenions là quelque chose d'exceptionnel. Au lieu de nous proposer une version plus opulente de Pitch Black, David a rêvé de nouveaux univers. Les Chroniques de Riddick n'est pas simplement la suite des aventures de Riddick, c'est l'exploration de tout un monde, avec des éléments hors du commun". Avec chaque fois, un mot d'ordre donné aux directeurs artistiques et décorateurs du film : "Oubliez tout ce que nous avons déjà vu à l'écran !"
Retour
Outre Vin Diesel, Keith David, alias Imam, est le seul autre acteur de Pitch Black à revenir pour cette suite. L'autre survivante du premier film, la jeune Rhiana Griffith, a été remplacée dans Les Chroniques de Riddick par la néophyte Alexa Davalos, qui parvint à convaincre les producteurs en conjuguant la brutalité de Jack/Kyra à une dimension humaine.
Des décors ?pour de vrai'
David Twohy prit, dès le début du projet, le parti de faire construire la majorité des décors du film grandeur nature, afin que les comédiens se sentent réellement au coeur de l'univers de Riddick. Six plateaux des Mammoth Studios de Vancouver furent ainsi mis à contribution, soit autant que la surface totale des Studios Universal ! Le décor de l'intérieur du Basilica, le vaisseau des Necromongers, mesurait ainsi 73 mètres de long sur 30 de large et 14 mètres de haut, pour une consommation record de bois, devant les décors de X-Men 2. Du jamais vu pour les Mammoth Studios !
Un Français au générique
Designer des créatures meurtrières de Pitch Black, le Français Patrick Tatopoulos a participé à la création de l'univers des Chroniques de Riddick aux côtés d'autres artistes.
"Pitch black" n'est pas loin
Clin d'oeil à Pitch Black où le jour et la nuit étaient au centre du film, Riddick et ses compagnons se lancent dans Les Chroniques de Riddick dans une course contre le lever du soleil sur la planète Crematoria, où les températures varient de 370° le jour et ?148° la nuit.
Vin Diesel cascadeur
Refusant d'être doublé sauf cas d'absolue nécessité, Vin Diesel tourna la majorité de ses cascades et des nombreuses scènes de combats qui émaillent Les Chroniques de Riddick. "Vin est un athlète fabuleux, aérien", explique le chef-cascadeur Bob Brown. "Nous disposions de peu de temps pour l'entraîner et avons donc préparé à son usage une ?maquette' vidéo de l'ensemble des combats, réalisée avec notre équipe de cascadeurs. Vin a regardé cela, y a introduit ses touches personnelles, a décidé des corrections à apporter, et le jour du tournage, a enchaîné ses mouvements comme s'il les avait préparés pendant des semaines".
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« Préc.
7 300 mètres de tissu
600 costumes complets
450 kilomètres de planches
300 figurants
275 menuisiers
130 jours de tournage
110 générateurs
85 sculpteurs et mouleurs
75 costumiers
75 peintres
60 t-shirts, 25 paires de bottes et 40 pantalons pour la tenue de Riddick
42 éclairagistes
20 habilleurs pour les soldats Necromongers
2 mois de conception pour les gants du Lord Marshal
Inspiration
Les costumiers du film se sont notamment inspirés des statues de bronze d'Erté pour les tenues des dames Necromongers, et des armures de Filippo Negroli, célèbre armuriers de la Renaissance, pour les tenues de combats des Necros.
Budget
Avec 105 millions de dollars, Les Chroniques de Riddick dispose d'un budget des plus conséquents, contre... 23 millions de dollars pour Pitch Black.
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Total Eclipse|Agnieszka Holland|Drame||3|belge, italien, britannique, français|1997|102|Anglais||DX50|||DX50|801 Kbps|512x296|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|689||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Jean-Pierre Ramsay-Levi|Christopher Hampton|Yorgos Arvanitis||||Paul Verlaine étouffe auprès de son épouse Mathilde. Le jeune Arthur Rimbaud a désespérement besoin d'être aimé. Entre les années 1871 et 1873, les deux poètes eurent des relations passionnelles qu'orageuses et vécurent une liaison infernale ... |Leonardo DiCaprio (Arthur Rimbaud )@David Thewlis (Paul Verlaine )@Romane Bohringer (Mathilde Maute )@Dominique Blanc (Isabelle Rimbaud )@Nita Klein (la mère de Rimbaud)@Felicie Pasotti Cabarraye (Isabelle enfant)@Christopher Hampton (Le juge)@James Thiérrée (Frederic)@Denise Chalem (Mme Maute De Fleurville)@Andrzej Seweryn (M. Maute De Fleurville)@Christopher Thompson (Carjat)@Bruce Van Barthold (Aicard)@Christopher Chaplin (Charles Cros)@Mathias Jung (André)@Aza Declercq (Le prostituée)@||||||||||||@@
Rire et châtiment|Isabelle Doval|Comédie||2|français|2003|88|||DIV3|||DIV3|977 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|115 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Michel Propper Alain Mamou-Mani|Olivier Dague Isabelle Doval|Denis Rouden||EuropaCorp Distribution||Vincent Roméro est un brillant osthéopathe, drôle et dynamique, qui passe son temps à faire rire les autres. Mais un jour, sa femme Camille, qui ne supporte plus son égocentrisme, le quitte. Le soir même, au restaurant, un de ses amis meurt, victime de crises de fous rires. Tiraillé entre sa nature hilarante et sa sensibilité soigneusement enfouie, Vincent commence un voyage initiatique, à la recherche de lui-même. |José Garcia (Vincent Roméro)@Isabelle Doval (Camille Sétine)@Laurent Lucas (Jacques)@Véronique Picciotto (Catherine)@Philippe Uchan (Pierre)@Valérie Benguigui (Audrey)@Judith El Zein (Agnès)@Marie Mergey (Madame Bourdier)@Renaud Rutten (le chauffeur de taxi)@Alain Bouzigues (le dragueur de la rue)@Benoît Poelvoorde (le professeur de secourisme)@Jean-Marie Lamour (Mickaël)@Michel Scotto di Carlo@Pascal Gentil (Le patient sportif)@François Berland (Le barman au billard)@Bénédicte Charpiat@Delphine Bibet (libraire russe)@Philippe Herisson (l'amuseur)@Philippe Lehembre (Monsieur Leboeuf)@Paco Cabezas (Monsieur Zitoun)@Nicole Evans (Mme Colin)@Thierry Heckendorn (le patient sévère)@Sophie Cattani (une patiente de Vincent)@Charlotte Desgeorges (Lise)@Antoine Blanquefort (Laurent)@Jean-François Halin (Jean)@Olivier Dague (le chanteur guitariste)@Sylvestre Amoussou (Mort de rire Black)@Michele Ernou (la gardienne)@||Secrets de tournage :
Premier film
Rire et châtiment est le premier long métrage en tant que réalisatrice d'Isabelle Doval, qui est à la ville l'épouse de José Garcia. Elle retrouve à cette occasion le producteur Michel Propper, rencontré sur le tournage du court métrage Déçue (réalisé dans le cadre d'une campagne de lutte contre la drogue).
Une bonne ambiance de tournage
Sur le tournage de Rire et châtiment, Isabelle Doval était surnommée "La Patronne". Elle confie : "J'avais de l'autorité et de la détermination, mais l'ambiance était également harmonieuse". Le producteur Michel Propper confirme : "L'ambiance sur le tournage était à la fois studieuse, harmonieuse et joyeuse. Isabelle est charmante, constamment volontaire (...). Tous ont été emballés par sa gentillesse, sa disponibilité, son professionalisme".
Isabelle Doval, trois casquettes
Isabelle Doval a endossé trois casquettes pour le tournage de Rire et châtiment : réalisatrice, scénariste, mais également actrice féminine principale. Un peu sous la crainte du producteur, Michel Propper : "J'avais déjà eu l'occasion de mesurer l'énergie et la capacité de travail d'Isabelle, mais honnêtement, je n'étais pas fou de joie de la voir en plus assumer un rôle aussi important que celui de Camille. Elle a su me convaincre, m'emmener dans son élan et au final, quelle bonne idée !".
Isabelle Doval raconte quant à elle comment elle a assumé cette triple responsabilité : "Pour tenir, il n'y a pas de secret. Il faut du travail. J'avais une vision très précise du film, en termes de mise en scène mais aussi de montage, de rythme".
José Garcia ? Pas immédiatement...
Isabelle Doval raconte qu'elle n'a pas écrit le personnage de Vincent en pensant à José Garcia. Bien que les deux artistes forment un couple à la ville, Isabelle Doval a préparé le scénario et n'a pas immédiatement confié le rôle à son compagnon. Au bout de deux ans de travail, elle se décide à lui proposer le scénario, et obtient dès lors l'accord de l'acteur dans le projet. Mais la réalisatrice tient à souligner : "Il a sa carrière et j'ai la mienne. Nous partageons déjà beaucoup de choses. Je pense que malgré tout, inconsciemment, la vie avec José m'a inspiré l'aventure de Vincent et Camille. Il a cette énergie, cette capacité à donner aux autres. Mais l'analogie s'arrête là. José n'est pas Vincent."
La genèse du projet
Le producteur de Rire et châtiment, Michel Propper, avait déjà assuré la production d'un court métrage d'Isabelle Doval dans le cadre d'une campagne de sensibilisation contre la toxicomanie. Très satisfait du résultat qu'il juge "aussi efficace que drôle", il demande à la jeune réalisatrice si elle n'a pas de projet. Isabelle Doval lui fournit quelques mois plus tard la première ébauche de Rire et châtiment, dont l'idée principale plaît au producteur, et qui se décide à son tour de se lancer dans l'aventure.
La présence de Pascal Gentil
Le film a bénéficié de sympathiques apparitions, comme le rôle du barman du billard tenu par François Berland, voix-off de l'émission télévisée Le Maillon faible. Le patient sportif a quant à lui était interprété par l'athlète Pascal Gentil, médaille de bronze de taekwondo au dernier Jeux Olympiques de Sydney en 2000.
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Risky Business|Paul Brickman|Comédie dramatique||2|américain|1984|94|Anglais||DX50|||DX50|901 Kbps|480x256|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|704||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Jon Avnet Steve Tisch|Paul Brickman|Bruce Surtees||||Une jeune femme prénommée Nanny fait l'éducation peu conventionnelle d'un jeune garçon éloigné de sa mère, en proie à des problèmes de drogue. |Tom Cruise (Joel Goodson)@Rebecca De Mornay (Lana Scharf)@Joe Pantoliano (Guido)@Richard Masur (Bill Rutherford)@Bronson Pinchot (Barry)@Nicholas Pryor (Le père de Joel)@Janet Carroll (La mère de Joel)@Bruce A. Young (Jackie)@Curtis Armstrong@Kevin Anderson@Megan Mullally@||||||||||||@@
Road Trip|Todd Phillips|Comédie||3|américain|2000|94|Anglais||DIV3|||DIV3|868 Kbps|640x336|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|676||||24.016|28/07/2009 00:00:00|Daniel Goldberg Joe Medjuck|Todd Phillips Scot Armstrong|Mark Irwin||United International Pictures (UIP)||Josh et Tiffany se sont connus enfants et n'ont jamais cesse de s'aimer depuis. Mais les etudes les ont eloignes geographiquement et les trois mille kilometres qui les separent ne contribuent pas a cimenter leur relation. Pour garder le contact, Josh enregistre des messages video, qu'il envoie a sa dulcinee. Mais quand la cassette de ses ebats avec la belle Beth part par erreur, Josh sait qu'il frole la catastrophe. Accompagne par E.L., Kyle et Rubin, il va tenter d'arriver avant le paquet compromettant. Commence alors la plus folle des equipees... |Tom Green (Barry Manilow )@Breckin Meyer (Josh)@Seann William Scott (E.L.)@Amy Smart (Beth)@DJ Qualls (Kyle)@Paulo Costanzo (Rubin)@Rachel Blanchard (Tiffany)@Todd Phillips (L'amateur de pieds dans le bus)@Andy Dick (L'employé du motel)@Anthony Rapp (Jacob)@Fred Ward (Earl Edwards)@||Secrets de tournage :
Fred Ward (Earl Edwards)
Dirigé par Don Siegel (L'évadé d'Alcatraz en 1979), Walter Hill (Sans retour en 1981), Philip Kaufman (L'étoffe des héros en 1983 et Henry & June en 1990), Michael Apted C?ur de tonnerre en 1992), Fred Ward a été l'interprète de deux films de Robert Altman (The player en 1992 et Short cuts en 1993).
Il a également été le héros de Rémo, sans arme mais dangereux (Guy Hamilton, 1985) et de Miami Blues (George Armitage, 1990), dont il fut en outre le producteur exécutif.
En 2000, il est à l'affiche de The Crow 3 de Bharat Nalluri.
Seann William Scott (E.L.)
Seann William Scott a été l'un des héros de American pie (Paul Weitz, 1999) et de Destination finale (James Wong, id.).
Ivan Reitman, producteur exécutif
Le réalisateur de SOS Fantômes et de Junior assure ici le rôle de producteur exécutif, ce qui comble de joie Todd Phillips, le réalisateur, puisqu'il considère American Collège (film réalisé par John Landis? et produit par Ivan Reitman) comme le modèle de Road trip.
Le co-scénariste Scot Armstrong définit le projet
« Nous avons voulu créer des personnages d'adolescents qui soient suffisamment drôles et délurés pour tout tenter. Il nous suffirait alors de les mettre dans certaines situations et de les laisser agir. Tout ce qui peut arriver dans un voyage de ce genre est propice à une comédie structurée, solide et bien charpentée (?)"
Breckin Meyer (Josh)
Dirigé notamment par John Carpenter (Los Angeles 2013, 1996), Paul Schrader (Touch, 1997) et Michael Mann (Révélations, 1999), Breckin Meyer a joué dans Clueless (Amy Heckerling, 1995) et Go (Doug Liman , 1999).
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Robin Hood|Wolfgang Reitherman|Animation||3|américain|1973|83|Anglais||DIV3|||DIV3|1 053 Kbps|512x384|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||23.976|06/08/2009 00:00:00|Wolfgang Reitherman|Ken Anderson Larry Clemmons|||Buena Vista Pictures||Le prince Jean est un affreux souverain qui maltraite ses sujets. Un seul le défie ouvertement et lui résiste. Caché dans la forêt de Sherwood, se trouve le vaillant et insaisissable Robin des Bois. |Dominique Paturel (Robin des Bois (voix française))@Philippe Dumat (le prince Jean (voix française))@Claude Bertrand (Petit Jean (voix française))@Roger Carel (Triste Sire (voix française))@Michèle Andrée (Belle Marianne (voix française))@Pierre Tornade (Frère Tuck (voix française))@Jacques Marin (le shériff de Nottingham (voix française))@Huguette Morins (Dame Gertrude (voix française))@Jean Martinelli (le roi Richard (voix française))@Pierre Vassiliu (le ménestrel (voix française))@||||||||||||@@
Robin Hood : Prince of the Thieves|Kevin Reynolds|Aventure||3|américain|1991|137|Anglais||DX50|||DX50|615 Kbps|672x340|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|703||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Pen Densham Richard Barton Lewis|Pen Densham John Watson|Douglas Milsome||Agence Méditerranéenne de Location de Films (A.M.L.F.)||La nouvelle mouture des aventures du héros de Sherwood, après les quelques trente films déjà inspirés du personnage. |Kevin Costner (Robin de Locksley)@Morgan Freeman (Azeem)@Alan Rickman (le shériff de Nottingham)@Mary Elizabeth Mastrantonio (Marian)@Christian Slater (Will l'écarlate)@Geraldine McEwan (Mortanna)@Brian Blessed (Lord Locksley)@Michael Wincott (Guy de Gisborne)@Nick Brimble (Petit Jean)@Soo Drouet (Fanny)@Daniel Newman (Wulf)@Daniel Peacock (David de Doncaster)@Walter Sparrow (Duncan)@Harold Innocent (L'évêque de Hereford)@Jack Wild (1) (Much)@Michael Goldie (Kenneth de Cowfall)@Liam Halligan (Peter Dubois)@Imogen Bain (Sarah)@Sean Connery (Le Roi Richard)@||||||||||||@@
Robocop|Paul Verhoeven|Fantastique|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|1988|98|||DX50|||DX50|879 Kbps|640x336|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|696||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Arne Schmidt|Michael Miner Edward Neumeier|Jost Vacano|||Saga : Robocop |A l'aube de l'an 2000, Detroit est, comme toujours dans cette sorte d'histoire, la proie du crime et de la corruption. Pour pallier ce terrible etat, les services de police inventent une nouvelle arme infaillible, Robocop, mi-homme, mi-robot, policier electronique de chair et d'acier qui a pour mission de sauvegarder la tranquillite de la ville. Mais comme souvent, ce cyborg a aussi une ame. |Peter Weller (Alex J. Murphy)@Nancy Allen (Anne Lewis)@Dan O'Herlihy (le vieil homme)@Miguel Ferrer (Bob Morton)@Ronny Cox (Dick Jones)@Kurtwood Smith (Clarence Boddicker)@Ray Wise (Leon)@Paul McCrane (Emil)@Leeza Gibbons (Jesse Perkins)@||Secrets de tournage :
Deux suites
Robocop a fait l'objet de deux suites, la première Robocop 2 d'Irvin Kershner (1990), avec Peter Weller, Nancy Allen, Dan O'Herlihy et Robert Doqui, et Robocop 3 (1992) de Fred Dekker, toujours avec Nancy Allen et Robert Doqui, mais dans lequel Robert John Burke succède à Peter Weller.
Influence
L'un des scénaristes du film Edward Neumeier a eut l'idée de Robocop après avoir participé au tournage de Blade runner (1982), les personnages qu'Harrison Ford pourchasse sont aussi des hommes-machines.
Dallas ton univers impitoyable
Dallas est une des trois villes les plus modernes des Etats-Unis, c'est elle qui sert de décor au film, notamment le building Dallas City Hall qui sert de siège social à la firme OCP, experte en robotique.
Deux scènes manquantes
Deux scènes dans le scénario, n'apparaissent pourtant pas dans le film. Dans la première, Robocop devait retourner voir sa tombe, l'autre scène était une poursuite en voiture qui devait amener Peter Weller à l'endroit où Murphy meurt et devient Robocop.
Une mort plus soft
Paul Verhoeven avait prévu au départ une mort beaucoup plus sanglante pour le personnage de Clarence Bodicker, Robocop devait en effet lui planter une lame directement dans l'oeil, mais sachant que la censure allait lui demander de changer cette scène, il ne la tourna pas.
Une musique de machine
Une musique de Terminator (arrivée de Terminator dans notre monde), est présente aussi dans Robocop, c'est un clin d'oeil du réalisateur Paul Verhoeven. Point commun entre les deux personnages, ce sont des machines à face humaine.
Un costume vraiment chaud
Lors du tournage, le costume de Robocop est si lourd et chaud que Peter Weller perd jusqu'a 1,5 kilos par jour. On installa alors un système d'air conditionné dans le costume.
Figuration de Paul Verhoeven
Paul Verhoeven apparaît dans son propre film, il danse dans la boîte de nuit et regarde la caméra au moment où Léon est arrêté.
Changement d'actrice
L'actrice Stephanie Zimbalist devait tourner dans Robocop, mais la NBC lui demanda de ne pas le faire pour pouvoir filmer d'autres épisodes de la série Remington Steele.
Participation du producteur
la voix du robot ED-209 est celle du producteur Jon Davison. Le corps de ce robot est inspiré par le dessin d'un hélicoptère et son apparence génerale d'un jouet nommé "Robotech".
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Robocop 2|Irvin Kershner|Science fiction||2|américain|1989|107|Anglais||DX50|||DX50|766 Kbps|640x336|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|669||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Jon Davison|Edward Neumeier Frank Miller|Mark Irwin|||Saga : Robocop |Robocop est de retour pour protéger les innocents. |Peter Weller (Robocop)@Nancy Allen (Anne Lewis)@Dan O'Herlihy (Le vieil homme)@Tom Noonan (Cain)@Robert Doqui (Sergent Warren Reed)@John Glover (Magnavolt Salesman)@||||||||||||@@
Robocop 3|Fred Dekker|Fantastique||1|américain|1992|100|Anglais||DX50|||DX50|859 Kbps|640x336|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|696||||25.000|08/08/2009 00:00:00||Frank Miller|Gary B. Kibbe|||Saga : Robocop |Dans un futur proche, la multinationale OCP decide de construire Delta City sur les ruines du vieux Detroit. Un groupe d'habitants irreductibles refuse de quitter les lieux. Pour les convaincre, OCP decide de reprogrammer Rococop, policier d'elite fabrique a partir de l'officier Murphy. Mais le docteur Lazarus, charge de l'entretien de Robocop, refuse d'effacer la memoire de Murphy. |Robert John Burke (Robocop)@Nancy Allen (Anne Lewis)@Jill Hennessy (Marie Lazarus)@Remy Ryan (Nikko)@Bruce Locke (Otomo)@Felton Perry (Johnson)@||||||||||||@@
Robots|Chris Wedge Carlos Saldanha|Animation||3|américain|2005|88|Anglais||XviD|||XVID|967 Kbps|560x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Jerry Davis John C. Donkin William Joyce|David Lindsay-Abaire Lowell Ganz Babaloo Mandel Ron Mita Jim McClaine|||Twentieth Century Fox France||Rodney est un jeune robot plein d'idées, mais son village est trop petit pour ses rêves. Il décide de partir à Robot Ville rencontrer Bigweld, le plus génial inventeur et bienfaiteur de tous les robots, pour lui proposer ses services. Mais de nombreuses surprises l'attendent... |Vincent Cassel (Rodney (voix française))@Monica Bellucci (Cappy (voix française))@Edouard Baer (Ratchet (voix française))@Elie Semoun (Fender (voix française))@Jean Rochefort (Bigweld (voix française))@Virginie Efira (Piper (voix française))@||Secrets de tournage :
Et de deux !
Après le triomphe de L'Age de glace en 2001, Robots marque le retour du tandem de réalisateurs composé de Chris Wedge et Carlos Saldanha.
Après la neige, les boulons...
Le co-réalisateur Carlos Saldanha évoque les différences entre L'Age de glace et Robots : "Robots est infiniment plus complexe, tant par sa narration et ses personnages que par son décor. L'Age de glace avait pour arrière-plan une vaste étendue blanche sur laquelle ne se détachaient que quatre personnages. Sur Robots, il fallit créer une immense ville à plusieurs niveaux et de nombreux personnages, dont chacun nécessitait un travail extrêmement fouillé."
Le défi de Chris Wedge
Après la banquise de L'Age de glace, le réalisateur Chris Wedge a décidé de s'intéresser au monde des robots. Il raconte : "Il fallait d'abord définir un cadre, et j'ai pensé qu'un monde mécanique serait propice à mon imagination. Les robots ont inspiré quantité de films, principalement de science-fiction, mais avec William Joyce, le célèbre auteur et illustrateur de livres pour enfants avec qui j'ai eu l'idée de faire le film, nous souhaitions créer quelque chose : un monde de fantaisie, haut en couleur, peuplé de personnages mécaniques. Ce serait donc purement artificiel, créé pour la circonstance. Nous ne pourrions donc nous appuyer sur aucune image de référence : pas question de reproduire un paysage glaciaire, des poissons, des fourmis, etc..."
Le thème-clé de "Robots"
Le producteur exécutif Christopher Meledandri pointe le thème-clé de Robots : "Le film évoque les rêves des parents et les espoirs qu'ils placent en leurs enfants. Ce thème est illustré par le biais de l'humour. Il s'inscrit dans le cadre d'une comédie d'une ampleur et d'une qualité visuelle époustouflantes, qui ne ressemble à rien de ce que nous avons vu jusqu'ici."
And the voices are...
En version originale, Ewan McGregor double le héros Rodney. Il est accompagné d'autres vedettes du septième art parmi lesquelles Halle Berry (Cappy), Mel Brooks (Bigweld), Greg Kinnear (Ratchet), Robin Williams (Fender) ou encore Stanley Tucci (Monsieur Copperbottom).
Des voix françaises de prestige
Le doublage français de Robots réunit des acteurs de premier plan. Ainsi, Vincent Cassel et sa compagne Monica Bellucci prêtent respectivement leurs voix au héros Rodney et à la belle Cappy. Edouard Baer "incarne" le méchant Ratchet, Elie Semoun le trublion Fender et Jean Rochefort le grand inventeur Bigweld. Enfin, la présentatrice télé Virginie Efira double la turbulente Piper, soeur de Fender. A noter que Vincent Cassel et Elie Semoun sont fidèles aux réalisateurs Chris Wedge et Carlos Saldanha, puisqu'ils doublaient déjà des personnages de L'Age de glace (Cassel le tigre Diego et Semoun la mangouste Sid).
Des concepteurs qui se la jouent !
Le réalisateur de Robots, Chris Wedge, ainsi que le scénariste Lowell Ganz, font une petite "apparition" dans leur film d'animation. Le premier prête sa voix à une cabine téléphonique, le second au personnage de Monsieur Gasket.
Le travail de recherche
L'auteur et illustrateur de livres pour enfants William Joyce a effectué un travail de recherches dans divers lieux réunissant des machines ou accessoires mécaniques : des usines, des quincailleries, des décharges industrielles, mais aussi... dans sa propre cuisine, où il s'intéressa de près à son hachoir et sa gaufreuse électrique !
Un compositeur féru d'animation
Le compositeur de la musique de Robots, John Powell, a créé de très nombreuses bandes sonores pour les films d'animation. On lui doit notamment celles de Fourmiz en 1998, Chicken run, La Route d'Eldorado (2000), ainsi que celle de Shrek (2001) et Shrek 2 (2004).
L'histoire mouvementée de Fox Animation
Le premier film d'animation à avoir été réalisé par le Département animation de la Fox est Anastasia, en 1997, qui remporte un franc succès. Fort de ce dernier, les studios décident de mettre en chantier un nouveau film d'animation, cette fois-ci futuriste: ce sera Titan A.E. (2000), toujours réalisé par le tandem Don Bluth / Gary Goldman. Doté d'un budget conséquent de 75 millions de dollars, le film n'en rapportera même pas le tiers. L'échec artistique et financier est tel que le Département d'animation menace de fermer. Lorsque le duo Chris Wedge / Carlos Saldanha propose L'Age de glace au studio, celui-ci est moribond, mais accepte néanmoins de le produire. Le succès est immense : le film rapporte près de 180 millions de dollars de recettes, soit trois fois le budget initial. Il a ainsi permis de sauver le Département animation de la Fox et d'enchaîner avec... Robots.
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The Rock|Michael Bay|Action||3|américain|1996|130|||DX50|||DX50|615 Kbps|512x224|MPEG-1 Audio layer 3|120 Kbps|False|44.1 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Jerry Bruckheimer Don Simpson|David Weisberg Douglas Cook Mark Rosner Quentin Tarantino|John Schwartzman||Gaumont Buena Vista International (GBVI)||Excédé par l'injustice de son gouvernement, le Général Hummel se rend maître de l'île d'Alcatraz et menace de lancer un gaz mortel sur San Francisco. Deux hommes sont chargés de le contrer : un expert en armes chimiques, Stanley Goodspeed, et John Patrick Mason, l'unique prisonnier à s'être évadé d'Alcatraz... Ils se rendent ensemble sur l'île afin de stopper les projets destructeurs du Général. |Nicolas Cage (Dr Stanley Goodspeed)@Sean Connery (John Patrick Mason)@Ed Harris (Brigadier Général Francis X Hummel)@John C. McGinley (Capitaine Hendrix)@Bokeem Woodbine (Sergent Crisp)@John Spencer (James Womack, directeur du FBI)@David Morse (Major Tom Baxter)@Michael Biehn (Commandant Anderson)@William Forsythe (Agent spécial Ernest Paxton)@Jim Caviezel (pilote arrière de F-18)@Vanessa Marcil (Carla Pestalozzi)@Stanley Anderson (le President)@Tony Todd (Capitaine Darrow)@Steve Harris (soldat McCoy)@Todd Louiso (Marvin Isherwood)@Claire Forlani (Jade Angelou)@Danny Nucci (Lieutenant Shephard)@Anthony Clark (Paul)@Tom Towles (gardien d'Alcatraz)@Gregory Sporleder (Capitaine Frye)@Jim Maniaci (soldat Scarpetti)@Greg Collins (soldat Gamble)@Brendan Kelly (soldat Cox)@Celeste Weaver (Stacy Richards)@David Bowe (Dr Ling)@Raquel Krelle (Agent Margie Wood)@John Laughlin (Général Peterson)@Harry Humphries (Amiral de la Navy)@Howard Platt (Louis Lindstrom)@Willie Garson (Francis Reynolds)@Anthony Guidera (pilote principal de F-18)@Xander Berkeley (Lonner)@Raymond Cruz (Sergent Rojas)@David Marshall Grant (chef d'équipe Hayden Sinclair)@Tricia Lee Pascoe@Philip Baker Hall@Kevin Weisman (touriste)@Stuart Wilson (Général Al Kramer)@||Secrets de tournage :
Rocket Man !
La chanson qui passe en fond lorsque Stanley et et Carla font l'amour sur leur terrasse est "Rocket Man" de Elton John. La même dont fait référence Stanley à la fin du film, dans le phare.
Imbu de son nom !
John Mason sorti de prison, il demande une suite au Fairmont Hotel. Ce dernier est localisé au 950 Mason Street.
Vers l'infini...
En dehors de la référence à Rocket Man de Elton John, un autre clin d'oeil à l'espace éblouit le film ! En effet, le Major Baxter a comme prénom "Tom". Major Tom fait ainsi directement référence à la chanson "Space Oddity" de David Bowie.
La filmo de Ed harris
La photo du General Hummel au Vietnam provient d'un autre film de Ed Harris, Borderline (1980), avec Charles Bronson.
A la mémoire du producteur
Le film est dédié au producteur du film Don Simpson qui, le 19 janvier 1996, en plein tournage, décéda d'une crise cardiaque.
Séjour à Alcatraz
Une grande partie du tournage de The Rock se déroulant dans la prison d'Alcatraz, l'équipe faisait le navette matin et soir entre l'île et le continent. L'acteur Sean Connery trouvait ce système rébarbatif, c'est pourquoi il décida de devenir habitant de l'île d'Alcatraz le temps du tournage en s'installant dans un mobil-home.
Deux films, un président
L'acteur Stanley Anderson qui interprète le président (rôle non crédité au générique) dans Rock avait déjà incarné ce personnage dans Armageddon, un autre film du duo Michael Bay et Jerry Bruckheimer.
Le cinema, une histoire de famille
Le directeur de la photographie John Schwartzman est le cousin de l'acteur Nicolas Cage. The Rock est le premier film sur lequel ils ont travaillé ensemble. Nicolas Cage est aussi le cousin de l'acteur Jason Schwartzman (Simone, une star est... créée) et le neveu du réalisateur Francis Ford Coppola.
Participation de Quentin Tarentino
Bien qu'il ne soit pas crédité au générique, le réalisateur Quentin Tarantino a participé à l'écriture du scénario de The Rock tout comme les scénaristes Jonathan Hensleigh et Aaron Sorkin.
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Les contributeursCe film a reçu 4 contributions, pour les secrets de tournage, de: Rick28
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Rocky|John G. Avildsen|Action||3|américain|1976|113|Anglais||DivX|||DIVX|758 Kbps|360x200|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Irwin Winkler Robert Chartoff|Sylvester Stallone|James Crabe|||Saga : Rocky |Dans les quartiers populaires de Philadelphie, Rocky Balboa collecte des dettes non payées pour Tony Gazzo, un usurier, et dispute de temps à autre, pour quelques dizaines de dollars, des combats de boxe sous l'appellation de "l'étalon italien". Cependant, Mickey, son vieil entraîneur, le laisse tomber. Son ami Paulie, qui travaille dans un entrepôt frigorifique, encourage Rocky à sortir avec sa soeur Adrian, une jeune vendeuse réservée d'un magasin d'animaux domestiques.Pendant ce temps, Apollo Creed, le champion du monde de boxe catégorie poids lourd, recherche un nouvel adversaire pour remettre son titre en jeu. Son choix se portera sur Rocky. |Sylvester Stallone (Rocky Balboa)@Talia Shire (Adrian)@Burt Young (Paulie)@Carl Weathers (Apollo Creed)@Burgess Meredith (Mickey)@Joe Spinell (Tony Gazzo)@Stan Shaw (Dipper)@Jimmy Gambina (Mike)@Tony Burton (L'entraîneur d'Appolo)@Joe Sorbello (Garde du corps)@Jodi Letizia (Marie)@Don Sherman (Le barman)@Pedro Lovell (Spider Rico)@DeForest Covan (Apollo's Corner)@Shirley O'Hara (La secrétaire)@Lloyd Kaufman (Un ivrogne)@Jack Hollander (Fats)@Christopher Avildsen (Chiptooth)@||||||||||||@@
Rocky II|Sylvester Stallone|Action||3|américain|1979|112|||XviD|||XVID|737 Kbps|720x384|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|704||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Irwin Winkler Robert Chartoff|Sylvester Stallone|Bill Butler|||Saga : Rocky |Après avoir fait trembler le champion Apollo Creed, Rocky Balboa obtient le droit de l'affronter à nouveau. Apollo Creed ne supporte en effet pas d'avoir été ainsi bousculé... |Sylvester Stallone (Rocky Balboa)@Talia Shire (Adrian)@Burt Young (Paulie)@Carl Weathers (Apollo Creed)@Burgess Meredith (Mickey)@Joe Spinell (Gazzo)@Leonard Gaines (Agent)@Sylvia Meals (Mary Anne Creed)@Frank McRae (Meat Foreman)@Al Silvani (Cutter)@Jane Marla Robbins (Gloria)@Fran Ryan (Infirmière de Adrian)@||||||||||||@@
Rocky III|Sylvester Stallone|Action||3|américain|1982|92|||DivX|||DIVX|961 Kbps|640x352|WMA2|64.1 Kbps|False|44.1 KHz|2|686||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Irwin Winkler Robert Chartoff|Sylvester Stallone|Bill Butler|||Saga : Rocky |Rocky Balboa est aujourd'hui un champion respecté, après ses deux victoires contre Apollo Creed. Mais lorsqu'il perd contre un nouveau venu sur le circuit, c'est Apollo Creed lui-même qui va venir à sa rescousse et lui redonner le goût du combat et de la victoire. |Sylvester Stallone (Rocky Balboa)@Talia Shire (Adrian)@Burt Young (Paulie)@Carl Weathers (Apollo Creed)@Burgess Meredith (Mickey)@Mr. T (Clubber Lang)@Hulk Hogan (Thunderlips)@Ian Fried (Rocky Junior)@Al Silvani (Al)@Don Sherman (Andy)@Gene Crane (Le maire)@John David Morris (Le docteur)@Rabbi Philmore Berger (Rabbi)@||||||||||||@@
Rocky IV|Sylvester Stallone|Action||3|américain|1986|91|Anglais||DX50|||DX50|981 Kbps|640x424|WMA2|64.1 Kbps|False|44.1 KHz|2|689||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Irwin Winkler Robert Chartoff|Sylvester Stallone Jeb Stuart Danny Lerner Art Monterastelli|Bill Butler||MGM|Saga : Rocky |Apollo Creed, ancien adversaire et dorénavant ami de Rocky Balboa, est tué sur le ring par le boxeur russe Ivan Drago. Se reprochant de n'avoir pu sauver son camarade à temps, Rocky va demander un combat contre Ivan Drago afin de le venger. Une confrontation qui se déroulera sur le sol russe. |Sylvester Stallone (Rocky Balboa)@Talia Shire (Adrian)@Burt Young (Paulie)@Carl Weathers (Apollo Creed)@Brigitte Nielsen (Ludmilla)@Dolph Lundgren (Ivan Drago)@James Brolin (Caporal Keating)@Tony Maffatone Maffatone ( KGB Agent)@Tony Burton (Duke)@Michael Pataki (Nicoli Koloff)@James Brown (Lui-même)@Rose Mary Campos (une serveuse)@George Rogan (Igor Rimsky)@Sylvia Meals (Mrs. Creed)@||||||||||||@@
Rocky V|John G. Avildsen|Action||2|américain|1990|99|||XviD|||XVID|844 Kbps|720x384|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|703||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Irwin Winkler Robert Chartoff|Sylvester Stallone|Steven B. Poster||United International Pictures (UIP)|Saga : Rocky |Des séquelles physiques irréversibles amènent Rocky Balboa à prendre sa retraite. Ruiné, il devient l'entraîneur d'un champion en devenir, Tommy Gunn. Mais celui-ci ne va pas rester insensible à l'appât du gain et va quitter Rocky pour rejoindre les rangs d'un coach plus fortuné. |Sylvester Stallone (Rocky Balboa)@Talia Shire (Adrian)@Burt Young (Paulie)@Sage Stallone (Rocky Balboa Junior)@Burgess Meredith (Mickey)@Richard Gant (George Washington Duke)@Tommy Morrison (Tommy 'Machine' Gunn)@Bob Giovane (Timmy)@Patrick Cronin (Dr. Rimlan)@Jane Marla Robbins (Gloria)@||||||||||||@@
Rocky Balboa|Sylvester Stallone|Drame||3|américain|2007|101|Anglais||XviD|||XVID|838 Kbps|560x304|MPEG-1 Audio layer 3|111 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Kevin King Charles Winkler David Winkler Billy Chartoff|Sylvester Stallone|J. Clark Mathis||Twentieth Century Fox France|Saga : Rocky |Rocky Balboa, le légendaire boxeur, a depuis longtemps quitté le ring. De ses succès, il ne reste plus que des histoires qu'il raconte aux clients de son restaurant. La mort de son épouse lui pèse chaque jour et son fils ne vient jamais le voir.Le champion d'aujourd'hui s'appelle Mason Dixon, et tout le monde s'accorde à le définir comme un tueur sans élégance ni coeur. Alors que les promoteurs lui cherchent désespérément un adversaire à sa taille, la légende de Rocky refait surface. L'idée d'opposer deux écoles, deux époques et deux titans aussi différents enflamme tout le monde. Pour Balboa, c'est l'occasion de ranimer les braises d'une passion qui ne l'a jamais quitté. L'esprit d'un champion ne meurt jamais... |Sylvester Stallone (Rocky Balboa)@Burt Young (Paulie)@Antonio Tarver (Mason "The Line" Dixon)@Geraldine Hughes (Marie)@Milo Ventimiglia (Robert Jr.)@Tony Burton (Duke)@A.J. Benza (L.C.)@James Francis Kelly (Steps)@Talia Shire (Adrian)@Lou DiBella (lui-même)@Mike Tyson (lui-même)@Henry G. Sanders (Martin)@Pedro Lovell (Spider Rico)@Ana Gerena (Isabel)@Angela Boyd (Angie)@Woodrow W. Paige (commentateur ESPN)@Skip Bayless (commentateur ESPN)@Jay Crawford (commentateur ESPN)@Brian Kenny (invité ESPN)@Dana Jacobson (invitée ESPN)@Chuck Johnson (invité ESPN)@James J. Binns (un promoteur)@Johnnie Hobbs Jr. (un promoteur)@Barney Fitzpatrick (un promoteur)@Jim Lampley (commentateur HBO)@Larry Merchant (commentateur HBO)@Max Kellerman (commentateur HBO)@LeRoy Neiman (lui-même)@Bert Randolph Sugar (le journaliste de Ring Magazine)@Bernard Fernandez (le rédacteur de la Boxing Association of America)@Gunnar Peterson (l'entraîneur des poids légers)@Yahya (l'adversaire de Dixon)@Mark Ratner (l'officiel du pesage)@Anthony Lato Jr. (l'inspecteur de Rocky)@Jack Lazzarado (l'inspecteur de Dixon)@Michael Buffer (le présentateur du ring)@Joe Cortez (l'arbitre)@Don Sherman (Andy)@Gary Compton (Garde de Sécurité)@Lahmard Tate (X-Cell)@Tobias Segal (Un ami de Robert)@Tim Carr (Un ami de Robert)@Matt Frack (Un ami de Robert)@Paul Dion Monte (Un ami de Robert)@Kevin King-Templeton (Un ami de Robert)@Robert Michael Kelly (Mr. Tomilson)@Rick Buchborn (Un fan de Rocky)@Nick Baker (Barman du café irlandais)@||Secrets de tournage :
"Rocky" : la saga s'achève...
Avec Rocky Balboa, Sylvester Stallone clôt une saga de légende entamée en 1976 avec Rocky. Durant trois décennies, le boxeur aura mis son punch au service de Rocky II (1979), Rocky III (1982), Rocky IV (1986) et Rocky V (1990), donnant ainsi corps (et muscles) à l'un des héros les plus populaires du septième art.
Retour à la réalisation
Avec Rocky Balboa, Sylvester Stallone remonte évidemment sur le ring pour incarner une nouvelle fois le célèbre boxeur. Comme pour tous les volets de la saga, il a participé à l'écriture du scénario. Et bien décidé à s'investir pleinement dans cet ultime chapitre, l'Américain est également derrière la caméra. Une triple casquette qu'il avait porté, dans le cadre de la saga, pour Rocky II, Rocky III et Rocky IV.
Le retour d'une légende sur le ring
Avec Rocky Balboa, chapitre final d'une saga de légende, Sylvester Stallone a souhaité offrir "une conclusion aussi humble que noble à la vie du sportif." Pour le producteur Charles Winkler, le long métrage "marque l'achèvement d'un long travail. Sylvester voulait terminer sur une note positive et renforcer l'idée qu'il faut toujours y croire." Quant au producteur Robert Chartoff, il ajoute que "Sly" "n'a jamais cessé de penser à Rocky et il a toujours voulu lui ménager une sortie mémorable. Même si Rocky Balboaconstitue le dernier épisode de la saga, c'est celui qui se rapproche le plus du film original."
Rocky Balboa, trente ans après...
Dans Rocky Balboa, Rocky mène une existence très semblable à celle du premier film. Sylvester Stallone explique : "Il se retrouve seul comme à ses débuts. La différence est qu'il a perdu ses illusions et sa naïveté. Il a acquis de l'expérience, il porte un certain poids sur les épaules mais il possède aussi une sorte de sagesse qu'il tente de communiquer à son entourage." Un changement radical est tout de même survenu dans la vie de Rocky : il a perdu son principal soutien, sa femme, Adrian, emportée par un cancer. Burt Young, qui joue l'entraîneur et le beau-frère de Rocky, précise : "Le film nous montre un homme en souffrance, submergé par un sentiment de colère dont il ne sait comment se débarrasser. L'absence est un thème récurrent. Chacun des personnages doit tenter de la combler."
Le combat du coeur
Au sujet du dernier combat de Rocky, qui l'oppose à Mason "The Line" Dixon, Sylvester Stallone déclare : "Rocky n'écoute que son coeur. Ce combat, il le mène pour tous ceux qu'il aime : Adrian, Robert, Marie, Steps, Paulie, et ceux qui y croient. Ce retour sur le ring vise à montrer à toute une génération qu'il est possible de se surpasser lorsqu'on croit en soi et en ceux qui nous entourent."
Un adversaire de poids...
Dans Rocky Balboa, Rocky doit affronter Mason "The Line" Dixon, incarné par Antonio Tarver, un véritable boxeur. Surnommé Magic man, Antonio Tarver est un ancien champion WBC des mi-lourds. Il compte près de 24 victoires (dont 18 par K.O.) pour 28 combats. Dans la saga Rocky, c'est seulement la seconde fois que Sylvester Stallone affronte un véritable boxeur après Tommy Morrison dans Rocky V, qui était professionnel dans la catégorie poids lourds. Mr. T, alias Clubber Lang dans Rocky III, était champion de catch. Quant à Carl Weathers/Appolo Creed, adversaire de Rocky dans Rocky et Rocky II, et Dolph Lundgren/Ivan Drago, redoutable opposant dans Rocky IV, ils n'avaient jamais évolué sur un ring auparavant.
Au point physiquement
Après une phase de préparation intensive, Sylvester Stallone était physiquement au sommet de sa forme pour le tournage de Rocky Balboa. Sachant qu'au fil de ce tournage, il deviendrait difficile, par manque de temps, de concilier l'entraînement avec ses fonctions de réalisateur et d'acteur, la star a souhaité tourner en premier les scènes de boxe. Il commente : "La boxe est une discipline unique, il faut des années et des années pour l'apprendre. Et elle exige une forme physique parfaite." Le producteur Charles Winkler se souvient : "Au moment de la pesée, le corps de Stallone a surpris tout le monde. Il était crédible et le film se devait de l'être."
Un combat peut en cacher un autre
L'arrivée de Rocky Balboa dans l'enceinte de 14 000 personnes, juste avant son combat contre Mason "The Line" Dixon, a été filmée durant le combat des poids moyens opposant Jermain Taylor et Bernard Hopkins à Las Vegas, en décembre 2005.
Une scène culte en forme de happy-end
Dans Rocky Balboa, Sylvester Stallone rejoue la scène culte qui le voit gravir en courant, en compagnie de son chien, les marches du Palais des Arts de Philadephie. Le jour où la production devait tourner cette scène, la neige attendue ne s'est mise à tomber qu'à la dernière minute. Sylvester Stallone se souvient avec émotion : "Au moment même où je suis arrivé en haut des marches, la neige s'est arrêtée. Les nuages étaient gonflés de neige comme lors du premier film. C'était très émouvant. J'ai regardé la ville, le soleil qui se couchait, et je me suis dit que j'en avais terminé. J'avais accompli un voyage commencé il y a trente ans. Je sentais que la boucle était bouclée, que ce qui devait être fait l'était enfin."
Une nouvelle "petite Marie"
L'actrice irlandaise Geraldine Hughes, d'origine irlandaise, reprend dans Rocky Balboa le rôle de "la petite Marie", devenue mère célibataire et habitant la rue mal famée d'un quartier sud de Philadelphie. Dans le premier film, ce personnage était interprété par l'adolescente Jodie Letitizia. Rocky lui venait en aide mais se faisait rabrouer en la raccompagnant chez elle. Geraldine Hughes raconte : Même si, à présent, une relation serait possible entre eux, Adrian reste, malgré sa mort, une force essentielle et irremplaçable dans la vie de Rocky. Il trouve chez Marie le soutien humain dont il a terriblement besoin. Ils passent de très bons moments ensemble mais leur complicité est dénuée de tout romantisme. Chacun se sent seul et a simplement besoin de l'autre."
« Préc.
Changement de fils
Alors que c'était le véritable fils de Stallone, Sage Stallone, qui incarnait Rocky Balboa Jr. dans Rocky V, c'est finalement Milo Ventimiglia qui tient ce rôle dans Rocky Balboa. Sage Stallone n'a en effet pas pu se libérer, pris par la gestion de sa société de production Grindhouse Releasing.
« Préc.
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War|Philip Atwell|Action|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|2007|99|Anglais||XviD|||XVID|804 Kbps|608x256|MPEG-1 Audio layer 3|160 Kbps|False|44.1 KHz|2|687||||23.976|06/08/2009 00:00:00|Steve Chasman Christopher Petzel Jim Thompson|Lee Anthony Smith Gregory J. Bradley|Pierre Morel||Metropolitan FilmExport||Depuis l'assassinat de son meilleur ami, l'agent du FBI Jack Crawford n'a plus qu'une obsession : retrouver Rogue, celui que tout désigne comme coupable, et faire justice lui-même. Mais comment attraper le plus redoutable des tueurs, un véritable fantôme capable d'apparaître n'importe où pour semer le chaos avant de s'évanouir dans la nature ?Lorsque Rogue refait surface, aussi mystérieux qu'insaisissable, il déclenche une guerre spectaculaire entre la mafia chinoise et les Yakuza japonais. Malgré les risques, Crawford est plus que jamais décidé à en finir avec Rogue et se jette dans la mêlée.Alors que la guerre des gangs fait rage, Crawford va s'approcher de plus en plus de son ennemi et découvrir le secret qui se cache derrière chaque combat... |Jason Statham (Jack Crawford)@Jet Li (Rogue)@John Lone (Chang)@Steph Song (Lisa)@Kane Kosugi (Yakuza)@Andrea Roth (Jenny Crawford)@Devon Aoki (Kira)@Lauro Chartrand (Agent Jade 1)@Terry Chen (Tom Lone)@Kenneth Choi (Takada)@Nicholas Elia (Daniel Crawford)@Luis Guzman (Benny)@Ryo Ishibashi (Shiro)@Paul Jarrett (Inspecteur Gleason)@Sung Kang (Goi)@Mark Louie (Lau)@Aaron Pearl (Soldat Jade)@Johnson Phan (Joey Ti)@Peter Shinkoda (Katsura Shatei)@||Secrets de tournage :
Un rôle inédit pour Jet Li
Producteur exécutif du film et agent de Jet Li, Steven Chasman déclare : "Quand j'ai lu le scénario pour la première fois, j'ai d'abord cru que cela n'allait pas intéresser Jet Li car le personnage de Rogue est l'antithèse de tous ceux qu'il a pu jouer auparavant. Pourtant, cette histoire et ce personnage l'ont beaucoup intéressé. Il était très enthousiaste à l'idée de faire ce film."
Jet Li observe : "Je n'avais jamais joué ce genre de rôle avant. Je ne sais pas si, au fond de lui, Rogue est bon ou mauvais. Je sais seulement que cet homme violent a une raison bien précise d'agir comme il le fait. En tant que bouddhiste, j'essaye de jouer dans des films qui reflètent ma philosophie et mon point de vue sur la violence. Rogue est un homme qui cherche la vengeance et je dois dire que j'ai dû faire quelques efforts pour accepter la rudesse de ses méthodes ! Même si je ne suis pas d'accord avec ce qu'il fait, je devais être capable de le comprendre pour l'incarner. Quand j'entrais sur le plateau, je devais oublier qui j'étais pour mieux pénétrer dans son univers."
Retrouvailles Jet Li / Jason Statham
Attiré par la possibilité de jouer à nouveau avec Jet Li, avec qui il avait déjà travaillé en 2001 dans The One de James Wong, Jason Statham accepta de faire le film dès la première lecture du scénario. Il raconte : "J'étais resté un peu frustré de ne pas me battre avec Jet Li lors de notre première collaboration. Cette fois-ci, j'ai eu l'opportunité de retravailler avec lui avec une histoire plus fouillée, des personnages que je trouve plus intéressants à jouer, et surtout un tête-à-tête très musclé entre lui et moi. Je ne pouvais pas refuser une telle occasion !"
Un réalisateur venu du clip vidéo
Une fois les deux stars attachées au projet, les producteurs se sont tournés vers Philip Atwell pour le réaliser. Connu pour ses clips vidéo pour des artistes de rap comme Eminem ou 50 Cent, le style nerveux et élégant de Philip Atwell convenait parfaitement au rythme et à l'intensité de Rogue : l'ultime affrontement. Steven Chasman se souvient : "Quand Lionsgate a décidé de faire ce film, nous avons discuté des réalisateurs potentiels. Mon premier choix était Philip, car il a une sensibilité qui convient parfaitement à ce genre, il sait très bien jouer avec les nerfs des spectateurs."
Corey Yuen à la chorégraphie
Philip Atwell souhaitait que Rogue : l'ultime affrontement soit un film réaliste et très agressif. "Il fallait que les scènes d'action donnent l'impression d'être plausibles dans la vraie vie, explique le cinéaste. Je voulais absolument éviter que les spectateurs voient encore des personnages faire des quadruples sauts périlleux ou en train de marcher sur les murs."
Le chorégraphe de cascades Corey Yuen a ainsi été appelé à la rescousse pour créer les séquences de combat du film. Le producteur Christopher Petzel raconte : "Tout autant que Jet Li, Corey Yuen est devenu une véritable légende dans l'art de mettre au point des scènes d'action absolument incroyables. Il est tout simplement l'un des meilleurs du monde."
Pierre Morel à la photographie
Philip Atwell a également engagé le directeur de la photographie Pierre Morel, qui avait déjà travaillé avec Jet Li sur Danny the dog de Louis Leterrier mais aussi avec Jason Statham sur Le Transporteur, toujours de Louis Leterrier.
Formation au maniement des armes à feu
Pour s'assurer que les scènes d'action soient les plus authentiques possible, Philip Atwell a demandé à ses acteurs de suivre une formation au maniement des armes à feu ainsi qu'un entraînement dans une unité de police. Sung Kang, qui interprète Goi, un sniper du groupe Jade, explique : "Nous avons appris à tenir une arme comme des pros, à tirer avec, nous avons aussi découvert concrètement comment pénétrer en force dans un bâtiment ou comment couvrir les arrières de son unité. D'une façon générale, nous avons appris tout ce qu'un policier du SWAT doit savoir."
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Romeo + Juliet|Baz Luhrmann|Drame||3|américain|1997|115|Anglais||DX50|||DX50|717 Kbps|720x288|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|48.0 KHz|2|694||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Baz Luhrmann Gabriella Martinelli|Craig Pearce Baz Luhrmann|Donald McAlpine||||Adaptation de la plus célèbre pièce de Shakespeare, évoquant la passion d'un jeune couple appartenant à deux familles ancestralement ennemies, replacée à notre époque de bruit et de fureur mais avec le texte intégral de l'auteur. |Leonardo DiCaprio (Romeo)@Claire Danes (Juliet)@John Leguizamo (Tybalt)@Harold Perrineau (Mercutio)@Brian Dennehy (Sampson)@Paul Sorvino (Fulgencio Capulet )@Pete Postlethwaite (Le père Laurence)@Jamie Kennedy (Sampson)@Dash Mihok (Benvolio)@Zak Orth (Gregory)@Paul Rudd (Dave Paris)@Vondie Curtis-Hall (le capitaine Prince)@Des'ree (La diva)@Gloria Silva (la nonne)@Lupita Ochoa (la fille séduisante)@Rodrigo Escandon (l'enfant au revolver en plastique)@||Secrets de tournage :
La musique de Romeo + Juliette
La musique dans Romeo + Juliette est un élément très important : le metteur en scène Baz Luhrmann a en effet souhaité ajouté de nombreux éléments musicaux à l'intérieur du film, lui permettant de rendre hommage au cinéma théâtral. Ainsi, lors de la scène du bal, on peut voir la chanteuse anglaise Des'ree interpréter sa chanson Kissing you. La bande originale de ce film a connu un tel succès que ses thèmes musicaux ont été régulièrement repris, notamment dans des publicités ou des génériques télévisés (L'Ile de la tentation). Plus de deux millions de disques de cette BO ont été vendus dans le monde.
Deuxième volet d'une trilogie
Le drame romantique Romeo + Juliette fait partie d'une trilogie que le cinéaste Baz Luhrmann a dénommé The Red Curtain trilogy, la trilogie du rideau rouge, permettant au réalisateur d'honorer une certaine forme de cinéma théâtral. Romeo + Juliette est le deuxième volet de cette trilogie, composée de Ballroom Dancing en 1992 et Moulin Rouge en 2001.
Ewan Mc Gregor en Roméo ?
Le personnage de Roméo, l'amant romantique du film Roméo + Juliette, a évidemment attiré la convoitise de nombreux acteurs. On retrouve parmi eux le comédien Ewan McGregor qui a passé une audition dans ce sens. Si il ne s'est pas vu remettre le rôle, l'acteur a néanmoins retrouvé Baz Luhrmann dans la comédie dramatique et musicale Moulin Rouge.
Le texte original
Les comédiens Leonardo DiCaprio et Claire Danes, qui représentent à l'écran le couple mythique de Romeo + Juliette, ont du apprendre le texte original de l'oeuvre de William Shakespeare. En effet, si le drame a été adapté dans notre monde moderne, Baz Luhrmann a souhaité conserver le texte d'origine de l'oeuvre, écrit à l'époque en vieil anglais.
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Rosemary's Baby|Roman Polanski|Fantastique||3|américain|1968|131|Anglais||DivX|||DIVX|659 Kbps|480x272|MPEG-2 Audio layer 3|56.0 Kbps|False|24.0 KHz|2|679||||25.000|28/07/2009 00:00:00|William Castle|Roman Polanski|William A. Fraker||Action Cinémas / Théâtre du Temple||Malgré les conseils de leur vieil ami Hutch, Guy Woodhouse et sa jeune femme, enceinte, s'installent dans un immeuble new-yorkais vétuste, considéré par leur ami comme une demeure maléfique. Aussitôt, leurs voisins, Minnie et Roman Castevet, vieux couple d'Europe centrale, imposent leur amitié et leurs services. Si Guy accepte facilement ce voisinage, Rosemary s'en inquiète... |Mia Farrow (Rosemary Woodhouse)@John Cassavetes (Guy Woodhouse)@Ruth Gordon (Minnie Castevet)@Sidney Blackmer (Roman Castevet)@Maurice Evans (Hutsch)@Ralph Bellamy (Dr. Sapirstein)@Elisha Cook Jr. (Mr. Nicklas)@Charles Grodin (Dr. Hill)@William Castle (L'homme au téléphone)@Tony Curtis (La voix de l'acteur Donald Baumgart)@Sharon Tate (Une invitée de la fête)@Floyd Mutrux (L'homme à la fête)@Patsy Kelly@Phil Leeds@D'Urville Martin@||||||||||||@@
The Fox and the Hound|Richard Rich Ted Berman Art Stevens|Animation||3|américain|1981|79|Anglais||XviD|||XVID|1 123 Kbps|720x416|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Wolfgang Reitherman Art Stevens|Ted Berman Larry Clemmons Vance Gerry Steve Hulett Earl Kress Burny Mattinson David Michener Peter Young|||||Rox le renard et Rouky le chien sont les meilleurs amis du monde. Mais cette amitié est menacée lorsque le maître de Rouky devient chasseur... |Morvan Salez (Rox (voix française))@Marc Francois (Rouky (voix française))@Paule Emanuele (Big Mama (voix française))@Evelyne Voilaune (Big Mama (chansons))@Jacques Deschamps (Amos Slade (voix française))@Janine Fornet (Vixey (voix française))@Jane Val (la Veuve Tartine (voix française))@Roger Carel (Piqueur (voix française))@||Secrets de tournage :
Le remaniement de Disney
Le dessin animé marque l'arrivée d'une équipe rajeunie, avec seize nouveaux animateurs, recrutés parmi plus de 20000 demandes.
Un travail de longue haleine
180 personnes ont travaillé pendant quatre ans, pour réaliser 1187 scènes. Le budget est de 12 millions de dollars.
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The Fox and the Hound 2 (V)|Jim Kammerud|Animation||2|américain|2006|69|Anglais||XviD|||XVID|1 273 Kbps|656x368|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Ferrell Barron|Rich Burns Roger S.H. Schulman|||||A la fête foraine du village, la voix mélodieuse de Rouky charme Cash, le leader d'une troupe de chiens chanteurs. |Jonah Bobo (Tod (voix))@Jeff Foxworthy (Lyle (voix))@Reba McEntire (Dixie (voix))@Rob Paulsen (Chef (voix))@Patrick Swayze (Cash (voix) )@Harrison Fahn (Copper (voix))@||||||||||||@@
RRRrrrr !!!|Alain Chabat|Comédie||2|français|2004|94|Français||XviD|||XVID|848 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|666||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Alain Chabat|Alain Chabat Jean-Paul Rouve Maurice Barthélémy Pierre-François Martin-Laval Marina Foïs|Laurent Dailland||Mars Distribution||Il y a 37 000 ans, deux tribus voisines vivaient en paix... à un cheveu près. Pendant que la tribu des Cheveux Propres coulait des jours paisibles en gardant pour elle seule le secret de la formule du shampooing, la tribu des Cheveux Sales se lamentait.
Son chef décida d'envoyer un espion pour voler la recette. Mais un événement bien plus grave allait bouleverser la vie des Cheveux Propres : pour la première fois dans l'histoire de l'humanité, un crime venait d'être commis. Comment découvrir son auteur ?
Au temps des mammouths et des moumoutes commence la première enquête policière de l'Histoire. |Maurice Barthélémy (Pierre, le chef)@Jean-Paul Rouve (Pierre, le blond)@Pierre-François Martin-Laval (Pierre, la touffe)@Marina Foïs (Guy)@Elise Larnicol (Pierre, la femme du chef)@Pascal Vincent (Pierre, le préveneur de nuit)@Edith Le Merdy (Pierre, la maman du blond)@Sebastien Thiery (Pierre, le fouillologue)@Joey Starr (l'essayeur de gourdins)@Olivier Baroux (Narrateur)@Jean Rochefort (Lucie)@Alain Chabat (Pierre, le guérissologue)@Gérard Depardieu (le chef des Cheveux Sales)@Juliette Poissonnier (Pierre, la gardeuse)@Gilles David (Pierre, le trop grand 1)@Jean-Paul Bonnaire (Pierre, le trop grand 2)@Damien Jouillerot (le piégeur 1)@Samir Guesmi (le piégeur 2)@Valérie Lemercier (Pierre, la prof de guitare-couture)@||Secrets de tournage :
Et au départ, un scooter...
C'est lors d'un trajet en scooter avec Jean-Paul Rouve que Maurice Barthélémy a eu l'idée de RRRrrrr !!!. "L'association thriller-policier-préhistorique m'a tout de suite emballé l'esprit. J'imaginais tout ce que notre équipe pourrait en faire", explique-t-il, Pascal Vincent relevant quant à lui "le potentiel énorme du concept, aussi bien pour le sens du décalage que par la possibilité de mettre en place une vraie histoire." Et la troupe de se lancer dans l'écriture d'un long-métrage dans les esprits de chacun depuis un bon moment déjà. "Depuis le début des Robins des Bois, nous espérions un jour faire un film", note Marina Foïs. C'est une idée qui a toujours été en nous. Nous avions fait beaucoup de théâtre, beaucoup de télévision, nous avions envie de passer au cinéma. Il nous manquait l'histoire.".
Le scénario de RRRrrrr !!! a été écrit, à l'instar des sketches de la troupe, par quatre des Robins des Bois : Maurice Barthélémy, Jean-Paul Rouve, Marina Foïs et Pierre-François Martin Laval, les deux premiers étant plus attachés à imaginer des situations, les deux autres à écrire les dialogues. Elise Larnicol et Pascal Vincent apportaient ensuite une vision d'ensemble sur le script.
Les Robins des Bois au cinéma
RRRrrrr !!! est le premier long-métrage écrit par la troupe comique des Robins de Bois, composée de six membres : Pierre-François Martin Laval, Marina Foïs, Jean-Paul Rouve, Maurice Barthélémy, Pascal Vincent et Elise Larnicol. Ils collaborent à cette occasion une seconde fois avec le cinéaste Alain Chabat, qui les avait dirigés en 2001 dans Astérix et Obélix : mission Cléopâtre. Les six humoristes, révélés par Dominique Farrugia et qui ont fait leurs armes sur les chaînes Comédie ! et Canal + n'en sont pas pour autant vierges de toute expérience cinématograpique en solo. Etat des lieux :
Pierre-François Martin Laval s'est notamment illustré dans La Vérite si je mens ! 2, La Tour Montparnasse infernale ou encore Le Bison. A l'affiche de nombreux spots publicitaires, il prête sa voix à la girafe du film d'animation La Prophétie des grenouilles, en 2003.
Marina Foïs s'est affranchi à de nombreuses reprises de la troupe des Robins des Bois en tenant la vedette de deux comédies : Filles perdues, cheveux gras et Bienvenue au gîte.
Jean-Paul Rouve, qui débute dans la série télévisée Julie Lescaut, a lui aussi fait un bout de chemin tout seul, apparaîssant notamment dans Le Petit Poucet, Tanguy, Monsieur Batignole ou Mon idole.
Maurice Barthélémy a participé au Raid de Djamel Bensalah et est le premier de la bande à tenter le pari de la réalisation avec Casablanca driver, prévu pour l'année 2004.
Pascal Vincent, d'origine suisse et qui a fait ses débuts à la radio hélévétique, est notamment apparu au générique de Jojo la frite et de Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran.
Elise Larnicol, enfin, possède une expérience mineure du grand écran, s'illustrant néanmoins dans Rien que du bonheur.
Alain Chabat repasse derrière la caméra
RRRrrrr !!! marque la troisième expérience de réalisateur d'Alain Chabat après Didier en 1996 et Astérix et Obélix : mission Cléopâtre en 2001. A l'instar des deux premiers films, Alain Chabat se donne l'un des rôles principaux de RRRrrrr !!!, qu'il produit avec sa société de production Chez Wam.
Passer du sketch au long-métrage...
Toute la difficulté pour les Robins des Bois a été de passer du format sketch de quelques minutes au format long-métrage. Marina Foïs estime que "l'expérience a donné à la troupe le sens du rythme, et une certaine rigueur. Nous avons appris sur le tas que ce que nous croyons drôle peut faire un bide et qu'un gag moyen peut devenir culte. Ca rend modeste et ça oblige à tout donner !"
Maurice Barthélémy reprend : "Dès le départ, nous étions conscients qu'il ne s'agissait pas de faire un film à sketches. L'idée était de développer une vraie intrigue, suffisamment riche pour tenir les spectateurs en haleine tout en servant de base à de nombreux gags."
Les Robins des Bois fidèles à leur style
Le réalisateur Alain Chabat déclare qu'avec RRRrrrr !!!, les Robins des Bois sont "restés totalement fidèles à ce qu'ils aiment et à ce qu'ils sont. Ce sont les Robins des Bois sur grand écran et à la préhistoire. Ils se sont taillés des costumes en poil mais sur mesure. Ceux qui les suivent vont retrouver tout ce qui fait les Robins, mais dans de nouveaux personnages. Ceux qui sont moins familiers avec leur univers vont découvrir des personnalités fortes et très attachantes. C'est leur premier film, et j'espère qu'il leur ressemble."
Travailler avec les Robins des Bois
Le réalisateur Alain Chabat garde un souvenir fort de sa collaboration avec les Robins des Bois. "Sur le plateau, ils sont comédiens à 100%, totalement au service de la mise en scène", déclare-t-il. "Ils sont ponctuels, disciplinés et sérieux, en passant le plus clair de leur temps à dire et faire des conneries. C'est étrange mais ils réussissent cet équilibre."
A la recherche de l'authenticité
Si RRRrrrr !!! est une comédie, les Robins des Bois n'en ont pour autant pas souhaité faire l'impasse sur une véritable authenticité historique. Jean-Paul Rouve explique ainsi que "contrairement aux sketches, dans lesquels un bout de tissu et un accessoire approximatif suffisaient à entraîner le public dans une ambiance, nous avions besoin ici d'un luxe de détails. Même si nous n'étions pas dans le registre documentaire, il fallait quand même trouver une certaine authenticité, une cohérence." Et chacun des acteurs, outre le fait de s'illustrer dans un environnement naturel fidèle à l'époque préhistorique, de travailler la gestuelle des personnages, leur façon de marcher.
Maurice Barthélémy blessé !
Maurice Barthélémy, l'un des membres des Robins des Bois, s'est blessé durant le tournage en s'enfonçant une grosse écharde dans le pied. "Comme les Robins des Bois avaient décidé de ne jamais se plaindre", explique avec humour Alain Chabat, "Maurice a souffert sous les quolibets jusqu'à ce qu'on découvre que sa blessure était sérieuse. Nous avons tous eu très honte pendant au moins dix minutes."
Deux comédiens de renom
Deux comédiens prestigieux figurent au générique de RRRrrrr !!! : Jean Rochefort et Gérard Depardieu, ce dernier collaborant pour la seconde fois avec Alain Chabat après Astérix et Obélix : mission Cléopâtre. D'autres célébrités sont venus faire une apparition dans RRRrrrr !!!, comme l'actrice Valérie Lemercier ou le rappeur Joey Starr.
Changement de programme
RRRrrrr !!! devait à l'origine être produit par Dominique Farrugia, celui-là même qui repéra la troupe comique des Robins des Bois en 1997. Celui-ci dut laisser la place à Alain Chabat lorsqu'il fut nommé à la tête des programmes de Canal +. Chabat qui profita alors de l'occasion pour également officier à la réalisation, à la demande des Robins des Bois.
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Histoire d'un tournage
Le tournage de RRRrrrr !!! s'est déroulé dans le Larzac durant près de douze semaines, à 90% en extérieurs. Alain Chabat explique : "Plus les repérages avançaient et plus on découvrait des lieux magnifiques et réellement préhistoriques. Finalement, nous avons décidé de faire le minimum de choses en studio pour profiter de ces décors naturels, malgré les difficultés logistiques et météorologiques."
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Rush Hour|Brett Ratner|Policier||3|américain|1999|93|Anglais||DIV3|||DIV3|880 Kbps|720x320|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|679||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Roger Birnbaum|Jim Kouf|Adam Greenberg||Metropolitan FilmExport|Saga : Rush hour |L'inspecteur Lee est un des fleurons de la police royale de Hong Kong. Sa placidité ne laisse rien soupçonner de son génie des arts martiaux. Agée de onze ans, la fille du consul de Chine aux Etats-Unis fut son élève préférée, il en était le garde du corps, il en est resté le meilleur ami. Lorsqu'elle est enlevée par les hommes d'un maître du crime, qui a jadis abattu son coéquipier, Lee saute dans l'avion, bien decidé à retrouver la fillette et à chatier ses ravisseurs. Seulement le FBI ne veut pas être dérangé dans son enquête par un étranger. |Jackie Chan (l'inspecteur Lee)@Chris Tucker (le détective James Carter)@Philip Baker Hall (Capitaine Diel)@Chris Penn (Clive Cod)@Elizabeth Pena (Tania Johnson )@Tom Wilkinson (Thomas Griffin / Juntao )@Tzi Ma (le consul Han )@Robert Littman (le premier Caucasien)@||||||||||||@@
Rush Hour 2|Brett Ratner|Comédie||3|américain|2001|86|Anglais||XVID|||XVID|1 022 Kbps|720x400|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Roger Bimbaum Jonathan Glickman Arthur Sarkissian Jay Stern|Jeff Nathanson|Matthew F. Leonetti||Metropolitan FilmExport|Saga : Rush hour |L'agent James Carter rejoint son vieil ami l'inspecteur Lee pour passer, à Hong Kong, ce qui devrait être de reposantes vacances.Mais lorsqu'une bombe explose à l'ambassade américaine, tuant deux agents des douanes enquêtant sur un trafic de faux billets. La police suspectant Ricky Tan, chef de la Triade, confie l'affaire à Lee.À regret, Carter voit ses projets de repos s'écrouler, d'autant plus que pour son compère, l'affaire est personnelle : Ricky Tan était autrefois le partenaire de son père dans la police et a joué un rôle direct dans sa mort... Cette fois, c'est Lee qui guide son collègue dans un pays inconnu, et quand on connaît le bon caractère de Carter et sa discrétion, nul doute que tout sera simple... De Hong Kong à Los Angeles et Las Vegas, l'enquête risque d'être explosive. |Jackie Chan (Inspecteur Lee)@Chris Tucker (James Carter)@Zhang Ziyi (Li Hu)@John Lone (Ricky Tan)@Roselyn Sanchez (Isabella Molina)@Alan King (Steven Reign)@Kenneth Tsang (capitaine Chin)@Don Cheadle (Kenny)@Jeremy Piven (le vendeur de la boutique Versace)@||||||||||||@@
Rush Hour 3|Brett Ratner|Action||2|américain|2007|89|Anglais||XVID|||XVID|949 Kbps|608x256|MPEG-1 Audio layer 3|134 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|27/08/2009 00:00:00|Roger Birnbaum Jonathan Glickman Jay Stern Arthur Sarkissian|Jeff Nathanson Ross LaManna|J. Michael Muro||New Line Cinema|Saga : Rush hour |Dans quelques heures, l'ambassadeur chinois Han compte révéler l'identité du maître du plus puissant syndicat criminel du monde, les Triades chinoises. Lee est chargé de le protéger.Lorsque Carter, relégué depuis quelque temps à la circulation, apprend que l'ambassadeur vient de se faire tirer dessus, il se précipite sur les lieux pour intervenir, mais il ne parvient qu'à gêner Lee et à permettre à l'assassin de s'enfuir. Déterminé à regagner ses galons, Carter insiste pour aider Lee à retrouver l'assassin et à résoudre le mystère des Triades.Les indices vont conduire l'improbable duo jusqu'à Paris. Là-bas, perdus dans un pays dont ils ne connaissent rien et face à une bande de tueurs décidés à les éliminer par tous les moyens, ils vont vite se retrouver dans le pétrin jusqu'au cou. Une seule chose est certaine : à Paris comme ailleurs, ils risquent de faire beaucoup de joyeux dégâts... |Jackie Chan (Inspecteur Lee)@Chris Tucker (James Carter)@Max von Sydow (Varden Reynard)@Hiroyuki Shimosawa (Kenji)@Yvan Attal (Georges)@Youki Kudoh (la femme dragon)@Noémie Lenoir (Geneviève)@Jingchu Zhang (Soo Yung)@Tzi Ma (l'ambassadeur Han)@Dana Ivey (Soeur Agnès)@Henry O (Maître Yu)@Roselyn Sanchez (Isabella Molina)@Roman Polanski (Inspecteur Revi)@Julie Depardieu (La femme de Georges)@Simon Rhee (un tueur)@Sun Ming Ming (le géant Kung Fu)@Mia Tyler (Marsha)@||Secrets de tournage :
Un troisième volet
Rush Hour 3 est le troisième volet de la saga Rush Hour, qui réunit, depuis 1999, le réalisateur Brett Ratner et ses deux compères, Jackie Chan et Chris Tucker.
Mélange des cultures...
Dans le premier Rush Hour, Lee était un policier de Hong Kong bien loin de chez lui, confronté à des codes de vie inconnus. Dans le second film, c'était au tour de Carter de se retrouver en terrain étranger. Dans Rush Hour 3, les deux personnages sont tous les deux à Paris, dans une ville qui leur est complètement inconnue ! Le producteur Arthur Sarkissian commente : "Aucun des deux n'est à l'aise dans cet environnement. Pour Carter et Lee, se retrouver au contact d'une culture qu'ils ne connaissent pas et qui peut être parfois un peu hermétique était un ressort de comédie exceptionnel."
Contrôler le chaos apparent
Alors que Chris Tucker et Jackie Chan sont connus pour leurs dons d'improvisation, Brett Ratner aime travailler de façon structurée afin de contrôler le chaos apparent qui est au centre du film. Chris Tucker raconte : "L'atmosphère sur le plateau m'a beaucoup aidé dans mon travail. Brett est un peu comme un entraîneur de haut niveau, il est toujours derrière vous à vous encourager. Nous formons une bonne équipe. Nous sommes de très bons amis, nous pouvons tout nous dire, et Brett est toujours à notre écoute. C'est un excellent partenariat."
Des Frenchies dans le "Rush"
Comme Rush Hour 3 se déroule à Paris, Brett Ratner a souhaité que plusieurs acteurs français participent au tournage. C'est ainsi qu'apparaissent dans cette grosse production américaine Yvan Attal, Noémie Lenoir et Julie Depardieu.
Retrouvailles Noémie Lenoir / Brett Ratner
Avant Rush Hour 3, Brett Ratner connaissait la top model Noémie Lenoir pour lui avoir proposé un petit rôle dans son précédent film Coup d'éclat.
Avec la participation exceptionnelle de Roman Polanski
Roman Polanski fait une apparition dans le rôle de l'inspecteur Revi, un policier français qui accueille Carter et Lee à Paris d'une façon plutôt rustre. L'acteur et réalisateur note : "C'est le genre de personnage français que l'on rencontre parfois à l'aéroport ! Dans une scène, Carter et Lee le remercient d'un magnifique coup de poing. C'était rapide mais très drôle. Nous nous sommes beaucoup amusés."
Brett Ratner déclare : "En plus d'être un grand réalisateur, Roman a toujours été un de mes acteurs préférés. Le Locataire est un de mes films favoris, il y fait une performance d'acteur sublime. J'étais très heureux de travailler avec lui. Je me souviens qu'une fois il est venu me voir à la réception de notre hôtel pour me demander s'il pouvait répéter son texte avec moi. J'étais vraiment très fier, j'aurais voulu que tout le monde voit ça !"
Scène de combat sur la Tour Eiffel
Alors que l'étau des tueurs se resserre autour de Carter et Lee, l'action éclate au sommet d'un lieu bien connu et sans aucune issue : la Tour Eiffel. Chris Tucker explique : "Jackie Chan affronte un des tueurs du sommet jusqu'en bas de la tour Eiffel. Pendant ce temps-là, je me bats contre plusieurs types. C'était vraiment une très grosse scène de combat. La Tour Eiffel est très haute et il n'y a pas énormément de moyens d'en sortir, cela donne une allure très particulière aux combats. C'était très excitant."
Sans explosions ni fusillades, les combats de cette séquence ont été faits uniquement au corps à corps grâce à l'agilité de l'une des meilleures équipes de cascadeurs du monde. Jackie Chan commente : "C'était très impressionnant, je le sais parce que j'y étais moi aussi. Après cela, je pourrai dire à mes petits-enfants ?Eh regardez, c'est votre grand-père ! C'est vraiment moi en train de me battre, c'est pas une doublure !?. C'était vraiment terrible, les gens prennent l'ascenseur pour descendre, mais moi j'étais à l'extérieur de cet ascenseur pour arriver en bas. C'est un des trucs cools que j'ai pu accomplir durant le tournage et que personne ne peut faire normalement !"
Brett Ratner a le contrôle de la Tour Eiffel
Brett Ratner nous a raconté son meilleur souvenir sur le tournage : "Mon meilleur souvenir, c'est la Tour Eiffel. Je voulais me la raconter, car nous avions le contrôle de minuit à 6 heures du matin. D'habitude, les lumières sont éteintes mais là elles étaient allumées, ce qui a dû intriguer les Parisiens. J'ai alors demandé à mon assistant d'éteindre... Et tout s'est éteint ! Du coup, je trouvais ça trop sombre. Rallume s'il te plaît ! Et la Tour se rallume ! Non, j'aime pas, coupe la lumière ! Et lui me suppliait d'arrêter ! J'avais le contrôle des lumières de la Tour Eiffel ! C'est mon meilleur souvenir tout court. Pas seulement en France, mais sur toute ma carrière !"
Et Chris Tucker d'ajouter : "Brett n'arrêtait pas d'éteindre et d'allumer la Tour Eiffel... Sans raison ! Coupe la lumière !!! Rallume !!! Il adore ce genre de pouvoir... Un genre de pouvoir de Père Noël." "Combien de gens ont eu le droit de faire ça, à 5 heures du matin ?, poursuit Jackie Chan. Coupe la lumière !!! Rallume la lumière !!! Des gens ont vraiment dû se demander ce qui se passait ! Il est fou..."
Lieux de tournage à Paris
Parmi les autres lieux de tournage, l'équipe de production a posé ses caméras au Palais Chaillot, au Trocadéro, au Ministère des Affaires étrangères au Quai d'Orsay, sur les bords de la Seine sous le pont du Carrousel pour les scènes souterraines, à l'Hôtel Plaza Athénée, au Café de la Paix rue Montaigne, au Grand Hôtel dans le quartier de l'Opéra, et Aux Goûts d'Asie, un restaurant chinois.
L'homme le plus grand... du film
Sun Ming Ming est le deuxième homme le plus grand de Chine, et surtout le septième homme le plus grand au monde ! Dans Rush Hour 3, ce célèbre basketteur interprète l'un des membres de la mafia chinoise que l'inspecteur Lee et le détective James Carter sont chargés de vaincre. La séquence où il se bat contre Chris Tucker est une sorte de clin d'oeil à la scène de confrontation entre Bruce Lee et le basketteur géant Kareem Abdul-Jabbar dans Le Jeu de la mort.
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Monster-in-Law|Robert Luketic|Comédie||2|américain|2005|96|Anglais||DX50|||DX50|882 Kbps|480x204|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|697||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Chris Bender Richard Brener Julio Caro Paula Weinstein J.C. Spink Russell Carpenter|Anya Kochoff|Russell Carpenter||New Line Cinema||Après des années de galère, Charlotte a enfin déniché l'homme idéal... à un détail près. Si Kevin est parfait, sa mère, elle, est totalement branque ! Bien décidée à pourrir l'idylle de son fiston, elle va tout tenter, avec une imagination aussi vicieuse que dangereuse... |Jennifer Lopez (Charlotte Cantilini)@Jane Fonda (Viola Fields)@Michael Vartan (Kevin Fields)@Wanda Sykes (Ruby)@Adam Scott (Remy)@Annie Parisse (Morgan)@Monet Mazur (Fiona)@Will Arnett (Kit)@John Aylward (le prêtre)@||Secrets de tournage :
Un scénario écrit à partir de témoignages
Pendant près d'un an, la scénariste Anya Kochoff a écouté, questionné et recueilli de nombreux témoignages sur les rapports belle-mère / belle-fille. Toutes ses amies, ses parentes avaient des anecdotes à lui raconter. Lorsqu'elle a fini de faire le tour de la question, elle a pris le meilleur du pire et s'est attelée à l'écriture du scénario qui n'a duré qu'un mois.
Le choix de Robert Luketic
En cherchant un réalisateur capable de valoriser aussi bien l'aspect comique de l'histoire que les sentiments des personnages et de diriger un duo d'actrices prestigieuses, les producteurs ont porté leur dévolu sur Robert Luketic.
Paula Weinstein raconte : "Robert était parfaitement dans son élément. Ses comédies ne se limitent jamais à des successions de gags mais placent les protagonistes dans des situations qui sont aussi drôles sur le plan intellectuel que sur le plan matériel. Avec lui, aucun personnage n'est tout noir ou tout blanc, chacun essaie de s'en sortir avec ses forces et ses faiblesses. C'est exactement ce qu'il fallait pour Sa mère ou moi !."
Le come-back de Jane Fonda
Avec Sa mère ou moi, Jane Fonda effectue son grand retour au cinéma, elle qui n'avait pas tourné depuis Stanley & Iris en 1990.
Jane Fonda n'a pas peur de vieillir
Aux dires du réalisateur Robert Luketic, Jane Fonda n'a pas hésité à jouer avec son image. "Alors que d'habitude, on essaie toujours de rajeunir les stars, elle nous a tout de suite dit de ne forcer ni sur le maquillage, ni sur les filtres pour essayer de gommer son âge, explique-t-il. Elle assume parfaitement et n'en est que plus resplendissante. Elle respire la sérénité et la sincérité."
Tournage à Los Angeles
Le tournage eut lieu essentiellement à Los Angeles, "dans des endroits qui sont à la fois très représentatifs de l'esprit californien et inédits au cinéma" comme l'explique Robert Luketic. "Pour le premier déjeuner entre Viola et Charlie, nous avons pu filmer dans l'impressionnant Gardens & Museum. Pour les résidences, nous avons réuni un florilège de tout ce que l'architecture de l'Ouest américain a produit de meilleur. Nous avons adapté les intérieurs aux personnalités de leurs occupants."
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Robin Hood, Men in Tights|Mel Brooks|Comédie||3|américain|1993|99|Anglais||XVID|||XVID|855 Kbps|544x304|MPEG-1 Audio layer 3|107 Kbps|False|44.1 KHz|2|695||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Mel Brooks|Mel Brooks J. David Shapiro Evan Chandler|Michael D. O'Shea||||Les aventures de Robin des Bois et de ses compagnons en collants, vues par Mel Brooks. |Cary Elwes (Robin des Bois)@Richard Lewis (le Prince Jean)@Roger Rees (le Shérif de Rotingham)@Amy Yasbeck (Marianne)@Dave Chappelle (Atchoum)@Isaac Hayes (À vos souhaits)@Mark Blankfield (Cligneur )@Megan Cavanagh (Broomhilde)@Eric Allan Kramer (Petit Jean)@Matthew Porretta (Will Scarlet O'Hara)@Tracey Ullman (Latrine)@Patrick Stewart (Richard Coeur de Lion)@Dom DeLuise (Don Giovanni)@Dick Van Patten (l'Abbé)@Mel Brooks (le Rabbin Tuckman)@Steve Tancora (Luca le pourri)@Carol DeLuise@Clive Revill@David Deluise@||||||||||||@@
Sahara|Breck Eisner|Aventure||2|américain|2005|123|Anglais||XviD|||XVID|654 Kbps|608x256|MPEG-1 Audio layer 3|129 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Howard Baldwin Karen Baldwin Mace Neufeld Stephanie Austin|Thomas Dean Donnelly Joshua Oppenheimer John C. Richards James V. Hart|Seamus McGarvey||Paramount Pictures||Pour Dirk Pitt, explorateur, scientifique et aventurier, découvrir cette pièce de légende n'était que le premier pas vers l'aventure la plus risquée de sa vie et une incroyable légende historique...Avec son inséparable partenaire et ami, Al Giordino, Dirk se lance dans une chasse au trésor qui va les conduire dans les régions les plus reculées d'Afrique, sur les traces d'un navire mystérieusement disparu avec sa cargaison secrète. Ils vont rencontrer le Dr. Eva Rojas, une femme médecin persuadée que le trésor caché a un lien avec une menace redoutable pour le monde...Face aux obstacles, aux mystères et aux pièges, Dirk, Al et Eva ne pourront compter que sur eux-mêmes. Ce n'est pas à une énigme qu'ils s'attaquent mais à deux, et chacune peut leur coûter la vie... |Matthew McConaughey (Dirk Pitt)@Steve Zahn (Al Giordino)@Penélope Cruz (Dr. Eva Rojas)@William H. Macy (l'amiral Sandecker)@Lambert Wilson (Massarde)@Lennie James (le général Kazim)@Glynn Turman (Dr. Hopper)@Delroy Lindo (l'agent de la CIA Carl)@Rainn Wilson (Rudi)@Tosin Sanyalo (Azikiwe Nwokolo)@Patrick Malahide (Ambassadeur Polidori)@Robert Cavanah (Capitaine Tombs)@Eddie Osei (Le garde du train)@Clint Dyer (Oshodi)@Francis Magee (Fuse Cutter)@Abdul Salis (Oumar)@Rakie Ayola (Miss Nwokolo)@Christopher Bello (Le conducteur de train)@Lahcen Osgood (Un enfant du village touareg)@Mark Springer (Un garde)@Jude Akuwudike (L'imam)@Maurice Lee (Zakara)@Paulin F. Fodouop (Modibo)@Ouahbou Houcine (Un enfant du village touareg)@||Secrets de tournage :
Matthew McConaughey joue les VRP
Pour la promotion du film, Matthew McConaughey, a traversé tous les Etats-Unis dans un véhicule aux couleurs du film. Il s'arrêta dans plusieurs villes et notamment dans des stades de base-ball pour montrer la bande-annonce du film au public.
Le film ayant coûté plus de 130 millions de dollars, l'acteur texan tint à s'impliquer autant que possible pour s'assurer de son succès public.
Un premier film ambitieux
Le réalisateur Breck Eisner a bénéficié d'un budget confortable pour son premier long métrage. Avant Sahara, il avait été remarqué par les producteurs pour avoir réalisé les épisodes de la mini-série Taken , produite par Spielberg. Le producteur Howard Baldwin témoigne : "On pourrait penser qu'il est difficile de faire confiance à un débutant pour un gros film d'action comme Sahara, mais avec Breck, ça a été très facile. Notre instinct tout comme notre réflexion nous disaient qu'il ferait un travail extraordinaire - et c'est bien ce qu'il a fait. Il a le sens de l'action, il s'est immergé totalement dans l'univers du film, dans son rythme."
Un avis partagé par Penélope Cruz : "Breck a une énergie phénoménale. ll était le premier sur le plateau le matin, et le dernier à partir (...). Il a fait ça chaque jour pendant des mois. Ce film avait besoin de son énergie. C'est quelque chose que nous avons tous ressenti sur le plateau et qui s'est transmis au film."
Un entraînement militaire
Pour rendre crédible leurs personnages qui sont deux officiers de la marine expérimentés, avant d'être des aventuriers casse-cou, Matthew McConaughey et Steve Zahn ont suivi un entrainement de Navy Seal pendant un mois. Steve Zahn raconte :"Matthew, moi et Harry Humphries, le conseiller militaire, nous sommes rendus à Erfoud pendant deux semaines avant le reste de l'équipe. Nous avons couru dans le désert, nous avons travaillé à nous adapter à l'environnement, nous avons pratiqué tous les exercices que font les militaires sur ce genre de terrain. On ne s'en plaint pas , c'est comme un sport" . Il approuve ce choix de la production : "Une des raisons pour lesquelles l'entraînement est important, c'est que cela permettait d'asseoir l'histoire dans la réalité. Matthew et moi savions très exactement ce que nous faisions, et le public peut ainsi accepter que ces deux types puissent se retrouver dans ces situations et s'en tirer."
Tournage dans le désert
Le film est censé se dérouler au Mali et au Niger. Mais l'équipe a tourné à Londres, Barcelone et Erfoud, ville marocaine près de la frontière algérienne, dans le désert qui donne son nom au film. Des conditions extrêmes pour un tournage intense, Matthew McConaughey témoigne :"Le mot "Sahara" signifie littéralement "désert". C'est vraiment ça : du sable à perte de vue, la chaleur, les tempêtes de sable. C'est immense."
Son complice à l'écran, Steve Zahn nous révèle que cet "enfer" l'a aidé à interpréter son personnage : "Ca peut paraître cliché, mais quand vous en bavez aux côtés de quelqu'un douze heures par jour sous un soleil de plomb, vous finissez par le connaître à un niveau que vous n'attendriez jamais dans des circonstances normales."
Hugh Jackman pressenti
Le rôle de Dirk Pitt devait au départ être attribué à Hugh Jackman, mais ce dernier, trop occupé par le tournage de X-Men 2 et la pièce The Boy from Oz dans laquelle il se produisait à l'époque, dut finalement se désengager du projet.
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San Antonio|Frédéric Auburtin|Comédie||1|français|2004|90|Français||DIV3|||DIV3|894 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|168 Kbps|False|48.0 KHz|2|695||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Claude Berri|Laurent Touil-Tartour|Willy Stassen||Pathé Distribution||Une épidémie d'origine terroriste décime à tour de rôle les plus hauts responsables politiques. San Antonio est l'ultime recours, une section parallèle est aussitôt créée pour lui. Il n'a que quelques heures pour dénouer l'écheveau maléfique qui sévit... |Gérard Lanvin (le commissaire San-Antonio)@Gérard Depardieu (l'inspecteur Bérurier)@Eriq Ebouaney (Jérémie Blanc)@Jérémie Renier (Toinet)@Michèle Bernier (Berthe)@Jean-Roger Milo (Mathias)@Valeria Golino (l'Italienne)@Virginia Anderson@Robert Hossein (le ministre)@Barbara Schulz (Marianne)@Luis Rego (Pinaud)@Michel Galabru (Achille)@Maryam D'Abo (Margaux )@||Secrets de tournage :
Genèse d'un projet
Le scénariste Laurent Touil-Tartour a obtenu les droits des 190 romans de Frédéric Dard peu avant le décès de ce dernier. Fred Auburtin, le réalisateur du film, explique :"Pendant deux ans et demi, il a travaillé sur le scénario. Il a repris les personnages, en a fait sa propre histoire et a convaincu Claude Berri de le produire".
Troisième adaptation
Le personnage de San Antonio a déjà été adapté à deux reprises au cinéma. Une première fois en 1966 avec Sale temps pour les mouches de Guy Lefranc, avec Gerard Barray dans le rôle-titre et Jean Richard dans celui de l'inspecteur Bérurier. La seconde adaptation remonte à 1981, avec San Antonio ne pense qu'à ça de Joël Seria, dans lequel Philippe Gasté interprète le célèbre commissaire et .Pierre Doris en Bérurier.
2003 - 2004 : trois films français pour Valeria Golino
En 2003 - 2004, en l'espace de quelques mois, Valeria Golino, actrice italienne à la carrière internationale, a tourné trois films en France : Alive, San Antonio et 36 quai des orfèvres. Celle-ci confie : "J'aime travailler dans ce pays. Je trouve que la France traite le cinéma et la culture en général comme aucun autre pays en Europe. Ici, les artistes et leurs oeuvres sont vraiment défendus, placés au centre de la vie. Toutes ces expériences m'ont donné envie de venir m'installer quelque temps ici et d'y faire le plus de choses possibles."
Remplacé au pied levé
A l'origine, ce devait être Laurent Touil-Tartour qui devait réaliser le film. Suite à un désaccord avec la production, il a finalement été remplacé par Fred Auburtin. Ce dernier précise : "Je connais Claude Berri depuis dix-neuf ans pour avoir été stagiaire sur Jean de Florette et Manon des Sources, son assistant sur Germinal et Lucie Aubrac, ou encore sur L' Amant de Jean-Jacques Annaud qu'il avait produit. Pour reprendre le film au pied levé, Claude Berri et Pierre Grunstein, le producteur exécutif, avaient besoin de quelqu'un de confiance".
Une pure comédie d'action ?
San Antonio se situe dans un univers très particulier et surtout bien à lui, avec ses propres codes. Il possède néanmoins une chose en plus : la décontraction. "Il y a un degré de comédie qui est vraiment assumé, quelque chose de rabelaisien, avec des sentiments" explique le réalisateur; "James Bond est infaillible alors que San Antonio a des faiblesses émotives, sa première étant Bérurier. (...) Tout les oppose malgré leur amitié et Béru réussit à sauver San Antonio par des apparitions très spectaculaires. Quand Béru va mal, San Antonio ne va pas très bien".
Un prestigieux décors
Des scènes du film se déroule au Palais de l'Elysée, résidence du Président de la République. Il n'a toutefois pas été possible d'y tourner. Les intérieurs, ainsi que la cour ont donc été faits en studio, par le chef décorateur Christian Marti, qui a rajouté des perspectives en numérique. L'équipe a cependant obtenu l'autorisation de tourner dans la rue du faubourg Saint-Honoré, uniquement grille fermée. Une autre contrainte était que la caméra devait toujours être sur le trottoir opposé au Palais.
Clins d'oeil au maître...des agents secrets
Le pré-générique rappelle beaucoup ceux de James Bond. Le réalisateur explique : "J'ai voulu la jouer ambiance pop corn, avec de jolies nanas ! Ce n'était pas écrit tout à fait comme cela, mais le spectateur comprend immédiatement que San Antonio est un homme à femmes et que Béru est un gros dégueulasse. Et puis, l'action démarre très vite"
La Marseillaise au générique
L'hymne national, La Marseillaise, figure au générique du film. C'est une idée du monteur, Guy Lecorne. Le réalisateur explique son choix : "Au départ, je voulais une version décalée de Zarathoustra mais finalement, nous avons transgressé la Walkyrie plus tard. Nous somme partis d'une Marseillaise jazz de Jacky Terrasson pour arriver à cette construction assez surprenante. Il y a une montée en puissance depuis une introduction assez grand siècle jusqu'aux dernières notes à la Hendrix, c'est jubilatoire !"
Une absence de marque
C'est Jean Yanne qui devait à l'origine interpréter le rôle du Ministre dans San Antonio. Décédé peu avant le tournage, il a finalement été remplacé par Robert Hossein.
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Sans arme, ni haine, ni violence|Jean-Paul Rouve|Policier||2|français|2008|86|Français||XviD|||XVID|993 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|129 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Pauline Duhault Aïssa Djabri Farid Lahouassa|Jean-Paul Rouve Benoît Graffin|Christophe Offenstein||Mars Distribution||Appréhendé en 1977 pour avoir conçu, organisé et réussi le célèbre casse de Nice, Albert Spaggiari s'évade du bureau du juge d'instruction. Pendant des années, il va rester insaisissable, résistant à toutes les tentatives de la police.Au cours de sa cavale fabuleuse en Amérique du Sud, il multiplie les rencontres avec des journalistes, fait des photos en forme de pied de nez facétieux au public français.Vincent, reporter, réussit à l'approcher pendant quelques jours dans une ville d'Amérique du Sud et découvre un être qui n'a rien à voir avec le grand banditisme, une sorte de Cyrano de Bergerac, généreux et fauché, souffrant de ne pas profiter davantage de sa gloire, looser grandiose, vantard plein d'humour et de contradictions mais qui reste traqué par la police française. |Jean-Paul Rouve (Albert Spaggiari)@Alice Taglioni (Julia)@Gilles Lellouche (Vincent Goumard)@Maxime Leroux ("68")@Patrick Bosso (Le truand 1)@Anne Marivin (La femme flic)@Renan Carteaux (Renaud)@Bertrand Burgalat (un client du restaurant)@Jean-Philippe Puymartin (Le commissaire Dréant)@Pom Klementieff (Nhi)@Arsène Mosca (Le Targui)@Denis Braccini (Le truand 2)@Eric Fraticelli (Le truand 3)@Eric Frey (Le juge Bouaziz)@Florence Loiret-Caille (Nathalie Goumard)@Timothé Riquet (Bastien Goumard)@Jean-Gilles Barbier (Le Maigre)@Philippe Girard (Le bijoutier)@François Berland (L'avocat)@Stefan Liberski (Le directeur de la banque)@Milan Argaud (Albert Spaggiari à 14 ans)@Frankye Pain@Colin-David Reese (Ronnie Biggs)@Marc Robert@Gregoire Bonnet@Gérard Depardieu (Le parrain marseillais)@||Secrets de tournage :
Pourquoi Spaggiari ?
Dans une interview qu'il nous a accordé sur le tournage, Jean-Paul Rouve nous a expliqué l'intérêt qu'il portait pour ce gangster qui défraya la chronique à la fin des années 70 : "Ca fait un moment que j'avais envie d'écrire sur ce mec, il me faisait rire, il m'étonnait, il m'amusait aussi beaucoup, il se déguisait tout le temps, avec des déguisements de piètre qualité... J'aimais bien la dualité du personnage entre son côté voleur et son côté vedette. Et ce qui l'intéressait, c'était pas tant de voler de l'argent que d'être connu. Je pense qu'aujourd'hui il aurait fait la "Star Academy" ou il serait passé chez Delarue. Et à l'époque, il s'est dit "tiens, un casse c'est pas mal" et ça a réussi."
Jean-Paul Rouve devant et derrière la caméra
C'est durant une séance d'écriture que Jean-Paul Rouve se décida à réaliser ce film. Ce dernier se souvient : "On travaillait à Nice, Benoît Graffin qui m'écoutait lui dire : "Cette scène, il faudrait la filmer comme ça, que la caméra aille par là, puis par là...", m'a dit : "Tu devrais le réaliser toi-même ce film, tu es le mieux placé !". Jusque-là, j'avais surtout envisagé des réalisateurs très confirmés, comme si, inconsciemment, je voulais justement m'empêcher de penser à le faire moi-même ! Après la réflexion de Benoît, je me suis mis à y réfléchir vraiment, à me poser des tas de questions, jusqu'au jour où j'ai fini par dire : "Et pourquoi pas ?"."
Un travail de documentation
En guise de préparation, Jean-Paul Rouve s'est lancé dans un méticuleux travail de documentation, consultant de nombreuses archives, rencontant des journalistes qui avaient interviewé Spaggiari et des gens qui l'avaient connu. "On a essayé de rencontrer sa dernière compagne, Julia, confie-t-il, mais elle ne veut pas parler, ni se montrer. C'est une histoire d'amour incroyablement belle. Elle était d'une riche famille, elle a tout quitté par amour pour le suivre en cavale. Elle l'a toujours protégé. Depuis sa mort, jamais, elle n'a donné d'interviews, jamais, elle ne s'est montrée. Magnifique !"
Partis pris de mise en scène
Côté réalisation, Jean-Paul Rouve souhaitait s'inspirer de Husbands de Cassavetes, de L'Eté meurtrier et de Claude Lelouch. "J'aime bien ce côté "à la limite", quand on ne sait pas finalement si c'est joué ou improvisé, explique le cinéaste. J'aime bien être un peu déstabilisé de cette manière-là, sans pour autant rechercher l'effet pour l'effet... Le film est né de tout ça. On a fait beaucoup de caméra à l'épaule, beaucoup de plans séquences. On n'avait pas beaucoup de moyens et c'est tant mieux ! Je ne voulais pas qu'on ne voie que les moyens, je ne voulais pas que ça fasse trop "cinoche", avec des plans de grue et tout le reste... J'ai dit à Christophe Offenstein : "On filme avant tout des acteurs et des personnages". Je voulais qu'on baigne dans l'histoire, qu'on se sente comme enveloppé par cette histoire, on a ainsi utilisé beaucoup de longues focales."
Un journaliste fictif...
Vincent Goumard, le journaliste incarné par Gilles Lellouche, n'est que pure fiction. Jean-Paul Rouve explique comment lui est venue l'idée de ce personnage : "C'est en réfléchissant aux raisons qui me poussaient à vouloir jouer Spaggiari que ce personnage est né. Et on a inventé un type qui a une vie ordinaire, presque banale, en tout cas bien ordonnée, qui traque Spaggiari et, une fois qu'il l'a approché, se laisse peu à peu séduire par lui, pas tant par ce qu'il a fait que par ce qu'il est... En fait, ma référence, c'était Presque célèbre. La vedette du film de Cameron Crowe, ce n'est pas le groupe de rock, mais le gamin qui rêve d'être journaliste pour Rolling Stone et qui suit les musiciens. L'histoire est toujours vue à travers son regard. Là, c'est pareil : tout est vu à travers les yeux du "journaliste" ou à travers les souvenirs que lui raconte Spaggiari. Ce qui m'intéressait, c'est le rapport humain qui, au fur et à mesure de leurs rencontres, va se développer entre ces deux hommes, le lien qui se noue entre eux. Le "journaliste" était un moyen idéal pour parler de ces contradictions entre la raison et la séduction, entre la vie qu'on a et la vie qu'on rêve..."
Philippe Torreton pressenti
Approché par l'acteur-réalisateur, Philippe Torreton a malheureusement dû décliner sa proposition de faire partie du casting.
Albert Spaggiari
Albert Spaggiari est né dans le village de Laragne-Montéglin. Après des années de voyages, d'errances et de guerre (L'Indochine en tant que Para), il s'installe à Nice et y ouvre un studio de photo. En 1976, après avoir longuement et ingénieusement réfléchi, il décide de s'attaquer à la chambre forte de la Société Générale de Nice par les égouts. Avec du bon sens (il vérifiera les systèmes de détection sismique et acoustique grâce à un réveil caché dans un coffre loué, il se fournira des alibis) et un bon coup de pelle (il creusera accompagné de gangsters professionnels recrutés sur Marseille et de quelques amis d'aventures), au bout de trois mois, il accédera à la salle des coffres ! C'est ainsi qu'au cours du week-end du 17-18-19 juillet 1976, il dérobera près de 50 millions de francs ! Au lundi matin, ce que les employés de la Banque trouvèrent, eux, ce fut juste un mot : "Ni arme, ni violence et sans haine". Après enquête, Albert Spaggiari fut arrêté à l'aéroport de Nice. Il choisira pour sa défense Maître Jacques Peyrat, futur Maire de Nice. Celui-ci ne put jamais le défendre car au cours d'une audience avec le juge, le 10 Mars 1977, Albert Spaggiari s'évada en sautant par la fenêtre. À partir de là, commença pour lui une cavale médiatique. En effet, durant des années, il narguera la police française en écrivant des livres chez Albin Michel, en donnant des interviews pour Pivot, ou en envoyant chaque année, ses voeux au Président. Sa cavale, si elle fut médiatique et ensoleillée (il choisit comme de nombreux criminels l'Amérique du Sud, si souple en la matière), fut aussi de courte durée, car la maladie le rattrapa. C'est le 8 juin 1989, en Italie dans un village de montagne où il s'était réfugié avec sa femme qu'il s'éteindra.
Un petit goût de paradis
Les exploits de Spaggiari à Nice en 1976 inspirèrent José Giovanni qui lui consacra un film en 1979, Les Egouts du paradis, avec Francis Huster dans le rôle principal.
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No Good Deed|Bob Rafelson|Policier||1|américain|2002|93|||XviD|||XVID|896 Kbps|576x320|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|693||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Herb Nanas Sam Perlmutter Maxime Remillard André Rouleau|Steve Barancik Christopher Canaan|Juan Ruiz Anchia||||Jack Friar, un vétéran de la police, n'a pas pris de vacances depuis quelques années. Au moment où il se décide à quitter la ville, il est appelé par une amie qui lui demande d'enquêter sur la disparition de sa fille. Comment refuser ? |Samuel L. Jackson (Jack Friar )@Milla Jovovich (Erin )@Stellan Skarsgard (Tyrone )@Shannon Lawson (Amy)@Jonathon Higgins (David Brewster)@Doug Hutchison (Hoop )@Grace Zabriskie (Mrs. Quarre )@Joss Ackland (Mr. Quarre )@Tony Calabretta (le propriétaire de la cadillac)@||||||||||||@@
Free Willy|Simon Wincer|Aventure||3|français, américain|1994|107|Anglais||DX50|||DX50|763 Kbps|512x224|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|689||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Lauren Shuler Donner|Keith A. Walker Corey Blechman|Robbie Greenberg||Warner Bros. France|Saga : Sauvez Willy |Comment Jesse, petit garcon instable et Willy, un orque en captivité dans le bassin vétuste d'un parc d'attraction décrépit, vont se lier d'amitié et se sauver mutuellement d'un monde dur où triomphe le cynisme. |Jason James Richter (Jesse)@Lori Petty (Rae Lindley)@Jayne Atkinson (Annie Greenwood)@August Schellenberg (Randolph Johnson)@Michael Madsen (Glen Greenwood)@Michael Ironside (Dial)@Richard Riehle@Mykelti Williamson@Danielle Harris@||||||||||||@@
Free Willy 2 : The Adventure Home|Dwight H. Little|Aventure|Film pour enfants|3|français, américain|1995|93|Anglais||DX50|||DX50|905 Kbps|704x288|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Jennie Lew Tugend Lauren Shuler Donner|Keith A. Walker Corey Blechman John Mattson Karen Janszen|Laszlo Kovacs||Warner Bros. France|Saga : Sauvez Willy |Deux ans ont passé depuis les dernières aventures de l'orque Willy et du petit garcon Jesse. C'est maintenant un jeune adolescent qui va devoir une fois de plus défendre Willy, rendu à la liberté, et à sa famille, contre la négligence et le cynisme des hommes. |Jason James Richter (Jesse)@August Schellenberg (Randolph Johnson)@Michael Madsen (Glen Greenwood)@Mary Kate Schellhardt (Nadine)@Elizabeth Pena (Kate Haley)@Jayne Atkinson (Annie Greenwood)@Jon Tenney (John Milner)@Mykelti Williamson@M. Emmet Walsh@Marguerite Moreau@Joan Lunden@||||||||||||@@
Free Willy 3: the Rescue|Sam Pillsbury|Aventure||2|américain|1997|82|Anglais||XviD|||XVID|943 Kbps|720x400|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|634||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Jennie Lew Tugend|Keith A. Walker John Mattson|Tobias A. Schliessler||Warner Bros. France|Saga : Sauvez Willy |Jesse est maintenant devenu un adolescent, tandis que l'orque Willy a fondé sa propre bande et coule des jours heureux le long de la côte nord-ouest du Pacifique. Menacé par des chasseurs, Willy pourra une fois encore compter sur l'amitié de Jesse et l'aide de Max, le fils de l'un de ces chasseurs pour échaper aux dangers qui planent sur lui et sa bande. |Jason James Richter (Jesse)@August Schellenberg (Randolph Johnson)@Annie Corley (Drew Halbert)@Vincent Berry (Max Wesley)@Patrick Kilpatrick (John)@||||||||||||@@
Saw|James Wan|Thriller|Interdit aux moins de 16 ans|3|américain|2005|103|Anglais||XviD|||XVID|807 Kbps|576x320|MPEG-1 Audio layer 3|126 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Mark Burg Gregg Hoffman Oren Koules|James Wan Leigh Whannell|David A. Armstrong||Metropolitan FilmExport|Saga : Saw |Deux hommes se réveillent enchaînés au mur d'une salle de bains. Ils ignorent où ils sont et ne se connaissent pas. Ils savent juste que l'un doit absolument tuer l'autre, sinon dans moins de huit heures, ils seront exécutés tous les deux...Voici l'une des situations imagnées par un machiavélique maître criminel qui impose à ses victimes des choix auxquels personne ne souhaite jamais être confronté un jour. Un détective est chargé de l'enquête... |Leigh Whannell (Adam)@Cary Elwes (Docteur Lawrence Gordon)@Danny Glover (Détective David Tapp)@Ken Leung (Détective Steven Sing)@Dina Meyer (Kerry)@Tobin Bell (le Tueur au puzzle / John Kramer)@Mike Butters (Paul)@Paul Gutrecht (Mark)@Michael Emerson (Zep Hindle)@Benito Martinez (Brett)@Shawnee Smith (Amanda)@Makenzie Vega (Diana Gordon)@Monica Potter (Alison Gordon)@Ned Bellamy (Jeff)@Alexandra Bokyun Chun (Carla)@Avner Garbi (Père)@||Secrets de tournage :
Avertissement aux spectateurs
A l'instar de ce que fit Alfred Hitchcock à la sortie de Psychose, l'équipe de Saw enjoint les spectateurs à ne rien dévoiler du machiavélique puzzle du film, afin de ne pas gâcher le plaisir de la découverte...et de la terreur.
Un classement modifié
Saw était à l'origine classé NC-17 pour sa violence, ce qui ne permettait à aucun spectateur américain de 17 ans ou moins de le visionner. Au final, le long métrage, pour son exploitation en salles aux Etats-Unis, a été remonté afin d'être classé R, ce qui signifie qu'un adulte devra obligatoirement accompagner les spectateurs de moins de 17 ans.
Un fabuleux destin
A l'origine, le film devait être un direct to video. Pourtant, après des projections test particulièrement convaincantes, ce petit film tourné en un temps record de 18 jours s'est vu accorder les honneurs d'une sortie sur grand écran.
Un financement difficile
Leigh Whannell et James Wan ont eu beaucoup de mal à financer leur film. Ils ont alors décidé de renoncer à leur salaire au profit d'un pourcentage sur le film, en cas de succès hypothétique. Essuyant de nombreux refus des producteurs, ils ont décidé de puiser dans leurs propres économies et s'endetter, afin de pouvoir filmer la première scène du film. Dupliquée sur DVD, la scène fut envoyée à Gregg Hoffman, qui tout de suite accepter de produire le film.
Les références au maître
Le film comporte de nombreuses références au maître du Giallo et de l'horreur italien, Dario Argento. La poupée mystérieuse et inquiétante, visible dans la bande-annonce, est une référence à celle utilisée dans le classique Les Frissons de l'angoisse (1975). De même que les gants du tueur, également visible dans la bande-annonce, sont une récurrence de la plupart des films du maître.
Devant et derrière la caméra
Leigh Whannell, co-scénariste de Saw, interprète le rôle d'Adam, co-détenu aux côtés du Dr. Gordon (Cary Elwes) . Il a également interprété un petit rôle dans Matrix reloaded des frères Andy Wachowski et Larry Wachowski.
Retour gagnant
Saw marque le retour de Danny Glover, absent des écrans depuis 2001, où il avait tourné dans La Famille Tenenbaum, une comédie familiale signée Wes Anderson.
Carton au box-office
Doté d'un budget minuscule de 1,2 millions de dollars, le film a rapporté plus de 55 millions de dollars, ce qui le place parmi les films les plus rentables de toute l'histoire du cinéma.
A propos du compositeur
Charlie Clouser est depuis 1994 le musicien claviers et programmeur du groupe Nine Inch Nails. Outre leur collaboration régulière (notamment sur l'album quadruple-platine The Downward Spiral, il figure sur les bandes originales de nombreux films, parmis lesquels Beavis et Butt-Head se font l'Amerique, The Crow : la cité des anges, Scream, ou encore Matrix. Saw est le premier film dont il compose entièrement la musique.
Un petit détour par Sundance...
Saw faisait partie des films présentés en avant-première du Festival du Film Indépendant de Sundance 2004. Il a également fait la clôture du Festival du film de Toronto.
« Préc.
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Saw II|Darren Lynn Bousman|Thriller|Interdit aux moins de 16 ans|3|américain|2005|92|Anglais||XviD|||XVID|880 Kbps|640x352|MPEG-1 Audio layer 3|160 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Mark Burg Gregg Hoffman Oren Koules|Darren Lynn Bousman Leigh Whannell|David A. Armstrong||Metropolitan FilmExport|Saga : Saw |Chargé de l'enquête autour d'une mort sanglante, l'Inspecteur Eric Mason est persuadé que le crime est l'oeuvre du redoutable Jigsaw, un criminel machiavélique qui impose à ses victimes des choix auxquels personne ne souhaite jamais être confronté. Cette fois-ci, ce ne sont plus deux mais huit personnes qui ont été piégées par Jigsaw... |Donnie Wahlberg (Eric Mathews)@Shawnee Smith (Amanda)@Tobin Bell (le Tueur au puzzle / John Kramer)@Franky G. (Xavier)@Glenn Plummer (Jonas)@Dina Meyer (Kerry)@Emmanuelle Vaugier (Addison)@Beverley Mitchell (Laura)@Erik Knudsen (Daniel Mathews)@Tim Burd (Obi)@Lyriq Bent (Rigg)@Noam Jenkins (Michael)@Tony Nappo (Gus)@Kelly Jones (Pete, du SWAT)@Vincent Rother (Joe, du SWAT)@Linette Robinson (la mère au service cancérologie)@Gretchen Helbig (l'infirmière du service cancérologie)@Kofi Payton (le garçon au service cancérologie)@John Fallon (technicien vidéo)@Ho Oyster Chow (officier de sécurité)@||Secrets de tournage :
Un "casse-tête" aux oeufs d'or
Saw II est la suite de Saw ("scier", "vu", et "casse-tête" en anglais), l'un des plus grands succès commerciaux du film d'épouvante. Doté d'un budget minuscule de 1,2 millions de dollars, le film en a rapporté au total plus de 55 sur le sol américain, ce qui le place parmi les films les plus rentables de toute l'histoire du cinéma.
Aller plus loin dans le "jeu"
Oren Koules, l'un des producteurs de Saw II, explique que la volonté de donner naissance à une suite a été provoquée par la demande du public. "Depuis la sortie du premier film, chaque fois que nous allions quelque part, tout le monde demandait quand et comment reviendrait le Tueur au puzzle", explique-t-il. "Pour le public, la fascination exercée par ce personnage ne pouvait pas se satisfaire d'un seul film. L'un des premiers enjeux avait été de découvrir qui il était, le suivant était de savoir jusqu'où il était capable d'aller et pourquoi..." Mark Burg, également producteur, approfondit cette reflexion : "Ce qui s'était passé dans le premier film nous obligeait à aller plus loin, aussi bien dans les situations que dans la façon dont elle s'agencent pour servir les mystérieux desseins de ce criminel. Il lui fallait de nouveaux enjeux, de nouveaux adversaires, de nouvelles victimes et surtout, de nouvelles épreuves..."
Plus qu'un simple sadique...
Le coproducteur Gregg Hoffman, lorsqu'il aborde la structure scénaristique du film, s'essaie également à une définition du Tueur au puzzle : "Il y a plusieurs niveaux de lecture dans ce film. Le suspense existe sur plusieurs axes qui s'entrecroisent et se renforcent. Chacune des victimes est confrontée à des épreuves mais ces situations, fortes en elles-mêmes, s'inscrivent dans un ensemble remarquablement structuré. Le Tueur au puzzle n'est pas un simple sadique, il poursuit un plan précis et finalement, on se demande s'il ne s'amuse pas plus à manipuler les gens qu'à les pousser au-delà de leurs limites."
Une expérience pour le spectateur
L'actrice Shawnee Smith, la seule victime ayant survécu aux épreuves du Tueur au puzzle dans Saw et qui est de retour dans Saw II, explique ce qui l'a séduite dans ce nouveau volet : "On retrouve l'esprit qui a fait le succès du premier avec un développement supplémentaire qui ne décevra pas les fans de la première heure et va fasciner les autres. Pour moi, aussi épouvantable soit-il, Saw II n'est pas un film gore. Le suspense psychologique est infiniment plus puissant que le seul aspect effrayant. Face à l'horreur, on est en plus assailli de doutes, de questions et on sent que tout est possible. C'est la plus géniale des tortures mentales !" Le réalisateur Darren Lynn Bousman conclut : "Notre but a été de créer une expérience qui captive le spectateur à tous les niveaux de sensation. Il sera pris par ce qu'il verra, par ce qu'il entendra, par ce qu'il imaginera, par ce qu'il découvrira, et lui aussi n'aura pas d'autres choix que de se laisser prendre au jeu du Tueur..."
Un jeune talent à la réalisation
L'implication du jeune réalisateur Darren Lynn Bousman, spécialisé dans le clip et la publicité, dans le projet Saw II a été originale. Il raconte : "En fait, Saw n'était pas encore sorti lorsque j'en ai entendu parler. J'en ai vu quelques plans et j'ai été emballé par le travail du directeur de la photo, David Armstrong. Je suis entré en contact avec lui car je voulais qu'il me rejoigne sur un projet que j'avais écrit, un thriller assez angoissant dont le titre était The Desperate..." David Armstrong, impressionné par le travail de Darren Lynn Bousman, ne dit pas non pour The Desperate mais prit tout d emême le temps de contacter les producteurs de Saw, Gregg Hoffman et Oren Koules, pour leur parler du jeune prodige. Lorsque ceux-ci s'aperçurent que le style de Darren Lynn Bousman convenait parfaitement à l'ambiance de la saga Saw, ils n'hésitèrent pas un instant et l'engagèrent pour la réalisation de Saw II.
Une équipe gagnante
Les principaux membres de l'équipe technique de Saw sont de retour pour Saw II. Le réalisateur et scénariste du premier opus, James Wan, est producteur exécutif de la suite, alors que le comédien et scénariste Leigh Whannell s'attache uniquement à l'écriture de ce nouvel opus. L'actrice Shawnee Smith est quant à elle la seule victime ayant survécu aux épreuves du criminel et est donc de retour pour Saw II, tout comme Tobin Bell, incarnation du tueur au puzzle.
Des acteurs déboussolés
Tout a été fait par la production pour que le tournage de Saw II, qui s'est déroulé sur cinq semaines sur un seul plateau ultra-sécurisé, soit une expérience destabilisante pour les acteurs. Pour être certains que les plans du tueur au puzzle ne seraient pas percés à jour, les acteurs ne se sont vus remettre que le strict minimum du scénario, et plusieurs fins ont été écrites et tournées. L'acteur Donnie Wahlberg explique : "Sur le tournage, l'ambiance était parfois très étrange. Darren ne faisait pas que nous diriger, il nous manipulait aussi parfois, un peu à la manière du Tueur mais avec beaucoup plus de gentillesse et d'humour ! Nous avons tourné des scènes dont nous ignorions si elles feraient partie de l'intrigue finale. Il n'y a pas que les spectateurs qui sont angoissés avec cette histoire !"
Une bande-son adéquate
A l'instar du premier volet, Saw II bénéficie d'une bande originale installant une ambiance oppressante et particulièrement sombre, à base de musique métal, death-metal ou industrielle. Marilyn Manson, Puscifer, The Used, Queens of the stone age et Mudvayne figurent ainsi parmi les artistes ayant apporté leur contribution musicale au long-métrage.
Indices.com
Le scénario de Saw II a été tenu secret le plus longtemps possible. Plusieurs mois avant la sortie du film, la production s'est amusé à lancer un jeu de piste à destination des curieux désireux d'en savoir plus sur l'intrigue. Certains ont ainsi pu trouver quelques pistes en fouillant attentivement le site officiel du film, et notamment les écrans de télévisions disséminés sur une des pages...
"Saw II" affole la censure
A la demande de la Motion Picture Association of America (MPAA, le bureau américain de contrôle et classification des films), les affiches promotionnelles de Saw II ont dû être retirées. En effet, les deux doigts tranchés formant le "II" du titre étaient jugés peu conformes à la charte publicitaire ! Les nouvelles affiches, moins explicites, comportaient la mention "R" (interdit aux moins de 17 ans non-accompagnés) alors que le film n'était même pas encore passé devant la MPAA. Preuve que les producteurs du film savaient déjà à quoi s'attendre auprès de la censure.
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Saw III|Darren Lynn Bousman|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 18 ans|2|américain|2006|113|Anglais||XviD|||XVID|681 Kbps|592x336|MPEG-1 Audio layer 3|157 Kbps|False|48.0 KHz|2|692||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Mark Burg Oren Koules|Leigh Whannell|David A. Armstrong||Metropolitan FilmExport|Saga : Saw |Le Tueur au puzzle a mystérieusement échappé à ceux qui pensaient le tenir.Pendant que la police se démène pour tenter de remettre la main dessus, le génie criminel a décidé de reprendre son jeu terrifiant avec l'aide de sa protégée, Amanda...Le docteur Lynn Denlon et Jeff ne le savent pas encore, mais ils sont les nouveaux pions de la partie qui va commencer... |Tobin Bell (le Tueur au puzzle / John Kramer)@Shawnee Smith (Amanda Young)@Angus Macfadyen (Jeff Reinhart)@Bahar Soomekh (le Docteur Lynn Denlon)@Dina Meyer (Kerry)@J. LaRose (Troy)@Debra McCabe (Danica)@Kim Roberts (Deborah)@Alan Van Sprang (Chris)@Dylan Trowbridge (le médecin)@Barry Flatman (le Juge Halden)@Jane Luk (l'infirmière)@Nicholas Kaegi (le petit garçon)@Mark Poyser (une victime)@Dan Sudek (un policier)@Bill Vibert (un policier)@Mpho Koaho (Tim)@Lyriq Bent (Rigg)@Costas Mandylor (Forensic Hoffman)@Betsy Russell (Jill)@Niamh Wilson (Corbett)@Kelly Jones (Pete)@Tim Burd (Obi)@||Secrets de tournage :
La troisième pièce du puzzle...
Saw 3 est la troisième volet de la saga Saw, dite du "Tueur au puzzle", entamée en 2005 avec Saw puis poursuivie, la même année, avec Saw II.
La même équipe
Darren Lynn Bousman, le réalisateur de Saw 3, était déjà aux commandes du précédent opus. Leigh Whannell officie quant à lui une nouvelle fois au scénario, après avoir déjà oeuvré sur les deux précédents films. Enfin, James Wan, le réalisateur et scénariste du premier Saw, agit en tant que producteur exécutif de ce troisième volet.
Le retour d'un trio majeur
Pour le plus grand plaisir des fans, Saw 3 voit le retour de trois protagonistes principaux de la saga : Tobin Bell reprend le rôle du Tueur au puzzle, Shawnee Smith revient dans le rôle d'Amanda, sa complice et protégée, et Dina Meyer est à nouveau Kerry, l'Inspectrice de police.
Toujours plus de manipulation...
Pour le producteur Mark Burg, Saw 3 va clairement plus loin que les précédents volets, tout en gardant intacts les éléments qui ont fait le succès de la saga : "Saw 3 reprend tous les ingrédients qui ont fait la marque et le succès des deux premiers volets tout en les poussant beaucoup plus loin. Les pièges sont incroyables, la manipulation est partout et je pense que personne ne pourra soupçonner le dénouement qui se trame. (...) Tout est plus dense, plus surprenant, plus déstabilisant. L'équipe maîtrise son concept et peux l'amener à son maximum." Le réalisateur Darren Lynn Bousman poursuit : "L'un de nos plus grands défis était d'offrir quelque chose de neuf aux spectateurs. A partir des éléments qu'ils connaissaient, nous devions constamment les surprendre, tant au niveau des personnages que des rebondissements de l'intrigue. Saw 3 est plus fort en tout."
Des pièges encore plus machiavéliques !
Pour le réalisateur Darren Lynn Bousman, Saw 3 va encore plus loin en ce qui concerne les pièges, qui sont au coeur de la saga : "Le film s'adresse à un public qui ne tomberait plus dans les pièges du premier film. Les spectateurs sont un peu comme les adversaires du Tueur au puzzle, ils sont plus aguerris, ils connaissent ses méthodes. Il faut alors aller plus loin pour les piéger. (...) Les pièges associent la surprise, l'horreur et une ingéniosité qui place toujours la victime face à un cas de conscience extrême. Pour le plaisir de chacun, nous demandons à ceux qui ont vu le film de ne pas en parler et de garder le secret. Ils deviennent ainsi nos complices et peuvent se régaler comme nous en sachant ce que les suivants vont ressentir. Eux savent vraiment par quoi le public qui les suivra va passer !"
Tobin Bell : hanté par le Tueur au puzzle...
Pour Tobin Bell, la construction du personnage du Tueur au puzzle est cette fois passée par un important travail en amont. Il explique : "Je me suis posé beaucoup de questions sur lui. J'ai rempli trois carnets de notes de commentaires au sujet de sa vie, de son enfance, de ce qu'il aimait manger. Chez moi, dans mon dressing, j'ai couvert les placards de petites fiches qui précisent le personnage. Ainsi, je pouvais m'immerger en lui, penser comme lui et adopter son angle d'approche. Ce n'est pas un criminel sanguinaire qui déchiquette des ados à coups de crochet. C'est un esprit complexe, peut-être torturé mais remarquablement structuré. En l'étudiant, vous vous posez énormément de questions, et chaque fois que vous répondez à une, d'autres surgissent et vous obligent à aller encore plus loin."
Une interdiction réduite
Selon le producteur Dan Heffner, il a fallu pas moins de sept recours devant l'organisme américain de classification des films, la MPAA, pour que Saw 3 ne soit pas interdit aux personnes âgées de 17 ans et moins, même accompagnés (NC-17). Le long métrage bénéficie finalement de la classification R, qui permet aux personnes de cette tranche d'âge de voir le film accompagnées d'un adulte.
Une affiche très sanglante !
A l'occasion de la sortie américaine de Saw 3, les équipes marketing de LionsGate ont élaboré une idée sang pour sang originale : alors qu'une campagne de dons du sang a accompagné la sortie du long métrage, une affiche a été imprimée à partir du sang du comédien Tobin Bell, interprète du machiavélique Tueur au puzzle. Une fois obtenus l'accord du comédien et les recommandations de la Santé Publique (port de gants et de masques obligatoire pour les imprimeurs et designers), l'affiche a donc été élaborée à partir d'une mixture mêlant hémoglobine et encre rouge. Imprimée à 1 000 exemplaires, l'affiche obtenue a été vendue aux enchères, dont les profits ont été reversés à la Croix Rouge américaine.
Nouvel hommage à Greg Hoffman
Saw 3, à l'instar de Saw II, est dédié à la mémoire de Gregg Hoffman, producteur d'origine de la saga, décédé brutalement peu avant la sortie du deuxième opus.
Déjà un "Saw 4" en préparation...
Au terme du week-end de la sortie américaine de Saw 3 (meilleur démarrage de la franchise avec 34,3 millions de dollars de recettes), le studio Lionsgate a officialisé la préparation d'un Saw 4 pour une sortie prévue fin 2007... pour Halloween !
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Saw IV|Darren Lynn Bousman|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 16 ans|2|américain|2007|84|Anglais||DX50|||DX50|1 018 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Mark Burg Oren Koules Gregg Hoffman|Patrick Melton Marcus Dunstan|David A. Armstrong||Metropolitan FilmExport|Saga : Saw |Le Tueur au puzzle et sa protégée, Amanda, ont disparu, mais la partie continue. Après le meurtre de l'inspectrice Kerry, deux profileurs chevronnés du FBI, les agents Strahm et Perez, viennent aider le détective Hoffman à réunir les pièces du dernier puzzle macabre laissé par le Tueur pour essayer, enfin, de comprendre. C'est alors que le commandant du SWAT, Rigg, est enlevé... Forcé de participer au jeu mortel, il n'a que 90 minutes pour triompher d'une série de pièges machiavéliques et sauver sa vie.En cherchant Rigg à travers la ville, le détective Hoffman et les deux profileurs vont découvrir des cadavres et des indices qui vont les conduire à l'ex-femme du Tueur, Jill. L'histoire et les véritables intentions du Tueur au puzzle vont peu à peu être dévoilées, ainsi que ses plans sinistres pour ses victimes passées, présentes... et futures. |Tobin Bell (le Tueur au puzzle / John Kramer)@Scott Patterson (Agent Strahm)@Betsy Russell (Jill)@Costas Mandylor (Hoffman)@Lyriq Bent (Rigg)@Justin Louis (Art)@Athena Karkanis (Agent Perez)@Simon Reynolds (Lamanna)@Angus Macfadyen (Jeff)@Shawnee Smith (Amanda Young)@Bahar Soomekh (Lynn)@Dina Meyer (Kerry)@Mike Realba (Fisk)@Marty Adams (Ivan)@Sarain Boylan (Brenda)@Billy Otis (Cecil)@James Van Patten (le Docteur Heffner)@David Boyce (le pathologiste)@Kevin Rushton (Trevor)@Julian Richings (le vagabond)@Kelly Jones (Pete, du SWAT)@Ingrid Hart (Tracy)@Niamh Wilson (Corbett)@Janet Land (Morgan)@Ron Lea (Rex)@Joanne Boland (la photographe de la scène de crime)@Zoe Heath (le technicien labo)@Bill Vibert (le jeune flic)@Eric Gores (Matt)@Devon Bostick (Derek)@Tony Nappo (Gus)@Emmanuelle Vaugier (Addison)@Noam Jenkins (Michael)@Mike Butters (Paul)@J. LaRose (Troy)@Oren Koules (l'homme)@Alison Luther (la petite fille)@Kim Roberts (l'infirmière Deborah)@David Webster (le Docteur Steve)@Sandra Manson (l'infirmière Patti)@||Secrets de tournage :
Et de 4 pour "Saw" !
La saga Saw ne s'arrête plus... Entamée au début de l'année 2005 avec Saw, elle se poursuit depuis, le succès aidant, au rythme d'un volet par an : Saw 2 fin 2005, Saw 3 fin 2006 et Saw 4 fin 2007. Les choses ne traînent donc pas avec cette saga horrifique particulièrement rentable, en témoigne que Saw 4 a été mis en route avant la sortie de Saw 3, donc avant même de connaître l'accueil réservé à ce dernier film. Et la folie Saw n'est sans doute pas prête de s'arrêter, deux nouveaux épisodes étant déjà prévus !
Quelle direction pour "Saw 4" ?
Le Tueur au puzzle étant mort à la fin de Saw 3, l'équipe de Saw 4 se trouvait devant un problème scénaristique de taille. Le réalisateur Darren Lynn Bousman confie : "Notre solution à ce dilemme est ce qui rend le film encore plus passionnant ! La mort du Tueur dans Saw 3 nous a laissés face à un défi créatif de taille et en même temps très excitant. Pour ne pas basculer dans la parodie ni retomber dans un prequel classique, nous devions absolument faire quelque chose de malin et de différent. Saw 4 est l'occasion d'aller encore plus loin avec cette série et d'explorer plus profondément l'histoire du Tueur au puzzle, sa philosophie et ses obsessions. En montrant qui il est et de quoi il est fait, ce film emmène les spectateurs au coeur même de l'horreur..."
Une saga au succès planétaire !
La saga Saw est l'une des franchises du cinéma d'horreur les plus rentables de l'histoire. A ce jour, avant la sortie de Saw 4, les trois premiers films ont rapporté plus de 400 millions de dollars en salles à travers le monde, et plus de 13 millions de DVD ont été vendus. Le studio Lionsgate est aujourd'hui, de fait, le leader de la production de films d'horreur.
On n'échappe pas à Saw...
Malgré la volonté des producteurs, l'acteur Donnie Wahlberg a bien failli réussir à ne pas participer à l'aventure Saw 4. Son emploi du temps étant surchargé, les scénaristes avaient donc supprimé son rôle. Mais l'acteur ayant finalement pu se libérer, les scénaristes ont réécrit leur scénario, pensant de nouveau à inclure le personnage du pauvre Donnie Wahlberg, obligé de replonger dans le cauchemar...
Un réalisateur réaliste
Le réalisateur Darren Lynn Bousman voulait faire de son oeuvre une trilogie, en s'arrêtant à trois volets. Les producteurs voulant absolument continuer la saga, le réalisateur, après avoir toutefois refusé, accepta de revenir derrière la caméra pour Saw 4...
Changement de bourreau
Le couple de scénaristes à l'oeuvre sur les trois premiers volets n'a pas été reconduit. Leigh Whannell, co-créateur de la série, a abandonné son monstre, en laissant la garde à James Wan, l'autre papa de la série.
Du sang pour la bonne cause
La franchise Saw ne se préoccupe pas uniquement de créer des films sanglants et terrifiants, mais aussi de collecter du sang pour sauver des vies. Ainsi, avec la sortie du premier Saw en 2004, Lionsgate et Twisted Pictures ont lancé une campagne à l'image de la franchise pour convaincre les fans de la série de donner leur sang à la Croix-Rouge. Une initiative qui a été reprise chaque année, via une intense campagne marketing, à l'occasion de la sortie de chacun des volets de la saga. Durant les trois premières années de collecte, les spectateurs de la saga Saw ont ainsi versé 16 000 litres de sang, qui auront aidé à sauver 112 500 vies.
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Saw V|David Hackl|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 16 ans|2|américain|2008|88|Anglais||DX50|||DX50|968 Kbps|560x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Mark Burg Oren Koules Gregg Hoffman|Patrick Melton Marcus Dunstan|David A. Armstrong||Metropolitan FilmExport|Saga : Saw |Dans ce nouveau volet de la saga Saw, il semble que Hoffman soit le seul héritier du pouvoir du Tueur au puzzle. Mais lorsque son secret risque d'être découvert, il n'a pas le droit à l'erreur et doit éliminer chaque menace. Les pièges vont se multiplier pour se refermer, inexorablement, en déclenchant autant de frissons que de cas de conscience... |Tobin Bell (le Tueur au puzzle/John Kramer)@Costas Mandylor (Hoffman)@Scott Patterson (l'Agent Strahm)@Betsy Russell (Jill Tuck)@Mark Rolston (Erickson)@Julie Benz (Brit)@Carlo Rota (Charles)@Mike Butters (Paul)@Meagan Good (Luba)@Greg Bryk (Mallick)@Laura Gordon (Ashley)@Joris Jarsky (Seth)@Al Sapienza (le chef de la police)@Mike Realba (le Détective Fisk)@Samantha Lemole (Pamela Jenkins)@Jeff Pustil (Bernie)@||Secrets de tournage :
La saga continue...
Avec la sortie en salles de Saw 5, c'est une saga horrifique culte qui se poursuit. Entamée en 2005 avec Saw, elle s'est ensuite poursuivie à un rythme très soutenu avec Saw 2 (id.), Saw 3 (2006) et Saw 4 (2007). Un sixième volet est d'ores-et-déjà prévu.
La saga "Saw" : un succès planétaire
Les quatre premiers films de la saga Saw ont rapporté plus de 550 millions de dollars en salles dans le monde, et plus de 24 millions de DVD ont été vendus. Le studio Lionsgate est
aujourd'hui, en conséquence, leader de la production de films d'horreur.
Promotion caméra
David Hackl, le réalisateur de Saw 5, connaît bien la série puisqu'il a d'abord été décorateur sur Saw II, puis assistant et réalisateur de la seconde équipe sur les épisodes Saw 3 et Saw 4. Il réalise ici son premier long-métrage.
Encore des pièges et des rebondissements...
David Hackl, le réalisateur de Saw 5, révèle ce que ce nouvel opus va apporter de nouveau aux fans de la saga : "Saw 5 va répondre à beaucoup des questions que se posent les fans. Ce film repose d'abord sur une véritable intrigue, comme le premier opus de la série, et celle-ci réserve bien des surprises et des rebondissements. En outre, les pièges sont à plus grande échelle : ils concernent plus de gens. Les amateurs retrouveront les pièges atroces, les dilemmes tordus et fascinants qui sont la marque du machiavélique Tueur au puzzle, mais portés à un niveau encore supérieur. Suspense psychologique, terreur et pièges démoniaques se combinent pour une aventure qui vous entraîne au-delà de ce que vos nerfs peuvent supporter !"
Un tueur très particulier
Leigh Whannell, co-créateur du concept original de Saw avec James Wan, et scénariste ou co-scénariste de Saw, Saw 2 et Saw 3, évoque la psychologie du Tueur au puzzle, le machiavélique personnage qui sévit dans chaque épisode de la saga et invente sans cesse des pièges toujours aussi terrifiants : "Le cancer dont souffre le Tueur au puzzle l'a beaucoup fait réfléchir sur ce que cela signifie d'être vivant et sur la fragilité de la vie. Ce n'est pas le genre de personne qui se contente de profiter du temps qui lui reste à vivre en allant faire un grand voyage en Europe ! En confrontant ses victimes à la valeur de la vie, il peut examiner les choix moraux qu'elles font devant la menace de la mort. Cette question est ce qui l'intéresse le plus et ce qui lui inspire toujours davantage de nouvelles idées machiavéliques. Aussi sadiques ses jeux puissent-ils être, son intention est avant tout d'aider les gens à reprendre goût à la vie. Avec sa philosophie tordue et sa conception très spéciale de l'altruisme, le Tueur au puzzle est un personnage vraiment à part dans l'univers des films d'horreur !"
Des nouveaux pas si novices
Le casting de Saw 5 accueille de nouveaux venus, dont certains ayant déjà connu l'univers des films d'horreur et de science-fiction comme Mark Rolston (Aliens), Julie Benz (Deux yeux maléfiques) et Meagan Good (Venom).
Sur la même longueur d'onde... de choc !
Anthony A. Ianni, le chef décorateur de Saw 5, a fait appel à l'ingénieur Jason Ehl pour concevoir les pièges du film. Le réalisateur David Hackl explique comment est venue l'idée de ces nouveaux pièges machiavéliques : "Le jour de mon anniversaire, Anthony A. Ianni m'a donné le DVD de référence de Jason Ehl, qui lui sert à trouver l'inspiration pour construire les pièges. Le disque était plein d'accidents de la route, d'avions et de catastrophes industrielles."
Un vrai danger de mort !
Le réalisateur David Hackl avait annoncé, lors du tournage de Saw 5, que la séquence de la cage de verre visible dans le premier teaser du film pouvait potentiellement tuer l'acteur Scott Patterson placé à l'intérieur. Un personnel soignant était donc présent lors du tournage pour éviter un éventuel drame.
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Scarface|Brian De Palma|Action|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|1984|162|Anglais||DX50|||DX50|460 Kbps|384x160|MPEG-1 Audio layer 3|124 Kbps|False|48.0 KHz|2|695||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Martin Bregman|Oliver Stone|John A. Alonzo||||En 1980, Tony "Scarface" Montana bénéficie d'une amnistie du gouvernement cubain pour retourner en Floride. Ambitieux et sans scrupules, il élabore un plan pour éliminer un caïd de la pègre et prendre la place qu'il occupait sur le marché de la drogue. |Al Pacino (Tony Montana, dit Scarface)@Michelle Pfeiffer (Elvira Hancock)@Steven Bauer (Manny Ray)@Robert Loggia (Frank Lopez)@Mary Elizabeth Mastrantonio (Gina Montana)@Miriam Colon (Mrs Montana)@F. Murray Abraham (Omar Suarez)@Paul Shenar (Alejandro Sosa)@Harris Yulin (Mel Bernstein)@Angel Salazar (Chi Chi)@Arnaldo Santana (Ernie)@Pepe Serna (Angel)@Michael P. Moran (Nick)@Al Israel (Hector)@Dennis Holahan (Jerry)@Mark Margolis (Alberto)@Michael Alldredge (Sheffield)@Ted Beniades (Seidelbaum)@Richard Belzer (le MC au Babylon Club)@Paul Espel (Luis)@John Brandon (un agent du service d'immigration)@Tony Perez (un agent du service d'immigration)@Garnett Smith (un agent du service d'immigration)@Loren Almaguer (Dr. Munoz)@Gary Cervantes (un tireur)@Gil Barreto (un immigré cubain)@Brett Ratner (Garçon étendu sur le matelas gonfable dans la piscine)@Gregg Henry (Charles Goodson )@Henry Kingi Sr (un tueur colombien)@Marcia Wolf (une femme au Babylon Club)@||Secrets de tournage :
Remake d'un film de Howard Hawks
Scarface est le remake modernisé du classique homonyme que Howard Hawks réalisa en 1932 avec Paul Muni dans le rôle principal.
D'abord à Chicago
Au départ, l'action de cette nouvelle version de Scarface devait se dérouler, comme l'originale, à Chicago. Mais cette idée fut abandonnée en raison de problèmes budgétaires.
A Miami en 1980
Brian De Palma a transposé l'action du film de Howard Hawks à Miami en 1980. A l'époque, Fidel Castro ouvrait les frontières de Cuba aux émigrants, se débarrassant ainsi de nombreux criminels.
Oliver Stone scénariste
Le script a été écrit par Oliver Stone, alors dépendant à la cocaïne. Il officia également comme scénariste sur Midnight express (1978), Conan le barbare (1982) et L'Année du dragon (1985) avant de connaître le succès comme réalisateur.
Référence à Joe Montana
Le personnage principal est nommé Tony Montana en référence à Joe Montana, le joueur de football américain préféré d'Oliver Stone.
Sidney Lumet pressenti
Sidney Lumet, qui avait déjà dirigé Al Pacino dans Serpico et Un après-midi de chien, était d'abord pressenti pour mettre en scène ce remake de Scarface. Le projet fut finalement attribué à Brian De Palma, à l'époque attaché à la réalisation de Flashdance.
1ere collaboration Pacino / De Palma
Scarface marque la première collaboration d'Al Pacino avec Brian De Palma. Les deux hommes se retrouveront dix ans plus tard pour L'Impasse, film de gangsters où le comédien incarnera cette fois-ci un ancien malfrat porto-ricain.
Pacino / Pfeiffer : première !
Al Pacino et Michelle Pfeiffer se donne pour la première fois la réplique. Les deux acteurs seront à nouveau partenaires dans le drame sentimental Frankie & Johnny, réalisé par Garry Marshall en 1991.
Tourné à Los Angeles
La majorité du film fut tourné à Los Angeles, alors que l'action est censée se dérouler à Miami. En se rendant en Floride, l'équipe de production craignait de se faire agresser par les émigrés cubains en raison du sujet polémique de Scarface. Des rues et bâtiments de la ville californienne furent donc réaménagés pour donner l'illusion d'être à Miami.
Spielberg à la rescousse
Steven Spielberg, alors en visite sur le plateau de Scarface, mit la main à la pâte en participant à la réalisation de la scène finale sur l'assaut par les Colombiens de la vastueuse demeure de Tony Montana.
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Scary Movie|Keenen Ivory Wayans|Comédie||3|américain|2000|84|Anglais||DX50|||DX50|1 013 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|32.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Eric L. Gold Lee R. Mayes Keenen Ivory Wayans Marlon Wayans Shawn Wayans|Shawn Wayans Marlon Wayans Buddy Johnson Phil Beauman Jason Friedberg Aaron Seltzer|Francis Kenny||Bac Films|Saga : Scary Movie |Un soir, Drew Becker recoit un appel anonyme d'un maniaque. Caché dans la maison, ce dernier, masqué, finit par la tuer. La mort de Drew plonge ses camarades de lycée en plein cauchemar, d'autant qu'ils doivent désormais faire face à un tueur en série, caché parmi eux. Flairant le scoop, la journaliste Gail Hailstorn débarque en ville, bien décidée à harceler Cindy Campbell et ses amis à propos de cette histoire... |Anna Faris (Cindy Campbell)@Shawn Wayans (Ray Wilkins)@Marlon Wayans (Shorty Meeks)@Shannon Elizabeth (Buffy Gilmore)@Kurt Fuller (Sheriff Russell)@Carmen Electra (Drew Decker)@Jon Abrahams (Bobby Prinze)@Regina Hall (Brenda Meeks)@Dave Sheridan (Doofy)@Cheri Oteri (Gail Hailstorm)@James Van Der Beek (Dawson Leery )@Keenen Ivory Wayans (Slave)@Lochlyn Munro (Greg)@David Neale (Un policier)@Dan Joffre (Kenny)@Lee R. Mayes (Le capitaine d'Amistad II)@Chris Robson (Le reporter de KOMQ)@Ian Bliss (Un reporter)@Kendall Saunders (Miss Thing)@Peter Hanson (Le prof suicidaire)@Rick Ducommun (Le père de Cindy)@Lloyd Berry (Le SDF)@Bruce Mahler (Un homme dans le cinéma (non crédité))@Glynis Davies (La mère de Buffy)@Mark McConchie (Le père de Drew)@Reg Tupper (Le maître de cérémonie du défilé)@Peter Bryant (Le reporter de TV Black)@Marissa Jaret Winokur (La victime dans le garage)@Dexter Bell (Un copain de Shorty)@Tanja Reichert (Miss Congeniality)@Kelly Coffield (Le professeur)@Nels Lennarson (Un policier)@David L. Lander (Le proviseur)@Chris Wilding (Le camarade de chambre de Shorty)@Karen Kruper (La mère de Drew)@Andrea Nemeth (Heather)@Trevor Roberts (Dookie)@Doreen Ramus (La vieille femme dans le cinéma)@Jim Sheppard (Le jeune homme dans le cinéma)@Ted Cole (Le vieil homme dans le cinéma)@Babe Dolan (Grand-Mère Campbell)@Art Hives (Un professeur (non crédité))@Aubrey Tennant (Underwear Norseman (non crédité))@Babe Dolan (Grand-Mère Campbell)@Jayne Trcka (Mademoiselle Mann)@Jessica Van der Veen (Une femme dans le cinéma)@Frank B. Moore (Le travelo)@Craig Bruhnanski (Une victime de la route)@John Hawkes (III) (Warren (non crédité))@Jennifer Anne Lee (Une journaliste (non créditée))@Ted Gill (Le vendeur de l'épicerie braquée par Shorty)@Matthew Paxman (L'étudiant tué par Gail)@Susan Shears (Une journaliste)@Robin Miller (Un étudiant (non crédité))@Mark Marriott (Le député (non crédité))@Nicola Crosbie (Un reporter)@Mark Hoeppner (L'esclavagiste d'Amistad II)@||Secrets de tournage :
Cheri Oteri (Gail Hailstorm)
Remarquée dans Menteur, menteur (Tom Shadyac, 1997), cette ancienne du "Saturday Night Live" est apparue dans Inspecteur gadget (David Kellogg, 1999) et à Love & Sex (Valerie Breiman, 2000).
Terreur à Deauville
Scary Movie a été présenté en avant-première au Festival de Deauville 2000.
Le gang des frères Wayans
Keenen, Damon, Shwan et Marlon Wayans, les trois frères de la famille font du cinéma. Leur s?ur, Kim, a débuté comme eux dans I'm gonna git you sucka, le premier long métrage de Keenen Ivory Wayans.
Shawn Wayans (Ray)
Co-scénariste de Scary Movie, Shawn Wayans est le frère cadet du réalisateur. Il a principalement joué dans les films écrits ou réalisés par son frère.
Keenen Ivory Wayans, réalisateur et co-scénariste
Acteur, scénariste et réalisateur, Keenen Ivory Wayans a notamment signé les scénarii de Wanted : Recherché mort ou vif (David Hogan, 1997) et de quelques films de parodie tels que I'm gonna git you sucka (inédit en France), qu'il a réalisés lui-même.
En tant que comédien, Keenen Ivory Wayans est apparu dans Star 80 (Bob Fosse, 1983) et dans ses propres films, dont Scary Movie.
Keenen Ivory Wayans évoque les origines du projet
« Cela a commencé lorsque j'ai réalisé que la plupart des films d'horreur et des thrillers d'aujourd'hui étaient en réalité juste des remises au goût du jour des films d'horreur classiques des années 70 avec lesquels j'ai grandi : Halloween, Vendredi 13, La fin de Freddy, L'ultime cauchemar, etc. Même si les visages ont changé, les films sont toujours pleins de ces passages comiques auxquels nous nous attendons, passages qui ne demandent qu'à être parodiés. »
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Scary Movie 2|Keenen Ivory Wayans|Comédie||2|américain|2001|79|Anglais||DIV3|||DIV3|1 085 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Eric L. Gold|Shawn Wayans Marlon Wayans Alison Fouse Greg Grabianski Dave Polsky Michael Anthony Snowden Craig Wayans|Steven Bernstein||Dimension Films|Saga : Scary Movie |Une année s'est écoulée depuis les meurtres désopilants qui se sont produits dans la paisible ville de Cindy Campbell. Et le tueur court toujours.
Un jour, un professeur fou oblige Cindy et sa bande de copains déjantés à aller visiter une maison hantée pour une expérience scientifique. Ces derniers sont séduits par la perspective d'un week-end plein de frissons loin de l'université.
Mais une fois pénétrés dans le manoir de l'enfer, les joyeux drilles découvrent qu'il existe des choses bien plus troublantes que ce qu'ils ont pu voir dans les vieux films d'horreur. Survivront-ils à la peur de leur vie ? |Anna Faris (Cindy Campbell)@Shawn Wayans (Ray Wilkins)@Marlon Wayans (Shorty Meeks)@Regina Hall (Brenda Meeks)@Christopher Masterson (Buddy)@Kathleen Robertson (Jamie Lee Curtisto)@James Woods (le père McFeely)@Andy Richter (le père Harris)@Tim Curry (le professeur Oldman)@Veronica Cartwright (la mère de Megan)@Tori Spelling (Alex)@James DeBello (Tommy)@David Cross (Dwight Hartman)@Chris Elliott (Hanson)@Natasha Lyonne (Megan Voorhees)@Richard Moll (Hugh Kane)@||||||||||||@@
Scary Movie 3|David Zucker|Comédie||2|américain|2003|81|Anglais||XviD|||XVID|1 044 Kbps|576x320|MPEG-1 Audio layer 3|130 Kbps|False|48.0 KHz|2|692||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Robert K. Weiss|Pat Proft Craig Mazin Marlon Wayans Shawn Wayans|Mark Irwin||Dimension Films|Saga : Scary Movie |Pour Cindy, jeune et jolie reporter, le compte à rebours a déjà commencé. Parce qu'elle a visionné la cassette au pouvoir démoniaque, elle sait qu'il ne lui reste plus que sept jours à vivre. Si elle ne veut pas finir comme sa copine Brenda, elle doit absolument découvrir le secret de cette effroyable prophétie.
Mais l'énigme est loin d'être simple et Cindy doit faire face à d'autres mystérieux phénomènes. Pourquoi les extraterrestres ont-ils laissé un étrange message géant dans le champ de Tom ? Pourquoi le Président des Etats-Unis est-il en train de virer barge ?
Face aux épreuves, face aux stupéfiantes découvertes qui l'attendent, Cindy va devoir faire preuve de courage et résister au délire ambiant. |Anna Faris (Cindy Cambell)@Anthony Anderson (Mahalik)@Leslie Nielsen (le Président Harris)@Camryn Manheim (Trooper Champlin)@Simon Rex (George)@Eddie Griffin (Orpheus)@Queen Latifah (L'Oracle)@Regina Hall (Brenda Weeks)@Charlie Sheen (Tom)@Pamela Anderson (Becca)@Ja Rule (l'agent Thompson)@Jenny McCarthy (la deuxième collégienne)@George Carlin (L'Architecte)@Jeremy Piven (Ross Giggins)@The RZA (lui-même)@Redman (lui-même)@Method Man (lui-même)@Macy Gray (elle-même)@Marny Eng (Tabitha)@Timothy Stack (Carson Ward )@Kevin Hart (CJ)@Ajay Naidu (Sayaman)@Denise Richards (Annie)@Simon Cowell (lui-même)@Fat Joe (lui-même)@Edward Moss (Michaël Jackson)@||Secrets de tournage :
Scary movie : troisième !
Scary movie 3 est le troisième volet de la saga parodique Scary movie après Scary movie en 2000 et Scary Movie 2 en 2001.
Une légende derrière la caméra
Pour Scary movie 3, les frères Wayans, qui occupaient à eux trois les fonctions de réalisateur, scénariste et comédien des deux premiers films, ont laissé la place à une légende du cinéma parodique. Avec David Zucker aux commandes, c'est en effet l'un des maîtres du genre qui se plie à la réalisation de ce troisième épisode. Réalisateur et scénariste de films cultes tels que Y a-t-il un pilote dans l'avion ? où Y a-t-il un flic pour sauver la reine ?, David Zucker est l'un des "Z" du trio "ZAZ", passé maître dans l'art de la parodie, que complètent son frère Jerry Zucker et Jim Abrahams.
Scary movie 3 bénéficie également de la présence au générique du scénariste Pat Proft, qui avait notamment travaillé avec David Zucker sur la série des Y a-t-il un flic pour sauver...
Plus que jamais parodique...
A l'instar des deux premiers volets, Scary movie 3 parodie quelques-uns des gros succès cinématographiques du cinéma fantastique des dernières années, tels que Le Cercle, Signes, Matrix reloaded ou Les Autres. Le réalisateur David Zucker explique que "ces films sont une source de parodie d'une richesse infinie... Il suffit d'avoir l'esprit tourné d'une certaine manière pour transformer le pur frisson en rire !"
Des acteurs rôdés au genre
Scary movie 3 voit le retour en tête d'affiche de la jeune Anna Faris, déjà vedette des deux premiers volets. Mais il donne aussi la possibilité à deux comédiens spécialistes de la parodie de retrouver ce genre bien particulier : Charlie Sheen et Leslie Nielsen. Le premier s'était notamment illustré dans Hot Shots !, de Jim Abrahams, alors que le second est le fameux policier gaffeur de la saga des Y a-t-il un flic.... Pour le réalisateur David Zucker, créateur de cette dernière, retrouver l'acteur, "c'est d'abord le plaisir de retrouver un vieil ami. C'était exactement comme si nous étions encore en train de faire le dernier épisode des Y a-t-il un flic...... Je l'ai même trouvé plus drôle que jamais !"
Un couple à la ville comme à l'écran
Dans Scary movie 3, la comédienne Denise Richards incarne l'épouse de Charlie Sheen. Un rôle bien particulier, puisque l'acteur est également son compagnon à la ville. Denise Richards explique qu'elle s'est vraiment amusée à jouer sa femme "dans des circonstances aussi ridicules, absolument aberrantes et dingues !"
Stars du rap au générique
Scary movie 3 parodie de nombreux films fantastiques, mais également d'autres genres de films, parmi lesquels 8 Mile. A cette occasion, la production a convaincu de nombreuses vedettes du rap américain d'apparaître dans le long-métrage. On retrouve ainsi au générique des membres du collectif Wu Tang Clan , dont Method Man, ainsi que les rappeurs Master P ou Ja Rule.
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Scary Movie 4|David Zucker|Comédie||2|américain|2006|75|Anglais||XviD|||XVID|1 133 Kbps|624x336|MPEG-1 Audio layer 3|149 Kbps|False|48.0 KHz|2|695||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Robert K. Weiss Craig Mazin|Craig Mazin Pat Proft Jim Abrahams Shawn Wayans Marlon Wayans Buddy Johnson Phil Beauman Jason Friedberg Aaron Seltzer|Thomas E. Ackerman||Buena Vista International|Saga : Scary Movie |Cindy Campbell est toujours terriblement blonde. Mais bourrée de bonnes intentions. Ça tombe bien, elle vient d'être engagée comme aide à domicile auprès d'une vieille grabataire qui, grâce à ses soins vigilants, risque d'être enlevée à l'affection des siens beaucoup plus vite que prévu.
Pendant que le spectre d'un gamin nu comme une poêle à frire fait de son mieux pour l'épouvanter à renfort de gribouillis sanguinolents, Cindy découvre que le voisin de sa protégée est du genre liant malgré l'irruption constante de deux petits êtres qui se prétendent ses enfants.
Sur ce, des tripodes géants débarquent, deux campeurs sous une tente entonnent un slow de Lionel Richie, des gens ont des problèmes de cervicales, des individus en toge rouge customisée font fuir des villageois, bref c'est la gabegie... |Anna Faris (Cindy Campbell)@Regina Hall (Brenda Meeks)@Leslie Nielsen (Le président Harris)@Shaquille O'Neal (Shaq)@Dr. Phil (lui-même)@Michael Madsen (Oliver)@Bill Pullman (Henry Hale)@Carmen Electra (Holly)@Simon Rex (George)@Craig Bierko (Tom Ryan)@Conchita Campbell (Rachel Ryan)@Debra Wilson (Oprah)@DeRay Davis (Marvin)@Anthony Anderson (Mahalik)@Chingy (lui-même)@Holly Madison (une blonde)@Cloris Leachman (Mme Norris)@Dave Attell (L'homme-couteau)@Lil' Jon (Le chauffeur)@Catherine Barroll (La première Ancienne)@Anna Ferguson (La deuxième ancienne)@Sean Allan (Le deuxième Ancien)@Jana Mitsoula (La première femme qui court)@Tim O'Halloran (Joe tête de cochon)@Don King (lui-même)@Bridget Marquardt (une blonde)@Kendra Wilkinson (une blonde)@David Zucker (voix VO de Zoltar)@James Earl Jones (le narrateur)@Chris Elliott (Ezekiel)@Kevin Hart (C.J)@Beau Mirchoff (Robbie)@Charlie Sheen (Tom)@Molly Shannon (Marylin)@Bryan Callen (Harper)@Alonzo Bodden (Jamison)@Drew Mikuska (Cody)@John Reardon (Jeremiah)@Campbell Lane (Amos)@Edward Moss (Michael Jackson)@Michael McDonald (Tiffany Stone)@Chris Williams (Marcus)@Rorelee Tio (Yoko)@Andre Benjamin (Jack)@Patrice O'Neal (Rasheed)@||Secrets de tournage :
Plein de films en un !
Le principe de la série des Scary Movie est de reprendre des films ayant connu un grand succès au box-office et de les parodier afin d'arriver à une vision déformée et férocement hillarante de ces films.
Dans Scary Movie 4, on retrouvera des allusions, plus ou moins subtiles, à La Guerre des mondes, Saw , The Grudge, Le Village, King Kong ou encore Million dollar baby.
Pas de super-héros
Dans Scary Movie 4, les spectateurs ne trouveront pas de parodies concernant les films de super-héros, pourtant de plus en plus nombreux au cinéma ( X-Men 2, Spider-Man 2, Batman Begins...). En effet, David Zucker les réserve pour son prochain film, Superhero!.
Abonnés aux parodies
Anna Faris rempile pour la quatrième fois dans le rôle de Cindy Campbell, l'adorable idiote. A ses côtés, sa partenaire Regina Hall alias Brenda Meeks, qui ne se décide toujours pas à mourir ...
On retrouve également l'habitué des parodies Leslie Nielsen, le policier gaffeur de la saga des Y a t-il ... ? qui figurait déjà au casting de Scary movie 3. Simon Rex et Anthony Anderson reprennent également les rôles qu'ils tenaient dans le troisième opus.
Carmen Electra, le retour !
Après avoir été la toute première victime de la saga Scary movie, Carmen Electra revient dans ce quatrième opus, mais dans un rôle sans lien avec celui qu'elle incarnait 6 ans auparavant.
Un basketteur pour Scary Movie 4
Le célèbre sportif Shaquille O'Neal quitte les terrains de basket pour rejoindre le casting de Scary Movie 4. Il n'en est cependant pas à son premier essai cinématographique, puisqu'il est déjà apparu au générique des comédies Kazaam ou Good Burger.
Y a t-il un réalisateur pour Scary Movie 4 ?
Alors que les deux premiers Scary movie avaient été réalisés par les frères Wayans, David Zucker, qui avait déjà tourné Scary movie 3, prend les manettes de ce quatrième volet. Le réalisateur maitrise l'art de la parodie, puisqu'il est le Z des "ZAZ" (avec Jim Abrahams et Jerry Zucker), trio à qui l'on doit la série des irrévérentieux Y a t-il ... ?
Dans la peau de...
Le grand principe de la saga Scary Movie étant de parodier des films ayant marqué le box-office, mais aussi de caricaturer les acteurs comptant aux castings de ces-derniers. Scary Movie 4 en offre un bel échantillon, ainsi on retrouvera de nombreux clins d'oeil : le personnage de Mahalik à Heath Ledger, celui de Tom Ryan pour Tom Cruise ou encore celui de Holly imitant Bryce Dallas Howard.
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Scooby-Doo|Raja Gosnell|Comédie||2|américain|2002|86|Anglais||DX50|||DX50|982 Kbps|576x320|MPEG-1 Audio layer 3|32.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|695||||23.976|02/08/2009 00:00:00|Charles Roven Richard Suckle|James Gunn|David Eggby||Warner Bros.||Deux ans après s'être résolus à fermer la Mystère & Cie, le super-chien Scooby-Doo et ses amis Fred, Daphné, Sammy et Véra se retrouvent sur Spooky Island. Les cinq limiers au flair inimitable ont été appelés sur place après une cascade d'incidents paranormaux dans l'immense parc d'attractions de Spring Break.
L'excentrique Emile Mondavarious, le maître de l'île, craint que le site ne soit réellement hanté, et compte sur la joyeuse bande pour résoudre au plus vite ces troublantes énigmes et mettre un terme à la fuite de sa richissime clientèle.
Oubliant leurs petits désaccords, les cinq acceptent avec enthousiasme cette périlleuse mission. Faux esprits, monstres bidons, effets spéciaux... Scooby-Doo et ses copains croyaient avoir tout vu. Mais à Spooky Island, ils ne sont pas au bout de leurs surprises. |Matthew Lillard (Sammy, Norville Rogers)@Freddie Prinze Jr. (Fred Jones )@Sarah Michelle Gellar (Daphné Blake)@Linda Cardellini (Véra Dinkley)@Rowan Atkinson (Mondavarious )@Isla Fisher (Mary Jane)@Steven Grives (N'Goo Tuana)@Miguel A. Núñez Jr. (Voodoo maestro)@Pamela Anderson (Elle-même)@Sam Greco (Zarcos)@Charles Cousins (l'ami de Velma)@Kristian Schmid (Brad)@Nicholas Hope (Le viel homme)@Neil Fanning (voix VO de Scooby-Doo)@Scott Innes (voix VO de Scrappy-Doo)@J.P. Manoux (voix VO de Scrappy Rex)@||Secrets de tournage :
Scooby-doo : un héros virtuel
Le véritable héros du film Scooby-Doo est évidemment le chien du même nom. La création de ce compagnon à quatre pattes, à partir de procédés infographiques, a constitué un véritable défi pour l'équipe d'effets spéciaux. "Scooby devait pouvoir marcher, parler, interagir avec ses partenaires humains, mais rester un vrai chien et afficher toutes les qualités que nous associons au héros de la série : charme, humour, etc...", explique le réalisateur Raja Gosnell. Autant dire qu'animer virtuellement le chien Scooby-doo a été une mission particulièrement difficile à réaliser.
Un look très particulier
Scooby-Doo se devait de posséder un look original et divertissant pour faire écho à celui de la série animée d'origine. "Nous visions un style haut en couleur, très dynamique, et je pense que nous avons atteint cet objectif", se félicite le producteur Charles Roven. Le chef décorateur Bill Boes précise avoir voulu intégrer "de grandes taches de couleurs vives qui rappellent que la série vit le jour durant la vague psychédélique de la fin des sixties. Chaque salle du château, chaque porte est d'une couleur différente. On a été à fond dans ce délire, mais toujours dans les limites du paysage visuel original de Scooby-doo."
Un rôle qui lui va comme un gant...
L'un des principaux personnages de Scooby-Doo est sans conteste celui de Sammy, le copain peureux du héros à quatre pattes. Matthew Lillard, qui incarne Sammy sur grand écran, se félicite d'avoir décroché le rôle. "Mes amis me taquinaient depuis des années sur ma profonde ressemblance avec Sammy. Le film tombait à pic", déclare-t-il. "(...) j'ai vraiment pris plaisir à donner vie à Sammy, à retrouver sa démarche chaloupée, son port, sa voix, à faire miennes toutes ses caractéristiques physiques. (...) Scooby-doo est pour moi l'aboutissement d'un rêve."
Un couple à la ville et à l'écran
Les comédiens Freddie Prinze Jr. et Sarah Michelle Gellar, deux des principales vedettes de Scooby-Doo, forment un vrai couple en dehors des plateaux. Ce n'est pas la première fois qu'ils travaillent sur un même film. Ils ont déjà collaboré sur Souviens-toi... l'été dernier, et à un degré moindre sur Elle est trop bien, Sarah Michelle Gellar n'y faisant qu'une apparition clin d'oeil.
Un acteur fan de la série d'origine
Freddie Prinze Jr., qui incarne le personnage de Freddy dans Scooby-Doo, est un fan absolu de la série animée d'origine. "Je n'aurais pas voulu participer à un film inférieur à cette série dont j'ai enregistré chaque épisode", déclare-t-il. "Mais le script m'a emballé et fait rire aux éclats. Tous mes scrupules se sont envolés à sa lecture, et j'ai décidé de faire le film."
Un réalisateur adéquat
Pour assurer la réalisation de Scooby-Doo, la production du film a fait appel à Raja Gosnell, connu pour avoir mis en scène des comédies à succès comme Big Mamma ou College attitude, mais aussi pour son riche passé de monteur (sur Maman, j'ai raté l'avion notamment). "Raja connaît parfaitement la mécanique du rire, tant comme réalisateur que comme monteur", explique le producteur Charles Roven. "Il sait tirer le meilleur de personnages généreux et imparfaits et les rendre attachants aux yeux du public. Enfin, il a mis au service du film son remarquable sens visuel."
Le principal interéssé se montre quant à lui très fier d'avoir eu la charge d'une telle responsabilité. "Ma famille et moi sommes des fans inconditionnels de Scooby-doo, et j'ai été ravi de rendre hommage à la série tout en transcendant ses limites", s'enthousiasme-t-il.
La genèse du long métrage
C'est en 1994 que les producteurs Charles Roven et Richard Suckle commencent à développer l'adaptation cinématographique du dessin animé Scooby-doo. "A l'époque, nous venions tout juste de signer un accord de production avec Turner Pictures, lesquels avaient racheté les droits des personnages Hanna-Barbera", explique Richard Suckle. Charles Roven, de son côté, estime "qu'il était temps de profiter des récentes avancées en matière d'effets visuels pour créer un Scooby-doo plus vrai que nature. (...) Nous voulions à la fois combler les fans, intégrer les conventions de la série - des séquences d'action excitantes, des scènes à faire peur, des invités célèbres, mais aussi ajouter une certaine profondeur aux personnages et à leurs relations."
Pourquoi un tel phénomène ?
Pourquoi la série animée Scooby-doo remporte-t-elle un succès aussi large dans le monde ? Pour David Kleeman, directeur exécutif de l'American Center of Children and Media de Chicago, elle "réunit quantité d'ingrédients dont raffolent les enfants : humour, mystère, aventures. Elle réussit en outre à être palpitante sans recourir à la violence."
Charles Roven, le producteur du long métrage Scooby-Doo déclare quant à lui que "la série tourne autour de quatre adolescents qui résolvent des mystères par leurs propres moyens, sans faire appel à leurs parents. Les seuls adultes qu'on y aperçoit sont les adversaires de cette petite équipe, qui sont régulièrement déconfits. Mieux encore, toute l'histoire est axée sur Scooby-doo, un chien qui parle comme vous et moi." Et de s'exclamer : "Qui n'aimerait pas faire partie de la Mystery & Cie ?"
L'adaptation d'un dessin animé culte
Scooby-Doo est l'adaptation pour le grand écran d'une série animée culte dessinée par Iwao Takamoto. Lancée en 1969 par les studios Hanna-Barbera sur la chaîne CBS, ce programme se présente comme le premier dessin animé de l'histoire américaine à combiner à la fois aventure et comédie. Le succès est immédiat à travers le monde : 310 épisodes mettant en scène le chien froussard Scooby-doo et ses quatre camarades sont diffusés. Aujourd'hui encore, la série animée rassemble près de deux millions de téléspectateurs par semaine sur le réseau câblé Cartoon Network.
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Scooby-Doo 2: Monsters Unleashed|Raja Gosnell|Comédie||2|américain|2004|90|Anglais||XVID|||XVID|939 Kbps|528x288|MPEG-1 Audio layer 3|123 Kbps|False|44.1 KHz|2|697||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Charles Roven Richard Suckle|James Gunn|Oliver Wood||Warner Bros. France||Coolsville n'est plus cool du tout... Un mystérieux scélérat masqué prend un malin plaisir à terroriser ses habitants. Il prend l'apparence de monstres et de fantômes que Scooby-Doo et sa bande ont déjà mis sous les verrous. Sous la pression de la presse et de la population locale, le célèbre chien et ses amis se lancent dans une enquête pour découvrir qui se cache derrière ces étranges apparitions. |Freddie Prinze Jr. (Fred Jones)@Sarah Michelle Gellar (Daphné Blake )@Matthew Lillard (Sammy, Norville Rogers )@Linda Cardellini (Véra Dinkley )@Pat O'Brien II (lui-même)@Seth Green (Patrick)@Peter Boyle (Jeremiah Wickles)@Tim Blake Nelson (Jacobo)@Alicia Silverstone (Heather Jasper-Howe)@Neil Fanning (voix VO de Scooby-Doo)@Ruben Studdard (lui-même)@Alexz Johnson (Une chasseuse d'autographe)@||Secrets de tournage :
La suite d'un gros succès
Scooby-Doo 2 n'est autre que la suite de Scooby-Doo, réalisé par le même cinéaste, Raja Gosnell. L'idée de mettre en scène un deuxième épisode de cette adaptation du célèbre dessin animé paraissait être une évidence au vu des recettes engendrées par le premier volet aux Etats-Unis (153,3 millions de dollars).
Un couple à la ville et à l'écran
Les comédiens Freddie Prinze Jr. et Sarah Michelle Gellar forment un vrai couple en dehors des plateaux. Ce n'est pas la première fois qu'ils travaillent sur un même film. Ils ont déjà collaboré sur Souviens-toi... l'été dernier, Scooby-Doo et à un degré moindre sur Elle est trop bien, Sarah Michelle Gellar n'y faisant qu'une apparition clin d'oeil.
Seth Green à l'aise
Seth Green a rapidement trouvé sa place dans la bande, puisqu'il a joué durant deux saisons dans la série Buffy contre les vampires aux côtés de Sarah Michelle Gellar et a partagé avec Freddie Prinze Jr. l'affiche de Par amour pour Gillian.
Dates et lieux de tournage
Scooby-Doo 2 fut tourné à Vancouver du 14 avril au 28 juillet 2003. Une bonne partie de ces 73 jours fut consacrée à des scènes de poursuite et d'action. Le chef cascadeur J.J. Makaro utilisa à plusieurs reprises des harnais fabriqués par l'équipe des effets spéciaux, permettant aux acteurs de "voler" dans toutes les directions, avec un minimum d'inconfort et un maximum de sécurité.
Les décors
Coolsville jouant un rôle central dans le film, le chef décorateur Bill Boes créa avec son équipe une soixantaine de décors. Les principaux intérieurs furent édifiés sur trois plateaux de Vancouver. La métropole et ses environs fournirent également les extérieurs, relookés pour les besoins de l'action.
Boes et son équipe habillèrent ainsi astucieusement la Galerie d'Art de Vancouver en Musée du Crime pour la séquence d'ouverture. Le parc des loisirs du vieux Wickles et son ancienne mine furent par ailleurs créés à Britannia Beach le long de l'autoroute côtière.
Un look affiné pour Scooby-Doo
L'utilisation de nouveaux programmes informatiques permit d'affiner le look de Scooby-Doo par rapport au premier film. De nombreuses améliorations subtiles ont ainsi été apportées à son pelage, à l'expression de ses yeux et à son animation.
Durant les prises de vue ont été utilisés deux mannequins tridimensionnels, grandeur nature, qui serviraient ultérieurement de repères volumétriques pour éclairer la réplique infographique du chien. Un ridgeback fut également amené sur le plateau avant chaque plan de Scooby-Doo pour permettre aux équipes techniques d'étudier les jeux de lumière sur son pelage.
Les techniciens des effets visuels utilisèrent enfin une caméra spéciale captant avec précision les moindres reflets de couleurs sur Scooby-Doo, de façon à renforcer l'illusion de sa présence dans le champ.
L'influence de Chaplin
Matthew Lillard avoue avoir visionné avant le début du tournage quantité de films de Charles Chaplin pour étudier sa gestuelle. Cette préparation au rôle de Sammy l'a aidé à trouver le tempo des gags physiques.
Transformé en George W. Bush
Un gag qui n'a pas été retenu au final devait figurer dans le film. Il s'agissait de voir Scooby-Doo se transformer en sa version animée, puis en George W. Bush, au moment où il ingurgite une potion spéciale. Mais les studios Warner Bros. préfèrent opter pour la solution consistant à métamorphoser provisoirement le célèbre chien en Diable de Tasmanie, version Looney Tunes.
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Scream|Wes Craven|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 16 ans|3|américain|1997|106|Anglais||DivX|||DIVX|742 Kbps|720x336|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|666||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Cathy Konrad Cary Woods|Kevin Williamson|Mark Irwin||Les Films Number One|Saga : Scream |Casey Becker, une belle adolescente, est seule dans la maison familiale. Elle s'apprête à regarder un film d'horreur, mais le téléphone sonne. Au bout du fil, un serial killer la malmène, et la force à jouer à un jeu terrible : si elle répond mal à ses questions portant sur les films d'horreur, celui-ci tuera son copain...Sidney Prescott sait qu'elle est l'une des victimes potentielles du tueur de Woodsboro. Celle-ci ne sait plus à qui faire confiance. Entre Billy, son petit ami, sa meilleure amie Tatum et son frère Dewey, ses copains de classe Stuart et Randy, la journaliste arriviste Gale Weathers et son caméraman Kenny qui traînent tout le temps dans les parages et son père toujours absent, qui se cache derrière le masque du tueur ? |Neve Campbell (Sidney Prescott)@David Arquette (Dwight "Dewey" Riley)@Courteney Cox (Gale Weathers)@Rose McGowan (Tatum Riley)@Skeet Ulrich (Billly Loomis)@Drew Barrymore (Casey Becker)@Matthew Lillard (Stuart Macher)@Liev Schreiber (Cotton Weary)@W. Earl Brown (Kenny)@Jamie Kennedy (Randy Meeks)@Wes Craven (Fred)@Linda Blair (Une journaliste)@Henry Winkler (Le principal Himbry)@Joseph Whipp (Shériff Burke)@Kevin Patrick Walls (Steven Orth)@David Booth (Mr Becker)@Carla Hatley (Mrs Becker)@Lawrence Hecht (Neil Prescott)@Frances Lee McCain (Mrs. Riley)@C.W. Morgan (Hank Loomis)@||Secrets de tournage :
Halloween
Dans ce film, les références au film Halloween sont nombreuses.
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//do not modify below
if (window.xtparam!=null){window.xtparam+=xt_multc;}
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Les contributeursCe film a reçu 1 contribution, pour les secrets de tournage, de: Miamsolo
Les contributions faites sur cette fiche sont mises à disposition sous un contrat Creative Commons.
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Scream 2|Wes Craven|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|1998|114|Anglais||XviD|||XVID|676 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|32.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Cathy Konrad Marianne Maddalena|Kevin Williamson|Peter Deming|||Saga : Scream |Phil Stevens et sa copine Maureen Evans sortent ensemble voir en avant-première le film "Stab", inspirée de la tuerie de la ville de Woodsboro l'année précédente. Le public porte d'ailleurs en grande partie le costume du tueur. Mais parmi les fans déchaînés se cachent un nouvel assassin, qui poignarde devant toute l'audience la pauvre Maureen...Sidney Prescott, une des réelles survivantes du premier massacre, s'est inscrit à la fac de Windsor où elle apprend l'art dramatique, avec son ami Randy. Mais avec ce nouveau fait divers, la jeune femme prend peur et ne peut à nouveau plus faire confiance en personne. Surtout qu'un meurtre intervient dans l'enceinte même du campus : la jeune Casey Cooper a été défenestré après avoir subi deux coups de couteau. Pour Sidney, ça ne fait aucun doute : le cauchemar recommence. Mais qui peut donc s'acharner à vouloir sa mort ? Et pourquoi ? |Neve Campbell (Sidney Prescott)@David Arquette (Dwight "Dewey" Riley)@Courteney Cox (Gale Weathers)@Adam Shankman (le danseur fantôme)@Elise Neal (Hallie McDaniel)@Jamie Kennedy (Randy Meeks)@Liev Schreiber (Cotton Weary)@Sarah Michelle Gellar (Casey Cooper, "Cici")@Jada Pinkett (Maureen Evans)@Timothy Olyphant (Mickey)@Duane Martin (Joel Jones)@Laurie Metcalf (Debbie Salt)@Omar Epps (Phil Stevens)@Heather Graham (Casey Becker dans "Stab")@Lewis Arquette (Le commissaire)@Rebecca Gayheart (Soeur Loïs)@Portia de Rossi (Soeur Murphy)@Marisol Nichols (Dawnie)@Kevin Williamson (Le présentateur du show télé)@Joshua Jackson (Un élève)@Tori Spelling (Elle-même / Sidney Prescott dans "Stab")@Luke Wilson (Billy Loomis dans "Stab")@Selma Blair (L'ami de Cici au téléphone)@Wes Craven (Un homme à l'hopital)@Jerry O'Connell@David Warner@Corey Parker@Jerry O'Connell (Derek Feldman)@Matthew Lillard (Un garçon à la fête (non crédité))@Rose McGowan (Une fille dans le cinéma (non créditée))@Kevin Williamson (Le journaliste qui interview Cotton (non crédité))@||Secrets de tournage :
Un tournage sous haute surveillance
Le casting lui-même n'a pas été mis au courant de la fin avant de s'engager pour le film. Les acteurs ont reçu les dix pages finales pendant la dernière semaine de tournage, pages qui avaient été sécurisés contre les photocopies. Les acteurs sont de plus engagés par contrat à ne absolument pas dévoiler l'identité du tueur.
Scream 2 dans la foulée du premier
Suite à l'énorme succès du premier opus, Scream 2 a été lancé l'année suivante, et fut l'un des tournages (post-production incluse) les plus courts de l'année 1997 : six mois seulement.
Des acteurs de séries télé
Wes Craven avoue préférer tourner avec des acteurs qui ont déjà connu une expérience dans une série télévisée, car selon lui, "Ils savent jouer dans l'urgence et bien". Sur le tournage de Scream 2, ils étaient nombreux : Neve Campbell avait joué dans La Vie à Cinq, Jerry O'Connell dans Sliders, Sarah Michelle Gellar dans Buffy contre les Vampires, Courteney Cox dans Friends, et Jada Pinkett Smith dans Le Prince de Bel-Air.
Un script remanié
Peu de temps avant que le tournage ne débute, le script de Kevin Williamson a été diffusé sur le réseau Internet. La colère des fans du film Scream était grande, car sur ce script original, le tueur n'était pas le même et le personnage de Neve Campbell, Sidney Prescott, aurait du mourir. Certaines scènes clés du film, et notamment la fin, ont donc du être ré-écrites au dernier moment.
Deux compositeurs pour Scream 2
Le compositeur Danny Elfman fut dans un premier temps contacté pour faire la musique de Scream 2. Suite à une incompatibilité avec son emploi du temps, c'est le compositeur originel Marco Beltrami qui a signé le score du film. Néanmoins, Danny Elfman a tenu à composer la musique de la séquence théâtrale, où Neve Campbell interprète Cassandre.
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Scream 3|Wes Craven|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|2000|116|Anglais||DIV3|||DIV3|683 Kbps|640x480|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|680||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Cathy Konrad Marianne Maddalena Kevin Williamson|Ehren Kruger|||Bac Films|Saga : Scream |Cotton Weary, l'un des survivants de la tuerie de la fac de Windsor, rentre tranquillement chez lui après avoir terminé le tournage de l'émission quotidienne qu'il anime. Le téléphone sonne. Au bout du fil, une fan... qui s'avère être un dangereux tueur, prêt à tout pour retrouver la trace de Sydney Prescott.La jeune femme reste terrée dans une maison surprotégée, afin d'effacer les souvenirs traumatisants dont elle a été précédemment l'héroïne malheureuse lors des massacres perpétrés à Woodsboroo et à Windsor. Le sujet semble quant à lui à la mode, puisque John Milton a décidé de produire un troisième film , "Stab 3", relatant les agissements du mystérieux tueur masqué.Mais la réalité rattrappe à nouveau la fiction lorsque l'une des actrices principales est sauvagement assassiné sur le plateau. L'inspecteur Kincaid décide de faire appel aux survivants des premiers évènements, l'ex policier Dewey Riley, devenu consultant sur "Stab 3", la journaliste Gale Weathers et Sydney. Mais bientôt la vague de meurtres continue. Qui s'acharne à vouloir détruire Sydney ? La clé du mystère ne remonte-t-elle pas aux origines de toute cette histoire ? |Neve Campbell (Sidney Prescott)@David Arquette (Dwight Riley)@Courteney Cox (Gale Weathers)@Lance Henriksen (John Milton)@Patrick Dempsey (Mark Kincaid)@Parker Posey (Jennifer Jolie)@Scott Foley (Roman Bridger)@Jenny McCarthy (Sarah Darling)@Carrie Fisher (Bianca)@Liev Schreiber (Cotton Weary)@Jamie Kennedy (Randy Meeks)@Jason Mewes (Jay)@Kevin Smith (Silent Bob)@Wes Craven (L'homme à la caméra vidéo pendant la visite du studio)@Roger Corman (Un executif de studio (non crédité))@Heather Matarazzo (Martha Meeks)@Josh Pais (Jason Wallace)@Emily Mortimer (Angelina Tyler)@Peter Deming (Le mangeur de pop-corn dans les studios (non crédité))@Patrick Warburton (Steven Stone)@Matt Keeslar (Tom Prinze)@Matt Keeslar (Tom Prinze)@Deon Richmond (Tyson Fox)@Richmond Arquette (Un étudiant)@Kelly Rutherford (Christine Hamilton)@||||||||||||@@
Tadpole|Gary Winick|Comédie||3|américain|2002|76|Anglais||XviD|||XVID|1 113 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|154 Kbps|False|44.1 KHz|2|699||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Gary Winick Alexis Alexanian Dolly Hall|Heather McGowan Niels Mueller|Hubert Taczanowski||Miramax Films||Oscar Grubman, quinze ans, est cultivé, sensible et plein d'humanité. Il est incollable sur les classiques, parle couramment le français et voue un véritable culte à Voltaire. Et il sait tout ce qu'il y a à savoir d'une femme rien qu'en regardant ses mains.
De retour de pension au domicile new-yorkais de ses parents, Oscar n'a qu'un sujet en tête : les femmes de quarante ans... Quand une splendide quadragénaire, amie de la famille, découvre sa nouvelle passion, les ennuis commencent et ne vont pas s'arrêter en si bon chemin... Car, plus près de lui encore, une autre femme semble irrésistiblement attirer Oscar... |Sigourney Weaver (Eve Grubman)@Aaron Stanford (Oscar Grubman)@Bebe Neuwirth (Diane)@John Ritter (Stanley Grubman)@Robert Iler (Charlie)@Peter Appel (Jimmy)@Adam LeFevre (Phil)@Alicia Van Couvering (Daphne Tisch)@Kate Mara (Miranda Spear)@Ron Rifkin (Professeur Tisch)@Paul Butler (Professeur Sherman)@Hope Chernov (Samantha)@Marcia Debonis (Abigail)@Debbon Ayer (Jean)@||Secrets de tournage :
Comment Aaron Stanford est devenu Oscar
L'acteur Aaron Stanford passait l'une de ses premières auditions en vue de tenir le rôle masculin principal de Séduction en mode mineur. Ce qu'il ne savait pas, c'est que Sigourney Weaver avait un droit de regard sur le choix du comédien : "J'ai pensé que c'était fini pour moi. Sigourney avait contractuellement le droit de choisir son partenaire. Mais à l'audition, je me suis détendu, j'y suis allé, et je me suis amusé... J'ai été très honoré et reconnaissant d'être choisi".
Sigourney Weaver et le numérique
L'actrice Sigourney Weaver a tourné pour la première fois de sa carrière devant une caméra numérique : "Je voulais faire ce film pour voir comment c'était de tourner en numérique. C'est évidemment un support d'avenir, et j'ai trouvé qu'il y avait une liberté et une fluidité formidables. J'aime travailler vite (...). J'étais plus inquiète au sujet de la lumière : Eve doit rester séduisante pour qu'Oscar tombe amoureux d'elle, ou soit obsédée par elle. Il y a plusieurs scènes où l'un des personnages est peu ou pas éclairé. Il y avait aussi plusieurs scènes à plusieurs caméras. Mais finalement, j'ai été satisfaite du résultat, même si la qualité de l'image, à terme, doit être amenée à s'améliorer !".
Le choix du numérique
Le réalisateur Gary Winick a choisi le support numérique pour des raisons à la fois esthétiques et pratiques. Il explique sa démarche : "La vidéo numérique est plus maniable. Elle nous a permis de tourner facilement dans des endroits complexes, comme la gare de Grand Central. De plus, pas besoin d'autorisation pour tourner à New York. Avec ces petites caméras, si quelqu'un commence à poser des questions, on peut toujours dire que c'est un "home movie" !".
5 millions de dollars pour 14 jours
Séduction en mode mineur a été tourné en à peine quatorze jours, sur support vidéo, pour un budget minuscule. Il a néanmoins représenté la plus grosse vente du festival de Sundance 2002 : le studio Miramax se l'est en effet offert pour la somme de cinq millions de dollars.
Récompensé à Sundance
Le 21ème festival du cinéma indépendant de Sundance, qui s'est déroulé du 10 au 19 janvier 2002, a honoré le film Séduction en mode mineur en octroyant au réalisateur débutant Gary Winick le Prix de la mise en scène, section fiction.
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Selon Charlie|Nicole Garcia|Drame||2|français|2006|110|Français||XVID|||XVID|739 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|132 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Alain Attal|Nicole Garcia Jacques Fieschi Frédéric Bélier-Garcia|Stéphane Fontaine||Mars Distribution||Une ville au bord de l'Atlantique, hors saison. Trois jours, sept personnages, sept vies en mouvement, en quête d'elles-mêmes, qui se croisent, se ratent, se frôlent, se percutent et qui en se quittant, ne seront plus jamais les mêmes. |Jean-Pierre Bacri (Jean-Louis)@Vincent Lindon (Serge)@Benoît Magimel (Pierre)@Benoît Poelvoorde (Joss)@Patrick Pineau (Mathieu)@Arnaud Valois (Adrien)@Ferdinand Martin (Charlie)@Minna Haapkyla (Nora)@Sophie Cattani (Séverine)@Philippe Lefebvre (Pierre-Yves)@Philippe Magnan (Ricordi)@Samir Guesmi (Mo)@Jérôme Robart (Ballhaus)@Valérie Benguigui (la mère de Charlie)@Grégoire Leprince-Ringuet (Thierry)@Jean-Louis Foulquier (le gérant du bar)@Jean-Pierre Lazzerini (le patron de Joss)@Marc Betton (le commanditaire du braquage)@Louise Vincent (la vieille dame)@Jean-Pierre Bagot (le proviseur)@Jean-Claude Frissung (le père de Séverine)@||Secrets de tournage :
Présenté au Festival de Cannes 2006
Selon Charlie marque le retour sur la Croisette de la cinéaste-comédienne Nicole Garcia, qui était déjà venue présenter en compétition ses réalisations 15 août en 1986 et L'Adversaire en 2002 et s'était vue gratifier du titre de Jurée en 2000.
Genèse du projet
Nicole Garcia explique la genèse du projet : "Je commence toujours un film sur le rêve personnel d'une scène, d'un éclat de situation, qui me semble riche d'un mystère, d'une ambiguïté, d'une histoire que l'on peut aller chercher en amont ou en aval de cette scène. Je livre ce rêve en confiance à Jacques Fieschi et Frédéric Bélier-Garcia. J'accueille les leurs, on parle. Tout commence là."
Pour Selon Charlie, se sont d'abord imposés à Nicole Garcia deux personnages, liés par regard dans
une cour de lycée : Pierre et Matthieu. Deux hommes qui se retrouvent de part et d'autre
d'une vie, d'une ambition qu'ils avaient rêvée ensemble, et qui s'étaient perdus... "Je me
suis passionnée pour l'énigme de leur relation, ajoute-t-elle. Mais quand j'ai commencé à entrevoir en quoi elle était productive de fiction et d'affects, je me suis rendue compte que ce "mystère" me ramenait trop du côté de mes films précédents, en me mettant dans ces thèmes du secret et de la culpabilité, que j'avais déjà creusés. J'ai préféré faire de ce duo initial une des figures de l'histoire et aller chercher ailleurs le déploiement du sujet
sensible que j'entrevoyais... comme si la mosaïque était la meilleure technique pour
peindre le motif que je voulais, encore de manière diffuse, traiter. Comment les hommes
peuvent se tromper, emprunter une histoire, un rêve, un fantasme qui n'est pas le leur, et
comment ils peuvent, dans cet égarement, remonter à eux-mêmes. Raconter ça dans des
éclats de vie, des fragments biographiques, qui ensemble racontent le même effort."
Un nouveau film sur le masculin
Avec Selon Charlie, Nicole Garcia explore à nouveau le thème du masculin, douze ans après avoir dirigé le trio Gérard Lanvin / Bernard Giraudeau / Jean-Marc Barr dans Le Fils préféré. Son fidèle scénariste Jacques Fieschi confie : J'ai écrit ce film
avec le défi de réussir à capter cette complexité masculine, dans ce qu'elle a de
moins classiquement admis par le spectateur. Aller là où le cinéma traditionnel ne va pas. Une plongée dans les remous contradictoires et les ambivalences des hommes."
Charlie, personnage central du film
L'enfance constitue le fil rouge de Selon Charlie. Nicole Garcia avait déjà filmé des enfants dans Un week-end sur deux, mais satellisés au personnage principal. "Charlie est un enfant de onze ans, sans arme, otage de la sexualité de son père, confie la réalisatrice-comédienne. Il va fracasser le silence instauré par son père, sortir de l'aliénation de ce rapport quasi incestueux. Il est à la fois un des personnages de l'histoire, et l'épicentre de la fable. Son regard balaye tous les autres personnages comme s'il se chargeait de leur impuissance, de l'aveuglement dans lequel ils se débattent. Son acte est terrible et pur."
Raccourci de 20 minutes
Pour les besoins de sa sortie en salles, Selon Charlie s'est vu raccourci d'une vingtaine de minutes. La version initiale qui avait été présentée à Cannes durait en effet 2h15. En procédant à ces coupes, la réalisatrice a cherché à rendre son film plus accessible. Interrogée par le magazine Score (N°21), Garcia minimise l'impact de ce remontage : "(...) de toute façon, je suis convaincue qu'il y a une sorte d'énergie naturelle au film. On peut retirer et réintégrer des scènes sans le défigurer."
"Selon Charlie" vu par le scénariste Jacques Fieschi
Pour le scénariste Jacques Fieschi, Selon Charlie est "un film où la plupart des personnages luttent avec leur enfance. Une enfance dont on ne guérit pas, qui ne vous quitte pas. Joss est un personnage enfantin qui vit avec sa mère. Matthieu revient dans sa ville d'enfance, dans l'endroit même où il avait vécu à l'âge de Charlie. Pierre est un mari, soit, mais c'est aussi le fils de sa femme. Sans qu'on se le dise explicitement, on avait envie de faire tous les âges de la vie, sauf la vieillesse. Il y a aussi cet être des premiers temps, Dirk, qui est un peu l'enfance de l'humanité. On l'a traité comme une figure poétique plus que comme un cas scientifique."
Tournage dans une ville fictive...
Plusieurs villes ont constitué une même ville, fictive, dans laquelle se déroule l'action du film. "Le lycée appartient à telle ville, la thalasso à une autre, la plage à une troisième, explique Nicole Garcia. Le scénario établissait une scénographie. Quand je l'ai fait lire à Stéphane Fontaine (directeur de la photographie) et Thierry Flamand (chef décorateur), ils m'ont demandé où cette ville se trouvait, tant les descriptions étaient précises. Je leur ai dit qu'elle n'existait pas et on est parti à sa recherche. Ne l'ayant pas trouvée une et entière, nous l'avons inventée et cette création nous a propulsés dans l'imagination libre de l'histoire."
François Berléand pressenti au casting
Le rôle de Jean-Louis, le maire de la ville, devait être tenu à l'origine par l'acteur François Berléand, également compagnon de Nicole Garcia. N'ayant pu tourner le film, c'est Jean-Pierre Bacri, déjà présent au générique de Place Vendôme, qui l'a remplacé au pied levé.
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Separate Lies|Julian Fellowes|Drame||2|britannique|2006|84|Anglais||XVID|||XVID|1 010 Kbps|512x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Christian Colson Steve Clark-Hall|Julian Fellowes|Tony Pierce-Roberts||Twentieth Century Fox France||James Manning, avocat d'affaires reconnu et respecté, et sonépouse Anne vivent avec bonheur entre leurs deuxrésidences : la semaine à Londres et le week-end à lacampagne où ils aiment à recevoir leurs amis dans leurmagnifique maison.Ils jouissent d'une existence paisible et privilégiée, ne sontconfrontés à aucun souci et il serait proprement absurded'imaginer que leur vie puisse s'effondrer en quelquesminutes.C'est pourtant précisément ce qui se produit quand le mari deleur femme de ménage est trouvé mort sur une route decampagne, victime d'un chauffard.Ce qui ressemble de prime abord à un banal accidentprovoque très rapidement une cascade de mensonges quiseront lourds de conséquences pour la vie harmonieuse deJames et Anne Manning. |Emily Watson (Anne Manning)@Rupert Everett (William Bule)@Tom Wilkinson (James Manning)@Hermione Norris (Priscilla)@John Warnaby (Simon)@Richenda Carey (Sarah Tufnell)@Linda Bassett (Maggie)@Christine Lohr (l'infirmière)@Alice O'Connell (la fille de Maggie)@John Neville (Lord Rawston)@David Harewood (l'inspecteur Marshall)@Sabine Tourtellier (la réceptionniste)@Philip Rham (l'avocat français)@Jeremy Child (Angus Burrell)@Christina Kyriacou (la fille de la gare)@||Secrets de tournage :
Shocking!
Le film est tiré d'un roman de Nigel Balchin, qui avait été jugé très provocateur à sa publication en 1951. Le London Evening Standard avait notamment titré à son propos:"Une brillante étude sur l'adultère et les idéaux corrompus".
Du Gosford au Gotah
Le réalisateur Julian Fellowes a signé le scénario de Gosford Park, réalisé par Robert Altman, film s'intéressant déjà aux petits travers de la grande bourgeoisie. Lui-même issu de la bourgeoisie anglaise, il a derrière lui une carrière de comédien dans des films comme Demain ne meurt jamais ou Place Vendôme. Il a aussi signé un roman, Snobs.
Sur les traces de l'adultère
Le film a été tourné à Londres et à Paris, mais aussi dans le Buckhimgamshire dont les campagnes sont parmi les plus belles d'Angleterre. La maison de Maidley Park a été dénichée à CHickeley Hall, une demeure en brique rouge entourée de forêts, construite en 1719. Le village des alentours est celui de Turville, qui date du XVe siècle.
Petites infidélités (à mon réalisateur)
Le chef-opérateur Tony Pierce-Roberts est le collaborateur habituel du réalisateur James Ivory, pour lequel il a signé la lumière de Chambre avec vue, Les Vestiges du jour, Surviving Picasso ou encore La Coupe d'or.
Merci les amis...
C'est parmi ses proches que le comédien Rupert Everett est allé chercher l'inspiration pour son personnage de Bill Bule, voisin playboy et charmeur, ainsi que l'explique son metteur en scène : "Rupert connaît beaucoup de personnages comme Bill, il a vraiment compris son personnage dès le début du film et a tout de suite su comment l'interpréter sans passer pour le méchant de l'histoire. La tendance de tout acteur aurait été de jouer Bill de manière arrogante et peu séduisante, au contraire de Rupert qui a choisi une autre façon de l'interpréter en l'humanisant et en le rendant sympathique."
Accident de parcours
Le film installe une situation de départ qui va ensuite être bouleversée par un évènement fortuit. Le réalisateur Julian Fellowes explique : "Dans Separate Lies, James et Anne Manning ont apparemment une vie de rêve. Puis un accident survient et tout semble nettement moins évident(...)Si, comme les Manning, un accident a déstabilisé votre existence idyllique, vous compatirez à la situation difficile dans laquelle se trouvent les trois personnages principaux du film. De tels mensonges se reproduisent tout seuls; beaucoup d'entre nous en ont fait l'expérience et l'ont regretté".
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Seven Years in Tibet|Jean-Jacques Annaud|Aventure||3|américain|1997|136|Anglais||DIV3|||DIV3|644 Kbps|704x320|MPEG-2 Audio layer 3|64.0 Kbps|False|24.0 KHz|2|694||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Jean-Jacques Annaud Catherine Moulin Iain Smith John H. Williams|Becky Johnston|Robert Fraisse||Agence Méditerranéenne de Location de Films (A.M.L.F.)||A la fin de l'été 1939, l'alpiniste autrichien Heinrich Harrer, premier vainqueur de la face Nord de l'Eiger et qui rêve de conquérir le Nanga Parbat, sommet inviolé de l'Himalaya, accepte de l'argent nazi pour y planter le drapeau à croix gammée. La guerre éclate. Prisonnier des Britanniques à la frontiere de l'Inde, il s'évade. Commence alors la véritable aventure de sa vie: une longue errance qui se termine a Lhassa, résidence du jeune dalai-lama avec qui il se lie d'amitié. |Brad Pitt (Heinrich Harrer)@David Thewlis (Peter Aufschnaiter)@B.D. Wong (Ngawang Jigme)@Jamyang Wangchuck (le Dalaï Lama à 14 ans)@Mako (Kungo Tsarong)@Victor Wong (le chef de la mission chinoise)@Lhakpa Tsamchoe (Pema Lhaki)@Jetsun Pema (la mère du Dalaï Lama)@Danny Denzongpa (le régent)@Ingeborga Dapkunaite (Ingrid Harrer)@Ama Ashe Dongtse (Tashi)@Sonam Wangchuck (le Dalaï Lama à 8 ans)@Duncan Fraser (l'officer britannique)@||||||||||||@@
Seven Pounds|Gabriele Muccino|Drame||3|américain|2009|122|Anglais||XviD|||XVID|656 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|696||||23.976|02/08/2009 00:00:00|Todd Black Jason Blumenthal James Lassiter Will Smith Steve Tisch|Grant Nieporte|Philippe Le Sourd||Sony/Columbia||Hanté par un secret, Ben Thomas cherche sa rédemption en transformant radicalement la vie de sept personnes qu'il ne connaît pas. Une fois son plan mis en place, plus rien ne pourra l'arrêter. C'est tout du moins ce qu'il croit. Mais Ben n'avait pas prévu qu'il tomberait amoureux de l'une de ces personnes et que c'est elle qui va le transformer... |Will Smith (Ben Thomas)@Rosario Dawson (Emily Posa)@Woody Harrelson (Ezra Turner)@Barry Pepper (Dan)@Michael Ealy (le frère de Ben)@Elpidia Carrillo (Connie Tempos)@Robinne Lee (Sarah Jenson)@Joe Nunez (Larry)@Bill Smitrovich (George Ristuccia)@Tim Kelleher (Stewart Goodman)@Gina Hecht (le docteur Breyer)@Andy Milder (le médecin de George)@Judyann Elder (Holly Apelgren)@Sarah Morris (Susan)@Madison Pettis (la fille de Connie)@Octavia Spencer (Kate)@Quintin Kelley (Nicholas)@Louisa Kendrick (la femme de Dan)@Fiona Hale (Ines)@Ivan Angulo (le fils de Connie)@Jack Yang@Amanda Carlin@Cynthia Rube@||Secrets de tournage :
Nouvelle collaboration
Sept vies marque la deuxième collaboration entre l'acteur américain Will Smith et le réalisateur italien Gabriele Muccino, tout juste deux ans après A la recherche du bonheur. Gabriele Muccino a même failli retrouver Will Smith plus tôt, puisqu'il était question qu'il mette en scène le film de super-héros Hancock (2008), finalement réalisé par Peter Berg.
Will Smith particulièrement ému
L'acteur Will Smith a été particulièrement ému par l'histoire de Sept vies : "J'ai trouvé le scénario et l'idée absolument fantastiques. Cet homme trouve un but à a vie et une raison d'exister. C'est une histoire d'amour très moderne qui ne ressemble à aucune autre. Gabriele Muccino connaît parfaitement les relations humaines, il sait où les trouver et comment les nourrir et les faire s'épanouir. Quand vous combinez ce savoir-faire avec des personnes comme Rosario Dawson et Woody Harrelson, vous avez tous les ingrédients pour faire un grand film."
Continuer quand tout va mal...
Sept vies a permis à l'acteur Will Smith d'aborder un sujet qui le fascine depuis toujours. Il explique : "Pour moi, ce film était une chance d'aborder sous un autre angle un sujet qui continue de me fasciner : comment les humains surmontent-ils leurs traumatismes ? Comment faisons-nous pour continuer de vivre quand tout va mal ? C'est de cela dont parle Sept vies. C'est une histoire de rédemption, et je suis certain que son dénouement surprendra beaucoup."
Gabriele Muccino et Will Smith : nouvelle émotion
Après A la recherche du bonheur, Gabriele Muccino offre à nouveau la possibilité à Will Smith de montrer une facette intime et touchante de sa personnalité. Le cinéaste italien explique ce qui l'a touché dans Sept vies : "Cette histoire m'a tout de suite attiré parce qu'elle raconte un parcours personnel mystérieux qui est en lui-même une véritable déclaration d'amour. Pour moi, Sept vies est lhistoire d'un homme rongé par le remords et la douleur d'avoir perdu un être cher, qui se retrouve face à ce qu'il n'attendait plus : la chance de repartir à zéro et de vivre une nouvelle vie. C'est une histoire qui fait réflechir, audacieuse, touchante et riche d'émotion. Je savais que l'échange d'idées et d'énergie qui donne tellement de force à ce film n'était possible qu'avec Will Smith."
Wil Smith retrouve Rosario
Sept vies marque la deuxième collaboration de Will Smith et Rosario Dawson, près de sept ans après MIIB.
Inspirations
Pour son travail sur Sept vies, le chef décorateur J. Michael Riva s'est inspiré de la "beauté" et du "lyrisme" de deux longs métrages : Le Scaphandre et le papillon de Julian Schnabel et Les Choses de la vie de Claude Sautet.
Premier scénario pour le cinéma
Avec Sept vies, le scénariste Grant Nieporte signe son premier scénario pour un long-métrage. Il avait auparavant fait ses armes sur des séries télévisées telles que Touche pas à mes filles et Sabrina, l'apprentie sorcière.
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Serenity|Joss Whedon|Science fiction||3|américain|2005|119|Anglais||XviD|||XVID|690 Kbps|656x272|MPEG-1 Audio layer 3|119 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Barry Mendel|Joss Whedon|Jack Green||Universal Pictures||Le capitaine Malcolm Reynolds est un vétéran endurci, qui eut le tort de choisir le mauvais camp dans la guerre galactique. Les armes se sont tues, l'ordre règne sous l'autorité de l'Alliance, et Malcolm le rebelle s'est lancé dans de nouvelles aventures aux commandes du vaisseau Serenity.
A l'école des futures élites, la jeune River manifeste également une farouche indépendance d'esprit. Ses facultés télépathiques et ses dons de lutteuse inquiètent les dirigeants. Ceux-ci ont choisi de mettre l'adolescente au secret. Une équipe médicale s'efforce de modeler son esprit et de juguler ses "mauvaises tendances" par l'administration de drogues.
Lorsque son frère, Simon, l'extrait de force du Centre de Conditionnement et se réfugie avec elle à bord du Serenity, le régime confie à son meilleur limier, l'Opérateur, le soin de les neutraliser... |Nathan Fillion (le capitaine Malcolm Reynolds)@Gina Torres (Zoë Warren)@Alan Tudyk (Hoban "Wash" Washburne)@Morena Baccarin (Inara Serra)@Adam Baldwin (Jayne Cobb)@Jewel Staite (Kaylee Frye)@Summer Glau (River Tam)@Sean Maher (Dr. Simon Tam )@Ron Glass (Shepherd Meria Book )@Chiwetel Ejiofor (l'Opérateur)@David Krumholtz (M. Univers)@Michael Hitchcock (Dr Mathias)@Sarah Paulson (Dr Caron)@Yan Feldman (Mingo)@||Secrets de tournage :
Ser(i)enity
Serenity est l'adaptation sur grand écran de la série télévisée Firefly, programmée aux Etats-Unis en 2002 sur la FOX (et au printemps 2005 en France sur la chaîne Sérieclub). Mais la chaîne américaine a décidé de mettre un terme à la diffusion de la série au bout de quinze épisodes (les trois derniers n'ayant même pas été diffusés...), soit à peine une demi-saison. Universal Pictures a acheté les droits de la série à son créateur, Joss Whedon, pour en tirer ce long métrage. Entretemps, l'intégralité de la série est parue en DVD, en 2004.
Whedon, créateur en série(s)
Le créateur de la série n'est autre que le réalisateur de Serenity, Joss Whedon, qui fut à l'origine de la série Buffy contre les vampires en 1997, puis Angel en 1999. On retrouvait déjà ce scénariste au générique de Buffy, tueuse de vampires (1992), le film qui inspira (lointainement) le programme télévisé à succès, mais aussi du dessin animé Toy Story (1995). Serenity est son premier long métrage comme réalisateur.
Nouveau venu
Aux côtés des acteurs "historiques" de la série, on remarque la présence d'un nouveau venu dans cet univers futuriste Chiwetel Ejiofor, vu notamment chez Steven Spielberg, Stephen Frears et Woody Allen. Dans Serenity, il incarne un opérateur animé des pires intentions...
La bande des 9
Fait rare pour un long métrage adapté d'une série télévisée, le casting d'origine est respecté. Les neuf comédiens principaux de Firefly, de Nathan Fillion à Gina Torres en passant par Alan Tudyk et Adam Baldwyn, ont en effet accepté de reprendre leur rôle dans Serenity. Nous avions réuni 9 interprètes qui étaient nés pour jouer ces rôles. Lorsque la série s'interrompit, il était clair à mes yeux que l'histoire devait continuer. Ni mes acteurs ni moi n'avions encore tout dit. Et c'est ainsi qu'est né ce projet Serenity, explique Joss Whedon.
Green et les Space cowboys
La photo de Serenity est signée Jack N. Green, connu pour sa longue collaboration avec Clint Eastwood. Il fut en effet le chef-opérateur de tous les films de l'acteur-réalisateur entre Le Maître de guerre (1990) et Space Cowboys (2000).
Sur les planches
Serenity a été présenté en avant-première au Festival de Deauville en 2005, en présence des comédiens Nathan Fillion et Summer Glau.
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The Wedding Crashers|David Dobkin|Comédie||3|américain|2005|114|Anglais||DX50|||DX50|720 Kbps|544x224|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Andrew Panay Peter Abrams Robert L. Levy|Steve Faber Bob Fisher|Julio Macat||New Line Cinema||John et Jeremy adorent s'inviter aux mariages de parfaits inconnus, profiter de la table, du bar et des jeunes filles qui sont toujours plus romantiques ces jours-là. Leurs méthodes sont infaillibles et leur palmarès impressionnant.Lorsqu'ils apprennent que la fille de William Cleary, un haut fonctionnaire, va se marier, l'occasion est trop belle. Cette incruste-là sera leur chef-d'oeuvre, l'éclate totale au milieu du gratin à qui ils vont encore raconter n'importe quoi.Pourtant, cette fois, les choses dérapent... |Owen Wilson (John Beckwith)@Vince Vaughn (Jeremy Grey)@Christopher Walken (William Cleary)@Rachel McAdams (Claire Cleary)@Isla Fisher (Gloria Cleary)@Jane Seymour (Kathleen Cleary)@Ellen Albertini Dow (Mary Cleary)@Bradley Cooper (Sack)@Henry Gibson (le père O'Neil)@Ron Canada (Randolph)@Jennifer Alden (Christina Cleary)@Rebecca De Mornay (Mrs. Kroeger)@Keir O'Donnell (Todd Cleary)@Dwight Yoakam (Mr. Kroeger)@Geoff Stults (Craig)@Larry Campbell (le garçon d'honneur)@Will Ferrell (Chazz)@||Secrets de tournage :
De Panay à Dobkin
Le producteur Andrew Panay est à l'initiative de ce film. "Il y a deux ans, explique-t-il, j'ai reçu une invitation pour le mariage d'un ancien copain de fac. Je me suis alors souvenu qu'il lui était arrivé de squatter quelques mariages lorsque nous étions plus jeunes. J'ai bien rigolé en me rappelant de toutes ces histoires et je me suis dit que cela ferait une excellente base pour une comédie."
En développant le projet avec Peter Abrams et Robert L. Levy, ses associés égalements producteurs, Andrew Panay s'est aperçu de l'énorme potentiel de cette idée. Avec les scénaristes, ils ont donc imaginé un tandem de jeunes gens qui travaillent ensemble comme conseillers en affaires de divorce mais qui partagent surtout la passion de la fête et trouvent une réserve inépuisable dans la liste des mariages auxquels ils ne sont pas invités...
Ce concept a déclenché l'enthousiasme des studios New Line Cinema, et le projet a rapidement échoué entre les mains du réalisateur David Dobkin.
Retrouvailles
Owen Wilson et Vince Vaughn avaient déjà, tous deux, travaillé séparément avec le réalisateur David Dobkin, le premier sur Shanghaï kid II, une forme de buddy movie dont il partageait la vedette avec Jackie Chan, et le second sur Clay pigeons. "Quand j'ai découvert l'histoire de Serial noceurs, explique le metteur en scène, j'ai aussitôt fait l'association des deux dans ma tête. Ils étaient John et Jeremy."
La bande à Stiller
Owen Wilson et Vince Vaughn se connaissent depuis longtemps puisque, après avoir démarré à la même période dans des émissions de télévision, ils se sont retrouvés sur les plateaux de nombreuses comédies loufoques, généralement autour du réalisateur, acteur, producteur et scénariste hyperactif Ben Stiller. Les trois trublions ont d'ailleurs été réunis à l'écran pour les besoins de deux films : Zoolander et Starsky et Hutch.
Owen et Vince vus par David Dobkin
Pour David Dobkin, le jeu des comédiens Owen Wilson et Vince Vaughn n'a dorénavant plus de secret. Le cinéaste commente : "Owen et Vince se complètent parfaitement. Ils partagent le même humour, mais n'ont pas la même façon de le distiller. Owen est plutôt du genre à laisser monter les choses, à prendre son temps, tandis que Vince est une véritable mitrailleuse. Il n'arrête jamais. Owen/John est ainsi devenu le personnage le plus posé, le plus réfléchi, et Vince/Jeremy a pris la place du copain imprévisible qui fait tout basculer. Ils forment un véritable duo, un moteur à deux temps dont l'un génère l'étincelle juste avant que l'autre n'explose."
Une "bouffée d'oxygène" pour Christopher Walken
A propos de son rôle, Christopher Walken déclare : "J'avoue que j'ai été un peu surpris d'être contacté pour une comédie aussi particulière. Moi qui ai bâti ma carrière sur des rôles toujours en marge, je me retrouve Secrétaire au Trésor américain et père de trois filles. C'est assez inhabituel pour moi, mais je me suis beaucoup amusé. Ce genre de film est une véritable bouffée d'oxygène."
Dates et lieux de tournage
Le tournage a débuté le 22 mars 2004 et s'est déroulé sur 52 jours à Los Angeles, Washington, sur la côte Est du Maryland et dans plusieurs endroits de la région.
13 mariages organisés !
Ce sont au total treize mariages qui ont été organisés pour les besoins de l'histoire. David Dobkin explique : "Sur le tournage, l'ambiance était déjà très bonne à cause de l'équipe et de notre duo, mais le fait de travailler dans des univers festifs égaye encore les choses. Il faut imaginer que pendant deux mois, vous êtes sans arrêt dans une fête, en train de danser ou de manger des petits fours. L'esprit du film s'en ressent."
Pour organiser les différentes cérémonies, la production a fait appel à une spécialiste de l'organisation des mariages, Lovelynn Vanderhorst. Celle-ci compte à son actif plus de 200 organisations, dont certaines pour des personnalités du show-business ou de la politique.
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Waiting...|Rob McKittrick|Comédie||2|américain|2005|90|Anglais||DX50|||DX50|953 Kbps|624x336|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|704||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Jeff Balis Robert O. Green Stavros Merjos Jay Rifkin Adam Rosenfelt|Rob McKittrick|Matthew Irving||Lions Gate Films Inc.||Serveur chez Shenanigan's depuis le lycée, Dean ne s'est jamais remis en question. Quand il apprend que Chett, avec qui il était en classe, est désormais un riche ingénieur, il veut donner un nouveau sens à sa vie. Son ami Monty est dans la même situation mais s'en fiche et préfère faire la fête... |Ryan Reynolds (Monty)@Justin Long (Dean)@Anna Faris (Serena)@Robert Patrick Benedict (Calvin)@Clay Chamberlin (le serveur)@Emmanuelle Chriqui (Tyla)@Robb Conner (Bernardo)@Dane Cook (Floyd)@John Francis Daley (Mitch)@Kaitlin Doubleday (Amy)@Skylar Duhe (Girly)@Wayne Ferrara (Rocco)@Ann Marie Guidry (La femme dessert)@Luis Guzman (Raddimus)@Max Kasch (T-Dog)@David Koechner (Dan)@Jordan Ladd (Jordan Ladd)@Vanessa Lengies (Natasha)@Chi McBride (L'évêque)@||Secrets de tournage :
Premier pas derrière la caméra
Waiting est le premier long-métrage de Rob McKittrick.
Une habituée des comédies...potaches
Anna Faris est devenue en quelques rôles, l'actrice incontournable des grosses comédies américaines notamment grâce à son rôle dans la saga parodique des Scary movie. Dans Waiting, elle retrouve ce type de rôle en interprétant une serveuse frivole et légèrement naïve.
Comédie labellisée ?
Produit par Chris Moore à qui l'on doit notamment la saga à succès des American pie, le film se présente lui aussi comme une comédie déjantée mais cette fois-ci ancrée dans le milieu de la restauration.
Cuisine Cajun ?
Entièrement tourné en Louisiane et notamment à la Nouvelle Orléans, la comédie qui a pour thème la restauration fait la part belle à la cuisine cajun, spécialité de cette région des Etats-Unis.
Restaurant en délire...
Lieu de convivialité par excellence, les rrestaurants ont souvent servi de toile de fond auw comdies. Ainsi parmi les classiques du genre on citera par exemple : Le Grand restaurant avec Louis De Funès , Après vous Pierre Salvadori ou Garçon ! de Claude Sautet.
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Seuls Two|Eric Judor Ramzy Bedia|Comédie||2|français|2008|92|Français||XVID|||XVID|921 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|123 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Alain Attal|Eric Judor Ramzy Bedia Philippe Lefebvre Lionel Dutemple|Philippe Piffeteau||Warner Bros. France||Gervais, policier à Paris, maladroit et entêté, est la risée de son commissariat. Depuis des années, il file sans relâche, un esthète de la cambriole, drôle et narquois, Curtis qui, chaque fois, lui échappe et le ridiculise. Un beau matin, après une course poursuite manquée, Gervais se réveille dans une capitale vidée de tous ses habitants. Tous ? Pas tout à fait. Un second individu fonce dans les rues désertes au volant d'une Formule 1 : Curtis ! Voilà nos deux héros seuls au monde, peut-être l'occasion d'enterrer la hache de guerre et de profiter de la situation...Mais ce serait sans compter sur la droiture de Gervais et surtout sur son obstination. Pour lui, la place de Curtis est en prison et rien ne saurait le faire dévier de sa mission... |Eric Judor (Gervais)@Ramzy Bedia (Curtis)@Benoît Magimel (le commissaire)@Kristin Scott Thomas (l'antiquaire)@Elodie Bouchez (Juliette)@Omar Sy (Sammy Bouglioni)@MC Jean Gab'1 (Freddy Bouglioni)@Fred Testot (Xavier)@François Damiens (le joueur de curling)@Edouard Baer (le prêtre à l'enterrement)@Hafid F. Benamar (le livreur)@Anne De Petrini (la femme de Michel)@Hugo Sélignac (un passant)@||Secrets de tournage :
Un casting étonnant
Le casting de Seuls Two est pour le moins étonnant, car aux côtés d'Eric et Ramzy évouluent des comédiens peu habitués au registre de la comédie burlesque parmi lesquels Benoît Magimel, Kristin Scott Thomas ou encore Elodie Bouchez. Ramzy explique : "Avant tout, on voulait se faire plaisir à jouer avec des comédiens connus. Ça ne nous est quasiment jamais arrivé sur nos films précédents. Et puis, évidemment, ça aidait la production à financer un projet de cette envergure- là. Leurs exigences et nos désirs se dont parfaitement rencontrés."
Eric & Ramzy derrière la caméra : première !
Avec Seuls Two, le duo comique Eric & Ramzy s'aventure pour la première fois derrière la caméra. Les deux hommes n'avaient jusqu'alors été qu'interprètes de leurs comédies, participant parfois à l'écriture du scénario, comme avec La Tour Montparnasse infernale et Les Dalton. Sur Seuls Two, ils portent donc une triple casquette : acteurs, réalisateurs et scénaristes.
Eric & Ramzy grandissent
Seuls Two est le premier film dirigé par les compères Eric Judor et Ramzy Bedia, également scénaristes et interprètes principaux. Même s'ils continuent d'être toujours aussi potaches, ce passage derrière la caméra ne va pas sans leur apporter un peu de maturité supplémentaire. "Comme d'habitude, on a écrit le scénario, puis on s'est mis en quête d'un metteur en scène", expliquent les deux acolytes. "On en a rencontré un, puis deux, puis trois... On a fini par se dire "Et si on le faisait nous-mêmes ?" Avant, tout ce qu'on voulait, c'était s'éclater sur le tournage ; aujourd'hui, ce qui nous éclate, c'est d'arriver sur le plateau et de voir que tout correspond à ce qu'on avait en tête au moment de l'écriture, jusque dans les moindres détails. On a grandi, quoi. Assumer la réalisation, c'était le meilleur moyen de ne pas se sentir dépossédés à l'arrivée."
Un fantasme enfantin
Pour Eric Judor et Ramzy, qui avaient depuis sept ans l'idée de Seuls Two en tête, le film est comme l'accomplissement d'un rêve de gamin. Ils expliquent : "Cest un film qui nous tient à coeur. Cette idée d'une course-poursuite entre un petit flic et un petit malfrat dans une ville vide, elle vient d'un rêve de gosse : celui de se retrouver enfermés dans un grand magasin et de pouvoir faire ce qu'on veut, un peu comme le gamin dans Le Jouet. Cela rejoint ce fantasme d'enfance d'avoir des lunettes qui permettent de voir à travers les murs, ou d'une machine qui permettrait d'entendre les pensées des gens, un peu comme dans Ce que veulent les femmes. On est dans ce registre-là, celui de la comédie conceptuelle. Disons que pour la première fois, il y a du fond... 2,20m, environ."
Le défi d'un Paris... vide !
L'un des principaux défis de Seuls Two a été de tourner dans un Paris totalement vidé de ses habitants. Eric revient sur ces moments de tournage particuliers : "A chaque fois, on avait très peu de temps pour jouer car il fallait régulièrement débloquer la circulation qu'on bloquait pour chaque prise. On a tourné les scènes sur les Champs Elysées en une matinée. Et on a eu cinq heures pour celles de la Place de la Concorde. Dans les deux cas, on a fonctionné de la même manière. Il y a des bloqueurs, environ 200, dont la fonction est à la fois de couper la circulation automobile et piétonnière et d'empêcher les gens de sortir de chez eux le temps des prises.". Et Ramzy Bedia de poursuivre : "Les bloqueurs étaient donc placés à chaque porte de maison et à chaque coin de rue. Pour que tout soit bloqué le temps de faire une prise, ça prenait environ 20 minutes. Donc il fallait aller vraiment très vite."
Références burlesques
"Les gens qui ont lu le scénario de Seuls Two nous ont souvent dit que ça leur rappelait le ton d'Un jour sans fin, ce film où Bill Murray revit sans cesse la même journée", expliquent Eric & Ramzy. "On a pris ça comme un énorme compliment. Pour autant, soyons clairs : Seuls Two reste une vraie comédie, cartoonesque, avec un petit côté "Tom et Jerry", même si on n'a pas forcé le trait. Ce qu'on adore, nous, c'est le burlesque. Ben Stiller et sa moustache dans Dodgeball. Jim Carrey qui se bat contre une vache dans Fous d'Irène. Nos références sont plutôt anglo-saxonnes car en matière de burlesque, en France, on s'est arrêté à Pierre Richard, qui est une de nos idoles. Il y a dans notre pays une tradition vivace de comédies sociales, qui se déroulent en intérieurs. Nous, on préfère remonter les Champs-Elysées déserts, mettre une formule 1 sur les quais de Seine. On n'oublie pas qu'une place de cinéma coûte dix euros, on va donc essayer de donner du spectacle." Eric & Ramzy citent par ailleurs, en vrac, d'autres références comme La Planète des singes, Les Fils de l'homme ou encore Will Ferrell.
Eric & Ramzy vus par leur producteur
Le producteur Alain Attal (Ne le dis à personne, Selon Charlie) a été un spectateur attentif du travail d'Eric et Ramzy en tant que cinéastes novices : "Eric a une vision précise de l'ensemble, Ramzy est plus intuitif, plus impatient. Il va pointer ce qui ne marche pas et Eric va entendre, l'analyser et va savoir l'expliquer au reste de l'équipe comme le monteur. Mais leur mécanique est parfaitement huilée. Une mécanique d'amitié et de métier mêlés."
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Se7en|David Fincher|Policier|Interdit aux moins de 12 ans|4|américain|1996|116|Anglais||DIV3|||DIV3|691 Kbps|720x576|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|666||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Phyllis Carlyle Arnold Kopelson|Andrew Kevin Walker|Darius Khondji||Metropolitan FilmExport||Pour conclure sa carrière, l'inspecteur Somerset, vieux flic blasé, tombe à sept jours de la retraite sur un criminel peu ordinaire. John Doe, c'est ainsi que se fait appeler l'assassin, a decidé de nettoyer la societé des maux qui la rongent en commettant sept meurtres basés sur les sept pechés capitaux: la gourmandise, l'avarice, la paresse, l'orgueil, la luxure, l'envie et la colère. |Brad Pitt (Détective David Mills)@Morgan Freeman (Détective William Somerset)@Gwyneth Paltrow (Tracy Mills)@Kevin Spacey (John Doe)@John C. McGinley (California)@Endre Hules (Le chauffeur de taxi)@Andrew Kevin Walker (Un cadavre)@Daniel Zacapa (Detective Taylor)@John Cassini (Officier Davis)@Richard Portnow (Dr. Beardsley)@Emily Wagner (Detective Sara)@Alfonso Freeman (un expert en empreintes digitales)@R. Lee Ermey (Le Capitaine de police)@Richard Schiff@Richard Roundtree@||Secrets de tournage :
Sept crimes, sept pêchés...
Le serial-killer de Seven tue ses victimes selon un rituel bien particulier. Il se réfère en effet aux sept pêchés capitaux que sont la gourmandise, l'avarice, la paresse, l'orgueil, la luxure, l'envie et la colère. Chacun des meurtres est ainsi effectué en relation avec l'un de ces pêchés, censés représenter tout le côté sombre d'un monde que John Doe s'évertue, par ces méfaits, à nettoyer. Il apparaît ainsi, à ses propres yeux, comme un justicier. Une manière de procéder nouvelle dans le monde du thriller.
La révélation David Fincher
Seven marque l'avènement du réalisateur David Fincher au niveau international. Après avoir signé de nombreux vidéos clips musicaux et autres publicités, l'américain se lance dans le septième art en 1992 avec Alien 3. Un baptème du feu pour le moins délicat dont il ne garde pas un souvenir très positif, sa liberté de manoeuvre ayant été très réduite par la Twentieth Century Fox.
Avec Seven, trois ans plus tard, David Fincher voit se profiler l'occasion de sa vie. Il trouve avec le studio indépendant New Line, alors en difficultés et cherchant à se relancer, le partenaire idéal pour se lancer dans un projet où il aurait un contrôle total. Ecrit avec talent par Andrew Kevin Walker, Seven fait date dans l'histoire du film de serial-killer et remporte un large succès au box-ofice international. Extrêmement sombre, étouffant, le film s'amuse à suggérer la violence plutôt qu'à la montrer. Surtout, le thriller est porté par la mise en scène virtuose de Fincher, qui creuse déjà une vison désanchantée du monde contemporain. Il poursuivra dans ce sillon avec The Game, Fight club puis Panic room, affirmant un sens visuel de plus en plus personnel, où prises de vue extrêmes et photographie très sombre se mettent au service de sujets désespérés sur la société moderne.
David Fincher / Brad Pitt : une collaboration forte
Seven marque la première collaboration entre le réalisateur David Fincher et le comédien Brad Pitt. Les deux hommes se retrouveront en 1999 avec l'oeuvre culte Fight club. Amis proches, ils devraient se retrouver une troisième fois dans un avenir proche, puisque leurs noms sont avancés pour le projet de film de guerre They fought alone.
Chiffres et nominations
Seven a été un large succès au box-office international. Le thriller de David Fincher, d'un budget de 30 millions de dollars, a rapporté plus de 100 millions de dollars de recettes sur le sol américain et 316 millions de dollars sur l'ensemble de la planète. Un film très rentable pour le studio New Line, mais qui a été quelque peu boudé au niveau des récompenses. Seven n'a ainsi été nommé qu'une fois aux Oscars en 1996, dans la catégorie Meilleur montage. Le National Board of Review et le New York Film Critics Circle ont récompensé Kevin Spacey du Prix du meilleur acteur dans un second rôle. Enfin, lors des MTW Awards, le long métrage a été sacré Meilleur Film, alors que Kevin Spacey, encore lui, a été nommé Meilleur méchant et Brad Pitt... homme le plus désirable.
Un scénariste à l'écran
Andrew Kevin Walker, le scénariste de Seven, fait une petite apparition dans le long métrage en incarnant la première victime du serial-killer. Après Seven, qui révéla ses qualités d'écriture, Andrew Kevin Walker a signé le scénario de 8mm huit millimètres et l'adaptation pour le grand écran de Sleepy Hollow, la légende du cavalier sans tête. A noter également qu'il a retrouvé David Fincher en 2002 avec une petite apparition dans Panic room.
D'un rôle à l'autre
Le rôle du seral-killer, tenu par Kevin Spacey, devait à l'origine revenir au comédien R. Lee Ermey. Celui-ci incarne finalement le Capitaine de police dans Seven.
Concernant Kevin Spacey, il fut décidé de ne pas l'inclure dans les crédits lors du générique de début, afin de garder le mystère sur l'identité du tueur. En revanche, il est crédité en premier lors du générique de fin.
Brad Pitt et David Fincher : une fin ou rien
La fin de Seven est particulièrement sombre. A tel point que le Studio New Line envisagea un moment de ne pas la garder pour le montage définitif. Mais la volonté farouche du réalisateur David Fincher d'avoir le contrôle final sur son film fut la plus forte. De plus, Brad Pitt lui-même était prêt à ne pas s'engager dans le projet si la fin venaît à être modifiée. Deux éléments de poids qui firent finalement céder le studio.
Des livres écrits pour l'occasion
La totalité des livres particulièrement glauques appartenant au serial-killer John Doe ont été rédigés spécialement pour l'occasion. Il en a coûté 15 000 dollars et deux mois de travail à la production de Seven. Cela afin de rendre le plus authentique possible la folie de ce tueur aux méthodes peu ordinaires.
Morgan Freeman et Morgan Freeman Jr.
Morgan Freeman a connu la joie de travailler avec son fils sur le tournage de Seven. Dans le long métrage, Alfonso Freeman incarne en effet, le temps d'une courte scène, un expert en empreintes digitales. A noter qu'il a joué deux autres fois au côté de son père : en 1994 dans Les Evadés, et en 2000 dans Nurse Betty.
Une victime plus vraie que nature...
La victime cadavérique allongée dans le lit que Brad Pitt et Morgan Freeman découvrent avec stupeur est un vrai comédien, et non une personne composée numériquement. La production engaga pour l'occasion un acteur très maigre que l'équipe de maquillage rendit méconnaissable après plusieurs heures de travail. Au final, le personnage (la victime de la paresse) apparaît détruit physiquement, maltraité et affamé, seul dans chambre depuis plusieurs mois.
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Seven Swords of Mount Tian|Tsui Hark|Aventure||2|hong-kongais|2005|147|Mandarin||XviD|||XVID|543 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|716||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Tsui Hark Lee Joo-Ick Ma Zhong-Jun Pan Zhizhong|Tsui Hark Cheung Chi-Sing Chun Tin-Nam|Keung Kwok-Man||Pathé Distribution||A l'aube des années 1660, la Mandchourie annexe la Chine pour y installer la dynastie Ching. A la suite des multiples insurrections contre le gouvernement, ce dernier interdit l'étude et l'exercice des arts martiaux afin de maintenir l'ordre et la discipline dans le pays. Fire-wind, chef militaire de la dynastie antérieure, se dit qu'en aidant le gouvernement à faire appliquer la nouvelle loi il parviendra à s'enrichir rapidement. Il a projeté de s'attaquer à la dernière ville frontière, petite bourgade du nom de Martial Village, dont les habitants sont réputés rebelles et courageux.Fu Qingzhu tente de mettre un terme à cette boucherie et décide de sauver Martial Village. Il convainc deux habitants de l'accompagner jusqu'au Mont Heaven pour solliciter l'appui de Maître Shadow-Glow. Ce dernier leur vient en aide et ordonne à quatre de ses meilleurs disciples de partir. |Donnie Yen (Chu Zhaonan )@Leon Lai (Yang Yunchong )@Charlie Young (Wu Yuanyin )@Liwu Dai (Xin Long Zi "Firmament")@Lau Kar-Leung (Fu Qingzhu 'Rédemption")@Duncan Lai (Mulang "Nimbe")@Yi Lu (Han Zhi Ban "Divinité")@Jingwu Ma (Maître Ombre-Brillante)@Jason Pai Piao (Liu Jingyi)@Honglei Sun (Ravage)@Michael Wong (Prince Dokado)@Jingchu Zhang (Liu Yufang)@So-yeun Kim (Perle Verte)@||Secrets de tournage :
Les Sept Epées de la montagne Tian
Seven swords est l'adaptation d'un roman de wu-xia, "Les sept Epees de la montagne Tian", par l'auteur populaire chinois Liang Yu Sheng. En 32 ans de carrière, cet ex-journaliste a écrit 35 romans.
Retour aux sources
Pour Seven swords, Tsui Hark s'est affranchi des effets visuels et du travail au filin propres aux films Wu-xia actuels. Il souhaitait ainsi revenir à des combats d'arts martiaux plus authentiques : " Il faut changer lorsqu'un style particulier a été exploité à l'excès et qu'il finit par atteindre ses limites. Les personnages sont si idéalisés, si héroïques qu'ils finissent par sembler ridicules." souligne le réalisateur. "J'ai essayé de raconter une histoire imaginaire de façon différente, en montrant un monde fantastique de manière plus réaliste et en invitant un héros auquel le spectateur puisse s'identifier. Je veux montrer qu'un héros a ses limites et ses faiblesses, et non éluder cet aspect de sa personnalité. Quand on montre les difficultés qu'on rencontre pour surmonter un obstacle et l'énergie qu'il faut déployer pour se dépasser, on produit un impact plus fort que si on se contente de se focaliser sur l'acte héroïque."
Tsui Hark et les films de sabre
Tsui Hark n'en est pas à sa première expérience avec le wu-xia-pian. Le réalisateur Hongkongais avait en effet contribuer à donner un nouveau souffle au genre dans les années 80 avec Zu, les guerriers de la montagne magique, mais surtout avec The Blade en 1995, remake de Un seul bras les tua tous de Chang Cheh. " L'univers du Wu-xia dans Seven swords est différent de mes autres films, explique Tsui Hark, il est réaliste, humain et historique. Le style des scènes de combat s'inspire de la réalité et j'ai voulu insister sur les limites physiques de l'homme, même si j'ai ajouté des éléments fantastiques au contexte de l'histoire et chez les personnages. "
Tournage au Mont Tian
Tsui Hark et son équipe sont allés tourner sur le Mont Tian lui-même, dont le roman d'origine tire son titre : " Le Mont Tian est le lieu où les sept sabres se sont retrouvés pour la première fois. C'est un endroit symbolique qui représente Xinjiang, site à la fois légendaire et magique. C'est pour cette raison que j'ai toujours voulu tourner le film entier dans son décor d'origine," précise le réalisateur.
Changement de sexe
Les scénaristes ont remplacé un des personnages masculins du roman par un personnage feminin, incarné à l'écran par Charlie Young. "A l'origine le personnage du roman est un homme, explique le réalisateur. Nous l'avons donné à une femme pour introduire un élément incongru dans un groupe qui était par ailleurs homogène. L'idée vient du roman de Liang Yu Sheng. Dans son livre il y a deux générations de sept guerriers. Dans la seconde génération, se trouve une femme qui hérite d'un des sabres et devient ainsi membre du second groupe. Nous avons en partie simplifié l'histoire en fusionnant les deux générations."
Action !
Tsui Hark tenait à ce que son film s'éloigne des effets spéciaux afin que les combats soient les plus réalistes possibles. Pour cela il fit appel à des comédiens déjà familiers aux arts martiaux, comme Lau Kar-Leung qui signe aussi les chorégraphies des combats. Celui-ci devait s'assurer que chaque comédien dispose d'un style de combat particulier : 75% du temps de production était ainsi consacré aux scènes d'actions.
Le choix des armes
Tsui Hark évoque la fabrication des sabres, éléments centraux de Seven swords : " Nous avons commencé par dessiner le sabre le plus puissant. C'était relativement plus facile que pour les autres car, à partir du moment où on choisit le premier dessin, il ne reste plus qu'un éventail limité de possibilités de formes et de métaux pour les autres. Les sabres ont été fondus dans du bronze et de l'acier afin qu'ils semblent plus vrais et plus massifs. Ce sont de vrais sabres que l'on peut utiliser dans un combat "
Qui a dit que réaliser était un métier facile ?
L'équipe de tournage a dû faire face à des conditions difficiles, en plein mois de septembre... Sur le site officiel du film (en anglais), le réalisateur Tsui Hark nous fait partager ses impressions dans son journal de bord : "11 heures du matin, et la température remonte doucement. Il fait 5 degrés. Je suis sorti après m'être réveillé et j'ai de suite été frappé par le froid. Le temps est superbe, le soleil brille à travers le feuillage des arbres, on a l'impression qu'il fait chaud, mais en fait il fait tout simplement froid. Le plan de travail pour aujourd'hui : déjeuner à 11 heures, départ pour le plateau de tournage à midi. A mon arrivée à la crique, j'ai été accueilli par de mauvaises nouvelles : 1. Maître Lau est toujours malade, 2. Charlie s'est cognée la tête dans l'eau il y a deux jours et doit partir à l'hôpital pour un contrôle, 3. La crique a gelé pendant la nuit et la glace va mettre du temps à fondre..."
Wu-Xia ---- quoi ?
Tout comme Hero et Le Secret des poignards volants, sortis peu de temps avant, Seven swords est un wu-xia-pian, "film de combats valeureux", souvent désigné en France comme "le film de sabre chinois" ou "film de cape et d'épée chinois". A ne pas confondre avec le film de Kung-Fu. Malgré des periodes creuses, il est un genre très populaire en Chine depuis les années 20 et sa production est énorme. Plongeant ses racines dans la littérature classique chinoise (romans fondateurs : Au bord de l'eau ; Les Trois Royaumes... puis les romans contemporains), les légendes et l'inconscient collectif chinois - ainsi que le ballet de Pékin pour l'aspect visuel, le wu-xia s'appuie sur l'opposition entre le Jiang Hu (monde rigide et normalisé) et le Wu Lin, monde de l'art martial, auquel il faut ajouter le Lu Lin, monde des hors-la-loi, qu'il faut lire comme "marginaux", "associaux". Ces hors-la-loi sont les héros du wu-xia, chevaliers pour la plupart épéistes, symbolisant la liberté, le code de l'honneur et l'opposition au pouvoir totalitaire, dans une Chine fantasmée. Le plus souvent ils luttent contre un opresseur, ou pour faire montre de leur maîtrise des arts martiaux. Il existe beaucoup de courants à l'intérieur du genre : wu-xia classique, érotique, horrifique, comique, fantastique (tendance Dragon Ball, inspiré des mangas), et "techno": auparavant suggéré par le montage, les envols spectaculaires et caractéristiques des chevaliers sont maintenant simulés sur ordinateur. Quelques repères : Chang Cheh, Wong Jin, King Hu, Tsui Hark bien sûr, et les films La Rage du tigre, Storm Riders, Zu, les guerriers de la montagne magique, Il était une fois en Chine, L'Hirondelle d'or...
Premier film pour Liwu Dai
Célèbre chanteur de l'opéra de Pékin Liwu Dai se voit offrir dans Seven swords son tout premier rôle au cinéma.
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Not Another Teen Movie|Joel Gallen|Comédie||2|américain|2002|89|Anglais||DIV3|||DIV3|952 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|695||||23.976|13/08/2009 00:00:00|Neal Moritz Phil Beauman Mike Bender Buddy Johnson|Mike Bender Adam Jay Epstein Andrew Jacobson Phil Beauman Buddy Johnson|Reynaldo Villalobos||Columbia TriStar Films||Jake Wyler, le footballeur le plus populaire du lycée John Hughes High, prend le pari insensé de transformer Janey Briggs, une artiste au physique ingrat, en une reine de bal.Le plan démarre sur les chapeaux de roues, mais ne va pas tarder à déraper. Jake va se faire prendre à son petit jeu. Par ailleurs, sa soeur obsédée, ses soi-disant complices, l'ami d'enfance de Janey et même les pom-pom girls vont tout mettre en oeuvre pour que Jake perde son pari. |Chris Evans (II) (Jake Wyler)@Chyler Leigh (Janey Briggs )@Jaime Pressly (Priscilla )@Eric Christian Olsen (Austin)@Mia Kirshner (Catherine)@Deon Richmond (Malik)@Eric Jungmann (Ricky)@Ron Lester (Reggie Ray)@Cody McMains (Mitch Briggs)@Sam Huntington (Ox)@Joanna Garcia (Sandy Sue)@Lacey Chabert (Amanda Becker)@Samm Levine (Bruce)@Cerina Vincent (Areola)@Beverly Polcyn (Sadie Agatha Johnson)@Josh Radnor (le guide touristique)@Ed Lauter (Le coatch sportif)@Paul Gleason (Le proviseur)@Molly Ringwald (L'hôtesse d'aéroport)@Nathan West (Un acteur)@James Read (Le père de Preston)@Jackie Harris (La mère de Preston)@Sean Patrick Thomas (Le noir à la fête (non crédité))@Kyle Cease (Le clappeur solitaire)@Randy Quaid (Mr Briggs)@George Wyner (Principal Cornish)@Nectar Rose (Sara Fratelli)@Riley Smith (Les)@Michael Ensign (Père O'Flannagan)@Rob Benedict (Preston Wasserstein)@Samaire Armstrong (Kara Fratelli)@||Secrets de tournage :
Un réalisateur sur mesure...
Joel Gallen, le réalisateur de Sex academy, était tout disposé à se pencher sur cette aventure. L'Américain travaille en effet depuis ses débuts sur la chaîne musicale MTV, dont la jeunesse d'esprit et le ton décalé correspondent bien au projet. Concernant Sex academy, Joel Gallen est enthousiaste. "J'adore les films pour ados des années 80. John Hughes est le meilleur : tous ses films m'éclatent.", déclare-t-il. "Je me suis replongé dans le genre et j'ai eu envie de m'en donner à coeur joie, de raconter une histoire mais surtout de me lâcher, d'aller au bout de la logique... En fait ce film est une thèse, je prépare un doctorat qui fera de moi l'égal des grands penseurs et des philosophes qui guident l'humanité."
Le film vu par les acteurs
Pour le proviseur du lycée, Sex academy est l'histoire d'une "bande de bons à rien, bouffis d'hormones qui ne respectent rien et surtout pas les jolis films si romantiques et si subtils qui ont été faits pour dépeindre la fraîche jeunesse." Priscilla définit Sex Academy comme "un grand film sur l'injustice et la bêtise des mecs." Quant à Mitch, défait, il voit le film comme "une histoire d'amour avec du sexe, mais manque de bol, c'est pas à moi qu'elle arrive. Vivement que j'aie une caisse pour aller draguer !"
Une parodie des films pour ados
Sex academy se présente comme une parodie des films pour adolescents. Présentant une galerie de personnages récurrents de ce genre de productions, cette comédie est un peu ce que Scary movie était pour les films fantastiques.
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Cruel Intentions|Roger Kumble|Drame||3|américain|1999|93|Anglais||DIV3|||DIV3|859 Kbps|720x576|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|642||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Neal Moritz|Roger Kumble|Theo van de Sande||Columbia TriStar Films||Ils sont jeunes, beaux, riches et rivalisent d'adresse machiavélique pour comploter des conquêtes amoureuses.Dans cette version moderne des "Liaisons Dangereuses", l'intrigante Kathryn Merteuil charge son perfide ami et double masculin, Sebastian Valmont, de séduire la vertueuse Annette Hargrove, dont les régulières déclarations sur les bienfaits de la virginité sont des agressions permanentes au systême de pensée de Mlle Merteuil.Ce challenge devient un pari, que Sebastian veut absolument gagner. Mais sa tentative de séduction ne produit pas les effets escomptés : il est séduit en retour par la jeune et jolie étudiante... |Ryan Phillippe (Sebastian Valmont)@Sarah Michelle Gellar (Kathryn Merteuil)@Reese Witherspoon (Annette Hargrove)@Joshua Jackson (Blaine Tuttle)@Selma Blair (Cecile Caldwell)@Louise Fletcher (Helen Rosemond)@Eric Mabius (Greg McConnell)@Sean Patrick Thomas (Ronald Clifford)@Swoosie Kurtz (Dr. Regina Greenbaum)@Christine Baranski (Bunny Caldwell)@Deborah Offner (Mme Michalak)@Tara Reid (Marci Greenbaum)@Herta Ware (Mrs. Sugarman)@Ginger Williams (Clorissa)@Charlie O'Connell (Court Reynolds)@||Secrets de tournage :
La rencontre avec Philippe
C'est sur le plateau de Sexe intentions que Reese Witherspoon rencontre Ryan Philippe, son futur mari avec qui elle aura un enfant.
Un château à New York
Steele et son équipe découvrirent une réplique de château français pour les
prises de vues extérieures de la propriété des Valmont. Situé à
l'embranchement de la 79e Rue et de la 5e Avenue, il abrite à présent
l'Institut Ukrainien d'Amérique. Il a été construit en 1898 et est fait en
pierre de taille, dans un style néogothique.
Thep Van de Sande, le directeur de la photographie
Né à Tillburg, en Hollande, Theo Van de Sande a obtenu son diplôme de
l'Académie du Cinéma hollandaise en 1970 et travaille comme directeur de la
photo depuis 1972. On lui doit l'image de plus d'une trentaine de films, 7
documentaires de long métrage, plus de 45 courts métrages, séries télé et
émissions musicales, sans compter les films publicitaires. En 1982 et 1987,
il a reçu le Golden Calf de la meilleure photo, la plus haute distinction
décernée à un directeur de la photo aux Pays-Bas.
Il a travaillé sur Ce cher intrus, Volcano, Wayne's World et Blade.
The Assault, film hollandais de Fons Rademakers, a obtenu le Golden Globe et
l'Oscar du Meilleur Film Etranger.
Reese Witherspoon ("Annette Hargrove")
C'est en 1991 que Reese Witherspoon effectue ses débuts dans Un été en
Louisiane, de Robert Mulligan.
Elle a partagé la vedette avec Mark Wahlberg et William Petersen du thriller
romantique Fear et, avec Kiefer Sutherland, celle de Freeway, version moderne
du Petit Chaperon rouge.
On a pu la voir également dans Wildflower, de Diane Keaton, Jack the bear, de
Danny DeVito et Pleasantville, de Gary Ross.
Ryan Philippe ("Sebastian Valmont")
Il a joué récemment dans Playing By Heart, aux côtés de Sean Connery et Gena
Rowlands.
Pour son premier rôle au cinéma, il a été Gil Martin dans le film de Ridley
Scott, Lame de fond. Depuis, Ryan Philippe a tourné dans Little boy blue, 54,
Nowhere, Homegrown et Souviens-toi l'été dernier.
Sarah Michelle Gellar ("Kathryn Merteuil")
On a découvert Sarah Michelle Gellar dans Souviens-toi l'été dernier, aux
côtés de Jennifer Love Hewitt, Freddie Prinz, Jr. et... Ryan Philippe.
On l'a vue également dans Scream 2, avec Neve Campbell, David Arquette et
Courtney Cox. Habituée de longue date de la télévision et du théâtre, Sarah
Michelle Gellar est aussi la vedette de la série télévisée "Buffy contre les
vampires".
Jon Gary Steele, le chef décorateur
Décorateur sur Total Recall, de Paul Verhoeven, Jon Gary Steele a été
directeur artistique de Quand Harry rencontre Sally, Un ange de trop et
Warlock. Il a été le chef décorateur de American History X.
Le tournage et l'ambiance
Sexe Intentions a été tourné pendant six semaines à New-York et Los Angeles.
Le chef décorateur Jon Gary Steele a choisi de créer un univers visuel qui rappelle l'atmosphère du roman original. Les intérieurs de la résidence de Valmont ont été construits à Los Angeles.
"La plus grande partie de l'histoire se déroule à New York de nos jours, mais
quand on entre chez les Valmont, on sent une touche française" , précise-t-il.
Jon Gary Steele a donné à la décoration des murs, aux peintures et aux
oeuvres d'art un esprit d'époque, alors que les meubles sont plus
contemporains.
"Les structures rappellent celles de l'époque mais les couleurs sont
modernes. Nous avons peint avec des couleurs actuelles - bleu profond, brun,
métallisé - des éléments d'architecture intérieure des siècles passés,
lambris, moulures etc. Nous avons cherché un mélange du temps et des genres.
Par exemple, les meubles du salon sont de style Louis XIV. Nous avons retiré
le bois et recouvert d'un tissu plus moderne. Je voulais que le public se
sente un peu dans un lieu intemporel, un mélange de matières et de couleurs
actuelles dans des formes anciennes. Parce que ces gens sont riches et
qu'ils voyagent beaucoup, j'ai conçu un décor hétéroclite, ajoute-t-il. Il y
a de nombreuses constructions françaises à New York, il n'est pas difficile
de trouver des gens comme les Valmont vivant dans des lieux semblables."
L'adaptation du roman
Sexe Intentions est la quatrième adaptation cinématographique du roman de Choderlos de Laclos, "Les Liaisons Dangereuses", publié en 1782.
1959 : Les Liaisons Dangereuses, de Roger Vadim, avec Gérard Philippe et Jeanne Moreau
1988 : Les Liaisons Dangereuses, de Stephen Frears avec Glenn Close, John Malkovich, Michelle Pfeiffer
1989 : Valmont, de Milos Forman avec Colin Firth, Annette Bening, Meg Tilly.
Propos du réalisateur :
"De nos jours, les jeunes ont une expérience de la vie et des rapports humains bien plus tôt que par le passé. Un adolescent de cette fin du XXe siècle peut avoir aujourd'hui l'expérience d'un trentenaire du XVIIIe siècle.
Cette constatation m'a donné envie de voir des jeunes mener les complots et les intrigues amoureuses que jusqu'à présent seuls des adultes avaient pu jouer. Avec la même intensité, le même venin, la même vanité - la fougue de la jeunesse en plus.
Choderlos de Laclos disait à propos de son roman qu'il aurait pu se situer à n'importe quelle époque et dans n'importe quel pays pour peu que les protagonistes sachent ce qu'était l'amour, car : "ni le temps, ni la culture n'altèrent un sentiment, rien ne change au pays du coeur."
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Il est déjà connu à Hollywood comme scénariste. On lui doit notamment : Dumb and Dumber, Kingpin, National Lampoon's Senior Trip.
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Cruel Intentions 2|Roger Kumble|||1||2000|83|||DIV3|||DIV3|966 Kbps|640x368|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|657||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Neal Moritz|Roger Kumble|James R. Bagdonas||||Le rencontre du duo infernal Sébastian et Kathryn, quelques années avant l'accident de Sébastian. Le jeune homme, tombé sous le charme de la douce et sage fille du proviseur, Danielle, est prêt à devenir fidèle. Mais Kathryn va tout faire pour briser cette nouvelle idylle. La jeune femme fera tout pour arriver à ses fins et détruire ce nouvel amour afin de retrouver Sébastian. |Robin Dunne (Sebastian Valmont)@Amy Adams (Kathryn Merteuil)@Sarah Thompson (Danielle Sherman)@Keri Lynn Pratt (Cherie Claymon)@Barry Flatman (le Directeur Sherman)@Mimi Rogers (Tiffany Merteuil)@Teresa Hill (Lilly)@Barclay Hope (M. Felder)@Tane McClure (Bunny Claymon)@David McIlwraith (Edward Valmont)@Jonathan Potts (l'assistant du Directeur Steve Muller)@Deanna Wright (Penny Cartwright)@Clement von Franckenstein (Henry)@Shuko Akune (Min Lin)@Hans Schoeber (Gunther)@Nicholas Guilak (Fred)@Ian D. Clark (le principal Freeman)@Jillian Hart (Delores Freeman)@Alicia Lorén (Sarah)@||||||||||||@@
Cruel Intentions 3|Scott Ziehl|Drame||2|américain|2004|81|||XviD|||XVID|777 Kbps|576x320|AC3|384 Kbps|True|48.0 KHz|6|683||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Neal Moritz|Rhett Reese|Thomas L. Callaway||||Deux des plus séduisants étudiants du collège de Santa Barbara, Jason Argyle et de Patrick Bales s'amusent à collectionner les conquêtes et à faire des paris. Alors que leur dernier pari se termine en match nul, ils décident de s'affronter pour conquérir la nouvelle étudiante : Cassidy Merteuil, la cousine de Kathryn Merteuil. Mais celle-ci fait monter les enchères ... |Kerr Smith (Jason Argyle)@Kristina Anapau (Cassidy Merteuil)@Nathan Wetherington (Patrick Bales)@Melissa Yvonne Lewis (Alison Lebray)@Natalie Ramsey (Sheila Wright)@Tom Parker (Michael Cattrall)@Michael Pemberton (Christopher Newborn)@Tara Carroll (Valeria Caldas)@Charlie Weber (Brent Patterson)@Alex Donnelley (Professeur Eldridge)@William Gregory Lee (l'assistant)@Aaron MacPherson (le policier)@Elizabeth Mcdonald (la grande blonde)@Cass Asher (le maître nageur)@||||||||||||@@
Date Movie|Aaron Seltzer Jason Friedberg|Comédie||1|américain|2006|82|Anglais||DX50|||DX50|1 013 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|160 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|27/08/2009 00:00:00|Paul Schiff|Jason Friedberg Aaron Seltzer|Shawn Maurer||Twentieth Century Fox France||Romantique absolue, Julia Jones a toujours cru au Grand Amour. Lorsqu'elle rencontre enfin l'Homme De Sa Vie, le très british Grant Funkyerdoder, elle croit tenir le bon bout. Encore faut-il qu'il plaise à sa famille...Avant d'atteindre le Bonheur Suprême, le chemin sera long et particulièrement déjanté... |Alyson Hannigan (Julia Jones)@Adam Campbell (Grant Fockyerdoder)@Jennifer Coolidge (Mme Fonckyerdoder)@Eddie Griffin (Frank Jones)@Fred Willard (M. Fonckyerdoder)@Sophie Monk (Andy)@Tony Cox (Hitch)@Carmen Electra (Anne)@Judah Friedlander (Nicky)@Marie Matiko (Betty)@Meera Simhan (Linda)@Mauricio Sanchez (Eduardo)@Beverly Polcyn@Valery M. Ortiz (Jell-O)@Charlie Dell (Justice de la Paix)@Josh Meyers (Napoleon)@Tom Lenk (Frodon)@Scott Bridges (Sal)@Tom Fitzpatrick (Galdalf)@Lil' Jon (lui-même)@Nadia Dina Ariqat (le sosie de Britney Spears)@Nick Steele (le sosie de Kevin Federline)@Edward Moss (le sosie de Michael Jackson)@Anthony Natale (L'homme sourd)@Andrea Ferrell (La femme aveugle)@Mark Chadwick (Chef)@||Secrets de tournage :
Au tour des comédies romantiques...
Comme son nom l'indique, Date movie s'inscrit dans la lignée de la saga parodique Scary movie. Cette fois, ce sont les récentes comédies romantiques qui font l'objet de pastiche. On trouve ainsi des références à Hitch - expert en séduction, Serial noceurs ou encore Mon beau-père et moi. Les auteurs du film expliquent:"Depuis des années, on voit des comédies qui parodient les films sportifs, les films d'espionnage, les films d'horreur...Mais où étaient les films d'amour là-dedans? Il y a pourtant de quoi faire! Nous avons regardé d'innombrables comédies romantiques et on s'est dit que c'était un genre avec lequel on pouvait s'amuser...".
Première réalisation
Date Movie est le premier film réalisé par Aaron Seltzer et Jason Friedberg. Auparavant, les deux complices s'étaient fait remarquer en tant que scénaristes des trois premiers opus de la saga Scary movie. Ils avaient vendu leur premier scénario, Agent zero zero, alors qu'ils sortaient tout juste de l'University of California Berkeley de Santa Barbara.
Nom de nom!
Le nom de l'héroïne est déjà un clin d'oeil en soi. "Julia Jones" est ainsi la contraction entre le prénom de l'actrice Julia Roberts, star des plus grandes comédies romantiques de ces dernières années, et du personnage fictif de Bridget Jones, l'éternelle célibataire qui a fait battre le coeur de tant de lectrices...
Actrice Movie
Les scénaristes avaient immédiatement pensé à Alyson Hannigan, la star d' American Pie et Buffy contre les vampires, pour jouer le rôle principal. Ils précisent:"Nous avons écrit le personnage en pensant à Alyson Hannigan. Parfois, penser à un acteur, à sa voix, vous aide à écrire. Nous avions imaginé Alyson dans le rôle, parce qu'elle est douce et gentille...Les filles l'aiment bien et les garçons veulent l'épouser!".
Nouveaux venus
Adam Campbell, qui interprète le dandy britannique Grant Funkyerdoder, venait de quitter l'Angleterre pour Los Angeles depuis seulement six semaines lorsqu'il fut sélectionné parmi les autres candidats lors du casting de Sexy Movie. Quand à Sophie Monk, qui joue son ex-fiancée Andy, elle est déjà une star de la chanson en Australie et en Nouvelle-Zélande.
Un vrai animateur
L'animateure de l'émission télévisée "The Bachelor", Chris Harrison, apparaît dans le film dans son propre rôle. Il plaisante:"On se fiche de moi un peu partout! Il était temps que je m'y emploie moi-même! Ce film est peut-être une farce, mais moi je prends ça comme un honneur!".
Relooking
L'épisode du "relookage" total de l'héroïne du film vient à la fois du film Hitch - expert en séduction et de plusieurs émissions télévisées américaines comme "Pimp my ride" et "Relooking Extreme", dans lesquelles des femmes au physique ingrat ou ordinaire sont transformées en de vraies bombes sexuelles.
Rire et chansons
Le compositeur David Kitay s'est spécialisé dans l'illustration musicale des comédies américaines. Outre une collaboration prolongée avec le metteur en scène Terry Zwigoff (Ghost World, Bad Santa, Art school confidential), il a notamment composé les bandes originales de Scary movie, Clueless et Eh mec, elle est où ma caisse ?.
De la peur au rire
Le monteur Paul Hirsch a travaillé sur 11 films du cinéaste Brian De Palma, et notamment sur Carrie, Blow out, Mission : impossible ou Mission to Mars.
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Shanghai Noon|Tom Dey|Western||3|américain|2000|105|||XviD|||XVID|794 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|32.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|706||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Gary Barber Roger Birnbaum Jonathan Glickman|Miles Millar Alfred Gough Paul Weitz Chris Weitz|Daniel Mindel||||En 1881, la princesse Pei Pei est enlevée dans la Cité interdite par Andrews, qui la livre aux Etats-Unis à Lo Fong. Celui-ci exige de l'empereur une forte rançon.Chon Wang, un garde impérial, traverse l'Atlantique pour remettre l'argent. Plongé brutalement dans l'Ouest sauvage, il fait la rencontre de Roy O'Bannon, un sympathique hors-la-loi, qui va l'aider dans sa mission. Echappant aux flèches des Indiens et aux balles des desperados, les deux hommes vont apprendre à se connaître. |Jackie Chan (Chon Wang)@Owen Wilson (Roy O'Bannon)@Lucy Liu (la princesse Pei Pei)@Brandon Merrill (Falling Leaves)@Roger Yuan (Lo Fong)@Xander Berkeley (le marshall Nathan Van Cleef)@Jason Connery (Calvin Andrews)@Walton Goggins (Wallace)@Adrien Dorval (Blue)@Rafael Baez (Vasquez)@Stacy Grant (Prostituée en détresse)@Kate Luyben (Fifi)@Rongguang Yu (Garde)@Ya Hi Cui (Garde)@Eric Chen (Garde)@Henry O (Interprète royal)@Russell Badger (Chef des Sioux)@Sam Simon (Chef des Sidekick)@Rick Ash (Jedadiah)@Valérie Planche (Femme de Jedadiah)@Jody Thompson (Margie)@Regent Or (L'Empereur)@Lisa Stafford (Blonde dans le train)@||Secrets de tournage :
Joseph Porro, chef costumier
Ce collaborateur de Roland Emmerich (Universal Soldier, Stargate, Independence Day, Godzilla) a notamment conçu les costumes des héros de The blob (Chuck Russell, 1988), de Super Mario Bros. (Annabel Jankel et Rocky Morton, 1993) et de Tombstone (George P. Cosmatos, id.).
Les scénaristes de L'arme fatale 4
Les deux scénaristes de Shanghaï Kid, Alfred Gough et Miles Millar, ont également signé le script de L'arme fatale 4 (Richard Donner, 1998).
Roger Yuan (Lo Fong)
Spécialiste des arts martiaux, Roger Yuan a joué dans de nombreux films d'action mineurs avant de tenir l'un des rôles principaux de Once upon a time in China and America (Samo Hung, 1997).
Il est également apparu aux génériques de Red corner (Jon Avnet, 1997) et de L'arme fatale 4 (Richard Donner, 1998).
Alex Green, l'homme au fouet
Alex Green, la doublure d'Anthony Hopkins dans Le masque de Zorro (Martin Campbell, 1998), a appris aux comédiens le maniement du fouet et du revolver. Xander Berkeley, l'un des comédiens, confesse qu'il a ainsi pu réaliser «un rêve de petit garçon».
Le choc des cultures, par Tom Dey, réalisateur
« Shanghaï Kid était (?) une occasion unique de parcourir des univers nombreux et très différents les uns des autres : la Cité Interdite en Chine, un village indien, un camp d'ouvriers chinois du chemin de fer, une petite ville de l'Ouest américain, et un vieux train à vapeur? Il est assez inhabituel de voir tous ces décors dans un même film ! Le fait est que le vieil Ouest demeure le lieu de rencontre ? et de choc ? de plusieurs cultures. »
Owen Wilson (Roy O'Bannon)
Débutant sa carrière aux côtés de Jim Carrey (Disjoncté de Ben Stiller, 1996) et de Bruce Willis (Armageddon de Michael Bay, 1998), Owen Wilson a notamment participé à Anaconda (Luis Llosa, 1997), Le breakfast des champions (Alan Randolph, 1999) et Hantise (Jan De Bont, id.).
Owen Wilson est également producteur. On lui doit Pour le pire et pour le meilleur (James L. Brooks, 1997), en tant que producteur associé, et Rushmore (Wes Anderson, 1999), en tant que producteur exécutif (et co-scénariste).
Lucy Liu (Princesse Pei Pei)
Star de la télévision, Lucy Liu s'est imposée au cinéma dans Payback (Brian Helgeland, 1999) et Les adversaires (Ron Shelton, 2000).
En 2000, elle est à l'affiche de Molly (John Duigan) et incarne l'une des Drôles de dames de McG.
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Shanghai Knights|David Dobkin|Comédie||3|américain|2003|109|||DivX|||DIVX|797 Kbps|512x296|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|708||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Roger Birnbaum Gary Barber Jonathan Glickman|Alfred Gough Miles Millar|Adrian Biddle||Buena Vista Pictures||Lorsqu'un rebelle chinois assassine le père de Chon Wang, la soeur de ce dernier se rend en Angleterre pour traquer le tueur. Chon et Ron O'Bannon partent également à Londres et découvrent l'existence d'une conspiration mondiale visant à détruire la famille royale et à envahir les royaumes chinois et anglais. Evidemment, la confrontation de nos deux héros avec les traditions anglaises ne se fera pas sans mal... |Jackie Chan (Chon Wang )@Owen Wilson (Roy O'Bannon )@Georgina Chapman (Debutante)@Richard Haase (Street Preacher)@Jonathan Harvey (Jonathan Harvey)@Oliver Cotton (Jack the Ripper)@Fann Wong (Chon Lin)@Donnie Yen (Wu Chow)@Thomas Fisher (Artie Doyle)@Aaron Johnson (Charlie Chaplin)@John Owens (Server)@Anna-Louise Plowman (Debutante)@Constantine Gregory (The Mayor)@Alison King (Prostitute)@Aidan Gillen (Rathbone)@||Secrets de tournage :
Le retour d'un joyeux duo
Shanghai kid 2 est la suite de Shanghai kid, réalisé en 2000 par Tom Dey et dont l'action se déroulait dans le vieil Ouest américain. Les deux comédiens du film d'origine, Jackie Chan et Owen Wilson, sont de retour mais sont cette fois lancés en plein Londres afin d'empêcher l'assassinat de la famille royale d'Angleterre.
Choc des cultures
Dans Shanghai kid, un cow-boy américain et un Asiatique très respectueux se confrontent à l'Angleterre victorienne. Un choc de cultures qui a particulièrement séduit Owen Wilson : "La simple idée d'un cow-boy et d'un Asiatique aux prises avec la société la plus raffinée, la plus codifiée que le monde ait connue depuis des siècles nous mettait déjà en joie ! Imaginez un univers de luxe, de courtoisie, d'hypocrisie, d'élégance, où seraient lâchés un type franc et naïf et un filou de l'Ouest..."
Jackie Chan de plus en plus fort ?
Après avoir tourné Shanghai kid 2, Jackie Chan n'hésite pas à déclarer que c'est sans doute l'un des films les plus dynamiques dans lesquels il ait joué depuis longtemps. "Ce film est probablement celui qui contient le plus grand nombre de combats depuis que j'ai quitté l'Asie", déclare le comédien. "L'histoire le permettait et les lieux offraient des potentialités exceptionnelles. On retrouve dans les combats la richesse du mélange. Du kung-fu au royaume de la reine Victoria, c'est assez original !"
Jackie Chan couvert d'éloges !
Toute l'équipe de Shanghai kid 2 ne tarit pas d'éloges au sujet de Jackie Chan, son coéquipier Owen Wilson en tête. "C'est un pur génie", s'enflamme ce dernier. "Sa façon de se mouvoir et l'esthétique de ses combats sont uniques. Il réussit l'exploit d'être à la fois le plus gentil des hommes et le plus redoutable des combattants."
David Dobkin, réalisateur du film, ose de son côté les plus flatteuses comparaisons : "C'est un peu le Buster Keaton ou le Chaplin de notre génération. Il combine le burlesque et la comédie comme personne. Il accomplit de véritables numéros tout en développant l'histoire par son jeu, c'est remarquable."
Enfin, le chef décorateur Allan Cameron note combien travailler avec la star asiatique demande une forte capacité d'adaptation : "Alors que pour la plupart des films, on peut se contenter de décors en trompe-l'oeil, avec lui, il faut s'attendre à tout. Lorsqu'il imagine une scène, Jackie ne se contente pas de chorégraphier ses mouvements ou ses combats, il observe, s'approprie n'importe quel élément de décor ou accessoire et l'incorpore à l'action. Tout peut être sollicité, les rideaux, les meubles, les bibelots...".
Créer une atmosphère victorienne
L'équipe de Shanghai kid 2 s'est attachée à recréer l'ambiance de l'époque victorienne, afin de donner au long-métrage un maximum d'authenticité. "Cette époque est un fabuleux écrin pour une aventure mêlant le mystère et l'action. Nous voulions que les décors aient le faste et l'ampleur de ce temps", précise le réalisateur David Dobkin. Soixante-dix décors ont ainsi été spécialement créés pour l'occasion, et le directeur de la photographie Adrian Biddle s'est attaché à restituer l'ambiance des aventures de Sherlock Holmes, avec docks brumeux, ruelles sombres et tavernes enfumées...
Rencontre au sommet
Shanghai kid 2 marque la première collaboration de Jackie Chan et Donnie Yen. Ces deux grandes stars du cinéma d'action hong-kongais n'avaient jamais combattu l'un contre l'autre sur grand écran. Donnie Yen, après de nombreux succès dans son pays natal, comme Il était une fois en Chine 2 : la secte du lotus blanc, débute sa carrière hollywoodienne en 2000 avec Highlander : Endgame. Il s'illustre ensuite dans Blade 2 et Shanghai kid 2.
Moments de bravoure
Shanghai kid 2 recèle de nombreux morceaux de bravoures. Parmi ceux-ci, un affrontement dans la célèbre tour d'horloge du Parlement, Big Ben ! Pour l'occasion, plusieurs segments du monument ont du être recréés grandeur nature en studio afin de donner tout son réalisme à la scène !
Autre grand moment du film, un combat se déroulant dans la porte tournante de l'hôtel Ritz. Un rêve d'enfant pour Jackie Chan qui déclare : "J'ai toujours voulu utiliser ce genre d'élément pour un de mes combats, mais je n'avais jamais pu. C'est à la fois très difficile et très spectaculaire. C'est un des combats les plus difficiles que j'aie eu à régler."
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Siu lam juk kau|Stephen Chow Tsang Kan-Cheung|Action||3|chinois|2002|85|||XviD|||XVID|995 Kbps|640x352|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|696||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Yeung Kwok Fai|Stephen Chow|Kwong Ting Wo||Miramax Films||Fung était une légende vivante du football, jusqu'à ce qu'il fasse perdre le championnat à son équipe. Fous de rage, les fans ne le lui ont pas pardonné.Aujourd'hui, Fung s'occupe du matériel de la Team Evil, l'équipe de son ancien partenaire, Hung. Lorsque Fung est renvoyé, il se tourne vers Sing, un moine du célèbre temple Shaolin qui possède des dons extraordinaires en matière d'arts martiaux.Lorsque Fung voit Sing mettre en déroute une bande de voyous avec un simple ballon de football, il a l'ingénieuse idée de créer une équipe de foot Shaolin pour vaincre ses adversaires... |Stephen Chow (Sing)@Vicki Zhao Wei (Mui)@Ng Mang-Tat (Fung)@Patrick Tse Yin (Hung)@Wong Yat Fei (Tête de fer)@Karen Mok (Equipe Moustache Joueur 2)@Cecilia Cheung (Equipe Moustache Joueur 1)@Vincent Kok (Chef de l'équipe Puma)@Chi Chung Lam (Poids plume)@Hong Li Bin (Equipe du Mal Joueur 1)@Yong Zhao (Equipe du Mal Joueur 2)@Lee Kin-Yan (Manny)@Yun Shi Zi (Centre Equipe du Mal)@Na Tsui (Sweetie)@Yeung Lun (Boucher)@Wei Lu (Reporter)@Tom Romero (Tête de fer)@Chan Kwok Kwan (Main de foudre)@Chiu Chi Ling (Accroche de jambe)@Zhang Ming Ming (Petit Hung)@Dong Pu Ye (Petit Fung)@Hua Cao (Gardien Equipe du Mal)@Sin Lam Tsz (Equipe Gangster Joueur 1)@Long Yuan Xiao (Equipe Gangster Joueur 2)@Fung Min Hun (Leader Equipe Rebellion)@Wing Sun Chi (Manager)@||Secrets de tournage :
"Shaolin soccer" récompensé
Grand gagnant des 21e Hong Kong Film Awards, Shaolin soccer a remporté sept prix, dont ceux de Meilleur film, Meilleur réalisateur et Meilleur acteur. Une première pour une comédie.
Des prouesses technologiques
Shaolin soccer mêle des scènes de kung-fu réelles avec des images de synthèse ajoutées pendant la phase de post-production. L'équipe technique a également eu recours au procédé du bullet-time, effet visuel utilisé pour Matrix, et à celui du wire-fu. Cette dernière technique consiste à tourner les prouesses sportives des comédiens en employant des câbles invisibles qui les supportent et qui leur permettent d'accomplir des acrobaties impossibles à réaliser autrement.
Retrouvailles Chow / Mang-tat
Ng Mang-tat, qui incarne Fung, a déjà joué dans deux comédies de Stephen Chow : The God of cookery (1996) et King of comedy (1999).
Une version américanisée
Pour sa sortie française en salles, Shaolin soccer est présenté dans une version américanisée différente de l'originale. Ce sont les studios Miramax, qui en ont acquis les droits de distribution aux Etats-Unis, qui se sont chargés du remontage du film.
Une suite à "Shaolin soccer"
Plus gros succès de tous les temps à Hong Kong avec plus de 7,7 millions de dollars de recettes, Shaolin soccer connaîtra une suite, dont la mise en chantier à été annoncée lors du Hong Kong International Film & TV Market. Ce deuxième volet sera à nouveau réalisé et interprété par Stephen Chow.
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Shaun of the Dead|Edgar Wright|Comédie|Interdit aux moins de 12 ans|3|britannique|2005|95|Anglais||XviD|||XVID|886 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Nira Park|Edgar Wright Simon Pegg|David M. Dunlap||Mars Distribution||À presque 30 ans, Shaun ne fait pas grand-chose de sa vie. Entre l'appart qu'ilpartage avec ses potes et le temps qu'il passe avec eux au pub, Liz, sa petiteamie, n'a pas beaucoup de place. Elle qui voudrait que Shaun s'engage, nesupporte plus de le voir traîner. Excédée par ses vaines promesses et sonincapacité à se consacrer un peu à leur couple, Liz décide de rompre.Shaun est décidéà tout réparer, et tant pis si les zombies déferlent sur Londres, tant pis si laville devient un véritable enfer. Retranché dans son pub préféré, le temps est venupour lui de montrer enfin de quoi il est capable... |Simon Pegg (Shaun)@Nick Frost (Ed)@Dylan Moran (David)@Kate Ashfield (Liz)@Lucy Davis (Dianne)@Bill Nighy (Philip)@Nicola Cunningham (Mary)@Jessica Stevenson (Yvonne)@||Secrets de tournage :
La genèse du projet
L'idée de Shaun of the dead date de 1999. A cette époque, Edgar Wright réalise la série télévisée Spaced sur la chaîne britannique Channel Four, sitcom emmenée par l'acteur Simon Pegg, également scénariste du programme. Dans l'un des épisodes, Pegg se voyait piégé dans le jeu vidéo Resident Evil 2 et combattait des zombies. Grands fans des films de morts-vivants, l'acteur et le réalisateur Edgar Wright prirent tellement de plaisir à tourner ces scènes qu'ils décidèrent de faire équipe pour mettre en chantier un long-métrage mettant en vedettes des zombies.
Un film de zombies, mais pas seulement...
Avec Shaun of the dead, le réalisateur Edgar Wright explique qu'il a eu envie de faire "une comédie horrifique avec des zombies, qui mélange des vrais thèmes sociaux et humains imbriqués dans le contexte décalé des classiques du film d'horreur. Nous voulions l'alliance de situations très concrètes, de dialogues drôles dans un univers réellement terrifiant."
Casting de zombies
La plupart des zombies de Shaun of the dead (environ 70% des figurants zombies) ont été recrutés parmi les membres du fan club de la série télévisée Spaced, créée par Edgar Wright et Simon Pegg, respectivement réalisateur-scénariste et scénariste-acteur du long-métrage. Les cinéastes ont également recruté des artistes de cirque.
Clin d'oeil à Lucio Fulci
Le nom du restaurant Fulci's Restaurant, mentionné dans le film, est un clin d'oeil adressé au réalisateur italien de films d'horreur Lucio Fulci.
Référence à "La Nuit des morts vivants"...
Dans la scène où Shaun et Ed regardent le journal télévisé, le présentateur emploie les mêmes paroles que le reporter visible dans La Nuit des morts vivants, l'oeuvre de George A. Romero à laquelle ce film rend largement hommage.
... et aux autres
Shaun of the dead fourmille de références cinématographiques en tous genres. Le film fait des clins d'oeil à des films célèbre de zombies (La Nuit des morts vivants, L'Armée des morts, 28 jours plus tard, Evil dead), mais aussi à Orange mécanique, Star wars et Reservoir dogs.
Sur un air de Coldplay...
Chris Martin, le chanteur du groupe britannique Coldplay, fait une double apparition dans Shaun of the dead : d'abord dans son propre rôle à la fin du film, mais également dans le rôle d'un zombie passant devant une cabine téléphonique.
Une récompense majeure
En 2005, Shaun of the dead a été récompensé du Saturn Award du Meilleur film, distinction majeure dans le domaine du cinéma fantastique.
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The Dukes of Hazzard|Jay Chandrasekhar|Action||2|américain|2005|103|Anglais||XviD|||XVID|802 Kbps|512x368|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||23.976|02/08/2009 00:00:00|Bill Gerber|Jay Chandrasekhar John O'Brien|Larry Sher||Warner Bros.||Bo Duke et son cousin Luke ont trois passions dans la vie : leur puissante Dodge, le whisky de contrebande, dont ils font un trafic et une consommation déraisonnables, et les filles de ferme prêtes à tout si affinités. Ainsi va la vie... jusqu'au jour où un politicien véreux, "Boss" Hogg, décide de faire main basse sur la ferme des Duke et les terres du Comté... |Seann William Scott (Bo Duke)@Johnny Knoxville (Luke Duke)@Jessica Simpson (Daisy Duke)@Burt Reynolds (Boss Hogg)@Joe Don Baker@Lynda Carter (Pauline)@Willie Nelson (Oncle Jesse)@M.C. Gainey (le shérif Roscoe P. Coltrane)@Alice Greczyn (Lori)@Nikki Griffin (Katie Johnson)@Alicen Holden (Allison)@Henry Jaderlund (Wayne)@Jacqui Maxwell (Annette)@Jack Polick (Député Cletus)@James Roday (Billy Prickett)@Michael Roof (Dil Driscoll)@Michael Weston (Enos)@Paul Soter (Rick Shakely)@||Secrets de tournage :
Adapté d'une série culte
Shérif, fais-moi peur est l'adaptation cinématographique de la célèbre série du même nom, dont les 147 épisodes furent diffusés entre 1979 et 1985 sur la chaîne américaine CBS.
Un casting d'aujourd'hui
Trois des principaux rôles de Shérif, fais-moi peur ont été attribués à des valeurs montantes d'Hollywood : Seann William Scott, le Stifler d'American pie, incarne Bo Duke; Johnny Knoxville, révélé avec la série trash Jackass, campe son cousin Luke; enfin, Jessica Simpson, chanteuse à succès dont c'est ici la première expérience sur grand écran, se glisse sous les traits de la sexy Daisy. Ces trois comédiens sont entourés des expérimentés Burt Reynolds (Boss Hogg) et Willie Nelson (Oncle Jesse).
Jessica Simpson au micro
La comédienne Jessica Simpson, qui incarne Daisy dans Shérif, fais-moi peur, a fait profiter le long-métrage de son expérience en tant que chanteuse. Elle chante ainsi These boot are made for walkin', premier extrait issu de la bande-originale du film. Outre cette chanson, la BO accueille des groupes comme Lynyrd Skynyrd, Ram Jam, Blues Explosion ou encore Willie Nelson, alias Oncle Jesse !
Rumeurs de casting
Avant l'élaboration définitive du casting, Ashton Kutcher et Paul Walker, deux valeurs montantes d'Hollywood, étaient sur les rangs pour reprendre les rôles des deux cousins fous du volant Bo et Luke Duke. Anthony Anderson, vu dans En sursis, était pressenti pour incarner le machiavélique et ridicule Boss Hogg, tandis que des rumeurs faisaient état de Mandy Moore, Jessica Biel ou... Britney Spears pour le personnage de la sexy Daisy Duke.
Hasard ou coïcidence ?
Etonnant signe du destin : le tournage de Shérif, fais-moi peur débuta le 8 novembre 2004, soit 26 ans, quasiment au jour près, après le premier jour de tournage de One armed bandits, premier épisode de la série d'origine.
En voiture !
Pas moins de 26 véhicules Dodge Chargers, datant de 1968 et 1940, furent utilisés pour les besoins de Shérif, fais-moi peur. Une voiture ayant été utilisé dans la série d'origine fut même rapatriée sur le plateau, en guise de clin d'oeil nostalgique.
Un accord à 17,5 M$
Les studios Warner Bros. ont dû verser la somme de 17,5 millions de dollars à un dénommé Robert B. Clark afin de pouvoir sortir sans encombre cette comédie. Ce dernier, producteur du méconnu Moonrunners de Gy Waldron en 1975, affirmait que ce film avait directement inspiré la série Shérif, fais-moi peur ! créée quatre ans plus tard par... Gy Waldron, et donc par là même son adaptation sur grand écran.
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The Shining|Stanley Kubrick|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|3|britannique|1980|114|Anglais||DIV3|||DIV3|722 Kbps|512x384|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|48.0 KHz|2|692||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Stanley Kubrick|Stanley Kubrick Diane Johnson|John Alcott||Warner Bros. France||Jack Torrance, gardien d'un hôtel fermé l'hiver, sa femme et son fils Danny s'apprêtent à vivre de longs mois de solitude. Danny, qui possède un don de médium, le "Shining", est effrayé à l'idée d'habiter ce lieu, théâtre marqué par de terribles évènements passés... |Jack Nicholson (Jack Torrance)@Shelley Duvall (Wendy Torrance)@Danny Lloyd (Danny Torrance)@Scatman Crothers (Dick Hallorann)@Barry Nelson (Ullman)@Philip Stone (Delbert Grady)@Joe Turkel (Lloyd)@Anne Jackson (le docteur)@Lia Beldam (la jeune femme dans le bain)@Billie Gibson (la vieille femme dans le bain)@Robin Pappas (l'infirmière)@Alison Coleridge (Susie la secrétaire)@Jana Sheldon (l'hôtesse)@Tony Burton (Larry Durkin)@Barry Dennen (Bill Watson)@||||||||||||@@
Shinobi|Ten Shimoyama|Aventure||2|japonais|2007|97|Japonais||XVID|||XVID|870 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|704||||25.000|08/08/2009 00:00:00||Kenya Hirata|Shinji Chikamori||Eurozoom||En 1614, le Japon est dirigé par les Shoguns qui ont su unifier le pays en imposant la paix. Pour en finir avec les années de chaos, le Shogunat décide de mettre un terme à la rivalité existant entre les clans Iga et Koga, deux familles ninja rompues à l'art ancien du shinobi, dernier vestige du passé guerrier des Japonais.Profitant de la haine ancestrale existant entre les deux familles, le premier Shogun oblige les chefs des deux tribus à désigner respectivement leurs cinq meilleurs guerriers pour un combatà mort au terme duquel sera désigné l'héritier du royaume.Ainsi se voit scellé le sort d'Oboro et de Gennosuke, les héritiers des deux familles Iga et Koga qui devront choisir entre leur amour et la mort pour l'honneur de leur clan. |Yukie Nakama (Oboro)@Jô Odagiri (Gennosuke)@Lily (Ogen, le chef du village)@Kippei Shiina (Tenzen)@Erika Sawajiri (Hotaru-bi)@Taku Sakaguchi (Yashamaru)@Shun Ito (Mino Nenki)@Minoru Terada (Danjo, le chef du village)@Tomoka Kurotani (Kagero)@Takeshi Masu (Hyoma)@Houka Kinoshita (Koshiro)@Kazuo Kitamura (Leyasu, le premier shogun)@Renji Ishibashi (Tenkai)@Yutaka Matsushige (Hattori Hanzou)@Toshiya Nagasawa (Yagyu Munenori)@||Secrets de tournage :
Genèse d'une adaptation
Shinobi est l'adaptation d'un roman intitulé Koga Ninpo-cho (littéralement Les Parchemins ninja du clan Koga) écrit par Futaro Yamada. Ce dernier, ancien étudiant en médecine a conquis le public avec ses intrigues policières et ses histoires sur les ninjas. D'ailleurs, c'est lui qui façonnera le mythe moderne des ninjas tel que nous le connaissons. Il participera en tant qu'auteur aux mangas Basilisk adapté directement de son roman, et dont l'illustration est confiée à Masaki Segawa. Le roman sera par la suite adapté en série animée également intitulée Basilisk , par la société de production Gonzo. La production de la série avait démarré en 2005 en même temps que celle du film.
Production inédite
C'est la première fois dans l'histoire du cinéma japonais, qu'un film a été majoritairement financé par des particuliers ! Ainsi un milliard de yens du budget total (1,5 milliard de yens) proviennent des investisseurs privés et des fonds de films généraux. Les cinéphiles japonais qui ont investi au minimum 100 000 yens, ont eu en échange l'opportunité de suivre le développement du film en exclusivité, de bénéficier des places à l'avant-première, des images inédites, ou alors d'un DVD spécialement édité pour eux !
Une touche fantastique
Shinobi, qui met en scène l'affrontement entre deux clans ennemis, reprend la véritable histoire du clan Koga et du clan Iga qui se sont opposés pendant plusieurs années. Néanmoins, le réalisateur Ten Shimoyama a donné à cette histoire une tournure fantastique avec ses héros aux pouvoirs surnaturels.
Histoire de ninjas
A l'époque, le terme shinobi était employé pour désigner un ninja, guerrier espion dans le Japon Médiéval. L'existence des ninjas remonterait à l'époque Yamato (IV ème au VI ème siècle). Ils étaient au service des plus puissants, dont les seigneurs féodaux, et avaient une mauvaise réputation auprès du peuple en raison de leurs activités criminelles.
Deux clans ennemis aux pouvoirs destructeurs
Dans le clan Koga, les héros sont Hyoma, un non-voyant capable de prévoir les évènements et de lire dans les astres, Kagero, un shinobi dont le corps sécrète un poison mortel, Saemon, capable de prendre l'apparence d'une personne ou se confondre dans le paysage. Quant au clan Iga, nous pouvons trouver Oboro, dont les yeux abritent un pouvoir qui surpasse celui des autres, Tenzen, un immortel également conseiller du chef Ogen, et enfin Yashamaru, expert dans l'art de découper ses victimes avec des fils d'acier tranchant comme le rasoir.
Effets spéciaux
Des techniques innovantes ont été utilisées dans le film, et notamment celle de la Capture Motion. Cette dernière consiste à capturer des mouvements d'acteurs humains pour les transposer sur un squelette virtuelle en 3D afin d'obtenir une totale liberté des mouvements. Ce procédé apporte un certain réalisme aux scènes et une rapidité incomparable dans les déplacements et les mouvements des personnages. Quant au concept design, il a été imaginé par Akihiro Yamada, un des plus grands illustrateurs japonais connu pour son travail sur les séries d'animation cultes, Lodoss et Les 12 royaumes.
L'aventure française
C'est la société Kaze, éditeur de vidéos d'animation japonaise qui a acquis les droits du film. Signalons que Kaze a à son actif Le Tombeau des lucioles et Appleseed. Shinobi est ainsi sa première acquisition de film en prise de vue réelle.
Festivals
Shinobi a fait le tour du monde puisqu'il est sorti aux Etats-Unis, en Australie, en Italie, en Allemagne. Il a également été présenté dans de nombreux festivals dont au New York Asian Film Festival ou au Festival International du Film Asiatique de Deauville.
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Shoot'Em Up|Michael Davis (II)|Action|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|2007|86|Anglais||XviD|||XVID|975 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|142 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Rick Benattar Susan Montford Don Murphy|Michael Davis (II)|Peter Pau||New Line Cinema||Smith n'aurait jamais dû se trouver là et pourtant, en pleine fusillade, il aide un enfant à naître et le sauve d'une bande de tueurs. Lui, sombre et violent, se retrouve à protéger l'être le plus innocent qui soit. Le nouveau-né est la cible d'une puissance mystérieuse décidée à effacer toute trace de son existence grâce au redoutable Hertz et à son armée d'assassins.Alors que les affrontements sont de plus en plus meurtriers, Smith ne peut compter que sur lui-même et sur DQ, une prostituée, pour sauver le petit. Le couple doit tenter de percer le secret de l'enfant en restant du bon côté des balles... |Clive Owen (Mr. Smith)@Paul Giamatti (Mr. Hertz)@Monica Bellucci (DQ)@Greg Bryk (le solitaire)@Stephen McHattie (Hammerson)@Ramona Pringle (la mère du bébé)@Jane McLean (Mme Maddie)@Michael Edward Rose (le dernier garde)@Mike Dopud (l'homme du van)@Laura DeCarteret (la femme du musée)@Layton Morrison (l'éleveur de chiens)@Daniel Pilon (Le sénateur Rutledge)@Harry Karp (celui qui boit le milk shake)@Suresh John (le directeur de l'hôtel)@Paul Mota (le soldat mort)@Jeffrey Parazzo (Devon)@Julian Richings (le chauffeur de Mr. Hertz)@||Secrets de tournage :
De la comédie pour ados au polar musclé
Connu pour avoir mis en scène les comédies pour ados Voisine de coeur (1997) avec Keri Russell et 100 Girls (2001) avec Jonathan Tucker, Michael Davis change ici radicalement de registre en s'essayant au polar musclé.
L'influence de John Woo
C'est en voyant une scène du film de John Woo A toute épreuve que Michael Davis a eu l'idée de Shoot 'Em Up. Le réalisateur confie : "Chow Yun-Fat y joue un homme qui se retrouve en pleine
fusillade avec dans une main un flingue et dans l'autre, un bébé qu'il protège. Cette scène m'a impressionné. Elle a été l'étincelle. Associer un homme et un bébé, la force et l'innocence, l'expérience et l'espoir, provoquait une réaction d'émotion et un fabuleux tremplin pour l'action."
De l'animatique pour convaincre
Pour convaincre les producteurs Susan Montford, Don Murphy et Rick Benattar, les producteurs exécutifs de New Line Cinema et les acteurs, le réalisateur Michael Davis a créé un film d'animation de quinze minutes constitué de 17 000 dessins présentant quinze scènes du film.
Il explique : "Il m'a fallu six mois pour faire ce film. Je n'avais pas imaginé qu'il allait autant m'aider. Au début, j'avais presque démarré cet animatique comme un loisir. Quand j'ai terminé la première séquence, celle de la fusillade en chute libre, j'ai trouvé que ce n'était pas trop mal, alors j'ai décidé de faire une autre scène. Et ainsi de suite !"
Paul Giamatti en méchant de service !
Habitué à incarner des personnages sujets à des crises existentielles, Paul Giamatti trouve ici l'occasion de s'illustrer dans un autre type de rôle. Le comédien raconte : "Je n'avais jamais joué de rôle
de méchant ou tiré avec une arme auparavant, c'est une des nombreuses raisons qui m'ont donné envie de faire ce film. Il y a vers la fin une scène digne des interrogatoires de la Gestapo où je brise un par un tous les doigts de Mr. Smith. J'ai eu envie de jouer cette situation depuis l'instant où je l'ai découverte dans le scénario !"
Allo Clive, ici Bébé !
Pour le bébé, le réalisateur Michael Davis a eu recours à deux paires de jumeaux, des triplés et cinq mannequins très réalistes. Deux semaines avant d'accoucher de ses jumeaux, un garçon et une fille, Eva Mende Gibson reçut à Toronto un appel téléphonique d'un agent qui lui demanda si elle accepterait de participer à un film avec ses enfants quand ils seraient nés. La surprise passée, Eva Mende Gibson accepta.
Experts en maniement des armes
Charles Taylor, spécialiste en armes à feu, a fourni environ 80 armes différentes. Il explique : "Durant le film, Clive Owen se sert de 18 armes à feu différentes. Hertz utilise une des armes les plus impressionnantes du marché, un Desert Eagle calibre 50. Ses sbires emploient un mélange d'armes allant de modèles de poing jusqu'aux armes de guerre automatiques." Avant le tournage, Clive Owen et Paul Giamatti ont effectué un entraînement au maniement des armes à feu. Ils ont aussi appris les tactiques de combat rapproché avec armes.
6 000 amorces pyrotechniques
Durant le film, 85 personnes sont tuées au cours des nombreux combats. Certaines scènes ont nécessité l'utilisation simultanée de 150 à 200 amorces pyrotechniques, ce qui a demandé de multiples prises et angles de vue pour bien filmer les impacts et les étincelles qu'ils provoquent. Les effets visuels numériques ont ensuite ajouté des centaines d'impacts de balles en plus à l'image. Le coordinateurs des effets spéciaux Colin Chilvers raconte : "Je crois que la majorité de notre budget est passée dans les amorces ! Nous en avons utilisé environ 6 000. J'ai dû en employer autant sur ce film que sur tous les autres que j'ai faits réunis !"
Début de tournage
Le tournage de Shoot 'Em Up a débuté le 13 février 2006 à Toronto, au Canada.
Une trilogie en préparation ?
Le réalisateur Michael Davis songerait très sérieusement à mettre en scène deux nouveaux volets qui feraient suite à Shoot 'Em Up. Il lancerait ainsi une saga où les mêmes acteurs s'illustreraient à travers des histoires et des personnages différents, à la manière de la trilogie des dollars de Sergio Leone.
Présenté à Deauville
Shoot 'Em Up a été présenté hors-compétition au Festival de Deauville 2007.
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Shooter|Antoine Fuqua|Action||3|américain|2007|120|Anglais||XviD|||XVID|665 Kbps|576x224|MPEG-1 Audio layer 3|130 Kbps|False|48.0 KHz|2|696||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Lorenzo di Bonaventura|Jonathan Lemkin|Peter Menzies Jr.||Paramount Pictures||L'éclaireur et tireur d'élite Bob Lee Swagger s'est couvert de gloire sur divers fronts avant qu'une odieuse trahison ne l'amène à quitter les Marines et à se couper du monde. Reclus dans un chalet, au sommet d'une montagne quasi inaccessible, Swagger pense avoir tourné la page et se croit désormais à l'abri de toute nouvelle mésaventure. Mais lorsque le colonel Isaac Johnson vient le relancer et lui demande une fois de plus son aide pour déjouer un complot imminent contre le Président des Etats-Unis, le "shooter" ne peut se dérober à son devoir.Comment pourrait-il anticiper le piège diabolique qui lui est tendu et deviner qu'il va bientôt se retrouver accusé de tentative de meurtre ? Traqué à travers tout le pays par une meute de mercenaires, il est obligé de mobiliser toutes ses ressources pour survivre, retrouver son honneur et déjouer la plus terrifiante des conspirations. |Mark Wahlberg (Bob Lee Swagger)@Michael Peña (Nick Memphis)@Rhona Mitra (Lourdes)@Kate Mara (Sarah Fenn)@Dean McKenzie (Desmond Mutumbo)@Jonathan Walker (Louis Dobbler)@Lane Garrison (Donnie Fenn)@Danny Glover (Colonel Isaac Fitzsimmons Johnson)@Elias Koteas (Jack Payne)@Ned Beatty (Charles F. Meachum)@Rade Serbedzija (Michael Sandor)@Zak Santiago Alam (Agent Zack)@Brian Markinson (Russert)@Mackenzie Gray (Dave Simmons)@Adrian Hughes (Benjamin 'Ben' Davis)@||Secrets de tournage :
Adapté d'un roman de Stephen Hunter
Shooter est l'adaptation d'un roman de Stephen Hunter qui s'intitule Point of Impact. Critique de cinéma au Washington Post et lauréat du prix Pulitzer, cet auteur signait là un palpitant récit à suspense, qui connut un énorme succès et fut le point de départ d'une "trilogie Swagger" regroupant les romans Black Light et Time to Hunt.
Le scénariste Jonathan Lemkin au travail
Pour travailler à l'adaptation de ce roman de 500 pages, le scénariste Jonathan Lemkin (L'Arme fatale 4, L'Associé du diable) ne s'appuya pas seulement sur l'écriture précise et documentée de Stephen Hunter et sa connaissance intime de la mentalité et du comportement des hommes d'action, mais également sur la vision de quelques grands thrillers "parano" des années 70 - Les Hommes du Président, A cause d'un assassinat - reflétant la profonde méfiance des Américains à l'égard de leurs institutions.
Insertion totale dans le milieu des snipers
Pour se mettre encore plus dans l'ambiance et dans la peau de Bob Lee Swagger, le scénariste Jonathan Lemkin suivit un stage de tir de haute précision : "Je me suis rendu sur une base privée où s'entraînent actuellement des volontaires pour l'Irak. J'ai appris à tirer aux côtés des Marines, à démonter et nettoyer mon arme, à ramper à travers les buissons et, surtout, à assimiler un peu de la mentalité des snipers. J'ai également passé un certain temps avec des agents du FBI et procédé à quantité de recherches dans le domaine de la médecine de guerre."
Retrouvailles Lorenzo di Bonaventura / Mark Wahlberg
Le producteur Lorenzo di Bonaventura et l'acteur Mark Wahlberg se connaissaient déjà pour avoir travaillé ensemble sur le thriller de John Singleton, Quatre frères. Lorenzo di Bonaventura fut impressionné par l'extrême intensité du jeu du comédien : "Mark est incroyablement concentré. Il va toujours au bout de ses engagements et ne s'arrête que lorsqu'il a obtenu ce qu'il visait. Il confère une étonnante véracité à Bob Lee Swagger parce que chacune de ses scènes procède d'un investissement total. Et Mark n'a pas peur non plus d'être un homme, à l'image des grandes stars d'antan."
Mark Wahlberg en phase d'entraînement
Mark Wahlberg dut suivre un entraînement rigoureux pour incarner un tireur d'élite authentique. Durant cette "formation de base", il acquit et cultiva certains des dons qui font la spécificité des meilleurs shooters, notamment cette faculté de concentration et cette maîtrise des émotions qui permettent au tireur de faire mouche à coup sûr. Pour ce travail de préparation, la production recruta l'un des plus grands tireurs d'élite américains : Patrick Garrity, éclaireur des U.S. Marines qui a participé à diverses interventions à l'étranger et assuré la formation de snipers. L'entraînement débuta au Front Sight Firearms Training Institute, près de Las Vegas. Après un petit rappel historique sur le rôle éminent des snipers américains dans maintes batailles, Patrick Garrity apprit à l'acteur les différentes positions de tir, l'utilisation de la lunette télescopique et l'appréciation des divers paramètres à prendre en compte dans un tir de haute précision (comme par exemple les effets du vent). Il apprit également à Mark Wahlberg à enchaîner rapidement les tirs et les techniques de relaxation indispensables au sniper.
Michael Peña se prépare au rôle
Grand fan de Training Day, Michael Pena souhaitait ardemment travailler avec le réalisateur Antoine Fuqua sur Shooter tireur d'élite. Pour ce faire, il fréquenta assidûment les bureaux du FBI
de Los Angeles et Philadelphie et suivit un entraînement au tir de précision pour les scènes où Memphis et Swagger affrontent une bande de mercenaires.
Dates et lieux de tournage
Le tournage a débuté le 19 juin 2006 et s'est déroulé dans de multiples décors naturels, des montagnes et glaciers de Colombie Britannique aux rues de Washington, Philadelphie et Baltimore. Certaines séquences spectaculaires ont ainsi été filmées sur le Rainbow Glacier, près de Whistler (B.C.), au prix d'un considérable effort logistique. Plusieurs autres scènes d'action, situées dans le ranch de Swagger, furent réalisées dans les hauteurs escarpées de Mission (B. C.), à environ 90 minutes de Vancouver, avec le précieux concours du chef cascadeur John Stoneham Jr.. Après l'épisode "africain" (tourné dans la communauté déserte d'Ashford), Antoine Fuqua et son équipe regagnèrent les Etats-Unis pour les séquences de Washington, Philadelphie et Baltimore.
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Short Circuit|John Badham|Aventure||3|américain|1986|94|Anglais||DIVX|||DIVX|877 Kbps|624x304|MPEG-1 Audio layer 3|135 Kbps|False|48.0 KHz|2|688||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Gregg Champion David Foster Lawrence Turman|S.S. Wilson Brent Maddock|Nick McLean|||Saga : Johnny 5 |Robot participant à une expérience scientifique, Numéro 5 développe une intelligence artificielle et des caractéristiques humaines après un court-circuit. Il essaie d'échapper à son condition de robot et s'enfuit. Les autorités organisent alors la traque... |Ally Sheedy (Stephanie Speck)@Steve Guttenberg (Newton Crosby)@Fisher Stevens (Ben Jabituya )@Austin Pendleton (Howard Marner)@G.W. Bailey (Skroeder)@Brian McNamara (Frank)@Tim Blaney (Numéro 5 (voix))@Marvin J. McIntyre (Duke)@John Garber (Otis)@||||||||||||@@
Short circuit 2|Kenneth Johnson|Comédie||3|américain|1988|110|Anglais||DX50|||DX50|748 Kbps|576x416|MPEG-1 Audio layer 3|127 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|13/08/2009 00:00:00|David Foster Gary Foster Lawrence Turman|Brent Maddock S.S. Wilson|John McPherson||Columbia TriStar Films|Saga : Johnny 5 |Il se prénomme lui-même Johnny. C'est un robot d'un prototype révolutionnaire numéro 5. Un jour d'orage, il échappe à ses propriétaires, des militaires, et comme il est fidèle en amitié, il retrouve son créateur, Ben Jahrvi. L'espiègle Johnny et son papa vont connaître de multiples et cocasses aventures... |Fisher Stevens (Ben Jahrvi)@Michael McKean (Fred Ritter)@Cynthia Gibb (Sandy Banatoni)@Jack Weston (Oscar Baldwin)@Tim Blaney (Voix VO de Johnny Five)@Dee McCafferty (Saunders)@||||||||||||@@
Showtime|Tom Dey|Comédie||2|américain|2002|95|Anglais||XviD|||XVID|884 Kbps|592x240|MPEG-1 Audio layer 3|129 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Jorge Saralegui Jane Rosenthal|Alfred Gough Miles Millar|Thomas Kloss||Warner Bros.||Le lieutenant Mitch Preston, un vétéran de la police de Los Angeles, ne souhaite qu'une chose : continuer à exercer son métier en paix, comme il le fait depuis plus de vingt ans. Pour l'agent Trey Sellars, la police n'est en revanche qu'une étape sur le chemin du vedettariat.
Une nuit, ce comédien frustré sabote par excès de zèle l'aboutissement d'une enquête de plusieurs mois qui devait permettre à Mitch d'appréhender de dangereux trafiquants d'armes. Une équipe de télévision, malencontreusement alertée par Trey, est là pour filmer leur rencontre pour le moins inattendue. Chase Renzi, une ambitieuse productrice, saute sur l'occasion et force Mitch à être la star de son prochain reality-show télévisé, destiné à redorer le blason du LAPD. Il aura pour partenaire Trey, un coéquipier noir, qui garantira charme, tchatche et humour. |Robert De Niro (Mitch Preston)@Eddie Murphy (Trey Sellars)@Rene Russo (Chase Renzi )@William Shatner (lui-même)@Frankie Faison (le capitaine Winship)@Pedro Damian (Ceasar Vargas )@Dante Beze (le malfrat)@Nestor Serrano (Ray )@T.J. Cross (ReRun)@Johnny Cochran (lui-même)@||Secrets de tournage :
Le recrutement de Chick Daniel
Pour garantir un maximum d'authenticité au film, la production fit appel à Chick Daniel, un retraité de la police de Los Angeles, collaborateur occasionnel du reality-show L.A.P.D. Life on the Beat. Ce dernier donna de précieux conseils concernant les procédures juridiques et le matériel.
Le caméo de l'avocat Johnny Cochran
Johnny Cochran, un avocat très populaire aux Etats-Unis, joue brièvement son propre rôle dans Showtime, en prenant la défense du modeste trafiquant d'armes ReRun, interprété par T.J. Cross.
La productrice Jane Rosenthal s'explique : "Le gag "Mon avocat est Johnny Cochran" ne figurait pas dans le scénario. C'est T.J. Cross qui l'a amené en improvisant cette réplique. Cela nous a tous fait hurler de rire, et comme nous n'avions pas encore engagé d'acteur pour ce personnage, quelqu'un a eu l'idée d'appeler le cabinet de Johnny Cochran. Imaginez notre joie lorsqu'il a accepté..."
Un travail d'acteur différent
Tom Dey a organisé son travail en fonction des approches diamétralement opposées que Robert De Niro et Eddie Murphy ont du métier d'acteur. Le premier préfère digérer son texte, le mûrir à loisir, tandis que le second l'apprend fréquemment à la dernière minute. Pour profiter au maximum de leurs talents respectifs, le cinéaste a filmé en premiers les axes sur Eddie Murphy avant de passer à Robert De Niro.
L'influence d'Axel Foley
Pour le producteur Jorge Saralegui, la participation d'Eddie Murphy à Showtime paraissait indispensable, car c'est à lui que l'on doit la création d'Axel Foley, l'archétype du policier baratineur et cool dans Le Flic de Beverly Hills de Martin Brest. Des aspects de ce personnage étaient automatiquement pris en compte dans l'écriture de Trey Sellars.
Un personnage de flic pour De Niro
Robert De Niro ayant signé au cours du développement du film, sa personnalité ne pouvait qu'influer sur l'écriture du personnage de Mitch Preston.
Le producteur Jorge Saralegui déclare à ce sujet : "Au départ, nous avions fait de Mitch un flic à la Dirty Harry, teigneux et incontrôlable. Mais Bob a une telle présence, une telle maturité, qu'on le voit mal exploser à tout bout de champ. On a donc fait de Mitch un pro consciencieux, efficace, qui ne demande qu'à travailler à sa façon et sans entrave."
Le tournage des scènes du show
Le réalisateur Tom Dey et son équipe ont tourné caméra à l'épaule les scènes retransmises par le reality-show et utilisé la steadicam afin de donner une impression d'urgence et d'improvisation.
La genèse du film
Pour le producteur Jorge Saralegui, l'idée de Showtime lui est venue en regardant L.A. Confidential de Curtis Hanson.
Il déclare : "Kevin Spacey y incarnait le lieutenant Jack Vincennes, officier de police aguerri et conseiller technique d'une série policière. Je me suis dit que, de nos jours, un homme comme lui travaillerait probablement sur une émission de télé-réalité genre "Cops". Partant de là, j'ai eu envie de parler de l'impact des médias par le biais d'un genre au potentiel comique inépuisable : le "buddy movie" (film mettant en scène un tandem drôlement assorti)".
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Shrek|Andrew Adamson Vicky Jenson|Animation||3|américain|2001|86|Anglais||DX50|||DX50|914 Kbps|720x400|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|632||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Jeffrey Katzenberg Aron Warner John H. Williams|Ted Elliott Terry Rossio Joe Stillman Roger S.H. Schulman Kelly Asbury|||DreamWorks Pictures|Saga : Shrek |Shrek, un ogre verdâtre, cynique et malicieux, a élu domicile dans un marécage qu'il croit être un havre de paix. Un matin, alors qu'il sort faire sa toilette, il découvre de petites créatures agaçantes qui errent dans son marais.Shrek se rend alors au château du seigneur Lord Farquaad, qui aurait soit-disant expulsé ces êtres de son royaume. Ce dernier souhaite épouser la princesse Fiona, mais celle-ci est retenue prisonnière par un abominable dragon.Il lui faut un chevalier assez brave pour secourir la belle. Shrek accepte d'accomplir cette mission. En échange, le seigneur devra débarrasser son marécage de ces créatures envahissantes.Or, la princesse Fiona cache un secret terrifiant qui va entraîner Shrek et son compagnon l'âne dans une palpitante et périlleuse aventure. |Alain Chabat (Shrek (voix française))@Med Hondo (l'Ane (voix française))@Philippe Catoire (Lord Farquaad (voix française))@Barbara Tissier (la princesse Fiona (voix française))@||||||||||||@@
Shrek 2|Andrew Adamson Kelly Asbury Conrad Vernon|Animation||3|américain|2004|92|Anglais||XVID|||XVID|915 Kbps|560x416|MPEG-1 Audio layer 3|32.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|27/08/2009 00:00:00|Jeffrey Katzenberg Aron Warner David Lipman John H. Williams|J. David Stem Joe Stillman David N. Weiss Andrew Adamson|||Dreamworks Distribution LLC|Saga : Shrek |Devenus de jeunes mariés, Shrek et Fiona rentrent de leur heureuse lune de miel. Ils sont invités par les parents de Fiona à venir dîner dans leur royaume, à Far Far Away. Mais ils ne se doutent pas que leur fille est devenue une ravissante ogresse...Ce mariage met par ailleurs en péril l'avenir et les projets les plus secrets du Roi... |Alain Chabat (Shrek (voix française))@Med Hondo (l'Ane (voix française))@Barbara Tissier (la princesse Fiona (voix française))@Boris Rehlinger (le Chat Potté (voix française))@Michel Prudhomme (le Roi Harold, le père de Fiona (voix française))@Tania Torrens (la Reine Lillian, la mère de Fiona (voix française))@Lionel Tua (e Prince Charmant (voix française))@Claire Guyot (la Marraine Bonne Fée (voix française))@||Secrets de tournage :
Naissance d'un projet
Après le triomphe critique et populaire de Shrek, premier film couronné à l'Oscar du meilleur long métrage d'animation, ses producteurs ont décidé de donner une suite aux aventures de l'ogre vert. Andrew Adamson, scénariste et réalisateur du film, s'en explique: "Lorsque Jeffrey Katzenberg est venu me proposer Shrek 2, j'ai d'abord cru que nous nous étions piégés en concluant Shrek par le mariage de l'ogre et de la princesse. Dans un conte de fées classique, c'est là que tout s'arrête et que s'inscrit le traditionnel "...Et ils eurent beaucoup d'enfants". Mais, pour nous, cette union s'ouvrait sur une nouvelle aventure. Pourquoi ? Parce qu'on n'épouse pas seulement son conjoint, mais...toute la famille !". Et Conrad Vernon, également réalisateur, d'ajouter : "Nous nous sommes replongés dans les recueils de contes de fées. Nous en avions négligé un grand nombre, mais certaines de ces histoires n'étant connues que des spécialistes, il était vain de s'y référer. C'est pourquoi nous sommes restés à l'intérieur d'un corpus familier, et avons trouvé de nouvelles astuces pour le chambouler."
Du trio de choc...
Même si Shrek 2 s'appuie sur de nouveaux contes et personnages, les producteurs et réalisateurs ne pouvaient pas pour autant se priver du trio central de Shrek. Le producteur exécutif du film, Jeffrey Katzenberg, explique : "Il était impensable de faire revenir Shrek sans Mike Myers, l'âne sans Eddie Murphy, et Fiona sans Cameron Diaz. Ils avaient largement contribué au succès du premier film et il était exclu de faire cette suite sans eux." "Mike Myers et Shrek sont indissociables" ajoute Andrew Adamson, "Mike s'est approprié ce rôle, il le connait mieux que quiconque et a formulé quantité de propositions qui nous ont permis d'améliorer encore le film".
...au quatuor infernal
Le personnage de l'âne n'est pas le seul "animal-parlant-importun" du film, car un félin aussi remuant que démonstratif ne tarde pas à surgir dans Shrek 2 : un certain Chat Potté... Dans le conte original, il s'agissait d'un redoutable tueur d'ogres, donc un ennemi mortel pour Shrek. Andrew Adamson confie :"Le Chat Potté était un des héros favoris de mon enfance. On le connaissait jusqu'ici comme un tueur d'ogres qui aidait son maître à se faire une réputation à la Cour. Il nous a semblé logique de le mettre ici au service de Shrek et de servir la cause de ce dernier auprès du roi. Ces changements fonctionnaient bien dans le cadre narratif que nous nous étions donné."
Un personnage 100% Latino
Pour le personnage du Chat Potté, les producteurs envisagèrent dans un premier temps d'en faire quelqu'un de très British et très maniéré, mais l'idée leur paraissait alors trop conventionnelle. Ils ont finalement décidé d'en faire un personnage Latino. "Nous avons imaginé que ce chat serait l'homologue félin de Zorro " précise Andrew Adamson; "Dès lors, il ne pouvait avoir qu'une voix : celle d'Antonio Banderas."
Banderas à propos de son personnage
Antonio Banderas, dont c'est le premier film d'animation pour lequel il prête sa voix, raconte : " Je le connaissais depuis l'âge de trois ans, mais jamais je n'avais imaginé que j'aurais le bonheur de le jouer. C'était également très amusant de faire quelques clins d'oeil à mon Zorro." Prenant son "rôle" à coeur, Antonio Banderas s'est beaucoup investit. "Antonio a fait du Chat Potté un Zorro à la puissance dix" explique Conrad Vernon. "Il s'y est investi de toutes ses forces, grimpant littéralement aux murs de l'auditorium, se démenant comme un diable, retroussant ses babines, sifflant, crachant, marquant son territoire. Nous pensions avoir fait du Chat un personnage, disons...expansif, mais Antonio est allé encore plus loin, et se l'est totalement approprié."
Deux acteurs de légende
Julie Andrews, inoubliable interprète de Mary Poppins et de La Mélodie du bonheur, ainsi que John Cleese, ex-Monty Python et créateur de la légendaire série "Fawlty Towers", prêtent respectivement leurs voix à la Reine Lillian et au Roi Harold. Par ailleurs, les interprètes d'un film d'animation travaillent le plus souvent en solo sous la direction du réalisateur et ont très rarement l'occasion de se donner directement la réplique. Les producteurs de Shrek 2 furent donc particulièrement heureux de pouvoir réunir les deux acteurs pour certaines de leurs scènes.
Un nouvel outil de travail pour l'animation
Pour que la foule qui compose Shrek 2 soit la plus expressive possible, un nouvel outil de travail a été spécialement créé, baptisé DCC, pour "Dynamic Crowd Character". Cet outil a pour but "d'individualiser les figurants, en assurer un meilleur contrôle et améliore leur réactivité. Dans un cycle classique, la foule apparait compacte et uniforme: par exemple, tous les regards se tournent dans la même direction, au mépris de la vraisemblance." expliquent les animateurs. Avec le DCC, l'ajout d'un "contrôle de direction du regard" permet de varier les réactions des figurants, et de rendre ainsi l'image plus vivante et plus réaliste. Enfin, il permet aussi aux animateurs de contrôler la position et l'angle d'un pied, de sorte que la démarche d'un personnage s'adapte très précisemment à la nature du terrain.
L'animation
Les superviseurs de l'animation de Shrek 2, Raman Hui, Tim Cheung et James Baxter, ont visionné les enregistrements filmés des séances de doublage afin de s'inspirer des gestes et mimiques des comédiens. Soucieux de pousser le perfectionnisme jusqu'au bout, certains animateurs ont même pris des cours de comédie, afin de mieux exprimer les sentiments et émotions des personnages.
Le clonage des figurants
"L'un des avantages de l'outil informatique est de permettre la multiplication à l'infini des figurants d'un film" explique l'animateur James Baxter, "et-ce, de manière de plus en plus élaborée". Ainsi, la plus grande scène de masse de Shrek 2 -l'arrivée triomphale du trio au Royaume Fort Fort lointain-, regroupe près de 6000 spectateurs virtuels. Des versions génériques d'hommes, de femmes et d'enfants ont d'abord été créé sur ordinateur. En jouant sur la taille, le poids, les costumes ou la coiffure, les animateurs ont réussi à créer des milliers de figures. Enfin, pour donner vie à cet ensemble, ils ont puisés dans une réserve de "cycles gestuels", comme les applaudissements, les mouvements de bras ou de jambes.
Un traitement inédit de la lumière
Les deux principales innovations techniques de Shrek 2 concernent le traitement de la lumière. La première, le "Bounce Shader" , permet un calcul précis du "rebond" d'une source lumineuse dans l'espace et à la surface d'objets réfléchissants. La seconde, le "Subsurface scattering" , reproduit les effets de la lumière sur la peau, qui peuvent donner à celle-ci une apparence quasi translucide.
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Shrek the Third|Chris Miller (III) Raman Hui|Animation|Film pour enfants à partir de 6 ans|2|américain|2007|92|Anglais||XviD|||XVID|912 Kbps|640x352|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Aron Warner|Jeffrey Price Peter S. Seaman Chris Miller (III)|||Dreamworks Distribution LLC|Saga : Shrek |L'ogre Shrek n'avait pas quitté son marécage pestilentiel et épousé sa chère Fiona pour devenir roi. C'est pourtant ce qui risque de lui arriver après que son beau-père Harold clabote soudain sans crier gare. S'il n'arrive pas à dénicher illico un roi avec l'aide de ses fidèles compagnons, l'Âne et le Chat Potté, Shrek deviendra le prochain souverain du Royaume Fort Fort Lointain. Bonjour les ennuis !À moins qu'Artie, le cousin loser de Fiona, ne se laisse convaincre de monter sur le trône à sa place. Mais ce paumé a-t-il vraiment l'étoffe d'un roi ? |Alain Chabat (Shrek (voix française))@Med Hondo (l'Ane (voix française))@Barbara Tissier (la princesse Fiona (voix française))@Boris Rehlinger (le Chat Potté (voix française))@Tania Torrens (la Reine Lillian, la mère de Fiona (voix française))@Michel Prud'homme (le Roi Harold, le père de Fiona (voix française))@Lionel Tua (le Prince Charmant (voix française))@Bernard Alane (Merlin l'enchanteur (voix française))@Alexandre N'Guyen (le Roi Arthur/Artie (voix française))@||Secrets de tournage :
Nouveau papa pour Shrek
C'est la première fois depuis le début de l'aventure Shrek qu'Andrew Adamson n'est pas aux commandes. Il laisse sa place de réalisateur à Chris Miller (III), le temps de diriger les films de la saga "Narnia". Pour autant, ce dernier n'est pas un inconnu dans la famille Shrek, puisqu'il participe aux films depuis le départ. Scénariste sur certains dialogues, Chris Miller (III) a même été la voix originale de Gepetto dans le premier opus. Mais d'ici 2010, Shrek retrouvera Andrew Adamson, son vrai "papa" pour Shrek 4.
Jamais deux sans cinq ?
Les aventures de l'ogre des marais ont encore de beaux jours devant elles. Après Shrek, Shrek 2 et le petit dernier Shrek Le Troisième, la saga promet de s'agrandir d'ici 2010 avec la sortie de Shrek 4 ! Et ce n'est pas fini... Depuis ses premiers pas en 2001, Shrek a crée autour de lui une mythologie tellement forte que des personnages secondaires sont aujourd'hui pressenti pour des "spin-off". En l'occurrence, Le Chat Potté aura droit à sa première aventure solo en 2010.
Pas de tapis rouge cannois pour "Shrek le troisième"
Alors que les deux premiers épisodes de la saga avaient été sélectionnés pour le Festival de Cannes, Shrek le troisième ne montera jamais les célèbres marches. D'ailleurs, aucun film d'animation ne figure dans la compétition cannoise de 2007. Nominés en 2001 et en 2004, Shrek et Shrek 2 avaient crée la surprise et montré qu'un long-métrage d'animation avait sa place à Cannes.
Arthur revisité à la sauce Dreamworks
Comme à son habitude, la licence Shrek s'empare de tous les mythes et, cette fois, ce sont les Chevaliers de la Table ronde qui en prennent pour leur grade ! Dans l'univers de l'ogre des marais, le roi Arthur est un rebelle doublé d'un loser, comme l'explique Justin Timberlake , sa voix originale : " [Artie] est plus un ringard qu'autre chose. Il est un peu comme moi ; un peu stéréotypé. Au stade de l'adolescence, tout le monde est impopulaire ? et plus on avance dans le temps et plus on se sent gêné, on dit ce qu'il ne faut pas ou on donne la mauvaise réponse, et tout le monde se moque de vous ". Bien évidemment, le Roi Arthur n'est pas le seul à passer dans la moulinette Dreamworks. D'autres personnages symboliques, tels que Merlin l'Enchanteur et Sir Lancelot sont parodiés à souhait. Quant à la dame du Lac, elle apparaît sous des traits assez étonnants...
Un clin d'oeil aux Monty Python
Avant que "Kaamelott" ne commence à tourner en dérision les fameuses légendes arthuriennes, d'autres étaient déjà passés par-là... A l'époque, ils étaient six, presque tous anglais et passés maîtres dans le comique de l'absurde : les célèbres Monty Python (Monty Python, sacré Graal ). Alors, quand Shrek confie la voix de ses personnages à deux ex-membres, la référence est plus qu'explicite ! Comme dans le second film, John Cleese incarne le Roi Harold et Eric Idle prête, pour la première fois, sa voix à Merlin l'Enchanteur.
En avant les contes de fées !
La famille Shrek n'en finit plus de s'agrandir. A côté du noyau originel Cameron Diaz - Eddie Murphy - Mike Myers, de petits nouveaux se sont empressés de rejoindre le clan des "voix". Pour un casting "arthurien" mais aussi très "féerique", comme l'explique le réalisateur Chris Miller : "Nous avons plein de nouveaux acteurs. Amy Poehler en Blanche-Neige, Cendrillon par Amy Sedaris, Cheri Oteri et Maya Rudolph ?elles ont des voix supers et cela donne de très bons personnages. Auparavant, nous n'avions pas donné de voix à ces créatures de contes de fées... Mais, tout cela vaut aussi bien pour les méchants. Ian McShane (le Capitaine Crochet) est super dans le film. Et je pense que c'est quelque chose de nouveau ; dans Shrek le troisième, nous nous sommes vraiment emparés du monde des contes de fées."
Justin Timberlake donne encore de la voix
Le rôle d'Artie a fortement enthousiasmé le jeune chanteur : "C'est cool. C'est le genre de chose que tu te dis en ton for intérieur : ?Ca serait vraiment cool si un jour je pouvais faire partie d'un film d'animation ; si je pouvais interpréter un personnage, une voix dans un de ces films...'Et mon rêve est devenu réalité !" Du côté du réalisateur, ce bonheur est partagé puisque Chris Miller raconte avoir été très emballé par cette collaboration : " C'est un bonheur. Un comédien vraiment très naturel, mais en même temps un acteur très solide (...) Plus nous travaillions avec lui, plus le personnage se développait et lui ressemblait, dans ses sensibilités."
Un rôle "poilu" qui colle à la peau...
Avec ses grands yeux embués et son chapeau plumé, le Chat Potté est l'un des personnages qui fait le plus de ravages. Lors d'une interview, Antonio Banderas a d'ailleurs déclaré en riant : "Je hais ce mec. Je le hais pour différentes raisons. Auparavant, les gens, et surtout les femmes, avaient l'habitude de m'approcher en disant : ?Je vous adore dans La Légende de Zorro'. Maintenant, ils viennent me voir et me disent : ?J'adore votre chat'. Comme quoi, il y a des rôles à voix qui marquent à vie...
Toujours un challenge
Au bout du troisième opus, y aurait-il un peu de lassitude dans l'air ? Au contraire... Pour Cameron Diaz, doubler la princesse Fiona reste un défi en tant qu'actrice : "Le challenge c'est que vous ne savez vraiment pas ce que vous allez faire jusqu'à ce que vous arriviez sur place.. Vous ne savez pas ce que vous allez dire jusqu'au dernier moment, puisqu'on voit le script le jour même. Voilà pourquoi c'est un challenge pour moi, parce que d'habitude, j'apprécie d'avoir un peu de temps pour ça. Le script pour un acteur, c'est sa bible." Du côté d'Aron Warner, le producteur, la longévité n'est pas non plus synonyme de répétition : "C'est le troisième film, mais cela reste frais. Nous avons encore une histoire unique et solide à raconter."
C'est reparti pour Chabat !
Comme ses homologues américains, Alain Chabat apprécie beaucoup son rôle de doubleur de voix. Après deux films à incarner la voix française de Shrek, l'ex-nul repart pour un troisième tour !
« Préc.
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Silent Hill|Christophe Gans|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain, japonais, français|2006|125|Anglais||XviD|||XVID|602 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|159 Kbps|False|48.0 KHz|2|694||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Samuel Hadida Don Carmody|Roger Avary Christophe Gans|Dan Laustsen||Metropolitan FilmExport||De plus en plus souvent, la petite Sharon rêve d'une ville abandonnée, Silent Hill. Sa mère, Rose, décidée à comprendre l'étrange mal dont souffre son enfant, décide de l'accompagner sur place. Alors qu'elles pénètrent dans cet univers lugubre, Sharon disparaît. Rose se lance à sa poursuite, mais se rend vite compte que ce lieu étrange ne ressemble à rien de normal. Noyée dans le brouillard, peuplée d'étranges créatures, hantée par des ténèbres vivantes qui dévorent littéralement tout ce qu'elles touchent, cette dimension va peu à peu livrer ses terrifiants secrets...Avec l'aide de Cybil, de la police locale, Rose se jette dans une quête éperdue pour arracher sa fille au monde de Silent Hill. D'indices en épreuves, elle va découvrir tout ce que Sharon risque et ce qu'elle représente dans une malédiction qui dépasse tout... |Radha Mitchell (Rose Da Silva)@Sean Bean (Christopher Da Silva)@Laurie Holden (Cybil Bennett)@Deborah Unger (Dahlia Gillespie)@Jodelle Ferland (Sharon / Alessa)@Tanya Allen (Anna)@Kim Coates (l'officier Thomas Gucci)@Alice Krige (Christabella)@Christopher Britton (Adam)@Colleen Williams (L'archiviste)@Ron Gabriel (Le vieux mécanicien)@Eve Crawford (Soeur Margaret)@Derek Ritschel (Le jeune officier de police)@Amanda Hiebert (L'employée de la station-service)@Nicky Guadagni (La femme en détresse)@Maxine Dumont (L'assistante de Christabella)@Roberto Campanella (Pyramide rouge / Le concierge / Colin)@Michael Cota (L'homme-tronc)@Yvonne Ng (L'enfant-gris)@Lorry Ayers (Alessa adulte)@Emily Lineham (L'Infermière Rouge)@Donna Milburn (L'Infirmière Sombre au scalpel)@||Secrets de tournage :
Adapté du jeu vidéo culte
Silent Hill est l'adaptation du jeu-vidéo homonyme de Konami conçu par le japonais Akira Yamaoka. Sorti en 1999 sur la console Playstation, le jeu a été suivi de trois suites vendues à plus de 4 millions d'exemplaires à travers le monde.
Grâce à une ambiance unique privilégiant le psychologique à l'action et à une mise en scène déjà proche du cinéma, le jeu a révolutionné le genre du survival-horror au même titre que Resident Evil ou Alone in the dark. Deux jeux ayant aussi connu une adaptation au cinéma.
French touch
Le réalisateur Christophe Gans s'est entouré de plusieurs collaborateurs français afin de mener à bien le projet. Nicolas Boukhrief (Le Convoyeur) est ainsi venu épauler le réalisateur et Roger Avary pour l'écriture du scénario. L'un des Français les plus appréciés d'Hollywood, Patrick Tatopoulos a lui aussi participé à Silent Hill. Après avoir participé aux effets spéciaux de gros succès hollywoodiens comme Independence Day ou Underworld, il a réalisé le design des créatures du film. Enfin le montage a été assuré par Sébastien Prangère qui avait déjà travaillé avec Christophe Gans sur Le Pacte des loups.
Quel épisode de la saga pour le film ?
Le film s'inspire principalement de l'histoire de fond de "Silent Hill 1" et de "Silent Hill 3". Il emprunte toutefois son esthétique à "Silent Hill 2" et les mouvements de caméra au numéro 4 : "Au départ, nous souhaitions adapter le second jeu de la série, le meilleur de l'avis général, explique Christophe Gans. Mais nous voulions aussi expliquer pourquoi Silent Hill est devenu cet espèce de Triangle des Bermudes urbain où l'on peut éventuellement pénétrer mais dont on ne peut pas ressortir. C'est donc le premier jeu qui nous a finalement inspiré. Nous avons commencé par coucher sur le papier le script du premier "Silent Hill". Cela nous a à la fois permis d'avoir une idée claire du potentiel du jeu mais aussi de nous révéler tout ce qu'il restait à approfondir pour en tirer un film digne de ce nom. Par exemple, il nous ait apparu clairement que le personnage central du jeu ? un homme nommé Harry Mason ?se comportait avec l'instinct maternel et la vulnérabilité d'une femme. Plutôt que de trahir ce personnage en le durcissant, nous avons préféré en faire une femme. Akira Yamaoka a beaucoup ri quand je lui ai fait part de mon point de vue, mais il a été d'accord. Je pense que si son personnage était un homme, c'était d'abord pour une question d'identification et parce que seul un homme peut décemment affronter les épreuves du jeu. Mais il lui avait en fait donné une nature totalement féminine !"
Mise à contribution des fans
Misant sur la passion et le savoir-faire des fans du jeu-vidéo, le site officiel du film a mis à contribution les internautes afin de réaliser l'affiche de Silent Hill, avec 2500 ? à la clé pour le vainqueur. Le film Resident evil avait lui aussi fait l'objet d'un concours similaire en 2001. Une initiative qui tend aujourd'hui à se multiplier puisque les distributeurs de Horribilis et de Stay alive ont aussi proposé aux internautes de créer l'affiche de ces films.
Où sont les hommes ?
Il n'y avait aucun homme présent dans les premières versions du script que Christophe Gans fit parvenir à la production. Celle-ci lui demanda alors de compléter les scénario avec un personnage masculin. C'est ainsi que le rôle de Sean Bean fut créé.
L'ombre de Cronenberg
Le chef décorateur de Silent Hill, Carol Spier, est un fidèle collaborateur du réalisateur Canadien David Cronenberg. Il a réalisé les décors de la plupart de ses films dont La Mouche ou eXistenZ. La post-production du film a, par ailleurs, été principalement réalisée à Toronto, dans les studios utilisés par David Cronenberg.
Tournage au Canada
Contrairement à la trame du film qui se déroule aux Etats-Unis dans une ville de Virginie occidentale, le tournage de Silent Hill s'est déroulé au Canada dans la ville de Brantford, Ontario, du 25 avril au 22 juillet 2005.
Des producteurs bien rodés...
Les producteurs Samuel Hadida et Don Carmody n'en sont pas à leur première adaptation de jeux-vidéo. Ils avaient tous les deux déjà collaboré sur Resident evil : apocalypse.
Défile de mode
Bien que le personnage de Rose ne change pas de vêtements pendant la film, la teinte de ses habits varie sensiblement en fonction des ambiances et des environnements. La garde robe de Radha Mitchell contenait au final près de 100 pièces différentes.
Plus de 100 décors
Dans Silent Hill, plusieurs niveaux de réalité co-existent. Pour présenter les environnements des différentes dimensions, plusieurs versions de chaque décor ont dû être construites. Cinq studios ont ainsi été nécessaires pour tous les accueillir. Au final, plus de 106 décors ont été réalisés.
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Marvin's Room|Jerry Zaks|Comédie dramatique||3|américain|1998|94|Anglais||XviD|||XVID|926 Kbps|720x576|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Robert De Niro Jane Rosenthal Scott Rudin Bonnie Palef Adam Schroeder David Wisnievitz|Scott McPherson|Piotr Sobocinski||Bac Films||Lee et Bessie, sa soeur ainée, ne se voient plus depuis de longues années. La première, farouchement indépendante, est allée vivre dans l'Ohio ou elle élève seule ses deux fils, Hank et Charlie. La seconde vit en Floride dans la maison familiale où elle s'occupe de son père et de sa tante. Quand Bessie apprend qu'elle est atteinte de leucémie, seule Lee peut l'aider grâce à une greffe de moelle compatible. Le contact entre les deux soeurs, séparées depuis si longtemps, est difficile. C'est Hank, mal dans sa peau, qui trouve une amie dans sa tante, qui réunira enfin les deux femmes. |Meryl Streep (Lee)@Leonardo DiCaprio (Hank)@Diane Keaton (Bessie)@Robert De Niro (Dr. Wally)@Gwen Verdon (Ruth)@Hume Cronyn (Marvin)@Hal Scardino (Charlie)@Dan Hedaya (Bob)@Margo Martindale (Dr. Charlotte)@Cynthia Nixon (la directrice de la maison de retraite)@Kelly Ripa (Coral)@Victor Garber@Olga Merediz (la dame de l'institut de beauté)@John Callahan (Lance)@Joe Lisi (Bruno)@||||||||||||@@
Sin City|Robert Rodriguez Frank Miller Quentin Tarantino|Action|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|2005|117|Anglais||DX50|||DX50|728 Kbps|480x352|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Robert Rodriguez Frank Miller Elizabeth Avellan|Robert Rodriguez Frank Miller|Robert Rodriguez||Dimension Films|Saga : Sin City |Sin City est une ville infestée de criminels, de flics ripoux et de femmes fatales.Hartigan s'est juré de protéger Nancy, une strip-teaseuse qui l'a fait craquer.Marv, un marginal brutal mais philosophe, part en mission pour venger la mort de son unique véritable amour, Goldie.Dwight est l'amant secret de Shellie. Il passe ses nuits à protéger Gail et les filles des bas quartiers de Jackie Boy, un flic pourri, violent et incontrôlable.Certains ont soif de vengeance, d'autres recherchent leur salut. Bienvenue à Sin City, la ville du vice et du péché. |Bruce Willis (Hartigan)@Mickey Rourke (Marv)@Jessica Alba (Nancy)@Benicio Del Toro (Jackie Boy)@Josh Hartnett (l'homme)@Jaime King (Goldie)@Brittany Murphy (Shellie)@Carla Gugino (Lucille)@Clive Owen (Dwight)@Marley Shelton (la cliente)@Elijah Wood (Kevin)@Rosario Dawson (Gail)@Nick Stahl (Roark Jr.)@Michael Clarke Duncan (Manute)@Michael Madsen (Bob)@Rutger Hauer (Cardinal Roark)@Alexis Bledel (Becky)@Jude Ciccolella (le commissaire Liebowitz)@Devon Aoki (Miho)@Rick Gomez (Monsieur Shlubb)@Frank Miller (le prêtre)@Jeff Schwan (Tommy)@Powers Boothe (le senateur roark)@Nicky Katt (stuka)@Makenzie Vega (nancy a 11ans)@Tommy Flanagan (brian)@Jeff Dashnaw (le policier a moto)@Clark Middleton (schulz)@Tommy Nix (weevil)@||Secrets de tournage :
Présenté à Cannes 2005
Ce film a été présenté au Festival de Cannes 2005 en compétition officielle.
L'adaptation d'un comic-book culte
Sin City est l'adaptation sur grand écran de la série de comic-books The Hard good-bye, dessinée et écrite en 2001 par Frank Miller et regroupant les histoires Sin city, The Big fat kill et That yellow bastard (Ed. Rackham). Outre l'univers de The Hard good-bye retranscrit dans Sin city, Frank Miller est le créateur de la guerrière Elektra, vedette d'un long-métrage en 2005, mais également l'auteur de plusieurs volets du comic-book Daredevil (héros qui connaît aussi son adaptation sur grand écran en 2003). En 1980, il se lance dans l'écriture et le dessin de nouvelles aventures de Batman. Il aura la vision du justicier masqué à la fois vieilli (Batman : The Dark Knight returns) et débutant (Batman : year one). Frank Miller est par ailleurs co-scénariste de Robocop 2 et Robocop 3.
A la réalisation : Rodriguez, Miller et... ??
Sin city est co-réalisé par Robert Rodriguez (Une nuit en enfer, The Faculty, la saga Spy Kids) et Frank Miller, l'auteur du comic-book d'origine. Au duo est venu s'ajouter un renfort de prestige, puisqu'un certain Quentin Tarantino a dirigé une séquence du long-métrage. Sa rémunération : un dollar ! La présence de cet invité de luxe derrière la caméra résulte d'un échange de bons procédés : Robert Rodriguez avait composé une partie de la bande-originale du Kill Bill : volume 2 de Tarantino pour un dollar. Tarantino avait alors promis de réaliser une partie de Sin city pour la même somme.
Une distribution de légende
L'une des particularités premières de Sin city est sans aucun doute son incroyable distribution. Au générique du long-métrage cohabitent ainsi des vedettes confirmées du septième art comme Bruce Willis, Mickey Rourke, Benicio Del Toro, Michael Clarke Duncan, Michael Madsen, Carla Gugino, Clive Owen ou Rutger Hauer, et des stars montantes telles que Elijah Wood, Rosario Dawson, Jessica Alba, Brittany Murphy ou Josh Hartnett.
Frank Miller puissance 3
Frank Miller, co-réalisateur de Sin city et auteur du comic-book qui a inspiré le film, fait une petite apparition devant la caméra. Il joue le rôle d'un prêtre.
Robert Rodriguez sur tous les fronts
Depuis ses débuts en tant que réalisateur avec El Mariachi, Robert Rodriguez occupe de nombreux postes sur chacun de ses films. Pour Sin city, l'Américain ne déroge pas à la règle puisqu'il est à la fois le réalisateur, le scénariste, le producteur, le directeur de la photographie, l'un des compositeurs de la bande-originale et le chef monteur du long-métrage. Soit six postes pour un seul homme !
Une technique de tournage particulière
L'intégralité des séquences mettant en scène les acteurs de Sin city ont été tournées devant un écran vert, à l'instar de Capitaine Sky et le monde de demain. Les extérieurs de ce long-métrage tourné avec des caméras numériques Haute-Définition ont ensuite été ajoutés indépendamment, au stade de la post-production.
Histoires de castings
Leonardo DiCaprio, Michael Douglas et Kate Bosworth furent un temps annoncés au casting du comic-book Sin city. Johnny Depp fut même sur le point de tourner une scène du film, tirée des séries To Hell and back, elles-mêmes inspirées de l'histoire Sin city. Le projet d'inclure ce segment dans le long-métrage fut finalement abandonné par Robert Rodriguez.
"Sin city" : et après ?
Le très prolifique réalisateur Robert Rodriguez n'a jamais caché son intention de porter à l'écran plusieurs histoires de Frank Miller. Outre la série de comic-books The Hard good-bye, qui a donné naissance à Sin city, il pourrait ainsi prochainement adapter d'autres oeuvres du créateur américain. Ainsi, le projet de faire jouer Johnny Depp dans l'adaptation de To Hell and back, série adaptée de Sin city, est à l'étude.
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Sinbad : Legend of the Seven Seas|Tim Johnson Patrick Gilmore|Animation||3|américain|2003|82|Anglais||XVID|||XVID|6 966 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|136 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|08/08/2009 00:00:00|Mireille Soria Jeffrey Katzenberg|John Logan|||Dreamworks Distribution LLC||Accusé à tort d'avoir volé le Livre de la Paix, l'audacieux et légendaire Sinbad est chargé de retrouver et de restituer le précieux ouvrage, faute de quoi son meilleur ami, Proteus, mourra. L'aventurier refuse cette chance et opte pour une croisière et un plan bronzette aux îles Fidji. Pas si vite ! Car la belle fiancée de Proteus, Marina, s'est glissée à bord du bateau de Sinbad pour veiller à ce qu'il remplisse sa mission, et le premier bad boy de l'histoire va se trouver confronté à un incroyable déluge de dangers.Eris, déesse du chaos, s'acharne en effet contre lui, envoyant à sa rencontre un essaim de monstres et déclenchant à tout moment d'épouvantables tempêtes. Et tout cela n'est encore rien à côté des défis que lance à notre héros la frêle mais redoutable Marina... |Emmanuelle Bondeville (Eris (voix française))@Damien Ferrette (Proteus (voix française))@Marc Alfos (Kale (voix française))@||Secrets de tournage :
Débuts prometteurs...
Dans la version française du dessin-animé, Patrick Bruel et Monica Bellucci prêtent respectivement leur voix aux personnages de Sinbad et de Marina. C'est la première fois qu'ils se sont essayés à l'exercice tout en y prenant beaucoup de plaisir.
Du film au dessin-animé
Le dessin animé est fondé sur le mythe de Sinbad, figure-clé des Mille et une Nuits. S'il a déjà été plusieurs fois mis en scène dans des fictions (Sinbad le marin), le mythe de Sinbad n'a jamais été traité dans un film d'animation.
Des créatures variées
C'est dans le ciel étoilé que les créateurs du film ont trouvé les formes de toutes ces créatures célestes qui jalonnent le dessin animé. Les constellations ont en effet une apparence animale et la plupart ont un lien avec des mythologies antiques. Par exemple ici, elles ont inspiré le monstre marin Cletus et l'oiseau de proie géant Roc.
Ambitions et références
L'idée, avec ce dessin animé, était de traiter la légende de façon originale et de la rendre encore plus attrayante avec l'arrivée de plusieurs monstres fantastiques. En les créant, les concepteurs ont implicitement introduit des éléments mythologiques. Par exemple, le coeur de l'histoire est une référence sensible à la fable grecque de Damon et Pythias (l'histoire de deux amis dont l'un est prêt à sacrifier sa vie pour l'autre). Le pivot du script est, quant à lui, la mise à l'épreuve d'une amitié.
Sophistication autour d'Eris
Pour Dan Wagner, le superviseur-animation, le personnage d'Eris, la "déesse du chaos" qui aime à répandre ses méfaits sur le monde, ne représente pas seulement le meilleur de l'animation classique, mais illustre aussi le degré de perfection auquel on est arrivé dans la fusion 2D / 3D. Ce dernier a d'ailleurs subi un traitement visuel complexe. Si son visage, son corps et ses cheveux sont traités en 2D, ses extrémités le sont en 3D afin de renforcer l'impression de légèreté, d'immatérialité, de cette déesse qui flotte sans jamais toucher terre.
Brad ?sinbadhise?.
Lors de la post-synchronisation, Brad Pitt était tellement en adéquation avec son personnage animé (il fait la voix américaine du jeune Sinbad) qu'il l'a sympathiquement rebaptisé "Sin-brad".
Les petites sirènes.
Pour travailler les sirènes, les animateurs 3D ont étudié les évolutions de gymnastes, nageuses, danseuses classiques et modernes.
Musique complexe
En ce qui concerne la musique du film, le compositeur Harry Gregson-Williams effectue un brassage stylistique dense. Il a voulu faire une musique orchestrale mais pas traditionnelle en y incrustant des instruments ethniques.
Un pied de plus dans l'animation
Dans la version américaine de Sinbad - la légende des sept mers, Michelle Pfeiffer
prête sa voix au personnage de Eris. C'est la seconde fois qu'elle participe à un dessin-animé, cinq ans après sa contribution au Le Prince d'Egypte de Steve Hickner où elle donnait vie à Cipora.
Ne jamais tourner avec des chiens...
Accompagnant Sinbad dans ses pérégrinations mouvementées, Spike est un masstiff, un compagnon canin particulièrement robuste. Pour "interpréter" l'animal, ce ne fut pas une mince affaire: il fallut pas moins de huit chiens pour "donner forme" au chien.
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Lucky Number Slevin|Paul McGuigan|Policier||3|américain|2006|108|Anglais||XVID|||XVID|760 Kbps|640x256|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|699||||23.976|06/08/2009 00:00:00|Christopher Eberts Andreas Grosch Kia Jam Robert Kravis Tyler Mitchell Anthony Rhulen Chris Roberts|Jason Smilovic|Peter Sova||Metropolitan FilmExport||La vie n'est pas tendre avec Slevin. En quelques jours, ce jeune homme a perdu son appartement, découvert que sa petite amie le trompait, et s'est fait voler ses papiers. Décidé à souffler un peu, Slevin s'envole vers New York, où il va habiter quelque temps l'appartement d'un copain, Nick Fisher. La poisse ne va pas le lâcher pour autant, bien au contraire...
Le milieu new-yorkais est en ébullition. Deux de ses plus grands parrains, le Rabbin et le Boss, se livrent une guerre sans pitié. Autrefois complices, ils sont devenus les pires ennemis. Pour venger l'assassinat de son fils, le Boss est décidé à faire tuer celui du Rabbin. Il a chargé Goodkat de l'affaire. Celui-ci a un plan très simple : trouver quelqu'un qui doit énormément d'argent au Boss et l'obliger à exécuter la besogne en échange d'une annulation de dette. Le candidat idéal est... Nick Fisher... |Josh Hartnett (Slevin)@Bruce Willis (M. Goodkat)@Lucy Liu (Lindsey)@Ben Kingsley (Le Rabbin)@Morgan Freeman (Le Boss)@Stanley Tucci (Brikowski)@Corey Stoll (Saul)@Michael Rubenfeld (Yitzchok)@Dorian Missick (Elvis)@Shira Leigh (Hottie)@Janet Lane (Blondie)@Sam Jaeger (Nick)@John Ghaly (l'officier de police)@Victoria Fodor (Helen)@Oliver Davis (Henry)@Kevin Chamberlin (Marty)@Rick Bramucci (un soldat)@Scott Gibson (Max)@||Secrets de tournage :
Genèse et développement du projet
C'est en 1997 que le scénariste Jason Smilovic imagina d'abord un personnage incroyablement malchanceux. Progressivement, son idée s'étoffa pour évoluer vers un thriller plus retors et finir sur une histoire peuplée de personnages denses, forts, tous convaincus d'être les maîtres de la
situation.
C'est FilmEngine, une société de production réunissant de jeunes producteurs proches de Josh Hartnett, qui prit en main le projet et décida de le proposer à Ascendant Pictures. Le réalisateur écossais Paul McGuigan, qui avait développé une solide relation professionnelle avec Josh Hartnett sur Rencontre à Wicker Park, accepta rapidement de mettre le film en scène.
Film de gangsters... n°2
Avec ce cinquième long métrage, le cinéaste revient au film de gangsters, un genre qu'il avait déjà exploré dans son deuxième opus intitulé... Gangster No. 1, avec Malcolm McDowell et Paul Bettany (2001).
Le scénariste
Le script de Lucky number slevin est signé Jason Smilovic, connu pour avoir été scénariste sur la série Karen Sisco (2003). Celle-ci est dérivée du polar d'Elmore Leonard, adapté au cinéma par Steven Soderbergh sous le titre Hors d'atteinte. Sur le petit écran, le personnage central est interprété, non pas par Jennifer Lopez (héroïne du long métrage) mais par Carla Gugino.
Un rôle réécrit pour Lucy Liu
Lorsque Lucy Liu a signé pour le rôle de Lindsey, la voisine de palier de Nick Fisher qui va fortuitement rencontrer Slevin, Paul McGuigan et Jason Smilovic ont décidé de réécrire le rôle pour valoriser tout le potentiel de l'actrice. Quant à Bruce Willis et Morgan Freeman, ils ont accepté d'incarner respectivement Goodkat le tueur et le Boss huit semaines avant que ne débute le tournage.
Deux immeubles à recréer
Les deux immeubles qui abritent face à face le Boss et le Rabbin ont été inspirés au scénariste par des bâtiments qu'il avait découverts à Abingdon Square à New York.
Pour le film, ce sont en fait deux façades d'un seul immeuble qui ont été numériquement placées de chaque côté d'une rue. Le superviseur des effets spéciaux Eric Robertson a utilisé des trucages invisibles pour créer l'univers de ces deux ennemis. L'effet a été incrusté à diverses vues de la ville pour obtenir un paysage réaliste.
Le chef décorateur François Séguin s'est quant à lui vu confier la lourde tâche de recréer l'univers des années 70.
Dates et lieux de tournage
Le tournage a débuté en janvier 2005 à Montréal, avant que l'équipe du film ne déménage pour une semaine de tournage en extérieurs à New York. Les prises de vues se sont ensuite achevées à Toronto.
Après un rendez-vous manqué
Les routes de Paul McGuigan et Bruce Willis ont failli se croiser quelques mois plus tôt puisque le cinéaste écossais avait été pressenti pour la réalisation de Otage, mais c'est finalement le Français Florent Emilio Siri qui a signé ce film d'action interprété par le héros de Piège de cristal.
Manque de noblesse ?
Ben Kingsley a été sévèrement critiqué lors de la promotion de Lucky number Slevin pour avoir demandé à être crédité "Sir Ben Kingsley" au générique et sur les affiches du film l'acteur a été anobli par la reine Elisabeth II en 2001. Les journalistes, ainsi que des personnalités elles aussi anoblies comme David Puttnam (producteur des Chariots de feu) Roger Moore, ne se sont pas privées de railler le comportment du comédien, qui a dû finalement présenter des excuses...
Fidélité
Le monteur Andrew Hulme a déjà collaboré avec le cinéaste sur ses quatre premiers longs métrages, tandis que le chef-opérateur Peter Sova travaille avec lui depuis Gangster No. 1, son deuxième opus.
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Slumdog Millionaire|Danny Boyle|Comédie dramatique||3|américain, britannique|2009|111|Anglais||XviD|||XVID|726 Kbps|688x288|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|687||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Christian Colson|Simon Beaufoy|Anthony Dod Mantle||Pathé Distribution||Jamal Malik, 18 ans, orphelin vivant dans les taudis de Mumbai, est sur le point de remporter la somme colossale de 20 millions de roupies lors de la version indienne de l'émission Qui veut gagner des millions ? Il n'est plus qu'à une question de la victoire lorsque la police l'arrête sur un soupçon de tricherie.Sommé de justifier ses bonnes réponses, Jamal explique d'où lui viennent ses connaissances et raconte sa vie dans la rue, ses histoires de famille et même celle de cette fille dont il est tombé amoureux et qu'il a perdue.Mais comment ce jeune homme est-il parvenu en finale d'une émission de télévision ? La réponse ne fait pas partie du jeu, mais elle est passionnante. |Dev Patel (Jamal Malik)@Mia Drake (Adele)@Freida Pinto (Latika)@Anil Kapoor (Prem Kumar)@Irfan Khan (l'Inspecteur de police)@Madhur Mittal (Salim)@Imran Hasnee (agent de sécurité)@Anand Tiwari@||Secrets de tournage :
Adaptation
Slumdog Millionaire est l'adaptation britannique d'un roman indien de Vikas Swarup : "Les Fabuleuses aventures d'un Indien malchanceux qui devient milliardaire". Simon Beaufoy, le scénariste, explique les difficultés qu'il a pu rencontrer lors de l'adaption scénaristique :"La principale difficulté était de préserver l'esprit de l'oeuvre originale tout en transformant les personnages littéraires en personnages cinématographiques. Le livre se présente sous la forme de douze nouvelles qui ne suivent pas le personnage de sa naissance à l'âge adulte. C'est plutôt décousu et certaines apparaissent comme de petits contes, discrets, sans aucun lien avec les personnages principaux. Il n'y a pas de fil conducteur continu dans la narration."
Des thèmes récurrents
Avec Slumdog Millionnaire, Danny Boyle revient à l'un de ses thèmes de prédilection : l'argent et ses conséquences. Il y avait déjà consacré quatre films (la trilogie Petits meurtres entre amis / Trainspotting / Une vie moins ordinaire, et Millions au titre évocateur).
Des acteurs confirmés et d'autres non
Alors que Slumdog Millionaire marque les débuts au cinéma de Dev Patel et Freida Pinto, les autres acteurs sont loin d'être débutants. C'est le cas de Anil Kapoor, qui interprète le présentateur, qui a joué dans un centaine de films hindi et a remporté de nombreux prix ; de Irfan Khan, qui s'est remarqué dans des films américains (dont Un coeur invaincu et A bord du Darjeeling Limited) ; et enfin, de Madhur Mittal qui a lui aussi joué dans de nombreux films hindi (One Two Ka Four) ainsi que dans plusieurs émissions et séries télévisées de son pays.
La collaboration entre Dev Patel et Danny Boyle
Pour son premier long-métrage, le jeune Dev Patel a eu besoin du soutien et des instructions du réalisateur :"Je devais jouer des scènes très émouvantes et d'autres plus physiques. Cela a été un travail épuisant. Danny Boyle sait parfaitement tirer de vous l'émotion qu'il recherche. Par exemple, dans la scène où Jamal remporte l'émission, je devais repenser à Latika, dont mon personnage est amoureux. Pour m'aider, l'équipe a diffusé des images d'elle et de l'enfance de Jamal sur un écran devant moi. Se souvenir de cette époque devenait facile et le sourire que j'ai à la fin de la scène n'est pas joué. Danny Boyle encourage l'improvisation. Parfois, après une prise, bien que satisfait, il nous demande de rejouer la scène avec une perspective totalement différente. Il donne des indications comme "imagine que tu ressens cela" ou "il t'est arrivé telle chose". L'histoire prend alors une autre tournure et on obtient quelque chose de beaucoup plus riche."
Dev Patel
Il est toujours difficile pour un réalisateur de trouver l'acteur idéal pour interpréter le personnage principal. C'est grâce à sa propre fille que Danny Boyle a pu trouver sa perle rare : "Caitlin est une fan de la série "Skins". Elle a parlé de Dev Patel à sa mère, qui dirigeait le casting au Royaume Uni. Je n'y avais pas pensé mais ce choix nous a ensuite paru évident. Cela nous a conduits à prendre des acteurs plus jeunes. Nous avions d'abord pensé faire jouer les personnages adolescents par des jeunes de 18 ans. A la fin du film, Jamal aurait dû avoir environ 25 ans, mais j'ai réalisé qu'il était important que ce soit à l'âge de 13 ans que tout lui arrive. C'est ce qui rend la situation extrême, inacceptable et très indienne. Nous avons ainsi opté pour trois âges clés : 7 ans, 13 ans et 18 ans. Ce que les personnages vivent durant ces courtes périodes est suffisant pour remplir toute une vie."
Loveleen Tandan
C'est grâce à Loveleen Tandan que Danny Boyle a pu trouver son casting. Mais étant indienne, Loveleen Tandan a aussi beaucoup aidé le réalisateur sur de nombreux plans :"Le rôle de Loveleen n'a cessé de croître. On lui a demandé de servir d'interprète et de diriger les enfants avec moi, en m'aidant à y voir plus clair dans les complexités culturelles de la vie dans la rue. On lui a finalement confié la direction de la deuxième équipe qui nous suivait à travers la ville. Par moments, elle a vraiment joué le rôle de coréalisatrice. Je n'aurais jamais pu faire ce film sans elle."
Salim et Latika jeunes
Danny Boyle a auditionné de nombreux enfants en anglais pour interpréter les personnes à l'âge de 7 ans, mais il était difficile de trouver des enfants qui puissent évoluer dans des bidonvilles alors qu'ils viennent de classes moyennes. Il y est finalement parvenu grâce -une nouvelle fois- à Loveleen Tandan, qui est allée directement chercher deux jeunes enfants dans la rue et a traduit rapidement le texte pour que la scène soit jouée en Hindi. Le résultat est à la hauteur des espérances de l'équipe, comme l'explique le producteur Christian Colson: "Les personnages ont soudain pris vie et on a continué ainsi. Cette décision prise un peu par hasard a vraiment contribué à donner au film une touche d'authenticité supplémentaire. Elle nous a aussi permis de trouver trois jeunes acteurs incroyables."
Différentes manières de filmer
L'Inde est un pays difficile pour les tournages. Danny Boyle et son équipe ont ainsi dû souvent ruser et se mêler aux touristes pour certaines prises de vues. Grâce à la nouvelle caméra numérique SI-2K, ils ont pu capturer des images plus vraies que nature, comme l'explique le réalisateur : "Même équipées de gyroscopes pour les stabiliser, les SI-2K restaient assez petites pour passer partout. Anthony Dod Mantle, le directeur photo, a réussi à capter la vie qui grouillait autour de nous sans que les habitants nous remarquent. On a aussi utilisé ce que nous appelions une CanonCam, qui consistait en un appareil photo Canon capable de prendre 12 images à la seconde, car les gens ne se méfient pas d'un appareil photo. Le film est donc un mélange de différentes technologies. Anthony devait porter un disque dur sur son dos qui enregistrait les images. Ce dispositif lui donnait des airs de touriste danois bien chargé se baladant dans les rues des bidonvilles alors qu'en réalité, il était en train de filmer."
Unanimité
Le scénariste Simon Beaufoy, ainsi que les producteurs Christian Colson et Tessa Ross se sont immédiatement mis d'accord sur le nom de Danny Boyle. Selon Colson: "Il nous est apparu comme le réalisateur idéal. Nous lui avons envoyé le scénario, qu'il a lu et tout de suite accepté". "Danny a le sens du rythme pour chaque scène. Tout en restant fidèle à mon travail, il parvient à faire passer sa vision très originale. Le film porte indubitablement la marque de son style, même si on y retrouve chacun des mots que j'ai pu écrire. Il me consultait dès qu'il voulait apporter un changement." ajoute le scénariste.
Récompenses et Nominations
Slumdog Millionaire a été récompensé de nombreux prix; aux British Independant Film Award il a reçut le prix du Meilleur Film, du Meilleur réalisateur pour Danny Boyle et du Meilleur Second Rôle pour Dev Patel. Aux Boston Society of Film Critics ainsi qu'aux New-York Film Critics Online le prix du Meilleur Film. Enfin aux Satellite Awards et à LAFCA, respectivement : Meilleur Film et Meilleur Réalisation, et Meilleur Réalisateur. Slumdog Millionaire est nominé aussi aux SAG pour Dev Patel, dans la catégorie Meilleur Second Rôle masculin et Meilleur ensemble d'acteurs; enfin aux Golden Globes 2009 pour le Meilleur Film dramatique et Meilleur Réalisateur.
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Escape From New York|John Carpenter|Action|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain, britannique|1981|94|Anglais||DIVX|||DIVX|897 Kbps|592x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|701||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Larry J. Franco Debra Hill|John Carpenter Nick Castle|Dean Cundey||Parafrance Films||En 1997, Manhattan est devenu une immense île-prison ou trois millions de détenus sont organisés en bandes rivales. A la suite d'un attentat, l'avion du Président des Etats-Unis se crashe dans le pénitencier. Le chargé de sécurité Bob Hauk décide d'envoyer un prisonnier pour le récupérer. Ce détenu s'appelle Snake Plissken. Lâché à l'intérieur, il doit se frayer un chemin en évitant les loubards et les cannibales qui peuplent Manhattan. Snake n'a que quelques heures pour récupérer le président, éviter un incident diplomatique catastrophique et surtout... désamorcer les mini-bombes qu'on lui a implantées dans le corps à son insu. |Kurt Russell (Snake Plissken)@Lee Van Cleef (Bob Hauk)@Ernest Borgnine (Cabbie)@Donald Pleasence (Président des Etats-Unis)@Isaac Hayes (Le Duc de New York)@Season Hubley (Fille dans le fast food)@Harry Dean Stanton (Harold Helman alias Brain)@Adrienne Barbeau (Maggie)@Tom Atkins (Rehme)@Charles Cyphers (Secrétaire d'Etat)@Joe Unger (Taylor)@Frank Doubleday (Romero)@John Strobel (Cronenberg)@Debra Hill (la voix de l'ordinateur)@John Diehl (un punk)@||Secrets de tournage :
Hommage appuyé
John Carpenter a engagé Lee Van Cleef sur New York 1997 par amour pour Sergio Leone.
Variation du nom
En fonction des pays dans lequel le film était distribué, le nom du protagoniste, à la base Snake Plissken subit des modifications. Par exemple, en Italie, Snake Plissken fut changé en Hyena, tandis qu'en Corée, il sera baptisé Cobra Plissken.
Cadre idéal
Pour mettre en scène ce film à petit budget, le réalisateur choisit de tourner à Saint-Louis dans le Missouris. Le centre-ville, incendié dans les années 70, possédait l'atmosphère idéale pour incarner ce New York en état de délabrement. La municipalité, ruinée, laissa carte blanche à l'équipe de tournage: elle les autorise, par exemple, à plonger dans le noir total des quartiers entiers. Le reste des décors, en revanche, sera réalisé par des décors peints et des miniatures.
Commentaire composé
C'est durant l'enregistrement du commentaire audio du DVD que Kurt Russell et John Carpenter ont décidé de mettre en chantier le deuxième épisode : Los Angeles 2013.
Galeries de vieux de la vieille
Parmi les personnages du film, on retrouve des acteurs de renom comme Ernest Borgnine (Les Douze salopards 1967), Donald Pleasance (La Grande évasion 1963) et Lee Van Cleef (Le Bon, la brute et le truand 1966). Il y a aussi le chanteur compositeur Isaac Hayes qui a travaillé sur la musique de Shaft (1973) et prêté sa voix au Chef dans la série South Park.
La Scream Queen prête sa voix...
C'est Jamie Lee Curtis, l'actrice principale de Halloween, qui prête sa voix à l'ordinateur et fait office de voix off au début du film.
Exit l'intro
Une scène montrant l'arrestation de Snake Plissken au début du film a été coupée au montage. On le voyait lui et son partenaire se faire encercler par la police après le braquage d'une banque.
Tommy Lee Jones monte en première ligne
La production voulait confier le rôle de Snake à Tommy lee Jones et non pas Kurt Russell, qui n'avait pas de filmographie très convaincante à l'époque. C'est John Carpenter qui a insisté pour avoir Russell avec qui il avait travaillé sur une biographie de Elvis Presley.
James Cameron caresse les pinceaux
Le réalisateur James Cameron (Terminator, Aliens, Titanic...) a travaillé comme dessinateur de peintures sur verre et directeur photo des effets spéciaux.
Un décorateur qui a du mordant
Le chef décorateur du film, Joe Alves, est aussi le réalisateur des Dents de la mer III.
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Escape from L.A.|John Carpenter|Science-fiction|||Etats-unis|1996|96|||DX50|||DX50|893 Kbps|720x416|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|692||||25.000|28/07/2009 00:00:00|||||UIP||2013, après un tremblement de terre important, Los Angeles est devenu une île qui sert de pénitencier et contient la lie des Etats-Unis sanctionnée selon certains critères très strictes de la nouvelle moralité américaine. Snake Plissken se retrouve obliger d'effectuer une mission pour le gouvernement américain qui le piège et lui injecte un poison qui le tuera au bout de 9 heures s'il ne revient pas. |Kurt Russell@A.J. Langer@Steve Buscemi@Georges Corraface@Stacy Keach@Michelle Forbes@Pam Grier@Jeff Imada@Cliff Robertson@Valeria Golino@Peter Fonda@Ina Romeo@Peter Jason@Jordan Baker@Caroleen Feeney@Bruce Campbell@Robert Carradine@||||||||||||@@
Snatch|Guy Ritchie|Policier||3|britannique, américain|2000|98|Anglais||XVID|||XVID|744 Kbps|720x576|MPEG-1 Audio layer 3|224 Kbps|False|48.0 KHz|2|692||||25.000|09/08/2009 00:00:00|Matthew Vaughn|Guy Ritchie|Tim Maurice-Jones||Columbia TriStar Films||Franky vient de voler un énorme diamant qu'il doit livrer à Avi, un mafieux new-yorkais. En chemin, il fait escale à Londres où il se laisse convaincre par Boris de parier sur un combat de boxe clandestin. Il ignore, bien sûr, qu'il s'agit d'un coup monté avec Vinny et Sol, afin de le délester de son magnifique caillou. Turkish et Tommy, eux, ont un problème avec leur boxeur, un gitan complètement fêlé qui refuse de se coucher au quatrième round comme prévu. C'est au tour d'Avi de débarquer, bien décidé à récupérer son bien, avec l'aide de Tony, une légende de la gâchette. |Jason Statham (Turkish)@Brad Pitt (One Punch' Mickey O'Neil)@Vinnie Jones (Bullet Tooth Tony)@Stephen Graham (Tommy)@Benicio Del Toro (Franky Four Fingers)@Dennis Farina (Cousin Avi)@Rade Serbedzija (Boris the blade)@Alan Ford (Brick Top)@Mike Reid (Doug the head)@Robbie Gee (Vinny)@Ewen Bremner (Mullet)@Jason Flemyng (Darren)@Guy Ritchie (un homme lisant le journal)@Clifford "Goldie" Price (Bad Boy Lincoln)@||Secrets de tournage :
La gueule de Statham
Personnage haut en couleur avec son accent british au couteau, Jericho Butler est incarné par le britannique Jason Statham, découvert dans Arnaques, crimes et botanique de Guy Ritchie. C'est en se promenant à Londres que le futur mari de Madonna découvre l'acteur, alors... vendeur de bijoux. Egalement apparu dans le deuxième film de Guy Ritchie, Snatch, Jason Statham fut aussi champion de plongée en Angleterre. Des aptitudes qui ont eu leur intérêt lors de la préparation physique de Ghosts of Mars.
Présenté à Dinard
Snatch figurait dans la liste des films en compétition au Festival du film britannique de Dinard.
Des amendes comme s'il en pleuvait
Pour imposer la discipline sur le plateau de Snatch, Guy Ritchie a instauré un système d'amendes. Infligées à qui faisait rater une prise, perturbait le tournage (liste non exhaustive), elles ont touché tous les membres de l'équipe, Guy Ritchie y compris.
Ewen Bremner (Mullet)
Avant d'incarner l'un des héros de Transpotting (Danny Boyle, 1996), Ewen Bremner avait participé à Naked (Mike Leigh, 1993), Le prince du Jutland (Gabriel Axel, 1994) et Judge Dredd (Danny Cannon, 1995).
Il a depuis tourné dans La chasse au rhinocéros à Budapest (Michael Haussman, 1996).
En 2000, il apparaît au générique de Acid House (Paul McGuigan) et de Julien Donkey Boy (Harmony Korine).
Dennis Farina (Cousin Avi)
Vu dans Le sixième sens (Michael Mann, 1986), Midnight run (Martin Brest, 1988) et Mac (John Turturro, 1992), Dennis Farina a notamment joué sous la direction de Barry Sonnenfeld (Get shorty, 1995), Steven Soderbergh (Hors d'atteinte, 1998), Steven Spielberg (Il faut sauver le soldat Ryan, id.) et John Frankenheimer (Piège fatal, 2000).
Guy Ritchie, réalisateur
En 1998, il a écrit et réalisé son premier long métrage, Arnaques, crimes et botanique avec 960.000 £. Le film a rapporté 18.000.000 £ au box-office britannique.
Snatch est son deuxième long métrage.
Guy Ritchie va plus loin
« Avec Snatch, j'ai voulu poursuivre dans l'esprit de mon film précédent, Arnaques, crimes et botanique mais un allant plus loin dans le cynisme et l'humour. Contrairement à mon premier film où un groupe d'amis se trouvaient involontairement mêlé au monde de la drogue, confronté au crime et à la violence, les personnages de Snatch sont cet univers du crime, mais ils sont abordés avec une bonne dose de dérision et de folie. »
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Solaris|Steven Soderbergh|Science fiction||2|américain|2003|94|Anglais||DIV3|||DIV3|875 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|686||||25.000|13/08/2009 00:00:00|James Cameron Rae Sanchini Jon Landau|Steven Soderbergh|Steven Soderbergh||UFD||Répondant à l'appel de détresse lancé par son ami Giberian, le commandant du Prométhée, une station spatiale gravitant autour de la planète Solaris, le docteur Chris Kelvin décide de se rendre à son bord. Une fois sur place, il découvre que Giberian s'est suicidé et que les deux autres scientifiques présentent des signes aigus de stress et de paranoïa.
Chris mène alors des recherches sur le comportement pour le moins étrange des rescapés. Lui-même sera victime d'une force mystérieuse qui le mettra en présence de Rheya, celle qu'il a aimée autrefois et qui a mis fin à ses jours. |George Clooney (le docteur Chris Kelvin)@Natascha McElhone (Rheya)@Jeremy Davies (Snow)@Viola Davis (Gordon)@Ulrich Tukur (Gibarian)@John Cho (Un officiel)@Morgan Rusler (Un officiel)@Shane Skelton (Le jeune garçon)@Donna Kimball (Mme Gibarian)@Michael Ensign (Un ami)@Elpidia Carillo (Une amie)@Kent Faulcon (Un malade)@Lauren Cohn (Une malade)@||Secrets de tournage :
Le décor Prométhée
Les plateaux de Solaris furent les mêmes utilisés pour Ocean's eleven. Le décor de la station spatiale Prométhée, créée par Philip Messina (qui officiait pour la quatrième fois sous la direction de Steven Soderbergh après Erin Brockovich, seule contre tous, Traffic et Ocean's eleven), était haute de deux étages, mesurait 46 mètres sur 67, et sa structure était renforcée par des piliers de béton s'enfonçant à deux mètres en-dessous du sol.
Le choix de Gibarian
Puisque le personnage de Gibarian s'exprime principalement dans Solaris au travers de messages vidéo, Steven Soderbergh demanda à Ulrich Tukur de lui envoyer une vidéocassette de lui en guise d'audition. Le contenu de la vidéo frappa le réalisateur au plus haut point : "Pour son premier monologue, il avait choisi d'être assis au piano, face caméra. Puis de commencer à parler en s'en accompagnant. Pour le second, il avait fait un gros plan sur son chien qui l'écoutait avec une expression très étrange. L'effet était extrêmement déroutant. J'avais peur qu'à cause de ses longs monologues Giberian ne devienne un personnage lourd, léthargique et finalement sans grande fantaisie. Ulrich lui a apporté la touche d'humour nécessaire".
Viola Davis, une fidèle
Viola Davis, qui est l'une des interprètes principales de Solaris, avait déjà croisé à plusieurs reprises l'univers du réalisateur Steven Soderbergh. Après un petit rôle dans Hors d'atteinte en 1998 puis dans Traffic (2000) où elle jouait une assistante sociale, elle figure en 2002 au générique de Loin du paradis, produit par la société de production de Soderbergh.
L'audition de Natascha McElhone
Steven Soderbergh a songé assez vite à Natascha McElhone pour incarner Rheya dans Solaris. Elle a néanmoins eu à passer une audition originale : quelques minutes de dialogue avec George Clooney suivie d'une discussion improvisée avec le réalisateur :"J'ai demandé à Natascha de me parler de son mari, de leur amour, de leur histoire. Ses réponses étaient spontanées, intéressantes, pleines d'esprit et d'à propos. J'ai vu qu'elle avait une perception très juste du personnage".
Immédiatement... George Clooney
Steven Soderbergh a immédiatement pensé à confier l'interprétation du rôle principal à George Clooney, bien qu'il ignorait si le comédien était physiquement et mentalement prêt à jouer ce personnage. George Clooney raconte en riant : "J'ai fait du lobbying pour obtenir ce rôle (...). Après avoir lu le script, j'ai envoyé une lettre à Steven où j'écrivais : je ne sais pas si je peux jouer ça, mais je tenterais bien le coup !".
Une nuance importante
James Cameron craint que le public fasse l'amalgame entre Solaris et les films de science-fiction plus spectaculaires : "Le public doit savoir que Solaris n'est pas un film d'action. C'est de la science-fiction au sens où on l'entendait dans les années 50 et 60 : une fiction nourrie d'idées, une fiction nourrie d'hommes. Ce film vous entraîne aux confins de l'univers, là où l'on est face à soi-même".
Soderbergh / Clooney : intense collaboration
Steven Soderbergh a rencontré George Clooney sur le tournage du film Hors d'atteinte en 1998. Depuis, l'acteur a tourné à deux reprises sous sa direction : en 2001 pour Ocean's eleven puis l'année suivante pour Solaris. Mais les deux hommes ont également produits des films ensemble via leur société de production Section Eight Ltd., tels que Insomnia, Loin du paradis ou encore Bienvenue à Collinwood, dans lequel figurait également l'acteur. Enfin, Soderbergh a accepté d'endosser la casquette de producteur exécutif pour le premier film en tant que réalisateur de George Clooney, Confessions of a dangerous mind.
Soderbergh explique la différence
Lorsqu'on lui demande quelle est la différence principale entre son film, le Solaris de Andrei Tarkovski et le roman de Stanislaw Lem, Steven Soderbergh répond : "Dans le traitement de la relation amoureuse entre Kelvin et sa femme. Notre film montre ce qu'il leur est arrivé autrefois, sur Terre."
Soderbergh scénariste
Steven Soderbergh a tenu à élaborer seul le scénario de Solaris. Il a prévenu James Cameron et les producteurs du film de son intention dès le départ, au cours d'un dîner : "Je leur ai dit que j'avais une idée en tête, mais que j'avais envie d'écrire le scénario en spéculation, sans attaches légales. Je leur ai exposé ma vision, ce que je voulais développer et comment je comptais me démarquer du roman et du film de Andrei Tarkovski". Après le tournage de Traffic, il leur remit une première mouture du scénario, puis une deuxième. James Cameron dira : "Nous avons simplement attendus de voir ce qu'il allait en faire. Son premier scénario nous a totalement bluffés".
D'après...
Le film de Steven Soderbergh s'inspire du roman homonyme de Stanislaw Lem, un auteur polonais contemporain, publié en 1961. Onze ans plus tard, le réalisateur russe Andrei Tarkovski signe Solaris (1972), oeuvre de science-fiction visionnaire basée sur le livre de Lem. James Cameron débutera pendant les années 90 les négociations pour obtenir les droits avec l'auteur mais également avec le gouvernement russe, qui possédait les droits du film originel. Il les acquérera au bout de cinq ans.
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Rogue|Greg McLean|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|2|australien|2008|99|Anglais||XviD|||XVID|813 Kbps|512x288|MPEG-1 Audio layer 3|162 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|27/08/2009 00:00:00|Greg McLean|Greg McLean|Will Gibson||TFM Distribution||Australie. Le reporter cynique américain Pete McKell rejoint un groupe disparate de touristes pour une splendide croisière sur les eaux sauvages du Kadaku National Park. Mais à la suite d'un étrange accident, leur embarcation fait naufrage. Alors que le groupe attend en vain d'être secouru, un crocodile géant mangeur d'hommes apparaît à la surface de l'eau... |Michael Vartan (Pete)@Radha Mitchell (Kate)@Sam Worthington (Neil)@John Jarratt (Russell)@Stephen Curry (Simon)@Heather Mitchell (Elizabeth)@Geoff Morrell (Allen)@Celia Ireland (Gwen)@Mia Wasikowska (Sherry)@Caroline Brazier (Mary Ellen)@Damien Richardson (Collin)@Robert Taylor (III) (Everett Kennedy)@Barry Otto (Merv)@||Secrets de tournage :
Présenté à Sitges et Gérardmer
Solitaire a successivement été présenté au festival de Sitges en 2007 et en Compétition à Gérardmer en 2008.
Inspiré d'un terrible fait divers
C'est en entendant parler d'un crocodile solitaire qui s'en prenait à des chalutiers du Northern Territory que Greg McLean eut l'idée de ce film. "Les journaux évoquaient plusieurs attaques de chalutiers entre septembre 1978 et juillet 1979 par un énorme crocodile mâle surnommé "Sweetheart" par les gens du coin, explique le réalisateur. La première attaque a eu lieu en 1974. Trois personnes étaient en train de pêcher sur un bateau la nuit lorsque le crocodile les a surpris, a planté ses crocs dans le moteur et a secoué le bateau violemment. L'un d'entre eux a été jeté par-dessus bord mais a réussi à se hisser de nouveau à l'intérieur. Lorsqu'un autre a redémarré le moteur, le crocodile s'en est pris à l'hélice. En 1976, une attaque du même genre s'est produite. Cette fois, le crocodile a endommagé le carénage et percé la coque en aluminium. La même année, il a heurté un chalutier par le fond, l'a renversé, puis a refait surface. En 1978, il a attaqué un bateau qui était amarré, endommageant le moteur, et a coulé un chalutier. Au final, les gens du coin ont décidé de le neutraliser parce qu'il représentait une menace pour les pêcheurs de la région. Sweetheart a été attrapé en juillet 1979 et il est mort peu après avoir été capturé. Son squelette, mesurant plus de 5 mètres de long, est désormais exposé au Northern Territory Museum."
Hommage à "Northern Safari"
En écrivant, réalisant et produisant Solitaire, Greg McLean a souhaité rendre hommage aux films de monstre de son enfance, dont Northern Safari, un long métrage mis en scène par l'australien Keith Adams. "Ce petit film auto-financé, qui était projeté dans toutes les mairies et les écoles australiennes, racontait les aventures d'une famille dans le nord du pays à la fin des années 60, explique le cinéaste. On y voyait des buffles, des paysages extraordinaires et d'énormes crocodiles - ces images ont fait germer des tas d'histoires dans mon esprit, des histoires de lieux mythiques pleines de créatures monstrueuses qui se déroulaient dans mon propre pays : l'Australie."
Un projet de longue date
Solitaire existe sur le papier depuis 1997. Greg McLean avait écrit la première version du scénario en cinq semaines sur un ordinateur qu'il avait emprunté, malheureusement il dut attendre pas mal d'années pour voir son projet se concrétiser. C'est grâce au succès de Wolf Creek qu'il put réunir le budget nécessaire au film. "Wolf Creek m'a ouvert des horizons inouïs, se souvient le réalisateur. Un an plus tôt, je vivais littéralement dans mon bureau, je dormais sur un canapé parce que j'essayais de décrocher le financement d'un film à petit budget. Peu après, je me suis retrouvé à Los Angeles et j'ai rencontré Brad Pitt qui m'a dit "Mon vieux, j'ai adoré votre film." Je me suis dit que c'était peut-être le moment de ressortir mon vieux projet et d'aller voir les studios en leur demandant "Vous aimez les crocodiles ?" C'est ainsi qu'en très peu de temps et avec le soutien des frères producteurs Weinstein, le cinéaste est passé d'un budget de 1,38 million de dollars (australiens) pour Wolf Creek à 25 millions pour Solitaire.
Des effets visuels signés Creature Workshop
Les effets visuels du film ont été créés par la société australienne Creature Workshop. Cette entreprise concevant et mettant au point toutes sortes de créatures fantastiques et d'animaux a notamment été sollicitée pour Les Chroniques de Riddick et Zig-Zag. Elle a également collaboré à The Host du Coréen Joon-ho Bong, Love Story 2050 et L'Ile de Nim. John Cox, le dirigeant de Creature Workshop, a décroché l'Oscar des Meilleurs effets visuels pour Babe, le cochon devenu berger en 1995.
Le choix de Radha Mitchell et Michael Vartan
Pendant la phase d'écriture, Greg McLean remplissait de petits albums d'images et rassemblait tout un tas d'objets qui l'aidaient à se concentrer sur le style et la caractérisation de ses personnages. "On m'a conseillé de confier le rôle de Kate à Radha Mitchell très en amont du projet, et je n'ai pu penser à personne d'autre après coup, raconte le cinéaste. Pour moi, elle a une vraie présence à l'écran et elle incarne le personnage de manière totalement vraisemblable." "J'ai découvert Michael Vartan dans la série "Alias", poursuit-il. On s'est parlé au téléphone et, à un moment donné, j'ai joué le tout pour le tout et je lui ai dit "Ecoute, je préfère te prévenir que ce tournage ne va pas être de tout repos. Il n'y aura pas de caravanes, mais il y aura de vrais crocodiles, des serpents et des moustiques. Je ne suis pas sûr que tu aies vraiment envie de tourner ce film..." Cela l'a intrigué. Et puis, il a vu Wolf Creek, il a apprécié le jeu des comédiens et il nous a donné son accord."
Tournage au Northern Territory
Pour que le tournage, d'une durée de 13 semaines, se déroule normalement, Greg McLean et son équipe devaient se déplacer dans la région du Northern Territory avant la saison des pluies. Ils disposaient de leur propre service météo qui surveillait le moindre changement climatique. D'autres scènes d'extérieurs jour furent filmées sur une île qu'ils bâtirent dans un immense lac de la région de Victoria. "On avait une armada de bateaux qui suivaient le bateau "principal" toute la journée, raconte le réalisateur. Radha Mitchell a piloté le bateau depuis le premier jour. Elle n'avait jamais navigué auparavant, mais elle a pris un cours d'une heure la veille du tournage ! Durant l'essentiel du tournage, il y avait plus de 70 techniciens répartis sur six bateaux qui sillonnaient un fleuve infesté de crocodiles, tandis que 9 comédiens et un chien se trouvaient sur une petite embarcation par 50°C loin de tout." Le tournage s'acheva dans un entrepôt désaffecté qui servait de studio.
John Jarrat retrouve Greg McLean
Le réalisateur Greg McLean a de nouveau fait appel à l'acteur John Jarratt qui jouait dans Wolf Creek le rôle d'un Bushman psychopathe.
Question de perversité
Comme avec Wolf Creek, Greg McLean utilise le genre horrifique pour mieux dépeindre la perversité humaine. Cernés sur leur petit îlot par le crocodile, les touristes vont peu à peu révéler leurs instincts primaires. "Il est plus difficile ici d'adopter un ton nihiliste, mais ça se travaille à différents niveaux. On voit progressivement ce que les gens sont capables de faire et combien cela révèle la folie humaine", confie le réalisateur.
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Ghostbusters|Ivan Reitman|Comédie||3|américain|1984|100|||DIV3|||DIV3|807 Kbps|720x288|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|682||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Ivan Reitman|Harold Ramis Dan Aykroyd|Laszlo Kovacs|||Saga : S.O.S. Fantômes |Peter, Raymons et Egon effectuent des recherches sur la parapsychologie. Virés par le Doyen de la faculté, ils fondent une société destinée à chasser les revenants : S.O.S. fantômes. Le succès frappe tant et si bien à leur porte qu'ils en sont bientôt à travailler à la chaîne. |Bill Murray (Dr. Peter Venkman )@Dan Aykroyd (Dr. Raymond Stantz)@Harold Ramis (Dr. Egon Spengler)@Sigourney Weaver (Dana Barrett)@Rick Moranis (Louis Tully)@Annie Potts (Janine Melnitz)@William Atherton (Walter Peck)@Ernie Hudson (Winston Zeddemore )@Timothy Carhart@Larry King@Casey Kasem@Reginald Veljohnson@Nancy Kelly@Reginald Veljohnson (Garde de sécurité)@Alice Drummond (Libraire)@Cheryl Birchenfield (Annette Fleming)@Christopher Wynkoop (Un journaliste)@Carol Ann Henry (Journaliste)@David Margulies (Le maire)@James Hardy (Un journaliste)@Frances Turner (Journaliste)@Eda Reiss Merin (Voisine de Louis)@Jean Kasem (Femme à la fête)@Jennifer Runyon (Une étudiante)@Jordan Charney (Dean Yeager)@Joe Franklin (Lui-même)@Joe Cirillo (Capitaine de la police)@Kathryn Janssen (Miss Van Hoffman)@Kym Herrin (Le fantôme des rêves)@Joe Schmieg (Sergent de la police)@Larry Bilzarian (Un prisonnier)@Stanley Grover (Un journaliste)@Ruth Oliver (Le fantôme de la librairie)@Murray Rubin (L'homme à l'ascenseur)@Patty Dworkin (Femme à la fête)@Roger Grimsby (Lui-même)@Slavitza Jovan (Gozer)@Michael Ensign (Manager de l'hôtel)@Lenny Del Genio (Portier)@Sam Moses (Le vendeur de hot-dogs)@Rick Mancini (Policier à l'appartement)@Paul Trafas (Ted Fleming)@Steven Tash (Un étudiant)@||||||||||||@@
Ghostbusters II|Ivan Reitman|||3|américain|1989|100|||DIV3|||DIV3|836 Kbps|720x576|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Ivan Reitman|Harold Ramis Dan Aykroyd|Michael Chapman||Columbia TriStar|Saga : S.O.S. Fantômes |Après l'extermination totale de tous les revenants dans la ville de New York, la joyeuse équipe de S.O.S Fantômes reprend du service (après un chômage technique long de cinq ans) quand leur amie Dana découvre que son bébé Oscar est l'objet de phénomènes paranormaux. |Bill Murray (Dr Peter Venkman)@Dan Aykroyd (Dr Raymond Stantz)@Sigourney Weaver (Dana Barrett)@Harold Ramis (Dr Egon Spengler)@Rick Moranis (Louis Tully)@Ernie Hudson (Winston Zeddemore)@Annie Potts (Janine Melnitz)@Peter MacNicol (Janosz Poha)@Harris Yulin (The Judge)@Janet Margolin (The Prosecutor)@Bobby Brown (Mayor's Doorman)@Cheech Marin (Dock Supervisor)@Brian Doyle-Murray (Psychiatrist)@Ben Stein (Public Works Official)@Philip Baker Hall (Police Commissioner)@David Margulies (le maire de New York)@Michael P. Moran (Frank le portier)@Henry J. Deutschendorf (Bébé Oscar)@Mordecai Lawner (L'homme avec le ticket)@Susan Boehm (Jeune femme)@Aaron Lustig (Norman le producteur)@Page Leong (assistant de Spengler)@Catherine Reitman (La fillette avec le chiot)@Dave Florek (Le premier policier)@George Wilbur (Bailiff)@Walter Flanagan (Rudy le garde du musée)@Ralph Monaco (Sergeant de police)@Ron Cummins (Lieutenant de police)@John Hammil (Détective)@Ray Glanzman (Détective)@Alex Zimmerman (Détective)@Douglas Seale (L'homme à l'hôtel Plaza)@Wilhelm von Homburg (Vigo)@Williams T. Deutschendorf (Bébé Oscar)@Yvette Cruise (Maria)@||||||||||||@@
Hideaway|Brett Leonard|Fantastique|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|1995|101|||DX50|||DX50|844 Kbps|720x288|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|692||||25.000|28/07/2009 00:00:00|||||||Apres un accident d'automobile, Hatch Harrison, tombe dans un coma depasse, est ranime au bout de deux heures grace aux soins d'une equipe chirurgicale hors pair. Seulement il ne revient pas seul de l'au-dela et la menace de ce double plane sur sa propre fille. |Alfred Molina (Dr. Jonas Nyebern)@Christine Lahti@Rae Dawn Chong@Jeff Goldblum@Jeremy Sisto@Kenneth Welsh@||||||||||||@@
I know What You Did Last Summer|Jim Gillespie|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|1998|96|Anglais||DX50|||DX50|905 Kbps|720x336|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Stokely Chaffin Erik Feig Neal Moritz|Kevin Williamson|Denis Crossan||Columbia TriStar Films|Saga : Souviens-toi... l'été dernier |La nuit de la fête nationale, Julie, Helen, Ray et Barry ont par accident renversé un inconnu. Devant la crainte de leur avenir compromis par ce drame, ils décident de faire disparaître le corps et font le serment de ne rien dire à personne, jamais. L'été suivant, chacun des quatre amis se trouve confronté à des évenements terrifiants. Ils doivent se rendre à l'évidence : quelqu'un sait ce qu'ils ont fait et semble bien decidé à le leur faire payer. |Jennifer Love Hewitt (Julie James)@Sarah Michelle Gellar (Helen Shivers)@Freddie Prinze Jr. (Raymond Bronson)@Ryan Phillippe (Barry William Cox)@Bridgette Wilson (Elsa Shivers)@Johnny Galecki (Max Neurick)@Anne Heche (Melissa Egan)@Muse Watson (Benjamin Willis)@Stuart Greer (David Caporizo)@J. Don Ferguson (Emcee)@Jack Black (Titus Telesco)@Patti D'Arbanville (Mrs. Shivers)@Jonathan Quint (David Franklin Egan)@William Neely (Hank)@Rasool J'Han (Deb)@||||||||||||@@
I Still Know What You did Last Summer|Danny Cannon|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|1999|96|Anglais||XviD|||XVID|805 Kbps|720x304|MPEG-1 Audio layer 3|192 Kbps|False|48.0 KHz|2|696||||25.000|28/07/2009 00:00:00|William S. Beasley Stokely Chaffin Erik Feig Neal Moritz|Trey Callaway|Vernon Layton|||Saga : Souviens-toi... l'été dernier |Un an apres le terrible drame qui a decimé ses amis, Julie est toujours hantée par la terrible vengeance du tueur au crochet. Quand Karla l'invite à partager un séjour aux Bahamas, Julie y voit l'occasion de tout oublier. Les deux jeunes filles partent en compagnie de Tyrell, le petit ami de Karla et de Will, que Julie ne laisse pas indifférent. A leur arrivée, ils découvrent qu'ils sont les seuls hôtes de l'hotel. La saison des ouragans vient juste de débuter. Et lorsque les premiers évènements étranges surviennent, Julie donne l'alarme, mais personne ne veut la croire. |Jennifer Love Hewitt (Julie James)@Freddie Prinze Jr. (Raymond Bronson)@Muse Watson (Benjamin Willis / Fisherman)@Mekhi Phifer (Tyrell Martin)@Brandy (Karla Wilson)@Matthew Settle (Will Benson)@Bill Cobbs (Estes)@Jennifer Esposito (Nancy Murphy)@John Hawkes (Dave)@Benjamin Brown (Darick le docker)@Sylvia Short (Vieille femme)@Mark Boone Junior (Le vendeur du magasin)@Michael Byrne@Jack Black (Titus Telesco)@||||||||||||@@
I'll Always Know What You Did Last Summer|Sylvain White|Epouvante-horreur||1|américain|2006|92|Anglais||XviD|||XVID|883 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|156 Kbps|False|48.0 KHz|2|695||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Amanda Cohen Erik Feig Neal Moritz|Michael D. Weiss|Stephen M. Katz||||Lors d'une escapade, un adolescent trouve la mort sous les yeux de ses quatre amis qui décident de garder ce tragique évènement secret au risque de voir leur amitié prendre fin. Un an après les faits, ces-derniers se retrouvent les victimes d'une menace fantôme. Ils reçoivent chacun de leur côté des menaces anonymes au sujet de leur secret. |K.C. Clyde (PJ)@Torrey DeVitto (Zoey)@Ben Easter (Lance)@Star LaPoint (Kelly)@Britt Leary (Kim)@Brooke Nevin (Amber Williams)@Seth Packard (Roger)@David Paetkau (Colby Patterson)@Don Shanks (Ben Willis / le pêcheur)@||||||||||||@@
Space Cowboys|Clint Eastwood|Aventure||3|australien, américain|2000|123|Anglais||DIV3|||DIV3|648 Kbps|512x224|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|692||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Clint Eastwood Andrew Lazar|Ken Kaufman Howard Klausner|Jack Green||Warner Bros. France||En 1958, les astronautes Frank Corvin, Hawk Hawkins, Jerry O'Neill et Tank Sullivan se preparent pour une mission spatiale mais, au dernier moment, la Nasa leur prefere un singe. Quarante-deux ans plus tard, le satellite russe de communication Ikon menace de s'ecraser sur la Terre. Corvin est le seul homme capable de maitriser l'antique systeme de guidage, calque sur celui qu'il avait concu quelques decennies plus tot pour Skylab. Il accepte la mission, a condition que ses trois compagnons partent avec lui... |Clint Eastwood (Dr. Frank Corvin )@Tommy Lee Jones (Col. William 'Hawk' Hawkins )@Donald Sutherland (Jerry O'Neill )@James Garner (Tank Sullivan )@Marcia Gay Harden (Sara Holland )@James Cromwell (Bob Gerson )@William Devane (Eugene 'Gene' Davis )@Loren Dean (Ethan Glance )@Courtney B. Vance (Roger Hines )@Rade Serbedzija (General Vostow )@Barbara Babcock (Barbara Corvin )@||Secrets de tournage :
Loren Dean (Ethen Glance)
Dirigé par Robert Benton (Billy Bathgate, 1991), Ridley Scott (1492, 1992), Ron Howard (Apollo 13, 1995), Wim Wenders (The end of violence, 1997) et Andrew Niccol (Bienvenue à Gattaca, id.), Loren a également joué dans Le patchwork de la vie (Jocelyn Moorhouse, 1995) et Ennemi d'Etat (Tony Scott, 1998).
Marcia Gay Harden (Sara Holland)
Découverte dans Miller's Crossing (Joel Coen, 1990), Marcia Gay Harden a notamment joué dans Safe passage (Robert Allan Ackerman, 1994), Flubber (Les Mayfield, 1997), L'enjeu (Barbet Schroeder, 1998) et Rencontre avec Joe Black (Martin Brest, id.).
James Cromwell (Bob Gerson)
Outre sa prestation dans Babe (Chris Noonan, 1995) et Babe-Le Cochon dans la Ville (George Miller, 1998), James Cromwell est notamment apparu dans Romeo is Bleeding (Peter Medak, 1993), L'Effaceur (Chuck Russell, 1996), Larry Flynt (Milos Forman, 1996), L.A. Confidential (Curtis Hanson, 1997) et Le ligne verte (Frank Darabont, 1999).
Eastwood recherche la vraisemblance
« Je tenais à ce que le film soit parfaitement crédible. Nous avions besoin du concours actif de la NASA pour reproduire au mieux les circonstances exactes du lancement. C'est un processus complexe qui demande une planification rigoureuse et une excellente coordination. Sa simulation pour les besoins d'un tournage est sans doute encore un peu plus ardue, mais l'agence s'est donnée à fond. Le résultat m'a comblé. »
Créer l'apesanteur à l'écran
Pour créer l'impression d'apesanteur à l'écran, l'équipe du film a opté pour des méthodes assez peu orthodoxes, comme le confirme Tommy Lee Jones : « Ici, nous avons utilisé tous les trucs possibles et imaginables. On nous a harnachés et accrochés au plafond, on nous a poussés sur des tabourets à roulettes, on a fait voler dans les airs divers objets suspendus à des filins translucides, etc. Tous ces procédés mécaniques, combinés à une abondance de mouvements de caméra, ont «fait la blague» dans 80% des cas. »
Pour les 20% restants, Clint Eastwood a eu recours aux effets spéciaux de ILM (Industrial Light & Magic) associés à des procédés plus traditionnels, comme les modèles réduits.
Les lieux de tournage
Les extérieurs du film ont été tournés dans la périphérie de Los Angeles.
Le Johnson Space Center de Houston (Texas) et le Kennedy Space Center de Cap Canaveral (Floride) ont accueilli les scènes d'intérieur, dans la seconde partie du film.
Un pied dans la lagune, un pied sur la plage
Space Cowboys est présenté à la fois au Festival de Venise (du 30 août au 9 septembre 2000) et au Festival de Deauville (du 1er au 10 septembre 2000).
Eastwood rend hommage aux pionniers
« L'équipe Daedalus réunit d'authentiques précurseurs. En franchissant le mur du son et en s'élevant jusque dans la stratosphère, des pionniers de l'aviation moderne comme Chuck Yeager ont aussi ouvert la voie à la conquête spatiale. Mais ils n'ont pu participer à cette grande aventure. Alors qu'ils étaient fin prêts et que le monde entier s'attendait à les voir partir dans l'espace, ils furent remplacés? par un singe ! »
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Spawn|Mark A.Z. Dippe|Fantastique|Interdit aux moins de 12 ans|1|américain|1997|91|Anglais||div3|||div3|992 Kbps|624x336|WMA2|64.1 Kbps|False|44.1 KHz|2|699||||23.976|06/08/2009 00:00:00|Clint Goldman|Mark A.Z. Dippe Alan McElroy|Guillermo Navarro||Metropolitan Filmexport||Al Simmons, agent du service action, employé par une organisation gouvernementale secrète, est trahi par son supérieur, Jason Wynn, qui le fait perir dans l'explosion d'une usine d'armes biochimiques. Simmons se retrouve alors devant Malebolgia, seigneur des ténèbres. Il signe avec lui un pacte lui permettant de revoir sa femme. Il devra mener les armeés du mal dans leur ultime combat. Simmons devient alors un guerrier infernal à la force et aux pouvoirs illimites: Spawn! |Michael Jai White (Al Simmons/Spawn)@Martin Sheen (Jason Wynn)@John Leguizamo (Clown)@Theresa Randle (Wanda Blake)@Nicol Williamson (Cogliostro)@D.B. Sweeney (Terry Fitzgerald)@Melinda Clarke (Jessica Priest )@Miko Hughes (Zack)@Sydni Beaudoin (Cyan)@Michael Papajohn (Glen le père de Zack)@Robia LaMorte (La journaliste)@||||||||||||@@
Speed Racer|Andy Wachowski Larry Wachowski|Action|Film pour enfants à partir de 6 ans|2|américain|2008|129|Anglais||XVID|||XVID|618 Kbps|592x320|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Joel Silver Andy Wachowski Larry Wachowski Grant Hill|Andy Wachowski Larry Wachowski|David Tattersall||Warner Bros.||Speed Racer est un as du volant, un fonceur instinctif et intrépide qui enchaîne les victoires. Né pour ce sport à haut risque, il n'y a connu qu'un seul rival : son propre frère, le légendaire Rex Racer, fauché en pleine gloire et dont il est aujourd'hui l'héritier.Loyal à la firme de son père, Pops Racer, concepteur de sa puissante Mach 5, Speed a rejeté une alléchante proposition des Royalton Industries. Après s'être attiré par ce refus la haine du fanatique Royalton, Speed découvre que certaines des plus grandes courses américaines sont truquées par une poigné d'hommes d'affaires, manipulant les meilleurs pilotes pour booster leurs profits. Et puisque Speed refuse de courir sous ses couleurs, Royalton veillera à ce que la Mach 5 ne remporte plus une seule course...Pour sauver l'entreprise familiale et sa carrière, Speed n'a d'autre issue que de battre Royalton à son propre jeu. Soutenu par sa famille et sa fidèle compagne Trixie, le pilote s'associe à un ancien rival, le mystérieux Racer X, pour remporter la course mythique qui coûta la vie à son frère : le terrifiant rallye "Crucible"... |Emile Hirsch (Speed Racer)@Christina Ricci (Trixie)@John Goodman (Pops Racer)@Susan Sarandon (Mom Racer)@Matthew Fox (Racer X)@Roger Allam (E. P. Arnold Royalton)@Kick Gurry (Sparky)@Scott Porter (Rex Racer)@Richard Roundtree (Ben Burns)@Nayo Wallace (la petite amie de Racer X)@Jung Ji-Hoon (Taejo Togokhan)@Paulie Litt (Spritle)@Christian Oliver (Snake Oiler)@Ralph Herforth (Jack "Cannonball" Taylor)@Moritz Bleibtreu (Gray Ghost)@Ashley Walters (Le Prince Kabala)@Jana Pallaska (Delila)@Ludmilla Ismailow (Denismobile)@Joe Mazza (Nitro Venderhoss)@Eduard Geber (Three Roses)@Milka Duno (Kellie Kalinkov)@Hiroyuki Shimosawa (Mr. Musha)@Benno Fürmann (L'Inspecteur Detector)@Yu Nan (Horoku Togokahn)@John Benfield (Cruncher Block)@Melvil Poupaud (commentateur de la course)@Nicholas Elia (Speed Racer jeune)@||Secrets de tournage :
Série Culte
Speed Racer est adapté de la série animée japonaise Mach Go Go Go (ou Mahha GoGoGo), créée par Tatsuo Yoshida sous la bannière des Productions Tatsunoko en 1967. Développé sur 52 épisodes, le programme connut un immense succès en Asie avant d'être exporté outre-Atlantique. Depuis, plusieurs séries dérivées, basée sur le même concept de courses futuristes, ont été produites : The New Adventures of Speed Racer en 1993, Speed Racer X en 2002 et le prochain Speed Racer: The Next Generation en 2008.
L'écurie Wachowski
Speed Racer est la première réalisation des frères Larry et Andy Wachowski depuis la trilogie Matrix. Fans de la série animée, les deux frères assurent non seulement la réalisation, mais également l'écriture et la production de cette adaptation live. A leurs côtés, une équipe de fidèles échappés de la Matrice : les producteurs Joel Silver et Grant Hill, le chef-décorateur Owen Paterson, la costumière Kym Barrett et le monteur Zach Staenberg. Face au défi numérique de Speed Racer, les Wachowski Brothers ont par ailleurs fait appel à deux techniciens rompus aux univers digitaux : le directeur de la photographie David Tattersall et le monteur Roger Barton, à l'oeuvre, entre autres, sur la nouvelle trilogie Star Wars.
Casting international
La distribution de Speed Racer mêle des comédiens de multiples horizons : Américains (Emile Hirsch, Christina Ricci, John Goodman, Susan Sarandon, Matthew Fox...), Européens (Moritz Bleibtreu, Benno Fürmann, Roger Allam...) et Asiatiques (Hiroyuki Sanada, Yu Nan et la pop-star Jung Ji-Hoon alias "Rain").
Avant les deux frêres
Avant que les frêres Wachowski s'en mêlent, le réalisateur Alfonso Cuaron était pressenti à la réalisation avec Johnny Depp dans le rôle titre.
Echappés de "Lost"
Deux transfuges de la série Lost, les disparus sont au générique de Speed Racer : le comédien Matthew Fox et le compositeur Michael Giacchino.
Racer X
Le personnage de Racer X (Matthew Fox) a d'abord été proposé à Keanu Reeves, qu'il a refusé.
2D 1/2
Pour ce projet ambitieux, les frères Wachowski ont développé une nouvelle technologie : la 2D 1/2. Les acteurs jouaient ainsi devant un fond vert circulaire de 360 degrés sur lequel étaient projetées des images haute définition prises en Italie, au Maroc, en Autriche, en Turquie et dans la Vallée de la Mort.
Les bolides
Les vraies stars de Speed Racer, ce sont bien évidemment les voitures futuristes pilotées par Emile Hirsch, Matthew Fox & Cie. Ces "T-180", aux moteurs surgonflés (ils atteignent les 650 km/h) et aux gadgets multiples (armes, boucliers, bulle de mousse synthétique protéctrice, verrins hydrauliques, coque pare-balles, pneus de secours automatiques, lames coupe-obstacles, pneus à crampons, guidage par satellite...), sont toutefois des créations numériques. Seuls deux véhicules ont été réellement fabriqués : la légendaire Mach 5 du héros et la voiture de ville du mystérieux Racer X.
Un nouvel art martial
Les cascades et combats mécaniques que se livrent à grands renforts de gadgets les pilotes de Speed Racer relèvent d'une discipline bien particulière : le Car-Fu.
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Spider-Man|Sam Raimi|Fantastique||3|américain|2002|121|Anglais||DIVX|||DIVX|662 Kbps|640x368|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|695||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Ian Bryce Laura Ziskin|David Koepp|Don Burgess||Columbia Pictures|Saga : Spider-Man |Orphelin, Peter Parker est élevé par sa tante May et son oncle Ben dans le quartier Queens de New York. Tout en poursuivant ses études à l'université, il trouve un emploi de photographe au journal Daily Bugle. Il partage son appartement avec Harry Osborn, son meilleur ami, et rêve de séduire la belle Mary Jane.Cependant, après avoir été mordu par une araignée génétiquement modifiée, Peter voit son agilité et sa force s'accroître et se découvre des pouvoirs surnaturels. Devenu Spider-Man, il décide d'utiliser ses nouvelles capacités au service du bien.Au même moment, le père de Harry, le richissime industriel Norman Osborn, est victime d'un accident chimique qui a démesurément augmenté ses facultés intellectuelles et sa force, mais l'a rendu fou. Il est devenu le Bouffon Vert, une créature démoniaque qui menace la ville. Entre lui et Spider-Man, une lutte sans merci s'engage. |Tobey Maguire (Peter Parker / Spider-Man)@Willem Dafoe (Norman Osborn / le Bouffon Vert)@Kirsten Dunst (Mary Jane Watson)@James Franco (Harry Osborn)@J.K. Simmons (J. Jonah Jameson )@Cliff Robertson (L'oncle Ben Parker )@Rosemary Harris (La tante May)@Ted Raimi (Hoffman )@Bill Nunn (Joe 'Robbie' Robertson )@Bruce Campbell (L'organisateur du combat de catch)@Randy Savage (Le catcheur BoneSaw McGraw)@Peter Appel (Le chauffeur de taxi)@Lucy Lawless (la punk au micro)@Macy Gray (elle-même)@Joe Manganiello (Flash Thompson)@Gerry Becker (Maximilian Fargas)@Jack Betts (Henry Balkan)@Stanley Anderson (Le général Slocum)@Ron Perkins (Dr. Mendell Stromm)@Michael Papajohn (Carjacker)@K.K. Dodds (Simkins)@Elizabeth Banks (Betty Brant)@John Paxton (II) (le majordome)@Tim de Zarn (Philip Watson)@Taylor Gilbert (Madeline Watson)@Larry Joshua@Timothy Patrick Quill@Jason Padgett@Shan Omar Huey (Le professeur)@Sally Livingstone (Une fille du bus)@Evan Arnold (Le medecin)@Bill Calvert (Le pompier)@Sylva Kelegian (La mère dans l'incendie)@Lisa Danielle (Bone-ette)@Natalie T. Yeo (Bone-ette)@Erica D. Porter (Bone-ette)@Kristen Davidson (Bone-ette)@Jill Sayre (L'infirmière)@James Kevin Ward (Coordinateur du projet)@David Holcomb@Octavia Spencer@Brad Grunberg (Heckler)@Shane Habberstad (Little Billy)@Deborah Wakeham (La mère de Billy)@Rachael Bruce (Une enfant de Times Square)@Mackenzie Bryce (Une enfant de Times Square)@Julia Barry (Une enfant de Times Square)@Myk Watford (Le policier en feu)@Kristen Marie Holly (Jeune fille en feu)@Ajay Mehta (Le chauffeur de taxi)@Scott Spiegel (L'officier de la marine)@Sara Ramirez (La policière du vol de voiture)@Jayce Bartok (Le guitariste du métro)@Maribel Gonzalez@Amy Bouril@Joe D'Onofrio@Jim Norton (II)@Ashley Edner (La fille dans le tram)@Corey Mendell Parker (Le chaperon de la fille dans le tram)@William Joseph Firth (Garçon dans le tram)@Alex Black (Garçon dans le tram)@Laura Gray (La mère du groupe dans le tram)@Joe Virzi (New-yorkais sur le pont)@Michael Edward Thomas (New-yorkais sur le pont)@Jeanie Fox (New-yorkaise sur le pont)@Robert Kerman (Capitaine du remorqueur)@Sam Raimi@Rick Avery (Un policier)@Stan Lee (le vendeur de lunettes)@Joni Avery (Une policière)@Chris Coppola@Lou Torres (Enrique)@||Secrets de tournage :
Deux prédécesseurs
Ce n'est pas la première adaptation de l'homme-araignée au cinéma. Deux films de série B avaient été réalisés dans les années 70. Le premier, qui s'intitule L'Homme-Araignée, à été réalisé par E.W. Swackhamer et le deuxième, La Riposte de L'Homme-Araignée, à été tourné sous la houlette de Ron Satlof.
"Spider-Man" en chiffres
120 millions de dollars : le budget du film
50 millions de dollars : le budget marketing du film
500 plans d'effets spéciaux
6 mois de tournage
100 000 dollars : le prix de chaque costume de Spider-Man
120 pièces différentes et six mois ont été nécessaires à la création du costume
4 : nombre de costumes dérobés sur le tournage
25 000 dollars : récompense offerte en échange de costumes manquants. Aucun n'a été rapporté
5 comédiens sous le costume du super-héros : Tobey Maguire et quatre cascadeurs aux aptitudes physiques différentes
114 millions de dollars : les recettes du film en trois jours. Du jamais vu...
43,7 millions de dollars : les recettes record du film pour la seule journée du 4 mai
3 876 : le nombre de cinémas où le film a été projeté aux Etats-Unis. Un record !
12 000 : figurants nécessaires lors de la scène de Times Square
3 : le nombre de films Spider-Man déjà envisagés
8 (au moins) : apparitions clin d'oeils qui émaillent le film (Ted Raimi, Bruce Campbell, Lucy Lawless, Sam Raimi, Stan Lee, Randy Savage, Macy Gray)
Spider-Man et le 11 septembre
11 septembre 2001. Les attentats terroristes sur le World Trade Center plongent l'Amérique et le reste du monde dans un traumatisme sans précédent. Comme de nombreux studios hollywoodiens, les dirigeants de la Columbia réagissent dès le lendemain et décident de retirer du web la première bande-annonce de Spider-Man, qui figurait une gigantesque toile d'araignée tendue entre les deux tours jumelles. De même, la première affiche du film, sur laquelle les buildings se reflétaient dans les yeux du super-héros, est retouchée.
Si la scène de la bande-annonce, initialement prévue pour figurer dans le film est coupée au montage, Sam Raimi décide, en hommage aux victimes, de réintroduire les buildings lors des différentes scènes de vue d'ensemble de New York.
Une genèse de 17 ans
Spider-Man aura connu une genèse mouvementée. Initialement développé par la firme Cannon (à qui Marvel cède les droits en 1985), le projet connaît une longue phase de développement ponctuée de réécritures incessantes. Après la faillite de Cannon, Menahem Golan, l'un de ses fondateurs, cherche à éponger ses dettes et disperse les droits de l'adaptation entre divers acteurs du marché. Il faudra près de dix ans pour que la Columbia parvienne à démêler cet imbroglio juridique, obtenir la totalité des droits, et mettre en chantier Spider-Man...
Entretien d'embauche pour Sam Raimi
Pour diriger les aventures de Spider-Man sur grand écran, Sam Raimi a dû convaincre les producteurs de la Columbia de sa connaissance du comic-book. Dix-huitième nom au bas d'une longue liste de réalisateurs envisagés pour le projet (dont David Fincher, Ang Lee ou Chris Columbus), il a effectué de nombreuses recherches et préparé une argumentation apte à convaincre les financiers (dont la nécessité d'aborder le côté humain de Spider-Man et de ne pas se contenter d'une succession d'effets spéciaux). Un entretien d'embauche fort convaincant...
Stan Lee dans "Spider-Man" ?
Après un caméo dans X-men en vendeur de hot-dogs sur la plage, Stan Lee, créateur de Spider-Man et de nombreux autres super-héros et ancien rédacteur en chef des Marvel Comics, fait une nouvelle apparition clin d'oeil dans Spider-Man. A nouveau en vendeur ! Lors de la scène de foule de Times Square, il incarnait un vendeur de lunettes proposant des lunettes à Peter Parker... Et pas n'importe lesquelles : celle du X-man Cyclope ! Malheureusement, cette apparition humoristique sera coupée au montage...
Lucy Lawless en punk
Célèbre héroïne de la série télévisée Xena la guerrière (produite par Sam Raimi), Lucy Lawless a accepté de faire une apparition clin d'oeil dans Spider-Man. Elle incarne une punk lors d'une scène de micro-trottoir.
Tobey Maguire pas fan du comic-book
Etrangement, Tobey Maguire connaissait très peu le comic-book Spider-Man. Loin d'être un fan de la bande-dessinée originale, il a lu de nombreux numéros pour préparer son rôle et saisir le personnage de Peter Parker / Spider-Man, et fait confiance à Sam Raimi, grand fan de l'homme araignée depuis son enfance.
Le costume de Sam Raimi
Un cinéaste de grande classe. Sam Raimi a pour habitude de s'habiller en costume / cravate sur tous ses tournages. Une manière pour le réalisateur de témoigner son respect pour ses collaborateurs, de ses vedettes au plus "petit" technicien...
Le porte-bonheur de Sam Raimi...
Comme dans chacun de ses films depuis Evil Dead, Sam Raimi a utilisé sa vieille voiture dans Spider-Man. Cette 1973 Oldsmobile Delta 88 est devenue le porte-bonheur du cinéaste...
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Les contributeursCe film a reçu 1 contribution, pour les secrets de tournage, de: Miamsolo
Les contributions faites sur cette fiche sont mises à disposition sous un contrat Creative Commons.
Une " audition " d'araignées...
Pour trouver les vraies araignées du film, Sam Raimi s'est lui-même chargé d'organiser une "audition d'araignées". Plusieurs spécimens lui ont été présentés, dont un venu tout droit de Nouvelle-Zélande qui a nécessité une autorisation spéciale pour être transporté aux Etats-Unis.
Un costume fidèle à l'original
Pour Sam Raimi, il n'était pas question de réinventer le célèbre costume de l'homme-araignée, mais plutôt de "le traduire à l'écran". Le chef costumier explique qu'"il a fallu six mois de développement. Le costume est basé sur la tension, il est fait d'une pièce depuis les bottes jusqu'au sommet du crâne. Le tissu a été imprimé avec un motif rectangulaire réalisé par ordinateur qui crée l'illusion de la dimension, presque un effet 3-D. Il y a plus de 120 motifs sérigraphiés individuels sur le costume, pour l'ombrage et les reflets de lumière..."
Un rôle très physique...
Tobey Maguire a subi un entraînement intense pour se préparer au rôle de Spider-Man. Pendant plusieurs mois, il a développé à la fois sa force et son agilité. "J'ai beaucoup travaillé ma souplesse, en grande partie par le biais du yoga", explique l'acteur. "Je me suis entraîné avec un instructeur de gymnastique pour acquérir l'agilité et le sens de l'équilibre dans les airs. J'ai fait du trampoline, des sauts, des flips, je me suis entraîné aux coups de pieds et de poings et j'ai soulevé beaucoup, beaucoup de fonte ! Sans oublier la course, le vélo et la préparation psychologique elle-même."
Une responsabilité énorme...
Sam Raimi ne cache pas avoir eu une certaine appréhension à l'idée de réaliser Spider-Man. "J'était conscient de pénétrer un territoire sacré : Spider-man a derrière lui trois générations d'admirateurs... En tant que fan, j'avais une terrifiante responsabilité. Je me suis concentré sur ce qui fait l'authenticité, l'esprit, l'âme du personnage, pour raconter la meilleure histoire possible."
Sam Raimi : un fan inconditionnel
Sam Raimi, le réalisateur de Spider-Man, est un fan inconditionnel du super-héros. Autant dire que mettre en scène les aventures de l'homme-araignée était pour lui un cadeau du ciel. "Je ne pouvais pas résister", avoue-t-il. "Je suis allé voir Columbia Pictures et je leur ai avoué ma passion pour le personnage et mon respect, mon admiration, pour l'oeuvre de tous les grands auteurs et artistes de chez Marvel. Le lendemain, j'apprenais que j'avais été choisi pour réaliser le film..."
Le culte Spider-man
Spider-man, l'homme-araignée, est l'un des super-héros les plus populaires au monde. Créé par Stan Lee et Steve Ditko, il apparaît pour la première fois dans la bande-dessinée Amazing fantasy. Le succès est immédiat, le public se prenant immédiatement d'affection pour ce super-héros aérien et humain. Dès lors, c'est la "Spider-mania" : plusieurs centaines de millions d'albums ont été vendus à ce jour.
Déjà un Spiderman 2 !
A peine Spider-Man est-il sorti dans les salles américaines que déjà, les annonces pour une suite se sont succédé ! Cette suite était déjà clairement programmée, les contrats étant même signés, mais le succès colossal du film aux Etats-Unis a précipité les choses. Il a ainsi été décidé que le tournage de Spiderman 2 débuterait en janvier 2003, toujours sous la direction de Sam Raimi, et que le film sortirait dans les salles américaines au mois de mai de la même année.
Une apparition qui swingue !
L'une des stars de la soul-music américaine fait une apparition dans Spider-Man. Il s'agit de la chanteuse Macy Gray, que l'on peut voir quelques instants chanter sur une scène en plein air, puis totalement stupéfaite par l'arrivée mouvementée du Bouffon vert.
Raimi ? Campbell : une amitié solide
C'est par amitié que Sam Raimi a donné un petit rôle à Bruce Campbell dans Spider-Man. Celui qu'il a dirigé dans nombre de ses films, à commencer par le film d'horreur Evil Dead, incarne le présentateur du combat de catch dans lequel s'illustre Peter Parker pour gagner de l'argent.
Sam Raimi dans Spider-man !
Sam Raimi ne s'est pas contenté de réaliser Spider-Man. L'Américain s'est également octroyé un rôle de figurant dans l'une des scènes de foule du long-métrage. A vous de le repérer !
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Les contributeursCe film a reçu 1 contribution, pour les secrets de tournage, de: Miamsolo
Les contributions faites sur cette fiche sont mises à disposition sous un contrat Creative Commons.
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Spider-man cherche des figurants
Le tournage de Spider-Man a donné sa chance à de nombreux figurants, pour la plupart sans expérience. Pour les besoins de scènes de foule, la production a en effet lancé un vaste appel à la population de Los Angeles en proposant de jouer dans le film. Pour information, 12 000 figurants ont été nécessaires pour l'une des scènes de foule du film.
Un tournage endeuillé
Le tournage de Spider-Man a connu un épisode dramatique. En mars 2001, un ouvrier est décédé, percuté par une grue qui portait une grande structure métallique. La victime faisait partie d'une équipe qui recréait une façade de bâtiment des années 30.
Le casting des seconds rôles
Le casting de Spider-Man a donné lieu a de nombreuses rumeurs. Outre l'attribution du rôle-titre, finalement décroché par Tobey Maguire, les rôles du Bouffon Vert et de Mary Jane Watson ont également beaucoup fait parler d'eux. Le premier est finalement revenu à Willem Dafoe mais John Malkovich avait longtemps été pressenti. Quant au rôle de Mary Jane Watson, décroché par Kirsten Dunst, il était un temps pressenti pour Julia Stiles et Alicia Witt.
Histoire d'un casting...
Pour trouver le comédien qui incarnerait le rôle de Peter Parker, alias Spiderman, Sam Raimi ainsi que les producteurs du film ont tergiversé de longs mois. Les noms de Freddie Prinze Jr., Wes Bentley ou encore Jude Law ont été souvent cités, mais c'est finalement Tobey Maguire qui a décroché le droit d'enfiler le costume de l'homme-araignée. Ce sont ses essais dans le costume de Spider-man qui auraient définitivement fait pencher la balance en sa faveur. "Il est le coeur et l'équilibre du film", déclare Sam Raimi à son sujet.
L'épisode James Cameron
Avant l'implication de Sam Raimi dans l'aventure Spider-Man, un autre grand metteur en scène s'était investi dans le projet. James Cameron souhaitait en effet réaliser l'adaptation du célèbre comic-book, mais l'Américain avait finalement renoncé, fatigué par d'interminables juridiques pour s'octroyer les droits des aventures de l'homme-araignée.
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Les contributeursCe film a reçu 1 contribution, pour les secrets de tournage, de: Miamsolo
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Spider-Man 2|Sam Raimi|Fantastique||3|américain|2004|122|Anglais||DX50|||DX50|693 Kbps|512x224|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Laura Ziskin Avi Arad|David Koepp Alfred Gough Miles Millar Michael Chabon Alvin Sargent|Bill Pope||Columbia Pictures|Saga : Spider-Man |Ecartelé entre son identité secrète de Spider-Man et sa vie d'étudiant, Peter Parker n'a pas réussi à garder celle qu'il aime, Mary Jane, qui est aujourd'hui comédienne et fréquente quelqu'un d'autre. Guidé par son seul sens du devoir, Peter vit désormais chacun de ses pouvoirs à la fois comme un don et comme une malédiction.Par ailleurs, l'amitié entre Peter et Harry Osborn est elle aussi menacée. Harry rêve plus que jamais de se venger de Spider-Man, qu'il juge responsable de la mort de son père.La vie de Peter se complique encore lorsque surgit un nouvel ennemi : le redoutable Dr Otto Octavius. Cerné par les choix et les épreuves qui engagent aussi bien sa vie intime que l'avenir du monde, Peter doit affronter son destin et faire appel à tous ses pouvoirs afin de se battre sur tous les fronts... |Tobey Maguire (Peter Parker)@Kirsten Dunst (Mary Jane Watson)@Alfred Molina (Dr. Otto Octavius / Doc Ock)@James Franco (Harry Osborn)@Rosemary Harris (Tante May Parker)@Daniel Gillies (John Jameson)@J.K. Simmons (J. Jonah Jameson)@Donna Murphy (Rosalie Octavius)@Dylan Baker (Dr. Curt Connors)@Bill Nunn (Joseph 'Robbie' Robertson)@Elizabeth Banks (Betty Brant)@Bruce Campbell (l'ouvreur du théâtre)@Stan Lee (le passant qui sauve les gens)@Vanessa Ferlito (Louise)@Aasif Mandvi (Monsieur Aziz)@Cliff Robertson (Ben Parker)@Willem Dafoe (Le Bouffon vert / Norman Osbourn)@Ted Raimi (Hoffman)@Gregg Edelman (Docteur Davis)@Elya Baskin (Monsieur Ditkovich)@Daniel Dae Kim (Raymond)@Hal Sparks (L'homme dans l'ascenseur)@Brent Briscoe (L'homme des poubelles)@Scott Spiegel (L'homme au balcon)@Christine Estabrook (Mme Jameson)@John Paxton (II) (le majordome)@Joy Bryant (Le femme sur Internet)@Joanne Baron (La scientifique sceptique)@Peter McRobbie (Le représentant de OsCorp)@Taylor Gilbert (Mme Watson)@Louis Lombardi (Le joueur de poker)@Cindy Cheung (Une chinoise)@Peter Cincotti (Le joueur de piano au planétarium)@Claudia Katz (L'assistante de Robbie)@Bonnie Somerville (La femme qui crie)@Mageina Tovah (Ursula)@Joel McHale (M. Jacks)@Kelly Connell (Dr. Isaacs)@Emily Deschanel (la réceptionniste)@Jason Fiore-Ortiz (Henry Jackson)@Dakota Anderson@Molly Cheek@||Secrets de tournage :
Naissance d'un super héros...sur le papier
Le légendaire personnage de Spider-Man a été créé par Stan Lee et Steve Ditko (qui sera quant à lui à l'origine du personnage Nick Fury, agent du S.E.R.V.O). Il fait sa première apparition en 1962, dans le magazine Marvel Amazing Fantasy. Fort du succès de son nouveau personnage, le magazine fut très vite rebaptisé Amazing Spider-Man, et à nouveau publié à partir de mars 1963.
Un énorme potentiel
La parole à la productrice Laura Ziskin : "Nous avions toujours pensé que le film avait un potentiel énorme, d'abord parce que le personnage et ses histoires connaissent un succès qui ne se dément pas depuis plus de 40 ans. Nous sommes restés fidèles aux éléments qui faisaient la force de la bande dessinée Marvel : l'aventure, la romance, l'humour. Tout au long du processus de création du film, nous avons respecté l'esprit. Même deux ans après sa sortie, beaucoup de gens continuent à me dire combien ils ont aimé le premier film et avec quelle impatience ils attendent le second"."
Les voeux d'un cinéaste
Bien que le personnage de Spider-man soit supposé combattre le Dr. Octopus en premier, selon l'ordre de la bande dessinée, le réalisateur Sam Raimi était beaucoup plus attaché à voir s'affronter l'homme-araignée contre le Bouffon vert dans le premier volet, réservant l'apparition de Doc Ock pour la suite de Spider-Man.
Une invitée de choix...
Les premières trames scénaristiques prévoyaient un rôle prépondérant pour le personnage féminin Black Cat, qui n'a finalement jamais vu le jour.
Un personnage populaire...et menaçant
Le personnage de Doc Ock est apparu pour la première fois dans The Amazing Spider-Man n°3, publié en 1963. D'après la bande dessinée, chacun de ses membres peut bouger à une vitesse atteignant les 30 mètres par seconde, "avec une puissance comparable à celle d'un marteau piqueur". Ces tentacules, d'une prodigieuse puissance, lui permettent de soulever un véhicule, de pulvériser un mur, de s'agripper à des parois de béton, et de fondre sur ses victimes depuis les airs. Les tentacules de Molina pèsent entre 35 à 45 kilos, selon l'activité nécessitée par la scène. "Chacun d'eux, constitué sur toute sa longueur (4 m) d'environ 76 pièces individuelles, était articulé en totalité". A titre de comparaison, si l'on mettait bout-à-bout les tentacules, la longueur dépasserait la hauteur d'un immeuble de 20 étages...
Un titre non définitif
Avant de trouver le titre définitif, les producteurs ont successivement pensé à "Spider-Man : No More", "Spider-Man 2 Lives, et "Spider-Man : Unmasked" pour revenir simplement à Spider-Man 2.
Ironie du sort...
Dans le premier film d'Alfred Molina, Les Aventuriers de l'Arche perdue (1981), le réalisateur Steven Spielberg demanda à l'acteur d'accepter que des...araignées grouillent sur son corps.
Un budget colossal
Près de 54 millions de dollars ont été dépensés pour les seuls effets spéciaux.
De gigantesques décors
Le chef décorateur Neil Spisak a conçu et réalisé plus d'une centaine de décors et de lieux de tournages pour Spider-Man 2, depuis une dizaine de très gros décors à un simple croisement de rues. Il explique : Nous avons tourné sur 11 blocs dans le centre de Los Angeles, et utilisé un nombre incalculable de toits, de rues et d'immeubles. C'est sans aucun doute l'échelle la plus vaste sur laquelle j'ai travaillé !". Le tournage a débuté le 12 avril 2003 à New York. L'équipe a passé près de trois semaines à filmer dans différents endroits de Manhattan, du Queens et de Brooklyn, ainsi qu'en studio. Le réalisateur Sam Raimi ajoute :"Neil a créé un New York très consistant. Ce n'est pas un New York naturaliste, ni totalement imaginaire non plus. Neil a su trouver le fantastique qui existe dans le New York que nous connaissons, puis il l'a concentré et condensé pour en faire un monde crédible où existe Spider-Man."
L'antre de Doc Ock
Le décors de l'entrepôt de la jetée, refuge de Doc Ock sur l'East River, est l'un des plus élaborés du film. Ce décor a nécessité 15 semaines de construction. Neil Spisak, le chef décorateur, explique :"Au contraire du laboratoire personnel d'Octavius, qui était situé chez lui -un espace net, organisé et propre- la jetée tombe en décrépitude. Elle reflète l'évolution de son personnage". Cet impressionnant décor mesurait 18 m de large sur 36 de long, et 12 de haut. Il a été construit au-dessus d'un bassin et complété par des éléments de production hybrides comme des images de synthèse, des transparences et des maquettes.
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Spider-Man 3|Sam Raimi|Fantastique||3|américain|2007|139|Anglais||XVID|||XVID|571 Kbps|640x256|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|705||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Avi Arad Grant Curtis Laura Ziskin|Alvin Sargent Sam Raimi Ivan Raimi|Bill Pope||Gaumont Columbia Tristar Films|Saga : Spider-Man |Peter Parker a enfin réussi à concilier son amour pour Mary-Jane et ses devoirs de super-héros. Mais l'horizon s'obscurcit. La brutale mutation de son costume, qui devient noir, décuple ses pouvoirs et transforme également sa personnalité pour laisser ressortir l'aspect sombre et vengeur que Peter s'efforce de contrôler.Sous l'influence de son costume, Peter devient trop sûr de lui et commence à négliger ses proches. Contraint de choisir entre le pouvoir si séduisant de ce nouveau costume et la compassion qui le caractérisait avant, Peter va faire face à ses démons lorsqu'il affrontera deux des pires méchants de l'histoire, l'Homme-sable et Vénom, dont l'extraordinaire puissance et la soif de vengeance menacent Peter et tous ceux qui lui sont chers. |Tobey Maguire (Peter Parker / Spider-Man)@Kirsten Dunst (Mary Jane Watson)@James Franco (Harry Osborn / le nouveau Bouffon)@Thomas Haden Church (Flint Marko / l'Homme-Sable)@Topher Grace (Eddie Brock / Venom)@Bryce Dallas Howard (Gwen Stacy)@James Cromwell (le Capitaine George Stacy)@Rosemary Harris (Tante May Parker)@J.K. Simmons (J. Jonah Jameson)@Theresa Russell (Emma Marko)@Dylan Baker (le Docteur Curt Connors)@Bill Nunn (Joseph 'Robbie' Robertson)@Elizabeth Banks (Betty Brant)@Cliff Robertson (Oncle Ben Parker)@Ted Raimi (Hoffman)@Perla Haney-Jardine (Penny Marko)@Elya Baskin (Monsieur Ditkovitch)@Mageina Tovah (Ursula)@Becky Ann Baker (Madame Stacy)@Tim de Zarn (Philip Watson)@Joe Manganiello (Flash Thompson)@Michael Papajohn (Dennis Carradine)@Bruce Campbell (le réceptionniste du restaurant)@John Paxton (II) (le maître d'hôtel)@Stan Lee (l'homme dans Times Square)@Hal Fishman (le présentateur)@Lucy Gordon (Jennifer Dugan)@Steve Valentine (un photographe)@Tim Maculan (le metteur en scène)@Marc Vann (le producteur de la pièce)@Joe Bays (le gérant du club de jazz)@Joe Virzi (Inspecteur de police)@Willem Dafoe (Green Goblin/Norman Osborn)@||Secrets de tournage :
La saga de l'homme-araignée se poursuit
Spider-Man 3 est le troisième volet cinématographique de la saga Spider-Man, adaptée du comic-book de Stan Lee, après Spider-Man (2002) et Spider-Man 2 (2004).
L'évolution de Spider-Man
Sam Raimi, le réalisateur de la trilogie, évoque l'évolution de l'homme-araignée dans Spider-Man 3 : "Le thème principal des trois films a toujours été la profondeur, la richesse des personnages et la façon dont leurs vies sont liées. L'amour qu'éprouve Peter pour Mary Jane Watson et son amitié avec Harry Osborn constituent depuis le début l'aspect le plus riche de nos histoires. Lorsque nous avons réfléchi au développement de ce troisième épisode, nous nous sommes demandé ce que ce jeune homme avait encore à apprendre et comment il pouvait évoluer. Nous l'avons placé dans des situations où il va être forcé d'affronter ses faiblesses de caractère ? des obstacles que, dans les histoires précédentes, il aurait peut-être été incapable de surmonter. De cette manière, il peut soit être vaincu, soit atteindre sa pleine maturité pour devenir ce personnage héroïque capable de surmonter l'adversité. Dans ce nouveau film, la complexité, la profondeur des personnages est encore plus grande, ils deviennent des êtres humains plus riches et peuvent accomplir davantage que dans les films précédents."
Fidèles au poste
L'équipe principale de la saga cinématographique Spider-Man est de retour pour ce troisième volet : Sam Raimi est à nouveau derrière la caméra, alors que Tobey Maguire et Kirsten Dunst reprennent respectivement leurs rôles de Peter Parker / Spiderman et de l'amour de sa vie Mary Jane Watson.
Spidey broie du noir...
Dans Spider-Man 3, l'homme-araignée dévoile son côté le plus sombre, quittant par moment sa panoplie rouge pour devenir un personnage vêtu d'une combinaison entièrement noire. La productrice Laura Ziskin explique : "Nous voulions explorer le côté sombre de Peter. Ce costume noir exacerbe ses pouvoirs et certains de ses traits de caractère : il devient plus puissant, plus rapide, mais aussi plus orgueilleux et agressif." Tobey Maguire, qui se glisse pour la troisième fois dans le costume de l'homme-araignée, raconte : "Le scénario explore des aspects inédits de Peter Parker et introduit de nouveaux personnages. L'histoire s'aventure sur un terrain encore inconnu tout en apportant une nouvelle énergie et en s'inscrivant dans la continuité des deux premiers films."
Tobey Maguire tisse à nouveau sa toile...
Tobey Maguire, une nouvelle fois incarnation cinématographique de l'homme-araignée, ne cache pas son enthousiasme de retrouver ce super-héros de légende : "Quel plaisir d'enfiler à nouveau le costume de Spider-Man et de se lancer dans une nouvelle aventure ! L'histoire apporte une énergie complètement nouvelle tout en restant dans la continuité de Spider-Man et Spider-Man 2. On explore de nouveaux territoires avec un personnage familier. C'est très excitant en tant qu'acteur car cela offre de toutes nouvelles possibilités. Nous voulions montrer ce qui se cachait derrière le masque de Spider-Man pour mieux comprendre ce que traverse Peter. Quand je regarde un film, j'aime m'identifier et me prendre d'affection pour les personnages. J'aime me sentir proche d'eux et ressentir ce qu'ils peuvent endurer. Peter Parker se prête très bien à ce genre d'exercice. Le public se sent naturellement très proche de lui."
De nouveaux venus...
Comme pour chaque volet, de nouveaux personnages font leur apparition au générique. Spider-Man 3 assiste ainsi à l'apparition de deux nouveaux méchants que sont Sandman et Venom, respectivement incarnés par Thomas Haden Church et Topher Grace (James Franco reprenant le rôle du Bouffon Vert laissé vacant par son père Willem Dafoe). Enfin, Spider-Man 3 accueille dans sa distribution la jeune Bryce Dallas Howard, qui incarne la belle tentatrice Gwen Stacy.
Deux méchants à découvrir
Thomas Haden Church et Topher Grace, deux des nouveaux méchants officiels de Spider-Man 3, sont relativement peu connus du grand public, à la différence des premiers vilains de la saga comme Willem Dafoe ou Alfred Molina. Le premier, qui incarne le personnage de Sandman, a notamment été vu aux génériques de Monsieur Schmidt et Sideways. Le second, qui se glisse sous les traits de Venom, est issu du programme télévisé That 70's show et s'est notamment illustré dans la comédie En bonne compagnie.
Un budget record
Spider-Man 3 est officieusement annoncé comme le film le plus cher jamais réalisé en dollars américains : avec un budget de 250 millions de dollars, le long métrage devance nettement les 207 millions de billets verts de King Kong, précédent détenteur du record.
Une logistique impressionnante
Une production de l'ampleur de Spider-Man 3 nécessite une logistique de très haut niveau, notamment au niveau technique. La productrice Laura Ziskin raconte : "Spider-Man 3 a dépassé au niveau ampleur et logistique tout ce que nous avons pu faire sur les deux premiers films. Avec ce nouveau chapitre, nous voulions satisfaire l'attente du public en lui offrant une aventure encore plus exaltante que les précédentes. Sam Raimi a fixé la barre très haut pour les scènes d'action et les effets visuels impliquant l'Homme-Sable et Venom : leur réalisation a nécessité le travail de plus de 1 000 personnes."
Deux départs techniques
Deux techniciens de valeurs ayant travaillé pour la saga ne sont pas de la partie pour Spider-Man 3. John Dykstra, Oscar des Meilleurs effets visuels pour Spider-Man 2, a laissé sa place à Scott Stokdyk. Quant à Danny Elfman, compositeur de la musique des deux premiers films, il a quitté l'aventure en raison de divergences artistiques (remplacé par Christopher Young) pour travailler sur Le Petit monde de Charlotte, film familial qui met en vedette... une araignée !
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Splash|Ron Howard|Comédie||3|américain|1984|105|Anglais||DX50|||DX50|779 Kbps|720x368|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|692||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Brian Grazer|Bruce Jay Friedman Lowell Ganz Babaloo Mandel|Donald Peterman||Buena Vista Pictures||Coup de foudre pour Allen Bauer. Dès qu'il voit Madison, il en tombe fou amoureux. Mais Madison n'est pas une fille comme les autres... C'est une sirène. |Tom Hanks (Allen Bauer)@Daryl Hannah (Madison )@Eugene Levy (Walter Kornbluth )@John Candy (Freddie Bauer)@Dody Goodman (Mrs. Stimler )@Richard B. Shull (Dr. Ross )@Bobby Di Cicco (Jerry )@Howard Morris (Dr. Zidell )@||Secrets de tournage :
Caprice de star?
Daryl Hannah étant végétarienne, elle a refusé de manger du homard lors de la scène du restaurant. L'équipe technique a alors évidé les crustacés et a remplacé la chair par une pâte ressemblant à du tofu. Dans une interview, Ron Howard rapporte qu'elle pleurait après chaque prise à cause des homards morts.
Remake
Le réalisateur hongkongais, Cheng Kent, fit un remake de Splash en 1994 sous le nom Mermaid got married . Il y inclut également des passages de La Petite Sirène.
Première scène de nu pour Disney
Splash est l'un des premiers films produit par le studio Touchstone, filliale de Walt Disney Pictures, crée pour produire des films visant un public plus adulte. C'est d'ailleurs la première fois que l'on voit une scène de nu dans un film Disney.
Plusieurs choix
Avant de choisir Tom Hanks, les producteurs de Splash avaient envisagé de confier le rôle d'Allen Bauer à John Travolta, Bill Murray et Dudley Moore.
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Splinter|Toby Wilkins|Epouvante-horreur||2|américain|2008|78|Anglais||XVID|||XVID|1 091 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|125 Kbps|False|48.0 KHz|2|691||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Ted Kroeber|Kai Barry Ian Shorr Toby Wilkins|Nelson Cragg||Magnolia Pictures||Pris au piège dans une station service par un parasite qui transforme ses hôtes en d'horribles créatures épineuses, un jeune couple et un prisonnier en cavale doivent trouver un terrain d'entente pour échapper à une mort atroce... |Shea Whigham (Dennis Farell)@Paulo Costanzo (Seth Belzer)@Jill Wagner (Polly Watt)@Charles Baker (Blake Sherman Jr.)@Rachel Kerbs (Lacey Belisle)@Laurel Whitsett (Terri Frankel)@||Secrets de tournage :
De la guerre à l'horreur
Shea Whigham, qui a le rôle titre dans le film, a commencé sa carrière en 2000 sous la houlette de Joel Schumacher dans Tigerland, dans lequel il s'opposait à un autre engagé : Colin Farrell. On a depuis pu l'aperçevoir dans des registres assez éloignés, comme la production indépendante All the Real Girls de David Gordon Green, ou le très remarqué Seigneurs de Dogtown (2005). Il sera prochainement à l'affiche du (forcément) survitaminé Fast and Furious 4 aux côtés de Vin Diesel et Paul Walker.
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Spy Kids|Robert Rodriguez|Aventure||2|américain|2001|84|Anglais||XVID|||XVID|900 Kbps|720x400|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|610||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Elizabeth Avellan Robert Rodriguez||Guillermo Navarro||Dimension Films|Saga : Spy Kids |Gregorio et Ingrid excellent dans leur métier, celui d'agent secret. Maîtres du déguisement au génie inventif, ils empêchent des guerres d'éclater grâce à leurs talents d'espion.Officiant pour deux nations ennemies, ils reçoivent un jour la mission d'éliminer leur ennemi le plus redoutable, à savoir l'un et l'autre. Mais lorsque leur regard se croise dans un lieu exotique éloigné de toute civilisation, ils tombent amoureux l'un de l'autre et décident de fonder une famille.Neuf ans plus tard, après avoir pris leur retraite pour se consacrer pleinement à l'éducation de leurs enfants, Carmen et Juni, Gregorio et Ingrid Cortez sont rappelés une fois de plus en service. Pour des raisons inexpliquées, les meilleurs agents secrets de la planète, anciens collègues de travail du couple, disparaissent les uns après les autres. Cette situation ne peut être l'oeuvre que de deux esprits malveillants : celui de Fegan Floop, star d'une émission télévisée pour enfants, et de son complice Minion.Lorsqu'on a cessé d'être sur le terrain pendant des années, les risques d'avoir perdu ses réflexes augmentent rapidement. C'est ainsi que s'est produit l'impensable : Gregorio et Ingrid sont tous les deux tombés dans le piège tendu par leurs ennemis.Jamais le couple n'aurait pu imaginer que les deux seules personnes sur Terre pouvant leur porter secours seraient... leurs enfants ! Se lançant dans une folle course-poursuite qui les mènera au château secret de Floop, Carmen et Juni devront par ailleurs déjouer un incroyable complot qui menace le monde. |Antonio Banderas (Gregorio Cortez)@Carla Gugino (Ingrid Cortez)@Daryl Sabara (Juni Cortez)@Alan Cumming (Fegan Floop)@Alexa Vega (Carmen Cortez)@Tony Shalhoub (Alexander Minion)@Teri Hatcher (Mrs. Gradenko)@Cheech Marin (Felix Gumm)@Robert Patrick (Mr. Lisp)@Danny Trejo (Isidoro 'Machete' Cortez)@Mike Judge (Donnagon / Donnamight)@George Clooney (Devlin)@Richard Linklater (Cool Spy)@Guillermo Navarro (pasteur)@Johnny Reno (l'agent Johnny Robot)@Shannon Shea (FoOglie #1)@Norman Cabrera (FoOglie #2)@Trant Batey (FoOglie #3)@Andy W. Bossley (sale gosse)@Jeffrey J. Dashnaw (le père du sale gosse)@Kara Slack (l'ami de Carmen)@Ermahn Ospina (le chauffeur de taxi)@Patricia Vonne (la demoiselle d'honneur espionne)@Angela Lanza (reporter)@||||||||||||@@
Spy Kids 2: The Island of Lost Dreams|Robert Rodriguez|Aventure||2|américain|2003|95|Anglais||DX50|||DX50|882 Kbps|688x384|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Robert Rodriguez Elizabeth Avellan|Robert Rodriguez|Robert Rodriguez||Dimension Films|Saga : Spy Kids |Depuis le spectaculaire sauvetage de leurs parents, Carmen et Juni sont les jeunes espions les plus réputés du métier. Equipés de gadgets révolutionnaires, ils interviennent partout aussi discrètement qu'efficacement. Cette fois pourtant, ils vont se frotter à une mission d'une tout autre ampleur.Quelque part sur une île inconnue située au milieu de l'océan, se cache un système capable de neutraliser tous les équipements électroniques de la planète. Qui a créé cette machine diabolique ? Qui la contrôle ? Et pourquoi l'île est-elle peuplée de créatures étranges et fantastiques ?Carmen et Juni devront résoudre toutes ces énigmes avant qu'il ne soit trop tard. Rien ne sera simple, d'autant que deux autres espions en herbe sont dans la course pour les doubler... |Antonio Banderas (Gregorio Cortez)@Carla Gugino (Ingrid Cortez)@Alexa Vega (Carmen cortez)@Daryl Sabara (Juni Cortez)@Steve Buscemi (Romero)@Emily Osment (Gert Giggles)@Bill Paxton (le propriétaire du parc d'attractions)@Cheech Marin (l'Oncle Felix)@Danny Trejo (l'Oncle Machete)@Mike Judge (Donnagon Giggles)@Matt O'Leary (Gary Giggles)@Ricardo Montalban (le grand-père)@Holland Taylor (la grand-mère)@Alan Cumming (Fegan Floop)@Taylor Momsen (Alexandra, la fille du président)@Christopher MacDonald (Le Président des Etats-Unis)@Tony Shalhoub (Alexander Minion)@Dale Dudley (le chef des hommes Magna)@Troy Robinson (homme de Magna)@Ron Hayden (agent secret principal)@Brian Thornton (agent secret #2)@Mark Turner (agent secret #3)@Bill Paxton (Dinky Winks)@Angela Lanza (chargée de relations publiques du parc)@Felix Sabates (membre de la famille test)@Lynda Sabates (membre de la famille test)@Alexandra Sabates (membre de la famille test)@Victoria Sabates (membre de la famille test)@Jasmine Marin (espionne)@Jeff Dashnaw (un agent (non crédité))@||Secrets de tournage :
Le petit monde de Robert Rodriguez
Robert Rodriguez a un petit monde bien à lui et des camarades de jeu fidèles. Sur Spy kids 2 : espions en herbe, il retrouve non seulement Antonio Banderas, qu'il avait dirigé sur Desperado en 1995, mais également d'autres comédiens comme Steve Buscemi et Danny Trejo. Il a en effet déjà dirigé le premier dans Desperado, alors qu'il a tourné Desperado, Une nuit en enfer, Spy Kids et Once upon a time in Mexico avec le second.
Rappelons enfin que Robert Rodriguez est très lié avec Quentin Tarantino, qu'il avait dirigé dans Une nuit en enfer.
La fidélité d'Antonio Banderas
Spy kids 2 : espions en herbe marque la cinquième collaboration entre le réalisateur Robert Rodriguez et l'acteur Antonio Banderas. Les deux hommes se sont révélés au grand public en 1995 avec Desperado puis ont travaillé ensemble sur Four rooms (1995), Spy Kids (2001) et Once upon a time in Mexico (2003).
Lorsqu'on lui demande d'évoquer Robert Rodriguez, Antonio Banderas se montre enthousiaste : "Travailler avec Robert a été l'un des épisodes les plus créatifs et les plus imaginatifs de ma carrière. Il a créé quelque chose qui dépasse la réalité, le genre de film qui vous enchante le coeur et l'esprit quel que soit votre âge. Et cette fois, il a encore ajouté des frissons, des idées, et une bonne dose de rire !"
Un film pour les enfants d'aujourd'hui
Robert Rodriguez a réalisé Spy kids 2 : espions en herbe dans le but de satisfaire les enfants d'aujourd'hui, confrontés au quotidien aux nouvelles technologies. "J'ai observé à quel point les enfants étaient d'emblée à l'aise avec la technologie et j'ai eu envie d'offrir aux Spy kids une impressionnante collection de gadgets", explique-t-il ainsi.
Une suite logique
Spy kids 2 : espions en herbe est la suite de Spy Kids, sorti sur les écrans français en 2001. Le long métrage avait été l'un des succès de l'année au box-office américain, rapportant plus de 112 millions de dollars de recettes.
"Le succès du premier film m'a rassuré", confie le réalisateur Robert Rodriguez. "Le public a apprécié ce que j'avais imaginé. Cette fois-ci, j'ai eu tous les moyens pour concrétiser mes envies et pousser l'histoire au bout de sa logique."
Un rêve d'enfant
Spy kids 2 : espions en herbe est comme l'accomplissement d'un rêve pour le réalisateur Robert Rodriguez. "Le coeur du film se déroule sur une île mystérieuse et fantastique. C'est un symbole pour moi", explique-t-il. "C'est une sorte de lieu imaginaire idéal où j'ai rassemblé tous mes rêves d'enfants. Les héros sont jeunes, équipés de gadgets fabuleux et ils traversent des épreuves qui nous ont tous tentés un jour. Leur périple parle aussi bien aux jeunes spectateurs qu'au gamin qui sommeille en chacun de nous."
Un film artisanal
Robert Rodriguez a eu les mains libres pour la réalisation de Spy kids 2 : espions en herbe. Mais il a souhaité lui apporter une touche artisanale, humaine. "Je voulais que cet épisode ait quelque chose de spécial. J'ai opté pour une approche "fait main". Même si je me suis servi de toutes les techniques de pointe disponibles, je l'ai fait avec un esprit artisan bricoleur qui évite au film un côté lisse, industriel. (...) Je voulais être aussi libre qu'un enfant qui construit son propre rêve avec ses jouets..."
L'inspiration... au volant !
Robert Rodriguez, qui porte presque à lui tout seul Spy kids 2 : espions en herbe sur ses épaules, voit l'inspiration lui venir lorsqu'il est au volant. Il explique ainsi : "La plupart des mes idées me viennent lorsque je suis au volant. Je vis assez loin d'Austin, les trajets sont longs et j'ai le temps de laisser mon esprit vagabonder quand je suis sur la Texas Highway. Mais je ne peux pas écrire, alors je me laisse un message. Ca m'amuse toujours, en rentrant à la maison, de trouver des messages pleins d'idées farfelues que je ne me souviens même plus avoir laissés !"
Des animaux hybrides
De nombreuses créatures hybrides peuplent l'univers de Spy kids 2 : espions en herbe. A la fois cheval et mouche, chat et poisson ou araignée et singe, elles ont toutes été créées par Robert Rodriguez. "De nombreux enfants rêvent de devenir des scientifiques et de créer leurs propres créatures", explique-t-il. "C'est très amusant : il suffit de se laisser conduire par l'idée. Les enfants jouent volontiers avec les mots en les combinant. C'est à partir de "moucheval" ou de "sercodile" que sont nés les animaux de notre bestiare..."
Une innovation technique
Pour Spy kids 2 : espions en herbe, Robert Rodriguez a tenu à innover au niveau technique. Il a ainsi utilisé des caméras numériques haute définition spécialement modifiées pour les besoins du tournage. "Non seulement elles permettent d'accélérer la phase de production, mais elles rendent tout plus immédiat et plus indépendant de la technique. Cette technologie libère la création. Un autre avantage avec la haute définition est que l'on voit exactement ce que l'on verra sur l'écran, et que les acteurs peuvent proposer immédiatement autre chose en voyant ce qu'ils ont donné."
Robert Rodriguez homme à tout faire
Depuis ses débuts en tant que réalisateur avec El Mariachi, Robert Rodriguez occupe de nombreux postes sur chacun de ses films. Pour Spy kids 2 - espions en herbe, l'américain a fait très fort puisqu'il est à la fois le réalisateur, le scénariste, le producteur, le directeur de la photographie, le chef décorateur, le chef monteur, le superviseur des effets visuels, l'ingénieur du son, le mixeur et le compositeur de sa comédie d'aventure familiale. Soit dix postes pour un seul homme !
Evoquant le sujet, Rodriguez déclare : "Je me suis lancé dans le cinéma parce que j'avais beaucoup de passions et d'activités étant enfant. J'aimais la photo, le dessin, la musique, la sculpture... Le cinéma représentait pour moi une immersion totale dans la créativité et la possibilité de tout relier. Quand je suis arrivé à Hollywood, je n'aurais voulu pour rien au monde abandonner quoi que ce soit. J'ai continué à faire mes films à gros budget avec la mentalité d'un artisan."
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Spy Kids 3D: Game Over|Robert Rodriguez|Espionnage||2|américain|2004|78|Anglais||XVID|||XVID|899 Kbps|720x512|MPEG-1 Audio layer 3|224 Kbps|False|48.0 KHz|2|641||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Robert Rodriguez Elizabeth Avellan|Robert Rodriguez|Robert Rodriguez||Dimension Films|Saga : Spy Kids |Le plus célèbre des Spy kids, Juni Cortez, a démissionné. S'estimant trahi par l'agence, il refuse désormais de travailler pour l'OSS.Pourtant, lorsque le garçon apprend que sa soeur, Carmen, est en danger, il n'hésite pas. Pour avoir tenté de percer le diabolique secret d'un jeu vidéo qui capture l'esprit de ceux qui perdent, la jeune fille en est restée prisonnière. Ce jeu-événement, le bien nommé Game Over, sera mis en vente dans quelques heures... Derrière cette arme aussi sournoise que redoutable se cache Le Toymaster, un créateur génial qui s'apprête à prendre le contrôle du cerveau de tous les jeunes de la planète. Pour Juni, il n'y a pas une seconde à perdre. Afin de sauver sa soeur et l'avenir du monde, il doit gagner la partie, et il ne peut le faire que de l'intérieur... |Antonio Banderas (Gregorio Cortez)@Carla Gugino (Ingrid Cortez)@Alexa Vega (Carmen Cortez)@Daryl Sabara (Juni Cortez)@Sylvester Stallone (Le Toymaster)@Ricardo Montalban (le grand-père)@Holland Taylor (la grand-mère)@Mike Judge (Donnagon Giggles)@Salma Hayek (Cesca Giggles)@Matt O'Leary (Gary Giggles)@Emily Osment (Gerti Giggles)@Danny Trejo (Machete)@Alan Cumming (Fegan Floop)@Steve Buscemi (Romero)@George Clooney (le Président Devlin)@Bill Paxton (Dinky Winks)@Cheech Marin (Felix Gumm)@Tony Shalhoub (Alexander Minion)@Elijah Wood (le gars)@Ryan Pinkston (Arnold)@Robert Vito (Rez)@Bobby Edner (Francis)@Courtney Jines (Demetra)@Selena Gomez (la fille du parc aquatique)@Evan Sabara (gamin effrayant)@Camille Chen (processeur)@Steve Wertheimer (Agent Hot Rod)@Alejandro Rose-Garcia (Edog)@Lane Turney (Logos)@Glen Powell Jr. (garçon aux longs doigts)@Peter Marquardt (oss agent 2)@Rebel Rodriguez (un enfant robot (non crédité))@james paxton (dinky winks jr.)@||Secrets de tournage :
Au coeur de la 3D
Mission 3D Spy kids 3, qui fait suite à Spy kids (2001) et Spy kids 2 - espions en herbe (2002), se distingue des deux premiers volets de la saga par le recours à la 3D. Robert Rodriguez confie : ?C'était un challenge passionnant. Le fait de situer l'histoire dans un monde entièrement virtuel me permettait de placer la barre de l'imagination encore plus haut...? La vision de ce film en relief nécessite le port de lunettes spéciales qui permet au spectateur d'être transporté au coeur de l'action et de l'aventure.
L'utilisation de nouvelles technologies
Utilisant à la base une caméra vidéo haute définition mise au point par James Cameron et Pace Technologies pour le documentaire en 3D Les Fantômes du Titanic, Robert Rodriguez a conçu de nouveaux appareillages et accessoires pour affiner et simplifier tout le processus 3D. Il a également dessiné les esquisses, inventé et supervisé la création numérique de certains de ses personnages, créatures et véhicules en images de synthèse.
L'implication de Sylvester Stallone
Pour incarner le Toymaster, Robert Rodriguez a tout de suite pensé à Sylvester Stallone qu'il avait rencontré en 1997 au Festival de Venise, alors qu'il proposait le premier Spy kids à Bob Weinstein. Le réalisateur se souvient : "C'était à la fête organisée pour Copland. Ce jour-là, nous avons bien accroché et j'ai découvert qu'il était vraiment très sympathique et avait beaucoup d'humour. Depuis, j'ai toujours eu envie de travailler avec lui, mais dans un rôle comique plutôt que d'action. Il s'est vraiment éclaté en jouant le Toymaster. Il n'a jamais quitté le plateau. Tous les jours, il incarnait une personnalité différente. Nous tournions tout ce qu'il fallait pour ce personnage, et nous pouvions recommencer avec un autre le lendemain matin. C'était très exigeant, et passionnant aussi !"
Pour Sylvester Stallone, c'est l'influence de ses enfants qui a pesé dans le choix de sa décision quant à jouer dans Mission 3D Spy kids 3. Il explique : ?Ce sont mes enfants qui m'ont fait découvrir les deux premiers Spy kids. J'ai aimé ces films parce qu'ils ont l'ampleur d'une vraie fable, qu'ils déchaînent l'imagination tout en racontant une bonne histoire".
Salma Hayek retrouve Robert Rodriguez
Pour la première fois, Salma Hayek rejoint les Spy kids sous l'identité de Francesca Giggles. L'actrice habituée à collaborer avec Robert Rodriguez (Une nuit en enfer, The Faculty, Desperado et Il était une fois au Mexique Desperado 2) explique : ?J'avais tourné dans tous les films de Robert sauf les Spy kids. Alors, il m'a promis un rôle dans celui-ci... Robert est plus qu'un excellent ami, il est comme un membre de ma famille. Il a été le premier à me donner une chance dans le cinéma, et nous avons toujours bien travaillé ensemble. Personne ne voit le monde comme lui. Tout est une aventure... ?
Shalhoub, Cumming, Buscemi de retour
On retrouve dans ce troisième volet de la saga Spy kids de nombreux personnages déjà présents dans les deux premiers épisodes : Tony Shalhoub et son personnage de mutant, Minion ; Bill Paxton, qui joue Dinky Winks ; Steve Buscemi, qui est à nouveau Romero, l'inventeur fou qui se déplace dans son univers numérique sur un cochon volant ; Cheech Marin, qui incarne l'oncle Félix, ou encore Alan Cumming qui endosse l'identité de Floop pour la troisième fois. Dans ce film, la plupart des acteurs ont joué le rôle le plus physique de leur carrière, suspendus dans des harnais devant des écrans verts.
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Enemy at the Gates|Jean-Jacques Annaud|Drame||3|allemand, britannique, irlandais, américain|2001|131|||DIV3|||DIV3|594 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|685||||23.976|09/08/2009 00:00:00|Jean-Jacques Annaud John D. Schofield|Jean-Jacques Annaud|Robert Fraisse||Paramount Pictures||Durant la Seconde Guerre mondiale, en septembre 1942, Hitler envisage d'envahir Stalingrad, ville clé de l'URSS qui le sépare de la victoire totale sur l'Europe. Les Russes se préparent à la défensive. Un héros aiderait à motiver les troupes.
Entre alors en jeu Vassili Zaitsev, un jeune tireur d'élite de l'Armée Rouge. Doué d'une stupéfiante adresse au tir, il est remarqué par un commissaire au peuple, Ivan Danilov. Les deux jeunes gens deviennent amis. Ranimer la flamme de l'héroïsme, redonner aux soldats décimés la force de lutter contre l'implacable machine de guerre allemande, telle est la mission de Danilov. Celui-ci fait de Vassili le héros de sa propagande.
Dans le camp ennemi, l'état-major dépêche son meilleur tireur d'élite, le Major König, pour abattre celui qui est devenu le symbole de l'indomptable résistance russe. |Jude Law (Vassili)@Rachel Weisz (Tania)@Joseph Fiennes (Danilov)@Bob Hoskins (Khrouchtchev)@Ed Harris (Le Major Konig)@Ron Perlman (Koulikov)@Eva Mattes (Mère Filipov)@Gabriel Marshall-Thomson (Sacha)@Matthias Habich (Général Paulus)@Sophie Rois (Ludmila)@Ivan Shvedoff (Volodia)@Mario Bandi (Anton)@Hans Martin Stier (Le général suicidé)@Clemans Schick (Le sous-officier allemand)@Mikhail Matveev (Le grand-père de Vassili)@Alexander Schwan (Vassili enfant)@Lenn Kudrjawizki (Le camarade dans le train)@Hendrik Arnst (Le colonel ventru)@Claudius Freyer (L'aide de camp)@Dietmar Nieder (Le capitaine blond)@Bernd Lambrecht (Le capitaine au briquet)@Maxim Kovalevski (Le tireur embusqué)@Gennadi Vengerov (Le sous-officier russe)@Dan Van Husen (L'officier politique)@Peter Silbereison (L'officier en sueur)@Markus Majowski (L'officier bègue)@Robert Stadlober (Le spotteur)@Gotthard Lange (Le détrousseur de cadavres)@Anna Böttcher (La dactylo russe)@Holger Handtke (L'aide de camp de Paulus)@Marc Bischoff (Le photographe chapardeur)@Mark Zak (Le capitaine russe au quartier général)@Thomas Petruo (Le lieutenant russe)@Dimitri Alexandrov (Le camarade dans l'abri)@David Pagel (Le journaliste Pravda)@Galina Dobberstein (La journaliste Izvestia)@Igor Rozinskij (Le journaliste Krasnaia Zvezda)@Serguei Tokarev (Le reporter russe)@Tom Wlaschia (Un fantassin)@Marischka Schubarth (La combattante coquette)@Natalia Bondar (La femme officier)@Dana Cebulla (La femme tireur athlétique)@Piotr Papierz (Un commissaire politique)@Jarek Wozniak (Un commissaire politique)@Genia Makarov (Un commissaire politique)@Werner Dahn (Un commissaire politique)@Birol Ünel (Un commissaire politique)@Grigori Kofmann (Un commissaire politique)@Alexeï Nesterov (Un commissaire politique)@Vladimir Vilanov (Un commissaire politique)@Alexeï Volodin (Un commissaire politique)@Gennadi Tselbiansky (Un commissaire politique)@Andrej Kaminski (L'officier russe dans la tranchée)@Michael Schenk (Un officier russe)@Jury Cooper (Un soldat russe)@Manfred Witt (Un soldat russe)@Axel Neumann (Le prisonnier allemand amaigri)@Morin Smolé (Un sniper)@Inna Samain (Un sniper)@Arslan Kodirov (Un officier russe)@Keta Burowa (L'opératrice de la radio russe)@||Secrets de tournage :
D'autres films sur Stalingrad
La bataille de Stalingrad fut évoquée dans d'autres films.
Des documentaires (The Battle of Russia de Frank Capra et Anatole Litvak (1943), Stalingrad de Leonid Varlamov (1943)), et des fictions, parmi lesquelles : The Battle of Stalingrad, long métrage en deux parties de Vladimir Petrov (1949/1950), ou Stalingrad de Joseph Vilsmaier (1993).
Stalingrad près de Berlin
Pour les besoins du tournage, le centre ville de Stalingrad a été reconstitué sur un ancien terrain militaire près de Berlin, d'une taille de 400 m sur 300.
Sergio Leone déjà?
La bataille de Stalingrad était un projet que le réalisateur Sergio Leone souhaitait mener à bien. Il avait même envisagé de faire appel à Robert De Niro pour le rôle principal d'un journaliste piégé dans le siège de la ville...
D'après des faits historiques
Comme La Guerre du feu, Le Nom de la rose ou, bien sûr, Sept ans au Tibet, Stalingrad repose sur une base historique réelle. De nombreuses archives soviétiques ont mentionné l'existence du tireur d'élite König. Quant à Vassili Zaitsev il a écrit ses « Mémoires » et évoqué son duel lors de nombreuses conférences.
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Star Trek|J.J. Abrams|Science fiction||3|américain|2009|116|Anglais||XVID|||XVID|706 Kbps|672x320|MPEG-1 Audio layer 3|123 Kbps|False|44.1 KHz|2|698||||25.000|28/07/2009 00:00:00|J.J. Abrams Damon Lindelof|Alex Kurtzman Roberto Orci|Dan Mindel||Paramount Pictures|Saga : Star Trek |La plus grande odyssée spatiale de tous les temps voit le jour dans le nouveau Star Trek, mettant en scène le premier voyage d'un tout nouvel équipage à bord de l'U.S.S. Enterprise, le vaisseau spatial le plus sophistiqué de l'histoire.Dans ce périple semé de dangers, d'action et d'humour, les nouvelles recrues doivent tout faire pour empêcher le plan diabolique d'un être maléfique menaçant l'humanité toute entière dans sa quête de vengeance.Le sort de la galaxie est entre les mains de deux officiers que tout oppose : d'un côté, James Kirk, originaire de la rurale IOWA, tête brulée en quête de sensations fortes, de l'autre, Spock, issu d'une société basée sur la logique et rejetant toute forme d'émotion. Quand l'instinct fougueux rencontre la raison pure, une improbable mais puissante alliance se forme et sera seule en mesure de faire traverser à l'équipage d'effroyables dangers, là où personne n'est encore jamais allé. |Chris Pine (James T. Kirk)@Zachary Quinto (Spock)@Eric Bana (Nero)@Simon Pegg (Montgomery "Scotty" Scott)@Winona Ryder (Amanda Grayson)@Karl Urban (Leonard "Bones" McCoy)@John Cho (Hikaru Sulu)@Zoe Saldana (Uhura)@Bruce Greenwood (Christopher Pike)@Ben Cross (Sarek)@Anton Yelchin (Pavel Checkov)@Leonard Nimoy (Spock Prime)@Chris Hemsworth (George Kirk)@Jennifer Morrison (Winona Kirk)@Rachel Nichols (Orion)@Marlene Forte (le chef transporteur)@Clifton Collins Jr. (Ayel)@Majel Barrett-Roddenberry (voix de l'Enterprise)@Greg Ellis (Ingénieur en chef Olsen)@Diora Baird (l'esclave d'Orion)@Tyler Perry (le président de la Starfleet Academy)@Jimmy Bennett (Kirk jeune)@Scottie Thompson (la femme de Nero)@Christopher Doohan (l'officier de Starfleet)@Brad William Henke (Oncle Frank)@T.J. Storm (le garde Klingon)@Paul McGillion@Margot Farley (la sténographe)@Lucia Rijker (l'officier supérieur romulien)@Faran Tahir (Capitaine Robau)@William Morgan Sheppard (le ministre des sciences)@Darlena Tejeiro (l'officier de vol)@Jacob Kogan (Spock adolescent)@Spencer Daniels (George Samuel Kirk Jr.)@Kelvin Yu (le médecin)@Tania Gunadi (l'élève de Starfleet)@Lorenzo James Henrie (la brute vulcaine #1)@Jessica Lauren Richmond (l'élève qui flirte)@Jeff Chase (Dexter)@Bob Clendenin (l'ouvrier du chantier naval)@Pavel Lychnikoff (le commandant romulien)@David Jean Thomas (l'aîné vulcain)@Sonita Henry (le docteur)@Elizabeth Ingalls (l'infirmière)@Jeffrey Byron (le professeur de Starfleet)@Makiko Konishi (un membre de l'Enterprise)@Tiffany Collie (l'élève de Starfleet)@Colby Paul (la brute vulcaine #2)@Susse Budde (l'aide soignante)@Sufe Bradshaw (Jessica)@Justin Rodgers Hall (l'agent de sécurité)@Marta Martin (l'aide soignante #2)@Brandon Stacy (le garde Klingon #2)@Cody Klop (la brute vulcaine #3)@Douglas Tait (Brian)@Jason Matthew Smith (l'élève de Burly #1)@Michelle Parylak (un membre de l'Enterprise)@Arlo Hemphill (l'ouvrier du chantier naval)@Damion Poitier (Hanson)@Paul Townsend (l'agent de sécurité)@Tony Guma (Tony le barman)@Rico E. Anderson (le membre du conseil)@Jonathan Dixon (l'officier aux armes)@Alex Nevil (l'officier au scanner)@Ronald F. Hoiseck (le troisième aîné vulcain)@Kasia Kowalczyk (Alnschloss K'Bentayr)@Calvin Dean (l'agent de sécurité Daniels)@Josef Klus (le mécanicien romulien)@Jim Nieb (Sal)@||Secrets de tournage :
Note d'intention de J.J. Abrams
"Aussi fascinants soient-ils, les vaisseaux ne seront jamais aussi importants que leurs équipages. Si l'action et l'aventure sont palpitants, c'est parce que vous vous prenez d'affection pour les personnages. Vous voudriez faire partie de l'équipage de l'Enterprise, être à bord avec eux, explorer les galaxies lointaines et vivre des aventures extraordinaires. Vous faire voyager : telle a toujours été notre véritable mission."
Le très très grand Enterprise
Les lignes du vaisseau culte, version J.J. Abrams, s'inspirent des plus grands créateurs des années 60, comme Pierre Cardin, mais aussi du 2001 : l'odyssée de l'espace de Stanley Kubrick.
Recyclage de décors
Bien que l'histoire de Star Trek se déroule dans l'espace et à des années-lumière de la Terre, le film n'a pas été tourné en studio, mais en grande partie dans des décors du Sud de la Californie : c'est ainsi qu'une usine de bières est devenue une salle des machines, et que le parking d'un stade de base-ball s'est changé en planète de glace.
Bienvenue à la Starfleet Academy
Le scénario du film prévoyant des scènes d'action aussi mouvementées que des rixes dans les bars, des courses-poursuites ou des parachutages depuis des capsules spatiales, les acteurs ont du suivre un entraînement des plus rigoureux.
Hip, hip, hip ? Uhura !
Ici interprété par Zoe Saldana, le personnage d'Uhura a marqué l'histoire de la télévision américaine, puisqu'elle a été l'une des premières Afro-Américaines à y tenir un rôle clé.
Zachary Quinto vu par J.J. Abrams
"Il émane de lui une intelligence, une densité rare chez un jeune acteur. Sans l'imiter, il s'est glissé dans la peau de Spock avec un talent qui fait honneur à Leonard Nimoy", explique J.J. Abrams.
Le choix du Kirk
"Nous cherchions un acteur capable de se rapprocher naturellement de William Shatner [interprète original de Kirk] sans l'imiter, un comédien qui apporterait un vent de fraîcheur tout en étant capable d'inspirer immédiatement le respect quand il entre sur la passerelle de l'Enterprise. Chris [Pine] possédait toutes ses qualités", explique le producteur Damon Lindelof.
Coup de main précieux
Les scénaristes du film ont pu compter sur l'aide de Sean Gerace, scénariste également, qui a regardé les 79 épisodes de la série originale, tous les films, ainsi que les spin-off Star Trek : Next Generation et Star Trek : Deep Space Nine, afin d'étudier les caractères des personnages principaux, et s'assurer que le film de J.J. Abrams ne contienne aucun anachronisme.
Quand Spock rencontre Spock
L'une des scènes du film fait se donner la réplique Zachary Quinto et Leonard Nimoy, soit le nouveau Spock face à l'ancien : "Nous voulions Leonard Nimoy pour établir un lien avec la série originale, mais nous savions que c'était risqué parce qu'il avait dit qu'il ne jouerait plus jamais dans un seul film Star Trek", explique le producteur Damon Lindelof.
On ne change pas une équipe qui gagne
J.J. Abrams retrouve ici les scénaristes Alex Kurtzman et Roberto Orci, qui avaient signé le script de Mission: Imposible III.
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« Préc.
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Star Wars : Episode I - The Phantom Menace|George Lucas|Science fiction||3|américain|1999|130|Anglais||DivX|||DIVX|625 Kbps|688x320|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|679||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Rick McCallum|George Lucas|David Tattersall||UFD|Saga : Star Wars |Il y a bien longtemps, dans une galaxie très lointaine... La République connaît de nombreux tourments : la corruption fait vaciller ses bases, le Sénat s'embourbe dans des discussions politiques sans fin et de nombreux pouvoirs dissidents commencent à émerger, annonçant la chute d'un système autrefois paisible. Puissante et intouchable, la Fédération du Commerce impose par la force la taxation des routes commerciales. Refusant de céder, la pacifique planète Naboo, dirigée par la jeune Reine Amidala, subit un blocus militaire de la Fédération. Dépêchés par le Sénat pour régler cette affaire, les chevaliers Jedi Qui-Gon Jinn et Obi-Wan Kenobi découvrent qu'une véritable offensive de la Fédération est imminente. Libérant la Reine et ses proches, ils quittent la planète mais doivent se poser sur Tatooine pour réparer leur vaisseau... |Roger Carel (voix française de C-3PO)@||Secrets de tournage :
Déception d'Ewan McGregor
La première fois qu'Ewan McGregor a vu La Menace Fantôme (dans lequel il joue Obi-Wan Kenobi), il était déçu. Selon lui, ça aurait pu être un meilleur film.
1138
Lors de la bataille finale, on peut apercevoir un droïde immatriculé 1138. THX 1138 étant le premier film réalisé par George Lucas.
Laserdisc
La Menace Fantôme est le dernier film à avoir été édité en Laserdisc.
Un Ewok a Tatooine
Warwick Davis, qui incarne Wicket, l'Ewok amoureux de la princesse Leia dans Le Retour du Jedi, fait une furtive apparition dans cet épisode. On peut le voir dans les tribunes de la course des Pods.
Une pirate chez les Jedis
Keira Knightley, qui incarne Elizabeth Swann dans la saga Pirates des Caraïbes, apparaît dans ce film. Elle joue Sabé, la dame de compagnie de la reine Amidala qui la remplace en cas de danger. Elle avait 12 ans à l'époque.
400 plans
Pas moins de 400 plans ont été nécessaires à la création de Jar Jar dans La Menace Fantôme.
Pire personnage
Jar Jar Binks a été élu pire personnage de la saga par les fans.
Première projection européene
La première projection européenne pour La Menace Fantôme s'est déroulée à Amsterdam, à la Cinema Expo.
Téléchargement de la bande-annonce
Rien que sur le site d'Apple, la bande-annonce aurait été téléchargée au moins 10 millions de fois.
Indiana Jones
Pendant la scène de la course des Pods, on peut apercevoir dans les gradins un homme habillé comme Indiana Jones.
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Les contributeursCe film a reçu 33 contributions, pour les secrets de tournage, de: Miamsolo
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"J'ai un mauvais pressentiment"
La première réplique d'Obi-Wan Kenobi est: "J'ai un mauvais pressentiment ", phrase qui apparait dans chaque épisode de la saga.
Accident
Natalie Portman, qui joue le rôle de la reine Amidala, a été blessée pendant le tournage. Elle a reçu accidentellement un éclat dans l'oeil qui provenait d'une charge explosive. Elle fut conduite à l'hôpital.
Les costumes de la Reine
La Reine Amidala utilise huit costumes différents tout au long du film.
Chewbacca
Dans ce film, on peut apercevoir Peter Mayhew, qui incarnait Chewbacca dans l'ancienne trilogie et l'épisode 3, dans un décor de Mos Espa.
Madison Lloyd
Madison, la petite soeur de Jake Lloyd (Anakin Skywalker), a été engagée comme simple figurante sur ce film.
Sofia Coppola
Sofia Coppola, la fille du très célèbre réalisateur Francis Ford Coppola, a un petit rôle dans le film. Elle y incarne Saché, une des servantes de la reine Amidala.
Michael Jackson
Michael Jackson avait demandé à George Lucas de prêter sa voix à Jar Jar Binks. Lucas n'a pas voulu. Selon lui, l'immense popularité du roi de la pop aurai pu nuire au personnage.
Scène finale
La scène du duel final entre Obi-Wan Kenobi et Qui-Gon Jinn contre Dark Maul a nécessité plus d'un mois de tournage.
Budget
Le budget de La Menace Fantôme est de 115 millions de dollars.
Combien de plans?
2420 plans composent ce film, dont 2137 ont exigés des effets spéciaux.
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Les contributeursCe film a reçu 33 contributions, pour les secrets de tournage, de: Miamsolo
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E.T. Téléphone Maison
E.T., l'extra-terrestre culte de Steven Spielberg, apparaît furtivement dans cet épisode. On peut le voir dans la scène du Sénat galactique avec la reine Amidala.
Le maquillage de Dark Maul
Le maquillage du visage de Dark Maul demandait environ deux heures de travail.
Une histoire de cornes
Dark Maul, le méchant de ce film, possède huit cornes : deux sur les tempes, une derrière la tête et cinq autour du crâne.
6 mois plus tard
La Menace Fantôme est sorti en France 6 mois après les Etats-Unis.
Différents titres
La Menace Phantôme n'était pas le premier titre choisi. Ça aurait pu être ceux-çi : Le Commencement, Genèse , Les Gardiens de la Force, L'équilibre de la Force, Les Enfants de la Force, l'Escadron des Jedi et les Chevaliers de la Force.
Carrie Fisher
Carrie Fisher (la princesse Leia), a aidé George Lucas dans l'écriture du scénario de l'épisode 1.
Samuel L. Jackson
Samuel L. Jackson tenait tant au rôle de Mace Windu qu'il n'hésita pas à contacter George Lucas pour le supplier de le lui accorder.
Pas vu!
Avant d'incarner la reine Amidala, Natalie Portman n'avait jamais vu un seul épisode de l'ancienne trilogie.
Jar Jar Binks
Le nom de Jar Jar Binks a été trouvé par Jett, le fils de George Lucas.
Le fils de Mark Hamill
Nathan, le fils de Mark Hamill (qui incarne Luke Skywalker dans l'ancienne trilogie), fait une apparition dans La Menace Fantôme. Il y incarne un habitant de Naboo.
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Les contributeursCe film a reçu 33 contributions, pour les secrets de tournage, de: Miamsolo
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Jake Lloyd
Jake Lloyd, qui incarne Anakin Skywalker, à été recruté parmi 3600 enfants.
Projecteurs numériques
La Menace Fantôme est le premier grand film à utiliser des projecteurs numériques.
Le scénario
George Lucas a commencé le scénario de l'épisode 1 le 1er novembre 1994.
Toute saga a un commencement...
Star wars : épisode 1 - La Menace fantôme est le premier volet de la saga Star wars, initiée en 1977 par George Lucas. Situé vingt-huit ans avant La Guerre des étoiles, ce récit pose les bases de la chute de la République galactique. Des événements contés en détail dans Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones.
Un carton prévisible
Très attendu (depuis quinze ans !), Star wars : épisode 1 - La Menace fantôme a immédiatement "cassé la baraque" au box-office américain, même s'il n'a pas atteint les résultats de Titanic en 1997. Le film a rapporté au final, sur le seul territoire des Etats-Unis, 430 millions de dollars (et 922 millions de dollars dans le monde), pour un budget initial de 115 millions. Le marketing et les produits dérivés ont permis de multiplier ces recettes.
Les premières lignes en 1994
George Lucas entama l'écriture de Star wars : épisode 1 - La Menace fantôme dès 1994. Les progrès effectués en matière d'effets spéciaux, sur Jurassic Park principalement, le convainquirent qu'il pouvait enfin s'atteler à ce projet, qui nécessitait de nombreux effets visuels réalistes pour concrétiser sa vision.
Rumeurs de casting...
Un grand nombre de noms ont été évoqués pour venir garnir le casting de Star wars : épisode 1 - La Menace fantôme. Des rumeurs souvent sans fondement : Tim Roth, Harry Connick Jr, Macaulay Culkin, Morgan Freeman, Kurt Russell, ou encore Julia Roberts pour interpréter le rôle de la mère d'Anakin Skywalker, mais aussi Kenneth Branagh pour celui d'Obi-Wan Kenobi. Pure fantaisie : la participation de Charlton Heston prêtant sa voix à Yoda.
D'autres rumeurs...
Frank Darabont, réalisateur des Evadés et de La Ligne verte, aurait écrit le scénario de Star wars : épisode 1 - La Menace fantôme. En réalité, George Lucas lui a simplement demandé son avis une fois le script terminé... Autre rumeur, George Lucas aurait déjà tourné dans le plus grand secret les deux autres épisodes de cette nouvelle trilogie. Enfin, de nombreux bruits de couloirs faisait état d'un énorme problème au niveau de la pellicule du film, floue sur de nombreuses scènes, l'équipe ne s'en apercevant qu'à quelques mois de la sortie !
Le quatrième film de George Lucas
Star wars : épisode 1 - La Menace fantôme marque le grand retour de George Lucas derrière la caméra, après plus de vingt ans d'absence. En effet, sa dernière expérience de réalisateur datait de 1977, avec La Guerre des étoiles. Ainsi, La Menace fantôme n'est que son quatrième long métrage, après THX 1138, American Graffiti et La Guerre des étoiles !
Le tournage
Le premier clap a été donné le 26 juin 1997, dans les studios de Leavesden, à Londres. Puis, en juillet, l'équipe se déplace à Naples, dans le palais royal de Caserta, avant de se rendre en Tunisie, comme pour La Guerre des étoiles. Le tournage se termine fin 1997, mais George Lucas prend encore un an et demi pour la post-production et les effets spéciaux, qui seront présents sur la majorité des plans.
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3 000 candidats pour Anakin
Plus de 3 000 enfants du monde entier se proposèrent pour le rôle d'Anakin Skywalker. Un casse-tête de plusieurs mois pour la directrice de casting Robin Gurland... C'est le jeune Jake Lloyd, vu notamment dans La Course au jouet, qui obtint le rôle tant convoité de Darth Vader enfant.
Un rêve pour Samuel L. Jackson
Grand fan de la saga, Samuel L. Jackson n'osait s'imaginer un jour en tenue de Jedi, sabre laser à la main. Au moment de la mise en chantier de Star wars : épisode 1 - La Menace fantôme, le comédien avoua lors de plusieurs shows télévisés qu'il souhaiterait ardemment être de l'aventure, se contentant même d'un rôle minuscule. Un appel entendu par George Lucas qui lui permit de "réaliser un rêve" en créant le personnage de Mace Windu, assez effacé dans La Menace fantôme mais appelé à prendre de l'importance dans Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones et Star wars : épisode 3.
Une affaire de famille
Dans la première trilogie, Dennis Lawson incarnait le pilote et ami de Luke Skywalker, Wedge Antilles. A la ville, ce comédien britannique n'est autre que l'oncle d'Ewan McGregor, alias Obi-Wan Kenobi jeune dans la nouvelle trilogie.
Ewan McGregor : un Jedi bruyant
Ewan McGregor a posé un léger problème aux techniciens chargés du son. Enchanté de réaliser un rêve d'enfant lors de ses combats au sabre laser, le comédien accompagnait ses gestes de bruitages (le ronflement si particulier des épées laser). Des bruits qui furent éliminés en post-production.
Liam Neeson : un Jedi trop grand
Quand la taille de Liam Neeson coûte cher aux producteurs. Attaché tardivement au projet, le comédien entraîna une modification des décors : ces derniers avaient été construits en amont du tournage, et arrêtés à quelques centimètres au dessus de la tête des comédiens alors engagés sur le projet, le reste des décors devant être ajouté par l'utilisation d'images de synthèse. Liam Neeson, plus grand que la moyenne, obligea l'équipe à prolonger les décors en hauteur, entraînant un coût supplémentaire de 150 000 dollars.
De véritables personnages virtuels
Star wars : épisode 1 - La Menace fantôme introduit pour la première fois à l'écran de véritables personnages virtuels, doués de parole et affichant diverses expressions et émotions. Parmi ceux-ci, on retiendra Jar Jar Binks, le ferrailleur Watto, le cruel Sebulba ou le chef Gungan Boss Nass.
Darth Maul : un méchant déjà légendaire
Darth Maul (Dark Maul en version française) est interprété par le cascadeur et experts en arts martiaux et armes blanches Ray Park, qui a notamment incarné le cavalier sans tête lors des séquences de combats de Sleepy Hollow, la légende du cavalier sans tête et Crapaud dans X-men. Il a lui-même effectué toutes les cascades du film.
Nouveau "méchant de service", le maléfique Darth Maul a immédiatement gagné sa place dans le coeur des fans de la saga. Doté d'un maquillage rouge et noir et de cornes démoniaques, vêtu de noir et armé d'un double sabre laser, ce Sith captive les spectateurs, qui reprocheront à George Lucas sa disparition trop rapide (il n'apparaît qu'une dizaine de minutes à l'écran). Malgré cette courte apparition, il reste la véritable figure emblématique (et marketing) du film. Pour l'anecdote, il ne cligne jamais des yeux...
Un petit rôle pour Sofia Coppola
Sofia Coppola interpréte Saché, l'une des servantes de la reine Amidala. Fille de Francis Ford Coppola, elle est comédienne, costumière, scénariste et réalisatrice. En 1999, elle a dirigé son premier film, The Virgin suicides, présenté à la Quinzaine des Réalisateurs du Festival de Cannes.
Le renouveau des costumes
Après les vêtements aux coupes simples de la première trilogie, George Lucas et sa costumière Trisha Biggar ont souhaité afficher des costumes plus élaborés dans Star wars : épisode 1 - La Menace fantôme. Parmi ceux-ci, l'impressionnante garde-robe de la Reine Amidala, qui s'inspire de nombreuses cultures.
Retrouvailles entre Trisha Biggar et Pernilla August
Ecossaise, Trisha Biggar a déjà travaillé avec George Lucas (alors producteur exécutif) sur la série télévisée Les Aventures du jeune Indiana Jones... avec Pernilla August, qui joue le rôle de la mère d'Anakin Skywalker dans Star wars : épisode 1 - La Menace fantôme.
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2 000 plans d'effets visuels
Incroyablement novateur et complexe en matières d'effets spéciaux, Star wars : épisode 1 - La Menace fantôme affiche plus de 2 000 plans comportant un ou plusieurs effets visuels numériques. Seule une dizaine de minutes du film ne comporte aucun effet.
Le "Ben-Hur" de George Lucas
L'un des temps forts de Star wars : épisode 1 - La Menace fantôme reste la course de pods (ou modules), qui rappelle inévitablement le Ben-Hur de William Wyler. Séquence vertigineuse alternant prises de vues réelles et images de synthèse (près de 400 plans au total), la course dure plus de dix minutes et ne comporte aucune musique : elle est seulement rythmée par le ronflement des différents moteurs.
Le combat final
Autre point d'orgue du film, le duel opposant Qui-Gon Jinn et Obi-Wan Kenobi à Darth Maul était (avant Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones), le meilleur combat de la saga. Rompant avec l'aspect figé des affrontements de la première trilogie, cette bataille se distingue par sa rapidité et sa violence, dans une chorégraphie complexe élaborée par Nick Gillard. Le tournage s'étala sur plusieurs semaines, et demanda un entraînement drastique aux comédiens.
Tempête de sable sur les plateaux
Le tournage en Tunisie (où furent filmées les scènes se passant sur Tatooine) fut perturbé par un orage et une violente tempête de sable qui détruisit la quasi-totalité des décors. Un "désastre" de bonne augure pour George Lucas, qui avait subi le même incident en 1977 sur le tournage de La Guerre des étoiles.
Des clins d'oeil cinématographiques
De nombreux clins d'oeils hommages parsèment Star wars : épisode 1 - La Menace fantôme. Les cinéphiles avisés pourront notamment reconnaître un vaisseau de 2001 : l'odyssée de l'espace dans la casse de Watto, un droïde immatriculé 1138 (référence à THX 1138, réalisé par... George Lucas) ou un groupe d'aliens rappelant l'extraterrestre E.T. lors de la scène du Sénat.
Une surprise de fin de générique
Préfigurant le destin d'Anakin Skywalker, le générique final de Star wars : épisode 1 - La Menace fantôme s'achève sur la respiration rauque de Darth Vader.
Spielberg, Coppola et De Palma conseillers en montage
George Lucas présenta divers montages du film à ses amis et complices de longue date Steven Spielberg, Francis Ford Coppola, Brian De Palma ou encore Ron Howard, qui lui donnèrent (Brian De Palma notamment) leur avis sur la façon de monter les trois batailles finales.
Trois nominations aux Oscars... et un Razzie
Star wars : épisode 1 - La Menace fantôme obtint trois nominations aux Oscars en 2000, dans les catégories de Meilleur Son, Meilleurs effets visuels et Meilleurs effets sonores. Critiqué dès sa sortie, le film eut plus de succès aux Razzies Awards (récompensant les pires productions de l'année) avec sept nominations (dont Pire film et Pire réalisateur) et un prix : Pire second rôle pour Jar Jar Binks.
Une bande-annonce événement
Les deux bandes-annonces de Star wars : épisode 1 - La Menace fantôme créèrent une véritable frénésie dans les salles américaines, les spectateurs payant leurs places uniquement pour voir le film-annonce, avant de quitter la salle.
Tournage de scènes en numérique ?
Au moment de la sortie du film, George Lucas a confié avoir tourné une scène de Star wars : épisode 1 - La Menace fantôme en numérique : il s'agirait de la scène où Qui-Gon Jinn (Liam Neeson) fait un prélévement sanguin à Anakin (Jake Lloyd) devant le ciel étoilé de Tatooine. Toutefois, le cinéaste n'a pas souhaité confirmer cette information, et n'a donc pas révélé quelle(s) séquence(s) avait été filmée avec la caméra numérique qu'il utilisera pour la totalité de Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones.
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Star Wars : Episode II - Attack of the Clones|George Lucas|Science fiction||3|américain|2002|136|Anglais||DX50|||DX50|1 077 Kbps|640x256|AC3|448 Kbps|True|48.0 KHz|6|1500||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Rick McCallum|George Lucas Jonathan Hales|David Tattersall||UFD|Saga : Star Wars |Depuis le blocus de la planète Naboo par la Fédération du commerce, la République, gouvernée par le Chancelier Palpatine, connaît une véritable crise. Un groupe de dissidents, mené par le sombre Jedi comte Dooku, manifeste son mécontentement envers le fonctionnement du régime. Le Sénat et la population intergalactique se montrent pour leur part inquiets face à l'émergence d'une telle menace.Certains sénateurs demandent à ce que la République soit dotée d'une solide armée pour empêcher que la situation ne se détériore davantage. Parallèlement, Padmé Amidala, devenue sénatrice, est menacée par les séparatistes et échappe de justesse à un attentat. Le Padawan Anakin Skywalker est chargé de sa protection. Son maître, Obi-Wan Kenobi, part enquêter sur cette tentative de meurtre et découvre la constitution d'une mystérieuse armée de clones... |Roger Carel (C-3PO (voix française))@||Secrets de tournage :
Qui pour incarner Anakin Skywalker?
Les noms de Leonardo DiCaprio, Colin Hanks, Christian Bale, Ryan Philippe, James Van Der Beek, Harry Connick Jr., Paul Walker, Jared Leto, Jonathan Jackson et Joshua Jackson circulaient autour du personnage d'Anakin Skywalker. C'est finalement Hayden Christensen qui l'emporta.
Dooku
Dooku veut dire poison en japonais.
Sabre-laser violet
C'est Samuel L. Jackson qui a demandé à George Lucas d'avoir un sabre-laser mauve pour Mace Windu, son personnage. Lorsque George Lucas lui a demandé pourquoi, Samuel L. Jackson a répondu : " Parce que je suis plus puissant que les autres, juste derrière Yoda. " George n'était pas vraiment d'accord. Selon lui, les bons Jedis ne pouvaient avoir que des sabres bleus ou verts. Samuel L. Jackson l'a quand même eu.
Effets numériques
L'Attaque des Clones est doté de plus de 2000 effets numériques.
Vidéo haute definition
L'Attaque des Clones est le premier grand film tourné en vidéo haute définition et non plus sur pellicule.
La saga continue...
Présentant les débuts de la chute de la République et la terrible guerre des clones, Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones présente des événements situés dix ans après Star wars : épisode 1 - La Menace fantôme. Ce second opus de la saga de George Lucas est suivi du très sombre Star wars : épisode 3, attendu en 2005.
"Star wars : épisode 2" en chiffres
L'Attaque des clones c'est :
115 millions de dollars de budget
61 jours de tournage principal
Deux ans de post-production
2 200 plans d'effets visuels
Jusqu'à 600 techniciens chargés des effets visuels à ILM
6 caméras numériques
220 heures de rushs, soit l'équivalent de 360 kilomètres de pellicule
69 décors et lieux différents
Cinq pays visités (Australie, Italie, Tunisie, Espagne, Angleterre)
Des températures sur le plateau atteignant parfois 55° (lors du tournage en Tunisie)
0 défaut d'images (puisque filmées en numérique)
Rumeurs autour de l'Episode 2
Dès les prémices du développement de Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones, les plus folles rumeurs et spéculations ont circulé sur la toile, souvent lancées par des fans en mal d'information. Parmi les bruits de couloirs les plus étonnants on retiendra :
Le tournage simultané de Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones et Star wars : épisode 3.
la réalisation de l'un des deux nouveaux épisodes confiée à Frank Darabont, David Fincher, Luc Besson, Spike Jonze, Bryan Singer, Ron Howard, Ridley Scott ou Steven Spielberg.
Le titre de l'Episode 2 : Rise of the Empire, Despair of the Jedi, The Empire strikes, The Ruthless Empire, A Bright darkness ou encore World on fire.
Le casting, avec les engagements de Christopher Walken ou Jet Li.
Des scènes improbables de l'histoire, dont le viol de la mère d'Anakin par le Jedi Mace Windu (Samuel L. Jackson), ou la décapitation de celle-ci par son fils...
Un hommage aux serials
Avec son Attaque des clones, George Lucas a voulu rendre un hommage aux serials de sa jeunesse. Action trépidante, aventure, suspense et même le titre de ce second opus sont autant d'éléments repris au genre. De l'aveu du cinéaste, "L'Attaque des clones est une grande et stupéfiante aventure dans la tradition des serials du samedi matin de l'Age d'or d'Hollywood".
"Star wars" : une symphonie cinématographique
Pour George Lucas, la saga Star wars affiche la même structure qu'une grande symphonie musicale, avec des éléments et références revenant au fur et à mesure du développement de l'intrigue générale. "La saga de Star wars est, dans un sens, symphonique par nature. J'ai certains refrains musicaux que je répète, dans un ordre différent, mais qui se répètent toujours".
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Retour vers le futur...
Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones introduit de "nouveaux" personnages, seulement croisés ou évoqués dans la première trilogie. Sont ainsi attendus : le célèbre chasseur de primes Boba Fett (Daniel Logan), encore enfant dans l'Episode 2 et accompagné de son père Jango Fett (Temuera Morrison) ; le Sénateur Bail Organa (Jimmy Smits), père adoptif de la princesse Leia (Carrie Fisher) qui emprunte d'ailleurs son nom dans le premier film ; Owen Lars (Joel Edgerton) et Beru Whitesun (Bonnie Piesse), appelés Oncle Owen et Tante Beru par Luke Skywalker (Mark Hamill) dans La Guerre des étoiles ; et bien entendu le Chancelier Suprême Palpatine (Ian McDiarmid), qui laisse deviner peu à peu le visage de l'Empereur...
Jonathan Hales : un collaborateur de longue date
Bien que l'histoire en elle-même ait jailli de l'esprit de George Lucas, le cinéaste s'est adjoint les services de Jonathan Hales pour travailler avec lui sur le scénario (ce dernier était d'ailleurs présent sur la plateau et réécrivait ou améliorait, si besoin, le script au fur et à mesure du tournage). Les deux hommes avaient déjà collaboré sur la série Les Aventures du jeune Indiana Jones.
Remanié à de nombreuses reprises, le scénario définitif de Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones n'était pas encore achevé alors que le début du tournage approchait. Un retard nullement inquiétant pour George Lucas : "Sur La Guerre des étoiles, j'avais passé les trois premières semaines de tournage à finaliser le scénario. Il n'est pas rare de débuter un tournage sans avoir un script définitif. La plupart des éléments sont présents, tout le monde sait ce qu'il a à faire. Cela n'affecte pas tant que ça la production".
Un épisode sombre et romantique
Comme L'Empire contre-attaque dans la trilogie originelle, Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones se présente comme un tournant de la nouvelle trilogie. Plus romantique mais également plus sombre que les autres films de la saga, il explore l'amour naissant entre Anakin Skywalker et Padmé Amidala, mais aborde la descente progressive d'Anakin vers le côté obscur, et met en scène le début de la chute de la République et la guerre des clones. Un côté sombre qui sera définitivement accentué avec Star wars : épisode 3.
Une phrase prophétique
Le concept de guerre des clones est le fondement même de la saga, et est introduit dès le premier épisode La Guerre des étoiles. En effet, Obi-Wan Kenobi déclare à Luke Skywalker avoir combattu aux côtés de son père lors de "la guerre des clones". Une erreur de la version française (qui traduit ce conflit par "la guerre noire") privera les spectateurs français de cette allusion prophétique...
ILM : lieu de naissance du film
Les équipes d'Industrial Light & Magic (ILM) se sont chargées des phases de montage et de post-production, et ont incorporé au film tous les effets spéciaux. Pour George Lucas, ILM est le véritable lieu de naissance des clones.
Une manière non-linéaire de filmer
Si le tournage de Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones s'est effectué sur période relativement plus longue que tout autre film (dix-huit mois), il reste pourtant équivalent en nombre de jours à n'importe quel autre tournage (environ soixante-dix). La raison : une nouvelle manière de filmer, souhaitée par George Lucas. Profitant de la liberté de montage que lui offre le numérique, le cinéaste a arrêté avec Rick McCallum différentes dates de prises de vue additionnelles, afin de visualiser au fur et à mesure du montage les scènes manquantes à son film. Dès lors, tournage et montage n'étaient plus deux étapes distinctes, mais un seul et même mouvement.
Tournage de scènes supplémentaires
En janvier 2001, alors que Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones était en post-production, George Lucas reprit la caméra pour tourner trois scènes supplémentaires en Angleterre et en Australie, et ce dès le mois de mars. Ces nouvelles scènes, principalement tournées devant des fonds bleus permettant l'incrustation d'effets spéciaux, devaient se concentrer sur le personnage d'Anakin Skywalker.
Qui devait être Anakin Skywalker ?
Avant que Hayden Christensen ne soit choisi pour le rôle d'Anakin Skywalker, de nombreux noms d'acteur circulaient à Hollywood. On retiendra notamment ceux de James Van Der Beek, Ryan Phillippe, Matt Damon, Harry Connick Jr, Jared Leto, Paul Walker, Colin Hanks, Christian Bale, Jonathan Jackson, Christopher Masterson, Joshua Jackson ou encore Leonardo DiCaprio. Ce dernier s'est même rendu au Skywalker ranch de George Lucas pour discuter du rôle. Cependant, Leonardo DiCaprio aurait refusé de donner la réplique à Ewan McGregor, celui-ci l'ayant accusé de lui avoir "volé" le rôle principal de La Plage.
Le choix de George Lucas s'est finalement porté sur Hayden Christensen, un Canadien de 19 ans qui joue dans la série télévisée Higher ground, en raison de sa ressemblance avec le jeune Jake Lloyd, qui avait interprété dans Star wars : épisode 1 - La Menace fantôme le personnage d'Anakin enfant.
Anakin Skywalker : la balance entre clair et obscur
Personnage central de la saga, Anakin Skywalker / Darth Vader nécessitait un travail particulier de la part de Hayden Christensen, qui a construit le rôle en discutant longuement avec George Lucas, mais également en effectuant ses propres recherches pour restituer toute la profondeur du personnage. Un exercice ardu selon le jeune comédien : "Le plus difficile pour jouer Anakin était de trouver la balance entre ce que Jake Lloyd avait apporté au rôle (dans Star wars : épisode 1 - La Menace fantôme) et ce que Sebastian Shaw faisait en tant que Darth Vader démasqué (dans Le Retour du Jedi), trouver cette balance entre bien et mal, et le rendre crédible".
Une love-story dans la galaxie
S'il comporte son lot d'action et d'intrigue politique, Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones se penche également sur l'amour naissant entre Anakin Skywalker et Padme Amidala, liaison essentielle dans le déroulement de la saga, qui leur donnera deux enfants : Luke et Leia. "C'est une histoire d'amour subtile et adulte", explique le co-scénariste Jonathan Hales. "Il n'y est pas question de coup de foudre. Quand ils se retrouvent pour la première fois, elle le voit toujours comme un enfant. Au départ, il y a une tension, mais toujours avec une attirance sous-jacente. A cela s'ajoute le faite que leurs sentiments sont interdits. C'est intéressant et c'est adulte".
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Un Yoda entièrement digital
Première dans l'histoire de la saga : Yoda est entièrement réalisé numériquement dans Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones. Un choix offrant plus de possibilités de mouvements à ce personnage, que l'on verra enfin combattre, sabre laser à la main. Si la marionnette de Yoda est abandonnée, sa voix est toujours signée Frank Oz, son doubleur (et animateur) attitré depuis L'Empire contre-attaque.
L'une des principales difficultés pour animer virtuellement Yoda fut de lui donner le caractère "imparfait" que possédait sa marionnette dans la première trilogie (notamment au niveau des mouvements des lèvres). Les techniciens d'ILM durent retravailler l'animation du personnage pour assurer une continuité entre les six films de la saga. Et leur travail porta ses fruits, puisque Frank Oz, véritablement ému, les remercia chaudement d'avoir "libéré" sa créature.
Boba Fett : le mystère dévoilé
Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones lève enfin le voile sur les origines d'un personnage central (et apparaissant pourtant peu à l'écran) de la première trilogie : le mystérieux Boba Fett. Ce chasseur de primes, enfant dans ce second volet (Daniel Logan) est accompagné de son père, le mercenaire Jango Fett (Temuera Morrison). Son rôle essentiel dans le conflit qui embrase la galaxie est enfin dévoilé.
Christopher Lee succède à Peter Cushing
Deux légendes de la Hammer au générique de la saga. Si Peter Cushing (aujourd'hui décédé) avait marqué de son empreinte La Guerre des étoiles en interprétant le Grand Moff Tarkin en 1977, son ami et collègue de longue date Christopher Lee prête ses traits à un autre personnage sombre dans Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones : le comte Dooku. Figures de proue de nombreux films de la Hammer (spécialisée dans la production de films fantastique et d'horreur à partir des années cinquante), les deux hommes se sont donnés la réplique dans une vingtaine de longs métrages.
Trois transfuges du "Seigneur des anneaux"
Trois comédiens ont participé à l'aventure Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones et à la trilogie du Seigneur des anneaux :
Christopher Lee, qui interprète le comte Dooku pour George Lucas et le magicien Saroumane pour Peter Jackson.
Marton Csokas, qui prête sa voix au personnage de Poggle le Bref dans l'Episode 2 et qui incarne le seigneur Elfe Celeborn dans la trilogie des Anneaux.
Jay Laga'aia, Capitaine Typho pour l'Episode 2 et qui prête sa carrure à Ugluk, chef des féroces Uruk-Hai dans Le Seigneur des anneaux : les deux tours.
Un choix de carrière judicieux pour les deux acteurs, qui inscrivent leur nom au générique de deux des sagas les plus spectaculaires de l'histoire du cinéma.
Le retour de R2-D2 et de C-3PO
Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones est l'occasion pour les acteurs Kenny Baker et Anthony Daniels de faire leur retour au grand écran. Ces derniers se sont glissés à nouveau dans la mécanique des droïdes R2-D2 et C-3PO. Ayant apporté une certaine humanité aux robots, les deux comédiens sont les seuls à figurer au casting des deux trilogies.
Côté doubleurs, Roger Carel reprend pour la cinquième fois le rôle de C-3PO. Déjà présent au casting français de La Guerre des étoiles, il double le personnage depuis vingt-cinq ans. C'est le seul comédien hexagonal présent à l'affiche de tous les films de la saga.
C-3PO démasqué
S'il prête encore sa voix et sa carrure au droïde C-3PO, Anthony Daniels apparaît enfin à visage découvert dans Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones. Outre son rôle de robot doré, il incarne le Lieutenant Faytonni.
Moins de Jar Jar Binks
Visiblement à l'écoute des spectateurs et des fans da la saga, George Lucas a décidé d'atténuer l'importance de Jar Jar Binks dans Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones. Le Gungan gaffeur n'apparaît dans ce second volet que durant quelques courtes scènes.
Ahmed Best : un personnage à son nom
Interprète vocal de Jar Jar Binks (largement moins présent dans Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones), Ahmed Best s'est également vu confier un autre personnage, humain, qui porte son propre nom, modifié "façon Star wars" : Achk Med-Beq.
Retrouvailles entre Néo-Zélandais
Interprètes respectifs du chasseur de primes Jango Fett et de l'extraterrestre Taun We, Temuera Morrison et Rena Owen s'étaient déjà donnés la réplique en 1994, dans L'Ame des guerriers. Le comédien y incarnait un mari violent et abusif, maltraitant sa famille maori. Si elle n'incarne que vocalement son personnage dans Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones, Rena Owen était présente sur le plateau et aidait son partenaire et complice à visualiser son personnage virtuel en se coiffant d'un masque.
Retrouvailles également pour Temuera Morrison, Daniel Logan (Boba Fett) et Marton Csokas (Poggle le Bref), qui se sont côtoyés sur les plateaux de la série hospitalière néo-zélandaise Shortland Street.
Bout d'essai unique pour Daniel Logan
Daniel Logan, le jeune interprète de Boba Fett, a été retenu par la directrice de casting Robin Gurland après un seul bout d'essai devant les caméras. Incarnant le célèbre chasseur de primes dans son enfance, ce jeune Maori de 15 ans a la lourde tâche d'interpréter l'un des personnages préférés des fans. Longtemps annoncé dans la peau d'un "mystérieux jeune garçon", il a dû garder la nature de son rôle secrète, annonçant même à ses camarades de classe qu'il incarnerait... un bébé Ewok.
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Les contributeursCe film a reçu 5 contributions, pour les secrets de tournage, de: Miamsolo
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Le "presque-retour" de Chewbacca
Chewbacca fait son grand retour dans Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones. En tout cas son interprète, le gigantesque Peter Mayhew (2,20 mètres !) qui incarne un Wookie lors d'une scène de fête du film. Un Wookie certes, mais pas Chewbacca...
Lieux de tournage
Le tournage a débuté à la fin du mois de juin 2000 en Australie. En octobre 2000, George Lucas et toute son équipe ont investi le sud de la Tunisie pour tourner les extérieurs. Ce lieu ne leur était pas inconnu puisque ce "Grand Sud" tunisien avait déjà servi de décor pour La Guerre des étoiles et Star wars : épisode 1 - La Menace fantôme. George Lucas estimait que cet endroit, du fait de son excellente lumière, était idéal pour représenter l'aridité de la planète Tatooine. Le tournage s'est poursuivi en Italie, en Espagne et en Angleterre, à Londres.
Retour sur Tatooine
Pour introduire les personnages d'Owen Lars et Beru Whitesun (les futurs Oncle Owen et tante Beru de Luke Skywalker) et leur vie sur Tatooine, les décorateurs ont recréé à l'identique la ferme où vit Luke Skywalker dans La Guerre des étoiles. Un décor capital et symbolique qui assure le lien entre les deux trilogies de la saga.
Deux nouvelles planètes
Si Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones emmène de nouveau les spectateurs vers Tattooine, Coruscant (dont les ruelles et les bas-fonds seront dévoilés) et Naboo, deux nouvelles planètes font leur apparition dans ce second volet. Kamino, une planète recouverte d'eau et balayée par de violentes tempêtes de pluie, et Géonosis, un monde désertique et rocailleux où se déroule la bataille finale du film.
Vers les vaisseaux de l'Empire
Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones dévoile l'origine de nombreux véhicules et vaisseaux phares de la trilogie originelle, tels les immenses et puissants destroyers impériaux, dérivés... de vaisseaux Jedis ! "Les destroyers stellaires sont issus des chasseurs Jedis", explique le chef décorateur Gavin Bocquet. "Et cette symbolique est très puissante ? nous découvrons comment tout à commencer à tourner vers le côté obscur".
Les origines des stormtroopers
La guerre des clones est le fondement même de la saga Star wars. On se souvient ainsi qu'Obi-Wan Kenobi y faisait brièvement référence dans La Guerre des étoiles (une réplique malheureusement mal traduite en version française). Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones dévoile donc ces fameux clones soldats ou clonetroopers, dont l'armure blanche annonce les futurs stormtroopers de l'Empire. Des stormtroopers dont on n'a jamais vu le visage.
Des batailles jamais vues dans la saga
La bataille finale de Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones est tout simplement la plus impressionnante et la plus vaste conçue pour la saga. Elle voit s'affronter deux cents chevaliers Jedis, épaulés par des centaines de milliers de clonetroopers, et des milliers de droïdes de combats, le tout entourés de chars et autres vaisseaux de guerre. Les combats au sabre laser sont également incroyables. De l'aveu du vétéran Christopher Lee, qui participe à un duel magistral : "J'ai tourné plus d'affrontements à l'épée que n'importe quel acteur dans l'histoire, et j'ai les cicatrices pour le prouver. Et ce combat est plus impressionnant que tout ce que j'ai pu faire jusque-là".
Les sabres laser de "L'Attaque des clones"
Aux couleurs habituelles des sabres laser (bleu et vert pour les Jedis, rouge pour les Sith) s'ajoute une nouvelle couleur, le violet. Un coloris proposé par Samuel L. Jackson alias Mace Windu, et accepté par George Lucas. Quant au sabre d'Anakin Skywalker, il est identique à celui donné par Obi-Wan Kenobi à Luke Skywalker dans La Guerre des étoiles ("C'était le sabre laser de ton père").
L'art du combat des Jedis
Pour les nombreux chevaliers Jedis présent dans Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones, le coordinateur des cascades et maître d'armes Nick Gillard a élaboré différents styles de combats, se basant sur de nombreuses techniques d'arts martiaux et rencontrant des centaines de combattants sur la surface du globe. Pour donner à l'Episode 2 des scènes d'action d'une qualité optimale, il a même revu sa manière de travailler, ne se contentant plus de "simplement" chorégraphier des affrontements, mais "écrivant" ces combats au sabre laser.
Hayden Christensen : un combattant redoutable
Travailleur infatigable, Hayden Christensen s'est entraîné trois à quatre heures par jour pour traduire à l'écran les qualités de combattant d'Anakin Skywalker. Au final, c'est devenu un expert dans le maniement des armes. "Pour vous donner une idée des capacités d'Hayden, il a failli écraser l'un des plus grands épéistes de Kendo en Australie. Il est tellement rapide", confie Nick Gillard.
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L'évolution des costumes
Si les costumes des Jedis et des autres personnages récurrents restent sensiblement les mêmes, certaines évolutions notables ont été apportées aux vêtements portés par Padmé Amidala et Anakin Skywalker. Ainsi, la garde-robe de la jeune dirigeante se démarque des tenues très élaborées de Star wars : épisode 1 - La Menace fantôme, affichant désormais plus de féminité et de romantisme. Pour les scènes d'action, l'accent a été mis sur le confort.
Quant à Anakin Skywalker, sa tenue de Jedi reprend à la fois des éléments du costume classique des chevaliers, et introduit des éléments propres au futur costume de Darth Vader (des pièces en cuir notamment, ainsi qu'une cape rappelant celle du Seigneur Sith).
L'importance des "animatiques"
Afin de visualiser un projet d'une telle ampleur dans son ensemble, le département "Animatics" a été essentiel dans le développement du film. Ces animatiques sont en réalité des images grossières et inachevées des scènes du film (présentant lieux et personnages de façon rudimentaire), mais qui permettent aux équipes technique et artistique de visualiser avant le tournage les différents plans du long métrage et un premier montage de ce dernier. Au final, plus de 4 000 animatiques ont été élaborés.
Les animatiques ainsi créés ont permis, avant même le début du tournage, d'obtenir un premier montage du film. A chaque scène filmée, les acteurs réels étaient ajoutés à ce montage en animatique dès la fin de la journée de tournage (grâce au numérique), de même que les effets visuels au fur et à mesure de leur conception par ILM. Résultat,
George Lucas pouvait voir son film se construire en temps réel, et ainsi constater quelles scènes ne fonctionnaient pas ou quels plans manquaient à son montage.
Tournage en numérique
George Lucas a entièrement tourné Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones avec une caméra Sony, la HDW-F900 Camcorder, dotée d'un système bénéficiant d'une résolution exceptionnelle (1920 x 1080). Couplé aux lentilles Panavision, il permet de convertir les images filmées en données numériques.
Le tournage sur fond bleu
La grande majorité des scènes de Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones ont été tournées devant des fonds bleus ou verts, permettant l'incrustation future des effets visuels. Les comédiens ont donc passé la majorité du tournage à imaginer les créatures et autres décors qui figureront autour d'eux dans le film fini. Au total, plus de 2 200 plans de ce second volet comportent des effets visuels : chaque plan du film contient d'ailleurs un effet spécial.
Double casquette pour Ben Burtt
Designer des effets sonores de la saga depuis La Guerre des étoiles en 1977, Ben Burtt s'est également vu confier le montage de Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones (un poste qu'il partageait avec Paul Martin Smith sur Star wars : épisode 1 - La Menace fantôme). Il supervise ainsi le montage sonore et le montage visuel de ce second opus : un double poste (et deux fois plus de responsabilités) qui lui permet de développer une nouvelle dynamique entre le son et l'image, et de maîtriser plus encore le processus créatif et narratif.
John Williams à la baguette
Collaborateur de la première heure sur la saga, le compositeur John Williams signe également la partition de Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones. "Quand j'écris la musique d'un film de la saga Star wars, c'est comme si je composais pour une seule entité, à laquelle j'ajoute des morceaux dans chaque nouvel épisode. Autant que je sache, c'est quelque chose d'unique dans le monde du cinéma". Pour ce second volet, John Williams reprendra des thèmes de la saga, auquel il ajoutera de nouvelles variations. Il signe également des morceaux totalement nouveaux, comme le thème romantique et tragique symbolisant la relation d'Anakin et Padmé.
Quatre bandes-annonces
Alors que Star wars : épisode 1 - La Menace fantôme avait bénéficié de deux bandes-annonces en 1999 (un teaser en novembre et une longue bande-annonce en mars), George Lucas a utilisé quatre bandes-annonces pour promouvoir Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones, créant à chaque fois un véritable événement sur Internet. Trois courts teasers sur les trois premières semaines de novembre (dont un, marketing oblige, uniquement accessible depuis le DVD de La Menace fantôme), et une longue bande-annonce en mars.
Autre outil de promotion : le site HolonetNews.com, qui propose les dernières nouvelles de la galaxie aux internautes.
Une sortie (quasi) mondiale
Afin de satisfaire les fans du monde entier, George Lucas a opté pour une sortie (quasi) mondiale, au mois de mai. Le 16 aux Etats-Unis (où les premiers fans font la queue depuis le 1er janvier 2002 !) et en Grande-Bretagne notamment, le lendemain dans de nombreux pays d'Europe (dont La France), les sorties s'étant jusqu'à la fin du mois de juillet pour l'Amérique du Sud. On se souvient qu'en 1999, si les Américains avaient pu découvrir Star wars : épisode 1 - La Menace fantôme le 19 mai, les spectateurs français avaient dû patienter... jusqu'au 13 octobre.
Apparitions surprises
Les membres du groupe N'Sync ont participé à la bataille finale de Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones en tant que chevaliers Jedis. Mais leur "caméo" clin d'oeil pourrait aurait été supprimé à la suite du vent de mécontentement qui a soufflé chez les fans de la saga après cette annonce.
Autre apparition, cette fois certifiée par George Lucas : deux des propres enfants du cinéaste, Jett et Katie, incarnent respectivement un apprenti Jedi et une danseuse de night-club dans le film.
Enfin, Liam Neeson fait une apparition vocale dans L'Attaque des clones : il reprend son personnage de Maître Jedi Qui-Gon Jinn pour une phrase ("Non, Anakin ! Non !") lorsque ce dernier massacre les pillards du désert...
Des projections de charité
Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones a été projeté en première mondiale le 12 mai 2002 en clôture du Tribeca Film Festival de New York, créé par Robert De Niro pour revivifier la ville, meurtrie par les attentats du 11 septembre. Les bénéfices de cette projection à 500 dollars le ticket (568 euros) ont été reversés aux associations d'aide aux familles touchées par les attentats. Onze autres villes ont également projeter L'Attaque des clones le 12 mai, lors d'avant-premières de charité destinées à récolter des fonds pour les enfants dans le besoin.
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Star Wars : Episode III - Revenge of the Sith|George Lucas|Science fiction||3|américain|2005|133|Anglais||DX50|||DX50|1 421 Kbps|640x288|MPEG-2 Audio layer 3|56.0 Kbps|False|22.05 KHz|2|1422||||23.976|06/08/2009 00:00:00|Rick McCallum|George Lucas|David Tattersall||20th Century Fox|Saga : Star Wars |La Guerre des Clones fait rage. Une franche hostilité oppose désormais le Chancelier Palpatine au Conseil Jedi. Anakin Skywalker, jeune Chevalier Jedi pris entre deux feux, hésite sur la conduite à tenir. Séduit par la promesse d'un pouvoir sans précédent, tenté par le côté obscur de la Force, il prête allégeance au maléfique Darth Sidious et devient Dark Vador.Les Seigneurs Sith s'unissent alors pour préparer leur revanche, qui commence par l'extermination des Jedi. Seuls rescapés du massacre, Yoda et Obi Wan se lancent à la poursuite des Sith. La traque se conclut par un spectaculaire combat au sabre entre Anakin et Obi Wan, qui décidera du sort de la galaxie. |Roger Carel (voix française de C-3PO)@||Secrets de tournage :
L'épisode central de la saga
La Revanche des Sith est le troisième volet de la prélogie (ou nouvelle trilogie) Star wars initiée par George Lucas en 1999. Le film relate les événements chronologiquement postérieurs à L'Attaque des clones (l'histoire de l'Episode III prend place huit ans après ceux de l'Episode II) et introduit ceux de Un nouvel espoir. Il aura donc fallu vingt-huit ans à George Lucas pour achever une saga qui reste comme l'une des plus légendaires de tous les temps. "Toutes les pièces du puzzle s'assembleront alors, et les connexions seront établies", explique le cinéaste. "Ce sera le dernier chapitre".
Un épisode sombre et dramatique
Annoncé de longue date par George Lucas comme l'épisode de Star Wars le plus sombre, La Revanche des Sith revient effectivement sur les événements les plus dramatiques de la saga puisque y figurent la chute de la République et la naissance de l'Empire, le passage d'Anakin Skywalker vers le côté obscur et son combat avec Obi-Wan Kenobi, et la disparition de l'ordre des Jedis. Résolument sombre, le film est même le premier volet de la saga à recevoir un classement PG-13 (déconseillé aux moins de 13 ans par le comité de censure américaine. S'il assume totalement cet aspect du film, le cinéaste refuse toutefois de le réduire à un simple déferlement de violence de la part de son héros, Anakin Skywalker. Pour lui, le film s'apparente plus à une sorte de Titanic spatial, et suit avant tout les pas d'un jeune homme faisant les mauvais choix... Une orientation qui devrait d'ailleurs selon lui dérouter les spectateurs... Le compositeur John Williams, à qui le cinéaste avait dévoilé en avant-première le récit, expliquait d'ailleurs dans une interview au magazine USA Today : "George Lucas m'a raconté la dernière partie de l'histoire. Quand je l'ai entendue, je lui ai dit : 'Dépêche toi de le faire, car c'est un dénouement fabuleux'".
L'histoire d'un père et son fils
Si la première trilogie reste avant tout pour les spectateurs l'histoire de Luke Skywalker, la prélogie donne une toute autre dimension à la saga de George Lucas, dont le protagoniste principal devient dès lors Anakin Skywalker / Dark Vador. Le cinéaste et son producteur Rick McCallum, qui ont volontairement souhaité conter l'enfance, l'adolescence et le passage à l'âge adulte d'Anakin en se heurtant parfois à l'incompréhension des fans, espèrent donner avec La Revanche des Sith une tout autre vision de la prélogie et de la saga dans son ensemble. "Ce schéma était principalement destiné à situer les origines des personnages et à expliquer par quelles voies ils avaient abouti à cet Episode IV, souligne ainsi George Lucas. "C'est seulement vingt ans plus tard que j'ai commencé à rédiger pour de bon le prologue en trois volets. La structure de base, elle, a très peu changé : cela a été, dès le début, l'histoire d'un père racheté par ses enfants".
Une nouvelle vision de la saga
Pour George Lucas, "les spectateurs qui regarderont la saga dans sa continuité logique, du premier au sixième épisode, vivront une expérience nouvelle. Ce qui m'a poussé à réaliser les épisodes I, II et III, fut le désir de donner plus d'ampleur à l'aventure d'Anakin, cet homme qui après avoir pris un excellent départ dans la vie, cède aux forces du mal, puis finira par être sauvé par ses enfants. Et c'est très excitant de voir tout cela prendre corps et se mettre définitivement en place".
Près de deux ans de production
Le tournage de Star Wars : Episode III a débuté le 30 juin 2003 à 08h07 très exactement, aux Studios Fox Australia de Sydney. Malgré un tournage principal relativement court (55 jours), il aura donc fallu près de deux ans de production et de post-production pour livrer le film aux spectateurs en mai 2005. Une longue gestation qui a notamment mis la patience de Hayden Christensen à rude épreuve : l'interprète de Dark Vador, grand fan de la saga, ne pensait qu'à une chose, voir le film !
Multiples tournages
La production du film a été divisée en plusieurs parties par George Lucas, adepte depuis Star wars : Episode II - L'Attaque des clones de tournages fractionnés permettant de combler les manques des prises de vues principales et d'approfondir l'histoire. Après le tournage principal durant l'été 2003, l'équipe a donc repris le chemin des plateaux un an plus tard, à la fin de l'été 2004, pour onze jours de raccords à Londres, puis en janvier 2005 pour mettre en boîte les tous derniers plans du film. "Le film diffère sensiblement du scénario de tournage", explique George Lucas. "Lorsque j'observe le déroulement d'une scène à l'écran, cela m'inspire fréquemment de nouvelles idées narratives, que j'intègre au montage ou à la faveur des retakes. C'est cela qui me procure le plus de plaisir sur un tournage. Je démarre avec un processus de montage et de postproduction "normal", et je le mène aussi loin qu'il m'est possible... et plus encore". "Les films de la saga se démarquent de la stylistique contemporaine et se rapprochent du cinéma des années 30 et 40", ajoute le monteur et ingénieur du son Ben Burtt. "Paradoxalement, le processus par lequel nous aboutissons à cette narration classique est tout sauf traditionnel. George décompose le film en fragments qu'il recombine au fur et à mesure du montage. Ce processus est presque aussi fluide que celui d'un film d'animation".
Une première cannoise
La première mondiale du film s'est tenue le dimanche 15 mai 2005 dans le cadre du 58e Festival de Cannes, où le film était programmé en sélection officielle hors-compétition. Une façon de boucler la boucle pour George Lucas, venu à Cannes en 1971 pour la présentation de THX 1138 à la Quinzaine des Réalisateurs : il y avait alors conclu un premier contrat avec United Artists pour réaliser un film à propos d'une galaxie lointaine, très lointaine...
La France bénie par la Force
Programmée le 19 mai 2005 en sortie mondiale, La Revanche des Sith a débarqué sur les écrans français, et seulement sur les écrans français, un jour plus tôt.
Un marathon londonien
Seul cinéma au monde à proposer une telle programmation, la salle londonienne UCI Empire, située au Leicester Square, programmait pour les fans le 16 mai 2005 l'intégralité de la saga sur grand écran, dans l'ordre de la sortie des films. Soit plus de treize heures dans une Galaxie lointaine, très lointaine, avec La Revanche des Sith en film de clôture.
Transition
Dernier épisode de la saga, La Revanche des Sith doit bien évidemment assurer la transition entre deux trilogies aux designs et aux univers jusqu'ici très différents. Côté costumes, le look d'Anakin Skywalker devient de plus en plus sombre et de plus en plus "cuir" et se rapproche ainsi du futur costume de Dark Vador, alors que la tunique portée par Ewan McGregor est une réplique exacte de celle portée par Alec Guinness dans la première trilogie. La coiffure de Natalie Portman n'est quant à elle pas sans évoquer les macarons de Carrie Fisher... Autres évolutions : celle des vaisseaux Jedi dont le fuselage évoque celui des futurs chasseurs Tie de l'Empire, et celle des soldats clones dont l'armure se rapproche clairement de celle des stormtroopers impériaux. Quant à la déliquescence technologique entre les deux triptyques -l'univers de la prélogie apparaissant beaucoup plus riche que celui de la trilogie originelle-, il est expliqué par le producteur Rick McCallum comme une conséquence directe de la Guerre des Clones et de l'économie de guerre mise en place par l'Empire.
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Un costume neuf pour Vador
"Il s'agissait de lui donner une allure un peu plus mécanique, pour souligner son extrême nouveauté", explique la costumière Trisha Biggar. "Ces altérations engendrent des mouvements un peu plus saccadés et un certain inconfort chez celui qui le porte pour la première fois, ce qui était approprié au contexte".
Ressembler à Alec Guiness
Pour coller le plus possible au jeu d'Alec Guinness dans Un nouvel espoir, Ewan McGregor s'est repenché en détail sur la performance du comédien, afin de donner à son personnage d'Obi-Wan Kenobi une vraie unité et une vraie continuité d'une trilogie à l'autre. Tous les matins durant le tournage, il se passait ainsi en boucle toutes les scènes interprétées par Alec Guinness dans la première trilogie. Au final, posture, croisements de bras, accent, intonations : tout est repris fidèlement dans La Revanche des Sith, notamment la coupe de cheveux et de barbe de 1977. Pour y parvenir, l'équipe maquillage superposa les photos des deux comédiens pour parvenir au compromis idéal, qui ferait d'Ewan McGregor un très probable "Alec Guinness jeune".
"Obi-Wan a bien plus à faire dans ce film, et George l'a mené dans la direction où j'espérais depuis longtemps qu'il s'engage", souligne Ewan McGregor. "Obi-Wan aime sincèrement Anakin et ressent une amère déception ainsi qu'une profonde tristesse à le voir s'abandonner ainsi au côté obscur. J'ai trouvé cela passionnant à jouer". Pour George Lucas, "Obi-Wan est victime d'une trahison majeure, qui l'affecte à bien des niveaux. Sa réaction éclaire et justifie les choix qu'il fait dans les épisodes IV, V et VI".
Anakin vs. Obi-Wan
Parmi les séquences d'anthologie de La Revanche des Sith, le duel maître-élève entre Obi-Wan Kenobi et Anakin Skywalker sur le flanc d'un volcan en éruption est clairement LA scène la plus attendue par les fans. D'une durée de 12 minutes, cet affrontement au sabre-laser est, selon le coordinateur cascade et le maître d'armes Nick Gillard, le plus long combat de l'histoire du cinéma. Il a demandé de longues séances d'entraînement et de répétitions durant trois mois à raison de cinq à huit heures par jour à Hayden Christensen et Ewan McGregor, qui ont dû mémoriser plus d'un millier de mouvements différents ! Un défi d'autant plus impressionnant qu'ils ont quasi-intégralement tourné la scène, ne faisant presque jamais appel à des doublures ou des cascadeurs. Une implication telle que, pris par le combat, Ewan McGregor fit voltiger durant une prise le téléphone portable qu'il avait dissimulé dans sa tunique de Jedi.
"Sur une échelle de 1 à 10, Obi-Wan se situe au niveau 8, ce qui est aussi le niveau de départ d'Anakin", explique Nick Gillard. "Mais Anakin se hisse d'un bond au niveau 9. Cela fait une énorme différence, un peu comme s'il passait d'un coup des ténèbres à la lumière. Ce duel reflète bien leurs personnalités respectives. Anakin a appris à se battre, il possède un immense talent, mais il n'a pas la maturité pyschologique de son mentor. Savoir cela nous a énormément aidé dans le régalage de la scène".
Mort au champ d'honneur
Tout en sachant pertinemment qu'il devait disparaître au terme de cet "Episode III" (son personnage n'apparaissant pas dans la première trilogie), Samuel L. Jackson demanda tout de même à George Lucas de ne pas voir Mace Windu mourir, selon ses propres termes, "comme un pauvre type". Le cinéaste accéda à sa demande et lui écrivit une fin digne de son statut de Maître Jedi, lors d'un combat d'anthologie au sabre-laser comportant quelques 137 mouvements différents.
Légende
Le tournage des scènes figurant Hayden Christensen dans le costume de Dark Vador a été vécu comme un véritable événement par l'équipe du film. Véritable icône du cinéma, le Seigneur Sith a ainsi attiré pour son grand retour sur les écrans, plus de vingt ans après sa dernière apparition dans Le Retour du Jedi, quelques 1 500 personnes (!) sur les plateaux, quand une équipe compte en moyenne "seulement" une centaine de membres. Cadres de la Fox, producteurs, secrétaires, stagiaires : tout le monde voulait assister au retour de Vador.
Hayden Christensen sous l'armure
Si l'imposant David Prowse -qui prêtait sa carrure à Dark Vador dans la première trilogie- avait exprimé son souhait de reprendre du service sur La Revanche des Sith, le privilège est finalement revenu à Hayden Christensen qui a expressement demandé à George Lucas de se glisser dans l'armure noire du Seigneur Sith. Un nouveau costume équipé de prothèses et de semelles compensées a donc été créé aux dimensions de l'acteur, et un système de caméra dut être mis au point pour donner l'illusion de la taille de Vador, Hayden Christensen étant plus petit que David Prowse. Si le fait de porter le costume reste pour ce grand fan de la saga un souvenir indescriptible, il n'a pu vraiment en profiter, ses mouvements et sa vision restant assez limités : il ne pouvait ainsi voir qu'à travers la bouche de Vador.
James Earl Jones, la voix de l'ombre
Voix originale de Dark Vador dans la première trilogie, le comédien afro-américain James Earl Jones fait son grand retour dans l'Episode III lors des scènes figurant le sombre seigneur Sith. Un rôle qu'il n'a pas tenu depuis... 1983 et Le Retour du Jedi.
Hayden Christensen du côté obscur
S'il restait quelque peu effacé dans L'Attaque des clones, le personnage d'Anakin Skywalker devient le protagoniste central de l'histoire dans La Revanche des Sith et permet à son interprète, le Canadien Hayden Christensen, de donner la pleine mesure de son talent. Affublé des mêmes cicatrices que Sebastian Shaw dans Le Retour du Jedi, le comédien a pris onze kilos pour le rôle, s'est laisser pousser les cheveux et peut enfin illustrer la "balance entre clair et obscur" avancée par George Lucasen 2000 pour justifier son engagement.
Ian McDiarmid, de l'Empereur à Palpatine
Déjà présent au générique du Retour du Jedi sous le costume de l'Empereur, c'est l'Ecossais Ian McDiarmid qui prête ses traits au perfide Palpatine dans la prélogie. Plus vieux de vingt ans, il campe ainsi un personnage plus jeune de vingt ans !
Le retour de Chewie
Autre retour marquant de ce dernier opus, celui du géant Peter Mayhew (2,21 m) dans le costume très poilu de Chewbacca. Personnage incontournable de la saga, le copilote de Han Solo est accompagné dans le film de sa tribu et dévoile notamment sa planète, la verte Kashyyyk. Ces retrouvailles entre le comédien et Chewie arrivent après vingt-deux ans d'attente (la dernière apparition du personnage remonte à 1983 et Le Retour du Jedi), même si le géant campait un autre Wookie le temps d'une courte scène dans L'Attaque des clones.
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Grievous
Nouveau méchant de La Revanche des Sith, le Général Grievous n'est pas inconnu des fans de la saga. Intronisé dans la série animée Star Wars : Clone wars, ce tueur de Jedi doté de plusieurs bras et paré des sabres-laser de ses victimes est l'une des figures phares des Guerres Cloniques. Créature bio-mécanique (5 % organique, 95 % robotique), ce sombre personnage entièrement créé en images de synthèse, "fait discrètement écho au destin d'Anakin" selon George Lucas. "George Lucas voulait un ennemi visuellement intéressant, représentant la technologie qui consumera ultérieurement Anakin", ajoute le superviseur des effets visuels Rob Coleman. "Cette ébauche primitive de la technologie qui sauvera Vador ne donne pas les résultats espérés sur Grievous, d'où l'apparence maladive de ce super-méchant boudeur, mélancolique, sujets à de violents accès de toux".
S'il devait au départ être soutenu par la voix de Gary Oldman, le comédien britannique dut toutefois renoncer au rôle pour raisons "politiques", son soutien à la Screen Actors Guild (le syndicat des acteurs américains) ne lui permettant moralement pas de participer à un projet non soutenu par l'organisation (la grande majorité des acteurs de Star wars n'étant pas inscrits à la SAG). Alors que le nom de John Rhys-Davies -interprète du nain Gimli dans Le Seigneur des anneaux- avait été annoncé en remplacement, le rôle a finalement été confié à Matthew Wood, ingénieur du son chez ILM sur la prélogie et l'édition DVD de la première trilogie. Il était également apparu à l'écran dans La Menace fantôme, dans le costume de Bib Fortuna, le bras droit de Jabba le Hutt.
Clins d'oeil
Comme de coutume, quelques apparitions clins d'oeils émaillent La Revanche des Sith. Figurent ainsi au générique Jett et Katie Lucas, les propres enfants de George Lucas, le superviseur des effets visuels John Knoll, le coordinateur cascades Nick Gillard, le comédien Jeremy Bulloch, interprète du chasseur de primes Boba Fett dans la première trilogie, et enfin (et surtout) George Lucas en personne, pour sa seule et unique apparition à l'écran dans un Star wars en Baron Papanoida.
Refus
Deux comédiens ont refusé d'être de l'aventure Star wars avec un rôle dans La Revanche des Sith : David Duchovny, qui aurait poliment décliné une offre de George Lucas en octobre 2000, et Gary Oldman.
Un coach pour les acteurs
Grand première dans l'histoire de la saga : George Lucas a accepté, sur les conseils de son ami Francis Ford Coppola, de faire appel à un dialogue coach destiné à épauler le metteur en scène et à superviser le travail des comédiens. Collaborateur de la famille Coppola sur L'Idéaliste, Virgin suicides ou CQ, Chris Neill a ainsi rejoint l'aventure Star wars et aidé les acteurs à bien saisir les motivations de leurs personnages et à retranscrire parfaitement leurs sentiments à l'écran.
French Vador
C'est un Français, Martin Rezard, qui a signé le nouveau costume de Dark Vador. Sculpteur principal du département costume de La Revanche des Sith, c'est l'un des artisans majeurs sur l'armure et le casque du Seigneur Sith. Un casque qu'il a amélioré, l'accessoire d'origine, sculpté à la main, ayant été conçu de façon asymétrique.
Blessures de guerre
Si aucun incident grave n'est survenu sur le plateau, Hayden Christensen et Ewan McGregor ont souvent terminé leurs séances d'entraînement au sabre-laser couverts de bleus et les ongles fendus ou arrachés. Hayden Christensen s'est également "distingué" en frappant malencontreusement Ian McDiarmid (interprète de l'Empereur) entre les deux yeux avec son sabre.
Chorégraphie de dernière minute
Au lancement de la production, il n'était pas prévu que Ian McDiarmid , interprète de l'Empereur, tourne les scènes de combat de son personnage. George Lucas décida finalement du contraire et le comédien dut apprendre au tout dernier moment (en à peine une heure !) quelques mouvements pour jouer du sabre-laser devant les caméras.
Bleu vs. Bleu
Le duel entre Anakin Skywalker et Obi-Wan kenobi marque une première dans l'histoire de la saga : c'est la seule et unique fois que deux combattants armés d'un sabre-laser de la même couleur (ici bleu contre bleu) s'affrontent.
Un tournage débuté en... 2001
George Lucas a profité du tournage de L'Attaque des clones en Tunisie (la planète Tatooine) en 2001 pour mettre en boîte une "scène cruciale" de La Revanche des Sith. Une décision qui évitait au cinéaste et à son équipe de retourner en Afrique du Nord trois ans plus tard pour tourner une séquence unique. S'il n'a jamais révélé la nature de la scène, le tournage tunisien laisse supposer qu'il s'agit de l'une des séquences finales du film, figurant le retour d'Obi-Wan Kenobi sur Tatooine, accompagné d'un bébé prénommé Luke qu'il remet à son oncle Owen et sa tante Beru...
Studio
Contrairement aux cinq autres épisodes de la saga, La Revanche des Sith a été intégralement tourné en studio. La seule scène tournée en extérieur a été mise en boîte par George Lucas en... 2001 durant le tournage de L'Attaque des clones.
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Sept nouvelles planètes
Au total, 72 décors différents ont été élaborés pour le film. On y découvre sept nouvelles planètes : Kashyyyk, planète d'origine des Wookies ; Utapau, parsemée de puits ; Mygeeto, aux tours cristallines ; Felucia, recouverte de gigantesques champignons ; Polis Massa, située au coeur d'un champ d'astéroïdes ; et surtout Mustafar, astre couvert de lave en fusion sur lequel se déroule le combat entre Anakin et Obi-Wan. Si la majorité des environnements ont été créés numériquement, certains paysages ont été filmés en Chine, en Thaïlande, en Suisse et au Maroc. Par ailleurs, l'équipe de George Lucas s'est rendue en Sicile pour filmer une impressionnante éruption de l'Etna afin d'utiliser certains plans de lave lors du duel final entre Obi-Wan et Anakin sur la planète Mustafar.
Mustafar, la planète volcanique
Chargé de la création de la planète Mustafar, théâtre du duel entre Anakin et Obi-Wan, Roger Guyett explique : "Il nous fallait un environnement réaliste, extrêmement dangereux, soulignant et amplifiant la violence de cet affrontement entre deux personnages d'une grande puissance. J'ai voulu que ce décor soit aussi hostile que possible et plus brûlant que l'enfer, un véritable Niagara de lave en fusion". Pour y parvenir, ses équipes ont combiné des plans numériques, des matte paintings élaborées, des prises de vues réelles d'une éruption volcanique et des miniatures (mesurant parfois plus de 10 mètres de long !) sur lesquelles un torrent de lave artificiel d'1m30 de large fut aléboré à base d'agent épaississant utilisé dans la fabrication... des milk-shakes.
Clap de fin
Le 7 février 2005, le tout dernier plan de La Revanche des Sith, et donc de la saga Star wars, a été mis en boîte par George Lucas aux studios britanniques de Elstree. C'est sur le Stage 8, dernier plateau du célèbre studio à avoir accueilli le tournage de Un nouvel espoir en 1976 que le cinéaste a bouclé la boucle, tournant une courte scène figurant une course de Hayden Christensen. La post-production du film a pour sa part pris fin le 4 mai 2005, soit seulement deux semaines avant la sortie du film.
Histoire de titre
Avant que ne soit dévoilé le titre officiel de ce dernier opus (La Revanche des Sith), le titre le plus souvent annoncé était Rise of the Empire, littéralement La Naissance de l'Empire. Annonçant le ton très sombre de l'Episode III, le titre définitif retenu par George Lucas est également un clin d'oeil au titre de travail du Retour du Jedi, initialement intitulé La Revanche du Jedi puis modifié peu avant la sortie du film afin de traquer les sociétés fabricant des produits dérivés pirates.
L'ombre de Jango
Décapité par le sabre-laser de Samuel L. Jackson dans L'Attaque des clones, le chasseur de primes Jango Fett apparaît toutefois dans La Revanche des Sith par l'intermédiaire des soldats clones de la République, dont il était la cellule-souche. Sous l'armure des clonetroopers, on retrouve donc le comédien néo-zélandais Temuera Morrison, qui avait également prêté sa voix à tous les soldats impériaux lors de l'édition DVD de la trilogie originelle. C'est la première fois avec La Revanche des Sith que l'on découvre ces troupes de choc à visage découvert.
Retrouvailles
Mari et femme dans le remarqué L' Ame des guerriers, les acteurs néo-zélandais Temuera Morrison et Rena Owen se retrouvent à l'écran dans la galaxie Star wars : dans L'Attaque des clones où ils campent respectivement le chasseur de primes Jango Fett et la kaminoan Taun We, et dans La Revanche des Sith en soldat clone pour le premier et en sénateur Nee Alavar pour la seconde.
Les conseils d'un pilote
Ancien pilote de la Royal Air Force durant la Seconde Guerre mondiale, Christopher Lee n'a pas manqué de dispenser quelques judicieux conseils au jeune Hayden Christensen quant à la manière de se tenir dans un cockpit de chasseur.
L'ombre de Frankenstein
Concepteur de l'univers sonore de la saga depuis 1977, Ben Burtt a mis au point près d'un millier de nouveaux sons pour La Revanche des Sith. Parmi ceux-ci, les sons des vaisseaux Jedi dont les moteurs laissent deviner aux fans le futur rugissement des chasseurs Tie, et surtout la scène de reconstruction d'Anakin/Dark Vador pour laquelle Ben Burtt a enregistré les sons des véritables accessoires du Frankenstein de 1931 !
Parmi les autres sons utilisés pour le film : des grognements d'ours mêlés à ceux d'un phoque, d'un chien et d'un lion (Chewbacca), le ronflement d'un téléviseur associé au son d'un vieux projecteur 35mm (les sabres-laser), un marteau heurtant le câble à haute tension d'une antenne-relais (un tir de blaster), une hélice d'avion de la Seconde Guerre mondiale (les vaisseaux d'Anakin et Obi-Wan), des serviettes humides frottées dans la boue et des plats de macaronis écrasés (la lave de Mustafar) ou encore un rasoir électrique raclant l'intérieur d'un saladier métallique (les motos volante STAP).
Effets visuels
La Revanche des Sith comporte pas moins de 2 200 plans d'effets visuels, contre 2 000 pour l'Episode II ! La Menace fantôme comportait ainsi 60 minutes d'animation et L'Attaque des clones 70 minutes d'images de synthèse, contre... 90 minutes pour l'Episode III.
Christopher Lee pixelisé
Combattant émérite, Christopher Lee était toutefois trop âgé pour exécuter certaines cascades de son combat contre Anakin et Obi-Wan. Son visage a donc été scanné sous tous les angles alors qu'il déclamait son texte, puis découpé et collé sur celui du cascadeur à l'écran, sans que les "coutures" ne soient visibles. Une prouesse signée ILM.
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La contre-attaque des clones
Pour certaines séquences d'action majeures, trop dangereuses à tourner avec de vrais cascadeurs, l'équipe chargée de l'animation a élaboré des doublures numériques des acteurs du film. Christopher Lee, Ian McDiarmid, Hayden Christensen ou Ewan McGregor ont ainsi été clonés, l'opération la plus difficile pour ILM consistant à récréer les cheveux et barbes des comédiens originaux. Le double le plus facile à réaliser a donc été celui de Samuel L. Jackson ! Par ailleurs, tous les soldats clones présents à l'écran sont des personnages numériques.
Monopole numérique
Tourné en numérique comme L'Attaque des clones, La Revanche des Sith a été filmée avec les caméras numériques HDC-F950. Il n'y en a que quatre dans le monde... toutes utilisées par George Lucas pour le film. L'utilisation de ces caméras, qui permettent de filmer sans pellicule, a par exemple permis à l'équipe de mettre en boîte plus d'une centaine de plans le dernier jour du tournage... Un record !
Insolite
Les équipes d'ILM s'amusent souvent à inclure des détails insolites dans les scènes spatiales. Après une patate dans le champ d'astéroïdes de L'Empire contre-attaque et une chaussure dans la bataille finale du Le Retour du Jedi, ils ont créé un débris de vaisseau ressemblant à un... évier dans La Revanche des Sith ! A vous de le retrouver, sachant que l'évier en question est visible dans la bataille d'ouverture, lorsqu'un chasseur Jedi fait exploser un croiseur ennemi...
L'ère de l'écran plasma
Décidément révolutionnaire dans l'âme, George Lucas a introduit une nouvelle façon de tourner sur l'Episode III en utilisant comme retour-caméra d'imposants écrans plasma en lieu et place des traditionnels combos noir et blanc. Cette technologie permettait à l'équipe d'être au plus près des prises de vue et de contrôler aussi bien la performance des comédiens que les moindres erreurs de cadre (et notamment les reflets) parasitant l'image. Ces écrans plasma seront également très utiles lors du tournage additionnel, afin de vérifier à l'image près le raccord avec des plans mis en boîte près d'un an auparavant.
Collectors
Raccord oblige, le sabre-laser utilisé par Ewan McGregor sur La Revanche des Sith est le même que celui utilisé par Alec Guinness en 1977. Par ailleurs, le dernier sabre de Jedi utilisé par Hayden Christensen avant sa métamorphose en Dark Vador est le même que celui offert à Luke par Obi-Wan Kenobi dans Star wars : Episode IV - Un nouvel espoir (La Guerre des étoiles).
DroÏdes
Présents au générique de La Revanche des Sith, Kenny Baker et Anthony Daniels, alias les droïdes R2-D2 et C-3PO, sont les seuls acteurs à apparaître dans les six épisodes de la saga.
D'une trilogie à l'autre
C'est Anthony Daniels, alias C-3PO, qui a le privilège de déclamer la dernière réplique de l'Episode III. C'était déjà lui qui pronçait la première phrase de L'Episode IV. La boucle est bouclée.
Un vaisseau de légende
L'une des dernières scène de l'Episode III se situe dans les couloirs du vaisseau de la famille Organa, celui-là même qui fut le théâtre de la première apparition de Dark Vador en 1977. L'équipe dut se repencher sur les quelques plans d'époque encore disponibles pour concevoir ce décor de légende, démantelé dès la fin du tournage en 1976. "Ce fut un pur bonheur de travailler sur ce décor qui constitue un lien important avec Star wars : Episode IV - Un nouvel espoir", explique le chef-décorateur Gavin Bocquet. "Nous avons fait un effort particulier pour recréer le look et l'ambiance de l'original". Pour George Lucas et Anthony Daniels, déjà présents sur ce plateau en 1977, ce retour vers le passé fut chargé d'émotion, de même que pour Ewan McGregor, dont le premier souvenir cinéma n'est autre que... La Guerre des étoiles. "
Le retour de Luke et Leia
Séquence émotion de La Revanche des Sith : l'apparition des bébés Luke et leia Skywalker, futurs héros de la première trilogie.
L'Empereur contre-attaque
C'est durant le tournage de l'Episode III en 2003 que Ian McDiarmid a tourné les scènes figurant l'Empereur dans la version DVD de L'Empire contre-attaque, sortie en 2004.
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Carton plein pour Bruce Spence
Inoubliable "homme de l'hélicoptère" dans la trilogie Mad Max, le comédien Bruce Spence est à l'affiche de La Revanche des Sith, sous le maquillage de Tion Medon. L'acteur est ainsi au générique des sagas fantastiques Star wars, Mad Max, Matrix (l'homme du train) et Le Seigneur des anneaux (la Bouche de Sauron). Sacré palmarès !
Keisha, reine de Naboo
Nouvelle reine de Naboo dans La Revanche des Sith, Keisha Castle-Hughes n'est autre que la révélation de Paï, citée à l'Oscar de la Meilleure actrice en 2004. Il ne lui a fallu qu'une journée pour tourner ses scènes de l'Episode III.
Spielberg à la réalisation ?
Selon certaines rumeurs, Steven Spielberg, complice de George Lucas depuis ses débuts à Hollywood, lui aurait apporté son aide pour le tournage de certaines séquences riches en effets spéciaux, notamment les duels au sabre-laser.
Rumeurs
Quelques rumeurs ont bien évidemment été lancées sur le web autour de La Revanche des Sith. Côté casting, Gabriel Byrne, Willem Dafoe,
Robbie Coltrane et Christopher Eccleston ont ainsi été annoncés au générique, alors que Rise of the Empire était le titre le plus souvent cité pour ce dernier opus. Enfin, le film a été attendu pednat un temps en ouverture du Festival de Cannes 2005.
John Williams à la baguette
Compositeur des tous les films de la saga, John Williams est bien évidemment de retour à la baguette sur La Revanche des Sith : "Quand j'écris la musique d'un film de la saga Star wars", explique t-il, "c'est comme si je composais pour une seule entité, à laquelle j'ajoute des morceaux dans chaque nouvel épisode. Autant que je sache, c'est quelque chose d'unique dans le monde du cinéma".
Et après ?
Si George Lucas a définitivement fermé la porte à des épisodes VII, VIII et IX et mis un point final à sa saga sur grand écran, il laisse toutefois sa Galaxie vivre via d'autre supports. Ainsi, outre les jeux vidéos, romans et autres comic-books, l'univers Star wars continuera d'exister sur petit écran, à travers une extension de la série animée Star Wars : Clone wars réalisée en images de synthèse et un projet de série live contant les événements situés entre
Star wars : Episode III - La Revanche des Sith et Star wars : Episode IV - Un nouvel espoir.
Gary Oldman
Gary Oldman aurait pu faire la voix du sinistre général Grievous.
1138
Dans cet épisode, un Clone est enregistré sous le code 1138. Petit clin d'oeil au film THX 1138, première réalisation de George Lucas, qui fut un flop.
Le travail de Spielberg
Steven Spielberg, grand réalisateur et grand ami de George Lucas, a pré-réalisé cinq séquences de La Revanche des Sith à la demande de George Lucas. Il a fait ça via des story-boards en 3D.
George Lucas harcelé
Hayden Christensen (Anakin Skywalker) a dû harceler George Lucas pour pouvoir porter le costume de Dark Vador. Il a réussi.
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Star Wars: Episode IV - A New Hope|George Lucas|Science fiction||4|américain|1977|119|Anglais||DX50|||DX50|713 Kbps|544x224|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Gary Kurtz Rick McCallum|George Lucas|Gilbert Taylor|||Saga : Star Wars |Il y a bien longtemps, dans une galaxie très lointaine... La guerre civile fait rage entre l'Empire galactique et l'Alliance rebelle. Capturée par les troupes de choc de l'Empereur menées par le sombre et impitoyable Dark Vador, la princesse Leia Organa dissimule les plans de l'Etoile Noire, une station spatiale invulnérable, à son droïde R2-D2 avec pour mission de les remettre au Jedi Obi-Wan Kenobi. Accompagné de son fidèle compagnon, le droïde de protocole C-3PO, R2-D2 s'échoue sur la planète Tatooine et termine sa quête chez le jeune Luke Skywalker. Rêvant de devenir pilote mais confiné aux travaux de la ferme, ce dernier se lance à la recherche de ce mystérieux Obi-Wan Kenobi, devenu ermite au coeur des montagnes désertiques de Tatooine... |Roger Carel (C-3PO (voix française))@||Secrets de tournage :
Les gloussements de R2-D2
C'est en malaxant de la neige carbonique que Ben Burtt, ingenieur du son, a fait les gloussements de R2-D2.
Les cris de Chewbacca
C'est en mélangeant les grognements d'un ours, d'un phoque, d'un chien et d'un lion que Ben Burtt, le sound designer, a créé les cris de Chewbacca.
Un Stormtrooper maladroit
Dans cet opus, on peut voir un Stormtrooper qui se cogne la tête sur un sas, lorsque R2-D2 et C-3PO se cachent des troupes imériales dans l' Étoile Noire.
Dédicaces
Pendant les séances de dédicaces, Mark Hamill écrivait : " Suivez la Force ". Harrison Ford, lui, préférait écrire " Forcez-vous ".
1138
Dans ce film, on peut voir que Chewbacca est transféré dans la cellulle 1138. Un petit clin d'oeil au premier film réalisé par George Lucas.
Club Obi-Wan
Dans Indiana Jones et le Temple Maudit, au début du film, Indiana Jones se bagarre dans un bar nommé Obi-Wan.
Un vaisseau de la planète fast-food
La forme du Faucon Millénium, le vaisseau de Han Solo, est inspirée de la forme d'un hamburger avec une olive sur le côté.
Dr. Jawa
Le nom Jawa vient du nom du docteur de George Lucas.
Roger Carel
C'est Roger Carel qui fait le doublage de C-3PO. Il est par ailleurs le doubleur de beaucoup de dessins animés comme Astérix et a même doublé Benny Hill.
Asymétrique
Le casque de Dark Vador était asymétrique.
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Billyl Dee Williams
Billy Dee Williams, qui interprète Lando Calrissian dans L'Empire Contre-Attaque et Le Retour du Jedi, avait auditionné pour le rôle de Han Solo, tenu finalement par Harrison Ford.
Premier film vu au cinéma
Star Wars est le premier film que Ewan McGregor a vu au cinéma.
L'oncle d'bi-Wan Kenobi est un rebelle!
Dennis Lawson, qui incarne Wedge Antilles, n'est autre que l'oncle de ? Ewan McGregor, qui incarne Obi-Wan Kenobi dans la nouvelle trilogie !
George Lucas hypothèque
George Lucas a hypothéqué sa maison pour réaliser Star Wars.
Jidai-geki
Le mot Jedi s'inspire d'une forme de théatre médieval japonaise qui est le jidai-geki.
Toshiro Mifune
George Lucas voulait que ce soit l'acteur japonais Toshiro Mifune qui incarne Obi-Wan Kenobi, mais la Fox refusa. Il proposa alors le rôle à Alec Guinness.
Collaboration
Star Wars ne fut pas le premier film dans lequel George Lucas dirigea Harrison Ford. Ils avaient déjà collaboré sur le film American Graffiti.
Des Rebelles en ... carton!
La plupart des rebelles qu'on voit dans le film à la fin pendant la cérémonie finale sont en fait des silhouettes en carton.
Ils ont passé des auditions
Voici une petite liste d' acteurs qui ont passé des auditions pour jouer dans Star Wars : Kurt Russell, Tom Berenger, Jodie Foster, Sissy Spacek, Nick Nolte, Bruce Boxleitner, Al Pacino, Patrick Duffy, Robert Englund, Christopher Walken, ?
Luke Starkiller
Au départ, Luke Skywalker ne devait pas s'appeler comme ça. Son nom d'origine était Luke Starkiller. George Lucas le rebaptisa Luke Skywalker car Mark Hamill trouvait que ça faisait trop "méchant".
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Laurel & Hardy
R2-D2 et C-3PO, les deux droïdes les plus célèbres de la saga, sont inspirés de Laurel et Hardy.
Des acteurs pour Yan Solo
Nick Nolte et Christopher Walken étaient pressentis pour incarner Yan Solo.
Chebica
Le nom de Chewbacca a été inspiré de Chebica, une ville en Tunisie.
Alec Guinness
Star Wars n'est pas le seul film connu dans lequel joue Alec Guinness. Il a joué dans des oeuvres comme Laurence d'Arabie, Docteur Jivago ou bien Le Pont de la Rivière Kwaï.
Academy Awards
Star Wars a reçu 7 Academy Awards à la cérémonie des Oscars à Los Angeles en 1978.
De 32 à 350 salles
Au départ, Star Wars était sorti dans 32 salles de cinéma. Un mois après, il était dans 350 salles.
The Star Wars
En pleine postproduction, The Star Wars fut rebaptisé Star Wars.
Ben Kenobi vivant
Dans une des premières versions du scénario de cet épisode, Obi-Wan Kenobi ne devait pas mourir pendant son duel contre Dark Vador. George Lucas a décidé de le tuer pour augmenter la menace incarnée par Dark Vador.
Family Guy-Blue Harvest
Dans la série animée Les Griffins, les personnages font souvent allusion à Star Wars. Il existe même un moyen-métrage pour la télévision dans lequel les héros de cette série animée refont Un Nouvel Espoir à leur manière.
L'épisode original
Sorti en 1977, La Guerre des étoiles présente un monde galactique en pleine guerre civile, déchiré entre les forces de l'Empire et une poignée de rebelles combattant pour ramener la justice et la République au pouvoir. Une République dont la chute est présentée dans le précédent opus, Star wars : épisode 3, réalisé près de trente ans plus tard. Initiant la trilogie originale de la saga, ce film sera suivi par L'Empire contre-attaque trois ans plus tard.
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Il y a longtemps, dans une galaxie lointaine...
En 1973, un jeune cinéaste nommé George Lucas, remarqué pour ses deux premiers longs métrages ( THX 1138 et American Graffiti), pose les bases de La Guerre des étoiles, saga de science-fiction reprenant à la fois les grands thèmes des space-opéras et des serials de son enfance.
Lutte entre le Bien et le Mal, princesse à délivrer, apprentissage d'un jeune chevalier, quête mystique, voyage initiatique, compagnons divers : George Lucas y transpose également les éléments fondateurs du conte, des légendes et des westerns, mais aussi les grands thèmes et figures religieux et mythologiques, et s'adjoint d'ailleurs les services d'un spécialiste en légendes et mythologies pour l'assister. Au final, il créé un véritable univers cohérent, avec ses planètes, ses créatures, ses codes, ses cultures, ses religions, renvoyant à des images et thèmes universels, et entre dans la légende du cinéma...
Quand Lucas s'inspire des classiques
Avec La Guerre des étoiles, George Lucas s'est inspiré de grands classiques du septième art et de la littérature, principalement La Forteresse cachée d'Akira Kurosawa, dont il avoue être un grand admirateur. Autres références évidentes : John Carter sur Mars d'Edgar Rice Burroughs, Flash Gordon d'Alex Raymond, Metropolis de Fritz Lang (auquel le design de C-3PO rend hommage), L'Odyssée d'Homère, les oeuvres de William Shakespeare ou encore Le Seigneur des anneaux de J.R.R. Tolkien, dont certains éléments narratifs ont clairement été intégrés au récit, ainsi que Triumph of the Will de Leni Riefenstahl, qu'il reprend plan par plan dans la scène finale de remise de médailles.
Une saga, trois cycles, neuf épisodes
Dès le départ, George Lucas a souhaité développer la saga Star wars en neuf épisodes, divisés en trois cycles distincts. Il a cependant préféré commencer à tourner la trilogie centrale, et entamer l'aventure Star wars par le quatrième épisode : La Guerre des étoiles ? Un Nouvel espoir (un titre ajouté au film en 1979). La première trilogie se poursuit avec L'Empire contre-attaque en 1980 et sera achevée en 1983 avec Le Retour du Jedi.
En 1999, avec Star wars : épisode 1 - La Menace fantôme, il se penche sur les origines de la saga avec une deuxième trilogie (ou prélogie), décrivant des événements antérieurs à Star wars. Suivront Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones en 2002, et Star wars : épisode 3 attendu en 2005. Toutefois, il a déclaré ne pas envisager la mise en chantier des épisodes 7, 8 et 9.
Alain Resnais : un coup de pouce du destin
George Lucas souhaitait à l'origine adapté à l'écran le comic book Flash Gordon, qui avait bercé son enfance. Il sera devancé par... Alain Resnais, qui revendra plus tard les droits d'adaptation du comic au producteur Dino De Laurentiis. Cet échec pour acquérir les droits l'incita à écrire sa propre histoire, La Guerre des étoiles.
Harrison Ford béni par la Force ?
C'est par un "coup de chance" qu'Harrison Ford hérita du rôle de Han Solo. En effet, Burt Reynolds devait initialement se glisser dans la peau de cet aventurier cynique, avant de se désister. Prêt à abandonner la comédie pour se tourner vers la menuiserie malgré sa performance remarquée dans American Graffiti, Harrison Ford sera contacté par George Lucas, qui lui offrit la chance de sa carrière...
Etrangement, un "coup du destin" similaire se produira en 1981 sur Les Aventuriers de l'Arche perdue, où le comédien héritera du rôle d'Indiana Jones, après l'abandon de Nick Nolte et Tom Selleck.
Un casting éclectique
Pour sa saga, George Lucas a choisi de mêler acteurs inconnus pour les premiers rôles et comédiens confirmés pour les personnages "secondaires". Mark Hamill (Luke Skywalker), qui fut préféré à Bruce Boxleitner), Carrie Fisher (la princesse Leia) et Harrison Ford n'étaient ainsi que de jeunes comédiens sans grande expérience, opposés à de véritables "monstres" du septième art tels que Peter Cushing (le Grand Moff Tarkin) ou Alec Guinness (Obi-Wan Kenobi).
Jodie Foster et Sissy Spacek princesse Leia ?
Jodie Foster a été un temps pressentie pour interpréter la princesse Leia. Second choix de George Lucas pour le rôle, elle sera finalement évincée au profit de Carrie Fisher.
Autre jeu de casting et de hasard, Sissy Spacek aurait dû incarner la princesse, Carrie Fisher lui ayant été préférée pour le rôle principal de Carrie au bal du diable. Mais refusant d'apparaître dénudée, la comédienne optera pour La Guerre des étoiles, inversant les rôles avec Sissy Spacek qui deviendra l'inoubliable héroïne de Brian De Palma.
Casting trois étoiles pour Han Solo
Pour le rôle de Han Solo, des "gueules" du cinéma furent longtemps envisagées. Ainsi, Burt Reynolds, Nick Nolte, Christopher Walken et Richard Dreyfuss avaient un temps été considérés pour incarner le mercenaire cynique. Un personnage qui sera finalement confié à Harrison Ford, avec le succès que l'on connaît...
Rumeurs de casting
Deux légendes pour La Guerre des étoiles. Selon les rumeurs, George Lucas aurait envisagé d'engager Orson Welles pour la voix de Darth Vader, et le comédien japonais Toshirô Mifune (Les Sept samourais, La Forteresse cachée) pour Obi-Wan Kenobi.
Une affaire de famille
Dans la première trilogie, Dennis Lawson incarne le pilote et ami de Luke Skywalker Wedge Antilles. A la ville, ce comédien britannique n'est autre que l'oncle d'Ewan McGregor, alias Obi-Wan Kenobi jeune dans la nouvelle trilogie.
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Mauvaise(s) surprise(s) pour Darth Vader
Le lutteur professionnel et comédien David Prowse, interprète de Darth Vader, ignorait les particularités physique de son rôle. Ne voulant pas apparaître masqué, il refusa le rôle de Chewbacca pour celui du célèbre méchant, pour découvrir qu'il devrait également porter un masque ! Autre mauvaise surprise, il apprend à la fin du tournage que sa voix sera remplacée par celle de James Earl Jones. Enfin, il est remplacé par Sebastian Shaw dans Le Retour du Jedi, qui sera le visage humain de Darth Vader.
Une phrase prophétique
Le concept de guerre des clones est le fondement même de la saga, et est introduit dès le premier épisode La Guerre des étoiles. En effet, Obi-Wan Kenobi déclare à Luke Skywalker avoir combattu aux côtés de son père lors de "la guerre des clones". Une erreur de la version française (qui traduit ce conflit par "la guerre noire") privera les spectateurs français de cette allusion prophétique...
Hamburger + olive = Faucon Millenium
Pour définir le design du Faucon Millenium, l'inoubliable vaisseau de Han Solo et Chewbacca, George Lucas a eu l'idée de juxtaposer une olive à un hamburger... Il a ainsi obtenu le look si particulier du vaisseau, arrondi et possédant une petite "excroissance" (le poste de pilotage) sur le côté droit.
Un scénario constamment remanié
Avant d'aboutir à l'histoire actuelle, La Guerre des étoiles est passé par de nombreux remaniements de scénarios. Par exemple, Luke Skywalker se prénommait Starkiller, qui devait être général, puis chef rebelle pour finir comme jeune fermier et futur Jedi. Autre idée de départ, la Force se présentait comme un cristal de puissance...
Des influences militaires
Le design des costumes, armes et vaisseaux de la saga renvoie directement à divers styles militaires. La tunique des Jedis reprend le style des amples kimonos japonais, tandis que l'armure et le casque de Darth Vader sont clairement inspirés de l'armure des samouraïs. Les uniformes de l'empire descendent pour leur part directement des uniformes nazis, alors que les combinaisons orange des pilotes rebelles évoquent les combinaisons de l'US Air Force. Enfin, l'arme des Jedis, le sabre laser, contribue à renforcer l'aspect "chevaleresque" de ces combattants.
Quand le hasard fait bien les choses
Certains mots ou noms retenus pour La Guerre des étoiles sont souvent nés par hasard, et sont restés ancrés dans l'esprit de George Lucas. Ainsi, le mot "Wookie" (l'espèce à laquelle appartient Chewbacca) est à l'origine une onomatopée qu'a laissée échapper un comédien, après avoir commis une erreur lors de l'enregistrement de voix en post-production de THX 1138. Quant au célèbre "R2-D2", c'est un raccourci utilisé par le monteur d'American Graffiti pour décrire un segment du film (Reel 2, Dialogue 2 : Bobine 2, Dialogue 2).
Cinq acteurs pour Darth Vader
Au cours des cinq (et bientôt six) épisodes de la saga Star wars, cinq comédiens ont interprété Anakin Skywalker alias Darth Vader. Ainsi, l'haltérophile David Prowse prêtait son impressionnante carrure au sombre Jedi dans son armure, Sebastian Shaw lui prêtait son visage à la fin du Retour du Jedi, tandis que James Earl Jones était LA voix du personnage. Dans Star wars : épisode 1 - La Menace fantôme, c'est le jeune Jake Lloyd qui incarne Anakin Skywalker enfant. Il est remplacé par Hayden Christensen dans Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones et Star wars : épisode 3.
Le plus grand méchant de tous les temps
Personnage désormais mythique du septième art, Darth Vader (Dark Vador en français) est devenue une véritable icône cinématographique. Preuve de sa "célébrité" auprès des spectateurs, le seigneur Sith a été élu en février 2001 "plus grand méchant de tous les temps" par les lecteurs du magazine britannique Total Film. Au classement, il devance le Shérif de Nottingham (Robin des Bois, prince des voleurs), Hans Gruber (Piège de cristal), Hannibal Lecter (Le Silence des agneaux, Hannibal et Red Dragon) et Keyser Soze (Usual suspects).
Inspiration sans frontière
George Lucas a puisé son inspiration dans divers dialectes et langues pour quelques petits détails de son film. Par exemple, le mot "Vader" de Darth Vader signifie "Père" en néerlandais, le mot "Jedi" vient du japonais "Jidai Geki" (un drame historique télévisé consacré aux samouraïs), la langue des Jawas est du zoulou accéléré, tandis que celle de Greedo (la créature qui attaque Han Solo dans le bar) s'inspire d'un dialecte péruvien. Autre source d'inspiration, mais plus personnelle, le propre chien de George Lucas, Indiana, servira de modèle à Chewbacca !
Et Lucas créa ILM
Pour concrétiser sa vision, George Lucas dut développer sa propre société d'effets visuels, Industrial Light and Magic (ILM), créée en 1975 sous la houlette de John Dykstra. Pionnière dans l'utilisation des ordinateurs et de l'informatique au cinéma, ILM doit, au départ, inventer une nouvelle manière de travailler, développée au jour le jour : la conception des effets visuels de La Guerre des étoiles demandera ainsi près de 22 mois.
Depuis, les "génies" d'ILM ont créé, entre autres, les impressionnants effets de Backdraft, Abyss, Terminator 2, Starship Troopers, En pleine tempete, Pearl Harbor, La Momie, la saga Jurassic Park, Men in Black, Harry Potter à l'école des sorciers ou encore Signes, Gangs of New York et Minority report. Un travail couronné par une trentaine d'Oscars. Pour l'anecdote, le premier plan crée par ILM est celui où la nacelle de sauvetage contenant les deux droïdes est éjectée du vaisseau de la princesse Leia...
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L'édition spéciale
En 1997, George Lucas, assisté du producteur Rick McCallum, décide de ressortir la trilogie originale, remasterisée et agrémentée de nouveaux effets visuels et sonores, ainsi que de quelques séquences supplémentaires. Au programme de l'édition spéciale de La Guerre des étoiles : un dialogue inédit entre Han Solo et un Jabba le Hutt entièrement digital (le personnage n'était introduit que dans Le Retour du Jedi) dans lequel apparaît également le chasseur de primes Boba Fett, ainsi que de nouveaux plans de vaisseaux et de paysages... Une édition lucrative, le film s'offrant le titre de ressortie la plus rentable de l'histoire avec 138 millions de dollars de recettes.
Cushing / Prowse : deuxième !
Tous deux soldats de l'Empire dans La Guerre des étoiles, Peter Cushing (le Grand Moff Tarkin) et David Prowse (Darth Vader) aveint déjà partagé l'affiche d'un même film trois ans auparavant : Frankenstein et le monstre de l'enfer. Dans ce film d'horreur de Terence Fisher, Peter Cushing incarnait le Baron Victor Frankenstein, tandis que David Prowse prêtait sa carrure imposante à la créature du film.
Peter Cushing : un officier en... charentaises
Souffrant terriblement des pieds (ses bottes étant trop étroites lors du tournage), Peter Cushing ne pouvait supporter de porter bottes rigides de son personnage, le Grand Moff Tarkin, commandant de l'Etoile Noire. Il porta donc des charentaises dans la majorité de ses scènes, scènes qui furent filmées de façon rapprochées, sans montrer ses pieds...
Un clin d'oeil à THX
George Lucas aime parsemer ses oeuvres de références personnelles ou de petits clins d'oeils. Dans La Guerre des étoiles, guettez la réplique où Luke et Han, déguisés en strormtroopers, indiquent le numéro de cellule dans laquelle est transféré Chewbacca. 1138, clin d'oeil au premier film de George Lucas THX 1138.
Quand Harrison Ford improvise
Afin de rendre la scène plus réaliste, Harrison Ford n'apprit pas son texte lors de la séquence où, descendu avec Luke vers les cellules pour sauver Leia, il est interrogé par radio par un garde méfiant. Leur dialogue de sourds, réellement comique, apparaît ainsi véritablement spontané.
Un film trop "grand public" !
Les corps brûlés de l'Oncle Owen et de la tante Beru que l'on devine devant la ferme lorsque Luke revient chez lui n'étaient pas présents dans la première version du film, estampillée "G" (pour tous publics) par la MPAA. Effrayés par le fait qu'une telle classification pourrait éloigner les jeunes adultes des salles (refusant de voir un film familial), les producteurs ont donc introduit ce plan des cadavres dans la version finale du film. Résultat : une classification "PG" (film pouvant heurter la sensibilité du jeune public) est finalement donnée au film...
Le côté obscur de Mark Hamill
Incident durant le tournage. Mark Hamill retint si longtemps son souffle durant le tournage de la scène du dépotoir (où se débattirent Luke, Han, Leia et Chewbacca au cours de leur évasion des prisons de l'Empire), qu'un vaisseau sanguin éclata sur son visage. Pour ne pas retarder le tournage, tous les plans où il apparaît par la suite ne présentent qu'un seul côté de son visage. Un procédé utilisé à une autre reprise lors du tournage, lorsque le comédien fut victime d'un accident de voiture qui laissa un côté de son visage très abîmé.
De Pinewood à la Tunisie
Le tournage de La Guerre des étoiles dura cinq mois, de mars à juillet 1976. Principalement filmé en Angleterre, le film passera également par la Californie, le Guatemala, la Turquie et la Tunisie, dont le village de Tatahouine inspirera à George Lucas le nom de la planète Tatooine. Un canyon désertique tunisien, décor du sauvetage de Luke (attaqué par les hommes des sables) par Obi-Wan Kenobi fut réutilisé trois ans plus tard par George Lucas-producteur dans Les Aventuriers de l'Arche perdue, lors de la scène où Indiana Jones menace de tirer une roquette sur l'Arche d'Alliance.
Sur un air de John Williams
Le compositeur John Williams a énormément contribué au succès de la saga Star wars, dont le thème principal est l'un des morceaux les plus célèbres de l'histoire du cinéma. Il signe ainsi les partitions des six épisodes, apportant pour chaque opus de nouveaux morceaux et de nouvelles variations. Collaborateur de Steven Spielberg, il retrouvera George Lucas sur la saga Indiana Jones notamment.
Un succès surprise
Etrangement, les dirigeants de la Twentieth Century Fox n'avaient aucun espoir quant à l'avenir de La Guerre des étoiles. Produit pour 11,5 millions de dollars (dont une rallonge de budget demandée par George Lucas pour finir deux scènes), le film laissa les producteurs perplexes lors de la Première.
Pourtant, sorti sur une petite trentaine de copies en mai 1977, Star wars attira immédiatement les foules et devint un véritable phénomène de société. En quelques mois, il atteignit la barre des 100 millions de dollars de recettes aux Etats-Unis, devenant le film le plus rapide de l'histoire d'Hollywood à réaliser cet exploit commercial. Depuis, il s'est maintenu aux sommets du box-office avec 461 millions de dollars de recettes sur le sol américain et 798 millions de dollars récoltés dans le monde.
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Plébiscité par le public
Diffusé au célèbre Chinese Theatre de Los Angeles, La Guerre des étoiles avait dû laisser sa place au Convoi de la peur, programmé depuis longtemps, au bout de deux semaines. Devant les vives protestations du public qui fit un véritable plébiscite pour son retour à l'affiche, le film fut reprogrammé deux semaines plus tard...
Star wars : un show télévisé ?
Les producteurs étaient, durant le tournage, si peu convaincus du succès de La Guerre des étoiles qu'il auraient songé pendant un moment à recycler les séquences à effets spéciaux dans une série télévisée...
Onze nominations et sept oscars en 1978
Incroyable succès public, La Guerre des étoiles obtint également le respect et l'admiration des professionnels. En 1978, le film remporta sept Oscars (Meilleurs son, musique, montage, costumes, effets visuels, décors et effets sonores), et fut également nominé dans les prestigieuses catégories de Meilleur film, Meilleur réalisateur (George Lucas), Meilleur scénario (George Lucas) et Meilleur second rôle masculin (Alec Guinness). Un honneur rare pour les films de science-fiction, souvent ignorés par l'Académie des Oscars. Le film remporta également dix Saturn Awards (les Oscars du fantastique) la même année.
George Lucas le malin
Lors de la phase de développement du projet, aucun studio ne souhaitait miser sur le film, pensant que personne n'irait le voir. Lorsqu'il parvient à convaincre la Twentieth Century Fox, George Lucas accepte d'abandonner sa part sur les recettes du film, au profit des droits exclusifs sur les produits dérivés (dont le marché, insignifiant à l'époque, n'intéresse pas les studios). Un pari gagnant pour le cinéaste-producteur, qui en tirera des centaines de millions de dollars...
Un titre a posteriori
Le sous-titre Episode 4 ? Un nouvel espoir n'a été réintroduit qu'en 1979, après le succès du film et la mise en chantier de sa suite. Vu à l'origine comme un échec annoncé par ses producteurs, La Guerre des étoiles n'aurait ainsi pas bénéficié d'un second volet, d'où cette absence de titre, ajouté lors de la ressortie du film en avril 1981.
La Force, nouvelle religion
A la fin des années quatre-vingt-dix (une période coïncidant avec la sortie de Star wars : épisode 1 - La Menace fantôme), de nombreuses personnes se réclamant adeptes de la Force ont tenté de faire reconnaître cette nouvelle religion comme officielle ! Cette campagne de promotion mise en ligne sur Internet et lancée en Australie, annonçait ainsi que le gouvernement reconnaîtrait la Force comme religion si au moins 10 000 adeptes indiquaient leur appartenance à cette croyance sur leur formulaire de recensement. Une campagne fort peu appréciée par les membres du gouvernement australien qui ont menacé d'une amende de 500 dollars toute personne indiquant de fausses informations sur le formulaire. Dur, dur d'être un Jedi...
Une pépinière de talents...
Quelques grands noms de l'industrie cinématographique ont fait leurs premières armes sur la saga de George Lucas. Parmi ceux-ci, on retiendra les réalisateurs Joe Johnston (Jurassic Park III), Roger Christian (Terre champ de bataille), Lawrence Kasdan (Wyatt Earp) et David Fincher (Fight club), le maquilleur Rick Baker (La Planète des singes), le spécialiste en effets sonores Ben Burtt, ou les experts en effets visuels Phil Tippett (Starship Troopers), Richard Edlund (Alien 3), John Knoll (Mission to Mars), Dennis Muren (Jurassic Park).
La malédiction "Star wars" ?
Révélés dans La Guerre des étoiles, Mark Hamill et Carrie Fisher, interprètes respectifs de Luke Skywalker et la princesse Leia, ont connu, après le tournage de la première trilogie, une "descente aux enfers". Ne se voyant proposer aucun projet d'envergure, Mark Hamill s'est orienté vers le doublage de dessin animé et de jeux vidéos, apparaissant de temps à autres dans divers téléfilms. Quant à Carrie Fisher, tombée dans les pièges de la drogue et de l'alcool après Star wars, elle a mis entre parenthèses sa carrière de comédienne, se contentant de petits rôles (dont Quand Harry rencontre Sally tout de même), et s'est consacrée à l'écriture. Souhaitons que cette "malédiction" ne s'acharne pas sur Jake Lloyd et Hayden Christensen, les interprètes d'Anakin Skywalker dans Star wars : épisode 1 - La Menace fantôme et Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones...
Une véritable révolution
La sortie de La Guerre des étoiles a été une véritable révolution, à tous les niveaux. Technique, car elle a amené les effets visuels et l'utilisation de l'informatique à un niveau jamais atteint auparavant. Cinématographique ensuite, car après sa sortie, la saga est devenu un élément de référence majeur pour de nombreux cinéastes et scénaristes qui n'ont eu de cesse de s'en inspirer. Culturelle enfin, car en abordant des thèmes universels, mêlés à une technologie de pointe, la saga de George Lucas a enflammé bien des imaginaires, et créé une véritable sous-culture Star wars à travers le monde...
Que la parodie soit avec lui
Qui dit succès considérable et phénomène culturel dit bien évidemment parodie. Et Star wars n'y a pas échappé. Analysée, commentée, développée sur des milliers de sites Internet, la saga a également inspiré de nombreux cinéastes, amateurs et professionnels, qui se sont empressés de détourner cette oeuvre culte. On retiendra notamment La Folle Histoire de l'espace, et les petites références clins d'oeils d'Austin Powers - l'espion qui m'a tirée, Astérix et Obélix : mission Cléopâtre et Jay and Silent Bob strike back (avec une apparition de Carrie Fisher et d'un Mark Hamill sabre laser au poing). A voir également, l'étonnant court métrage amateur Troops, qui suit pendant dix minutes une patrouille de stormtroopers.
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Une nouvelle édition spéciale ?
Dernière rumeur en date autour de la première trilogie Star wars. George Lucas songerait à sortir en 2006 (soit quand la nouvelle trilogie sera achevée) une nouvelle édition spéciale des trois films. Et selon les bruits de couloirs, cette future version contiendrait de nouveaux effets... ainsi que de nouvelles scènes, filmées durant le tournage de Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones et Star wars : épisode 3 et intégrant notamment Jimmy Smits alias le sénateur Bail Organa, futur père adoptif de la princesse Leia, ou l'Empereur s'adressant au Sénat.
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Star Wars : Episode V - The Empire Strikes Back|Irvin Kershner|Science fiction||4|américain|1980|121|Anglais||DX50|||DX50|1 403 Kbps|640x256|AC3|192 Kbps|False|48.0 KHz|2|1396||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Gary Kurtz Rick McCallum|Leigh Brackett Lawrence Kasdan George Lucas|Peter Suschitzky|||Saga : Star Wars |Malgré la destruction de l'Etoile Noire, l'Empire maintient son emprise sur la galaxie, et poursuit sans relâche sa lutte contre l'Alliance rebelle. Basés sur la planète glacée de Hoth, les rebelles essuient un assaut des troupes impériales. Parvenus à s'échapper, la princesse Leia, Han Solo, Chewbacca et C-3P0 se dirigent vers Bespin, la cité des nuages gouvernée par Lando Calrissian, ancien compagnon de Han. Suivant les instructions d'Obi-Wan Kenobi, Luke Skywalker se rend quant à lui vers le système de Dagobah, planète marécageuse où il doit recevoir l'enseignement du dernier maître Jedi, Yoda. Apprenant l'arrestation de ses compagnons par les stormtroopers de Dark Vador après la trahison de Lando, Luke décide d'interrompre son entraînement pour porter secours à ses amis et affronter le sombre seigneur Sith... |Roger Carel (C-3PO (voix française))@||Secrets de tournage :
Han Solo manie un sabre-laser!
Han Solo est le seul personnage à utiliser un sabre-laser alors qu'il n'est pas un Jedi. Il le fait dans l'Empire Contre-Attaque en ouvrant le ventre d'un Taun-Taun pour s'y réfugier avec Luke du froid.
Pas de nominaton pour Yoda
George Lucas a investi des milliers de dollars pour faire nommer Frank Oz (Yoda) à l'Oscar du meilleur second rôle. Il était tellement impressionné par sa performance. L'Académie refusa de le faire nommer, sous prétexte qu'un marionnettiste n'est pas un acteur.
Inverson des phrases
C'est Frank Oz qui a proposé d'inverser les phrases de Yoda.
Obi-Wan a tué ton père!
La scène la plus culte de cet épisode est sans conteste celle dans laquelle Luke apprend que Dark Vador est son père. Pour garder tout effet de surprise, sur les plateaux, Dark Vador ne criait pas " Je suis ton père ", mais " Obi-Wan a tué ton père ".
Menaces d'enlèvement
Durant le tournage de cet épisode, Carrie Fisher (Leia Organa) a reçu des menaces d'enlèvement.
Le titre vient d'un journaliste français
C'est un journaliste français qui a donné l'idée du titre de cet épisode. Il interviewait Gary Kurtz, le producteur, et lui a demandé si l'Empire allait contre-attaquer.
Alec Guiness tourne très vite
Alec Guinness, qui incarne Ben Kenobi, a tourné toutes les scènes de l'Empire Contre-Attaque en 6 heures.
Le jeu vidéo
Un jeu vidéo est sorti en 1982. Ce jeu sur cartouche pour Atari et consoles Intellivision permettait aux joueurs de se mettre dans la peau d'un rebelle solitaire et d'attaquer des TB-TT sur Hoth aux commandes d'un snowspeeder.
Le cinquième épisode de la saga
Volet majeur de la saga Star wars, L'Empire contre-attaque présente des événements situés quelques années après ceux de La Guerre des étoiles. Le dénouement la trilogie originelle sera donné dans sa suite, Le Retour du Jedi.
Une pépinière de talents...
Quelques grands noms de l'industrie cinématographique ont fait leurs premières armes sur la saga de George Lucas. Parmi ceux-ci, on retiendra les réalisateurs Joe Johnston (Jurassic Park III), Roger Christian (Terre champ de bataille), Lawrence Kasdan (Wyatt Earp) et David Fincher (Fight club), le maquilleur Rick Baker (La Planète des singes), le spécialiste en effets sonores Ben Burtt, ou les experts en effets visuels Phil Tippett (Starship Troopers), Richard Edlund (Alien 3), John Knoll (Mission to Mars), Dennis Muren (Jurassic Park).
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George Lucas délaisse la caméra
Peu désireux de renouveler son expérience derrière la caméra sur L'Empire contre-attaque (le tournage de La Guerre des étoiles l'ayant laissé extrêmement fatigué), George Lucas a choisi de déléguer le siège de réalisateur à Irvin Kershner, à qui il s'engage à laisser une complète liberté artistique, ayant lui-même été sans cesse supervisé par les financiers de la Fox sur le premier opus. Le cinéaste restera toutefois le grand maître d'oeuvre du film, supervisant le scénario, la réalisation, la production et les effets spéciaux.
Un film indépendant !
Malgré son lourd budget de 33 millions de dollars (soit le triple de La Guerre des étoiles), L'Empire contre-attaque a été produit en intégralité par George Lucas. En réinvestissant sa (nouvelle) fortune (qui découlait notamment de la vente des produits dérivés sur lesquels il avait les droits exclusifs) dans la production du film via sa société LucasFilm Ltd., le cinéaste se libérait ainsi de toute ingérence extérieure des grands studios, et devenait un producteur de blockbusters... indépendants !
Trois scénaristes pour épisode central
Si La Guerre des étoiles était entièrement signée George Lucas, le cinéaste s'est adjoint les services de deux scénaristes pour se pencher sur le script de L'Empire contre-attaque. Leigh Brackett tout d'abord, grande romancière de science-fiction (et scénariste de Rio Bravo notamment) qui succombera à un cancer peu après avoir achevé la première version du script. George Lucas confiera alors la réécriture à un jeune scénariste, Lawrence Kasdan (alors penché sur l'écriture des Aventuriers de l'Arche perdue) qui modifiera en profondeur le scénario initial. C'est d'ailleurs lui qui fondra Anakin Skywalker et Darth Vader en un même personnage, faisant de Vader le père de Luke et donnant une nouvelle dimension à la saga...
L'épisode préféré des fans
Fait rare dans l'histoire du cinéma (les suites sont généralement moins appréciées que les films originaux), L'Empire contre-attaque reste à ce jour l'épisode de la saga le plus apprécié par les fans. Plus sombre, plus dramatique, il affiche un véritable développement des relations entre les personnages, combiné à des séquences d'action spectaculaire.
L'édition spéciale
Comme La Guerre des étoiles quelques semaines plus tôt, L'Empire contre-attaque bénéficia d'une ressortie en édition spéciale en avril 1997. Effets visuels améliorés, son et images remasterisés et nouvelles séquences et bout de scènes présentant notamment de plus vastes paysages (notamment la planète glacée Hoth et la cité des nuages). Une édition spéciale qui rapporte 67,5 millions de dollars sur le sol américain (la seconde ressortie la plus lucrative de l'histoire).
Un secret de paternité bien gardé !
Afin d'éviter toute fuite autour de ce second volet très attendu, George Lucas trompa même ses comédiens lors de la scène où Darth Vader révèle à Luke l'identité de son père. En effet, David Prowse (le comédien sous l'armure) déclama son texte ("Obi-Wan Kenobi est ton père"), qui fut changé en post-production par "Je suis ton père", porté par la voix de James Earl Jones.
Une trame inhabituelle
Le récit de L'Empire contre-attaque surprend. En effet, le groupe de héros, uni dans le premier opus, est rapidement divisé, chacun partant vivre ses aventures (Han et Leia sur Bespin la cité des nuages, Luke sur Dagobah pour poursuivre son entraînement). De même, la grande bataille ne se situe plus en conclusion du long métrage, mais ouvre le film de façon étonnante.
Une bataille d'envergure
Attendu par des millions de spectateurs, L'Empire contre-attaque devait faire plus fort que les batailles spatiales de La Guerre des étoiles. L'équipe du film élabora donc une gigantesque bataille terrestre sur la planète glacée de Hoth. Mêlant prises de vues réelles (tournées en Norvège lors d'un hiver des plus rudes) et stop motion control par les équipes de Phil Tippett, elles met en scène soldats, vaisseaux et chars AT-AT dont la démarche a été inspirée par celle des éléphants.
Yoda : un nouveau personnage central
L'Empire contre-attaque introduit un nouveau personnage en la personne de Yoda, petite créature verte (dont les traits sont notamment inspirés de ceux d'Albert Einstein) à la syntaxe particulière désormais entrée dans la légende du cinéma. Dernier maître Jedi devenu ermite sur la planète Dagobah, il enseignera les secrets de la Force à Luke. Marionnette animée et doublée par Frank Oz, Yoda sera remplacé par une réplique digitale dans Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones.
Le mystère Boba Fett
Autre personnage introduit dans L'Empire contre-attaque, le chasseur de primes Boba Fett fait son apparition le temps de quelques scènes, sans que son nom ne soit jamais cité à l'écran (uniquement dans le générique). Entouré de mystère et adulé par les fans de la saga, Boba Fett verra ses origines dévoilées dans Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones.
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Des recettes impressionnantes
S'il n'a pas égalé le succès de La Guerre des étoiles, L'Empire contre-attaque fut tout de même un immense succès au box-office. Le film récolta ainsi 290 millions de dollars sur le sol américain, et 533 millions de dollars dans le monde.
Une patate parmi les astéroïdes !
Deux "astéroïdes surprises" se dissimulent parmi le champ d'astéroïdes de L'Empire contre-attaque. Les yeux avisés reconnaîtront une patate ainsi qu'une chaussure ! Deux objets qui furent, selon la légende, finalement utilisés par les animateurs "exaspérés" qui ne parvenaient pas à obtenir de designs assez satisfaisants pour George Lucas...
THX n'est pas loin
Après avoir fait une allusion hommage à son film THX 1138 dans une scène de La Guerre des étoiles, George Lucas réitère le clin d'oeil lors d'une scène de la bataille sur Hoth de L'Empire contre-attaque. On y entend un général demander d'"envoyer Rogue 10 et 11 au secteur 38" (soit 1138).
Un bébé pour Mark Hamill
La femme de Mark Hamill attendait un enfant durant le tournage de L'Empire contre-attaque. Un bébé qui vint au monde le jour d'une scène importante. Le comédien se rendit donc au chevet de son épouse le matin avant de filer vers le plateau de tournage sans pouvoir profiter de sa nouvelle paternité.
Une nouvelle édition spéciale ?
Dernière rumeur en date autour de la première trilogie Star wars. George Lucas songerait à sortir en 2006 (soit quand la nouvelle trilogie sera achevée) une nouvelle édition spéciale des trois films. Et selon les bruits de couloirs, cette future version contiendrait de nouveaux effets... ainsi que de nouvelles scènes, filmées durant le tournage de Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones et Star wars : épisode 3 et intégrant notamment Jimmy Smits alias le sénateur Bail Organa, futur père adoptif de la princesse Leia, ou l'Empereur s'adressant au Sénat.
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Star Wars : Episode VI - Return of the Jedi|Richard Marquand|Science fiction||4|américain|1983|129|Anglais||DX50|||DX50|1 344 Kbps|640x256|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|1370||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Howard G. Kazanjian Rick McCallum|George Lucas Lawrence Kasdan|Alan Hume|||Saga : Star Wars |L'Empire galactique est plus puissant que jamais : la construction de la nouvelle arme, l'Etoile de la Mort, menace l'univers tout entier... Arrêté après la trahison de Lando Calrissian, Han Solo est remis à l'ignoble contrebandier Jabba Le Hutt par le chasseur de primes Boba Fett. Après l'échec d'une première tentative d'évasion menée par la princesse Leia, également arrêtée par Jabba, Luke Skywalker et Lando parviennent à libérer leurs amis.Han, Leia, Chewbacca, C-3PO et Luke, devenu un Jedi, s'envolent dès lors pour une mission d'extrême importance sur la lune forestière d'Endor, afin de détruire le générateur du bouclier de l'Etoile de la Mort et permettre une attaque des pilotes de l'Alliance rebelle. Conscient d'être un danger pour ses compagnons, Luke préfère se rendre aux mains de Dark Vador, son père et ancien Jedi passé du côté obscur de la Force. |Roger Carel (C-3PO (voix française))@||Secrets de tournage :
Warwick Davis
Warwick Davis a commencé sa carrière dans Le Retour du Jedi. Il y incarnait Wicket, l'Ewok séduit par la princesse Leia. Il avait 11 ans à l'époque. On a pu le voir dans d'autres films comme Willow (avec Val Kilmer), Ray (basé sur la vie de Ray Charles), Harry Potter, Narnia 2, Leprechaun et il fait même une apparition dans La Menace Fantôme, dans lequel il joue un figurant dans les tribunes de Mos Espa.
Le sacrifice de Han Solo
Harrison Ford aurait préféré que Han Solo, le personnage qu'il incarne, se sacrifie dans cet épisode.
Divers réalisateurs
David Lynch, David Cronenberg et Steven Spielberg auraient pu réaliser Le Retour du Jedi.
Le Camp des Ewoks
Les acteurs qui interprétaient les Ewoks étaient tous agés de 11 à 67 ans. Ils devaient tous passer une semaine au " camp des Ewoks ", où ils apprirent à marcher, courir et danser comme les Ewoks.
Jabba le Hutt
Le moulage de Jabba le Hutt fut cuit dans un four de boulangerie.
Langage Ewok
Le langage des Ewoks s'inspire des vocabulaires tibétain, mongol et népalais.
Un Academy Award
Le Retour du Jedi a reçu 1 Academy Award.
Blue Harvest
Pour le tournage du Retour du Jedi, les producteurs du film ont donné un faux titre dans le but d'écarter les médias et les fans. Ce titre était Blue Harvest.
La Revanche du Jedi
Au départ, le titre de cet opus n'était pas Le Retour du Jedi mais La Revanche du Jedi.
Des lentilles de contact gênantes
Ian McDiarmid, qui incarne l'Empereur, devait porter des lentilles de contact jaunes qui lui genaient le champ de vision.
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La conclusion de la saga ?
Dernier volet présumé de la saga Star wars, Le Retour du Jedi conclue le destin d'Anakin Skywalker / Darth Vader et de son fils Luke Skywalker, sur fond d'intense guerre civile. Faisant suite à L'Empire contre-attaque, ce devrait être le dernier opus de l'épopée galactique de George Lucas. A moins que le cinéaste ne revienne sur sa décision de ne pas mettre en chantier la dernière trilogie qu'il avait initialement envisagée, avec les épisodes 7,8 et 9...
Une pépinière de talents...
Quelques grands noms de l'industrie cinématographique ont fait leurs premières armes sur la saga de George Lucas. Parmi ceux-ci, on retiendra les réalisateurs Joe Johnston (Jurassic Park III), Roger Christian (Terre champ de bataille), Lawrence Kasdan (Wyatt Earp) et David Fincher (Fight club), le maquilleur Rick Baker (La Planète des singes), le spécialiste en effets sonores Ben Burtt, ou les experts en effets visuels Phil Tippett (Starship Troopers), Richard Edlund (Alien 3), John Knoll (Mission to Mars), Dennis Muren (Jurassic Park).
David Lynch derrière la caméra ?
George Lucas aurait proposé à David Lynch (et à Steven Spielberg !) de mettre en scène Le Retour du Jedi. Mais, cette saga étant selon lui l'oeuvre de George Lucas avant tout, il déclina l'invitation, et signa Dune l'année suivante. La réalisation fut finalement confiée à Richard Marquand (qui fait d'ailleurs une apparition clin d'oeil dans le film), jugé plus "docile" qu'Irvin Kershner avec qui George Lucas s'était quelque peu accroché sur le tournage de L'Empire contre-attaque.
La Revanche du Jedi ?
Le Retour du Jedi était intitulé La Revanche du Jedi lors des premières phases de son développement. Ce titre fut ensuite abandonné au profit du titre actuel. Raison officielle : un Jedi ne cherche jamais à se venger. Raison officieuse : ce faux-titre permettait de détecter, de pister et d'identifier les compagnies fabriquant des produits pirates autour du film...
Un faux titre pour éloigner les curieux
Afin de pouvoir filmer les scènes désertiques se déroulant sur la barge de Jabba le Hutt (tournées en Arizona) loin de tout tapage médiatique et pour se préserver de toute intrusion des fans, l'équipe du film opta pour une solution originale : faire croire au tournage d'une petit film d'horreur inconnu, intitulé Blue Harvest (dont le slogan était "Horror beyond imagination") ! Les membres de l'équipe portait d'ailleurs tous un t-shirt barré du nom du film.
La destruction du Faucon Millenium ?
Selon les premières ébauches du script, Lando Calrissian devait mourir aux commandes du Faucon Millenium (le vaisseau de Han Solo) en se sacrifiant pour détruire l'Etoile de la Mort. Une séquence tournée selon plusieurs rumeurs, mais finalement écartée du film après des projections-tests négatives. Une version démentie par le site officiel du film néanmoins, qui assure qu'aucune scène figurant la destruction du célèbre vaisseau n'a été tournée.
Quatre personnes pour Darth Vader
Le personnage de Darth Vader est interprété par quatre comédiens dans Le Retour du Jedi. En effet, si David Prowse (sous l'armure) et James Earl Jones (voix) incarnent le personnage pour une troisième fois, son visage, dévoilé à la fin du film, est celui de Sebastian Shaw, que l'on revoit lors de la scène de la fête sous sa forme de Jedi (en fantôme aux côtés d'Obi-Wan Kenobi et Yoda). Une quatrième personne prête son corps à Vader : le cascadeur Bob Anderson (qui a depuis travaillé sur les combats de la trilogie du Seigneur des anneaux ) fut la doublure de David Prowse lors des scènes de duel au sabre laser.
David Prowse mécontent
David Prowse, le colosse occupant l'armure de Darth Vader, eut une très mauvaise surprise lors du tournage de la scène finale du film. Persuadé qu'il montrerait enfin son visage, il apprit peu avant qu'il sera remplacé par Sebastian Shaw, un comédien mesurant vingt centimètres de moins que lui...
De nouvelles créatures : les Ewoks
Dans Le Retour du Jedi, George Lucas introduit de nouvelles créatures avec les Ewoks, sortes de petits oursons vivant dans les arbres de la lune forestière d'Endor. Vus par beaucoup comme un élément scénaristique principalement mercantile (les créatures bénéficieront d'ailleurs de deux films dérivés et d'une série télévisée), les Ewoks étaient initialement des Wookies (l'espèce à laquelle appartient Chewbacca), avant d'être rapetissés afin d'introduire une espèce plus primitive. Les Ewoks sont interprétés par des acteurs de petite taille et des enfants.
Le merchandising "Star wars" à son apogée ?
Beucoup ont reproché à George Lucas le côté enfantin et trop grand-public du Retour du Jedi après le sombre Empire contre-attaque. Une critique s'appuyant notamment sur son recours à de nombreuses nouvelles créatures, dont les Ewoks ou les monstres de toutes sortes croisés dans le palais de Jabba le Hutt.
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Box-office : le filon ne s'épuise pas
Nouveau succès pour George Lucas, Le Retour du Jedi fait aussi bien (voire mieux) que des prédécesseurs, récoltant 309 millions de dollars aux Etats-Unis et 572 millions de dollars de recettes totales dans le monde (soit mieux que L'Empire contre-attaque).
Un seul Oscar en 1984
Si les dollars sont toujours au rendez-vous, le succès auprès des critiques et des professionnels se fait plus rare. La Guerre des étoiles remportait ainsi sept Oscars en 1978, L'Empire contre-attaque deux en 1981, et Le Retour du Jedi se contente d'une seule statuette honorifique en 1984, décernée à l'équipe des effets visuels.
L'édition spéciale
Sortie en avril 1997, l'édition spéciale du Retour du Jedi bénéficia, comme les deux premiers volets, d'améliorations notables au niveau de l'image et du son. De nouveaux plans et effets seront ajoutés au montage final, dont un aperçu de la planète-ville de Coruscant (décor essentiel de Star wars : épisode 1 - La Menace fantôme et Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones). La ressortie du Retour du Jedi rapportera 45 millions de dollars sur le sol américain.
Jabba le Hutt : un crapaud exigeant
Personnage secondaire mais important du Retour du Jedi, le contrebandier Jabba le Hutt fait ici son apparition. Il nécessitait trois animateurs dissimulés dans son ventre, et une dizaine de marionnettistes en tout ! Cet énorme crapaud sera réintroduit (mais en images de synthèse) dans l'édition spéciale de La Guerre des étoiles lors d'une scène inédite où il réclame son dû à Han Solo. Il fera également une apparition au début de la course de modules de Star wars : épisode 1 - La Menace fantôme.
Le retour d'Alec Guiness
Pour célébrer la chute de l'Empire (et la fin de l'aventure Star wars), le comédien Alec Guinness fait son grand retour lors d'une courte apparition à la fin du film, dans son rôle d'Obi-Wan Kenobi.
Warwick Davis : première collaboration avec Lucas
Sous le costume de l'Ewok Wicket, le comédien de petite taille Warwick Davis entame sa longue collaboration avec George Lucas. Il reprendra son rôle dans les deux films dérivés centrés sur les Ewoks, puis dans Labyrinthe (produit par George Lucas), avant d'incarner Willow dans le film du même nom (que George Lucas produit et écrit). Il fera deux apparitions dans Star wars : épisode 1 - La Menace fantôme, en costume et en humain.
Ian McDiarmird déjà du côté obscur
Interprète du Sénateur puis Chancelier Palpatine (et futur Empereur) dans Star wars : épisode 1 - La Menace fantôme et Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones, Ian McDiarmid prêtait déjà ses traits à l'Empereur dans Le Retour du Jedi (il était toutefois doublé vocalement par Clive Revill). Un personnage dont le nom n'était révélé que dans le générique final, et jamais à l'écran. Paradoxalement, le comédien écossais interprétait le personnage à un âge avancé alors qu'il était jeune, avant d'incarner Palpatine plus jeune en 1999, lui-même étant plus vieux de quinze ans !
Rumeurs autour de l'histoire
Forcément très attendu, ce nouvel épisode bénéficia également de son lot de rumeurs, toujours actuelles pour certaines. Si la rumeur concernant le mariage de Han et Leia (filmé mais non gardé dans le montage final selon divers bruits) a été démentie, la lumière n'a pas encore été faite autour d'une éventuelle parenté entre Obi-Wan Kenobi et Owen Lars (l'oncle adoptif de Luke), qui seraient frères... Réponse dans Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones et Star wars : épisode 3 ?
Une nouvelle édition spéciale ?
Dernière rumeur en date autour de la première trilogie Star wars. George Lucas songerait à sortir en 2006 (soit quand la nouvelle trilogie sera achevée) une nouvelle édition spéciale des trois films. Et selon les bruits de couloirs, cette future version contiendrait de nouveaux effets... ainsi que de nouvelles scènes, filmées durant le tournage de Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones et Star wars : épisode 3 et intégrant notamment Jimmy Smits alias le sénateur Bail Organa, futur père adoptif de la princesse Leia, ou l'Empereur s'adressant au Sénat.
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Stargate|Roland Emmerich|Science fiction||3|français, américain|1995|110|Anglais||DivX|||DIVX|765 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|109 Kbps|False|44.1 KHz|2|697||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Dean Devlin Oliver Eberle Joel B. Michaels|Roland Emmerich Dean Devlin|Karl Walter Lindenlaub||||En 1994, Daniel Jackson, jeune égyptologue de génie, résout enfin l'énigme du gigantesque anneau de pierre et d'acier découvert en 1928 sur le site de la grande pyramide de Gizeh. Un nouveau monde s'ouvre alors... |Kurt Russell (Le colonel Jonathan O'Neil)@James Spader (Le docteur Daniel Jackson)@Viveca Lindfors (Le docteur Catherine Langford)@Jaye Davidson (Râ)@Alexis Cruz (Skaara)@Mili Avital (Sha'uri)@Leon Rippy (Le lieutenant W. O. West)@John Diehl (Le lieutenant Charles Kawalsky)@Erick Avari (Kasuf)@Carlos Lauchu (Anubis)@Djimon Hounsou (Horus)@French Stewart (Le lieutenant Louis Ferretti)@Gianin Loffler (Nabeh)@David Pressman (L'assistant du lieutenant)@Erik Holland (Le professeur Langford)@Derek Webster (Le lieutenant Brown)@Christopher John Fields (Le lieutenant Freeman)@Richard Kind (Le docteur Gary Meyers)@Frank Welker (Mastadge (voix))@John Rhys-Davies (L'un des travailleurs arabes)@||||||||||||@@
Stargate : The Ark of Truth (V)|Robert C. Cooper|Aventure||3|américain, canadien|2008|97|Anglais||DivX|||DIVX|1 008 Kbps|720x400|MPEG-2 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|22.05 KHz|2|780||||25.000|28/07/2009 00:00:00|John G. Lenic|Robert C. Cooper|Peter F. Woeste||||Pour faire face à l'armée des Oris qui s'apprête à envahir la Terre, l'équipe SG-1 part à la recherche de l'arme ultime : l'Arche de Vérité qui se trouverait au fin fond de la galaxie des Oris. |Ben Browder (Cameron Mitchell)@Amanda Tapping (Samantha Carter)@Christopher Judge (Teal'c)@Michael Shanks (Dr Daniel Jackson)@Sarah Strange (Morgan Le Fay)@Currie Graham (Marrick)@Claudia Black (Vala Mal Doran)@Beau Bridges (Major General Hank Landry)@Morena Baccarin (Adria)@Tim Guinee (Tomin)@Julian Sands (Doci)@Michael Beach (Abe Ellis)@Gary Jones (Sgt Walter Harriman)@Martin Christopher (Major Marks)@Chris Gauthier (Hertis)@Matthew Walker (Merlin)@Eric Breker (Colonel Reynolds)@||||||||||||@@
Stargate: Continuum (V)|Martin Wood|Aventure||3|américain, canadien|2008|94|Anglais||XviD|||XVID|884 Kbps|576x320|MPEG-1 Audio layer 3|137 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Brad Wright Robert C. Cooper|Brad Wright|Peter F. Woeste||||Les membres du SG-1 se retrouvent dans un monde où leurs histoires ont été complètement modifiées... |Michael Shanks (Dr Daniel Jackson)@Christopher Judge (Teal'c)@Ben Browder (Cameron Mitchell)@Amanda Tapping (Samantha Carter)@Beau Bridges (Major Général Hank Landry)@Cliff Simon (Ba'al)@Claudia Black (Vala Mal Doran)@Richard Dean Anderson (Major Général Jack O'Neill)@Jacqueline Samuda (Nirrti)@Don S. Davis (George S. Hammond)@William Devane (Henry Hayes)@Steve Bacic (Camulus)@Tracy Trueman (Heather)@Colin Cunningham (Major Paul Davis)@||||||||||||@@
Starship Troopers|Paul Verhoeven|Fantastique|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|1998|119|Anglais||DIV3|||DIV3|712 Kbps|640x352|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Jon Davison Alan Marshall|Edward Neumeier|Jost Vacano||GBVI|Saga : Starship Troopers |Au XXIVe siècle, une fédération musclée fait régner sur la Terre l'ordre et la vertu, exhortant sans relache la jeunesse à la lutte, au devoir, à l'abnégation et au sacrifice de soi. Mais aux confins de la galaxie, une armée d'arachnides se dresse contre l'espèce humaine et ces insectes geants rasent en quelques secondes la ville de Buenos-Aires. Cinq jeunes gens, cinq volontaires à peine sortis du lycée, pleins d'ardeurs et de courage, partent en mission dans l'espace pour combattre les envahisseurs. Ils sont loin de se douter de ce qui les attend. |Casper Van Dien (Lieutenant Johnny Rico)@Dina Meyer (Dizzy Flores )@Denise Richards (Carmen Ibanez)@Jake Busey (Ace Levy )@Michael Ironside (Lieutenant Jean Rasczak)@Neil Patrick Harris (Carl Jenkins)@Clancy Brown (Sergent Zim)@Patrick Muldoon (Zander Barcalow)@Rue McClanahan@Brenda Strong@Amy Smart@Dale Dye@||||||||||||@@
Starship Troopers 2: Hero of the Federation|Phil Tippett|Science fiction||1|américain|2004|87|Anglais||XVID|||XVID|970 Kbps|720x400|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|678||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Jon Davison|Edward Neumeier|Christian Sebaldt|||Saga : Starship Troopers |Le Capitaine Dax et deux soldats partent délivrer des militaires cernés dans un camp par des insectes. Mais quand ils arrivent, les militaires sont contrôlés par des insectes qui ont pris possession de leurs corps. Le Capitaine Dax va donc devoir faire face à plusieurs menaces... |Richard Burgi (le Capitaine Dax)@Bill Brown (Ottis Brick)@Kelly Carlson (Charlie Soda)@Cy Carter (Bilie Otter)@Sandrine Holt (Jill Sandee)@J.P. Manoux (Ari Peck)@Colleen Porch (Lei Sahara)@Drew Powell (Kipper Tor)@Ed Quinn (Joe Griff)@Jason-Shane Scott (Duff Horton)@Brenda Strong (Sergent Dede Rake)@Brian Tee (Caporal Thom Kobe)@||||||||||||@@
Starship Troopers 3: Marauder|Edward Neumeier|Science fiction||1|américain|2008|104|Anglais||XviD|||XVID|803 Kbps|608x336|MPEG-1 Audio layer 3|117 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|David Lancaster|Edward Neumeier|Lorenzo Senatore|||Saga : Starship Troopers |La guerre continue de faire rage entre la Fédération et les arachnides. Devenu colonel, Johnny Rico reprend les armes... |Casper Van Dien (le Colonel Johnny Rico)@Jolene Blalock (le Capitaine Lola Beck)@Boris Kodjoe (le Général Dix Hauzer)@Stephen Hogan (le Sky Marshall Omar Anoke)@Amanda Donohoe (l'Amiral Enolo Phid)@Stelio Savante (Bull Brittles)@Marnette Patterson (Holly)@Cécile Breccia (Link Manion)@Garth Breytenbach (Slug Skinner)@Jon Falkow (Jingo Ryan)@Joe Vaz (Elmo Goniff)@||||||||||||@@
Starsky & Hutch|Todd Phillips|Comédie||2|américain|2004|96|Anglais||XVID|||XVID|899 Kbps|720x288|MPEG-1 Audio layer 3|224 Kbps|False|48.0 KHz|2|781||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Stuart Cornfeld Akiva Goldsman Tony Ludwig Alan Riche William Blinn|Steve Long John O'Brien Todd Phillips Scot Armstrong|Barry Peterson||Dimension Films||A force d'acharnement à combattre le crime, le détective David Starsky a épuisé tous ses équipiers. Le détective Ken " Hutch " Hutchinson a lui aussi quelques problèmes. Même s'il est un bon flic, son côté trop cool et son attirance pour l'argent facile lui font parfois mordre la bande blanche.Pour le capitaine Dobey, leur supérieur, il n'y a qu'une solution possible : les associer. Contraints de faire équipe malgré eux, Starsky et Hutch découvrent un cadavre sur la côte de Bay City. Avec l'aide de l'informateur Huggy les bons tuyaux, les deux policiers se plongent dans une enquête qui va les conduire tout droit à un richissime homme d'affaires intouchable.Décidés à élucider le mystère de cette affaire dont le premier cadavre n'était qu'un échantillon, Starsky et Hutch vont associer leurs talents pour échapper aux pièges et s'en sortir avec autant d'humour que de dégâts... |Ben Stiller (David Starsky)@Owen Wilson (Ken "Hutch" Hutchinson)@Vince Vaughn (Reese Feldman)@Juliette Lewis (Kitty)@Snoop Doggy Dogg (Huggy les bons tuyaux)@Jason Bateman (Kevin)@Fred Williamson (le capitaine Dobey)@Carmen Electra (Staci)@Amy Smart (Holly)@Chris Penn (Manetti)@Molly Sims (Mme. Feldman)@Will Ferrell (Big Earl)@||Secrets de tournage :
Adapté d'une célèbre série télévisée
Starsky & Hutch n'est autre que l'adaptation cinématographique de la célèbre série télévisée homonyme des années 70. De septembre 1975 à août 1979, Paul Michael Glaser et David Soul y interprétèrent ces "deux flics qui n'ont jamais peur de rien et qui gagnent toujours à la fin".
Ce feuilleton présentait pour la première fois un duo de policiers qui ne suivaient pas toujours scrupuleusement les règles et y allaient franchement pour résoudre les affaires les plus difficiles et les crimes les plus sordides. Ces deux flics ne se prenaient pas trop au sérieux et partageaient un sens de l'humour absent des précédentes séries policières. Le mélange inédit de drame criminel et de dérision propulsa Starsky et Hutch à des taux d'audience très élevés durant ses quatre années de diffusion aux Etats-Unis.
Acteurs pressentis
Avant que les rôles de Starsky et Hutch ne soient attribués à Ben Stiller et Owen Wilson, il étaient question que Paul Michael Glaser et David Soul reprennent leurs rôles d'origine. George Clooney avait également été approché pour incarner l'un des deux flics.
La genèse du projet
C'est en 1998, alors que sortaient sur nos écrans Perdus dans l'espace et Chapeau melon et bottes de cuir, que les producteurs Alan Riche et Tony Ludwig eurent l'idée de faire une version cinéma de la série Starsky et Hutch. Ils s'associèrent alors avec William Blinn, créateur du feuilleton et détenteur des droits cinéma, pour apporter le projet aux studios Warner Bros. Pictures, où le producteur Akiva Goldsman se joignèrent à eux.
Au même moment, Ben Stiller contacta les producteurs pour leur faire part de son désir d'incarner le détective David Starsky. Avec son associé Stuart Cornfeld, il rejoigna l'équipe et proposa dans le rôle de Hutch son fidèle complice Owen Wilson, choix qui fut validé par la production. Pour réaliser le film, Ben Stiller désirait quelqu'un capable de maîtriser l'humour dans le cadre familier d'une série policière classique et pensa à Todd Phillips, qui venait de connaître le succès avec Road trip et commençait à travailler sur Back to school (retour à la fac).
Stiller / Wilson : sixième !
Ben Stiller et Owen Wilson se donnent pour la sixième fois la réplique. Les deux comédiens avaient été auparavant partenaires dans Disjoncté (1996), Permanent midnight (1998), Mon beau-père et moi (2001), Zoolander (2002) et La Famille Tenenbaum (id.).
Vince Vaughn retrouve Todd Phillips
Vince Vaughn, qui interprète ici le "méchant" du film, retrouve Todd Phillips qui l'a dirigé dans la comédie Back to school (retour à la fac).
Conçu comme un pilote de la série
Todd Phillips envisagea le film comme si c'était un pilote de la série et voulut le tourner à la manière dont on faisait les feuilletons des années 70. Il voulait le faire selon les règles de l'époque, sans se préoccuper de l'ironie due à trente ans de recul. Ce dernier ajoute : "Ce film est fondé sur une série qui a été un phénomène lors de sa diffusion, et nous n'avions pas l'intention de la parodier ou de nous en moquer d'aucune manière".
L'utilisation de neuf Torinos
L'équipe a utilisé neuf Torinos pour les scènes de poursuite, les dérapages et toute l'action qu'impliquait le scénario. Comme aucune des voitures originales de la série n'était disponible, Craig Lietzke, le coordinateur des véhicules, et son collaborateur Jonathan Rosenfeld ont fait appel à deux sociétés, Premiere Studio Rentals et Cinema Vehicle Services, pour customiser les neuf voitures à partir de vidéos de la série, de vieilles photos et de maquettes.
Ben Stiller à la conduite
Puisque le détective Starsky ne laisse personne conduire sa précieuse Torino, Ben Stiller a effectué lui-même une grande partie de la conduite. Il a travaillé de longues heures avec le cascadeur pilote professionnel Corey Eubanks pour se familiariser avec les virages à 180°, les dérapages et les freinages in extremis.
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Stay Alive|William Brent Bell|Epouvante-horreur||2|américain|2006|82|Anglais||XviD|||XVID|1 037 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|130 Kbps|False|48.0 KHz|2|695||||25.000|28/07/2009 00:00:00|William Brent Bell Mathew Peterman Roger Birnbaum Gary Barber McG Peter Schlessel James D. Stern Gayle Busby|William Brent Bell Mathew Peterman|Alejandro Martinez||Buena Vista Pictures||Après la brutale disparition d'un de leurs amis, un groupe d'adolescents se trouve en possession de Stay Alive, un jeu vidéo d'horreur basé sur la véritable et glaciale histoire d'une femme de la noblesse du XVIIe siècle, la Comtesse Bathory.Les gamers ne savent rien de ce jeu, mais ils meurent d'envie d'être les premiers à le découvrir...La frontière entre le monde virtuel et le monde réel disparaît alors.Chacun leur tour, ils deviennent la proie de l'impitoyable Comtesse Sanglante... |Jon Foster (Hutch)@Samaire Armstrong (Abigail)@Frankie Muniz (Swink Sylvania)@Jimmi Simpson (Phineus Bantum)@Wendell Pierce (L'inspecteur Thibodeaux)@Milo Ventimiglia (Loomis Crowley)@Sophia Bush (Octobre Bantum)@Adam Goldberg (Miller)@Billy Slaughter (Rex)@Nicole Oppermann (Sarah)@April Wood (Loretta)@Maria Kalinina (La comtesse)@James Haven (Jonathan Malkus)@J. Richey Nash (Young)@Monica Monica (Mrs. Crowley)@||Secrets de tournage :
Genèse et développement du projet
Stay Alive vient de l'imagination du réalisateur William Brent Bell et du producteur Matthew Peterman, qui en cosignent le scénario. Férus de jeux vidéo, tous deux souhaitaient créer une légende horrifique pour une nouvelle génération de gamers. L'objectif : marier à l'action survoltée et aux graphismes délirants des jeux vidéo les effets-chocs et figures de style d'un thriller
classique.
Ce concept a retenu l'attention du réalisateur/producteur McG. Ainsi, Stay Alive a été développé avec l'appui de trois sociétés de production : Wonderland Sound and Vision de McG, Spyglass Entertainment et Endgame Entertainment.
"Matt Peterman et moi sentions que le public ado était mûr pour un tel film, mais il nous a fallu un certain temps pour convaincre les gens, car personne n'avait vraiment rien tenté de tel, confie Bell. Les intrigues et personnages des jeux vidéo sont devenus tellement riches qu'il nous paraissait sensé d'articuler un film entier autour d'un jeu, en conjuguant ces deux formes. Le cinéma et les jeux ont des règles narratives distinctes, mais nous croyions possible de les associer en une expérience cinématographique originale et captivante."
Un travail de documentation...
Avant de se lancer dans l'écriture, William Brent Bell et Matthew Peterman ont fréquenté les cafés favoris des joueurs pour s'imprégner du langage et du style de vie de cette communauté. "Nous jouions beaucoup, mais nous avions également besoin de nous documenter sur les pratiques et le degré d'investissement des "gamers", leurs goûts vestimentaires, leur langage, leurs relations", résume Peterman.
Les deux associés ont aussi fait appel au designer CliftyB, qui a conçu récemment le terrifiant "Gears of War" pour XBox 360. Au fil de l'écriture, CliftyB a pu apporter des réponses précises à de multiples questions portant aussi bien sur le vocabulaire des gamers que sur les stratégies de jeu.
Quelques classiques de l'horreur en tête
Au-delà de l'univers du jeu, William Brent Bell a puisé son inspiration dans des classiques du film d'horreur comme Shining, La Malédiction ou Rosemary's Baby : "J'aime leur rythme très étudié, que j'ai cherché à retrouver dans certains plans d'une longueur inusitée qui font lentement monter l'angoisse et la tension. Mais j'ai
également bâti quantité de scènes sur des résolutions flash, très graphiques, sanglantes et passablement décoiffantes."
La légende derrière le jeu
Stay Alive fait référence à Elizabeth Bathory, "un personnage emblématique, une icône horrifique sophistiquée" (dixit William Brent Bell).
Riche, belle, cultivée, cette jeune femme fut mariée à l'âge de quinze ans au Comte de Transylvanie. Tandis que son époux bataillait sur divers fronts, elle s'ennuyait ferme dans son château de Csjethe et cherchait à se distraire. S'étant initiée à la magie noire, elle se trouva un hobby : emprisonner et torturer ses malheureux créanciers. Les choses ont empiré après la mort du Comte. Soucieuse de préserver sa jeunesse, Elizabeth a découvert que le sang frais avait un effet miraculeux sur son teint. Elle se lança alors dans une quête effrénée, enlevant, torturant et éventrant des dizaines de malheureuses jeunes paysannes vierges pour se baigner dans leur sang. Plus tard, elle ouvrit une école dans son château afin de disposer en permanence de 25 pucelles issues des meilleures familles.
De sinistres rumeurs ne tardèrent pas à se répandre sur le compte d'Elizabeth, obligeant l'Empereur Matthias II de Hongrie à ouvrir une enquête. Les conclusions stupéfièrent : Bathory était soupçonnée d'avoir sacrifié 650 filles ! Elle n'en échappa pas moins à la justice, tandis que ses complices se voyaient condamnés pour sorcellerie. Sa famille décida néanmoins qu'elle resterait à jamais confinée dans son château. Il est dit qu'elle y mourut, démente, dans une atroce solitude.
Celle qu'on baptisa la Comtesse Sanglante a inspiré plusieurs romans, films
et comics, mais sa légende s'est quelque peu effacée de notre mémoire collective.
Une raison de plus pour en faire la méchante au coeur du jeu Stay Alive...
La création d'un univers visuel
Pour la création de l'univers visuel, la productrice Gayle Busby a recruté deux studios réputés : Pixel Liberation Front (créateur de nombreuses animatiques pour les développeurs de jeux vidéo) et Custom Film Effects (qui se focalisa sur les plans composites).
"Il ne s'agissait pas simplement de concocter un jeu, souligne Kent Seki, directeur
de création de PLF et superviseur des effets visuels de Stay Alive, mais de
projeter aux dimensions du grand écran des images et une trame ludiques étroitement liées à celles du film."
31 artistes de PLF ont consacré sept mois de travail intensif à la réalisation de 140 plans à effets, et notamment à la création de 8 environnements, 15 personnages et plus de 100 accessoires et trucages numériques. Seki et son équipe ont également incorporé dans le scénario du jeu des techniques infographiques familières qui ont fait récemment leur apparition dans les jeux hauts de gamme bénéficiant de systèmes plus robustes.
Tourné à La Nouvelle-Orléans
Stay Alive a été tourné en nuit américaine à La Nouvelle-Orléans pour bénéficier pleinement de son ambiance mystérieuse et de sa singulière beauté. William Brent Bell a élaboré avec le chef opérateur Alejandro Martinez un look qui associe procédés contemporains et figures de style classiques du cinéma d'horreur.
C'est après avoir vu le film de vampires Underworld que William Brent Bell et Mathew Peterman ont engagé comme chef décorateur Bruton Jones. Celui-ci a élaboré une "bible" à partir de trois principes directeurs : une imagerie basée sur le sang et le métal, dans ses divers états ; un brouillage systématique des frontières jeu/réalité ; une fusion de la technologie moderne et de l'expérience organique.
Des stars en série
Les principaux acteurs de Stay alive ont tous figuré au générique d'une série : Frankie Muniz est Malcolm dans la série éponyme, la belle Sophia Bush a été révélée par Les Frères Scott, Samaire Armstrong a tenu un rôle récurant dans Newport Beach, Adam Goldberg a fait partie de l'éphémère aventure The $treet et Milo Ventimiglia a incarné Jess dans la série Gilmore Girls pendant deux ans.
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Steak|Quentin Dupieux|Comédie||1|français, canadien|2007|80|Français||XviD|||XVID|1 075 Kbps|656x352|MPEG-1 Audio layer 3|131 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Jean Cottin André Rouleau||Riego Van Werch||StudioCanal||En 2016, la mode et les critères de beauté ont beaucoup changé. Une nouvelle tendance fait des ravages chez les jeunes : le lifting du visage. Georges, un jeune diplômé récemment lifté, profite des vacances d'été pour s'intégrer aux "Chivers", une bande de caïds liftés à l'extrême. Blaise, un loser rejeté et ex ami d'enfance de Georges, aimerait lui aussi faire parti de la bande... |Eric Judor (Blaise)@Ramzy Bedia (Georges)@Sébastien Tellier (Prisme)@Jonathan Lambert (Serge)@Vincent Belorgay (Dan)@Sebastian Akchote (Félix)@Laurent Nicolas (Max)@||Secrets de tournage :
Mais qui est Quentin Dupieux ?
Steak est la première réalisation de Quentin Dupieux. Plus connu sous le nom de Mr. Oizo sur la scène électro-pop, il enregistre son premier tube en 1997, intitulé Flat Beat. Vendu à plus de 3 millions d'exemplaires, ce tube met en scène Flat Eric, une sorte de marionnette jaune, qui est adoptée par la célèbre marque de jeans Levi's. Deux ans plus tard, il sort son premier album : Analog Worms Attack, tout en continuant à réaliser des spots publicitaires et des clips, notamment pour le DJ Laurent Garnier. En 2001, il signe un moyen métrage, Non-film, avec dans les rôles principaux Sébastien Tellier et Vincent Belorgey.
Steak : appellation d'origine universelle
Quentin Dupieux explique les raisons d'avoir choisi comme titre de film Steak: "Je voulais que l'histoire s'inscrive dans un contexte universel, pour rendre le propos du film plus large. Il ne s'agit pas d'une bande de mecs à Limoges, ni d'une bande de mecs à Las Vegas. C'est une bande de mecs partout. Je ne pouvais donc pas appeler ce film "Les Chivers à Saint Tropez". [...] Le mot Steak est partout sur la planète. Il évoque évidemment la viande, mais au-delà de ça, il n'évoque plus rien. Le mot est usé. On peut lui donner le sens que l'on souhaite. Ici ca veux dire "titre de film".
Une rencontre fortuite
A l'origine, Eric & Ramzy ont proposé au cinéaste Michel Gondry un nouveau projet de film, intitulé Seuls Two (projet). Celui-ci s'est montré intéressé, mais Charlie Kaufman et Jim Carrey lui ont proposé de réaliser Eternal sunshine of the spotless mind. Michel Gondry a alors proposé au duo de rencontrer Quentin Dupieux.
Des Lascars aux Chivers
Laurent Nicolas, qui incarne dans Steak le Chivers Max, est l'un des auteurs, aux côtés de son frère David, de la série animée "Les Lascars", véritable carton d'audience et diffusée en 1999.
Des artistes de la scène musicale confirmés
A l'instar de Quentin Dupieux, la plupart des interprètes de la bande des Chivers sont issu de la scène musicale électro-pop. Vincent Belorgay, qui incarne Dan, est connu pour ses talents de musicien électronique sous le nom de Kavinsky, au sein de l'écurie Record Makers. Sebastian Akchote, qui prête ses traits à Félix, s'est illustré en 2005 grâce à ses sorties dénommées "Smoking Kills" et "Hall". Il est considéré comme l'un des artistes les plus talentueux de l'héritage Daft Punk. Quant à Sébastien Tellier, il a composé un premier album en 2001, "L'incroyable vérité", sous le label Record Makers, qui produit notamment le groupe Air. Des morceaux de son second album, "Politics", ont été repris par Sofia Coppola dans Lost in Translation, ainsi que dans le film Narco.
Eric & Ramzy au cinéma
Steak marque la quatrième incursion du duo Eric & Ramzy dans le cinéma. En 2000, ils faisaient leurs premiers pas sur le grand écran avec La Tour Montparnasse infernale, une parodie déjantée du film d'action Piège de cristal. Trois ans plus tard, ils revisitent l'univers de James Bond avec Double zéro, en incarnant des agents secrets ratés; avant de se glisser dans la peau des Dalton en 2004 sous la houlette de Philippe Haim.
Clin d'oeil à un maitre du genre
En appellant sa bande de caïds les "Chivers", Quentin Dupieux a choisi de rendre un hommage à un film d'horreur de David Cronenberg : Frissons, sorti en 1974; le titre en VO étant "Shivers".
Jonathan Lambert: deuxième !
Plus connu comme trublion et empêcheur de tourner en rond dans les émissions du câbles et satellites ("La Grosse émission" animée par Kad & Olivier), animateur de radio aux côtés Arthur... Jonathan Lambert s'est pourtant déjà illustré au cinéma. Il a en effet incarné un petit rôle dans la comédie Palais royal ! de Valérie Lemercier. Dans Steak, il prête ses traits à Serge, le plus ancien Chivers...mais aussi le plus hargneux et le plus lâche.
La petite reine bis
Après avoir dynamité l'univers des agents secrets avec la comédie Double zéro (réalisé par Gérard Pirès en 2003), le duo Eric & Ramzy collabore à nouveau avec la maison de production La Petite Reine pour Steak.
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Storm Catcher|Anthony Hickox|Action||1|américain|1999|91|Anglais||DX50|||DX50|936 Kbps|544x400|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Tracee Stanley Andrew Stevens Jim Wynorski|Bill Gucwa Ed Masterson|David Bridges||||Jack Holloway, pilote de chasse américain, se retrouve condamné à tort. La raison : il aurait dérobé Storm Catcher, nouvel avion de chasse de l'US Army, dôté des technologies les plus avancées. Alors qu'il est sur le point d'être incarcéré, Holloway prend la fuite. Son but désormais : prouver à tous son innocence. |Dolph Lundgren (Major Jack Holloway)@Mystro Clark (Capitaine Johnson)@Jon Pennell (Capitaine Lucas)@Robert Miano (General William Jacobs)@Yvonne Zima (Nicole Holloway)@Kylie Bax (Jessica Holloway)@Jody Jones (McGarry)@Robert Glen Keith (Stanley)@Anthony Hickox (agent Load)@Kimberley Davies (agent Lock)@Andreea Radutoiu (Havens)@||||||||||||@@
Stuart Little|Rob Minkoff|Comédie|Film pour enfants|3|américain|2000|81|Anglais||DX50|||DX50|1 113 Kbps|720x416|WMA2|64.1 Kbps|False|44.1 KHz|2|688||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Steve Waterman|M. Night Shyamalan|Scott Fuller||Columbia TriStar Films|Saga : Stuart Little |Snowbell le chat n'en croit pas ses vibrisses. Le nouveau venu dans la famille Little n'est rien moins que Stuart, une souris. Le petit animal trouve bientôt sa place entre les jouets de George, le jeune fils, et les dangers de la maison. Pourtant, malgré sa gentillesse, Stuart n'arrive pas a séduire définitivement George qui a du mal à admettre qu'une souris puisse être son frère jusqu'au jour où Stuart a l'occasion de prouver sa bravoure. C'est alors au tour de Snowbell de sombrer dans la jalousie. Le félin complote alors dans l'ombre pour se débarrasser du souriceau. |Geena Davis (Eleanor Little)@Hugh Laurie (Frederick Little)@Jonathan Lipnicki (George Little )@Michael J. Fox (voix de Stuart Little)@Nathan Lane (voix de Snowbell)@Chazz Palminteri (voix de Smokey)@Steve Zahn (voix de Monty)@||||||||||||@@
Stuart Little 2|Rob Minkoff|Comédie||2|américain|2002|77|Anglais||DX50|||DX50|1 117 Kbps|672x352|MPEG-1 Audio layer 3|130 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|27/08/2009 00:00:00|Douglas Wick Lucy Fisher|Douglas Wick Bruce Joel Rubin|Steven B. Poster||Columbia Pictures|Saga : Stuart Little |Stuart Little, la petite souris, éprouve l'envie de voyager et de s'aventurer dans de nouvelles contrées. Mais sa mère adoptive, Eleanor, n'est pas de cet avis. George, qui est comme un frère pour Stuart, le comprend très bien, mais il ne peut aller à l'encontre de la décision de maman.
Un jour, alors qu'il conduit sa voiture miniature, Stuart fait la rencontre de Margalo, une jolie femelle canari poursuivie par un faucon. Stuart se charge de le semer. Commence alors une grande histoire d'amour entre la souris et l'oiseau. Stuart a enfin trouvé quelqu'un à qui se confier véritablement et qui comprend son besoin d'aventure.
Mais le faucon jaloux va venir perturber leur idylle en enlevant Margalo. Accompagné du chat Snowbell, Stuart entreprend de retrouver et de secourir sa nouvelle compagne. |Geena Davis (Eleanor Little )@Michael J. Fox (voix de Stuart Little)@Antoine de Caunes (voix française de Stuart Little)@Jonathan Lipnicki (George Little )@Melanie Griffith (voix de Margalo)@Lorie (voix française de Margalo)@Hugh Laurie (Fredrick Little )@Nathan Lane (voix de Snowbell)@Steve Zahn (voix de Monty)@Kevin Olson (Irwin)@||Secrets de tournage :
Le retour de Stuart !
Stuart Little 2 est la suite de Stuart Little, film mêlant animation et prises de vue réelles. Ce dernier, sorti en 1999, avait été un gros succès au box-office américain, rapportant plus de 140 millions de dollars de recettes, alors que le budget du film s'élevait à 103 millions de dollars. Au vu du succès remporté par le film, les studios Disney ont logiquement entrepris de mettre en chantier une suite.
Un réalisateur expérimenté
Rob Minkoff, qui a réalisé Stuart Little, n'a pas hésité à rempiler une seconde fois au vu du succès remporté par les aventures de cette petite souris pas comme les autres. L'américain peut se prévaloir d'une expérience de taille : il a co-signé Le Roi lion, l'un des récents plus gros succès des studios Disney.
De nouveaux compagnons...
Dans Stuart Little, la souris Stuart était adoptée, de manière quelque peu mouvementée, par une famille moyenne américaine. Trois ans plus tard, dans ce second volet, Stuart découvre l'amour en la personne d'une jolie femelle canari en même temps qu'il doit faire face à un méchant faucon.
On prend les mêmes...
C'est une nouvelle fois l'acteur américain Michael J. Fox qui prête sa voix à Stuart, la petite souris. D'autres vedettes hollywoodiennes se sont également prêtées au jeu, comme Steve Zahn, Chazz Palminteri ou encore Jennifer Tilly.
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Stuart Little 3 : Call of the Wild|Audu Paden|Animation||1|américain|2005|72|Anglais||XviD|||XVID|1 216 Kbps|576x320|MPEG-1 Audio layer 3|129 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Lucy Fisher Douglas Wick|||||Saga : Stuart Little |Alors que la famille Little passe de paisibles vacances, Snowball est enlevé. Stuart part à sa rescousse. |Geena Davis (Mrs. Eleanor Little (voix))@Michael J. Fox (Stuart Little (voix))@Corey Padnos (George Little (voix))@Hugh Laurie (Mr. Frederick Little (voix))@Virginia Madsen ((voix))@Peter MacNicol ((voix))@Tom Kenny ((voix))@Wayne Brady ((voix))@||||||||||||@@
The House Bunny|Fred Wolf|Comédie||2|américain|2008|93|Anglais||XviD|||XVID|914 Kbps|672x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Heather Parry Jack Giarraputo Adam Sandler Allen Covert|Karen McCullah Lutz Kirsten Smith|Shelly Johnson||Sony/Columbia||Après avoir passé sa vie au Manoir Playboy, Shelley, une playmate du célèbre magazine de charme, est injustement mise à la porte. Ne sachant où aller, elle atterrit dans une association d'étudiantes menacées d'expulsion si elles ne parviennent pas à attirer de nouveaux membres.Décidée à les aider, Shelley va utiliser toutes ses ressources de pin-up pour transformer les filles en créatures de rêve et faire de Zeta Alpha Zeta une des associations les plus populaires du campus... |Anna Faris (Shelley Darlingson)@Colin Hanks (Oliver)@Emma Stone (Natalie)@Kat Dennings (Mona)@Katharine McPhee (Harmony)@Rumer Willis (Joanne)@Tyson Ritter (Colby)@Kiely Williams (Lilly)@Dana Goodman (Carrie Mae)@Kimberly Makkouk (Tanya)@Monet Mazur (Cassandra)@Hugh Hefner (lui-même)@Christopher McDonald (Dean Simmons)@Beverly D'Angelo (Madame Hagstrom)@Leslie Del Rosario (Sienna)@Sarah Wright (Ashley)@Rachel Specter (Courtney)@Owen Benjamin (Marvin)@Tyler Spindel (Steve)@Sara Jean Underwood (Sara)@Lauren Hill (Lauren)@Jay Hayden (Kip)@Matt Barr (Tyler)@Michelle Fields (Michelle)@Jennifer Tisdale (Phi Iota Mu)@Kathleen Gati (la Directrice de la boutique)@||Secrets de tournage :
Qu'est-ce qu'une Bunny Girl ?
Anna Faris incarne une Bunny Girl déjantée dans Super Blonde. Une Bunny Girl, également et plus simplement appelée Bunny, est une jeune femme au physique plus qu'avantageux habillé dans un costume de lapin. Ce costume sexy est inspiré du logo de Playboy, le célèbre magazine érotique créé par Hugh Hefner, et est porté par des serveuses de bar.
Les mésaventures d'une Bunny Girl...
La jeune comédienne Anna Faris, actrice vedette mais aussi productrice exécutive de Super Blonde, raconte ce qui lui a plu dans l'évocation délirante du destin d'une Bunny Girl, ces femmes au physique parfait au service de l'univers Playboy. "Un jour, je me suis demandé à quoi pouvait ressembler la vie des Bunny Girls quand elles quittent le monde festif et surréaliste de la propriété de Hugh Hefner, le créateur du magazine Playboy", explique-t-elle. "Pourquoi partent-elles ? Parce qu'elles sont trop vieilles ou parce qu'elles sont prêtes à passer à une autre phase de leur vie ? Je trouvais l'idée très intéressante et j'ai donc cherché des scénaristes pour la développer."
Anna Faris productrice
Super Blonde est le premier film produit par Anna Faris en collaboration avec Happy Madison Production, la société de production d'Adam Sandler. Happy Madison Productions produit essentiellement des comédies, parmi lesquelles Quand Chuck rencontre Larry (2007) et Rien que pour vos cheveux (2008). C'est en tant que comédiens qu'Anna Faris et Adam Sandler se sont rencontrés pour la première fois, sur le tournage du film Une nana au poil de Tom Brady (2002).
Un message derrière la comédie
Pour Fred Wolf, le réalisateur de Super Blonde, il y a un message derrière la comédie pure du film. "Le monde n'est pas tendre avec les femmes", explique-t-il. "Elle sont constamment bombardées de messages : comment s'habiller, comment se maquiller, comment se comporter et quoi penser. J'ai grandi avec trois frères dans un monde construit pour les hommes, mais maintenant j'ai deux filles et j'ai découvert qu'il était important pour elles de ne pas prêter attention à ces messages, de croire en elles-mêmes et de s'accepter pour ce qu'elles sont à l'intérieur. J'espère que ce film les aidera à comprendre à quel point c'est important."
Fille de...
Rumer Willis, la fille de Bruce Willis, tient l'un des rôles principaux de Super Blonde, son cinquième film. Il s'agit de son retour à l'écran après trois ans d'absence. On peut égalemment la découvrir aux côtés de sa mère, Demi Moore, dans Striptease (1996), et aux côtés de son père dans Mon voisin le tueur (2000) et Otage (2005). Elle doit à nouveau jouer avec Bruce Willis dans la comédie The Sophomore.
Et fils de...
Colin Hanks, qui tient le rôle d'Oliver dans Super Blonde, n'est autre que le fils de Tom Hanks. Habitué des séries télé (Roswell, Frères d'armes...), il possède une filmographie plus étoffée que celle de Rumer Willis, puisqu'il s'agit de son huitième long-métrage. Sur grand écran, on a pu le voir aux génériques d'Orange County (2003) et, surtout, du King Kong de Peter Jackson (2005).
Le vrai Hugh Hefner à l'écran !
Hugh Hefner, le légendaire créateur de l'empire Playboy, incarne son propre rôle dans Super Blonde. Et le tournage s'est déroulé dans la véritable propriété de l'Américain, The Playboy Mansion.
D'une blonde à l'autre...
Kirsten Smith et Karen McCullah Lutz, les scénaristes de Super Blonde, étaient sans doute les personnes les plus compétentes pour l'écriture de cette comédie. Pourquoi ? Disons simplement qu'ils étaient également scénaristes de... La Revanche d'une blonde !
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Superhero Movie|Craig Mazin|Comédie||2|américain|2008|81|Anglais||XviD|||XVID|1 041 Kbps|624x352|MPEG-1 Audio layer 3|149 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||23.976|28/07/2009 00:00:00|David Zucker Robert K. Weiss Craig Mazin|Craig Mazin|Thomas E. Ackerman||Dimension Films||Lycéen timide et mal dans sa peau, Rick Ricker vit avec son oncle et sa tante depuis que ses parents ont été tués. Il est secrètement amoureux de la ravissante Jill Johnson qui, pour son malheur, a déjà un petit copain. Pendant la visite scolaire d'un laboratoire de recherche, Rick est piqué par une libellule génétiquement modifiée. Peu à peu, alors qu'il voit ses forces décuplées, il comprend qu'il est désormais pourvu de super-pouvoirs. Après s'être fabriqué un costume, il adopte sa nouvelle identité : La Libellule. Mais il lui faudra affronter un redoutable ennemi, Le Sablier, déterminé à anéantir tous ceux qui l'approchent... |Drake Bell (Rick Riker/Dragonfly)@Sara Paxton (Jill Johnson)@Christopher McDonald (Lou Landers/Hourglass)@Pamela Anderson (la femme invisible)@Tracy Morgan (Docteur Xavier)@Regina Hall (Mme Xavier)@Craig Bierko (Wolverine)@Simon Rex (la torche humaine)@Perez Hilton (lui-même)@Leslie Nielsen (Oncle Albert)@Kevin Hart (Trey)@Marion Ross (Tante Lucille)@Ryan Hansen (Lance Landers)@Jeffrey Tambor (Docteur Whitby)@Brent Spiner (Docteur Strom)@||Secrets de tournage :
Quand Leslie rime avec parodie...
Super héros movie est la neuvième parodie dans laquelle s'illustre Leslie Nielsen, dont les films les plus connus, dans le genre, sont Y a-t-il un pilote dans l'avion ?, ou la série des Y a-t-il un flic... ?
Les super héros au pilori
Plutôt épargnés par les Scary Movie, les super héros se retrouvent cette fois-ci, avec une parodie qui leur est exclusivement dédiée. C'est ainsi que des films comme Spider-Man, Batman Begins, X-Men et Les 4 Fantastiques en prennent pour leur grade tout au long du celui-ci.
On ne change pas une équipe...
Super héros movie marque la troisième collaboration de Craig Mazin avec David Zucker et Robert K. Weiss, après Scary Movie 3 et 4 : "c'est vraiment très agréable de travailler avec des collaborateurs qui sont aussi des copains. Mais mon objectif principal, c'est de faire rire le public pendant une heure trente. C'est pour cela que je fais des films.", déclare Mazin.
Rick Ricker/La Libellule, par Drake Bell
"Mon personnage est une sorte de 'Peter Parker', autrement dit le polard de service. Il est photographe et n'arrive pas à assurer avec la fille qui l'intéresse jusqu'à ce qu'il se fasse piquer par une libellule. Il essaie de sauver les gens, mais il reste abruti et maladroit."
Le super rêve de Regina Hall
Inetrrogée sur le super-pouvoir qu'elle aimerait posséder, si elle le pouvait, Regina Hall (Mrs Xavier) répond : "J'aurais le pouvoir de manger tout ce que je veux sans prendre un gramme. Je deviendrais 'Food Girl' et j'aurais un 'F' sur la poitrine. Sa devise ? Aucun aliment n'est sûr à 100%."
L'avis de Ryan
Découvert dans la série Veronica Mars, le comédien Ryan Hansen, qui interprète ici Lance, déclare adorer les films de super-héros car "ils parlent de losers".
Parodie à tout prix
Super héros movie est la cinquième parodie mettant en scène Regina Hall, alias Brenda dans les 4 (bientôt 5) épisodes de la saga Scary Movie. C'est également sa troisième collaboration avec l'un des spécialistes du genre, David Zucker, ici scénariste, après avoir réalisé Scary Movie 3 et 4.
Des héros pour toujours...
Super héros movie est le second long métrage de Craig Mazin, huit ans après The Specials, un film où il était question de... super héros.
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The Santa Clause|John Pasquin|Comédie|Film pour enfants|2|américain|1995|93|Anglais||XVID|||XVID|939 Kbps|720x368|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Robert F. Newmyer Brian Reilly Jeffrey Silver|Leonardo Benvenuti Steve Rudnick|Walt Lloyd||||Comment un père entretenant des rapports difficiles avec un fils qu'il ne voit plus qu'épisodiquement va retrouver l'amour de ce dernier grâce au père Noël. |Tim Allen (Scott Calvin)@Peter Boyle (Mr. Whittle)@Wendy Crewson (Laura Miller)@Judge Reinhold (Docteur Neal Miller)@Eric Lloyd (Charlie Calvin)@David Krumholtz (Bernard, l'elfe)@||||||||||||@@
The Santa Clause 2|Michael Lembeck|Comédie||2|américain|2002|101|Anglais||XVID|||XVID|818 Kbps|640x480|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||23.976|13/08/2009 00:00:00|Brian Reilly Robert F. Newmyer Jeffrey Silver|Steve Rudnick Leonardo Benvenuti Cinco Paul Don Rhymer Ken Daurio Edward Decter John Strauss|Adam Greenberg||Buena Vista Pictures||Scott Calvin exerce la profession de Père Noël depuis huit ans. Mais sa vie tourne au cauchemar lorsqu'il apprend que s'il ne se marie pas avant la fin du mois, il devra quitter son job. Parallèlement, il découvre que son fils Charlie figure sur sa liste annuelle des "voyous".Décidé à rencontrer le grand amour et à aider son garçon, Scott retourne chez lui, laissant un Père Noël adjoint mener les préparatifs de cette fin d'année. Très vite, le remplaçant se met à prendre d'étranges décisions... |Tim Allen (Scott Calvin)@Molly Shannon (Tracy)@Spencer Breslin (Curtis)@Elizabeth Mitchell (la principale de l'école)@David Krumholtz (Bernard, l'elf)@Judge Reinhold (Dr. Neal Miller)@Wendy Crewson (Laura Miller)@Eric Lloyd (Charlie)@Liliana Mumy (Lucy)@Kevin Pollak (Cupid)@||Secrets de tournage :
Des rennes davantage réalistes
L'animation des rennes a énormément bénéficié des percées technologiques survenues durant ces huit dernières années. La conception des animaux est l'oeuvre de Tom Woodruff, Jr. et Alec Gillis. Le premier explique : "Qu'il s'agisse de maquillage, de fourrure artificielle ou d'animation des lèvres, nous avons utilisé toutes les inventions récentes. Elles permettent de faire faire de nouvelles choses aux rennes en leur conférant un réalisme accru. "
La conception des décors
Le village des elfes et l'atelier du Père Noël constituent les deux plus grands décors du film.
Sur plus de 6 000 mètres carrés, le chef décorateur Tony Burrough a bâti une véritable petite cité pleine de recoins et de détails enchanteurs. Cet immense décor est prolongé dans le film par des images de synthèse, ce qui lui confère une ampleur proprement féérique. Le plateau était éclairé par plus de 800 projecteurs de toutes tailles. Certains illuminaient les petites fenêtres, d'autres, à travers des toiles tendues, baignaient d'une lumière d'hiver les comédiens en train de jouer.
L'autre grand décor représentait l'atelier du Père Noël. Sur plus de 5 000 mètres carrés, les décorateurs et la production ont donné corps au lieu mythique où les elfes construisent tous les jouets du monde. Michael Lembeck confie : ?Nous avions un autre problème : il fallait remplir tout leur décor de jouets. Heureusement, nous tournions en octobre et les grossistes avaient déjà en stock les jouets de Noël. Nous avons fait notre marché partout dans le monde et avons trouvé les plus beaux, les plus spectaculaires jouets, des plus modernes aux plus traditionnels. Au final, nous avions une véritable caverne d'Ali Baba. "
Supporter les maquillages
Alec Gillis et Tom Woodruff, Jr. de Amalgamated Dynamics ont mis au point tous les maquillages spéciaux du film. Tim Allen commente : " Tous les matins, je passais entre trois et quatre heures au maquillage. Les gens du maquillage plaçaient les prothèses pour me donner du volume et modifier mes traits. Ensuite venait le moment des raccords teintes... Vous avez une armée de mains qui vous peignent pour que l'on ne puisse plus voir la limite entre les prothèses et votre vraie peau. Je me faisais l'effet d'une formule 1 sur stand pendant un grand prix... "
La suite de "Super Noël"
Hyper Noël constitue la suite de Super Noël. Le producteur Brian Reilly confie : "Immédiatement après la sortie du premier film, la question d'un second chapitre s'est posée. Le public avait tellement aimé et nous avions tant de réactions positives que nous avons songé à une suite. Il fallait une bonne histoire, et que toute la famille puisse se retrouver..."
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The Santa Clause 3 : The Escape Clause|Michael Lembeck|Comédie||4|américain|2006|87|Anglais||XviD|||XVID|974 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Tim Allen Robert F. Newmyer Brian Reilly Jeffrey Silver|Ed Decter John J. Strauss|Robbie Greenberg||Buena Vista Pictures||Le Père Noël (alias Scott Calvin) doit réussir à rendre sa nouvelle famille heureuse, tout en empêchant Jack Frost de faire main basse sur la fête de Noël. |Tim Allen (le Père Noël / Scott Calvin)@Martin Short (Jack Frost)@Ann-Margret (Sylvia Newman)@Elizabeth Mitchell (Mme. Noël / Carol Calvin)@Spencer Breslin (Curtis)@Darian Bryant (l'elf boulanger)@Carlie Callahan (l'elf de la classe)@Ridge Canipe (le mari elf)@Olivia Eve Everhard (elf de la classe)@Judge Reinhold (Docteur Neil Miller)@Charlie Stewart (Docteur Himus)@Aisha Tyler (Mère nature)@Alan Arkin (Bud Newman)@Bob Bergen (Comet)@Madeline Carroll (Cocoa)@Wendy Crewson (Laura Miller)@Kate Emerick (Sarah)@Kevin Pollak (Cupid)@Peter Boyle (Père Temps)@Abigail Breslin (Trish)@||Secrets de tournage :
Une trilogie
Santa Clause 3 : The Escape Clause est le troisième volet d'une trilogie de Disney qui a débuté en 1994 avec Super Noël réalisé par John Pasquin puis en 2002 Hyper Noël réalisé par Michael Lembeck, ce dernier a également réalisé le troisième opus. Tim Allen, quant à lui est fidèle à son poste de Père Noël pour les trois films.
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Superbad|Greg Mottola|Comédie||2|américain|2007|118|Anglais||XviD|||XVID|688 Kbps|656x352|MPEG-1 Audio layer 3|121 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Judd Apatow Shauna Roberston|Seth Rogen Evan Goldberg|Russ T. Alsobrook||Columbia Pictures||Evan et Seth sont deux amis pas très futés qui ne peuvent pas se passer l'un de l'autre. Pourtant, il va bien falloir qu'ils apprennent, parce que cette année, ils sont inscrits dans deux universités différentes ! Evan est craquant, plutôt intelligent et constamment terrifié par la vie - et les filles en particulier. De son côté, Seth parle trop, ne tient pas en place et s'intéresse vraiment beaucoup à tous les aspects de la reproduction humaine... Pour ces deux-là, il est temps d'affronter l'existence, les filles et leur destin, mais pour cela, ils doivent d'abord survivre à cette nuit fatidique, leur première nuit, celle qui vous excite, vous terrifie et dont vous vous souviendrez toute votre vie ! |Jonah Hill (Seth)@Michael Cera (Evan)@Christopher Mintz-Plasse (Fogell)@Seth Rogen (M. Michaels)@Bill Hader (Slater)@Chelsey Dailey (Pepsi Cheyenne)@Aviva (Nicola)@Emma Stone (Jules)@Martha MacIsaac (Becca)@Stacy Edwards (Le mère d'Evan)@Pamella D'Pella (Le professeur)@Scott Gerbacia (Jesse)@Clint Mabry (le garçon à la jambe artificielle)@Casey Margolis (Seth enfant)@Laura Marano (Becca enfant)@Joe Lo Truglio (Francis)@Kevin Corrigan (Mark)@Clement Blake (le sans abris)@Erica Vittina Phillips (Mindy)@Joe Nunez (l'employé)@Dave Franco (Greg)@Marcella Lentz-Pope (Gabby)@David Krumholtz@Carla Gallo@||Secrets de tournage :
Goldberg / Apatow : deuxième !
Les producteurs Evan Goldberg et Judd Apatow ont déjà collaboré ensemble sur En cloque, mode d'emploi. Ce dernier à quant à lui produit la comédie 40 ans, toujours puceau.
Scénaristes juniors
Amis d'enfance, Seth Rogen et Evan Goldberg ont commencé à écrire le script de Supergrave à l'âge de 13 ans... "Nous voulions seulement savoir si nous étions capable d'écrire un film" racontent-ils.
Des personnages bien nommés
Les deux héros du film portent les prénoms de Seth et Evan, comme les deux scénaristes Seth Rogen et Evan Goldberg... Et ce n'est bien entendu pas un hasard !
Fuck, fuck, fuck !
Le mot "Fuck" est prononcé à 186 reprises dans le film, dont 84 fois par Seth, le personnage incarné par Jonah Hill. Si ces chiffres sont impressionnants, ils restent modestes en comparaison avec le 'score' réalisé dans ce même registre par Martin Scorsese et son Casino. Le mot "Fuck" y est prononcé à 362 reprises !
Grandville Street
Lorsque dans le film les deux officiers de police demandent à McLovin (Christopher Mintz-Plasse) le lieu ou se trouve la fête qu'il s'apprête à rejoindre, ce dernier répond "Grandville Street". Cette rue, une des artères principales de l'ouest de Vancouver, est celle ou les deux scénaristes Seth Rogen et Evan Goldberg ont grandit.
Acteur à ses heures perdues
Le réalisateur du film, Greg Mottola, a joué deux petits rôles chez Woody Allen : celui d'un...réalisateur en 1999 dans Celebrity puis celui d'un assistant réalisateur dans Hollywood Ending en 2002.
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Superman|Richard Donner|Aventure||3|britannique, américain|1979|145|Anglais||DX50|||DX50|553 Kbps|640x384|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|720||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Alexander Salkind Pierre Spengler Richard Lester|Mario Puzo David Newman (II) Leslie Newman Robert Benton Tom Mankiewicz|Geoffrey Unsworth||Warner Bros. France|Saga : Superman |Juste avant l'explosion de la planète Krypton, Jor-El décide de sauver son fils en l'envoyant sur Terre. Le nourrisson est recueilli par le couple Kent qui décide de l'élever comme leur propre fils. L'enfant se met à développer des pouvoirs hors du commun. Une fois adulte, Clark Kent, reporter au Daily Planet, souhaite mener une vie normale. Il ne renie pas pour autant ses capacités à sauver le monde et devient alors Superman : Super-héros volant au secours de la veuve et de l'orphelin, attisant la jalousie de Lex Luthor et l'intérêt de sa collègue Loïs Lane. |Christopher Reeve (Superman/Clark Kent)@Marlon Brando (Jor-El, le père de Superman sur Krypton)@Gene Hackman (Lex Luthor)@Margot Kidder (Lois Lane)@Glenn Ford (Jonathan Kent)@Ned Beatty (Otis)@Jackie Cooper (Perry White)@Valerie Perrine (Eve Teschmacher)@Terence Stamp (Général Zod)@Phyllis Thaxter (Martha Kent)@Susannah York (Lara)@Trevor Howard (Le premier Ancien)@Maria Schell (Vond-Ah)@Jack O'Halloran (Non)@Marc McClure (Jimmy Olsen)@Sarah Douglas (Ursa)@Larry Hagman (Le major)@Richard Donner (l'homme dans la rue)@Harry Andrews (Le deuxième Ancien)@Jeff East (Clark Kent jeune)@Vass Anderson (Le troisième Ancien)@John Hollis (Le quatrième Ancien)@James Garbutt (Le cinquième Ancien)@Michael Gover (Le sixième Ancien)@David Neale (Le septième Ancien)@William Russell (Le huitième Ancien)@Penelope Lee (La neuvième Ancienne)@John Stuart (Le dixième Ancien)@Alan Cullen (Le onzième Ancien)@Jill Ingham (La secrétaire de Perry)@Rex Reed (Lui-même)@Steve Kahan (Détective Armus)@Paul Tuerpe (Sergent Hayley)@Diane Sherry (Lana Lang)@Roy Stevens (I) (Warden)@||Secrets de tournage :
Clin d'oeil à Graine de violence
Lorsque Glenn Ford va chercher Clark Kent petit, il écoute Round around the clock, chanson-phare du film de Richard Brooks, Graine de violence (1955), où il tient le rôle principal.
A la télé comme au ciné
Le rôle des parents de Lois Lane est tenu dans le film par les héros de la série Superman des années 50 : Kirk Alyn, qui était le héros aux collants, et Noel Neill, qui jouait Lois Lane.
Reeve trop musclé
Pour obtenir une musculature convenable, Christopher Reeve a suivi un gros programme de bodybuilding avec Davis Prowse, connu pour son rôle de Dark Vader dans la trilogie Star Wars (1977). Son corps évolua tellement que les scènes tournées au début durent être refaites. Le tournage dura 19 mois, avec 11 équipes de tournage, et plus de 1000 techniciens répartis sur trois continents, longueur qui tient au fait que Donner et se soient partagés la réalisation et que les images du deuxième opus aient été tournées durant cette période.
Un inconnu nommé Reeve
Richard Donner décida d'engager un acteur inconnu pour le rôle de Superman : ainsi fut choisi Christopher Reeve, alors que des grands noms avaient circulé auparavant, comme Clint Eastwood, Steve McQueen, Sylvester Stallone ou Nick Nolte. Son cachet, de 225000 $, paraissait bien maigre par rapport à celui de Marlon Brando, qui a touché 4 millions de $ pour son rôle dans les 10 premières minutes du film et 12 jours de tournage. Quant à Lois Lane, la production proposa le rôle, dans un premier temps, à Lesley Ann Warren. Mario Puzo, auteur du Le Parrain de Francis Ford Coppola, fut engagé comme scénariste.
Spielberg pressenti
Les producteurs pensèrent d'abord à Steven Spielberg pour la réalisation de Superman I, mais ils hésitèrent devant le salaire qu'il demandait. Ils attendirent en fait de voir les résultats qu'il allait avoir avec Les Dents de la mer, mais ensuite Spielberg se tourna vers d'autres projets et Richard Donner, auréolé de son succès de , reprit la main, après que les producteurs eurent proposé le poste à Guy Hamilton.
Un succès longuement préparé
Superman a été un immense projet pour la Warner qui a consenti un investissement de 45 millions de $, montant très important pour l'époque, mais il est vrai que l'attente du public était forte du fait du succès du personnage dans la bande dessinée américaine de Jerry Siegel. Ainsi, trois ans et demi de préparation ont été nécessaires au total, et le tournage dura un an et demi, entre les studios en Angleterre et les extérieurs à New York, au Nouveau-Mexique et au Canada.
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Superman II|Richard Lester|Aventure||3|britannique|1980|122|Secrets de tournage ||DX50|||DX50|694 Kbps|560x224|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Pierre Spengler|Mario Puzo David Newman (II) Leslie Newman Tom Mankiewicz|Robert Paynter||Warner Bros. France|Saga : Superman |Loïs Lane, la célèbre reporter du Daily Planet, se retrouve aux prises avec un groupe de terroristes. Ces derniers menacent d'anéantir la ville de Paris à l'aide d'une bombe H, placée au sommet de la Tour Eiffel. Superman décide alors de voler au secours de son amie et de sauver Paris de la catastrophe. |Christopher Reeve (Superman/Clark Kent)@Ned Beatty (Otis)@Gene Hackman (Lex Luthor)@Margot Kidder (Lois Lane)@Terence Stamp (Général Zod)@Sarah Douglas (Ursa)@Jackie Cooper (Perry White)@Susannah York (Lara)@Jean-Pierre Cassel (un officier français)@Clifton James (Shérif)@E.G. Marshall (Le président)@Roger Brierley (un terroriste)@Anthony Milner (un terroriste)@Richard Griffiths (un terroriste)@Tony Sibbald (Le faux président)@Richard Donner (un homme qui marche)@Jack O'Halloran (Non)@Valerie Perrine (Eve Teschmacher)@Marc McClure (Jimmy Olsen)@Leueen Willoughby (Leueen)@Robin Pappas (Alice)@John Morton (Nate)@Jim Dowdall (Boris)@Hadley Kay (Jason)@Bill Bailey (II) (J.J.)@Marcus D'Amico (Willie)@Pepper Martin (Rocky)@Richard LeParmentier (Un reporter)@||Secrets de tournage :
Tourné en partie en même temps que le premier volet
Une des originalités de cette suite est qu'une partie des plans ont été tournés en même temps que l'original en 1978, avec les acteurs qui devaient être présents lors du deuxième épisode, comme Gene Hackman ou, évidemment, Christopher Reeve. Ce procédé procure aux deux films une impression de continuité.
Signé Lester
C'est le dix-huitième film de Richard Lester, à qui l'on doit notamment Quatre garçons dans le vent, et qui était déjà présent comme producteur, mais non crédité, sur Superman I.
Il semble que si Richard Lester a remplacé Richard Donner, cela soit surtout pour des raisons de vision créatrice. Le succès, au rendez-vous, permettra à Lester de tourner un troisième opus de la saga.
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Superman III|Richard Lester|Aventure||2|britannique|1983|125|Anglais||DX50|||DX50|669 Kbps|528x224|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|688||||23.976|13/08/2009 00:00:00|Pierre Spengler|Leslie Newman David Newman (II)|Robert Paynter||Warner Bros. France|Saga : Superman |Ross Webster, patron d'une puissante société, découvre les talent cachés de l'informaticien Gus Gorman, véritable génie dans son domaine. Webster décide d'exploiter les dons de son employé, afin de prendre le contrôle de l'économie mondiale et d'anéantir Superman à l'aide d'une Kryptonite synthétique. |Christopher Reeve (Superman / Clark Kent)@Robert Vaughn (Ross Webster)@Richard Pryor (Gus Gorman)@Annette O'Toole (Lana Lang)@Jackie Cooper (Perry White)@Marc McClure (Jimmy Olsen)@Annie Ross (Vera Webster)@Pamela Stephenson (Lorelei Ambrosia)@Margot Kidder (Lois Lane)@Gavan O'Herlihy (Brad)@Graham Stark (l'homme aveugle)@Henry Woolf (l'homme pingouin)@Justin Case (un mime)@Terry Camilleri (le livreur)@Helen Horton (Mlle Henderson)@Lou Hirsch (Fred)@Barry Dennen (Dr McClean)@Enid Saunders (Minnie Bannister)@Robert Henderson (M. Simpson)@Paul Kaethler (Ricky)@R.J. Bell (M. Stokis)@Pamela Mandell (Mme Stokis)@||||||||||||@@
Superman IV: The Quest for Peace|Sidney J. Furie|Science-Fiction||||1987|89|||DX50|||DX50|939 Kbps|640x384|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|693||||23.976|13/08/2009 00:00:00|Menahem Golan Yoram Globus||||Warner Bros. France||Lex Luthor est de retour et propose un nouveau adversaire à Superman : un Super Homme nucléaire... |Christopher Reeve (Superman)@Gene Hackman (Lex Luthor)@Jim Broadbent@Sam Wanamaker@||||||||||||@@
Superman Returns|Bryan Singer|||2|américain, australien|2006|147|Anglais||DX50|||DX50|1 180 Kbps|704x288|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|1394||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Jon Peters Gilbert Adler Bryan Singer|Michael Dougherty Dan Harris Bryan Singer|Newton Thomas Sigel||Warner Bros.|Saga : Superman |Alors qu'un ennemi de longue date, Lex Luthor, tente de l'affaiblir en lui dérobant tous ses superpouvoirs, Superman doit faire face à un problème d'un autre genre : Lois Lane, la femme qu'il aime, est partie mener une nouvelle vie loin de lui. Mais l'a-t-elle vraiment oublié ?Le retour de Superman sera donc ponctué de nombreux défis puisqu'il devra se rapprocher de son amour tout en retrouvant sa place au sein d'une société qui semble ne plus avoir besoin de lui. En tentant de protéger le monde qu'il aime de la destruction totale, Superman se retrouve au centre d'une aventure incroyable qui le mènera des fonds de l'océan à des milliers d'années lumière de notre galaxie. |Brandon Routh (Clark Kent / Superman)@Kate Bosworth (Lois Lane)@Kevin Spacey (Lex Luthor)@James Marsden (Richard White)@Sam Huntington (Jimmy Olsen)@Frank Langella (Perry White)@Eva Marie Saint (Martha Kent)@Kal Penn (Stanford)@Parker Posey (Kitty Kowalski)@Marlon Brando (Jor-El (images du "Superman" de Richard Donner))@Tristan Lake Leabu (Jason White)@James Karen (Ben Hubbard)@Stephan Bender (Clark Kent, enfant)@Raelee Hill (Auxiliaire médical)@John Ghaly (Officier de police de Metropolis)@David Fabrizio (Brutus)@Jack Larson (Bo le Barman)@Noel Neill (Gertrude Vanderworth)@Ian Roberts (Riley)@Jeff Truman (Gil)@Peta Wilson (Bobbie Faye)@Vincent Stone (Grant)@Barbara Angell (Polly)@Ian Bliss (Le commandant de la navette)@Ansuya Nathan (Le pilote de la navette)@Richard Branson (Le mécanicien de la navette)@Warwick Young (Le copilote du 777)@Bradd Buckley (Le navigateur du 777)@Frédérique Fouché (La présentatrice française)@Julian Pulvermacher (Le présentateur français)@||Secrets de tournage :
A l'origine du projet
Superman Returns aura mis dix ans à voir le jour. C'est en 1997 que l'idée de porter à nouveau les aventures de Superman sur grand écran voit le jour chez les dirigeants de Warner Bros. Tout d'abord, c'est un film opposant Superman à un autre célèbre super héros, Batman, que le projet commence à faire parler de lui. Puis, c'est sous le titre de Superman Lives, que le studio propose à Tim Burton, déjà réalisateur des deux premiers opus de Batman, de redonner vie au super-héros de Krypton. Tim Burton accepte et commence à constituer son casting. Nicolas Cage est rapidement annoncé dans le rôle de Clark Kent. Alors que la pré-production a déjà bien avancé, les studios décident d'annuler le projet. Le scénario, écrit par Kevin Smith, s'inspirait alors de l'épisode où Superman se fait tuer par une créature du nom de Doomsday et revient à la vie plus puissant que jamais. Le projet reverra le jour quelques années plus tard sous le titre Superman Returns.
La valse des réalisateurs
Le projet Superman Returns, un temps entre les mains de Brett Ratner, a connu de nombreux changements de direction. C'est en raison d'un désaccord concernant le casting du film que le réalisateur de Rush Hour s'est vu remercier par la production. Au vu du succès au box-office de Charlie et ses drôles de dames, la production décide alors de se tourner vers McG. Il est malgré tout contraint d'abandonner à son tour le projet en 2002 pour tourner Charlie's angels - les anges se déchaînent. Il revient en 2004 pour un bref moment puisque, réalisateur et producteurs n'arrivent pas à s'accorder en ce qui concerne le budget du film et le lieu de tournage, provoquant ainsi le départ définitif de McG. Avant de trouver la "perle rare" qui pourra mener à terme le projet Superman Returns et sera en parfait accord avec eux, les studios Warner approchent des réalisateurs aussi différents que Michael Bay (Armageddon) ou Robert Rodriguez (Sin City). La Warner propose alors à Bryan Singer de réaliser Superman Returns, tandis qu'il travaille sur le dernier opus des aventures des X-Men. Ne pouvant accepter de prendre en charge deux projets d'une aussi grande envergure, il est contraint de faire un choix. Il décide de renoncer à X-Men pour, accompagné de toute son équipe technique, s'occuper du retour tant attendu de Superman sur grand écran. Ironie du sort, c'est alors Brett Ratner que les studios contactent pour prendre sa succession sur le tournage d'X-Men l'affrontement final.
Dédié à Christopher et Dana Reeve
Superman Returns est dédié à l'acteur Christopher Reeve et à son épouse, Dana Reeve. En 1978 Christopher Reeve avait endossé pour la première fois le costume de l'homme d'acier sous la direction de Richard Donner. Il avait par la suite prêté ses traits au super-héros dans trois autres longs métrages, devenant ainsi une véritable icône du cinéma international. Sa carrière d'acteur est brutalement interrompue le 27 mai 1995 par une chute de cheval, un accident au cours duquel il se brise deux vertèbres cervicales et se sectionne la moelle épinière. Paralysé, il crée une fondation à son nom pour collecter des dons afin d'encourager la recherche sur les lésions de la moelle épinière. Il est décédé en octobre 2004, alors que la production du film de Bryan Singer débutait...
Kal-El
Alors que l'acteur Nicolas Cage était pressenti pour reprendre le costume de Superman au moment où le projet à débuté, il a tout de même décidé de rendre hommage au super héros à sa manière. En octobre 2005, l'acteur américain annonçait ainsi la naissance de son deuxième enfant, le petit Kal-El Coppola Cage, qui n'est autre que le nom kryptonien de Superman.
Superman, un héros populaire
Créé en 1933 par Jerry Siegel et Joe Shuster, Superman se dévoile pour la première fois dans un comic en 1938. Succès populaire, il devient rapidement l'un des personnages de fiction préféré des américains. Il apparaît pour la première fois sur écran en 1941 dans 17 courts métrages des studios Fleischer. Dix ans plus tard, le premier long-métrage consacré à l'homme d'acier voit le jour (Superman and the mole-men) avec George Reeves dans le rôle du super-héros. La franchise est à nouveau portée au cinéma en 1978 par Richard Donner avec Christopher Reeve et Marlon Brando, prouvant une nouvelle fois la popularité du super-héros. Trois suites voient alors le jour en 1980, 1983 et 1987. Depuis, Superman s'est surtout illustré sur petit écran à travers les séries Lois et Clark et Smallville. Superman Returns est le 6e long-métrage consacré à l'homme d'acier. Entre temps, les comics continuent toujours de paraître chaque mois, diffusés dans 25 langues dans plus de quarante pays.
L'après Superman II...
Superman Returns s'inscrit dans le prolongement de Superman II : "C'est une pseudo-suite, explique le scénariste Michael Dougherty. Dan, Bryan et moi adorons deux premiers films et je pense que ça aurait été une erreur de revenir aux origines de la saga. Tout le monde connaît l'histoire de Superman. Donner l'a très bien racontée à mon avis. La série Smallville le fait également mais nous ne voulions pas deux incarnations différentes qui pourraient semer la confusion. Nous avons préféré pousser l'histoire un peu plus loin plutôt que de la reprendre depuis le début."
Le retour de Marlon Brando
Pour Superman returns, Bryan Singer a décidé de "redonner vie" à Marlon Brando. L'acteur, décédé durant l'été 2004, interprétait Jor-El, le père de Superman, dans le film de Richard Donner en 1978. Bryan Singer a décidé d'utiliser des images d'archives de ce long métrage, afin de permettre à l'acteur de reprendre son rôle, à titre posthume, dans le nouvel opus des aventures du super-héros.
Clin d'oeil
52 ans après Sur les quais d'Elia Kazan, Marlon Brando et Eva Marie Saint "se retrouvent" à l'affiche de Superman Returns. Même si le premier est décédé et n'apparaît à l'écran qu'à l'aide d'images d'archives, la seconde y interprète Martha Kent la mère adoptive du super héros.
De Christopher Reeve à Brandon Routh
Comme Richard Donner avec Christopher Reeve, Bryan Singer a choisi de confier le rôle de Superman à un acteur relativement inconnu : le jeune Brandon Routh, aperçu notamment dans les séries Gilmore Girls, Cold Case : affaires classées et Will & Grace. Singer avait besoin d'un acteur qui sache incarner toutes les qualités contrastées de Kal-El, Clark Kent et Superman, qui puisse assumer la dimension physique et émotionnelle du rôle. Il n'en voulait pas moins un inconnu : "Il fallait quelqu'un qui reflète notre mémoire collective de Superman et devienne la vivante image du personnage", explique le réalisateur.
Un casting mouvementé
Constituer le casting de Superman Returns a été l'une des étapes les plus longues de la pré-production. De multiples noms ont été mentionnés et de nombreux acteurs et actrices ont passé des essais pour le film, comme Claire Danes, Keri Russell, Scarlett Johansson ou encore Keira Knightley pour incarner la belle Lois Lane. Anthony Hopkins était, quant à lui, engagé pour interpréter le rôle de Jor-El (le père de Superman), mais a renoncé au moment où Brett Ratner a quitté le projet. Johnny Depp a été considéré pendant un temps pour les rôles de Jor-El et Lex Luthor. Cependant, c'est tout naturellement le rôle de Superman qui a suscité le plus de remous. Des dizaines d'acteurs ont été envisagés pour endosser le costume rouge et bleu du super héros. Les noms de Josh Hartnett, Brendan Fraser, Ashton Kutcher, Ian Somerhalder, Jared Padalecki ou encore Jim Caviezel ont ainsi été évoqués soit par les différents réalisateurs ou la production.
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Dans la peau d'un super héros
Frank Langella, qui incarne le rédacteur en chef du Daily Planet Perry White dans Superman Returns, n'en est pas à son premier film de super-héros. Il a en effet interprété le rôle de Skeletor. Peta Wilson (Bobbie Faye) a quant à elle participé en 2003 à La Ligue des Gentlemen Extraordinaires. Sans oublier que Bryan Singer retrouve pour l'occasion James Marsden (Richard White) qu'il avait pu diriger dans les deux premiers volets de X Men sous les traits de Cyclope.
Incarner Superman à 26 ans
Né en octobre 1979, Brandon Routh a tourné Superman Returns à l'âge de vingt-six ans. C'était aussi l'âge de Christopher Reeve en 1978 pour le Superman de Richard Donner.
La famille Singer
Pour réaliser Superman Returns, Bryan Singer s'est entouré de ses collaborateurs habituels avec qui il avait notamment réalisé X-Men 2. Du compositeur John Ottman à Guy Hendrix Dyas aux décors, en passant par les scénaristes Dan Harris et Michael Dougherty, le réalisateur américain a souhaité travailler dans un cadre familial. Il retrouve aussi son directeur de la photographie Newton Thomas Sigel ainsi que l'acteur Kevin Spacey qu'il avait dirigé pour la première fois dans The Usual Suspects en 1995. "Nous cherchions une occasion de travailler à nouveau ensemble, explique le réalisateur. Kevin était plus que parfait pour ce rôle, avec son mélange d'humour et de cynisme et, bien sûr, ses brillantes qualités d'acteur. Compte tenu de ses nombreuses activités théâtrales à l'Old Vic de Londres, il n'avait pas plus de six semaines à nous accorder, et c'est durant ce bref laps de temps que nous avons tourné toutes ses scènes."
Kate Bosworth / Kevin Spacey : 2e !
Kate Bosworth (Loïs Lane) et Kevin Spacey (Lex Luthor) s'étaient déjà donnés la réplique en 2004 dans Beyond the Sea, réalisé par Spacey lui même. Conquis par la performance de la jeune comédienne, il aurait lui-même conseillé aux producteurs de l'engager pour tenir le rôle de la reporter du Daily Planet.
Point commun
Le réalisateur Bryan Singer avoue qu'il se sent proche du super-héros : "Superman et moi avons un point commun : nous sommes des enfants adoptés et des fils uniques. C'est pour cette raison, très élémentaire, que je me suis senti si proche de lui et en ai fait mon super-héros favori. C'est aussi pourquoi je trouvais important de raconter cette histoire à ma façon."
Hommage aux anciens Lois Lane et Jimmy Olsen
L'actrice qui interprète la richissime Gertrude Vanderworth, n'est autre que Noel Neill, la créatrice du rôle de Loïs Lane et la seconde partenaire de George Reeves dans la série télé des années cinquante. Elle avait aussi fait une discrète apparition dans le Superman de Richard Donner en 1978.
Par ailleurs, Jack Larson qui interprète Bo le barman incarnait, quant à lui, le jeune Jimmy Olsen dans les années 50. Il apparaît furtivement face à Sam Huntington qui reprend aujourd'hui le rôle du jeune photographe.
La science du vol
Bryan Singer a apporté un soin particulier aux scènes de vol. Il souhaitait donner l'impression qu'un homme peut réellement voler. "Brandon et moi avons élaboré nos propres lois physiques, dont découlerait la mise en scène des séquences de vol. Il fallait, par exemple, répondre à des questions très précises, du type : "Quelle force Superman doit-il déployer pour stopper un avion en plein vol ? Dans quelles circonstances flotte-t-il ? Quand est-il en chute libre ? Quels gestes fait-il avec ses mains pour naviguer dans les airs ?" Il a fallu d'interminables discussions entre Brandon, moi-même, les chefs cascadeurs et les équipes aériennes pour fixer tous ces paramètres. Résultat : Brandon vole dans ce film comme aucun autre Superman avant lui".
Nouvelle technologie
Superman Returns est le premier film à utiliser la caméra HD Panavision Genesis. Cette caméra a été conjointement développée par Sony et Panavision. Elle représente le modèle se plaçant au-dessus de la traditionnelle HD 24p utilisée par George Lucas ou Robert Rodriguez. "Il n'en existait encore qu'une à Los Angeles. C'est avec elle que nous avons filmé les premiers essais de costumes de Brandon, raconte Bryan Singer. Puis nous avons fait des tests comparatifs très poussés avec la Genesis, à l'extérieur, en intérieur, de jour, de nuit, en pleine lumière, dans la pénombre, en costume, avec ou sans maquillage, etc. Après avoir passé tout cela en revue, Tom et moi avons décidé de tourner tout le film avec le système Genesis. Lorsque nous avons démarré en Australie, nous n'avions guère que deux de ces caméras à notre disposition. Deux mois plus tard, nous en avions huit ou dix."
Superman, collection été 2006
Le célèbre combinaison bleue que porte Brandon Routh dans le film est une oeuvre de haute technologie. Renforcée à certains endroits par des prothèses musculaires le costume avait pour but d'affirmer l'impression de puissance du super-héros. Le fameux logo en relief qui orne la poitrine de Superman a été fabriqué en latex moulé, puis découpé au laser en plusieurs milliers de minuscules insignes en forme de "S". La cape est doublée d'une laine spéciale, tissée en France, et "ombrée" pour renforcer l'éclat du rouge. Enfin, l'extérieur est caoutchouté pour lui donner du poids et une certaine texture. Brandon Routh devait passer plus de 20 minutes à enfiler ce costume.
Le blog
Tout comme l'a fait Peter Jackson lors du tournage de la saga du Seigneur des anneaux, Bryan Singer a lui aussi tenu un blog sur le plateau de Superman Returns. Ce-dernier a ainsi permis aux fans du super héros de suivre "en direct" l'évolution de ce tournage australien.
« Préc.
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« Préc.
80 décors
Du Daily Planet au Yacht Gertrude en passant par la ferme des Kent, près de 80 décors ont été réalisés au total. Une fois le tournage achevé, la plupart des éléments de ces mêmes décors ont été stockés dans des containers, en vue d'une éventuelle future utilisation.
Superman à l'assaut des salles IMAX 3D
Superman Returns est le premier film "live" prévu pour être projeté en trois dimensions dans les Salles IMAX. Lors de certains passages, une icône vient avertir le spectateur qui doit alors mettre des lunettes spéciales pour profiter des effets "3-D". La technique était auparavant réservée aux documentaires (Deep sea 3D) ou aux films d'animation (Le Pôle Express).
Promotion
Afin d'assurer de manière originale la promotion du film, la production de Superman Returns a fait appel au célèbre basketteur Shaquille O'Neal connu pour son tatouage en forme de "S". Il a ainsi tourné un spot télévisé pour le film de Bryan Singer mettant en évidence son tatouage et le "lien" avec le "S" que porte le super héros sur son costume.
Kryptonite
Le morceau de Kryptonite que convoite Lex Luthor dans le musée a été découverte en 1978. C'est une année importante dans l'univers du super-héros puisque c'est en 1978 que fut réalisé le Superman de Richard Donner.
« Préc.
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Surf School|Joel Silverman|Comédie||1|américain|2006|82|Anglais||XviD|||XVID|1 052 Kbps|560x336|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Juan Feldman|Joel Silverman|||||Jordan décide avec ses potes de s'inscrire à un championnat de surf au Costa Rica. Au programme : sable blanc, soleil, filles en bikini, cocktails et... cours de surf. Car pour faire tomber les filles, ils doivent affronter les vagues. |Corey Sevier (Jordan)@Laura Bell Bundy (Doris)@Lee Norris (Larry)@Miko Hughes (Taz)@Sisqo (Mo)@Harland Williams (Rip)@Taylor Negron (Boris)@Diane Delano (Tillie)@Ryan Carnes (Tyler)@Matt Baker (Stoop)@Angie Ruiz (Mariana)@Eriko Tamura (Chika)@Lin Shaye (Maman de Larry)@Beverly Leech (Maman de Jordan)@Cheryl Francis Harrington (Mofika)@Ellen Hollman (Megan)@||||||||||||@@
Under suspicion|Stephen Hopkins|Policier||2|américain, français|2000|106|Anglais||DIV3|||DIV3|761 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|147 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Anne Marie Gillen Stephen Hopkins Lori McCreary|Tom Provost W. Peter Iliff|Peter Levy||Cinédia Films||Henry Hearst, brillant avocat, découvre le cadavre d'une jeune fille en faisant son jogging. Il est convoqué au poste par l'inspecteur Victor Benezet, qui le considère comme étant le coupable. La nuit s'annonce longue... |Gene Hackman (Henry Hearst)@Morgan Freeman (Victor Benezet)@Monica Bellucci (Chantal Hearst)@Thomas Jane (le détective Felix Owens)@Nydia Caro (Isabella)@||Secrets de tournage :
Un remake américain
Ce film a fait l'objet d'un remake américain, Suspicion de Stephen Hopkins, initié par le comédien Gene Hackman, grand admirateur du film. Celui-ci reprend d'ailleurs le rôle de Michel Serrault, tandis Morgan Freeman interprète le personnage de Lino Ventura et Monica Bellucci celui de Romy Schneider.
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S.W.A.T.|Clark Johnson|Action||2|américain|2003|112|Anglais||DX50|||DX50|761 Kbps|544x224|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Oliver Stone Dan Halsted Chris Lee Neal Moritz|David Ayer David McKenna Robert Hamner Ron Mita|Gabriel Beristain||Columbia Pictures||Si Dan Harrelson revient dans l'unité d'élité S.W.A.T., c'est pour former une nouvelle équipe dont il aura la charge. Contre l'avis de sa hiérarchie, ce vétéran regroupe de jeunes agents déjà intégrés, mais également quelques éléments au caractère bien trempé. Chris Sanchez, l'unique femme, Deacon Kaye et surtout Jim Street intègrent ainsi le programme d'entraînement intense.Jim n'attendait que ça. Lui qui avait été mis à pied quelque temps plus tôt pour une bavure de son coéquipier d'alors, Brian Gamble, trouve enfin l'occasion de saisir sa chance.Au même moment, Alex Montel, un redoutable trafiquant de drogue tout juste capturé, promet cent millions de dollars à celui qui le libérera par n'importe quel moyen. Cette énorme somme déclenche une surenchère de tentatives auxquelles les autorités ne peuvent plus faire face. L'équipe Harrelson est appelée en renfort... |Samuel L. Jackson (Dan "Hondo" Harrelson)@Colin Farrell (Jim Street)@Olivier Martinez (Alex Montel)@Clark Johnson (le partenaire de Deke)@Michelle Rodriguez (Chris Sanchez)@Jeremy Renner (Brian Gamble)@LL Cool J (Deacon "Deke" Kaye)@Brian Van Holt (Michael Boxer)@Josh Charles (T.J. McCabe)@Ashley Scott (Lara )@Ken Davitian (L'oncle d'Alex Montel)@Lucinda Jenney (Kathy)@James DuMont (Gus)@Bruce Gray (Richard Segerstorm)@E. Roger Mitchell (Agent Kirkland)@David St. James (Un otage)@Matt Gerald (Nick)@Tommy De La Cruz (Un gangster)@Richard Steinmetz (Le négotiateur)@Ken Rudulph (Un journaliste)@Page Kennedy (Travis Hudson)@Andy Umberger (Chef député)@Reed Diamond (Officier David Burress)@Domenick Lombardozzi (GQ)@Shannon Sturges (Miss Segerstorm)@Larry Poindexter (Capitaine Thomas Fuller)@Jenya Lano (Monique)@Lindsey Ginter (Agent Hauser)@Peter Allas (Un gangster du bistro)@Gregory Crane (Un garde de prison)@Iris Little-Thomas (Superviseur de la banque)@Daniel Ichikawa (Sergent Yamoto)@Steven Hack (Manager de la banque blessé)@Michael Papajohn (Un gangster du bistro)@Octavia L. Spencer (Le voisin dans l'allée)@Jeffrey Wincott. (Ed Taylor)@Sara Arrington (La femme de Boxer)@Atticus Todd (Un gangster)@Larry McCormick (Lui-même)@Alexander Lyras (Un gangster du bistro)@Brad Crosby (Lee)@Archbishop Don " Magic " Juan (Lui-même)@Jessica Edwards (Une journaliste)@Kenny Franklin (Jeune députée)@Denis Arnot (Sergent Howard)@Bridget The Midget (Elle-même)@Esther K. Chae (Un journaliste)@Elio Lupi (Le vendeur de hot-dogs)@Rod Perry (Le père de Deke)@Reginald E. Cathey (Lieutenant Greg Velasquez)@Melanie Kim Blank (Une journaliste)@Sergio Lambert (L'enfant dans l'allée)@||Secrets de tournage :
Basé sur une série télévisée
S.W.A.T. unité d'élite est librement inspiré d'une série télévisée homonyme créée en 1975 et diffusée sur la chaîne ABC et en France sous le titre Section 4. Elle suivait les aventures de deux accros de la gâchette, le lieutenant Dan Harrelson (Steve Forrest) et l'officier Jim Street (Robert Urich).
Une carrière internationale pour Olivier Martinez
En interprétant le trafiquant de drogue Alex Montel, Olivier Martinez apparaît dans son deuxième film américain, le premier étant Infidèle, où il incarnait l'amant de Diane Lane. L'acteur français s'illustrera par la suite dans un troisième film tourné aux Etats-Unis : Taking lives, un film policier de D.J. Caruso dans lequel il donnera la réplique à Angelina Jolie et Ethan Hawke.
Acteurs et réalisateurs pressentis
Avant d'aboutir dans les mains du réalisateur Clark Johnson et des acteurs Samuel L. Jackson, Colin Farrell et Michelle Rodriguez, le projet S.W.A.T. a d'abord suscité l'intérêt des cinéastes Roger Spottiswoode et Zack Snyder et de l'acteur Arnold Schwarzenegger, auquel les studios Columbia Pictures ont préféré des comédiens plus jeunes comme Mark Wahlberg et Paul Walker.
Appel aux services d'un vrai membre des S.W.A.T.
Pour entraîner les comédiens et les familiariser avec les techniques de l'unité d'élite S.W.A.T., la production a fait appel a un ancien, Randy Walker, qui y a passé plus de seize ans. Clark Johnson commente : "Même si le film raconte une histoire créée de toutes pièces, nous tenions à ce que les détails matériels et les environnements soient scrupuleusement authentiques. Nous avons entraîné tous les acteurs au maniement des armes, aux procédures. C'était essentiel pour la crédibilité du film."
Un lourd équipement
La tenue réglementaire a posé quelques problèmes aux acteurs. En opération, les S.W.A.T. portent un treillis mais également un gilet pare-balles très couvrant, un casque et une multitude d'outils et d'équipements. Le tout dépasse les 35 kilos. Colin Farrell se souvient des difficultés rencontrées durant le tournage : "Il faut une sacrée condition physique pour garder sa souplesse, sa puissance et sa réactivité en étant entravé ainsi ! Avec les projecteurs et les répétitions, nous étions tous en nage !"
La production a tout de même décidé de faire des copies allégées de certains équipements. Les radios ont été vidées, et les gilets renforcés de kevlar pare-éclats ont été refaits à l'identique avec des mousses ultralégères.
L'atterrissage d'un jet sur la 6e avenue de Los Angeles
La scène d'atterrissage du jet sur le célèbre pont de la 6e avenue de Los Angeles a nécessité plus d'un mois de préparation et deux semaines de tournage de nuit. Avec les lampadaires qui bordent le pont, il était impossible de faire atterrir réellement l'avion. Des effets optiques ont donc été combinés à des cascades très pointues pour boucler cette séquence.
S.W.A.T., l'historique
Le S.W.A.T., Special Weapons And Tactics Team, est une unité d'élite fondée à la fin des années soixante. A la suite d'erreurs et de bavures, les autorités de Los Angeles décidèrent la création d'un corps restreint - une soixantaine de personnes au total - qui serait formé pour les situations de crise majeures.
Officiellement structuré en 1972 et doté d'un équipement spécifique et d'un entraînement adapté, ce corps à mi-chemin entre l'armée et la police est intervenu à plus de 3 000 reprises au cours des dix dernières années. Contrairement à ce qui est montré dans le film, les unités sont en général composées de quatorze membres et à ce jour, aucune femme n'a encore intégré le S.W.A.T.. La sélection pour l'admission est souvent aussi dure que celle des Navy Seals. Jusqu'à présent, les S.W.A.T. n'ont jamais perdu un otage.
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Sweet Sixteen|Ken Loach|Drame|Interdit aux moins de 12 ans|3|britannique|2002|101|||DIV3|||DIV3|812 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|692||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Rebecca O'Brien Peter Gallagher (2)|Paul Laverty|Barry Ackroyd||Diaphana Films||Dans quelques jours, Liam aura seize ans. Jean, sa mère qui est en prison, doit être libérée à temps pour l'anniversaire de son fils.Liam rêve d'une famille comme il n'en a jamais eue et redoute l'influence de son grand-père, comme celle de Stan, le compagnon de Jean. Il veut un foyer, un endroit sûr pour sa mère, sa soeur Chantelle et lui-même.Encore faut-il trouver de l'argent et, pour un adolescent sans le sou, ce n'est pas une mince affaire. Avec ses amis, Liam monte quelques combines, mais les ennuis ne vont pas tarder à commencer... |Martin Compston (Liam)@Michelle Coulter (Jean)@Annmarie Fulton (Chantelle)@William Ruane (Pinball)@Gary McCormack (Stan)@Tommy McKee (Rab)@Michelle Abercromby (Suzanne)@Calum McAlees (Calum)@Robert Rennie (Tony)@Jon Morrison (Douglas)@||Secrets de tournage :
Interdit aux mineurs en Grande-Bretagne
Portrait réaliste et sans concession de jeunes défavorisés quasiment livrés à eux-mêmes, le film a été interdit en Grande-Bretagne aux moins de 18 ans pour son langage ordurier. Montant au créneau, Ken Loach déplore cette politique de l'autruche qui, sous couvert de la bienséance, empêche les premiers concernés de voir leur propre monde : "Regardez l'incroyable ghetto dans lequel certains enfants sont rejetés et on dit aux autres enfants de ne pas les regarder à cause de leur langage ! Les gens qui jouent dans le film ne pourront même pas le voir. C'est n'importe quoi !"
Ken Loach et Paul Laverty
Le réalisateur Ken Loach et le scénariste Paul Laverty n'en sont pas à leur première collaboration. Ils ont travaillé précédemment ensemble sur Carla's Song, My name is Joe et Bread and Roses. Le scénariste tenait par ailleurs un petit rôle dans Land and Freedom de Loach.
Un tournage en Ecosse
Le film a été tourné en Ecosse à Greenock et Port Glasgow, deux villes sinistrées qui employaient autrefois énormément d'ouvriers dans les constructions navales. Aujourd'hui la population ne cesse de décroître et comme dans le reste de l'Ecosse, la proportion d'enfants victimes de violence, de parents mineurs et d'adolescents renvoyés de leur établissement scolaire est l'une des plus fortes de Grande Bretagne. L'Ecosse compte également le plus fort pourcentage d'enfants vivant en-dessous du seuil de pauvreté de toute l'Union Européenne.
La genèse du film
Le scénariste Paul Laverty raconte à propos de la genèse du film : "L'idée de Sweet sixteen doit remonter à l'écriture de My Name is Joe. Quand on imagine un scénario, il y a souvent plein de personnages qui attirent votre attention, et qui pour prendre plus de place dans l'histoire vous crient : Moi, m'sieur! Moi,m'sieur!". On ne peut pas leur donner plus d'importance à tous, le scénario deviendrait trop lourd et le film ne le supporterait pas. Pourtant, il y avait pendant My Name is Joe un personnage que nous n'arrivions pas à abandonner et qui se rappelait toujours à notre souvenir. Il réclamait notre attention. C'est cette petite voix-là qui est devenue le personnage de Liam."
Amateurs et professionnels
Les comédiens de ce film sont en partie des amateurs comme Martin Compston qui a été repéré dans son lycée ou encore Michelle Coulter, qui a travaillait avant le film dans des structures d'aide aux toxicomanes. D'autres sont des professionnels comme la jeune Annmarie Fulton, titulaire d'un diplôme d'art dramatique ou Gary McCormack, vedette de la télévision britannique et qui a joué dans Gangs of New York.
"Sweet sixteen" à Cannes
Sweet sixteen a été présenté en sélection officielle au Festival de Cannes 2002 et a obtenu le Prix du scénario. Ken Loach est un habitué de la Croisette : il y a emporté un Prix du cinéma contemporain en 1981 avec Regards et sourires et deux Prix du jury avec Hidden Agenda en 1990 et Raining Stones en 1993.
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Tai ji zhang san feng|Yuen Woo-Ping|Arts Martiaux||3|chinois|2002|89|Anglais||DX50|||DX50|947 Kbps|320x160|MPEG-1 Audio layer 3|133 Kbps|False|48.0 KHz|2|696||||25.000|28/07/2009 00:00:00||Kim Yip Kwong|Lau Tom||Metropolitan FilmExport||Élevés depuis leur plus tendre enfance dans un temple Shaolin, Tianbiao et Jianbao sont deux amis que rien ne sépare. Un jour, ils sont renvoyés pour avoir enfreint les préceptes bouddhistes et les règles rigoureuses de la pratique des arts martiaux durant un combat. Contraints de mendier pour survivre, les deux moines partent à la découverte du monde mais ne tardent pas à prendre des chemins bien différents.
Tandis que Junbao se prend d'amitié pour un groupe de marginaux révoltés contre le gouvernement, Tianbao va, lui, s'enrôler dans l'armée régulière. A mesure que le temps passe, la confrontation entre les deux amis devient inévitable. |Jet Li (Junbao )@Michelle Yeoh (Siu Lin )@Chin Siu Ho (Chin Bo )@Shun Lau (maître Jueyuan )@||Secrets de tournage :
Un rôle à part pour Jet Li
Tai chi master est l'occasion pour Jet Li de dévoiler ses dons pour la comédie. D'habitude plus habitué aux rôles sévères, le comédien asiatique incarne ici un combattant délirant, toujours en train de faire le pitre. Etonnant...
Un sort différent aux Etats-Unis
Si Tai chi master bénéficie d'une ressortie dans les salles françaises, ce n'est pas le cas aux Etats-Unis. Outre-atlantique, le film de Yuen Woo Ping est en effet directement sorti en DVD sous l'appellation "américanisée" Twin warriors.
Yuen Woo Ping et Jet Li : deuxième !
Tai chi master, réalisé en 1993, marque la seconde collaboration du réalisateur Yuen Woo Ping et de l'acteur Jet Li. Les deux hommes avaient déjà travaillé ensemble sur Deadly China hero, toujours en 1993. Jet Li était d'ailleurs producteur de ce dernier film.
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Tais-toi !|Francis Veber|Comédie||3|français|2003|83|Français||DIV3|||DIV3|906 Kbps|576x320|AC3|256 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|09/08/2009 00:00:00|Saïd Ben Saïd|Francis Veber|Luciano Tovoli||UFD||Ruby n'a qu'une idée en tête : se venger de l'homme qui a assassiné la femme qu'il aimait.Quentin n'a en tête que très peu de neurones. Juste assez pour être d'une grande gentillesse et d'une bêtise à entrer dans le Livre des Records.Les chemins des deux hommes vont se croiser, celui du dur qui n'est que désir de meurtre et celui du simple qui tutoie les anges.La gentillesse catastrophique de Quentin parviendra-t-elle à désamorcer la violence meurtrière de Ruby, c'est le sujet de Tais-toi !. |Jean Reno (Ruby)@Gérard Depardieu (Quentin)@Norbert Haberlick (un flic)@André Dussollier (le psychiatre)@Richard Berry (Vernet)@Léonor Varela (Katia / Sandra)@Aurélien Recoing (Rocco)@Jean-Pierre Malo (Vogel)@Ticky Holgado (Martineau)@Michel Aumont (Nosberg)@Laurent Gamelon (Mauricet)@Edgar Givry (Visinet)@Armelle Deutsch (la fille au portable)@||Secrets de tournage :
Depardieu "Pignonisé"
Les films de Francis Veber s'articulent souvent autour d'un duo de personnages que tout éloigne. Ainsi, Lino Ventura campait-il un tueur à gages froid face à un Jacques Brel au bord de l'hystérie dans L'Emmerdeur, et Gérard Depardieu jouait-il le gangster face au penaud et maladroit Pierre Richard dans Les Fugitifs. Tais-toi n'échappe pas à la règle.
Pour former un nouveau duo de cinéma, Veber fait appel à deux acteurs imposants physiquement, Jean Reno et Gérard Depardieu. Tout le problème consistait à trouver un équilibre dans ce couple, l'un d'entre eux devant nécessairement endosser le costume du naïf légèrement benêt tandis que l'autre serait l'homme fort. Le rôle du naïf échut finalement à Depardieu, dont la prestation a surpris le réalisateur. Veber confie : "Dans Tais-toi, Depardieu s'est allégé au-delà de toute espérance. Il s'appelle Quentin dans le film, il aurait pu s'appeler Pignon. Oui, depardieu s'est "Pignonisé", ou, pour ne pas être immodestement en référence à mon travail passé, je dirais qu'il s'est "Bourvilisé"". De son côté, Jean Reno a su élever son le niveau de son jeu à la hauteur de son partenaire. Veber avoue : "Reno, dans Tais-toi est à la hauteur. Et quand on sait à quelle altitude Depardieu peut s'envoler dans un un rôle qui l'inspire, on peut dire que Jean Reno est allée très, très haut".
Luchini pressenti
Initialement, Fabrice Luchini devait interpréter le rôle du psychiatre, incarné finalement par André Dussollier. Luchini déclina l'offre de Francis Veber au prétexte qu'il allait interpréter un personnage quasi similaire dans Confessions trop intimes de Patrice Leconte.
Titres provisoires
Tais-toi a changé de titres à maintes reprises, s'intitulant tour à tour Ruby et Quentin, puis Les Tourtereaux. Lors du festival de Cannes 2002, des affiches du long métrage avaient été placardées dans les rues de la ville, le titre du film était alors Ruby et Quentin.
Retrouvailles Veber/ Depardieu
Gérard Depardieu est avec Pierre Richard le plus grand complice de Francis Veber. Tais-toi ! représente leur cinquième collaboration, après La Chèvre, Les Compères, Les Fugitifs et Le Placard.
Reno chez Veber
Jean Reno joue pour la deuxième fois sous la direction de Francis Veber, huit ans après Le Jaguar.
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Frostbite|Anders Banke|Epouvante-horreur||2|suédois|2006|97|Allemand||XviD|||XVID|824 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|165 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Magnus Paulsson Göran Lindström|Daniel Ojanlatva Pidde Andersson|Chris Maris||||Annika, médecin confirmée, est mutée avec sa fille, dans un petit village plongé dans une nuit polaire glaciale. Intriguée par une série d'incidents sanglants et de disparitions mystérieuses au sein de l'hôpital, Annika va découvrir que des vampires ont infiltré le personnel et que leur chef, monstre hybride et sanguinaire, se prépare à ressusciter... |Emma Åberg (Vega)@Grete Havnesköld (Saga)@Carl-Åke Eriksson (Professeur Gerhard Beckert)@Petra Nielsen (Annika)@Jonas Karlström ( Sebastian )@Mans Nathanaelson (Lukas)@Mikael Göransson (Jacob)@Anna Lindholm (Mona)@Björn Andersson (Docteur Nilsson)@Sara Arnia (Kajsa Falk)@Hubertus Buchinger (Jochen)@Anders Carlsson (Rauni)@Erik Dalin (Sander)@Nour El-Refai (Cornelia)@Niklas Grönberg (John)@Gustav Johansson (Joel)@Linnea Jonsson (Cissi)@||||||||||||@@
Tandem|Patrice Leconte|Comédie dramatique||3|français|1987|86|Français||DX50|||DX50|1 006 Kbps|720x416|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|689||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Philippe Carcassonne René Cleitman|P. Dewol Patrice Leconte|Denis Lenoir||Agence Méditerranéenne de Location de Films (A.M.L.F.)||Rien moins que vingt-cinq ans que Rivetot s'occupe de l'intendance, celle de Mortez, la star de "la Langue au chat", jeu radiophonique. Cela fait des années que Rivetot les conduit sur la route de ville en ville dans un éternel break Ford, des années qu'ils prennent une chambre a deux lits dans des hôtels miteux, des années que Rivetot porte les valises, installe les micros, les câbles, sélectionne les candidats, chauffe la foule. Et quand Rivetot apprend que "la Langue au chat" va etre supprimée, il n'en dit mot a Mortez. Que faire? |Jean Rochefort (Michel Mortez)@Gérard Jugnot (Bernard Rivetot)@Sylvie Granotier (la libraire)@Julie Jezequel (la serveuse à l'hôtel de la gare)@Jean-Claude Dreyfus (le conseiller)@Marie Pillet (la patronne de l'hôtel du commerce)@Albert Delpy@Philippe Dormoy (un reporter)@||Secrets de tournage :
Un film marquant
Tandem marque un tournant dans la carrière de Patrice Leconte. En effet, c'est la premiére fois que le réalisateur s'attaque à un sujet aussi sombre et mélancolique, lui qui venait d'enchaîner jusque là plusieurs grosses comédies à succès comme Les Bronzés, Viens chez moi, j'habite chez une copine, ou encore Circulez y'a rien à voir.
Un Jugnot sans moustache
Après plus d'une quarantaine de films, Gérard Jugnot effectuait une mini-révolution dans Tandem: il apparaissait pour la première fois à l'écran sans sa célèbre moustache (au grand dam de certains spectateurs).
Un César pour l'affiche
En 1988, malgré six nominations, Tandem ne remporta qu'un seul César: celui de la meilleure affiche de film (catégorie aujourd'hui disparue) pour Stéphane Bielikoff.
Un scénariste de choix
Tandem marque la première collaboration de Patrice Leconte avec le scénariste Patrick Dewolf. Par la suite, les deux hommes retravailleront à plusieurs reprises ensemble, notamment sur Monsieur Hire (1989), Tango (1993), et Une chance sur deux (1998).
De vieilles connaissances
Sur Tandem, Patrice Leconte retrouvait des acteurs qu'il connaissait bien. En effet, ce film marque pour lui sa troisième collaboration avec Gérard Jugnot (après Les Bronzés et Les Bronzés font du ski) et la seconde avec Jean Rochefort, 12 ans après Les Vécés étaient fermés de l'intérieur. Par la suite, il tournera avec ce dernier pas moins de cinq autres films: Le Mari de la coiffeuse (1990), Tango (1993), Ridicule (1996) , Les Grands Ducs (1996) et L' Homme du train (2002).
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Tanguy|Etienne Chatiliez|Comédie||3|français|2001|104|Français||DX50|||DX50|930 Kbps|720x416|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|776||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Charles Gassot|Laurent Chouchan Etienne Chatiliez|Philippe Welt||||Paul et Edith Guetz, un riche couple de cinquantenaires, ne supportent plus que Tanguy, leur grand fils modèle de 28 ans, vive toujours au domicile familial. Ce dernier a beau être brillant et charmant, ses parents vont faire de son existence un enfer pour le forcer à quitter leur luxueux appartement. |Eric Berger (Tanguy)@André Dussollier (Paul, le père de Tanguy)@Sabine Azéma (Edith, la mère de Tanguy)@Jacques Boudet (Le juge)@Hélène Duc (la grand-mère de Tanguy)@Aurore Clément (Carole)@Jean-Paul Rouve (Bruno)@André Wilms (le psy)@Richard Guedj (Patrick)@Roger van Hool (Philippe)@Nathalie Krebs (Noëlle)@Sachi Kawamata (Kimiko)@Philippe Gildas (lui même)@Patrick Bouchitey (Interne à l'hôpital)@Eddy Mitchell (lui même)@||Secrets de tournage :
Une collaboration délicate
La collaboration entre le réalisateur, Etienne Chatiliez, et le scénariste Laurent Chouchan ne fut, semble-t-il, pas évidente. Si elle s'avéra pleinement satisfaisante au final, il fallut, d'après les deux protagonistes, une longue période pour qu'ils s'accomodent l'un à l'autre. Une situation que Laurent Chouchan résume ainsi : "Il a fallu apprendre à se connaître. On s'est reniflés comme deux chiens pendant des mois et cet apprentissage-là était à la fois sympathique et long."
Inspiré du quotidien
L'idée du film, suggérée à Etienne Chatiliez par Yolande Zauberman, trouve en fait sa source dans un fait divers paru dans l'hebdomadaire Courrier International : en Italie, une femme ayant essayé de chasser son fils de 31 ans hors de son toit se vit condamnée par la justice... Au demeurant, cette situation est loin d'être exceptionnelle : environ 900 procès par an seraient intentés à ce sujet !
Par ailleurs, le personnage de Tanguy est partiellement inspiré d'un ami réel du cinéaste, mais qui a, lui, bel et bien quitté ses parents depuis longtemps.
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The Black Cauldron|Ted Berman Richard Rich|Animation||3|américain|1985|80|Anglais||DIV3|||DIV3|1 050 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|160 Kbps|False|44.1 KHz|2|700||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Joe Hale Ron Miller|Ted Berman Ron Clements Vance Gerry David Jonas Roy Morita John Musker Richard Rich Al Wilson Roy Edward Disney Rich Hale Rosemary Anne Sisson Art Stevens Peter Young|||||Taram, apprenti sorcier au pays enchanté de Prydain, doit empêcher le Seigneur des Ténèbres d'étendre sa domination maléfique. L'enjeu est le chaudron magique... |Thierry Bourdon (Taram (voix française))@Barbara Tissier (Eloïse (voix française))@Jacques Deschamps (Dallben (voix française))@Serge Lhorca (Ritournel (voix française))@Philippe Dumas (le Roi Bedaine (voix française))@Roger Carel (Gorki / Crapaud (voix française))@||||||||||||@@
Tarzan|Kevin Lima Chris Buck|Animation|Film pour enfants|3|américain, français|1999|101|||DIV3|||DIV3|781 Kbps|720x416|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|640||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Bonnie Arnold|Tab Murphy Bob Tzudiker Noni White|||||Recueilli et adopté tout bébé par un clan de gorilles, Tarzan développe un instinct aussi sûr que celui des animaux sauvages. Ses aptitudes physiques et son intelligence lui permettent de prendre une place à part dans le luxuriant royaume de la jungle. Mais, quand il rencontre le professeur Porter et sa fille Jane, en expédition scientifique dans la jungle, Tarzan découvre qu'il existe d'autres êtres semblables à lui. Il devra bientot faire un choix entre sa famille d'adoption et ses ascendances humaines. |Emmanuel Jacomy (Tarzan (voix française))@Valérie Lemercier (Jane Porter (voix française))@Muriel Robin (Tok (voix française))@Gérard Rinaldi (Clayton (voix française))@Frédérique Tirmont (Kala (voix française))@Henri Labussière (le professeur Archimède Q. Porter (voix française))@Jean-Bernard Guillard (Kerchak (voix française))@Jean-Eric Bielle (Tantor (voix française))@||Secrets de tournage :
Tournage à Paris
Du Bossu de Notre-Dame à Kuzco, l'empereur mégalo en passant par Hercule et Tarzan, de nombreux plans des dessins animés Disney sont désormais tournés dans les locaux parisiens du studio. Ce fut aussi le cas pour Atlantide, l'empire perdu. De mai 1999 à novembre 2000, les membres du Walt Disney feature animation France ont peint 213 des 1392 décors du film. De plus, le personnage d'Helga Sinclair a été totalement créé et supervisé à Paris par Yoshimichi Tamura.
Tarzan, un mythe qui inspire les cinéastes :
47 ! C'est à ce jour le nombre de fois que le roman de Burroughs a été porté à l'écran.
Au jeu des adaptations, seul le Dracula de Bram Stocker dépasse Tarzan.
Propos de Danton Burroughs, le petir-fils de l'auteur :
A en croire son petit-fils, Edgar Rice Burroughs aurait aimé cette adaptation de son oeuvre :
" (...) Les animateurs ont aussi parfaitement rendu la gestuelle de Tarzan bondissant, volant littéralement dans les frondaisons. Mon grand-père avait décrit cette façon de sauter et de voler, d'attraper les branches avec des mouvements libres et sauvages, comme une tornade (...) Mon grand-père et mon père auraient adoré voir cela. "
Edgar Rice Burroughs, l'auteur de "Tarzan, seigneur de la jungle" :
Militaire manqué, Burroughs a été chercheur d'or, policier, avant de retourner en 1906 à Chicago, sa ville natale. Il y exerce une série de petits métiers, plus ternes les uns que les autres : comptable, vendeur par correspondance, et enfin employé dans une maison de distribution de taille-crayons...
C'est en octobre 1912 que paraît, dans les pages du magazine "The All Story", son récit d'aventures intitulé "Tarzan, seigneur de la jungle". Edgar Rice Burroughs, connut enfin la gloire que ces deux premiers romans ne lui avait pas apporté.
Dan St. Pierre, le directeur artistique :
Déterminé à transcrire la profondeur et la dimension théâtrale du décor naturel, Dan St. Pierre dirigea le développement d'un procédé technique révolutionnaire nommé "Deep Canvas", permettant aux personnages en deux dimensions d'évoluer de façon réaliste dans l'environnement de la jungle.
Glen Keane, superviseur de l'animation :
La puissance et la vélocité de Tarzan doivent beaucoup à la qualité de l'animation. En la confiant à Glen Keane, les deux réalisateurs savaient qu'ils s'adjoignaient les services d'un des meilleurs animateurs de sa génération.
Vétéran chez Disney depuis 24 ans, Glen Keane a notamment créé le professeur Ratigan (Basil Detective Privé).
Phil Collins, un apport décisif à la B.O. du film :
Ce musicien de légende (rappelons qu'il a été l'une des chevilles ouvrières de Génésis) avait tout d'abord été chargé de composer cinq chansons pour le film. Mais, bien vite, son enthousiasme et sa ferveur ont conduit les deux réalisateurs à lui demander d'interpréter lui-même quelques unes de ses compositions. L'artiste accepta de poser sa voix sur quatre des mélodies qu'il avait composées, devenant ainsi tour à tour le narrateur du film et la voix intérieure du héros.
Mais que les fans européens de Phil Collins se rassurent, puisque la star a également enregistré les versions française, allemande, italienne et espagnole de ses chansons.
Kevin Lima et Chris Buck, les deux réalisateurs :
Kevin Lima a fait ses débuts dans la réalisation en 1995 avec DINGO ET MAX après avoir collaboré à LA PETITE SIRENE, LA BELLE ET LA BETE, ALADDIN et LE ROI LION.
Chris Buck, quant à lui, a commencé sa carrière chez Disney en 1978 sur ROX ET ROUKY, puis a été superviseur sur POCAHONTAS. Animateur indépendant de 84 à 92, il a, entre autres, travaillé avec Tim Burton sur "Frankeenweenie".
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Tarzan II (V)|Brian Smith|Animation||1|américain|2005|71|Anglais||XviD|||XVID|1 129 Kbps|608x336|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|644||||23.976|06/08/2009 00:00:00|||||Buena Vista Home Video||Alors qu'il grandit aux côtés de Tok et Tantor, Tarzan, petit enfant-homme maladroit, essaie en vain de devenir un singe parfait. Un jour, sa mère Kala est blessée par sa faute, et Tarzan décide alors de s'enfuir pour ne pas causer plus de torts à sa famille. Seul dans la jungle sauvage et menaçante, il rencontre de nouveaux personnages dont le mystérieux Zugor, qui terrifie la jungle.. |Harrison Chad (Tarzan (voix))@George Carlin (Zugor (voix))@Brad Garrett (Uto (voix))@Ron Perlman (Kago (voix))@Estelle Harris (Mama Gunda (voix))@Glenn Close (Kala (voix))@Lance Henriksen (Kerchak (voix))@||||||||||||@@
Taxi|Gérard Pirès|Action||2|français|1998|81|||DX50|||DX50|1 069 Kbps|640x368|MPEG-2 Audio layer 3|56.0 Kbps|False|22.05 KHz|2|663||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Luc Besson Laurent Pétin Michèle Pétin|Luc Besson|Jean-Pierre Sauvaire||ARP Sélection|Saga : Taxi |Daniel est un fou du volant. Cet ex-livreur de pizzas est aujourd'hui chauffeur de taxi et sait échapper aux radars les plus perfectionnés. Pourtant, un jour, il croise la route d'Emilien, policier recalé pour la huitième fois à son permis de conduire. Pour conserver son taxi, il accepte le marché que lui propose Emilien : l'aider à démanteler un gang de braqueurs de banques qui écume les succursales de la ville à bord de puissants véhicules. Road-movie urbain sur un scénario de Luc Besson, également producteur. |Frédéric Diefenthal (Emilen)@Samy Naceri (Daniel Morales)@Marion Cotillard (Lily)@Emma Sjoberg (Petra)@Bernard Farcy (Le commissaire Gibert)@Manuela Gourary (Camille)@Edouard Montoute (Alain)@Georges Neri (Joe)@Malek Bechar (Rachid)@Tara Römer (Une collègue d'Emilien)@Paul Silve (le Préfet)@Thierry Melia (le caissier de la banque)@Denis Braccini (le chef pompier)@Jérôme Leleu (Jean Bat)@Stéphane Algoud (Jimmy)@||Secrets de tournage :
Un décor idéal : Marseille
Au-delà du fait que Marseille représente tout un univers propre aux personnages du film Taxi, la ville s'est révélée être un lieu de tournage idéal : la ville est en effet la plus étendue de France, elle est bordée par la mer, traversée par trois autoroutes et certaines rues de la vielle ville descendent à pic.
Un succès phénoménal
Le succès de Taxi (plus de 6 millions d'entrées en France) a logiquement entraîné une suite. Taxi 2 a vu le jour sur les écrans français deux ans plus tard, signé Gérard Krawczyk. Pour un coût de 100 millions de francs, le film sera vu par plus de 10 millions de spectateurs rien qu'en France. Un nouvel opus, toujours réalisé par Gérard Krawczyk et toujours produit par Luc Besson, devrait voir le jour en 2003.
Six taxis différents
Six modèles ont été utilisés pour filmer sous tous les angles le célèbre Taxi. Le premier était un taxi normal, le second servait à montrer le taxi lorsqu'il se transforme, le troisième permettait de filmer l'intérieur de la voiture, le quatrième était doté d'un volant supplémentaire à droite, ce qui permettait à un pilote professionnel de piloter tandis que Samy Nacéri faisait semblant de conduire, le cinquième était profilé comme une voiture de course très rapide, tandis que le sixième servait de voiture travelling.
Mercedes Vs Peugeot
Un énorme travail technique a été nécessaire sur les séquences d'action du tournage. En particulier, une scène de poursuite en voitures dans la rue du Panier (une rue très étroite de Marseille), impliquant deux Mercedes grises E300 (le gang des Mercedes, conduites par les allemands), le fameux taxi Peugeot 406 et la voiture travelling, a nécessité la présence d'une trentaine d'assistants supplémentaires.
La musique de Marseille par IAM
Luc Besson a contacté le groupe de rap marseillais IAM pour qu'il signe un titre de la bande originale. De là, le groupe a eu envie de composer toute la musique du film. IAM écrivait ainsi sa première bande originale.
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Taxi 2|Gérard Krawczyk|Action||2|français|2000|84|Français||DIV3|||DIV3|1 000 Kbps|720x336|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|686||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Luc Besson Laurent Pétin Michèle Pétin|Luc Besson|Gérard Sterin||ARP Sélection|Saga : Taxi |Daniel, le chauffeur de taxi dingue de vitesse, et Emilien, l'inspecteur de police inexpérimenté, se retrouvent à Paris. Le ministre de la défense japonais vient tester le savoir-faire hexagonal en matière de lutte antiterroriste et signer le contrat du siècle avec l'Etat français. Mais il est enlevé par des yakusas... |Samy Naceri (Daniel Morales)@Frédéric Diefenthal (Emilien Coutant-Kerbalec)@Marion Cotillard (Lilly Bertineau)@Emma Sjoberg (Petra)@Bernard Farcy (Commissaire Gibert)@Jean-Christophe Bouvet (Général Bertineau)@Frédérique Tirmont (La mère)@Michel Muller (Le mari de la femme enceinte)@Cyril Raffaelli (le ninja au nunchaku)@Wilfrid Grenier (le policier)@Malek Bechar (Rachid)@Sébastien Pons (Akim)@Jacques Buron (Colonel Picard)@Luc Besson (le propriétaire du bateau)@Jacques Chirac (lui-même)@Edouard Montoute (Alain )@||||||||||||@@
Taxi 3|Gérard Krawczyk|Policier||2|français|2003|83|Français||XviD|||XVID|1 057 Kbps|720x352|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Luc Besson|Luc Besson|Gérard Sterin||ARP Sélection|Saga : Taxi |C'est décembre à Marseille. Daniel rajoute des options à son taxi et Lili voit rouge. Le commissaire Gilbert est aveuglé par Qiu, sa stagiaire japonaise, et son enquête piétine. Emilien voit des pères Noël partout et Petra s'impatiente. De Marseille à Tignes, de la Canebière aux pistes de ski, l'aventure peut commencer... |Frédéric Diefenthal (Emilien Coutant-Kerbalec )@Samy Naceri (Daniel Morales )@Marion Cotillard (Lilly Bertineau )@Emma Sjoberg (Petra )@Bernard Farcy (le commissaire Gilbert)@Bai Ling (Qiu)@Edouard Montoute (Alain)@Jean-Christophe Bouvet (le général Bertineau)@Sylvester Stallone (le passager surprise)@Patrice Abbou (Rachid)@Claude Sese (Planton)@David Gabison (Ministre)@Vincent Tulli (Policier Camionnette)@Gérard Krawczyk (Policier Camionnette)@Bonnafet Tarbouriech (Pharmacien)@Shirley Kohn (Angèle, la fille du Pharmacien)@Eric Naggar (le docteur)@Christian Waldner@||Secrets de tournage :
Hommage
Le début de Taxi 3 est un hommage à la plus célèbre et fructueuse des franchises jamais créées pour le cinéma : James Bond. On y retrouve donc une importante scène d'action suivie d'un générique parodiant ceux des films de l'agent 007. Frédéric Diefenthal en perd son pistolet !
Sylvester Stallone
L'équipe de Taxi 3 a fait appel à une guest star de luxe : Sylvester Stallone. Celui-ci fait une très courte apparition dans le film. A noter, l'acteur américain a tourné en 2001 Driven de Renny Harlin où il interprétait un pilote de voiture de course.
Une nouvelle aventure
Taxi 3 est le troisième épisode des aventures de Daniel et Emilien. Le cinéaste Gérard Krawczyk évoque sa conception de cette suite : C'est une aventure différente. Un peu comme Tintin, à chaque fois une autre histoire complète, avec les mêmes personnages. Je crois que Taxi c'est avant tout des personnages qui nous sont très proches, comme des amis, des potes que l'on aime bien retrouver, avec qui on a envie de faire la fête."
Tournage en montagne
L'action de Taxi 3 se déplace en montagne pour la première fois depuis la naissance de la franchise. Ce choix avait pour le réalisateur Gérard Krawczyk ses inconvénients et ses avantages : "c'était un peu compliqué d'emmener le matériel, d'attendre dans le froid etc... mais c'était aussi un univers très agréable car peu exploré cinématographiquement."
Ce choix a demandé des efforts d'adaptation à toute l'équipe. Ainsi, les heures de tournage par journée étaient en général limitées au milieu de journée pour les extérieurs à cause du soleil.
Redécouverte
Frédéric Diefenthal parle de sa découverte du scénario de Taxi 3 : "J'ai vraiment eu l'impression de découvrir un film. Taxi 2 était une suite du premier volet dans lequel on retrouvait les mêmes éléments, il y avait beaucoup de gags, encore plus de rythme et toujours aussi drôle mais l'effet de surprise ne pouvait pas être le même. En revanche, la lecture de Taxi 3 a été une redécouverte et ce à chaque page ! (...) Je retrouvai l'émotion et l'humanité qu'il y avait depuis le début."
Bai Ling
Pour les besoins de Taxi 3, Luc Besson et Gérard Krawczyk ont fait appel à la comédienne chinoise Bai Ling qu'on a pu apercevoir jusqu'ici dans The Crow, Red corner ou Wild Wild West. Ne parlant pas un mot de français, elle a dû apprendre toutes ces lignes en phonétique. Le réalisateur avait déjà été confronté au même problème avec Ryoko Hirosue sur le tournage de Wasabi.
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Taxi 4|Gérard Krawczyk|Comédie||1|français|2007|85|Français||XviD|||XVID|996 Kbps|640x256|MPEG-1 Audio layer 3|131 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Luc Besson Michèle Pétin Laurent Pétin|Luc Besson|Pierre Morel||ARP Sélection|Saga : Taxi |Après cinq ans d'absence, nous retrouvons Daniel et Emilien pour de nouvelles aventures sur la Canebière. |Samy Naceri (Daniel Morales )@Frédéric Diefenthal (Emilien Coutant-Kerbalec)@Bernard Farcy (le commissaire Gilbert)@Emma Sjoberg (Petra)@Edouard Montoute (Alain)@Jean-Christophe Bouvet (le général Bertineau)@Jean-Luc Couchard (le Belge)@François Damiens (Serge)@Mourade Zeguendi (Sukk)@Djibril Cissé (lui-même)@Henri Cohen (le commercial de la banque)@||Secrets de tournage :
On passe la quatrième !
Taxi 4 est le quatrième volet de la célèbre saga automobile Taxi imaginée par Luc Besson et portée par le tandem Samy Naceri/Frédéric Diefenthal. Une saga très populaire entamée en 1998 avec Taxi (6,45 millions d'entrées), puis poursuivie en 2000 avec Taxi 2 (10,34 millions d'entrées) et en 2003 avec Taxi 3 (6,15 millions d'entrées).
Une équipe au complet... ou presque !
Tous les acteurs principaux de la saga Taxi sont de retour pour ce quatrième opus, le chauffeur de taxi Samy Naceri et le policier maladroit Frédéric Diefenthal en tête, ainsi que le commissaire Bernard Farcy, dont le rôle occupe une part plus importante que dans les trois premiers volets. Egalement de retour, Emma Wyklund (devenue entre-temps Emma Wyklund) et Edouard Montoute, ainsi que le réalisateur Gérard Krawczyk, déjà à l'oeuvre sur Taxi 2 et Taxi 3. Seule Marion Cotillard, vedette féminine des trois premiers volets de la saga, n'est pas présente au générique de Taxi 4, trop occupée par le tournage de La Môme.
Un invité de luxe
Dans Taxi 3, un certain Sylvester Stallone effectuait une apparition surprise au détour d'un virage. Dans Taxi 4, c'est le footballeur français Djibril Cissé qui fait bénéficier le long métrage de son imposante carrure. Une apparition logique au générique de la saga marseillaise, le joueur s'illustrant actuellement sous les couleurs de... l'Olympique de Marseille.
Retour à Marseille
Taxi 4 marque un retour aux sources de la saga, les héros revenant s'illustrer dans leur chère ville de Marseille. Si l'action du premier volet se déroulait intégralement dans la cité phocéenne, celles de Taxi 2 et de Taxi 3 s'étaient respectivement déroulées à Paris et à Tignes.
Un directeur photo qui s'émancipe
Pierre Morel, le directeur de la photographie de Taxi 4, est un fidèle de l'univers Besson. Il a ainsi officié au poste de directeur de la photographie sur certaines de ses productions, telles Le Transporteur ou Danny the dog. Surtout, il est passé derrière la caméra pour Banlieue 13 et Taken, films également produits par Luc Besson.
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Taxi Driver|Martin Scorsese|Drame|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|1976|109|Anglais||DIVX|||DIVX|784 Kbps|512x272|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|691||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Julia Phillips Michael Phillips|Paul Schrader|Michael Chapman||Les Grands Films Classiques||Vétéran de la Guerre du Vietnam, Travis Bickle est chauffeur de taxi dans la ville de New York. Ses rencontres nocturnes et la violence quotidienne dont il est témoin lui font peu à peu perdre la tête. Il se charge bientôt de délivrer une prostituée mineure de ses souteneurs. |Robert De Niro (Travis Bickle)@Jodie Foster (Iris)@Harvey Keitel (Sport)@Cybill Shepherd (Betsy)@Albert Brooks (Tom)@Leonard Harris (Charles Palantine)@Peter Boyle (Wizard)@Norman Matlock (Charlie T)@Diahnne Abbott (l'ouvreuse de cinéma)@Franck Adu (Homme noir en colère)@Victor Argo (patron de l'épicerie)@Gino Ardito (Policier au rallye)@Garth Avery (Ami d'Iris)@Harry Cohn (Chauffeur de taxi à Bellmore)@Copper Cunningham (La prostituée dans le taxi)@Brenda Dickson-Weinberg (La femme du soap-opera)@Harry Fischler (Le dispatcher)@Nat Grant (L'homme à l'autocollant)@Richard Higgs (L'Homme des services secrets)@Beau Kayser (L'acteur de soap)@Victor Magnotta (Le Photographe des services secrets)@Bob Maroff (Un Mafioso)@Bill Minkin (L'Assistant de Tom)@Murray Moston@Harry Northup (Doughboy)@Gene Palma (L'Homme de la rue)@Carey Poe (La Travailleur à la campagne)@Steve Prince (Andy, le vendeur d'armes)@Peter Savage (Le John)@Martin Scorsese (La silhouette qui observe)@Robert Shields (L'Aide de Palantine)@Ralph S. Singleton (Le Journaliste télé)@Joe Spinell (L'Officier)@Maria Turner (La prostitué en colère)@Robin Utt (La Travailleuse à la campagne)@||Secrets de tournage :
L'expérience personnelle de Paul Schrader
L'histoire de Taxi driver est tirée de l'expérience personnelle de Paul Schrader. Au début des années 70, l'écrivain, tombé au plus bas, n'arrivait pas à vendre son premier scénario. Abandonné de sa femme, il était sans le sou, sombrait dans l'alcoolisme, errait dans les rues de New York et la nuit, quand il ne pouvait dormir, il fréquentait les cinémas porno.
L'ambition de Paul Schrader
Le scénariste Paul Schrader, également futur réalisateur d'American gigolo et d'Auto focus, dit avoir voulu transposer dans le contexte américain le roman L'Etranger d'Albert Camus. Il écrivit le script en une dizaine de jours seulement : une semaine pour la première ébauche et trois jours pour les modifications.
Mulligan et Bridges pressentis
Le réalisateur Robert Mulligan fut d'abord pressenti à la mise en scène, tandis que Jeff Bridges devait initialement incarner Travis Bickle. C'est le scénariste Paul Schrader qui insistera pour que ce soit Martin Scorsese et Robert De Niro qui se retrouvent derrière et devant la caméra.
Brian De Palma intéressé
Brian De Palma fut un temps intéressé pour porter à l'écran le scénario de Paul Schrader qu'il trouva sensationnel.
Neil Diamond dans le rôle de Travis
Un des producteurs intéressés par le scénario suggéra d'offrir le rôle de Travis Bickle au chanteur Neil Diamond, mais Martin Scorsese n'accepta pas un tel compromis.
Farrah Fawcett dans le rôle de Betsy
Pour le rôle de Betsy, la productrice Julia Phillips pensa à l'actrice Farrah Fawcett, mais Martin Scorsese s'opposa à ce choix et porta son dévolu sur Cybill Shepherd.
Rock Hudson dans le rôle de Palantine
Rock Hudson était pressenti dans le rôle du sénateur Charles Palantine, mais celui-ci refusa d'incarner ce personnage en raison de son engagement sur la série télévisée McMillan and wife.
Des salaires réduits
Robert De Niro et Martin Scorsese acceptèrent des salaires dérisoires afin de faire baisser le budget du film. L'acteur américain fut payé 35 000 dollars, alors qu'on lui offrait cinq fois plus pour jouer dans Un pont trop loin de Richard Attenborough au milieu d'une distribution prestigieuse.
Lieux et dates de tournage
Taxi driver fut tourné dans les rues de New York en juillet-août 1975.
La préparation au rôle
Pour se préparer au rôle de Travis Bickle, Robert De Niro travailla pendant un mois comme chauffeur de taxi. Il étudia par ailleurs les différentes formes de maladies mentales.
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Une scène improvisée
Robert De Niro improvisa totalement la célèbre scène où il se parle à lui-même dans le miroir ("You're talking to me").
Une fausse coupe iroquoise
Dans les scènes où Travis Bickle apparaît coiffé à la manière iroquoise, Robert De Niro porte en fait une perruque conçue par le maquilleur Dick Smith.
Une prostituée pour modèle
Pour son rôle d'Iris, Jodie Foster prit comme modèle une véritable prostituée qui apparaît d'ailleurs dans le film comme étant son amie.
Harvey Keitel proxénète
Pour se préparer au rôle de Sport Matthew, Harvey Keitel fréquenta pendant quelque temps des proxénètes. La scène dans laquelle il danse avec Jodie Foster a été complètement improvisée.
Apparitions de Martin Scorsese
Martin Scorsese apparaît dans son propre film en client de Travis Bickle. Assis sur la banquette arrière du taxi, il explique à ce dernier qu'il veut tuer sa femme qui le trompe avec un autre homme. Le cinéaste apparaît une seconde fois dans le film, plus furtivement, au détour d'un plan panoramique.
La compagne de Robert De Niro en ouvreuse
Diahnne Abbott, alors compagne de Robert De Niro, fait une apparition dans le film comme ouvreuse d'un cinéma porno.
La mère de Martin Scorsese à l'écran
Catherine Scorsese, la mère de Martin Scorsese, apparaît sur la photo des parents d'Iris, découpée par Travis dans un journal.
Scorsese / De Niro : 8 films ensemble !
Martin Scorsese et Robert De Niro ont travaillé huit fois ensemble : sur Mean streets (1973), Taxi driver (1976), New York, New York (1977), Raging Bull (1980), La Valse des pantins (1983), Les Affranchis (1990), Les Nerfs à vif (1992) et Casino (1996).
Keitel / De Niro : deuxième !
Taxi driver marque la deuxième collaboration entre Robert De Niro et Harvey Keitel, les deux acteurs ayant auparavant été partenaires dans Mean streets. Ils se donneront par la suite la réplique dans Falling in love (1984) et Copland (1997).
5e collaboration Scorsese / Keitel
Taxi driver marque les retrouvailles de Harvey Keitel avec Martin Scorsese. Tous les deux avaient auparavant travaillé ensemble sur Who's that knocking at my door ? (1968), Mean streets (1973) et Alice n'habite plus ici (1974). Leur collaboration se poursuivra en 1988 avec La Dernière tentation du Christ.
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Teeth|Mitchell Lichtenstein|Comédie|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|2008|90|Anglais||XviD|||XVID|944 Kbps|624x352|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Joyce Pierpoline Mitchell Lichtenstein|Mitchell Lichtenstein|Wolfgang Held||TFM Distribution||Dawn est une adolescente qui essaie tant bien que mal de contenir sa sexualité naissante en étant une des membres les plus actives du club de chasteté de son lycée. Etrangère à son propre corps, la prude découvre que son vagin a la particularité d'avoir des dents... |Jess Weixler (Dawn)@Hale Appleman (Tobey Cobb)@Josh Pais (Godfrey)@John Hensley (Brad)@Vivienne Benesch (Kim)@Julia Garro (Gwen)@Trent Moore (Vincent)@Ashley Springer (Ryan)@Lenny von Dohlen (Bill)@Nicole Swahn (Mélanie)@Adam Wagner (Phil)@Hunter Ulvog (Brad jeune)@Ava Ryen Plumb (Dawn jeune)@Mike Yager (Elliot)@Nathan Parsons (le vendeur de soda)@Paul Galvan (le garçon railleur)@Kasey Kitzmiller (la fille railleuse)@Taylor Sheppard (M. Griffith)@Denia Ridley (la prof de biologie)@Kiri Weatherby (la fille curieuse)@Michael Swanner (le détective)@Tom Byrne (le chirurgien)@Andra Millian (l'infirmière)@Frank G. Curcio (le coroner)@Lana Dieterich (l'infirmière aux admissions)@Doyle Carter (le vieil homme)@||Secrets de tournage :
Tours et tournage
Teeth a été filmé entre mars et avril 2006 à Austin (Texas) et dans des villes alentours, où l'environnement était symptomatique des petites bourgades américaines et de leurs banlieues. Les deux tours de la centrale nucléaire qui accaparent une bonne partie du paysage ont, en revanche, été ajoutées grâce à la magie du numérique.
Un film gore ?
Ceux qui s'attendent à voir des litres d'hémoglobine deversés sur l'écran seront déçus par Teeth, puisque c'est un aspect que Mitchell Lichtenstein a tout de suite cherché à évacuer : "J'ai délibérément tenu Dawn à l'écart de tout élément sanguin. Elle reste pure, jamais réellement violentée ou déshonorée par ses assaillants." Mais le réalisateur a tout de même tenu à satisfaire les fans d'horreur : "(...) les fans du gore trouveront toutefois quelques scènes susceptibles de satisfaire leur penchant pour l'hémoglobine. Et si vous ne vous cachez pas les yeux durant ces séquences, vous aurez l'opportunité de voir quelques pénis amputés."
Ami de l'anatomie
John Hensley, qui joue ici Brad, le demi-frère dépravé de Dawn, est bien connu des fans de la série Nip/Tuck, où il interprète Matt McNamara, fils de l'un des deux chirurgiens.
Les origines du mal, par Mitchell Lichtenstein.
"La plus grande difficulté du processus créatif du personnage de Dawn fut sans doute de répondre à la question de l'origine de sa spécificité anatomique. J'ai finalement décidé que ce n'était pas vraiment à moi de trancher, tout en ouvrant la porte à diverses possibilités. En hommage aux films de SF influencés par la menace radioactive qui fleurissaient dans les années 50, je suggère au début du film que la singularité de Dawn est la conséquence des deux tours géantes de l'usine nucléaire située à proximité de la maison où elle a grandi. Mais j'aime aussi l'hypothèse selon laquelle les femmes ont finalement réussi à s'adapter anatomiquement à leur environnement après des millénaires de répression, d'oppression et autres formes d'agressions."
Un film de monstre... sans monstre
Malgré son postulat fantastique, Teeth s'éloigne du genre, en accord avec le traitement voulu par le réalisateur Mitchell Lichtenstein : "Lorsque j'ai envisagé de m'intéresser à un cas réel de vagin denté, j'ai réalisé qu'il y avait un certain nombre de choses à considérer ainsi qu'un grand nombre de choix à effectuer. Par exemple il n'était pas question pour moi de monter Dawn sous les traits d'une créature monstrueuse. Je savais aussi que je voulais mettre en avant son parcours initiatique, la façon dont elle allait découvrir qui elle est réellement. C'est sur cette dimension du récit que je voulais vraiment mettre l'accent. La virginité de Dawn devait être au coeur de cette histoire, car d'elle découlait une grande partie de ce qui allait arriver."
Les stickers dorés
Dans l'une des scènes de Teeth, des stickers dorés viennent cachés certains détails bien choisis d'un livre d'anatomie. A l'origine de cette idée, une histoire vraie, comme le raconte Mitchell Lichtenstein : "Je me souviens avoir lu un article concernant l'école de Lynchburg en Virginie où le conseil d'administration avait censuré les illustrations des livres de biologie concernant les planches anatomiques de l'appareil génital féminin. D'un côté ils laissaient intactes les reproductions du pénis masculin, et de l'autre ils faisaient disparaître toute évocation du vagin, arguant qu'il s'agissait là d'une violation de la pudeur naturelle des femmes. Le plus choquant dans cette histoire est qu'elle s'est déroulée en 2000. J'ai l'impression qu'entretenir vis-à-vis de l'anatomie féminine un tel climat de crainte, de dégoût
et d'indisposition renvoie directement au Moyen-âge."
Festivals
Teeth a permis à Jess Weixler de remporter le prix spécial du jury de Sundance pour son interprétation. Mitchell Lichtenstein a, quant à lui, failli repartir avec le grand prix du jury. Le film était également en compétition au festival de Deauville en 2007.
Cas d'école (médicale) et mythe
L'idée d'un vagin dentée n'est ni nouvelle, ni fictive : le vagina dentata est présent dans presque tous les folklores du monde et symboliserait la peur de la femme. D'un point de vue médical, il ne s'agirait que de quelques cas de kystes logés dans des zones un peu délicates. Il est également à noter qu'un inventeuse sud-africaine à soulevé une large polémique - notamment au sein des groupes féministes et lutttant contre les violences faites aux femmes - en présentant un préservatif féminin antiviol basé sur ce concept.
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The Terminator|James Cameron|Science fiction|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|1985|102|Anglais||DX50|||DX50|795 Kbps|704x352|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|686||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Gale Anne Hurd|James Cameron Gale Anne Hurd Harlan Ellison|Adam Greenberg||Orion Pictures Corporation|Saga : Terminator |A Los Angeles en 1984, un Terminator, cyborg surgi du futur, a pour mission d'exécuter Sarah Connor, une jeune femme dont l'enfant à naître doit sauver l'humanité. Kyle Reese, un résistant humain, débarque lui aussi pour combattre le robot, et aider la jeune femme... |Arnold Schwarzenegger (le Terminator)@Michael Biehn (Kyle Reese)@Linda Hamilton (Sarah Connor)@Bess Motta (Ginger Ventura)@Earl Boen (le Dr Peter Silberman)@Shawn Schepps (Nancy)@Brian Thompson (un punk)@Marianne Muellerleile (la 'mauvaise' Sarah Connor)@Franco Columbu (le Terminator infiltrant le bunker dans le futur)@Lance Henriksen (l'inspecteur Vukovich)@Paul Winfield (le lieutenant Ed Traxler)@Rick Rossovich (Matt Buchanan)@Dick Miller (le marchand d'armes)@Bill Paxton (le chef des punks)@||Secrets de tournage :
La saga Terminator
La saga Terminator, entamée en 1984 avec Terminator, s'est poursuivie en 1991 avec Terminator 2 : le jugement dernier, toujours sous la direction de James Cameron. En 2003, un troisième volet voit le jour, Terminator 3 : le soulèvement des machines, réalisé par Jonathan Mostow. Dans les trois longs métrages, c'est l'acteur d'origine autrichienne Arnold Schwarzenegger qui interprète le rôle-titre.
La révélation James Cameron
Terminator est la seconde réalisation de James Cameron, trois ans après Piranha 2 - Les Tueurs volants. Avec ce film, l'Américain accède immédiatement à la reconnaissance internationale et se spécialise dans le cinéma fantastique à gros budget (Aliens le retour, Abyss). Il retrouve ensuite Arnold Schwarzenegger pour Terminator 2 : le jugement dernier et le film d'action True Lies, puis connaît la consécration en 1997 avec Titanic. James Cameron est parallèlement un producteur renommé, sur la plupart de ses films mais également sur Point Break et Strange Days, réalisés par sa compagne de l'époque Kathryn Bigelow, et sur le Solaris de Steven Soderbergh.
Comme un rêve...
Selon James Cameron, l'idée de Terminator lui est venue dans son sommeil, alors qu'il était fièvreux. C'est en Europe que le réalisateur américain fit le rêve d'un robot émergeant d'une mer de flammes. La majeure partie du script fut alors écrite à partir de ce postulat de départ, à l'exception faite que l'action du film, par faute de moyens, fut transposée au temps présent et non dans le futur comme dans le rêve du cinéaste.
Le duo James Cameron / Arnold Schwarzenegger
Avec Terminator, Arnold Schwarzenegger devient une star internationale incontestée, deux ans après s'être révélé dans Conan le barbare. Terminator marque sa première collaboration avec le réalisateur James Cameron qu'il retrouvera pour Terminator 2 : le jugement dernier (1991) et True Lies (1994).
James Cameron / Bill Paxton : première !
Bill Paxton effectue une apparition dans Terminator. Celle-ci marque le début d'une fidèle collaboration entre le comédien et le réalisateur James Cameron. Les deux hommes se retrouveront pour Aliens le retour, True Lies, Titanic et le documentaire Les Fantômes du Titanic où Paxton officie en tant que narrateur.
Un maître des effets spéciaux au générique
C'est Stan Winston, l'un des plus grands spécialistes des effets spéciaux et du maquillage pour le septième art, qui a été chargé de créer le personnage de Terminator. L'Américain, après cette expérience, va notamment travailler sur de gros succès tels que Aliens le retour, Terminator 2 : le jugement dernier, Predator, Jurassic Park ou encore A.I. Intelligence artificielle.
Histoires de casting
Avant qu'Arnold Schwarzenegger n'emporte finalement la mise, le rôle du Terminator a été l'objet d'un joli numéro de chaises musicales. Les producteurs ont d'abord pensé à O. J. Simpson, mais l'ont mis sur la touche, craignant que le public ne le prenne pas suffisamment au sérieux. C'est ensuite Lance Henriksen qui fut favori, le rôle du héros devant revenir à Arnold Schwarzenegger. Lorsque ce dernier lut le script, il fit pression pour incarner le Terminator. Il obtient finalement le rôle vedette, Michael Biehn incarnant de son côté le héros Kyle Reese et Lance Henriksen le détective Vukovich.
Accusation de plagiat
La mise en chantier du projet Terminator a connu un épisode difficile lorsque l'auteur de science-fiction Harlan Ellison accusa James Cameron d'avoir plagié Soldier et Demon with a glass hand, deux épisodes de la série télévisée The Outer limits (1963) qu'elle avait rédigé. Les deux parties ne portèrent pas l'affaire devant les tribunaux et trouvèrent un terrain d'entente : le nom de Harlan Ellison fut finalement crédité au générique de Terminator.
Les morsures de Michael Biehn
Le comédien Michael Biehn est un fidèle complice de James Cameron, avec lequel il a collaboré à trois reprises (Terminator, Aliens le retour et Abyss). Détail amusant : dans chacun de ces trois films, Michael Biehn se fait mordre !
La blessure de Linda Hamilton
L'actrice Linda Hamilton s'est cassé la cheville durant le tournage de Terminator. Elle dut ainsi effectuer toutes les scènes de poursuites la jambe bandée.
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Les contributeursCe film a reçu 2 contributions, pour les secrets de tournage, de: Miamsolo
Les contributions faites sur cette fiche sont mises à disposition sous un contrat Creative Commons.
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Volte-face autour d'une réplique culte
"I'll be back", la réplique culte de Terminator prononcée par Arnold Schwarzenegger, était à l'origine écrite pour être "I'll come back".
17 phrases pour Schwarzenegger !
Arnold Schwarzenegger, dans le rôle du Terminator, ne prononce que dix-sept phrases. Dix-neuf, si l'on prend en compte les fois où il emprunte les voix d'un officier de police et de la mère de Sarah.
Retard à l'allumage
Le début du tournage de Terminator a du être reporté de neuf mois par rapport à la date initiale prévue. La raison de ce retard : l'engagement d'Arnold Schwarzenegger sur Conan le destructeur, la suite de Conan le barbare. Au final, le tournage de Terminator s'est déroulé de mars à juin 1984.
Primé à Avoriaz
Terminator a obtenu le Grand Prix du Festival du film fantastique d'Avoriaz en 1985. Le long-métrage a également reçu le Saturn award du Meilleur film de science-fiction, du Meilleur scénario pour James Cameron et Gale Anne Hurd, et des Meilleurs maquillages pour Stan Winston.
Un gros succès hexagonal
Sorti en avril 1995 dans les salles françaises, Terminator a remporté un succès populaire considérable dans l'hexagone en attirant plus de 3 millions de spectateurs. Le long-métrage s'est notamment classé devant des films tels que Subway ou Le Flic de Beverly Hills. D'un budget de 6,4 millions de dollars, il en a remporté plus de 36,9 rien qu'aux Etats-Unis.
Budget
Le budget de Terminator était de 6,5 millions de dollars.
Schwarzenegger en Kyle Reese
Arnold Schwarzenegger devait au départ camper le rôle de Kyle Reese, qui fut finalement incarné par Michael Biehn.
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Terminator 2 : Judgement Day|James Cameron|Science fiction|Interdit aux moins de 12 ans|4|américain, français|1991|130|Anglais||DX50|||DX50|612 Kbps|704x288|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|702||||25.000|28/07/2009 00:00:00|James Cameron|James Cameron William Wisher Jr.|Adam Greenberg||Columbia TriStar Films|Saga : Terminator |En 2029, après leur échec pour éliminer Sarah Connor, les robots de Skynet programment un nouveau Terminator, le T-1000, pour retourner dans le passé et éliminer son fils John Connor, futur leader de la résistance humaine. Ce dernier programme un autre cyborg, le T-800, en l'envoie également en 1995, pour le protéger. Une seule question déterminera le sort de l'humanité : laquelle des deux machines trouvera John la première ? |Arnold Schwarzenegger (le T-800)@Linda Hamilton (Sarah Connor)@Edward Furlong (John Connor)@Robert Patrick (le T-1000)@Nikki Cox (Girl)@Earl Boen (le Dr Silberman)@Joe Morton (Miles Dyson)@S. Epatha Merkerson (Taryssa Dyson)@Nixon DeVaughn (Danny Dyson)@Castulo Guerra (Enrique Salceda)@Danny Cooksey (Tim)@Jenette Goldstein (Janelle Voight)@Xander Berkeley (Todd Voight)@Leslie Hamilton Gearren (la fausse Sarah Connor)@Michael Edwards (John Connor dans le futur)@Don Stanton (Lewis)@Dan Stanton (le faux lewis)@William Wisher Jr. (le photographe de la Galleria)@Michael Biehn (Kyle Reese (scènes coupées))@Don Lake (Mossberg)@Mark Christopher Lawrence (Un assistant corpulant)@Mark Christopher Lawrence (Un assistant corpulant)@Abdul Salaam El Razzac (Gibbons)@Diane Rodriguez (Jalanda Salceda)@Mike Muscat (Moshler)@Dalton Abbott (John Connor enfant)@Ennalls Berl (Bryant)@Jared Lounsbery (Un enfant)@Gwenda Deacon (L'infirmière de nuit)@Charles Robert Brown (Le motard tatoué)@Casey Chavez (Un enfant)@Tom McDonald (Un policier)@Lisa Brinegar (Une fillette)@Tony Simotes (Un garde)@Ken Gibbel (Douglas)@Pete Schrum (Lloyd)@Noel Evangelisti (Garde de l'hopital)@||Secrets de tournage :
Le retour du Terminator
Après le succès de Terminator en 1984, qui avait rapporté près de 40 millions de dollars aux Etats-Unis, le réalisateur James Cameron accepta de mettre en scène Terminator 2. Le long-métrage voit le retour d'Arnold Schwarzenegger dans le rôle principal, une nouvelle fois accompagné de Linda Hamilton et du jeune Edward Furlong. Dans ce nouveau volet, il doit faire face au T-1000, incarné par Robert Patrick.
L'importance des effets spéciaux
Le réalisateur James Cameron a voulu les effets spéciaux à la hauteur de son ambition : il a donc fait appel à trois sociétés différentes pour Terminator 2 : Fantasy II pour les séquences de guerre, 4-Ward pour l'explosion nucléaire et le métal fondu et, enfin, ILM (Industrial Light and Magic), la compagnie de Georges Lucas, pour l'animation du T-1000 et les graphismes par ordinateur. 53 millions de dollars, soit plus de la moitié du budget global, furent consacrés aux effets spéciaux du film. A juste titre, de nombreux observateurs considèrent Terminator 2 comme une révolution dans le domaine.
Musculation intensive
Pour les besoins du film, la comédienne Linda Hamilton a accepté de faire de la musculation intensive, ce qui lui a donné une physionomie radicalement différente par rapport au premier volet, tourné huit ans plus tôt.
Truc de tournage
Pour les scènes où le robot T-1000 prend une apparence humaine en s'identifiant aux personnes qu'il croise, le réalisateur James Cameron a utilisé, dans la plupart des cas, des jumeaux. Leslie Hamilton Gearren, la soeur de Linda Hamilton , et Dan Stanton, le frère de Don Stanton, ont ainsi été réquisitionnés pour l'occasion.
700 mots pour Schwarzie
Dans Terminator 2, l'acteur Arnold Schwarzenegger prononce 700 mots. Il avait 17 phrases à son actif dans le premier volet de la saga.
L'Espagne se distingue
La fameuse phrase "Hasta la vista, baby" prononcée par Arnold Schwarzenegger dans Terminator 2 n'a pas été gardée pour la version espagnole du film, les producteurs ayant jugé que cela ne sonnerait pas de manière assez distinctive pour le public. En lieu et place, les spectateurs ibériques ont pu entendre Schwarzenegger déclamer : "Sayonara, baby".
Les Guns and Roses au générique
Le titre phare de Terminator 2, intitulé You could be mine, est composé et interprété par le groupe de hard-rock américain Guns and Roses.
Une barre symbolique
Terminator 2 a été le premier film de l'histoire du septième art à voir son budget atteindre la barre des 100 millions de dollars.
Enorme succès au box-office
Terminator 2 a terminé l'année 1991 à la deuxième place du box-office français, attirant près de 6 millions de spectateurs, soit près du double de Terminator. En 1991, seul Danse avec les loups est parvenu à devancer le retour d'Arnold Schwarzenegger. Aux Etats-Unis, Terminator 2 a récolté plus de 200 millions de dollars, alors que 310 millions ont été engrangés à travers le monde.
La voix de Cameron
Quand le T-1000 hurle à la mort à la fin du film, c'est la voix de James Cameron, le réalisateur, que l'on peut entendre.
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Terminator 3 : Rise of the Machines|Jonathan Mostow|Science fiction||2|allemand, japonais, américain, britannique|2003|100|Anglais||DX50|||DX50|857 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|96.6 Kbps|False|44.1 KHz|2|696||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Mario Kassar Andrew G. Vajna Colin Wilson Joel B. Michaels Hal Lieberman|John D. Brancato Michael Ferris Tedi Sarafian|Don Burgess||Columbia Pictures|Saga : Terminator |Dix ans ont passé depuis "Le Jugement dernier". Désormais âgé de 22 ans, John Connor vit dans l'ombre, sans foyer, sans travail, sans identité. Mais les machines de Skynet parviennent à retrouver sa trace.Ils envoient alors vers le passé la T-X, une androïde nouvelle génération quasi-invulnérable, pour éliminer le futur leader de la résistance humaine mais également Kate Brewster, une jeune vétérinaire.Un autre Terminator, le T-101, est venu protéger la vie de John Connor. Ensemble, l'homme et la machine vont mener une lutte acharnée contre la T-X : de l'issue de ce combat dépendra le futur de l'humanité... |Arnold Schwarzenegger (le Terminator T-101)@Kristanna Loken (la T-X)@Nick Stahl (John Connor)@Claire Danes (Kate Brewster)@Mark Hicks (l'inspecteur Martinez)@David Andrews (Robert Brewster)@Mark Famiglietti (Scott Peterson)@||Secrets de tournage :
Un Terminator sans Cameron
Terminator 3 est le premier film de la série des Terminator à ne pas être réalisé et écrit par James Cameron, qui avait imaginé le terrible robot tueur au début des années 80. Le réalisateur canadien, qui n'a pas souhaité reprendre du service, est bien crédité au générique de Terminator 3, mais uniquement comme créateur des personnages.
A la recherche du réalisateur
Une fois le refus de James Cameron définitivement acquis, la recherche du réalisateur de Terminator 3 a tenu le tout Hollywood en haleine plusieurs mois durant. Les noms de Ridley Scott, Roland Emmerich, David Fincher, Christian Duguay et John McTiernan ont ainsi été évoqués avant que Jonathan Mostow ne s'impose au printemps 2001.
Un nouveau John Connor
Parmi les autres changements marquants au générique des troisièmes aventures du cyborg, le nouveau visage de John Connor, futur chef de la rébellion contre les machines, incarné par Edward Furlong dans Terminator 2 : le jugement dernier . Ce dernier ayant connu quelques problèmes personnels, il a été remplacé par Nick Stahl.
Deux rescapés
Si John Connor a changé de visage, si sa mère Sarah Connor est absente de Terminator 3, deux personnages ont tout de même passé le cap du troisième clap. Le Terminator incarné par Arnold Schwarzenegger bien sûr et le docteur Silberman, psychiatre toujours incarné par Earl Boen, comme dans les deux premiers Terminator.
Nouveaux Terminators
Après le T-1000 découvert dans Terminator 2 : le jugement dernier, le bestiaire cyborg de la série s'agrandit encore avec trois nouveaux prototypes montrés à l'écran. Le T-101 incarné par Arnold Schwarzenegger tout d'abord, variante de son prédécesseur le T-800. Le fameux T-X auquel Kristanna Loken prête ses formes ensuite, carapace en métal liquide et fusil à plasma dissimulé sous son bras droit, et enfin le T-1, premier des Terminators jamais créé, "robot primitif mais mortel, mi-tank, mi-robot" selon le responsable des maquillages Stan Winston.
Des spécialistes des effets
Les effets spéciaux et les maquillages de Terminator 3 sont l'oeuvre de certains des meilleurs spécialistes en la matières à Hollywood. L'association entre la robotique et les maquillages de Stan Winston et les effets numériques développés par Industrial Light and Magic (ILM) avait déjà fait leurs preuves sur Terminator 2 : le jugement dernier et ont bénéficiés des progrès de la technologie pour encore s'améliorer, au point que Stan Winston affirme : "nous avons créé une technologie robotique plus en avance en terme de mouvement et de contrôle que ce qui existe partout dans le monde ? plus même que les travaux de la NASA !"
Le retour du tandem Kassar-Vajna
Terminator 3 marque le retour au premier plan du tandem choc formé par les producteurs Mario Kassar et Andrew G. Vajna. A l'origine de succès comme Rambo ou Total recall, ceux-ci s'étaient éloignés à la fin des années 80, avant la faillite en 1995 de la société de production de Mario Kassar, Carolco International Pictures.
Du masculin au féminin
Originellement, le nouvel adversaire du T-101 devait être un cyborg à l'apparence masculine. Les noms de Vin Diesel et Shaquille O'Neal avaient alors circulés, avant que le T-X ne devienne féminin. Plus de 10.000 actrices ont été auditionnées, les noms de Famke Janssen, de Peta Wilson et de la lutteuse professionnelle Chyna ont été avancés, avant que les producteurs ne se tournent, comme pour Terminator 2 : le jugement dernier, vers un ennemi inconnu du grand public : le mannequin américain d'origine norvégienne Kristanna Loken, apparue furtivement dans les séries Star Trek Voyager, Lois & Clark et Sliders.
Tournage à Los Angeles
Prévu au départ à Vancouver comme bon nombre de productions hollywoodiennes en raison des coûts de productions moins élevés au Canada, le tournage de Terminator 3 a finalement débuté à Los Angeles en avril 2002 pour 100 jours. Quatre mois et 350 artisans ont été nécessaires à la fabrication des décors répartis entre les plateaux du Los Angeles Center Studio et l'usine Boieng de Downey. "Lorsque nous avons entamé le tournage, Arnold avait les mêmes mensurations qu'à l'époque de Terminator 2 : le jugement dernier", raconte le réalisateur Jonathan Mostow. "Le blouson lui allait comme un gant!"
Cascades grand format
La principale scène d'action de Terminator 3, dans laquelle le T-101 est accroché à une grue haute de 100 mètres balancée contre les immeubles par le T-X, a demandé la reconstruction entière d'une rue de 400 mètres à l'intérieur de l'usine Boeing de Downey. Pas moins de quatorze caméras ont filmé tout ou partie de la séquence, aucune deuxième prise n'étant possible. La scène de combat entre le T-101 et la T-X dans une salle de bain a, pour sa part, demandé quatre semaines de répétitions et deux semaines de tournage.
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Terminator Salvation|McG|Science fiction||3|allemand, britannique, américain|2009|105|Anglais||XviD|||XVID|789 Kbps|624x256|MPEG-1 Audio layer 3|118 Kbps|False|44.1 KHz|2|695||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Jeff Silver Moritz Borman Derek Anderson Victor Kubicek|John Brancato Michael Ferris Jonathan Nolan|Shane Hurlbut||Warner Bros.|Saga : Terminator |En 2018, après l'apocalypse qui a vu s'affronter les hommes et les robots, John Connor est devenu le chef de la résistance humaine contre Skynet et son armée de Terminators. Sa vision du monde est pourtant remise en cause par l'apparition de Marcus Wright, un inconnu qui se souvient seulement de s'être trouvé dans le quartier des condamnés à mort. Connor doit découvrir si Marcus a été envoyé du futur ou s'il est un rescapé du passé. Alors que Skynet prépare l'assaut final, Connor et Marcus s'engagent dans une odyssée qui va les mener au coeur même des opérations de Skynet. Ils y perceront le terrible secret qui se cache derrière l'annihilation programmée de l'humanité tout entière... |Christian Bale (John Connor)@Sam Worthington (Marcus Wright)@Anton Yelchin (Kyle Reese)@Bryce Dallas Howard (Kate Connor)@Moon Bloodgood (Blair Williams)@Common (Barnes)@Jadagrace (Star)@Michael Ironside (General Ashdown)@Helena Bonham Carter (Dr Serena Kogan)@Roland Kickinger (T-800)@Brian Steele (T-600)@Jane Alexander (Virginia)@Chris Ashworth (Richter)@Beth Bailey (Lisa)@Chris Browning (Morrison)@Terry Crews@Victor J. Ho (Mark)@Dylan Kenin (Turnbull)@Zach McGowan (le pilote de l'Osprey)@Anjul Nigam (Rahul)@Michael Papajohn (Carnahan)@Alan D. Purwin (le pilote d'hélicoptère)@Mark Rayner (Evans, le mitrailleur dans l'hélicoptère)@Buster Reeves (Tunney)@Babak Tafti (Malik)@David Douglas (un technicien)@Ivor Shier (un pilote d'hélicoptère)@Foued Zayani (un prisonnier de Skynet)@Brian Reece (officier Tarmac)@Frank Powers (un combattant de la résistance)@Paul J. Porter (un infirmier de la résistance)@David Midthunder (un soldat de la résistance)@William Arute (un soldat de la résistance)@Brent Lambert (un témoin de l'exécution)@Lorenzo Callender (un officier de liaison radio)@Emerson Brooks (un soldat)@Linda Hamilton (Sarah Connor (voix))@||Secrets de tournage :
Hommage
Terminator Renaissance est dédié au superviseur des effets spéciaux Stan Winston, décédé pendant le tournage, et qui avait travaillé sur l'intégralité de la saga, en créant notamment le T-800.
D'un rôle à l'autre
Avant d'endosser les habits de John Connor, Christian Bale avait d'abord été pressenti pour le rôle de Marcus Wright, finalement tenu par Sam Worthington.
La saga "Terminator"
Terminator Renaissance est le quatrième opus de la franchise initiée par James Cameron en 1985 avec Terminator. Suivront Terminator 2 : le jugement dernier (1991) toujours signé James Cameron, Terminator 3 : le soulèvement des machines (2003) de Jonathan Mostow, et la série Terminator : The Sarah Connor Chronicles portée par Lena Headey dans le rôle-titre. En décembre 2008, les producteurs Derek Anderson et Victor Kubicek ont officiellement annoncé la mise en chantier de Terminator 5, avec toujours aux commandes McG. La sortie du film serait prévue pour 2011. Quant à l'acteur de cette nouvelle franchise, Christian Bale, il devrait faire partie des opus 5 et 6 puisqu'il a signé un contrat pour trois films.
Clins d'oeil
Outre deux caméos notables, les fans de la saga pourront se délecter de quelques clins d'oeil à la franchise. A travers des répliques ("I'll be back" et "Come with me if you want to live"), mais également certains plans empruntés aux précédents opus (le pied du T-600 écrasant un crâne humain, une poursuite entre un camion et des mototerminators rappelant la poursuite de Terminator 2 : le jugement dernier, le thème musical de Brad Fiedel...)
Sarah Connor ?
Les fans seront ravis d'entendre la voix de Linda Hamilton, alias Sarah Connor, le temps de deux caméos vocaux.
Qui est Kyle Reese ?
Campé par Anton Yelchin (19 ans au moment du tournage), le soldat Kyle Reese n'est autre que le père de John Connor, incarné par Christian Bale... 34 ans ! Selon la "mythologie Terminator", ce dernier finira par l'envoyer dans le passé sauver sa propre mère, Sarah Connor... et éventuellement tomber amoureux de cette dernière qui lui donnera un fils, John Connor (voir le Terminator de James Cameron où Michael Biehn incarnait Kyle Reese).
Un scénariste passe à la trappe
Sur les premières affiches teaser de Terminator Renaissance, on pouvait distinguer le nom de Jonathan Nolan, crédité en tant que scénariste. Frère de Christopher Nolan et entre autre scénariste du carton The Dark Knight, Le Chevalier Noir, Jonathan Nolan est intervenu à la demande de McG sur le script rédigé par John Brancato et Michael Ferris, afin d'y apporter certaines modifications sur les dialogues et certaines scènes. Les affiches plus récentes du film ne mentionnent pourtant pas le nom de Jonathan Nolan. Omission délibérée ou pas ? La WGA, Writers Guild of America, précise pour sa part que la mention "écrit par" ne comporte que les noms de Michael Ferris et John Brancato, déjà auteurs du script de Terminator 3 : le soulèvement des machines et le script original de Terminator Renaissance.
Machine de guerre
L'une des "révélations" de ce nouvel opus dans la franchise Terminator est le modèle T-600, "ancêtre" du futur modèle T-800 qui n'apparaîtra qu'en 2029. Christian Bale explique : "Nous sommes dans une période de transition. Dans la vision futuriste de 2029, présentée dans les précédents épisodes, Skynet exerce une domination absolue grâce à ses armées de T-800 et de Hunter-Killers. Mais ici, nous découvrons la genèse du modèle T-800. Dans notre présent, il s'agit du T-600, une version primitive du T-800. Présents en nombre, les T-600 constituent une armée phénoménale". Le modèle T-600 est un géant de 2,20 m, qui arbore un simple masque de caoutchouc en guise de visage, et des guenilles cachent son endosquelette. Il dispose d'un mini-canon M203, capable de tirer entre 3000 et 6000 coups/minute. Créés à l'aide de marionnettes articulées et d'images de synthèse, les T-600 apparaissent à différents stades de délabrement au cours du film.
La valse des Kate
A l'affiche de Terminator 3 : le soulèvement des machines, Claire Danes ne reprend pas le rôle de Kate Connor, femme du leader de la résistance campé par Christian Bale. Un temps confié à la Française Charlotte Gainsbourg , qui quittera le projet pour cause de conflit d'emploi du temps, le rôle ira finalement à Bryce Dallas Howard.
Apocalypse miniature
L'un des effets spéciaux les plus impressionnants concerne la destruction d'une station-service, au moment où Marcus et Kyle affrontent le Harvester. Dans cette scène, Marcus fait exploser un camion-citerne sous le Harvester. La scène a nécessité l'utilisation d'un camion chargé d'une tonne d'essence. L'explosion a engendré une boule de feu d'environ 50 mètres de circonférence et de 60 mètres de hauteur. L'explosion a complètement englouti la station. Elle provoque aussi une seconde déflagration : celle de la station-service. La séquence a requis douze semaines de préparation et des mesures de sécurité extrêmes. Dans ces conditions, la production n'avait le droit qu'à une seule prise. McG a filmé la scène sous des angles multiples en utilisant des caméras contrôlables à distance, des caméras rapprochées protégées, des caméras actionnées par des hommes cachés dans des bunkers et même, des caméras à très longues focales embarquées à bord d'hélicoptères.
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Look vintage
Afin de donner le plus possible un aspect vieilli et vintage aux vêtements que portent les membres de la Résistance, l'équipe a notamment utilisé des pierres ponces et du papier de verre, mais aussi, de manière plus originale, passé et repassé les vêtements en machine à laver avec des pierres !
Chaîne d'assemblage
Une des scènes clés du film est lorsque Christian Bale alias John Connor pénètre dans l'usine de Skynet, où sont assemblés les armées des Terminators, en particulier les prototypes T-800, les plus sophistiqués. Créée à partir des dessins du chef décorateur Martin Laing et de son équipe, l'armée des machines a vu le jour sous la direction de Stan Winston, le légendaire créateur de monstres et auteur du T-800 originel. Malheureusement, Stan Winston est décédé durant le tournage du film. John Rosengrant, superviseur des effets spéciaux de chez Stan Winston Studio, a donc pris la relève, à la tête d'une équipe de 60 personnes. Ce dernier raconte : "l'un des défis a consisté à trouver des matériaux légers afin de reproduire l'aspect du métal. Nous avons utilisé des mélanges d'uréthanes et de plastique, que nous avons ensuite peints à l'aide de techniques très poussées."
Bale / Ironside : deuxième !
Christian Bale et Michael Ironside, qui incarne le général Ashdown, se sont déjà donné la réplique dans The Machinist, signé en 2004 par Brad Anderson.
Le concours actif de l'armée
Afin de renforcer la crédibilité de l'organisation militaire de la Résistance face à Skynet, l'équipe du film est allé trouver conseils auprès du Département de la Défense et de la base militaire aérienne de Kirtland. C'est Chuck Davis, coordinateur du Département de la Défense de Los Angeles, également en charge des rapports avec l'industrie cinématographique, qui s'est chargé de conseiller l'équipe. Grâce à lui, elle a pu obtenir le "prêt" par l'armée de l'air d'un A10 -Thunderbolt 2, surnommé le "tueur de chars" en raison de l'armement lourd qu'il embarque à son bord. Le capitaine de l'Air Force Jennifer Shoeck, elle-même pilote d'A-10, a ainsi pu guider et conseiller Moon Bloodgood. Parmi les engins volants utilisés avec le concours des pilotes de l'Air Force figurent le CV-22 Osprey, un appareil aérien doté d'ailes fixes mais aussi de rotors lui permettant de décoller et d'atterrir à la façon d'un hélicoptère, l'énorme avion de transport C-130 Hercules et l'hélicoptère HH-60 Pave Hawk, un modèle dérivé du Blackhawk, avec mitraillette extérieure.
Tournage endeuillé
Helena Bonham Carter remplaca très peu de temps avant le début du tournage Tilda Swinton, et termina son rôle en 10 jours seulement. Par ailleurs, l'actrice perdit tragiquement quatre membres de sa famille dans un accident de voiture. Le tournage de Terminator Renaissance fut suspendu pour une durée illimitée, le temps que l'actrice puisse se rendre aux obsèques des membres de sa famille, en Grande-bretagne.
S'inscrire dans le réel
Pour McG, il n'était pas question de faire usage du fond vert avec incrustation des éléments numériques et de décors virtuels. L'équipe du film a préféré ancrer le film le plus possible dans le réel à l'aide de prises de vues réelles, grâce notamment au travail de l'équipe du regretté et légendaire Stan Winston. Une autre raison explique ce choix : le degré d'exigence du public. "Le public est de plus en plus sophistiqué et il perçoit de plus en plus vite la présence d'effets visuels" explique McG. "Dès que les spectateurs détectent la supercherie, l'impact d'une scène est réduit à néant, surtout quand l'action se déroule dans un environnement que l'on veut rendre le plus crédible possible, comme l'univers post-apocalyptique de 2018 que l'on voit dans Terminator Renaissance". [Source de la citation : L'écran Fantastique HS n°11, p. 28]
La guerre...du classement
Les trois films de la saga Terminator ont obtenu aux Etats-Unis un classement "R", ce qui signifie "interdit aux moins de 17 ans non accompagnés". Terminator Renaissance semblait logiquement prendre le même chemin, jusqu'à ce que Warner décide de faire en sorte que le film obtienne plutôt un classement "PG-13" auprès de la MPAA, soit "déconseillé aux moins de 13 ans". Le succès du sombre The Dark Knight, Le Chevalier Noir, lui aussi classé "PG-13", ainsi que la carrière très mitigée des Watchmen, calibré comme un blockbuster classé "R", ont vraisemblablement motivé le studio dans ce sens. (VOIR NOTRE ARTICLE SUR CE SUJET).
Le rôle du Terminator
Si Josh Brolin était un temps pressenti pour interpréter le Terminator, il s'est finalement désisté pour jouer dans W. de Oliver Stone. Le mannequin suédois Marcus Schenkenberg s'était également un temps dit intéressé par le rôle. Quant à une apparition d'Arnold Schwarzenegger en robot-tueur... réponse à l'écran !
Un rêve...et cauchemar de biker
Une des grandes nouveautés du film sont les terrifiantes motos terminators. Martin Laing, directeur artistique et chef décorateur du film, explique : "" Le Harvester est un monstre tellement imposant que certains humains parviennent toujours à lui échapper. C'est pourquoi, à la manière d'un chasseur usant de chiens rabatteurs, le Harvester emploie des Moto-Terminators pour rabattre ses proies. Ces motos sont équipées de canons mitrailleurs et peuvent tuer, mais leur but est avant tout de récupérer les évadés et de les ramener au Harvester". Ces motos sont inspirées du design de la célèbre marque italienne de motos Ducati, la préférée du réalisateur McG. Contactée par la production, la marque s'est engagé sur le projet, en livrant sur le plateau quatre modèles identiques et surpuissants. Les designers de la marque ont spécifiquement conçu la carrosserie des modèles livrés pour le film, tandis que l'équipe des effets spéciaux a rajouté des éléments donnant un "look terminator" aux motos.
Dates de tournage
Le tournage de Terminator Renaissance a débuté le 5 mai 2008 à Albuquerque, au Nouveau Mexique, pour se terminer le 22 août.
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Prey|Darrell Roodt|Epouvante-horreur||2|américain, sud-africain|2007|84|Anglais||XviD|||XVID|957 Kbps|640x272|AC3|192 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Mark Amin Robin Schorr Cami Winikoff Anant Singh Helena Spring|Jerrold Brown Darrell James Roodt Beau Bauman|Michael Brierley||||Afrique du Sud. Une famille américaine part en safari pour découvrir le milieu sauvage africain. Mais rien ne se passe comme prévu. Ils se retrouvent au coeur d'une réserve naturelle des plus effrayantes à la merci de lions affamés qui ne désirent qu'une chose : en faire leur repas. Un vrai calvaire dans la brousse africaine commence... |Bridget Moynahan (Amy Newman)@Peter Weller (Tom Newman)@Carly Schroeder (Jessica Newman)@Jamie Bartlett (Crawford)@Conner Dowds (David Newman)@||||||||||||@@
When a Stranger Calls|Simon West|Horreur|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|2006|86|Anglais||XviD|||XVID|988 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|125 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|28/07/2009 00:00:00|John Davis Wyck Godfrey Ken Lemberger|Jake Wade Wall|Peter Menzies Jr.||Gaumont Columbia Tristar Films||Tandis qu'elle explore la vaste demeure de son riche employeur, la baby-sitter Jill Johnson reçoit un coup de fil anonyme et menaçant. Aussitôt raccroché, le téléphone se remet à sonner, si bien qu'au bout de plusieurs appels, la jeune fille, au comble de l'angoisse, contacte la police. Laquelle lui apprend, véréfication faite, que les appels proviennent de l'intérieur de la maison. Aux prises avec un dangereux meurtrier qui menace de s'en prendre aux enfants endormis, Jill doit choisir entre se sauver ou les sauver. |Camilla Belle@Tommy Flanagan@Katie Cassidy@Tessa Thompson@Brian Geraghty@Clark Gregg@Derek de Lint@Kate Jennings Grant@David Denman@Arthur Young@Madeline Carroll@Steve Eastin@John Bobek@Brad Surosky@Karina Logue@||Secrets de tournage :
27 ans après, le téléphone sonne à nouveau...
When a stranger calls est le remake de Terreur sur la ligne, réalisé en 1979 par Fred Walton et qui mettait en vedette Carol Kane et Charles Durning.
Nouveau registre pour Simon West
When a stranger calls marque la première incursion du cinéaste britannique Simon West dans le cinéma d'épouvante. Il s'était essayé auparavant au film d'action (Les Ailes de l'enfer, 1997), au thriller (Le Deshonneur d'Elisabeth Campbell, 1999) et à l'adaptation de jeu vidéo (Lara Croft : Tomb raider, 2001).
Camilla Belle, star en devenir
La jeune Camilla Belle, héroïne de When a stranger calls, est déjà, à seulement 19 ans, l'un des plus sérieux espoirs du cinéma américain. Après avoir débuté comme petite princesse du cinéaste Alfonso Cuaron en 1995, elle s'illustre sous la direction de Steven Spielberg dans Le Monde perdu (1997), incarne le jeune personnage de Nicole Kidman dans Les Ensorceleuses (1998) puis accède à la consécration critique avec le drame The Ballad of Jack and Rose, où elle est la fille en quête d'indépendance de Daniel Day-Lewis.
Souvenirs du film original
Le film original est considéré comme une véritable concentré de terreur, notamment ses vingt premières minutes. Le scénariste du remake, Jake Wade Wall se remémore l'expérience éprouvante qu'a été de visionner le film : "" Du film original, je ne me souvenais que d'une ambiance géniale, cette pauvre baby-sitter et ces coups de fil oppressants. L'idée de travailler sur ce projet me plaisait d'autant plus qu'elle a été nourrie d'une expérience personnelle. Je devais me rendre chez ma soeur au Nevada pour garder sa maison pendant son absence, et j'ai loué le film. Je l'ai regardé seul, le premier soir, dans cette grande maison que je ne connaissais pas bien, et j'ai à nouveau été impressionné. Je n'ai pas beaucoup dormi. Chaque bruit, chaque craquement m'effrayait. Même le frigo qui se remettait régulièrement en marche ou le vent qui secouait les volets me donnait des sueurs froides. Ma chambre était à l'étage et je n'ai même pas osé descendre prendre un verre d'eau, tellement j'étais effrayé ! "
Une situation crédible
Terreur sur la ligne mise avant tout sur les situations connues et le réalisme pour effrayer le spectateur, comme l'explique le réalisateur Simon West : " L'un des grands avantages de cette histoire est qu'elle est totalement crédible. Tout le monde s'est déjà retrouvé seul dans une grande maison vide, tout le monde a déjà eu peur pour des enfants. L'identification au personnage est immédiate et cela réveille vos propres peurs les plus sourdes. On ne vous effraie pas avec quelque chose d'improbable, on vous terrifie avec ce que vous ressentez de plus intime. Mon travail est de faire en sorte que l'imagination et le cerveau des spectateurs s'emballent le plus possible par rapport à des situations qu'ils comprennent viscéralement."
Un challenge pour le réalisateur
L'action de Terreur sur la Ligne se passe principalement dans la maison où le personnage de Jill subit les assauts d'un psychopathe. Le réalisateur Simon West évoque tout le challenge qu'a été de travailler le film dans un lieu unique : la maison. "C'est un film bien plus sophistiqué que la plupart de ceux que j'ai faits. Paradoxalement, l'unicité du lieu ne provoque aucune frustration, bien au contraire. Ce genre de challenge vous oblige à repenser votre façon de filmer, à manipuler chaque image, chaque cadre, pour lui donner un sens précis dont le spectateur ne sera d'ailleurs pas toujours conscient, mais qu'il percevra quand même. "
Le choix de Camilla Belle
Le choix de l'actrice pour Terreur sur la ligne n'était pas à prendre à la légère. En effet, la comédienne devait être capable d'être très expressive (puisque le film ne comporte que très peu de dialogues) tout en assurant la forme physique resquise pour bien incarner le personnage. Le choix s'est donc posé sur l'actrice Camilla Belle. Le réalisateur se justifie : "J'ai choisi Camilla Belle pour plusieurs raisons. Je l'avais vue dans ses films précédents et je l'ai toujours trouvée juste, intelligente dans son jeu. Elle possède en plus une qualité rare : elle véhicule un sentiment d'innocence, de fraîcheur assez peu commun même chez les jeunes actrices. La jeunesse et la maturité sont très équilibrées chez elle. Elle n'est pas seulement belle, elle est aussi incroyablement expressive. Dès qu'elle est à l'image, vous ne la lâchez plus, vous voulez savoir ce qui va lui arriver. "
La force de la suggestion
Pour effrayer le spectateur, les scénaristes de Terreur sur la ligne préfèrent utiliser la force de la suggestion et de laisser marcher l'imagination du spectateur que de trop en montrer. Le scénariste Jake Wade Wall revient sur ce partis pris : " Cela m'a fait vivre l'idée forte du scénario. Nous n'avions pas besoin d'un géant avec une tronçonneuse pour terrifier le public. Nous allions lui suggérer, laisser planer, le laisser imaginer et le cueillir au moment où il s'y attend le moins. Tout ce que l'on ne voit pas déclenche et emballe notre imagination. C'est beaucoup plus effrayant que n'importe quel monstre gluant. "
Un élément clé : La maison
L'autre élément clé du film est la maison dans laquelle Jill est piégée. L'équipe du film voulait à tout prix éviter le cliché de la maison vieille et inquiétante. Elle devait être vaste, surprenante, avec des espaces intérieurs assez variés pour que le décor ne soit jamais répétitif. Le scénariste Jake Wade Wall : "" Nous voulions un lieu qui, comme l'héroïne, se révèle au fur et à mesure de l'intrigue. Il ne fallait pas que de l'extérieur, on puisse deviner le plan de la résidence. Nous avons imaginé une maison atypique, luxueuse, fascinante par bien des aspects. Nous nous sommes mis à la place de Jill devant la porte d'entrée et nous avons avancé comme si nous la visitions."
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The Constant Gardener|Fernando Meirelles|Thriller||3|américain|2005|128|Anglais||XviD|||XVID|635 Kbps|608x320|MPEG-1 Audio layer 3|115 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Simon Channing-Williams|Jeffrey Caine|Cesar Charlone||Mars Distribution||Dans une région reculée du nord du Kenya, Tessa Quayle, une brillante avocate aussi militante que passionnée, est retrouvée sauvagement assassinée. Le médecin africain qui l'accompagnait est porté disparu, et tout porte à croire qu'il s'agit d'un crime passionnel.Sandy Woodrow, Sir Bernard Pellegrin et les autres membres du Haut commissariat britannique s'imaginent que l'époux de Tessa, leur discret et modeste collègue, Justin Quayle, ne cherchera pas à prendre l'affaire en main. C'est bien mal le connaître... |Ralph Fiennes (Justin Quayle)@Rachel Weisz (Tessa Quayle)@Danny Huston (Sandy Woodrow)@Bill Nighy (Sir Bernard Pellegrin)@Pete Postlethwaite (Lorbeer)@Hubert Koundé (Arnold Bluhm)@Daniele Harford (Miriam)@Packson Ngugi (le préposé à la morgue)@Damaris Itenyo Agweyu (l'épouse de Jomo)@Bernard Otieno Oduor (Jomo)@Keith Pearson (Porter Coleridge)@John Sibi-Okumu (Le docteur Joshua Ngaba)@Donald Sumpter (Tim Donohue)@Archie Panjabi (Ghita Pearson)@Nick Reding (Crick)@||Secrets de tournage :
Adapté de l'oeuvre de John Le Carré
The Constant gardener n'est autre que l'adaptation cinématographique de La Constance du jardinier, un roman signé John Le Carré et publié à la fin de l'année 2000. Au cours de la phase de développement - qui a duré plus de deux ans -, ce dernier a envoyé au producteur Simon Channing Williams et au scénariste Jeffrey Caine plusieurs commentaires sur les différentes versions du script, et a assisté à quelques réunions d'écriture.
Le premier long métrage américain de Fernando Meirelles
C'est La Cité de Dieu, véritable succès à travers le monde en 2003, qui poussa le producteur Simon Channing Williams à faire appel à un réalisateur audacieux, Fernando Meirelles, qui avait réussi à mettre en scène une histoire forte sur une région du monde le plus souvent oubliée.
Ce dernier mena des recherches approfondies sur The Constant gardener. Comme il l'explique, "je suis brésilien et nous fabriquons des médicaments génériques depuis quelques années et, lorsqu'on essaie de fabriquer des produits bon marché, équivalents de médicaments brevetés, on prend très vite conscience de la puissance sidérante du lobby de l'industrie pharmaceutique. J'ai lu pas mal de choses là-dessus ces dernières années - sur le site internet d'Oxfam par exemple - et je me suis rendu compte qu'un film pouvait être une
bonne occasion de faire bouger les choses."
Trois raisons à ce projet
D'après le réalisateur Fernando Meirelles, "le fait que je pouvais m'en prendre à un pan
de l'industrie pharmaceutique n'est que l'une des trois raisons qui m'ont donné envie de
mettre en scène The Constant gardener. Il y avait aussi l'opportunité - ou plutôt la
décision - de tourner au Kenya. Enfin, et surtout, il s'agit d'une histoire d'amour
profondément originale : un homme épouse une femme plus jeune que lui, et ce n'est
qu'après sa mort qu'il tombe vraiment amoureux d'elle et part à sa recherche. C'est une
magnifique histoire, et un peu existentielle aussi."
Tessa Quayle proche de la réalité
Le personnage de Tessa Quayle s'inspire de la réalité. John Le Carré a dédicacé La Constance du jardinier à Yvette Pierpaoli, militante passionnée et bénévole infatigable. Ayant souhaité lui rendre hommage dans le générique de fin, il la décrit comme "ayant vécu et étant morte en se préoccupant des autres."
En 1999, Yvette Pierpaoli est tuée, à l'âge de 60 ans, ainsi que deux autres travailleurs
bénévoles et leur chauffeur, dans un accident de voiture en Albanie. A l'époque, Yvette
travaille pour Refugees International, activité qui s'inscrit dans le cadre de son
engagement de toujours auprès des autres. C'est à l'âge de 19 ans qu'elle s'oriente dans
cette voie, quittant la France - son pays natal - pour Phnom Penh. C'est là que Le Carré fait sa connaissance, au milieu des années 70.
Dates et lieux de tournage
Le choix définitif des comédiens et les préparatifs se déroulèrent pendant l'hiver et le
printemps 2004. Le tournage démarra au mois de mai suivant.
L'équipe s'installa d'abord à Berlin où elle tourna les scènes avec le groupe de consommateurs
Hippo Pharma. Dans la capitale allemande, la production investit notamment la gare de Lehrter Stadtbanhof, les bureaux de l'Académie des Beaux-Arts (Academie der Kunste),
faisant office du Haut-Commissariat britannique, le Residenz Hotel et les vénérables studios Babelsberg.
Après deux semaines en Allemagne, l'équipe s'établit à Londres pour plusieurs jours de
tournage. Une salle de la Tate Modern servit d'amphithéâtre, tandis qu'une séquence de
messe commémorative fut tournée à l'église St Mary Magdalene de Paddington. La production utilisa également le Liberal Club.
Souhaitant garder le plus important pour la fin et offrir à Fernando Meirelles les conditions de tournage les mieux à même de répondre à ses exigences, la production s'installa au Kenya début juin, pour deux mois de tournage à Nairobi et dans d'autres régions du pays. C'est grâce aux tractations diplomatiques de Simon Channing Williams avec des fonctionnaires du gouvernement que l'équipe put obtenir l'autorisation de tourner sur place.
On laisse tomber l'Afrique du Sud...
Même si Fernando Meirelles considère le Kenya comme "le troisième protagoniste du film", la production envisagea d'abord de tourner la plupart des scènes kenyanes en Afrique du Sud, dotée d'une industrie cinématographique en plein essor et d'une infrastructure plus solide.
"Nous pensions nous rendre au Kenya pour voir où se déroulait le roman, puis aller filmer en Afrique du Sud, explique Simon Channing Williams. Mais je suis enchanté de pouvoir dire qu'à peine 24 heures après notre arrivée, ni Fernando, ni moi n'avions envie de quitter le Kenya. Bien entendu, il subsistait d'importants problèmes d'assurance, car le Kenya continuait d'être perçu comme un pays très dangereux, alors qu'on s'est aperçu que ce n'était pas le cas. Nous nous sommes beaucoup battus. Il était
évident d'emblée que c'est au Kenya qu'il fallait tourner."
Aide au développement
Dès le début, l'équipe voulait offrir aux gens de Kibera quelque chose en contrepartie. La production a offert du travail au plus grand nombre d'habitants possible tous les jours
sur le plateau, créé une aire de jeux et construit un terrain de football, consolidé le toit
d'une église délabrée et bâti un pont au-dessus d'un vaste égout pour permettre à des
véhicules d'urgence d'accéder au fond d'un ravin pour secourir les gens qui y habitent.
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The Descent|Neil Marshall|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 16 ans|3|britannique|2005|95|Anglais||XviD|||XVID|885 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Christian Colson|Neil Marshall|Sam McCurdy||Lions Gate Films Inc.||En plein milieu du massif des Appalaches, six jeunes femmes se donnent rendez-vous pour une expédition spéléologique.Soudain, un éboulement bloque le chemin du retour. Alors qu'elles tentent de trouver une autre issue, elles réalisent qu'elles ne sont pas seules. Quelque chose est là, sous terre, avec elles... Quelque chose de terriblement dangereux décidé à les traquer une à une... |Natalie Jackson Mendoza (Juno)@Shauna Macdonald (Sarah)@MyAnna Buring (Sam)@Alex Reid (Beth)@Saskia Mulder (Rebecca)@Nora-Jane Noone (Holly)@Oliver Milburn (Paul)@Molly Kayll (Jessica)@Craig Conway@||Secrets de tournage :
" Délivrance, mais sous terre "
A la fois réalisateur et scénariste, Neil Marshall admet avoir toujours voulu faire un film d'horreur tourné dans une grotte : " Je pensais que c'était un environnement fantastique qui avait peu été traité dans les films d'horreur alors c'était parfait : les films d'horreur sont souvent tournés dans l'obscurité et on ne peut pas avoir plus noir que ça ! Je voulais également un casting entièrement féminin, ce qui est assez unique pour un film d'horreur ". Il définit The Descent comme un Délivrance dont l'action se situerait sous terre.
Deux ans d'écriture
Neil Marshall évoque la genèse du projet : "Nous avons développé le scénario pendant deux ans environ. Les premières ébauches étaient beaucoup plus caricaturales ; les filles étaient un peu plus stylisées, légèrement irréalistes. Si l'action n'a pas vraiment changé, les personnages ont évolué pour devenir plus réels, plus humains. Et le vrai plus, c'était d'ajouter des chasseurs à leur trousse. Une sorte de cerise sur le gâteau !".
L'obscurité
Tourner un film qui se déroule sous terre et dans le noir n'a pas été sans défi pour Neil Marshall et son équipe : " Dès sa conception, j'envisageais ce film comme étant très, très noir, dans le ton comme dans le style visuel. Il ne pouvait y avoir la moindre source de lumière naturelle dans cette grotte, ce qui s'avéra vite être un problème: " Comment éclairer cette scène alors que les filles n'ont qu'une boîte d'allumettes sur elles ? Très bien, nous utiliserons une boîte d'allumettes. Je ne sais pas comment nous allons faire cela, mais nous utiliserons une boîte d'allumettes. " Vers la fin du film, les filles commencent à utiliser des fusées mais au milieu du film, elles ont perdu leurs lampes torches, éteint leurs lumières... Ça devient donc assez noir et intense. "
De petites économies...
Afin de respecter le budget, Simon Bowles, le chef décorateur, a pris soin de recycler un maximum de décors : " comme nous sommes limités par l'espace dans les Studios Pinewood et par le budget, nous avons créé un système dans lequel nous réorganisions les décors pour en créer de nouveaux. Ainsi alors que nous construisions seulement six grottes, nous changions leur look via la couleur et la texture, en ajoutant des stalactites ou en rendant l'une d'elles humide, ou très sèches et poussiéreuses. Le but étant de bluffer les spectateurs en leur faisant croire que le système des grottes est bien plus grand que les décors construits."
Non au numérique !
Le réalisateur tenait à utiliser des acteurs pour ses montres. Il a ainsi fait appel à Craig Conway et à d'autres acteurs de Dog soldiers : "Beaucoup de films aujourd'hui utilisent les trucages numériques pour créer ce genre de créatures, nous avons décidé d'opter pour le réel, tout ce que vous voyez à l'écran est du maquillage prosthétique et de l'interprétation. "
La confrontation avec les monstres
Durant le tournage, Neil Marshall a caché les crawlers aux filles jusqu'au moment ultime de leur confrontation : " J'ai mis un point d'honneur à ce que les filles ne voient pas les crawlers. Je voulais voir quel effet cela ferait. Ça les rendait vraiment très nerveuses. Elles ne savaient pas à quoi s'attendre, elles n'avaient vu aucune photo, n'avaient aucune idée de ce à quoi ils allaient ressembler. C'était très amusant de jouer là-dessus. Quand on a fait la prise et qu'on a introduit les crawlers, alors que pendant des semaines on avait travaillé cette image de filles dures à cuire, elles se sont enfuies dans le noir en hurlant et les bras en l'air comme un groupe d'adolescentes ! ".
Trois heures et demi de maquillage
Paul Hyett, responsable du maquillage, raconte : " Les crawlers sont fabriqués en utilisant un maquillage prosthétique en silicone, qui colle littéralement au visage, en se mélangeant à la peau. Ils ont des doubles mentons, des lentilles de contact, et des dentiers. Une fois le tout en place, nous peignons complètement le corps à l'aide d'une peinture blanche et on ajoute les veines et des tas de détails visqueux et crasseux. Il y a une influence Nosferatu chez les crawlers. Nous voulions qu'ils aient un design légèrement vampirique en les gardant toujours humains. C'est un peu comme s'ils avaient évolué d'un cran vers la chauve-souris, mais à une petite échelle, notamment au niveau des oreilles, de la colonne vertébrale et de la structure osseuse du visage. "
D'un festival à l'autre
The Descent a été présenté hors compétition au festival de Venise en 2005 ainsi qu'au festival du Film Britannique de Dinard.
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Jian gui|Danny Pang Oxide Pang|Fantastique|Interdit aux moins de 12 ans|2|thaïlandais|2003|94|Mandarin||DX50|||DX50|883 Kbps|720x384|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|691||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Lawrence Cheng Peter Ho-Sun Chan|Oxide Pang Danny Pang|Decha Srimantra||EuropaCorp Distribution|Saga : The Eye |Mann est aveugle depuis l'âge de deux ans. Dix-huit ans plus tard, à la suite d'une transplantation expérimentale de la cornée, elle recouvre l'usage de ses yeux. Mais il semble que l'opération lui ait apporté plus que cela... Une suite d'évènements inexplicables perturbe désormais son existence : des ombres mystérieuses apparaissent et semblent lui prédire des morts à venir, des fantômes défigurés viennent hanter son quotidien, elle ne peut plus se regarder dans un miroir sans y voir le reflet d'une autre.Ces visions cauchemardesques conduisent Mann au bord de la folie... |Angelica Lee (Mann)@Lawrence Chou (le docteur Wah)@So Yut Lai (Yingying)@Chutcha Rujinanon (Ling)@Yin Ping Ko (la grand-mère de Mann)@Candy Lo (Yee, la soeur de Mann)@Pierre Png (Dr Eak)@Edmund Chen (Dr Lo)@Wai-Ho Yung (Mr. Ching)@Wilson Yip (Taoiste)@Kanta Aeamsamang (Jeune mère)@Wisarup Annuar (Dark Figure)@Wing-Wai Chin@Ousinthorn Chotphan (Mun (petite fille))@Sungwen Cummee (Le fantôme dans l'ascenceur)@Natathida Damrongwisetphanit (Ling (à 8 ans))@Jinda Duangtoy (Vieille dame à l'hôpital)@Sopol Duriensuk (L'agent de la circulation)@Pornchai Hongrattanaporn (La mariée)@Si Won Ho (Le fantôme dans le restaurant)@Panpimol Jeamsakol (Infirmière Thaï 2)@Pui Ho Jim (Le garçon dans l'accident de voiture)@Narongsak Junjiamrat (Jeune père)@Wirasinee Kuntipan (Groom)@Mylio Lau (Secrétaire de Wah)@Yuk Ha Lau (Serveuse)@Hing Kim Lee (Le propriétaire du restaurant)@Somchai Leelanukul (Chauffeur du mini-bus)@Tao Leung (Le fantôme sur l'autoroute)@Vuanna Mahachanok (Chauffeur du mini-taxi)@Tassanana Nuntasapee (Ling (à 4 ans))@Ming Poon (Le garçon à la casquette)@Dampongongtrakul Sawadee (Yee (petite fille))@Nonlaporn Sombatruksasuk (La mère du garçon)@Nittaya Suthornrat (Le fantôme dans la classe)@Busarn Thongtiw (Infirmière Thaï 1)@Wasarat Thrasarchoti (L'assistant de Mr. Ching)@Sue Yuen Wang (La mère de Ling)@Yuet Siu Wong (le fantôme à l'hôpital)@Florence Wu (L'infirmière)@Tian Nan Wu (Le professeur de calligraphie)@Ben Yuen (Mr. Ching)@||Secrets de tournage :
Passage à Gérardmer
The Eye a eu l'honneur d'être présenté au festival du film fantastique de Gérardmer en 2003.
Inspiré d'un fait-divers
L'idée de The Eye est venue d'un fait divers glauque qui a profondément troublé les frères Pang. Il y a plusieurs années, ils ont entendu parler dans les médias d'un cas de suicide : une jeune femme qui venait de subir une greffe de la cornée et avait mis fin à ses jours juste après avoir recouvré la vue. En effectuant des recherches approfondies, les frères ont découvert que cette personne avait toujours été stable, équilibrée, énergique, positive, toute sa vie.
Un spectateur impliqué
Afin de créer une atmosphère efficace, les réalisateurs ont voulu faire en sorte que le spectateur ait peur non pas "pour" le personnage mais "avec" lui. Dans cet optique, ils ont travaillé l'ambiance en choisissant de distiller la peur dans des lieux aussi banals qu'un restaurant, un ascenseur etc., des endroits où tout le monde peut se retrouver dans la vie de tous les jours et auxquels on se réfère immédiatement. Par ailleurs, les cinéastes ont également employé beaucoup de plans silencieux.
Influences
Plus ou moins volontaires, les références qui jalonnent le film sont nombreuses. Influencé par la vague de thrillers horrifiques et le revival du "Yurei Eiga", le film de fantôme, revenu à la mode depuis Ring
d'Hideo Nakata, les frères Oxide Pang et
Danny Pang se sont inspirés du Sixième Sens de M. Night Shyamalan pour l'argument fantastique du film (une jeune femme qui voit des morts). On peut également mettre ce film en parallèle avec d'autres films comme Blink de Michael Apted, où là-aussi une femme recouvre la vue à la suite d'une greffe de la cornée et devient le témoin d'une réalité sordide.
Un tournage en deux temps
Le tournage de The Eye a duré deux mois et demi. Six autres mois ont été nécessaires pour la postproduction et les effets spéciaux.
Un film hybride
Le film peut être fragmenté en deux parties. La première se place dans la droite lignée d'un film d'horreur tandis que la seconde s'avère être un thriller faisant semblant d'emprunter des sentiers battus alors qu'en réalité, il cache un final époustouflant.
Le message des frères Pang
Comme dans Bangkok dangerous, les frères Oxide Pang et Danny Pang ont envie de faire partager la détresse d'un personnage handicapé qui n'arrive pas à entretenir des liens normaux avec le monde extérieur. A l'instar de leur précédent film, ils usent des procédés formels inventifs afin de rendre palpable l'horreur vécue par le personnage (effets sonores stressants, flashes déstabilisants...).
Les projets des frères Pang
Actuellement, les jumeaux prodiges sont en train de mettre en scène la suite de The Eye.
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The Eye - infinity|Danny Pang Oxide Pang|Fantastique||2|hong-kongais|2004|91|Anglais||XviD|||XVID|923 Kbps|576x320|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|696||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Peter Ho-Sun Chan Lawrence Cheng Jojo Hui Danny Pang Nonzee Nimibutr|Jojo Hui Lawrence Cheng||||Saga : The Eye |Joey, une jolie jeune fille, vient d'être abandonnée par Sam, son fiancé, et dans un accès de désespoir, elle tente de mettre fin à ses jours dans un hôtel de Bangkok. Elle rate sa tentative, et, après son réveil, regrette amèrement son geste fou. Elle est désormais déterminée à vivre et à repartir à zéro. Mais elle se rend successivement compte qu'elle est enceinte de Sam, et que son esprit est accaparé par des visions que ne perçoivent pas les autres, celle d'une femme en particulier. Très perturbée, elle attribue ses tourments à sa tentative de suicide. Mais elle est en réalité dotée d'un terrible et nouveau pouvoir, elle est capable de voir les fantômes et les morts... |Shu Qi (Joey)@Eugenia Yuan (Yuen Chi-Kei)@Jesdaporn Pholdee (Sam)@Philip Kwok (le moine)@May Phua (la policière)@Rayson Tan (le gynécologue)@Alan Tern (un policier)@San Yow (un policier)@Supasawat Buranavech (La réceptionniste)@Cheung Wai Yin (L'infirmière dans l'ascenseur)@Yiu Kwai Cheung (Le mari dans l'ascenseur)@Chuwong Earsakul (Le fantôme avec la tâche de naissance)@Connie Lai (L'infirmière avec la question)@Fanny Lee (La femme enceinte dans l'ascenseur)@Harasawin Lee (L'infirmière dans l'ascenseur A)@Nuhtiya Puppatokasub (Le réceptionniste homme)@Wanchai Srimuang (Le manager de l'hôtel)@Lam Chi Tai (Le violeur)@Kwok Cheung Tsang (Le collègue de Joey)@Lam Vengium (Celui qui déplace les meubles)@Phurida Vijitphan (La serveuse de l'hôtel)@Songdad Yapanga (Le chauffeur de taxi)@Ren Yuan Yuan (Mrs. Chow)@Xiao Li Yuan (Le garçon de l'école)@Yee-Man Yueh (L'infirmière dans l'ascenseur B)@||||||||||||@@
Gin gwai 10|Danny Pang Oxide Pang|Epouvante-horreur||1|hong-kongais|2006|81|Cantonais||XviD|||XVID|1 064 Kbps|576x320|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Peter Ho-Sun Chan Lawrence Cheng Jo Jo Hui|Oxide Pang Danny Pang Mark Wu|Decha Srimantra|||Saga : The Eye |En vacance, un groupe de cinq adolescents avides de sensations fortes décident d'agrémenter leur séjour, pour cela ils suivent les différentes étapes d'un rite ancestral permettant d'entrer en contact avec les morts. Cependant, tout ne se déroule pas comme ils l'avaient imaginé... |Chen Bo-lin (Tak)@Yu Gu (Ko Fai)@Isabella Leung (April)@Kate Yeung (May)@Bongkoj Khongmalai (une mystérieuse fille)@Ray MacDonald (Chongkwai)@Yan Kam Ching (La femme énervée dans le bus)@Ng Wing Chuen (Le propriétaire du kiosque)@Leung Cjun Fai (Le garçon à la casquette)@Yu Gu (Gofei)@Tanyapan Jansiw (La fille possédée)@Chan Yui Kei (Le breakdancer à la casquette)@Lee Siu Ming (L'homme à la poupée de chiffon)@Pisamai Pakdeevijit (La mère de Chongkwai)@Viparat Saejing (Jeune fille dans l'histoire du soldat)@Or Fei Tat (Le breakdancer avec les dreadlocks)@Boonsong Vaesong (Moine principal)@Wong Pui Wah (La fille ennuyeuse dans le bus)@Chaleuy Wongdee (Le libraire)@Nicha Youngvisat (La mère de Chongkwai jeune)@||||||||||||@@
The Faculty|Robert Rodriguez|Science fiction|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|1999|100|Anglais||DivX|||DIVX|909 Kbps|592x320|WMA2|64.1 Kbps|False|44.1 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Elizabeth Avellan Robert Rodriguez|Kevin Williamson|Enrique Chediak||Bac Films||Herrington High est une école comme les autres. Ses murs sont devenus peu à peu crasseux, ses manuels scolaires périmés, ses professeurs paraissent usés bien avant la retraite, ses élèves, cerveaux et crétins, sérieux ou cancres notoires, affontent des parents qui ne les comprennent plus et des professeurs qui ne les ont jamais compris. Mais les adolescents de Herrington High se heurtent à un problème inédit. Un de leurs professeurs est tellement bizarre et inquiétant qu'ils le soupçonnent d'appartenir à une autre espèce, de venir d'une autre planète... |Josh Hartnett (Zeke Tyler)@Elijah Wood (Casey Connor)@Jordana Brewster (Delilah Profitt)@Clea DuVall (Stokely 'Stokes' Mitchell)@Laura Harris (Marybeth Louise Hutchinson)@Shawn Hatosy (Stan Rosado)@Famke Janssen (Mlle Elizabeth Burke)@Salma Hayek (infirmière Rosa Harper)@Piper Laurie (Mme Karen Olson)@Bebe Neuwirth (le principal Valerie Drake)@Robert Patrick (Coach Joe Willis)@Summer Phoenix (une élève)@Douglas Aarniokoski (le coach Brun)@Usher Raymond (Gabe Santora)@Christopher McDonald (Mr. Frank Connor)@Jon Stewart (professeur Edward Furlong)@Danny Masterson@Wiley Wiggins@Jon Abrahams (un élève)@Daniel von Bargen (Mr. John Tate)@Susan Willis (Mme Jessica Brummel)@Pete Janssen (Eddie 'Meat' McIvey)@Christina Rodriguez (fille tatouée silencieuse)@Harry Jay Knowles (Mr. Knowles)@Donna Casey (Tina)@Louis Black (Mr. Lewis)@||Secrets de tournage :
Kevin Williamson, le scénariste
Passionné de cinéma fantastique depuis son enfance, Kevin Williamson a fait une entrée remarquée dans le domaine de la terreur cinématographique avec Scream, réalisé par Wes Craven.
Il est également l'auteur de Scream 2, toujours réalisé par Wes Craven, et de Souviens-toi... L'eté dernier, d'après le roman de Lois Duncan. Il a écrit Halloween-20 ans après de Steve Miner, où Jamie Lee Curtis retrouve le rôle de Laurie Strode, et... Scream 3.
Les autres films de Robert Rodriguez
Fort d'un réel savoir-faire et d'une puissante représentation (l'agence artistique ICM), Robert Rodriguez entame alors la carrière dont il a toujours rêvé. Il commence par tourner le téléfilm " Roadracers ", remake délirant d'un classique de série B des années 50, qui lui permet de découvrir celle qui deviendra sa comédienne fétiche, la sculpturale Salma Hayek.
Il enchaîne sur Desperado (1995), suite nettement plus argentée d'El Maricahi avec Salma Hayek et Antonio Banderas dans les rôles principaux.
Dans Desperado, Robert Rodriguez offre une participation à Quentin Tarantino. C'est le début d'une fructueuse collaboration. Motivés par le même cinéma populaire, les deux hommes travaillent ensemble sur le film à sketches Four Rooms (1995) dont Robert Rodriguez réalise l'épisode "The Misbehavers". Ils recommencent l'année suivante avec Une nuit en enfer, road-movie tonitruant doublé d'un huis-clos vampirique. Robert Rodriguez y occupe les postes de réalisateur-monteur-producteur associé et Quentin Tarantino ceux de producteur-scénariste-interprète.
Originaire de San Antonio (Texas), Roberto Rodriguez grandit dans une famille nombreuse. Il réalise ses premiers films dans le cadre universitaire, des courts-métrages dont les comédiens et membres de l'équipe technique sont recrutés dans la cellule familiale.
Les débuts de Roberto Rodriguez, le réalisateur
Pour avoir réalisé son premier film El Mariachi avec le plus modeste budget de toute l'histoire du cinéma (7.000 dollars), Roberto Rodriguez entre dans le Livre des Records. Il a tourné El Mariachi en occupant à peu près tous les postes derrière la caméra et le finance en servant notamment de cobaye pour des tests pharmaceutiques. Le film que Roberto Rodriguez vouait à une carrière exclusivement limitée au marché mexicain remporte un grand succès dans les festivals de cinéma les plus importants (Deauville, Sundance où il décroche le Prix du Public, Munich, Edimburg, Berlin). Robert Rodriguez n'a alors que 23 ans. Il décrit cette expérience unique dans son ouvrage "Rebel without a Crew".
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The Fountain|Darren Aronofsky|Fantastique||3|américain|2006|96|Anglais||DX50|||DX50|875 Kbps|624x352|MPEG-1 Audio layer 3|126 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Iain Smith Eric Watson Arnon Milchan|Darren Aronofsky Ari Handel|Matthew Libatique||TFM Distribution||The Fountain raconte le combat à travers les âges d'un homme pour sauver la femme qu'il aime.Espagne, XVIe siècle. Le conquistador Tomas part en quête de la légendaire Fontaine de jouvence, censée offrir l'immortalité.Aujourd'hui. Un scientifique nommé Tommy Creo cherche désespérément le traitement capable de guérir le cancer qui ronge son épouse, Izzi.Au XXVIe siècle, Tom, un astronaute, voyage à travers l'espace et prend peu à peu conscience des mystères qui le hantent depuis un millénaire.Les trois histoires convergent vers une seule et même vérité, quand les Thomas des trois époques - le guerrier, le scientifique et l'explorateur - parviennent enfin à trouver la paix face à la vie, l'amour, la mort et la renaissance. |Hugh Jackman (Tomas / Tommy / Tom Creo)@Rachel Weisz (Isabel / Izzi Creo)@Ellen Burstyn (Dr Lilian Guzetti)@Mark Margolis (Père Avila)@Alexander Bisping (Del Toro)@Ethan Suplee (Manny)@Cliff Curtis (Capitaine Ariel)@Stephen McHattie (le grand inquisiteur Silecio)@Fernando Hernandez (seigneur de Xibalba)@Sean Patrick Thomas (Antonio)@Donna Murphy (Betty)@Richard McMillan (Henry)@Lorne Brass (Dr. Alan Lipper)@Abraham Aronofsky (technicien du laboratoire)@Boyd Banks (moine dominicain)@||Secrets de tournage :
L'intention du réalisateur
Darren Aronofsky évoque ce qui l'a poussé à réaliser The Fountain : " Au printemps 1999, ça commençait à me démanger. Requiem for a Dream était fini, mais pas encore sorti. J'avais déjà hâte de me remettre à la machine à écrire. Le XXIème siècle s'approchait dangereusement, et je me demandais à quoi pourrait bien ressembler la SF,maintenant que nous étions le Futur. L'immortalité de mes 20 ans s'éloignait et les histoires évoquant la quête de la fontaine de jouvence me tournaient dans la tête. D'un seul coup, la vie éternelle montrait des failles, des gens que j'aimais faisaient face aux vrais problèmes de la vie, de la mort et de l'amour. Je me suis mis à écrire innocemment, sur ce que je ressentais et sur ce dont je faisais l'expérience. J'étais loin de me douter alors que mon équipe et moi-même allions passer l'essentiel de nos trentaines à nous battre avec Hollywood pour que The Fountain puisse se faire."
Immortalité
L'immortalité est un des thèmes centraux de The Fountain. Darren Aronofsky a bien conscience que c'est un sujet pouvant susciter l'intérêt de chacun : "Il n'y a qu'à voir la popularité d'une série comme Nip/Tuck, explique-t-il. Les gens prient pour être jeunes et ils occultent le fait que la mort est une part essentielle de la vie. Les hôpitaux dépensent des sommes folles pour garder les gens en vie. Mais nous sommes tellement préoccupés par notre obsession du corps que nous en négligeons l'esprit. C'est l'un des thèmes centraux que je voulais aborder dans ce film : la mort nous rend-elle humains ? Si l'on pouvait vivre éternellement, perdrions-nous notre humanité ?"
Une simple histoire d'amour
L'histoire the The Fountain se déroule à trois époques différentes où chaque personnage incarne les différentes facettes d'un seul et même homme. Chaque période présente une histoire d'amour : "Au plus profond, The Fountain est une histoire d'amour très simple sur la perte d'un être cher et sur les leçons que l'on peut en tirer, explique Aronofsky, qui note que "quelle que soit son incarnation, Tommy aime Izzi si profondément qu'il ferait n'importe quoi pour la garder en vie. Mais il ne se rend pas compte qu'en cherchant sans cesse un moyen d'être avec sa femme pour l'éternité, il passe à côté du temps qu'il pourrait véritablement passer auprès d'elle."
Différend artistique
En 2002, quand Darren Aronofsky annonçait son nouveau projet The Fountain, c'était Brad Pitt et Cate Blanchett (que l'on retrouve dans Babel d'Alejandro González Inárritu) qui devaient incarner les personnages de Tom et Izzi. Durant la phase de pré production un différend artistique entre le réalisateur et Brad Pitt a poussé l'acteur à quitter le tournage pour accepter le rôle d'Achille dans Troie. Le projet The Fountain a alors été mis sous silence durant deux ans avant de revoir le jour avec un budget plus restreint (35 millions de dollars au lieu de 75 millions). Darren Aronofsky s'est alors tourné vers sa compagne Rachel Weisz et l'acteur Hugh Jackman pour reprendre les rôles principaux de Tom et Izzi.
Le remplaçant de Brad Pitt
C'est après avoir assisté une représentation de la pièce The Boy from Oz où Hugh Jackman tenait le rôle principal que Darren Aronofsky s'est décidé à engager l'acteur australien pour incarner les personnages de Tom dans The Fountain.
Un entraînement intensif
Hugh Jackman a dû subir un entraînement de plus d'un an avant de se lancer dans le tournage du film. Alors qu'il jouait toujours sur scène, l'acteur a dû travailler le Tai Chi et le Yoga pendant près de 14 mois.
Recherches
Pour imaginer un personnage capable d'affronter avec dignité et force d'âme le passage de la vie à la mort, Aronofsky et son collaborateur Ari Handel ont interrogé des infirmières qui travaillent avec des malades en phase terminale. Handel : "Elles nous ont fait comprendre que la plupart des gens en viennent à accepter leur mort, même si c'est au tout dernier moment." Aronofsky poursuit : "elles nous ont dit que, en revanche, les familles des malades ont souvent plus de difficultés à les laisser partir."
Retrouvailles
Après Requiem for a Dream, c'est la seconde fois que Darren Aronofsky dirige la comédienne Ellen Burstyn. Elle incarne ici le mentor de Tommy et la confidente de Izzy.
Sur un air de Requiem
Pour The Fountain, Darren Aronofsky a une nouvelle fois fait appel au compositeur Clint Mansell, l'auteur de la bande-originale de Requiem for a Dream. Comme pour son précédent film, c'est le Kronos quartet qui fut chargé de jouer les partitions. Il a par ailleurs demandé au groupe Mogwai de mettre en musique certaines scènes du film.
Muse ?
Rachel Weisz qui prête ses traits aux personnages de Izzy n'est autre que la fiancée du réalisateur Darren Aronofsky.
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L'espace selon Aronofsky
Pour créer l'espace dans lequel évolue le vaisseau "bulle", les superviseurs des effets spéciaux ont utilisé des micro-clichés de minuscules réactions chimiques dans des boîtes de Pétri. "Ce qui est incroyable, c'est que les substances que Peter a photographiées sont toutes contenues dans un espace pas plus grand qu'un timbre poste, explique le responsable des effets visuels Dan Schrecker. Aucun des éléments utilisés pour créer l'espace n'a réellement été généré par ordinateur. Ce sont de simples collages de photos."
The Fountain : la BD
L'histoire créée par Darren Aronosky a également permis la création d'une bande dessinée illustrée par Kent Williams.
L'ombre des mayas
Les symboles mayas revêtent une grande importance dans le film. Darren Aronofsky explique d'où lui est venu son attrait pour cette culture : "Quand j'étais à l'université, je me suis fait plaquer par une fille le jour de mon anniversaire en février. Comme j'étais vraiment déprimé, je suis allé dans un bar avec deux amis, dont Sean Gullette (l'acteur principal dePi). On en voulait au monde entier, alors on a décidé de prendre la route... On a acheté une voiture, des packs de bière, et on a roulé jusqu'au Mexique. Quand le fait d'être entre hommes a commencé à nous porter sur les nerfs on s'est naturellement mis à la recherche de femmes... Les lieux les plus appropriés pour en rencontrer étaient les sites touristiques, alors nous sommes allés aux ruines Maya de Palenque. C'était la première fois que je voyais une ruine Maya. J'ai trouvé ça magnifique ! Quand je suis retourné à l'université, j'ai pris des cours d'histoire sur la civilisation Maya. Depuis je suis resté passionné."
La tournée des Festivals
The Fountain a été présenté en Compétition à la 63e Mostra de Venise et au Festival du Film Américain de Deauville en 2006.
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The Grudge|Takashi Shimizu|Thriller|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain, japonais|2004|87|Anglais||DX50|||DX50|976 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Robert G. Tapert Takashige Ichise Sam Raimi|Takashi Shimizu Stephen Susco|Hideo Yamamoto||Metropolitan FilmExport|Saga : The Grudge |Dans ce qui paraît être une paisible maison de Tokyo se cache l'un des fléaux les plus épouvantables qui soient. Quiconque franchit le seuil de la demeure est aussitôt frappé par une malédiction qui ne tardera pas à le tuer dans un sentiment d'indicible rage.Alors que le nombre de victimes augmente, une jeune Américaine, Karen, se trouve brutalement confrontée à l'horreur de cette réalité. Pour elle, il n'est désormais plus temps d'ignorer ou de fuir, il faut comprendre pour avoir une chance de survivre... |Sarah Michelle Gellar (Karen)@Jason Behr (Doug)@Clea DuVall (Jennifer Williams)@Kadee Strickland (Susan Williams)@Bill Pullman (Peter)@William Mapother (Matthew Williams)@Takako Fuji (Kayako)@Yuya Ozeki (Toshio)@Grace Zabriskie (Emma)@Rosa Blasi (Maria)@Ted Raimi (Alex)@||Secrets de tournage :
Saga horrifique
Après le succès au Japon de The Grudge, devenu un film d'horreur culte, le réalisateur Takashi Shimizu a tourné The Grudge 2, la suite qui a elle aussi cartonné au box-office japonais. Les studios hollywoodiens, attirés par l'originalité de l'histoire, ont racheté les droits du premier film, et c'est Takashi Shimizu qui s'est chargé de réaliser le remake de son propre film.
Tournage nippon
The Grudge a été entièrement tourné au Japon. Pour Sam Raimi, il était hors de question de transposer l'histoire aux Etats-Unis. "La puissance du récit, son climat s'en seraient trouvés appauvris. (...) La peur qui naît du film naît aussi des lieux dans lesquels l'action se déroule".
La petite colonie américaine de l'équipe a donc dû se plier aux usages locaux : cérémonie de bénédiction avant le début du tournage, obligation de retirer ses chaussures avant de pénétrer sur le plateau, interdiction d'y apporter de la nourriture... Le plus étonnant pour Sarah Michelle Gellar reste le fait qu'au Japon, pour les scènes tournées en extérieur, en pleine ville, les rues ne sont pas fermées à la circulation et artificiellement peuplées de figurants, comme c'est le cas aux Etats-Unis, mais ouvertes aux passants qui y circulent.
Le remake était presque parfait
The Grudge, non content d'être tourné au Japon, avec le réalisateur de Ju-On aux commandes, redonne leur rôle à certains des interprètes du film original (Takako Fuji et Yuya Ozeki, qui incarnent respectivement Kayako et Yuya-kun, les fantômes).
Genèse du film
L'immense succès de Ju-On en Asie finit par attirer l'attention du producteur exécutif Roy Lee, déjà producteur du remake américain de Ring. Un journaliste, Alvin Lu, lui envoya une cassette du film. "Même sans aucun sous-titrage, ce film m'a terrifié", confie le producteur, qui s'empressa alors de confier le soin d'une adaptation en anglais au scénariste Stephen Susco , grand amateur du genre, pour qui les films d'horreur asiatiques " repoussent sans cesse les limites du genre, contrairement aux films d'horreur américains qui finissent par devenir répétitifs aussi bien dans les décors que dans les situations".
Intervient ensuite Sam Raimi, que Roy Lee a également contacté, et qui convaint Takashi Shimizu de remettre le couvert, avec un budget bien plus confortable. La boucle est bouclée.
Les tripes de Sam Raimi
Sam Raimi, le réalisateur de Spider-Man 1 et 2, avoue avoir été "pris aux tripes" lorsqu'il a découvert Ju-On. " Il s'agissait d'un film à buget modeste mais qui révélait le talent de celui qui l'avait écrit et réalisé. J'ai tout de suite eu envie de lui apporter les moyens d'aller au bout de ses ambitions. Il ne s'agissait pas pour moi d'américaniser le film, mais de donner à un talent exceptionnel l'occasion de s'exprimer complètement ". Ainsi est-il devenu le producteur de ce remake.
La barrière de la langue
Takashi Shimizu ne parle quasiment pas un mot d'anglais. Lorsque Sarah Michelle Gellar l'a rencontré pour la première fois, il l'a acceuillie avec une citation de La Guerre des étoiles, en lui expliquant qu'il avait tiré de la trilogie le peu de connaissance qu'il avait de la langue de Shakespeare. Pour le tournage, il fallut donc recourir à un interprète. Au début, surtout, puisque l'acteur Jason Behr explique avoir développé avec le réalisateur un certain nombre de codes qui leur permettaient de dépasser la barrière de la langue.
Au final, Takashi Shimizu s'est servi de ces difficultés à communiquer pour soutenir son travail de mise en scène : "Je savais que la plupart des acteurs n'étaient jamais venus au Japon et s'attendaient à ce que je leur donne des indications sur leur rôle. J'ai délibérément ignoré cette attente pour les déconcerter et créer une tension nerveuse qui finalement nourrit leur jeu".
Le cri du fantôme
Takashi Shimizu prête sa voix à Kayako, la femme-fantôme, dans la version originale de The Grudge. "C'est moi qui fait le cri lugubre que pousse parfois Kayako, explique-t-il.Petit, j'aimais faire des vocalises à tel point que mes parents me reprochaient régulièrement de faire des bruits bizarres. Mais je savais qu'ils me serviraient un jour : la bizarrerie finit toujours par être utile".
A la sauce US
Selon le producteur Taka Ichise, le scénario a du être remanié pour s'adapter aux goûts occidentaux. "Dans les films d'horreur japonais, il est fréquent que l'intrigue reste un peu floue, sans dénouement précis. Un Japonais considère cette ouverture finale comme un effet de terreur supplémentaire. Le spectateur américain, lui, préfère que l'histoire ait une conclusion".
In-tensions
The Grudge récupère le mythe de la maison hantée, et tâche de le réinventer. Takashi Shimizu était décidé à "réaliser un film d'horreur d'un tout autre genre montrant les fantômes, en les matérialisant plutôt que de les présenter sous forme de spectres".
Le concept de "défamiliarisation"
Selon l'actrice Kadee Strickland, la peur que font naître les films de Takashi Shimizu vient de la façon dont le réalisateur manie des images familières :"Il questionne nos représentations en nous amenant à douter d'éléments de notre quotidien (...) d'ordinaire considérés comme fragiles et inoffensifs et qui deviennent soudain susceptibles de cacher autre chose. Takashi a l'art de "défamiliariser" notre environnement coutumier, ce qui a pour conséquence de le rendre étrange et inquiétant".
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The Grudge 2|Takashi Shimizu|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|2006|98|Anglais||DX50|||DX50|892 Kbps|544x288|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Takashige Ichise Robert G. Tapert|Takashi Shimizu Stephen Susco|Katsumi Yanagishima||Metropolitan FilmExport|Saga : The Grudge |Aubrey apprend que sa soeur Karen est hospitalisée au Japon. Peu de temps après son arrivée à Tokyo, Aubrey est avertie que sa soeur est devenue l'esclave de quelque chose d'invisible et de dangereux.De son côté, Allison étudie dans une école internationale de Tokyo. Décidée à se faire bien voir des élèves les plus populaires de l'établissement, elle est prête à tout, y compris se rendre dans une mystérieuse maison incendiée, lieu de plusieurs meurtres inexpliqués et d'étranges disparitions...Jake, un garçon introverti, n'est pas heureux que son père veuf refasse sa vie avec Trish. Le fossé se creuse entre lui et les siens, mais aussi avec tous ses voisins qui semblent avoir des comportements de plus en plus étranges...Ces trois jeunes gens ne le savent pas encore, mais ils ont rendez-vous avec une terrifiante malédiction que plus rien ne retient enfermée... |Amber Tamblyn (Aubrey)@Arielle Kebbel (Allison )@Edison Chen (Eason)@Sarah Roemer (Lacey)@Jennifer Beals (Trish)@Sarah Michelle Gellar (Karen Davis)@Takako Fuji (Kayako Saeki)@Matthew Knight (Jake)@Misako Uno (Miyuki)@Teresa Palmer (Vanessa )@Ohga Tanaka (Toshio)@Ryo Ishibashi (Nakagawa)@Joanna Cassidy (Mrs. Davis)@Christopher Cousins (Bill)@Paul Jarrett (John Fleming)@||Secrets de tournage :
Pas une copie de "Ju-on 2"
Takashi Shimizu a accepté de diriger The Grudge 2, car il ne s'agissait pas d'une copie de Ju-on 2 et parce que, les producteurs lui ayant promis une nouvelle histoire, il était désireux de fouiller plus profondément dans le mystère de la malédiction et de ses nouvelles victimes.
Le scénariste Stephen Susco, qui a adapté le premier film, explique : "Nous voulions que cette suite ouvre une nouvelle voie pour approfondir et enrichir l'histoire. Nous avons exploré toute une variété de possibilités différentes et une myriade de personnages, et avons continué à les
affiner jusqu'à avoir le noyau d'un récit fort."
Takashi Shimizu ajoute : "Le mystère de la malédiction, qui n'a pas été expliqué dans le premier film, est maintenant révélé. J'ai travaillé à cette suite de telle façon que chacun puisse la comprendre et l'apprécier, même ceux et celles qui n'ont jamais vu le premier film ou n'importe laquelle
de mes versions japonaises."
Un casting international
Travailler avec une équipe d'acteurs internationaux (américains, canadiens, australiens et japonais) a été un nouveau défi pour Takashi Shimizu, qui signe avec The Grudge 2 son deuxième film en anglais. Celui-ci raconte : "Je ne connais pas beaucoup d'acteurs non japonais, j'ai donc expliqué aux producteurs la personnalité de chaque personnage, leur importance dans l'histoire, ce que j'attendais d'eux et ce à quoi je voulais qu'ils ressemblent. Les producteurs aux Etats-Unis ont choisi les acteurs américains, et Takashige Ichise et moi avons choisi les acteurs japonais."
A l'origine de Kayako, le fantôme de "The Grudge"
En créant le personnage de Kayako, le spectre de The Grudge, Takashi Shimizu a respecté la tradition japonaise qui veut qu'un fantôme soit le plus souvent une femme avec de longs cheveux noirs qui porte un kimono blanc. Ainsi, Kayako entoure ses victimes de sa chevelure et celles-ci succombent à la malédiction peu de temps après.
"Autrefois, précise le réalisateur, les Japonaises prenaient grand soin de leur chevelure. Elles considéraient leurs longs cheveux noirs comme un trésor et les croyaient même détenteurs d'une âme. Des cheveux ébouriffés expriment une forte émotion, comme une profonde rage. Une femme avec des cheveux en désordre est donc une représentation courante d'un fantôme. Quant au kimono blanc, il vient du fait qu'on habille les morts d'un kimono de cette couleur avant de les placer dans leur cercueil, parce que nous croyons que le vêtement blanc purifie l'âme du mort afin qu'il puisse aller au paradis. Ensuite, le corps est brûlé. Lorsque l'âme d'un mort apparaît, elle porte souvent cet habit."
Entre colère et sensibilité...
Le personnage de Kayako a été créé par Takashi Shimizu pour son premier film d'étudiant de 3 mn, Katei Homon. Il avait alors choisi Takako Fuji pour l'incarner, et cette actrice japonaise a toujours joué ce personnage vengeur depuis. Le réalisateur raconte : "Quand j'ai vu Takako dans une représentation théâtrale pour la première fois, j'ai su qu'elle serait parfaite pour mon fantôme, et rien n'a changé depuis."
Elle retrouve ici le personnage pour la sixième fois et confie : "Il y a dix ans, dans Katei Homon, j'exprimais surtout la colère du personnage, mais plus nous avons fait de films, et plus Shimizu me donnait des indications de jeu sur son état émotionnel. Elle n'était plus seulement en colère, elle devenait triste, seule... Kayako est devenue progressivement plus humaine. J'essaie maintenant d'entretenir ce subtil mélange de colère et de sensibilité..."
Takashi Shimizu vu par trois de ses comédiens...
Jennifer Beals : "Je n'avais jamais tourné de film d'épouvante auparavant, mais après avoir vu The Grudge, j'ai voulu travailler avec Takashi Shimizu, parce que je pense qu'il élève le genre à un autre niveau. Il est intelligent, drôle, extrêmement compétent derrière une caméra, et très exigeant. Sa façon de faire ses films me rappelle un peu ceux de Robert Altman - en nettement plus effrayant !"
Edison Chen, qui joue Eason, le reporter, remarque : "Connaissant les films terrifiants et sombres de Takashi Shimizu, j'ai été surpris de rencontrer un homme aussi gentil, limpide et humain. Comment un type pareil peut-il faire des films aussi effrayants ?"
Arielle Kebbel ajoute : "J'ai été séduite par sa manière de faire. Dans chaque prise, au lieu d'écouter nos paroles, il observait nos corps. Sa vision du placement est très spécifique. Parfois, ses directives avaient un but précis, mais à d'autres moments, elles provoquaient une émotion différente chez moi, il captait alors le sentiment de terreur qui émanait de mes yeux, mes mains, même de mon souffle. En outre, Takashi Shimizu avait le film découpé dans sa tête."
Tourner au pays du soleil levant
Le tournage a eu lieu au Japon, alors qu'une partie du film se déroule aux Etats-Unis, ce qui a été un défi pour le chef décorateur Iwao Saito, qui avait précédemment travaillé sur The Grudge et Ju-on 2. "Je n'étais pas certain d'arriver à créer au Japon des décors américains crédibles, explique-t-il. J'ai donc demandé aux producteurs de m'envoyer à Chicago pour collaborer avec un directeur artistique familier de la culture américaine, John Marcynuk, qui a travaillé sur beaucoup de séries dont "Dark Angel"."
La production a trouvé un lieu de tournage à Yokohama, au Japon, pour servir d'extérieur à l'immeuble de Chicago, et Saito et son équipe ont créé les décors intérieurs sur le plateau 9 aux Studios Toho.
Franchir la barrière linguistique
La barrière linguistique a constitué un obstacle non négligeable durant le tournage. Takashi Shimizu ne parle pas l'anglais et a dû se reposer sur Chiho Asada, une traductrice, qui l'a accompagné en permanence.
Amber Tamblyn admet : "La barrière linguistique fut un problème plus important que je ne m'y attendais. Parce qu'il y a certaines choses qu'on ne peut vraiment traduire à travers le langage, j'ai donc beaucoup utilisé mes mains ! Heureusement, Chiho était une interprète étonnante, capable de traduire non seulement les mots de Takashi, mais aussi ses inflexions et rythmes."
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The Grudge 3|Toby Wilkins|Epouvante-horreur||2|américain|2008|90|Anglais||XVID|||XVID|911 Kbps|640x336|MPEG-1 Audio layer 3|162 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|06/08/2009 00:00:00||||||| |Shawnee Smith (Dr Ann Sullivan)@Marina Sirtis (Gretchen)@Matthew Knight (Jake Kimble)@Johanna E. Braddy (Lisa)@Beau Mirchoff (Andy)@Gil McKinney (Max Kimble)@Aiko Horiuchi (Kayako)@||||||||||||@@
The Hard Corps|Sheldon Lettich|Action||2|américain|2006|110|Anglais||XviD|||XVID|742 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|131 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||23.976|28/07/2009 00:00:00|David Bixler Brad Krevoy Donald Kushner|Sheldon Lettich George Saunders|||||Patrick Sauvage, un vétéran qui vient de passer ces trois dernières années en Afghanistan et en Irak, devient le garde du corps d'un champion de boxe menacé par un gang de rappeurs. Il recrute alors des soldats pour former une unité d'élite de gardes du corps: le "Hard Corps". Mais très vite une relation va se nouer entre Patrick et la soeur de celui qu'il protège... |Jean-Claude Van Damme (Patrick Sauvage)@Razaaq Adoti (Wayne Barclay)@Vivica A. Fox (Tamara Barclay)@Peter Bryant (Kendall Mullins)@Mark Griffin (Casey Bledsoe)@Ron Selmour (Simcoe)@Aaron Au (Kim)@Ron Bottitta (l'inspecteur Teague)@Viv Leacock (Terrell Singletery)@Craig Robert Young (un journaliste)@Dexter Bell (High Dog)@Julian Christopher (Clarence Bowden)@Tegan Summer (Jones)@Nneka Croal (Jessie Otero)@Sharon Amos (Lydia)@Doron Bell Jr (Leonard)@Jonathan Mubanda (Demar)@||||||||||||@@
The Hole|Nick Hamm|Thriller||3|britannique|2001|95|Anglais||DIV3|||DIV3|839 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|667||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Lisa Bryer Jeremy Bolt Pippa Cross|Ben Court Caroline Ip|Denis Crossan||Pathé Distribution||Quatre étudiants d'une prestigieuse université britannique manquent à l'appel depuis 18 jours. Personne ne croit plus les revoir. Mais voilà que réapparaît Liz, une des disparus, couverte de sang et traumatisée par ce qui vient de lui arriver.
Aidée par Philippa, une psychologue de la police, Liz tente de rassembler ses souvenirs : elle aurait décidé avec trois autres de ses camarades de se cacher dans un ancien bunker désaffecté pour échapper à un voyage scolaire et y faire la fête. Ils devaient y passer deux jours, mais y sont restés coincés pendant plus de deux semaines. Là, ses amis auraient trouvé la mort dans d'effroyables circonstances.
Rapidement, Philippa découvre que la jeune fille mélange réalité et fiction. Où se cache la vérité ? Comment Liz en est-elle sortie vivante ? Tandis que l'on extirpe des cadavres du bunker, le puzzle du cauchemar se reconstitue peu à peu. |Thora Birch (Liz Dunn)@Keira Knightley (Frances 'Frankie' Almond Smith)@Desmond Harrington (Mike Steel)@Laurence Fox (Geoff Bingham)@Daniel Brocklebank (Martin Taylor)@Embeth Davidtz (le docteur Philippa Horwood)@Steven Waddington (le policier Tom Howard)@Emma Griffiths Malin (Daisy)@Gemma Powell (Minnie)@Gemma Craven (Mrs. Dunn)@Anastasia Hille (Gillian)@Kelly Hunter (Chapman)@Maria Pastel (la femme policier)@Celia Montague (l'avouée)@Kevin Trainor (le garçon à l'école)@Lolita Chakrabarti (la doctoresse)@Claire Fox (Jennifer Hochman)@Jack Tanner (le journaliste)@||Secrets de tournage :
Nick Hamm, réalisateur :
Metteur en scène réputé de la Royal Shakespeare Company, Nick Hamm a également travaillé pour la télévision avant de passer au cinéma.
En 1998, il réalise pour le grand écran Martha, Frank, Daniel et Lawrence. The hole est son 2e long métrage pour le cinéma.
Thora Birch (« Liz »)
Elle s'est fait connaître au grand public par son rôle dans American beauty de Sam Mendes, mais Thora Birch n'en est pas à sa première expérience au cinéma. Elle a ainsi joué dans Paradise de Mary Agnes Donoghue, Jeux de guerre et Danger immédait de Philip Noyce, Alaska de Fraser C.Heston où Donjons & dragons de Courtney Salomon.
Thora Birch à propos de son rôle :
« Je n'avais encore jamais tourné de thriller psychologique. Essayer un genre nouveau était très attirant pour moi, mais ce qui m'a séduite plus que tout le reste, c'est le rôle. Liz est plusieurs personnages différents en même temps (?). »
Adaptation littéraire
The Hole est l'adaptation du roman de Guy Burt « After the hole ». Livre écrit alors que l'auteur n'avait que 17 ans.
De Pippa Cross, coproducteur du film :
« J'ai toujours été séduite et intriguée par le roman, mais aucune des précédentes adaptations ne m'avait convaincue. Ben et Caroline (les scénaristes) ont eu le courage de s'affranchir du cadre du livre et de répondre à certaines des questions qui restaient en suspens. Il est vrai aussi que le genre nous a rattrapés, avec le succès du Projet Blair witch. Mais The hole nous a offert l'opportunité de faire une version plus extrême du genre « thriller pour adolescents ». Ce n'est plus seulement une histoire où un groupe d'ados se retrouve en péril. The hole ouvre une nouvelle direction. La différence profonde réside dans la nature de l'horreur, son origine, et dans le fait qu'elle reste ambiguë jusqu'à la fin. »
Tournage
Il a duré six semaines, dans les environs de Londres et dans le sud de l'Angleterre, dans les bâtiments néogothiques de la Downside Boarding School, près de Bath, et aux Bray Studios au nord de Londres, où furent construit les bunkers
Primé à Cognac
The hole a obtenu le Prix Spécial Police du Festival de Cognac 2001.
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The Hunting Party|Richard Shepard|Action||2|bosniaque, américain, croate|2007|99|Anglais||XviD|||XVID|850 Kbps|624x256|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00||Richard Shepard|David Tattersall||TFM Distribution||Pour décrocher un scoop, un reporter décrié, un jeune journaliste et un caméraman partent sans autorisation en ex-Yougoslavie à la recherche d'un redoutable criminel de guerre. Mais ils sont pris pour une équipe de la CIA et leur cible se met à leur poursuite. |Richard Gere (Simon)@Diane Kruger (Marjana)@Terrence Howard (Duck)@James Brolin (Franklin Harris)@Jesse Eisenberg (Benjamin)@Goran Kostic (Srdjan)@Olja Hrustic (la petite-amie de Srdjan (voix))@Mark Ivanir (Boris)@Hélène Cardona (voix)@Lejla Hadzimuratovic (voix)@Kristina Krepela (Marda)@Marc Casabani (voix)@Ljubomir Kerekes (voix)@||Secrets de tournage :
La traque de Radovan Karad?ić
The Hunting party est basé sur une histoire vraie, la traque du leader bosniaque Radovan Karad?ić. Fondateur du parti démocrate serbe en Bosnie-Herzégovine en 1989, Karad?ić gouverne la province serbe de Bosnie tout de suite après l'écaletement de la Yougoslavie en 1991. Accusé d'avoir ordonné, pendant la guerre, le nettoyage ethnique des bosniaques et des croates - et notamment le massacre de Srebrenica - Radovan Karad?ić est recherché pour crimes de guerre par le Tribunal Penal International pour l'ex-Yougoslavie. A partir de 1996, le dirigeant est en fuite. La traque durera huit ans, ne s'achevant qu'en 2005.
Titre initial
The hunting party a été tourné sous le titre de travail Spring Break in Bosnia
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The Island|Michael Bay|Science fiction||3|américain|2005|136|Anglais||XviD|||XVID|582 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Michael Bay Ian Bryce Walter F. Parkes|Caspian Tredwell-Owen Alex Kurtzman Roberto Orci|Mauro Fiore||Warner Bros. France||D'ici quelques décennies...Lincoln Six-Echo et sa camarade Jordan Two-Delta font partie des centaines de Produits d'une immense colonie souterraine où la vie est étroitement surveillée et régie par des codes très stricts. Le seul espoir d'échapper à cet univers stérile est d'être sélectionné pour un transfert sur "l'Île". A en croire les dirigeants de la colonie, l'Île serait le dernier territoire à avoir échappé à la catastrophe écologique qui ravagea notre planète quelques années auparavant et en rendit l'atmosphère à jamais irrespirable...Lincoln, comme la totalité de ses congénères, a longtemps cru à ce paradis. Mais depuis quelque temps, des cauchemars récurrents troublent ses nuits, et le jeune homme commence à s'interroger sur le sens de sa vie et les restrictions faites à sa liberté.Poussé par une curiosité tenace, Lincoln découvre bientôt l'atroce vérité... |Ewan McGregor (Lincoln Six-Echo/Tom Lincoln)@Scarlett Johansson (Jordan Two-Delta/Sarah Jordan)@Djimon Hounsou (Albert Laurent)@Steve Buscemi (McCord)@Michael Clarke Duncan (Starkweather)@Sean Bean (Merrick)@Max Baker (Carnes)@Troy Blendell (technicien de Laurent)@Yvette Nicole Brown (Infirmière)@Kevin Daniels (Censeur)@Whitney Dylan (Agent service consommateur)@Svetlana Efremova (Sage-femme)@Siobhan Flynn (Lima One-Alpha)@Kenneth Hughes (Groom)@J.P. Manoux (Seven-Foxtrot)@Gonzalo Menendez (Medecin)@Glenn Morshower (Pilote d'hélicoptère)@Don Michael Paul (Pilier de bar)@Robert Sherman (Clone)@Jimmy Smagula (Technicien de labo)@Shawnee Smith (Suzie)@Ryan Tasz (Censeur Scott Magginis)@Ethan Philips (Jones Three-Echo)@Brian Stepanek (Gandu Three-Echo)@Noa Tishby (Annonceur de la Communauté )@Jamie McBride (technicien de Laurent)@Gary Nickens (technicien de Laurent)@Kathleen Rose Perkins (technicien de Laurent)@Richard F. Whiten (technicien de Laurent)@Kevin McCorkle (technicien de Laurent)@Phil Abrams (Obgyn)@||Secrets de tournage :
Quand Dreamworks s'en mêle...
The Island est le premier film de Michael Bay non produit par Jerry Bruckheimer. Ils avaient collaboré sur Armageddon en 1998 et Pearl Harbor en 2001. D'après Michael Bay lui-même, ce n'est pas une rupture définitive. Il s'est exprimé ainsi : "J'ai gagné une personne apellée Steven Spielberg... Jerry est un peu jaloux même si on est bons amis, j'ai pris beaucoup de plaisir à travailler avec lui. Je veux d'ailleurs que l'on fasse autre chose ".
Le script, une fois rédigé, fut envoyé à DreamWorks, la maison de production de Steven Spielberg ce qui amorça le changement d'équipe. Ce dernier a appelé Michael Bay en personne puis deux de ses collaborateurs, immédiatement séduits, le transmirent aux futurs producteurs de The Island, Walter Parkes et Laurie MacDonald , alors en voyage en Inde.
Des scénaristes visionnaires
Le script a été écrit par Caspian Tredwell-Owen, Alex Kurtzman et Roberto Orci. C'est un thriller contemporain dans la mesure où, d'après Caspian Tredwell-Owen, " le clonage humain va arriver, c'est inévitable (...) quelqu'un va le faire, légalement ou illlégalement, c'est juste une question de se lancer...". Le plus original est que nous découvrons les méfaits du clonage humain non pas des yeux d'un scientifique extérieur au phénomène mais du point de vue des clones eux-mêmes. Alex Kurtzman soutient que c'est ce qui fait l'efficacité du scénario : "Nous sentions très fortement que les révélations devaient être faites à travers les yeux de Lincoln car le public se sentirait aussitôt proche de lui...".
Michael Bay entre en scène
Walter Parkes confie avoir tout de suite pensé à Michael Bay pour réaliser le film. "Il a la vision, la capacité à diriger, la créativité, la confiance et la maîtrise technique pour gérer une production de cette taille, donc ça collait parfaitement (...) Seule une courte liste de réalisateurs sont capables de jongler avec tout ça sans se laisser déborder (...) Dans tous les sens du terme, il est comme un grand enfant avec un sens merveilleux de ce qui est ludique. Il apporte un ton et une grande énergie sur le plateau, ce qui, je pense, se ressent dans le film. C'est quelque chose de très infectieux!" Pour Michael Bay, The Island était le moyen de réaliser un divertissement estival tout en proposant un point de vue sur le clonage humain.
Un réalisateur très exigeant
Les acteurs ont du s'investir tant moralement que physiquement dans ce film d'action. Concernant Scarlett Johansson, l'héroine du film, elle a souffert de son manque de condition physique sur le tournage. En effet, elle dut se faire poser des atelles aux tibias après des scènes de courses-poursuites et souffrait terriblement du genou. "Plus fatiguant que La Jeune fille à la perle" a t-elle déclaré au magazine britannique Empire.
De plus, l'actrice s'est fait retiré les amygdales juste avant le tournage et raconte à ce propos : "(...)le bureau de Michael Bay m'appelait tous les jours pour savoir quand j'allais me rendre à la salle de sport...". Pour Ewan McGregor, la difficulté fut d'opérer un pseudo dédoublement de personnalité. D'une part, il a joué le rôle de Lincoln Six-Echo élevé dans une société confinée, à l'accent américain et d'autre part, celui de Tom Lincoln, son clone, auquel il a voulu donner un accent écossais. D'après Michael Bay, l'acteur a beaucoup travaillé pour les dinstinguer. De son côté, Michael Clarke Duncan (Starkweather) avait déjà travaillé avec Michael Bay sur Armageddon et ce dernier, malgré son petit rôle dans The Island ne lui a pas épargné certaines souffrances : "Je l'ai fait courir, je l'ai fait pleurer, je lui ai demandé de rester aranaché à une table pendant 8 heures, jusqu'à ce qu'il dise, tu as une dernière prise et moi de lui répondre aller Mike, donne m'en 5 de plus! J'adore le torturer!"
Cependant, pour certains comme Steve Buscemi (McCord, l'allié de Lincoln Six-Echo), "c'est génial de travailler avec lui car il propose des choses à la dernière minute ou demande d'improviser quelque chose à chaud. Nous respectons toujours le script mais sans avoir peur de la nouveauté, donc on ne sait jamais à quoi s'attendre."
Bay, panier percé
Le réalisateur a beaucoup investi dans les scènes d'action. La voiture de Tom Lincoln, le clone de Lincoln Six-Echo, est une Cadillac CIEN valant 7 millions de dollars. John Frazier, le chef des effets spéciaux en a crée une réplique afin de ne pas abîmer l'originale. Pour les scènes en mer, il a opté pour un WallyPower 118, un yacht coûtant 25 millions de dollars!
Une distribution éclatante
Le film est soutenu par un casting de choix. En effet, les acteurs ont été nominés et/ou récompensés par les académies les plus prestigieuses. Ewan McGregor a été élu acteur de l'année 2001 lors de l'Hollywood Film Festival ainsi qu'en 2002 lors des London Critics Circle Film Awards pour sa prestation dans Moulin Rouge. Pour sa part, Scarlett Johansson a été désignée, aux BAFTA Awards 2004, meilleure actrice pour Lost in translation.
Dans les seconds rôles, figurent les nominés aux Oscars Djimon Hounsou pour In America et Michael Clarke Duncan pour son rôle dans La Ligne verte.
En haut de l'affiche
Ewan McGregor joue le rôle principal de Lincoln Six-Echo, ce qui change considérablement du type de rôle auquel il est habitué. Pour lui, The Island "est un gros film d'action américain mais avec quelque chose de plus profond, ce qui n'est pas toujours le cas (...) Je pensais que l'exploration du clônage humain poussé à l'extrême était intéréssante pour le film mais aussi au-delà et c'est le type de rôle que je n'avais encore jamais fait.". Scarlett Johansson interprète Jordan Two-Delta, l'amie fidèle de Lincoln. En lisant le script, l'actrice a été séduite par leur relation : "Ils ne connaissent rien à l'intimité et à la sexualité. Ils sont complètement naifs car ils ont vécu dans une espèce de bulle de plastique sans connaissance du monde extérieur. C'est une magnifique histoire d'amour d'une certaine façon (...)". En plus, elle était très excitée de travailler avec Ewan McGregor et Michael Bay.
De L.A. à Détroit
Le tournage débuta dans les déserts de Californie et du Névada pour les scènes d'arrivée dans le monde extérieur. Selon le réalisateur, il était important que les personnages arrivent "dans un monde inhospitalier (...) D'abord, ils sortent et réalisent qu'ils peuvent respirer dans un territoire accidenté, ensuite ils se rendent à Los Angeles qui ressemble pour eux à un magasin de confiseries...". Ensuite, ils se rendirent à Détroit qui leur semblait être la ville la plus proche de Los Angeles, esthétiquement et spirituellement. L'avantage de ne pas filmer à L.A. fut la disponibilité des responsables civils. "Ils étaient extraordinaires au point de me laisser fermer 8 blocs en même temps et contrôler les rues aussi longtemps que j'en avais besoin" a déclaré le californien Michael Bay, pour qui seul le froid était un problème...
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The King of New York|Abel Ferrara|Policier|Interdit aux moins de 16 ans|3|britannique, italien, américain|1990|98|Anglais||DX50|||DX50|853 Kbps|544x288|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Mary Kane Augusto Caminito|Nicholas St. John|Bojan Bazelli||Carlotta Films||L'histoire d'un gangster au grand coeur mais aux méthodes définitives, surnommé par le presse The King of New York et qui rêve de fonder un hôpital, confronté a des policiers opiniâtres qui ont juré de l'abattre... |Christopher Walken (Frank White)@David Caruso (Dennis Gilley)@Laurence Fishburne (Jimmy Jump)@Victor Argo (Roy Bishop)@Janet Julian (Jennifer)@Paul Calderon (Joey Dalesio)@Wesley Snipes (Thomas Flanigan)@Steve Buscemi (Test Tube)@Theresa Randle (Raye)@Frank Adonis (Paul Calgari)@Vanessa Angel (l'Anglaise)@Joey Chin (Larry Wong)@Harold Perrineau (le chef de gang)@Giancarlo Esposito (Lance)@Frank Aquilino (joueur de cartes)@||Secrets de tournage :
La découverte Ferrara
Sorti en juillet 1990 en France, The King of New York est sans doute l'un des films les plus accessibles de son réalisateur Abel Ferrara, en tous cas celui qui l'a fait découvrir aux yeux du grand public, trois ans avant Bad Lieutenant, considéré par beaucoup comme le chef-d'oeuvre du cinéaste new-yorkais.
Première collaboration avec Christopher Walken
The King of New York marque la première collaboration d'Abel Ferrara avec Christopher Walken, qui deviendra par la suite l'un des fidèles du metteur en scène, avec des apparitions dans The Addiction (1995), Nos funérailles (1996) et New Rose Hotel (1998).
Victor Argo, le fidèle
Incarnant le policier Roy Bishop, Victor Argo est également l'un des acteur récurrents de la filmographie d'Abel Ferrara, présent de The King of New York en 1990 à Christmas en 2001. Le réalisateur retrouve également David Caruso, qu'il avait dirigé dans la série Crime story et dans le film China girl (1987).
Nicholas St John au scénario
Le script est signé Nicholas St. John, scénariste attitré d'Abel Ferrara de 1976 (le porno Nine lives of a wet pussy) à 1996 (Nos funérailles).
New York par Ferrara
Comme la majorité des films de la première moitié de la carrière d'Abel Ferrara, The King of New York se déroule dans la Grosse Pomme, ville de naissance d'Abel Ferrara que le cinéaste filme comme un mégapole sombre, déclinante, sale et lugubre.
La bande de Spike
Hasard ou symbole de l'attachement d'Abel Ferrara à New York, trois des acteurs principaux de The King of New York sont des habitués de Spike Lee. Laurence Fishburne, Wesley Snipes et Giancarlo Esposito ont ainsi tous tourné avec l'autre amoureux de la Grande Pomme.
Financement italien
Bien qu'entièrement tourné à New York, The King of New York est intégralement financé par des fonds italiens, provenant notamment des sociétés Rank Film Organisation, Reteitalia et Scena International. Le film est par ailleurs produit par Augusto Caminito, napolitain de naissance.
La France avant les Etats-Unis
The King of New York est sorti le 18 juillet 1990 en France, deux mois avant la sortie américaine du film le 28 septembre 1990. Une logique qui se répètera régulièrement pour Abel Ferrara, plus reconnu dans l'Hexagone qu'outre-Atlantique.
Nomination indépendante
The King of New York a glané une nomination lors de la cérémonie des Independent Spirit Awards 1991, pour sa photographie signée Bojan Bazelli.
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The Mask|Chuck Russell|Fantastique||3|américain|1994|97|Anglais||DIVX|||DIVX|851 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|687||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Robert Engelman|Mike Werb|John R. Leonetti||AMLF||Stanley Ipkiss, modeste employé de banque, passionné par l'univers de Tex Avery, trouve un masque ancien aux pouvoirs surnaturels. Il est néanmoins partagé entre devenir cette créature verte sûre d'elle ou rester le timide Stanley Ipkiss, incapable d'aborder la magnifique chanteuse de cabaret Tina Carlyle. |Jim Carrey (Stanley "Stan" Ipkiss / The Mask)@Cameron Diaz (Tina Carlyle)@Peter Greene (Dorian Tyrell)@Peter Riegert (Lieutenant Mitch Kellaway)@Amy Yasbeck (Peggy Brandt)@Richard Jeni (Charlie Schumaker)@Orestes Matacena (Niko)@Ben Stein (le Docteur Neuman)@Tim Bagley (Irv Ripley)@Nancy Fish (Mrs. Peenman)@Johnny Williams (Burt Ripley)@Reg E. Cathey (Freeze)@Jim Doughan (l'inspecteur Doyle)@Denis Forest (Sweet Eddy)@||||||||||||@@
The Mechanik|Dolph Lundgren|Action||3|américain, allemand|2005|90|Anglais||DX50|||DX50|951 Kbps|560x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Scott Putman David Varod|Dolph Lundgren Bryan Edward Hill|Ross W. Clarkson||||Nick Cherenko est un ancien membre des Forces Spéciales Russes, il vit à présent avec sa famille, loin de la guerre. Le jour où sa famille est assassinée lors d'un réglements de comptes entre gangs; il cherche à tout prix à se venger. |Dolph Lundgren (Nick Cherenko)@Ben Cross (William Burton)@Ivan Petrushinov (Sasha)@Olivia Lee (Julia)@Raicho Vasilev (Achmed)@Assen Blatechki (Yuri)@Antony Agirov (Serie)@Valeri Yordanov (Alexi)@Dejan Angelov (Pavel)@Ivaylo Geraskov (Léo)@Hilda van der Meulen (Alina)@Naum Shopov (Vanya)@Atanas Srebrev (John Ridley)@Levana Finkelstein (Mary Abramoff)@Nikolai Sotirov (Victor Chertoff)@||||||||||||@@
The One|James Wong|Science fiction||2|américain|2001|87|Anglais||DIV3|||DIV3|972 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|695||||23.976|09/08/2009 00:00:00|Steven Chasman Glen Morgan Charles Newirth James Wong|Glen Morgan James Wong|Rober Mc Lachlan||Columbia TriStar Films||Dans un futur lointain, les univers parallèles existent. Yulaw, un agent de la Multiverse, le sait pour y être souvent intervenu lors de ses missions. C'est ainsi qu'il a appris que nos doubles vivants dans chacun de ces mondes sont liés entre eux par un flux, et que lorsqu'un d'eux disparaît, son énergie est redistribuée aux autres.
Depuis, Yulaw ambitionne d'éliminer ses doubles pour récolter leur puissance et ainsi devenir l'être absolu. Les agents Roedecker et Funsch reçoivent alors l'ordre de neutraliser Yulaw.
Gabe, lui, est un policier qui mène une vie sans histoires. Mais ça ne va pas durer : il est le dernier double, l'ultime obstacle sur la route de Yulaw. Une folle course-poursuite commence entre les quatre hommes. |Jet Li (Gabriel / Yulaw)@Delroy Lindo (L'agent Roedecker)@Jason Statham (L'agent Funsch)@Carla Gugino (T. K. / Massie Walsh)@Tucker Smallwood (Le gardien de la prison)@James Morrison (Aldrich, détenu n°1 du monde "A")@Dylan Bruno (Yates)@Richard Steinmetz (D'Antoni)@Steve Rankin (Superviseur MVA)@Dean Norris (Le sergent Siegel)@||Secrets de tournage :
3e film hollywoodien pour Jet Li
The One est le troisième long métrage hollywoodien de Jet Li, star du cinéma asiatique. Il a auparavant joué dans deux productions de Joel Silver : L' Arme fatale 4 de Richard Donner en 1998 et Roméo doit mourir d'Andrzej Bartkowiak en 2000.
La chorégraphie de Corey Yuen
Les scènes d'action ont été supervisées par Corey Yuen, un chorégraphe réputé qui a déjà travaillé avec Jet Li sur les séquences d'affrontement du Le Baiser mortel du dragon de Chris Nahon. The One "est différent des films d'arts martiaux traditionnels", explique Corey Yuen. "Nous avons essayé de restreindre autant que possible l'utilisation des câbles et avons surtout fait appel aux capacités de Jet Li en arts martiaux."
Ces derniers ont utilisé des styles de combat spécifiques pour discerner les deux personnages incarnés par Jet Li. Ils ont choisi le Bagwa, un mouvement circulaire, pour Gabe, et le Shinyi, une attaque en frappe directe, pour Yulaw.
Une doublure synthétique
Compte tenu de la rapidité des échanges de coups et de la multiplication des figures acrobatiques, les deux adversaires interprétés par Jet Li devaient être réellement en contact pendant la prise de vue. La seule solution consistait à touner la scène avec Jet Li et une doublure, puis remplacer le visage du cascadeur par celui de l'acteur. Une réplique virtuelle hyperréaliste de la tête de Jet Li a donc été créée à cet effet.
Des combats caractéristiques
Pour mieux opposer les deux personnages incarnés par Jet Li, celui-ci dut apprendre deux approches d'arts martiaux différentes. Alors que Gabriel (le "bon") utilise un style dénommé Bagwa, fondé sur des mouvements circulaires, le "mauvais", Yulaw, pratique le style Shin Yi, axé autour de mouvements plus directs et agressifs.
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Punisher: War Zone|Lexi Alexander|Action||2|américain|2008|102|Anglais||XviD|||XVID|805 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|127 Kbps|False|48.0 KHz|2|694||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Avi Arad Gale Anne Hurd|Nick Santora Art Marcum Matt Holloway|Steve Gainer||Lionsgate||Lors de sa croisade sanglante contre le crime organisé, le justicier Frank Castle alias The Punisher défigure et laisse pour mort le parrain de la pègre Billy Russoti. Dès lors, ce dernier fomente une vengeance terrible contre Castle. Sous le nouveau pseudonyme de Jigsaw, le criminel recrute une véritable armée de sbires assoiffés de sang. The Punisher repart en croisade... |Ray Stevenson (Frank Castle / the Punisher)@Dash Mihok (Martin Soap)@Colin Salmon (Agent Paul Budiansky)@Doug Hutchinson (Loony Bin Jim)@Dominic West (Billy "Jigsaw" Russo)@Wayne Knight (Linus "Microchip" Lieberman)@Julie Benz (Angela)@Tony Calabretta (Detective Saffiotti)@Larry Day (Agent Miller)@Doug Hutchison (Looney Bin Jim)@Wayne Knight (Linus Lieberman / Microchip)@Keram Malicki-Sanchez (Ink)@Dash Mihok (Martin Soap)@Bjanka Murgel (Candy)@Romano Orzari (Nicky Cavella)@Colin Salmon (Agent Paul Budiansky)@T.J. Storm (Maginty)@David Vadim (Cristu Bulat)@||||||||||||@@
The Quiet|Jamie Babbit|Drame||3|américain|2006|92|Anglais||XVID|||XVID|912 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|124 Kbps|False|48.0 KHz|2|692||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Joel Michaely Carolyn Pfeiffer Tom Schatz Andrea Sperling Holly Wiersma|Abdi Nazemian Micah Schraft|M. David Mullen||Sony Pictures Classics||Dot, une jeune femme sourde et muette, s'en va vivre chez son parrain, sa marraine et leur fille. La nouvelle venue ne va pas tarder à se rendre compte que les choses ne tournent pas très rond au sein de cette petite famille... |Camilla Belle (Dot)@Elisha Cuthbert (Nina)@Ken Thomas (l'officier Jim)@Ryan Aiken (un joueur de basket)@Daniel Buckley (un joueur de basket)@Josh Carlson (un joueur de basket)@Brandon Casarez (un joueur de basket)@Edie Falco (Olivia Deer)@Shawn Ashmore (Connor)@Martin Donovan (Paul Deer)@Katy Mixon (Michelle)@Shannon Marie Woodward (Fiona)@David Gallagher (Brian)@||Secrets de tournage :
Elisha Cuthbert à la production
Avec ce long métrage, la comédienne Elisha Cuthbert s'adonne pour la première fois à la production.
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The Score|Frank Oz|Thriller||2|américain|2001|118|Anglais||XVID|||XVID|688 Kbps|720x304|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|677||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Gary Foster Lee Rich|Kario Salem Lem Dobbs Scott Marshall Smith|Rob Hahn||Paramount Pictures||Propriétaire d'un club de jazz à Montréal, Nick Wells prévoit de prendre sa retraite. En vingt ans passés au service du crime, aucun coffre n'a résisté à ce génie de la cambriole qui s'enorgueillit de ne travailler qu'en solo.Ce dernier décide néanmoins de monter un dernier coup, qui sera le couronnement de sa carrière. Max Baron, receleur et ami de longue date de Nick, lui propose de voler un sceptre d'or massif du XVIe siècle, entreposé dans les sous-sols de la Douane de Montréal. A priori, le coup est irréalisable.C'est pourquoi Max a confié au jeune Jackie Teller la lourde tâche d'aider Nick à accomplir ce vol. Mais en s'associant avec ce malfrat erratique qui n'aurait aucun scrupule à le doubler, Nick se retrouve plongé dans un engrenage infernal dont il aura beaucoup de mal à s'extirper. |Robert De Niro (Nick Wells)@Edward Norton (Jack Teller)@Marlon Brando (Max Baron )@Angela Bassett (Diane )@Gary Farmer (Burt)@Jamie Harrold (Steven)@Paul Soles (Danny)@Martin Drainville (Jean-Claude)@||||||||||||@@
The Sentinel|Clark Johnson|Thriller||2|américain|2006|107|Anglais||XviD|||XVID|736 Kbps|640x256|MPEG-1 Audio layer 3|160 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|02/08/2009 00:00:00|Michael Douglas|George Nolfi|Gabriel Beristain||20th Century Fox||Il y a vingt ans, Pete Garrison, agent des services secrets américains, a sauvé la vie d'un Président. Aimé et respecté de ses collègues, il est à présent chargé de la protection rapprochée de la Première Dame. Sa vie bascule lorsqu'un collègue et ami est assassiné avant d'avoir pu lui transmettre des informations de la plus haute importance...L'affaire est confiée au meilleur enquêteur du Service, David Breckinridge, ancien protégé de Garrison. Là où Garrison fait confiance à son instinct, Breckinridge ne se fie qu'aux preuves. Avec l'aide d'une jeune recrue, Jill Marin, les deux hommes vont bientôt découvrir l'existence d'un complot interne, visant à assassiner le Président. Mais très vite, les indices semblent désigner Garrison... |Michael Douglas (Pete Garrison)@Kiefer Sutherland (Agent Breckinridge)@Kim Basinger (Sarah Ballentine)@Eva Longoria (Jill Marin)@Jackie Burroughs (Mrs. Miller)@David Rasche (le Président Ballentine)@Raoul Bhaneja (Agent Aziz Hassad)@Simon Reynolds (Tom Dipaola)@Danny A. Gonzales (Hugo Ortega)@Paul Calderon (Dr. Cortes)@Conrad Coates (Agent Hauser)@Martin Donovan (William Montrose)@Clark Johnson (Charlie Meriweather)@Jude Coffey (l'agent fédéral Welke)@Yanna McIntosh (Teddy Vargas)@Richard Hughes (un attaché de presse du Président)@Joshua Peace (Agent Davies)@Sarah Plommer (Sarah Plommer)@Gloria Reuben (Delores Meriweather)@||Secrets de tournage :
Adapté d'une nouvelle de Gerald Petievich
The Sentinel n'est autre que l'adaptation d'une nouvelle homonyme de Gerald Petievich. Cet ancien agent secret américain est également l'auteur des romans qui ont servi de supports principaux aux polars Police féderale Los Angeles (1985) et Extrême limite (1994).
Barry Levinson pressenti à la réalisation
Le premier cinéaste à s'être intéressé à ce projet est Barry Levinson. The Sentinel aurait pu marquer la seconde collaboration du réalisateur avec Michael Douglas dix ans après le thriller Harcèlement.
Des services pas secrets pour Clark Johnson
Avant de réaliser ce film, Clark Johnson en connaissait déjà un rayon en matière de services secrets, puisqu'il avait mis en scène un pilote d'une série intitulée The Service, pilote qui démontrait son intérêt pour le sujet.
Clark Johnson derrière... et devant la caméra
Le réalisateur Clark Johnson n'a pas hésité à se réserver un rôle dans le film. Il interprète en effet l'agent Merriweather, qui possède des informations capitales et dont le meurtre révèle l'existence d'un complot visant à tuer le Président. En tant qu'acteur, Clark Johnson avait déjà eu l'occasion de donner la réplique à Kiefer Sutherland dans un polar musclé datant de 1990 et intitulé Renegades.
Du petit au grand écran
Le casting de The Sentinel accueille en son sein deux acteurs rendus très populaires par leur participation à des séries télévisées devenues cultes : Kiefer Sutherland, qui a pu donner un second souffle à sa carrière en incarnant le personnage de Jack Bauer, agent de la cellule anti-terroriste de Los Angeles dans 24 - un rôle proche de celui qu'il joue dans ce film -, et Eva Longoria, dont les charmes et la plastique nous ont été dévoilés dans Desesperate housewives.
Avec l'aide de l'agent Gerald A. Cavis
Pour représenter le monde interne des services secrets, les producteurs ont engagé un ancien agent comme conseiller. Gerald A. Cavis, agent récemment retraité, a apporté son expertise à tous les aspects des activités des services secrets dans le film. Durant sa carrière, il a passé plusieurs années à protéger des Présidents, et à développer des techniques d'application des lois et de sécurité. Il a assumé directement la responsabilité de la sécurité d'événements comme les campagnes présidentielles américaines 2001 et 2004, des inaugurations officielles, le 50e anniversaire du sommet de l'OTAN à Washington, et la visite du pape Jean-Paul II à St. Louis. Il a été consultant au premier chef sur d'autres grands événements comme le Sommet du G8 à Sea Island, en Géorgie, des débats présidentiels et les Jeux Olympiques d'Athènes.
Une préparation exigeante pour les acteurs
Gerald A. Cavis et le spécialiste des armes Charles Taylor ont enseigné à Michael Douglas, Kiefer Sutherland et Eva Longoria comment tirer avec les mêmes armes que celles qu'utilisent les vrais agents. Cet entraînement tactique, similaire en grande partie à celui que reçoivent les agents à l'Académie, leur a appris à manier les armes à feu avec un maximum de sécurité, notamment comment dégainer et comment les tenir, ainsi que leur portée de tir, les distances de sécurité, la visée, le tir, le chargement et le rechargement. Les acteurs ont utilisé des Sig-Sauer 9 mm avec holsters, ceintures et chargeurs.
Ils ont également utilisé les mêmes vêtements de protection, gilets pare-balles, et protections pour les yeux et les oreilles. Après le tir à balles réelles, les acteurs ont appris comment approcher une escorte motorisée, s'y intégrer et en sortir - le cortège automobile est constitué d'un alignement, d'une organisation particulière des véhicules qui nécessite des mouvements précisément réglés. L'équipe a également assimilé les procédures de couverture et d'évacuation.
Le style visuel
Clark Johnson et le directeur de la photo Gabriel Beristain avaient déjà fait équipe sur S.W.A.T. unité d'élite. Dans The Sentinel, ils ont fusionné le style d'un thriller d'action avec le glamour de la Maison Blanche et le style efficace d'une organisation d'élite chargée de faire appliquer la loi.
Le directeur de la photo précise : "Nous voulions donner à cet univers un rythme qui bouge, un staccato visuel." Il poursuit : "Nous avons créé une progression : la lumière et les caméras s'adaptent à l'action. Ce monde est très protégé au départ, avec des tons chaleureux, des mouvements de caméra classiques et élégants. Puis l'histoire se fait plus sinistre, plus cauchemardesque, et cela se traduit dans l'éclairage, plus froid, et des mouvements de caméra plus heurtés."
Le côté brillant, lisse et poli de la Maison Blanche coexiste avec un monde plus sombre, plus brutal lorsque Garrison devient un fugitif. Clark Johnson et Gabriel Beristain ont utilisé plusieurs techniques, dont des placements de caméra traditionnels, de la vidéo, une Steadicam, une caméra à l'épaule, et des moniteurs sophistiqués montrant des images primaires, ainsi que d'autres aperçus de cet univers.
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Seua khaap daap|Theeratorn Siriphunvaraporn|Action|||thaïlandais|2005|91|Thaï||DX50|||DX50|960 Kbps|576x320|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|696||||29.970|28/07/2009 00:00:00|Jirun Ratthanaviriyachai||Choochart Nantitanyatada||||Yosthana, un policier possédant des pouvoirs magiques, est chargé par la police de capturer le "Gang des 5 balles", mené par le redoutable Mahesak, qui a lui aussi des dons de sorcier. |Atsadawut Luengsuntorn (Yosthana)@Phimonrat Phisarayabud (Deungdao)@Pongpat Wachirabunjong (Kaoyot)@Srungsuda Lawanprasert (G.I. Jenjila)@Amornrit Sriphung (Mahesak)@Chalad Na Songkhla (Bandit)@||||||||||||@@
Chin gei bin|Dante Lam Donnie Yen|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|2|hong-kongais|2002|106|Cantonais||XVID|||XVID|776 Kbps|624x352|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|696||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Carl Chang Bey Logan Albert Yeung|Jack Ng|Man Po Cheung||Deal||Reeve chasse les vampires, et en particulier Dekots, baron des vampires de Honk Kong. Ce dernier cherche lui à retrouver le prince vampire Kazaf, dont le sang permettra d'instaurer un royaume des ténèbres... Afin de combattre la menace, Reeve cherche de nouveaux partenaires : il tombe sur Gypsy, une jeune débutante, dont la soeur Helen se trouve être la bonne amie de Kazaf... |Jackie Chan (Jackie)@Charlene Choi (Helen)@Gillian Chung (Gypsy)@Ekin Cheng (Reeve)@Anthony Wong Chau-Sang (Prada)@Edison Chen (Kazaf)@Mickey Hardt (Duke Dekotes)@Josie Ho (Lila)@Ricardo Mamood (Ethan)@Karen Mok (Ivy)@Winnie Leung (Deborah)@Digger Mesch (Vampire Thomas)@Daniel Whyte (Vampire Ice)@Daniel O'Neill (Vampire Dan)@Bey Logan (Vampire John)@||Secrets de tournage :
Viens faire ton jackie
Jackie Chan fait une petite apparition dans le film, en tant que jeune marié.
Les Demoiselles de Honk Kong
Charlene Choi et Karen Mok, soeurs castagnes dans le film, forment également le duo Twins, un célèbre groupe de pop cantonais.
Récompenses
The Twins Effect a remporté de nombreuses récompenses, dont les prix des meilleures chorégraphies, de la meilleure direction artistique, des meilleurs costumes et maquillages, du meilleur montage, des meilleurs effets sonores et des meilleurs effets spéciaux lors des Hong Kong Film Awards 2004.
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Fa dou daai jin|Corey Yuen Kwai Patrick Leung|Aventure||1|hong-kongais|2004|105|Mandarin||XVID|||XVID|781 Kbps|624x336|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|696||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Jian Guo Zhao Albert Lee (IV)|Kin Chung Chan Suet Lam Roy Szeto Michelle Tsui Peter Tsi|Chi Ying Chan||||Au royaume de Huadu, gouverné par une reine cruelle, les hommes sont réduits en esclavage. Mais une prophétie affirme qu'un jour, un jeune garçon, né pour devenir roi, rendra aux hommes leur liberté après s'être emparé de la mythique épée de feu. En quête de gloire et de fortune, deux jeunes artistes se produisant dans un cirque itinérant se retrouvent en possession d'une mystérieuse carte au trésor. Afin de les protéger dans leur quête, Helen et Gipsy, deux redoutables guerrières que tout oppose, se joignent à eux. C'est le début d'une fabuleuse odyssée... |Jackie Chan (le Seigneur d'Armour)@Tony Leung Ka Fai (Maître Blackwood)@Charlene Choi (Helen)@Gillian Chung (Oiseau bleu)@Donnie Yen (Général Lone)@Jaycee Chan (Tête de charbon)@Edison Chen (Pêche)@Ying Qu (la reine)@Daniel Wu (Wei Lao)@Bingbing Fan (vautoure rouge)@Chen Bo-lin@Sui-man Chim (le chef des rebels)@||||||||||||@@
The Vanguard|Matthew Hope|Action|||britannique|2008|89|Arabe||DX50|||DX50|966 Kbps|704x368|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|703||||25.000|27/08/2009 00:00:00||Matthew Hope|||||2015. Le monde est chaotique. La surpopulation a atteint un niveau crucial et l'humanité en voie d'extinction. Depuis le début de ce cauchemar apocalyptique, une entité connue sous le nom de la Corporation a mis au point un plan d'action pour mettre à exécution un programme de dépeuplement massif. Or, la drogue qui devait tuer les humains les transforme en des êtres primitifs à l'état de singes. Avec un sens de la vue virtuellement réduit à la cécité, cette nouvelle race s'est déployé à travers les campagnes dépeuplées. Mais pour Max, seul survivant de la race humaine, errant dans la forêt, ils sont les ennemis qu'il doit combattre chaque jour pour subsister. |Jack Bailey (Biosyn)@||||||||||||@@
The Wild|Steve Williams|Animation||2|américain|2006|75|Anglais||XVID|||XVID|1 148 Kbps|640x288|MPEG-1 Audio layer 3|119 Kbps|False|44.1 KHz|2|693||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Clint Goldman Beau Flynn|Mark Gibson Philip Halprin Ed Decter John Strauss|||Walt Disney Pictures||Dans un zoo de New York, après la fermeture, une fois que le public est parti et les employés rentrés chez eux, les animaux font la fête...
Lors d'une partie endiablée, le petit Ryan, un lionceau, est malencontreusement propulsé hors du zoo dans une caisse. Pour le récupérer, il va falloir envoyer à l'extérieur, dans l'inconnu, une équipe de secours... Celle-ci sera constituée de Samson, le père de Ryan et roi du zoo, Larry, l'anaconda plus bête que dangereux, Benny, l'écureuil qui en connaît un rayon sur le monde de l'extérieur, Brigitte, une petite girafe futée avec une passion pour les jeux, et d'un koala nommé Nigel, qui ne supporte plus qu'on le trouve "mignon"... Leur odyssée va les conduire dans la jungle urbaine de New York, puis jusque dans la jungle sauvage d'Afrique... |Didier Gustin (Nigel le koala (voix française))@Emmanuel Jacomy (Samson le lion (voix française))@Kelyan Blanc (Ryan (voix française))@Jean-Claude Donda (Benny l'écureuil (voix française))@Emmanuelle Bondeville (Bridget la girafe (voix française))@Roland Timsit (Larry l'anaconda (voix française))@Richard Darbois (Kazar le gnou (voix française))@Emmanuel Curtil (Blag le gnou (voix française))@||Secrets de tournage :
Un projet longuement mûri
C'est le producteur Beau Flynn qui, avec les scénaristes Mark Gibson et Philip Halprin, a proposé le sujet de The Wild à Disney il y a neuf ans. Pour le film, il a fait appel au producteur Clint Goldman et au réalisateur Steve Williams parce qu'il avait été impressionné par le sens de l'humour et le style visuel des spots publicitaires qu'ils avaient créés pour les magasins américians "Blockbuster". Il a fallu 1 million et demi d'heure de travail pour donner naissance à The Wild.
Du Lama au Koala
C'est le comique Didier Gustin qui s'est chargé du doublage français de Nigel le Koala. Il n'en est pas à sa première expérience dans cet exercice puisqu'il avait prêté sa voix au personnage de Kuzco, dans Kuzco, l'empereur mégalo, qui était transformé en Lama.
Premier long-métrage
The Wild est le premier long-métrage de Steve Williams, l'un des pionniers de l'animation en images de synthèse. On lui doit les premiers tests d'animation du tyrannosaure dans Jurassic Park de Steven Spielberg, le tentacule d'eau de Abyss de James Cameron, ou encore le T-1000 liquide de Terminator 2 : le jugement dernier également réalisé par James Cameron. Des films systématiquement remarqués pour la qualité de leurs effets spéciaux.
Un nouveau studio d'animation
The Wild est le premier film issu de la société C.O.R.E. Feature Animation, un nouveau studio d'animation créé à Toronto réunissant une équipe internationale de 350 artistes et techniciens.
Les voix des séries
Le doublage anglais de The Wild a été assuré par plusieurs stars de séries. C'est le cas de Kiefer Sutherland, le Jack Bauer de 24 heures chrono, qui a prêté sa voix à Samson le lion. La voix originale de Kazar le gnou est dû à William Shatner, qui a entamé sa carrière il y a près de cinquante ans et a joué dans la célèbre série "Star Trek", "La quatrième dimension" ou encore "Alfred Hitchcock présente".
Musiques éclectiques
Pour composer la musique de The Wild, Alan Silvestri (Forrest Gump, Retour vers le futur) a fait appel à un orchestre de 94 musiciens. Il s'est aussi entouré d'autres compositeurs interprètes pour diversifier la bande originale. L'ancien Monty Python Eric Idle a ainsi composé la chanson "Really Nice Day". Il s'était fait remarquer auparavant avec la chanson "Always look on the bright side of life", à la fin de La Vie de Brian.
La chanson "Clocks" du célèbre groupe pop Coldplay a aussi été utilisée dans le film.
Rajoutez des poils !
Samson le lion possède plus de 6 millions de poils qui ont été calculés individuellement par ordinateur. Il n'est toutefois pas le plus poilu des animaux du film : c'est un caniche qui remporte la palme avec plus de 14 millions de poils !
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The Woods|Lucky McKee|Epouvante-horreur||2|américain|2006|87|Anglais||DX50|||DX50|982 Kbps|720x400|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Bryan Furst Sean Furst|David Ross|John R. Leonetti||||Heather une adolescente négligée par ses parents est envoyée dans un pensionnat retiré au fond des bois. Encadrée par la sinistre Mrs Traverse et son équipe, Heather devient la tête de turc de ses camarades, et ne rêve que d'une chose : retourner chez elle. Mais lorsque des étudiants disparaissent, elle commence à avoir d'horribles visions. Heather réalise alors que les apparences sont trompeuses et qu'il y a quelque chose d'étrange tapie dans les bois. |Lauren Birkell (Marcy Turner)@Agnes Bruckner (Heather)@Jane Gilchrist (Ms. Cross)@Colleen Williams (Ms. Arbor)@Ivana Shein (Clara Thompson)@Marcia Bennett (Ms. Mackinaw)@Bruce Campbell (Joe Fasulo)@Emma Campbell (Alice Fasulo)@Melissa Carter (Le fille n°1)@Patricia Clarkson (Ms. Traverse)@Gordon Currie (Sheriff)@Li-li Li (étudiante asiatique)@Kathleen Mackey (Ann Whales)@Elizabeth Marleau (l'autre fille)@Rachel Nichols (Samantha)@Linda Pine (La voix de Mara )@||Secrets de tournage :
L'horreur : une passion
Si le scénario de The Woods est très différent du premier long-métrage de Lucky McKee : May, il n'en est pas moins terrifiant. En effet le réalisateur affectionne tout particulièrement les atmosphères angoissantes. Dans May, il proposait une relecture glacée du mythe de Frankenstein, un hommage aux gialli transalpins. Et dans The Woods il arborde la peur ancestrale des bois et du noir.
Le lieu du crime...
La forêt et ses mystères ont toujours inspirés les réalisateurs. The Woods s'inscrit dans une mouvance où l'on trouve des classiques du genre comme : Le Village, Promenons-nous dans les bois, Haute tension ou Le Projet Blair witch.
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There Will Be Blood|Paul Thomas Anderson|Drame||3|américain|2008|158|Anglais||XVID|||XVID|480 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Paul Thomas Anderson Daniel Lupi Joanne Sellar|Paul Thomas Anderson|Robert Elswit||Paramount Vantage||Lorsque Daniel Plainview entend parler d'une petite ville de Californie où l'on dit qu'un océan de pétrole coulerait littéralement du sol, il décide d'aller tenter sa chance et part avec son fils H.W. à Little Boston. Dans cet endroit perdu où chacun lutte pour survivre et où l'unique distraction est l'église animée par le charismatique prêtre Eli Sunday, Plainview et son fils voient le sort leur sourire.Même si le pétrole comble leurs attentes et fait leur fortune, plus rien ne sera comme avant : les tensions s'intensifient, les conflits éclatent et les valeurs humaines comme l'amour, l'espoir, le sens de la communauté, les croyances, l'ambition et même les liens entre père et fils sont mis en péril par la corruption, la trahison... Et le pétrole. |Daniel Day-Lewis (Daniel Plainview)@Paul Dano (Eli Sunday / Paul Sunday)@Dillon Freasier (H.W. Plainview)@Russell Harvard (H.W. adulte)@Ciarán Hinds (Fletcher Hamilton)@Kevin J. O'Connor (Henry Brands)@Paul F. Tompkins (Prescott)@Randall Carver (M. Bankside)@Jim Meskimen (un petrolier)@Barry Del Sherman (H.B. Ailman)@Kevin Breznahan (l'homme de Signal Hill)@Jim Meskimen (l'homme marié de Signal Hill)@Erica Sullivan (la femme de Signal Hill)@Coco Leigh (Mrs. Bankside)@Sydney McCallister (Mary Sunday)@David Willis (II) (Abel Sunday)@Christine Olejniczak (Mother Sunday)@Kellie Hill (Ruth Sunday)@James Downey (Al Rose)@Dan Swallow (Gene Blaize)@Robert Arber (Charlie Wrightsman)@Bob Bell (le géologue)@David Williams (II) (Ben Blaut)@Joy Rawls (un fidèle d'Eli)@Louise Gregg (un fidèle d'Eli)@Amber Roberts (une fidèle d'Eli)@John W. Watts (un ouvriers du gisement de pétrole )@Robert Caroline (un ouvriers du gisement de pétrole)@Irene G. Hunter (Mrs. Hunter)@Hope Elizabeth Reeves (John Chitwood)@John Chitwood (Le médecin de Little Boston)@David Warshofsky (H.M. Tilford)@Tom Doyle (J.J. Carter)@Colton Woodward (William Bandy)@John Burton (L.P. Clair)@Hans Howes (Bandy)@Robert Barge (le barman)@Ronald Krut (un homme de Standard Oil)@Huey Rhudy (un homme de Standard Oil)@Steven Barr (un homme de Standard Oil)@Robert Hills (L'interprète de H.W.)@Colleen Foy (Mary Sunday adulte)@Vince Froio (les domestiques de Plainview)@||Secrets de tournage :
Day-Lewis récompensé
Daniel Day-Lewis a reçu le prix du Meilleur acteur dans un drame lors de la conférence de presse (qui tenait lieu de cérémonie) des Golden Globes 2008.
Adaptation
There Will Be Blood est adapté du roman Pétrole ! écrite par Upton Sinclair en 1927. Paul Thomas Anderson l'a découvert par hasard dans une librairie alors qu'il habitait à Londres.
L'ombre de Radiohead
Le compositeur de la musique du film n'est autre que Jonny Greenwood, le guitariste du célèbre groupe de rock Radiohead. C'est en écoutant le morceau Popcorn Superhet Receiver qu'il avait composé pour la BBC que Paul Thomas Anderson a décidé de travailler avec lui.
Tournage
Le tournage s'est déroulé au Nouveau Mexique et au Texas de mai à août 2006. Certains prises de vue ont eu lieu dans la petite ville de Marfa où a déjà été tourné Géant (1957) avec James Dean et plus récemment No Country for Old Men des frères Coen.
Sur la route
Pour s'imprégner de l'ambiance de l'époque, Paul Thomas Anderson a voyagé jusqu'à Silver City au Nouveau Mexique où existait auparavant une mine d'argent. C'est dans ses musées qu'il a collecté bon nombre d'images et d'informations qui lui ont servies pour créer le film.
Le coup de main de Daniel Day-Lewis
Paul Thomas Anderson a envoyé le scénario à Daniel Day-Lewis alors qu'il n'était complété qu'aux trois quarts. Il a accepté tout de suite le rôle permettant ainsi à toute l'équipe de peaufiner le personnage de Daniel Plainview avec l'aide du comédien.
Daniel Day-Lewis vs. les figurants
Sans oublier la prestation de Daniel Day-Lewis, Paul Thomas Anderson insiste sur l'importance qu'on les figurants dans son film : "Sans exagérer, je suis convaincu qu'un film vit ou meurt grâce à ses figurants. Les gens du coin que l'on voit à l'image ont ce parfum de Texas qui ne s'invente pas, qui ne peut pas naître que du fait d'avoir vécu là-bas toute sa vie. Ce sont des gens généreux de leur temps et de leur humanité. Je suis très fier du travail qu'ils ont accompli. Vous pouvez avoir un immense acteur comme Daniel Day-Lewis, si jamais la personne face à lui semble fausse, elle devient une distraction et le film est par terre..."
Devenir prédicateur
Paul Dano explique comment il a abordé son rôle de jeune prédicateur : "Je trouve fascinants le pouvoir et le danger des prédicateurs évangélistes. J'ai étudié la vie et le style de beaucoup d'entre eux. Ce sont souvent des gens à la voix douce, mais ils ont cette flamme qu'ils libèrent sur scène et qui captive leur public. Ils ont un charisme très puissant, c'est une forme de séduction, et voir des gens réagir aussi puissamment est enivrant. Mais je pense aussi qu'une fois que vous disposez de ce pouvoir, de ce contrôle sur les gens, vous êtes tenté de l'utiliser au risque d'y perdre votre sincérité. Exactement comme Daniel, qui aime le pouvoir, je crois qu'Eli aime être le centre de l'attention, et c'est pour cette raison qu'ils vont se livrer un combat farouche."
Retrouvailles
Paul Dano et Daniel Day-Lewis avaient déjà tourné ensemble dans The Ballad of Jack and Rose (2006).
H.W.
Le jeune Dillon Freasier qui interprète le rôle de H.W Plainview est originaire de Fort Davis, une petite ville du Texas : "Dillon est un garçon de dix ans exceptionnel qui n'a jamais eu aucun rapport avec le cinéma jusqu'ici, explique la productrice Joanne Sellar. C'est ce que cherchait Paul. Il voulait quelqu'un qui sache déjà manier une arme et monter à cheval, et pour qui les grands espaces étaient une seconde nature" Le jeune garçon a également dû apprendre le langage des signes pour les besoins du rôle.
« Préc.
Convoi exceptionnel
Pour les besoins du film, l'équipe a fait venir une authentique locomotive de l'époque : une Prairie Old N°7 construite par les ateliers Baldwin Locomotive Works en Pennsylvanie en 1907.
Maison Hantée ?
Le manoir où habite le personnage de Daniel Plainview à la fin du film est le Greystone Mansion, un véritable manoir situé à Los Angeles qui appartenait au magnat du pétrole Eward Doheny, l'une des inspirations principales du personnage de Plainview.
Hors du temps
Mark Bridges, chef costumier : "Je me moquais de savoir si telle ou telle pièce de vêtement datait de 1902 ou de 1911 du moment qu'elle fonctionnait pour la scène. Il y a de toute façon un certain flou sur cette période parce que les gens ne changeaient pas aussi vite de style que de nos jours. Notre désir n'était pas de montrer une reconstitution historique, mais d'évoquer cette période de façon à ce qu'on y croie. C'est d'avantage un mélange de recherche et de création artistique."
L'homme qui tombe à pic
A l'origine, le personnage d'Eli Sunday devait être interprété par Kel O'Neill. Il a finalement été remplacé par Paul Dano alors que le tournage était déjà entamé depuis trois semaines, obligeant ainsi l'équipe à retourner bon nombre de scènes.
Un cinéaste rare
There Will Be Blood est le premier long-métrage de Paul Thomas Anderson depuis Punch-drunk lovesorti sur les écrans français 5 ans auparavant.
« Préc.
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The Thomas Crown Affair|John McTiernan|Policier||3|américain|1999|108|Anglais||DX50|||DX50|760 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|127 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Pierce Brosnan Beau St.Clair|Leslie Dixon Kurt Wimmer|Tom Priestley Jr.||United International Pictures (UIP)||Financier reputé, mecène généreux et collectionneur d'art, Thomas Crown a le goût du risque, du jeu et de l'aventure. Sûr de lui, il reste pourtant un solitaire invétéré qui n'a jamais entretenu que de brèves liaisons. Depuis quelques semaines, il sacrifie ses déjeuners pour visiter le plus grand musée de New York et y admirer a loisir une toile de Van Gogh. Le conservateur lui fait remarquer un Monet d'une valeur inestimable qui laisse le financier indifferent. Un jour, un commando de quatre hommes investit le musée. Crown en profite pour dissimuler le Monet dans son cartable. |Pierce Brosnan (Thomas Crown)@Rene Russo (Catherine Banning)@Ben Gazzara (Andrew Wallace)@Faye Dunaway (La psychiatre)@Denis Leary (Michael Mc Cann)@Frankie Faison (Détective Paretti)@Fritz Weaver (John Reynolds)@Charles Keating (Friedrich Golchan)@Mark Margolis (Heinrich Knutzhorn)@Michael Lombard (Bobby McKinley)@James Saito (Paul Cheng, le marjordome de Crown)@Daniel Oreskes (Petru)@Dominic Chianese Jr. (Dimetri)@Ritchie Coster (Janos)@Gregg Bello (Iggy)@||||||||||||@@
Wo hu cang long|Ang Lee|Aventure||3|américain, chinois, hong-kongais, taïwanais|2000|115|Mandarin||DIVX|||DIVX|711 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|48.0 KHz|2|685||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Li-Kong Hsu William Kong Ang Lee|Wang Hui-Ling James Schamus Kuo Jung Tsai|Peter Pau||Warner Bros. France||Dans la Chine du XIXème siècle, Li Mu Bai, virtuose des arts martiaux, possède une épée légère, rapide et magique nommée "Destinée". Elle est l'objet de nombreuses convoitises.Las des combats, Li Mu Bai décide de confier "Destinée" à une excellente guerrière, Yu Shu Lien, à qui il n'ose pas avouer son amour. Celle-ci doit remettre la fameuse épée au seigneur Té, mais une fois la nuit tombée un habile voleur parvient à la lui dérober.A la résidence du seigneur Té, Shu Lien fait la connaissance de Jen, la fille du gouverneur Yu, qui a été promise à un homme qu'elle n'aime point et ferait tout pour mener une vie aussi libre que Shu Lien.Mais l'apparente candeur de Jen cache un sinistre secret ; elle travaille de concert avec la terrible Jade "La Hyène" et n'est autre que l'auteur du vol de "Destinée". Li et Shu Lien partent alors à la poursuite de Jen pour récupérer l'épée aux vertus magiques. |Chang Chen (Lo)@Zhang Ziyi (Jiao Long Yu (Jen))@Michelle Yeoh (Yui Hsui Lien)@Chow Yun-Fat (Li Mu Bai )@Long Sihung (Sir Te)@Pei-Pei Cheng (Jade Fox)@Fa Zeng Li (le gouverneur Yu)@Xian Gao (Bo)@Ian Hai (Madame Yu)@De Ming Wang (Tsai)@Li Li (May )@Su Ying Huang (Tante Wu)@Jin Ting Zhang (De Lu)@||Secrets de tournage :
Le tigre cannois et le dragon de Deauville
Tigre et dragon faisait partie de sélection Officielle (hors compétition) du festival de Cannes 2000. Le film a été présenté en avant-première au Festival de Deauville 2000, dans le cadre d'un hommage à Chow Yun-Fat.
Michelle Yeoh (Shu Lien)
Partenaire de Pierce Brosnan dans Demain ne meurt jamais (Roger Spottiswoode, 1997), Michelle Yeoh est une immense vedette dans toute l'Asie, et plus particulièrement dans son pays d'origine, la Malaisie. Elle a notamment tourné sous aux côtés de Jackie Chan dans Police story III (1992) et Police story IV (1993).
Chow Yun Fat (Li Mu Bai)
L'un des acteurs les plus populaires du cinéma asiatique.
Chow Yun-Fat a joué sous la direction de Tsui Hark (Full Contact, Love & Death in Saigon) et de John Woo (The Killer, A Toute Epreuve). Il apparaît également dans City on Fire de Ringo Lam.
Il a également tourné dans quelques films américains : Le Corrupteur de James Foley, Un Tueur pour Cible d'Antoine Fuqua et Anna et le roi d'Andy Tennant.
Un maître à l'oeuvre
Yuen Wo Ping a coordonné les combats de Tigre et dragon. Son travail avec Andy et Larry Wachowski sur Matrix a révélé cet homme de spectacle complet (réalisateur, cascadeur), qui a notamment participé à Il était une fois en Chine de Tsui Hark (1994).
Yuen Wo Ping a réalisé plus de trente longs métrages, dont certains (Snake in the eagle's shadow en 1978 et Fist of legend en 1994) sont considérés comme des classiques du genre.
Ang Lee reconnaît que sa collaboration avec Yuen Wo Ping lui a "fait découvrir une forme de mise en scène épurée où les images et le montage adoptent des rythmes dansés et musicaux".
Ang Lee, réalisateur
Découvert avec Garçon d'honneur (1993), ce cinéaste taiwanais a connu le succès avec Salé, sucré (1994) et son adaptation de Jane Austin, Raisons et sentiments (1995). En 1997, il a réalisé Ice Storm.
Deux de ses films sont encore inédits en France : le premier, Pushing hands (1992) et Ride with the devil (1999), qui précède Tigre et dragon.
Un parfum de tradition
Tigre et dragon est adapté d'un roman populaire chinois de Du Lu Wang, représentatif du genre «wuxia», qui loue les exploits des héros des arts martiaux. Ce genre a notamment inspiré King Hu (Touch of zen, 1972).
Les intentions de Ang Lee
« Mon équipe et moi avons choisi le genre le plus populiste, sinon le plus populaire, de l'histoire du cinéma : le film d'arts martiaux de Hong Kong, pour narrer cette histoire. Nous l'avons utilisé de façon aussi instrumentale, pour explorer l'héritage culturel traditionnel de la Chine. Nous l'avons réinvesti et marié à la forme d'art la plus élevée, la plus secrète : les arts martiaux que les grandes écoles taoïstes d'initiation au combat et à la réflexion transmettent de génération en génération. »
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Titan A.E.|Don Bluth Gary Goldman|Animation||3|américain|2000|87|Anglais||DIV3|||DIV3|832 Kbps|480x352|MPEG-1 Audio layer 3|160 Kbps|False|44.1 KHz|2|631||||29.970|28/07/2009 00:00:00|Don Bluth Gary Goldman David Kirschner|Hans Bauer Randall McCormick Ben Edlund John August Joss Whedon|||||En l'an 3028, la Terre est anéantie par des créatures venues d'une lointaine galaxie, les Drej. Les rares survivants du drame tombent aux mains de cette cruelle race d'extraterrestres, qui les réduisent à l'esclavagisme. Quinze ans plus tard, le jeune Cale découvre, à l'intérieur d'une bague que lui avait léguée son père, les coordonnées d'un mystérieux vaisseau spatial : "Titan", ultime planche de salut du genre humain. Aidé par le capitaine du "Valkyrie", Kordo, et son intrépide copilote Akima, Cale se lance à la recherche de "Titan" et d'un monde nouveau. |Matt Damon (Cale (voix))@Bill Pullman (Korso (voix))@Drew Barrymore (Akima (voix))@John Leguizamo (Gune (voix))@Janeane Garofalo (Stith (voix))@Nathan Lane (Preed (voix))@Ron Perlman (le Professeur Sam Tucker (voix))@||Secrets de tournage :
Une équipe de choc au service du Titan
Afin de mettre toutes les chances de son côté, Blue Sky Studio (qui co-produit le film) s'est adjoint les services de P.O.V.D.E. (Persistence Of Vision Digital Entertainment). Cette équipe compte dans ses rangs Paul Martin Smith (monteur des effets spéciaux de La Menace fantôme) et Davis Dozoretz (qui supervisa l'animatique, la maquette graphique animée, pour Mission : Impossible et La Menace fantôme).
Des références
Philip A. Cruden, le chef décorateur de Titan A.E. déclare ouvertement s'être inspiré de l'univers visuel de Alien et du Cinquième Elément. Don Bluth, lui, cite aussi bien des classiques (l'une des scènes du film renvoie expressément au final de La dame de Shanghaï d'Orson Welles, alors qu'une autre évoque L'Odyssée du sous-marin Nerka de Robert Wise), que des films d'action modernes (la traque des vaisseaux spatiaux rappelle A la poursuite d'Octobre rouge de John Mc Tiernan).
La mariage de la 2D et de la 3D
Faire coexister des images en 2D et des images en 3D a été l'un des défis que Don Bluth et Gary Goldman s'étaient fixés. 80% des images de Titan A.E. sont des images digitales. Principalement des décors, des paysages et des armes, ces images ont un aspect assez froid, que vient compenser la chaleur du dessin en 2D. Comme le reconnaît Don Bluth, «le 2D est ce qui se rapproche le plus du dessin à la main» et avoue que s'ils avaient tout traité à l'ordinateur, le résultat aurait été beaucoup plus froid. Ainsi, tous les personnages du film sont bidimensionnels.
Mais l'intégration ne s'est pas faite aisément. L'équipe technique a dû générer des images tridimensionnelles aux contours atténués, presque flous, pour rendre cette alliance plus harmonieuse, moins artificielle.
Des voix célèbres
Matt Damon (Will Hunting), Bill Pullman (Lost Highway), John Leguizamo (Summer of Sam) et Drew Barrymore (Tout le monde dit I love you) prêtent respectivement leur voix à Cale, Korso, Gune et Akima. Nathan Lane, qui s'était déjà plié à cet exercice pour Stuart Little, donne vie à Preed.
Don Bluth définit son projet
« La dimension scientifique et futuriste du projet m'a totalement captivé. La création de nouveaux mondes nous a fait vivre une merveilleuse aventure et a été une occasion rare de laisser vagabonder notre imagination. Mais la riche imagerie de Titan A.E. ne devait pas nous faire oublier les personnages, indispensables vecteurs d'émotions. Car cette histoire est aussi une allégorie sur la quête d'identité et les capacités de résistance de l'esprit humain. »
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Today You Die|Don E. Fauntleroy|Action|||Etats-unis|2005|90|||XviD|||XVID|938 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||23.976|28/07/2009 00:00:00|||||||Harlan Banks est embauché pour conduire un camion de livraison jusqu'à Vegas. À la cueillette des 20 millions de dollars en comptant, son traître de partenaire descend deux agents de sécurité et pointe son fusil à la tête de Banks en lui ordonnant de conduire. Après l'une des plus fascinantes scènes de poursuite jamais tournées dans les rues de Vegas, Banks se retrouve en prison. Mais, avec un peu d'aide, il s'évade pour assouvir sa vengeance explosive. |||||||||||||@@
Walking Tall|Kevin Bray|Action|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|2004|86|Anglais||DX50|||DX50|767 Kbps|320x128|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|558||||23.976|02/08/2009 00:00:00|Ashok Amritraj David Hoberman Jim Burke Lucas Foster Paul Schiff|David Klass Channing Gibson David Levien Brian Koppelman Mort Briskin|Glen MacPherson||UFD||Après une brillante carrière dans les Forces Spéciales, Chris Vaughn fait un retour discret sur les lieux de son enfance. Nichée au coeur des forêts du nord-ouest des Etats-Unis, la communauté de Ferguson offre à ses yeux un spectacle de désolation. Cette bourgade, jadis si paisible et qu'il aimait tant, est tombée sous la coupe de l'homme d'affaires véreux Jay Hamilton, son ennemi de toujours... |Dwayne Johnson (Chris Vaughn)@Neal McDonough (Jay Hamilton)@Ashley Scott (Deni)@Kristen Wilson (Michelle Vaughn)@Johnny Knoxville (Ray)@Kristen Wilson (Michelle Vaughn)@Khleo Thomas (Pete Vaughn)@John Beasley (Chris Vaughn Sr.)@Barbara Tarbuck (Connie Vaughn)@Michael Bowen (Shérif Stan Watkins)@Kevin Durand (Booth)@Andrew Tarbet (Jimmy)@Patrick Gallagher (Keith)@John Stewart (Rusty)@Eric Breker (Ralston, l'adjoint du shérif)@Ryan Robbins (Travis)@Michael Adamthwaite (Burke)@Darcy Laurie (Smitty)@Fred Keating (le docteur)@||Secrets de tournage :
Un remake de Justice sauvage
La première version de Tolérance zéro, inspirée par la vie et les exploits de Buford Pusser, shérif de McNeal County, dans le Tennessee, fut réalisée en 1973 par Phil Karlson avec Joe Don Baker. Pusser aurait dû y tenir son propre rôle, mais ce dernier disparut dans un accident de la route.
L'incontournable bâton de bois
Kevin Bray proposa de remplacer le légendaire bâton de bois de Bufor Pusser par une arme plus moderne : une batte de base-ball en aluminium, mais se heurta à l'opposition unanime de ses collaborateurs. Ces derniers le persuadèrent de conserver l'accessoire original en raison de sa charge symbolique.
Lieux de tournage
Le réalisateur utilisa diverses localités de Colombie Britannique pour composer la bourgade fictive de Ferguson. Une bonne partie des scènes de rues et de ferry, ainsi que les extérieurs du Wild Cherry, furent tournés dans la pittoresque ville de Squamish, située à une heure de route au nord de Vancouver.
Les extérieurs de la maison Vaughn furent tournés à Surrey, une banlieue du sud de Vancouver ; d'autres séquences furent filmées dans les bourgades voisines de Port Moody, White Rock et Richmond.
The Rock cascadeur
Décidé à exécuter lui-même un maximum de cascades, The Rock s'y prépara durant de nombreuses heures, peaufinant avec l'équipe des cascadeurs chaque détail, chaque seconde, de ces scènes à haut risque.
Pour les cascades qu'il jugeait lui-même trop risquées, il fit appel à sa doublure attitrée, Tanoia Reed, qui est également l'un de ses cousins polynésiens. Doté d'une carrure aussi impressionnante que The Rock, celui-ci débuta à l'adolescence dans Waterworld.
La constitution d'un casino
L'attraction principale de la localité est le Wild Cherry Casino. Le chef décorateur Brent Thomas visita avec son équipe divers établissements de jeux du nord-ouest des Etats-Unis et étudia aussi les plans de nombreux casinos internationaux : "Nous avons cherché à en extraire les éléments les plus intéressants, que nous avons librement associés à l'intérieur d'une structure répondant à nos exigences".
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Walking Tall 2 (V)|Tripp Reed|Action||2|américain|2007|89|Anglais||XviD|||XVID|969 Kbps|592x320|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Alison Semenza||||||Fils de shérif, Nick Prescott retourne dans son village natal pour découvrir que la drogue et la violence ont investi les lieux. Après l'assassinat de son père, il décide d'agir et de prendre enfin les choses en main. Accompagné de ses vieux copains, Nick compte bien débarrasser la ville de tous ses criminels et venger, ainsi, la mort de son père... |Kevin Sorbo (Nick)@Yvette Nipar (Katie)@A.J. Buckley (Harvey)@Gail Cronauer (Emma)@Bentley Mitchum (Walter)@Jennifer Sipes (Krystal)@Robert Paschall Jr. (Doyle Reed)@Charles Baker II (Nate)@Ron Bath (le patron du restaurant)@Ryan Hurst II (Hank)@Brad Leland (Mitch)@Marc Macaulay (Herb)@Todd Terry (Lou Dowdy)@||||||||||||@@
Tropic Thunder|Ben Stiller|Comédie||2|allemand, américain|2008|98|Anglais||XviD|||XVID|856 Kbps|640x288|MPEG-1 Audio layer 3|127 Kbps|False|44.1 KHz|2|700||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Ben Stiller Stuart Cornfeld Eric McLeod|Ben Stiller Etan Cohen Justin Theroux|John Toll||Paramount Pictures||Un casting d'enfer pour un voyage... au bout de l'enfer ! En tête d'affiche : Tugg Speedman, la star du film d'action, en chute libre depuis ses trois derniers navets. A ses côtés : Jeff Portnoy, spécialiste des comédies (très) bas de gamme, avide de prouver ses qualités de comédien ; Kirk Lazarus, acteur "Méthode" multi-recompensé et 100 % givré ; Chino, superstar pop et fan d'Al Pacino ; et Kevin Sandusky, le fringant petit jeune tout heureux de faire partie de la bande. Cinq egos surdimensionnés au service du "plus grand film de guerre de tous les temps". Sur le papier, ça se tient (ou presque), mais sur le tournage tout dérape : les caprices des stars et l'incapacité du réalisateur, Damien Cockburn, font grimper les frais à une allure vertigineuse, au point que le studio décide de tout arrêter... C'est alors que Damien a l'idée "géniale" d'entraîner sa petite troupe au coeur du Triangle d'Or pour une expérience de "cinéma-vérité" d'un genre inédit. Mortel... |Ben Stiller (Tugg Speedman)@Jack Black (Jeff Portnoy)@Robert Downey Jr. (Kirk Lazarus)@Brandon Jackson (Alpa Chino)@Jay Baruchel (Kevin Sandulsky)@Steve Coogan (Damien Cockburn)@Nick Nolte (John "Four Leaf" Tayback)@Danny R. McBride (Cody)@Matthew McConaughey (Rick Peck)@Tom Cruise (Les Grossman)@Valerie Azlynn (l'assistante de Damien)@Matt Levin (le caméraman)@David Pressman (le 1er assistant)@Amy Stiller (la scripte)@Dempsey Silva (l'assistant effets spéciaux)@Bill Hader (Studio Executive Rob Slolom)@Eric Winzenried (le pilote d'hélicoptère)@Jeff Weideman (un assistant de Speedman)@Nadine Ellis (une assistante de Speedman)@Rachel Avery (une assistante de Speedman)@Darryl Farmer (un pote d'Alpa)@Rod Tate (un pote d'Alpa)@Christine Taylor (Rebecca dans "Simple Jack")@Jel Gazira (le chef)@Andrea De Oliveira (l'entraîneur)@Yvette Nicole Brown (l'assistante de Peck)@Mini Anden (la secrétaire de Grossman)@Mike Hoagland (l'assistant de Grossman)@Brandon Soo Hoo (Tran)@Reggie Lee (Byong)@Trieu Tran (Tru)@Brad Martin (le chef cascadeur)@Tim Rigby (l'assistant du chef cascadeur)@Tobey Maguire (un séminariste dans la bande-annonce de "Satan's Alley")@Jennifer Love Hewitt (elle-même)@Jason Bateman (lui-même)@Jon Voight (lui-même)@Alicia Silverstone (elle-même)@Lance Bass (lui-même)@Tyra Banks (elle-même)@Maria Menounos (elle-même)@Tugg Speedman (lui-même)@Jeff Portnoy (lui-même)@Kirk Lazarus (lui-même)@Alpa Chino (lui-même)@Damien Cockburn (lui-même)@||Secrets de tournage :
Une idée vieille de vingt ans
C'est en 1987, sur le tournage de L'Empire du soleil, son tout premier film où il avait un petit rôle, que Ben Stiller eut l'idée de ce qui allait devenir plus de vingt ans plus tard Tonnerre sous les Tropiques. Il explique : "L'idée du film est née en 1987. J'avais à cette époque un tout petit rôle dans L'Empire du soleil de Steven Spielberg, et tous mes amis acteurs tournaient des films sur la guerre du Vietnam : Platoon, Hamburger Hill, etc..., auxquels ils se préparaient en suivant pendant deux semaines un semblant de stage commando. En interview, ils ne manquaient jamais de souligner la "dureté" et "l'intensité" de cette expérience qui les avait rendus "solidaires" les uns des autres. Je trouvais leurs propos à mourir de rire car ces prétendus stages n'avaient évidemment qu'un très lointain rapport avec les expériences des soldats sur le terrain. Cette façon de se mettre en valeur m'amusait, mais je ne savais pas encore quel parti en tirer."
Quand Hollywood dérape
Avec Tonnerre sous les Tropiques, Ben Stiller explique s'être "laissé inspirer par quantité de vrais films de guerre." Mais surtout, l'acteur-scénariste-réalisateur-producteur s'est amusé à rire de l'industrie hollywoodienne, surtout quand celle-ci se met à déraper quelque peu. "J'ai voulu aussi montrer le fonctionnement d'une grosse machine hollywoodienne dans des situations extrêmes où tout dérape", raconte-t-il. "Aussi délirant soit-il, le film reste donc ancré dans une certaine réalité." Et l'acteur Steve Coogan de reprendre : "Tonnerre sous les Tropiques démarre comme une fresque guerrière avant de virer à la comédie. Le film se moque de lui-même, et Ben n'hésite pas à s'y tourner en dérision à travers le personnage de Tugg. Il nous montre les coulisses d'un tournage hollywoodien, ses aspects les moins glorieux, qui mettent à nu nos failles et notre fragilité. Je pense que le public appréciera ce point de vue décapant."
Ben Stiller réalisateur : quatrième !
Tonnerre sous les Tropiques marque la quatrième réalisation de l'acteur américain Ben Stiller après Génération 90 (1995), Disjoncté (1996) et Zoolander (2002). Comme à chaque fois qu'il passe derrière la caméra, Stiller en profite pour se donner l'un des rôles principaux du film. A noter qu'il officie également en tant que scénariste et producteur de Tonnerre sous les Tropiques.
Référence
Tropic Thunder, le titre original de Tonnerre sous les Tropiques, fait référence à Tropic Lightning, le surnom de la 25e Division d'Infanterie durant la Guerre du Vietnam.
Tom Cruise au casting ?
En plus de posséder un casting de vedettes exceptionnel, Tonnerre sous les Tropiques fait le plein d'apparitions clin d'oeil parmi lesquelles celles de Matthew McConaughey et de... Tom Cruise, dans un rôle plutôt enrobé ! Pour ce dernier, il s'agit de retrouvailles avec Ben Stiller, puisque les deux américains s'étaient donnés la réplique dans un sketch hilarant où Stiller incarnait la doublure de Cruise pour Mission : Impossible. A noter que les deux hommes prévoient aussi de tenir les deux rôles principaux de la comédie The Hardy Men.
Un frère Coen à l'écriture ?
Attention, le scénariste Etan Cohen, qui officie à l'écriture de Tonnerre sous les Tropiques, n'est pas à confondre avec Ethan Coen, le frère de Joel, avec lequel il a signé des oeuvres cultes telless que O'Brother, The Big Lebowski, Fargo ou encore No Country for Old Men. Le Etan Cohen de Tonnerre sous les Tropiques est certes moins renommé, mais il a tout de même signé les scénarios d'épisodes des séries Beavis and Butt-Head et King of the Hill, ainsi que celui du film Idiocracy.
Des techniciens renommés
Pour donner à la comédie Tonnerre sous les Tropiques toute son ampleur au niveau de l'action et de l'authenticité, DreamWorks et la société Red Hour firent appel à Eric McLeod, producteur exécutif des deux derniers volets de la saga Pirates des Caraïbes, la malédiction du Black Pearl. Les postes techniques majeurs se devaient par ailelurs d'être confiés à des pointures : le chef décorateur Jeff Mann (Transformers) et le directeur de la photographie John Toll (Braveheart, La Ligne rouge) furent ainsi engagés. Enfin, l'aide du célèbre conseiller militaire Dale Dye fut requise pour garantir l'authenticité des séquences de guerre. Dye et sa société Warriors, Inc. ont contribué à des dizaines de films majeurs, dont la référence Il faut sauver le soldat Ryan.
Sur l'île de "Jurassic Park"
Après avoir brièvement envisagé de tourner les extérieurs en Californie, les producteurs de Tonnerre sous les Tropiques jetèrent leur dévolu sur l'île de Kauai, qui a déjà servi de décor à de nombreux films, dont Jurassic Park. Constituée de jungles luxuriantes, de rivières et de falaises, l'île de Kauai correspondait parfaitement au look désiré pour la comédie.
Des sites officiels pour nos "héros... mais pas seulement !
A l'occasion de la sortie de Tonnerre sous les tropiques, chacun des délirants héros du film fait l'objet d'un site internet officiel, tous accessibles via le site officiel du long-métrage. Ainsi, les pointures du jeu que sont Tugg Speedman, Jeff Portnoy, Kirk Lazarus ou encore Alpa Chino possèdent des pages personnalisées pour le moins délirantes. A noter par ailleurs qu'un faux making-of de Tonnerre sous les Tropiques, intitulé Rain of Madness, a été réalisé.
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Top Gun|Tony Scott|Aventure||3|américain|1986|105|Anglais||DIV3|||DIV3|788 Kbps|560x448|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|692||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Jerry Bruckheimer Don Simpson|Jim Cash Jack Epps Jr.|Jeffrey L. Kimball||United International Pictures (UIP)||Les amours d'un professeur et d'un pilote hors-pair et tête brûlée dans une école de haut niveau, "Top-Gun", de l'aéronavale US. |Tom Cruise (Pete 'Maverick', Mitchell)@Tom Skerritt (Mike 'Viper', Metcalf)@Kelly McGillis (Charlotte 'Charlie', Blackwood)@Val Kilmer (Tom 'Ice', Kasanzky)@Anthony Edwards (Nick 'Goose', Bradshaw)@Meg Ryan (Carole Bradshaw)@Michael Ironside (Dick "Jester", Wetherly)@Rick Rossovich (Ron "Slider", Kerner)@Tim Robbins (Sam "Merlin", Wills)@John Stockwell (Cougar)@Clarence Gilyard Jr.@James Tolkan@Adrian Pasdar@||||||||||||@@
Torque|Joseph Kahn|Action|Interdit aux moins de 12 ans|1|américain|2004|80|Anglais||DX50|||DX50|1 103 Kbps|672x288|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Neal Moritz Brad Luff|Matt Johnson|Peter Levy||Warner Bros. France||L'heure est venue pour le biker Cary Ford de retrouver sa compagne, Shane, et de régler quelques comptes...
En quittant précipitamment sa ville six mois plus tôt, Ford était en possession de plusieurs motos appartenant au trafiquant et chef de bande des Hellions, Henry. Ce dernier entend bien récupérer son bien... et la drogue dissimulée dans les réservoirs de ses superbes engins. Lorsque Ford se montre intraitable, Henry le balance au chef des Reapers, Trey, en l'accusant d'avoir tué le frère de celui-ci.
Ford ne peut désormais plus compter que sur ses fidèles et inséparables amis, Dalton et Val. Cible de deux gangs rivales assoiffées de violence, il lui faut prouver au plus tôt son innocence, échapper aux agents du FBI lancés à ses trousses à travers le désert... et convaincre Shane de lui donner une seconde chance. |Martin Henderson (Cary Ford)@Ice Cube (Trey Wallace)@Monet Mazur (Shane)@Matt Schulze (Henry)@Jaime Pressly (China)@Jay Hernandez (Dalton)@Adam Scott (McPherson)@||Secrets de tournage :
L'action pour crédo !
Avec Torque, le producteur Neal H. Moritz confirme son penchant pour les grosses productions chargées d'adrénaline. Parmi les longs-métrages produits par l'Américain, citons xXx, S.W.A.T. unité d'élite ou encore Fast & furious et sa suite. Deux derniers exemples motorisés en forme de gage de qualité pour le projet Torque.
Du vidéoclip au long-métrage
Pour réaliser Torque, le choix de la production s'est porté sur Joseph Kahn, novice dans le milieu cinématographique mais très réputé pour son activité de clippeur. L'Américain a mis en scène plus de 200 vidéos musicales pour des artistes de renom tels que U2, Eminem, Moby, Britney Spears, Muse ou Ice Cube, avec lequel il collabore d'ailleurs à nouveau dans Torque.
Un film d'action romantique
Si Torque est avant tout un film d'action, il possède d'autres éléments. Pour le réalisateur Joseph Kahn, "ce projet est particulièrement riche sur le plan visuel et l'ancrage romantique de l'action lui apporte une dimension supplémentaire, introduit une dose d'émotion qui renforce l'identification aux personnages et vous entraîne plus avant dans la fiction."
Les motos sur grand écran
De nombreux longs métrages ont mis en vedette des véhicules à deux roues, en tête desquels Easy Rider, réalisé par Dennis Hopper en 1969. Le genre connaît son apogée dans les années 60 et 70, la culture Bikers se voyant notamment défendue par le réalisateur Roger Corman (Les Anges sauvages, 1966) ou symbolisée par l'acteur Peter Fonda. Hells Angels on Wheels (1967) et The Rebel Rousers (1970), avec Jack Nicholson, ou encore Vas-y, fonce, réalisation du même Nicholson, participent également à la popularité des deux roues sur grand écran. Plus récemment, les motos ont été mises à l'honneur dans Terminator (1984), Violetta, la reine de la moto (1997), Biker boyz (2003), Matrix reloaded (2003) et donc Torque (2004).
Un look authentique et contemporain
L'objectif premier du réalisateur Joseph Kahn a été de donner à ses personnages une vraie crédibilité. Allure générale, costumes, coiffures, maquillages ou tatouages : tout a été fait pour rendre le look des héros aussi authentique et contemporain que possible. Joseph Kahn précise : "La plupart de nos personnages sont basés sur des archétypes : il y a le petit rigolo, le mec sexy, la fille aux nerfs d'acier, la méchante. L'astuce était de leur donner une coloration autre, frôlant l'abstraction."
Un entraînement de "biker" accompli
Les comédiens de Torque se sont astreints à un entraînement très pointu pour devenir de vrais motards. Une formation se déroula un mois durant dans l'enceinte d'un gigantesque parking de Los Angeles, sous la houlette du chef cascadeur Lance Gilbert. Celui-ci note : "En dehors des cascades proprement dites, les acteurs devaient être à l'aise sur leurs motos, pour que le public les prenne au sérieux. Ils devaient avoir un langage corporel authentique, une façon particulière d'appréhender l'espace du regard, de monter et descendre de moto comme s'ils l'avaient déjà fait des millions de fois."
70 motos au départ
La production de Torque utilisa 70 motos pour les besoins du tournage, dont le modèle Y2K de Marine Turbine Technologies, engin réputé le plus rapide au monde et dont seulement dix exemplaires existent à l'heure de la sortie du film.
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Total Recall|Paul Verhoeven|Science fiction|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|1990|108|Anglais||DX50|||DX50|786 Kbps|632x352|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|690||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Buzz Feitshans Ronald Shusett|Ronald Shusett Dan O'Bannon Jon Povill|Jost Vacano||Columbia TriStar Films||2048. Doug Quaid rêve chaque nuit qu'il est sur la planete Mars à la recherche de la belle Melina. Sa femme, Lori, s'efforce de dissiper ce fantasme. Doug va bientot s'apercevoir que son rêve était artificiel et que sa femme est une espionne chargée de veiller à son reconditionnement mental. Il se souvient d'un séjour réel sur Mars, à l'epoque où il était l'agent le plus redouté du cruel Coohagen. Il decide de s'envoler sur Mars à la recherche de son enigmatique passé. |Arnold Schwarzenegger (Douglas Quaid / Howser / Brubaker)@Michael Ironside (Richter)@Sharon Stone (Lori Quaid)@Rachel Ticotin (Melina)@Ronny Cox (Vilos Cohaagen)@Marshall Bell (George / Kuato)@Mel Johnson Jr. (Benny)@Michael Champion (Helm)@Roy Brocksmith (le docteur Edgemar)@Ray Baker (Bob McClane)@Robert Costanzo (Harry)@Rosemary Dunsmore (le docteur Renada Lull)@Dean Norris (Tony)@||Secrets de tournage :
Un projet de longue date
Ronald Shusett caressait ce projet dès 1975, mais ce n'est qu'après le succès d'Alien (Ridley Scott, 1979), dont il écrivit le scénario avec Dan O'Bannon, qu'il en eut les moyens.
Tiré d'une nouvelle
Total Recall est librement adapté de la nouvelle We can remember it for you wholesale, de Philippe K. Dick.
Un hommage littéraire
Certains éléments de Total Recall ne sont pas sans parenté avec la célèbre et farfelue "trilogie littéraire en cinq volumes" de Douglas Adams, Le Guide du Routard Galactique. On peut notamment citer l'idée du robot excessivement poli et prévenant, le fait de nouer une serviette autour de sa tête pour se cacher, ou encore la prostituée à trois seins.
Clin d'oeil pour cinéphiles
Le personnage d'Arnold Schwarzenegger, Doug Quaid, prend pour nom d'emprunt "Brubaker" quand il remplit sa fiche d'hôtel. Il s'agit là du nom du capitaine qui aurait du être le premier homme envoyé sur Mars dans le film Capricorn One (Peter Hyams, 1978).
Changement de réalisateur
Le film aurait pu être réalisé par David Cronenberg : celui-ci avait même écrit les premiers jets du script avant que le choix ne fut reporté sur Paul Verhoeven.
Lieu de tournage
Le film fut tourné en extérieur à Mexico pour les séquences terrestres, et dans les studios Churubusco de cette même ville pour les séquences martiennes.
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Down Periscope|David S. Ward|Comédie|||Etats-unis|1995|89|||DX50|||DX50|977 Kbps|720x416|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|691||||25.000|06/08/2009 00:00:00|||||||Malgré l'opposition de l'amiral Graham, fondée sur ses états de services douteux, le commandant Dodge hérite du commandement du sous-marin USS Stingray, un vrai fer à repasser. Avec un équipage hétéroclite, il mène avec succès une première mission simulée, s'attirant la haine de Graham. La guerre est déclarée, pratiquement pour de vrai ! |||||||||||||@@
Toy Story|John Lasseter|Animation|Film pour enfants|3|américain|1996|74|Anglais||DIV3|||DIV3|1 200 Kbps|640x432|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||25.000|13/08/2009 00:00:00|Bonnie Arnold Ralph Guggenheim|John Lasseter Andrew Stanton Pete Docter Joe Ranft|||Walt Disney Pictures|Saga : Toy Story |Quand le jeune Andy quitte sa chambre, ses jouets se mettent à mener leur propre vie sous la houlette de son pantin préféré, Woody le cow-boy. Andy ignore également que chaque anniversaire est une source d'angoisse pour ses jouets qui paniquent à l'idée d'être supplantés par un nouveau venu. Ce qui arrive quand Buzz l'éclair est offert à Andy. Cet intrépide aventurier de l'espace, venu d'une lointaine galaxie, va semer la zizanie dans ce petit monde et vivre avec Woody d'innombrables aventures aussi dangereuses que palpitantes. |Jean-Philippe Puymartin (Woody (voix française))@Richard Darbois (Buzz l'éclair (voix française))@Jacques Balutin (Zigzag (voix française))@Henri Guybet (Rex (voix française))@Patrick Prejean (Bayonne (voix française))@Jacques Ferrieres (Mr. Patate (voix française))@Rebecca Dreyfus (Bergère (voix française))@Donald Reignoux (Andy (voix française))@Christophe Lemoine (Sid (voix française))@||||||||||||@@
Toy Story 2|John Lasseter Ash Brannon Lee Unkrich|Animation||3|américain|2000|88|Anglais||DIV3|||DIV3|905 Kbps|640x352|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|659||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Hélène Plotkin Karen Robert Jackson|John Lasseter Andrew Stanton Rita Hsiao Pete Docter Ash Brannon|||Walt Disney Pictures|Saga : Toy Story |Woody, le cow-boy à la démarche déhanchée, reste le jouet préféré d'Andy, même si aujourd'hui Buzz partage cette amitié. Toujours chef de bande, Woody protège et rassure tous les jouets de la chambre. Kidnappé par un collectionneur sans scrupules, Woody va découvrir qu'il fut jadis une vraie star. Après maintes péripéties, il va être confronté à la décision la plus importante de sa vie: rentrer chez lui pour retrouver Andy et les jouets ou rester pour devenir une pièce rare de musée. |Jean-Philippe Puymartin (Woody (voix française))@Richard Darbois (Buzz l'éclair (voix française))@Henri Guybet (Rex (voix française))@Patrick Prejean (Bayonne (voix française))@Jacques Balutin (Zigzag (voix française))@Jean-Pierre Denys (Mr. Patate (voix française))@Barbara Tissier (Jessie la cowgirl (voix française))@Dominique Paturel (Papi Pépite (voix française))@||Secrets de tournage :
Mitch Prater, superviseur technique - humains, a payé de sa personne
« La création d'êtres humains réalistes a toujours été l'obsession majeure de l'infographie. Dans ce film, tous les humains ont une texture identique à la mienne. La raison en est simple : j'ai commencé par scanner ma propre peau et je l'ai étudiée de très près avant d'écrire les codes de lissage définissant le mode d'application de l'épiderme, sa coloration et ses défauts. »
Le succès de Toy Story :
Les recettes de Toy Story s'élèvent à 360 millions de dollars (en France, le film a attiré près de 2,5 millions de spectateurs), plaçant le dessin animé de John Lasseter à la troisième place de sa catégorie, derrière Le Roi Lion et Aladdin.
La cassette vidéo a, elle aussi, battu des records : 22 millions d'exemplaires ont été écoulés sur le territoire américain.
Randy Newman, compositeur / auteur des chansons :
Avant de collaborer aux trois films réalisés par John Lasseter (Toy Story et 1001 Pattes), Randy Newman a composé la bande originale de films, tels que Ragtime (Milos Forman), Le Meilleur (Barry Levinson), ou Maverick (Richard Donner).
Il a également mis en musique James et la Pêche Géante (Henry Selick).
Randy Newman appartient à une longue lignée de musiciens. Ses trois oncles ne sont autres que Alfred, Emil et Lionel Newman. Alfred a notamment composé la musique d'Eve (de Joseph L. Mankiewicz), Emil, celle de L'Ange des Maudits (de Fitz Lang). Lionel Newman, quant à lui, a écrit les partitions de La Rivière Sans Retour (d'Otto Preminger).
Lee Unkrich, co-réalisateur, évoque la qualité de l'image :
« Dans Toy Story, tout était au point, du premier plan au fin fond du champ. L'image «pétait» à l'écran, mais elle avait un aspect artificiel, comme la majorité des créations infographiques. Celle de Toy Story 2 est infiniment plus vivante, plus tactile, plus belle et plus réaliste. »
Le rapprochement Disney-Pixar
En 1987, Disney et Pixar ont décidé de développer en commun le système CAPS (Computer Animated Production System) qui permet de créer des gouaches et des composites numériques en 2D.
Les deux studios ont signé en 1992 un contrat pour trois films. Ce contrat a été étendu à cinq films en 1997.
John Lasseter, réalisateur :
Vice-président exécutif du service Création de Pixar (le département infographique de Lucasfilm), John Lasseter a connu un immense succès avec son premier long métrage Toy Story (1995). Entièrement réalisé en images de synthèse, ce film est une première dans le monde de l'animation.
Trois ans plus tard, il présente 1001 Pattes (1998).
En 1989, John Lasseter a obtenu l'Oscar du meilleur court métrage animé (Tin Toy).
John Lasseter évoque la genèse du film
« J'ai cinq enfants, dont les quatre plus jeunes aiment venir dans mon bureau pour s'amuser avec mes propres jouets. Certains sont des antiquités, des pièces uniques, auxquelles je suis particulièrement attaché, et il m'est arrivé de dire à mes enfants : « Non, non, ne t'amuse pas avec celui-ci, prends plutôt celui-là ». En y réfléchissant, ces craintes m'ont paru absurdes : les jouets sont conçus pour le plaisir des enfants ! Un jouet est vivant aussi longtemps qu'on se sert de lui. Et ceux de Toy Story 2 s'angoissent lorsqu'ils se croient négligés. »
Un travail de longue haleine :
Toy Story 2 ne comptent pas moins de 18 décors dans lesquels évoluent 19 personnages. Les créateurs ont conçu plus de 1200 modèles (accessoires divers, éléments de décoration, etc.). Leur souci de réalisme était tel qu'ils ont consacré quelque 10.000 images pour définir les caractéristiques de la peau des personnages humains.
Un tel perfectionnisme induit un travail long et laborieux : 20 heures de travail sont nécessaires pour finaliser une seule image. Dans ces conditions, seulement 4 à 5 secondes d'images sont produites par semaine.
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Trainspotting|Danny Boyle|Comédie dramatique|Interdit aux moins de 16 ans|3|britannique|1996|90|Anglais||XVID|||XVID|944 Kbps|720x384|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|696||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Andrew MacDonald|John Hodge|Brian Tufano||PolyGram Film Distribution||Les aventures tragi-comiques de Mark Renton, junkie d'Edimbourg, qui va tenter de se séparer de sa bande de copains, losers, menteurs, psychopathes et voleurs. |Ewan McGregor (Mark 'Rent-Boy' Renton)@Ewen Bremner (Daniel 'Spud' Murphy)@Jonny Lee Miller (Simon David 'Sick Boy' Williamson)@Kevin McKidd (Tommy MacKenzie)@Robert Carlyle (Francis 'Franco' Begbie)@Kelly MacDonald (Diane)@Shirley Henderson (Gail)@Peter Mullan (Swanney)@Irvine Welsh (Mikey)@||Secrets de tournage :
Petit film entre amis
Après son premier film, le très remarqué Petits Meurtres entre amis, le réalisateur Danny Boyle collabore de nouveau avec le scénariste John Hodge et le producteur Andrew MacDonald, tous deux écossais. Le trio se retrouvera sur les deux films suivants du réalisateur, Une vie moins ordinaire et La Plage. Du côté du casting, de même, plusieurs comédiens de Petits meurtres entre amis ont travaillé sur Trainspotting, comme Keith Allen, Peter Mullan, et Ewan McGregor qui sera également le héros d'Une vie moins ordinaire.
Le film qui révèle McGregor
S'il avait déjà fait quelques apparitions sur grand écran, Trainspotting est le film qui lance la carrière d' Ewan McGregor. L'année de la sortie du film, il figure aussi au générique de The Pillow Book de Peter Greenaway, également présenté à Cannes, et il tourne Les Virtuoses de Mark Herman, qui obtiendra l'année suivante un grand succès en France.
Welsh à l'écran
Trainspotting est l'adaptation du best-seller d'Irvine Welsh paru en 1993. L'écrivain apparaît dans le film, dans le rôle d'un dealer prénommé Mikey. Welsh fait également le comédien dans une autre transposition sur grand écran d'un de ses livres, Acid House, sorti en 2000 et dans lequel joue un des héros de Trainspotting, Ewen Bremner.
Présenté à Cannes
Trainspotting a été présenté en Sélection Officielle hors compétition au Festival de Cannes en 1996. Il a été projeté à la séance de minuit.
Récompenses
Trainspotting a reçu plusieurs récompenses, dont le British Film Award attribué à John Hodge pour le scénario, catégorie dans laquelle le film a également décroché une nominations aux Oscars en 1997.
Un gros succès
Avec 2,5 millions de spectateurs, Trainspotting a été le plus gros succès de l'année 1996 en Grande-Bretagne, et il a été vu par 8 millions de spectateurs en Europe. Ce film qui a coûté 3,5 millions de dollars en a finalement rapporté 70 millions, dont 16 millions de recettes américaines.
Qu'est-ce qu'un trainspotter ?
Le mot "trainspotter" désigne les individus, qui, en Angleterre, regardent les trains partir, et notent leurs numéros. Les membres de cette communauté de doux dingues s'appellent ensuite pour coomparer leurs résultats... Ce terme désigne par extension tout comportement obsessionnel, compulsif. Une autre signification était donnée par Ewan McGregor au magazine Première au moment de la sortie du film : " En matière d'héroïne, le trainspotting fait allusion aux différents points ? comme des gares sur une ligne ferroviaire ? qui forment sur les bras les traces de piqures dans une veine " station to station "... "
Drugs & rock'n'roll
Trainspotting couvre une période qui va du milieu des années 80 jusqu'à l'année du tournage du film, 1995. Cette évolution est notamment perceptible à travers la musique, qui tient une place importante dans le récit. Les morceaux appartiennent aux courants qui se sont succédé dans la pop britannique de l'époque : des derniers feux du punk (Lust for life, d'Iggy Pop, qui ouvre le film en fanfare) à la britpop (Blur, Pulp) et à la techno (Underworld) en passant par la pop synthétique (New Order).
L'apparition de Kelly McDonald
Le rôle féminin principal de Trainspotting est tenu par Kelly MacDonald, qui faisait là ses premiers pas au cinéma. On l'a revue depuis dans Gosford Park et Some Voices.
Boyle hors d'Alien
Après le grand succès de Trainspotting, Danny Boyle a été contacté pour réaliser Alien, la résurrection, mais le cinéaste a décliné cette proposition. Il a préféré réaliser Une vie moins ordinaire. Le quatrième volet de la saga Alien a finalement été tourné par Jean-Pierre Jeunet.
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Transformers|Michael Bay|Science fiction||3|américain|2007|134|Anglais||XVID|||XVID|602 Kbps|704x304|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|44.1 KHz|2|693||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Ian Bryce Tom DeSanto Lorenzo di Bonaventura Don Murphy|Alex Kurtzman Roberto Orci|Mitchell Amundsen||DreamWorks SKG|Saga : Transformers |Une guerre sans merci oppose depuis des temps immémoriaux deux races de robots extraterrestres : les Autobots et les cruels Decepticons. Son enjeu : la maîtrise de l'univers...Dans les premières années du 21ème siècle, le conflit s'étend à la Terre, et le jeune Sam Witwicky devient, à son insu, l'ultime espoir de l'humanité. Semblable à des milliers d'adolescents, Sam n'a connu que les soucis de son âge : le lycée, les amis, les voitures, les filles... Entraîné avec sa nouvelle copine, Mikaela, au coeur d'un mortel affrontement, il ne tardera pas à comprendre le sens de la devise de la famille Witwicky : "Sans sacrifice, point de victoire !" |Shia LaBeouf (Sam Witwicky)@Megan Fox (Mikaela Banes)@Josh Duhamel (le Sergent Lennox)@Tyrese Gibson (le Sergent Epps)@Rachael Taylor (Maggie Madsen)@Anthony Anderson (Glen Whitmann)@Jon Voight (le Secrétaire à la Defense John Keller)@John Turturro (l'Agent Simmons)@Michael O'Neill (Tom Banacheck)@Kevin Dunn (Ron Witwicky)@Julie White (Judy Witwicky)@Amaury Nolasco (Jorge 'Fig' Figueroa)@Zack Ward (le Sergent Donnelly)@Luis Echagarruga (un Rangers)@Patrick Mulderrig (un Rangers)@Brian Shehan (un Rangers)@Michael Trisler (un Rangers)@Ashkan Kashanchi (Mahfouz)@W. Morgan Sheppard (le Capitaine Witwicky)@C.J. Thomason (un marin)@Bernie Mac (Bobby Bolivia)@Carlos Moreno (Manny)@Johnny Sanchez (Juan - 'le clown')@John Robinson (Miles)@Travis Van Winkle (Trent)@Peter Jacobson (Monsieur Hosney)@Glenn Morshower (un Sergent SOCCENT)@Frederic Doss (un technicien SOCCENT)@Charlie Bodin (un technicien SOCCENT)@Joshua Feinman (un Sergent de l'US Air Force)@Chris Ellis (l'Amiral Brigham)@Steven Ford (le Général quatre étoiles)@Michael Shamus Wiles (le Général deux étoiles)@Craig Barnett (un Général de l'Air Force)@Brian Prescott (l'aide de camp de Keller)@Peter Cullen (Optimus Prime (voix))@Mark Ryan (Bumblebee (voix))@Darius McCrary (Jazz (voix))@Robert Foxworth (Ratchett (voix))@Jess Harnell (Ironhide / Barricade (voix))@Hugo Weaving (Megatron (voix))@Jim Wood (Bonecrusher (voix))@Reno Wilson (Frenzy (voix))@Charlie Adler (Starscream (voix))@Samantha Smith (Sarah Lennox)@J.P. Manoux (le témoin)@Tom Lenk (l'analyste du Pentagone)@Nicole Randall Johnson (la responsable de la sécurité)@Brian Stepanek (un agent du secteur 7)@Andrew Caldwell (l'enfant dans le café)@Colleen Porch (l'assistant du président)@Andy Milder (le chercheur)@Colin Fickes (l'analyste du Pentagone)@Jamie McBride (un agent du secteur 7)@Rizwan Manji (Akram)@Scott Peat (le commandant au Pentagone)@Odette Yustman (Conductrice du 4x4 noir)@Madison Mason (Journaliste CNN)@Esther Scott (La grand-mère de Glen)@Rick Gomez (Le shériff)@Bob Stephenson (Le gars qui joue à la Xbox)@Wiley Pickett (Un agent du FBI)@Jamison Yang (Un analyste)@Brian Reece (Un homme moustachu)@Jessica Kartalija (Une journaliste)@Sophie Gardner (La petite fille)@Ray Toth (Un pilote)@Mike Fisher (Coach de football)@Jeremy Jojola (Un journaliste)@Mason le chien (Lui-même)@Andy Dominguez (Un député)@||Secrets de tournage :
Transformers : retour sur un phénomène
Le long-métrage Transformers est la seconde adaptation sur grand écran (et la premières en images réelles) des très populaires jouets Transformers, lancés conjointement sur le marché, en 1984, par les marques Hasbro (Etats-Unis) et Takara (Japon). Inspirés des jouets japonais Diaclone, apparus quatre ans auparavant, les Transformers sont des robots se transformant en véhicules, qui remportent un succès de très grande ampleur auprès du jeune (et du moins jeune) public américain. Ces jouets donneront ensuite naissance, entre autres, à un comic-book Marvel, à une série télévisée à succès, à des jeux vidéos, à un film d'animation et à un film en prises de vues réelles, le Transformers de Michael Bay.
Le deuxième film sur les Transformers
Transformers est le second long-métrage (et le premier en images réelles) adapté de la célèbre collection de jouets après le film d'animation Les Transformers : le film (1986).
Michael Bay, toujours plus d'action !
Avec Transformers, Michael Bay confirme qu'il est sans doute l'un des plus grands réalisateurs de cinéma d'action au monde. Chacun de ses films marque une surenchère évidente dans les moyens et l'ambition, toujours au service d'un cinéma populaire. Ce cinéaste pop-corn, qui a débuté en signant Bad Boys, a ensuite enchaîné avec les blockbusters Rock, Armageddon, Pearl Harbor, Bad Boys II et The Island. Transformers, qu'il définit lui-même comme son plus grand film d'action, est son septième long métrage. A noter que Michael Bay est également un producteur averti, spécialisé, avec sa société de production Platinum Dunes, dans les remakes de films fantastiques cultes (Massacre à la tronçonneuse, Amityville, Hitcher).
Steven Spielberg et les Transformers
Le grand Steven Spielberg officie comme producteur sur le long métrage Transformers. Il ne cache pas qu'il est un grand fan des figurines, prouvant une nouvelle fois son éternelle âme d'enfant : "J'ai toujours aimé les Transformers. Je ne chercherai pas à vous faire croire que j'achetais ces jouets et ces comics pour mes enfants. Non, c'est à moi qu'ils étaient destinés, et c'est moi qui en tirais le plus de plaisir quand nous y jouions en famille. Fidèle collectionneur et fan inconditionnel, je pensais depuis longtemps qu'ils pourraient inspirer un merveilleux film d'été."
Transposer des figurines cultes à l'écran
Transposer les figurines Transformers sur grand écran a été le défi de Transformers. le producteur Lorenzo di Bonaventura explique que ce passage a fonctionné par étapes : "La mythologie et la longue histoire des Transformers nous ont inspirés. Nous avons tous réfléchi au moyen de les transposer à l'écran. L'ennui, c'est que personne ne pouvait réellement comprendre la nature de ce film si particulier avant que nous n'en montrions des images. Il a donc fallu commencer par développer une intrigue ? le versant "humain" du film, réunir la meilleure distribution possible, et enfin imaginer les effets spéciaux les plus palpitants. Ce furent nos premiers objectifs."
La révélation Shia LaBeouf
Transformers révèle au grand public le jeune américain Shia LaBeouf. Après des seconds rôles d'importance dans Charlie's angels - les anges se déchaînent (2003), I, Robot (2004) et Constantine (2005), où il impose déjà avec succès un personnage de jeune homme décontracté, blagueur et un rien frondeur, l'acteur devient familier du grand public avec Bobby puis surtout le thriller Paranoiak, en 2007, dont il tient la vedette et qui est un gros succès au box-office américain. Avec le blockbuster Transformers, c'est la consécration pour le Californien, qui, grand honneur, est choisi dans la foulée par Steven Spielberg pour incarner la jeune recrue d'Indiana Jones 4 aux côtés d'Harrison Ford. Une succession de bonnes nouvelles qui confirme que Shia LaBeouf fait désormais partie des plus grands espoirs du cinéma américain.
Les doutes de Michael Bay
Quand le studio lui a proposé de prendre les commandes des Transformers, Michael Bay a d'abord décliné l'invitation, considérant le projet comme "un stupide film de jouets." Mais il avait déjà eu la même opinion sur Les Aventuriers de l'Arche perdue lorsqu'il travaillait chez Lucasfilm Ltd., et le film fut un énorme succès. Réalisant qu'il avait tort à propos de Transformers, il changea d'avis et signa pour le réaliser. Surtout, un bref entretien avec les dirigeants d'Hasbro suffit à convaincre le cinéaste de "l'intérêt passionné qu'ils accordent à leurs jouets et du sérieux avec lequel ils en discutent."
De l'écran à la console
Le long-métrage Transformers a été décliné, dès sa sortie en salles, en jeu vidéo, sur quasiment toutes les consoles du marché. Transformers, le jeu est ainsi disponible sur PC, Playstation 2, Nintendo DS, PSP, XBox 360, Playstation 3 et Nintendo Wii.
Un secret bien gardé
Durant toute la campagne de promotion pour le film, les Transformers apparaissaient le moins possible dans les bandes annonces. La plupart des robots ont été gardés secret afin d'attiser la curiosité des spectateurs, jusqu'à la sortie officielle du film aux Etats-Unis début juillet 2007. Quand des images du robot Megatron sont apparues sur Internet, malgré le haut degré de sécurité, le producteur Don Murphy s'est mis dans une colère noire : il a alors modifié le design du Megatron, le couvrant d'une sorte de couronne pendant les phases de combat. Les images visibles sur le net correspondaient alors au mode "repos" du Megatron.
La relation Transformers-Indiana Jones...
Quels sont les points communs entre les films Transformers et Indiana Jones 4 ? D'abord le jeune talent Shia LaBeouf, rôle principal du film de Michael Bay, qui jouera aux côtés du célèbre archéologue dans le quatrième épisode de la saga produite par Lucasfilm et Paramount. Ensuite la présence de Steven Spielberg, producteur de Transformers, qui est aux commandes d'Indiana Jones 4, à l'instar des trois premiers volets de la saga.
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Transformers: Revenge of the Fallen|Michael Bay|Action||3|américain|2009|138|Anglais||XviD|||XVID|612 Kbps|704x304|MPEG-1 Audio layer 3|80.8 Kbps|False|44.1 KHz|2|697||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Don Murphy Tom DeSanto Lorenzo di Bonaventura Ian Bryce|Ehren Kruger Roberto Orci Alex Kurtzman|Ben Seresin||Paramount Pictures|Saga : Transformers |Deux ans se sont écoulés depuis que Sam Witwicky a sauvé l'univers d'une bataille décisive entre les deux clans rivaux de robots extraterrestres. Malgré ses exploits, Sam reste un adolescent préoccupé par les soucis des jeunes gens de son âge : alors qu'il s'apprête à entrer à l'université, il doit se séparer de sa petite amie Mikaela et de ses parents pour la première fois de sa vie. Il lui faut aussi tenter d'expliquer son départ à son nouvel ami, le robot Bumblebee. Sam aspire à vivre une vie normale d'étudiant, mais il doit tourner le dos à son destin pour y parvenir.Si Sam a fait ce qu'il a pu pour tirer un trait sur le conflit qui a eu lieu à Mission City et revenir à ses préoccupations quotidiennes, la guerre entre les Autobots et les Decepticons, tout en étant classée secret défense, a entraîné plusieurs changements. Le Secteur 7 a ainsi été dissout et son plus fidèle soldat, l'agent Simmons, a été révoqué sans ménagement. Résultat : une nouvelle agence, NEST, a été mise en place... |Shia LaBeouf (Sam Witwicky)@Megan Fox (Mikaela Banes)@Josh Duhamel (le Sergent Lennox)@Tyrese Gibson (le Sergent Epps)@John Turturro (l'Agent Simmons)@Kevin Dunn (Ron Witwicky)@Julie White (Judy Witwicky)@John Benjamin Hickey (Galloway)@Ramon Rodríguez (Leo Spitz)@Isabel Lucas (Alice)@Rainn Wilson (Le professeur Colan)@Matthew Marsden (Graham)@Hugo Weaving (Megatron (voix))@Peter Cullen (Optimus Prime (voix))@Frank Welker (Devastator (voix))@Mark Ryan (Bumblebee (voix))@Darius McCrary (Jazz (voix))@Samantha Smith (Sarah Lennox)@Glenn Morshower (le Général Morshower)@Katie Lowes (April)@Michael Papajohn (Cal)@Mike Patton (Mixmaster (voix))@Spencer Garrett (McCain)@Peter Jason (le directeur)@Caitlin Dulany (la journaliste de CNN)@Jonathon Trent (Fasbinder)@Josh Kelly@Michael Benyaer (l'agent égyptien d'Interpol)@Alex Fernandez (Lt. Colonel Cetas)@Kortney Nash (Mozambiqua)@Steve Tom (le directeur de McClaren Robotics)@Walker Howard (Sharsky)@Sean T. Krishnan (Yakov)@John Nielsen (Capitaine Wilder)@James Harvey Ward (l'opérateur du sonar)@Donald Sage MacKay (le capitaine du sous-marin)@Cornell Womack (le directeur du FBI)@Zhubin Rahbar (un officier)@Ralph Meyering Jr (le général du NORAD)@Deep Roy (le policier égyptien)@Tony Todd (the fallen (voix))@Aaron Hill (Un des membres de la fraternité)@Anthony Anderson (jolt (voix))@||Secrets de tournage :
Un film très actuel
L'un des dialogues de Transformers 2 la revanche, entre Shia LaBeouf et John Turturro, évoque la grippe A (ou grippe porcine), pourtant apparue très peu de temps avant la sortie du film en salles. Mais le fait de ne pas voir distinctement les acteurs parler laisse imaginer de quelle façon Michael Bay s'y est pris pour glisser cette allusion à l'actualité.
Transformers : retour sur un phénomène
La saga Transformers provient des très populaires jouets Transformers, lancés conjointement sur le marché, en 1984, par les marques Hasbro (Etats-Unis) et Takara (Japon). Inspirés des jouets japonais Diaclone, apparus quatre ans auparavant, les Transformers sont des robots se transformant en véhicules, qui remportent un succès de très grande ampleur auprès du jeune (et du moins jeune) public américain. Ces jouets donneront ensuite naissance, entre autres, à un comic-book Marvel, à une série télévisée à succès, à des jeux vidéos, à un film d'animation et à un film en prises de vues réelles, le Transformers, premier du nom, déjà réalisé par Michael Bay.
Yes we can !
Transformers 2 est le premier film à évoquer le nouveau président américain Barack Obama lors d'un flash info télévisé.
Un autre Jones à Petra
Transformers 2 voit Shia LaBeouf se rendre en Jordanie, à Petra, pour découvrir le secret des robots géants. Un temple qui avait déjà accueilli Indiana Jones et son père (Harrison Ford et Sean Connery) en 1989 dans La Dernière Croisade. Fils du célèbre archéologue dans Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal, Shia LaBeouf est donc le troisième Jones à se rendre dans ce lieu légendaire...
Clin d'oeil à Spielberg
Dans la scène où The Fallen prend le contrôle des ondes terrestres et envahit les écrans du monde entier, on peut brièvement apercevoir Steven Spielberg sur l'un des écrans géants piratés par le robot. Un clin d'oeil au cinéaste qui n'est autre que le producteur exécutif de Transformers 2.
Les "petits plus" de Michael Bay
S'il n'y avait "que" 14 robots dans le premier volet, Transformers 2 la revanche propose 46 modèles différents ! Près de 145 000 Go d'espace disque ont ainsi été nécessaires pour le film (contre 20 000 la première fois).
Le tournage en Egypte
Un des moments clés du tournage se déroula en Egypte, à Gizeh et à Louxor. L'équipe s'y est installé pendant trois jours à l'ombre des pyramdies et a bénéficié de l'autorisation exceptionnelle d'un archéologue pour tourner. John Turturro eu ainsi le privilège de gravir une des pyramides jusqu'à son sommet. Ce fut aussi la première fois qu'une équipe de cinéma fut autorisée à filmer des plans aériens du site. En tout, le tournage sur place dura trois jours.
Aïe !!
Fin juillet 2008, Shia LaBeouf fut victime d'un accident de la circulation qui obligea la production à revoir le planning de tournage et à maquiller sa blessure. Le jeune acteur fut également blessé à l'oeil à la fin du tournage après avoir heurté un modèle de robot, écopant alors de sept points de suture.
Souci de "réalisme" ?
Optimus Prime a été conçu pour être de grandeur nature sur les écrans IMAX pendant les scènes de combats en forêt.
Le Dévastator...
Le Devastator a une hauteur équivalente à un immeuble de dix étages et est composé de 52 632 pièces détachées.
Un robot dévastateur
Alors qu'il calculait le rendu de Devastator, un des ordinateurs des animateurs d'ILM surchauffa, faisant même fondre ses circuits internes. A noter qu'il faut près de 72 heures pour calculer une seule image de robot.
Des "garagistes" patients
Il faut près de 6 mois pour créer un transformer en images de synthèses. Toutes les pièces des robots doivent d'abord être créés individuellement (Optimus Prime en compte par exemple 10 000) avant que les textures ne soient appliquées sur les modèles.
Effets visuels
Près de 300 personnes de la société ILM ont travaillé sur les effets visuels du film et la postproduction.
Comment jouer face à des robots invisible ?
Pour simuler la présence des transformers sur les plateaux et faciliter le travail des comédiens, les équipes installaient des modèles de robots en apposant des photographies de leurs "visages" ou, plus simplement, dépliaient un manche télescopique puis encourageaient les acteurs à parler en direction de l'extrémité du manche.
Changement de casting
Jonah Hill (SuperGrave) fut un temps pressenti pour incarner le personnage de Léo Spitz qui est finalement revenu à Ramon Rodríguez.
La voix de Spock ?
Leonard Nimoy, connu pour son rôle de Monsieur Spock dans Star Trek, était le doubleur de Galvatron à l'époque de la série animée des années 80. Il fut un temps contacté pour participer au film en tant que doubleur du Fallen mais les discussions n'aboutirent pas.
Avec l'aide de l'armée
Les scènes sur le porte avions ont été tournée sur le USS John C. Stennis. Certains figurants étaient même les marins en poste sur le batiment.
De la route aux chantiers
Si le constructeur General Motors est le principal fournisseur de Transformers (malgré ses déboires financiers), la société Caterpillar Inc. a également fourni trois véhicules pour les besoins du film.
Dernière minute !
Les effets spéciaux ont été travaillés jusqu'à l'ultime minute. Lors de la sortie au Japon, ce fut même une copie non définitive du film qui fut livrée aux salles de cinéma.
Michael Bay déplace la Tour Eiffel
Dans la première bande-annonce du film, un plan furtif montre la Tour Eiffel placée au nord de la place de la Concorde... Une erreur qui n'a pas manqué d'être pointée du doigt par les fans...
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Clin d'oeil
Dans la chambre de Sam Witwicky figure une affiche de Bad Boys II réalisé par... Michael Bay ! On peut également voir un poster de Cloverfield, dont le premier (et impressionnant) teaser avait été diffusé dans les salles américaines juste avant le premier Transformers.
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The Net|Irwin Winkler|Thriller||2|américain|1995|109|Anglais||DivX|||DIVX|778 Kbps|704x432|WMA2|64.1 Kbps|False|44.1 KHz|2|668||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Rob Cowan Irwin Winkler|John D. Brancato Michael Ferris|||Columbia TriStar Films||Angela Bennett, une jeune analyste du reseau Internet, va se retrouver malgré elle au coeur d'un réseau de terrorisme informatique. |Sandra Bullock (Angela Bennett)@Jeremy Northam (Jack Devlin)@Dennis Miller (Docteur Alan Champion)@Diane Baker (Mme Bennett)@Wendy Gazelle (Ruth Marx)@Margo Winkler (Mme Raines)@Ken Howard@||Secrets de tournage :
Clin d'oeil à Hitchcock
Une scène de Traque sur Internet fait référence aux Enchaînés d'Alfred Hitchcock. En effet, dans le film de 1946, Devlin (joué par Cary Grant) noue un foulard autour d'Ingrid Bergman car elle a froid. Dans Traque sur Internet, Jeremy Northam, qui s'appelle également Devlin, fait la même chose à Sandra Bullock.
Foire informatique et cinéma
Le tournage de Traque sur Internet a débuté le 5 janvier 1995 à San Francisco. L'emploi du temps a été étudié afin que la fin du film coincide avec l'exposition Macworld, une des plus grande foire informatique américaine (70.000 visiteurs).
Germes du film...
Irwin Winkler, a eu l'idée de réaliser Traque sur Internet après avoir lu l'histoire d'un homme d'affaire japonais qui avait engagé un détective privé pour fouiller dans son passé afin de voir ce qu'un employeur éventuel pourrait y trouver. "Vous réalisez que votre vie est enregistrée de façon éléctronique... Cela pose la question : comment protéger son intimité? Comment protéger son identité", explique le réalisateur.
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The Net 2.0 (TV)|Charles Winkler|Action||1|américain|2006|92|Anglais||XviD|||XVID|886 Kbps|624x352|MPEG-1 Audio layer 3|163 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Rob Cowan Irwin Winkler||S. Douglas Smith||||Hope Cassidy, une jeune informaticienne américaine, débarque à Istanbul pour son travail. Très vite, elle va s'apercevoir que ses cartes de crédit ne fonctionnent plus, que ses comptes en banque sont vides et que son identité a été détournée... |Nikki Deloach (Hope Cassidy)@Demet Akbag (Dr. Kavak)@Cengiz Bozkurt (officier de police)@Sebnem Donmez (Roxelana)@Neil Hopkins (James Haven)@Courtney Vye (serveuse)@Ertan Saban (officier de douane)@Guven Kirac (Osman)@Charles Winkler (employé de l'ambassade)@Selma Ergeç (réceptionniste de l'hôtel)@Keegan Connor Tracy (Z.Z.)@Ezel Akay (vendeur de rue)@Michael Halphie (Ali)@Veysel Diker (garde Galata 1)@Mehmet Ergen ( Ibrahim Zoralan)@Cem Karakaya (garde Galata 2)@Ali Ipin (chef de sécurité de Galata)@Halit Ergenç (Ivanakov)@Didem Ugurlu (réceptionniste Suzer)@Soner Helvacioglu (livreur)@Emir Tekeli (Selim)@Sergey Zotkin (assassin)@Hande Uyguc (fille en costard)@Emrah Bilgic (gothique du café Internet)@Serdar Bilis (Garde de surveillance de Galata)@Ela Basak (agent de banque 1)@Yetkin Dikinciler (manager de la banque)@Sinan Tuzcu (policier qui fume)@Bennu Yildirimlar (agent de banque 2)@||Secrets de tournage :
Tel père, tel fils
Charles Winkler, le réalisateur de Traque sur Internet 2, n'est autre que le fils de Irwin Winkler, metteur en scène du premier opus, Traque sur Internet.
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Cheaper by the Dozen|Shawn Levy|Comédie||2|américain|2004|98|Anglais||XviD|||XVID|840 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|136 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Robert Simonds Michael Barnathan Ben Myron|Sam Harper Joel Cohen (II) Alec Sokolow|Jonathan Brown||UFD|Saga : Treize a la douzaine |Lorsque Tom, coach de l'équipe de football de sa petit ville natale, se voit proposer le même poste mais à l'Université de Chicago, sa femme Kate et leur douze enfants le suivent pour la " grande ville ". Mais très vite, Kate est tout autant prise que Tom par son travail. Commence alors une lutte sur la répartition des tâches parentales qui engendrera quiproquos et incompréhension... |Steve Martin (Tom Baker)@Bonnie Hunt (Kate)@Tom Welling (Charlie)@Hilary Duff (Lorraine)@Piper Perabo (Nora)@Ashton Kutcher (Hank)@Kevin G. Schmidt (Kevin)@Alyson Stoner (Sarah)@Jacob Smith (Jake)@Liliana Mumy (Jessica)@Morgan York (Kim )@Forrest Landis (Mark)@Blake Woodruff (Mike)@Brent Kinsman (Nigel)@Shane Kinsman (Kyle)@Paula Marshall (Tina)@Steven Anthony Lawrence (Dylan Shenk)@Alan Ruck (Bill)@Jared Padalecki (Bully)@Richard Jenkins (Shake)@||Secrets de tournage :
Esprit de famille
Le réalisateur Shawn Levy, après avoir signé Pour le meilleur et pour le rire, consacré au mariage, signe un film qui défend les valeurs familiales : "L'idée de rendre hommage à la joyeuse folie d'une famille nombreuse me plaisait, précise-t-il. Treize à la douzaine est un film sur la famille, la loyauté, les valeurs prioritaires."
Une maman de choc
Le rôle de Kate, à la fois mère de famille (de 12 enfants !) et engagé dans son métier, était un défi à relever pour son interprète Bonnie Hunt : "J'ai veillé à ce que Kate soit une femme intelligente, et pas simplement l'emblème de la Maman. A l'instar de nombreuses mères, Kate est un personnage multiple et complexe. Elle aime profondément Tom, elle est convaincue de pouvoir relever avec lui tous les défis. Mais elle a aussi une dimension secrète, des pensées, des aspirations dont ni son mari, ni ses enfants n'ont vraiment conscience."
Une vraie maison pour une vraie famille
Contrairement à l'usage, où les différents décors sont installés sur des plateaux adjacents, ceux de Treize à la douzaine ont été construits en un seul tenant. Le réalisateur Shawn Levy a d'ailleurs joué des différents étages de la maison pour multiplier les angles de prises de vue et traduire l'agitation régnant dans la maison.
Un look pour chacun
Pour que chacun des douze enfants soit bien identifiable, chaque univers a été très précisément défini : "Nous nous sommes attachés à doter chaque chambre d'un look, d'une "signature" visuelle reflétant la personnalité de son occupant, précise la chef décoratrice Nina Ruscio. Le spectateur ne sera pas nécessairement conscient de tous ces détails, mais cela nous a aidés à individualiser les douze enfants et à concrétiser leur présence dans la maison."
Deux douzaines !
Treize à la douzaine est le remake d'un film homonyme, réalisé par Walter Lang en 1950. Basé sur l'histoire vraie de la famille "nombreuse" des Gilbreth, ce film reposait sur l'image d'alors de la famille modèle. La version de Treize à la douzaine de Shawn Levy est sensiblement différente, et reflète le modèle familial en 2003 : l'émancipation du personnage de la mère est l'un des plus grand changements.
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Cheaper by the Dozen 2|Adam Shankman|Comédie||2|américain|2006|91|Anglais||XviD|||XVID|931 Kbps|608x256|MPEG-1 Audio layer 3|32.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Shawn Levy Ben Myron|Sam Harper|Peter James||20th Century Fox|Saga : Treize a la douzaine |C'est au bord du Lac Winnetka que Tom Baker et sa femme Kate emmènent leurs douze enfants pour ce qui semblent être leurs dernières vacances tous ensemble. Mais lorsque le fils ainé de Tom, Charlie, tombe amoureux d'Anne Murtaugh, c'est le début des problèmes. En effet, entre les deux pères de famille, l'entente n'est pas des plus cordiales, et il estdifficile de trouver le calme et la sérénité quand on se trouve en rivalité avec les membres d'une autre famille nombreuse ... |Steve Martin (Tom Baker)@Bonnie Hunt (Kate Baker)@Tom Welling (Charlie Baker)@Hilary Duff (Lorraine Baker)@Eugene Levy (Jimmy Murtaugh)@Carmen Electra (Sarina Murtaugh)@Jaime King (Anne Murtaugh)@Piper Perabo (Nora Baker-McNulty)@Jonathan Bennett (Bud McNulty)@Alyson Stoner (Sarah Baker)@Forrest Landis (Mark Baker)@Morgan York (Kim Baker)@Liliana Mumy (Jessica Baker)@Jacob Smith (Jake Baker)@Brent Kinsman (Nigel Baker)@Blake Woodruff (Mike Baker)@Shane Kinsman (Kyle Baker)@Kevin Schmidt (Kevin Schmidt)@Alexander Conti (Kenneth Murtaugh)@Taylor Lautner (Eliot Murtaugh)@Melanie Tonello (Becky Murtaugh)@Robbie Amell (Daniel Murtaugh)@Madison Fitzpatrick (Robin Murtaugh)@Shawn Roberts (Calvin Murtaugh)@Shawn Levy (Un interne)@Peter Keleghan (Mike Romanow)@Adam Shankman (le chef)@||Secrets de tournage :
A propos des deux interprètes principaux ...
Adam Shankman, le réalisateur, parle des deux pères de famille : " Steve [Martin] et Eugene [Levy] ont chacun un potentiel comique immense. Ils ne sont pas sur le même registre et les opposer multiplie l'effet comique. Chacun campe un père de famille nombreuse. Tous les deux ont une haute opinion de leur fonction de chef de famille. Tom a tout consacré à ses enfants et Jimmy s'efforce de " valoriser au maximum le potentiel génétique qu'il leur a transmis ". Entre ces deux mâles, c'est une question de fierté, mais en s'affrontant, ils se battent aussi contre ce qui change et ce qui leur échappe... "
Rire nature
Alors que le premier film avait été en grande partie tourné en studio, le deuxième bénéficie de décors naturels : la majeure partie a été tournée au Canada, près du lac Stoney, au nord-est de Toronto. Adam Shankman s'explique sur ce choix : " Les paysages sont magnifiques et la nature permet des situations encore plus drôles. Nous nous sommes beaucoup amusés sur le plateau et le fait que toute l'équipe soit hébergée sur place a permis de développer les liens entre les différents acteurs, nouveaux venus ou non. L'ambiance était vraiment celle d'une colonie de vacances et cela sert le film."
Problème d'emplois du temps
La concordance des emplois du temps de la totalité du casting a été l'un des principaux problèmes du film, chacun étant engagé sur divers projets. Si tous les acteurs du précédent volet, ainsi que Eugene Levy et Carmen Electra figurent bien au générique, le réalisateur du précedent opus, Shawn Levy, n'a pas pu reprendre son poste ... On le retrouve tout de même à la production.
Shawn Levy/Sam Harper, troisième !
Treize à la douzaine 2 marque la troisième collaboration du scénariste Sam Harper et de Shawn Levy : ils ont travaillé ensemble pour Pour le meilleur et pour le rire et les deux hommes ont coécrit Treize à la douzaine ensemble.
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Tremors|Ron Underwood|Epouvante-horreur||3|américain|1990|91|Anglais||XviD|||XVID|890 Kbps|640x368|MPEG-1 Audio layer 3|160 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Brent Maddock S.S. Wilson|S.S. Wilson Brent Maddock|Alexander Gruszynski||MCA||La petite communaute quelque peu marginale de la ville de Perfection est soudain menacee par un monstre sorti de terre, espece de ver geant dote d'une force phenomenale, de multiples tentacules et capable de se mouvoir a grande vitesse... |Kevin Bacon (Valentine McKee )@Fred Ward (Earl Bassett )@Finn Carter (Rhonda LeBeck )@Michael Gross (Burt Gummer )@Reba McEntire (Heather Gummer )@Bobby Jacoby (Melvin Plug )@Charlotte Stewart (Nancy Sterngood )@Tony Genaro (Miguel )@Ariana Richards (Mindy Sterngood )@Richard Marcus (Nestor )@Victor Wong (Walter Chang )@||||||||||||@@
Tremors II : Aftershocks|S.S. Wilson|Epouvante-horreur||3|américain|1996|95|Anglais||DX50|||DX50|881 Kbps|720x384|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Christopher DeFaria Nancy Roberts|Brent Maddock S.S. Wilson|Virgil L. Harper||MCA||Elles sont de retour, les créatures géantes sous-terraines de Tremors ! Aujourd'hui, elles terrorisent les champs de pétrole mexicains en avalant tout et tout le monde sur leur passage. Un seul homme est capable de les arrêter et, sans lui, rien n'est possible. |Fred Ward (Earl Bassett)@Christopher Gartin (Grady Hoover)@Helen Shaver (Kate 'White' Reilly)@Michael Gross (Burt Gummer)@Marcelo Tubert (Señor Ortega)@Marco Hernandez (Julio)@Jose Ramon Rosario (Pedro)@||||||||||||@@
Tremors 3: Back to Perfection|Brent Maddock|Action||2|américain|2001|98|Anglais||XviD|||XVID|875 Kbps|720x384|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|691||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Nancy Roberts S.S. Wilson|Brent Maddock S.S. Wilson Nancy Roberts John Whelpley|Virgil L. Harper||||Au fin fond du Nevada, dans le petite ville de Perfection, des monstres dévoreurs d'hommes sèment l'horreur et la désolation. Burt Gummer, accompagné de ses deux collaborateurs, va tout faire pour se débarasser de ces monstres terrifiants avant que la ville de Perfection soit définitivement rayée de la carte... |Michael Gross (Burt Gummer)@Shawn Christian@Susan Chuang (Jodi Chang)@Charlotte Stewart (Nancy Sterngood)@Ariana Richards (Mindy Sterngood)@Tony Genaro (Miguel)@Barry Livingston (Dr. Andrew Merliss)@John Pappas (Agent Charlie Rusk)@Billy Rieck (Buford)@Robert Jayne (Melvin Plug)@Kelly Connell (Touriste)@Matthew Seth Wilson (Touriste enfant)@Jason Hopkins (Touriste enfant)@Lorna Scott (Touriste)@Mary Gross (Touriste)@Elena Sahagun (Journaliste)@Javi Mulero@Diego Galanie@Tom Everett@||||||||||||@@
Tremors 4 : The Legend Begins|S.S. Wilson|Epouvante-horreur||2|américain|2003|96|Anglais||DX50|||DX50|779 Kbps|672x448|MPEG-1 Audio layer 3|192 Kbps|False|48.0 KHz|2|676||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Nancy Roberts||Virgil L. Harper||Universal Pictures||Hiram Gummer, propriétaire de la mine de Rejection, ville reculée du Nevada, engage un mercenaire pour lutter contre des prédateurs. Leur objectif: détruire toutes les créatures carnivores avant qu'elles n'engloutissent tout sur leur passage... |Michael Gross (Hiram Gummer)@Sara Botsford (Christine Lord)@Billy Drago@Brent Roam (Juan Pedilla)@August Schellenberg (Tecopa)@J.E. Freeman (Vieux Fred)@Ming Lo (Pyong Lien Chang)@Lydia Look (Lu Wan Chang)@Sam Ly (Fu Yien Chang)@Neil Kopit (Victor)@Sean Moran@Matthew Seth Wilson (Brick Walters)@John Dixon@Dan Lemieux (Stony Walters)@Don Ruffin (Soggy)@Lou Carlucci (Mine Foreman)@Kai Taschner@Andrew Van Hise (Luke)@||||||||||||@@
Tristan & Isolde|Kevin Reynolds|Romance||3|britannique, américain|2006|120|Anglais||XviD|||XVID|709 Kbps|496x256|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Ridley Scott Elie Samaha Giannina Facio Lisa Ellzey Moshe Diamant|Dean Georgaris|Artur Reinhart||20th Century Fox||Depuis le retrait des troupes de l'Empire romain, les seigneurs anglais sont sous la menace du roi Donnchadh, souverain d'Irlande. Face à lui, Lord Marke espère unir les tribus anglaises pour enfin apporter la stabilité au grand royaume dont il rêve. Tristan a grandi à ses côtés depuis que les Irlandais ont massacré sa famille, et le jeune homme est devenu aujourd'hui son meilleur combattant.Laissé pour mort après une bataille, Tristan est recueilli et soigné secrètement par une jeune femme qui va changer le cours de son destin. La très belle Yseult est la propre fille du pire ennemi de Tristan, le roi irlandais Donnchadh. Malgré tout ce qui devrait les séparer, les deux jeunes gens vivent une passion pure à laquelle seul le retour de Tristan en Angleterre mettra fin douloureusement... |James Franco (Tristan)@Sophia Myles (Iseult)@David O'Hara (Le roi)@Rufus Sewell (Marke)@Dexter Fletcher (Orick)@Bronagh Gallagher (Bragnae)@Henry Cavill (Melot)@Mark Strong (Wictred)@Cheyenne Rushing (La jeune Yseult)@Lucy Russell (Edyth)@Thomas Sangster (Le jeune Tristan)@Hans Martin Stier (Kurseval)@Ronan Vibert (Bodkin)@JB Blanc (Leon)@Graham Mullins (Morholt)@||Secrets de tournage :
Kevin sans Costner
Le réalisateur Kevin Reynolds a débuté sa carrière sous la houlette de Steven Spielberg . Son parcours fut pendant longtemps placé sous le signe de son amitié avec l'acteur Kevin Costner , qu'il a rencontré au collège. Les deux hommes ont tourné ensemble Une bringue d'enfer et Robin des Bois, prince des voleurs , avant de se brouiller sur le plateau de Waterworld en 1995. Depuis, Kevin Reynolds semble davantage s'intéresser à l'adaptation cinématographique d'oeuvres littéraires, puisqu'il adapte Dumas en 2002 avec La Vengeance de Monte Cristo. Il faudra attendre quatre ans avant de retrouver un film de Kevin Reynolds sur les écrans français, avec cette revisite d'une légende moyenâgeuse.
Aux sources du mythe
Le film adapte une fameuse légende qui a survécu au passage du temps. La voici. Un beau jour, en Angleterre, sur les terres de Cornouailles, une hirondelle apporta un cheveu d'or au Roi Marc. Celui-ci envoya son fils Tristan pour retrouver la personne à qui appartient ce cheveu merveilleux, fermement décidé à en épouser la propriétaire. Arrivé en Irlande, Tristan combat un dragon qui le blesse. Il est recueilli et soigné par Yseult la Blonde, fille de la Reine, en qui Tristan reconnaît la promise du Roi Marc. Il la ramène en Cornouailles. En dépit de ce qui était prévu les deux jeunes gens tombent amoureux et s'enfuient dans la forêt du Morrois, où ils restent cachés pendant trois ans. Mais Yseult est promise au Roi. Tristan quitte donc le pays et part sur le continent où il se marie. Blessé et proche de la mort, il demande à revoir Yseult. Une voile blanche sera hissée sur le navire si sa bien-aimée revient vers lui, noire si elle ne vient pas. Mais la femme de Tristan, jalouse, lui affirme qu'elle est noire. Yseult arrive trop tard, Tristan est mort, et elle-même périt de son trop grand chagrin. Les deux amants sont enterrés côte-à-côte, le Roi Marc fait planter un cep de vigne et un rosier sur les tombes, qui s'entrelacent, signe que leur amour dure au-delà même de la mort.
Une datation indéfinie
La construction du mythe de Tristan et Yseult a une origine assez vague. On la date cependant à une période située entre 1150 et 1200. Deux poètes, Béroul et Thomas, ont chacun rédigé des fragments de cette histoire en langue normande.
Avant le mythe: les prémices antiques
Si le récit de Tristan et Yseult emprunte la forme des exploits épiques médiévaux tels que La chanson de Roland, on en trouve déjà des ramifications dans la mythologie greco-latine. Médée fut enlevée par Jason et connaît l'art des philtres, de même qu'Yseult est enlevée par Tristan et le guérit avec un philtre. L'épisode des voiles noires et blanches est déjà relaté dans l'histoire de Thésée contre le Minothaure. Enfin, si Philoctète est abandonné sur une île car ses compagnons ne supportent pas l'odeur de sa blessure, Tristan subit le même sort lorsque le Roi Marc l'abandonne au gré des flots.
Des sources celtiques
Le mythe de Tristan et Yseult aurait des origines celtiques. Dans l'étymologie irlandaise, "Yseult" signifie "oeil", tandis qu'en langage celte "Marc" signifie "cheval" et "Arthur" se traduirait par "ours". Quand au lieu de résidence du Roi Marc, Tintagel, il est aussi connu pour être le lieu de naissance du Roi Arthur. Concernant la symbolique celte du récit, il faut savoir que la mer, lieu important de passage entre l'Irlande et l'Angleterre dans la légende, qui sépare aussi les deux amants, est dans l'imaginaire celte une porte vers l'au-delà. Enfin, l'histoire de Tristan et Yseult possède beaucoup de points communs avec une autre légende, celle du couple formé par Diarmaid et Grainne, ainsi que celle, bien qu'il s'agisse cette fois-ci d'un conte persan, de Wîs et Rhâmîn.
Hommes, femmes: un mode d'emploi lu à l'envers
La romance de Tristan et Yseult est à l'origine caractéristique de l'amour courtois. Appelé au Moyen-Age "fin'amor", il s'agit d'une inversion du rapport masculin/féminin. La femme n'est plus dépendante de l'homme, c'est au contraire elle qui pousse celui-ci à redoubler d'exploits et d'audace pour la conquérir. Cet amour courtois allie donc noblesse de coeur et fidélité, et participe à l'instauration du héros de type "chevaleresque".
Du myhe à la musique
La légende a donné à Wagner son opéra Tristan und Isolde, qu'il a composé vers fin 1850.
De la légende au poème
Le poète Charles Baudelaire, dans son recueil Les Fleurs du Mal, a composé La Mort des amants en hommage au célèbre couple d'amoureux Tristan et Yseult.
Scott change de casquette
C'est Ridley Scott qui devait à l'origine réaliser le film dans les années 70, juste après son film Les Duellistes. Mais il a finalement changé d'avis pour tourner Alien (1979) . Finalement, le film de Kevin Reynolds est produit par les deux frères cinéastes, Ridley Scott et Tony Scott. Avec leur société Scott Free Productions, les deux frères ont déjà notamment produit, outre leurs propres films, Clay Pigeons de David Dobkin et In her shoes de Curtis Hanson .
Nick Powell coordinateur des cascades
Pour régler certains des aspects les plus spectaculaires du film, Kevin Reynolds a fait appel au coordinateur des cascades Nick Powell. C'est à lui que l'on doit les batailles de films comme Braveheart, Gladiator ou Le Dernier samouraï.
La première tâche de Nick Powell a été d'entraîner James Franco à maîtriser tous les aspects physiques de son rôle. Il confie : "James s'était entraîné physiquement plus de six mois avant le film. Quatre semaines avant le tournage de sa première séquence d'action, nous avons débuté ensemble un entraînement spécifique. Nous avons répété tous les jours. Il fallait travailler la chorégraphie des combats et le maniement des épées."
La plupart des comédiens ont aussi dû se familiariser avec les chevaux, les épées, les arcs et les flèches.
« Préc.
Ainsi, il fut décidé que la plupart des structures construites seraient faites en bois parce qu'en dehors des bâtiments laissés par les Romains, les premiers exemples significatifs d'architecture maçonnée ont fait leur apparition aux alentours de l'an mille.
Tournage en Irlande et en République Tchèque
Après des repérages dans toute l'Europe, il a été décidé que le tournage se déroulerait sur la côte ouest de l'Irlande et en République Tchèque. Kevin Reynolds se souvient : "Tourner sur la côte irlandaise était un cauchemar logistique, car nous devions nous battre contre la météo qui change sans cesse et transporter tout ce que nous ne pouvions pas trouver sur place, mais cela en valait vraiment la peine. Ces paysages sont magnifiques et apportent au film une dimension, un souffle qu'aucun trucage n'aurait pu lui offrir."
Le décor du château du roi Donnchadh, Dunluce Castle, a, quant à lui, été construit sur une petite île près des plages sablonneuses de Glassillaun, sur la côte ouest.
La création de plusieurs centaines de costumes
L'approche pour les costumes a été assez comparable à celle des décors. A partir des documents disponibles avant et après la période du film, en s'inspirant des diverses influences adaptées aux divers protagonistes, ce sont des centaines de costumes qui ont été créés.
Pour superviser ce point essentiel, Kevin Reynolds a fait appel au célèbre costumier deux fois nommé à l'Oscar, Maurizio Millenotti. Le chef costumier explique : "A cette époque, les vêtements devaient surtout être utiles. Nous sommes donc partis de ce qui était disponible dans la région et l'avons croisé avec les techniques déjà maîtrisées en ce temps-là."
Dix semaines avant le début du tournage à Prague, Maurizio Millenotti est arrivé avec un atelier complet et un camion chargé de vêtements achetés en Italie. Lui et son équipe ont ensuite confectionné 90 % des costumes nécessaires au tournage, et le tout est ensuite reparti au grand complet vers l'Irlande.
« Préc.
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Troy - Director's Cut|Wolfgang Petersen|Péplum||3|américain, britannique|2004|188|Anglais||DX50|||DX50|901 Kbps|624x256|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|1396||||25.000|06/08/2009 00:00:00|Wolfgang Petersen Diana Rathburn Colin Wilson|David Benioff|Roger Pratt||Warner Bros. France||Dans la Grèce antique, l'enlèvement d'Hélène, reine de Sparte, par Paris, prince de Troie, est une insulte que le roi Ménélas ne peut supporter. L'honneur familial étant en jeu, Agamemnon, frère de Ménélas et puissant roi de Mycènes, réunit toutes les armées grecques afin de faire sortir Hélène de Troie. Mais en réalité, la sauvegarde de l'honneur familial n'est qu'un prétexte pris par Agamemnon pour cacher sa terrible avidité. Celui-ci cherche en fait à contrôler Troie et à agrandir son vaste empire. Aucune armée n'a jamais réussi à pénétrer dans la cité fortifiée, sur laquelle veillent le roi Priam et le prince Hector. L'issue de la guerre de Troie dépendra notamment d'un homme, Achille, connu comme le plus grand guerrier de son époque. Arrogant, rebelle, et réputé invicible, celui-ci n'a d'attache pour rien ni personne si ce n'est sa propre gloire... |Brad Pitt (Achille)@Eric Bana (Hector)@Orlando Bloom (Paris)@Frankie Fitzgerald (Aenas)@Rose Byrne (Briseis)@Diane Kruger (Hélène de Troie)@Brian Cox (Agamemnon)@Sean Bean (Ulysse)@Garrett Hedlund (Patrocle)@Peter O'Toole (le roi Priam)@Julie Christie (Thetis)@Brendan Gleeson (le roi Ménélas)@Saffron Burrows (Andromaque)@Julian Glover (Triopas)@Nathan Jones (Boagrius)@Adoni Maropis (L'Officier d'Agamemnon)@John Shrapnel (Nestor)@Jacob Smith (Le messager)@Siri Svegler (Polydore)@Lucie Barat (La suivante d'Hélène)@Ken Bones (Hippasus)@Mark Lewis Jones (Tecton)@Tyler Mane (Ajax)@Manuel Cauchi (Le vieux Spartes)@James Cosmo (Glaucus)@Vincent Regan (Eudorus)@Nigel Terry (Archeptolemus)@Trevor Eve (Velior)@Owain Yeoman (Lysandre)@Luke Tal (Scamandrius)@Matthew Tal (Scamandrius)@Louis Dempsey (Aphareus)@Joshua Richards (Hémon)@Tim Chipping (Echepolus)@Desislava Stefanova (Chanteuse)@Tanja Tzarovska (Chanteuse)@Alex King (Le garde appolonien)@||Secrets de tournage :
Adapté de l'oeuvre d'Homère
Troie est le récit de l'Iliade revisité par Wolfgang Petersen. Ce poème épique composé de 24 chants est l'oeuvre d'Homère, un Grec d'Asie mineure ayant vécu aux alentours de 850 avant Jésus-Christ. D'autres films prirent appui sur ce poème : La Vie privée d'Hélène de Troie (1927) d'Alexander Korda, Hélène de Troie (1955) de Robert Wise et La Guerre de Troie (1961) de Giorgio Ferroni.
Présenté à Cannes
Troie est présenté hors compétition au Festival de Cannes 2004.
Un casting international
Le casting de Troie est composé d'acteurs aux multiples nationalités : américaine (Brad Pitt), australienne (Eric Bana), irlandaise (Peter O'Toole, Brendan Gleeson), britannique (Brian Cox, Orlando Bloom, Saffron Burrows) et allemande (Diane Kruger, dont c'est ici la première production hollywoodienne).
Claire Forlani et Michael Clarke Duncan pressentis
Michael Clarke Duncan et Claire Forlani étaient initialement pressentis pour jouer dans Troie, mais la production en a décidé autrement. L'actrice devait au départ interpréter Hélène, la reine de Sparte, rôle qui fut finalement attribué à Diane Krueger.
Abandon de projets
Afin que leurs emplois du temps concordent pour le tournage du film, Wolfgang Petersen et Brad Pitt durent abandonner chacun un projet sur lequel ils s'étaient déjà engagés : Batman vs. Superman pour le premier et The Fountain pour le second.
Une préparation physique intensive
Brad Pitt dut se plier à un entraînement drastique en vue d'acquérir les techniques de combat de l'époque. Six mois de préparation physique furent nécessaires pour que l'acteur prenne du poids et devienne aussi agile et rapide que le personnage d'Achille.
L'officier britannique Richard Smedley, conseiller technique sur le film, et son équipe se chargèrent également de former à la lutte armée un millier de figurants parmi lesquels de nombreux athlètes. Eric Bana a pour sa part dû apprendre à monter à cheval.
Brad Pitt se blesse
Un petit incident pour Brad Pitt : l'acteur s'est blessé pendant une scène de combat au niveau du talon, un comble pour celui censé interpréter le célèbre guerrier Achille.
Tournage au Maroc compromis
En raison de la guerre en Irak, la production préféra annuler le tournage de Troie au Maroc comme il était initialement prévu.
Lieux de tournage
Le tournage débuta aux studios Shepperton, en Angleterre, le 22 avril 2003. C'est là que furent construits les différents intérieurs du film, dont le palais de Troie ainsi que le fameux cheval. Le reste de Troie fut filmé sur l'île de Malte, au Fort Ricasoli, où fut reconstituée la ville assiégée, et au Mexique, où furent tournées certaines scènes de bataille.
Deux ouragans en un tournage
La production dut faire face à deux ouragans qui détruisirent une partie des décors au Mexique, le second ayant sévi une semaine avant la fin du tournage.
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« Préc.
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True Lies|James Cameron|Comédie||3|américain|1994|135|||DX50|||DX50|621 Kbps|704x288|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|32.0 KHz|2|702||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Stephanie Austin James Cameron|James Cameron|Russell Carpenter||20th Century Fox||Comment un agent secret va reconquérir sa femme qui ignore tout des activités secrètes de son époux et le trouve bien fade en Monsieur-tout-le-monde. |Arnold Schwarzenegger (Harry Tasker)@Jamie Lee Curtis (Hellen Tasker)@Bill Paxton (Simon)@Tom Arnold (Albert 'Gib' Gibson)@Tia Carrere (Juno Skinner)@Eliza Dushku (Dana Tasker)@Charlton Heston (Spencer Trilby)@Art Malik (Aziz)@||Secrets de tournage :
Cameron et ses complices : Biehn et Paxton
James Cameron a dirigé à de nombreuses reprises les acteurs Michael Biehn (Terminator, Aliens, le retour et Abyss) ainsi que Bill Paxton (Terminator, Aliens, le retour, True lies, Titanic et Les Fantômes du Titanic).
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Natural Born Killers|Oliver Stone|Action|Interdit aux moins de 16 ans|3|américain|1994|115|Anglais||DIV3|||DIV3|597 Kbps|512x288|MPEG-1 Audio layer 3|192 Kbps|False|48.0 KHz|2|662||||25.000|02/08/2009 00:00:00|Jane Hamsher Don Murphy Clayton Townsend|Oliver Stone Richard Rutkowski David Veloz Quentin Tarantino|Robert Richardson||Warner Bros. France||Un couple de tueurs, Mickey et Mallory, se servent des médias jusqu'à devenir des stars de l'actualité. |Woody Harrelson (Mickey Knox)@Juliette Lewis (Mallory Wilson Knox)@Robert Downey Jr. (Wayne Gale )@Tommy Lee Jones (Dwight McClusky )@Tom Sizemore (Detective Jack Scagnetti )@Richard Lineback (Sonny )@Russell Means (Vieil indien, Warren Red Cloud)@Bob Swan (Napalatoni )@Rodney Dangerfield (Le mère de Mallory)@Lanny Flaherty (Earl)@Maria Pitillo (Deborah)@Josh Richman (le preneur de son)@Sean Stone (Kevin)@Melinda Renna (Antonia Chavez)@Dale Dye (Dale Wrigley)@Phil Neilson (Le père de Mickey)@Lorraine Farris (Pinky)@Steven Wright (Dr. Emil Reingold)@Peter Crombie (un flic)@Joe Grifasi (Duncan Homolka)@Marshall Bell (L'adjoint du député)@Jim Carrane (Smithy)@Louis Lombardi (le député Sparky)@Ashley Judd (Grace Mulberry ()@David Paul (Un des frères Hunt ()@Peter Paul (Un des frères Hunt ()@Hank Corwin (le démon de Mickey)@Paul Dillon (un prisonnier)@James Gammon (le rustre)@Jane Hamsher (le démon femelle)@Mark Harmon (Mickey Knox)@Arliss Howard (l'ange gardien de Mickey et Mallory)@Denis Leary (un prisonnier)@Kathy Long (la députée)@Don Murphy (le garde de prison)@Richard Rutkowski (le prisonnier moustachu)@Michael Thomas (la victime)@Rachel Ticotin (Wanda Bisbing)@Edie McClurg (la mère de Mallory)@Balthazar Getty (l'employé de la station service)@O-Lan Jones (Mabel)@Jared Harris (le Londonien)@Pruitt Taylor Vince (Kavanaugh)@||Secrets de tournage :
La polémique
Sorti en août 1994 aux Etats-Unis et en septembre 1994 en France, Tueurs nés a déclenché de vives polémiques, souvent accusé d'utiliser l'ultra-violence qu'il entend dénoncer à des fins spectaculaire et mercantile.
Tarantino au scénario
La mouture de base de Tueurs nés est l'oeuvre de Quentin Tarantino. Le futur réalisateur de Pulp Fiction a cependant pris ses distances avec le film d' Oliver Stone, estimant que les nombreuses réécritures du script avaient changé sa nature initiale.
Basé sur un couple existant
Les personnages de Mickey et Mallory sont inspirés d'un véritable couple de tueurs, Charles Starkweather et Caril Fugate, qui sévirent aux Etats-Unis en 1958, responsables de 11 meutres dans 5 états des Etats-Unis.
Nombreuses coupures
Plus de 150 plans de Tueurs nés ont dû être coupés ou retravaillés afin d'obtenir une classification "R" ("Restricted", interdit aux moins de 17 ans non accompagnés) au film pour sa carrière américaine et éviter la mention "NC-17" (strictement interdit aux moins de 17 ans), qui équivaut à la mort commerciale de l'oeuvre. En France, le film d' Oliver Stone est interdit aux moins de 16 ans lors de sa sortie en salles.
Onze mois de montage
Pas moins de 11 mois ont été nécessaires pour aboutir au montage définitif de Tueurs nés. Selon les estimations, le film se compose de 2500 à 3000 plans, alors qu'un long métrage n'en contient généralement que 600 à 700. Parmi les "victimes" de la table de montage : Ashley Judd, tuée par Mickey et Mallory dans l'un de ses premiers rôles au cinéma et seulement présente dans la "director's cut" du film sortie en DVD, d'une durée de 122 minutes contre 118 pour la version exploitée en salles.
Nombreux formats de films
Dix-huit formats différents ont été utilisés pendant le tournage de Tueurs nés, du 35 mm à la vidéo en passant par le 16 mm et le 8 mm. Baignant dans une ambiance psychédélique, le film passe également subitement d'un genre à un autre, allant du drame à une quasi-parodie de soap opéra et n'hésitant pas à inclure des morceaux animés.
Dans l'ambiance
Afin de rester dans l'ambiance hystérique du film, de la musique agressive était diffusée sur les plateaux de Tueurs nés. Selon d'autres témoignages, des coups de feux étaient également tirés en l'air pour mieux maintenir les acteurs dans une tension permanente.
La Scagnetti connection
Autre trace du passage de Quentin Tarantino dans le script de Tueurs nés, le nom du personnage de Tom Sizemore, Jack Scagnetti, ressemble étrangement à celui de l'officier de probation de Vic Vega (Michael Madsen) dans Reservoir dogs, nommé Seymour Scagnetti. Parmi les victimes de Mickey et Mallory se trouve par ailleurs un policier nommé Gerald Nash. Celui-ci aurait-il un lien de parenté avec l'infortuné agent de police Marvin Nash torturé lors d'une scène mémorable de Reservoir dogs ?
Michael Madsen en Mickey
L'acteur Michael Madsen avait un temps été envisagé pour incarner Mickey. Il aurait refusé sur les conseils de Quentin Tarantino, qui venait de le diriger dans son Reservoir dogs.
Récompenses
Malgré, ou à cause de, son contenu polémique, Tueurs nés a été récompensé à de nombreuses reprises, notamment au Festival de Venise 1994 où le film a cumulé le Prix spécial du jury et le Prix de la meilleure actrice (pour Juliette Lewis). Oliver Stone a également été nommé au Golden Globe du Meilleur réalisateur en 1995.
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Paradise Lost|John Stockwell|Thriller||2|américain|2006|95|Anglais||XviD|||XVID|847 Kbps|608x256|MPEG-1 Audio layer 3|166 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|28/07/2009 00:00:00|John Stockwell Marc Butan Scott Steindorff Bo Zenga|Michael Ross|Enrique Chediak||Fox Atomic||En vacances au Brésil, de jeunes touristes sont victimes d'un accident de bus à proximité d'une forêt isolée renfermant un sinistre secret... |Josh Duhamel (Alex)@Melissa George (Pru)@Olivia Wilde (Bea)@Desmond Askew (Finn)@Beau Garrett (Amy)@Max Brown (Liam)@Jorge So (le chauffeur de bus)@Julia Dykstra (l'infirmière)@Gabriela Migliano (la cuisinière)@Polly Brown (la randonneuse)@John Stockwell (le randonneur)@Agles Steib (Kiko)@Miguel Lunardi (Zamora)@Cristiani Aparecida@Lucy Ramos (Arolea)@Andréa Leal (Camila)@Diego Santiago (Jacare)@Marcao (Ranan)@Miguelito Acosta (Jamoru)@Jorge Neves (Tulio)@Olga Diegues (Annika)@Rodiney Ferreira (l'homme brésilien)@Gustav Roth (Sven)@||||||||||||@@
Twilight|Catherine Hardwicke|Fantastique||3|américain|2009|121|Anglais||XviD|||XVID|663 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|695||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Mark Morgan Greg Mooradian Karen Rosenfelt Wyck Godfrey|Melissa Rosenberg|Elliot Davis||SND|Saga : Twilight |Isabella Swan, 17 ans, déménage à Forks, petite ville pluvieuse dans l'Etat de Washington, pour vivre avec son père. Elle s'attend à ce que sa nouvelle vie soit aussi ennuyeuse que la ville elle-même. Or, au lycée, elle est terriblement intriguée par le comportement d'une étrange fratrie, deux filles et trois garçons. Bella tombe follement amoureuse de l'un d'eux, Edward Cullen. Une relation sensuelle et dangereuse commence alors entre les deux jeunes gens : lorsque Isabella comprend que Edward est un vampire, il est déjà trop tard. |Kristen Stewart (Isabella "Bella" Swan)@Robert Pattinson (Edward Cullen)@Billy Burke (Charlie Swan)@Peter Facinelli (Dr. Carlisle Cullen)@Ashley Greene (Alice Cullen)@Nikki Reed (Rosalie Cullen)@Jackson Rathbone (Jasper Cullen)@Kellan Lutz (Emmett Cullen)@Elizabeth Reaser (Esme Cullen)@Cam Gigandet (James)@Rachelle LeFevre (Victoria)@Edi Gathegi (Laurent)@Justin Chon (Eric Yorkie)@Taylor Lautner (Jacob Black)@Anna Kendrick (Jessica Stanley)@Michael Welch (Mike Newton)@Justin Chon (Eric Yorkie)@Christian Serratos (Angela Weber)@Gil Birmingham (Billy Black)@Sarah Clarke (Rene)@Matt Bushell (Phil)@José Zuniga (Mr. Molina)@Ned Bellamy (Waylon Forge)@Gregory Tyree Boyce (Tyler)@Solomon Trimble (Sam Uley)@Bryce Flint-Sommerville (le gardien de la mine)@Alexander Mendeluk (le garçon du club #1)@Hunter Jackson (le garçon du club #2)@Gavin Bristol (le garçon du club #3)@Sean McGrath (2) (le garçon du club #4)@Catherine Grimme (Bella jeune)@Ayanna Berkshire (Cora)@Katie Powers (la serveuse)@Trish Egan (l'administratrice du lycée)@Stephenie Meyer (Stephie, une cliente du restaurant)@||Secrets de tournage :
Robert Pattinson et son rôle
Pour préparer son rôle d'être "à part", Robert Pattinson n'a pas hésité à se rendre dans la région du tournage en amont de la production, pour y vivre en solitaire. Il avoue ainsi n'avoir parlé à quiconque durant plusieurs semaines ! Une expérience qui lui a permis de mieux comprendre le personnage d'Edward Cullen, vampire parmi les hommes...
Qu'est-ce que le "tour du tapis magique" ?
Pour donner l'illusion que les acteurs courent à une vitesse surhumaine, le coordinateur des cascades, Andy Cheng, a utilisé une sorte de traîneau de plusieurs dizaines de mètres, tiré par des câbles à haute tension. Un dispositif qui donne l'impression que les comédiens volent à travers l'écran, et qu'il a baptisé "tour du tapis magique".
That's all Forks !
Afin que le mystère entourant les Cullen subsiste le plus longtemps possible, Stephenie Meyer a choisi de situer son histoire dans une ville qui voit peu la lumière. Et c'est après avoir effectué des recherches sur les régions des Etats-Unis ayant enregistré les plus fortes précipitations, que son choix s'est porté sur la ville de Forks, située dans l'Etat de Washington. Une ville que la production a reproduite dans l'Oregon.
Habiller des vampires
Lorsqu'on parle de vampires, les gens imaginent souvent des personnages avec d'immenses capes en cuir et des colliers au ras du cou. Conscientes du risque qu'elles prenaient en les représentant de cette façon, Catherine Hardwicke et Stephenie Meyer ont opté pour des couleurs claires et un style vestimentaire classique.
Des vampires, oui...
... mais des vampires différents, comme l'explique la comédienne Rachelle LeFevre, interprète de Victoria : "Ces vampires n'ont pas de crocs, ce qui va à l'encontre des images d'Epinal. En général, les victimes portent des marques de morsure parfaitement alignées, mais pas nos victimes dans le film. [...] Et les vampires ne dorment pas : ils ne se reposent donc pas dans un cercueil ou suspendus la tête renversée comme des chauve-souris."
Quand Stephenie Meyer parle des vampires...
... elle ne laisse pas influencer. En effet, la romancière avoue avoir mené très peu de recherches sur la mythologie des vampires : "Je n'ai jamais été attirée par le genre horrifique. Je n'ai pas lu de livres de vampires, ni vu de films de vampires. [...] J'ai seulement souhaité écrire mon propre roman de vampires, sans me laisser influencer par d'autres livres ou d'autres films."
Le choix de Catherine Hardwicke par Greg Mooradian
"Nous n'avons absolument pas limité nos recherches à des metteurs en scène femmes", explique le producteur du film. "Mais il se trouve que l'essentiel des fans de Meyer sont des femmes et il nous fallait quelqu'un qui comprenne leur point de vue. Catherine a vraiment su se mettre à la place des adolescentes."
Une histoire de rêve
La romancière Stephenie Meyer explique que c'est au cours d'un rêve que lui est venue l'idée du premier roman de la saga, Fascination : "Quand je me suis réveillée ce jour-là, j'ai eu envie de savoir ce qui allait se passer ensuite. Le premier jour, j'ai écrit 10 pages. Après avoir terminé, j'ai été la première stupéfaite de constater que j'avais écrit tout un livre."
Vampire, vous avez dit vampire ?
Si le cinéma ne manque pas de films de vampires, la saga Twilight se démarque des autres grâce à son histoire d'amour, comme l'explique le producteur Greg Mooradian : "Dans Twilight, le vampirisme est une très belle métaphore du désir adolescent et de la difficulté, voire de l'impossibilité, d'assouvir ce désir."
Un phénomène pris dans la toile
Bien avant sa sortie en salles, Twilight - Chapitre 1 : fascination affolait déjà la toile : c'est ainsi que l'on recense plus de 350 sites de fans; que 18 des comédiens du film figuraient parmi les 30 acteurs les plus consultés d'internet en avril 2008; ou encore que la mise en ligne des premières photos du film a provoqué une telle affluence que le serveur du site MTV.com a explosé.
« Préc.
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Twin Peaks|David Lynch|Policier|Interdit aux moins de 12 ans|3|français, américain|1992|134|Anglais||DX50|||DX50|578 Kbps|480x256|Vorbis|112 Kbps|False|48.0 KHz|2|702||||29.970|27/08/2009 00:00:00|Francis Bouyges Gregg Fienberg|David Lynch Robert Engels Mark Frost|Ronald Victor Garcia||New Line Cinema||La mort mysterieuse de Teresa Banks dans la tranquille petite ville de Twin Peaks va donner bien du fil a retordre aux agents Dale Cooper et Chester Desmond qui vont mener une enquete en forme de charade et decouvrir que bien des citoyens de la ville sont impliqués dans cette affaire.Un an plus tard, ce sont les sept derniers jours de Laura Palmer, qui se termineront par la mort brutale de cette dernière annonçant ainsi le début de Twin Peaks, le soap opera. |Harry Dean Stanton (Carl Rodd)@David Bowie (Phillip Jeffries)@Moira Kelly (Donna Hayward)@Sheryl Lee (Laura Palmer)@Ray Wise (Leland palmer)@Chris Isaak (Agent Chester Desmond)@David Lynch (Gordon Cole (Agent du FBI))@Heather Graham (Annie Blackburn )@Pamela Gidley (Teresa Banks)@James Marshall (James Hurley)@Kiefer Sutherland (Agent Sam Stanley)@Kyle MacLachlan (Agent Dale Cooper)@Miguel Ferrer (Agent Albert Rosenfield)@Eric Dare (Leo Johnson)@Frank Silvano (Bob)@Everett McGill (Ed Hurley (scènes coupées au montage))@Peggy Lipton (Norma Jennings)@Grace Zabriskie (Sarah Palmer)@Jürgen Prochnow (Woodsman)@Lenny von Dohlen (Harold Smith)@Michael J. Anderson (l'homme à l'autre place)@||||||||||||@@
Tycus|John Putch|Action||1|américain|1998|90|Anglais||DX50|||DX50|981 Kbps|472x376|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|703||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Ashok Amritraj Andrew Stevens|Michael Goetz Kevin Goetz|Ross Berryman||||Fin du second millénaire. Tremblements de terre, volcans en éruption, conditions météorologiques qui se détériorent de jour en jour : la Terre va mal. Jake Lowe, journaliste, décide d'enquêter pour savoir quel est la cause de ces changements climatiques soudains. Il découvre que si tout va mal, c'est parce qu'une météorité géante est sur le point d'entrer en collision avec la Lune... |Dennis Hopper (Peter Crawford)@Peter Onorati (Jake)@Finola Hughes (Amy Lowe)@Chick Vennera (Stan Alton)@Sarah Bibb (l'adolescente)@Todd Allen (Menkees)@Blake Clark (Commandant Scott)@Sarah Dalton (Jamie Crawford)@||||||||||||@@
Ultraviolet|Kurt Wimmer|Science fiction||1|américain|2006|83|Anglais||DX50|||DX50|1 025 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Lucas Foster John Baldecchi|Kurt Wimmer|Arthur Wong||Columbia TriStar||A la fin du XXIe siècle, une maladie provoquant une mutation génétique engendre une nouvelle race d'humains. Ils sont plus forts, plus rapides et plus intelligents.
Redoutant leur nombre et leur pouvoir croissant, le gouvernement les fait enfermer, et leur fait subir de terribles tests avant de décider de les éliminer.
Seule une femme, Violet, infectée par la maladie, est déterminée à protéger les siens, et à se venger de ceux qui ont créé ces "nouveaux humains". Son unique espoir repose sur Six, un étrange petit garçon de dix ans... |Milla Jovovich (Violet)@Cameron Bright (Six)@Nick Chinlund (Daxus)@Sebastien Andrieu (Nerva)@Ida Martin (Violet jeune)@Ricardo Mamood (Le mari de Violet)@William Fichtner (Garth)@Kieran O'Rorke (Détective Cross)@Digger Mesch (Détective Endera)@Ryan Martin (Détective Breeder)@Steven Calcote (Le jeune Daxus)@David Collier (BF-1)@Mike Smith (L'hémophage de l'hôpital)@Clay Cullen (L'hémophage rebelle)@Jack Murphy (Le chef de l'équipe)@Diego Swing (Le 1er assistant de Daxus)@Abraham Boyd (Le garde L. L. D. D)@Matthew Sturgess (Le 1er technicien médical)@Alexander Key (Le 2ème technicien médical)@Pete Spurrier (Le chef des recherches L. L. D. D)@Russel Wait (Le docteur)@Youlia Galenko (Le coursier XPD-154)@Luke Jackson (Le technicien informatique)@Kurt Wimmer (Un hémophage)@Gilad Lotan (Un hémophage)@Phillip Moore (Un hémophage)@Robert Alonzo (Le 1er hémophage aux cheveux longs)@Mitchell Gould (Le 2ème hémophage aux cheveux longs)@Daniel Hawe (L'homme de la sécurité)@Scott Piper (L'assistant de Garth)@J. Don Ferguson (Un hémophage)@Jesse Gooding (Un hémophage)@Marck Hicks (Le garde de l'hôpital)@Katarina Jancula (La nouvelle femme de Shariff)@Mary Catherine Williams (La fille au masque violet)@Jennifer Caputo (Elizabeth P. Watkins)@Christopher Garner (Luthor)@Duc Luu (Kar Wai)@Igor Smiljevic (Un hémophage)@Daniel Whyte (Un hémophage)@Martin Zetterlund (Un hémophage)@||Secrets de tournage :
Haute définition
Ultraviolet a été entièrement tourné dans le nouveau format haute définition avec des caméras Sony 950 et rejoint la liste des rares films à l'avoir été avant lui : Star wars : épisode II - L'Attaque des clones et Star wars : épisode III - La Revanche des Sith. Kurt Wimmer a longuement hésité avant de décider de tourner avec ce format. Il aura fallu qu'il rende visite à Georges Lucas sur le tournage de Star wars : épisode III - La Revanche des Sith et que celui ci lui montre toutes les possibilités qu'offrait cette caméra pour qu'il décide de se lancer.
Tournage à Shangaï
C'est la Chine que Kurt Wimmer a choisi pour planter le décor de son monde futuriste. Il a tout de suite été intéressé par son architecture novatrice et impressionnante. Plusieurs séquences du film ont été tournées au coeur de Shangaï, comme par exemple dans la Tour de l'Oriental Pearl TV , au Musée des Sciences et Technologies, au Centre de Convention, à la Banque de Chine, au Centre d'Information de Shanghai et dans la Tour Jin Mao qui, avec ses 420 mètres de haut, est la plus haute de Chine et la quatrième plus haute du monde.
Cameron Bright sous l'aile de Milla Jovovich
Milla Jovovich ayant commencé sa carrière de mannequin et d'actrice étant enfant, a immédiatement éprouvé de l'empathie à l'égard du jeune Cameron Bright. Le courant est tout de suite passé entre les deux acteurs. Milla Jovovich cherchait à rendre le tournage le plus agréable et le plus drôle possible pour Cameron Bright, allant même jusqu'à demander à son compagnon de l'époque John Frusciante, le guitariste des Red Hot Chili Peppers, de lui apprendre à jouer de la guitare.
Cameron Bright est Six
Kurt Wimmer a auditionné des centaines de jeunes garçons pour trouver l'interprète idéal du mystérieux Six. C'est finalement Cameron Bright qui a été retenu, ses prestations dans Godsend, expérience interdite et Birth ayant achevé de convaincre les cinéastes.
"Gloria" revisité
Ultraviolet n'est autre qu'une version moderne de Gloria de John Cassavetes datant de 1980. Kurt Wimmer désirait raconter une nouvelle version de Gloria, dans laquelle une femme et un enfant essaient d'échapper à la Mafia, sous forme d'un film d'action et d'aventure à l'inspiration B.D.
Modifications
Le montage du film a été complètement retravaillé par le studio, qui n'aimait pas la version finale de Kurt Wimmer.
Un rôle sur mesure
Le réalisateur Kurt Wimmer a écrit le scénario en pensant à Milla Jovovich pour interpréter le rôle de l'héroïne principale. Il a d'ailleurs déclaré à son propos : "Milla possédait le talent, la beauté, et la capacité physique de jouer un personnage complexe et fascinant.". L'actrice qui a accepté, a déjà été vu dans des films de science-fiction notamment Le Cinquième élément et Resident evil.
Une technique de combat particulière
Le personnage de Violet incarné par Milla Jovovich utilise une variante plus authentique du "Gun Kata", une forme de combat mélangeant la fusillade et les arts martiaux. Cette technique avait déjà été utilisée par Kurt Wimmer dans son précédent long-métrage Equilibrium.
Une héroïne musclée
Durant le tournage, Kurt Wimmer a demandé à Milla Jovovich de le frapper afin d'aider la comédienne à faire les scènes d'action. Le réalisateur a eu un oeil au beurre noir pendant plusieurs semaines.
Un secret bien gardé
Un teaser et une scène d'action d'Ultraviolet ont été diffusés sur Internet après qu'elles aient été montrées à un petit groupe de personnes. Kurt Wimmer a depuis exigé que tous les extraits soient retirés afin de garder le film secret.
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Kindergarten Cop|Ivan Reitman|Comédie||3|américain|1991|106|||DX50|||DX50|800 Kbps|640x368|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|690||||25.000|08/08/2009 00:00:00|Brian Grazer Ivan Reitman|Murray Salem Herschel Weingrod Timothy Harris|Michael Chapman||United International Pictures (UIP)||Poursuivant un dangereux malfaiteur et sa mere trafiquants de drogue, John Kimble, policier remarquable, est amene a la suite de la defaillance d'une collegue a faire la classe a une maternelle. En quelques heures c'est l'anarchie la plus totale et le brillant policier a plus de mal a contenir trente banbins que les plus coriaces bandits. Mais grace a une collegue attentive et a son fils, il reussira a se faire des allies des enfants et a retrouver les mechants. |Arnold Schwarzenegger (John Kimble)@Penelope Ann Miller (Joyce Palmieri)@Pamela Reed (Phoebe O'Hara)@Linda Hunt (Mademoiselle Schlowski)@Richard Tyson (Cullen Crips, Senior)@Remone Bradley (Erwin)@Anthony Wong (Tom)@Cathy Moriarty (La mère de Silvester)@Angela Bassett (Hôtesse)@Carroll Baker (Eleanor Crips)@||||||||||||@@
A man apart|F. Gary Gray|Thriller|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|2003|105|Anglais||XviD|||XVID|795 Kbps|640x262|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Vincent G. Newman Tucker Tooley Joseph Nittolo Vin Diesel|Christian Gudegast Paul Scheuring|Jack Green||New Line Cinema||L'agent Sean Vetter, membre de la brigade anti-drogue, est engagé dans la lutte contre les guerres mafieuses à la frontière mexicaine. Après l'arrestation de Memo Lucero, un baron de la drogue du Baja Cartel, une nouvelle figure mystérieuse connue sous le nom de Diablo prend le contrôle des opérations.Mais lorsque la femme de Vetter meurt dans un bain de sang, ce dernier et son partenaire doivent allier leurs forces avec l'ancien patron du cartel, qui se trouve derrière les barreaux, pour mettre fin aux agissements de ce nouveau trafiquant. |Vin Diesel (Sean Vetter)@Larenz Tate (Demetrius Hicks)@Timothy Olyphant (Jack Slayton)@Emilio Rivera (Garza)@Jacqueline Obradors (Stacy Vetter)@Geno Silva (Memo Lucero)@Juan Fernandez (Mateo Santos)@Steve Eastin (Ty Frost)@George Sharperson (Big Sexy)@Mike Moroff (Gustavo Leon)@||Secrets de tournage :
Histoire de titres
Un homme à part, en version originale A man apart, s'intitulait initialement Diablo. Mais des problèmes de droit se posèrent, ce nom étant déjà déposé pour un célèbre jeu vidéo, et la compagnie éditrice du jeu souhaitait en conserver les droits pour pouvoir éventuellement en faire un film. Le projet a dû être ainsi renommé.
L'origine du projet
L'idée de développer un film sur le trafic de drogue est venue aux trois producteurs, Joseph Nittolo, Tucker Tooley et Vincent G. Newman, en constatant la recrudescence des couvertures du Los Angeles Times consacrées aux cartels et à la corruption croissante au Mexique six ans auparavant.
Un conseiller technique approprié
C'est un vrai sergent de police qui officia en tant que conseiller technique d'Un homme a part. L'officier Richard B. Valdemar fut en effet un vétéran du Département du shérif de Los Angeles, a travaillé avec le Major Crimes Bureau et s'est spécialisé dans la lutte contre les gangs et le trafic de drogue.
L'aéroport transformé
Un aéroport californien a été complètement transformé en repaire de trafiquants de drogue pour les besoins d'Un homme a part, où se déroule une confrontation. Tournée en cinq jours, cette scène marqua également la fin du tournage du film.
Un vrai saint
La décoratrice Ida Random a volontairement recréé dans le quartier général de Lucero un lieu dédié à Jesus Malverde, le "saint patron" mexicain des trafiquants de drogue, qui fut un criminel pendu en 1909 et devenu depuis une figure populaire chez les dealers mexicains, qui le considèrent un peu comme un Robin des Bois.
Lieux de tournage
Le tournage d'Un homme a part n'a majoritairement pas été fait en studio, le film s'étant principalement tourné en extérieur ou dans des lieux déjà existants de Los Angeles. Ainsi la villa résidentielle du personnage de Vin Diesel et de sa compagne a été dénichée à Malibu, tandis qu'un bar où se tient une fusillade a été réalisée dans le célèbre night club Fais Do-do. Sur les dix semaines de tournage, deux seulement ont pris place en studio, concernant les scènes dans le quartier de haute sécurité et le domaine de Lucero.
Le choix de Larenz Tate
Bien qu'il aborde le sujet d'une vendetta personnelle, Un homme a part prend parfois l'allure d'un buddy movie surtout quand Vin Diesel retrouve son partenaire Larenz Tate. Les producteurs expliquent pourquoi ce choix si dissocié : "Nous voulions contrebalancer la présence de Vin avec une présence d'un genre différent, quelqu'un qui puisse jouer en contrepoint. Ce sont leurs différences et leur relation qui font que l'histoire se tient".
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Un Indien dans la ville|Hervé Palud|Comédie||3|français|1994|86|Français||DIV3|||DIV3|901 Kbps|640x480|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|48.0 KHz|2|628||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Louis Becker Thierry Lhermitte|Igor Aptekman Thierry Lhermitte|Fabio Conversi||Agence Méditerranéenne de Location de Films (A.M.L.F.)||Sur le point d'épouser la belle Charlotte, Stéphane Marchado part à la recherche de sa première femme, partie depuis treize ans dans une tribu d'Amazonie pour régulariser son divorce. |Thierry Lhermitte (Stéphane)@Patrick Timsit (Montignac)@Arielle Dombasle (Charlotte)@Miou-Miou (Patricia / Palikou)@Ludwig Briand (Mimi-Siku)@Tolsty (Pavel Koutchnoukov)@Jackie Berroyer (Joanovici)@Sonia Vollereaux (Marie Montignac)@Marc de Jonge (Roustan)@Pauline Pinsolle (Sophie Montignac)@Philippe Bruneau (Monsieur Maréchal)@Dominique Besnehard (Maître Dang)@Louba Guertchikoff (Madame Godet, la voisine)@Chick Ortega (le chauffeur letton)@Cheik Doukouré (Monsieur Bonaventure)@||||||||||||@@
The Air Up There|Paul Michael Glaser|Comédie||2|américain|1994|101|Anglais||XviD|||XVID|828 Kbps|544x288|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Robert W. Cort Ted Field|Max Apple|Dick Pope||||Jimmy Dolan est un entraîneur de basket dans un collège. Pour obtenir une promotion, il part en Afrique pour trouver le joueur qui le fera gagner. |Kevin Bacon (Jimmy Dolan)@Yolanda Vazquez (Sister Susan )@Winston Ntshona (Urudu)@Sean McCann (Ray Fox)@Dennis Patrick (Père O'Hara)@Eric Menyuk (Mark Collins)@Danstan Ojoo (Sololo)@Dennis Orina (Ruwala)@Salathial Maake (Dahwi)@Peter Khubeke (Mimo)@||||||||||||@@
Groundhog Day|Harold Ramis|Comédie||3|américain|1993|96|Anglais||DIV3|||DIV3|870 Kbps|640x360|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Trevor Albert Harold Ramis|Danny Rubin Harold Ramis|John Bailey||Columbia TriStar Films||Phil Connors, journaliste à la télévision et responsable de la météo part faire son reportage annuel dans la bourgade de Punxsutawney où l'on fête le "Groundhog Day" : "Jour de la marmotte". Dans l'impossibilité de rentrer chez lui ensuite à Pittsburgh pour cause d'intempéries il se voit forcé de passer une nuit de plus dans cette ville perdue. Réveillé très tôt le lendemain il constate que tout se produit exactement comme la veille et réalise qu'il est condamné à revivre indéfiniment la même journée, celle du 2 février... |Bill Murray (Phil Connors )@Andie MacDowell (Rita)@Stephen Tobolowsky (Ned Ryerson )@Brian Doyle-Murray (Buster)@Chris Elliott (Larry)@Marita Geraghty (Nancy)@Rick Ducommun (Gus)@Harold Ramis (le neurologiste)@Angela Paton (Mme. Lancaster)@Rick Overton (Ralph)@||Secrets de tournage :
Bill et les marmottes
Le titre original du film est: "Le jour de la marmotte". Et les marmottes, Bill Murray n'est pas prêt de les oublier. En effet, l'acteur aura été mordu deux fois par ces charmantes petites bêtes durant le tournage!
Histoires de fantômes
Dans une des scènes, Phil Connors se jette du haut d'un immeuble. En réalité, c'est le toit de l'Opéra de Woodstock dans l'Illinois. La légende locale veut que le lieu soit hanté par le fantôme d'une jeune fille qui s'est suicidé en se jettant du haut de l'édifice.
Le festival de "Groundhog" et le lieu de tournage
Le "Groundhog day festival" existe réellement, de même qu'un "Groundhog club", cependant pour les besoins du film le tournage n'a pas eu lieu à Punxsutawney mais à Woodstock dans l'Illinois.
Tournage en famille
Le tournage du film s'est fait en famille puisque Brian Doyle-Murray, qui incarne le rôle Buster, est le frère ainé de Bill Murray.
Harold Ramis abandonne la règle n° 3
Rule number three ne viendra pas enrichir la filmographie de Harold Ramis, à la fois scénariste, réalisateur, acteur et producteur de comédies. Avec des films comme Un jour sans fin, Mes doubles, ma femme et moi et Mafia blues, il s'est imposé comme une valeur sûre du box office. Raison pour laquelle le studio Fox 2000 lui avait confié la réalisation de la comédie d'action Rule number three.
Harold Ramis explique qu'il a abandonné le projet en raison de divergences avec le studio, sur le plan créatif. La Fox donne une autre version. Selon elle, la rupture viendrait d'un désaccord sur les dates de tournages. Le réalisateur estimant que les premières prises de vues ne devaient pas se faire trop tôt. Cependant, pas de quoi polémiquer puisque actuellement Harold Ramis est à la recherche d'un autre projet que produirait la Fox.
Malgré ce contretemps, le studio compte toujours lancer le tournage de Rule number three le plus rapidement possible. Mais on ignore encore quel réalisateur est pressenti pour remplacer Harold Ramis. Ecrit par Robert Kuhn, le scénariste de Mickey les yeux bleus, le film raconte l'histoire d'un milliardaire arrogant qui maltraite un homme qu'il considère comme un citoyen ordinaire. Or, cet homme se révèle être un tueur à gage qui décide de se venger et de donner une petite leçon d'humilité à son riche tortionnaire. Le nom de Sean Connery a un moment été annoncé pour interpréter le rôle principal, mais depuis aucune information concernant le casting n'a filtré. Affaire à suivre...
S.B.
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Un Long dimanche de fiançailles|Jean-Pierre Jeunet|Drame||3|américain|2004|128|Français||DX50|||DX50|655 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Francis Boespflug|Guillaume Laurant Jean-Pierre Jeunet|Bruno Delbonnel||Warner Bros. France||En 1919, Mathilde a 19 ans. Deux ans plus tôt, son fiancé Manech est parti sur le front de la Somme. Comme des millions d'autres, il est "mort au champ d'honneur". C'est écrit noir sur blanc sur l'avis officiel. Pourtant, Mathilde refuse d'admettre cette évidence. Si Manech était mort, elle le saurait !Elle se raccroche à son intuition comme au dernier fil ténu qui la relierait encore à son amant. Un ancien sergent a beau lui raconter que Manech est mort sur le no man's land d'une tranchée nommée Bingo Crépuscule, en compagnie de quatre autres condamnés à mort pour mutilation volontaire ; rien n'y fait. Mathilde refuse de lâcher le fil. Elle s'y cramponne avec la foi du charbonnier et se lance dans une véritable contre-enquête.De faux espoirs en incertitudes, elle va démêler peu à peu la vérité sur le sort de Manech et de ses quatre camarades. |Audrey Tautou (Mathilde)@Gaspard Ulliel (Manech)@Dominique Pinon (Sylvain)@Clovis Cornillac (Benoît Notre Dame)@Jérôme Kircher (Bastoche)@Chantal Neuwirth (Bénédicte)@Denis Lavant (Six Sous)@Jean-Pierre Becker (Esperanza)@Marion Cotillard (Tina Lombardi)@Dominique Bettenfeld (Ange Bassignano)@Jean-Pierre Darroussin (Caporal Gordes dit Biscotte)@Albert Dupontel (Célestin Poux)@André Dussollier (Pierre-Marie Rouvières)@Jean-Paul Rouve (Le facteur)@Jean-Claude Dreyfus (Commandant Lavrouye)@Tchéky Karyo (Capitaine Favourier)@Julie Depardieu (Véronique Passavant)@Michel Vuillermoz (P'tit Louis)@Ticky Holgado (Germain Pire)@Jodie Foster (Elodie Gordes)@Bouli Lanners (caporal Chardolot)@Thierry Gibault (lieutenant Estrangin)@Philippe Duquesne (Favart)@Elina Löwensohn (la soeur de Günther)@Rufus (Un breton)@François Levantal (Thouvenel)@Florence Thomassin (la narratrice (voix))@Christian Pereira (L'employé des archives)@Solène Le Pechon (Mathilde (enfant))@Virgil Leclaire (Manech (enfant))@Myriam Roustan (La prostituée du café)@Xavier Maly (L'ami de Chardolot)@Arnaud Klein (Un soldat)@Arnaud Marciszewer (Baptistin enfant)@Urbain Cancelier (Prêtre)@Maud Rayer (Mme Desrochelles)@Michel Robin@Stéphane Butet (Philippot)@Patrick Paroux@Sandrine Rigault (Mariette Notre-Dame)@Rodolphe Pauly (Jean Desrochelles)@Anaïs Durand (Hélène Pire)@Frédérique Bel (une prostituée)@||Secrets de tournage :
Tautou - Jeunet...deuxième !
Après le phénoménal carton du Fabuleux destin d'Amélie Poulain en 2001, Un long dimanche de fiançailles marque les retrouvailles attendues du réalisateur Jean-Pierre Jeunet et de sa " fabuleuse " actrice Audrey Tautou.
Famille d'acteurs
Un long dimanche de fiançailles est l'occasion pour Jean-Pierre Jeunet de retrouver sa bande d'acteurs fétiches. De Dominique Pinon à Jean-Claude Dreyfus en passant par Rufus. Les comédiens, tous des habitués du cinéma de Jeunet depuis Delicatessen, ont accepté de rejoindre l'impressionnant casting de cette fresque historique.
La sacre de Clovis
Véritable révélation de l'année, le comédien Clovis Cornillac s'est illustré dans pas moins de cinq films en 2004. Acteur caméléon, il est par exemple un agriculteur sensible dans Vert paradis, un ouvrier adultère dans La Femme de Gilles, un improbable footballeur fan de Beaudelaire dans Mensonges et trahisons et plus si affinités... et un soldat de la guerre 14-18 dans Un long dimanche de fiançailles. En 2005, on le verra dans Les Chevaliers du ciel, l'adaption évenement de la BD des aventures de Tanguy et Laverdure.
Les fiançailles du cinéma et de la littérature
Récompensé du prix interallié, Un long dimanche de fiançailles n'est pas le premier roman Sébastien Japrisot à être adapté au cinéma. Compartiment tueurs signé Costa-Gavras et L'Eté meurtrier de Jean Becker avaient été porté à l'écran avec succès. Scénariste du Passager de la pluie avec Charles Bronson, ou encore d'Effroyables jardins et des Enfants du marais, Sébastien Japrisot est également réalisateur. Il réalise d'abord deux courts métrages en 1961 (L'Idée fixe et
La Machine à parler d'amour ) avant de mettre en scène son premier long-métrage Les Mal-partis en 1975 puis Juillet en Septembre en 1988.
Faites entrer l'"accusée"...
Jodie Foster, détentrice de deux Oscars pour ses prestations dans Les Accusés et Le Silence des agneaux fait partie de la prestigieuse distribution du film. C'est la troisième fois que la comédienne parfaitement francophone tourne dans l'hexagone. En 1976, Claude Chabrol l'a dirigeait dans Le Sang des autres, et en 1977, dans Moi, fleur bleue de Eric Le Hung elle donnait la réplique à Jean Yanne.
La voix du succès...
Après sa prestation très remarquée comme narrateur du Fabuleux destin d'Amélie Poulain en 2001, André Dussollier, acteur au jeu subtil et au physique élégant retrouve son complice Jean-Pierre Jeunet pour Un long dimanche de fiançailles.
Pied au plancher...
Carrière à cent à l'heure pour Marion Cotillard ! Révélée au grand public dans le rôle de la petite amie compréhensive de Samy Naceri dans la saga vrombissante Taxi, véritable carton au box-office; la comédienne tourne dans deux des films évènement de 2004. Après avoir été la fiancée de Billy Crudup dans Big fish, la fable de Tim Burton, elle incarne dans Un long dimanche de fiançailles, la séduisante Tina Lombardi.
La musique
Clef de voûte du film, un soin particulier a été apporté à la musique. C'est Angelo Badalamenti, le compositeur attitré de David Lynch qui signe la B.O du film de Jean-Pierre Jeunet avec qui, il avait déjà collaboré sur La Cité des enfants perdus en 1994.
Paris ressuscité !
Des lieux emblématiques de la capitale ont été transformé ou recréé pour les besoins du film. La place de l'Opéra , le Palais du Trocadéro tel qu'il était pour l'exposition universelle, les Halles quand elles étaient encore le ventre de Paris, La gare du Nord, la gare d'Orsay quand elle était encore une gare. Tout ses lieux ont connu une seconde naissance grâce aux procédés numériques.
Le Paris des années 20
Pour recréer le Paris des années 1910-1920, Jean-Pierre Jeunet a eu recours aux procédés numériques les plus perfectionnés. De nombreuses scènes ont du être tourné devant des écrans bleus. Jeunet s'est entouré de techniciens de l'agence Duboi, spécialisés dans les effets spéciaux, et de véritables géomètres qui étaient présent sur le plateau afin de simplifier le rajout dans la même image de différents plans au moment de la post-production.
« Préc.
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Easy Virtue|Stephan Elliott|Romance||2|britannique|2009|96|Anglais||XviD|||XVID|867 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|692||||23.976|06/08/2009 00:00:00|Joseph Abrams Barnaby Thompson|Stephan Elliott Sheridan Jobbins|Martin Kenzie||Sony Pictures Classics||Les années 20 avaient rugi... les années 30 devaient swinguer !John Whittaker, jeune Anglais de bonne famille, tombe fou amoureux de Larita, superbe aventurière américaine. Il l'épouse sur le champ et la ramène dans le manoir de ses parents. Si Mr Whittaker n'est pas insensible au charme de sa belle-fille, l'allergie est instantanée chez Mrs Whittaker. La guerre des piques commence. Larita comprend vite qu'elle doit riposter si elle ne veut pas perdre John. Les étincelles fusent... jusqu'au jour où le passé secret de Larita est révélé à tous. Elle décide alors de frapper un dernier grand coup. |Jessica Biel (Larita Huntington)@Ben Barnes (John Whittaker)@Kristin Scott Thomas (Veronica Whittaker)@Colin Firth (Jim Whittaker)@Kimberley Nixon (Hilda Whittaker)@Katherine Parkinson (Marion Whittaker)@Kris Marshall (Furber)@Christian Brassington (Phillip Hurst)@Charlotte Riley (Sarah Hurst)@Jim McManus (Jackson)@Pip Torrens (Lord Hurst)@Georgie Glen (Mrs. Landrigin)@Laurence Richardson (Marcus)@||Secrets de tournage :
Adaptation d'une pièce très ancienne
Un Mariage de rêve est une adaptation de la pièce "Easy vertue" de Noel Coward. Il a écrit la pièce en 1924, alors qu'il n'avait que 23 ans.
Une version muette
En 1928, Alfred Hitchcock réalisa une version cinéma muette de la pièce de Noel Coward "Easy vertue".
Le retour de Stephan Elliot
En 2004, Stephan Elliott a eu un accident grave de ski, le privant d'une vie normale durant une période de trois ans. Bien avant son accident, le réalisateur de Priscilla, folle du désert, avait décidé de prendre du recul par rapport au monde du cinéma, "l'accident m'a donné le recul nécessaire et je réfléchissais à des idées quand Barnaby m'a parlé de la pièce de Cowrad". Le producteur Barnaby Thompson raconte que "Stephan est un cinéaste expérimenté, mais il n'avait pas tourné depuis quelque temps et il a apporté en quelque sorte l'enthousiasme des débutants".
Trois en un !
Un Mariage de rêve a été tourné dans trois propriétés du Royaume-Unis qui reflètent la classe moyenne supérieure de l'époque. Un défi pour l'équipe de décoration, qui devait faire croire que toutes les scènes étaient jouées dans la même maison.
Une Américaine parmi les Britanniques
Avec Un Mariage de rêve, Jessica Biel a tourné son premier film anglais. Comme son personnage, Larita, elle s'est retrouvée au milieu d'un monde totalement obscur pour elle, celui des traditions britanniques. En effet, l'actrice Américaine, est arrivée sur un décor avec Colin Firth, Kristin Scott Thomas, et toute une équipe 100% britannique. Stephan Elliott raconte que "Jessica avait en commun avec le personnage, de ne pas être du tout dans son élèment". "Je crois avoir compris Larita et je suis devenue cette femme fougueuse" ajoute l'actrice.
La transformation de Kristin Scott Thomas !
Kristin Scott Thomas a hésité à accepter le rôle de Mrs Whittaker. Selon elle, il s'agissait d'un rôle qu'elle pensait avoir déjà un peu joué. Mais le réalisateur Stephan Elliott l'a convaincu du contraire. Pour son rôle, il l'a enlaidit. "Kristin est belle et sortait de sa caravane avec sa perruque grise, des vêtements affreux et elle était métamorphosée. Elle a eu du mal la première semaine. Et puis un jour, elle s'est détendue et elle a commencé à s'amuser de tout ça" se souvient le cinéaste.
Quand les acteurs poussent la chansonnette !
Stephan Elliott a demandé aux acteurs Ben Barnes et Jessica Biel de chanter dans le film Un Mariage de rêve. Concernant Ben Barnes, le réalisateur raconte que l'acteur "avait (presque) représenté le Royaume Uni à l'Eurovision avec un boys band nommé Hyrise - tout est encore sur Youtube". Quant à Jessica Biel, d'après le cinéaste, elle a toujours souhaité chanter, elle n'en avait jamais eu l'occasion, elle a tout de suite accepté.
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The Wedding Planner|Adam Shankman|Romance||2|britannique, allemand, américain|2001|95|Anglais||DivX|||DIVX|861 Kbps|720x432|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|684||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Peter Abrams Robert L. Levy Deborah Del Prete Jennifer Gibgot Gigi Pritzker|Pamela Falks Michael Ellis|Julio Macat||Paramount Pictures||Célibataire, Mary organise les cérémonies de mariage des autres. Un jour, en traversant la rue, le talon d'une de ses chaussures reste coincé dans une grille d'égout, au moment où un camion-benne dévale à toute vitesse dans sa direction. Un homme séduisant la sauve in extremis d'une mort certaine. Ce dernier se nomme Peter et exerce la profession de médecin.Une fois rétablie, Mary est prise de court par Penny qui organise un rendez-vous avec Steve lors d'une soirée en plein air. Pour la première fois depuis des années, Mary se surprend à aimer la compagnie d'une personne de sexe opposé. Elle croit enfin avoir trouvé l'homme idéal.Le lendemain, Mary est engagée pour organiser les préparatifs d'un mariage en grande pompe pour Fran Donolly, une fille riche et capricieuse. Mais le futur époux s'avère être Peter... |Jennifer Lopez (Mary Fiore)@Matthew McConaughey (Steve Edison)@Bridgette Wilson (Fran Donolly)@Justin Chambers (Massimo)@Judy Greer (Penny)@Alex Rocco (Salvatore)@Joanna Gleason (Mrs Donolly)@Charles Kimbrough (Mr Donolly)@Kevin Pollak (Dr John Dojny)@Fred Willard (Basil St Mosely)@||||||||||||@@
Undisputed|Walter Hill|Drame||2|américain|2002|93|Anglais||DX50|||DX50|901 Kbps|720x480|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Walter Hill David Giler Brad Krevoy Andrew Sugerman|Walter Hill David Giler|Lloyd Ahern||Miramax Films||George Chambers, surnommé "Iceman", champion de boxe dans la catégorie poids lourds, est accusé d'un viol qu'il nie vigoureusement avoir commis. Il n'accepte pas le fait de ne pouvoir préserver son statut de champion invaincu, au moment même où sa carrière de boxeur professionnel est à son sommet.
Dans un pénitencier où il va bientôt être transféré, Monroe Hutchen, boxeur dans la catégorie mi-lourds, purge une peine de prison à vie pour un crime passionnel. Ce dernier se demande s'il serait capable de faire carrière dans cette discipline sportive et de rencontrer "Iceman" au cours d'un combat... |Ving Rhames (George Chambers , dit "Iceman")@Wesley Snipes (Monroe Hutchen)@Peter Falk (Emmanuel 'Mendy' Ripstein)@Jon Seda@Fisher Stevens (le manager de Monroe Hutchen)@Steve Heinze (Carlos Garza)@Michael Rooker (le garde)@Michael Bailey Smith (le skinhead)@Dayton Callie (Yank Lewis)@||Secrets de tournage :
Tournage dans un pénitencier
Situé dans le milieu carcéral, Un seul deviendra invincible a été tourné dans un véritable pénitencier, la High Desert State Prison, récemment construit près de Las Vegas. Pour éviter tout incident, tous les membres de l'équipe de tournage, figurants compris, ont été soumis à une enquête précise du FBI. En outre, tous les détenus de la prison étaient habillés de bleu alors que l'équipe de Walter Hill disposait de vêtements d'autres couleurs, ceci afin d'éviter toute confusion.
Un entraîneur comme conseiller
Pour s'assurer de la véracité des combats de boxe du film, Walter Hill a fait appel aux services d'Emmanuel Steward, véritable entraîneur de boxe qui a formé des champions tels que Lennox Lewis et Prince Naseem Hamed. Celui-ci n'a cependant pas eu trop à faire pour la préparation physique des deux interprètes principaux de Un seul deviendra invincible : Wesley Snipes pratique déjà le kickboxing et Ving Rhames s'était longtemps préparé pour incarner le boxeur Sonny Liston à l'écran.
Similitude avec "Le Bagarreur"
Situé dans le milieu de la boxe, Un seul deviendra invincible possède des similitudes avec Le Bagarreur, le premier long métrage de Walter Hill, réalisé en 1975. Une ressemblance revendiquée par le metteur en scène, qui insiste sur le thème du code de l'honneur, commun aux deux oeuvres.
Inspiré de l'affaire Tyson
De l'aveu même de son réalisateur Walter Hill, Un seul deviendra invincible est inspiré au départ par les multiples déboires du boxeur Mike Tyson, notamment accusé de viol, avec la justice américain. Un projet de long métrage sur le sujet ayant à cette époque circulé à Hollywood, le metteur en scène et son scénariste David Giler ont rapidement décidé de s'éloigner de l'affaire Tyson pour une histoire originale.
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Touch of Pink|Ian Iqbal Rashid|Comédie||2|américain|2004|90|Anglais||XviD|||XVID|943 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|131 Kbps|False|44.1 KHz|2|699||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Julia Sereny Jennifer Kawaja|Ian Iqbal Rashid|David Makin||Sony Pictures Classics||Alim, un homosexuel canadien vivant à Londres, voit sa vie bouleversée par l'arrivée de sa mère musulmane, une femme au caractère bien affirmé, attachée aux traditions de son pays. Sous l'influence de Gary Grant, personnage imaginaire qu'il s'est créé, il va essayer de se faire passer pour un parfait "hétéro". Ce qui va, bien sûr, provoquer une série de quiproquos et va ainsi sans le vouloir, précipiter son ami dans les bras d'un autre homme. |Jimi Mistry (Alim)@Kyle MacLachlan (Cary)@Suleka Mathew (Nuru)@Kristen Holden-Ried (Giles)@Brian George (Hassan)@Veena Sood (Dolly)@Raoul Bhajena (Khaled)@||Secrets de tournage :
Une histoire vivante
A l'origine, Un soupçon de rose est une nouvelle inspirée des rapports entre Rashid et sa mère et de leur passion commune pour les vieux films, notamment ceux interprétés par Cary Grant. Alors que la nouvelle devenait progressivement un scénario, l'histoire connaissait de nombreuses modifications.
La relation mère-fils restait toutefois au coeur du sujet. Ian Iqbal Rashid confie : "Ce film est une façon de me venger gentiment de tout ce que ma famille m'a fait subir ! Choisir de faire du cinéma allait tellement à l'encontre des rêves d'immigrants de ma famille..."
La genèse du projet
Les productrices de Sienna Films, Jennifer Kawaja et Julia Sereny, ont rencontré Ian Iqbal Rashid pour la première fois lors d'un déplacement à Londres, pour le financement de leur long métrage, New waterford girl. Un soupçon de rose a tout de suite plu à Kawaja et Sereny, parce qu'il traite en profondeur les thèmes abordés dans les deux derniers projets de leur société de production, New waterford girl et Marion Bridge. Julia Sereny précise : " Tous ces films racontent l'histoire de personnages un peu en marge de la réalité, obligés d'arrêter de se mentir à eux-mêmes et parfois aux autres. "
Ian Iqbal Rashid sous le charme de Kyle MacLachlan
Impressionné par " son physique extraordinaire qui rappelle les grandes vedettes masculines de l'époque des classiques ", Ian Iqbal Rashid pensa automatiquement à Kyle MacLachlan pour le rôle de Cary. Rashid connaissait Sex and the city et avait assisté à la représentation dans le West End de On an average day avec MacLachlan et Woody Harrelson à l'affiche.
Il confie : " Dès que je l'ai vu, j'ai su que j'avais sous les yeux mon Cary Grant, et plus rien d'autre n'a eu d'importance, à tel point que je ne me souviens plus vraiment de la pièce... Il avait la grâce, l'esprit et l'élégance classique de l'époque du personnage. Nous lui avons envoyé le scénario le lendemain, il a dit oui. "
Référence à Un soupçon de vison
Le titre français Un soupçon de rose renvoie à un classique avec Cary Grant et Doris Day, Un soupçon de vison.
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Un ticket pour l'espace|Eric Lartigau|Comédie||2|français|2006|87|Français||XviD|||XVID|990 Kbps|576x320|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|705||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Cyril Colbeau-Justin Jean-Baptiste Dupont|Olivier Baroux Kad Merad Julien Rappeneau|Régis Blondeau||Gaumont Columbia Tristar Films||Face à l'incompréhension de la population française quant au montant des crédits alloués à la recherche spatiale, le gouvernement lance une vaste opération de communication. En partenariat avec le Centre spatial français, un grand jeu est organisé."Le ticket pour l'espace", un jeu à gratter, va permettre à deux civils de séjourner dans la station orbitale européenne, en compagnie d'un équipage professionnel. L'opération est un immense succès. Tout se passe bien, jusqu'à ce que l'un des deux gagnants prenne la station en otage... |Kad Merad (Cardoux)@Olivier Baroux (Beaulieu)@Marina Foïs (Soizic)@Guillaume Canet (Yonis / Bernard Guérin)@André Dussollier (Werburger)@Pierre-François Martin-Laval (Poushy)@Frédéric Proust (professeur Rochette)@Thierry Frémont (le professeur de théâtre)@Vincent Moscato (le vigile)@Véronique Barrault (l'attachée de presse)@Frédérique Bel (Miss France)@Mathieu Bisson (technicien 3)@Eric Brats (le médecin)@Alexandre Caumartin (technicien 2)@Francois Clavier (le directeur de prison)@Emmanuelle Cosso (Valérie Mertens)@Cyrille Eldin (technicien 1)@Judith El Zein (collègue Soizic)@Martin Jobert (Hugo)@Jacques Lafolye (Charlemagne)@Jean-Pierre Lazzerini (Yves Bugier)@Frédéric Maranber (Hugo adulte)@Anne Marivin (spationaute femme)@Florence Muller (Isabelle Cardoux)@Eric Naggar (premier ministre)@Cendrine Orcier (technicien 4 (Lurcell))@Isabelle Charles Ossola (militaire pavillon)@Eric Perissé (spationaute homme)@Isabelle Petit-Jacques (Catherine Werburger)@Jean Rieffel (soldat 1)@Luc Sonzogni (présentateur JT)@Enrico Macias (voix d'Enrico Macias)@Patrick Baudry (lui-même)@||Secrets de tournage :
Kad & O font leur cinéma
Un ticket pour l'espace est le second long-métrage mettant en vedette le duo comique Kad & O, alias Kad Merad et Olivier Barroux, après Mais qui a tué Pamela Rose ? en 2003, pastiche de film policier adapté d'un de leurs sketches sur petit écran.
Le tourisme spatial comme point de départ
Kad explique que l'idée d'Un ticket pour l'espace est venue "du tourisme spatial, de ce qu'on entend souvent à propos des civils participant à des voyages dans l'espace avec des professionnels." Son acolyte Olivier enchaîne : "Je crois que c'est moi qui ai lancé l'idée suite aux sujets entendus sur ces mecs qui payent des voyages à 100 millions de dollars dans l'espace. La connexion avec un jeu ne s'est faite qu'après. Je pense surtout que nous avions très envie de faire un film de science-fiction. Tout simplement. Après, avec Julien Rappeneau et Kad, on a remué tout ça et ça a donné Un ticket pour l'espace."
Moins de parodie, plus de réalisme
Pour Kad, Un ticket pour l'espace, s'il reste une comédie délirante, est moins basé sur la parodie que ne l'était Mais qui a tué Pamela Rose ? : "Deux ou trois clins d'oeil, qui avaient presque un caractère obligatoire, peuvent peut-être faire penser que l'on parodie par moments un certain cinéma de science-fiction américain, mais ce n'est pas comme ça que nous avons envisagé les choses. Nous voulions raconter une histoire dont le cadre est une station orbitale. C'est un film franço-français, avec des héros français. Mais qui a tué Pamela Rose ? était une parodie de film américain, avec des personnages et un cadre américains. Là, nous sommes en France. Certes, c'est une fiction, mais cette histoire aurait très bien pu exister."
Une envie de fantastique
Olivier explique que lui et son compère Kad ont choisi le genre de la science-fiction car "il offre la matière pour écrire un vrai film d'aventure comique. Il peut se passer mille et une choses dans l'espace. On s'est aussi inspiré pour la trame du Voyage fantastique de Richard Fleischer, c'est-à-dire l'histoire d'un groupe de personnes partant dans un vaisseau, et au sein desquelles il y a un méchant. On pensait pouvoir tenir les spectateurs en haleine pendant une heure et demie en les faisant rire et en leur racontant une bonne histoire."
Kad & O + Lartigau + Rappenau
Un ticket pour l'espace marque la seconde collaboration du duo Kadet Olivier avec le réalisateur Eric Lartigau. C'est ce dernier qui les avait déjà dirigé en 2002 dans Mais qui a tué Pamela Rose ?. Un ticket pour l'espace permet également aux deux acolytes de retrouver leur compère d'écriture Julien Rappeneau, scénariste de 36 quai des orfèvres et déjà présent sur Mais qui a tué Pamela Rose ?.
1 - Casting comique
La distribution d'Un ticket pour l'espace donne la part belle à des comiques d'aujourd'hui issus du petit écran tels Kad & Olivier, bien sûr, mais aussi les Robins des Bois Marina Foïs et Pierre-François Martin Laval ainsi que Frédérique Bel, la présentatrice de La Minute blonde sur Canal +, dans le rôle de... Miss France !
2- Casting expérimenté
Le casting d'Un ticket pour l'espace bénéficie de la présence de valeurs sûres du grand écran comme Guillaume Canet, André Dussollier ou encore Thierry Frémont.
3- Casting... cocasse !
La distribution d'Un ticket pour l'espace possède à son actif quelques cocasseries : l'ancien rugbymen Vincent Moscato effectue une petite apparition, Enrico Macias prête sa voix au vaisseau du film et... un dindon géant est crédité au générique !
L'espace à... Bry-sur-Marne !
Un ticket pour l'espace dévoile des décors plus vrais que nature. Un univers spatial recréé à... Bry-sur-Marne, en Seine-et-Marne ! Kad revient sur ce lieu : "C'était quand même le studio de Bry-sur-Marne ! C'est un endroit moche comme tout. Mais une fois la porte du studio B poussée, on était dans l'espace. Le rêve débute là : passer du quotidien, même si on n'est pas les plus mal lotis, à un plateau somptueux."
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Underworld|Len Wiseman|Fantastique|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|2003|116|Anglais||XviD|||XVID|733 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|32.0 KHz|2|699||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Gary Lucchesi Richard S. Wright Tom Rosenberg|Danny R. McBride Kevin Grevioux Len Wiseman|Tony Pierce-Roberts||SND|Saga : Underworld |Selene est une guerrière vampire puissante. Dans la lutte qui oppose depuis des siècles son peuple à celui des Lycans, des loups-garous, elle est reconnue pour être l'une des tueuses les plus efficaces. Jusqu'au jour où elle tombe amoureuse de Michael Corvin, un humain qui se retrouve pris malgré lui dans l'affrontement des deux clans. Mordu par l'un des loups-garous, il devient rapidement l'un d'entre eux. Entre passion et devoir, Selene doit alors choisir son camp... |Kate Beckinsale (Selene)@Scott Speedman (Michael Corvin)@Bill Nighy (Viktor)@Michael Sheen (Lucian)@Shane Brolly (Kraven)@Erwin Leder (Singe)@Robbie Gee (Kahn)@Sophia Myles (Erika)@Kevin Grevioux (Raze)@Richard Cetrone (Pierce)@Danny R. McBride (Mason)@Scott McElroy (Soren)@Wentworth Miller (le docteur Adam Lockwood)@Mike Mukatis (Taylor)@Todd Schneider (Trix)@Zita Görög (Amelia)@Sandor Bolla (Rigel)@Hank Amos (Nathaniel)@Jazmin Damak (Sonja)@Attila Pinke (Wolfgang)@Judit Kuchta (Zsuzsa)@Vanessa Nagy (Timea)@Brian Steele (loup-garou)@Kurt Carley (loup-garou)@||Secrets de tournage :
Une histoire originale aux bases scientifiques
Pour le scénariste Danny McBride, "Underworld n'est pas tiré d'un comic-book ou d'un roman. Ce film est né d'une discussion entre fans du genre qui souhaitaient recréer un univers mêlant science et mythologie afin de présenter vampires et loups-garous sous un jour nouveau".
"On en avait marre de voir tout le temps les mêmes recettes", explique le producteur Kevin Grevioux. "On voulait voir quelque chose de différent. Nous voulions expliquer leurs origines à l'aide d'une analyse scientifique par opposition au mysticisme. J'ai donc imaginé un virus comme créateur de vampires et des loups-garous".
"Je pense que l'on peut justifier bien des choses grâce à une explication scientifique", ajoute le réalisateur Len Wiseman. "Si vous analysez ça comme une anomalie génétique transmise par le sang, vous pouvez trouver un moyen de déterminer les faiblesses des deux camps. Vous pouvez ainsi expliquer pourquoi l'argent réagit sur un certain type de sang. Nos vampires et nos loups-garous sont beaucoup plus ancrés dans la réalité".
Kate Beckinsale : réticente... puis fascinée
"Avant Underworld, il était difficile d'imaginer Kate Beckinsale courant partout avec des pistolets et des dents de vampires", explique le réalisateur Len Wiseman. "Au départ, elle ne voulait même pas lire le scénario sur la simple base que c'était un film de vampires. Mais son agent lui a tout de même envoyé le script avec mes dessins".
"Len avait fait des dessins fantastiques représentant Selene affrontant des Lycans. C'était frais, original et c'est ce qui m'a donné envie de lire le scénario", révèle Kate Beckinsale. "Ce n'est pas un comic-book où le personnage principal défie les lois de la pesanteur et saute partout. Elle est faite de chair et de sang et bien que très puissante, elle peut souffrir. C'est un personnage solitaire qui n'a qu'un seul objectif dans cette guerre : détruire tous les Lycans afin de venger le massacre de sa famille. Son appétit de vengeance est sa force, et toute sa vie tourne autour de ça. Sa croisade commence à perdre son sens lorsqu'elle rencontre Michael. C'est intéressant de jouer un personnage qui va être déstabilisé, qui devra changer sa vision des choses et sa façon d'être".
D'un vampire à l'autre
Interprète de la vampire Selene dans Underworld, Kate Beckinsale a immédiatement enchaîné avec le tournage de Van Helsing, dans lequel elle incarne une... chasseuse de goules aux côtés de Hugh Jackman.
Des créatures signées Patrick Tatopoulos
Designer renommé à Hollywood, le Français Patrick Tatopoulos a créé les monstres de Underworld. Auparavant, il avait notamment travaillé sur Pitch Black, Dark City, Supernova ou Le Peuple des ténèbres. Underworld marque sa quatrième collaboration avec le réalisateur Len Wiseman, qui avait travaillé à ses côtés sur les effets spéciaux de Stargate, la porte des étoiles, Independence Day et Godzilla.
"Len et moi avons convaincu Lakeshore d'aller dans cette direction en leur montrant des extraits d'Aliens le retour de James Cameron", explique le scénariste Danny McBride. "Nous leur avons ensuite projeté des extraits de films avec des créatures en images de synthèse... Nous voulions leur faire comprendre que dans certains cas les effets numériques fonctionnent très bien, mais que dès qu'il faut recréer certaines matières telles que la peau, les poils ou autre, le rendu laisse un peu à désirer, en particulier sur les gros plans. Nous voulions quelque chose de tangible, de réel, des types dans des combinaisons animatroniques incroyables avec des visages connectés à des dizaines de câbles pour contrôler chaque mouvement du corps. Les images de synthèse étaient utilisées pour les plans larges et les scènes d'action, les maquettes et autres prothèses pour tout le reste. Nous avons réussi à combiner les meilleurs atouts des deux techniques".
Développant des Lycans dotés de 25 axes de rotation, Patrick Tatopoulos est parvenu à créer une nouvelle espèce de loups-garous : "Voir l'un des ces loups-garous marcher dans une pièce avec toutes les animatroniques était vraiment impressionnant".
Un cascadeur-acteur
Interprète de Pierce dans Underworld, Richard Cetrone est le responsable des cascades sur le film. On avait pu le voir notamment dans Ghosts of Mars de John Carpenter, dans le rôle du leader des monstres martiens.
Un producteur-acteur
Scénariste et producteur associé de Underworld, Kevin Grevioux s'est offert un petit rôle dans le film, dans la peau de Raze.
Une société de production pour le film
Underworld est le tout premier projet de la société Underworld Productions, fondée spécialement pour soutenir le film.
Tournage européen
Suivant le mouvement initié par l'industrie hollywoodienne, Underworld a été entièrement tourné en Europe de l'est (à Budapest en Hongrie), à l'instar de Blade 2, La Ligue des gentlemen extraordinaires, Van Helsing ou encore Hellboy. "Une fois arrivé à Budapest, j'ai réalisé que c'était l'endroit idéal pour le film", explique le scénariste Danny McBride. Pour le chef décorateur Tony Pierce-Roberts , "l'histoire de la ville de Budapest est associée à l'existence ancestrale des vampires et des loups-garous. Il y a d'ailleurs une forte connexion entre cette ville remplie de légendes et le style gothique du film".
Le maquillage, une épreuve ?
Se transformant en Lycan durant le film, Scott Speedman témoigne : "Il leur fallait cinq heures pour mettre le maquillage et lors d'une scène vers la fin du film, cela a prit une heure et demie à sept personnes pour le retirer. Ils m'avaient préparé psychologiquement à l'attente et l'ennui, mais en fait, j'ai trouvé ça plutôt marrant de voir tous ces gens s'activer pour faire ces transformations incroyables sur mon corps".
Interprète du vampire Viktor, Bill Nighy a quant à lui une autre version de cette épreuve : "Je ne savais même pas ce que le mot prothèse voulait dire... Maintenant, j'en sais un peu plus : c'est extrêmement douloureux et désagréable. Mais on ne peut pas en vouloir à ces gars : ils sont vraiment gentils et incroyablement doués".
L'amour au rendez-vous
Le tournage de Underworld a eu (au moins) une conséquence heureuse : la rencontre de Kate Beckinsale et Len Wiseman. En couple depuis plus de huit ans, la comédienne a annoncé sa rupture avec son ancien compagnon l'acteur Michael Sheen en mars 2003, pour annoncer ses fiançailles avec le réalisateur.
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Underworld : evolution|Len Wiseman|Fantastique|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|2006|98|Anglais||XviD|||XVID|872 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|44.1 KHz|2|698||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Gary Lucchesi Tom Rosenberg Richard S. Wright David Coatsworth|Len Wiseman Danny R. McBride|Simon Duggan||SND|Saga : Underworld |La lutte millénaire que se livrent Vampires et Lycans est sur le point de connaître un tournant décisif...Pour avoir découvert le secret du massacre de sa famille, Sélène, la redoutable guerrière vampire, est plus que jamais seule et menacée. Ses véritables ennemis ne sont pas forcément ceux qu'elle croyait. Michael, devenu le premier hybride à la fois vampire et lycan, aimerait se joindre à elle, mais il est incapable de contrôler la part lycan qui fait rage en lui.Pour chacun d'eux, il est temps de percer le mystère de leurs origines et de la guerre, mais dans cette quête de vérité, ils devront affronter les plus puissants des adversaires, les plus proches aussi...Plus que jamais, au plus profond des ténèbres, loin du regard des hommes, se joue le sort du monde... |Kate Beckinsale (Sélène)@Scott Speedman (Michael)@Tony Curran (Marcus)@Derek Jacobi (Alexander Corvinus)@Bill Nighy (Viktor)@Steven Mackintosh (Tanis)@Shane Brolly (Kraven)@Brian Steele (William)@Zita Görög (Amelia)@Scott McElroy (Soren)@John Mann (Samuel)@Michael Sheen (Lucian)@Sophia Myles (Erika)@Richard Cetrone (Pierce)@Mike Mukatis (Taylor)@Andrew Kavadas (Le père de Sélène)@Kayla Levins (La soeur de Sélène)@Adrian Hough (Pilote)@Christine Danielle (Vampire Tanis n°1)@Kaja Gjesdal (Vampire Tanis n°2)@Attila Lovaghy (Policier taverne n°1)@Alexander Grant (Policier taverne n°2)@Monica Hamburg (La présentatrice)@Lily Mo Sheen (Sélène jeune)@||Secrets de tournage :
"Underworld", la suite
Underworld : evolution fait suite à Underworld, sorti en 2003. Déjà réalisé par Len Wiseman, le premier épisode avait engrangé plus de 90 millions de dollars de recettes à travers le monde pour un budget estimé à 22 millions environ. Pour ce nouvel opus, le film bénéficie d'un budget plus conséquent estimé à 50 millions de billets verts.
"Underworld Revolution" ...?
Underworld et Underworld : evolution amorcent une trilogie. Les producteurs ont décidé de mettre en route cette saga d'action et de fantastique grâce au succès du premier épisode, qui a rapporté 51 970 690 de dollars au box-office américain. A la sortie d'Underworld : evolution ni le scénario ni le casting du troisième épisode n'étaient encore définis.
Changements de décors
Une nouvelle direction visuelle a été adoptée dans Underworld : evolution, par rapport au premier film : "Ce film est plus coloré et se déroule dans des environnements différents, explique le réalisateur Len Wiseman. Underworld était très urbain, un peu renfermé sur lui-même ; ce film s'ouvre d'avantage. Il y a des poursuites, du mouvement, de l'espace, des montagnes. Il était hors de question de refaire le même film." Afin d'appuyer cette évolution visuelle, les producteurs ont décidé de tourner le film à Vancouver, au lieu de Budapest, bénéficiant ainsi des forêts et des grands espaces canadiens.
Une analyse scientifique du mythe
Créateur de l'univers d'Underworld, le réalisateur Len Wiseman revient sur son approche du mythe : "Nous voulions expliquer les origines des Vampires et des Lycans à l'aide d'une analyse scientifique, par opposition au pur mysticisme. Je ne suis pas fan des vampires devant lesquels il suffit de brandir un crucifix pour les faire fuir. A mon sens, ce sont des vampires "imaginaires", alors que les nôtres sont des vampires qui font appel à des thèses scientifiques. Leur existence découle d'une maladie rare, d'une anomalie génétique transmise par le sang. Ce ne sont pas des créatures uniquement fantastiques. Je voulais quelque chose de différent."
Coup de chance
La scène du village médiéval, en début de film, nécessitait des décors enneigés. Le tournage se déroulant dans les montagnes au-dessus de Vancouver, ce facteur ne devait pas poser de problème. La région connu toutefois un hiver exceptionnellement sec, risquant de compromettre le tournage de la scène... Le producteur David Coatsworth raconte : "La fausse neige est l'une des choses qui coûtent le plus cher. Pendant toute la construction du village, il n'y avait quasiment pas de neige, nous nous préparions au pire... mais trois jours avant la date, il a commencé à neiger, et ça n'a pas cessé pendant 72 heures ! Nous avions plus de neige que nous ne pouvions l'espérer ! Et 24 heures après que nous avions terminé, le Pineapple Express a soufflé, venu de Hawaii, et a tout fait fondre. Nous avons eu une chance extraordinaire : un hiver parfait pendant dix jours !"
French touch
Après son travail en tant que directeur des effets spéciaux et designer des créatures sur Underworld, le Français Patrick Tatopoulos est à nouveau chargé des effets spéciaux d'Underworld : evolution. Charmés par son approche visuelle de l'univers créé par Len Wiseman, les producteurs l'ont aussi choisi pour s'occuper des décors de ce deuxième opus. Le Frenchie avait déjà travaillé sur des productions comme Independence Day de Roland Emmerich en 1995 ou I, Robot d'Alex Proyas en 2003.
Maquillage marathon
Avant de tourner leurs scènes, les " hybrides " Scott Speedman (Michael) et Tony Curran (Marcus) devaient endurer plus de 4 heures de maquillage. Le démaquillage prenait, quant à lui, deux heures.
Un vampire papillon
Afin de créer les ailes rétractiles de l'hybride Marcus, Patrick Tatopoulos avoue s'être inspiré d'un papillon émergeant de son cocon : "Le sang circule dans les ailes, qui se gonlent littéralement petit à petit." Dans le film, les ailes de la créature mesurent entre 2m et 2,50m.
Vous avez dit "vampire" ?
Tony Curran, qui interprète Priest, un des membres du "Bloodpack" dans Blade 2, endosse ici pour la seconde fois le costume d'un vampire dans Underworld : evolution. Il y interprète Marcus, un puissant immortel.
Références mixtes
Afin de préparer le rôle de la vampire Sélène, Kate Beckinsale s'est inspirée de Sigourney Weaver dans Aliens et de Linda Hamilton dans Terminator 2 : le jugement dernier. Loin de leur personnage de femme forte, le réalisateur Len Wiseman lui aurait aussi conseillé de prendre exemple sur le personnage de... Russell Crowe dans L.A. Confidential.
« Préc.
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Suburban Girl|Marc Klein|Comédie dramatique||2|américain|2007|92|Anglais||XviD|||XVID|880 Kbps|624x352|MPEG-1 Audio layer 3|165 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Darryl Taja Gigi Pritzker Deborah Del Prete|Marc Klein|Steven Fierberg||||Jane, jeune juive new-yorkaise, travaille pour une maison d'édition. Vaniteuse, elle considère son succès en fonction des hommes qu'elle séduit. Mais, la rencontre d'un homme plus âgé et plus sophistiqué va bousculer ses principes. |Sarah Michelle Gellar (Brett Eisenberg)@Alec Baldwin (Archie Knox)@Maggie Grace (Chloe)@James Naughton (Robert Eisenberg)@Chris Carmack (Jed)@Vanessa Branch (Faye Faulkner)@Peter Scolari (Mickey Lamm)@Marian Seldes (Margaret Paddleford)@Ebon Moss-Bachrach (Ethan Eisenberg)@Jill Eikenberry (Marlene Eisenberg)@Marin Ireland (Katie)@Nathan Corddry (Jason)@Amad Jackson (Seaver)@Jason Antoon (Dean)@Stephanie Berry (l'infirmière)@Audra Blaser (Petal)@Vincent De Paul (le copagnon de Mme. Paddleford)@Vince Giantomasi (Jack)@Lanette Ware (Nikki)@||||||||||||@@
From Dusk till Dawn|Robert Rodriguez|Fantastique|Interdit aux moins de 16 ans|3|américain|1996|103|Anglais||XviD|||XVID|818 Kbps|560x320|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|44.1 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Gianni Nunnari Meir Teper|Robert Kurtzman Quentin Tarantino|Guillermo Navarro||Gaumont Buena Vista International (GBVI)||Deux criminels prennent une famille en otage près de la frontière mexicaine, après une cavale particulièrement sanglante durant laquelle ils ont tué un policier et kidnappé l'employée d'un magasin. Ils se rendent tous ensemble dans un bar pour routier au-delà de la frontière mexicaine, appelé le "Titty Twister", établissement qui leur réserve pas mal de surprises une fois la nuit tombée... |George Clooney (Seth Gecko)@Quentin Tarantino (Richard Gecko)@Harvey Keitel (Jacob Fuller)@Juliette Lewis (Kate fuller)@Ernest Liu (Scott Fuller)@Salma Hayek (Santanico Pandemonium)@Cheech Marin (le garde frontière / Chet Pussy / Carlos)@Danny Trejo (Razor Charlie)@Tom Savini (Sex Machine)@Fred Williamson (Frost)@Michael Parks (le 'Texas Ranger' Earl McGraw)@John Saxon (l'agent du F.B.I. Stanley Chase)@Kelly Preston (Kelly Houge, la présentatrice)@Marc Lawrence (le vielliard gérant du motel)@Brenda Hillhouse (Gloria Hill, l'otage)@John Hawkes (Pete Bottoms, commis du magasin)@Tito Larriva (guitariste et chanteur du Titty Twister)@Peter Atanasoff (saxophoniste du Titty Twister)@Johnny Hernandez (batteur du Titty Twister)@Aimee Graham (otage blonde)@Heidi McNeal (otage rousse)@Ernest M. Garcia (Big Emilio)@Gregory Nicotero (le copain de Sex Machine)@Cristos (Danny)@Mike Moroff (Manny)@Lawrence Bender (un homme dans le restaurant)@Tia Texada (Une danseuse du Titty Twister)@Lawrence Bender (un client dans le bar (non crédité))@Gregory Nicotero (buddy)@Gregory Nicotero (buddy)@Jake McKinnon (Un monstre)@Veena Bidasha (Une danseuse du Titty Twister)@Walter Phelan (Un monstre)@Janie Liszewski (Une danseuse du Titty Twister)@Neena Bidasha (Une danseuse du Titty Twister)@Ungela Brockman (Une danseuse du Titty Twister)@||||||||||||@@
From Dusk Till Dawn 2 : Texas Blood Money|Scott Spiegel|Fantastique||1|américain|1999|84|Anglais||XviD|||XVID|846 Kbps|720x400|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|578||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Gianni Nunnari Meir Teper Michael S. Murphey|Boaz Yakin Scott Spiegel Duane Whitaker|Philip Lee||||Un gang de braqueurs se reforme après plusieurs années d'activité. Leur but : braquer la banque de la frontière sud des Etats-Unis. Mais des vampires assoiffés de sang et d'argent vont contrarier leurs plans... |Robert Patrick (Buck)@Bo Hopkins (le Shérif Lawson)@Duane Whitaker (Luther)@Muse Watson (C.W.)@Brett Harrelson (Ray Bob)@Tiffani Thiessen (Pam)@Bruce Campbell (Barry)@Danny Trejo (Razor Charlie)@James Parks (Edgar McGraw)@Raymond Cruz (Jesus)@||||||||||||@@
From dusk till dawn 3 : the hangman's daughter|P.J. Pesce|Action||2|américain|2000|90|Anglais||DIV3|||DIV3|899 Kbps|640x480|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|667||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Michael S. Murphey Gianni Nunnari Meir Teper||Michael Bonvillain||||Un dangereux hors-la-loi parvient à échapper à la pendaison en kidnapant la fille de son bourreau. Après avoir rejoint sa bande, il se réfugie dans un gigantesque complexe tenu par une horde de vampires assoiffés de sang... |Marco Leonardi (Johnny Madrid)@Michael Parks (Ambrose Bierce)@Temuera Morrison (le bourreau)@Rebecca Gayheart (Mary Newlie)@Ara Celi (Esmeralda)@Danny Trejo (Razor Charlie)@Sonia Braga (Quixtla)@Orlando Jones (Ezra Taylor)@Lennie Loftin (John Newlie)@P.J. Pesce (Un homme dans le bar (non crédité))@||||||||||||@@
Universal Soldier|Roland Emmerich|Science fiction|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|1992|99|Anglais||DX50|||DX50|834 Kbps|720x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|692||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Craig Baumgarten Joel B. Michaels Allen Shapiro|Richard Rothstein Dean Devlin Christopher Leitch|Karl Walter Lindenlaub||Columbia TriStar Films||Les Uni-Sol sont un commando d'élite utilisé lors des situations extrêmes. Ils sont quasiment invincibles et font preuves de compétences physiques surhumaines.La journaliste Veronica s'intéresse de près à ses guerriers après que ces derniers aient participé à une impressionnante opération militaire. Elle découvre alors que les Uni-Sol sont en fait d'anciens soldats décédés et dont les corps sont ré-animés. Considérée comme une menace pour le projet, Veronica est traqué par une bande d'Uni-Sol dont l'un d'entre eux, Luc Devreux, décide de prendre sa défense. Contrairement à ses compagnons d'arme, il semble avoir une conscience et des réminiscences de celui qu'il était.Le couple est immédiatement traqué par une escouade d'Uni-Sol avec à leur tête Andrew Scott, un sergent sadique abattu par Devreux durant la Guerre du Vietnam et depuis ressuscité... |Jean-Claude Van Damme (Luc Devreux)@Dolph Lundgren (Andrew Scott)@Ally Walker (Veronica)@Ed O'Ross (Colonel Perry)@Jerry Orbach (Docteur Gregor)@Leon Rippy (Woodward)@Wells Tico (Garth)@Ralph Moeller (GR76)@Robert Trebor (Tenancier du motel)@Gene Davis (Lieutenant)@Drew Snyder (Charles)@Tommy 'Tiny' Lister (GR55)@Simon Rhee (GR61)@Eric Norris (GR86)@Joseph Malone (Huey)@Rance Howard (Mr. Devreux)@Lilyan Chauvin (Mrs. Devreux)@||||||||||||@@
Universal Soldier : the Return|Mic Rodgers|Fantastique|Interdit aux moins de 12 ans|1|américain|1999|79|Anglais||XviD|||XVID|1 100 Kbps|720x416|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|44.1 KHz|2|696||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Jean-Claude Van Damme|Richard Rothstein Christopher Leitch|||Columbia TriStar Films||Ancien soldat d'élite, Luc travaille aujourd'hui comme expert technique sur la mise au point d'une nouvelle génération de soldats surhumains. S.E.T.H., un ordinateur surpuissant, veille au bon déroulement des recherches. Cependant, un ordre gouvernemental vient interrompre le projet. Les chercheurs se résignent, S.E.T.H. lui se révolte! |Jean-Claude Van Damme@Michael Jai White@Heidi Shanz@Bill Goldberg@||Secrets de tournage :
Heidi Schanz ("Erin")
Elle a fait ses débuts au cinéma dans Seven. Elle avait auparavant tenu un petit rôle dans Programmé pour tuer de Brett Leonard, avec Denzel Washington.
On a pu la voir dans Le Collectionneur de Gary Fleder, avec Ashley Judd et Morgan Freeman, et The Truman Show, de Peter Weir, où elle était Vivien, chargée de persuader Truman Burbank de rester à Seahaven.
Daniel von Bargen ("Général Radford")
Il a tenu un rôle régulier dans les séries "Seinfeld" et "NYPD Blue", et il a joué dans "X-Files" et "Law and Order".
Au cinéma, on l'a vu pour la première fois dans Le Silence des Agneaux de Jonathan Demme. Il a tourné dans Amistad de Steven Spielberg, A Armes Egales de Ridley Scott, Broken Arrow de John Woo, Postman de Kevin Costner, Soleil Levant de Philipp Kaufman, Before and After de Barbet Schroeder, The Faculty de Robert Rodriguez.
Avant de s'orienter vers le cinéma, il a joué au théâtre, notamment sous la direction de David Mamet.
Kiana Tom ("Maggie")
Kiana Tom est l'animatrice de l'émission de fitness "Kiana's Flex Appeal".
Diplômée de l'UCLA, elle est depuis quelques années une spécialiste reconnue du fitness dans différentes disciplines. Son émission est l'une des plus regardées du genre sur le réseau câblé aux Etats-Unis. Kiana Tom travaille en étroite collaboration avec la "Penn State University", l'un des organismes faisant autorité en matière de médecine du sport et de recherche nutritionnelle.
Elle est en outre l'auteur d'un livre, "Kiana's Body Sculpting". Elle a été décorée par le "prix Eisenhower" de l'"United States Sports Academy" pour sa contribution à l'industrie du fitness - ce prix était allé auparavant à Jane Fonda et Arnold Schwarzenegger.
Au cinéma, outre le 2ème volet de Universal Soldier, elle a tournée dans Cyber Banditsde Erik Fleming (1995).
Michael Jai White ("S.e.t.h.")
Michael Jai White retrouve à nouveau Jean-Claude Van Damme après avoir été son partenaire dans le premier volet des aventures d'Universal Soldier.
Michael Jai White a joué dans Cadillac Man et True Identity. Il a tenu un double rôle dans Spawn, adapté de la BD de Todd MacFarlane, et le rôle principal du film satirique Ringmaster. On a pu le voir dans City OF Crime de John Irvin, Two Days In The Valley, Ring Of Fire. Il a depuis joué avec Morgan Freeman dans Mutiny d'après l'histoire vraie de la mutinerie de Port Chicago en 1944, et dans Thick AS Thieves avec Alec Baldwin et Andre Braugher, présenté au Festival du Film de Sundance cette année.
Pratiquant les arts martiaux depuis l'âge de 8 ans, Michael Jai White est ceinture noire dans six disciplines dont le "Tang Soo Do" et le "Wushu Kung-Fu", et tenant de 26 titres dont l'"U.S. Open", le "North American Open" et le "New England Grand Champion".
Un autre modèle... Mel Gibson
Mic Rodgers considère Mel Gibson comme un modèle dans son désir de devenir réalisateur.
Il a fait équipe avec Mel Gibson sur Braveheart, pour qui il a filmé les deux séquences de combat. Il a également été sur ce film coordinateur des cascades et doublure de Mel Gibson.
Récemment, Mic Rodgers a été le coordinateur des cascades et le réalisateur de la deuxième équipe de L'Arme Fatale 4, qui comporte des scènes de combat avec le maître des arts martiaux Jet Li, et de Payback
Mic Rodgers à l'école du réalisateur Richard Donner :
Mic Rodgers considère Richard Donner comme son mentor : il a travaillé avec lui pour la première fois sur L'arme fatale, comme doublure de Mel Gibson. Sous la tutelle de Donner, Rodgers a parfait ses connaissances du tournage avec les deux suites de L'arme fatale, puis Fantômes en fête et Maverick (il était aussi réalisateur de la deuxième équipe de ces deux films), et Radio Flyer. Avec la trilogie de L'Arme Fatale, Mic Rodgers est le seul cascadeur à avoir doublé un premier rôle dans trois films consécutifs.
Mic Rodgers, le réalisateur
Vétéran du cinéma dans plusieurs domaines, Mic Rodgers ses débuts de réalisateur avec Universal Soldier : le combat absolu. Au cours de sa carrière, il a été cascadeur, coordinateur des cascades et réalisateur de la deuxième équipe, travaillant avec John Frankenheimer, Mark Rydell, John Badham et Richard Donner. Il confie que ce sont "quinze années passées à l'école de cinéma des coups durs" qui l'ont préparé à devenir metteur en scène.
Le 1er épisode
Le 1er film, Universal Soldier est sorti en 1992. Il a été réalisé par Roland Emmerich (Godzilla) et avait pour vedettes Jean-Claude Van Damme et Dolph Lundgren.
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Urban justice|Don E. Fauntleroy|Action||2|américain|2007|96|Anglais||XviD|||XVID|873 Kbps|608x336|MPEG-1 Audio layer 3|131 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|28/07/2009 00:00:00||Gil Fuentes|||||Un père, dont le fils est un policier corrumpu tué par des malfaiteurs, décide de le venger en tuant tous les ennemis qui se trouvent sur sa route. |Steven Seagal (Simon )@Eddie Griffin (Armand Tucker)@Kirk B.R. Woller (Frank Shaw)@Liezl Carstens (Linda)@Josh Berry (détective Brown)@Cory Hart (Max)@Mikki Padilla (petite amie de Chivo)@Jade Yorker@||||||||||||@@
Urban Legend|Jamie Blanks|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|2|canadien, français, américain|1999|95|||XVID|||XVID|880 Kbps|704x304|WMA2|64.1 Kbps|False|44.1 KHz|2|652||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Neal Moritz Gina Matthews Michael McDonnell|Silvio Horta|James Chressanthis||Columbia TriStar Films||Les étudiants de l'université de Pendleton suivent assidûment les cours consacrés aux légendes urbaines qui évoquent des histoires terrifiantes dont on ignore l'origine.Lorsqu'une élève est sauvagement assassinée et que d'inexplicables disparitions surviennent, seule Nathalie Simon soupçonne un lien avec les légendes. Elle tente de donner l'alarme, mais personne ne veut la croire.Paul Gardener, un jeune journaliste avide de sujets à sensation, se décide à explorer cette piste. |Alicia Witt (Natalie Simon )@Jared Leto (Paul Gardener )@Joshua Jackson (Damon Brooks )@Rebecca Gayheart (Brenda Bates )@Natasha Gregson Wagner (Michelle Mancini )@Loretta Devine (Reese Wilson)@John Neville (Dean Adams)@Tara Reid (Sasha Thomas)@Michael Rosenbaum (Parker Riley)@Danielle Harris (Tosh Guaneri)@Robert Englund (Professeur William Wexler)@Brad Dourif (Michael McDonnell)@Julian Richings (Weird Janitor)@||||||||||||@@
Urban Legend 2: Final Cut|John Ottman|Epouvante-horreur||1|américain|2000|98|Anglais||DIV3|||DIV3|815 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|647||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Gina Matthews Neal Moritz Richard Luke Rothschild|Scott Derrickson Paul Harris Boardman|Brian Pearson||Columbia TriStar Films||Dans une école de cinéma, une élève se lance dans la réalisation d'un long-métrage fantastique. Mais la fiction va tragiquement rattraper la réalité... |Jennifer Morrison (Amy Mayfield)@Matthew Davis (Travis)@Hart Bochner (le Professeur Solomon)@Loretta Devine (Reese Wilson)@Joseph Lawrence (Graham Manning)@Anson Mount (Toby)@Eva Mendes (Vanessa)@Anthony Anderson (Stan)@Jessica Cauffiel (Sandra)@Rebecca Gayheart (Brenda Bates)@David Sparrow (Un officier de police)@Kevin Hare (Un officier de police )@Stephanie Moore ( I ) (La fille dans le film en 16 mm)@Jeannette Sousa (Libby)@Yani Gellman (Rob)@Chas Lawther (Dean Patterson)@||Secrets de tournage :
John Ottman a le rythme
« Tout est dans la mesure, dans le tempo. Un bon montage, une bonne musique se caractérisent d'abord par la mise en phase d'une vitesse et d'une émotion. Pour Urban Legend 2, il n'y avait pas un seul rythme, mais plusieurs qui ensemble, combinaient un tout qui allait en s'accélérant. L'histoire est faite d'épisodes, de films dans le film, d'humour et de franche terreur. En jouant sur ces ingrédients, on compose une partition d'émotions pour amener le spectateur à un certain niveau de réceptivité. A partir de ce moment, si l'on a réussi, on maîtrise le rythme de sa peur? »
Un renouveau complet
Peu de points communs entre le premier volet de Urban Legend et le second. A une exception près (Loretta Devine), le casting a été entièrement renouvelé. Il en va de même pour l'équipe technique. Ces choix sont dus à la productrice Gina Matthews, qui souhaitait ne conserver Loretta Devine qu'en guise de «trait d'union entre les deux histoires».
John Ottman détourne les décors
« Nous avons choisi la Trent University, dans l'Ontario, au Canada. C'est une école très bien équipée aux orientations architecturales très pures. Ce n'est pas le genre d'endroit qui regorge de coins sombres et de coupe-gorge. Notre souhait était de prendre un lieu lumineux et actuel et de le rendre progressivement effrayant et mystérieux. »
John Ottman, réalisateur monteur et compositeur
Avant de réaliser avec Urban Legend 2 : coup de grâce (dont il a d'ailleurs assuré le montage et composé la musique), John Ottman avait officié en tant que monteur et compositeur sur les trois premiers longs métrages de Bryan Singer, Ennemi public (1993), Usual suspects (1995) et Un élève doué (1998). Il avait également signé les partitions de Disjoncté (Ben Stiller, 1996), Goodbye Lover (Roland Joffé, et Lake Placid (Steve Miner, 2000).
La productrice Gina Matthews se démarque
« Le public avait aimé le mélange de terreur lié à des superstitions ou des rumeurs très modernes. Tout le monde connaissait ces histoires qui courent de bouche à oreille et le plaisir de les voir prendre corps était réel. On aime tous se faire peur avec ce qui nous est familier. Au c?ur de cette nouvelle vague de films d'horreur, nous avions ouvert une voie à part. »
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Urban legend 3 : Bloody Mary|Mary Lambert|Epouvante-horreur||1|américain|2005|89|Anglais||XviD|||XVID|885 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|652||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Matt Bierman|Michael Dougherty Dan Harris|Ian Fox||||En 1969, à Salt Lake City, Mary Banner est battue par son petit ami au cours d'un bal de promo et enfermée dans un local du lycée où elle meurt de faim. Trente ans après, des adolescents parviennent à la ramener d'entre les morts au risque de déclencher une vague meurtrière sans précédent... |Kate Mara (Samantha Owens)@Robert Vito (David Owens)@Tina Lifford (Grace Taylor)@Ed Marinaro (Bill Owens)@Michael Coe (Buck Jacoby)@Lillith Fields (Mary Banner)@Nancy Everhard (Pam Owens)@Audra Lea Keener (Heather Thompson)@Don Shanks (l'entraîneur Jacoby)@Jeff Olson (le shérif McKenna)@Nate Herd (Tom Higgins)@Brandon Sacks (Roger Dalton)@Hailey Smith (Martha)@Olesya Rulin (Mindy)@Haley McCormick (Gina)@||||||||||||@@
US marshals|Stuart Baird|Policier||3|américain|1998|119|Anglais||DIV3|||DIV3|614 Kbps|688x400|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|640||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Anne Kopelson Arnold Kopelson|John Pogue|Andrzej Bartkowiak||Warner Bros. France||C'est par hasard, à la suite d'un banal accident de la circulation, que la police de Chicago retrouve la piste de Mark Roberts, recherché pour un double meurtre. Le prévenu est placé sous la garde de l'US Marshal Samuel Gerard pour être extradé par avion sur New York avec une vingtaine de prisonniers. Au cours du vol, un détenu s'empare d'une arme et tire sur Robert. Il rate son objectif et pulverise un hublot. C'est le crash. L'appareil termine sa course dans l'Ohio. Une fois l'épave évacuée, le marshal découvre que Roberts a disparu... |Tommy Lee Jones (Le marshal Samuel Gerard)@Wesley Snipes (Mark Sheridan)@Robert Downey Jr. (John Royce)@Lorenzo Clemons (Stark)@Rose Abdoo (Donna)@Joe Pantoliano (Le marshal Cosmo Renfro)@Daniel Roebuck (Bobby Biggs)@Irène Jacob (Marie)@Tom Wood (U.S. Marshal Noah Woodrow Newman )@LaTanya Richardson (adjointe Marshal Savannah Cooper )@Kate Nelligan (U.S Marshal Catherine Walsh )@Patrick Malahide (Lamb)@Donald Li (Detective Kim)@Michael Paul Chan (Chen)@Susan Hart (La petite amie de Greg)@Marc Vann (Député Jackson)@Vaitiare Bandera (Stacia Vela)@James Sie (Lie)@Richard Thomsen (Portier)@Richard Thomsen (Portier)@Don Gibb (Mike Conroy)@Mindy Bell (Député Holt)@Mark Morettini (Policier)@Robert Mohler (Jeune flic)@Rick Snyder (Barrows)@Stephen Cinabro (Député sous couverture)@Kent Reed (Policier avec chien)@Johnny Lee Davenport (Député Henry)@Matt DeCaro (Député Stern)@Richard Lexsee (Pompier)@Ray Toler (Earl)@Robert Kurcz (Homme kidnappé)@Ian Barford (Le guide de Royce)@Thomas Rosales Jr. (Prisonnier)@Michael Braun (Copilote)@Rick LeFevour (Député)@Michael Guido (Chauffeur dérangé)@David Kersnar (Sergeant)@Amy E. Jacobson (Journaliste à New-York)@Brenda Pickleman (Martha)@Cynthia S. Baker (Mama Conroy)@Clifford T. Frazier (Ministre)@David A. Bales (L'homme dans le taxi)@Chris Bean (Patron du bar)@Dale Chick Bernhardt (Guide de Royce)@Ellen Hearn (Journaliste)@Janet Contursi (Infirmière de Chicago)@Jim Fierro (Député)@Ed Fernandez (Détective)@Don Herion (Détective Caldwell)@Len Bajenski (Député Hollander)@Karen Vaccaro (Caissière à l'hôpital)@Lennox Brown (L'homme à la cape verte)@Lynn Wilde (La femme de Caldwell)@Perry D. Sullivan (Navigateur)@Tony Paris (Guide de Newman)@Rick Edwards (Député)@Ralph J. Lucci (Barman)@Terry G. Rochford (Agent de la NTSB)@Richard Wilkie (Détective)@Louis Young (Journaliste)@Tony Fitzpatrick (Greg Conroy)@Tressana Alouane (La petite amie de Mike)@Varen Black (Journaliste)@Vince DeMentri (Journaliste)@||||||||||||@@
Crimson Tide|Tony Scott|Aventure||3|américain|1995|111|Anglais||DivX|||DIVX|728 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|130 Kbps|False|48.0 KHz|2|692||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Jerry Bruckheimer Don Simpson|Michael Schiffer Robert Towne|Dariusz Wolski||Gaumont||Une bande de nationalistes russes, s'empare d'une base de lancement de missiles nucleaires strategiques et menace le reste du monde. "L'USS Alabama", le sous-marin nucleaire le plus puissant des Etats-Unis, recoit l'ordre de partir vers les cotes russes. Un premier ordre est envoye a l'etat-major du submersible lui intimant l'ordre de bombarder la Russie, lorsque arrive un second message indechiffrable. |Gene Hackman (Le capitaine Frank Ramsey)@Denzel Washington (Le 1er officier Ron Hunter)@George Dzundza (le chef de bord)@Viggo Mortensen (Le lieutenant Peter Ince)@James Gandolfini (Lieutenant Bobby Dougherty)@Matt Craven (Lieutenant Roy Zimmer)@Ryan Phillippe (Grattam)@Rocky Carroll (Darik Westergard)@Jaime Gomez (Mahoney)@Michael Milhoan (Hunsicker)@Scott Burkholder (Billy Linkletter)@Danny Nucci (Danny Rivetti)@Lillo Brancato (Russell Vossler)@Eric Bruskotter (Bennefield)@Rick Schroder (Paul Hellerman)@Steve Zahn (William Barnes)@Marcello Thedford (Lawson)@Jacob Vargas (Opérateur sonar #2)@Jim Boyce (Officier de plongée)@Kai Lennox (Opérateur sonar #3)@Mark Christopher Lawrence (Chef cuisinier)@Jason Robards (Grand Amiral Anderson)@Earl Billings (Rick Marichek)@Tommy Bush (Amiral Williams)@Christopher Birt (Helmsman)@R.J. Knoll (Marty Sotille)@||||||||||||@@
The Usual Suspects|Bryan Singer|Policier|Interdit aux moins de 12 ans|4|américain|1995|100|Anglais||DIV3|||DIV3|864 Kbps|592x448|MPEG-1 Audio layer 3|102 Kbps|False|32.0 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Michael McDonnell Bryan Singer|Christopher McQuarrie|Newton Thomas Sigel||||Une légende du crime contraint cinq malfrats à aller s'aquitter d'une tâche très périlleuse. Ceux qui survivent pourront se partager un butin de 91 millions de dollars. |Gabriel Byrne (Dean Keaton)@Kevin Spacey (Verbal Kint)@Benicio Del Toro (Fred Fenster)@Stephen Baldwin (Michael McManus)@Kevin Pollak (Todd Hockney)@Chazz Palminteri (Dave Kujan)@Pete Postlethwaite (Kobayashi)@Suzy Amis (Edie Finneran)@Giancarlo Esposito (Jack Baer)@Dan Hedaya (Jeff Rabin)@Paul Bartel (Smuggler)@Clark Gregg@||Secrets de tournage :
Singer et McQuarrie, amis d'enfance
Bryan Singer et Christopher McQuarrie, respectivement réalisateur et scénariste de Usual suspects, sont amis depuis l'enfance. Ils se sont en effet connus sur les bancs du lycée.
Scénario secret
Les scènes du film où Keyser Söze apparaît n'ayant pas nécessité la présence de l'acteur censé l'interpréter, les comédiens eux-mêmes n'étaient pas au courant de l'identité du criminel. Gabriel Byrne révélera même que ce n'est qu'après avoir vu le film qu'il a su qui était Keyser Söze.
Un film référence
Aux Etats-Unis, Usual suspects a été diffusé à certains inspecteurs de police afin de pouvoir tester de leur perspicacité.
Cannes
La première mondiale du film eut lieu à Cannes, et déclencha de suite des réactions très positives auprès des journalistes et des personnalités des métiers du cinéma. Ces forts bons échos cannois ont créé, avant que le film ne sorte, un fort engouement international.
Bon prince
Contrairement à de nombreux films dont la fin est censée surprendre le spectateur, Bryan Singer a tenu à laisser une chance au public de découvrir avant le début du générique qui se cache sous les apparats de Keyser Söze. De nombreux indices, aussi bien visuels qu'auditifs, ont été volontairement disséminés durant le déroulement de la narration par le réalisateur.
Le corps du Keyser
L'homme qui a prêté son corps à Keyser Söze lors des séquences en flash-back est l'un des machinistes du film. Bryan Singer l'a choisi car il remarqua que le cameraman n'arrivait pas à redresser ses coudes, lui donnant une allure irréelle et intimidante.
Changement de nom
Le personnage de Keyser Söze s'appelait à la base Keyser Sume, qui était le patronyme de l'ancien patron du scénariste Christopher McQuarrie. Mais en lisant le scénario avant que le film ne se fasse, celui-ci ne voulait pas voir son nom associé à une image si négative, et demanda à ce que le personnage soit renommé.
Un compositeur-monteur-acteur
John Ottman, qui est déjà le compositeur et le monteur de Usual suspects, a également joué dans le film, puisque ses pieds ont servi en gros plan à "illustrer" ceux du personnage de Keyser Söze.
McQuarrie dans le film
Le scénariste de Usual suspects, Christopher McQuarrie, fait une petite apparition dans le film en tant que policier pendant l'une des régulières scènes d'interrogatoire entre Kevin Spacey et Chazz Palminteri.
Bryan Singer est Keyser Söze
Alors que le spectateur se demande tout au long du film qui peut bien être le psychotique Keyser Söze, le réalisateur de Usual suspects, Bryan Singer, a tenu à se plonger dans les habits du mystérieux tueur pendant quelques très courtes secondes. C'est en effet sa main que l'on voit à l'écran quand, dans le film, Keyser Söze allume une cigarette.
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Valiant|Gary Chapman|Animation||2|américain|2005|73|Anglais||XVID|||XVID|1 201 Kbps|720x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|703||||25.000|28/07/2009 00:00:00|John H. Williams|Jordan Katz George Webster George Melrod|||Buena Vista Pictures||Angleterre, 1944. L'issue de la guerre repose sur des "aviateurs" fringants et casse-cous, qui portent des messages en France au péril de leur vie : ce sont... des pigeons ! Mais la mythique "Escadrille Royale des Pigeons de Combat" est décimée par d'impitoyables faucons allemands et il ne reste plus qu'une bande de "bleus" encore à l'entraînement !Vaillant, frêle et maladroit, Bugsy, qui ne cherche qu'à déserter, ou leurs idiots de compères, ne sont absolument pas prêts pour le combat ! Parachutés en France, ces cinq pigeons balourds réussiront-ils à retrouver les souris résistantes sans tomber dans les griffes des faucons ? Le destin de l'Angleterre est entre leurs ailes ! |Ramzy Bedia (Vaillant (voix française))@Eric Judor (Bugsy (voix française))@Richard Darbois (Von Griffes (voix française))@Bernard Metraux (le Sergent Monty (voix française))@Emmanuel Jacomy (le Commandant Courage (voix française))@Michel Prudhomme (Mercury (voix française))@Christian Pelissier (Felix (voix française))@William Coryn (Snoby (voix française))@Patrice Dozier (Cufflingk (voix française))@Claire Guyot (Victoria (voix française))@Henri Guybet (Underlingk (voix française))@Edmond van Duren (Charles de Girl (voix française))@Boris Rehlinger (Charlie / Tango (voix française))@||Secrets de tournage :
Par le producteur de "Shrek"
Vaillant est produit par John H. Williams, le producteur de Shrek et Shrek 2. Il explique : "Pour Shrek, nous étions déjà partis d'un livre, mais dans le cas de Vaillant, c'est directement l'auteur de l'histoire, George Webster, qui est venu nous voir. Le sujet avait quelque chose d'original et un vrai potentiel, aussi bien en termes d'humour que d'émotion. Nous avons tout de suite eu envie de le développer."
Des pigeons héroiques
Si Vaillant est d'abord un film d'animation tous publics où l'action et l'humour font bon ménage, sa portée historique permet de prendre conscience du rôle crucial joué par les pigeons lors de la Seconde Guerre mondiale. Gary Chapman revient sur leur rôle de messager : "Les pigeons sont utilisés comme messagers depuis les temps les plus reculés, puisqu'on en trouve trace pendant les guerres babyloniennes. Lors de la Seconde Guerre mondiale, ils acheminaient des messages souvent vitaux pour les alliés. Comme il est dit à la fin du film, la plus haute distinction militaire que l'armée britannique puisse remettre à un animal est la Dickin Metal. Sur les 53 qui ont été remises durant la Seconde Guerre mondiale, 31 le furent à des pigeons ! Ce n'était que justice de consacrer un film à leurs exploits..."
Une production plus souple
Pour le producteur John H. Williams, le fait que Vaillant ait été produit par une petite structure et non par grand studio a été un avantage. Il explique : "D'habitude, dans le domaine de l'animation, nous avons affaire à de grands studios qui cherchent en permanence de nouveaux sujets. Leurs énormes infrastructures doivent tourner, leur logique est presque industrielle. Pour Vaillant, notre approche était tout autre. Nous avions l'opportunité de produire ce film au sein de Vanguard, de façon plus souple et plus rapide. L'équipe s'est assemblée spécifiquement pour raconter cette histoire. C'est une première !"
"Vaillant" s'envole vers ses publics...
Pour le réalisateur Gary Chapman, "l'une des forces du film est de parler à tous les publics. Les plus jeunes partageront les peurs et les espoirs de Vaillant, ils riront et vibreront aux incroyables péripéties qu'il traverse, mais les plus grands seront sensibles au second degré, à l'humour historique de la situation. Au-delà des rebondissements et des personnages hauts en couleur, Vaillant offre également une densité et une richesse particulièrement rares." Et de conclure : "Aujourd'hui que le film est achevé, je suis sûr que Vaillant méritait tous ces efforts pour voler vers le public."
Une portée historique
L'une des principales particularités de Vaillant est son ancrage profond dans une période marquante de l'Histoire. Le coproducteur Eric M. Bennett explique : "L'aventure de Vaillant se déroule pendant la Seconde Guerre mondiale. Nous avons tous aimé l'idée de revisiter cette page de l'Histoire à travers un récit qui parle à chacun, que que soit son âge. Il ne s'agit en aucun cas d'un film historique, mais d'une trépidante aventure initiatique." Buckley Collum, également coproducteur, voit le film d'animation comme "une remarquable conjonction entre un excellent récit plein de rythme, de sens et d'humanité et une signification profonde. L'aventure de Vaillant trouve un écho d'autant plus puissant qu'elle se situe au coeur d'une période qui a marqué l'histoire du monde et particulièrement celle de l'Europe. Nous sommes culturellement proches du contexte et instinctivement touchés par le parcours de ce petit bonhomme qui va vivre de sacrées aventures !"
Un novice de l'animation aux commandes
Fait particulièrement rare dans ce milieu, Gary Chapman, le réalisateur de Vaillant, n'avait quasiment aucune expérience dans l'animation avant de prendre les commandes du projet. C'est son travail pour de grands musées anglais, tel l'Imperial War Museum, pour lequel il reconstituait des scènes de batailles, qui a motivé le producteur John H. Williams a faire appel à lui. Un producteur qui se souvient : "Initialement, Gary devait s'occuper du développement des personnages mais rapidement, je me suis aperçu à travers son implication qu'il avait non seulement la connaissance de cette période, y compris dans ses aspects les plus pratiques, mais en plus la sensibilité pour raconter l'histoire de Vaillant dans toute sa dimension humoristique et émotionnelle. Nous lui avons alors confié le projet."
Eric et Ramzy roucoulent en VF
Après avoir prêté leurs voix à deux personnages de la série Ratz (2003) et du film d'animation Gang de requins (2004), les comiques Eric et Ramzy réitèrent l'expérience avec Vaillant en "incarnant" respectivement les pigeons Bugsy et Vaillant. Une attribution des rôles quelque peu à contre-emploi, comme l'explique Eric : "Au début, on avait imaginé que je pourrais jouer Vaillant. Les gentils, à priori, c'est plutôt ma spécialité. Et puis Ramzy est tellement grand en petit arnaqueur ! Lorsqu'on a fait les essais, on s'est trouvé d'autres affinités avec les personnages, et c'est moi qui ai hérité du copain pouilleux et Ramzy de l'innocent plein de courage. Pour une fois, c'est lui qui joue le plus petit de nous deux, comme ça il va pouvoir découvrir ce que ça fait !"
Un énorme travail en amont
Donner vie à Vaillant a demandé un énorme travail de recherches en amont. La production a ainsi consulté les très sérieux Amalgamation of Racing Pigeons et People's Dispensary for Sick Animals, qui leur ont transmis toute leur expérience. Elle a également du se pencher sur le problème posé par la morphologie des pigeons. Comment faire pour que les créations animées soient fidèles aux véritables oiseaux et puissent dans le même temps avoir des expressions faciales, vivre des scènes d'action, etc... ? Pour parvenir aux résultats escomptés, des techniciens n'hésitèrent ainsi pas à enfiler des costumes géants de pigeon pour expérimenter les différents mouvements imaginés pour les héros !
And the voices are...
La version originale de Vaillant réunit des grands noms britanniques. Ewan McGregor prête ainsi sa voix au petit Vaillant, la distribution bénéficiant également des présences de John Cleese, Ricky Gervais, John Hurt ou encore Jim Broadbent.
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Banpaia hantâ D|Yoshiaki Kawajiri Jack Fletcher||||japonais||80|Cantonais||DX50|||DX50|1 003 Kbps|640x480|MPEG-1 Audio layer 3|32.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|659||||25.000|28/07/2009 00:00:00||Yoshiaki Kawajiri|||||Dans un monde en decheance, les vampires, anciens maitres regnants, sont desormais les proies de chasseurs. |Hideyuki Tanaka@Ichirô Nagai@Kôichi Yamadera@Megumi Hayashibara@Emi Shinohara@||||||||||||@@
Van Helsing|Stephen Sommers|Action||2|américain|2004|117|Anglais||DX50|||DX50|698 Kbps|512x272|MPEG-1 Audio layer 3|126 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Stephen Sommers Bob Ducsay|Stephen Sommers|Allen Daviau||Universal Pictures||Au coeur des Carpates, il est un monde de légendes et de mystères : la Transylvanie... Une terre où le mal règne en maître absolu, où le danger rôde dès le coucher du soleil, où prennent corps les monstres qui hantent nos cauchemars les plus secrets.
Van Helsing est un ténébreux professeur et chasseur de monstres. Sa mission l'amène à affronter de terribles êtres, parmi lesquels le loup-garou, la créature de Frankenstein ou encore le comte Dracula, qui, depuis des générations, persécute la famille de l'intrépide et aristocratique Anna Valerious. |Hugh Jackman (Van Helsing)@Kate Beckinsale (Anna Valerious)@Richard Roxburgh (Dracula)@Will Kemp (Velkan, le loup-garou)@Elena Anaya (Aleera)@Kevin J. O'Connor (Igor)@David Wenham (Carl)@Silvia Colloca@Josie Maran@Robbie Coltrane (la voix de Mr Hyde)@Marek Vasut (un villageois)@Samuel West (Dr Victor Frankenstein)@Alun Armstrong (Cardinal Jinette)@Tom Fisher (Top Hat)@Stephen J. Fisher (Dr Jekill)@||Secrets de tournage :
Illustres ancêtres
Le personnage de l'assistant du Baron Frankenstein apparaît d'abord, dans le Frankenstein de 1931, sous le nom de "Fritz", et sous les traits de Dwight Frye. Huit ans plus tard, Le Fils de Frankenstein lui attribuera un nouveau prénom: Ygor, et un interprète auquel il sera plus étroitement associé: Bela Lugosi.
Un personnage éminemment populaire
Rendu populaire par les prestations de Peter Cushing, Van Helsing est très vite devenu un personnage récurrent, interprété par nombre d'acteurs, notamment dans des séries B et Z : Herbert Lom (Le Fantôme de l'Opéra), que l'on retrouve également dans Les Nuits de Dracula de Jess Franco (1970); Nigel Davenport dans Dracula et ses femmes vampires (1973). Des adaptations plus prestigieuses réhaussent le niveau de la production. Parmis elles se distingue le Dracula de John Badham (1979), dans lequel Laurence Olivier campe un professeur antipathique.
Le "Saigneur" des Carpathes
Le Dracula d'Universal Pictures (1931), interprété par Bela Lugosi, fit encore plus pour l'image et la gloire du vampire. Dans cette version en costumes "modernes", Dracula devenait un suave et mystérieux aristocrate à l'accent hongrois prononcé. Le traitement captiva des millions de spectateurs, et Lugosi incarne encore, pour beaucoup, l'essence du personnage. Dans la vision de Stephen Sommers, le vampire devient à la tombée de la nuit l'invicible seigneur des ténèbres qui hante les cieux de Transylvanie en se transformant en une terrifiante créature ailée.
A propos de Peter Cushing...
L'acteur anglais a interprété à cinq reprises le rôle de Van Helsing, pour le compte de la Hammer. Sa première apparition remonte à 1958 dans Le Cauchemar de Dracula, réalisé par Terence Fisher, puis reprend son rôle deux ans plus tard avec Les Maîtresses de Dracula. En 1972, il interprète dans Dracula 73 un Van Helsing poursuivant son ennemi héréditaire dans le Londres des années soixante-dix. Cushing endosse le costume à deux nouvelles et dernières reprises en 1974 : La Légende des 7 vampires d'or, et Dracula vit toujours à Londres.
Du moulin au château
L'acteur Richard Roxburgh, qui jouait le tout puissant aristocrate dans Moulin Rouge de Baz Luhrmann, a longtemps été réfractaire à jouer le personnage de Dracula. C'est le concept original de Stephen Sommers, réunir en seul film la quintessence des personnages des films d'épouvantes de la Universal, qui a d'abord séduit puis poussé l'acteur à accepter le rôle du vampire des Carpathes.
Du moulin au château...acte II
Plutôt que de construire intégralement le château du Comte Dracula, Sommers a fait seulement bâtir les bases du château à l'extérieur puisqu'il n'y avait pas de studio assez grand pour les contenir. La superficie de ce seul décor occupait tout de même l'équivalent de trois terrains de football !
Carnet de bal
L'ancienne cathédrale Saint Nicholas, située à Prague, a été réaménagée et équipée avec précautions pour servir de décor à l'ébouriffant bal masqué de Dracula. 270 acteurs et figurants furent habillés pour cette occasion, dont une centaine de danseurs. La chorégraphe du Cirque du soleil, Debra Brown, a conçu deux valses sur des musiques d'Alan Silvestri pré-enregistrées par un orchestre de 115 musiciens, et fit répéter Kate Beckinsale, Richard Roxburgh Elena Anaya pendant trois semaines.
Un nouvel acolyte
Stephen Sommers a créé de toutes pièces un personnage de jeune moine érudit, inventeur d'armes "anti-monstres", qu'il a prénommé Carl en hommage au pionnier Carl Laemmle, fondateur d'Universal. Le rôle est tenu par David Wenham, vétéran de la trilogie du Seigneur des anneaux .
L'armement de Van Helsing...vu par Hugh Jackman
L'arbalète est l'arme de prédilection de Van Helsing. Son maniement et surtout son poids ont pourtant été une véritable torture pour Hugh Jackman, épuisé après une demi-heure de répétition.
Les décors
Dix semaines de travail ont été nécessaires à 75 personnes pour construire les décors en bois dur, dans les environs de Prague. Quant à l'architecture, les plans reproduisent le plus fidèlement possible les villages roumains de Transylvannie. Pour la neige, les décorateurs ont utilisés du papier broyé mélangé avec de l'eau.
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Vanilla Sky|Cameron Crowe|Thriller||3|américain|2002|128|Anglais||DX50|||DX50|689 Kbps|720x432|MPEG-2 Audio layer 3|64.0 Kbps|False|22.05 KHz|2|701||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Tom Cruise Paula Wagner Cameron Crowe|Alejandro Amenabar Mateo Gil Cameron Crowe|John Toll||Paramount Pictures||David Aames est un jeune et brillant éditeur new-yorkais qui a tout pour lui : l'argent, la réussite professionnelle et les femmes. Son ami Pelayo commet l'erreur de lui présenter Sofia, sa nouvelle compagne. Au premier regard, David succombe au charme de celle-ci. Tous les deux filent bientôt le parfait amour.Alors que David se dispute en voiture avec Julie, une ex folle de jalousie, la jeune femme accélère et c'est l'accident. Julie décède. Atrocement défiguré, David est transporté d'urgence à l'hôpital où les médecins ne peuvent réaliser de miracle. Sa vie bascule. Les gens ont dorénavant peur de lui et Sofia l'évite.Mais un matin, David se fait gentiment réveiller par celle-ci, qui lui déclare son amour. Les médecins lui annoncent même qu'il pourra retrouver son ancien visage. Réalité ou hallucination ? |Tom Cruise (David Aames)@Penélope Cruz (Sofia Serrano)@Kurt Russell (le docteur Curtis McCabe )@Cameron Diaz (Julie Gianni)@Jason Lee (Brian Shelby )@Tilda Swinton (Rebecca Dearborn)@Timothy Spall (Thomas Tipp)@Johnny Galecki (Peter Brown)@Jennifer Aspen (Nina )@W. Earl Brown (Le Barman)@Jennifer Gimenez (Lola)@Michael Kehoe (le chef Mickey )@Zachary Lee (Joshua )@Jhaemi Willens (Jamie Berliner )@Ivana Milicevic (Emma )@Jean Carol (une femme dans New York)@Ryan Keating (l'officier de police)@Jan Munroe (le vieil éditeur)@Andrei Sterling (le danseur)@Noah Taylor (Edmund Ventura)@Alicia Witt (Libby)@Steven Spielberg (lui-même)@||Secrets de tournage :
Le quartier de Times Square immobilisé !
Le tournage de Vanilla sky s'est étalé sur une durée de six semaines. Pour l'une des scènes les plus impressionnantes du film, qui se passe dans un Times Square totalement désert, Cameron Crowe et son équipe ont obtenu l'autorisation de boucler le célèbre quartier un dimanche. Un privilège rare donné par la ville de New York.
Une musique signée par madame Crowe !
La musique de Vanilla sky est signée par Nancy Wilson. Une information qui ne serait qu'anecdotique si la femme n'était pas l'épouse du réalisateur Cameron Crowe ! A l'exception de Singles, Nancy Wilson a ainsi composé la bande-son de tous les films de son mari.
Vanilla sky : un voyage...
Pour le réalisateur Cameron Crowe, Vanilla sky s'apparente à un vrai voyage. "J'ai voulu embarquer le spectateur dans un voyage émotionnel, l'entraîner progressivement vers des régions de plus en plus étranges", raconte l'Américain. "Je pense que les gens vont au cinéma pour être transportés, et ce film a été construit, tant sur le plan dramatique que visuel, comme un itinéraire passionnel."
Un caméo prestigieux...
Un réalisateur très célèbre fait une courte apparition dans Vanilla sky. L'américain Steven Spielberg honore en effet le long métrage de sa présence. Un geste apprécié par Cameron Crowe qui, en échange, apparaîtra dans le prochain film de Spielberg, le thriller futuriste Minority report.
Penélope Cruz reprend son rôle
Penélope Cruz, qui tenait le rôle féminin principal d'Ouvre les yeux, reprend exactement le même rôle dans Vanilla sky, le remake américain. Un phénomène assez rare dans le petit monde du septième art...
Vanilla sky : le remake d'un film espagnol
Vanilla sky est le remake d'Ouvre les yeux, un thriller réalisé en 1997 par l'espagnol Alejandro Amenabar. La productrice Paula Wagner, le réalisateur Cameron Crowe et l'acteur Tom Cruise ont immédiatement été enthousiasmés par le sujet du film. "Nous avons vu Ouvre les yeux ensemble et séparément", raconte Paula Wagner, "et avons tous jugé que c'était le sujet idéal. En faisant Vanilla sky, nous avons souhaité rendre hommage à ce film, tout en lui ajoutant quelques touches personnelles".
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Friday the 13th|Sean S. Cunningham|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 16 ans|3|américain|1981|93|Anglais||DX50|||DX50|871 Kbps|720x400|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|672||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Sean S. Cunningham|Sean S. Cunningham Victor Miller|Barry Abrams|||Saga : Vendredi 13 |En 1957, un jeune garçon, prénommé Jason, mourut noyé au camps de Crystal Lake. L'année suivante, les deux personnes responsables du camps furent également tuées. L'endroit ferma mais il est réouvert par un jeune couple en 1980, le même jour anniversaire des autres meurtres. Lors de la préparation du camps pour l'été, les adolescents, employés par le couple, commencent à disparaître un par un... |Betsy Palmer (Pamela Voorhees)@Adrienne King (Alice)@Harry Crosby (Bill)@Laurie Bartram (Brenda)@Mark Nelson (Ned)@Jeannine Taylor (Marcie)@Kevin Bacon (Jack)@Robbi Morgan (Annie)@Peter Brouwer (Steve Christy)@Ronn Carroll (Sergeant Tierney)@Ari Lehman (Jason Voorhes)@||Secrets de tournage :
Le début d'une longue saga
Réalisé en 1980, Vendredi 13 est le premier volet d'une saga légendaire du film d'horreur, dont le tueur Jason Voorhes est devenu l'une des grandes figures avec son masque de hockey et son couteau. Dix films le mettant à nouveau en scène suivront :
Vendredi 13 - 2e partie : Le tueur du vendredi (1981)
Vendredi 13 - 3e partie : Meurtres en trois dimensions (1982)
Vendredi 13 - Chapitre final (1984)
Vendredi 13 : un nouveau départ (1985)
Vendredi 13: Jason est vivant (1986)
Vendredi 13 : du sang neuf (1988)
Vendredi 13 : Jason conquiert Manhattan (1989)
Jason va en Enfer (1993)
Jason X (2001)
Freddy contre Jason (2003), qui marque la confrontation du tueur au masque de hockey avec Freddy Krueger, autre géant du cinéma horrifique.
Un tueur aux multiples visages
La saga des Vendredi 13 aura placé différents comédiens derrière le masque de Jason Voorhees. Si dans l'épisode initial, le futur tueur, encore jeune garçon, est incarné par Ari Lehman, il donnera ensuite l'occasion à Warrington Gillette, Richard Brooker, Ted White, C.J. Graham (chacun une fois), Kane Hodder (quatre fois) et Ken Kirzinger (dans Freddy contre Jason) d'incarner cette figure mythique du film d'horreur. A noter que le personnage n'apparaît pas physiquement dans Vendredi 13 : une nouvelle terreur et qu'en conséquence, aucun acteur n'y a été retenu pour le rôle.
Les débuts de Kevin Bacon
Vendredi 13 est l'un des tout premiers films de Kevin Bacon. Alors âgé de 22 ans, il incarne l'une des victimes du mystérieux tueur. Par la suite, le comédien s'illustrera notamment dans Footloose, L'Experience interdite, L'Homme sans ombre, Apollo 13 et Mystic river.
Histoire de casting
Le rôle de Pamela Voorhes, la mère du tueur au masque, devait à l'origine être tenu par Estelle Parsons. C'est finalement Betsy Palmer qui a été choisie par la production de Vendredi 13.
Un film qui rapporte gros !
Réalisé pour la modique somme de 700 000 dollars, Vendredi 13 a récolté plus de 17 millions de dollars de recettes rien qu'aux Etats-Unis, soit un peu plus de 24 fois son budget initial ! En France, le long-métrage a enregistré un peu plus de 600 000 entrées. A titre de comparaison, Les Griffes de la nuit, épisode initial de la saga des Freddy, avait totalisé 465 864 entrées dans l'hexagone.
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Friday the 13th - Part 2|Steve Miner|Epouvante-horreur||2|américain|1982|85|Anglais||DX50|||DX50|972 Kbps|640x368|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|677||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Steve Miner|Ron Kurz|Peter Stein|||Saga : Vendredi 13 |Alors qu'on le croyait mort noyé au fond de Crystal Lake, Jason Vorhees revient se venger du sort réservé à sa mère. Après avoir assassiné Alice, seule survivante du premier opus, il massacre les innocents campeurs présents, puis doit faire face à Ginny, dotée de pouvoirs psychiques, et son ami Paul. |Warrington Gillette (Jason Voorhees)@Betsy Palmer (Mme Voorhees)@Amy Steel (Ginny)@John Furey (Paul Holt)@Adrienne King (Alice)@Kirsten Baker (Terri)@Stuart Charno (Ted)@Walt Gorney (Crazy Ralph)@Marta Kober (Sandra Dier)@Tom McBride (Mark)@Bill Randolph (Jeffrey)@Lauren-Marie Taylor (Vicky)@Russell Todd (Scott)@Cliff Cudney (Maxwell)@||||||||||||@@
Friday the 13th Part VI: Jason Lives|Tom McLoughlin|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|1987|80|Français, Anglais, Espagnol, Italien||DX50|||DX50|1 048 Kbps|720x400|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|682||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Don Behrns|Tom McLoughlin|Jon Kranhouse|||Saga : Vendredi 13 |Tommy revient sur la tombe de Jason, pour s'assurer que ce dernier est bien mort. Mais le décédé va revenir accidentellement à la vie... |Thom Mathews (Tommy Jarvis )@Jennifer Cooke (Megan Garris )@David Kagen (Sheriff Garris )@C.J. Graham (Jason Voorhees)@Kerry Noonan (Paula)@Renee Jones (Sissy Baker)@Tom Fridley (Cort)@Tony Goldwyn (Darren)@||||||||||||@@
Friday the 13th Part VII: The New Blood|John Carl Buechler|Epouvante-horreur||2|américain|1988|85|Anglais||DX50|||DX50|973 Kbps|640x368|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|678||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Iain Paterson|Manuel Fidello Daryl Haney|Paul Elliott||Paramount Pictures France|Saga : Vendredi 13 |Immergé depuis plusieurs années dans les eaux de Crystal Lake, mais libéré par mégarde, Jason va-t-il trouver en Tina Shepard, douée de pouvoirs extraordinaires, un adversaire à sa taille ? |Kane Hodder@Lar Park Lincoln@Susan Jennifer Sullivan@Kevin Blair@Terry Kiser@Susan Blu@Heidi Kozak@William Butler@Staci Greason@Larry Cox@Jeff Bennett@Diana Barrows@Elizabeth Kaitan@Jon Renfield@Michael Schroeder@Debora Kessler@Diane Almeida@Craig Thomas@Lar Park Lincoln (Tina Shepard)@Kevin Blair (Nick)@||||||||||||@@
Friday the 13th Part VIII: Jason Takes Manhattan|Rob Hedden|Epouvante-horreur||1|américain|1989|97|Anglais||DX50|||DX50|875 Kbps|640x368|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|44.1 KHz|2|697||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Randy Cheveldave|Rob Hedden|Bryan England|||Saga : Vendredi 13 |Jason Voorhes, toujours affublé de son masque de hockey, suit une classe d'étudiants à New York, bien décidé à semer la terreur. |Kane Hodder (Jason Voorhees)@Jensen Daggett (Rennie Wickham)@Todd Shaffer (Jim Miller)@Tiffany Paulsen (Suzi Donaldson)@Barbara Bingham (Colleen van Deusen)@Peter Mark Richman (Charles McCullock)@Scott Reeves (Sean Robertson)@Kelly Hu@||||||||||||@@
Friday the 13th - Part 9 : Jason goes to hell - The final friday|Adam Marcus|Epouvante-horreur||2|américain|1993|84|Allemand||DX50|||DX50|999 Kbps|640x368|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|690||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Sean S. Cunningham|Adam Marcus Jay Huguely Dean Lorey|Bill Dill|||Saga : Vendredi 13 |Jason Voorhes, le tueur au masque de hockey, est de retour pour semer la terreur. Le secret de ce terrible personnage est enfin révélé... |Kane Hodder (Jason Voorhees)@John D. Lemay (Steven Freeman)@Kari Keegan (Jessica Kimble)@Steven Williams (Creighton Duke)@Steven Culp (Robert Campbell)@Erin Gray (Diana Kimble)@Rusty Schwimmer (Joey B)@||||||||||||@@
Friday the 13th|Marcus Nispel|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|2|américain|2009|90|Anglais||XviD|||XVID|935 Kbps|688x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|696||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Michael Bay Andrew Form Bradley Fuller|Mark Swift Damian Shannon|Daniel Pearl||Paramount Pictures|Saga : Vendredi 13 |Un groupe d'adolescents découvre le camp de Crystal Lake en même temps que le terrifiant Jason Voorhees et ses intentions meurtrières... |Jared Padalecki (Clay)@Derek Mears (Jason Voorhees)@Amanda Righetti (Whitney)@Ryan Hansen (Nolan)@Jonathan Sadowski (Wade)@Travis Van Winkle (Trent)@Aaron Yoo (Chumbler)@Arlen Escarpeta (Lawrence)@Danielle Panabaker (Jenna)@Julianna Guill (Bree)@Kyle Davis (Donnie)@Travis Davis (Officier Lund)@Willa Ford (Chelsea)@Ben Feldman (Richie)@Nick Mennell (Mike)@America Olivo (Amanda)@Nana Visitor (Pamela Voorhees)@Richard Burgi (le shériff Bracke)@Chris Coppola (le vendeur)@Kyle Davis (Donnie)@Caleb Guss (Jason Voorhees jeune)@||Secrets de tournage :
Refais-le-me-le !
Douzième épisode de la saga crée par Sean S. Cunningham en 1980, ce Vendredi 13 est le remake du premier film.
Jason : le même, mais pas tant que ça
Reboot de la saga oblige, Marcus Nispel se devait de montrer Jason Voorhees sous un nouveau jour : "Notre Jason est toujours aussi terrifiant, mais le film montre de nouveaux aspects du personnage", explique le réalisateur. "Nous voulions un personnage plus territorial, comme un chasseur", poursuite le coscénariste Damian Shannon. "Ce n'est pas quelqu'un qui tue des gens au hasard. Si quelqu'un envahit son territoire, il le défendra, et les envahisseurs en payeront le prix de la manière la plus horrible qui soit."
Marcus Nispel, épisode 4
Vendredi 13 est le quatrième long métrage réalisé par Marcus Nispel, et son deuxième remake d'un film d'horreur, après celui de Massacre à la tronçonneuse.
Lieu de tournage
Ce Vendredi 13 a été tourné à Austin (Texas), alors que l'original l'avait été dans les villes de Blairstown et Hope (New Jersey).
Trois visages en un film
Alors qu'il apparaît avec un sac en toile sur la tête dans le deuxième épisode de la saga (avant de revêtir son célèbre masque de hockey dans le troisième), Jason apparaît ici sous trois différents aspects : à visage découvert, avec le sac, et avec le masque.
Derrière le masque
Jason est ici interprété par l'acteur Derek Mears (La Colline a des yeux 2), qui succède à Ken Kirzinger (Freddy contre Jason), Kane Hodder (Jason X, Vendredi 13 : Jason va en Enfer, Vendredi 13 : Jason conquiert Manhattan, Vendredi 13 : du sang neuf), C.J. Graham (Vendredi 13: Jason est vivant), Ted White (Vendredi 13 - Chapitre final), Richard Brooker (Vendredi 13 - 3e partie : Meurtres en trois dimensions) et Warrington Gillette (Vendredi 13 - 2e partie : Le tueur du venderdi) derrière le masque de hockey.
Des habitués de Jason
Les scénaristes de Vendredi 13, Damian Shannon et Mark Swift, ne sont pas des inconnus pour Jason Voorhees, puisqu'ils ont déjà participé à sa rencontre avec Freddy Krueger (Freddy contre Jason).
Re-faire équipe avec Marcus Nispel
Les producteurs de Vendredi 13 ont décidé de refaire appel à Marcus Nispel, qui avait déjà réalisé, pour eux, le remake de Massacre à la tronçonneuse : "Marcus a un bon sens du style, et en le faisant retravailler avec le chep opérateur Daniel Pearl, nous savions que nous aurions un film au look riche, beau et unique", explique le producteur Brad Fuller. "Marcus maîtrise parfaitement le timing de la peur, peut-être mieux que n'importe qui aujourd'hui. Cela peut sembler facile, mais c'est le même travail que celui d'un réalisateur de comédie, qui sait exactement où il doit placer une blague. Et il imprègne aussi le film d'une énergie frénétique."
Ce qui plaît au public
Le producteur Brad Fuller donne un élément de réponse : "J'ai moi-même participé à un camp d'été dans le Maine, et l'une des principales raisons de la terreur des spectateurs qui voient le film, c'est qu'eux aussi sont déjà allés à un camp de vacances, ou qu'ils ont déjà campé."
Comment refaire ce qui a été fait ?
C'est la question que s'est posée le réalisateur Marcus Nispel, au moment d'attaquer ce nouveau Vendredi 13 : "Quand on fait un tel film, il faut se demander : "Quel aspect de la mythologie fait que les gens ont envie de la revoir encore et encore ?" Puis il faut faire en sorte de leur donner ce qu'ils veulent, mais pas forcément ce à quoi ils s'attendent. Et c'est ce qui la rend le travail amusant."
« Préc.
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Venom|Jim Gillespie|Thriller||2|français|2005|83|Anglais||XviD|||XVID|1 008 Kbps|688x304|MPEG-1 Audio layer 3|160 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Kevin Williamson Karen Lauder|Flint Dille John Zuur Platten Brandon Boyce|Steve Mason||Dimension Films||Au plus profond des marécages de la Louisiane, un groupe d'adolescents tente de percer le mystère entourant la mort d'un de leurs amis. Au cours de leurs investigations, ils font la connaissance d'un dénommé Mr. Jangles, dont le comportement et les agissements se révèlent des plus énigmatiques et inquiétants. Très vite, ils vont s'apercevoir que cet homme est possédé par l'âme de 13 démons et qu'il met un acharnement diabolique à poursuivre de nouvelles victimes... |Method Man (Le député Turner)@James Pickens Jr. (Le sheriff)@Deborah Duke (Mademoiselle Emmie)@Agnes Bruckner (Eden)@Jonathan Jackson (Eric)@Laura Ramsey (Rachel)@D.J. Cotrona (Sean)@Rick Cramer (Ray)@Meagan Good (Cece)@Bijou Phillips (Tammy)@Pawel Szajda (Ricky)@Davetta Sherwood (Patty)@Stacey Travis (Laura)@Marcus Lyle Brown (Terry)@||||||||||||@@
Vertical Limit|Martin Campbell|Aventure||2|allemand, américain|2001|119|||DIV3|||DIV3|697 Kbps|576x320|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|681||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Martin Campbell Robert King|Robert King Terry Hayes|David Tattersall||Columbia TriStar Films||Lorsque la cordée a dévissé, Peter Garrett, un jeune alpiniste, a coupé la corde qui retenait son père Royce au-dessus du vide pour sauver la vie de sa soeur Annie et la sienne. Depuis, Annie et lui ne se voient plus.Trois ans plus tard, le hasard les réunit au pied du K2, où le richissime Elliot Vaughn organise une expédition. Pour la jeune femme, cette montagne réputée très dangereuse constitue un véritable défi. Le destin frappe à nouveau. Suite à une avalanche dévastatrice, Annie, Elliot et Tom, le chef de l'expédition, se retrouvent prisonniers d'une crevasse ensevelie à près de 8 000 mètres d'altitude.Leur emplacement étant inacessible par hélicoptère, Peter doit rechausser les crampons pour aller secourir sa soeur et son équipe. Avec une poignée d'alpinistes chevronnés, dont l'énigmatique Montgomery Wick et l'impétueuse Monique Aubertine, il se lance sur leurs traces. |Chris O'Donnell (Peter Garrett)@Robin Tunney (Annie Garrett)@Bill Paxton (Elliot Vaughn)@Scott Glenn (Montgomery Wick)@Izabella Scorupco (Monique Aubertine)@Nicholas Lea (Tom)@Stuart Wilson (Royce Garrett)@Tom Struthers (Alpiniste grunge)@Leos Stransky (Alpiniste grunge)@Temuera Morrison (Le major Rasul)@Augie Davis (Aziz)@Bruce kingan (Doublure Vol de Rasul)@Roshan Seth (Le Colonel Amir Salim)@Alejandro Valdes-Rochin (Le Sergent Asim)@Steve Le Marquand (Cyril Bench)@Rod Brown (Ali Hasan)@Ben Mendelsohn (Malcolm Bench)@Ed Viesturs (Ed Viesturs)@Alexander Siddig (Kareem Nazir)@Clinton Beavan (Le cameraman de WNN)@David Hayman (Franck )@Robert Mammone (Brian Maki)@Nicole Whippy (L'alpiniste Espagnole)@Campbell Cooley@Alistair Browning@||Secrets de tournage :
Une montagne en studio
Devant la difficulté de tourner la totalité des séquences en montagne, la production a construit un plateau temporaire réfrigéré de 2 000 mètres carrés près de Queenstown (Nouvelle-Zélande). Une montagne artificielle a été fabriquée à partir de mousse modelée sur des structures en acier et de blocs de polystyrène sculptés. De la cire a été pulvérisée sur la surface pour donner les reflets de la glace, puis le tout a été recouvert de "Snow Foam", un produit utilisé pour simuler la neige.
Des conditions de tournage particulières
David Tattersall, directeur de la photographie, précise : "Pour que le spectateur ait l'impression de se trouver lui aussi dans la montagne, il faut briser le cadre habituel en deux dimensions. La caméra est toujours en mouvement. Nous voulions donner littéralement le vertige... Dès que la caméra bouge, on prend conscience de la troisième dimension : la profondeur (...). La plupart des images ont été tournées avec un objectif de 27 mm ou plus, en privilégiant la profondeur de champ. Nous n'avons utilisé aucun filtre, un peu comme pour un documentaire. La qualité de l'image est pure."
D'autres alpinistes
Parmi la cinquantaine d'alpinistes chevronnés engagés, se trouvaient le Canadien Barry Blanchard, les Néo-Zélandais Guy Cotter, Kim Logan et Mark Whetu. Les acteurs ont suivi un mois d'entraînement sous la direction de Barry Blanchard, qui a travaillé sur Cliffhanger de Renny Harlin, K2, de Franc Roddam et A couteaux tirés de Lee Tamahori.
Ed Viesturs, à propos du film et des dangers de la montagne
"La plupart des situations décrites dans ce film sont l'exact reflet de ce qui se passe réellement dans la montagne (...).
Le K2 est réputé être la plus dangereuse des montagnes car aucune de ses voies d'accès n'est facile. Toutes les faces sont escarpées, les vents sont imprévisibles. Beaucoup de grimpeurs outrepassent les limites logiques pour atteindre l'objectif qu'ils se sont fixé et se retrouvent dans des situations périlleuses... incertains de redescendre en vie.
De vrais alpinistes
La production a fait appel à de véritables alpinistes, comme Ed Viesturs, qui joue son propre rôle et est consultant sur le tournage.
Quelques films de montagne...
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Cliffhanger de Renny Harlin, Sept ans au Tibet de Jean-Jacques Annaud, Horizons perdus de Frank Capra, Les Bronzés font du ski de Patrice Leconte, La lumière bleue de Leni Riefensthal.
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Vilaine|Jean-Patrick Benes Allan Mauduit|Comédie||2|français|2008|88|Français||XviD|||XVID|962 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|127 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Antoine Rein Fabrice Goldstein|Allan Mauduit Jean-Patrick Benes|Régis Blondeau||SND||Mélanie est une fille trop gentille. Sa mère, son patron, ses copines, sa voisine et même le chien de sa voisine le savent... et en profitent.Un jour, suite à une ultime humiliation, Mélanie décide de changer. Désormais elle va se venger de tout ceux qui lui ont pourri la vie.Sauf que la méchanceté, ça ne s'apprend pas en deux jours, surtout quand on a été une gentille fille toute sa vie... |Marilou Berry (Mélanie, Vilaine)@Frédérique Bel (Aurore)@Pierre-François Martin-Laval (Martinez)@Joséphine de Meaux (Blandine)@Thomas Ngijol (Innocent)@Chantal Lauby (Mère de Mélanie)@Alice Pol (Jessica)@Gil Alma (Jonathan)@Liliane Rovère (La grand-mère de Mélanie)@Charles Meurisse (Aymeric)@Eric Laugerias (le flic)@Jean-Claude Dreyfus (le narrateur)@Julien Lepers (lui-même)@Patrice Laffont (lui-même)@Sébastien Careil (un invité du mariage)@Joël Pyrène (Le client ironique)@||Secrets de tournage :
" Vilaine " vu par ses co-réalisateurs
Pour Allan Mauduit, Vilaine est avant tout un conte moderne qui pioche dans tous les registres d'humour mais sans jamais perdre le fil de l'histoire. " On n'a pas dérogé aux règles du conte, explique-t-il. La modernité vient du traitement qu'on a donné à cette fable. " Jean-Patrick Benes, quant à lui, définit cette comédie comme "la vengeance de Cendrillon". " Il y a aussi une référence à Amélie Poulain, confie-t-il. Notre héroïne s'appelle Mélanie Lupin. "
Un humour à la Ben Stiller
De son propre aveu, Jean-Patrick Benes est fan de Ben Stiller, Will Ferrell et Vince Vaughn. "C'est lui le plus "con"de nous deux, déclare Allan Mauduit. L'idée du chaton dans la poubelle, c'est lui !" Et son acolyte de poursuivre : "J'aime bien faire du mal aux animaux. J'adore le combat entre Ben Stiller et le chien dans Mary à tout prix. J'aime aussi beaucoup la mort des trois toutous dans Un poisson nommé Wanda. Pour revenir à l'idée du "politiquement incorrect", on adorait l'idée d'avoir un personnage qui fait le mal parce que ça lui fait du bien, contrairement à une Amélie Poulain qui fait le bien parce que ça lui fait du bien."
Un casting de "gueules"
Pour Vilaine, Allan Mauduit et Jean-Patrick Benes ont fait jouer en second plan de nombreuses personnes au faciès assez particulier. " On a trouvé beaucoup de comédiens en province, à Bordeaux notamment, et on a travaillé avec eux en amont, raconte Allan Mauduit. Par exemple, on a une quarantaine de petits vieux dans la maison de retraite qui sont géniaux." Et Jean-Patrick Benes d'ajouter : "Tous ont adoré jouer des rôles un peu barrés. Nous étions constamment en demande et nos premières indications de jeu étaient toujours de se lâcher. Quitte ensuite à corriger les effets."
Retour aux comédies à l'ancienne
Pour Marilou Berry, avec Vilaine, on renoue avec des comédies à l'ancienne, à la Louis De Funès, où le comique de situations est primordial. "Selon moi, soit on reste ancré dans une réalité, et cela peut être très drôle comme Le Goût des autres, soit on va à fond dans l'improbable, explique la comédienne. Aujourd'hui, il y a un entre-deux dans le cinéma français qui manque d'audace et de dérapage. Vilaine y va franco, comme peuvent le faire des comédies américaines avec Jim Carrey, et ça fait du bien."
Diversifier les prises
Les comédiens et les réalisateurs ont beaucoup travaillé en amont pour accorder leurs violons, et sur le tournage, ils ont diversifié les prises, d'abord en allant trop loin, puis en ajustant les effets, enfin en étant très sobres. "Ca laissait le choix à Allan et à Jean-Patrick, confie Marilou Berry. Finalement, on ne s'est pas posé tant de questions, on s'est amusé à jouer les situations. Faire les choses puis en discuter, c'est une méthode qui me plaît, alors qu'en général c'est l'inverse qui se produit."
Allan Mauduit et Jean-Patrick Benes vus par Marilou Berry
Sur le tournage, Allan Mauduit et Jean-Patrick Benes étaient très friands des propositions d'acteurs. "Et surtout, ils sont jeunes, s'exclame Marilou Berry. Ils n'ont pas les mêmes valeurs, règles et tabous que les réalisateurs du cinéma dit "installé". Par exemple, tout le monde pouvait regarder les rushes, ce qui est très rare. Ils sont ouverts, tout en ayant leurs idées et convictions, et ils ne se comportaient pas comme une entité au dessus de l'équipe. Il y avait vraiment l'idée et l'envie d'accomplir ce film à plusieurs."
Marre de jouer les bimbos
Au départ, c'est le rôle de Jessica, la bimbo, qui avait été proposé à Frédérique Bel, mais après quatre cent épisodes de La Minute Blonde, où elle interprétait Dorothy, la naïveté incarnée, elle tenait à sortir de cette facilité. "Artistiquement, je me dois de fuir ce genre d'évidences, confie la comédienne. Et puis, quand il n'y a pas de challenge, je m'ennuie. Du coup, j'ai débarqué au casting avec mon culot, en voulant jouer la chef des méchantes ! Il y avait déjà quelqu'un sur le coup, mais je leur ai dit : "Vous savez ce qu'est une vraie méchante ? C'est une fille qui vient voler le rôle à celle qui était prévue ! Laissez moi auditionner !!!". Je voulais leur montrer que je pouvais être Aurore la carnassière. Mais en rentrant chez moi, je n'en menais pas large ! J'ai bossé le scénario comme une malade, en cherchant ce que je pouvais apporter au personnage. J'ai décidé de mettre un maximum d'humour au service de sa méchanceté, car il n'y a rien de pire qu'une pétasse qui jubile avec étonnement de sa propre ignominie. J'aime toujours jouer avec les limites du hors sujet au niveau du ton... Et je suis revenue au casting : Allan et Jean-Patrick me donnaient la réplique, j'ai sorti le grand jeu : push up, regard manipulateur, bouche rouge, attitude SM castratrice, nez levé hautain avec l'assurance d'une voix posée... C'en était fait. J'avais tué la candide Dorothy, son Bon Dieu sans confessions, et la pauvre postulante dont je n'ai jamais su le nom."
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Volcano|Mick Jackson|Aventure||2|portugais, français, espagnol, japonais, américain|1997|99|Anglais||DIV3|||DIV3|845 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|32.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|694||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Neal Moritz Andrew Z. Davis|Jerome Armstrong Bill Ray|Theo van de Sande||UFD||Ce n'est pas une petite secousse sismique qui va inquiéter la population de Los Angeles, depuis longtemps habituée aux caprices de la nature. Mais ce matin-là, quelques heures après qu'une brève secousse eut reveillé la ville en sursaut, sept employés municipaux qui réparent une canalisation meurent carbonisés par l'émanation d'une forte chaleur. Dépechée sur les lieux, le docteur Amy Barnes de l'Institut géologique va constater qu'une éruption volcanique menace la ville. |Tommy Lee Jones (Mike Roark )@Anne Heche (Dr. Amy Barnes )@Gaby Hoffmann (Kelly Roark )@Keith David (Police Lieutenant Ed Fox )@Don Cheadle (Emmit Reese)@John Corbett (Norman Calder )@Jacqueline Kim (Dr. Jaye Calder )@Michael Rispoli (Gator Harris )@John Carroll Lynch (Stan Olber )@Marcello Thedford (Kevin )@Laurie Lathem (Rachel )@Dayton Callie (Roger Lapher)@Richard Schiff (Haskins)@||Secrets de tournage :
Un concurrent direct
A l'image de Deep impact et Armageddon en 1998, Le Pic de Dante a dû affronter un concurrent direct en 1997, en la personne de
Volcano, qui retraçait pour sa part une éruption au centre de Los Angeles. Sorti le 7 février soit avant Volcano (25 avril), Le Pic de Dante a remporté le bataille avec plus de 67 millions de dollars de recettes américaines contre 47,5 pour Volcano.
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Bolt|Chris Williams Byron Howard|Animation|Film pour enfants à partir de 3 ans|3|américain|2009|96|Anglais||XviD|||XVID|874 Kbps|640x352|MPEG-1 Audio layer 3|130 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Clark Spencer|Dan Fogelman Chris Williams|||Walt Disney Pictures||Pour le chien Volt, star d'une série télévisée à succès, chaque journée est riche d'aventure, de danger et de mystère - du moins devant les caméras. Ce n'est plus le cas lorsqu'il se retrouve par erreur loin des studios de Hollywood, à New York... Il va alors entamer la plus grande et la plus périlleuse de ses aventures - dans le monde réel, cette fois. Et il est convaincu que ses superpouvoirs et ses actes héroïques sont réels...Heureusement, Volt va se trouver deux curieux compagnons de voyage : un chat abandonné et blasé nommé Mittens, et un hamster fan de télé dans sa balle de plastique appelé Rhino. Volt va découvrir qu'il n'est pas nécessaire d'avoir des pouvoirs extraordinaires pour être un vrai héros... |Boris Rehlinger (le réalisateur (voix française))@Omar Sy (le chat maigre / les pigeons Joey, Billy, Tom, Bobby, Pigeon de campagne 2 (voix française))@Fred Testot (le gros chat / les pigeons Vinnie, Blake, Pigeon de campagne 1 (voix française))@Gilles Lellouche (Rhino (voix française))@Camille Donda (Penny (voix française))@Marie Vincent (Mitaine (voix française))@Eric Hérson-Macarel (Dr. Calico (voix française))@Richard Anconina (Volt (voix française))@||Secrets de tournage :
Moderne, mais pas trop
Même si Volt, star malgré lui est un film en images de synthèse à la pointe de la technologie, l'équipe a quand même eu recours a des storyboards classiques dessinés à la main (sur papier ou ordinateur) pour monter l'action scène par scène.
Mâle ou femelle ?
A l'origine du projet, la chatte de gouttière Mitaine s'appelait Mister Mitaine, parce que ses anciens maîtres n'ont jamais pris le temps de savoir si elle était un mâle ou une femelle. Un animal qui a décidément posé bien des problèmes à l'équipe du film, puisque son apparence est longtemps restée indécise : la difficulté n'était pas de choisir un pelage noir et blanc, mais de trouver un équilibre entre sa fourrure pelée et négligée, son côté voyou et peu soigné dû à sa vie misérable dans les rues de New York, et des parties de fourrure plus douces, visibles sous tous les angles de caméra.
L'origine de Volt
Le physique du personnage de Volt est librement inspiré de la race du Berger Blanc américain.
Le premier film réalisé en 3-D
Contrairement à Chicken Little et Bienvenue chez les Robinson, pourtant exploités en 3-D dans certaines salles, Volt, star malgré lui est le premier film d'animation issu des studios Disney à avoir bénéficié de ce procédé dès sa création, et non en post-production.
Repérage
Afin d'étudier les conditions de lumière des décors, et la façon dont elles pouvaient s'appliquer à l'univers du film, Adolph Lusinsky et son équipe ont voyagé à travers les Etats-Unis. C'est ainsi qu'ils se sont rendus dans des parcs de camping-cars dans l'Ohio, dans le désert autour de Las Vegas, dans les docks de San Francisco et les rues de New York.
That 70's show
Pour le style visuel de Volt, star malgré lui, les réalisateurs et le responsable du style visuel et de la mise en lumière, Adolph Lusinsky, se sont inspirés de certains films du début des années 70, à commencer par le travail des chefs opérateurs Gordon Willis et Vilmos Zsigmond sur certains longs métrages de Robert Altman.
Créer Rhino
La création du personnage de Rhino, un hamster dans sa boule, s'est révélé l'une des plus grandes difficultés du projet. Pour pouvoir saisir concrètement les mouvements du personnage, l'équipe du film a adopté un vrai hamster, qu'elle a baptisé Doink, et l'a filmé du dessous alors qu'il marchait sur une feuille de plexiglas, de façon à voir comment ses pattes se déplacent dans la boule de plastique.
Des doubleurs sur-volt-és !
A la base, Omar et Fred ne devaient doubler que des personnages de chat. Mais, en découvrant le film, le duo s'est aussi enthousiasmé pour les pigeons, et est ainsi devenu le deuxième tandem de comiques à doubler ce type d'animaux, après Eric et Ramzy dans Vaillant.
La leçon de cinéma de John Lasseter
"Je crois que pour faire un film - et surtout un film d'animation - qui ait vraiment du succès, il faut trois ingrédients", raconte le producteur John Lasseter. "D'abord, une histoire captivante qui tient le spectateur en haleine. Ensuite, des personnages attachants et marquants (...) Et pour finir, il faut placer cette histoire et ces personnages dans un monde crédible - pas réel, mais crédible pour le film et l'histoire que vous racontez. Il est fondamental que ces trois choses soient présentes et très étroitement liées. Et puis il faut aussi créer le lien avec le public, j'appelle cela le "fondement" : il faut montrer aux gens quelque chose de familier, mais d'une manière complètement inédite."
Une première qui a du chien
Première réalisation de Chris Williams, Volt, star malgré lui marque un tournant dans l'histoire de la branche animation des Studios Disney, puisqu'il est le premier film à avoir été conçu et produit sous l'égide de John Lasseter, ainsi que le tout premier avoir été réalisé en 3-D.
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Face/Off|John Woo|Thriller|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|1997|128|||DivX|||DIVX|689 Kbps|720x320|WMA2|64.1 Kbps|False|44.1 KHz|2|702||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Terence Chang Christopher Godsick Barrie M. Osborne David Permut|Mike Werb Michael Colleary|Oliver Wood||Gaumont Buena Vista International (GBVI)||Castor Troy, dangereux terroriste, est tombé dans le coma à la suite d'un affrontement avec Sean Archer, agent de la CIA. Grâce à une intervention chirurgicale, Archer prend le visage de Troy pour faire avouer au frère de ce dernier l'emplacement d'une bombe. Mais Troy sort du coma et prend à son tour le visage d'Archer. |John Travolta (Sean Archer/Castor Troy)@Nicolas Cage (Castor Troy/Sean Archer)@Joan Allen (Eve Archer)@Alessandro Nivola (Pollux Troy)@Gina Gershon (Sasha Hassler)@Dominique Swain (Jamie Archer)@Nick Cassavetes (Dietrich Hassler)@Harve Presnell (Lazzaro)@Colm Feore (Dr Malcolm Walsh)@CCH Pounder (Hollis Miller)@Margaret Cho (Wanda)@James Denton (Buzz)@Paul Hipp (Fitch)@Thomas Jane (Burke Hicks)@Danny Masterson (Karl)@John Carroll Lynch (Walton)@Robert Wisdom (Tito Biondi)@Matt Ross (Loomis)@Chris Bauer (Ivan Dubov)@Myles Jeffrey (Michael Archer)@David McCurley (Adam Hassler)@Tommy Flanagan (Leo)@Dana Smith (Lars)@Romy Windsor (Kimberly)@Kirk Baltz (Aldo)@Lisa Boyle (Cindee)@Linda Hoffman (Livia)@Matthew Ross (Loomis)@||||||||||||@@
Ravenous|Antonia Bird|Epouvante-horreur|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain|1999|93|Anglais||XviD|||XVID|900 Kbps|720x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|689||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Adam Fields David Heyman|Ted Griffin|Anthony B. Richmond||UFD||Au cours du violent conflit qui opposa les Etats-Unis au Mexique, une sanglante méprise fit un héros du capitaine John Boyd, homme pusillanime et lâche. Son supérieur hiérarchique n'est pas dupe et l'envoie aux confins enneigés et sauvages du pays, dans une compagnie constituée de singuliers personnages: le commandant Hart, le docteur Knox, Cleaves, le cuistot et Georges, un éclaireur indien. John Boyd est entraîné dans une enquête par l'étrange Colqhoun, qui déclare que ses compagnons de voyage ont été victimes d'un militaire cannibale rendu fou par le froid et la faim. |Guy Pearce (Le capitaine John Boyd)@Robert Carlyle (Colqhoun)@Jeffrey Jones (Le colonel Hart)@David Arquette (Cleaves)@Stephen Spinella (Le major Knox)@Joseph Running Fox (George)@Jeremy Davies (Toffler)@John Spencer (Le général Slauson)@Neal Mc Donough (Reich)@Bill Brochtrup (Lindus)@Sheila Tousey (Martha)@||Secrets de tournage :
Antonia Bird en remplacement
A l'origine, la réalisation devait être confiée à Milcho Manchevski, réalisateur de Before the Rain.
Ce fut Robert Carlyle qui appela lui-même Antonia Bird pour prendre le relais, après le départ de Milcho Manchevski.
Une météo capricieuse
La météo réserva bien des surprises à l'équipe du film. Le manteau neigeux disparaissait aussi brutalement qu'il était apparu. Ce qui rendait délicat de suivre à la lettre le scénario qui se situait en hiver. Pour Tim Van Rellim, producteur exécutif : " Le temps changeait dramatiquement d'un jour à l'autre. Parfois, dans la même journée." Durant la dernière semaine de tournage, la neige se remit à tomber... "A notre grande satisfaction, nous sommes revenus à la vision originelle, à un film enneigé. Avec un zeste de verdure cependant" termine David Heyman, coproducteur du film.
L'Ouest américain... en Europe
Le tournage des extérieurs devait se dérouler en Sierra Nevada. Mais pour des raisons budgétaires, la production décida d'installer différents plateaux en République Tchèque, en Slovaquie, mais aussi au Mexique.
Ted Griffin à propos du scénario
"Je ne tenais pas à ce que mon histoire de cannibalisme soit exclusivement liée au désir de continuer à vivre, à survivre coûte que coûte. Le dilemne de l'anthropophagie se pose en d'autres termes. En termes de volonté. Volonté de transcender un interdit. Mais je ne voulais pas, malgré la gravité des faits évoqués, aboutir à une intrigue déprimante, voire dépressive. Je tenais à écrire un scénario riche en surprises, en coups de théâtres propres à secouer, à surprendre le public."
Un fait historique
L'origine de Vorace est liée à un fait divers de la Conquête de l'Ouest. Il s'agit de la tragédie du Passage de Donner. Durant l'hiver 1847-1848, un groupe d'immigrants en route vers la Californie se retrouva bloqué par la neige, dans une région isolée, d'accès difficile. Après avoir épuisé leurs vivres, puis mangé leurs attelages et montures, les immigrants dévorèrent les cadavres de leurs morts...
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WALL·E|Andrew Stanton|Animation|Film pour enfants à partir de 6 ans|3|américain|2008|89|Anglais||DX50|||DX50|816 Kbps|560x240|AC3|256 Kbps|False|48.0 KHz|2|692||||23.976|27/08/2009 00:00:00|Jim Morris|Andrew Stanton|||Walt Disney Pictures||Faites la connaissance de WALL-E (prononcez "Walli") : WALL-E est le dernier être sur Terre et s'avère être un... petit robot ! 700 ans plus tôt, l'humanité a déserté notre planète laissant à cette incroyable petite machine le soin de nettoyer la Terre. Mais au bout de ces longues années, WALL-E a développé un petit défaut technique : une forte personnalité. Extrêmement curieux, très indiscret, il est surtout un peu trop seul...Cependant, sa vie s'apprête à être bouleversée avec l'arrivée d'une petite "robote", bien carénée et prénommée EVE. Tombant instantanément et éperdument amoureux d'elle, WALL-E va tout mettre en oeuvre pour la séduire. Et lorsqu'EVE est rappelée dans l'espace pour y terminer sa mission, WALL-E n'hésite pas un seul instant : il se lance à sa poursuite... Hors de question pour lui de laisser passer le seul amour de sa vie... Pour être à ses côtés, il est prêt à aller au bout de l'univers et vivre la plus fantastique des aventures ! |Philippe Bozo (WALL-E (voix))@Marie-Eugénie Maréchal (EVE (voix))@Emmanuel Jacomy (le Commandant (voix))@Herve Jolly (Shelby Forthright, président de BnL (voix))@Patrick Osmond (Auto (voix))@Mark Lesser (M-O (voix))@Jean Francois Aupied (John (voix))@Brigitte Virtudes (Mary (voix))@Pascale Clark (l'ordinateur de bord (voix française))@||Secrets de tournage :
Trois consonnes et deux voyelles... (air connu)
WALL-E sont en réalité les initiales de Waste Allocation Load Lifter Earth-Class, littéralement "Compacteur terrien de déchets". Quant au robot EVE il s'agit de Extra-terrestrial Vegetation Evaluator soit "évaluateur de végétation extraterrrestre".
En orbite depuis 1995 !
L'idée de WALL-E est née dans l'esprit d'Andrew Stanton et Peter Docter (Monstres & Cie) au milieu des années 90. A l'époque, le tandem planche sur ce petit personnage, convaincu de son potentiel, mais sait pertinemment que le financement pour un long métrage sera difficile à obtenir, notamment en raison des caractéristiques de leur droïde (un héros-objet "muet" ne s'exprimant qu'à travers ses mouvements et ses bruitages). Ce n'est qu'en 2001, alors qu'il planche sur Le Monde de Nemo, que Stanton reprend l'écriture, avec la bénédiction de Peter Docter. Il faudra encore sept longues années de travail (et donc près de quinze ans au total) pour que le projet aboutisse !
Un génie sonore se cache derrière WALL-E
Dès la première bande-annonce du film, les spectateurs sont tombés sous le charme du timbre robotique de WALL-E. Une "voix" à mettre au crédit d'un ingénieur du son de génie nommé Ben Burtt. On lui doit, entre autres, TOUS les bruitages de la saga Star Wars depuis 1977... et notamment ceux de R2-D2 et des autres droïdes qui peuplent la galaxie de George Lucas. Il fallait bien un tel spécialiste pour WALL-E...
L'une des clés de voûte de Pixar
WALL-E est le troisième long métrage (et le troisième film Pixar) réalisé par Andrew Stanton, après 1001 Pattes (1999, coréalisé par John Lasseter) et Le Monde de Nemo (2003, coréalisé par Lee Unkrich). Co-scénariste de la plupart des productions Pixar (Toy Story, 1001 Pattes, Toy Story 2, Monstres & Cie, Le Monde de Nemo), Andrew Stanton a écrit seul le script de WALL-E. Acteur à ses heures perdues, il a également campé vocalement l'Empereur Zurg dans Toy Story 2, la tortue Crush dans Le Monde de Nemo et la voiture Fred dans Cars.
De Apple... à Pixar... à Apple.
Plusieurs clins d'oeil à la marque informatique Apple parsèment le film. Outre le lecteur multimédia I-pod que Wall-E a conservé chez lui, l'alerte sonore indiquant que ses batteries sont rechargées est celle du démarrage des ordinateurs Macintosh. Enfin, le courbes du robot EVE ont été imaginées avec l'aide de Jonathan Ive à qui l'on doit le design de l'I-pod... Le lien entre Pixar et Apple est loin d'être anodin puisque Steve Jobs, fondateur d'Apple computer, fut tout simplement l'un des co-créateurs de Pixar en 1986.
Hello Wall-E
Le film sur lequel Wall-E travaille sa chorégraphie est Hello Dolly ! de Gene Kelly. La chanson "Put On Your Sunday Clothes" qui ouvre le film est aussi extraite de la comédie musicale.
L'Odyssée de WALL-E
WALL-E contient plusieurs références au film 2001 : l'odyssée de l'espace de Stanley Kubrick : l'oeil de l'autopilote de l'Axiom ressemble à s'y méprendre à l'inquiétant ordinateur de bord HAL 9000 de 2001, la musique utilisée lorsque le capitaine décide de se marcher est "Ainsi parlait Zarathoustra" de Richard Strauss, célèbre pour son utilisation dans 2001. Enfin le petit cafard de WALL-E se prénomme également HAL.
Comme en vrai...
Jeremy Lasky, directeur de la photographie : Nous avons développé notre technologie caméra et lumière pour donner l'impression à l'image qu'il y a une caméra et un objectif qui filment l'action. Nous avons utilisé un format d'image large et une faible profondeur de champ pour donner une vraie richesse à la photo. Vous pourrez remarquer des fonds flous, et des parties de décors plus ou moins nettes dans certains plans afin de créer des composition qui font presque penser à des aquarelles. (..) Nous avons aussi utilisé beaucoup de plans à la caméra à l'épaule ou à la Steadicam, surtout dans l'espace, afin de donner au public le sentiment que tout cela se produit réellement, qu'il y a vraiment un vrai robot qui se déplace dans un vrai monde."
Sigourney Weaver de retour dans l'espace
C'est l'actrice Sigourney Weaver qui prête sa voix à l'ordinateur de bord du vaisseau Axiom dans la version originale. Un choix plutôt ironique quand on connaît tous les problèmes qu'elle a rencontrés avec ce genre d'ordinateur dans le film Alien, le huitième passager.
Pas entièrement animé...
WALL-E est le tout premier film des studios Pixar à utiliser des séquences tournées en "live".
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xt_multc = "&x1=film_anecdote&x3=walla_e"; //keyword value
//do not modify below
if (window.xtparam!=null){window.xtparam+=xt_multc;}
else{window.xtparam =xt_multc;};
//-->
Les contributeursCe film a reçu 1 contribution, pour les secrets de tournage, de: Miamsolo
Les contributions faites sur cette fiche sont mises à disposition sous un contrat Creative Commons.
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Wallace & Gromit: the Curse of the Were-Rabbit|Nick Park Steve Box|Animation||3|américain, britannique|2005|78|Anglais||XviD|||XVID|1 123 Kbps|480x208|MPEG-1 Audio layer 3|32.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Steve Box Claire Jennings Peter Lord Carla Shelley Nick Park David Sproxton|Mark Burton Steve Box Bob Baker Nick Park|Dave Alex Riddett||Dreamworks Distribution LLC||Une "fièvre végétarienne" intense règne dans la petite ville de Wallace et Gromit, et l'ingénieux duo a mis à profit cet engouement en inventant un produit anti-nuisibles humain et écolo, qui épargne la vie des lapins. L'astuce consiste simplement à capturer, à la main, un maximum de ces rongeurs et à les mettre en cage.
A quelques jours du Grand Concours Annuel de Légumes, les affaires de Wallace et Gromit n'ont jamais été aussi florissantes, et tout irait pour le mieux dans le meilleur des mondes, si un lapin-garou géant ne venait soudain s'attaquer aux sacro-saints potagers de la ville. Pour faire face à ce péril inédit, l'organisatrice du concours, Lady Tottington, se tourne vers nos deux "spécialistes" et leur demande d'appréhender le monstre. |Helena Bonham Carter (Lady Tottington (voix))@Peter Sallis (Wallace (voix))@Ralph Fiennes (Victor Quartermaine (voix))@Peter Kay (PC Mackintosh (voix))@Nicholas C. Smith (Révérend Haies (voix))@Liz Smith (Mme Pioche (voix))@Mark Gatiss (Miss Blight (voix))@Geraldine McEwan (Miss Thripp (voix))@John Thomson (M. Windfall (voix))@Vincent Ebrahim (M. Caliche (voix))@Edward Kelsey (M. Growbag (voix))@Dicken Ashworth (M. Mulch (voix))@Robert Horvath (M. Dibber (voix))@Pete Atkin (M. Crock (voix))@Noni Lewis (Mme Girdling (voix))@||Secrets de tournage :
Le premier long-métrage avec Wallace et Gromit
Le Mystère du lapin-garou est le premier long-métrage mettant en scène les célèbres personnages de pâte à modeler Wallace et Gromit. Nick Park, leur créateur, n'avait en effet réalisé que trois courts métrages avec eux auparavant : Une grande excursion, Un mauvais pantalon et Rasé de près. Ces deux derniers ont par ailleurs remporté l'Oscar du meilleur court-métrage d'animation, respectivement en 1994 et 1996. " Réaliser un Wallace & Gromit de 30 minutes exige déjà énormément de temps, de soin et de patience, explique Nick Park. Un long métrage de 85 minutes revient à bâtir... la Muraille de Chine avec des allumettes ! Il a fallu cinq ans d'efforts ininterrompus, parce que chaque détail compte, y compris les plus minuscules. Je pense toutefois que le défi majeur fut d'inventer l'intrigue qui nous permettrait de passer d'un coup de 30 minutes à 85."
Aardman / Dreamworks : 2ème !
Wallace et Gromit le mystère du lapin-garou est la deuxième collaboration entre les studios Aardman et DreamWorks Animation après Chicken Run. A cette occasion, Mark Burton, l'un des scénaristes de Madagascar (produit par DreamWorks), est venu participer à l'élaboration du script.
D'animateur à co-réalisateur
Animateur sur Un mauvais pantalon et Rasé de près, Steve Box fut choisi comme co-réalisateur du Mystère du lapin-garou aux cotés de Nick Park, faisant ainsi son entrée dans le long métrage.
Un film d'horreur végétarien
" Les films de Wallace & Gromit ont toujours fait référence à d'autres genres cinématographiques, avoue Nick Park. Nous étions ravis d'adresser ce clin d'oeil aux films d'horreur Universal des années trente et quarante. Leur fameux Loup-Garou devient ici un Lapin-Garou, qui au lieu de dévorer des êtres de chair et de sang, s'en prend aux... légumes. Et c'est ainsi que Wallace et Gromit le mystère du lapin-garou est devenu le premier film d'horreur végétarien de l'histoire du cinéma. "
Une pâte à modeler spéciale
Chaque figurine utilisée dans le film est constituée d'un squelette métallique recouvert d'une pâte à modeler spéciale (l'Aard-mix), plus résistante que la pâte à modeler courante. A l'inverse des figurines de Chicken Run dont la texture était parfaitement lisse, celles du Mystère du lapin garou conservent quelques imperfections visant à renforcer le côté artisinal qui fait le charme des films de Wallace et Gromit.
De la création des figurines à leur animation
La plupart des figurines étaient dupliquées dans diverses poses et costumes. Plus de 35 versions de Wallace ont été ainsi réalisées, et plus d'une douzaine pour Lady Tottington et Victor. Une fois la fabrication des figurines achevées, elles étaient livrées aux 30 animateurs "clés" et assistants animateurs.
Patience et longueur de temps...
Un geste ou un seul déplacement de personnage demande jusqu'à 24 postures par secondes. L'équipe d'animateurs, qui travaillait sur plus de 30 plateaux en même temps, ne pouvait ainsi totaliser plus de dix secondes utiles par jour de tournage.
Gromit, " Le plus grand comédien de tous les temps "
La figurine du chien Gromit est celle qui a posé le plus de problèmes aux animateurs. Toutes ses pensées et émotions devaient être exprimées par ses mimiques et son langage corporel : " Gromit me fait penser à un acteur du muet, explique la comédienne Helena Bonham Carter. Il n'a pas besoin de parler, car l'on sait toujours exactement ce qu'il est en train de penser. À bien y réfléchir, c'est peut-être le plus grand comédien de tous les temps !"
Les animateurs et le problème du lapin-garou
La figurine du lapin-garou posa elle aussi beaucoup de problèmes aux animateurs. Sa fourrure soyeuse interdisait de le toucher, sous peine d'y laisser des traces de doigts. Pour résoudre ce casse-tête, les animateurs fixaient dans le dos de la figurine de petits leviers actionnant une délicate machinerie interne. Les dimensions et le poids de la figurine, sensiblement supérieurs à la moyenne, posèrent encore d'autres problèmes :"Chaque mouvement imposait à l'armature un supplément d'effort et "fatiguait" davantage le revêtement", explique l'animateur clé Ian Whitlock. "La moindre impulsion demandait de notre part une énergie considérable, ce qui était en contradiction avec la fluidité et la grâce recherchées."
Des touches de numérique
Pour la première fois dans l'histoire des studios Aardman, Nick Park décida de faire appel à l'imagerie numérique afin de compléter certains plans : " La pâte à modeler est un matériau limité, qui vous interdit, par exemple, de simuler l'eau, la fumée, le brouillard. C'est pour cela que nous avons demandé à la Moving Picture Company (MPC) de créer les effets visuels du mystère du lapin-garou... Il est loin le temps héroïque où nous nous efforcions de créer ce genre d'effet en agitant des petites boules de coton au bout d'un fil ! "
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Wasabi|Gérard Krawczyk|Action||3|français|2001|89|Français||XviD|||XVID|951 Kbps|512x400|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Luc Besson|Luc Besson|Gérard Sterin||EuropaCorp Distribution||Flic solitaire au grand coeur mais aux méthodes parfois musclées, l'inspecteur Hubert se retrouve en vacances forcées après avoir rossé le fils du préfet. Un jour, il reçoit le coup de fil d'un notaire qui lui annonce que Miko, la femme de sa vie disparue vingt ans auparavant, vient de mourir dans d'étranges circonstances. Seul légataire testamentaire, Hubert débarque au Japon, accueilli par son ancien équipier, pour découvrir ce dont il a hérité. |Jean Reno (Hubert)@Michel Muller (Maurice)@Ryoko Hirosue (Yumi)@Carole Bouquet (Sofia)@Ludovic Berthillot (Jean Baptiste (1))@Yann Epstein (Jean Baptiste (2))@Michel Scourneau (Van Eyck)@Christian Sinniger (le squale)@Véronique Balme (Betty)@||Secrets de tournage :
Un tournage sans autorisation
Au Japon, les autorisations de tournage ne sont pas délivrées par une autorité de tutelle. Chaque parcelle de terrain, chaque mètre carré de trottoir appartient à un commerçant ou à un artisan. Pour tourner un film, la production doit recueillir un avis favorable de chacun des propriétaires. Cette procédure se révélant longue et fastidieuse, certains plans du film ont été tournés sans autorisation. Comme le résume Gérard Krawczyk, "vous êtes dans des conditions quasi proches de l'IDHEC quand je tournais mon court métrage sans autorisation".
Une popularité gênante
Stars au Japon, Jean Reno et Ryoko Hirosue ont été assailli durant le tournage par des hordes de fans. L'équipe du film a donc été contrainte de filmer à la sauvette quelques plans du film, tant la foule, reconnaissant les comédiens, se pressait sur les lieux de tournage.
Krawczyk retrouve Besson
Pour la deuxième fois de sa carrière, le réalisateur est associé au producteur Luc Besson. Ensemble, ils avaient déjà collaboré sur Taxi (sur lequel Krawczyk remplaça au pied levé un Gérard Pirès souffrant) et Taxi 2.
Une production Europa
A la tête de la maison de production Europa Corp., Luc Besson a produit le film. La société compte déjà à son actif un long métrage, Le Baiser mortel du dragon de Chris Nahon, et prépare Taxi 3, Tête de noeud, The Transporter.
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Watchmen|Zack Snyder|Science fiction|Interdit aux moins de 12 ans|3|américain, britannique|2009|162|Anglais||XviD|||XVID|468 Kbps|608x256|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||23.976|02/08/2009 00:00:00|Larry Gordon Lloyd Levin Deborah Snyder|David Hayter Alex Tse|Larry Fong||Paramount Pictures France|Saga : Watchmen |Aventure à la fois complexe et mystérieuse sur plusieurs niveaux, "Watchmen - Les Gardiens" - se passe dans une Amérique alternative de 1985 où les super-héros font partie du quotidien et où l'Horloge de l'Apocalypse -symbole de la tension entre les Etats-Unis et l'Union Soviétique- indique en permanence minuit moins cinq. Lorsque l'un de ses anciens collègues est assassiné, Rorschach, un justicier masqué un peu à plat mais non moins déterminé, va découvrir un complot qui menace de tuer et de discréditer tous les super-héros du passé et du présent. Alors qu'il reprend contact avec son ancienne légion de justiciers -un groupe hétéroclite de super-héros retraités, seul l'un d'entre-eux possède de véritables pouvoirs- Rorschach entrevoit un complot inquiétant et de grande envergure lié à leur passé commun et qui aura des conséquences catastrophiques pour le futur. Leur mission est de protéger l'humanité... Mais qui veille sur ces gardiens ? |Carla Gugino@Jeffrey Dean Morgan@Malin Akerman@Patrick Wilson@Billy Crudup@Jackie Earle Haley@Matthew Goode@Stephen McHattie@Matt Frewer@Danny Woodburn@Carrie Genzel@Laura Mennell@Salli Saffioti@Niall Matter@Brett Stimely@Dan Payne@Chris Gauthier@Sonya Salomaa@Jay Brazeau@Leah Gibson@Darryl Scheelar@Apollonia Vanova@Greg Travis@Matthew Harrison@Jerry Wasserman@Darren Shahlavi@Tyler McClendon@Patrick Sabongui@Gary Houston@Rob LaBelle@Isabelle Champeau@Jesse Reid@Marsha Regis@Manoj Sood@Stephanie Belding@Ron Fassler@||Secrets de tournage :
De vilaines choses en commun
En plus d'avoir partagé l'affiche de Little Children, Patrick Wilson et Jackie Earle Haley ont en commun d'avoir tous deux incarné un pédophile (dans Hard Candy et Little Children).
Note d'intention de Zack Snyder
"J'ai le sentiment que nous avons réussi quelque chose de particulier - un film qui ne satisfait pas uniquement les fans que compte le roman graphique depuis sa parution, mais attire également les néophytes", déclare le réalisateur. "Les inconditionnels pourront découvrir la transposition sur grand écran des personnages et scènes qu'ils aiments, ainsi que la réalité alternative complexe du roman graphique, tandis que le reste du public verra des super-héros agir d'une façon qu'ils n'avaient jamais envisagée auparavant. Et si, au final, Watchmen est considéré comme une bande-annonce de 2h30 pour le livre, ce sera ma plus belle récompense."
Créer le Dr. Manhattan
Entièrement en images de synthèses, le personnage du Dr. Manhattan a logiquement représenté l'un des plus gros défis du film. Sa création s'est donc faite en deux étapes : le comédien Billy Crudup a d'abord joué ses scènes recouvert de capteurs, puis ces derniers ont servi aux infographistes pour créer le personnage, tout en conservant les expressions de l'acteur. Un procédé appelé performance capture.
Un gros stock de costumes
Vu la grande variété de personnages présents (et d'époques, de 1938 à 1985) dans le film, l'équipe s'est retrouvée avec un stock composé de près de 150 000 pièces de costumes.
Le jour et la nuit...
Pour la tenue du Hibou, les costumiers se sont inspirés de la technologie aérospatiale des 70's. Comme le révèle Michael Wilkinson, le chef costumier, "Zack Snyder voulait que Dan, une fois costumé de la sorte, perde sa timidité naturelle et devienne légèrement effrayant". De même, il fallait souligner le contraste entre look diurne et nocturne pour Laurie Jupiter, Spectre Soyeux et Hibou devenant à la nuit tombée plus dangereux et sexy (avec des faux airs de Batman pour ce dernier, cela n'aura échappé à personne...)
Le masque mouvant
Le masque de Rorschach est constitué de lycra (4 épaisseurs), sur lequel l'équipe effets numériques a créé les taches d'encre mouvantes qui le caractérisent. "Un bel exemple de collaboration entre costumes et effets numériques" selon Michael Wilkinson. Pour peaufiner l'effet, des capteurs de mouvement furent appliqués sur la totalité du masque, à l'exception des yeux (il fallait quand même que Jackie Earle Haley y voit quelque chose). Le "morphing" des taches varie en fonction des scènes et des indications données par le réalisateur. Pour John DesJardin, superviseur des effets visuels, il s'agissait de "calquer les expressions de Rorschach sur les dessins de Dave Gibbons".
Dave Gibbons impressionné
Le souci du détail dont Zack Snyder a fait preuve pour faire vivre l'univers des Watchmen sur grand écran en a impressionné plus d'un, à commencer par Dave Gibbons, le dessinateur du roman graphique.
L'ombre de Kubrick
Pour créer le bunker de Nixon, le chef décorateur Alex McDowell avoue s'être en partie inspiré de la salle de guerre du Docteur Folamour de Stanley Kubrick.
La Chevauchée des Walkyries
Autre référence explicite dans le film, celle à Apocalypse Now, lors d'une scène se déroulant durant la guerre du Vietnam. On peut y entendre le célèbre extrait de La Walkyrie composé par Richard Wagner, et que faisait résonner depuis son hélicoptère, dans le film de Francis Ford Coppola, l'invraisemblable Lieutenant-Colonel Kilgore (interprété par Robert Duvall) pour terroriser l'adversaire, lors de l'attaque d'un village vietnamien. Un air qui est également évoqué dans le roman graphique : Hollis Mason, le premier Hibou, en évoquant dans ses Mémoires un souvenir d'enfance, affirme qu'il n'est "rien de plus triste au monde" pour lui que la célèbre Chevauchée. La boucle est bouclée.
Merci internet !
Bien avant que Zack Snyder ne se mette à la recherche des interprètes de ses Watchmen, des fans, sur internet, avaient déjà commencé à élaborer leur casting idéal, en tête duquel figurait Jackie Earle Haley pour le rôle de Rorschach. Un rôle que le comédien a justement obtenu dans le film.
L'enfant chéri
Après avoir incarné Léonidas enfant dans 300, Eli Snyder, fils du réalisateur, tourne ici une nouvelle fois sous la direction de son père, dans le rôle du jeune Rorschach.
L'enthousiasme de Lawrence Gordon
Le producteur de Watchmen ne tarit pas d'éloges envers celui qui a sur porter le roman graphique à l'écran : "Après avoir tenté pendant plus de 15 ans de faire de "Watchmen" un film, je ne pouvais pas être plus emballé [par le choix de Zack Snyder, ndlr]. A chaque étape de la production - de l'écriture du scénario à la finalisation du look du film, en passant par la réunion de l'équipe créative et la direction de notre merveilleux casting - Zack Snyder a fait un travail incroyable."
Au moment de sa sortie en librairie...
... Watchmen, le roman graphique, a profondément marqué les lecteurs en leur présentant une réalité qu'ils jugeaient plus palpable qu'abstraite. Elevés au milieu de la course au nucléaire, les gens y ont en effet vu l'illustration du malaise qui règnait à cette époque (les années 80), marquée par la Guerre Froide.
Mère et fille
Mère et fille dans le film (alors qu'elle n'ont que 7 ans d'écart en vrai), Carla Gugino et Malin Akerman ont en commun d'avoir été la compagne de Ben Stiller dans La Nuit au musée et Les Femmes de ses rêves.
Le coup de main de Dave Gibbons
C'est le dessinateur du roman graphique, Dave Gibbons lui-même, qui est l'auteur de la première affiche teaser de Watchmen, suite à une demande faite par Zack Snyder.
La valse des réalisateurs
Longtemps jugé inadaptable, Watchmen a vu de nombreux réalisateurs se casser les dents sur le projet, à l'instar de Terry Gilliam, David Hayter, Darren Aronofsky et Paul Greengrass. Auréolé du succès public et critique de 300, Zack Snyder a pris en main l'adaptation cinéma de l'oeuvre à la fin 2006.
Fidélité avant tout
Comme il l'avait fait pour 300, Zack Snyder a composé le storyboard de Watchmen à partir des planches du roman graphique (et du scénario), de façon à être le plus fidèle possible au matériau de base. Alex McDowell, le chef décorateur, rapporte d'ailleurs que "Zack [leur] a fourni deux épais volumes auxquels [ils se sont] constamment reportés : ses storyboards sur une page, avec, en regard, des références picturales, et des développements d'idées contenues dans les dessins". Dès le départ, l'objectif du réalisateur était d'adapter le roman graphique tel quel, sans l'actualiser. Comme le rapporte Deborah Snyder, "Zack avait un profond respect pour le matériau original et considérait que le seul moyen de l'adapter était d'y coller au plus près. Changer d'époque, privilégier tel ou tel personnage aurait nui à cette oeuvre qui a toujours été plus que la somme de ses parties".
Un script aux oubliettes
Avant que David Hayter et Alex Tse ne s'y collent, un scénario avait déjà été écrit par Sam Hamm (auteur de celui du Batman de Tim Burton). Sauf que celui-ci a purement et simplement été jeté aux oubliettes.
La valse des acteurs
Au même titre que les réalisateurs, beaucoup d'acteurs ont failli se glisser dans la peau des personnages de Watchmen. Lorsque Terry Gilliam était attaché à la réalisation, ce dernier aurait pu diriger Robin Williams (Rorschach), Jamie Lee Curtis (Le Spectre Soyeux), Gary Busey (Le Comédien), et hésitait entre Kevin Costner et Richard Gere pour le rôle du Hibou. Simon Pegg aurait également pu jouer Rorschach, tandis que Tom Cruise, Jude Law, Joaquin Phoenix et John Cusack avaient exprimé leur intérêt pour le rôle du Hibou, et qu'une rumeur annonçait Sigourney Weaver, puis Hilary Swank dans la peau du Spectre Soyeux.
LE chef d'oeuvre des romans graphiques
Publié entre septembre 1986 et octobre 1987 par DC Comics (à raison d'un chapitre par mois, soit douze chapitres), Watchmen est considéré comme la Joconde des comic-books. Signée Alan Moore (au texte) & Dave Gibbons (au dessin), cette oeuvre-fleuve reste à ce jour le seul roman graphique à avoir été cité par le Time parmi les "100 meilleurs romans en langue anglaise depuis 1923". D'une profondeur incroyable, misant sur un croisement complexe entre réalisme, symbolisme, anticipation et critique politique et sociale, ce comic situe son histoire dans un 1985 parallèle, où la Guerre Froide est à son apogée, où les Etats-Unis ont remporté la Guerre du Vietnam et où Richard Nixon achève son cinquième mandat à la Maison-Blanche. Dans une atmosphère de fin du monde, un groupe de super-héros (sans super-pouvoirs, à l'exception de l'un d'entre-eux, le Dr. Manhattan) ressort ses costumes du placard pour enquêter sur la mort de l'un d'entre-eux. Humains, faillibles, imparfaits -à l'image du plus célèbre d'entre-eux, le psychotique Rorschach-, les Gardiens vont mettre à jour un étrange complot...
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Wayne's World|Penelope Spheeris|Comédie||3|américain|1992|94|Anglais||DIV3|||DIV3|891 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|690||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Lorne Michaels|Mike Myers Bonnie Turner Terry Turner|Theo van de Sande||United International Pictures (UIP)|Saga : Wayne's World |Deux adolescents ont transformé une cave en studio de télévision et y anime chaque nuit une émission musicale diffusée sur un réseau câblé local. Un ambitieux producteur de télévision, séduit par leur style débridé, décide de leur donner leur première grande chance. |Mike Myers (Wayne Campbell)@Dana Carvey (Garth Algar)@Rob Lowe (Benjamin Oliver)@Tia Carrere (Cassandra)@Brian Doyle-Murray (Noah Vanderhoff)@Lara Flynn Boyle (Stacy)@Michael DeLuise (Alan)@Meat Loaf (Tiny)@Dan Bell (Neil)@Lee Tergesen (Terry)@Kurt Fuller (Russell)@Colleen Camp@Chris Farley@Robert Patrick@Ione Skye@Ed O'Neill@||||||||||||@@
Wayne's world 2|Stephen Surjik|Comédie||3|américain|1994|90|Anglais||DivX|||DIVX|950 Kbps|640x368|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|44.1 KHz|2|692||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Lorne Michaels|Mike Myers Bonnie Turner Terry Turner|Francis Kenny||United International Pictures (UIP)|Saga : Wayne's World |On retrouve nos deux étudiants rockers en Angleterre, où ils sont venus réaliser un rêve : monter le plus grand concert rock de la décennie. |Mike Myers (Wayne Campbell)@Dana Carvey (Garth Algar)@Tia Carrere (Cassandra)@Christopher Walken (Bobby)@Kim Basinger (Honey Hornee)@Ralph Brown (Del Preston)@Lee Tergesen (Terry)@Dan Bell (Neil)@Charlton Heston (Le bon acteur)@Kevin Pollak (Jerry Segel)@Drew Barrymore (Bjergen Kjergen)@Harry Shearer (Handsome Dan)@Heather Locklear (Elle-même)@Jay Leno (Lui-même)@Rip Taylor (Lui-même)@Steve Tyler (Lui-même)@Tom Hamilton (Lui-même)@Joey Kramer (Lui-même)@Joe Perry (Lui-même)@Bradley Whitford (Lui-même)@||||||||||||@@
Welcome to Death Row|S. Leigh Savidge|Documentaire|||Etats-unis|1|101|||XviD|||XVID|850 Kbps|720x400|AC3|192 Kbps|False|48.0 KHz|2|761||||25.000|28/07/2009 00:00:00|||||||Death Row Records a explosé sur la scène musicale en 1993 avec le
son "Gangsta Rap" qui a conquis le monde instantanément. En dépit
de son succès sans précédent, le label s'est vite transformé en une
tempête de rivalités, d'avidités, de violence... Raconté par les
vrais acteurs et témoins de ce label, voici l'histoire complète et
obscure de cette entreprise musicale énigmatique... |Snoop Doggy Dogg@||||||||||||@@
Welcome to the Jungle|Jonathan Hensleigh|Epouvante-horreur||1|américain|2007|75|Anglais||XviD|||XVID|1 162 Kbps|720x400|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Gale Anne Hurd|Jonathan Hensleigh|Jonathan Hensleigh||||L'histoire effrayante de deux couples partis en vacances soit disant organisées. Croyants qu'ils pourraient retrouver Michael Rockfeller, ils s'aventurent dans la plus profonde jungle de Nouvelle Guinée. Totalement hors de leurs environnements habituels, très vite ils se disputent et décident de se séparer sans connaître l'horreur qui les attend... |Sandy Gardiner (Mandi)@Callard Harris (Colby)@Veronica Sywak (Bijou)@Nick Richey (Mikey)@D. Kevin Epps (Fijian Warrior Shaman)@John Leonetti (Le pilote de l'helicoptère)@Richard Morris (II) (Missionnaire Chrétien)@Rich Morris (Missionnaire Chrétien)@Jeran Pascascio (Fijian Warrior)@Darren Thomas (Fijian Warrior)@Del Roy (Vieil homme)@||||||||||||@@
West Side Story|Robert Wise Jerome Robbins|Comédie musicale||3|américain|1962|147|Anglais||XviD|||XVID|553 Kbps|720x304|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Robert Wise|Jerome Robbins Ernest Lehman|Daniel L. Fapp||Carlotta Films||Dans le West Side, bas quartier de New York, deux bandes de jeunes s'affrontent, les Sharks de Bernardo et les Jets de Riff. Un ex des Jets, Tony, s'éprend de Maria, la soeur de Bernardo. |Natalie Wood (Maria)@Richard Beymer (Tony )@George Chakiris (Bernardo )@Rita Moreno (Anita )@Russ Tamblyn (Riff )@Suzie Kaye (Rosalia)@Simon Oakland (Lieutenant Schrank)@Ned Glass (Doc)@William Bramley (Officier Krupke)@Tucker Smith (Ice)@Tony Mordente (Action)@José De Vega (Chino)@Yvonne Wilder (Consuelo)@Joanne Miya (Francisca)@John Astin@||Secrets de tournage :
Les vues aériennes
Les premiers plans du film sont une vue aérienne de Manhattan, puis la caméra survole les gratte-ciels et zoome progressivement sur le quartier du West Side. Aucun film n'avait jamais montré New York de cette façon en ouverture. Autres innovations, l'utilisation de grues pour filmer le prologue dansé.
Tiré d'un spectacle à succès
Ce film est la transposition fidèle d'un spectacle de Broadway qui porte le même titre. Créé le 26 septembre 1957, West side story triomphe pendant trois ans au Wintergarden de New York. Les producteurs de la Mirisch Company en rachètent alors les droits en imposant Robert Wise comme réalisateur et en refusant de reprendre les artistes du spectacle.
Un Roméo et Juliette moderne
L'histoire de West side story est inspiré de Roméo et Juliette de Shakespeare. Jerome Robbins réfléchit à sa transposition dès 1949. Au départ, il veut opposer des Juifs et des Irlandais catholiques, puis il abandonne l'argument religieux pour celui de l'immigration en choisissant de mettre en scène un gang de Portoricains affrontant une bande d'Américains. Il colle ainsi à l'actualité, New York commençant dans ces années-là à connaître des affrontements ethniques. La scène chantée qui comporte le titre "Tonight" et réunit Tony et Maria est inspirée de la scène du balcon de Roméo et Juliette.
Un tournant dans la comédie musicale
Au début des années soixante, la comédie musicale hollywoodienne est en plein déclin à Hollywood. West side story va connaître un succès énorme en rompant complètement avec les codes du genre. La joie de vivre fait place dans ce film au drame, le mythe de l'American way of life est démonté en présentant les difficultés des immigrés portoricains à s'intégrer, et les séquences dansées représentent pour la plupart la violence avec laquelle deux gangs rivaux s'opposent.
La collaboration Bernstein/Robbins
Le chorégraphe Jerome Robbins et le compositeur Leonard Bernstein ont derrière eux une longue collaboration avant le tournage de West side story. Ils ont travaillé ensemble sur des films comme Un jour à New York en 1944 et sur des spectacles créés à Broadway tels que Fancy free (1944), Le Roi et moi (1951), Peter Pan (1954) et West Side story (1957).
Deux réalisateurs
Si Jerome Robbins est crédité en tant que réalisateur au même titre que Robert Wise, c'est qu'il a réglé les séquences dansées et chantées du prologue, de "America", "Cool" et "I Feel pretty". Les deux hommes ont travaillé en étroite collaboration même si Jerome Robbins n'a assisté qu'à une toute petite partie du tournage.
Les décors
L'équipe du film s'est installée pendant cinq semaines dans le West side de Manhattan (68e et 110e rues), notamment pour tourner la séquence dansée d'ouverture. Le reste a été réalisé dans les Studios Goldwyn à Hollywood.
Une production ambitieuse
Doté d'un budget de 6 millions de dollars, le tournage a commencé le 10 août 1960 et a duré six mois. Une production ambitieuse pour une comédie musicale.
Natalie Wood est Maria
Contrairement à son partenaire masculin Richard Beymer, Natalie Wood est une star internationale au moment où elle doit jouer dans ce film. Son rôle de Maria dans West Side story sera l'un des plus gros succès de sa carrière.
Un inconnu du nom de George Chakiris
Le comédien et danseur George Chakiris qui a interprété le personnage de Riff dans le spectacle de Brodway donné à Londres, est inconnu du public quand il décroche le rôle de Benardo dans ce film. Sa prestation lui vaut un Oscar du Meilleur second rôle masculin.
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Willow|Ron Howard|Fantastique||3|américain|1988|120|Anglais||DX50|||DX50|660 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|127 Kbps|False|48.0 KHz|2|690||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Nigel Wooll|Bob Dolman George Lucas|Adrian Biddle||United International Pictures (UIP)||Il était une fois un royaume peuplé de petits habitants apppelés les Nelwyns. Ce peuple paisible était dominé de temps immémorial par les Daikinis, gens de grand taille gouvernés par la cruelle reine Bavmorda. Or il advint qu'un prophète annonçât la naissance d'une princesse appelée à detrôner Bavmorda. La terrible reine ordonna alors de tuer céans tous les nouveaux-nés du royaume. Elora échapppa au massacre et ce fut Willow, un jeune Nelwyn féru de magie, qui la recueillit. Mais Bavmorda n'avait pas dit son dernier mot... |Val Kilmer (Madmartigan)@Warwick Davis (Willow Ufgood)@Jean Marsh (la reine Bavmorda)@Billy Barty (le Grand Aldwin)@Joanne Whalley (Sorsha)@Kevin Pollak@Kenny Baker@David H. Steinberg@Patricia Hayes@||Secrets de tournage :
L'affirmation d'une nouvelle voie
Ron Howard, jusqu'ici habitué aux comédies, dit avoir ressenti le besoin de s'immerger dans une histoire féerique afin d'élargir sa palette de cinéaste. S'il redoutait lors de Cocoon, son précédent film, de se confronter au travail avec les effets spéciaux, l'expérience de Willow semble avoir été suffisamment positive pour qu'il poursuive dans cette voie (avec Apollo 13 notamment).
Nostalgie, nostalgie...
Gavan O'Herlihy a joué plus de dix ans auparavant aux côtés de Ron Howard dans la première saison de la série TV Happy Days. Howard interprétait le rouquin Ritchie Cunningham et Gavan, son frère aîné Chuck. Il incarne ici le personnage d'Airk Thaughbaer.
L'agence matrimoniale Willow
L'air de Nouvelle-Zélande semble avoir été particulièrement propice aux rapprochements, puisqu'à la faveur du tournage Val Kilmer et Joanne Whalley deviennent mari et femmes, tout comme l'acteur de petite taille Warwick Davis rencontre lui aussi sa future épouse parmis les figurants des villageois Nelwyn.
R2D2 dans Willow
Kenny Baker, acteur vétéran de la saga Star wars (puisqu'il y joue R2D2 dans tous les épisodes), interprète ici le rôle d'un Nelwyn.
Pour ceux qui veulent en savoir plus...
La sortie de Willow sur les écrans fut suivie par la parution d'une trilogie de livres publiés entre 1995 et 1999 sous le nom des Chronicles of the Shadow War. Ce cycle se déroule 12 ans après les événements dépeints dans Willow. Il est écris par Chris Claremont, d'après une histoire originale de Georges Lucas.
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Winter Break|Marni Banack|Comédie||3|américain|2003|93|Anglais||XviD|||XVID|900 Kbps|576x320|MPEG-1 Audio layer 3|131 Kbps|False|48.0 KHz|2|694||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Sim Sarna Mark Botvinick|Mark Botvinick|George Mooradian||||Sortis du lycée, quatre amis décident de s'offrir des vaccances au ski à Aspen. L'occasion de réfléchir à leur vie, leur carrière et leurs amours... |Milo Ventimiglia (Matt Raymand)@Eddie Kaye Thomas (Peter Rothner)@Justin Urich (Tyler Woods)@Eddie Mills (Carter Boyd)@Sean Smith (l'officier)@Anna Faris (Justine)@Rachel Wilson (Kirsten)@Victor Alfieri (Vito)@Maggie Lawson (Michelle)@George Lazenby (Campbell Grady)@||||||||||||@@
Wolfen|Michael Wadleigh|Epouvante-horreur||3|américain|1982|114|Anglais||XviD|||XVID|848 Kbps|720x480|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|803||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Rupert Hitzig|Michael Wadleigh David Eyre Eric Roth|Gerry Fisher||Warner Bros.||Un policier new-yorkais enquête sur une série de meurtres inexpliqués qui semblent avoir été commis par des animaux. |Albert Finney (Dewey Wilson)@Diane Venora (Rebecca Neff)@Edward James Olmos (Eddie Holt)@Gregory Hines (Whittington)@Tom Noonan (Ferguson)@Sam Gray (le maire)@Dick O'Neill (Warren)@Dehl Berti (le vieil Indien)@Ralph Bell (Commissaire)@Peter Michael Goetz (Ross)@Max M. Brown (Christopher van der Veer)@Anne Marie Pohtamo (Pauline van der Veer)@Sarah Felder (Cicely Rensselaer)@James Tolkan (Baldy)@E. Brian Dean (Fouchek)@Jeffery Thompson (Harrison)@Frank Adonis (Scola)@||||||||||||@@
The X Files|Rob Bowman|Fantastique||2|canadien, américain|1998|117|Anglais||XviD|||XVID|694 Kbps|544x224|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||25.000|27/08/2009 00:00:00|Daniel Sackheim Chris Carter|Chris Carter Frank Spotnitz|Ward Russell||UFD|Saga : X-Files |Les inénarrables aventures de l'agent Fox Mulder et de sa coéquipière Dana Scully adaptées ici pour le grand écran. Tout commence par la découverte, au nord du Texas, d'ossements préhistoriques dans une grotte par un jeune garçon. A leur contact un mystérieux parasite pénètre sa peau et envahit son organisme. Le corps de l'enfant est évacué par un certain Bronschweig avant l'arrivée des secours. Mulder et Scully vont bientôt découvrir un projet de guerre bactériologique par la propagation d'un virus. Le nord du Texas servirait de champ d'expérimentation...Note : adaptation de la série X Files. |David Duchovny (Fox Mulder)@Gillian Anderson (Dana Scully)@Mitch Pileggi (Skinner)@John Neville (L'homme aux doigts manucurés)@Martin Landau (Docteur Alvin Kurtzweil)@William B. Davis (L'homme à la cigarette)@Jeffrey DeMunn (Dr Ben Bronschweig)@Blythe Danner (Jana Cassidy)@Terry O'Quinn (Darius Michaud)@Armin Mueller-Stahl (Conrad Strughold)@Lucas Black (Stevie)@Ted King (l'agent du FBI sur le toit)@Jason Beghe@||||||||||||@@
X-Men|Bryan Singer|Fantastique||3|américain|2000|101|Anglais||DX50|||DX50|840 Kbps|704x304|MPEG-1 Audio layer 3|112 Kbps|False|48.0 KHz|2|697||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Lauren Shuler Donner Ralph Winter|David Hayter Bryan Singer Tom DeSanto|Newton Thomas Sigel|||Saga : X-Men |1944, dans un camp de concentration. Séparé par la force de ses parents, le jeune Erik Magnus Lehnsherr se découvre d'étranges pouvoirs sous le coup de la colère : il peut contrôler les métaux. C'est un mutant. Soixante ans plus tard, l'existence des mutants est reconnue mais provoque toujours un vif émoi au sein de la population. Puissant télépathe, le professeur Charles Xavier dirige une école destinée à recueillir ces êtres différents, souvent rejetés par les humains, et accueille un nouveau venu solitaire au passé mystérieux : Logan, alias Wolverine. En compagnie de Cyclope, Tornade et Jean Grey, les deux hommes forment les X-Men et vont affronter les sombres mutants ralliés à la cause de Erik Lehnsherr / Magnéto, en guerre contre l'humanité. |Hugh Jackman (Wolverine (Logan))@Ian McKellen (Magneto (Erik Magnus Lehnsherr))@Patrick Stewart (Professeur X (Professeur Charles Francis Xavier))@Famke Janssen (Docteur Jean Grey)@Halle Berry (Tornade / Storm (Ororo Munroe))@James Marsden (Cyclope / Cyclops (Scott Summers))@Anna Paquin (Malicia / Rogue (Marie D'Ancanto))@Tyler Mane (Dents-de-Sabre / Sabretooth (Victor Creed))@Ray Park (Crapaud / Toad (Mortimer Toynbee))@Rebecca Romijn (Mystique (Raven Darkholme))@Bruce Davison (le sénateur Robert Kelly)@Shawn Ashmore (Iceberg / Iceman (Bobby Drake))@Alex Burton (Pyro (St. John Allerdyce))@Sumela Kay (Shadowcat (Kitty Pride))@Katrina Florece (Jubilee (Jubilation Lee) )@Donald Mackinnon (Colossus (Piotr "Peter" Nikolaievitch Rasputin))@Jon Davey (Cannonball (Samuel Guthrie))@Stan Lee (le vendeur de hot-dogs sur la plage)@Brett Morris (Erik Lehnsherr jeune)@D.B. Sweeney (un officier de police)@Tom DeSanto (le policier avec le Crapaud)@David Hayter (le policier au musée)@George Buza (le camionneur)@||Secrets de tournage :
Un comic-book culte
Créée par Stan Lee et publiée pour la première fois en 1963, l'aventure des X-Men est rapidement devenue un comic-book culte aux Etats-Unis, puis dans le monde. Saga lucrative et à la longévité exceptionnelle (près de quarante ans), elle est désormais publiée dans huit éditions, certaines centrées sur certains personnages (Wolverine notamment). Le film n'est pas l'adaptation d'un épisode de la BD en particulier, mais fait intervenir des personnages des différentes époques de la série.
"Dans la famille Marvel Comics, je demande..."
X-Men n'est pas le premier (ni le dernier) comic book Marvel transposé au cinéma. Parmi les nombreuses adaptations passées et à venir, on peut citer Blade / Blade II / Blade III, Punisher, Captain America, Spider-Man / The Amazing Spider-Man, Hulk, The Fantastic four, Daredevil, Ghost Rider ou encore Iron Fist.
Bryan Singer, un élève doué
Néophyte dans l'univers des X-Men, Bryan Singer s'est plongé dans la saga mutante pour mieux en appréhender les thèmes porteurs, les histoires et les personnages. Au final, il aura lu la totalité des comic-books estampillés X-Men, et regardé les soixante-dix épisodes de la série animée.
Retrouvailles Ian McKellen / Patrick Stewart
Nés et élevés dans la même région d'Angleterre, Ian McKellen et Patrick Stewart ont suivi le même parcours. Parcours qui les a mené jusqu'aux planches de la Royal Shakespeare Company, où ils n'ont pu jouer qu'une seule et unique fois ensemble. X-Men et X-Men 2 marquent donc leurs deuxième et troisième collaborations.
Dans la peau de Wolverine
Personnage le plus apprécié de la saga mutante, Wolverine devait initialement être incarné par l'Ecossais Dougray Scott. Toutefois, retenu par ses obligations sur Mission : impossible 2 (dans lequel il interprète le sombre adversaire de Tom Cruise), le comédien a laissé sa place à Hugh Jackman. Révélé mondialement grâce à ce rôle, l'Australien, quasiment inconnu avant l'aventure X-Men est désormais l'un des acteurs en vogue à Hollywood. Le comédien revient sur la popularité de son personnage : "Lorsque je me suis rendu à Toronto pour ma dernière audition, j'ai expliqué à l'officier des douanes que j'avais un rendez-vous de casting pour X-Men. Ses yeux se sont illuminés d'un coup et il m'a demandé quel serait mon rôle. Je lui répondis 'Wolverine'. 'Wolverine !'", hurla t-il au comble de l'excitation, et il sollicita sur le champ un autographe. J'avais beau protester qu'il ne s'agissait encore que d'un entretien, il n'a rien voulu rien savoir. J'ai compris alors ce que Wolverine et ses compagnons représentaient pour les fans".
Se plongeant au coeur de son personnage, Hugh Jackman a énormément travaillé pour rendre au mieux son aspect sauvage, brutal et solitaire. Parallèlement à un entraînement au combat rapproché "à la griffe", il prenait régulièrement des douches glacées pour conférer à Wolverine sa rage caractéristique. De même, pour maintenir un véritable antagonisme entre Wolverine et son adversaire direct (Dents-de-Sabre), il essaya de se rapprocher le moins possible de Tyler Mane en dehors du tournage, afin de conserver une véritable "rivalité" entre eux.
Retrouvailles...
X-Men marque la deuxième collaboration entre Ian McKellen (Magnéto) et le réalisateur Bryan Singer après Un élève doué. Etrangement, Ian McKellen interprète dans ce film un ancien officier nazi, alors qu'il campe un rescapé des camps de concentration dans X-Men...
Rumeurs de casting
Très attendue, l'adaptation de X-Men a fait l'objet de nombreuses rumeurs, changeantes en fonction des attentes des fans. Ainsi, parmi les noms murmurés, on retrouvait ceux de Mel Gibson, Harvey Keitel, Russell Crowe, Viggo Mortensen ou Aaron Eckhart (Wolverine), David Duchovny (Cyclope) ou encore Angela Bassett (Tornade).
D.B. Sweeney : un petit rôle pour se consoler
Fan des X-Men devant l'éternel, le comédie D.B. Sweeney a auditionné sans succès pour le rôle de Cyclope. Néanmoins, il participera à l'aventure X-Men à travers un très court rôle de policier.
Des mutants et des dollars
X-Men a été un véritable succès au box-office, rapportant 157 millions de dollars outre-Atlantique et plus de 294 millions de dollars dans le monde. En France, 1,8 millions de spectateurs ont répondu à l'appel des mutants.
Spider-Man n'est pas loin !
Autre mutant célèbre made in Marvel, Spider-Man fait une apparition clin d'oeil lors d'une scène comique coupée au montage. L'homme araignée débarque en plein dialogue entre X-Men, avant de se rendre compte de son erreur et de déclarer "Ce n'est pas le bon film !" ("Wrong movie !" en version originale). Une séquence disponible sur le DVD du film, via un bonus caché.
Des problèmes vestimentaires pour les mutants !
Les comédiens rencontrèrent divers problèmes liés à leur garde-robe. Ainsi, James Marsden (Cyclope), Rebecca Romijn-Stamos (Mystique) et Tornade (Halle Berry) eurent beaucoup de mal à supporter leurs lentilles de contact ou lunettes créées spécialement pour le film, dont le contact leur était insupportable et limitait leur champ de vision. De même, pensés avant tout pour leur design, les costumes de cuir des X-Men étaient loin d'êtres confortables, surtout lors du tournage de scènes d'action : confinant les acteurs dans une chaleur étouffante, ils faillirent provoquer quelques malaises, notamment à Hugh Jackman...
700 griffes pour Wolverine !
Les griffes utilisées par Hugh Jackman / Wolverine sur le tournage étaient de cinq sortes différentes : bois, plastique, aluminium, métal et... numériques. Subissant souvent un traitement de choc lors des scènes de cascades ou de combat, elles devaient être changées très souvent. Au final, plus de 700 griffes furent ainsi utilisées par le comédien.
Le plus grand "fond bleu" de l'histoire
Scène d'action centrale du film, le combat au sommet de la Statue de la Liberté a nécessité la construction d'un imposant décor, réplique aux proportions de moitié supérieures au monument original pour le confort des acteurs et de l'équipe technique. Afin de permettre une incrustation du paysage de New York en fond, cette séquence a été tournée devant le plus grand "fond bleu" jamais utilisé au cinéma.
Clin d'oeil à "Star wars : épisode 1" !
Interprète du sombre Darth Maul dans Star wars : épisode 1 - La Menace fantôme, Ray Park (Crapaud) fait un clin d'oeil à son personnage dans X-Men lors d'une scène de combat : après avoir poussé Tornade dans l'ascenseur, il s'empare d'une longue barre de fer qu'il fait tournoyer avant de s'immobiliser dans une posture d'attaque qui n'est pas sans rappeler l'art du combat au sabre laser de Darth Maul...
Le scénario : un accouchement difficile
Difficile d'établir un scénario et une histoire à partir d'un comic-book à succès publié depuis près de quarante ans. De nombreux scénaristes se sont ainsi attelés à cette adaptation très attendue, comme Christopher McQuarrie, Ed Solomon, Joss Whedon ou John Logan. Toutefois, seuls le réalisateur Bryan Singer et David Hayter seront crédités au générique.
Un catcheur parmi les X-Men
Ancien catcheur professionnel, l'impressionnant Tyler Mane (2,07 mètres pour 125 kilos) s'est vu confier le rôle physique du mutant Dents-de-Sabre. Il revient sur cette première expérience cinématographique : "Il n'y a rien d'étonnant à passer de la lutte à la comédie. Un combat se déroule sur l'arène la plus brutale, la plus dépouillée qui soit. Il vous livre en pâture à une foule qui décèle au premier regard la moindre de vos faiblesses. Sur le ring, vou devez également composer un personnage ?d'ange, de bourreau, de démon...-, qui n'a rien à voir avec vous même. Si vous en êtes capables, vous n'aurez guère de difficulté à passer du ring à la scène ou aux studios".
Maquillage éprouvant pour Mystique
Le maquillage bleu de la mutante Mystique demanda de longues heures de patience à la comédienne Rebecca Romijn-Stamos, qui devait subir pendant plus entre six et dix heures les coups de pinceaux des professionnels des effets spéciaux. Au final, plus de 70 pièces de latex devaient êtres déposés sur la comédienne, dont le corps était recouvert à 60 % par les prothèses bleues. Elle tournait donc quasiment "nue", ce qui lui rendit le tournage canadien en extérieur d'autant plus pénible et difficile.
Pas seulement un film d'action
"Les histoires des X-Men ont une dimension allégorique évidente", explique le réalisateur Bryan Singer. "Conçues durant une période particulièrement tumultueuse (la lute pour les droit civils aux Etats-Unis), elles évoquent notamment le droit à la différence et possèdent un riche contenu social et politique. (...) X-Men montre aussi combien il est difficile d'atteindre un niveau de tolérance acceptable par tous, et mutuellement bénéfique". "X-Men est fondamentalement une allégorie anti-préjugés", reprend le producteur Tom DeSanto. "On y retrouve à la fois Martin Luther King et Malcolm X, et l'on voit aussi s'y profiler l'avenir de notre Espèce : Xavier rêve d'une coexistence pacifique entre hommes et mutants, alors que Magnéto, Darwinien à tous crins, estime que les mutants doivent s'imposer aux dépens des frêles humains". Un avis partagé par la productrice Lauren Shuler Donner : "La série repose sur des personnages solides et complexes, et s'appuie sur des thèmes soigneusement définis, comme les préjugés ou la répression. Son message sous-jacent est clair : nous sommes tous des mutants et des inadaptés".
Propagande anti-mutants
Quelques semaines avant la sortie du film, les studios Fox développèrent une stratégie marketing efficace, mettant en scène un faux message politique du Sénateur Kelly, appelant la population américaine à se méfier des mutants et à voter une loi destinée à les garder sou contrôle. Une "propagande" qui, si elle n'a pas atteint son "but politique", a largement attiré les foules vers les salles obscures...
Un film sous surveillance
Véritable phénomène culturel, la saga X-Men rassemble des millions de fans à travers le monde. Des fans "gardiens du temple" qui ont suivi le processus de développement du film avec un oeil avisé, critiquant ou accueillant positivement toute nouvelle information (officielle ou officieuse) émanant du tournage, de la production ou de sources plus obscures. Ainsi, malgré une sécurité accrue autour des plateaux pour maintenir le plus grand secret possible, les rumeurs, informations et contre-informations se sont multipliées sur la toile autour d'un film aussi attendu que craint par les fans d'aventures mutantes...
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X2|Bryan Singer|Fantastique||3|américain|2003|119|Anglais||XviD|||XVID|699 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|716||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Lauren Shuler Donner Ralph Winter|Michael Dougherty Dan Harris David Hayter Zak Penn Bryan Singer|Newton Thomas Sigel||UFD|Saga : X-Men |Toujours considérés comme des monstres par une société qui les rejette, les mutants sont une nouvelle fois au centre des débats alors qu'un crime effroyable commis par l'un d'eux relance la polémique autour de l'Acte d'Enregistrement des Mutants et le mouvement anti-mutants, dirigé par l'ancien militaire William Stryker. Quand ce dernier lance une attaque contre l'école de mutants du Professeur Charles Xavier, les X-Men se préparent à une guerre sans merci pour leur survie, aidés de Magnéto, récemment évadé de sa cellule de plastique. Parallèlement, Wolverine enquête sur son mystérieux passé, auquel Stryker, dont on dit qu'il a mené de nombreuses expériences sur les mutants, ne serait pas étranger... |Patrick Stewart (le professeur X (le professeur Charles Francis Xavier))@Hugh Jackman (Wolverine (Logan) )@Ian McKellen (Magneto (Erik Magnus Lehnsherr))@Halle Berry (Tornade / Storm (Ororo Munroe))@Famke Janssen (le docteur Jean Grey)@James Marsden (Cyclope / Cyclops (Scott Summers))@Rebecca Romijn (Mystique (Raven Darkholme) )@Anna Paquin (Malicia / Rogue (Marie))@Alan Cumming (Diablo / Nightcrawler (Kurt Wagner))@Brian Cox (le Général William Stryker)@Kelly Hu (Deathstrike (Yuriko Oyama))@Shawn Ashmore (Iceberg / Iceman (Bobby Drake))@Aaron Stanford (Pyro (John Allerdyce))@Bruce Davison (le sénateur Robert Kelly)@Katie Stuart (Shadowcat (Kitty Pryde))@Kea Wong (Jubilee (Jubilation Lee) )@Shauna Kain (Siryn)@Daniel Cudmore (Colossus (Piotr Rasputin))@Michael Reid MacKay (Jason 143)@Keely Purvis (la petite fille 143)@Connor Widdoes (Jones)@Bryce Hodgson (Artie)@Cotter Smith (le Président McKenna)@Jill Teed (Madeline Drake)@James Nichol Kirk (Ronny Drake)@Ty Olsson (Mitchell Laurio)@Bryan Singer (Un agent de sécurité dans la prison de Magneto)@Alfred E. Humphreys (Steven Drake)@||Secrets de tournage :
La saga "X-Men" sur grand écran
X-Men est le premier film de la saga mutante. Il est suivi par X² (2003) et X-Men l'affrontement final (2006) ainsi que par des spin-off (films dérivés) très attendus, centrées sur un personnage en particulier (on parle beaucoup de Wolverine et de l'enfance de Magneto).
Un comic-book culte
Créée par Stan Lee et publiée pour la première fois en 1963, l'aventure des X-Men est rapidement devenue un comic-book culte aux Etats-Unis, puis dans le monde. Saga lucrative et à la longévité exceptionnelle (près de quarante ans), elle est désormais publiée dans huit éditions, certaines centrées sur certains personnages (Wolverine notamment). Le film n'est pas l'adaptation d'un épisode de la BD en particulier, mais fait intervenir des personnages des différentes époques de la série.
"Dans la famille Marvel Comics, je demande..."
X-Men n'est pas le premier (ni le dernier) comic book Marvel transposé au cinéma. Parmi les nombreuses adaptations passées et à venir, on peut citer Blade / Blade II / Blade III, Punisher, Captain America, Spider-Man / The Amazing Spider-Man, Hulk, The Fantastic four, Daredevil, Ghost Rider ou encore Iron Fist.
Plus qu'une suite...
Pour le réalisateur Bryan Singer, X-Men 2 n'est pas seulement un "deuxième épisode" lambda mais une véritable aventure en soi, dans laquelle il a pu entièrement se consacrer à l'histoire sans avoir à introduire les personnages. "X-Men 2 n'est pas une suite. C'est la nouvelle aventure de la saga, une 'évolution' du premier film. Nous n'avons pas seulement suivi le destin des principaux personnages du premier film, nous dévoilons une nouvelle génération de X-Men, ainsi que de nouveaux méchants. Comme n'importe quel bon comic-book, l'univers des X-Men est fait pour être élargi. Ces histoires peuvent continuer à jamais. Cette nouvelle aventure m'a offert l'opportunité d'approfondir les différentes histoires et trames, ainsi que les personnages, et de m'éclater encore plus. X-Men 2 est plus tendu, plus sombre, plus drôle et plus romantique que le premier opus".
Les petits nouveaux
De nouveaux mutants font leur apparition dans ce second volet, pour le plus grand plaisir des fans. Parmi eux, on retiendra Alan Cumming alias Diablo (Nightcrawler en version originale), un mutant à la peau bleue et doté d'une queue fourchue, doué d'une agilité surhumaine et capable de se téléporter (agilité qui a amené Alan Cumming à collaborer avec un entraîneur de cirque !), et Kelly Hu alias Lady Deathstrike, le pendant féminin de Wolverine, aux griffes acérées en adamantium fixées sur son squelette, sans oublier Syrin (Shauna Kain), Jubilee (Kea Wong) et autres Colossus (Daniel Cudmore). Les passionnés de comic-books ne pourront toutefois pas y découvrir Le Fauve, Gambit, Angel ou Marrow, annoncés lors des premières rumeurs autour du projet...
"Nous avons trois générations dans ce film", explique le réalisateur Bryan Singer. "Et tous sont prêts à se battre pour survivre dans cette 'évolution-révolution'. C'est génial que nous ayons repris là où on s'était arrêté avec les X-Men plus âgés comme Wolverine, Cyclope ou Tornade, mais c'était encore plus amusant d'introduire une nouvelle génération. Nous avons une école pleine d'étudiants aux pouvoirs extraordinaires. La chance de pouvoir se pencher sur ces jeunes personnages était une formidable opportunité pour enrichir l'histoire, et peut-être l'avenir de la saga".
Pourquoi Diablo ?
Le choix des nouveaux mutants pour X-Men 2 était essentiel, et le verdict attendu par tous les fans du comic-book. Bryan Singer s'explique quant au choix de Diablo/Nightcrawler, un mutant à la peau bleue, aux yeux jaunes et doté d'une queue fourchué, capable de se téléporter, interprété par Alan Cumming : "J'ai choisi Diablo pour X-Men 2 à cause des dichotomies fascinantes de ce personnage. Son allure de démon et ses profondes croyances religieuses contribuent à lui porter préjudice et à le frapper d'ostracisme, à l'exclure. Qui ne peut s'en sentir proche ? Et de plus, il possède des pouvoirs et des effets sonores parmi les plus cools" (dont le "BAMPF !" accompagnant chaque téléportation, directement inspiré du "son" du comic-book) !
Budget en hausse pour les mutants
Ayant prouvé aux producteurs de la Fox sa capacité à gérer un budget conséquent sur X-Men (75 millions de dollars), le réalisateur Bryan Singer a pu bénéficier d'un très lourd budget supérieur à 100 millions de dollars pour cette suite. Une confiance dans le projet également imputable aux excellentes recettes du premier volet, qui avait généré près de 300 millions de dollars dans le monde lors de son exploitation en salles.
Bryan Singer, un élève doué
Néophyte dans l'univers des X-Men, Bryan Singer s'est plongé dans la saga mutante pour mieux en appréhender les thèmes porteurs, les histoires et les personnages. Au final, il aura lu la totalité des comic-books estampillés X-Men, et regardé les soixante-dix épisodes de la série animée.
Dans la peau de Wolverine
Personnage le plus apprécié de la saga mutante, Wolverine devait initialement être incarné par l'Ecossais Dougray Scott. Toutefois, retenu par ses obligations sur Mission : impossible 2 (dans lequel il interprète le sombre adversaire de Tom Cruise), le comédien a laissé sa place à Hugh Jackman. Révélé mondialement grâce à ce rôle, l'Australien, quasiment inconnu avant l'aventure X-Men est désormais l'un des acteurs en vogue à Hollywood. Le comédien revient sur la popularité de son personnage : "Lorsque je me suis rendu à Toronto pour ma dernière audition, j'ai expliqué à l'officier des douanes que j'avais un rendez-vous de casting pour X-Men. Ses yeux se sont illuminés d'un coup et il m'a demandé quel serait mon rôle. Je lui répondis 'Wolverine'. 'Wolverine !'", hurla t-il au comble de l'excitation, et il sollicita sur le champ un autographe. J'avais beau protester qu'il ne s'agissait encore que d'un entretien, il n'a rien voulu rien savoir. J'ai compris alors ce que Wolverine et ses compagnons représentaient pour les fans".
Se plongeant au coeur de son personnage, Hugh Jackman a énormément travaillé pour rendre au mieux son aspect sauvage, brutal et solitaire. Parallèlement à un entraînement au combat rapproché "à la griffe", il prenait régulièrement des douches glacées pour conférer à Wolverine sa rage caractéristique. Le comédien avoue également s'être énormément inspiré des anciens films de Clint Eastwood, du personnage de Mad Max, et de... Mike Tyson !
La soeur de Hugh Jackman est Wolverine !
Etonnant ! En visite sur le plateau du film, la soeur de Hugh Jackman a décidé de faire une petite surprise à son acteur de frère, grâce à la complicité de l'équipe de maquillage : déguisée en Wolverine elle a véritablement surpris le comédien par sa ressemblance avec le personnage... Plus fort, ce dernier a voulu faire à son tour une plaisanterie aux techniciens et à Bryan Singer en envoyant sa soeur sur le plateau à sa place pour le tournage d'une scène ! Au bout de trente secondes, le pseudo-Hugh Jackman ne déclamant pas sa ligne de dialogue, Bryan Singer l'a quelque peu pressé, pour voir le véritable acteur surgir derrière lui et déclarer : "Laisse moi la place petite soeur, je m'en occupe à partir d'ici..." Est-il besoin de préciser que l'équipe et le cinéaste n'en croyaient pas leurs yeux ?
Dur dur d'être Wolverine...
Pour reprendre avec efficacité son rôle de Wolverine, Hugh Jackman dut se remettre sérieusement à l'entraînement. Habitude qu'il avait perdue. Aidé du coach qui entraîna Angelina Jolie pour Lara Croft : Tomb raider, il travailla la musculation et l'aérobic six mois durant, à raison de cinq fois par semaine, mangeant parallèlement des aliments riches en protéines, pour regagner la masse musculaire nécessaire à son rôle.
Redoutable Kelly Hu...
Kelly Hu, qui incarne la nouvelle venue Lady Deathstrike dans X-Men 2, sorte de pendant féminin à Wolverine (Hugh Jackman), est une véritable (et redoutable) combattante à la ville : l'actrice est en effet ceinture noire de karaté.
Séance de rattrapage
Etranger à l'univers des X-Men, Brian Cox, interprète du sombre William Stryker dans X-Men 2, avoue n'avoir découvert le premier film que la... veille de son premier jour de tournage, dans l'avion l'amenant au Canada !
Retrouvailles...
X-Men 2 marque la troisième collaboration entre Ian McKellen (Magnéto) et le réalisateur Bryan Singer après Un élève doué et X-Men, et entre Hugh Jackman et Halle Berry après X-Men et Opération Espadon.
Retrouvailles d'acteurs "Bondiens"
X-Men 2 permet à trois acteurs de la saga James Bond de se côtoyer à l'écran. Ainsi, Famke Janssen (Jean Grey) et Alan Cumming (Diablo) incarnaient deux méchants dans GoldenEye, alors que Halle Berry (Tornade) campait la belle mais fatale Jinx dans Meurs un autre jour.
Retrouvailles Ian McKellen / Patrick Stewart
Nés et élevés dans la même région d'Angleterre, Ian McKellen et Patrick Stewart ont suivi le même parcours. Parcours qui les a mené jusqu'aux planches de la Royal Shakespeare Company, où ils n'ont pu jouer qu'une seule et unique fois ensemble. X-Men et X-Men 2 marquent donc leurs deuxième et troisième collaborations.
Un monteur à la baguette...
Etonnant. Sur X-Men 2, c'est le même homme qui occupe les postes de monteur et de compositeur de la bande-originale : John Ottman.
Une Maison Blanche plus vraie que nature
Pour les besoins d'une scène essentielle se déroulant à la Maison Blanche, le célèbre Bureau Ovale du Président américain a entièrement été recrée à l'identique par l'équipe du film, à une échelle un peu plus importante que le véritable bureau, afin de pouvoir y déplacer les caméras. Pour que l'illusion soit parafite, le chef décorateur a fidèlement reproduit le nouveau tapis dessiné par la first lady (le femme du Président George W. Bush) elle-même, ainsi que les portraits des précédents présidents accrochés au mur, imprimés puis enduits d'une substance spéciale pour leur donner l'aspect de peintures à l'huile... "Le bureau du Président a été minutieusement reproduit", explique Guy Hendrix Dyas. "Les armoiries de son bureau ont été reproduites à la main, en argile. C'est un meuble incroyablement élaboré qui a demandé deux mois de travail..."
Maquillage éprouvant
Les maquillages bleu des mutants Mystique et Diablo demandèrent de longues heures de patience aux acteurs Rebecca Romijn-Stamos et Alan Cumming. Ainsi, même si la technique a véritablement été perfectionnée depuis le premier film (où elle passait jusqu'à dix heures au maquillage), la comédienne devait toutefois se lever à 2h00 du matin pour être transformée en Mystique sur X-Men 2. Quant Alan Cumming, il lui fallait près de 8 heures pour devenir Diablo !
Nouveau look
Nouveau venu dans l'univers des X-Men, le chef décorateur Guy Hendrix Dyas a créé plus de 2 000 dessins de production, afin d'offrir à Bryan Singer une très large vision du monde des mutants. "Bryan souhaitait que je donne de l'ampleur à leur univers. Il voulait que X-Men 2 soit plus imposant en termes d'extérieurs, il voulait plus d'ampleur, plus de perspective. L'aspect visuel du film devait renvoyer à l'approfondissement de l'histoire. X-Men 2 devait apparaître plus grand, et plus imposant visuellement parlant. Vous ne voudriez pas regarder un film qui vous donne l'impression d'être au même endroit que trois ans plus tôt".
Le nouveau look de X-Men 2 fait appel à la fois à l'achitecture moderne et au style des années trente, et tout en donnant un aspect plus sophistiqué au film, lui donne également un aspect plus comic-book avec des plans comportant beaucoup de contraste, et des angles des caméra exagérés renvoyant aux cases des comics.
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Une Première mondiale française
Chanceux, le public français découvre X-Men 2 le 30 avril, soit deux jours avant les spectateurs américains (où le film sort le 2 mai 2003). X-Men 2 représente la plus grosse sortie simultanée de l'histoire dans 93 pays !
Abandon de projets
X-Men 2 a au mois provoqué directement l'abandon de deux projets. L'un pour le cinéaste Bryan Singer, qui souhaitait mettre en scène le pilote d'une nouvelle version de la série télévisée Battlestar Galactica, avant d'abandonner faute de pouvoir aménager son agenda trop chargé par la pré-production de X-Men 2. Puis ce fut au tour de Halle Berry de laisser son rôle dans le film Tough love à Jennifer Lopez, également pour des problèmes d'emploi du temps.
Une X-Car pour les X-Men
Très attendue par les tous les X-Fans, la X-Car fait son apparition dans X-Men 2, pilotée par Cyclope (James Marsden). La voiture est une version modifiée du modèle 2004 de la Mazda RX-8.
Pas d'apparition pour Stan Lee
Créateur de nombreux mutants et figure légendaire de Marvel, Stan Lee fait depuis X-Men une apparition dans tous les films adaptés des bulles Marvel (Spider-Man, Daredevil...). Toutefois, il a précisé qu'il n'effectuerait un cameo que dans le premier épisode de chaque saga. Les fans n'auront donc pas le plaisir d'essayer de le découvrir dans X-Men 2...
Rumeurs de casting
Très attendue, l'adaptation de X-Men a fait l'objet de nombreuses rumeurs, changeantes en fonction des attentes des fans. Ainsi, parmi les noms murmurés, on retrouvait ceux de Mel Gibson, Harvey Keitel, Russell Crowe, Viggo Mortensen ou Aaron Eckhart (Wolverine), David Duchovny (Cyclope) ou encore Angela Bassett (Tornade).
Un clin d'oeil à Spielberg ?
Un petit clin d'oeil musical à Steven Spielberg peut être entendu lors de la scène où Brian Cox, alias William Stryker, tape le code d'entrée de Cérébro : en effet, la mélodie du code n'est pas sans rappeler le thème de Rencontres du 3e type... N'ayant pas réalisé cette petite blague du département des effets sonores, le réalisateur Bryan Singer n'en a pris conscience que lors de son passage à Paris pour une conférence de presse durant laquelle un journaliste lui a signalé ce clin d'oeil ! Pour l'anecdote, le code secret est le numéro de téléphone du meilleur ami du cinéaste, le dernier chiffre ayant été coupé au montage pour éviter un harcèlement téléphonique.
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X-Men : The Last Stand|Brett Ratner|Fantastique||3|américain|2006|104|Anglais||DivX|||DIVX|800 Kbps|576x240|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||23.976|02/08/2009 00:00:00|Lauren Shuler Donner Ralph Winter Ari Arad|Zak Penn Simon Kinberg|Dante Spinotti||20th Century Fox|Saga : X-Men |Dans le chapitre final de la trilogie X-Men, les mutants affrontent un choix historique et leur plus grand combat... Un "traitement" leur permet désormais d'échapper à ce qu'ils sont. Pour la première fois, ils ont le choix : conserver ce qui fait leur caractère unique mais leur vaut la défiance et la méfiance de l'humanité, ou bien abandonner leurs pouvoirs et devenir des humains à part entière.Les points de vue opposés des leaders des mutants, Charles Xavier, qui prêche la tolérance, et Magneto, qui croit à la survie des plus adaptés, sont plus que jamais incompatibles et vont déclencher la plus acharnée des batailles. |Hugh Jackman (Wolverine (Logan))@Patrick Stewart (le professeur Charles Xavier)@Ian McKellen (Magneto (Erik Magnus Lehnsherr))@Famke Janssen (le docteur Jean Grey / Phoenix)@Halle Berry (Tornade / Storm)@Rebecca Romijn (Mystique (Raven Darkholme))@Anna Paquin (Malicia / Rogue (Marie))@Shawn Ashmore (Iceberg / Iceman (Bobby Drake))@Aaron Stanford (Pyro (John Allerdyce))@Daniel Cudmore (Colossus (Piotr Rasputin))@Vinnie Jones (Juggernaut)@Kelsey Grammer (Fauve)@Ellen Page (Kitty Pryde)@Ben Foster (Archangel)@Olivia Williams (Dr. Moira McTaggert)@Bill Duke (Bolivar Trask)@Michael Murphy (Warren Worthington Sr.)@Shohreh Aghdashloo (Dr. Kavita Rao)@James Marsden (Scott Summers / Cyclops)@Cayden Boyd (Warren Worthington, jeune)@Cameron Bright (Leech)@Eric Dane (Jamie Madrox / Multiple Man)@Dania Ramirez (Callisto)@Josef Sommer (le Président)@Bryce Hodgson (Artie)@Ken Leung (Quill (Maxwell Jordan))@Shauna Kain (Theresa Rourke / Siryn)@James Leard (un médecin)@Doug Lennox (un barman)@Mei Melancon (Psylocke)@Tanya Newbould (l'assistante du Dr. McCoy)@Omahyra (Arclight )@Luke Pohl (Flea)@Kea Wong (Jubilation Lee / Jubilee)@Andrew Abud (Chauffeur)@Anthony Heald (L'Interrogateur)@Chelah Horsdal (La mère de Mercedes)@Aaron Pearl (Chef d'équipe)@Haley Ramm (Jean Grey enfant)@Susan Wilkey (Infirmière)@Vince Murdocco (Omega Rouge)@Connor Widdows (Jones)@Desiree Zurowski (Elaine Grey)@||Secrets de tournage :
Présenté à Cannes
X-Men l'affrontement final est présenté hors compétition au 59ème Festival de Cannes.
La saga "X-Men" sur grand écran
X-Men est le premier film de la saga mutante. Il est suivi par X² (2003) et X-Men l'affrontement final (2006) ainsi que par des spin-off (films dérivés) très attendus, centrées sur un personnage en particulier (on parle beaucoup de Wolverine et de l'enfance de Magneto).
Un comic-book culte
Créée par Stan Lee et publiée pour la première fois en 1963, l'aventure des X-Men est rapidement devenue un comic-book culte aux Etats-Unis, puis dans le monde. Saga lucrative et à la longévité exceptionnelle (près de quarante ans), elle est désormais publiée dans huit éditions, certaines centrées sur certains personnages (Wolverine notamment). Le film n'est pas l'adaptation d'un épisode de la BD en particulier, mais fait intervenir des personnages des différentes époques de la série.
La valse des réalisateurs
A l'origine du projet, Bryan Singer, réalisateur des deux premiers opus, devait reprendre du service. Cependant, se voyant offrir par la Warner la réalisation de Superman Returns, il accepte cette proposition et emmène avec lui son équipe technique : le compositeur John Ottman, le directeur de la photographie Newton Thomas Sigel, les scénaristes Mike Dougherty et Dan Harris et le chef décorateur Guy Dyas. Même si le réalisateur était prêt à assumer les deux tournages, la 20th Century Fox a préféré continuer sans lui.
La production s'est alors tournée vers Matthew Vaughn (Layer Cake), mais incapable de rester éloigné durant les 9 mois de tournage de sa famille, il se voit à son tour contraint de démissioner.
Ironie du sort ou simple coïncidence, Brett Ratner, qui vient d'être remplacé sur le projet Superman Returns, est engagé pour assurer la réalisation de ce 3ème volet. Situation d'autant plus étrange quand on sait qu'il était pressentie pour réaliser le premier X-Men avant que Bryan Singer occupe le poste.
Des débuts difficile
Au delà des problèmes engendrés par la démission de Bryan Singer et la quête d'un remplaçant, le projet X-Men l'affrontement final a pu paraître compromis. Au mois de janvier 2005 le scénario n'était toujours pas terminé et certains rôles n'avaient toujours pas été castés, alors que la production avait déjà annoncé officiellement la date de sortie ainsi que celle du début de tournage (le 2 août 2005).
Ils sont toujours présents...
X-Men l'affrontement final voit le maintient à l'écran des principaux mutants : Wolverine (Hugh Jackman ), Tornade (Halle Berry), Jean Grey (Famke Janssen), Cyclope (James Marsden), Malicia (Anna Paquin), le Professeur X (Patrick Stewart), Magnéto (Ian McKellen), Mystique (Rebecca Romijn), et Iceberg (Shawn Ashmore). Certains mutants prennent encore plus d'ampleur : c'est le cas de Shadowcat (Katie Stuart), et Pyro (Aaron Stanford).
De nouveaux mutants
De nouveaux mutants font leur apparition dans ce troisième opus, pour le plus grand plaisir des fans. Parmi eux, on retiendra Daniel Cudmore alias Colossus, un mutant dôté d'une force surhumaine et d'une grande résistance aux blessures qui apparaît brièvement dans X-Men 2, et Kelsey Grammer alias Le Fauve, le nouveau mutant à la peau bleue et le premier à occuper un poste dominant au gouvernement, sans oublier Le Fléau (Vinnie Jones), Angel (Ben Foster) et autre Callisto (Dania Ramirez) qui viennent renforcer les rangs des X-Men ou des Mutants Oméga. Les passionnés de comic-books ne pourront toutefois toujours pas y découvrir Gambit ou encore Marrow, annoncés lors des premières rumeurs autour du deuxième volet...
Encore plus d'action
Pour donner une fin digne de ce nom à l'aventure X-Men, Simon Crane s'est vu confier les séquences d'action et les scènes de combat dans le but de les rendre encore plus impressionnantes. Il parle de l'évolution de Wolverine : "Dans les deux premiers films, son style était déjà impressionnant mais, conformément à ce que dépeignent les comics, nous voulions aller plus loin. (...) Le public va découvrir ce que ça donne quand Wolverine est vraiment en colère !".
Flash-backs
John Bruno, le superviseur des effets spéciaux sur le film, a utilisé un logiciel du nom de LOLA, spécialisé dans le rajeunissement, afin de mettre au point les séquences de flash-backs : "C'est un logiciel expert qui a parfois été utilisé quelques secondes pour des films, mais jamais sur une durée de vingt minutes. Nous découvrons ainsi le Professeur X et Magnéto vingt ans plus tôt.". Ce logiciel retouche les visages existants en les traitant par zones, de cette manière le rajeunissement semble le plus naturel et réaliste possible.
Un troisième opus attendu
Après les 406 millions de dollars engrangé par le deuxième volet, X-Men l'affrontement final est très attendu. D'autant plus que certains fans de la saga ont vu d'un mauvais oeil le changement de réalisateur, même si Brett Ratner semble montrer une volonté d'inscrire ce film dans la continuité des deux autres.
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Les contributeursCe film a reçu 3 contributions, pour les secrets de tournage, de: Miamsolo
Les contributions faites sur cette fiche sont mises à disposition sous un contrat Creative Commons.
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Les contributeursCe film a reçu 3 contributions, pour les secrets de tournage, de: Miamsolo
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X-Men Origins: Wolverine|Gavin Hood|Fantastique||3|américain|2009|100|Anglais||XviD|||XVID|804 Kbps|624x256|MPEG-1 Audio layer 3|157 Kbps|False|44.1 KHz|2|696||||24.243|28/07/2009 00:00:00|Lauren Shuler Donner Hugh Jackman John Palermo Ralph Winter Kevin Feige|David Benioff|Donald McAlpine||20th Century Fox|Saga : X-Men |Ce film nous fait découvrir les origines du plus rebelle des héros Marvel et son histoire avant les événements de la trilogie X-Men. Hugh Jackman reprend son rôle fétiche de héros au pouvoir de régénération convoité par l'armée, et impitoyable jusqu'au bout des griffes.Après avoir intégré le programme militaire "Weapon X" qui transforme les mutants en armes vivantes, Wolverine n'a de cesse de retrouver ceux qui ont tué son père et la femme qu'il a aimée. |Hugh Jackman (Wolverine/Logan)@Danny Huston (William Stryker)@Liev Schreiber (Dents-de-sabre/Victor Creed)@Aaron Jeffery (le demi-frère de Logan)@Lynn Collins (Silver Fox)@Taylor Kitsch (Gambit/Rémy LeBeau)@Ryan Reynolds (Wade Wilson/Deadpool)@Dominic Monaghan (Bradley/Bolt)@Daniel Henney (Agent Zero/David North)@Kevin Durand (Blob/Frederick J. Dukes)@Troye Mellet (Logan jeune)@Will.I.Am (John Wraith)@Paul Jenkins@Joe Quesada@Tim Pocock (Scott Summers)@Scott Adkins (Weapon XI)@Christian Clark@Matthew Dale (le chirurgien)@James Dever (le chef du peloton)@Stephen Leeder (le général Munson)@Michael-James Olsen (Victor Creed jeune)@Alice Parkinson (Elizabeth Howlett)@Myles Pollard (Lumberjack)@Tahyna Tozzi (Emma Frost)@Patrick Stewart (Professeur Charles Francis Xavier)@Adrian Hughes (Chasseur)@Don Battee (Huge Doorman)@Elizabeth Thai (Femme vietnamienne)@Byron Chief-Moon (Chasseur)@Hakeem Kae-Kazim (Businessman africain)@Asher Keddie (Dr. Carol Frost)@Eileen Bui (Enfant vietnamienne)@Henry Browne Jr. (Curtis)@Chris Sadrinna (Van Mier)@Max Cullen (Travis Hudson)@Philip A. Patterson (Militaire)@Julia Blake (Heather Hudson)@Mike Dopud (Militaire vietnamien)@Peter O'Brien (John Howlett)@Stephen Anderton (Marcuse)@Ian Thompson (Chauffeur du bus scolaire (non crédité))@Johnson Phan (Homme vietnamien)@Socratis Otto (Technicien)@Nathin Butler (Infirmier)@Alison Araya (Institutrice)@David Ritchie (Dr. Abraham Cornelius)@Dennis Kreusler (Soldat)@Daniel Negreanu (Joueur de Poker)@Karl Beattie (Lycéen)@Septimus Caton (Barman)@Peter Barry (Infirmier)@Rita Affua Connell (Femme africaine nerveuse)@||Secrets de tournage :
Les fins justifient les moyens ?
Pour contrer le piratage du film, les producteurs d'X-Men Origins : Wolverine ont trouvé la parade : sortir différentes copies, agrémentées de fins différentes. Du coup, tous les cinémas ne passeront pas exactement la même version du long métrage.
"Wolverine" griffé par les pirates !
Quelques semaines avant sa sortie en salles, la Fox a eu la mauvaise surprise de voir une copie pirate d'X-Men Origins : Wolverine circuler sur la toile. Incomplet car amputé de quelques scènes clés alors en cours de montage, le fichier n'en a pas moins provoqué la colère du studio, qui a chargé le FBI de déterminer l'origine de la fuite.
Solo
Alors que les épisodes de la trilogie X-Men tenaient davantage des films choraux, X-Men Origins : Wolverine, spin-off de la saga, se focalise davantage sur le personnage de Wolverine, même si d'autres mutants sont de la partie.
Un nouveau départ
X-Men Origins : Wolverine marque la naissance d'une nouvelle branche de la saga X-Men : les spin-offs, ou dérivés. Et après Wolverine, c'est le personnage de Magnéto qui pourrait bénéficier d'un film rien que pour lui.
Un acteur qui a posé sa griffe sur le film
En plus d'y enfiler le débardeur de Wolverine pour la quatrième fois, Hugh Jackman a également produit X-Men Origins : Wolverine, dont il a supervisé tous les aspects de la préproduction, de la production et de la postproduction. Un investissement massif mais pas vain, puisque l'acteur déclare : "Je me suis plus amusé à jouer Wolverine dans ce film que dans aucun autre ! (...) Une des tâches les plus agréables liées à mon rôle de producteur a été le casting des acteurs. Il y a un tas de nouveaux personnages passionnants dans ce film, et choisir les bons acteurs pour les interpréter a été très enrichissant."
Un record !
Avec cette quatrième interprétation de Wolverine, Hugh Jackman devient ainsi le premier acteur depuis Christopher Reeve à se glisser quatre fois de suite dans la peau d'un même personnage d'adaptation de comic-book.
Un choix évident
C'est après avoir découvert Mon nom est Tsotsi, lauréat de l'Oscar du Meilleur Film Etranger en 2006, que Hugh Jackman a été convaincu que Gavin Hood devait mettre en scène X-Men Origins : Wolverine : "Tsotsi était en guerre contre lui-même, exactement comme l'est Wolverine. J'ai été très ému par son parcours, et très impressionné par le talent avec lequel Gavin a su mettre en scène ce personnage et son histoire."
La valse des réalisateurs
Avant le choix de Gavin Hood, les noms de Bryan Singer, Zack Snyder, Brett Ratner et Len Wiseman ont circulé pour mettre en scène X-Men Origins : Wolverine.
Cette fois-ci c'est la bonne !
Alors qu'il aurait du faire partie de X-Men 2 et 3, Gambit fait enfin sa première apparition sur grand écran dans cet X-Men Origins : Wolverine.
Même rôle, nouvel acteur
Si Wolverine est à nouveau incarné par Hugh Jackman, Liev Schreiber et Danny Huston succèdent respectivement à Tyler Mane et Brian Cox dans la peau de Dents de Sabre et William Stryker.
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xXx|Rob Cohen|Action||2|américain|2002|124|Anglais||XVID|||XVID|678 Kbps|720x288|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|698||||23.976|13/08/2009 00:00:00|Neal Moritz|Rich Wilkes|Dean Semler||Columbia Pictures|Saga : xXx |Après une série de tests, Xander "XXX" Cage, un spécialiste des sports extrêmes couvert de tatouages, est recruté par Augustus Gibbons, un agent de la National Security Agency (NSA), pour s'infiltrer dans une organisation criminelle et mettre fin à ses agissements. Dirigée par un certain Yorgi, celle-ci se fait appeler "Anarchie 99" et son siège se situe à Prague, en République tchèque. Gibbons est persuadé que Xander Cage réussira là où les espions conventionnels ont échoué.Ce dernier insiste toutefois pour accomplir cette mission à sa façon. Il se présente alors directement à Yorgi et se lie rapidement d'amitié avec lui, l'occasion pour Xander Cage de découvrir les terribles desseins de l'organisation. |Vin Diesel (Xander Cage / XXX)@Samuel L. Jackson (l'agent Augustus Gibbons)@Asia Argento (Yelena)@Joe Bucaro (Virg)@Eve (J.J.)@Michael Roof (Toby Lee Shavers)@Tom Everett (le sénateur Dick Hotchkiss)@Richy Müller (Milan Sova)@Werner Daehn (Kirill)@Petr Jakl (Kolya)@Jan Filipensky (Viktor)@Leila Arcieri (Jordan King)@William Hope (l'agent Roger Donnan)@Ted Maynard (James Tannick)@David Asman (l'agent Polk)@Chris Gann (T.J.)@Martin Hub (Ivan Podrov)@Radek Tomecka (Ivan Pedgrag)@Mat Hoffman (un sportif extrême)@Brian Deegan (un sportif extrême)@Mike Vallely (le skater)@Rob Cohen (Le cavalier colombien)@Marton Csokas (Yorgi)@Danny Trejo (El Jefe)@Thomas Ian Griffith (l'agent Jim McGrath)@||Secrets de tournage :
La suite de "XXX"
XXX 2 est la suite du thriller d'action xXx, réalisé en 2002 par Rob Cohen. Changement total pour ce nouvel opus : Rob Cohen a laissé son fauteuil de réalisateur à Lee Tamahori (le James Bond Meurs un autre jour) pour se contenter d'un rôle de producteur exécutif, alors que l'agent spécial XXX n'est plus incarné par Vin Diesel, mais par Ice Cube.
D'un super-héros à l'autre...
En acceptant xXx, Vin Diesel, surchargé de rôles et de projets, a dû refuser un projet ambitieux sur lequel il était pressenti : Daredevil, adaptation du célèbre comic-book Marvel. C'est Ben Affleck qui hérite finalement du rôle du super-héros aveugle, avocat le jour et justicier la nuit venue.
Une nouvelle génération d'agent secret
Le personnage de XXX, espion de l'extrême, est né de la renontre du scénariste Rich Wilkes, du réalisateur Rob Cohen et de Vin Diesel. "J'ai toujours adoré les films d'espionnage", explique Rich Wilkes, "mais je trouvais qu'il était temps de faire quelque chose qui parle d'avantage à la jeune génération. Aujourd'hui, tout va plus vite. De là est née l'idée de XXX". "Xander Cage est pour moi le anti-héros américain type", confie Rob Cohen. "Il n'est animé ni par un patriotisme de principe, ni par une soif de gloire. Il réagit avec sa conscience et son bon sens. C'est une vraie personnalité, il est impressionnant, dur, vulnérable, humain et sympathique, comme Vin Diesel !"
Pour Vin Diesel, Xander Cage, alias XXX, représente enfin un esion auquel le jeune public peut s'identifier : "Sans dénigrer la saga James Bond -que j'adore-, le personnage de 007 est aussi parlant pour les jeunes spectateurs que quelqu'un comme Clark Gable. James Bond porte un cortume, et aucun jeune aujourd'hui ne porte de costumes. Xander Cage n'a pas beaucoup de complexes, il ne va pas chez le psy. C'est un héros dynamique et ne cache pas qu'il est un super agent secret. De ce point de vue, je pense qu'il est la voix de la nouvelle génération". "L'idée de donner naissance à un agent secret d'une nouvelle génération était très séduisante. Dans un projet de film, c'est toujours le contenu qui m'attire en premier lieu. Xander est un type qui se préoccupe uniquement de sa recherche de sensations fortes. Il se fiche éperdument des affaires politiques en dehors de celles qui l'affectent directement. J'ai aimé l'idée qu'un homme comme lui, le dernier que l'on s'attendrait à voir sauver le monde, devienne un agent secret".
Des invités... extrêmes !
De nombreuses célébrités du milieu des sports extrêmes ont participe à l'aventure XXX, en effectuant une ou plusieurs cascades. Parmi eux, les aficionados reconnaîtront Tony Hawk, Jason Ellis, Colin McKay et Rob Wells (skate-board), Mat Hoffman (BMX), Brian Deegan et Cary Hart (motocross). Tim Rigby (base-jump), Harry L. O'Connor (sky-diving, décédé durant le tournage), Larry Linkogle et Jeremy Stenberg (motocross freestyle) font pour leur part une apparition clin d'oeil dans le film.
20 caméras pour une cascade !
Pour la séquence vertigineuse où XXX se jette du haut d'un pont en Corvette, puis saute de la voiture en parachute, pas moins de vingt caméras ont été nécessaires ! Onze caméras 35mm, deux 16 mm, trois minicaméras numériques, trois caméras spécialement conçues pour résister aux chocs et placées dans la voiture, et une caméra embarquée dans un hélicoptère. Cette cascade a été tournée en une prise, sans câble ni filet de sécurité.
Un chef d'orchestre pour "XXX"
L'un des scènes de dialogue entre Vin Diesel et Samuel L. Jackson a été tournée au sein de l'opéra de Prague, et met en scène Richard Hein, véritable chef d'orchestre des lieux, dirigeant ses musiciens sur Don Giovanni de Mozart.
Le meilleur démarrage de la carrière de Vin Diesel
Sortie le vendredi 9 août aux Etats-unis, XXX a récolté 46 millions de dollars en trois jours, signant le meilleur démarrage de Vin Diesel en terres américaines, devant les 40 millions de Fast & furious en 2001.
Vin Diesel / Rob Cohen : deuxième !
XXX marque la second collaboration de Vin Diesel
avec Rob Cohen, qui l'avait dirigé dans Fast & furious en 2001. Si les deux hommes ont refusé de se joindre au projet The Fast and the furious 2 : drive even faster, ils devraient se retrouver en 2003 pour les besoins de XXX 2.
Vin Diesel, comédien et producteur
Héros de cette nouvelle franchise estampillée XXX, Vin Diesel est également producteur exécutif du film. Un rôle qu'il occupe de plus en plus souvent sur ses projets. Il portait la casquette de producteur sur ses deux premiers films, le court métrage Multi-facial (1994) et son long métrage Strays (1997), ainsi que sur les futurs Diablo et Hannibal.
Vin Diesel veut gagner des millions !
Pour XXX, Vin Diesel a touché un cachet de 10 millions de dollars, entrant ainsi par la grande porte dans le cercle très fermé des acteurs "à plus de 10 millions par film". Pour XXX 2, il fait encore mieux et reçoit 20 millions de dollars accompagné d'un pourcentage sur les recettes du film !
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Un tournage endeuillé
Le tournage de XXX a connu un coup dur avec la mort accidentelle de l'un des cascadeurs du film. Le 4 avril 2002 à Prague, Harry L. O'Connor, doublure de Vin Diesel lors des séquences aériennes, se tuait lors des prises de vues d'une scène spectaculaire de parapente, en percutant un pont de la capitale tchèque. Le film est dédié à sa mémoire.
Vin Diesel le cascadeur
Avant le tournage, Vin Diesel a suivi trois mois de préparation aux divers sports extrêmes que pratique son personnage (alpinisme, motocross, snowboard, base-jump...) ainsi qu'au maniement des armes et auprès des Navy Seals (les commandos américains). Adepte des rôles musclés, il a effectué de nombreuses cascades de XXX, au grand dam du studio. Un seul incident à mettre à son actif : lors d'une scène de snowboard, il a mal négocié un virage et a encaissé une lourde chute sur le dos, heureusement sans conséquences.
"Vin voulait toujours en faire plus que ce que je lui demandais", explique le réalisateur Rob Cohen. "Il me disait 'Je peux le faire !'. Je répliquais 'certainement, mais tu risques d'exploser en vol. Le film se fera uniquement si tu restes en bonne santé, alors laisse ça aux cascadeurs !'. Il a fait de l'escalade, de la moto, des sauts, du snowboard. Il s'est vraiment impliqué".
Une nouvelle génération d'agent secret
Pour Vin Diesel, Xander Cage, alias XXX, représente enfin un esion auquel le jeune public peut s'identifier : "Sans dénigrer la saga James Bond -que j'adore -, le personnage de 007 est aussi parlant pour les jeunes spectateurs que quelqu'un comme Clark Gable. James Bond porte un cortume, et aucun jeune aujourd'hui ne porte de costumes. Xander Cage n'a pas beaucoup de complexes, il ne va pas chez le psy. C'est un héros dynamique et ne cache pas qu'il est un super agent secret. De ce point de vue, je pense qu'il est la voix de la nouvelle génération".
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xXx 2 : State of the Union|Lee Tamahori|Espionnage||1|américain|2005|100|Anglais||XviD|||XVID|828 Kbps|608x256|MPEG-1 Audio layer 3|130 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Neal Moritz Arne L. Schmidt|Simon Kinberg Rich Wilkes|David Tattersall||Columbia Pictures|Saga : xXx |Un complot se trame au coeur de la Maison Blanche. La plus haute autorité du pays est en danger. Augustus Gibbons vient lui-même d'échapper à un attentat au sein du quartier général secret de la NSA. Plus personne n'est en sécurité...Pour l'aider à déjouer la machination, Gibbons a besoin d'un nouvel agent XXX. Pour lui, un seul homme peut mener à bien cette mission : Darius Stone, un soldat d'élite décoré des Forces Spéciales, un dur venu du ghetto, expert en armement et en techniques de combat, et une forte tête... |Ice Cube (XXX / Darius Stone)@Michael Roof (Toby Lee Shavers)@Scott Speedman (l'agent Kyle Steele)@Nona Gaye (Lola Jackson)@Samuel L. Jackson (l'agent Augustus Gibbons)@John G. Connolly (le lieutenant Alabama 'Bama' Cobb)@Willem Dafoe (le général George Octavius Deckert)@Peter Strauss (le Président James Sanford)@Sunny Mabrey (Charlie)@Ramon De Ocampo (l'agent Meadows)@Barry Sigismondi (Bull)@Xzibit (Zeke)@Ned Schmidtke (le colonel Jack Pettibone)@J. Anthony Brown (Webster)@Matt Gerald (Liebo)@||Secrets de tournage :
La suite de "XXX"
XXX 2 est la suite du thriller d'action xXx, réalisé en 2002 par Rob Cohen. Changement total pour ce nouvel opus : Rob Cohen a laissé son fauteuil de réalisateur à Lee Tamahori (le James Bond Meurs un autre jour) pour se contenter d'un rôle de producteur exécutif, alors que l'agent spécial XXX n'est plus incarné par Vin Diesel, mais par Ice Cube.
Ice Cube en vedette
Avec XXX 2, l'acteur Ice Cube, connu mondialement pour ses activités dans le monde de la musique hip-hop, obtient son premier grand rôle dans un film d'action. Celui qui a déjà montré des capacités à jouer dans des productions musclées (Boyz'n the Hood, la loi de la rue, Les Rois du désert) revient sur le moment où le projet XXX 2 commença à se concrétiser dans son esprit : "Je suis un fan du premier film, les cascades étaient stupéfiantes. Je me trouvais dans le bureau de Neal H. Moritz pour parler d'un autre projet quand j'ai découvert la bande-annonce du premier film, et je me suis dit à ce moment-là que j'aurais adoré y jouer !" Le producteur Neal H. Moritz ne tarit pas d'éloges sur son nouvel acteur vedette : "Peu d'acteurs ont à la fois le vrai feeling de la rue requis pour le rôle et la capacité de faire les cascades. Ice Cube en était capable. Il a adoré les scènes d'action, il y est impressionnant."
Un méchant de renom
Le méchant de XXX 2 est incarné par l'acteur Willem Dafoe. Celui qui a déjà incarné des personnages aux viles intentions dans Light Sleeper, Speed 2 : Cap sur le danger ou Spider-Man interprète ici, selon ses propres termes, "un puissant représentant du gouvernement dont les convictions l'opposent directement à celui qu'il sert, le Président. Mon personnage a une vue du monde qui est plus celle d'un politicien que d'un général. Il pense que la manière dont le pays est gouverné les mène à la catastrophe. Etant donné son parcours et les ressources à sa disposition, il fait ce qu'il peut pour changer le gouvernement. Malgré son approche radicale du problème, il ne se voit pas comme quelqu'un de subversif. Au contraire, il se considère comme un patriote qui pense qu'un changement de régime est la seule solution."
XXX aux Etats-Unis
L'un des principaux changements par rapport au premier film est le lieu de l'action. Le producteur Neal H. Moritz explique : "Nous avions aimé l'univers et le concept du premier xXx. Avec cette aventure, le film d'espionnage avait trouvé un nouveau souffle, un rythme d'aujourd'hui. Quand nous nous sommes lancés dans ce second chapitre, nous avons décidé de conserver ces éléments, tout en couvrant un nouveau champ d'action. Cette fois, l'histoire ne se déroule plus à l'étranger, mais à l'intérieur même des Etats-Unis. Cela offrait un cadre très actuel et très fort."
Samuel L. Jackson fidèle au poste
L'acteur Samuel L. Jackson est l'un des seuls à reprendre son rôle dans XXX 2, celui de l'agent de la NSA Augustus Gibbons. Il explique : "L'idée de pouvoir pousser le personnage plus loin et de montrer ses facettes plus sombres m'attirait. J'ai toujours vu Gibbons comme une sorte de rebelle qui se trouve simplement faire partie du gouvernement. C'est avant tout un franc-tireur qui n'écoute que sa conscience. Il croit en ce qu'il fait, mais il a toujours été considéré comme un outsider. Le fait qu'il dirige cette organisation secrète à sa manière me plaît. C'est sans doute à cause de mon naturel insoumis..."
Un rappeur en côtoie un autre
Le casting de XXX 2 réunit deux stars du hip-hop : Ice Cube, dans le rôle principal de XXX/Darius Stone, et Xzibit, vu notamment au générique de 8 Mile, qui incarne ici Zeke, l'un des associés de XXX.
Une préparation... accélérée !
Pour les besoins de XXX 2, certains comédiens ont dû se prêter à une préparation physique intensive. Ice Cube, Xzibit et Michael Roof ont ainsi suivi des stages de conduites à grande vitesse et ont notamment pu conduire l'impressionnante voiture futuriste Ford Cobra. Ice Cube jalouse avec humour l'un de ses partenaires : "Xzibit a de la veine, il a non seulement un arsenal d'enfer, mais il a les véhicules et les cascades les plus hot du film ! Moi j'ai eu la chance de pouvoir faire joujou avec la GTO, le F-150 et la concept car Ford. Cette Cobra est un bijou. J'avais l'impression d'être au paradis des amateurs de voiture. Je me promenais sur le plateau, il y avait ici une Ferrari, là une Rolls Royce, ou une nouvelle Mustang... Je me suis éclaté, voir toutes ces voitures, pouvoir les conduire et même les exploser !"
Le Capitole en studio
L'histoire de XXX 2 se déroule dans la ville de Washington. A l'origine, la production du film souhaitait tourner des scènes dans l'enceinte-même du Capitole, mais les mesures de sécurités (scannage des camions, fouille du matériel,...) autour du bâtiment les en dissuadèrent. Ainsi, l'équipe tourna peu sur place et le Capitole ainsi que la plupart des sites gouvernementaux furent reconstruits en studio, avec l'aide du chef décorateur Gavin Bocquet (Star wars : Episode III - La Revanche des Sith).
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Repossessed|Bob Logan|Comédie||2|américain|1990|75|Anglais||DX50|||DX50|1 172 Kbps|640x352|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|44.1 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Jean Higgins|Bob Logan|Michael D. Margulies||||Jadis, le père Gédéon a libéré la petite Nancy Aglet du démon qui avait pris possession de son corps. Vingt années se sont écoulées. Le père Gédéon a pris sa retraite et Nancy est devenue une anodine mère de famille. Las ! Le Malin, qui a de la suite dans les idées, se faufile par le biais du téléviseur jusque dans l'esprit de Nancy, que les premiers symptômes n'étonnent pas. Elle s'adresse au père Brophy, un jeune prêtre en pleine crise mystique. Consulté, le père Gédéon refuse d'intervenir. En désespoir de cause, Nancy demande à deux télévangélistes de l'exorciser en direct, sur un plateau de télévision. Le démon se révèle fort cabotin... |Linda Blair (Nancy Aglet)@Ned Beatty (Ernest Weller)@Leslie Nielsen (Père Jebedaiah Mayii)@Anthony Starke (Père Luke Brophy)@Lana Schwab (Fanny Ray Weller)@Benj Thall (Ned Aglet)@||Secrets de tournage :
Informations
Une parodie du célèbre film d'horreur, L'Exorciste (1974) de William Friedkin.
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Les contributeursCe film a reçu 1 contribution, pour les secrets de tournage, de: RENGER
Les contributions faites sur cette fiche sont mises à disposition sous un contrat Creative Commons.
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Naked Gun 33 1/3 : The Final Insult|Peter Segal|Comédie||3|américain|1994|77|Anglais||DX50|||DX50|1 151 Kbps|640x336|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Jim Abrahams David Zucker Jerry Zucker|David Zucker|Robert M. Stevens||United International Pictures (UIP)|Saga : Y a-t-il... |L'heure de la retraite a sonné pour Frank Drebin. Retraite qu'il va mettre à profit pour tenter d'arrêter un terroriste international. |Leslie Nielsen (le lieutenant Frank Drebin )@George Kennedy (le capitaine Ed Hocken )@O. J. Simpson (Nordberg)@Priscilla Presley (Jane Spencer Drebin )@Fred Ward (Rocco Dillon )@David Zucker (L'homme du télé-prompteur)@Anna Nicole Smith (Tanya Peters)@||||||||||||@@
The Naked Gun|David Zucker|Comédie||3|américain|1989|81|Anglais||DivX|||DIVX|1 030 Kbps|576x320|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|682||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Robert K. Weiss|David Zucker Jerry Zucker Jim Abrahams Pat Proft|Robert M. Stevens|||Saga : Y a-t-il... |Le lieutenant Frank Drebin est le "Monsieur Catastrophe" de la police de Los Angeles : il est l'auteur de tant de bourdes et de scandales que ses supérieurs hiérarchiques s'apprêtent à le licencier. C'est ce moment que choisit la reine d'Angleterre pour arriver à Los Angeles. Debrin, ayant appris qu'un malfaiteur, Ludwig, est en train d'ourdir un diabolique complot contre celle-ci, persuade son supérieur de lui donner une dernière chance de se réhabiliter : sauver la reine... |Leslie Nielsen (Le lieutenant Frank Drebin)@George Kennedy (Le capitaine Ed Hocken)@Priscilla Presley (Jane Spencer)@Ricardo Montalban (Vincent Ludwig)@O. J. Simpson (M. Nordberg)@Susan Beaubian (Mme Nordberg)@Raye Birk (Pahpshmir)@Nancy Marchand (Le maire de Los Angeles)@Jeannette Charles (La reine d'Angleterre Elisabeth II)@Ed Williams (Ted Olsen)@Al Yankovic (Lui-même)@Leslie Maier ('Weird Leslie')@Joe Grifasi (Le contremaître)@Lorali Hart (Le femme sur le rebord)@Charlotte Zucker (Dominique)@Burton Zucker (Le photographe)@David Katz (Yasser Arafat)@Bob Lujan (Le général Khadafi)@Prince Hughes (Idi Amin Dada)@Charles Gherardi (L'ayatollah Khomeini)@David Lloyd Austin (Mikaël Gorbatchev)@John Houseman (Le moniteur de conduite)@Tiny Ron (Al)@||||||||||||@@
The Naked gun 2 : the smell of fear|David Zucker|Comédie||3|américain|1991|77|Anglais||DX50|||DX50|1 151 Kbps|640x336|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|700||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Jim Abrahams David Zucker Jerry Zucker||Robert M. Stevens||United International Pictures (UIP)|Saga : Y a-t-il... |Après les inénarrables gaffes du policier Frank Drebin pour sauver la reine, le voici de retour, cette fois à la table du président des Etats-Unis. Il va faire la connaissance du professeur Meinheimer dont l'Institut va exploser quelques heures plus tard. |Leslie Nielsen (le lieutenant Frank Drebin )@George Kennedy (le capitaine Ed Hocken )@O. J. Simpson (Nordberg )@Priscilla Presley (Jane Spencer )@Robert Goulet (Quentin Hapsburg )@Lloyd Bochner (Terence Baggett)@David Zucker (Davy Crockett)@||||||||||||@@
2001 : a space travesty|Allan A. Goldstein|Comédie||1|allemand, américain|2002|94|Anglais||XviD|||XVID|890 Kbps|576x432|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Martin Heldmann Werner Koenig|Alan Shearman|Sylvain Brault||Artédis|Saga : Y a-t-il... |Le Président des Etats-Unis a été enlevé et est détenu en otage sur la Lune, dans une base secrète appelée Vegan. L'homme qui occupe actuellement le bureau ovale de la Maison Blanche est un clone du véritable chef d'Etat.
Aussitôt connue cette incroyable nouvelle, le bureau fédéral de la police dépêche son meilleur élément, l'officier Richard Dix, sur l'enquête. Enthousiaste et naïf, celui-ci n'imagine pas qu'il va se retrouver au coeur d'un complot qui vise à détruire toutes les valeurs auxquelles il croit : la vérité, la justice et la vision qu'ont les Américains de la vie. |Leslie Nielsen (Richard Dix)@Ophélie Winter (Cassendra Menage)@Ezio Greggio (Capitaine Valentino Di Pasquale)@Ezio Greggio (Capitaine Valentino Di Pasquale)@Alexandra Kamp (Docteur Uschi Kunstler)@Peter Egan (Docteur Griffin Pratt)@Damien Masson (Bill Clinton)@Teresa Barnwell (Hilary Clinton)@||||||||||||@@
Airplane Flying High|David Zucker Jim Abrahams Jerry Zucker|Comédie||3|américain|1980|84|Anglais||DivX|||DIVX|1 006 Kbps|720x416|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|670||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Jim Abrahams David Zucker Jerry Zucker|Jim Abrahams David Zucker Jerry Zucker|Joseph F. Biroc||Paramount Pictures|Saga : Y a-t-il... |Une intoxication alimentaire décime la moitié des occupants d'un boeing. L'avion, sans pilote, est bientôt en perdition. A bord : deux terroristes, un général japonais qui se prend pour un kamikaze et une pléiade de personnages complètement fous. |Robert Hays (Theodore Striker )@Julie Hagerty (Elaine Dickinson)@Lloyd Bridges (Steven McCroskey)@Leslie Nielsen (le docteur Rumack)@David Zucker (un stewart)@Robert Stack (le capitaine Rex Kramer )@Peter Graves (le capitaine Clarence Oveur )@Kareem Abdul-Jabbar (Roger Murdock)@Jonathan Banks@Barbara Billingsley@James Hong@Ethel Merman@Nicholas Pryor@Kenneth Tobey@Jerry Zucker@Jim Abrahams@||||||||||||@@
Airplane II : The Sequel|Ken Finkelman|Comédie||2|américain|1983|80|||DX50|||DX50|1 038 Kbps|640x272|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|680||||25.000|28/07/2009 00:00:00||||||Saga : Y a-t-il... |La première navette spatiale commerciale pilotée par le commandant Over est en partance pour la Lune. Dès l'envol, déjà laborieux, les difficultés commencent. Malgré les efforts de sa responsable Elaine, l'ordinateur de bord devient fou. Ted, évadé d'un établissement psychiatrique et membre de l'équipage, prend désormais les commandes en main. |Robert Hays (Ted Striker)@Julie Hagerty (Elaine Dickinson)@Lloyd Bridges (Steven McCroskey)@Raymond Burr (Juge Simonton)@Chuck Connors@Sonny Bono (Joe Seluchi)@Peter Graves (Capitaine Clarence Oveur)@William Shatner (Cdt. Buck Murdock)@||||||||||||@@
Les Fils du vent|Julien Seri|Action||1|français|2004|98|Français||DX50|||DX50|844 Kbps|640x256|MPEG-1 Audio layer 3|96.0 Kbps|False|48.0 KHz|2|673||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Yves Marmion|Julien Seri Charles Perrière Philippe Lyon|Michel Taburiaux||UFD||De jeunes athlètes français pratiquant l'art du déplacement se rendent à Bangkok. Sur place, ils vont rencontrer les Hyènes, des sportifs chinois qui ont mis leurs compétences au service d'un groupe de yakusas sans scrupules, et Tsu, une jeune Chinoise aussi belle que talentueuse, qui n'est autre que la soeur du chef des Hyènes...
Après l'enlèvement de celle-ci et de l'un des leurs, les petits Français devront s'aventurer au péril de leur vie au coeur du territoire ennemi... |Châu Belle Dinh (Kien)@Charles Perrière (Charles)@Guylain N'Guba Boyeke (Yaguy)@Laurent Piemontesi (Laurent)@Malik Diouf (Kenjee)@Williams Belle (Williams)@Yann Hnautra (Lucas)@Elodie Yung (Tsu)@Santi Sudaros (Kitano)@Burt Kwouk (Wong)@||Secrets de tournage :
Le retour des Yamakazi...
Les Fils du vent voit le retour des Yamakazi sur grand écran. Ce groupe de sept jeunes athlètes est le miroir d'un phénomène né dans les banlieues qui consiste en l'escalade d' immeubles en tous genres et en des déplacements vertigineux dans des endroits inaccessibles. Le collectif urbain Yamakasi avait tenu la vedette du long-métrage Yamakasi, réalisé en 2001 par Ariel Zeïtoun. Si l'action de ce dernier film était située à Paris, c'est désormais à Londres et Bangkok, et toujours dans des décors naturels, que le collectif effectue des scènes d'action spectaculaires.
...et de Julien Séri
C'est Julien Seri qui est aux commandes des Fils du vent. Le Français avait déjà été contacté par le producteur Luc Besson en 2001 pour réaliser Yamakasi, mais l'affaire n'avait finalement pu aboutir. Trois ans plus tard, Julien Seri dirige bel et bien le collectif des Yamakasi qui a lui-même insisté pour l'avoir aux manettes.
Accepter les différences de l'autre
Si Les Fils du vent est un spectaculaire film d'action, il véhicule également un message, comme l'explique Julien Seri : "Les Yamakasi, c'est un groupe qui s'enrichit de ses différences. Ils vivent ensemble, s'entraînent ensemble, mais ont des qualités et des apparences très diverses. Ils ne peuvent donc être forts qu'en acceptant leurs différences, ils deviennent complémentaires. C'est un discours positif qui peut toucher un public jeune, mais aussi plus adulte : j'ai fait ce film pour mon fils et mon grand-père. Le message des Fils du vent est là."
L'Asie : un terrain de jeu idéal
Pour le réalisateur Julien Seri, situer l'action des Fils du vent en Asie revêtait une signification toute particulière : "L'idée de départ était de plonger les Yamakasi dans un contexte qui révélerait leurs qualités. On a très vite pensé à l'Asie, par intérêt pour les arts martiaux, par référence au cinéma, ça correspondait au rêve de tous. (...) Les Yamakasi sont comme des globe-trotters de l'extrême, comme des surfeurs allant dans tous les coins du monde à la recherche des meilleurs spots, des plus belles vagues. Eux recherchent les valeurs de leur art, celui des mouvements. Ils les trouvent en Asie, où l'honneur, l'honnêteté et la rigueur dans les combats sont des références communes."
Des hommes forts
Mot d'origine zaïroise, "Yamakasi" signifie en Lingala à la fois "esprit fort", "corps fort" et "homme fort".
Devant et derrière la caméra !
Non content d'être les vedettes turbulentes des Fils du vent, les Yamakasi ont également oeuvré à l'écriture du script, y développant les valeurs qui cimentent leur état d'esprit, à savoir l'honneur, l'amitié, le travail, le goût de l'effort, le courage...
L'ombre de Kitano
Julien Seri a demandé au cinéaste japonais Takeshi Kitano, l'une des ses références majeures, de faire une apparition dans Les Fils du vent. Malheureusement, celui-ci était indisponible durant le tournage du film pour répondre favorablement à cette requête.
Les références des Yamakasi
Le réalisateur Julien Seri cite trois références cinématographiques majeures qu'il partage avec les Yamakasi : Time and tide de Tsui Hark, Le 13è Guerrier de John McTiernan et Blade 2 de Guillermo Del Toro.
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Yes Man|Peyton Reed|Comédie||3|américain|2009|100|Anglais||XVID|||XVID|843 Kbps|704x288|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|48.0 KHz|2|701||||25.000|13/08/2009 00:00:00|David Heyman Richard D. Zanuck Jim Carrey|Nicholas Stoller Jarrad Paul Andrew Mogel|Robert D. Yeoman||Warner Bros.||Carl Allen est au point mort. No future... jusqu'au jour où il s'inscrit à un programme de développement personnel basé sur une idée toute simple : dire oui à tout ! Carl découvre avec éblouissement le pouvoir magique du "Yes", et voit sa vie professionnelle et amoureuse bouleversée du jour au lendemain : une promotion inattendue, une nouvelle petite amie... Mais il découvrira bientôt que le mieux peut être l'ennemi du bien, et que toutes les occasions ne sont pas bonnes à prendre... |Jim Carrey (Carl Allen)@Zooey Deschanel (Allison)@Bradley Cooper (Peter)@John Michael Higgins (Nick)@Rhys Darby (Norman)@Danny Masterson (Rooney)@Fionnula Flanagan (Tillie)@Terence Stamp (Terrence Bundley)@Sasha Alexander (Lucy)@Molly Sims (Stephanie)@Brent Briscoe (le SDF)@Rocky Carroll (Wes)@John Cothran Jr. (Tweed)@Spencer Garrett (Multack )@Sean O'Bryan (Ted)@Kai Lennox (le type au tract)@Cecelia Antoinette (l'employée de la banque)@Patrick Labyorteaux (Marv Winchell)@Jamie Denbo (la femme de Marv)@Shelby Zemanek (Sophie Winchell)@Alfred De Contreras (le marchand d'oranges)@Peter Giles (le client de la banque)@Rebecca Corry (une adepte du Yes)@Whitney Anderson (une adepte du Yes)@Pride Grinn (un adepte du Yes)@Kerry Hoyt (un adepte du Yes)@Anna Khaja (Faranoush)@Maile Flanagan (Janet)@Roni Meron (la serveuse)@Heidi Herschbach (Daphne)@Graham Shiels (le petit ami craignos)@Brandon Walters (un Mormon)@Emily Chen (Buttercup girl)@Ashley Martinez (Buttercup girl)@Kenneth Searle (l'instructeur de vol)@John H. Song (l'instructeur coréen)@Lauren Kim (une étudiante)@Mike Gomez (le père au foyer SDF)@E.J. Callahan (le paysan)@Kelly Harris (un membre du groupe Munchausen By Proxy)@Becky Kupersmith (un membre du groupe Munchausen By Proxy)@Jillian Iva Meador (un membre du groupe Munchausen By Proxy)@Jarrad Paul (Reggie)@Aaron Takahashi (Lee)@Jon Baggio (le joueur de Quidditch)@Peter Spellos (le vigile du Hollywood Bowl)@Vivian Bang (Soo-Mi)@William Will Simm (Chul-Soo)@Jackie Harris (une passante)@Trent Minx (un type dans la foule)@Lisa Long (la représentante de la compagnie aérienne)@Mary-Pat Green (la guide)@Stephanie Hodge@Matt Miller (un cadre)@J.R. Nutt (le caddy)@Kat Sawyer-Young (une femme à la galerie)@Lance Wesley (le dépanneur)@Katsy Chappell (l'infirmière)@Poetri (le vigile de l'hôpital)@Sally Stevens (un chanteur)@Eric Bradley (un chanteur)@Teri Koide (un chanteur)@Guy Maeda (un chanteur)@John Pagano (un chanteur)@||Secrets de tournage :
Jim Carrey dit oui à "Yes Man" !
Jim Carrey, la vedette de la comédie Yes Man, avoue avoir été lui-même comme le héros du film. "Je connais des tas de gens qui fuient la vie. Ce film adresse un OUI franc et massif à la vie. C'est cela qui m'a attiré en lui", déclare-t-il. "Parfois, dire non revient à dire oui à quelque chose de mieux. Mais, parfois, cela revient à un simple rejet, qui vous éloigne des autres. À vous de choisir ce qui vous convient le mieux, mais dites-vous bien qu'on regrette rarement les choses auxquelles on a dit oui. Alors qu'on regrette le plus souvent celles qu'on aura laissées passer."
L'adaptation d'un livre
Yes Man est adapté d'un livre écrit par le journaliste britannique Danny Wallace, résultat d'une drôle d'expérience qu'il fit durant six ans, après avoir été plaqué par sa petite amie : répondre "oui" à toutes les questions qui lui étaient posées. De cet ouvrage très original, David Heyman, producteur de Yes Man (mais aussi de la saga Harry Potter), déclare : "Je suis séduit par la générosité qui imprègne ses écrits. J'ai adoré Yes Man. Dire oui à la vie, s'ouvrir à des opportunités inédites, oser de grandes expériences... l'idée était passionnante à explorer." Et Jim Carrey d'être particulièrement enthousiaste en évoquant Danny Wallace : "Cet homme a apporté une idée qui collait totalement à mon désir de jouer des situations réellement drôles, mais qui poussent aussi les gens à réfléchir sur eux-mêmes. De retour chez eux, les spectateurs se demanderont peut-être s'ils ne devraient pas dire oui plus souvent."
Une comédie débridée, mais pas seulement...
Le réalisateur Peyton Reed passa un certain temps avec Jim Carrey durant la préproduction de Yes Man pour parachever l'"américanisation" du sujet. "J'ai cherché à établir une ambiance à mi-chemin des comédies débridées de Jim et de ses films plus sérieux", explique le cinéaste. "Un ton qui permettrait au personnage d'aller assez loin dans la folie sans perdre son ancrage dans le réel."
La positive attitude de Peyton Reed
Peyton Reed, le réalisateur de Yes Man, ne pouvait rester insensible au potentiel comique du sujet, lui qui est spécialisé dans les comédies (American girls, Bye Bye Love, La Rupture. "Ce gars n'a rien d'anormal", explique-t-il en évoquant le personnage joué par Jim Carrey. "Il a seulement besoin de se reprendre en main et de changer de cap. En disant oui, il va réinvestir sa propre vie. J'ai tout de suite été séduit par cette histoire. (...) J'ai vraiment aimé cette position très affirmative, qui devient bien sûr comique à partir du moment où vous dites oui à n'importe quoi, de façon irréfléchie, comme le fait Carl Allen. Avec un Jim Carrey cela devient une source inépuisable de situations loufoques. Son jeu, tellement physique, et son élocution suscitent à eux seuls le rire et rehaussent l'ensemble."
Avant Jim Carrey
Avant que Jim Carrey soit la vedette de Yes Man, c'est Jack Black qui était en lice pour tenir le rôle principal de la comédie.
Jim Carrey dit VRAIMENT oui à tout !
Pour le tournage de Yes Man, Jim Carrey a mis en pratique le sujet même de la comédie : il a dit oui a énormément de choses qu'il n'avait jamais, ou peu, faites auparavant, comme jouer de la guitare, apprendre le coréen, chevaucher une moto de gros calibre ou encore faire du saut à l'élastique. L'acteur dut toutefois se résoudre à dire non pour la pratique du "body blading", un sport méconnu conçu par le Français Jean-Yves Blondeau (qui fut consultant/doublure sur le film). Un skater s'y déplace dans une combinaison protectrice style Rollerball, aussi solide qu'une armure et entièrement équipée de roulettes de skate, permettant au sportif de se propulser à l'horizontale à plus de 100 km/h.
Le chanteur du groupe Eels et Zooey Deschanel a la baguette
La musique de Yes Man est notamment composée par Mark Everett, alias "E", le leader du groupe de rock Eels. A noter également que l'actrice Zooey Deschanel, qui joue le premier rôle féminin de Yes Man (et qui est chanteuse dans le groupe She and I) a participé à l'écriture des paroles de certaines chansons du film jouées par le groupe Von Iva, qu'elle rejoint d'ailleurs à l'écran.
Un producteur de renom
Le producteur de Yes Man n'est autre que Richard D. Zanuck, celui qui est à l'origine de classiques rels que La Planète des singes, L'Arnaque ou Les Dents de la mer.
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Rennie's Landing|Marc Fusco|Comédie||4|américain|2001|100|Anglais||DIV3|||DIV3|828 Kbps|576x304|MPEG-1 Audio layer 3|128 Kbps|False|44.1 KHz|2|695||||25.000|28/07/2009 00:00:00|Mike Gabrawy|Marc Fusco|Stephen Sheridan||||Trois amis, anciens élèves d'un même lycée, tentent de renouer avec l'esprit d'insouciance de leur adolescence. |Charlotte Ayanna (Samantha 'Sam' Parkes)@Ethan Embry (Trevor Logan)@Peter Facinelli (Alec Nichols)@Scott Foley (Casey Shepard)@Jennifer Garner (Kiley Bradshaw)@||||||||||||@@
Zathura|Jon Favreau|Fantastique||2|américain|2006|101|Anglais||XviD|||XVID|792 Kbps|640x336|MPEG-1 Audio layer 3|160 Kbps|False|48.0 KHz|2|699||||23.976|28/07/2009 00:00:00|Michael De Luca Scott Kroopf William Teitler|David Koepp John Kamps|Guillermo Navarro||Sony Pictures Entertainment||Au fond de leur cave, Danny et son grand frère Walter découvrent la boîte d'un étrange jeu appelé Zathura. A peine essaient-ils d'y jouer qu'ils se retrouvent propulsés dans l'espace avec leur maison, et découvrent qu'ils n'échapperont plus à la partie qui vient de commencer...Face aux redoutables Zorgons, dont les vaisseaux rôdent en attendant de les attaquer, ils doivent laisser leurs rivalités de côté pour survivre ensemble. S'ils veulent un jour retourner chez eux, il leur faudra affronter chaque étape de ce jeu où tout est possible. De rencontres imprévues en épreuves spectaculaires, ils vont découvrir que leur seule chance est de faire équipe, parce qu'à ce jeu-là, on n'a qu'une vie. |Tim Robbins (Le père)@Josh Hutcherson (Walter Budwing)@Jonah Bobo (Danny Budwing)@Dax Shepard (L'astronaute)@Kristen Stewart (Lisa Budwing)@Derek Mears (Lead Zorgon)@Douglas Tait (Zorgon)@||Secrets de tournage :
Dans la veine de Jumanji
A l'instar de Jumanji, Zathura est un jeu de société propulsant ses joueurs dans un univers magique. Mis en chantiers par les mêmes producteurs (Scott Kroopf et William Teitler), et écrit par le même auteur (Chris Van Allsburg), le film n'est toutefois pas la suite de Jumanji.
Adapté du roman de Chris Van Allsburg
Zathura est adapté du roman éponyme de Chris Van Allsburg. C'est la troisième fois qu'une de ses oeuvres est adaptée au cinéma après Jumanji en 1996 et Le Pôle Express en 2003.
500 jeunes pour deux rôles
Pour trouver les deux jeunes garçons destinés à jouer les rôles principaux, les producteurs ont organisé un casting géant. Ils ont ainsi auditionné plus de 500 garçons dans 5 villes américaines. C'est finalement à New York que les deux jeunes acteurs ont été découverts : Josh Hutcherson, 12 ans, originaire du Kentucky, incarne le frère aîné. Il n'en est toutefois pas à sa première expérience puisqu'il avait déjà participé au tournage du Pôle Express, l'adaptation d'un autre album de Chris Van Allsburg. Danny, le petit frère, est quant à lui interprété par Jonah Bobo, 8 ans, qui est déjà apparu aux cotés de Christopher Walken dans De pères en fils.
Mélange de numérique et de techniques traditionnelles
L'univers de Zathura se situe dans l'espace tel qu'il était imaginé dans les années 50. Pour rendre hommage à cet esprit, le réalisateur Jon Favreau a fait appel à l'un des experts des effets spéciaux : Stan Winston ( Jurassic Park, Terminator 2 : le jugement dernier...), lauréat de plusieurs Oscars. Mêlant habilement technologies numériques et techniques traditionnelles, les effets spéciaux ont eu pour but de réunir différentes générations de spectateurs autours d'un même univers. "La grande majorité des décors et créatures ont été créés en vrai. Cela donne une impression de réalisme beaucoup plus grande, notamment à ceux de ma génération qui ont grandi avant les effets numériques. Pour moi, trop d'effets numériques dans un film lui donnent l'air d'un jeu vidéo... " explique le réalisateur.
Un géant de fer
Le chef décorateur J. Michael Riva avoue s'être inspiré du film d'animation Le Geant de fer pour créér le robot de Zathura. Sa construction fut particulièrement délicate : plus de trois mois ont ainsi été nécessaires pour fabriquer le propulseur dorsal à fusées du robot, qui devait être capable d'atteindre des températures de 1500 degrés.
La création des Zorgons
C'est Jon Favreau lui-même qui a réalisé les premières esquisses des Zorgons. " Jon est un dessinateur accompli, raconte le chef décorateur J. Michael Riva. Il avait dessiné un hybride de crocodile et d'iguane, avec un soupçon de T-Rex... J'ai toujours le dessin dans mon bureau : on y trouve déjà tout l'esprit des créatures définitives. " Au final, le costume des Zorgons pesait près de 45 kg. Dans plusieurs scènes, des tiges étaient reliées à certaines parties pour que des marionnettistes extérieurs puissent l'animer. L'acteur portait une cagoule pour écran bleu qui a permis par la suite à l'équipe des effets visuels d'Imageworks d'effacer facilement sa tête.
Changement de réalisateur
Dennis Dugan était initialement pressenti derrière la caméra, mais le réalisateur de la comédie Diablesse fut finalement évincé du projet au profit de Jon Favreau (Elfe).
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